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24• ann6e
Avril 1900
64 Dis-«noi, ipetite êtoN,e, astl'e à faœ vei•meille, Ce dôme êl)louissa.nt ,dOllltl'éclat m'émerveille Est-iJl l'envers du Ciel? Est-hl vi·ai q,ue ces ,f,eux qu'en 1'~2'tm'je con[teml!Ple Ne sont que ,les reflets ,de 'la ·~reilideur du Qu'baJbite l'Ebern,el? [teIDiPle
I,aissa;OJttlotter .dans l'air ·ta c!latité vadllWlJe crois voir deva.nt moi [te, Un me.ssaig,er des cieux ie:D1voyé ,snT !DOS grèves Pom· recueillir aeisvœux, réa1Lsm· 'les rêvres Im:o;,irés IJ.)Br ,la foi , Un messager
qui crai:nt les ·souillU['>0S,les [fanges D ' U!ll ,mon!de dont Jes goûts doivent parattr>e Rlottante au sein d'tllll vast,e albime de luA qui descend 1de1scieu1:, [êtrang,ea [:miè1,E>, -Qui hait ce qui oous 1PlMt, ein 1rougit et :p1'éTu dois avoi'l' a;roiris 1c1ansta lcmgue carrière [fè~ Des secrets d'un haut ip:rix, S'arrêter loin de nous et salu e r la terre Des secrets qu'i,ci 0 bas nul eSll}rit ùle ipénètre, D'un r,ega11d g,ra1ci'eux. Que jamais ne sauront !d'evin€'1'ni conna~tre Nos s,ens trO(l) ,circonscrits. Et Jorsqu'.a.mx:!l>remiers feux Ide l'a'Urore nals[san.te, P,eurt-être tu connais mieuJX que nous tous Je ne te voiis plus ,sourire, êblouiS'Sante, [ ces monc.es Au sein IClufir.mament; Q~ .nous voyons rouler dians ces zOlllesproQuamld :l'frstre-1 roi !Parait sur 'la ,oiJme chenue, Qu'on nomme 'l'inlfini, [fonides Que tu sais où se fo1•me et comment 'S'élaibore Et t'a, 11.)a:t'son éclat, et noyê e, et fonlclluc En s.on 1·.ayonuement, Le rayon qui ireivient ;poa.-te.r à ooa,que aurore L'évei'l, na joie au nild. )i'a peD1Sée en1e, alor.s co1mme toi dams l'es[ipace, P:n•1e,moi ·d!e ces lieux que le IUl,y,,tf-re l!a;bite, De œs globes semés aiutour de ton orbitR, Et mon regard s'a,p,Plli<1ueà idécoœvrir ta De leur.s reflets 'Si ooa,11.,:. Et too dl gque vermeil; [traice Dis-moi comibien de fois d·éjà tu t'es Ja;n,cée Il vot11d!raità la foUJdre >etlllJPrunter1a puis [iSMllde Sur ~a route que Dieu de sa main t'a traicé,e Pat'.mi tous ces flambea ,ux; Et, icomme eUe, explorer l'azur où se bal'lln<le Le ,raidieux solei:l. Q11elle invisible ,ma}n te retient suSll}endue Reviens donc , astre d'or, reviens, ;petit.e Tandis que tu souris, là-haiut, clans fétlendue, [étoile: Pendant que tm d~ris Pa1,mi les vieux solei'ls et i[)armi les· p1anètes, Le matelot t '.attem•d, pose-toi sut · b vojl]e T;i gigantesque empse au-des.sus de nos têtes, De son bateau léger; De 1'A1pe et du ciel gris. Et quainkl i1 enteind'ra, la nuit, des bruits d'o[rn.gee, Dis -moi, 'la main du DÏJelUqui crée et vivifie A-1-eMe [·~anldu sur tes rives la vi,e, Etoine du sruut, étoile des Rois Marges, Le bruit, le mouvement? ·Sawv,e-le ldiUtda:n.ger. AYec notre iPlanète as-tu des ress.emblances? Comme elle as-tu Id-es mers, dies ocêan.s iimLilddes, ,Je 25 rfêvri·er 1905. ·7icto?'i1m DarbeUav, inst. [melliSes, Un del doux et clément? 1
As-tu ,de cllaii,s 1,uJsseaux , de ri:1nts IPaysa.ges, Des ~acs gra,ei,eux enioaldrés ide rivages PENSÉE~DU CAREME Aux millle aspects d•iVl('M, Bijoux des f.rais vallons, .n:1[lpe.f. émei·audées Notre âme est comme un miroir; Dieu s'y Ref.Jétalllt da ,n,s leurs eaux les ciJmes M1m1- voit ·:w~c coan.plai·sailllce qua.u'd oHe c,st <pure; r.es gr.aml's boi-s , les prés ve1·ts? ! 1lées, mais si 1e J)éché ·en ternit l'éclat . Dieu l'a en hoJTeur , c01mme nous :ivou;; en bo1Te1l'I' Comm e 1'a Terre ,as-tu de rar,ides aJl.llée.-s les clhoses immondes. Qui, p111· •lies jou;r,s, ~es mo1S, [lromtPtemt!ll1t VO!Ilt grossirr le 11>assé? [ég,renêell Les soll'ffrances , 1~ pe.iioe'S et ies in!llr· As -tu ton gai 'l)rintemips fleuri , [)lein de prolffltês sont Je bonheur des llmes ,pard'•aite&; [ mess.es, Ton automne chargé ,d'abonldlanties a·i>ches-ses, e1l~s .e,nnoblissent 1e chrétien en ,ce qu'ellle& le 1,enxlent semiJJl,a,bleà son !divin ,SaiuveuT, à Et ton hiver g,Ja,cé? sa très .sainte ,Mère. Le saint curé d' A.f ·•. Quaind tu viens te poser au fi11m111me;ut, [tL·embllwnte,
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Sceiétè valai;~At)tJe d ·édu<?aticn
c:--r-------------------t L'Ecole primaire donne de 14 à 16 livraisons de 16 pages chacune, non compris la couverture, et autant de suppléments de 8 à 16 pages pendant l'année ordinaire de 12 mois C<'mmençant le 1er Janvier. . Chaque mois il est en outre apporté un supplément illustré de 8 pages intitulé : Le Foyer et les Champs.
Suisse
Prix d'abonnement : fr. 2.50 Un1°on pos t a I e f r. 3
Tout ce qui concerne la publication doit être adressé directement à M. P. PIGNAT, 1er secrétctire à l'instruction publique, à Sion.
\ les fruitsen sontdoux Maxime persane.
