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présence. . Les ~oll~SJ8'in.ers rnrUinici:pa\U~ die PIaIn,s: 1nes ~/nde·m1'lités.
Supplément au 3-10 6 'de f "Scole" (1901)
Le loyal chrétien .
Le ,1Io~3Jl chrlétien peng,e Cie qu'il dit, dit lCje qu'il lpens.e, fait ce QiU 'il <lit, En tT/ois tliait~, voilà 'SIa: physionomie e,tsa fière devise. r. - H rpe'œe: ce qllù'il dit. - Il ~'e, dit ch~é1lÏ!en e·t ~'l l "8'Slt, par la. f.oi éelain~e et pr{){[.o[}jde. il cll'oit et U Sialiit ee qn 'il ICtl":Orit; il le Slait, et pair lia sei/ellee Idle l' e.s1pr1!t qua. vient de la l'iéflexi'O!D. l8!t die l'étmidJe, '8ft .piall'! [lJa S!0ÏJooce du cœfUJr, 'Qlui rvient de la prière ide la. vemuu. ToruJt flo/tte a.u~jou.rd 'hui 1, ~M·e. dlltIns ,l a brJUJmel illJClo·ru'3rust.ante des OiP-Ï~e ~oy:ou: 'YY!es p'icaiUons. nio,Ths. Le lo~:ail .chrétien Q's t UJJ1J con~n:flJll, deipu~s il a liste c'ivile de llDIS vaincu. I~mJA Ju.~qrll'à ht tirelire ·de nOls béhés" II. - lil d!iJt {'le- q:u'il peDise. - Il leH, 'Sly-nOfl1J'fmes ISlont ~Jla\rtoIUlt S/U!hsti- e~t ICIhr:éüen et il l Ttéllffirms. Il ·a ] e t11lf~S a)U' PQm 'PiJ"Oipll"ie. NIÛIUI3 (CIOfillIPil'i8CO'UI:va.g1e de ISlai eonviiotiooll. Il dit no[}'8 qUJ€ J'iwrgent 81St ila1 c:a\l1lSle die toutes nOls ibmr1pi'!n.1IdJes, e,t no[uJ.S! lalVOiD.\S qu'il e:s.t ·ê t ce q\u'il 'Pens(~, cha,qfUJe fO'ls qu'il jlUg18' l'o~caJsiün utile et né'.honte de \plTlOlJlÛ'lJJC,er !SIOlll. 'n om. .Ji!. en est ~I ·]nême qlulall1JéL noms ces·s,arurle. AIT milieu de l ~a.ff,a;js·s.e· vomirons expn'llner q'L1Je nJOIUIS' 11 'a!VD!l1S Inent .des voJ·o[l,ués', 'elll. .ce lSiècle, le loyal oCthr€lt~elll. em 'Un <:SJl'1ac.tèr,e. paIS. d!' Ulflgèlll.t. III. - Il fa,it oe qlH 'il Idlit. - Il s~e J e mi~.nqUl~ d'os, j,e srtri:s. d\mns, la. d~t oor:éltien, et j[ le prouve pail" -s,a pa1,~ne, ~,e IS~11lJS .en dèche, je SlIllÎlSi dJ&nlUle ëpe u}'Çt1.se, Joe n'lai IPlalS d' ache toi- VIe. ]1 ·e st fid~le à la! ;par.ole dJo!llnée res, Je SI1118 ~ sec, i',airetouTné rnes à Dieu, ·aIU jÜlrur de 'SIOn ba,ptêrnc et de JJoches, l:e rZ~able s'est logé dans rn.a 'sa rpr,eun'ÎÈ'-rle. OOIl1JIDflluioll; ct pOUT hO'flTS,e, ,il )ne Œlwut d~ l!al ,qcüette, je ~',a:rder mriellllX la; lÜ1Y:~l!ltlté -de S'a! pro?'ll.]S! ,a, tond de caZe, Je SlulilSJ décavé, IDei,'3IS18', il rre11I'Ielill!pe sü!UJvent slÜn CiOUJra~te d'aIlJs, la priwe et les, Sialc.rements . Je TI ·ail !plus de 1"onds, etc. . . PO!l~ur ne IRIRIS diTle vingt fl~ail1:CIS:, on Le loyal Glhréltie:n eSit un homm·e (ht: Un lou~s, ttn napoléon 1.,tn jœu- d'honnJelll/r. net-, vingt balles, ,etc. ' • • • 11,Pollllr ne IP,als dire cinq fTlall1C1S, on * UN MALIN RA'l" - Un (pIRy$8lIl ld'EttJm,. d~~: Une 1'O~tÛlCl1"de, ~lne 1'o~te de de1'- ge.n ['emM'<)juait Idepui,s qu~ques jolOll"S' ql1lle l'Ull1e Ide ses V'alclb.l€5 ne 'ŒOIIlll1ait !plus la qlUlalI1ne1'e, 1.,tne plaque ·etJc. lete . N 'OI~b.liOlllIS pas' QUle' IVL' 8eribe 'a titê Ide lruit O!l."it'inaiTe. .IIan.imall IIl~oétaIIlt lPaJS mailiruc1e, on iPensa 3JVoÎI!.' aID1iaire à ,UlIl ImlIl"a)UlDNoe'IlJ~e, ou rp}llItôt modifié 'Cl 'ua1le fajdJelUJr e1J 'Ulne s'UlrVeill'lmce étIDoi-te, marus d!Ilru:ti(~on bum . ·aiÙ'Dol~t,e; '1 '!Um. dies lSy11ony- rre, fut établie. QlUleillle [le :fut prus Il'a SIUll'(pil'1Ï:Sle ml~Js 18,8 , p'l~ u(s.tUes Ide l "alI'lg'Emt; oC. 'est du jplUy'Slall IOII.'Sq!U?um. ibe\aIU ISlOirr il!. vat UII1 Ir'at .]IUll q\111 a dit le prmnieI": IsP;ajptpJ.·ocl!er de lI:a V1aJcfue, hIli Jg1I.imper [e 1l0000g Cent bonnes ll1il1e liv.r,es rue i1.~enrt:I 8\S. ,de !a jifLmIbe et se SUJSlPeDidtt-e \SlU [pis \pOilU' 'b oire avec dlé'l;i~ ae ip'l"êcieux ŒiqlUli<dle, \IJIUlÏlS QUIe (ùe choses dians cet 'Rldn'ecrtif! Le foœrtJi,o!IlJllIa,~r(e: mes émoluments. L '.am/DeUIl': 1nes d1"oits d'a.u.teur. Un ll1\a.~re: mes frais de b1.trea1.1. Un ellllployé: mes appoùdemenis. L ''OIU"nrI8llli3e: 1nes petits bénéfices. Le V8Uet: 'mes ga.ges. Le ,g~a.rç-Otll ,dJe café: 'mes po'u1"boires. Le ·caŒitCiot: ·m a gnelte. L "ai"'T,o'lœ: une provision. L ',ag1eTlJt idJe IcÙ1laa.1ge: un e couver -
,AprèS l'Ecole'
et.
