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SOMMAIRE
EDITO
Photos : Jean-Luc Traïni & Joseph Canova
Par M. le Maire • Photos : Mairie & Emmanuel Reyboz
2007 L’action continue
EDITO ACTUALITES CULTURE
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SPORT
aisons un rêve… Celui d’avoir la faculté de nous projeter dans l’avenir et d’entrevoir à quoi ressemblera notre environnement à un horizon de 5 ou 10 ans. Ne seraitce pas extraordinaire pour nous les élus locaux de pouvoir orienter nos choix avec facilité et de ne prendre que des décisions parfaitement éclairées ? La réalité tend hélas à nous prouver que l’anticipation politique est un art délicat et sujet à critiques. A ce propos, Sir Winston Churchill disait : « Il est toujours sage de regarder en avant, mais il est difficile de regarder plus loin qu’on ne peut voir »… Ne nous laissons pas pour autant décourager ! La durée de notre mandat électif devant être prolongée d’une année (mars 2008), nous nous engageons à mener à leur terme les projets qui nous semblent structurants pour notre ville. Je pense en particulier au parking du cheflieu, programmé pour 2007, qui apporte un début de solution au problème du stationnement. Dès son achèvement, nous avons prévu de reconfigurer le secteur de la gare dans le même esprit que celui du parvis de la médiathèque. Par ailleurs, nous ne perdons pas de vue le sujet de la crèche et avons réservé à cet effet un emplacement dans l’aile sociale de l’ancien hospice dont les travaux de rénovation devraient pouvoir démarrer
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TEMPS FORTS EN IMAGE
AGENDA GROS PLAN CONSEILS MUNICIPAUX NATURE SOCIAL
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VERSANT D’HAUTEVILLE LES ARCS BON A SAVOIR EXPRESSION LIBRE
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Vœux du Comité de rédaction Le mois de janvier est généralement le mois des vœux mais c’est aussi celui des bonnes résolutions. Ainsi, en ce début 2007, le Comité de Rédaction s’engage, auprès de ses lecteurs assidus, à consolider les acquis et à poursuivre encore les améliorations déjà apportées au niveau du formalisme. Il s’engage également à rester fidèle à l’esprit du journal qui se veut objectif et délibérément tourné vers l’Humain. Au terme de trois années, et même s’il est encore perfectible, il semble que ce petit journal trimestriel ait bien rempli son office dans la mesure où il est lu par plusieurs générations. Le Comité de Rédaction tient à réitérer ses remerciements à ses lecteurs pour leur soutien et à leur adresser ses vœux chaleureux de bonne et heureuse année.
avant la fin du mandat. Ce n’est toutefois qu’une réponse partielle au problème et le nouveau Plan Petite Enfance présenté par le gouvernement, en novembre dernier, envisage d’autres pistes qu’il faudra explorer parallèlement. Au niveau des écoles, la restauration scolaire a pris une ampleur telle que nous envisageons une extension de bâtiment dans l'école élémentaire du Centre pour disposer d'une véritable salle de réfectoire. Il nous reste en principe une bonne année de travail et j’ai demandé à mes proches collaborateurs de conserver la passion, l’énergie et l’enthousiasme qui les ont toujours animés depuis bientôt six ans. Soyez assurés, chers concitoyens, que nous nous efforcerons au cours de ces derniers mois d’aller au bout de nos engagements et de laisser derrière nous un bilan le plus positif possible. Bien amicalement à tous.
LE P’TIT BORAIN EST ÉDITÉ PAR LA MAIRIE DE BOURG-SAINT-MAURICE DIRECTEUR DE LA PUBLICATION François Gazave RÉDACTION Rédactrices en chef : Christine Thévenin et Christine Clément Ont collaboré à ce numéro : Damien Perry, Martine Vert, Gérard Vernay, Tristan Martinet, Martine Depoix, Jacqueline Gueltas, Giselle Tissot, Rosette Vallat, Didier Jouniaux.
PHOTOS Jean-Luc Traïni, Pierre Pezet, Pierre Villeneuve, Danièle Rey, Rosette Vallat, Robert Talbot, Emmanuel Reyboz, Mairie. RÉALISATION Sylvain Frangeul IMPRESSION Imprimerie l’Edelweiss : 04 79 07 05 33
< Photo couverture : Ranch El colorado
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Le P’tit Borain • hiver 2007
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ACTUALITÉ Par Christine Thevenin • Images : Perrine Urbanisme
Réalisation d’un parking couvert public de 296 places au chef-lieu Conscients de l’acuité du problème de stationnement dans notre ville, nous avons choisi d’aménager un parking à un emplacement stratégique, avenue du Maréchal Leclerc, à proximité de la gare et du centre-ville. L’avantprojet définitif nous permet d’imaginer un ouvrage fonctionnel et bien intégré dans le paysage. otre société a évolué beaucoup plus vite que nos villes. C’est particulièrement vrai en matière de stationnement car la voiture est devenue un bien de consommation courant. Dans le contexte environnemental d’aujourd’hui, l’automobile réussit le paradoxe de réunir deux notions opposées : celle de la nécessité et celle du luxe. La nécessité de se déplacer, de participer à l’activité économique, le luxe d’épuiser notre espace et… notre planète. C’est à ce paradoxe qu’il faut répondre dans un premier temps pour, peut-être, évoluer vers un nouveau style de vie.
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Le projet de ce parking est né au début du mandat, lorsque nous avons fait des démarches auprès de l’O.P.A.C. pour racheter le terrain initialement prévu pour des logements sociaux. Il nous semblait en effet beaucoup plus adapté à ce type d’équipement.
Localisation : Avec une localisation idéale, ce projet s’inscrit dans la politique globale d'aménagement d'espaces publics, et notamment de la traversée de Bourg, tout en répondant au déficit important de places de stationnement dans la ville.
A la périphérie du plein centre, il répond bien aux besoins des commerces et des services et, à proximité de la gare, il diversifie l’offre en période touristique
Insertion paysagère : D'une hauteur limitée, l’équipement sera discret et ne dépassera pas, en partie haute, l'altitude de l'avenue du Maréchal Leclerc. Développé sur trois niveaux (deux couverts et un aérien), il sera encastré dans le profil du terrain. La plate-forme aérienne - prolongation « naturelle » de l'avenue - poursuivra l'actuel espace de stationnement développé sur la contre-allée (stationnement en long reconfiguré en stationnement en épis). Son impact paysager sera donc limité : • le long de l'avenue Maréchal Leclerc, la façade sera inexistante en amont et mesurera un niveau en partie aval, • sur la pointe du triangle, la façade sera étroite et s'élèvera sur deux niveaux, • le long de la voie ferrée, le niveau bas sera semi-enterré. Sur le plan architectural, le projet s’intégrera parfaitement dans l’environnement, avec ses trois matériaux de teintes grises, très sobres : • un béton brut lisse pour les poutres de liaison entre poteaux ; • des poteaux plaqués de pierres grises pour ponctuer les longues façades et s'apparenter aux matériaux utilisés à proximité (murets d'espaces publics, façades de la gare…) ; • des grilles horizontales en métal gris anthracite qui protègeront les orifices de ventilation naturelle ménagés entre poutres. Fonctionnement : L'option majeure de fonctionnement consiste à maintenir une seule entrée et une seule sortie qui correspondent aux actuelles entrée et sortie du parking en contre-allée. Il sera composé de deux entités indépendantes : • le parking aérien (niveau 2) de 92 places sur la dalle de terrasse, accessible depuis la contre-allée existante, en partie haute du terrain ; • le parking couvert (niveaux 1 et 0), accessible par le niveau bas de la contre-allée. A ces trois niveaux s'ajoute l’actuelle contre-allée sur laquelle seront délimitées des places en épis pour les véhicules légers et une place identifiée pour un bus. L'ensemble du parc de stationnement totalisera 296 places. A l’entrée, un panneau lumineux affichera le comptage des places disponibles. Plusieurs tarifs et formules d’abonnement seront proposés avec comme objectif un taux de remplissage optimal. À terme, la structure du parking pourra également accueillir une salle polyvalente, d’une emprise au sol de 900 m2 située en proue, côté gare.