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Sommaire du présent numéro * Lectu1l'le !Péld'ag,o,giiq,uie . - * UŒlmot
,s,aig ,es q•u'on J.i.r,asa nis ,d,o:ute vo,l,ontie .rs en V aJl,a,is:
Hei.U'eux QJays, où Je can on 111etonne que s1u r 11espun, itions , à l'éco11e prilmia.ire. ,pour une œ uvr ,e, qu e '.]:>Ourune heur e de pajx! Dans le sièC'le q'tlll .C.'.>mmen,ceet dan s * A p:roipo.s ,de.g ,lri:Yl'es sc,o,lia.il:cs. ée qui s'ouV're, au bout de 'l' Afri,que, au * Ein,s,eii,ouei:meait rl,e la grrnmmai:t•e. -·- 1',a1m:1 cœ ur de l'A s ie, sm· le silenc e de 1'a mer enorme 1(1, La. n1éf,o, e J',o,l'tlhog1ra1plhe.v· ~n dormi-e et s m.· aa neig -ede la longue pmispecreigatiid 1;; 11 u t a1bl1:,aunowr. - Des exerdtive de blfillldheur, nous a.vc;ns aussi en~imdu 0e1s ,o,ria,ux. - Et,ude ·d e,s bran,di,c,s fa- le cainou tonuor. Voix loiutaiu •e, voix t1_:mis,cu'Jtativies au moye11 de1s exe11crucesd'wp- s·a,nte et sourde ,qu i -conti,uu e, et à oha;cun d,e 1.Jil'i;c,a tion. - La :I,a:111gue ert lia, gram11m~1i- ses 00,u,ps naH un e angoisse et , ,sur la t e1rre 1,e. - Pcirtie prn ,tique: Suje,tis, ide co1mpo- c1m1e des J10mmes s-on t ,couc h és. Chez nous , i,l to~maJt ·en .stgu e d ' a,Llégress •e ·et de joie. ,sirtfon (Lett11.,e; L' A.nurùiié); ELnscigneI,ci et là et id.ans Jes plain es, et sur les CO · ,ment afoo,o,hique; A:rna:l:y;se; ÜOIIlllpois,i- teaux , et -~ur les mo.nta ,gnes du pay s 'suis~. trio. - 1~1iiettes péidla1g1oig .i1qru,e,s. - VŒriié- il n'ouvrait ,sa gueu!le flamboy ante coŒltre a.ucun ell'llcmi, i'l ne creusaL t au:cun sillon de tés. ca.rn a o-e il ,ne iJ)lantait Je s ol cl'.:ctu cun cal ice -o- 1,ougt Il exprimait la ün de la [on guc journée d'œuvT-e ruoc001J1pJi.e. Sommaire dn supplément Une vaste cn.tre<_pTiseavait é té con çue, Lls,ons l'Evai ngüe. - I1e111t1œn1t chr1é- ex-écrntée, menée à bout iJ)ar un tout petit ti~lll. - La ·i-,e li.g1on ,dJa,n,s lia famï:11le. 1p euple . E,t il s'en réjouissait. Alor s, ay,cc tou s l es ,canon s et avc.c tou Lcs Un ·côté ·d,e Fédmcatiiun. - Pille ,c,on ,féi·t:micc à rn1éclite;r s,m· V,hé,t~d'ité. - ûi - ,Jes doches, Ja Clèmence s'es t ,mii:;e ù cha nter cl'elle-mème, ,d'ac coixl et d'uniss-on, et ses ,sea1ux ,et Î-l]Sed e·s. - La ·ru:én1a,~ ; l''f' g-~1·· v,olées ""l'avcs out 1·e1Je:ntid:ins le so·iL Re(le-lll',JJ;a,dre.- Le ,co1 lll( e vert. - L1. ,cueillis 0 et h eur cu.x, n,ous lc·s a,ons écout ée~. En es disai ent les hom.1m:is ra ·prproohés, l l'S joirnr de l'l'. .'ll a,n, Ja 1p,01n.- La m ol'I: du main s un ies, l'aven ir plus facile ec m ei.Hcur. bou,lev ,a,ridJi, er . - ,P,en,siée~ 'die Oa:rGm e. Elles disaient tout ,ce qui pa::;se le Joug !d'une 2111esupp lément cw. présent N° : rnute ouve1'te a ux esipoir s et aux elfforts, Lout 'ce q u' il y peut ,pass•e'l' pourvu qu'o n .Le Foye,· et le& Cl,am11s veuille . Et e lles di1saieut aussi l'om nipotence -0clc l'esprit humain -:-wlllé cle eonfi an ce et de coura,gc, le tl.'iom.phe des cœurs üe ùon:i:ie voDistrict d'Hérens. lonté travaillant dans 1a paix i1 demam. 1
Il ne sera pas tenu de conférence cette année pour les instituteurs de ce district, M. l'Inspecteur scol. Dubuis étant obligé par l'état actuel de sa santé ~e pre~~re certains ménagements. La deuxième vmte des écoles aura lieu d'ailleurs par ses soins et au besoin avec l'aide d'un remplaçant agréé par le Département.
u trai,JJ dé bouch a
Quand le pr ellllicr tlu iun.uel où l' air dl'cu1ait Lliésormai s de ,part eu 1)M't, les c:lépê0he s nous ruprpri_1,en ·t qu'aucun en~bo nsiaSll.U•en'&clata. C'était qu'av ·ec 1a bonne uouvenc le train amenait un oruda.vrc. Au mome nt d'être ,fo,rcée, la monta,gnc :l· ,·a i't lutt é cuco11c.E'lle :;'était ra i'Lli e en un sup1.•ême effort pour u ne üer:nièl'C v::"ugeal:1(;e . Elle >1eu, ait cle preuxfoe une \'ic lmmarne. - o- -L'iugéniem· Grnss i, l}Ui a·vaii mené ·tln.ns s~s fia]]CS le fHet m iucé et lan cina.ut , tombait. Le tunnel du Simplon. , asplry::d,é paT -elle. On pen~e ii. tous ceux q·ui l'o:nt préeéùo Sou·s 'kt s1i1g ·nœt.rni-c ·de ùI. PlüJ,ip pe la -voie douloureuse et qui n' ,eure nt pas }1'onnie r, Le ,,Jomill.al ,de Genève'' -dent 'llaus ,cettic 1oie u-ltilme ode yoir le but atte int, à de .com, s~1c1·er ù l' œ u1rn·e du pe 1·c.e,men t to .u,tes ces virctÎ.:IIl es llu devoir tollll'bées au du Sünplou et ü sŒ1 perso~ud d'.iugé- dhamp d'h onn em· ava lllt 1l' ll:eure p'l·omi·se, aux nieu•i-s et ,ù',ouvl'ieris ,11111 a,rta.:cle ,rren1a:r- It ali e'Il•Squi sont par ti,s et ne sû'llt pas r evenus , rq,uié d,o;n:t Yotci ,les pri1J1 1ciJpaux pas1
X.XJVmeannée
SION, 1er Avril 1906
L'ECOLE
PRIMAIRE
ORGANE DE LA
SOCIETEVALA.I8Al10I D'EDUCATION
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htlé, ma is ,s01niv,e111t,aiuiss1 .l!I IJ)I'Cll1/disa so:lhl'üe ,d,ainrsle sentiment d'run mérite nœng,er de l'o1-gueil et de la vnni.té. ,rée'l e t des peines ,qu'.il ,a ,coiftiM,à a.icAvantages de l.a modestie . ,q.rnén-iT.O,n if,egamde ,en .arriè re, ,o,n ,001nJ.,e S1a1V1oia.· et 1es elffo,rts ;aru p·rix d es· siidère le 'Poi,nt id,e ideyn.trt et la diisfalilce qurel1s irl s"ac.hète ,oiDJtfoit l',oJbj,et 1die,ruo,s iq1ui J,e sép a:re 1die,c.e,1. ui où l'oiThes t a1rri d eirnxp,r·eunieris en,tr-etie,rus: je vais vous vé; o,n ,c,offn ;:pte les 1riva,ux qrue ,1',01n a œé[Jl3'I'.l ,eir an.uj,0u'lid'lhui ,de s,o,r1ip,lu,s 1J1Jo1b~,e 1v,e nu ip,a.s·s,és, 01n ié1rwo,u mo 1ruveiment ,de [ll(; \ûeSS:oii•re e,t /die ·SIOn .prrru'S:dialll(g ·e'I1CIUX s·a1:isd' aictfo,u; orn s',en in,e id,e .s,a ipro1pire iérn1ieil IŒ;n'est .poirut die rd/élf ,ruult1p1'ws Jfiu. jo,ie, o,n trï.o,mrph e d•e ses 1prio1pres s,u,rne,srte à .J"bormllThe qu1e l' o1r1grrnei l, hl n' 1est cès, on ,sème ·d!e;s 1dléid.ains et l'-0n ve,ut ,poin t ,d,e,qu,alité q ui J,u i s,oit pl•rns.pr'Oifi- i.