L'Ecole primaire, 15 avril 1952

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;'/1. Darbellay René, inst.

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SION, 15 Avril 1952.

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SOMMAIRE: Nécrologie. - COMMUNICATIONS DIVERSES: Cais,s e de retraite du personnel enseignant. - Conférences des diJS;frrkts. - Choses qui font plaisir. - Le coin de la gymnastique. - Le métier c'est ce qui unit. - PARTIE PEDAGOGIQUE: La .composition française. - La R~dio à l'école.

Par suite de l'abondance des matières, nous avons dù renvoyer .p lusieurs articles au prochain numéro .

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NÉCROLOGIE

t Monsieur Gaudin Pierre Instituteur Le 1er janvier 1952, ,s 'éteignait doucement à Evolène, dans sa 90ème année, le rég.ent Pierre -Gaudin. Né . en 1862, il débuta dans l'-en.seignement à Chandolin de Savièse en 1882, diri.gea l'école françaÎ'S'e -des garçons -de BraInois de 1884 à 1891, date à -laqueJ.ll.e il échangea S'on poste avec Ml' Cas'i mir :W etz'l er pour celui d'Evnlène. C'est dans son v.i llage · qu'il dépens'a .I.e meiltl.eur -de sa vie, jusqu'en 1916. Avec ordr·e et disc1pline, il ·m 'enait une bande de 45 à 50 élèves de tous les 'degrés, H -donnait les cour.s ,c omplémentaires et las cours préparatoires au recrutement. Il avait le don de faire ap;prendre, d'entretenir palimi ses élèves une émuLrution al~dente, si bien ,q ue, durant la période dp 's on ·a.ctivité, Evolène, qui a toujours fourni un bon .cont.ingent de recrues, put figurer en 4e et 6e rang aux exam.ens pédagogiques, sur 1'-euSlemb'1e des c-ommunes de la Suisse, ainsi qu'en témoignent les tableaux ,c omparatifs publiés en son temps par Ml' X. de Coc-atrix, inslpecteur scolaire. n n 'hésitait pas à se procurer -du matéTiel d'enseignenlent primaire supérieur à l'us.a ge de s·es mei.Jleurs élèves et :l remplir av-e c eux un ,p rogramme spécial, 'leur 'a ccovdant, 's 'il le fallait.


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des heures S1upplémentaires. C'est .ainsi 'q u'il réus,s it à fair'e admettr.e à l'Etole norm'a le 'S'e pt de sas élèves sans qu'ils eussent à s e préparer spécialement d,a ns un internat. Malgré un bien maioTe traitement, '~a .consCÏoence prolfessi'Onb • ' nelle et un patriotisme ardent lui donnaIent le ,c ran, et l .a 'persevérance pour fa rrn·er , avec la bande tunbulente qu on hn confiait, des hOlTIJnleS de hien et odes ,c itoyens de valeur. Honneur à s·a mémoire et merd En dehors de son activité pédagogique, il ,e ut le ,b ur,e au de télégraphe de 1892 jus,qu'à 1912, époque où se sleTVilc e fut réuni à l'offi,c e postal. Il fut -député d'HéTens au G.rand Cons,e il d~ ~898 ~ 19006. Pendant le longues années, il fit partie de .1'admlnlst~atlO,n. cOffiln~­ nale, en fut vice-président pendant deux ou t~01S perl~de, s. Sa .droiture de 'c aractère ,é tait ,r econnue de tous, a tel pOInt que, malgré les proverbiaJes dissensions politiques des Evolénards, il ·a rrivait à recueiUir jusqu'à 300 suffrages sur 324. Les nombreux act.es sous seing privé qu'il .a rédigés avant l'introduction d~ ~'~cLe authentique prévu au C. C. S. sont remarquables de pre,cls10n, de soin, de ,c aHigraphie. Toujours avenante était ila rencontre de c~ .cher yi~iHard, hoitiH.ant mais :a:lerte 'Pl'e in d'allant, aux sa'l'l hes splrltue'11es riches d :e' ,cons.eils déli~atement présentés, de souvenirs et d'eX!pé'r ience. Il n'a quitté seS' ou~ils de ,~a~~~gnard de. la .montagne que pour prendre son dernIer et deflnlhf repos SI vaIllamment. mérité. M.

t

*** Monsieur Marcel Roten

Nous reproduisons ci-après l'artic1e paru ?ans le « JouTnal et Feuille d'A'v is du Va,lais »: On 3Jpprend ,a vec tristesse le décès de M. Marcel Roten, préposé à l'Office des fai'llites de ~ion.. , ., . , .. Né en 1895, il f.it s,es écoles pnmalres a Savlese, pUIS 1 Ecole norma.le à Sion. Il prati'q ua l'enseignem'ent au Pont de la Morge, à Muraz et à S:avièse, pendant de lon~,!es années. . . Il fut juge de la com:m une de Savlese pendant dlx ans et VI,ceprésident de ceNe-,ci de 1924 ~ 1936. . . Très tôt il fut désigné comme membre de la co'mmlSSlOl1 scolaire fon~tion ,q u'il conserva jusqu'à sa nlort. . Ml" :Mar,c el Roten Ht son école d'a's pirant avec Ml' Rubattel, conseiUer fédéral et obtint ,l e g!'ade de premier-lieutenant. Il fut ora:aniste à l'é o'1ise de Savièse. depuis ta mort de son prédécestSeur Germ,ai~'") Dubuis, de Drône, e~ fondateu!, de la fanfare cons'e rvatrice « Rose des Alpes )}, dont III !ut le dIrecteur

Ml'

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pendant de longues années. Il fut aussi président de la société de ,c hant « La Céci1i.a» pendant 24 ans. Nommé soostitut à ,l 'Office des ,Poursuites en 1918, ill ful' ap:pelé ,c nffime .préposé de 'l'OtHce des fa~llites le 19 avril' 1945. ,M. Maflc'e t Roten fut encore président du Syndicat d'élevage de Savièse ; expert pour ,l,es ·concour,s de bétail pour la ra.ce d'Hérens et 'ffi'e mbre de nombreuses organis,a tions agrico'l es. ,C'était le frère de Mr Norbert Hoten, chancelier et de Ml' Jean-J.érôme Roten, s'o us-préfet, avo'c at à Sion. Il était très ,connu, aimé et estimé partout et de tout le im onde. La mort de :Mr' Marcel Roten plonge dans l'affliction 's on épouse et ses enf.ants, ses frères et :SŒurs et t'Üutes les famiUes parentes ·et alliées auxquel- les nous prés'entons nos profondes et sincères condoléances .

i COMMUNJICATJIONS DJIVERSES i aDÉPARTEMENT S.V.E. S.I.V.R. UNION (ê)

CG

@) ;

Caisse de retraite du personnel enseignant 1.

Rapport de la commission sur la gestion de la caisse durant l'année 1951

Lorsque fut décidée la revision du règlement de la cai,sse de l'etr,aÏ1'e, le président, M. Irnhof, avait la certitude que des améliorations sensihles pourraient être a1pportées au régime des pensions. Il S'avait en effet que la ,caÏ:sse avait été gérée prudemment et 'q ue ces dernières années, elle avait pris un essor particulièrem 'e nt intéress.a'llt. D':avance il s'en réjouis's ait. Il lais's ait cependant ;percer une légère nuanoe de regf'et à la pensée qu'à un moIn~nrt donné on n'avai,t pas os,é profiter d'une circonstance favorable pour aocroître le .capital. « Il n'y aura jamais trop d'argent en caisse ,au 'm oment d'entreprendre une l'evision» avait-il coutume de dire. Et les événements lui ont donné raison. M. le président Irrrh'Of était un habitué de la caisse. Cette dernière n'av.ait aucun secret pour lui. Efilt-ré dans la 'c ommission en 1915, il n'avait pas tardé là y jouer un rôle important. Aussi :lof"sque, en 1943, M,gr Delaloye, président fondateur, résolut de s'e libérer de cette 'l'Ourde ,c harge, le 'Conseil d'Etat confia-t-H, sans hésit-er, le gouvernail de la oais.se à Monsieur Imhof. Les espoirs pLacés ,e n lui p.ar 'I.e Conseil d'Etat ,e t par le personnel