Pro Proje t en aval aval d e la gare la gare
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Le P’tit Borain • hiver 2007
Démarrage des travaux au printemps, livraison fin 2007 Coût global de l’opération estimé à 2 650 630 Euros HT soit 8 955 Euros / place
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ACTUALITÉ Par Christine Thevenin • Images : Plexus Architectes
Construction d’un complexe multi-loisirs près de la piscine De conception moderne, avec une implantation intéressante, juste à la sortie de Bourg-St-Maurice, ce complexe va donner un souffle nouveau à notre ville en diversifiant l’offre de loisirs. Voici quelques détails du projet remanié qui devrait être opérationnel début 2008. ujourd’hui, les loisirs ont pris une place importante dans la vie des français et de nombreuses villes aménagent des quartiers entièrement dédiés aux activités ludiques ou culturelles. A un niveau plus modeste, Bourg-St-Maurice méritait aussi de se doter d’un équipement de ce type et notamment pour les jeunes qui sont souvent contraints de faire des déplacements importants pour se divertir. La réalisation de cet ensemble immobilier de loisirs, situé juste devant la piscine, comprendra : • trois salles de cinéma • une salle de bowling de 8 pistes • une brasserie • une salle de séminaires • une surface commerciale non encore affectée • une résidence hôtelière de 45 appartements • des bureaux • 59 places de stationnement
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Il aura fallu de longs mois et de nombreuses discussions avec l’investisseur pour voir émerger ce projet, compte tenu des difficultés induites par le bouclage financier de l’opération. En effet, à l’origine, les murs de l’ensemble de ce complexe devaient être portés par les acquéreurs, la commune se limitant à vendre le foncier. Or, les exploitants pressentis pour le cinéma et le bowling souhaitaient que les murs soient portés par la collectivité. De nouveaux échanges eurent lieu pour obtenir un prix de vente des murs nus qui soit compatible avec l’équilibre du budget annexe des locaux aménagés. Un accord s’est fait après redimensionnement du projet qui inclut cette fois la construction d’une résidence hôtelière de 45 appartements dans la trame centrale. Le dancing initialement prévu n’a pas trouvé preneur et nous le déplorons réellement car c’était à notre sens un endroit idéal pour éviter les nuisances sonores de voisinage.
Projet du futur cinéma
Le saviez-vous Le Bowling (to bowl : rouler) est un jeu d’intérieur dans lequel les joueurs lancent des boules sur une piste ou allée, pour tenter de renverser des quilles. Quelquefois appelé Ten Pins, le bowling est l’un des sports les plus populaires dans le monde. La Fédération Internationale des Quilleurs compte plus de 110 pays membres et estime que plus de 100 millions de personnes jouent chaque année. Depuis des millénaires, l'homme a trouvé du plaisir à exercer son adresse en plaçant un objet verticalement afin de l'abattre au moyen d'un projectile quelconque. Le plus souvent, il s'agissait d'un morceau de bois, taillé à la hache ou à la serpe, et d'une grosse pierre arrondie. Ce sont les ancêtres de la quille et de la boule. Si le mot quille (Kegeln) est issu de la Germanie, ce n'est pas une preuve suffisante pour attribuer à ce pays l'origine du jeu. L'Égypte a fourni les plus anciens témoignages de quilles et de boules en pierre. En effet, en 1895, fut découvert à Nagada, dans la tombe d'un enfant, un jeu se composant de 9 petits vases en albâtre, de 3 cubes en marbre blanc et de 4 billes en porphyre. Ce serait le 1er jeu de quilles connu (5200 av JC). L'Odyssée révèle aussi son existence pendant la guerre de Troie. Les quilles étaient alors en pierre, de section carrée, arrondies à la tête. Les 108 prétendants de Pénélope s'adonnaient effrontément à ce jeu devant le palais d'Ulysse. Ils disposaient chacun d'une quille, et toutes devaient être alignées en 2 rangées de 54 quilles au milieu desquelles trônait "Pénélope", la quille la plus grande et la plus belle qu'ils devaient renverser. Une distance était choisie, chaque joueur, tour à tour, tâchait d'abattre "Pénélope". Celui qui l'atteignait avait le droit de la remettre en place et de diriger ensuite "Pénélope" contre la pierre qui l'avait touchée. Quand l'adroit joueur y parvenait sans renverser d’autres quilles, il avait gagné, heureux présage. Il espérait alors conquérir Pénélope elle-même.
Image 3D du projet
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ACTUALITÉ Par Christine Thevenin • Photos : Joseph Canova
Tout récemment choisi pour réaliser l’enseigne du Centre Bernard Taillefer, Joseph Canova nous a révélé des secrets presque trop bien gardés jusqu’ici. Levons le voile sur ce talentueux fondeur d’art.
La fabrication des lettres en cire
Joseph Canova, un artiste peut en cacher un autre...
ous lui connaissions des talents de tapissier, nous savions qu’il était passionné par les cristaux mais sans doute étions-nous nombreux à ignorer qu’il était également fondeur d’art… C’est grâce au concours artistique lancé par la commune pour l’enseigne du nouveau Centre d’Arc 1800 que nous avons pris la pleine mesure de cet artiste aux mille talents dont la modestie n’a d’égale que la pugnacité. La fonderie d’art telle que la conçoit Joseph Canova est un métier en voie de disparition car elle relève de procédés très anciens, difficiles à mettre en œuvre. C’est une activité intensive et complexe faisant appel à de solides compétences techniques.
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Pour le concours, il a imaginé un logo en red cedar – bois de conifère durable de très haute qualité - incrusté de lettres de bronze avec des fleurs stylisées appelées « germes d’idées » façonnées dans les mêmes matériaux. Pour réaliser cette œuvre, il aura fallu à Joseph et à son fils, Pierre-Emmanuel des heures d’un travail des plus variés : dessin, moulage, menuiserie et fonderie.
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Chaque lettre a une forme particulière - unique pour épouser les courbures du bois. Pour arriver à son état final, il faut tout d’abord faire un modèle en cire, l’englober dans un moule réfractaire, le fondre dans un four d’étuvage et couler à sa place le métal en fusion. Après ces quatre étapes, le bronze est mat et d’aspect peu attirant, il faut encore le traiter et le poncer intensément avec diverses techniques pour lui donner tout son brillant.
Ce bronze en fusion est constitué de 87% de cuivre, 4% d’étain, 7% de zinc et de 2% de plomb
Pierre-Emmanuel à la ponceuse
Les germes d’idées symbolisent l’éclosion d’événements de ce nouvel équipement
Un Musée pas comme les autres Lorsque vous pénétrez dans ce petit écrin, le temps s’arrête et votre guide vous narre avec passion l’histoire de presque chacune des pierres, en vous précisant le lieu exact où elles ont été trouvées. Ce fabuleux patrimoine culturel régional, hélas insuffisamment connu, vous séduit par son exceptionnelle qualité et la beauté des pièces exposées. Très convoitée par des minéralogistes du monde entier, friands de ce genre de trésors, la collection ne doit son salut qu’au caractère particulièrement désintéressé de la famille Canova qui estime qu’elle appartient à tout le monde.
Né il y a juste 20 ans, ce discret petit Musée recèle une collection d’une valeur inestimable, constituée au fil de trois générations de cristalliers.
> Venez (re)découvrir le Musée des Minéraux de Bourg-SaintMaurice, situé juste en face de la gare. En juillet-août, il est ouvert tous les jours de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h sauf le dimanche et le lundi matin. Les autres mois de l’année, il faut prendre rendez-vous par téléphone au 04 79 07 12 74
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TEMPS FORTS... ... EN IMAGES • Par Christine Clément
Du 13 au 18 novembre 2006
Soirée Palestine : ambiance tour à tour enjouée, chaleureuse et chargée d’émotion
Photo : Mairie
Photo : J-L. Traïni
Semaine de la solidarité
es de saveurs exotiqu tinien : un festival les pa oan lib s pa Re
Photo : P. Pezet
Spectacle « le chant de l’horizon » : poésie et musique orientale
Visite des enfants de l’école sainte Bernadette à l’exposition
Danse folklorique libanai se
: le public se lance !
Photo : P. Pezet
Photo : AMADEA
Photo : AMADEA
Ouverture de cette semaine avec le vernissage de l’exposition Constella tion*
Photo : J-L. Traïni
Photo : P. Villeneuve
Photo : Mairie
Fresque des enfants Tibétains : agriculture, travail, brimades, persécutions, quotidien, tout est dessiné avec minutie par les enfants et la force du constat n’échappe pas au visiteur.
Après-midi des jeunes : le plaisir de la rencontre et de l’échange
Soirée Malgache animée
et colorée
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Photo : J-L. Traïni
Dessin d’enfant
www.constellationart.org
Photo : Mairie
* Convaincue que la création artistique est un puissant outil de développement Constellation met en place des ateliers de peinture pour les enfants très défavorisés du tiersmonde. Elle ne fonctionne qu’avec des bénévoles et touche plus de 1500 enfants dans 20 pays d’Afrique, d’Amérique Latine et d’Asie.
ntation accrue par Marché solidaire : fréque entes céd pré rapport aux années
Souha Béchara témoigne sur la situation de l’enfant palestinien
LA SEMAINE DE LA SOLIDARITE EN QUELQUES CHIFFRES : 11 animations, 32 bénévoles, 200 collégiens, 190 écoliers, 168 repas Palestine, 170 visiteurs, 502 spectateurs. Plus de 1 000 personees se sont ainsi retrouvées tout au long de cette semaine, dont le fil conducteur aura été : « l’activité artistique comme moyen de manifester sa dignité et de lutter pour celle des autres »
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TEMPS FORTS... ... EN IMAGES • Par Christine Clément
dans ce Soirée des bénévoles, merci à tous e. post au e fidèl ours touj au rése
cembre 2 et 3 dé
me le la chorale des enfants ani l marché de Noë
Photo : J-L. Traïni
Photo : J-L. Traïni
26 octobre 2006
Félicitations aux organisateurs !