·-c,c,uiei: llli,r dies ,ho:m1ma,g-es. N',e"St-ce pais ralbiJ.e qu,e la mo1d•est ie: aiu ;p1r.eim.ier W 111D 1e Tèri ,t,aible fio,lie? N,o,us so1mm 1es doi1t la tp1l 1 .11 pan-t die ses 'peiJlle,-; et ,de ses ipl,e,ins de n o1m,1-111iême ,s oo(ll]lme si, à ernruuis, lia sec 101D1dl e lui ,c,o!llirtlie,lia fa- RliO IUI S s,eiu] , DIO'U IS IlO'UIS éti'oln1s f ait s Cf' Yeiuœ 1d!es p1]1u,s in!did'tfiéremrt,s,,el/I,e Ju1 q·n,p 111011/S s.ollll/Ill'e,s,,qrne n,oru,s n'ein -rle€ip.arrig1n,eles ,oifJl])lüsit ioms h01stileis, ·elle vioms n·i en .à 1peil's1on ne et ,q,111e m:01111s 11',e lè,,e ·son méirite, en l,ui ;prêt.am.t ,u,n ayiotrnsaH ein t J·es dleT1 nièores li,mïit,e,s ,de lm, tr ,e ,que l'en vie ne c.her c:hP :p1aisà terla penf,r1r ti,on. Et 10e1pen 1d1 a,nt , ip'OIUII'quel nir. Ge ,sont là d!es 'V~rit,éR ine,01nte srt,a- le 'fHlll'tSOIIDlmes-Il'G'll'S idlalfJJS ,ce qll!J e iJ}QIUS bl,eis, ,et ,p·o•uirtant. :;;,i ri ein: n'est ,v1luR va!)10 1ns. et qu,e c,ette v,a}e,u-r ,s'~;m10.i1J1.raire ·q:u,e ln ·mrnd,es,tie. f'ÎIPn n'p s ,t- plus drit q111an1db r•aisnn l'-exannine et lia <·10 1wmJurn ,q1111e ,1'01r 1g-ll'ei:l; il se P,I"O ldu1t mPs·ull'e! Q,u'i,l fü:rtldiriait'l"éld ,u·i,re à pe-u,d~ i;;ou,st·o1utes les fo,rmes; 11 rufifec,te -VO'lls ,r~hoRe r,p q,ui ,n:01 1/ls ·l'le:v.iemitdie no,R b i·PJ1JS Jp,s •éltats, s'~1tta10he à t,"Ouite s :],es ,p:o,s i- et de no,s honnieu1rs, irl·e notwe Ra,v,oi-r et tio·n,s; ,l'id~ic.:,uJ, e, q1uan1d il ,p1·prud Jes <lf'- ·i!P 1n101R ·ve·rtu.R, si n,o,ns ,en r,etiram,dhi<im.s ho1rs die la ·srnffisan ,c.:, e et de l,a d\a1buit é, OP,c1nwno1u•s d•Pvo1n,s.à 111 0,tr:P na:iss.mnice, il ,d1evie10 ,t irrnso, le'lllt q,u,a,nid il se rp,ose fiè- i\ 11'0 1s l)ament,s, ,a,nx ,cï:r,<o' n:slta nr es , à J,•:i. ff'Pm1erut•Pn fa,ee ,d,e l,a ,mél(ho10 r i M q n'il bo.nt é des hrnmimes ,et a,u;x biemf,a.it1sdie ~1i1me à hurni liieT, 1d1 1 lil'érit e ,qu 'il j:a- THrn,! V,o,rns hri Jl.ez ,pia1· o('.f'S g;ra:n,fü; 1,o,us•e •Pt 1die l,a siu1péiri•oirité fJnï~ méipirisP, bli,r,n1sqne You s 1posS1éclezet ,par le Œ ·nxe p1ar,ce q u'i,J von1d1rait \l'ef fa ,c"P' r. A1U1r111m1 P <1ue ~0111,s·iétal ,ez; •ll11a,js vo.s Ti,r,hesse1s, un .)} 1'01f ess,io•n n '-e.n 'L'St ,exemtpi1": le g 1wr- pè.Jîe ,norus les a tra:nsnüse;s , ·O'U 'Ullli e ,s.péll'ie·r J,e 1po•1i:P a.ve·c l"érpié'e, il ,s1e g lisRe ,r1rnl 1aJi101nfaTJo,üsée ipa'l' 1,a fo1rtunie } es a so,n,s la .1',(llbe dn ,mia.gi,s t r.at . l e ·lévi te n~ -portées 'd.rnn,svotre trésor . .Joris1qJU :e à rpeile ,fü~po,se pas toujo 1u ,11s·en errtrr·:ant dans D(' y,ous os,iei ,],es 1dié,si·1·er. Yo t re sd en e·e lr s,:1,n10!Jrnaire ; j,e v01u,d1rais,qn'i l me fû t Pst T1a 1PJt(': fi nx Y,C'UXdiu 1IJ1U ,b]k V011.l•R ij~l"l'.mii s ,die ,di-re q,u'i1l ll!P ,s'e>s't jamai i:; ·SPnn,bl,ez n,p 11iP. n ig-,1wrer; et. ,s,ans 0esse 1m.· dams S'ofl o~sis a Yeic l' i.nsrtit:uit-.e ,c.haii'I'e. •cnns1rnl1lé, i·11J t,e1·J."101g,é IJ)airl\llllle fio,u,l P aivi,de 1 So1utve1nt 1',0JI1g' U1 ei1 pvo1cèide <le l a :n1ul- tdJe vo,u,s enrt:ein/dlI'e , V·O lliS D''OIUV'l'ezla
* Lecture
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pédagogique
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* Un mot sur Jes
'b (>'UIChl e qin e 1])'011IJr 'jll'•O!IlJOIDICeir ,dies o r ar cJ.es. D'où vo1u~ ,ient t·e Ra·,·oü.··. fo,nldemen1 d\e ru,tre renonnnn!1e'? D'où vo,uis d,e rnrue,nt .cet t~ Y1i1g.u,e:,K'd·u 1'0' J?,, ioette éue;rlgie Ide l'e~p,r it, ·~?tt e 1'nt,erus,i t'é ,de la volou.rté, qu1 -voursJertt euü e·r ,dJa,ns1a 'Voi,e ,de l'ét.n - . tent fo1U de q111 .i m•e recnUernt id.evanrt:ani1c1wn OJbstai~.le, q;ui ne ·cèfdient à rn111r u1De·f.ait:ig,ue? D 'où v.Olrns'V!i1eruU1ern:t-e ltle,s, eruc,o,nernn,e foois? Nom ide vo1m s à q ui viou1S1'es T.epoirtez dJans v,o"ttre .p1-és0Jllllpt ion , mais c1e Dieu à ,qiui ']_)eut-Af.r,eV<O!US n' 1fwez p,a,s so1I11géà en ren1dJr31g,·r.f1.ce. A •rôté ,dle·c-euix qu~, :rruamiquent id~irustrmct i'on, ne vo,us eno~(T;u~i,Jl i,sisiez doruc tpa:s de-s fa:veUJr1!!
à l'école
punitions p1•imaire
in$ ·ulisalb1e. EŒles 1<l'e.'Vl'-Orut Blll'r,to,ut lernr .etflfilcalcité à l'1a1utoirri1::té ,que J.emaît-1-e am>1aalcq1ruirs,e ,suir ,ses ,éJlèves• to 1ut ~1r1,~ • le ID'O= .s:a.1t qw'wne :pair:ole kfu ,b' Qâirne sorttiedie ola bOJU1ohe d' •un ima:îtiœ .a!Î.méet r.e5ip-ectéair11.tt!cheira ides l1aJJ.1tnes à tUJil enfant, •q,ue11es l])niili't:iiom;s ·1es ' ,p,J.us g,naves, i n1flliig1&>sl".'.Urus .alU/torri :tté, le laisseront pt'Psq,uP a/bsio-Iwm<:>n t irtnipassib1e. tDes pun ,itioom;;parüou1lièreime' .rnt eff i-
Oonlflrowooos les touroes die;r1D.tières ~itions iruvec les ,prré:cAfentes et nio1Usy ,·eœ100nstrès 1biiienles ,qll.l/elLqœeis ,chalD!gelIJlienlts lqJu 'oini y ·a :faits. Ces t r aJIJJsfuœttnla, ÜOlll.lS Ille ,s'O'llt paJS 1D101mfb.re'!Lses .sam.s i<l101wte,onais 1c'est 'déjà 1beaU1001U(p. iDia:ns }eis ~i vires s.aOlla,iiJ :•es, il ne fault ,µl,ws, pouT les é'ceir,veJés .fra:nçai,s, l es ~ 1ots de Die u, dell, :piiét,é, ,saint, Teli,'..neu,x. e-tc., e nlfin fo tl.lis a,es llllioits s·en tant un pe u triO!p 1a, re1liig,fo1n,clhr,Btiene ne. I1 ne faut lJ)lus que lets ilntstitruJteul!'s re,nlconrt1rentmille ,0K:1cta, s:iton.id,e patr l e.r die Die 'U .n·~ ,d'e sa re l igion.