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IÙtlsplGl1l.'.attre enSiUlite en <li~3:rut ISIOIin Ide f ,aiTe 'dts{p!amattre tOlUJte tL'!aœ ~ BOœl ~
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L'Union de la J e~l,nesse et le Cercle de perfectionnement des ouvriers à Heidelberg. « L'esprit die société y exerce peu ,de rpûuvœ-r », écrit lVIme de Staël, à ,proPos 'die l'Allemag;n!e. On flaàt dire pal'lfois à cette comte rpihooSle, en La oopal'lant dU! texte envirOlIDant dont elle s'écl;airo, ms, IP1UI& étranges, MOSleS. Oertains dle nos compatriotes en ,sont ,encore à s-e figmrer - srur la foi d'une citation tr'Onquoo, - que nOlS vo1sIiTIJS oonJtinuent à vivre d'une vie indJiviooeUe et 0wsanière, que ,l es Alle-mands 'SlOut totalement dé.pourVUlS d'a,ptitudes ,SJom'alles. 01\ rien n'es't plus oontl'laire à 1~ vérilté. La vérité, c'est que l 'Allemagne TOUJl'lnille d 'associatioIl'S' de ·toute- natUJre: B()lciétas d'écoliers, dI'éltudiant-s univer\Sitaire.s, d'mstituoours" dI'.an~iellJS militaü~es, ,sociétés ,<1"aœtisa.ns de tous 'Ordres, lSolCiétés oChortales, .lnug]üa.les, athlétiq.Ules, sociétés d:e bienf.aŒSlance, die rpi'()Iptllgande rpOllitique on lieligieuS'e ... , q.Uli ,p!OlU:rl'lait les nommer .toutes ~ . T'Qurt .Allem,arnd qui s'e· re:spoote, c'est.-à-dire q.ui 'a~ime le ]Ioca.l moyenâgsUt.X. où 1'on boi!t, ,1'0'Ill fum'e et l ''Ou chante arv ec l1.lill.e rp.arf.a1ite bonhÜ'ln~ e ( Ge1nütlichkeit) est Im emihne actif d'alu moins deux ou iJl~ois oo:roles; dans .certain nambre d',auItl"es, il e~t luembre honor,tll~re, ;:rne-mbrle 'P~!SISU et ,pia'J1anlt, ihône Idle tpa!sSJage. Boire une fois la sem,aine .mec ~'e :plus g'l'anQ nombre de g·ens ·poSiSiiblJe, c'est !Une d'aQon üon;lme une autre d!',aIffiT'ln{3l~ !ses .sentiments dIe iSlobdlalrjJté ,810~iale. TI n'est
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pas .dans notre plan de dis'cuter aJuj'Ûlurx1!'Jmi 'les I3.V,Rntwg.es' et
les inconvénients de ces· instfi.rtUJtiQD!S ,:si r.épandtues. Noms voud'rt.Î.Qns sEmllement {Listingller de la lllJalSS'e deurx assooiatioIlls que n'Ous mons V1ues naître, 'S'e dévelorpper rrupidiement et donner ides r~suù.iJats pwtiIC1.1lièrement iniJér:8'S'S1aIIlts iWl1X yeuoc 'des édu~ calteu:rs et dle ceux que rpréoocllq)ent les quœtjoIllS sOOÎJales.
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Il iS ',agit die l 'UniQn œ 113; jeThlle-sse (Ju,qendb'lJ..lnd) et dttl! Cerole de 'Perfootionnenlent des {)Il1vffÏers (Ar. beiterbildungsverein) de Heidelberg'. La première s'ociété 'r.eço: t des jeu;nes gens q'Uittant l '~le primaire et looo c{)ns-erve jusqu'à loor 8Or- . ti:e de l '·alPtP r'8ntissage ; l'aJUltr-e est !Qom~)lÜisée d'OUV1I"i€lrs à 181 veille de !}Ya!s's'e r ISiOThS les dralpeaULX, ou 'libérés du servioe militaire ·e t DIOn enoor,e éta;blis 0O'1llme rpaltrons' oU! ch~i1,s de falnille. « De l'école wu ,r égiment ll, COlnme on le voit, et mêm'8 jUIS'q:u'à il'a famille nouvel1e. Les fondlaJteufis dU! J uq endbU'nd de Heid'elhefig fUil~ent deS ·inlSlt.itu'tetu'ls et des' desJserv,a nts œ p.a'l'101.sses. ·Cette uni()I!]J n '·oot !p.a8J .r,8Jl'1e -en Allemagne et nous pon:wOllJSl ~UIrer qu'e-Ue donne bea:UlCÛlUiP ,de foroo aux runs le t aux 'auroreS'. FllaPpœ des danJgers nomhreux qui mena.çaient 18'8' jeUlllles gens die 1acl,alSse .po.pill'l~.iro .après leurr sortie. de l'école, 'Ces €JdrUNlrt1eure oonooienciffillX ,rtés'Olrurent lœ'lolppûSler leur influence ,aux attractions de ,] a l'illie, du .café, delS' :alSooci'a;ttÎ:ooll'S Idle Ipuré .ré-j 0'l1~\S!s:aD10e, dans 1esq:ul811!eSl on ne ,s,ait ,qu:e 'b aü'le , f;rumer, chanter 'sans meSU1~e. Au Verein fiuuesiJe est, ûIpposé }e Verein biemJf:aÎsalnt. Leur œuvre f.ut d'ruoord. 'Uill,e 'œuVI~ d'initi/a.tive lCünrf,jlant€ et cour.u-
35 aJooune arvaooe ,dle f,ondls, tiDn de lenTS ,a nciens maîtres'. On ne ils;. rotrerent un ]ooail., f~renit iunpn- .!pouv,a:Ïlt s'OBig'er à muù.tipEelT 'Jdtava1Ilr. mer URe eirouJ.aire dlalllS 1a;quleUe ils talg',e ces r~uni011.S. Il s' a\git m.aillJS d 'laJiHeUirls de SlO'UeXiposèl'ent ~1UiX fia milles Le buJt rpoursuivi. Lœ pal"el1.ltJs co,m!p,ri'~ent 0t ré- mettre les j,eut1le.s gens à une 8urveilpondireDJt à l 'ap,pe1; 1P1lUs de 100 jeu- lanCle de ,t outes ,}es heur.es de loi,siT, nes ,~alrçOll1.s die 12 là 16 :aillS fooqu,en- que dIe leUJr dlo,n uer certalines halbitutent laJuj-ourdJ'lhui ,l e Ju.qen.dbund. Oe des d'ol'1dre ~ dle vie r:ég;u;li~l~e, ùn r '8f.pildle SIl.lJOOès s ',eXipli'q ue en fpia:rtie c1eœ1,ain ,eJ8lpra.1t dJe müI'lwlité fiait aiV,alIlt 'Par Ilia: natuŒ1e des ·re1atiOlnsJ q,rui per- touJt du 8lentilnent die la dlilgniifJé indis_nt, La. sorttie de l'école, en- vidlruelle ,e t de la S!OlidJ8Jri~é Idlallls le devoir joU!rnalièrement alOOOllIllPli. tre 1~ .élèves et .Je rmaJw e. Leg f'Ûlndaltemfis iumeIlltasBiez habi'M ême len vine, l'instituteur ne :perd 'PalS' de V:U/8' 'sles alllCieUSIécàli.ers. l,es porur dOIiller à .} ':adrrrNJS!Sion CeThX-lCi, die 18'Ulr côté, lui témoignent . cercle 1e oa'riacftèrte d'ume 'd istinction, ibeanroouip de eomjJance et de r'eSlpiec.t, Idiisrtin0ti'0n, il ·e8It vtt'1ai., 'à lia portée ils le oomskllèrent comme un ami sûr dJe tous lC'eux dcmlt la lCJoIlJdu~te et et un hon oonselÏJlller. ,Oooi ,S1emb1e tout momli'té ne ·18JÏsSlaLenlt j'U!squ ',a:10'1'5 narturJ'lel et l'on :poolflfiailt croirle inu- r~en à désirer. !Île d"en fuire ,1a: 'remwrqrue; malÎS QU/elq ue's 'exlol U/sioll1JS', il la IS'Ulite de es't-'on 'bien Isftr que 100 ehoses' 's e ,p as- f-arutt€:s dIe 00ndwite ,e n dreihors des sent ainsi ,chez nlO'1lS, 'e1; iSUf1tOTht en heurœ de 'r éunion, ISlelwirent heu;reuville 1 A qu.oi 00181 tÏ'ent- il1 La discus- Sieinent d;"eX:81np1e, ~ontri.huèr,ent à sion de cette questJion ne Tlentre .pars dOIlinJar ûo'nfiaUCi8' a.UlX f,anülles', à dans notre !Oadre; noUISI constatons IpI'Iévenir les lég'èrieJtés rpossibles des simtplement la. diifférence. alutres' !memhr:es . .ce qrui n "empê0haJit, N,oo.s larvoIlls tJorus 'entenJdu rpay.