N • 8. Quant aux solutions elles-mêmea, la place noua faisant dMaut aujourd'hui pour les donner, noua nous bornerons A indiquer lea réponses. Celle du ter est 175 fr., du 2•• 6 kil ; du s•• 18,000, 27,000, 32,400, 43,200, soit au total 120,600 après déduction des frais (10 •f.). Ci-après deux nouvelles questions à résoudre pour le prochain numéro. A. ce sujet, prière une fois pour toutea.à nos chers abonnés de faire en sorte que soit les réponses aux questions posées, soit les communications qu'ils ont à nous adresser, nous parviennent toujours le plus tôt possible, en tout cas 5 jours au moins avant les dates que porte le journal, lequel paratt le 5 et le 20 de chaque mois : 1•• 3 joueurs conviennent qu'à chaque partie, le perdant doublera l'argent des deux autres; ils perdent chacun une partie, puis ils se retirent avec 120 fr. chacun. Quelles étaient les mises ? 2•• La somme des deux chift'res d'un nombre est 10; si l'on intervertit l'ordre de ces chift'res on obtient un nouveau nombre qui nut 84 unités de plus que le 1". Quel est ce premier nombre ? Conférences. - Celle du district de Sierre aura lieu à Chippis, le 22 de ce mois, et celle d'Hérens, à Mase, jeudi, t•• mars prochain. N'ayant encore reçu aucun compte-rendu des conférences tenues les 18 et 23 janvier, nous prierons nos correspondants chargés de nous en adresser la relation d'y mettre un peu plus de célérité, afin que les lignes attendues puissent parattre au moins dans le prochain numéro. Même recommandation de se montrer un peu diligents à ceux de nos abonnés chargés de nous tenir au courant de ce qui a été fait dans celles qui viennent de se réunir ou qui auront lieu dana la suite. AbsenGes. - Une commission scolaire nous demande si le Conseil municipal a le droit de remettre en tout ou partie les amendes encourues pour absences non justifiées aux écoles. La loi en mains, nous répondrons non, car elle prescrit le chift're de ces amendes sans aucunement conférer aux administrations le droit sur lequel porte la question posée. Pour plus amples renseignements, il y a lieu de consulter la législation sur la matière ainsi que diverses circulaires du Département de l'Instruction publique. :llectUlcatfon. - Le nom de M. Zéphyrin Guérin, de Revereulaz (Vionnaz) a été omis involontairement dana l'état nominatif des élbves-instituteura fr. (tro année) publié dana le numéro 4. La coiii.DlÏllsion scolaire de Revereulaz nous fait savoir auui qu'elle revendique pour la paroiaae de ce nom les deux élèves-institutrices imputées à Vionnaz. Elle tient d'autant plus à cette rectification qu'elle croit savoir ce qui est nai - que les jeunes personnes dont il s'agit font honneur à leur village.
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*"'*Enseigner, c'est apprendre deux Cois. (Joubert). *"'*Quand on applique la sévérité où il ne faut pas, on ne sait plus l'ap· pliquer où il faut. ( lfl.) ft.** Pour enseigner la .vertu do~t ~ est tant parl& dana Platon, il n'y a qu un moyen: c'est d'ense1gner la p1éte. (Id.) · ·
Sion, 20 Février.
1882-83.
t I&Otl PR~K!ŒI 9
O)lGANÈ J?~ LA
• SOCIÉTÉ VALAISANNE D'ÉDUCATION •
Bo=~~~~;~~~rp~eu ~.. ugepm~nt. à l'éeoleh primaire. -:- De l'inatrucd . . nnc1pea ca1 oliqua (smte) _ •éth o 1ogte (SUite). - Ne négligeons pal! lea pe~ita -Le . .. oses (fin) . - Education ph aî (fi ) . . çona \&e chojeunes instituteun. - Oh:on1q.U:.e e: ~vi; •Oconls~uls pratique• aux . o auea.
Uultare du jugement • l'éeole prbuaire. ,. Les e~ants ~ont à l'école non-seulement pour acqùérir de I_mstruction: ~ais enco.~e ~t surtout pour y recevoir de l'éducation. de lmstJtuteur est donc d"er~o........ · ' La 1 · m1sston 1i . :~c.v"' ausst ceux ~~~ on Ill C?D e, et pour cela, il ne saurait se bornèr à développer 1un_e ou 1autre de leurs fac~l~és, mais il doit s'efforcer de les cultiver toutes, et de les équihbrer peu à peu par les eo · sanc~ d~nt il cherchera à les enrichir. ' nnrusN ~ubhe-t-on pas quelquefois ce devoir si important surtout dans es classes où Ja routine joue encore un tOie tro'p · dérable t eonsJToutes les facultés ne reçoivent pas une égalé cult d o~~e e_ontente de lectures inintelligibles et monotone~ uJ:'lo~~~~s r. Jtahons bonnes tout au plus à tollml.enter les ~nfants et à n exercer que _leur ~émoir~. Que. dire de l'enseignement de Ja langue françatse, qu on frut consister ici et là dllns la connaissance de qnelques re~les gram!Daticales, que les élèYes apprennent ~ar cœur, sans en fllll"e Ja momdre application 'P Le plus souvent ~ s n~ distinguent dans Jeur livre de lecture, nt la nature ni J~ .onc~?n des ~ots, et. les phrases soht pour eux un asse~bJage mco erent d e.xpf!:?SSIOns quelconques, dont les accords et les slaces sont des émgmes indéchiffrables. La part faite au jugement e_s enfan~ dans .un pareil enseignement est on ne ent lus IDlcrosC?plque. D1sons donc un mot de l'importancepde ~tte facu_l~é mteJleetueHe, surtout quand elle est éèlairée ar 1 luiDleres de la foi. P es SOI~=r~onne rj~t ore q~e c'est le jug~ment gui règle en quelque a con m è de 1 homme et qu1 contnbue puissamment à