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enseignant ne furen.t pa-s déç~5: ~e noU'v~au ;président n'eut, qu'à .continuer sa bienfaIsante .actrVlte. Il avaIt p-ns une p'a rt prelp ondérante à la l~evi'sdon du règlement de 1925. Ce dernier boulev,e rsait 'compfètel11ent le réginle anci,e n et- .le rempLaçait par des dispositions plus avantageuses et mi,e ux adaptées aux besoins du personnel ens'eignanJt. ·co·m 'm e l11embTe de la .commission, M'ÜnsieUT IInhof s'était occupé de ia revision ,d e 1932 et comme président it avait mené à chef ·ceBe de 1945. Travaillern' infatigable, i!l entreprit la modification de ce deTnier règlement en 1948. Il approchait du ,c ouronnement de son œuvre,et allait atteindre le but deceUe étape importante qui ouvrai de nouvel:les s'e l'spectives aux assurés et leur faisait mieux ·c,omprendre l'utilité des sa,c ri:fÎices consentis jusqu'à ce j'Our, .}OT~qu'une malencontreuse atteinte à li a santé l'obligea à passer Ja main. Le DépaTtem,e nt hésita longteIllJpS à donner :suite au désir de M. Imhof d'abandonner la direction de :l a 'c aiss·e, mais il dut fina!lement céder, à regret, devant tant d'insistance en face des :r aisons d'ordre majeur qui étaient apportées'. - H eu r'eus'e ment , M. Imhof a vu sa santé se rétablir complètement en 's orte qu'il a pu aücepter de présider la commission du Grand Consei'l, qui devra rapporter sur le nouveau règlement, montrant une f'Ois de plus tout l'intérêt qu'il porte à la retraite de.s instituteurs. Au moment où ,c et objet .sera soumis aux délibérations' de la Haute AssembŒ'ée, IV!. Imhof en sera le président. D'ores et déjà nous le félidtons pour oet honneur, dOllit une petite parcelie reJamIrit sur la .caisse de r.etraite qu'ii a présidée avnc 1ntelligence, dévouement et di,s tinction. Nous lui renouvelons ici [es h'On1TIl'ag-es ,de gratitude et de profonde reconnaissance du peDs'Onnel ·enseignant tout entier. Un vieil adag,e veut qu'un événement fâcheux n'arrÏ've jamais .s eul. Certaines tCirooll'srtances s·emblent voùLoir le confirmer. En efIet, "la com·m i's sion de :l a 'c aisse de l'eh~aite v,e nait d'être décapitée 1)aT ~,a déIll!Ï:SS.iOIllI de son président :lo~s'qu',el[e ISe vit pTivée de son doyen d'âge, ,:M. M,e ytain ralpipelé là Dieu, apTès une ·courte Inaladie. . Memibre de 'la 'COlIUIllission depuis l,a fondation de la caisse, M. Mey tain fut promu ·cais's ier ·e n 1912 et il ,c onserv:a 'Ce pos'te jusqu'en 1945. Ce fut un ex'c elle?t déf~nseur des i~térêts de la caiss'e, mais s'On ,c œur n'était pas InsensIb1e aux bes'OlDS des assurés et toujours nou.s 'l'avons 'VU appuyer généreusenlent, quelquefois en y .Inettant .de prudentes Tés,erv.es, les propO'sitions tendant à 'améJIÎ,oTer Je sort des retraités. M. Meyrtain .a rem'Pli s,es fonctions .de .gér,a nt et de membre de la .commis:sion avec un bel enthousiaslue. Il était teHemelIlt pénétré de l'utilité de ,c ette insti1ution de Ibienfai-s ance qu'il en parlait avec une sorte de vé~ération. I! en oCon~aissait ~ous les Touages et pouvait ,e n .p ar,J.er a bon eS'CIent. AUS'SI, au seIn de 'l a

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commISSion, ses avis étaient-ils précieux. Il savait p.ar cœUT ,l e nom ·de toms les pen:.s.ionnés avec la date de la n1Ï:se à la retraite, le flomlbre d'années d ' enseignement et Le montant de la l'fmte, ·c e qui fa>Ci~Hait singulièr€JIIlent J'a tâ·che de la 'c ommïssion. Toujours 'a ffable, jJ accueillait ·c,ordiaLenlent ses üonlbreux visiteurs en quête de renseigneluents·. Charmant .co~lègue, ,M. Meytain a laissé :Je sQuvenÏr d'un homme de devoir. Il 'aUTa eertainemeni; reçu là-haut la récompense d'une J'Ongue vie particulièrement Ib ien rempllÎ.e. Quant à nou.s, nou.s gard'Üns de ,l ui le nl,eUleur s'Üuvenir. Ap-rès tChaque époque de troUb!les, de peTturha1ions économiques ou sociales, 10rsque :Je calme ,est :r:evenu, que des conditions plus norma:les sont étahlies et les traite'lnents 's tabitisés, un problème nouveau soJJlitCirt·e l'attention des .a utorités. C'est ,c elui des caisses de pension. A leur t'Our, .eUes doivent suivre l'évolution des événemenÎ's et s'adapt-eT aux circonstances nouve1'les. Il s'agit là d'une œuvre de ~ongue haleine dEml,a,n dant travaH et réflexion. Une foi,s de .pius nous avons !pu en fair,e la constatation. En eUet, à l'a suite de f.adaptMion du traitement du personnel enseignant, lI a commission de la caisse de retraite a pris, en séance du 28 octobre 1948, !la décision de principe de reviser le règlement de 18. ,c aisse et c'est aujourd'hui seu!lement que cette affaire est :au point ayant franchi jus-q u'ici, -avec succès, toutes les 'é tapes et n"attendant que 'Sa consécration par 'la Haute Assemblée. ,Cette .}onglle période d'expectative a dû senwler ·e xcessive et lasser la ip'a tience de quelques-uns . .c'est pourquoi, il ne nous para'Ît pas '.s upeNIu, a:u m'Üment d'atteindre 'le but, de fai're 'l a genèse de cette la!borieus'e entrepris·e. En vertu de !la déci.sion de princiIpe précitée, la .cOlnmission, .après de 'llo ngs !pou:rp,a rfle:r.s avec di'v ers :aduaires, charg'ea, [e ' 5 avri,l 1949, le Dr AIder d'établir le biŒan technique de 'la ,c aisse pui.s de rechercher, pour le ,c:aJ1cu'l des rentes, un 's ystème en rapport avec 'l'e s nécessités actuelles permettaJ1llt d'·améliorer . les pensions dans toute a'a mesure du !p osls1ible. Une première prise de ·c'Ünrtaüt entre .}' expert ct le bur,e au . eut :}jeu dans J,e courant du mois de mai suivant. AceUe occasion, après avoir pris connaissance du fonctionnement de 'la caisse, 'l'actuaiœ aTrêÎ'a la Este des docum·ents ,e t des renseignements néceSisaires .pour ,e ntreprendre l'étude demandée. ·M algré IleuT amp1eur, ·ceux-ci furent rapidement TaSSefJ.llblés et remis à l'expert. Dans ta suite, ils ISe révélèrent insuffisants et durent être complétés à mesure que .les travaux -avançaient. L'expert s'e urit à la tâ·che et fut à mêm·e de ·communiquer le TésuHat de 's es eal1culs à la C'ommÎ's:sdon, réunie en séa:Il1ce le 18 octobre 1950~ ,et d'esquis'S>er dans ' ses gr.andes lignes 'l e pToj~t . de réorganisation de -lia cai:Sts'e.


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IL e ~ésuiltat des ·cakufts· ,c?'I1Jcernant le 'b .i lan technique proyoqua une désa.gréable surprise à la commission' aussi donna-teUe ,son .~ssenti,m~nt de 'Princirp~ :au proJet ,d e réo~ganis'ati.on propos·e. Mlals eUe fIt de teJles reserves .que l'ex'Pert dut rem.eUre -l'ouvrage SUir :le métier. Rens·eign.é une fois de plus ,s ur les désirs de Qa .c'Ommiss:ion 'l'expert s·e pencha de nouveau SUl" ce prohlème ·e t après cinq 1~10is d'lé~u:des et de ré~le~ion, i'l 'a pporta de nouveLles propo..ç;itIons qUI furent examlnees pal' ,l a ·c ommission puis eX'Posées par ~ui-même à fas,s emhlée générale de .la .caisse t'e nue ~e 29 m:us 1951. Cha,cllJIl: a pu 'p rendre connaissanc·e du rapport de l'expert puis'q u'il 'a été publié dans le No 14 de 'l'Ecole prilfwil'e du 300 avril 1951 à l'intention des maîtr-es romands èt envoyé !personnellement à tous :l,es m'aîtres du Haut Va,l ais à charge pour eux tous de faü~e ·vaLoir i'eurs observations. Ici, se situe 'c hronologiquement l'entrée en fonction du nouveau président et on nous permettr,a ,certainement d'ouvrir une parenthèse à 'ce ~ujet. Le Conseil d'Etat, considérarnt ·en effet l'importance des problèmes ·q ue posait 1:a revision de 'la caisse de retraite et en pré.sence de ·1a dJédsion irrévÛ'cable de ,M. Imhof, résolut de procéder tout de suite là son rem'Placement. Il' jeta Je dévolu sur .M. Gabriel Bél~ar.d, .instituteur à Bramois, que chacUJIl ,c onnaît ;pour s'On ,e sprit QlUver,t, son int,e Uigence vive et sa grande alll1labilité. Il prit tout de suite l'affaiTr8 en mains et dès le ,8 mai 1951, c'est sous· :s on ,a gvéahle et f·erm,e direction que se déroulèrent Iles dif.férentes phases des travaux dont nous 'C~mtinuons 'L~ .r:~lat~'on non' s'a ns avoir. adl'eSisé au nouveau ' p·r ésldent nos fehcltatlOns et nos remerCIer.nents pour n'avoir pas reculé devant 1"aiffip'leuT de la tâühe 'q ui lui inC'ombait et.qu'il a, du l'este, quasi'm ent menée à chef. Revenons à notre !proJet ,et disons que tes ·associations professionnelles l'étudièrent sérieusement ·et ·c om'lnunirquèrent leurs desii lderata à rra 'coIDIIllisls ion. ,Cette d·e.l1nière fit ,elle-.m ,ê lne }~ critique du projet et condens'a ses observations dans une note éc~ite du 18 mai 1951. EUe portait principalement Sur les points sm.vants: 1. Augmentation de l'échelle des' rentes de 50 à 60 % ; 2. de 'la ' rente des orphelins de père et de Inère ; 3. Augmentation de ~a :rente supplémentaire ·a ux célihatai.res et aux insrtitutrioes jusqu'à parité avec ceUe des' instituteurs ,m ari,és ; 4. Cakul des années 'a ntérieures à 1944/45 à raison de 7/10 au 'lieu de 5/10; . . 5. Vers'eDl·ent d'une ;rente aux enfanJbs dThnvalides et de retraités ; . 6. Fixation de la -rente supp1éme:ntaire ft 1200 , francs au minimum.