}'e r 'PaiS le 'Comlité ,d "Ulooepite r Qertain die oes tÏ.nstitu;tiOtIllS qui ne 8e !prroipo- . joull'" Is'Ur 181 're00mmwndJaltion dl 'une oontrien m-oins 'q'11Ie de sauver l,a 'l:H~~n;ne ,sérielus'e, un harrll'b:n répuj~UtneSlSe, si menacée, de nos j:ourlS; té m,aJUrv,ai'8 SInd,et. , dont IOn €Slpérran.t ooœ &omm'es' tous convtaincus die }eur la. 100'llIve.rSiion. utilité s'Ulpérieul'Ie 'et nOUlSI ,aiVO<IlJS a;pCar Ion ne :S 'initiimle IP~ en ywin 'plandi' de tout !Cœur ·alux 'paroles élo- inSltitrutj/on de lpirtév.oy.anee €Jt die sauqueniJes Ides hommes de bonne vo,lorrl- vetfrg'e, 1er!; illserait trloip fa.cÏlte :et. -trolp té qui "préeomsaient ,]elllJr 'Orlg;aTIÔsa,.. inutile de n '0 llV)rÏJr 1es rportoo qu'à tio-n dans' nOltre ipruyg. Mais oombien CffilX die qui non n ',a Ipas d'erreurs à <fu fois }es aViOnSl-nOUS l'Iencont.rées el':aindI'le. S.oiit dlilt en pWSlS'ant, nOill:l en !plein et 'frulctweux ,ex,erJCi:c:8'~ ;Ohez SOlTIll1eS rbOUIS ·en ,laI miatièl~e un 'Peu noulS, lru théol'1ie est 1JOllJjÜWflS gïéné- exc1usifs,; parenrbs et mallitre.s ,f ont ireUJS,e ' let .brillante; .1'eIS' dilf.fi'c ultés vol'Ûutier:s une sélection d,,8!SJ bOIllS' et oommencent . avec lia ;pralfrque. Est- des lualUrvaJÎs'. N'lest-il vmhllnent. paiS elle dl()~ v'l'1a.iment SJi d1fficile ~ Qu' .peœlnisl d'e1S;péreT, IS'ÛUiSi 'Une dâ.'r'ection on jrt.lrg.8 paT nos dlffilX e~emp]Jes. pruillentJe, s '·eIlltenéL, les' bOlliS ,ef,fets • de l'eXlemp[e rdie!S' premiers S'Thr les * ,8;ujoUJrœ * 'hui, à H,ei- J8.ooOlIlids ~ ,N,O'US! ,cira'ÎgnoIllsl l "actii()n Ils SlOnt donc ' drelberg, une centaine {l/'Jaldo1eslCent,s cont.r.arure et nOllls a/banŒonnons oeux qui se Téuni'ssenIt d'eux fois. ;la S 8- q:ui tOlnbent; 'c'eSJt UiIle f'Ûll'IDe danmaJÏne, le !Soir, pCYUll' palBiSler en:s·em- ,g\ei Deill3ie de l 'Ie/Siprit extClus-if en éduble quelq,ues heuœes rous la d~.l~ec- c-rut1on. QUIe dJe.viendr<>ult ~Ieux que g~US:e.Sans-
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oha,n~, à l 'la,naviiS'ill.'e ]00 rperldlent
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On n'excJut dionc pas à loa légèpe du Ju,gen.dbund ,ert; les' tpoll'lbe.s s,'en OUV1~eIllt vo1ootieT!S 'arrux rr8:pecr:ttlaillits sincères. -
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L8\S lSérunc8!& ,b i - h'ebdlomadaires S'Ont ·rendues aUiS!Si intére>s818.ll1.es· et ,a ussi fruc1nLeulSes que 'PO'SB ~ ble. Ce ne sont JJ8S' des oours d ",ad11l tes ; ceUlX-ci vivent en Allemagne de 18llN' vie .pflûlpre .c l la loi se ~ha,rg,e d'en OOSlU,rer l,a fréq'Ulentartion flégiUlièr.e. Ce ne !Slont IP as non 1P1UJS de vaines ,réuruions d'adole&Cents ba,yaa'dlS jOlUJanlt ,ai11X peüts clUJbmlen. Il y ·a une d]&cirpline, ooanme :paortout en Allemagne. Sans dOOJte ·a,UiJCllln de nos l,etCtoor.s n'ira songèr à la 'schlag1lre traditionnelle. C "est la 'Œœcipline 'V'olontair~ de jeunes gens qui ' l:Bont oorieusement 1es moindrres c:holSes et q.ui ne s',alVisent même ;PaiS d'ê' . tre ,espiègles; rien ne oontr.as,te plulS avoo llOO Ipl'lOpres mœul~sl Slcolaires que lia gr,a vité préooce, 1:a <conviction visible lav,e1C laquelle les j'ewnoo Allemands se liv,reIlJt à leU/rs ,exercioes de sœ.iété. ·Cette ,colllSidér:a!tion noUis donne à ,réflé0hir 'Ghraque fois que nO!UJS ·SrongeoIliS à préoonjls:er chez nOltLs les mêm,es ~hQtseS' qUre nous admirons, à l' ét1nanger. N ':8Jur10ns·-noulS pas les aptitudes néc€lSlsai·res ~ M,ais n'alloIlS pas désesipérer; les oooses po'urraient iprendne chez' no11.Sr iU!Il IÛIl1'tre 'oanactèr.e 'Sla/DIS que nons y rpeTld~.ons 'poUir cela les :UJvantages de l'imstitu'tion. . On né boit :pas, on ne ·rD1Nr.Jte ;paIS au Verein; si l ''On 'CrOY'8it Ique ,csl,a 'v a de Isüi, étant do'rmé l'âge des membres ·a;(!üfs, · .on /S'e tromperait étrangement. 'C 'est rmêmle, en Allemla/gne, l'un dl€!S ,a v:ant8!gesr ,des ,rêUrnrions dont '1
noUis par·lons .; c.a.r UÛlS VŒi&illg ont bsanrcourp de .p eine à rester Urne he-ùlr.e ensem'bl,e ,aa1'Près d'Urne ta:ble sèche (bei t'rockenem Tische),. le t·il est hnportant de ,réJawr de bonne heure ,contre ,c ette ooif h&rédita.ire. ,Comment s'Oi6CfU[pent les enfiants? Ils ont d'a;bord le pl~jsiT' dia se trouver ·ensemble, en Q()irrpS, d'êtl'1e membres ·a'Cti.fs de qUlelqfUJe Cihœe, d "B.!v\(ür fUIIl J.ooa!l, ,Uill d.r,ape:amr, qu~l.que ,modeste insigne. ,L 'eaprit d'l3J8Isoo1aJtion est dans le :sang allem,and; les 000.liera de huit lans forment par manière de jeru des vereine; rien de mieux que de donner un .aJiment il. oette passion :na.tioN!ale et de l:a ·rendr.e s:ar gement inoffensive. Lés j.e1ll!1le(g,· hôt~s du .iu,qendbund :a!ppr,e nnent eilsuite à d:&0uter quelqlUJoo ,petits inrtéTêtJs ; ihs' ont leuroajs'se - ,O\h bien légèl"le ! - ialim'è ntée :d'aiPPIÜ~nts si minimes 'que noUJs il>es tl'loiUVer10l1S' ridicules (nos jeQlŒ).es v.oiJ&ins, etl:X, uo riellIt :pa'8 s,i f~c~ le1nent des' GhOS:8S sé'rrenses) . . .
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Pruis les !II1emhr,es ipa'Î.'ent rl;n~a:ve ment de leur rperslo-rrne. Un s'oir, ils, f.ont une lecbUrre aussi :1.ittéI"laire et m8:truiCJtirve q·ue' pÜ8lsible lSIaIliS dépasser la po;rbée ,dfu j eUllJe ,a,udirtoire. Une '8Iutre fois 'C'est lUne caiUlSler~ie :p.réparée comme une leçon ( v.ortrag ) , m,ans déhRrr8Jssée àdle.ssl8in de tout l "aJppa.reil Id~,druc'tiqUleqll1i :poorra:j..t rebuter les l€'8prits des la.dolool0ents fat.ig'ill€s déjà dtulOOig rtI'lalVlarÏ1 journa-
HM.