Photo : J-L. Traïni
Photo : J-L. Traïni
Marché de Noël 2006 :
Le stand coloré et les bénévoles de Coup de Pouce
. Traïni Photo : J-L
Photo : J-L. Traïni
11 novembre 20 06
Toutes les générations se retrouvent autour du devoir de mémoire
8 décembre
Photo : J-L. Traïni
r répertoire multicolore pou Soirée Chant’ Levent, un ce groupe unicolore
tte ule pour ce ouvelle form ès appréciée n s, n io p tr es Cham la présence ions Trophée d année avec des anciens champ
Photo : J-L. Tra ïni
24 novembre 2006
Enak Gavaggio , l’heureux retard aire !
6 9 décembre 200 Téléthon 2006, to ujours
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le même enthousia sme
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TEMPS FORTS...
Photo : Mairie
... EN IMAGES • Par Christine Clément
Après-midi jeux de constructio n Kapla : les architectes de demain
29 novembre 2006
le pour jours fidè u to c li b pu cile : un sainte Cé la e d rt e Conc uel -vous ann ce rendez
Photo : J-L. Traïni
L. Traïni Photo : J-
6 9 décembre 200
décembre 2006
Ecran sur cour : atelier d’art plastique à Petite Pla nète préparation active du fes tival par les élèves
9 décembre 2006 èque : la médiath à » c n la or b mile photo d’E niers de l’ « les pion urnier, devant la n o ti si o Exp s Fo et Mariu nnent Y. Blanc souvie se Allais…
Photo : D. Rey
ïni Photo : J-L. Tra
L. Traïni Photo : J-
décembre 2006
1er décembre 200 6
des ie : les trophées Cross de Savo s on borains champi
jeunes
21 décembre 2006
Départ en retraite de Jean-Yves Vallat : un immense moment d’émotion
Visite guidée de l’expo suivie d’une vidéo conférence sur l’architecture des stations de sports d’hiver
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CÔTÉ CULTURE Par Christine Clément
“ ” Quand le Jazz rythme l’Histoire
Le jeudi 8 mars à 20h30, nous vous invitons à un spectacle dédié au Jazz. Concert commenté ou conférence illustrée, à vous de choisir ! Ils sont quatre sur scène et une chose est sûre : ce soir là, c’est Jazz pour Tous !
e trio Jazstory vous invite à embarquer pour un grand voyage à travers le temps et la musique. Du jazz festif des années 20 au free jazz des années 80, du jazz revendicatif au West Coast, ce sont tous les grands mouvements du jazz que les musiciens s’attachent à vous faire redécouvrir. Avec le concours d’une narratrice confirmée, Catherine Thirard, vous allez replonger dans l’ambiance des villes américaines du passé, replacer dans le temps les hommes qui l’ont fait vivre et mettre des visages sur ces noms qui dansent encore dans nos mémoires.
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Salle des fêtes de Bourg-Saint-Maurice • Entrée libre
Des violoncelles à l’heure du numérique ! Pour sa 2ème édition, la master-class de violoncelles, initiée par Jeanne Colombier, professeur à l’école de musique, se produira à Bourg-St-Maurice le dimanche 18 mars à la salle des fêtes, à 20h15. ette grande formation vous propose d’explorer un nouveau monde musical. Sur le thème « son enregistré, transformé, trafiqué » au son des violoncelles, venez plonger dans l’univers créatif des sonorités numérisées, transformées.
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Accompagné par les 40 violoncelles de la master-class, le groupe Lily Meldou (violoncelle, chant, clavier informatique) fera découvrir au public cette musique novatrice qui bouscule les références du genre. Entrée : 3 €
Baroque des villes... ...Baroque des champs
Capoeira à Bourg-St-Maurice : l’art de la rencontre Un spectacle de Capoeira, art collectif brésilien, vous est proposé le dimanche 21 janvier à 18h à la salle des fêtes.
a Capoeira est un art martial afro-brésilien créé par les esclaves africains du Brésil, qui déguisaient ainsi leur préparation à la révolte. Elle se pratique en musique sous la forme d’une chorégraphie simulant le combat, à la manière de certaines danses rituelles africaines.
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Bourg-Saint-Maurice, associée à la Haute-Tarentaise, accueille du 16 au 23 janvier 12 capoéiristes brésiliens. Plusieurs écoles ainsi que le lycée se sont inscrits dans ce projet. C’est l’occasion de découvrir la culture brésilienne et de valoriser des rencontres. Spectacles et stages de capoeira, mais aussi batucada, rythmeront donc cette semaine dévolue à une rencontre culturelle franco brésilienne. Les stages auront lieu les mercredi 17, samedi 20 et dimanche 21 janvier. Renseignements à l’Espace Jeune : 04 79 07 27 16 et au service culturel : 04 79 04 21 21. Entrée libre
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Le mardi 27 mars, à la médiathèque La Facim* vous propose une vidéo conférence sur l’art baroque à 20h30. aroque, jamais mot n’a évoqué tout et son contraire, cristallisé tous les paradoxes… Un mot qui évoque tour à tour la perle irrégulière utilisée par les artistes portugais, l’exubérance de l’imagination, l’irrégularité ou encore la bizarrerie et la sensualité… Un mot qui tardivement est attaché à un art qui dérange. Sur une idée originale de Martine VialletDétraz et Jean-Marie Chevronnet, guides conférencier à la FACIM*, cette conférence vous emmène à la découverte des grandes capitales baroques : Rome, Turin, Venise ou encore Paris Elle sont aux sources de cet art qui trouvera dans nos vallées alpines une traduction toute particulière. Quand la ville créée, la campagne s’inspire… car même si les artistes, les matières et les commanditaires sont bien différents entre « les Villes et les Champs » les influences, les modes et les problématiques sont bien souvent les mêmes. Une présentation où se mêlent musique, images et émotion. Entrée libre
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* Fondation pour l’Action Culturelle en Montagne qui anime et fait vivre le Pays d’Art et d’Histoire des Hautes Vallées de Savoie.
SPORT Par Christine Thevenin • Photos : Ranch El Colorado
Ski joëring : dans les coulisses des Championnats Les 27 et 28 janvier, se dérouleront à Courbaton, pour la sixième fois, les championnats de France de ski-joëring. À l'origine de cet évènement, un passionné : Jacques Fillietroz. acques Fillietroz est un la voix ; puis un travail aux longues précurseur de ce sport « nouvelle rênes afin que le cheval apprenne à tendance » où le skieur se fait évoluer avec une personne derrière lui. tracter par un cheval. C’est en 1992, à Ce n'est que par la suite que l'exercice Saint-Moritz, qu’il a découvert cette propre à la discipline peut commencer discipline sur la neige sportive alliant avec un harnais plaisir de la et un cadre ». glisse et contact avec Les épreuves les chevaux. Il de compétition n’a cessé depuis, se composent de proposer au d’épreuves de slalom et de public des promenades en ski vitesse. joëring sur les pistes forestières « Pour ce qui de la vallée de concerne les la Tarentaise. épreuves de Il a remis au slalom, on goût du jour, apprend au en France, une cheval à changer discipline qui de pied et à ne se pratiquait s'incurver plus qu’en autour des Jacques Fillietroz et Commanche c o m p é t i t io n portes qui pour en faire jalonnent le une activité de loisirs à part entière. parcours, mais on lui apprend également à galoper parallèlement aux petits « Un bon cheval en ski joëring doit jalons puis à monter en accélération présenter plusieurs qualités », nous vers l'arrivée. confie Jacques Fillietroz, « il doit être à En vue des épreuves de vitesse, il est la fois souple, rapide et très obéissant ». nécessaire de dresser le cheval au « Le travail de dressage, pour obtenir sprint, à se maintenir sur les courbes et de tels résultats, peut réclamer beaucoup à accélérer les galops à la demande des de patience : d'abord une préparation à cavaliers-skieurs ». la longe, pour que le cheval obéisse à
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Les chevaux de Jacques Fillietroz connaissent bien la discipline car ils travaillent tous les jours sur le site des Arcs. Pendant la compétition, le soin apporté aux chevaux est capital : « Après tout effort, il est indispensable de bien couvrir le cheval, de l'abreuver très régulièrement et de lui mettre à disposition du sel » De même, on porte une grande attention à leur alimentation : « A la veille des épreuves, on augmente les quantités d'avoine afin de doper le métabolisme de l'animal ». Quant aux soins concernant les sabots des chevaux, la nature a très bien fait les choses : « Les sabots présentent une fourchette en forme d'étrave qui les
empêchent de glisser. De ce fait, on ne ferre jamais les chevaux utiLa grâce et la force du comtois aux Championnats de France de Ski Joëring lisés en ski joëring ». Le compétiteur, appelé également ski joërer, doit être un bon skieur et être en permanence à l'écoute de son cheval. Son entraînement doit être régulier afin d'avoir une bonne aptitude à évoluer sur des terrains enneigés et plats, le ski joëring ne se pratiquant jamais sur des plans inclinés importants. (extrait du texte de Bruno Gorius)
Que sont devenues les classes de neige d’antan ? Par Martine Vert
n mars 1950, pour la première fois en France, des enfants partaient en classe de neige, avec pour cadre le village de Praz sur Arly. Cette formule était révolutionnaire pour l’époque. Si les enfants bénéficient aujourd’hui de cours de ski et d’une multitude de loisirs, les élèves de l’époque avaient cours toute la journée, ils pouvaient seulement effectuer des descentes en luge et faire des bonhommes de neige. L’âge d’or des classes de neige est apparu dans les années 70. Cette forme de tourisme est un enjeu majeur pour l’économie de nos stations. Ce sont en effet nos clients de demain ! Pour de nombreux français, c’est souvent au cours d’un séjour en classe de neige qu’est né leur passion pour la montagne et la glisse. Hélas, ce type de séjour est actuellement en crise et les causes en sont multiples : séjours trop coûteux (hébergement, location de skis et chaussures et prix des remontées mécaniques), concurrence d’autres offres pédagogiques, règles d’encadrement de plus en plus drastiques, lourdes contraintes sécuritaires pour les enseignants et fermeture d’un grand nombre établissements pour mise aux normes.