·Qnt8'11lton rdlisicwte la qu,esüo!Il! Ide l a ?peine de .mo-rt, on toonlbe g,é1Iliénu leunent d',a1cicoir1d 1qrn,ec~tte peine ,ces,sem.it d'êJ tre llélgititrn·e1,e j·ou,r où il seirait d 1élln:o.n- i h1é q1u'eJlle n ',es1t 1p,as niéfcessai'l'e p -~rnr .aissi uu..e:r 1,a séolll'i-tJé1de lia wciété. A l' Pco1e 1prt_irmaiTe, les p 111 Tuii.i: o,ns 'sont ,Jégiün1121s, ·el,l,e,s a u,ssj, à C'O•n/dii"ioarqu 'e'lleR œ1oe1s, ice oon t ce11,esq{Uli s•o,,n t 1 ,a,ccmsés-0~e,nt ,w~es s.a.i r;es, q1U'·el 1J.es s•01i-enrt: Siaq•n1e:nlr.P 111~ tu 1r,e!J ,Je ides atctes iœeIP•enifia:nt • J,u,ia!iil"es, au mo,.imsà ilta etlas.se en .gtéll'étna11heull.'e ·ulSieJn1en't·ces 'ûOln!s·~q .u€llllce~ ra l, 1à 1e.a ,ll'se ·a,e l'ex ·e1111P 1J. e. •l\f~me fü1,]l;S sont ·qu1~1g•utfllf.oiis t:a1rldiv.es,qAJ,etquefoiis ce ,ci::us,si elles étaierut nuisiJb les à l 'éh·ojp temr1hles; ,q,uatnd eill es rpeuivemt se ièv,e !Jl'll .ni, e.ll,eis ne se1.1alent ipl1ws LétgiU)lamisJa gr,aJmmaire LaTilve et Fleupoold'U 'ÏTe san,s <llaing,er., ile ma!itre habile q.ue ·k'l. s,ciernc-Pvous a rJ)'r oldi1gmiéP1S; rpJ.ai- tiiJ]Il ies. ·r.v, 1c'P1st ·dknœ les exelm)pJieset les exerE'IIl Oh,e •nln t·rès ,granid :pafrti: c,e1 trbe éilogine·z-· Jes die 1re q,ne l n Pv<YV~deiliOP l e.s 1a IC'est ce q,ui se ,pr,o!d,uill•,ajt,si '1,a. :pu1ruici,r•es q,niP •ces cha:nig,errnents ,o[!Jt été iJru. que111cedes clbioiseisrfü~rupip1e rviv.eun.e .nt moirns wiob E'lmcnitdlotéis q.uo f' ,•011s,lllll8is t i()ln n 'étai t· ipr o1porti ,OIIl1u,é,e·à lia faute; ·tu·olduits. Ai,n,si, atu p'l'ea:ni er exeirtci,ce, à I'eDltialn ,t. llll'-ex,a,lt,ezpas "'l'Oh'e ,savofr .00Jmme l,e si le mJaîirie !ptm issait Ran.s j·nstio0P P.t e 5, otn ,a l'le,'mif)lwaé ,le 1mo,t « v r ê}ue la 1p~1rg TJ,eififet idie,s1p11miti.0onsne s•e·m i:,,a· 11.1x. Awcz-v,0111s f<r•uit ,d,e vios se-ul s tT'a1v;a sa,n:s im1p1airti;a ilité, ce q1ui , ,à j•ulst e 1tl ivre. 1e si eNie's s•ont mo1d1érées:si ,f>J- tre » 1par «,maiso1n». A a,a rpa1z.e17, ta ü•p q;n mes n'l'é vültre s,a.-voiT?,SoDJd,ez•u;n in,s - 1t'léi ,,o,1te 1'•emrfan.t;si .même ool,ui -·cii étJait 1e !die « 'l'éw le >> k>s 1a•c,ca,bilPnit !l'pnifant, i;ojt 'l)a,r ] PQ]JJ• ex~cilrt> 35: '.La 'Cl01cili ta<nrt 'V'Ol1rN> i gn,O'J'arnoe. IJ!hotmtme a h1 rp,ri'Sen tra 'îtlre .. c'es t -là-ldir.es' i-1n 'a,vait po,rnr ,de « l'ié'.~li.s,e>>;La « rfête » dtu vi l~ , oomlbrt', · s o it par l eu.r nn tu • r e; ·-sû em im1 t ,o,u,t Ml 1p l11l'R,q,UeJil(11 ues pa,ges id1a ns J.e p1a,s(ltlé prévelll n ,d1 u CJbâJimeu.t a,rnq,uel ,po_,mr<<Le ,culrié» ld•u vi 'l !ll::lige.Exer po~nlnt la pnnition , le ,maîhe !Il,e farit 1~,g·,e, li ,w,e ,du 1mo·nJdie,et V10 1u, s etn éine,lez à i'I ,i:;· ',exipos,eva,i t en commeti:Jalll!t telle ou cir,c>~5bis: na n,s UJne« iéico1l e » 1p,01t11r ld·ans 111.1.iitir.e l'es,po,i,r ;die ,mieiu.x fai11:1e à !l'ave,p,ein e um IUlOt: V-Cllll-Sme V'OU1S corrnip,a :11ez te ll e aJCtiOIIl. . » et t'Ous les rn1ots ' ide J' a•liwne « -P(g-J1sie nir, idK> :l'éviter idw;-ol"Ill/ai,s; , s i, CO'ntw,air:.><Jn',i\ ,rf>! ux qu i iign,0111emrt om qn',à oeu.x N ·-0,u1bt Jii'O'Il1S ,ptai; q u,e, à 1 ',élc,Oll e :p,rirrn,a,i 98, pour m,rn,t. lP ,m 1afitr,e,a reip,ris l',ernf,a.nt kkllil'R 'Ilitlla,- A J.~ pn.ge 42, ,exe.ncï:c1e (fn i ,s.::wPnrtmo in is qne viorns; a1p!T) ·11oiehe ·z- re, i l ne ,suf fi t :pas ,qirne J.es vuin ~üo n,s <<Drnu fllll1s,élri1rl(}rdie1 rnx e-nivei,s ],es pé lffil D 1p , 1 ;etmin imo.un, e iment o'n irl1a 1 r ns re1'11i v0t 1.1 1'!,dionir dP ·renx q.u i fHIIV -PITl ,t p.lll]oR;e'i:. sioip,n;fQ,é;Jliit i,me.s, i l ofa,urt:q-u"ell es so,ienit dt' ·l'étlè:e, ·rnn, Ji.e1u de ro:n seT<Ver f;'OJn r.1rnn~l8». no•u's avo,ns: « Le 1!)iJ-é1UJti'leà c,omiva,imirrni:1,rl,e vo,t r e in Mr i,oœitié, von1,8 1.Jts,g-.ai les. 1c'es t -à-idir,e oaJUfoll'ios.ées :piar le 1 1 11.1,n~ -di110Q .e-tde lui l•n;SR<.w '1'0))11'PJ1Jd ,r(• iJ'hntmtme ». A lia pa,ge 45, exencilcie 107, ~ roo t rez f"ll votM,-i!TI{'imeR 1p01 urr rni 0nx 0::1- .nè;g,leimernt; lie maîhie illle ,pem,t dio•n,cRP ,q, naüe cfü1fl'.Illg-eme,ruts. A fa ipa1g,e66, ,l' ek>~H'D, SJ f'lllCO·J'e i l ne :1aisRP pas VU.l'i' chr' r v,ottre r,onitin si orn,,01u., ,o,us p,reni<'lirr>z m01U1 Yorr qne 1dlainslll'D ·ce•11rleres•tirr i nt : 1 XP/ro;nl<': « Dieu ia c1•éél e momld'e» a é'té qu'il es t pein(é ,die p, 1 mn 1r, q,ll1i1 aiime•Pait aa,g,tsn érPnlS<:'réi:.01l1mt.i-0mid,p •0u1'tiiver vos 1Ps 1m an11-v-a.i s 'J}Oi'Il't,s,l a oopT.ÏllTua nléLe,'1a m'J)k1,c,é pial!': « Le soleil -<J ,ni ~ laiTe la f('-n! fois mie 1ix re0o.m:uen-f:f'lt'. ,om ·dlOil r·P1 fa 1rn.11MR Pt d·P rtlrm' .aill eir i'I en reriuei ,JJi•r ipir-ir,·attoi.nm pa1·ti Plle de ,l,a récriéatioon, la ter,r,e ». t;/1.lU~ lre ,q U'P '1e •Cœu r Ide 1 l 'emfo1mt ne lP•R d.h• 1l1i.ts q1n'e NP.s c,ompor•berut. ,1·c,ternue aiprè.s :1,a, ,c,füts •sie ·S·Otws la snl"VeilR :i1g,msse 1 ·ei1"ne s'e forme à ,soiJlmaitre. ,Te, m'a,rrt'.