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J'ai vou1u oonnaître le SlUJjcl .d:e que1que'8 UlIleB· Idle 088 oo'l1iseries, v;o ir l',e ffet qu'elles prl()d1l'.i.:sa=ent ,SIU:r ce· vublic .Isrpécial; je n'la i rpn:b que l{)uer Je choix ,éminemm'ent iplmiiqil1e die lia m.aMère, l ',es,prit 'r:éellement .impurlaire dans lequel elle ·étwI.t mjjgre en œuvre et v.ulgl8Jl'Îslée. Je cite Wl1i haœrrd:' Du rôle des vers de telire en ,a:griœJri:JuJre et dans
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la ;propa:g,a tion des germes morbides' - De l 'hygiène de l 'haibitation ; - De 1131 COOlstruction ,00 squelette 'humain· - Sur la, ha.baiUe de Gr;avelotte. A ~e pro.pos il v,a S'a.ns dire q-U'e l'on toUJChe :parfois la note ;paItriotique dams le ,iu,qenbund; mais ~ \Poor. œla 1J()lnber dans l~ chaiu{VlnlJ~
ma
:m-orrulement, ,esth~tioUiement mêm€,
' qUJe ceux ·que p!o5l'llfir,aient ,sll'r ,une
natll'r,e plus afflnee les chefs-d œuVI~e d'un 'a rt sU'}Jérieur ~ Ici encore l ',eSls'entiel c'e.st l ~éveil; éveil des aS'piratioos' meilleures, vision ineffaçal.. hIe d'un monde d'idées et de ~ti~ m,enta moins terre à terre.
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Sommes-nous .loin du JugendMe s'eTla-t-il rpeT1llis de ,renÙ1Jrquer que certams orgranirsa.teuJl'!S de confé- bund? Non ;PaJSI: je IpeDJSe m'êtr~ a',r ences porpulLaû..l'es dont on doit d' ail- 'vancé au cœur même de mon sUJet; 'leurs, reoonnaîtfi~ ,et louer le géné- j.e n 'ai ja~IDs ei bien ,appréci~ les,efreux zèle, -trans.forment, inoonsciem- fets heureux de laI nlodoote mshtu... ment rpenlJt-être, 1,00Jr -chai're passagè- tioll que devant 1e spectacle de .ces re len 'une tribune ,de violeooe ,et d'er- fêtes naïves 1~unis&ant 'Pour lm illSreur' - Il f,8JUJt rprendre gian.·de, tant une centaine de fami.lles dans quand IOn vewt f,arre l'érllUJOOt1on du ,}tes mêmles pensées et dans les; mêm€B' :peuple, de SIe laisser raller à flatte-r iml)lres:sions. Et je v-ûruilais signaler ses instin~ et ses poojUigés tenoo~. -spécial'em,ent J'heureuse ,idée ~e conOette rpente est étonnamnlent glIs- vier '100 rpa:l~entSl ,a ux exercICes de le'll!r,s lenfants, -de l,es y intéresser, de sante. 100r en donner le :p1a.isir 'et le !profit. • * • Mon Dieu 'oui, 'l es enfants .de nos ouPoulr, amener les enf,antS' à rpren- vriens' en remontrent à . leurs -pa,.. dre une iPalrt ,acll.ve ,a ux ,exeroices du re.nt&; c '€Ist ôa :ujourd'hui 'c1ans 1'~' Verein, on organiBe de petites ré- drre, et j,a.m-aiS! l,eQo-ru n ',oot ,aooum].he, jouissanoes da'ThS lesquel~e.s ~. "p,a- cr{ry;ons-le bien, ,avec plUlS' d€ IPI.~H61T raissent, comme acteurs Impr'()Vwes, -q ue celle:..là. devant leurs amis et 100 m'embr'es- de L'une des' att-ractions -des' s oirées l-eurlS ,famines. f,amilia1es (} 'lest l ''Ûrrohestre, dont Rarement j'ai vu mettre ,aUJtant toUlS' l€1s f}~oo'11tants' 'sont 100' ,m emhres ' d'entvain dans la prépar,ation €t la mêmes, du Verevn. célébration de ces /petites soiréoo. Ces Ce ne :sont Ipas des a.riistes, mais Inanifestations POlpulair:es me panais- ImlJr Uiuditoir,e n"en ,est :pais à laI v,asent de beauooup 8tiJpérieUJl~es 'et pré- leur d'un comma., €t 000 enf.ants tS '00férnlbles à oe.rtalÎn~ réunions, de gens ,c upent rutiJ:ema.nt. P ,UJÎ.s' ils chantent., plllB cultivés dont · rpersonne 0hez ,e t là je ne leur puis donnerr que des nous 'n e s'onge peut-être à ,rl.l"le. , lou,an~es; l'on eonll'aH aSSIez 100 aptiEt puis, l-e pe1llpl-e Ie.st le ;peruple: tudes, mnsioales desAllemandsetleu,r nous arntres éducateurs serions in- IprédilecÛ'on pour les' beaux chants exeœabl00 -de ne :pas îl e oomprendre !populaires, ,q ui vieTInlent éga;y~r Iles , . ~t de le ·t ourner BD. ridi'0Ulle quand il réunfÏons les ;plœ divoc,ses. A:r:rête-toi sans 'PeUT où tu :enfait effort ponr -8 'él'ev,er, qru:and il s 'émeut boru}tem~nt en !présence. de -tJends résonner ,de joyeux refr.alns, l'art, même imïp3:1if.ait, 'q ui suffit à l<~'B n1éeha,n ts n'ont -po'i nt C1e ohanlui donner un insbant ia viston de S'OUS », dit,à ipeu ;p rès' quelq.ue couplet ] 'idéal. M,a: prouV1era.-t-on que -les- €;f- 18,1l.emand dont les term'e'& ne me re'fets de cette vÎlsion :oout lUOm& bons v ~elll1ent 'p.<YUrl1 l'instant que vagUle1
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ment en ,mémoire. ,cartelS, qùand ils chantent, .touS' Cies enf,ants sont meilleuDs.
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(A suivre.)
La superstition en plein Paris au XXme siècle~ Les superstitions de Paris. - Histoitt e de fétiches et. d' a'l1~ulettes. .-.:... Dn cochon au coq en passant ,par la lune. On la vendu ,DOOeJ.TIIill/BInJt à 1'hôtlel D.r1oJ\lk.>t JUr.rJJe cJO!1Jloo1JÎJorn hi:na/fll"l€: c'étJa~ent des ISlpéc.imllelThS oho~sillSl" - le't 'd ont quelqlUleJS-U1ns 1a:fV/a~EIDt ruine 'V~' leU\r irutriDJ&èq,we eoœid&r!alb\l'e - 008 inllJOfJI1IbralbLe~ :D&tlliCÙ1:~, laaniUlIeJttes, ,poœte-bonheun~ ~t pio,rrte-V1eiDJe :alll!X-
QlUI€I1s s' eJSlt I3Jtt\a1CÙ1é IŒe:p/UnlS! um'e cin-
qlUla:n1Ja.ine prurÎls!Ïoo.
