;
. ~8 S1.1,ICœe
Variétés
lB' .a.pptl/l~e
vlMli ' nOlID
Sluore .e t non \8!UISU~e; et le
dJU ,tnnt n'est pUIS il()llo!
Mettez-lvO/1Jl3 bien -cela en tête, iPM'eŒlItB Q.JUI1
Les sobriquets d'enfants Voici U'D1ê petM: lD8Jllie tout à taWt commlllne. QUIfmd. on ,a \H1 Ibébé et rqu'oo. !l'a I~ 'tf.uIl Il'OIIlt q,ui ,plaît S'aJlIS dO'Ulte 18(UX lP'aI'~, ;pUlÎlSque ce sont ceThX-cl qui~'a)lit 'Ch~, on
\,Ioitilez ' dionnr à vOs en.1'lants UIlte MluICartl.on sérieuse et leur évite«.' de ~ po.'QIl' Ides bealêts! . G.
*
•
*
Le d~calogue de la mén8g~re
~upp/émenl au
JVo 11·1~ de "f Sco/e" (1SD1J
Intérêt et passion
Il n'est pas, nous' le cOIllS,t atons ehaque jour, d 'ooc~pations 'en\nuyeuses. Tout travail acco,m pli (llx romm-olll'dements ,de la. Dlênng~re. St -cha.consciencieusement et avec intellique mllLttresae 'd e ma.tson les obselW8H, la g'ence, , s urtout quand il est assaisonetc., etc. chronlqtne aurait moins .l'accld.'e.ats il eIlil'e· SI l'on chel'L'lhe à ju~ tP'8,relllle MbltUrné par un ,s entim'e nt de respons'abiglstrer. die, QIl dlIra que l'iIlJSI1Jlnct ml8.terne!l ~V'~e Ide lité, devient r,a,pidement intéresVol.cl <'''lCommaooements: lS'Oi-même 'Ces dLruinutllrfs lQ.IlÙ. s':afPjp~l1q.'UIe'llt pour ne pa,s dire attrayant. sant, 1. nBllS )18: malsoo n'ent(lrme1'nS lllffi'velllleUlsemellt aux WuJt !petits. Cette vérité s'applique aux toutes Tes enif.aata seuls 8/UlmIDement. VOIUS Ille voyez 1)31S qf\le j'awellle mon petite,s besogneS ingrates dont nos 2. .ABI1umettes ne l'n laseI'as, l>êbé GeO'l'ge~? me if alt ll'emaJ.'Q/UeI' /llIlle ' maT,~n.tJner PSrt'tOtuttl ~1JIPl'I111dlemment. vies féIninines sont faites:' triage IDl3tIl qu,} ft tl'ouvê moyen de tJI~l'llSlfommeŒ' 3. D'IUIIl bon grl,l~!1.ge entqurer$, du ]inge, n1ise en ordre des annoiGeO/l'goo 00 Zozo. Foyer (lu'nrpproche ' tO'D e~, ,E h, mon -Dieu. lBi. je w'n.,ais trêsbien q!ue res ou des appartements, T,a!clcom1'001 a!J.)lJ;>elna G~es 11lll monsieur, de quel4. EIIl1 booiJrru't e ne la~.s, mada.g'e's, travaux de cmisirie, de 'C1[tque âge ql\1râll soit, (Jft! 'VOlUS voyez que j'y SUr son chemin '\ltD !IIeIUIl tnstalllt. ve ou de grenier! Peut-être avünstombe iMllSlSÎ mol!) ma,iIS je ne l'eIlOiliCeraÎ'B 5. L8JllŒ>e li pêtrdle n'ernPUrnl9, . nous cümmencé avec ennui, et sans 8ftllCUIIleIIliEIDt à 1C00LIlfPl~nldœe que Imaldemoils'e1l1e SSIDIs 'b ien l' êtelnl{)lre 8ll1(llIaIl18tV~1DJt. autre stiInlllant que celui du devoir, Zette 1I'€\l>l'it son vr.ai \tlOII1 de ~tIle gu 6. JaJmw ton feu n'avÏJV811&9. · N(mê son "V'rn.i nom de Ron~. notre tâche du JOUT. :Mettons que ce P,wr le pétrole follement. Le dl8lD.g er d'El ces sobIü:Q,'llefs, voyez.,v()\l.