\t,e ilà po;nrr 10e1Ji,v1·e. Oe sel a,ntee ld,e l'irustitu t ewr· e1t 1l' exie1 l us i,o, n,se dAfient -Hellil'c~1x les h-o!11lme.s(1111,i QU' i:l/J)!J)ll'-e n1dJrp a1OTS aiuix enf.a n ts, q1wa .nid rnuit troip lo1n1g-po1u,r érnu:mélrer foutes d'f'!UX-ITillmlPS,O'll que 1(Î(>sériieu,sei:; J.'é- teimJporlali.'l'e. on n'~st :rats 1a.iimlé? Co'lIIJJnent, aip,rèi,; ·les trr.m_s,f.o,mntati01n.s·q•u'•o·n y ia 1/laites. <f'!lex i10ITJS ,o,nt amP né ,d,p bornm,e heu11e à Les prnn~1 ti1o·ns hiumi,lientt ,J'.emlfant. e·l· CE'k1. , 1·n10.Imer l,e·u1r fLmP ,,ns le bie:n, E1nl:•o,rr je 11!~ pnT1le ·qrne-1d;e !Ja gram 110\U!g' Ï'l' 1dle •] eutr ip'r!éS.Olllli p,ti Olll! Ji1S 1a,ssUs les 1'e ;prhnenit id1ece ,q,u'i'I .aii.lme;l'eiffet mn11·re 11,era,nmlée.11 \'ens l,a vertu? ( A suivre.) 1 y a dléjlà 1dieis ,C/hanin·em,t 11,eintr '1.-..etp,os et leinr bo.nh,eu •r, oo s'é- rpen1t ein êttre très ,sensH:>1 le ,œraib'cml, g-e<.m1P1ruts tèllan"R-celle de l'a,nnfe IPl'~pa.ria!j}31I'1gna1I1.-t ,ces ciha,gri:rus ,cuisant.fi, ces :ma,~ 1TYouripe,n ,q,u',001 · l eis Te:DJOIUIVe'lle, t.owP. Q,na1niti'I ,ceilU,e de 2,me Jai]:JJ m~e 1·e tbil,e,sR< ur es int éirie'llires, .oe·s iUusi,om,s rper- l'élm10 1tio1n 1dJ. 1m:i,runP e t si 1o•nl,e,s IDll]l ti' l' m. ,pas en1corr-eviu e, 1mais elle' ai, ne • A Jn•opos des lf vres ~t e ofa.ires d'U•Ps,œs td~boiires a1mers qiui 1é1IJ·ro111Ve,nt ipilie, -l'es erufaints iles reçoi'V,ent bientôt s1a.ns n u·I idlo1ur te, 1pa,ssé idialnts,l t: même ~i l{'!I" u,el.lenn<=>nt1J',a !m0tU1I'1J)'l'OfPll'e: IPPines sa·D1Shro •ruC!he -r. et sa1J1s,q111eioella cthange •crilble. 'Le.'S liw,e,s sooLaires qwi IIl ' Ot us vienrée Ues , qt1i alt èr,einrtP'ltUs;p,r1oifO!DJdJ@mfffi/t r ic>n à l euu.·c{)lrndu~te. Pour ,êtr e et1ficaQrna,n,ta n Guy,aiu. d:mn,sJ.es •clhapi ,tres la. ·Mlid t-é ,d,p l'ho,mtnH?vain •C(lH' les in• ces, les pu ·n.iti,010.,s,,coimnn.e J.e.s .r•é:corrn- nent~,e Frarnce ,serntent 'dierp,1'usen p1lu1:; 1 1 où k~ mots à éihig'l1e•rne fiigmma.ie111t que Pa.fh(li~e. ·Ain si, ,ce sont .la graimnnia.if\ol!'tune,s ,qn i l P fom:t so ntf.fri,r d1~mRRf'S p·ein ses idlailleirnrs, seront rares; el'les J','l:J.'<"Ill'eJ1-t-, oni ,-;'est •cio D11:'et.ntlé ,d{! transtl'e ùaœrve et Fleiutry ,et i l e Ji.v ire die ' l eicaf fec ti o ns. Salmon. seTtomt ,g-va,duiées, sans 1celiai on semaii .t ltore Guyiaiu q,mi ,nou ,s rupp,o,rte nt l es fo .nru,er J,a p1J1rase idia:n1s k1,q.u,eJ1J,e iJ•s se ( A suivre.) vH·e au 1b01uit,die la Hste qu i IDl'est pal8 AÎIDsi on .a 1·eim1plla1oé c:e ~ botnne,s o'dleu1 1sJ> ia1u mtattiérfaUiS11D,e.rem1rontrafout. .zne1mJbire die phirase (paige 25, 5me ,a,li1
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irar J.esqiweùs un a1mteur y atte int l'ori·s ,d ' aN·e l'lbalbi t,wo1n s pas ,à ,oes rpiruraise gin1alit é, Ira C01rucis ion, l'lhainmo'Ilie; pour 11Ja ,lys,e maiablin,a les qu 1i0n anet 1à toirt et il est IJ)llus si01 u•vient l' œuiVir ,e ,d,e;s ipani&): «. . . et iilis ,d,e,manldère:n,t à D:ieu 1r co1mme nt et po,wnqruoi àJ y a ,à t-rave,rs S1a 1 déc10.rnV111 ns r•é.fl lré.ctb frr, sarus sou ,s-eudie pr ,o,tég,er 11a vict ilme .. . » '{)l atr: « . .. et 1-enits ides frèr-es, d,es sœur.s , ,q,ue 1oe,IJ:e \·ie 01u i·neXil)' 1'e1ssion ,dJa1nis,son ,s t yile; id11 i!diée 1dier'1I1iè1'e les 1mo,ns. ~e ai111C:rnne i,J:s ifo'limaient id'es rvœ ux 1pio ,ur la vilcti· dies ,dlè,ves. Je sa i s hie.Ill ,qu?ill est ldif,fi1s 1s•o1n ana lyse ,que ,vo:u r p,rrécfae1· la t()lrurnrure ,d9es1pl"it, 1e Qiui'i!l ne mette .dia1n peu de idtel\-o.ÎTIS:l<es ·pia.m e ... ». Cert ia,utr e (1pa:ge 165, ~5Jlle li - d1'c d ,e d,01n!J)ie,r ta:lMt , les ,d/é,faurts ,die l'au teiu;r: c',e;st lleisn,o tioins iqu' ill 1po•ssède ,edifoc,ti,veimeint, gne): « ... a1o,ris ald1ressa1n t à Die1u nn ·e 't'e:lllts s'iimia,gine1nt lq1rne l es ,end'anrts nie ]'analys e ,litt éraire. 11 :n' y ·a d101nic point le re st e •ne se.ra it qu,e ldu 'P'Uil"foll'malis•Sllj'J)lrêmeipriè r1e... » .p1rnr: <<. . • ruLO"r,s, t r a vaill ent [ms , ,s'ils .n'IOlntl])as bea11,de :pJ,ac,e 1p10:u:rl'·a•nailyse !dite grammati - rrne. 1 001ru p à éiciri •r,e. M.ai,s ,c'esit ·u,n,e ,d!e ,ces 'l'élumfi·ssainte111sO'll ieœiuu.·,il01rntesai foir cale. En eiffet, dliire ,p,our l e .llfOllll: nom 4. D~barrfa,s ,so:ns-:n.orws airns,si de to rnte rue1 l1Je, s il farult :iidée,s,fa,u;ss,es contr e le s,q1 ce ... », etc. comm1tn, prof)rn, rnasculin, féminin, sin· '1:,ea.1min,on1oigie i niutil e, e:t 1éLatnigeT,euse 1 ,M,ai.s où il 1ét1ait 1m!p'o,s 1silbl e •die fafa'e I"é'0igiirruu Iie1u ,d·e Ieuir •donmer I,a,tisf iaicgulier, plw·'iel _; 1poua: l'a r.tide: article dé- pa,ric,e q,uP,i111uitiil,e. ,Q,u,e l es élève s 1dJenos 1rng11e:nt •co1rnra.mde ,ces rpetiit es tl'ansd'omn œti!o1rn s, Oin 1a üoni. Qite les résul tats prouvent pour nous, fi1ii, indéfini, masc. , fém., s in,g., plur., éco le s !P'l'mmk es dJi1st:i sUf91pr,iJméles ,ch a-prt'res en enlti eir ipo,rnr et les ipar•ents aicioapoeront viol onitî,ers etc ., etJc., •ce m',est .pioint ;a,na.Iy,se·r , lm'aj ,s me'Ilt iles tie1·1lllesd!e :la /P'l''01posiüom, et les remp1laic0r. AiJnsi lis •chajp. 