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Un certain l1:offi,bre d ',autres questions Olit été posées aussi; elles ont reçu une so.lution par la suite, ·e n sorte ,qu'i1 paraîf suuerflu de les relever i'Ci. Après une nouvelle étude, l'exp'eTt, d'a'c cord sur ·c ertaiM points, m.a is négatif sur d'a:utnes , donna sa ré.ponse à la commis.sion au COUTS de -la séance ' du 15 octobre 1951. .La plupali de's questions étant ·élucidées par les explkations de l'expert, ce .~ ernier put, sur ·c es bases, p.a sser à la réda.ction d'un projet de règlement. Le bureau en fut lSaisi dans un délai reLativement court. Il l'exam~na puis convoqua ;l a com'miS's~on qui y mit la dernière m·a in, discutant article par article 'e t app.o rtant les ·m o- . ·d ifications jug·ées néces-saires. Alp rès quoi, le proj'et ainsi relnanié fut publié dans l'Ecole primaire f·e 15 novembre 1951 et traduit pOUl' être ,a dressé aux instituteurs de langue aUemande. Les associations professionnelle s inv:itées à .l"examiner tinrent séaillees et for'f fiulèrent de nouveau leurs observations, les'queUes furent soumises à 'l'actuaire. Puis ce fut l'as's.e.lll'blée générale du 22 décem,b re 1951 au ·cours de la-quelle de nom:b reux assurés intervinrent pour demander des eXp'lications, pour proposer des amendem'ents au proJet. Après de longues délibération~, ce dernier fut accepté au vote ,p ar la gra-nde Inajorité du personnel enseignant. Les lTI'odiij.eations que com'P0rte le projet par rap,port au Tèglernent actuel ,p euvent -se résumer de la manière suivante: 1. Abandon du traitem,e nt moyen et calcul de la pension S'U T Il e traitement final ; 2. Cotis'a tion .p ortée de 6 à 7 % ; 3. Abandon de la cotisation SUT les a'l!locations pour enfants ·et sur les indemnités de déplacement; 4. Echelle des rentes; 5. SUipplément de rente de 2'5 là ·5,5 % aux invalides et aux Tetraités entre 60 et 65 ans; 6. Création de la ·c aisse des déposGnts; 7. Augmentation des rentes aux pensionnés. Le projet de nouveaux statuts aocompagné d'un message fut remis ·a u ConseÏ'l d'Etat par M .. le conseiller d'Etat Pitleloud. Ma'lgré les s'a,crirfices financiers que cette réorganisation entraînée pOUl' 'l'Etat, le Corps exécutif unanim'e à la requête du Chef du Département 'de l'Instruction pubJi.que raccepta :puis porta ·cet obJet aux tra,c tanda de .la session ,p rorogée du Grand Cons'eÎ1l. Une .c ommission aussitôt n'Ommée examina le projet et l'agrea .a'v ec de Jégèr€Js mlodifÏlcat<Îons. 'EHe é·tait prête à rapporter 'SUT oet objet. Malheureusement 'la Haute A~·semblée ne put, en r·aison de son program·tIie .ITOlp oh argé , s'occuper de cette affaiTe qui fut renvoyé·e à la session du m'Ois de mai 195,2. Sou-


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haitons que le nouveau règlement franchisse aUègr.ement cette dernière étape et qu'11 réaHse encore ,m ieux et plus complètemf'·nt à l'a venir ·1es fins pour leslqueHes cette bene institution a été créée. II. COMPTE DE GES.TION A. PRODUITS Contrtbuüons des membres .. Contributions des employeurs Intérêts . Total des produits

227,02 9. 15 227,026,15 199,060.97 ·6 53,113.27

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Bilan de sor,t ie au 31 décembre 1951 Titres et obligations d'Etat B. C. V. : compte à terme. Adm. fédérale des contributions Mobilier . Avoir des membres . Fonds de prévoyance Créancier : Etat du VaLais . Capital: soLde .

B. CHARGES

Totaux

Pensions aux retraités Pensions aux veuves et aux veufs . Pensions aux invalides . Pensions aux enfants d'invalisdes Pensions aux orphelins . Rembourselnent de ootisations . Frais de gestion et de revision . Total des charges

98,802.20 19,458.10 12,681.80 1,736.55 5,918.45 9,745.9,751.70

2,012,754.13 9,232.90 48,,716.13 4,605,250.74 6,675,953.90

6,675,953.90

AVOIR 10,418.374.9{)

DOIT Solde de ·c ompte 1950 . Intérêts du fonds Payement en cours d'exerdce Solde de compte .

1,560.9,232.90 Totaux

C;. BALANCE Total de·s produits Total des ·c harges .

653,113.27 158,093.80

Excédent.

495,019.47

.T'Otal

PASSIF

Forids de prévoyance: compte pour l'année 1951

158,093..80

Répartition de l'excédent A l'ay:oir des membres: soLde des cotisations Au fonds de prévoyance: intérêts du fonds. Au compte capital: soLde.

ACTIF 1,725,000.4,930,698.30 20,254.60 1.-

212,117.90 374.90 282,526.67 495,019.47

Bilan d'entrée au 1er janvier 1951 ACTIF Titres et obligations d'Etat . 1,743,000.B. C. V. : compte à terme . 4,429,120.98 Adm. fédérale des contr1butions 16,842.65 Mobilier . 1.-. Av:oir des membres Fonds de prévoyance Créancier: Etat du Valais Capital: solde .

1,844,070.78 10,418.55,186.33 4,279,289.52

Totaux . 6,188,964.63

6,188,964.63

10,792.90

10,792.90

Mouvement de fortune en 1951 Fortune au 1er janvier selon bilan s~us déduction de l'avance de l'Etat Excédent de compte . moins 1es prélèv:ements au fonds de prévoyance . Fortune au 31 décembre selon bilan . sous déduction de l'avance de l'Etat .

6,188,964.63 55:,186,.33

. 6,133,778.30

495,019.47 1,560.- 6,675,953.90 48,716.13

'493,459.47 6,627,237.77

Statistique générale Membres cotisants: institutrices instituteurs Total .

PASSIF

348 434 ' 782

Membres pensionnés 58 40 3 13 6 38 23 52

instituteurs retraités institutrices retraitées instituteurs invalides institutrices inrvalides veufs d'institutrices. veuyes d'instituteurs enfants d'invalides or.phelins

(.57 (40 ( 2 (10 ( 7 (33 (26 (51

+ 6 + 1 + 2 + 3 + 0 + 5 + 0 +, 7

5) 1) 1) 0) 1) 0) 3) 6)


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III. RAPJ>ORT DES REVISEURS DES COMPTES

Les réviseurs des comptes soussignés, ·en exécution du 1nandat ,q ui leur a été confié, .ont procédé 'l e 29 mars 1951 à la vérification des comptes de la Caisse -de l{,e traite du Personnel Enseignant pour l'année 1951. L'ensemhle des postes du compte Profits et Pertes et de La gestion ont été pointés avec les pièces justificatives et ont été trouvés exacts. L'excédent des recettes de la gestion se monte à FI'. 495;019.47, La vérifi.cation des diverses rubriques du Bilan a fait constater il a parfaite concordance 'a vec :les Tellevés de ICO'lnpte de la Banque Cantonale. La fortune de la Cais·s e qui était de Fr, 6 133,778.30 se trouve po,r t'é e :à Fr. 6,627,237.77 ,e n clôture d'exercice. L.e solde du .compte « Fonds de: Prévoyance» s'élève à Fr. 9232.90. Il est à observer que le projet de nouveaux statut·s de la Caisse soumis actuellement pOUl' approbation au Grand Consei'l apportera de profondes modifications dans l'économie de la CaÏs's,e ·e t dans sa oomptabilité. iLes vérificateur.s ont constaté la bonne tenue et l'exactitude des comptes ;en ·conséquence, iJIS .proposent à l'As'semblée générale de ,b ien vouloir Il es approuver et d'en donner décharge aux organes responsah'les. Sion, le 29 mars 1952. 1

Les vérificatéuI's: Em,ile BOURDIN.