Très prisées il y a 30 ans, les classes de neige connaissent aujourd’hui une baisse notable de fréquentation pour des raisons multiples. C’est bien regrettable !
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Aujourd’hui, les aides de l’état favorisent plutôt des activités en centre aéré dans le département où est scolarisé l’enfant. Il faudrait explorer quelques pistes de réflexion pour redynamiser ce secteur indispensable à nos économies de station : • rénovation des bâtiments d’accueil • offre de séjours clés en main avec des tarifs attractifs • mobilisation auprès des différents ministères concernés afin d’alléger les contraintes sécuritaires. Ces classes de neige propices à un épanouissement de l’enfant dans un environnement exceptionnel ne doivent pas disparaître ! hiver 2007 • Le P’tit Borain
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AGENDA Sous réserve de modifications • Par Martine Depoix
> Mercredi 14 Concert de l’Ecole de musique Ste Foy à 19 h 45 > 14 et 15 2ème Festival « Arc in Blues » Arc 1800
JANVIER FEVRIER
> 20 et 21 Stage Capoeira Salle des fêtes / toute la journée > Dimanche 21 Spectacle Capoeira Salle des fêtes à 18 h
Photo : Seb Léon
> Jeudi 25 Don du sang Salle des fêtes à partir de 7 h 30 > Samedi 27 Concours de belote Vulmix à 20 h > 27 et 28 Championnats de France de Ski Joëring Arc 1600 – Courbaton
> Vendredi 2 Concert de l’Ecole de musique Foyer rural de Séez à 20 h > Dimanche 4 Loto – Salle des fêtes à 14 h > Dimanche 4 Tournoi de foot «Challenge Isnard» Gymnases collège/lycée toute la journée > Du 5 au 9 La Columbia Freeride Les Arcs Les Arcs > Mardi 13 Soirée Troc Planète : l’Erythrée Salle des fêtes à 20 h 30 > Jeudi 15 A.G du C. d’Animation Centre Jean Moulin à 20 h 30 > Dimanche 18 La Vaugelette Course de raquettes La Thuile de Vulmix à 10 h > Mercredi 21 Derby Robert Blanc - Arc 2000 > Date non définie Quiksilver Jeune ski de vitesse Arc 2000
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> Samedi 17 Compétition d’escalade « Nuit à blocs » Gymnase du Collège à partir de 18 h > Samedi 17 Rencontre de gymnastique inter club Gymnase du Lycée > Samedi 17 Concours de coinche - Vulmix à 20 h > Dimanche 18 Concert de violoncelle Salle des fêtes à 20 h 15 > Mardi 20 Concert classes de violoncelle, orchestre cordes et orchestre Cadet Bellentre à 19 h 45 > Mardi 20 Soirée Troc Planète : la Suède Salle des fêtes à 20 h 30 > Samedi 24 Soirée dansante Orphée Danse Salle des fêtes à 20 h 30 > 24 et 25 2ème rassemblement Télém’Arc Arc 1950
> Mardi 3 Soirée Troc Planète : la Mauritanie Salle des fêtes à 20 h 30 > 5 et 6 Grand Prix International FIS Elite Géant et slalom Hommes - Arc 1800 > Samedi 7 Course aux oeufs de Pâques chalet Club loisirs à 15 h > Samedi 7 Concert de Pâques par l’Harmonie d'Echo du Saint-Bernard - Salle des fêtes à 20 h 30
> 7 et 8 Montain Riders Respect Festival : Sensibilisation à l’environnement avec expositions, conférences, concerts contest snowboard - Arc 1800
MARS > Dimanche 4 Slalom des vétérans - Arc 1800 > Mardi 6 A.G Troc Planète – Salle Galaxie à 19 h > Jeudi 8 Conférence et Concert de jazz Salle des fêtes à 20 h 30 > Du 10 au 12 Championnat de France de KL « Mémorial Marco Salvagio » Arc 2000 > Du 13 au 16 Speed Flying Pro Evénement international rassemblant ski, snowboard, parapente et parachutisme Les Arcs
Photo : O.M. Gambier
> 27 et 28 Gala de gymnastique des Eterlous Gymnase du Collège samedi à partir de 17 h 30 dimanche à partir de 14 h
AVRIL
Activités du lundi 19 Février au vendredi 2 Mars : stage de ski et surf pour débutant et non débutant, stage trappeur et multi glisses. Renseignements et inscriptions au Service des sports : 04 79 07 56 31
Photo : La belle fente
> Dimanche 21 Trace de Vaugel Départ de Vulmix à 8 h 30
Vacances scolaires de Février au Club Loisirs :
> Du 28 au 29 Compétition de freestyle snowboard Arc 1800
> Du 24 au 31 Les Hors Piste du CNAC - Arc 1600 > Dimanche 25 Thé dansant – Salle des fêtes à 14 h > Mardi 27 Don du sang – Salle des fêtes à partir de 7 h 30 > Mardi 27 Concert de l’Ecole de musique Tignes à 19 h 15 > 27 mars « Baroque des villes, baroque des champs » Vidéo conférence Médiathèque à 20 h 30
> Du 7 au 9 Red Rock Cup Compétition de ski de vitesse - Arc 2000 > Du 10 au 15 Mondial Pro Ski de vitesse Arc 2000 > Mardi 10 Concert de l’Ecole de musique Hauteville Gondon à 19 h 45 > Dimanche 15 Portes ouvertes du club des aînés ruraux - Salle des fêtes de 10 h à 18 h
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GROS PLAN
GROS PLAN
Par Tristan Martinet • Photo : Mairie
Par Christine Clément • Photos : Mairie
Les mains dans le cambouis et la clé de 12 ! Le « garage » est l’un des cinq services qui compose le Centre Technique Municipal. Sous l’autorité de Daniel Bataille, il regroupe trois mécaniciens. Mais quel est exactement son rôle ? es mécaniciens du garage municipal ont la délicate mission de suivre un parc automobiles en constante évolution. En effet, ils veillent au suivi et à l’entretien de plus d’une centaine de véhicules de tous types : des véhicules légers aux poids lourds, en passant par les engins de chantiers comme les chargeuses et les mini-pelleteuses. S’ajoutent à cette liste tous les engins à moteurs de la collectivité tels que les débroussailleuses, les tondeuses et les tronçonneuses.
L
C’est finalement plus de deux cents moteurs qu’il faut régulièrement entretenir et parfois réparer. Ce service est en réalité au cœur du fonctionnement de la commune puisqu’il gère le matériel utilisé par la voirie, les espaces verts, le déneigement mais aussi par tous les autres services qui ont besoin quotidiennement ou épisodiquement d’un véhicule. Loin d’être suréquipé, le garage est obligé de travailler en permanence dans l’urgence pour remettre en état des véhicules qui sont indispensables et qui ne peuvent pas être remplacés par un autre. Les maîtres mots de cette équipe sont : la réactivité, l’ingéniosité et la polyvalence.
La présidente de « Loisirs et Amitié » cède sa place, à regret, pour des raisons de santé. Nous avons fait le point avec elle de ces quatre années de mandat.
une bien jolie ex-présidente
Loisirs et Amitié : la présidente passe le flambeau ichelle OLLIVIER découvre Bourg-St-Maurice en 1984 et s’y installe en 1997, avec son mari, après une belle carrière de secrétaire de direction. Très vite elle s’inscrit dans la vie associative boraine, s’initie au ski de se fond, crée un réseau d’amis et rejoint l’association « Loisirs et Amitié ». Elle en devient la présidente en 2002, prenant la suite de Georgette GilbertCollet, dont on salue la nature généreuse et l’action efficace menée au sein du club. Avec son aide précieuse, et tout en maintenant une certaine tradition, Michelle reprend le flambeau, insuffle son dynamisme et apporte sa touche personnelle.