.a "arnnéos
l. 'le.rng'ÛlUement
'
Af\l! 1)lOinlt ,die v/rue dia 118, bu.ielloq:fwil'LÏ:e, ~e pa.risien 'VlalLut le nègiJ.·,e. Il IDlû. f:allllt un taIS de c;uüeuiX Ip'ertilits j'Û',Yla1UlX qu'iJ se pend 1Jarutôt 18.~1 00Ul, ,fJaJ1JJtôt à La
cha.îne die lJlJonfu'le. E :s!t-üe 00q ucitel']eî N-oIIl, llJJ!ais belaJu,cIOIUIP' rplloo génénail-e ment ,S-WPleJl1s,tiJtilon , Il 'lalffrnallloh1sISJeIll1ent 'alff~rmé paT iCI8Il'!tams, ,n ' a,) 7J al11t '})laiS' eDJoore ,ajtt1eint ~e dl(}g'lré où l'on fpe'ult, (PIaT ,exerrupJe" tSJ-a~'8'eoir à une tahle die jeru sa. J 'Oill ne pOi~sèdie :pals ISUù~ SOQ ,un s/aCÙ1elt ,de ICienK1'r'es' Dru un moœlooa\U' d!e ICiO l'die die 'penrlu1• La ŒeJ.'.nièrte va/Claihl{)[l de ,1'I-Iooe1 Drofuot no/UB ,a Œ'év élé l 'hilslbolÎllie 00IlTI'plète de Cte ,fétjJCtb.iJSInIe. En jpI'1()lCéKba!llJt ,paa: 0l1:XlIl'i8 ,cmiOOJoll:ogi'q1llJe, nOfUlS ~U'()(Ulv-onlS! d 'lUIbol~ Je b f LI(;'3let porte-bu nh-(;1f;r~ 'cer101e mlBlSsif d 'or l'pJ'alt qUli :a ét.é en VIOg.Ule: !pIenoarut pirès (Le di..x ,amnoos, puÙJs' Ile braceletsemaine fÜlHmé de 1181 roolllion de Se.Plt U\IliD.éBll1X 0Ü'lil"e~lp.olIldta!llt !CilTa~IUll à un joum de La semalÎllC') !puiÏs le br(l.celetdent de porc, ,ainsi nOll11JIllIé [pajI'/Cle qlL1' on y iSUlapeI1!ékt~t urne dent dnl ~r)U;-
(,ieThX ,anÎ1n.l1ail {:her à ~{OIIllSle\let, !puis -Emeoœ1e 118 b1-acelet-horoscope, 'P'OIl"ta1l1lt 's,rnlr '111IlJe Ipl]alq!ue ,(?Ialnrée à 'PlaInS cOIu\piés les IslÎgnes du z,oIdhilqll\e. Le COChU1t-porte'-1 Jeùze r.ellTIorute à ~8J même éjplütquJe. C'étlaci..t di'Ia!ÎJ1leuTs une lanmleltJte tu-ès ,allliCienne qUle le ~10(~hon; dlanJS lœ ISIalCJrfufitCe& d\8iS GaUQOtiiS, l,e cochon était ~ "8Jl1Îmal eXtpiatoi1l'e, prooerv3Jte1lJr d€JS mailéfiOO'S~ eJt som im8lge, gmos/Slièl'e1TI1ent illl1lÎlbée, la été fiet~OI1.1~-ée S'WI' les' colliJ8ms dalballlIt die la 'pr,etmièfJe apoqrme hisltülriQiUte de notre ,S~)[. • Le P:\a.risien versatile lui donna cependlall1t -bientôt 'POOl': SUIOOelSISle'Ulr l~ lézar d q we "1 'on rpO:l'Itla le!Illalgr:a[tfle au en hrtac)he; Im:ais ]e léea1"d éba,nt ISfllJSipect ~l J;a rrjlclüslSiÏJme clo/lonte arrnrériclruÎlli8. a8Ue-eÎ Iteru11a .de 1wbb91r ao'ntme ISiOIn enV181hiSlSlemenlt en lad:OIPlba/Ilit 11JllJe illünulSoU/le lampe ,ct '~o}r baijJtt,iSlée lampe d'Al-adin . Lézwrd et lrumlpe ~~~S'èl'ent. Vint l ' ond.i Cl, fétiche &gyrpt1.1OOl f'Û'mné cl 'UIIl Œil éTTIfaill~ d '-où ,s 'échajplpai,t 'UfD.8 }!arrfile, 'ceLa pendant que les Idilettantes tlaisimient SO!l11le~r à. '},eUlrls eiha[nes de luonrbre 'Ll1ne ISI()lit~ dIe rmédiaiille gJall'uD-o dJe s'1.goos ealha.liiS't1q'lll€iS dont jl fanai t allle.r ehem!lrer .1 "exP'lil(~(ilt]on !Chez 'LliliO deVÜll€lI'I€JSSle tr,ès hu~pé.e 1<hL q'l1amhie-r dies Chanl!pS~ Elyséœ. La pierre de lune 'I1eIPIl~e:wtla1t UUlle rJl]eÎne lune ciselée dlalUS' rune p.Îtm'll'0 ,arix teintes la~teuses, ; malheul:~eu-se ill!el1lt la bhllibé1()ite~"Îe 8J ',e n leJlllopi8lr!::i., (;lUIt l 'la1ul<fuoo d'e morueli liai rflalCe i ( , yeu~,e -da:DS !dm ", 16T'fle Ibejnté, 'et :IJIe fe- ' ti(')he ,booniha4 Les ,q-ri,q1"is eJn ,a:mibl'e 'ÜlllJt jlÛl11iÏ ,d!'iU':nIe v'Ülg1lle éDJOfl"ln~ q,ui IS'l.l)bs~slte ene()/l'l8 qiUleÙq'llle Q)'eIll\. Dalll6 Paimblie ceJI'cJé cl ' OlI', on enlfeil'nwaùt ,UIl1 iusJOO;t!e"oll] mieux un trèfle à qJuléi!Lœ feuà.Jloo", il 11 'exislba.it pas de mej1lielUlf mÛ'ven de r télLll81SŒT (~[l!nJS 1\8. vie.
"
C1toll/S eIT00rTIe le fétiche-philipPù'Le qfUiÏ 'CtÜŒlSiISÜ.mt en une IpJertmte iamia~de
8S
d'or dlont lœ IclJetuoc eOlqrulÎ.,ues vertes
1Ja!Ï~sla!ÎJe[Jt
l8111tr'O'1lr-
,a\lJielTlc1ervv,i 'r
UlI1'8
p~(1nf.e
prooiews1e: dilU!ll1an:ut OIUJ ·rubis; le fétiche-baccarat, eDJClOlrle ,t rœl ulSa.té, qu~ €Islt lUlJe bi'He de clI"Ï&uail'alUJ milieJUl de latqiUeHe {)Ill la inc1r/Uslté UIl1 roi die trèfle nlÏnuB'0uJ,e: 'l ia médaille de 8aint-Geo'r,qes, ,q ui présef\vaüt des chutes de chevaL etc., ,e1:Jc. .A. u:j'omirrd 'hui, l,e derni!elr oC!r1 elS~, ]le coq de montre, vieiJ.1e lpiooe de f1ne hrol'i!og,erie quiÏ !S,e 11lllOnQIe len l~roiC:he Vfll en épingü,e de clr'aVlalte. Sa v'elrtJu ISjpéloÎ'alle lest .rue :DaiÎ1Tle ilIllaœier les jlelUlIlJeS' glemls et d',alSISlll:ell~ lia :D~délité c1a!ll6' ,le m,adaLQ,'e, et SIon pll'1nci'plall IDIÉuTIlte' lelst dIe ne [plaIS lCloÛltlell' tœès che:r. C'est peU/r-êtlf,'e 'POU/l' c,ella. 'qUJ 'hl ne rfig;ull'lait ~1)aIS, dla,Dls ln. èlol] e1Cltion dle l'Hôtel D110fUlOit. • •
Dir'e .piOlUlliuarnt que n101U1S1 nlolUlSl 1110des Sauvlalge&! René Gr01.lgé.
qllfQllliS,
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Electricité et musique Le d1oo0t1elllir ~Vr.a'ull·ice DU'PlÜllJJt, cll.ef die 1ahoria(t.oiDet à 1. 'hôlpitaJ Saànte-Anne,n Pall"i,s, a ~herriclhé à irlelPll>:odul:re SIOiUl-: La f Oll'llTIte d; ~oUl11 CIOluo.1aUlt 'aùtleTnJa~ üf La. S'ar~e ,dIes' vihT!alüOlDSl qui ClÜll'll~eSI pond à une sérje dIe IS/OJ1S mu/slÎJealu'x ; le' 0.0.ura:nit aOterDJ3ft.if laônsiÎ -obtenu pep1"oldruit, ISlons 1a forme d' "un 00'Ulriaill:t p.étr±odiqu,!e 'Vlalrié, le ,tnalCté de5 viblTlat~IÜlns SlOTI'OI1'I€!::; cO'm":eiSlP.Q:ndJalutes d' lllue
phrlalse nl'u~~,clal}e. Ce ,OO11ll'1atrllt ,311telr:nlaltrif 'elst ûOllTI!pOlsé de rpérûlodels dont ]Ia fIiéqUJenœ CO'frespooo a:u ]]Iom.b r e de vib11arti<ms Idlll SOO. l~uI:brl€iffient dit à la hal1l1tel1f {!rU! som, SiÏ. bien qUl'un S10t1l migu fQTIlrn:ùrjal wu oC!ÜiU11unt · à vjbr'altiO!I1JS 'rl3{pidle8 a,-
,1oYls
'SIon g'l1a;Vle donnerla UIIi vér:iIOldles. Le 'ClO'UJI'lalllt a/lliJernaltLf IPliésenrlJe des rpht1l~le-s iSUlClôessives ,cOlTIjpioSlé81s '1œ U!nels de néniO!d0s I1ajp~dles, lleis ,afUltnelS die lo1llgUtes l)ériotdes" e<t ros Y1aiPfp.0/l'!ts qlU ' Uffi
cOLDl1a(Il!t
à
ÙJoill~U/elS
S8 de ees pha:Sl8S de ,péJriOOE'lS variées sont le'l1'brle eux C(Onlme les intcTVlail]€IS d;elS lS!OiJliS.