$. soit .. . une lessive à serrer ... Mais c'est qlUJ',ils risqulent Ide 'Sie ~tluer, vooamt 7. Ton prults jamnls' ne qulttemu, bientôt, un petit mira.ge 's'opère au 'flIÎIDISÏ IR'U .t~ildiClule ûes enfmts qrnR en IsOilit SnlDS le 1e'l'1mer ·sOlgoetllS(!oItlent. moyen duquel notre armoir,e à linge, gœ.~. 8. Dans le omVl"e ne l8lissm1M, avec selS serviettes· glacées nouées Je iSaliis Ibit10 qU'OOl se iP~08e Ide Irolll[)re RetroL(mr ILUCun dtmentl de ruba.ns de fil roses, et ,ses ,piles ilt'Ve.c anar d~s que bé.bé commenoo à gn.'3lIld!i6:; 9. Et d!aœ le zl~ ne plsjceras, d,raites d' ess·u}e-ulains éblouissants, et, Ide fudt, i'l faut 'conven]r que aes eholSes .se Fru,it8 SIn, vlns4Jgl'e tJllOOIltSClemment. 'p:m~ent 'ftllllSi. les ,f)oois qil.1l!l.rts dru. teIll{PS. ,l\{alÏ's nous :p araît ,aus'si gTa.ndiose. qru'un 10. Poisons toujortJr.s enferme-, q.ue !)O\Ul' son maJ.hem' t,Ml!ê D.'e.ste !Ch~tif, qrufdll poèlne à. cent strophes, aUSlsi inlporPour éviter triste a:c~eDt. lrut tm vioc de ,co.nfonmatiOŒl, '1..1In !dM3IUlt dMtante que I·e dernier vote ... En un ~ooUitioll. quoi ,que -'Ce .soit enfin q,ul illaisBe mot, nous somm'es intéressées. Ah! *, * * ~pI'ilise ,ft \la m&lignité td'.aJ\1ltmld, et je VOUIS dé.. A 'l'éeo.1e, le Imnr.itre !POIse .a u jeune .Roblqu'il est Ib eau, c.e ravonne·m ent de 'rie bien ·lle Ile d(~b3JN3!StSer die 113. iPetHe t3Jl'C net ~a qmes-td.oo IsudtV'ante: t'iJont VOUlS l'avez doté. notre hnnière intérieure sur les _ Voy<ms, mon ami, id' e ux .coohe:ns lPartent Cala Ile su,iv.r.a de ~a f ,amiLLe à 1'éoole, iPUis en Imême temps': ~e lPl'emier a 'oent Imêtns plus hum.b les détails' de la vie, et Jlans ilJa we. Je ISftis ,0 0 nlégœia.nJt Iqrue, brumque notre na1:ure hum,a ine a de toudi'\3J'V'3\Il1ce .s/UII' le ~C'00lId~ matis ~e Isecon:dl cohiiIl, son ~P avait ISturnommé Gresset patl'Ce ,chen.' Dailf dïx mètres ;dle (p'\Ju'S que ~e premier ehants {!ôtés! Oui, Dieu ,en soit béni, qlU'ltl ~tadt fort clfêtilf, Gresset il iêtallt, (kesil la ·mi !Lute où se TeD: C(}nltoo'rOlDlt.Ji~ s? noUs aimons ee que nous faisons s~ ill est ldemcuJ.'ô, laiU poû[Lt qu'il la. Ido. mettr:e _ Obez [e maœ!hn.n'd ;d e rv'dlll, IÙ~[JolIld 'le gRsurtout qua1n d nous le f.aisons bien. SI\lII.· I}'enls.eigme de :sa ,maison: X .••. dlit Gresset. Oo.mbien de lSecOlIlidls ' 1Th0000S n'OIllIt ipThS min s!31Ills S()u(l.~il~er. - Sans cela, se trouverait-il des in• Id'a;utre ()l'igine. dividus pour exercer certains méIl est êgl3l1emctllt lPuéril Id!oo!b itmer 1~8 en* * tiers , aussi ,nénibles nue nécessaires " 'Qllll'est donc !de;venu. X., ~ui!J ,831 socttt fan.ts là allJ.Pelf,!Q· ~e J.).filPa:. p.