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encore discuté, ila fallu requériT l'inscription Ic.ompil ément'a ire. Une commi.slS,ion, présidée par Mr Imhof, a'slSi:s té de Mr Bourdin eomm,e secrétaire, était pT'ête à rapporter à la session prorogée. Mais chacun ,s·ait qu'une bonne p.a rtie des délibérations ont été cons'a crées là Il a nouvelle Il oi des finances. Cependant, I.e Règlem.ent de la C. R. fut ins.crit à l'ordre du jour du vendredi matin; lualheurelliSement ,l es débats sur 'la loi fiscale occupèrent toute la matinée, et ia séance de :re1evée n'eut .p as Heu. Ainsi, ID'a lgré Iles interventions éner;giques de MM. Pralong et Imhof, !l e règlement ne put être ,dilS,c uté, le 's amedi matin ayant été 'e ntièr·ement consacré à des objets d''Ordre constitutionnel d'Ont 'la discussion ne ,p ouvait être différée. Une intervention à la dernière minute .de M.r Imhof demandant au Grand Cons'eH 1'-autorisation de verser aux pensionnés les indemnités prévues par le nouveau règlement, n'a pu être acceptée pour des rai.sons de prÜ'cédure. Voilà les faits rétablis dans leur réalité. Ceux qui ·c onnaissent le travail inteMig,ent et la ténacité drépioyés par les o:rganes' du Département ·de l'Instruction pu!blique pour faire aboutir nos justes demandes, et les démarches pressantes de M'M. Imhof, P~a­ long et Bourdin, leur adressent des remerciements sincères et ils sont a'Sisu:r:és qu'au mois de mali de tels e:6foTts seront couronnés de succès. Les membres du corps enseignant et plus sp'é cialement ~es retraitélS, maT'q ueront leur reconnaislS:ance à tous ,c eux qui auront collaboré à cette œuvre de jusHce et de prévoyance sO'c;i ales. Cl. Bérard.

Alhert ZENGAFFINEN.

Conférences des districts

Caisse de retraite Les ··m em!bres du corps enseignant s'a:ttendaient, 1.ors de 'la dernière sess.i'On, à ia dils cussion par le Grand Conseil, du nouveau règlement de la Caiss·e de r,e traite. Or, ,comme tel n'a pas été le cas, certains n'ont pas fait un grand effort d'imagi~ation pour en déduire que ceux qui sont aux respoll's,abi!Jires, c'est-à-dire l'e Département de l'Instruction publique, :les ,comités de la S. V. E. et de a'a C. R. n'ont rien fait. Pa:s plus malip. que cela. · , Nous pensons as,s urer nos ,co'lllègues que ce jugement somrn3JÏre est injuste et porte à fau'x. Tout ,a été mis en œuvre au ·contaire, pour peNIlettre à lI a Haute ASlsemiblée de se prononcer sur cette question importante pour nous. ·Camll ne ,l e règlement de la C. ·:R. ne figurait p.as aux tractanda .. de no;vembre, .notre assemblée ,gél1éra!le· n~en ayant pas

·L es conférences des disrtn.ots pi-évue.s au mois d'avril .a uront lieu en novembre prochain. Raison: impos·s ibilité matérielle de !les organi.ser à partir de Pâques, le conférencier n'·ayant pas :le don d'ubiquité. C. M.

Choses qui font plaisir Le personnel enseignant valaisan, ce1lui du district d'Hérens tout spécialement, aura appris avec plaisir la nomination par le Conseil d'Etat de .MT CamiUe Sierro, prés~.dent d'Hérémence, en qualité d'inspecteur de son district. ,Connaissant le& qua!lités de notre coHègue, nous sommes perSfUadé qu'il. s'acquittera avéc compétence et distinction de ses nouv.eHes fonctions et nous iprofiwIl!S , de l'oocas,ion qui nous


4 - .' 421 -

- . 420 -

est offerte pour 'lui ,s ouhaiter une' cordiale bienvenue au sein du corps ins'Pectorat Mr Camille Sierro suocède là 'MT J'e Révérend ,c uré -Gauye appelé rocem·m ent à la tête de. l'importante ,p aroisse de ChamoS'otTh où j l ' Is era hautement apprécié par ses ouarHes, ·com·m e il le fut par les .m embres du ICOrpS ,e nsei.gnant du distri.ct d'HéTen:s. A Mr !l e Révérend curé Gauye et à Mr CamBIe Sierro, l'Ecole primaire souhaite une wngue ,et \fructueuse activité. Cl. B.

2) Une poignée de théière «.perroquet».

! LE MlÉTŒR C.EST CE QUI UNIT ~

Matériel: feutrine de ,couleur, ooton Ip erlé teintes vives

ùa fête des mères

Découpez deux perroquets ,c omme schéma.

Pour la FETE DES MERES, les petites peuvent confectionner: 1) Un petit chapeau porte aiKuilles. Matériel: foottine de couleur, ~anelle Ib lanche, coton Perlé Découpez 2 ronds de feutrine de g cm. de .d iamètre et 2 ronds de fLanelle de même dimension. Au centre du premier Tcmd de feutrine en découper un autre de ~ ~m. de diamètre. Prnez une bande de flanelle de 2 cm. de large et de 6 cm. 4 de long, coudre les deux bords ensemble pour former un anneau, le poser ver1licalement et le coudre ,autour de l'ouverture du centre, fermer la calotte du chapeau avec Je r~)Ild de feutrine de 2 .om. enlevé au ,c entre que l'on fixe à points de ,côté avec le coton perlé. PoSez l'un sur l'autre: le rond de. feutrine, ~es deux: 1'Icmds de flanelle et le petit chapeau (les 2 ronds de flanelle sont entourés d'un point de boutonnière). Coudre ensemble '008 4 parti.es au point de boutoIlJl1Jière 3 ,cm. ,MamléUl piquera ses aiguilles dans la flanelle blanche et rangera ,s on dé dàns lJa 'Calotte du chapeau. Garnir le 'c hapeau avec un petit ruban de feutre et une plume miniature.

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Les broder au point de tig.e. ASSemblez les deux ·p .erroquets au point .de >boutonnière jusqu'aux marques.

Pour la FETE DES MERES, les grandes filles peuvent confectionner: 1) Un tablier pour les pinces à linges. Matériel: tissus de coton à ,c arreaux, coton à broder. Découpez un cercle de 40 cm de diamètre. le .p artager en deux parties égales (pour 2 tabliers). Découpez un cercle de 30 cm. de diamètre. Le partager en deux parties égales (pour deux poches) . . Placez la 'Polc he sur le tablier, entourez celui-ci d'un tHais, froncez 'l e dessus et fixez la ceinture qui aUfla, finie 4 à 5 cm. de large. Brodez les -carreaux de la ;poche au point de c:roix.


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.Poe. h e. t - - - - t - - - - - \

ci~ 'p!(.·rt

-'.2) Une p9che à bas ou à mouchoirs Matériel : . 1ère possibilité: tissu matelassé pour robe de chambre, soie artüicielle, ruban. 2ème ,p OSSibilité: plastic qu'il doubler d'une ,plaq,u e de ouate mince achetée dans un magasin de .confection et piquer à la rna;chine, soie artificielle, ruban.

~aut

Découpez une hande de tissu de 55 cm. de ,l ong sur 18 ,omo de large, le doubler de soie artificielle que l'on ,coud à pomts cachés. Posez sur la doublure 3 p.oches de Il cm. de hauteur en soie artificielle. Ces poches ont entre elles une distance de 2 cm. %. Plier .le sac en 3 parties et le fermer par un petit ruban.

Comment ils s'expriment ... A vee dif.fi'culté, avec incorrection msOlruS-uouS, avec une sévéTité de grandes personnes. Et pourtant écoutons-les joualllt: les mots fusent, se bousculent, se .précipitent 's:aVOUTeux~ drôles, expressli fs, j,l y a du méridional en n'Os VaJlai's'a Ils et !leur accent mlême les rappelle quoilq ue posé SUl' un tout autre registre! Les voici à 'leur pupitre à mordiller leur crayon, dés.emparés, absents. Que les Im üts ont de peine à s'aligner. Qui ,l eur ferait grief .de se refuser à exprimer le vide et l'e néant d'où émerg.e seul 'le f:l'meux titre de composition sur 'Lequel i1.1OUS exigeons qu'ils