M
La fonction est difficile. Même s’il n’y paraît pas, être présidente d’un club riche de 92 adhérents n’est pas une tâche aisée. Mais elle se laisse vite prendre au jeu et se lance dans cette nouvelle aventure. Rapidement elle modernise les traditionnels rendez-vous du jeudi et n’a de cesse, avec son allant coutumier, de proposer les animations les plus diverses, propres à laisser de beaux souvenirs : repas, carnaval, danse, semaine bleue. Même les beloteurs acharnés tombent sous son charme… Son indéfectible énergie lui fait dénicher « la Sortie » qui plaira à tous, bravant les réticences de chacun : Fête des Citrons, Bourgogne gastronomique, gorges du Cerdon, croisière sur le lac d’Annecy… Elle révèle ainsi l’âme voyageuse de nombreux membres du club. C’est donc avec beaucoup de regrets que Michelle se retire aujourd’hui. Elle tient à rendre hommage à tous ceux qui l’on si gentiment aidée et soutenue tout au long de ces années, ainsi qu’à l’équipe du bureau avec laquelle elle a eu tant de plaisir à travailler. A l’aube de 2007 elle passe le relais à Lucien PERE, dont elle reste proche et qui sait pouvoir compter sur elle. Nous lui souhaitons bon vent pour la suite. Lucien Père, nouveau président de « Loisirs et Amitié »
De gauche à droite : Daniel Bataille, Loïc Arnaud, Guy Collomb et Teddy Laurency
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CONSEILS MUNICIPAUX Par Giselle Tissot
Séance du 23 octobre 20 0 6 Conseil municipal : • Approbation des statuts de la Maison de l’Intercommunalité de Haute-Tarentaise à effet du 1er janvier 2007.
Affaires budgetaires et financières :
• 3 emplois aux équipements sportifs des Arcs, • 8 agents de surveillance à la police municipale, • 3 emplois pour le déneigement des trottoirs et des containers semi enterrés au service technique du chef lieu, • 3 emplois au service public des agences postales d’Arcs 1600 & 2000 • 4 agents d’entretien au service technique des Arcs.
• Approbation du budget supplémentaire principal et des budgets annexes des remontées mécaniques, des parkings des Arcs, des forêts et des locaux aménagés pour 2006.
Séance du 11 décembre 200 6
Marchés publics :
Opérations d’investissements : Demandes de subventions auprès du Centre National du Cinéma, de la Région et du Conseil général pour l’acquisition des murs nus d’un complexe cinématographique de 3 salles s’élevant à la somme de 1 045 310 € HT.
Avenant au marché des travaux de protection du village de Petit Gondon, plus 21.9 %, soit 128 996.79 € TTC ; • Attribution des marchés des travaux : Pour la réalisation du parking à l’air libre avec barrières de péages à Arc 1800 et Arc 2000 : • Lot n° 1 à la Sté Eurovia pour 222 955.03 € TTC, • Lot n° 2 à la Sté ACS pour 249 321.75 € TTC ; Pour la mise en séparatif des réseaux du quartier de la gare, à la Sté Spie Batignoles Environnement, pour 345 128.23 € TTC.
Urbanisme : > Demande d’ouverture d’une enquête publique et parcellaire pour la réalisation du lotissement d’Hauteville Gondon sur la zone IAUc.
Séance du 13 novembre 200 6 Urbanisme : • Projet de voie de secours entre les Arcs et Vallandry, organisation d’une quatrième concertation préalable pour la solution « piste forestière à gabarit réduit » • Création d’une zone agricole protégée sur la commune ; • Autorisation à la société MGM de déposer une demande de permis de construire sur les terrains communaux du réservoir SNCF et de l’ancienne carrosserie Pezet.
Affaires foncières et agricoles : > Acquisition à la société MGM, de la partie du complexe comprenant trois salles de cinéma et un bowling au prix de 2 000 000 €. > Vente des parcelles de terrain au centre ville à la société MGM (section NP n° 442, 443, 444, 445 e 598) au prix de 400 € le m2, soit un total de 456 000 euros. > Aide à la construction d’un bâtiment d’élevage de bovins de 23 040 € attribuée à Melle Gaëlle Tétu agricultrice aux Echines dessus. > Approbation de la convention de mise à disposition des murs de l’ancienne gare amont du téléphérique à l’association Esprit des Arcs.
Urbanisme : Demande d’enquête publique pour le déclassement et le classement dans le domaine public communal de divers chemins sur l’ensemble de la commune.
Affaires foncières et agricoles : > Approbation de la cession gratuite par le CCAS à la commune de 4 chapelles et de 8 parcelles de terrain dont l’entretien est déjà assuré depuis de nombreuses années par la commune. > Acquisition à l’OPAC de la parcelle NP 72 « aux Glières sous Bourg » pour la somme de 11 866,86 €. > Approbation de la convention avec l’association « les Croqueurs de pommes » pour la reconstruction du verger au Saint-Panthaléon.
Domaine skiable : > Attribution du marché de services relatif aux secours sanitaires héliportés sur pistes à la société SAF Hélicoptères, au tarif de 45 € la minute de vol. > Fixation des différents tarifs de secours sur pistes applicables pour la saison hiver 2006 / 2007.
Personnel communal : Institution des indemnités d’astreinte applicables à la fonction publique territoriale. Décisions municipales : > Contrat pour les travaux d’aménagement du parc de l’Arbonne avec la sté Cholat Jardins – 73000 Chambéry pour un montant de 212 128.77 € TTC ; > Contrat pour la mise en place de caméras vidéo dans les parkings des Arcs avec SRP - 54420 Saulxures les Nancy pour un montant de 69 318,96 € TTC ; > Marché pour travaux de démolition, charpente, couverture et bardage nécessaires à la réfection de la gaine de l’ascenseur « Dynatron » à Arc 2000 avec la sté A.C.M.C. – 26402 Crest pour un montant de 188 743,75 € TTC.
Personnel communal : Recrutement des personnels saisonniers (à temps complet) : • 1 agent d’animation à la maison des saisonniers, • 16 emplois aux parkings municipaux des Arcs 1800 & 2000,
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Nous vous rappelons que les comptes-rendus exaustifs des délibérations du conseil municipal, édités trimestriellement, sont disponibles au bureau de l’état civil de la mairie, rue Desserteaux et, après chaque réunion, sur le site internet communal www.bourgsaintmaurice.fr (rubrique La mairie/comptes rendus du conseil municipal)
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NATURE Par Rosette Vallat • Photos : Robert Talbot
Régulièrement, certains s'inquiètent de la santé des forêts. Un nom revient souvent : le « bostryche ». Menace-t-il réellement les forêts de Tarentaise ?
Détails laissés par le « typographe »
Vous avez dit « bostryche » ?
Qu’est-ce que le bostryche ? Le bostryche est un petit coléoptère de la famille des Scolytes, appelé aussi « ips typographe ». Il attaque la partie vitale des arbres, située juste sous l'écorce où circule la sève et où se reproduisent les cellules assurant la croissance. Les adultes pondent au printemps. Ensuite, les larves creusent des galeries qui interrompent la circulation de la sève. La mort de l'arbre intervient en quelques mois. Au dessous de 1200 m, on peut observer deux cycles de reproduction par an, avec une autre infestation en fin d'été. Bien qu'il puisse attaquer d'autres conifères, l'ips typographe est particulièrement friand d'épicéa, l'essence dominante des forêts de Tarentaise.
Le rôle de l’homme dans le cycle de la forêt Pour que le cycle d’une forêt s’accomplisse, il faut que les vieux arbres laissent la place aux jeunes. Seuls, les individus dominants peuvent espérer atteindre la durée de vie maximum (300 ans pour l'épicéa). Dans son fonctionnement naturel, les événements climatiques rythment le
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renouvellement de la forêt. Le vent, la neige, la sécheresse affaiblissent certains arbres. Des champignons et des insectes (comme le bostryche) terminent le travail. La pollution due aux activités humaines peut être aussi responsable du dépérissement, comme les pluies acides en Europe centrale et les rejets de fluor par les usines de Maurienne. Le salage des chaussées en hiver provoque le dessèchement de nombreux arbres. Dans les forêts cultivées, les forestiers s'efforcent de couper les arbres avant leur mort naturelle, pour récolter du bois sain et contrôler leur renouvellement. Il doit être le moins possible tributaire des caprices de la nature car les forêts ont un rôle important de protection contre les avalanches ou les chutes de pierres. Les coupes sont effectuées en moyenne tous les 15 à 20 ans, la plupart des arbres abattus avant 200 ans.
Une menace faible pour les forêts d’altitude A cause de la sécheresse de l'été 2003, les arbres ont subi un stress hydrique qui les a fragilisés. Les épicéas plantés à basse altitude, donc en dehors de leur habitat naturel, ont été la proie des scolytes (bas du département).
En Haute-Tarentaise, où l'épicéa est bien à sa place, la mortalité de ces dernières années n'a rien d'exceptionnel. Sur les 300 000 arbres de la forêt communale de Bourg-Saint-Maurice, seuls moins d’un pour mille ont été touchés par le bostryche, en 2006.