éjpère et:: la .mrum~IIl' : à notre existence collective .pour Ide [>1".ÏJS1On? ,mémè11e. InlSeœibllement, Î,ls s'hl3.\biIt1uoot à. _ 1i1 /p'ar.a,ît ,q'U'iJl est atttooh-8 tà !I4l caisse être ramoneur,s , lessive:UJses? cette fa'ço'fil <l'e pruI'1ler, et :iJ.s s'étonnent :f ort pl'1.1S 'tJrut1d! qœ cette ru,al\JseI'ie .prov.o:q l1e 'clles œune madsiO'D de rommeœe. . Mais, on l'a relnarqué avant rk'es 'Chez ~es léltIl1aŒ1gers. - Ge n'est pUiS '11l1J.Ïi qlu'on .atU!OOl't dQ ·atta· nous, il n 'est nr,es que 'pas une de Le père 1l5~!PŒ>e11e père, et non ' pépê1re; le • ,cheiI:; c'est la CB~oSeJ
se ·hO:te de
~'a,flf,Ulbler
'd'un ',sOlbriqtret de gen-
tw.~se extll"ait le IP'1'UIS ISOOlfVent 100 1IlI00ll ~ ,fœmé. Herurd dleVieut RiŒ.'i; ,AlIce :devlientl: ,LUi; Pa,ud devient POjpaul1; Vicfur dev'Îant 'DoitOlr,
1
l
On lD1O\1S commrwnique' les "ers su1V&1lts, trou'V'& dBlns ruID: 8lUc1en journal. Oe soot Ile
nos qualités qui ne corT~.siponde à un défruut provenant die s'On excèS'. Nous nous intér~ssons ... 'C "est fort bi,en; luais 'p ourquoi faut-il nue nous nous pasls.ïonnio1l!Si à notre ouI.. vrap'e ~ On pardorm-era à l'artiste certaines intempérances, attribuées à l'inspiration. ,Que le 'Poète, ciselant un sonnet, laÏJsse ,passer" C01l!S:cielument, l 'heure du ,c ourrier ·n our lenuel, G8Ipendant, il .a, une lettre pres·s ée; que le n.eintre, en face cl 'un ra.v1ssaut bouquet de fleurs., préfère la r'echeT.che du juste ton, pour 'Ce nétale .cr 'églantine, à la. Y1ünctuali té de son dîner, nous le voo]ons bien. Il est entendu que le tal~nt . est . un m'aitre tyrannique. lVIaIs helas,! ce n ',est ;p ais le ,p inceau s-eulement, ce n "est 'p a's la plume que nous posons avec difd:i~ulté. ,e 'est toute chos,e. Nous ne' ,::;avons pa,s quitter à tmu'Ps l'oruvrage conl~encé; noUls l'avons- pris, :peut-être a. contre-cœur, et il nous pr,end. Je ID ~adres' se ici exclusivement aux âInes ar,d entes', à ces natUJres ,pleine.s de ch-wnue qui, quoi ,q u'elles faslsent, ,8 'y :donnent tout entières:, et ne v'Ûient que le tI'lavail, que l'int.érêt du mOluent. Une de ces personnes ardenbes" supposons-le, s'est mise à réparer sa ga~de-robe. e;est vertU8'UX plutôt qu'amusant! Et cspendant il ne faudrait ,paiS' luoins qu'un treul'h lement de ter,r e 'p our IR forcer à. ' .s ~ lev,er let à pos,er' son 'Û'Thvra!f!'e. En v,a in ses pauvres, alentours, Qui dépendent .d'elle pour l,e ur 'subsistEl!nce, lui envoient-ils deS! 'a.ll:usions timides à lllll dîner :poSls,ible ... ,en vain lui suggère-t-on qUJe Peau bout prête à être v,ersée sur le thé ... Des monos'Ylla,bes diS'traits viennent les enga'g er à ]a patien~e. On sonrne! et