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s'expriInent... Avol1's'-nous oublié notre enfance? Hélas.! pour Ina Ipart, que .de fois « j'ai séché» ainsi; que de fois, une aridité parfaHe ,a 'couronné de louables efforts. Je me rappelle Hl.on ÎecapaciM totale à m'intéress'e r à neuf ans à « La ,tenue d'une jeune fille sérieuse à la sOliie de la messe» 'e t la semaine sui~Tante au « Mouton». Ce n'est qu~ hien tplUJS tard qu'un tel,. rapprochement m'est apparu plein de .saveur. ' Qu'est-ce à dire? SimpJement q~' e .le th~me à développer ne soit pas le reflet ,des préoocup:a;t10ll's · de ,La maîtres1se, Inais,: si intérieur à l'enfant qu'i'l ait l'impression de l'avoir trouvé et de l'avoir ,choilSi :l ui-même. Quel mail y .aurait-ii ~ cela? Le hut de ia T'édaction est ·de p'e rmettr:e àl'erufant de « s'e~prhnel' », d'être lui-même, de 'c om'm uruiquer par le h'uchement des , llOts Ce Inonde de .se:ll'.';i'ations, d'im.p ressrons qui s'accumulent en. , tout; être dont les fenêtres sont ouvertes sur le monde. La rédaction· libère queLque ·chose. Et notre rôle ,consiste à provoquer c~tte libération en disparai:s:sant Il e plus pos,s ib'Ie ... · Nous ne , ptêterons pas nos yeux, notre toucher, notre oreille à nos élèves mais nous GoJliaiterons 'COlllstarrnm-ent 'les leur.s. Puli,s, rédiger -c'est cela" nous les anlènerons à faire de l'o:rdre, à clarifieT, à préeis-er, ' û: faire p 'a sser ,ce ,q ui n'était encor'e .que du domaüle de la s,e nsibilité dans celui de l'inte1ligence. L;i~ée naîtra plus ou ·,m oins bieI?vêtue COll'm e l'éclusion d'une fleur qui toujours est. un présent. de la nature. Je conn'ais. une ,c lasse du -degré ~U1périeur, o:ù pen-, dant une année, la Tédaction a été libre, nais's ant .du cooti'e a'in-; térêt de la 'semaine. Chaque' enfanV:'s'exprimIant , à son ~hoix sur l'un ou l'autre ,a:spect du thèllle -central. Cette manière crée une atmosphère très favor:aJb'le au travai!l de groupe; eUe est 'stimulante par les compaTaisons, les ,confrontattions entre les différents travaux d'équipe ou individuels. La rédaction ainsi envi'sagée sort du conformisme habituel , et devient vraiment une activité. A~ors, comIne dans ~e jeu que j'évoquais -au début, les IllOtS j.ailliront, ,e nveloppe :p'lus ou 'm oins heupeuse d'une pensée qui s'ébauche. , Que la ,forme de 'c eUe-d ne nous trouve pas nous-même.s prisonni,e rs de formules surannées incrupables de saisir dans l'écriture l'évolution générale qui marqll.ant tout, doit néceS'saire'm ent y app,a raître. De plus · en plus' dans la Ht.térattire " 'm oderne, le langage parlé se substitue à l'écriture. Réaction non pus de laisser aller comme on pourrait ,le penser, mais qui vi.gerait, av,e c quel à propos, Ullfe espèoe de reoheflche du joli, du littéraire qui glisse vite au facUce, rechel~che qui n'est rien lTIoins qu'une trahison envers ~le pur génie de 'la langue d'Ont simplicité et ,clIarté sont les dominantes. A noter que cette ré. action « moderne» peut se réclamer d'un parrainage aus-si illustre qu'ancien puis'q ue je crois bjen que c'est M:ontaigne qui écrivait « II faut écrire 'non de plum'e m,~is de bouche» !


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Et ced nous amène à considérer qu'.j!l y a des paliers succes-:-ûf.s d.ans 'l 'aoquisition par l'enfant de sori propre mode d 'expression écrit. Lui faire brûler 'les étapes dans cette ligne a's'c endante, c'.est compromettre sûrem'e nt le succès. Le premier échelon de la préparation à la rédaction se situe à l'écule enfantine, je l'ai compris par expérience. L'enfant compose, l'enfant rédige, bien avant qu'il lise ou qu'il écrive. Retrouvera-t-il lnême jamais la fraîcheur, la grâce, la vérité magnifique de ses premiers essais verbaux, plus tard, lorsque s·a main exercée aura tracé les signes ? Je dirai oui si la formation technique, un mot que Je n'ai·m e pas ij'-entend par .là le mécanisme de la phrasle acquis par des exeroices appropriés), se juxtapos'e à une préparation tout intérieure ceUe-'1à où nous aurons appris à l'enfant « à faire attention:. J'ai dit' ailleurs .que pour ,c ela je voyais des maîtres dans les poètes: 's i nous aimons tel vers, tel poème, est-ce pour autre chose que par'ce que nous y r·e trouvons transcrit en clair, simplifié, avec en plus de la profondeur que ce terme implique, ce que nous ne ressentons que dans 1'im'pré.cision d'une attention distraite éparse sur tant de ,c hoses qu'elle n'en retient vraiment ·a ucune dans une vision qui soit personnel!le. A ce premier paIier D'OUS n'aurons donc garde d'oublier les 'Précieux, :les ÏITemplaçables exere~ces d'observ~tion :d~recte ?-ont l'enfant s'enrichira 'Pour toute sa VIe. Dans certaIns mIlIeux, ou les horizons enfantins sont restreints, Il es images y supp'l éeront, éveillant l'attention et -l'intérêt à des choses e des êtres qu'il aurait été impossible d'imaginer simplement avec l'aide des mots. Dans un milieu où l'enf.ant se sent en sympathie, il sera moins diffi.cile de faire « raconter» \l'enfant que d'ordonner, de canaliser 'le flux des impressions enfantines qui s ans cela tournerait vite à 'l'anar,c hie ! L'heure du ,c onte sera également 00 bonne place dansle proC1ramme de rédaction au premier échelon. Nous en tirerons de ~ombreux exerdc.es, elle fournira de mots nos rédacteurs en herbe elle leur donnera l'occasion de s'exprimer par un graphisme m:~ladroit certes, mais déjà révélateur de leur personnalité. Pour rompre ta -monotoni.e du récit fait par un s·e ul, le conte sera joué, 'les interprètes se donnant la réplique avec un enthousiasme communicatif. Ainsi :Je stade enfa ntin de préparation à la rédaction peut se résumer en ceci « faire ouvrir toutes s'e s fffi)Jêtres » à l'enfant et lui permettre ensuite d'extérioriser sa moisson par 'la parole. Ils vous diront alors et 'Dl u s tard vous écriront des choses exquises, des chos·es qu'li faut avoir des yeux et un cœur d'enfant pour voir et pour cO'lnprendre. En voulez-vous un petit bouquet pour Pâques ? Ils disent « que les bêtes sont plus connaissantes que les

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gens », « que Jésus est n é à la pauvrette », ,« que le pom IT11ier en fleurs 'S.u r le pré vert est COlnme un petit nuage un soir qu'il va faire beau I,e lendemain ». Hs écrivent: « J'ai un petit frèr e qui ne sait pas parler, alors quand je tl ui dis : où est le petit ti~re? il prend m a main et la moro ! » ou encore « J',a i apporre une pâquerette à Mademoiselle. Henriette ·m ' a dit: elle dira que 'c "est le printemps! ça n'a pas manqué! )} S'expriment-ils si mal et fe rions-nous beaucoup mieux ?

Y. G.

fiiC{UN DE LA GYMNASTIQUE ~ Tournoi de Basket.. ball ,Comme annoncé dans le numéro précédent de l'Ecole prilIwire, Il e tournoi de basket-haH 'Organisé par l'assodation des maitr,es de gymnast,i que du Valais romand aura Heu à Martigny le dimanche 20 ·avril. Les s'Ous-sections de Saxon, Vou vry et Grône ont déjà inslcrit 'leur équipe. Tout le personnel enseignant est ,cordialenlent invité à cette journée .sportiv,e où ·cha'c un aura la possibilité de jouer, des équi.pes pouvant être faites 'Sur pla.ce. Indemnités: Les participants au tournoi recevront une indelnnité de Fr. 5.- et une indemnité ·couvrant les frais de déplacement.

Programme de la journée: 8.000 MeS's-e à ,r église paroissial~ de Martigny. 09.00 Ras's ernhleluent à la halil e de gymna1s tique de M'a rlignyVille. 9.30 Orientation des joueur s 'p ar farbitre. 10.00 Début du tournoi. 12.30 Fin du tournoi. 13.(}0 Dîner. Renseignements: E. Bovier , prof. de gym. Martigny. Tél. Sion (2.21.06).


... '

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3. A comrpléter:

\ do~

ua

co~position

française

....

(Suite et fin)

Nous ne saurion s m ieu x terminer ces quelques rellla1"qu~s a u .suje t d e l' ens.ei,gnelnent du f ran ça Î'S' 'a u cours ,s upérieur de nos écol,es primaires qu'en d onnant , à titre ' d' indic'a ti on cel:i va dG s'Q.i, .un .certa·i n n om br e d'·ex·,?,rcipes de phr as·éologie tirés de : « La ·chèv.re ,de ,M. Seguin ». Le.s m.aît:res et Inaîh'es·s es verront a insi pa ~·. quels procédés; on peut ~m,ener 1es :élèv,es ·qui ont été e ntraîné.s. à -cons't ruire des phras·eg :siITIlples et 'c orrectes, à 'Varier leur st yle en im,itant les . . ',. ·b ons ·aute~s. En ·c omplétan't des ip hra:ses qu'l'l 'fa ud r a a dapter à 'de's ' cir ·consrbanc'es Ou à d es f aifs -différents' ',de ceu x ex:priInés par l'écrivain, on .fait appêl à la ' réfl'e xion ' ,ét 'au ' jugement. Cette -gymnastique .rlégull,i ère · ·a'boutiSls'an.1 à Il 'ex'pression ICOTl'ecte ·de Ila pensée donn era d'excellents résultats, n oU's en som'm 'es ·'.c onv.ajncus. Exercices 1. Phrases à. comrpléter : .Ah! qu'elle : ~tai t jolie la petite chèvre de M. Seguin .a vec :. ses yeux dou x, sa... Ah ! 'q u'e Ue était mignonn~ 'm a petite sœur avec ·s es yeux ... s a houche ... , ,:,Soes ,c he veux ... , ses. joues .... , ses dents ... Ah ! ·qu'·eUe était aim·a hle .. . .\\ Ah! qu'elle était .'coquett..~ .. . Ah! qu'eUe était d13..ritable .. ~ "'1 Ah! ,q u'il était lS'a ·Le .. . Ah! qu'H était :}'a id .. . Ah! qu'il était fort ... Ah! qu':il était courageux .. . Ah! qu'.ehles étaient appétissantes...., etc. (A1:rti'r er l'att€nItion sur l'interjection ·e t l'a forme exclama tive. Ah ! 'que ... Ah ! -qu'eUe ... Comme 1. .. Cornbi,e n!) 2. Phrases à ,c ompléter : Comme on doit être. bien là-haut! 'alors qu'en p~aine .... Comme on do:it être h~en dans . une ,c hambre chauffée alors que dehors ... Com'm e on doit être heureux à 'la maison quand ... ·Com·m ·e o.n doit être conteIllt à Il 'école -quand .. . etc. \'

C'est bon pour l'âne ou pour le bœuf de brouter dans un ! C'est C'est ·C'es't C'est

bon pour les filles de ... bon pOUT les garço.ns de ... bon pour les gens de la c'a mpagne de ... 'bon pOUIf 'les g,e ns d:e 'La vn~e -de ... , et,c.