Les mesures à prendre en cas de sècheresse d’un épicéa Dans les forêts, la présence d'arbres secs est un facteur de diversité : les insectes qui s'y développent sont une source de nourriture pour de nombreux oiseaux et, en particulier, les pics. Si on cherche à produire du bois, il vaut mieux évacuer le plus rapidement possible les arbres dépérissants, afin d'éviter la prolifération d'insectes qui s'attaqueraient aux arbres voisins. Mais, lorsqu'un arbre est sec, les scolytes
Un épicéa attaqué par le bostryche
sont en général déjà partis travailler ailleurs. Par précaution, il est recommandé d'écorcer le tronc car les larves ne supportent pas d’être en pleine lumière. Sauf en cas de forte infestation, l’incinération ne s’impose pas. Extrait du texte de Robert Talbot, technicien à l'ONF - octobre 2006
Halte aux actes inciviques ! Mi-novembre, trois utilis ateurs de motos sont arrivés à proximité du lac Esola (site des Cinq Lacs) , en dépit de la neige et en imprimant leurs traces depuis le Fort 2000. Ils ont franchi plusieurs foi s le ruisseau de la Forclaz qu i, à cet endroit, est une zon de frayères. Elles abritaie e nt les œufs de la reproduct Saumons de Fontaine (p ion de opulation mono spécifiqu e de ce cours d’eau). De plus, ces motoc yclistes ont quitté diffic ilement le vallon, en labourant avec leurs en gins, le versant. Ces perso nnes se sont comportées comme des vandales, au même titre que ceux qui parfois sévissent en ville. Ils jettent également le discrédit sur l’ensemble des pratiquants de cette activité. La loi du 3 Janvier 1991 , aujourd’hui codifiée da ns le Code de l’Environnement pose les principes suivants : • La circulation des véhicu les terrestres à moteurs en dehors des voies ouvertes à la circulation est interdite (Article L.362- 1). Lorsque la voie présente un aspect car rossable accessible à des véhicules de tourisme, non spécialemen t adaptés au « tout terrain », il est présumé ouvert. • Le hors piste est donc str ictement prohibé. • Le maire ou le préfet pe uvent réglementer la circula tion sur certaines voies ou sur cer tains chemins normaleme nt ouverts à la circulation publique, ou dan s des secteurs de la commu ne, pour protéger certains espaces naturels remarquables (Ar ticle 2213-4 du code général des collectiv ités territoriales). Un arrêté municipal a été pris en juillet à cet effet.
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SOCIAL
VERSANT D’HAUTEVILLE
Par Christine Thévenin • Photo : Mairie
Par Rosette Vallat • Photo : Rosette Vallat
C.N.L. Bourg Saint Maurice : une Amicale à votre écoute
Comité des Fêtes, Créée en 1980, l’Amicale C.N.L. (confédération Nationale du Logement) de Bourg-Saint-Maurice est aujourd’hui présidée par Danielle Montis qui ne ménage pas ses peines pour défendre les intérêts des locataires et des accédants à la propriété. Nous souhaitions faire mieux connaître cette association.
le temps des changements Lors de l’Assemblée générale du 24 novembre 2006, le président Martial Mousselard a remis sa démission. Il cède la place à André AstierPerret. Petit bilan de 14 années d’actions et de développement créatifs.
Que vous rencontriez un problème de loyer, de charges locatives, de copropriété ou de consommation (eau, électricité, chauffage…), il y a en principe une réponse CNL. Etre adhérent CNL, c’est avoir une aide dans les démarches et profiter du service gratuit de conciliation avec les bailleurs, c’est aussi bénéficier de l’abonnement au journal mensuel « logement et famille ».
ès 1994, sous l’impulsion de Martial, les bénéfices de la Fête de la Terre permirent d’acheter du matériel divers : tables, chaises, vaisselle, chaudières et un chapiteau. Très vite, il entreprit de doter le Comité de locaux spacieux. Ce fut la grande aventure du « Sétor ». Grâce aux bénévoles, aux Anciens du village et à la commune, les vieilles caves situées sous l’école furent transformées en salles de réunion et de rangement, chaleureuses et bien conçues, inaugurées le 16 janvier 1996. Le « Sétor » a incontestablement apporté une dimension nouvelle aux diverses manifestations, surtout à la Fête de la Terre qui a célébré son 60e anniversaire, grâce à une soixantaine de bénévoles, en 2006 ! L’autre grande satisfaction de Martial est d’avoir organisé des voyages : sorties d’un jour, pour visiter la région, et grands voyages à la découverte de pays lointains (Italie, Tunisie, Corse, Crête, Sicile, Sardaigne, Maroc). Pour beaucoup, ce fut le baptême des gondoles, de l’avion, de grands bateaux !
En ce moment, le bureau CNL local traite une vingtaine de dossiers en liaison avec l’O.P.A.C. qui vont de la réfection des balcons à la mise aux normes des ascenseurs dans les immeubles. Cette Amicale de bénévoles est un relais actif et efficace, notamment en matière d’amélioration des conditions de vie dans les immeubles.
« …Mes craintes : l’espace restreint pour le bon déroulement de la Fête de la Terre. Après quatorze années d’activité au Comité des Fêtes, je remercie
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Adresse du local : Tetra-Lyre A2 541 Avenue de l’Arc en Ciel Tél/répondeur : 04 79 04 21 30 Permanences : mardi et vendredi de 14h à 17 h
Danielle Montis entourée des membres du bureau, en présence d’Yvan Impérial, Responsable O.P.A.C. du secteur
résente dans tous les départements, la C.N.L. est la plus ancienne et la plus importante des organisations de locataires et de copropriétaires. A Bourg-St-Maurice, une antenne existe depuis plus de 20 ans et Danielle Montis en est la 4è présidente. Elle est aussi trésorière du bureau fédéral de Savoie. Les domaines d’action de cette équipe sont des plus vastes, et elle bénéficie de l’assistance de la Fédération située à Chambéry. Historiquement, la plupart des dossiers relèvent de l’OPAC avec laquelle il existe des relations très régulières, mais l’Amicale locale est en mesure d’apporter son concours à tout autre locataire ou accédant à la propriété.
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Un grand merci à Martial pour sa longue implication et bonne chance au nouveau président et à son équipe !
mon épouse et toutes les personnes qui m’ont aidé dans ma tâche. Un nouveau bureau, et donc un nouveau président, vont, dans de bonnes conditions, assurer la continuité …» Le nouveau président, André AstierPerret, est né à Macôt en 1941. Marié NOUVEAU COMITÉ DES FÊTES D’HAUTEVILLE GONDON Président : André Astier-Perret Vice-président : Michel Poncet Secrétaire : Béatrice Poncet Secrétaire adjointe : Marie Laure Rollier Trésorière : Catherine Collomb Trésorier adjoint : Bernard Mohr Relations services techniques : Guy Collomb Conseil administration-matériel : Juliette et Marc Romanet, Guy Collomb Commissaires aux comptes : Martine et Henry Chavoutier Gardien du Sétor et des clés : Robert Mohr
à une Tavelaise de vieille souche, il s’est installé à Hauteville Gondon en 1970, partageant sa vie professionnelle entre le monitorat de ski à Montchavin et son entreprise de carrelage. Désormais à la retraite, il aura à cœur de faire vivre le comité et de trouver des solutions aux problèmes existants. Il tient avant tout à continuer la tradition de la Fête de la Terre. Autour d’un bon pot au feu, toute l’équipe a déjà réfléchi au thème de la prochaine… hiver 2007 • Le P’tit Borain
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VERSANT D’HAUTEVILLE Par Martine Vert • Photos : Mairie
A B B E R L E Y H A LL S E D É C E N T R A LI S E Les collégiens d’ Abberley Hall dans leur classe au Biollaton
L’école se situe au centre de l’ancienne maison Berthollet rénovée
A Hauteville-Gondon, il existe une école atypique pour des enfants anglais privilégiés. Ils ont en effet la chance d’allier l’utile et l’agréable pour l’apprentissage de notre langue. Nous leur avons rendu une petite visite… uste avant d’arriver au cheflieu, au hameau du Biollaton, se tient, sur la droite, une belle maison restaurée qui abrite, dans sa partie centrale,des classes transplantées peu banales. A la fin de l’année 2002, à l’initiative de Mme Howell, professeur de Français au collège d’Abberley Hall, la direction de ce dernier décida d’acheter une partie d’un chalet de 250 m2 afin de permettre à des collégiens anglais de découvrir nos montagnes. Les enfants ont entre 8 et 13 ans et
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la durée du séjour est de 20 jours. M. et Mme Howell, qui résident à Bourg St Maurice, supervisent ces classes et ils sont généralement aidés par deux professeurs du collège d’Abberley. Un programme varié, concocté par ce couple dynamique, est offert aux enfants anglais : • 8 h : réveil et petit déjeuner français • 9 h : début des cours avec, au programme, du français, des sciences, des mathématiques… les cours variant en fonction des professeurs accompagnants
• 13 h : repas préparé par tous ; • 14 h : programme sportif sous la houlette de M Howell avec VTT, balade, raquettes à neige et luge quand la neige est là… • 17 h : reprise des cours • 19 h : dîner qui permet de parler de la journée et cela tout en français bien évidemment ! La soirée se termine avec des jeux Mme Howell donne la leçon
de société ou la lecture de magazines français. Le séjour est ponctué par de nombreuses visites : chapelles, musée de la pomme, col du Petit St-Bernard… Quelques villages typiques comme Bonneval, le Monal ou Bessans sont aussi au programme. Les enfants dessinent beaucoup et parlent de leur visites et découvertes à travers un journal en français rédigé au quotidien. En outre, chacun participe aux travaux ménagers. Évidemment, ils gardent tous un souvenir impérissable de leur séjour et beaucoup reviennent chez nous avec leurs parents. M. et Mme Howell font un travail remarquable, ils sont passionnés et transmettent avec énergie toutes leurs connaissances sur la culture locale et leur amour pour nos montagnes. Une expérience singulière que nous souhaitions mettre en lumière ! hiver 2007 • Le P’tit Borain
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VERSANT D’HAUTEVILLE
LES ARCS
Par Damien Perry & Jacqueline Gueltas • Photos : Mairie
Par Damien Perry & Jacqueline Gueltas • Photos : C. Augé
Le chef-lieu, objet de toutes nos attentions
En 2006, les efforts de la municipalité s e sont concentrés autour d e l ’ é g l i s e et du monument a u x M o r t s. installation du chauffage à air pulsé apporte un grand confort dans l’église dont les alentours sont réhabilités : les croix en pierre reposées et le mur d’enceinte remonté à l’identique avec un soin remarquable. Une grille en fer forgé entoure désormais le monument aux Morts, reprenant les formes originelles et la couleur du perron de l’ancienne mairie. Elle met en valeur le monument, tout en protégeant les enfants. Une barrière en bois ferme désormais la cour de la cantine scolaire, et les conteneurs ont été habillés. Ces travaux apportent sur la place de la mairie et autour de l’église Saint-Martin sécurité et qualité environnementale.