2, 4, 19, 21, l~ur idlélfaite. ('looistiate:r rd.esfaits ,gr,ammat iicau,x relala n1at.ull'e des pro!I),oisitio :ns 1diains rnne Da1rus n 1os petites dasses r0ù les em29, 50 ont été siu1bstùtu1é,s.A 1a !l)aige 14, t ifis aux ,pair.ties 1d1u,dti,s1cou·rs, à lia, fle- 1plli11a1se ,o,u d ans u.n t·ext:e d10n/Illé.,Soit ,am Heu ,&aiv.otil•: .« Les .merv •ei1l1lie:s d·e fa.nts :ne pa.r l en,t que 1,e pato,is , I,es exe ,r. riroo, à l' rucic1o•r1 d, à l a :eon11uigais,01n,: no- à a mailyse1r: Le j a rrd,i:nd:e llll()(llJ o!Ilde est 1ues mo,ts à ,v•eiHes ,ciic•e,s <le ,co;p~e, aveic qu1eO,q l'âlme », no ,us ,a[Vlo-ns:« Les me •1 tiollls ÎII111po1ritante,s, siams 1éL01ute , ,s·uir le s- beau. <-îu'ü s di,sen t stmipl emen t: Le jar· e mo!dli:fie.r 01u à faiir•e -v;airier, onit Ieiu,r d e ~'es;prr-itet ,die la penrsée J) . E·t ,co1mrrn q,u1 eŒles :n1oirnsd 1e<v<onsins istar 1d1ams t,o,us din: s •ujet ide est; de mon oncle, ,comrplé· m o1r1a J.e. « Coins,e~~om1sill'otre c,01n1sicie1nceira!is·o1n d'êtr,e: 10e s•o1I1Jten ,s,oimtme des io[1 ldJella r1écitation, leis 1001rn r s, ,à l '01c1c,as me:n:t ld!éterrmfa11atM1(liejamd,in; est, verumai111' e, ,dies exell'· 1iilure ide,s iliicitées; be; beau , a:ttri1hu t die jia11 (p,01rnriilto,tre fume) tiowjou'lls .puire. JJ C'eist exetr1dce1std'"écrituTe •c,c11 d,e ,Ja lectiuire, 1d,e1':élc1r 1dân,. :So~t à bien •ceil.a., p uisqu e c,hez les Oonnlbis,1:îes, ·rices ,qui font iret ellllir !dies mots fiDa:nma,is eliles s 'fa1dig,ne:n!t fiu·rie'll'seimir'nt d ie aI1JalyseŒ'il•a 'PŒliras ·e isu,iJvante1: Lo1r1S1q ue ç,aris. Ho ,rs die ,ces oas, rce n' e1srtq,ue tout J''b!o1m1men'a :pilms1d•'âm ,e; o,u JPl:uitôt s'il se YOiÎ Jr figJUir'aute,s daims l'•ana1Iyse; e,lle<s jie me Ilèv,e 1,e llll3/tiin,j'oiflf1rermJa;,p®is'éle en a •u1ne,,e,Meip1éM'1: awec le 10o•r,p,s qiu'ell- à i1ait exoe 1p tio ,runelleiment, ,en c.omiposi ne 1pem1V ,ei1rt s 'y vcoiirsans ho ·neur: el1l•es à Dieu, :rmwr ,q1ue mes a.1ctes 1qrud.la rermtion o:u pour ,s'rusrs·ur,er q ue Penrfamt l e a1ni!Ine. on,t rnison. rplhlo:nit soient des actes d':aimoulr pOIUII' 1 'a ,cio.ns1eTvé O,a vie . Que l'é1Mla1snoius s.01m1m 1es cathotliique:s Va - 1peiut ,se ,pa,s1s,e·r 1d,e toru.t s eioo1mrs,que Je 2. Oom1m e les a,wtreis exeŒ'!c ilces gir2nn- Ce lui ,q,ui 11.n ma1trie ein fe •ra ,Jiai:re q1weil ,qu-e.s-1um1s [füll' J,mi·sans, eit nou 1s v 1o1uJ I0ns ,q,ue :n101S instiIèv,e • J is• e c,haque IJYl'O/PO·sitiolil en •e1n. mati10a111x, l es amialyses ldlotirv,ent être la fionotio1n.. A~rnsi, ,p,Olllll' l'exermtiu;teurrs ·tr,01U1V1 emt ,e1rn c-Me ·s 01uwe'n!t l'o1c- élcrirt. ora[,e"S.Po1rur les co1mp101s ,itiio111s <Fmia.Jy- d,oa:1.lruant B. Exercices grammatfoctitx. Ooml!lle oaisliolndie pa11• Le1r die J) i•eu et 1dtesa · Rese €lcirite s, r-ien de mieux 1q,rned' ald101ntier ple ·cit1é: , il n'y en a ligfon; et cela, •n.01n•sieu1leunenit,dJainsle s eXet'CiÎ-ce•s,g11~atm1matômaiux le Clhlifü1r ,a1ge ides d101uzcfio:n, tioin,s syn1. Lorsqiw je me lève le matin: •COIIIltP léux vrajment esse1rutiel ,s: l'anal yIeçons ide 10artJél c.'ih~ ,SlI]l!e,mais 1diatnJsn'ilm- qiu1e 1d!e taxiq ,u,es ,qUJelies mot ,s 1p e uivent 'l'emJp/lfr ,iJiJv.e ,c,ü,con sta micieHe Ide tem!IJIS de iporte q1uenes bramiches 1d!'e 1ns·eiJgtnJeime'Il!t. se -et •La dictée . da1111slia p1roposition foan<;!31Îisie . j'olfJf,re. J;J 1seirait ldlomJ c à dlésÏl'er ,qu'on im1ti11oid1ui2. J 'offr e nia journée à Dieu: ,pro!I)Osi3. Q,we les e ruJiant 1s•rue ,se p,a~ent 1I1ine § }er. Analyse se :n,n 1au,tlre Iivir,e ldie lleictrnre et qu'r01n tiiom pmoipaae. no,n,s ipayeinlt jarrn,ais Ide nnot ,s : c'es t 1une l. PRJiNûJP ,ElS Ja,is,s,e oompil èt ,eunent die cMé 1ceux qui 1e1éll~itré 3. Pour que mes actes soie-nt des cwtes ià Ieuil' leç, o llll d,e 1 s in int•el U ectue B,e tf"Il'dlrn,t à s'a11Wr<o1eberdie J':rutlhiéiiS1me. ,1. La distin10tir0n ld•eYanalys ,e en a,na d'amour poitr Celui: IP'J:'JOrJ)lositi<o'Il ùü'nlnie1rdie b o,nnie heu 1r.e. A,i·n 1si, 1dJa.ns le AwrèiR t,o,rnt, nlO'uis,n,e sOIIIlJmeis1pa,s ,cm- lJ11elogique et e,n a .naJl\yse gram maticale :c,ofmpl ,étiivie ci1.ico1D s twnlciellle ldie brnt oomr is inférieU1r, l' ell'fiam , t n'a en1c,()ll'le :é'tu est ,surmnll!