4. Quel plaiSir de gambader dans la bruyère ! ... Quelle ivresse de ... (ski) Quel .b onheur de .. . Quelle joie de... (rphrases à ·c ompléter), ·e tc. 5. C'était pitié de voir ce malheur.eux, d'entendre ses gémis's ements. A compiJ.téter: 'C'était p'l aisir de voir ce.. . d 'entendre ses ... C'était désespérant ... , et,c. 6. A compéter en indi,q uant la cause : . Et du coup il lais!la tomber son écuelle. et du coup H perdit toute son astSurance. Et du coup il peroÏIt toutes' s-es illusions, Et du coup H retrouva toute .s a beNe humeur, etc. 7. A compléter: Comment, Blanquette, tu veux me quitter '1 ... ; après tout ·ce que j'ai fait pour toi? 'Comm·ent, Louis, tu désobéis ainsi à ta mère qui ... ,Comment, M,a rcel , tu ne veux plus travailler ·e n classe alors que ... Amenez cette exclamation en faisant précéder (J'une proposition. Et quelle herbe! ' savoureuse, fine, dentelée, faite de mille plantes; puis comp:l étez. On nous a servi des vins; et quel~ vins! .. , Et quels fruits ! .. . Et quelles fleurs .. . Et quel ·ami .. Et quel élève ... Et quelle vue ... Et quel's athlètes! ... Et qu'el:s .a rbres ... 9. 'Comp!l étez: En bas les champs étaient noyés de brume. En bas, le Rhône ... En bas, la vine... En bas 'les fotêts... En baS les vignes ... . En ,b as, la .p:~aine... En bas :lesmoÏ'S1so1ts... En haut les alpages ... En 'h aut !Le ciel... En haut les 'avions ... En haut les étoiles:.. , etc.


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10. La chèVl'e entendit derrière elle un bruit de feuilles (changez la pLace des .c ompléments.). 11. Elle Se retourna: C''était le loup. Enonne, immobile ... Elle 'Se r,e tourna ... C'était un écureuiL. Elle se retourna ... C'était un chevreuiL. Elle se retourna ... C'était un :renal'd ... El,l e se retourq,a ... C'était un .coq de hruyère ... En,e se retourna ... c'était un aigle ... , etc. 12. Rédaction: Le fils de Madame Malchance

Mada'm e MaLchance n'a'vait p.as eu de bonheur avec s,es enfants' un beau jour i'ls avaient quitté la maison paternelle et... .èependant, eHe 'crut que le dernier ne l'ahandonnerait pas: .. C

13, Résumé. Cl) Ma'lchan.oe de M. Seguin à ,qui le loup n1ange ait les chèvres qui s'en aLlaient dans la ~onta~.ne. .. . b) Achat -d'une nouvelle chevre, J'e~ne, J~1ie et doel1le. e) Précautions pTises par M. Segum qUI pense que Blanquette ne s',ennuiel~a p,as. , . , d) Ennui .de la chevre -·e t desl'f de s en aller. e) Demande de BlaJnquette. f) Refus lTIotivé de M. Seguin et D'oU'vel,l es précautions. g) Départ de 'La chèvre Ipar !la fenêtre: . " . h) Arrivée dans la ,montagne et pl.a~sIrs s.aVOUTes durant toute 'la journée ·dans l'insouciance et la JOIe .. i) Le sQir, Blanquette pense à M. SegUIn, au loup et regrette son escapade. j) EUe fait la rencontre du loUip avec qui eUe 'l utte bravenlent toute la nuit, com.m e la Renaude, TIl'a is est mangée le 'm atin. Il slllffit. ,COlnme on aura pu :s'en rendre compte, ·c 'est -possible de tiTer d'un text-e une. mU!~titude d'ex.el'~i:ces qui co~­ tituent une eXlo ellente .prépara.ti'Ün a hl composItIOn françaIse. Les élèves Is 'habituent égall.ement à !s' eXiprim'e r claiTernenit et correctement; car la plupart de ces. exerdces se font ~ralement d'abord et dIe façon cohlective. L'enseIgnement du françaIS, par les text<es, constitue -c ertainement la meilleure façon d'apprendre sÛTem,e nt la Langue. N'aHons-nous pas essayer d"appliquer ~es procédés ~u:ant le prochain COUTS scolaire? Du moins de faIre qu~lques tImIdes essai'S d'abord ? Ch. Bérard.

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La radio à l'école (Suite) Suisse. - Les essais de radiodiffusion éducative ont jusqu'à présent été très localisés. Cela tient à la grande autonomie dont jouissent les cantons et au fait que, jusqu'à ces derniers temps, le pays ne possédait pas de postes d'émission interrégionaux. Parmi les expériences du début sur la radiodiffusion éducative, il convient de signaler cependant celles organisées par le Comité d'étude à la suite d'un vœu émis en juillet 1930 par les membres du personnel enseignant du canton de Berne. Ces essais ont porté sur 18 demi-heures de cours (musique 4, langue allemande 3, géographie 2, sciences naturelles 3. langue française 3). Les cours furent radiodiffusés le ' mardi de 14 h. 10 à 14 h. 30 ; le jeudi et le samedi de 10 h 30 à Il h. Malgré les conditions nécessairement imparfaites dans les- ' quelles ces expériences eurent lieu, elles ont permis au Comité d'étude de formuler, après enquête auprès des usagers, les conclusions suivantes : Concernant l'importance qu'il convient d'accorder à la radiodiffusion dans l'enseignement, tous s'accordent à reconnaître que son rôle doit être purement supplétif, étant admis que l'on ne doit avoir recours à ce mode d'enseignement que pour certai-nes matières et dans la mesure où le professeur n'est pas en état d'y pourvoir par ses proprE:S moyens. L'on fait valoir à l'appui de cette opinion, que ce m.ode d'e.n seignement s'oppose souvent à l'application de ce principe fondamental en pédagogie, de la concentration de l'attention d.e . l'élève sur le sujet qu'il étudie. Le conférencier n'étant pas pré:sent à l'élève, sa personnalité ne peut généralement agir sur lui d'une façon constante et efficace ; il ne peut PqS, au bes.o in, ramener ou fixer l'attention,. donner des explications opportunes .qui faéiliteraient les efforts de conlpréhension de l'élève. En outre, ce mode d'ens,e ignement ,e st es-s entieUement auditif et ne s'adresse pas aux facu,1tés visuelles. Autant de raisons qui font craindre que l'élève ne devienne un auditeur par trop passif. On fait ég.alement· remarquer que ,ces cours ou conférences radiodiffusés agissent parfois Sur l'intelligence des élèves il la f.açon de .corpsétrangers dans un organisme. Pour obvier à cela, il faudrait une préparation sérieuse qui exigerait. un trnlps considérable. Mlais" réduit 'au TôJe de simp.1e ag-enJt 'Supplétif,. tout le monde s'a-c corde à reconnaître la valeur de ce mode d'enseignement.


