Les partenaires ont eu du mal à désigner un référent unique pour le projet, complexifiant les relations et la lecture des enjeux. Le nombre de personnes impliquées sur le projet ne traduit pas nécessairement le niveau d’implication du partenaire. Des changements de personnes qui affectent le projet Une dizaine de personnes en tout ont quitté le projet (2 à Occitanie en scène, 3 au Parvis, …), et n’ont pas toujours été remplacées tout de suite, créant des moments de flottement. Les changements de poste ou arrêts maladie ont ainsi pu retarder la mise en œuvre de certaines actions, le temps que la personne soit remplacée. Les changements de personnel au sein du coordinateur semblent avoir plus affecté le fonctionnement du projet, et ont pu générer à certains moments des tensions. 4 directions ont été renouvelées chez les partenaires en cours de projet : Parvis, Circa, l’Estive et le PMAEI, ce qui a nécessité de réexpliquer le projet et ses enjeux. Comme dans n’importe quelle structure, les projets de coopération sont soumis aux mobilités des personnels. Il est essentiel d’être transparents avec les autres partenaires sur ces mouvements, et de prévoir une transmission du projet de coopération. Les changements de personnel ne devraient pas affecter le projet.
b) Les compétences mobilisées Le suivi de ce projet nécessite des compétences variées et transversales, et notamment : - Administration pour les contrats, le suivi du projet ; - Budget, suivi financier et comptable ; - Gestion de projet et compréhension du cadre européen ; - Animation de réseau et coopération dans un contexte interculturel. Plus globalement les projets de coopération font aussi appel à des softs skills comme le sens du collectif, la gestion du temps… En fonction des actions portées par les partenaires, les compétences attendues sont aussi celles qui existent au sein des structures : ProfilCulture Conseil – 46 rue Albert Thomas, 75010 Paris
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