ée, ne s 1gnif e rien. ~e YOIUIS C{>Teses e,s.cl,awes! ... e. Ide j'10\ff.re. dié que !J.e n,01m,s,a :ns disürngtm r ile nOlm fâ:dhez rp,a,s, che1rs le1cteiur1s,1ID.afirs ,s,ud!vez. 4. Qu.i rn'a conservé la v ie: 1pŒi oipo1Sit"iom: eo1m1mmm 1dJu IliOIID v ir,orp,re,et que J.e veTA rnal yser, c'·e,st dié1co11ll{I)os•er. Am p,oi,nt be. La1 i1Sson 1S le id 1om1c a,nr a ilyser silll'.llp,lede Ce1'ui. 1 001mlp l é frve · d iéterminiative oonde TIJJe 1d'un,e,I,a,ng'n•e,q me ipeu,t-on ·dléc1 * Enseignement de la mien i rt: Ne fainers va;s dire: sujet: untikJ.1ue, 1 ,c'·est ,a :po1se1r? 1. f.,es on/oitsen ·S1Jl:ta1bes,, grammaire Le corbeau: nolUl ma,s•c. sin,g ., suJet ·a,e c-01m1plexe ,s; ou 1mu/J.t,i1ples, siropl, e ; 1:erbc: syllabation; 2. J,es ,s~ll abe s en lettres, 1cil:!e; attribut: nniiq,u ie te n1ad:t; s,am,s iprlu s, e t n,on 1p,a s : III. EXEROIOES ŒRNMJMATIOAUX ex,ip1 IiJci te ou iÏJmjp1:i 1n es c'est !]'épellation; 3. 11-es ,mots en 1l'a!D1 Le: a111tÎlci le :dJéifini, mrus,c. sÎill\g.a 1nruo:n , OIU1mmJJt:i.pile , SÏilllfptle'O'U ICJO!liljp lex,e. A. Oa,ractère des exercices. Les exe T- et e:n at:füxcs, ,c' eist 1 'analyse étymologi,c,e ,qiu,e c,o,r:beam est dtéterrmin lé. 1q,u,es ildlées Men Que l'enifa!llJt ,ait 1q1U1etl c~ces 1dJe,girrnmJmai'l"e 1d,o,i:vent êt'l•e snr· que.: 4. rune ip'1101po1s:i t~0Jn en t emnes esCorbeau: 1110 ,m ,co1m1mun, 1mais•c. Sii'll1g., 0J.ai'res et ne'1:tes plutôt ,q,u'rnn.e :fouile d e to,ult, pr!eisquie ·@d uisweme ntt 1mêa:ne, ,s,en;t~ 1eJ,s , connip·liétifs , ii111dlapen/d 1an,ts et t. s,uj,e t ld1et•e,Jl/rui SJ()1 UJverui 11·s coiillfos e,t in co1mpœiis . I~ n'en d,es exerfcfoes oll"a1u,x. On ·n e sa ,rnr,ai t iidiiotiq:ues; 1Une pha·aise en 1p11qpïoisit io1D1B s1au,rait ,oo:mp1·er11dlreen- vai ipas de 1même dlu ·1•é1g,en iI/ e111fla nt . n e ,t : il 1d'Oü [JOIS1 triOlp ·00,nJdi am nle,r l'rubus 10e l'ex,e1•cÏ10e esrseintie1:les, ,0orm1p,lét iT,e s , inJdlépendancore lia. UJaltiu'l"eide l'a•rti cle ,e:t eru00;1,e sé<fur à fo1rnd füut oe qu'il d'amt ,s,avo~ll' ,gœ1mmaümŒ écrit, ,q,ui falti,g n,e l'ei:n.~atnt te s 01uildioti,q1ure1s,c'est !l'analyse logique; ID:oiln s k\, m1otnon ide lia idlé'1:emninratio'll!. :su1· les !dieux tla1bli ea1ux ,pa1rallié1iq'lles lUtt ,dla,n,s les -sa 1n,s,gran/d pir,o(it, -SIU'l'fo 5. 111111 :allilnlé a. '11ncbaipitme, rnn -orun~ge, 1 és ld'exéicutli,o:n oorn!'lsinJOOrieulrsoù , ~ait ib.0illsidleI'éc 101I,e, p.owr tvoiw.-e~-,]es pll"océd1 1
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102 Q tua1111t ,a,n bon go ût , ils nie s'_en1 •crJi.:·,1t dio,nmésdants le uu,rniéiro 4, 1905, die l' E- pa•s to 11a\\,euni>nt dléipo,n11'VllR;11·~,11_1·é t ein: dent .même - mvec pr,ernv0s a l a1rnm1 cole priniaire. ( A suivre.) Sepp. _ ,qm.:en,otr1e poés ie ne !Pe1•d1~a.it 'l' iœ •de sün iél,étganee à failre tiimer 1iostc a.nw tostc nons a ve·1·11e11ot1 .s, coupure a;viecyar La réforme de l'orthogt."11pbe. jiire,' rpù!u,tôt qu 1~ \',ec toast, ceti P a1booni1J.1ahona,n1g,laise, afV\eC9c1iot1..r, une abn'a j,umai:,; .pu tL'Ac1ad1~mief,I'a,nçais,e ,exaaniue e,n ·t:e s uu~d.ité ·aomt versoŒ.11ne imlQIIDoot i.e 111 aw>o·r.t de lia Ccxmnui &sÎ'OD. ,t,c.nldlre,c-0llllpte, et a,Yec:9ageure, wn ba.rm iinis,tJélr i elJ\le,c:har1giée1 u·éuutdiie,r iles s,11m- barisme q·ue ,bea u•co1u1pd e gem1s1pronou~)bfioa,tiQIIlsque réol 1a1me rrofa•c ()lrllto - cernt •c-0111m,e gageur. 1 g'l'lllip(he.P,enda:nt qu'·e~lE:dli·s,c.u,te, •en.1d e·Quoi .q,u.'.01 1 1pense du q·,.uppod ,t\,e la. •ho1r.s dieHe, ldeiUXo;pi mon,s contnul'~·s C,01.ml mÏ!ssiioo miruist,élt·i etl1lc,il fia1ut po u1·&ont en l)1,é,se4nlce:td'1u1I1 ,côté, ~e rp,ubhc 11a1n1t ·bi!en relC'OIO!Ilaî.t11e que ,;;;,esmennbret1 et les j,oun:'\nah s tes, ,q1uisol)),t, en ,gé:nié,ra l , n e sont 'DÔ ,dies i.g.n!OU'a ,nrt-s lllÎ le~ pre hos ,ti'Les à. hL •1,étfo1'lllle;id1e l'.a~1ti •e, l eis ;uüets v,enus. N,oms pourvo~1:sass u:re,r q,ne érmldlit:s, les 1g1,uimm ai deuis, l es ,p:roifes- lemrr manièil.e de ~,oiT est pa,rt{ligée ipar seu111s, q,unla. r~cll1am1e n t a•Yetc i'u,st.a.nc:. tous le s phi'Lol01guies, par un,e mu11i tTtklie 1 Oho,sie comüq uie ! 1bea•œco ,t11p tdoegens s 1- d,e ,pr·olfessernr,s, tant d1a1D1s le·s Fa 1c.n~lés rma1gin ·emrt: qu',on vecu,t 1:i'UIPIJJ,l' ÙJ1 11er la l(IJU1e ,diam,s l es .lycéoes et •colllègies, pa~ 1 g.r ,rumJmai'tie et 1cobiairn1ba1~d ern ila lamigue; bieaiu1co1uip ,d,e me 1ro.lbves •dlu ,c,le11g 1~. et ii]s ,c,fO'Ï("nt qJU'o n W\. },es .o,b1igf>trà corn- q'llle, s1m' ce IJ)O int. l'ense•ignement lil:,N' mettr e ,des fal\ll es idP()lrth o1gr-.a;plh e et J,ei uT et -1',e:IllSC '~gne1ruent rnfif1ciel, ,l',e'llsei,gnefair e per,d,rre a~nsi lia supiélrim11·ibé qu'Hs menit primaiir ,e e l l' e,nseign ennent s u~ ()lnt.suir le vuil.gai.re; üs tro,u•v,en,t,à 11,ou.·e ri e:u r ,sio.nt ent ièrement d' a1oco!rrl. or1:Jbi~r.a1pihe,odlfi.cie Jle um1e,girâioe et une Que y,orullez-vouiS? les faii.ts oont là, beruut1é ;pairtwc,uUièt'€S,e.t ,se ·reifus·e.n•tà 0vi!dien1t,s e.t fr1['1élfurt:a 1bles. En vok,i ·f(U'l"l· en ,sruc1r iifier J'estihé1:i1q u e; enfin - par q-ue-s-'lmlS. ulll pro,~dé die dJjs.cu,siüon im1di,gnant ifJ s eis,t la . ,ma·l'<Jwe rdu •p l nri e,l. Dès tO'ut 1honDJmesiérieu oc - i•ls inna:.gine.u ,t l•O'l"S, po·u1 rqu"<Y.i,éN·i re des cailloux. <lea ,d,e bar01q'u,es mao:w.