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Quant ·aux matières qui se prêtent le plus avantageusefilent à ce ·m ûde d'ens'eignement, les professeurs et instituteurs sont d'.avis Iq ue c'·est à l'enseignement de la musique qu'il convient ' de donner la première place. Aux auditions musioales, on préfère généralement les ·causeries sur la musique, ac-compagnées d'auditions illustrant cet enseignement. On fait relnarquer que dans ·ce d01nain~, la radiodiffusion ,e st particulièrement utile. Il en est de mp'm e de renseignement des langues pmmi lesquelles les membres du conps enseignant de la Suisse allemande voudraient que l'on aücordât la première pla'ce à l'ens-eignement de la Langue maternelle des élèves. Le hautparleur rend généralement mieux la prononciation, le tûn et le rythme de l,a voix que ne le fait le gramophone. Pour l'enISdgnement des langues étrangères, les -c ours dïffusés étant f.aits :par des professeu.r;s :pour la plupart étrangers, seront infiniment précieux. En -ce qui concerne la géographie, l'histoire et les s'c iences naturelles, les avis sont parta~s. On ,s 'accorde à reconnaître que, d ,a ns ·c e domaine, le rôle de la radiodiffusiûn est plus limité, ces 'Slciences se prêtant ·m oins à ce rôle d~eng,eigne'1Ilent. On insi:ste sur la ' nécessité ,(l'aboroder des su-' jets à la portée des élèves et de se ,s.ervir d'expressions ,c ourantes, simples et f.aci.Jes. Sous -ce rapport, il convient de tenir compte de différenc-es ,q ui existent entre ,les élèves des écoles de.s vines. et d·e scam.pagnes. Maintenant, je tiens il attirer l'aUention sur un poi.nt d'une très gr.ande importance qui m',a beaucoup frappé. Partout on -pense qu'il ne faut pas niveler, ne pas -détruire les personnes pour en f.aire d.es individu'Ganûnymes 'COID-m e le sûuhaitaient les i.déalistes de la Hévolution française. Les enfants avant d'entrer à l'écol,e sûnt observateurs, tous -1 eurs 's ens agissent, ils ont une personnaJïté active et, que fait :sûuvent l'école trop intellectueHe? des êtres amorphes qui ne savent plus voir, toucher, goûter, écouter surtout, entendre, sentir. AulS's.1 cherehe-t-on dans des .pays ûù l'on parle de la faillite de l'école (Etats-Unis, Francè, Genève, et'c .), des méthodes qui mettraient l'enfant en relation étroite avec la vie même .ou viiUage. La radio scolaire est un instrument très utilisé pour ce qu'on .a ppelle l'enseigne-

ment rural. Dans plusieurs pays, on pense qu'il faut autant ·que possible des écoles différenciées pour la vHle et la campagne. La . campagne, dit-on, a un fond de vérité et de sages'se qu'il s'agit de cultiver et non de nier. Il est bien entendu que tout l'enseignement rural doit être inspiré de ·1a -campagne et de la prairie. Lp..s programm,e s des écoles rurale.s doiv'ent prévoir une initia-· tion théoriqlle et ·s urtout pratique là l'agricuJture, l'horticulture et l'api'c ulture, aux tr.av'a ux d'entretien domestique et à diffé-r-e nts métiers. Le maÎtfle doit être .a utorisé à .adapter son ens'ei--

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gnelnent -au nlilieu dans lequd vivent ·· les é1è:ves, car -l'enfant s'Întér,e ssera à récole 's i elle -l'instruit et l'éduque dan.s le sens des premières expériences ·e t du premier ·enseignem-e nt qu'il a Tetirés de ,sa ,c,ourte -v ie 'PT.ati:que. Les instituteuTs 'p rendront l'atmosphère locale COlnnle point de départ de leUl~S leçons. Par radio', on donnera des reportages de 'd as.ses, promenades, visites · scolaires (visites de ruchers, parcs ·a vi,coles, clapIers, poupon-.. nières, fermes, fabr.ique~, voyag,e!s -dihners, cour!ses slco[aires, élüsines, ba:s,ses-,cours, et-co o.n n' ouhllera pas qu'il faut « allI er à l'éthique par l'esthétique}), c'est il'instrlJ"cti'Ou par l'art et la · he~:mté. Un vieux prov,e rbe persan dit: « .L'alTIOUr entr,e dan~ le cœur par les yeux». n en es.t de m'ênle (pour l'amour de la patrie. C'est pourquoi il est urgent de r'e prendre C'ontaot avec l'art national. Nous devons nos tourner v,e rs les enfants de nQs écoles et leur dire: Gardez-vouJ d'abîmer l'héritag-e que vous ont légué vos parents. Un trésor -est 'c aché· dedans. Nous n'en s'a vons pas l'endTOit ou plutôt nous ne le s'a vons pas eXR,c tement, c.a.r il est . répandu partout; il se caohe S'ous les vieilles pierres de nos l'empa.rts, sous ·· l'e s parois de mélèze noirci de nos chalets; il se cache l'e long des rivages de nos I acs-, dans nos bois, dans nos plaines, au sommet de nos lnontagnes, au fond de nos vallées, -derrière l'humble chapeHe qu'ombTagent les grands arbres;' derrière l"ancienne maison de nos cités populeus.es, dans · nos . hôtels de ville, dans nos églises, il est partout .où quelque ohose de suisse .est encore debout, -ce trésor, c'est . l'.esprit suiss-e :' au;x vingt-deux reflets. Celui auquel nous devons d'·être ce q\l·e .llous som·m es, ,c.elui auquel nous devons no.s mœurs et nos fortes . vertus. .J,e ne saurais mieux résumer ,l,a question de l'enseignçment rural ·qu',e n vous 'citant la déclaration ci-d-essous: . ·Conférence internationale de ' l'ins'ÎTuction publique réunie , le 13 juillet 1936 à Genève 's ur -c onvocation du Bure~u international de l'Education adopte .].~ recommandation suivante: (A suivre) J

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GASPOZ, A [ntoine]. Monographie d'Evolène. Sion, Fiorina & Pellet, 1950; 8°, 175 p. pl. TA 9450

BIBLIOGRAPHIE Les ouvrages signalés ci-dessous peuvent être obtenus gratuitement en prêt à la Bibliothèque cantonale. Les cotes indiquées sont celles de la Bibliothèque cantonale.

VALLESIANA 1. HISTOIRE - BIOGRAPHIES - FOLKLORE GESCHICHTE - BIOGRAPHIEN - VOLKSKUNDE BLONDEL, Louis. Le ,c hâteau de Chamoson. Extr. de: Va11esia. 6, 1951, p.p. 27-34. plan. PA 5024 Le ,château des de la TOUT-Châtillon, à Bas-Châtillon (Niedergesteln), Extr. de: Vallesia. 6, 1951, pp. 43-57. pl. plans. PA 5026 BUECHI, Albe-rt. Le cardinal Mathieu Schiner. Adapté de l'allemand par André Donnet. Neuchâtel, La Baconnière, (1950); 8°, 317 p. rportr. TA 982·5· CARLEN, Louis. Pater Josef Biner 1697-1766. SA: Vallesia. 6, 1951, S. 87-110. PA 5028 C e n.t e na ire des Arts et 'l\tlétiers de Sion, du 25 mai au 19 juin 1951, (LiiVret 'officiel.) (Sion, Fiorina & Pellet), 19,51; 8°, 97 p. Contient: Cent ans d'activité de la Soc. industr. et des Arts et Métiers, par Léon Imhoff. PA 5032 COURTEN, Eugène de. Un régiment valaisan au seIWice de la France dans la campagne de Valteline de 1624-1627. [St-Maurice, Impr. St-.&ugustin, 1950]; 8°, 65 p. carte. (Extr. de : Annales Yalaisannes. Série 2, t. 7, pp. 253-317.) PA 4871 DELEZE, Pierre. Les familles de Nendaz à travers les âges. [Nendaz, 'c hez l'auteur, 1951]; 8°, 117 p. TA 10.056 F AESSLER, Thomas. Bundesrichter Dr. Felix Clausen. 3. ' Taus. Freibur·g , Konstanz, [etc.] Kanisiuswerk, (1936); sP, 64 S. (Kleine Lebensbilder. 104.) TA 945G

GATTLEN, Anton. Das Finanzgesetz von 1851 und die milWirische Besetzung der Rarner Schattenberge. SA: Vallesia. 6, 1951, S. 153-177. PA ·5 029 GHIKA, Grégoire. Arrangement entre Guichard T.a .velli et Pie·rre Crochon, de Genève, au su~et de leur.s armoiries (1446). Extr. de : Archives héraldiques suisses. 1950, No 1.-4 P. fig. PB 494 Sur ,l e culte .de la Sainte Vierge en Valais. Extr. de: Annales Valaisannes. T. 7, 1951.- 8°, 19 p. fig. PA 5375 IMHOFF, Léon. La démolition des remparts, l'ouverture ·de la route e.t de la rue de Lausanne, à Sion 1830-1870. Sion, Impr. GessJer, 1951; 8°, 19 p. pl. (Tiré à part de la Feuille d'Avis du Valais. 1951, No 60.) PA 5483 50 J a h r e Musikgesellschaft Gebüdemalp, Visperterminen 1900-1950. Festschrift. (Naters/Brig, Buchdr. Oberwallis), 1950; 8°, 17 S. Taf. PA 4846 LOUP, Robert. Martyr au Thibet: Maurice Tornay, chanoine régulier du Grand St-Bernard 1910-1949. Fribourg, Ed. «GrandSt-Berna.r.d-Thibet », (1950); 8°, 272 p. pl. portr. TA 10.085 MATHIS, Burkhard. Um Kleid und Tracht. Dem lieben Volk des Saastales ZUT ErhaJ,tung seiner schonen Tracht ,gewidmet. Freiburg, Kanisiuswerk, (1945); 8°, 45 S. PA 5420· (MONTANGERO, R[obert].) 25e Anniversaire de l'Union commer-· ciale valaisannE (UCOVA), Sion, 19.26-1951. (Sion, A. & E. Schmid), 19·5.1; 8°, 43 p. pl. portr. PA 5060, PELLISSIER, Jaoqueline. Jacques-Etienne d'Angreville et sa bibliothèque. Extr. de: Annales val. T. 7, 1950, pp. 221-242 . .pl. PA 4718' (REMONDEULAZ, Joseph.) 7.5e Anniversaire de la Caisse d'épar-. gne du Valais, Société ·m utuelle, 1876-1951. Martigny, I,mpr. Pillet, 1951; 8°, 20 p. pl. ip ort. PA 5011 RIVAZ, Paul de. Histoire eontemporaine du Va,lais. Sion, Fiorina & Pellet, 1946-1950; &0, 2 vol. 2 portr. T. 1 : 1847-1880. T. 2 : 1872-1906. TA 5255 Sai n t - M a l i rie e d'Agaune. Extr. de: Echos de St-MaJUrice. Année' 49, 1951.- 189 p. pl. fig. TA 10.167 SCHNYDER, Albert. Ludwig WerJen, Kunstmaler und Professor. SA : Walliser Volksf,r eund. 1950, Nr. 48.- Il S. Abb. PA 4737 SAUTER, Marc-R[o.dolJphe]. Préhistoire du Valais, des origines aux temps mérovingiens. Sion, [Impr. Fiorina & Pellet], 1950; 8°, 165 p. pl. (Extr. de Vallesia 1950.) . TA 9375 STELLING-MICHAUD, Sven. Les étudiants valaisans à Bologne et la réception du .droit romain au XIIIe sièc1e dans le diocèse de Sion, Extr . .de : Vallesia, 6, 1951, pp. 59-85. PA 5027"