tllne série de l~e(':h elflClhes .sUIr 1el8, eff.eIt1s ,plhYLSiàlolg:i.qrruelS 'Qiue ipeuv,e nt IPOO,-
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'roqrUJetrl c.es CIOitllrlwnttJs TY,tùllln!éJs ISUlr le
De telle ,s,ou·te que '].e clO\UJrlamt, ,ail ternatilf eOirr:eslpondlaali à U!l1Je g,amrrne ISle COlnrllOlS1e de rp'PT101dPIS .Œomit ]e n o,m b:li~ et les il1atp\pm:..t~
{,'OIrlfie~pOilll(]ent ,ajlli
f,ytSltènle neTVoBUX. Il y~ la. heu de 1'1ecnertche.r une f0II1111lruli() de IQe\8, 00IUtl'/3Juts Iorythmés SlIlSJc€!pItibles. die ré'Pœldlr1e soit à l'éléluerut ,ooUJlmtr SlOcit 'R J 'é1ful1Jent, trlQ1phiqUJe, , ~t ill 'Plwr~,ît rpO'sisi bJ ~ dIe pré \noir dJelS oC01l1I1aJDJtJs lafljberIlJaltif,s pârü'ad~qués (( lalclC\OIridléis» de tel,l e SlO'rire lavec la oeJlIuJle ' IllerVffillSie qtUt' on p'uiISlS!ê obteŒl'ÏJr 'Œes phénOlffi€I.lJefS d ,(( iIDhibition» et d'laneSlthésie.
ton
et alUlX r)a~7)lpiombs dlelS' nOlnes ,dJe ]Ia gta!Illlne: üe l00wnaJJJt iaU,teI1IlJatt.if 'elst .dlOlThC bien '111Il Clo!U'r,aillt ip&cioclJi,q(llle mJ1lISiClaJ. L ~al~p.atl"eÎllcJio.nt Ste se.rt ~,e dlootmlll :\ r'R\11JniJC:,e DUipont 'se :('J0I111lpOiSe cl' un pno1lJOIgr.nrphe SUIf ùtefqlThel ('(Slt ,alœa1prté.. un nlicr.orphone D11Jc.y'€lbed:, ·Rlctlonnk
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prur des alC'cumuII,a(t€lll1liS. ' SUIf ce cvlilldme, il in~crit U111P, g·[ljlllrll€: ; lO,ri':;lq~te l' alPpatneÎ1 f'onCltiolIl'Ilt8, ]e nliclTü'piho.ne fo:utNlit 11](11 CK>mrla:I1Jt ,aR-
te.l1ll1a,t1f Œont }C, nombrre die ipéll'iorlles elQorrl~pon<l exacteInent IalUiX v~b!rla,'" LioIlJS ISIOJll00res. Dalns le CJ~rlClUtit du lnicl101phone, il ,a inbl"olÙlll,it l'ülldlucteFl1Jl' d'rune bOibine à chati'Ütt de '00 Bo=s:H,e,)11IlJlO1ud 'S,Ulr la1qll(e!11e il :81 ISlUIP!pIl'!.Îmé l'ÎlllJtmi11upteur. 1\. l 'la1d1e de ICie ibroJ116flOJTl1JJaJtelur Ii I 'Obtient des 'Clo'Ulllwnbs raRtemartifs quù peuv,en!f; êtr:e :rlég''}és, à VlolOOlté paUlI' 1els '~ajJlie (PlalS1S1elr cllaIDS :i 'oflg-amilSlille.
Le cnUJl',ant 'allLerill3Jtlif 0()\l'lI"~'PlOn dant à la! g1aJIillJ1Je .se OOll'QpOISle dJe ,hm.], ,s.eotions de pértiJodes .dlOInt :lIes ,l'la/p"" pcmts 's'ont lelntre eux COIlnlne l elS intefV1,aIHe'8' dies ~cms. Ce OO!Wf)oot tallternalt~f Ipr€'Slente Idlonc ùièn la f,bnnuJe d'une gamme:; 'C'est done un eour'a ni rythrné 'ÛlU m'llJsieoaŒ. Si on IsllIhsütue à La. 19.amIne Uill ltl!OtrlC.elau d'e ' lIlnlS'Ïqule, utllJe «ImlrurlClhü», Je cJollllrtant laù-türlllJatiJf iP\l'~d!ruit !pla/!' /SIOill I):~al~a,ge doos l ''OJ.iPiamsm-e l'imrpkr,es1:;.i,on ,die o(',ê tte 111lall'lCihe. Il n' els!t lPialS dloUitettx que rplatr l'édluldaJt:lon 0[1 ne PU'Ù2)S\e floooonai·ttrie !fJe1l oU! tel mOI'>C8Iau' m:utSÜlClail tbflallliStlOll'lrrlté en Ull Dounan't ,a,lterlnJaltiJf t3l1arversantt ÙelS ItisSlU'S, voÎ're même Ultiùli..ser ~e procédé ohez 18'S ,So.wlidis-rruUJe/ts. Le tdooLerur DUipont ,a !oolbf\€ipris
L'esprit de famille D,3JIltS l1IlJe ŒI3JmiUe, ,bous ont en vu e l ':a~i8Jntatg'(e de .toU/s, iplruroe qUJe ItOUS s",ammeDJt ,et Iquie tOUiS' 'ü!I1t \par,t au bj'e:n com'illIUil1.. LI n "es,t pas UJll de 's es memb:el8 qui :El 'y contribu.e d'une m,&lièr'e dlVler.s-e !Sellon 'Sia fODee, ,s on inûeMi(
g~en0eet ~'es !alptitlldlBS 'P3Jri~c,ullières: ·
T'OIutes ,les vertUpls dJom,estiquBS ,ont leuœ ·,sOQlJ!"OO œaJus- Il 'eSlpr~t de flamine. Qu'est dlonte (( l'esprit de fa!mille~» 00 'est lia: q'l1:inbe~tSeDl0e :des r ,ell3!tilOns ,intimes des ;pa,n~nts entre ,eux '; c'est 'U~ génie iSJpéci<al, iIIDé, illdestroctible. gui m,elt en moru,v emeni ·tOllllS 'les Œ~81S1S'Ülrts tdlll .cœl'Ur et de 1Ja T,aison :pour Ile bien-êtr,e de !taus 'c eux ,qrui 's ont i'SISll!s '00 ~ême. Sla'~g. L'e~r1t de ,f,arrn1l1e. le ,est l 'lusrtDncl 'qrul TIJOfUlSI alttache t]2'a r. senthTIient et 'p air d81voir à ~ eux q'lll noll1S ont introdruits lpa,rmi les hom,mes, I q~el qJue Is oit le ,rang que ll'ÜlUS ,Ü'CiCUlP,l ün8 dalns le momie de l 'o'rdr,e, de l'iaf.feCJti{}n ,e n ,u n m,oJ; de .131 dJJa.ribé lalPp.]i.q1utée I~'UX rpafloo,ts 'ql~[l no.us 'S.QIJ1,t -chers. L'oopiTit 'dB f.a.n1-1pe, c'est une forc-e q:}Tovitdenfelle iagllS!S!a:nt ,dans llJobr'e ânle 00imme le soleil srrur la nalbUlre: 'C'est Je lev,a.in ilnü"I3IcfUll'ffilx de notre existe:rroe rnOf1aÙe. C'es,t l'esprit de rf,amiUe .qoui .fait le bon :père, c ',est l '€IS'p'rii de .f,alniHe qui nait la honne mèr'e, les hons enf,ants, ,LeB hOllis 'piwl'·ents. En fUll lnot 'C "e.s,t J.' eSIP',rit de f,amille QlUtÎ. :Dai,t .dJ~ la mal'S!on Ipa'terne:Ue 'ULll foyer <te bonheurr !pour l'âme UIl:e s'Ource de félicité 'qlU!e l '-on ne 'rencontre nuJlle prurt la,illeu'fs ~ci-ba,s. ~a ~lère .pos;s ède ,~u iplThS naiU:t ' !pOInt Œ eSlpn,t d)e f 31ffil.Jle, 'CIe lI'e8s.Q-rt ' m 'e' ~vei1l8lll;x, indéfinis'Sarble q,ui '31git ?m.lIOUI"S' et 8<DJgI81ndil"le tant de vel'1tmJs 19~()Il,é~ls. ',8t~t la mèr.e ,ég1rulement qua f :aIt nEutre dians -son ,jn·iJérie url" l'eslprit de Latmiùle et 'q ui l~ait rr 'enltretenir Ipa:rmi les 's i'e m. (( Le cœur d'une mère est le 'Chef-d"œurvre ldie 'la, natUire » 'a dit un écriva,~n ·célèbI~e. Cette bel!1 e (piairole n ',a Irj'en Id' exalg.émé ITJIour 'qlUlwonqrne ,aé1:lThd'ié le rôle de ].a 'femru e dalll!S la fl3Jlni1:1e.