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LE FESTIVAL DES ARCS, à la rencontre des habitants de Bourg-Saint-Maurice Un des plus anciens festivals de France - 35 ans - mais aussi un des plus jeunes ! Son dynamisme, son style décontracté, rompent avec l’image traditionnelle de la musique classique. Place au naturel, au plaisir, à la rencontre avec la musique… e Festival des Arcs, c’est la volonté d’être accessible en programmant plus d’une trentaine de concerts gratuits avec une soixantaine d’artistes de renommée internationale chaque été en juillet. Le Festival des Arcs, c’est aussi un pôle de formation musicale de haut niveau avec 120 jeunes musiciens. Ces cours sont reconnus dans le monde entier. Ils ont permis de découvrir de grands talents comme le violoniste français et savoyard Renaud Capuçon. Du chant à l’accordéon, du quatuor à la guitare, du violon au clavecin, plus d’une vingtaine de
L
disciplines sont enseignées par de grands artistes. Le développement des deux départements créés en 2006 (musique baroque et préparation aux concours d’orchestres), et la création en 2007 d’un concours pour quatuor à cordes, permettront d’étoffer encore l’offre et la qualité pédagogiques. En suivant l’exemple de certaines grandes Académies américaines telles Banff ou Marlboro, le Festival des Arcs et son Académie comptent aujourd’hui parmi les plus grands rendez-vous musicaux internationaux. Cette année, le Festival des Arcs viendra à la rencontre des Borains. A ne pas manquer : autour du 20 juillet, un concert à l’église d’Hauteville-Gondon, ainsi qu’une grande soirée au centre Bernard Taillefer, en co-production avec notre Ecole de musique et notre Harmonie. A noter qu’une aubade sera organisée pour nos anciens à la maison de retraite. Des actions pédagogiques en milieu scolaire au mois de juin au collège Saint-Exupéry permettront aussi aux plus jeunes de découvrir la musique de manière ludique. Du 15 au 30 juillet, l’été 2007 sera musical et harmonieux, réservez vos dates !
PETITS SABLÉS AUX NOIX > 250 g de farine complète ou blanche > 125 g de beurre > 120 g de sucre complet (si possible) > 1 oeuf entier > 1 pincée de sel > 1 cuillère à café rase de levure chimique > 1 bol de noix ou noisettes ou amandes ou pépites de chocolat Mélanger le beurre ramolli avec le sucre et le sel, ajouter l'oeuf, la farine et la levure. Pétrir légèrement et ajouter les noix ou autres ingrédients au choix. Former deux petits boudins d'environ 4-5 cm de diamètre. Les garder au frais dans un papier aluminium au minimum 2 heures. Découper les boudins en rondelles d'1 cm d'épaisseur. Faire cuire sur une plaque à four 180° (ou 6) une dizaine de minute (à surveiller)
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LES ARCS
BON À SAVOIR
Par D. Perry & J. Gueltas • Photos : P. Fragnol / Piterak
Par Christine Thévenin
23 ans après Apocalypse Snow 1, Didier Lafond remet en scène, à travers ce film, « le génie de la glisse » sur les pentes des Arcs
«
Premières scènes tournées dans le Centre Bernard Taillefer
»
APOCALYPSE SNOW LE RETOUR
L’heure est grave, Régis Rolland, le pionnier du snowboard en Europe, s’est fait dérober le secret de la glisse. Les meilleurs riders de la planète, toutes disciplines confondues, sont convoqués pour traquer le voleur… Réalisé et imaginé par Didier Lafond, ce film de 26 minutes sortira en DVD pour Noël 2007, il sera accompagné d’un bonus de 52 minutes réalisé par Gilles Chappaz. «Apocalypse Snow le Retour» fait suite à la cultissime trilogie des Apocalypse Snow qui a contribué à lancer le snowboard en Europe notamment
grâce à Régis Rolland. Pour Didier, qui avait tourné le premier Apocalypse Snow, 23 ans plus tôt, l’enjeu est de taille : ne tolérant que l’excellence, il a choisi de tourner ce quatrième opus en haute définition, un format révolutionnaire qui vous plongera au cœur de l’action. Et quoi de mieux que les Arcs, station où toute l’histoire des Apocalypse Snow a commencé… Ouvrez l’œil, des courses-poursuites d’anthologie avec le gratin du snowboard et du ski sont prévues sur le domaine des Arcs pendant l’hiver, lors du tournage. Tout savoir sur le film : www.apocalypsesnowleretour.com
Quelques uns des pionniers des premiers «Apocalypse Snow». Ils étaient alors les meilleurs snowboarders et monoskieurs au monde. De gauche à droite : Pierre BEGUIN, Alain DIDIERJEAN, Jean-Yves PERRY, Régis ROLLAND, Claudie BLANC, James BLANC, Lino ORTUNO.
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Bourg-St-Maurice Freecycle® vient de naître. Il vous permet de donner vos vieux objets via Internet plutôt que de les jeter à la déchetterie.