II. GEOGRAPHIE GEOGRAPHIE -

434VOYAGES ,- ALPINISME REISEN - ALPINISMUS

BLANC-GATTI, [Charles]. Vel.'lbier:, vu par un peintre. Neuchâtel, Ed. du Griff.on, , (1951); 8 0,56 'p . pl. (Tr,ésors de mon pays. , 51.) TA 10.275 BORNAND, Marcel. Isérables, «pays ,des Bedjuis ». Ses vallons,' ses alpages, ses montagnes. Lausanne, Ed. Spes, [1950]; 8'0, 38 p. pl. (Coll. : V.allées perdues.) PA 4686 'DONNET, Anclxé. Le Grand Saint-Bernard. Neuchâtel, ,Ed. du Griffon, (195.0); 8 0, 52 ,p. ,p l. (Trésoo-s de mon pays. 45.) TA 9544 De,r Grosse St. Bernhard. (Autorisierte Uebersetzung von Max Pfister.) Bern, P. Haupt, (1950); 8 0, 52 S. Tai. (Schweizer Heimatbücher. 38.) , TA 10.213 SaHlon, bourg médiéval. Neuchâtel, Ed. du Griffon, (1950); 8 0, 48 p. ,pl. (Trésors de mon payS. 47.) TA 9818 Fer i e ri w 0 h n u n g en. - Zirka 2000 môblierte F'... im BernerOber.l and und WaUis 1951/52. 16. AufI. - Liste des logements de vacanceS ... Be,rri, Puiblizitiitsdiénst der La trschber.gJbahn, 1951;' 80, 144 S. Abb. PA 5278 'G r i m sel pas s. Poststrasse Meiringen-Grimsel-Gletsch. Bern. Kümmerly & Frey, [ca. 1932]; 8 0, 92 S. Taf. Abb. K,arte. (Schweizerische Alpenposten.) PA 5299 HABERMANN, otto. Rhone: Brig - Franzosische Grenze mit Genfersee. Zürich und Leipzig, Grr:ethlein, [ca. 1928]; 8 0, 61 S. Abb. Karte. (Wasserführer ffu FaLtboot- und Canoefahrer.) PA 5372 Hoc h g e b i r g s f ü h r e r durch die Berner Alpen. Hrg. von der Sektion Bern SAC. 3. * ' Aufl. von W [illiam] A [ugustus] B [ revoort J Coolidge. Bern, A. ~rancke, 1948- _. CA 236 MARIETAN, Ignace. Ame et visages du Valais. Lausanne, F. Rouge, (1949); 8 0, 257 p. :pl. (Collection Alpine. 9,') TA 9162 "REY, GUJido. Le Mont Cervin. -'- Ouvrage tr.ad. de l'italien par Mme L. Espin.asse-Mongenet. Nouv. éd. Lausanne, Ed. Spes, [ca' 1948]; 80, XXII+315 p. pl. fig. CA 241 -SCHMID, Walter. Rendez-vous à Zermatt. Adaptation française .de J[a.cques] Cosandey. Lausanne, Payot, (1950); 8 0, 91 p. pt en couleurs. ' TA 9983 Sim pl .0 n st ras s e Brig-Gondo-Iseile-Domodossola. Brigu Blatten-Binnatal. Bern, Generaldirektion der PTT., ,1950; 8 , 72 S. 15 Tai. Karte. PA 5414 (STAUB, W[alter].) Vallée d'Hérens. Route postale Sion-Haudères. Berne, Kümmerly & Frey, [1932]; 80 , 15 p. (Postes alpestres suisses. ) PA 5298 :Stre-ckenbes ,c hreiburt -g B. L. S. Thun-Lotschbe[')g-Bdg und Spiez-Interlaken-Bonigen. Bern, Publizitatsdienst BLS, [1951]; 80 , 23 S. PA 5277

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(VOLMAR, F[riedrich] A[ugust].) Le chemin de fer FUl"ka-OberaLp: , (Texte adapté de l'allemand par Jean Marteau.) (Brigue, Che-min de fer Furka-Oberalp, 1951); 8 0, 20 .p. fig. PA 5378Die Furka-Oberalp-Bahn. (Brig-Furka-Oberalp-Bahn, 19!Ü); 8 0, 20 S. Abb. PA 5379! (VOSSELER, P[,a ul und] W[alter] Staub.) Die Furka Poststrasse' Andermatt-Gletsch. Beru, Eidg. Postverwaltung, [ca 1932]; 8 0" 15 S. (Schweizerische Alpenposten.) PA 5300· WENCK, R.obert. Durch die Monte Rosa-Ostwand auf die Zumsteinspitze. In: Jahresbericht der Sektion Basel S. A. C. 1946. S. 3-16. Taf. CP 186: ln. LANGUES ET LITTERATURES SPRACHE UND LITERATUR. BICKEL, Benoît. Soleil dans les larmes. Nou.velles valaisannes. Sion,. Ed. Fipel, 1950; 8 0, 259 p. TA 9810, CARLEN, Albert. 250 Jahre Studententheater im deutschen Wallis; 1600-1800 (1850). Sitten, Fiorina & Pellet, 1950; 8°, 142 S. Taf. (Diss. ,p hil., Freiburg. = SA. aus Va:llesia 1950.) TA 9374 EGLOFF, W [ilhelm]. Enquêtes d'un dialectologue sur La vie romande. Observations sur les anciens métiers et leurs vocabulaires. (St. Gall, Ecole cantonale, [1950]; 8 0, 63 p. fig, carte dépl. (Annexe au programme de l'école canto de St. Gall pour l'année scolaire 19,5 0/51.) PA 4685 (FURRER, Hermann.) Deutsche Spra'ohlehre für die Vol~sschulen des Oberwallis. OberstUlfe. Sitten, Kant. Lehrmittelverl., 1950; 8 0, 96 S. TA 10.450 FUX, Adolf. Eines Sommers Wahn und Ende. Jungwuchs auf Hoh'neggen. Erzahlungen. Bern, Gute Schriften, 1950; 8° 5,9 S. PA 4850 G[ATTLEN], A[nton]. Deutschwallis. Eine geschichtliche UebersÏJcht. Aus: Spra-chspiegel. Jg. 6, 1950, S. 106-1.10. PA 4923 GERSTER, Walter. Die Mundart von Montana (Wa1lis) und ihxe Stellung innerhalb der frankoprovenzaÙschen Mundarten des Mittelwallis. Aarau, H, R. S)8;uerHinder, 1927; 8 0, 157 S. (Diss. phil. ~ürich.) TA 9534 IlViESCH, L[udwig]. Heisse Menschen. Walliser NoveUe. Aus: Stadt Gottes. Jg. 74,1950 + 75,1951. - Total 16 S. PB 533 IMHOF, Adolf. Heimatlos. - Dr.~atisDhes Singspiel in vier Akten. ,Lieder [arrangiert] von A' l', Zfuich, Grütli-Buchdr., [ca 1950]; in-foLl., 38 S. Noten. PB 496 lm GantertaI. Dramatisches W,ailiser Singspie1... Dichtung und Musik. Zürich. Elgg, [1949]; 2 Fasz. Text: 89 , Musik: 4°. PB 524


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Anna- ] Sr Angela. Be.gegnungen. Freiburg, Kanisius[1950]; 80, 64 S. PA 4848 __ Liebe hinter veT.gitterten Fenstern. Luz ern , Garitas-V e.r1., (1950); 80, 35 S. PA 5413 MARCLAY RobeTt. C. F. Ramuz et le Valais. Lausanne, Payot, 1950; 80, 157 p. (Thèse, Lettres, Lausanne.) TA 9541 i MARTIN, Colin. Poésie et réalité de l affaire F~inet. faux-mon1950, ur Extr . de: Ga:oette suisse de NumIsmatIque. naye. PA 4740 No 3.- 3 p. n. ch. lVIICHELET, Marcel. Deux amüUŒ'S? Paris, Alsatia, (1950); 8°, 269 p. TA 9814 pl. portr. . RENKER, Gustav. Warterhaus Elf. Roman um die Lotschberg. bahn. Ba's el, F. Reinhardt, [1950]; 8°, 2,5 1 S. TA 9878

druck~rei,

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v.

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