1'rrun fia.it ceci, l'Ialutre :flaift ICalru· m'ai~ l 'W0tÎ'O'll iClie OOOOlIDl fprofite il, .t~llS et l 'Ialction die OOrus IPiflOffite à ooaJ(~;Uill. Qu '00 iacit Ipeu: 'Ou ibe:au'C'5Imp, 00 :pa.r:. tag.e en fTères; nuille dJistim,c bon ,arut();~r du lf'oyer ,dlOilllloolt~que. On n'y 'voIt point ~ci 1a f,aÎln Jà, ~ô-té de l'abo?,da'lliee. La lC,OUJpe 'qUJe Dieu .remIpht die' ses IdlOil1S IpalSse Ide m,a.in eu lJ.ua]}}, .et le vieil1aird le t Ile rpetit entant, œ]iui ,q ui ne lperut piloUS ou ne P€!UJt IpaiS eU<?{}l',e I8'U}n}]IOl~ter la' fa,tiguP, et cel'u i ,qui revi~nt Ides' :ClhaJD1lJ\9 :];e fl~ont bai'gné dJe sUJeUJr, y triernpellt eg'alemeIl1t 1,e'Urs lèv.ros. ,Lem;rlS j'Üi es, leurs sOll1lfd.1r!aIIlJc'oo sont commulll€lS• .si 1'Iun es,t irufi.nne si l ':un ,e!~t IIliala,gJe, si alVec l'âge n.'ŒeVIent :mealp3ible de ipavaiJ, l:es 'a utries le ll!O'UJl'frissent ·et le :8loignent de .SoOIrte 'qru,' en I8IUlCIUJl telnQJiS il n'est a• • • 1 balloonné. La préséance en ménage (( Père, •mèrf e, enfants ' frèTes , ..J. .~r'S, qUOI 'U!e plus dOllùX que 'c-es :Une da~' e 'R,m,é ri,oaân8t m'écirÏt de nOlns », 'l'ema:rq'ule ;La!ffi'enn8J~s. ·lV[mn·e3Jpo,hs: (( Mvn mari et Jnoi,
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noufS ,sonlmes ,t rès :a t.t achés 1'ThD. à l'aultre. Il y ,a près de d~x ans que nous sommes ll'raœiés 8t, bien que .n ous ,alYüns eu Ide iPetirfJe;s di!srplltes, je rpui's dire 'qule nous n"avons jam.ais eu une quer·e lle qui v,aille la .! peine d'être ,relatée. Sa volonté est ·b e;uucoup .pluS' femne q,UJe lia mienne, mla is j'e iSlUÏ,S iaibs'oJument sûre que [na tête ,e st p1us luoide que la sie.nne. Il est oonvaincu que je mie l,ruisse d~, rig1er par lui, 'm ais je crloi's· qu'à 'Son insu c 'eS!t q:ui le ·d irige. Qu'en ·pe1lJS'e·z-
taot d'Uille femm€ intell~lgente et ,dié-
voooo.
Sous ipareille influence, il ne peut pas mal ·t o:urner, ,et IS~ ]lal. femme ~ ,a.sls'ez 'a;dr-Olte ;pour 1111 laflSiS€r crOlTe à lui - et à torutt le m'Onrde, - qu'elle 'e st '8'~UiS S'a domination, et qu'elle fait t01ujours c~ qu'il veut, ,al'Ors tout ,e st poruœ le nlieu.,"'{.
.. -..
Variétés
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VOUtS'~ »
Ma 0hère corresponda.nte, je suis \Sûre qrll'e vous voyez j,Ulste. LOI'l~qu' une f,emme et un homme crment tous deux .q ue ohaeun !d~rig'e l'autre, soyez 00nV'aml0ue que C'e'srt kt diam€ qui ,a r:atl.l8lon. Et ,si oomm·e j'en ai lia eerütude, c "est v~us qui [portez les' culottes €'~ qu'il ne re saJClhe rp,as, permettez-mOl de VOUlS' en féliciter ,très eincèrem€nt. VOUIS êtes.un diplomate. ;ph~ûn de tact et d'~g1rurds; le m8!ria~g'e ne 'COitUrt pas de .rjlSJQues de (péricliter entre vo-s lllajns, 'e t 1\1:. B..... ne c.ourt p~s le rjs;que d'être alppelé le « m,ari de Mm'e B ... » Oh! 'o ui, rout cela,. est le 00lUlble de hl! ,p ertfecüon. p'ne v'ol'Ûnt!é, que1que f'Û'I"t.e q;t',e-l!e SOlt, n "a: :alU,c11Ue Mance ode 'r eulsS'u' ,dans ,'SIa, .}utte contre une tête- 1l1C'ide. Une yolonté f'e rme n 'BBt 8'Û'lliv,ent que de l' entêteIll'ent; e' est l ':russoc:i é qui a la tête la plrus h'l.lC.'l de qui .doit être RU g'o uv el'llail. _ . Si c',e st la femme qui a 131 ;peœsplcaJcité, ],a ,tête aux idéesllJettes', l 'hOlll1ne :p eut f.aire ce QU1 lwi rpla~ir,a, c'est la femme qui ~oUJverneria, 'COrnIue elle mérite de le ,f aire dans l'intérêt de son m'a ri et dJa!IlJS le sien. Si 'U Jl Inari s:e 'l aisse mener ;par le bout dU! nez, lui le t S>aJ felnme sont Ti(hcnles; InaÎ's Ge q.ua Ipeut 'a rriver de mieuxà runhomll1'e rm~irié, ,c 'est ,d'êt.re &OllJS l 'influen~e Idouce et ipleine ·d e
.
Le froid ~ aux pieds .A fO'l"<'e die [>'8.:t1aruger Id!alDls ~'ea.u, oÙ'alllis il n
'bolue et .d'alIlJsl ,la nei,ge, JPO!UIl' peu que iM botOOles O!U les souil'ioos roienrt de qll!8ll1M dlMeO'~ge ill'oruiIDlenJt et se a.-ef.roiJdis-
tueuse, !les piec1JS
sent. ..