Recycler... ...c’est gagner ! BSMFreecycle s'adresse aux personnes de Bourg-SaintMaurice et de HauteTarentaise qui préfèrent «recycler» les objets plutôt que de les mettre à la poubelle. Si vous avez une vieille porte, une chaise, un fax ou 100 kilos de briques qui vous embarrassent, un email à BSMFreecycle et vous saurez si cela intéresse quelqu'un. Mais peut-être êtes vous, vous-même à la recherche de quelque chose ? Pour vous inscrire, rendez-vous sur : http://fr.groups.yahoo.com/group/ BSMFreecycle/ Le principe : tout est gratuit. Le but : alléger les décharges municipales. Le moyen : un email envoyé à un réseau local de membres. Ce groupe est membre du Freecycle Network, un organisme à but non lucratif qui rassemble des gens qui souhaitent empêcher que des objets parfaitement utiles viennent encombrer les décharges. Le réseau mondial Freecycle est constitué d'une multitude de groupes à travers le globe. Il s'agit d'un mouvement basique de personnes qui offrent (et récupèrent) des objets gratuitement dans la ville où ils habitent (et aux alentours). Les groupes Freecycle mettent en relation des personnes qui souhaitent se débarrasser d'objets qui les encom-
brent avec des personnes qui en ont besoin. Notre but est de libérer les espaces naturels d'objets abandonnés bien qu'encore utiles. En utilisant ce que nous avons déjà sur cette planète, nous réduisons le consumérisme à outrance, la production de masse, et en réduisons l'impact nocif sur la planète. Un autre avantage à utiliser Freecycle est qu'il nous incite à nous défaire d'acquisitions compulsives dont nous n'avons plus usage et encourage chacun à adopter une attitude communautaire. Freecycle : comment ça marche ? Tout élément proposé doit être gratuit, légal et convenant à tous les âges. Lorsque vous souhaitez OFFRIR quelque chose, il vous suffit simplement d'envoyer un message à votre groupe. Ensuite c'est au donneur de décider à qui il remettra l'objet à partir des réponses qu'il aura reçues et de convenir avec lui d'un rendez-vous pour venir le retirer. Une fois le don terminé, il ne reste plus au donneur qu'à envoyer au groupe un message PARTI. Vous recherchez peut être quelque chose pour vous-même? Il vous suffit d'envoyer un message CHERCHE et il se pourrait bien qu'un membre du groupe souhaite précisément se débarrasser de ce que vous recherchez. Informez-en alors le groupe par un message REÇU. Merci à Jacques Calop pour cette initiative originale ! hiver 2007 • Le P’tit Borain
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BON À SAVOIR Par Gérard Vernay • Photo : Jean-Luc Traïni
Le Plan Communal de Sauvegarde (P.C.S.) Dans le cadre de la loi de modernisation de la Sécurité Civile (n°2004-811 du 13 août 2004), les communes dites « à risques » doivent mettre en place un Plan communal de sauvegarde. Celui-ci prévoit, en cas de situation de crise à caractère naturel ou accidentel, la mise en oeuvre de moyens spécifiques d'information, de protection, d'accompagnement et de soutien à la population. Bourg Saint Maurice, divers risques ont été identifiés et des dispositions spécifiques ont été mises en place concernant : l’hébergement d’urgence, les catastrophes naturelles (coulées de boues, crues torrentielles…) pour lesquelles un plan de prévention des risques naturels prévisibles a été publié par arrêté préfectoral du 3 novembre 2004 et pris en compte dans le P.L.U., le plan canicule, le plan de distribution de pastille d’iode, les risques industriels (barrage de Tignes, piste de bobsleigh de la Plagne, usine de Pomblière classée SEVESO), les pandémies, les feux de forêt (un important feu de forêt a eu lieu en août 2003 à Champagny)… Dans un passé récent, la commune a été frappée par des événements qui ont nécessité la mobilisation de tous : crue de l’Arbonne en juillet 1996, crue du saint Panthaléon en octobre 2000, crue aux Chapieux en juin 2003, plan d’hébergement d’urgence
À
en mars 2006 (4 000 personnes logées en deux jours). C’est à ce moment là que l’on mesure l’efficacité d’une organisation et tout gain de temps peut permettre de sauver des vies. Les rôles sont clairs : le Maire est chargé de l’information, de la prévention et de la sauvegarde des biens et des personnes. Les Sapeurs-Pompiers restent seuls responsables des secours proprement dits. Mais il est évident qu’une bonne procédure d’alerte permet de réduire le nombre de personnes à secourir dans l’urgence. Pour l’information de la population, un document appelé Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) sera bientôt disponible sur le site internet communal, www.bourgsaintmaurice.fr, rubrique « plan communal de sauvegarde », et, sous forme papier en mairie sur demande.
LES MISSIONS DU P.C.S > Regrouper l'ensemble des éléments nécessaires à l'information et à la protection de la population. > Recenser les moyens disponibles pour la sauvegarde, la protection et l'accompagnement des personnes. > Assurer la permanence du fonctionnement des services publics en mettant en oeuvre des actions autonomes mais coordonnées. En cas de besoin, le plan prévoit la mise en place d'une cellule de crise dirigée par le Maire ou l'un de ses adjoints et chargée de pourvoir aux mesures immédiates de sauvegarde des personnes et des biens. Un dispositif d'alerte est mis en place.
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Lorsque l'Arbonne se déchaîne !
La cellule de crise La cellule de crise élabore la stratégie générale de conduite des opérations et pilote toutes les phases opérationnelles. Elle est basée en mairie et regroupe les élus et responsables administratifs et techniques. Un organigramme de crise est établi et affecte des tâches précises à différents membres du personnel communal (logistique, transport, hébergement, communication, police, remise en état, etc.). Par exemple, ce ne sont pas moins de 69 agents communaux qui ont été mobilisés le week-end des 4 et 5 mars 2006 lors de l’activation du plan d’hébergement d’urgence.
Le PCS, un plan citoyen Afin qu’il soit efficace, le PCS requiert la participation de la population et, notamment, des décideurs et personnes ressources. La loi « sécurité civile » prévoit la création d’une réserve communale de sécurité civile, pratique qui n’est pas inconnue à Bourg-Saint-Maurice puisque de nombreux bénévoles aident la commune lors d’événements, la plupart du temps festifs heureusement, tels que les compétitions sportives. D’autre part, afin de permettre une meilleure efficacité, des listes doivent figurer dans ce plan, listes dont l’usage restera bien sûr confidentiel,
c’est-à-dire limité à la cellule de crise composée de M le Maire, de ses adjoints et de l’encadrement : • liste des personnes à mobilité réduite • liste des résidents secondaires • liste des habitations isolées • liste des élus et du personnel • liste des associations locales • liste des commerçants locaux • liste des artisans et entreprises • liste des agriculteurs • liste des réservistes • liste des personnes ressources possédant une qualification intéressante dans le cadre d’une gestion de crise • liste des personnes, véhicules, matériels et engins susceptibles d’être réquisitionnés • liste des moyens d’hébergement et de ravitaillement… Le dossier fera bien sûr l’objet d’une déclaration à la C.N.I.L. (Commission Nationale Informatique et Libertés) Vous pouvez vous procurer les documents suivants au Secrétariat Général de la mairie (1er étage) ou les télécharger (prochainement) sur le site internet : • la fiche d’inscription sur la liste des personnes à évacuer (enfants en bas âge ou personnes âgées ou à mobilité réduite) • la fiche de candidature pour la réserve communale de sécurité civile.
Nul ne peut être contraint d’accepter de communiquer des données personnelles. C’est donc sur la base du volontariat et donc d’une participation citoyenne que le PCS pourra être mis en œuvre. hiver 2007 • Le P’tit Borain
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BON À SAVOIR
EXPRESSION LIBRE
Par Christine Thévenin
POÈTES EN HERBE • Par Christine Thévenin • Photo : Mairie
Afin de développer l’éco-voiturage l’association « Changeons la Terre, Chantons la Vie » a pris des mesures concrètes et pratiques.
Eco-voiturage : une initiative locale à saluer ! es polluants émis par les voitures sont en grande partie responsables du réchauffement de la planète. Cela engendre des bouleversements climatiques importants (augmentation des périodes de canicules, multiplication des inondations et des périodes de sécheresse), des pertes agricoles notables, des baisses du niveau de l'eau à certains endroits ainsi que l'augmentation du nombre d'incendies. Saviez-vous que chaque personne produit en moyenne un peu plus de cinq tonnes d'émissions de gaz à effet de serre par année ? Et que la majorité - soit environ la moitié - viennent des transports ? En diminuant de 10 % l'utilisation d'un véhicule en marchant, en faisant du vélo, en adoptant le covoiturage ou en empruntant le transport en commun, on peut réduire les émissions de gaz à effet de serre de 0,2 à 0,8 tonne par année, selon le véhicule. C’est dans cet esprit que l’association « Changeons la Terre, Chantons la Vie » a souhaité se mobiliser en créant un logo pour favoriser une mise en relation de saisonniers empruntant le même trajet. Ce logo indique que vous êtes prêts à covoiturer, soit en tant que conducteur, soit en tant que passager, et à partager les frais. C’est un simple signe de reconnaissance (auto-collant sur la voiture et panneau pour le passager). La participation à éco-voiturage est libre de toutes contraintes : pas d’inscription auprès de l’association, il suffit de vous procurer le logo. Deux bornes seront prochainement installées sur la commune : la première sera située vers le pont de Montrigon et la seconde à côté des tribunes du stade de foot. Pour tous renseignements ou commande : contacter le 04 79 00 41 46
L
NO U V E A U X HOR A IR E S DU F U NIC U L A IR E Pour permettre à un nombre plus grand de personnes d’emprunter le funiculaire le soir, et de limiter ainsi l’usage des voitures, l’amplitude horaire du funiculaire est élargie. Il fonctionnera du 16 décembre au 28 avril : du dimanche au jeudi jusqu’à 20h00 les vendredis et samedis jusqu’à 21h00.
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Elle s’appelle Mélina Blandino, elle vient d’avoir ses 15 ans et elle est en 3ème à la cité scolaire St-Exupéry. Au départ, le français n’était pas son domaine de prédilection mais, depuis 2 ans, elle s’est mise à écrire des poèmes en laissant aller son inspiration. Ainsi, elle commence à prendre goût à la matière et son imagination féconde lui a valu tout récemment de gagner un baptème de l’air en hélicoptère. En effet, dans le cadre du concours organisé par le collège au sujet du sida, son slogan* a été retenu. Derrière sa réserve naturelle se cache une réelle sensibilité qui ne demande qu’à éclore au grand jour. En publiant dans la rubrique « poètes en herbe » l’un des 13 poèmes qu’elle a composés, nous voulions la faire connaître et surtout l’encourager. * « T’as qu’à tout quitter mais pas ta capote »