Que tf.aire }JOua.' ~Titer -c ette lhuiJll1itl6.t'é et i('e l'ef,rotdiSlc;em,...nt? C'est oo('n simple. ,Poi'tllt n'est bes01Ïn d 3 a'voiil' ["eJCOI1.1!DS 1à des {"h'aJt1l$rures ~ double 011 â trip~e seDl€:I~e, à. d'es bottes foum'oécs, à Ides lCombina.iJSoTiis {Pll!tlL'3 ou modDis erQti,ques qui K..'otltent foa.~ Cher et qui ne pl"é,Selwen1: !l'ioo. dIU1 tou:t! :a[l!l'ès !UŒl'e he1.1ll'e ldie ma.rche! Le IDlOyeD est [lIIru1S Il'.aJd!iJcall et lb€ifilUlCOOIP moins colltellx .... Il c()[ll1)iste 't out 'bêtemE'!l1t, ile mattn, en
ISe
leWl'Tht et nvalIlrt de ,mettre bas oru ~haJllj~, d'enveloplPer les ,piedls 13Jvec '1lIDe rfffili1le ldJe . v-ieux jO'Ulrna~. Âu.tamt' q1lle rposSllble on ~,~Ite· ra die d'aire ,des [piUs a/Il pal)Jder et de ~ tSel"vh' d~ p-apiel' 1Irap loalSS11l!Ilrt ••• On peut d'idlneUIl'lS, !(fu.ns ce ICUS, !le firols!Sell.' 'Sin IPII."MJla.ble. et .a{l)rès hm 'llIVOil1' don-n~ :ainsi rrun:e certaIne sO'tlfPlle.<,1i,SIe, enveloipJ>e!r ~es pieds avec !Soin.. Cern fait, on enfHe baLg ()(u -chaImSSettes et on met oott€lS~ boIttines ou lSonIlier:s. Ai\D!Sd muni id e !Sa OOIi.l18!S1Se, Ile pied !peut altler à ~'a.Yen.t!urre; 11 <D'ia il. ICIl'Somdtre Ill:i le froid ni l'hrmmiK:1lItê; 'a[liI'ês ,detu: OIU trois ihew· l'es Ide 'illla,rc'he Û'u de statiO'll Idruns lI!a lIlelge, '1'eaIUl OUI la bOlUe, il en 'C()(IlJSel"V'eToll rullle idJoitllce ,ehtalLmlll' cl iIle :Pl1é1sentel'a aJl.ùCUl1le tro3JCe ,d3 hru-
miJdllté. !Même pcrurt.w1 la nuât, le ~\P'Ïer a.·e~ruc'€ ,avec run '1lIVIBIIlrt:a;ge immense 1eR fe1'fS. b<miJaortes, illOÏlIles, bas de Œll!ine et arutres objets ailltilhygiénique!s fl,.U tp.'lJ\lIS ha.ut po'iut; ill 'PIr'êvtiendlra ~es engethla.'eg et doIIl.nem IMIX .mal,heu<rffillX doni Wes sOQ1I1iers ba.iJ1ent (J}if\lls qru'ill n':est nêcessaillre, l'rupjp!Ll'en,ce de ehafllissUTes lm.
il 36 fr. 90!
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Supplément au ,Jy0
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Après l'Ecole (Suite et fin)
Ces- exer:CLcelg: ,s·ont à la foiÏls récréatifls eit IllltiJ eSI• Ils' .ont lieu. deulX f,ois- la s'enlain.e dans un l'olCa:llnÎ'S à la ,disp'Û,s~ti on ·dJe kt 's,ociété .pal!" la vine; ce 1'0'ca,l est d'aineurls' l'o.uv,e'l'It tO'llJS- les 'S'oirs· à de- certiaines heure's'; chauffé l 'hive,r, éclairé, ~J.ourrvu d'une bibliothèqUJe et de j'o u'r (IJ..aJUlX, il offre un re:Dug'e aux j.eunels gens' dU! verein désireux de paSlS'er que-lqu,es. instants en ,g'olc iété ,aille'llJf1s qu'wuprès d'un vepre· de bière. Le bes,oin de 'réunion, la .tentaf'o n -cl 'aIle,r quotirueTIill.·e nlent au 'c~f,é se f,ais-ant 'l Jlus im'p éri,eU!se111 ent se-ntilr ,a vee l'âg'e, il Ïlnportait d 'o.ffrir lalL"'{ -ouvrier's- l '-oüc.as,ioTI. ete s ~Ü'clcUJper algréa-blement tous les jours. On Is e 'l'encontre, eom-pagnons de mêmle ,pr-of8ls'sLon ou de' 'pr'Ûfe8~ 's'ÎünS' diff.ér'e ntes ; on d~iscrute-le,s intérêts de la ,cor1po,rwtion .ou l'on s ':nitie aux intér'êts .d'e-s branches voisines; déjà -ce contalct est éminemment édu-catif. Les' exer>c~ces pr.o:prenlent dits' r€ISsemhlent beaucoup - ques1tÎton de degré mis'e à prurt - aiUX occupations des jeunes dans le .iu,qendb~tnd. LectUT8'S et c.onfére'llIcels., répétitions in:stru'lnentales et c,h orales ,g-e sTIlccèdent à ·p eu près régulièr,e ment. Les· C'ausp.ries S'ont dirigées par l'instit.ute·u r lJré:sideIit. Ou. bien il -choisit lui-mên'le le suj,et qui lui par,a:Î't convenÎl~ à Is'On audito ~ re, répondr'e à ,q uelque beISloin actue'1 ; 'Ou bien il Ipr'o:v'Oque ingénie'l1's'ement le's questions de l'a.ssis'ta,nce. Lesystèm·e est sÜl1ple. On a ·d éposé dans la salle des réunions une els'p èce de hoîte a:nx lettres; chacun, à la .fin d'une séanCle, peru't y jeter U!11 ph renferm,a nt 1a. qlllesüon SUT
de f "Ccote" (1901)
la!quelle- il dé.sireI'I w~t 'oibten~il'" des éc.lai'r,cissl81uents. Le 'président t~ln !porte les! ,plis, dép o's és', se r:éls'ervant de 't ra-i ter avec ·plus ou 'IDÛ'ins de dJév,ou,81nent :srurivant lefll'r i,m 'Portance et leur génér.alité, les' questions' qui lui ,s'ont r enüs es,. Les nllaurva:s pbisants- OUi les ·a~nJtellDs_ de questiÛ'ns hana:le:s ,s"il s '-ew trouv-e, ni8. reçoirvent natll'relle,m 'e nt [palS' de- répons'e'. Le sy.stème, d'aillel1Jr,s, fonctionne très bien et je·ne- lui VOLSI que des arvantag1elS. La faJ1f~r€ ,a 11'11<e ,c ertaine in1portance' et 13erut ISle- 1110ntrer parfaite1 111elllt en :puibl]c ,s'ans- blesser lelS oreille·s de c1éliüatesse mO'J71enne; elle a une ·s alle :spéciale de -répétitjons et p-rend ~)aœt à toutes les réjouis,sance.s et excrursions· du Verein; :i:ci l'on ne fait rien .s·a ns nlu'sique. Il fa'Ut sigua,ler .a'l1Jprèls de -ces o.c011'paJtions de l,a g'éné ['·a lité des mmTIb1'e'8, ,s ur le.squeUe,s je ne VP-llX pas ID '.atta.rder dav.antage, urne insti tution ém'nemment pratique et intéres'sante: celle' des cours réguliers de perfectionnement. Il Isuffit, en effet, que six me·l ibres du eerde en fas's ent la de·m·ande, pOlUr -qlUJ'il leur s'oit aCl0 0rdé un ll1aÎtr'e ,sipécial ehargé de lenr 'donn e!!" des leQon-s ·p rati,q ues sur Jes suj'8tS leS' phiJs c1ive'r s. Ces m,aître-s s'ont payés s:ur le lli'Ontant des cotis·altions q-u ~ s'Ûnt ici ,sUJffi,s amm'ent fortes. C "e'st ainsi qu'on donne, au Verein, de-s leQons de üom!pt.abilité et tenue ,de livres, de .cal'cul .colTiimercial, d'e lang·ue·s viv,antes. N'elst-il pas intéreslsant de voir les .ouvriers coopérer de la 'so,rte à leur pe'rfe-ctionll'ement et ne 'p.as attendre que le pouv.oir leur , viellDJe en aide ~ P.alr.f.oi,sl ans'si, l'un de.s ouvriers, l,