ères ,d'érrrire, les ~bijoux, des choux? 1d.1'autant ,pn1us q1ue la p,utelllt gr1a1turtiement à leu:r,s a1<lver,soai- 1111.ag,m-itié 1dlesUJoon~·en ou so.nt néigufr ,1·s: 1.·es,,et se dlQIJ1'Illent ,ainsi Jes arp:pia1, ent ·es des fo1ts, rles trous, des uerrous. ~·u•l n'a œiun triomphe ,a1us·siviadn que facile. j1a1ma1ispu dlélc01U1Virü~· lof,·CHu.se de ·cette V:raliJmemt. leis ,ré;fQlrmaten!r,:- 1n.',ou,t aruotnIBiliea:bs.u,rldP, j,u18'fft1'i,ci 1,eJ.i,g i eu,se1 pia1sid,e ,si no·i,r.s1diesseins., Us ool<t,a,uta:nlt: ,l'e· s q:>ectée. me.DJt e t [Pl1Us que 1p,e r sonue, l'a:morur et l,e resTaste d•em,t,(lin latin tostwn . .qu~ a donrpect d•e le nT laDJg, ne, a ve•c ,cette üiif.ff- n!P~Ill n,10,yen ù~e tostée. rôtie, vin ,q·n' M) reU1ce qu'ils la ,e,o:n 1n.a~ s·sent nu :p•e• a 'bolil aT('C l~ rôtie. pnri•!:I,co,u1µ hu à J,a •mie ux que ,d'ia.uti<es, µuô.squr ·<·'e-s l l1c>1 Ul' samt,é. ,Oe 1mot es1t 1éc,rjt toste pnr lN1 miéltier 1œel"iét.u,die.i' ,C:L:11ns .s,PR o,rigines, troiR 1mei,Lle111[·s idktiout11l!lii'er; 1fü,_1'Il · ·drnms ses graards ~c-ri,',lillls, ,et d,c l'eu- ~ai1s, ,c,e.u x ide rA.1eu,doénnie, di> Lit.fa<- et seiJgner 1àJ,a.j eU'IJ"esse. J.oin. 1d,P ~a,fHrfa,cr œeHa tzifefü-Da r1111 .estet er-Tih01ma ,s. Oollll· l'i goo r,a n,ce et de fadlit N •lt>s fa ,nt::·s, rml('n1t ::;e fait-i l 1que t,()lu,slei- F1·a.11c:a i~. il1s c!bel'lc,hent ,à exti•rp ér ·de J'oll'tho1gra, sa,ulf ,dieu'X101u· tiiiois, ip1~tfèl'eut e1lll~,,1o~·pr ph e fflrunçaise ,les bénH :>s. le:, e,l"l't-'U'l'S, ,cette lffio,n sh, n,otgité idoe torrnt. les ano1D1a. li es, les c,0J1J fü1si,0,11 s d•ont ell~ Beaam1 eou1p die ipe·rrso1nn r8, m011ll1ei1111est pJ.eiI11e , e.t qu'HR •Qlnt 1pri,F 10 t(,rn:p·'l l ruiœs, ,se miettent <àp'l'o1DJom•c11· Je p die ~t l,aiiJ)eine die l(;, o,nstaw en 'détai l. 1
1
<lomptcr et die sctûpter, .lJie.n .q.u'dll n'y ait piais •d;ep ,dlallis le ,latin doinitarc et qu1el'A 1ca1 dié-mieait élcrit dontterld!aDs,s,e,s 2 :pre mièT,es édi t ions . lYa uitn· ,e,s rdiiseDJt 111n 011agnon,sian,s s.e 1d ouoor q1u,el'i Ide itignon, ·r,emonte a111temlipiS ,où l'o,noéc:r,iv:ait t,()IU-t e n :pr.cm<otnç an t CCl1ll1Jill'l! n o,œ, la ca111paiqnc,lei montaigne, 1ui aignean, 1tn coinpa·iynon, l( i besoigne. La :1mon1o n ciatfo!n al'l'o nn ée die ln ya,geurc comme le gafJew· se r~aintd 1c],ep1 1'us eu J)J:U:s, ma,lg11iél'·al\'~S.un.a.rui,m,c•d·et•ou,s 1es idlicti onn·ruil •es: on ll!e sa it ,pas ,qlle gager id,01n we yajtLl"e, ooonlme cou.per, aller, cas&e1·, scier, clécllirer, reUer, ek., ,dio,ruD1entcott· pure, all ur e, cassure, sciure, déchiru, e, reli,iwe, '=fr. Un j 1Q1U1 1· vienldu.'a. ,où la ·rime ,s,e<r•a.f.a1u\Sls :e jpOlnr l' oreilŒe ,001mnne ,po1111rl'œil ·dla'Dl s les verr s su,i rn ,n,ts, q un sont idle ,Du Ce r'oeau (1670-1730): 1
1ff ,am,ke plalrl, 1~ degr'é et la iioroe ,d,es ,füdtis ;de m élmo1re dlépe/Dlrue,n t e1n pr em i er lieu de Fin terus,ité nia ture'lle, die ,la viya,ciiié ,d e l'imllpr,es1sion ,pr1miitirve, et œtte vi va,cité dey,e:nld e!l1le•même, en g1ra!Illdiepiairtie, cle l' irnportance du spec-
tuclc extérieur qui nous est offert. Or, l,e ta·b leam n,oi1r ,per•met 1a1uma ,îtl'e d~ su1p1piloéer à l' ·ai'bseD1ceidies olbjetJs pa •r 1onr ,r~~ésenta tiion cfi.g,llrée; ill OOIJJOO'rurt 1d1o·rnc, d!œnsla rpl.'usl a11,g,e meisuir,e, à l' a•ctiviitié et à l'~du tiait,i,om1du ,sens v,isll'el, à k1, frxJa,tio,n dies impr:eos·sio:ns a1a:iS1sées ~)ar .les ,c1h-0sesdO'Ilt IOil 1parle; il est !dès lioll's 1'aiu~i li1a-Ï'l'einldwspensa1Me et rpriéc:ieux ,d!e la ,rruéehOldleintmi cive, pulisqu' eJl.e 1oornsistei, ,comme .P·out 1dlélfiJJlie 1ce,ux q ui l' mnp l oyèrent iles ,premrier,s « ,à SOUr imettre le s ohooS'es à l'ex;amem,ldiilrect des ,011gamesIdes sens, ~p6c-.iale11nemltide lia
,,ue ». Qui VO LIB vem·.a! PersOIUIIle, je vous jure. IDa:ns un amtre 0111d!1~.d'M1ées, 11 ,e ta Quitte 31Près to ut à perdre la uauenrc. lbleca,u n.oi11·:permet Fusa ,ge ides exerlC'iUn ba rha1riisme die -p,roruo1ndaUon est ·Ces ,r,olle1cti ifls: ·t-édta 'Ilion des l eço ,ns , ,tutreID1Jemt1gr:a1ve qu'ua11e tl:la,u1te 1dl'.011· tih,o·coMecticm des de,'1QIÏ11s; il ,csit:dlQ'Illcià lia .g,1•àiphe; il atte in t la J.ang-n, e, c:.a,ru,n,e fois wu :mo•yeu 1dl'émul;a,tiom, en,tœe J,es langue ,t•Cms~ ste a;vaint to ,ut d!a,ns le lramélèves, et i'l idunm1e sat1sf\a1cti01n, ,d,a·nJs g'J1g,e.pa'l' lé, ce dOOII!:qnel1qJU1eS U!D,Sne la mesure C01m 1partible 1aivec la 1dis,cipJ.i s'•a1vi sent guète. Le seuil T,cimèd,e à. ces ne, a•u besoin !die mo,u1V0me.nts,i yif .cbez défo L11 :nJaJtioooide la .sai ,ne -prOIOOn 'oiation, c··e.st l',a1mlé,Li1oration1d1e 1I'o1rtb0i0Taph e. l'eDJf:a'Tiot. II. - DÉVE ·LOPPF)M:ENT DE LA J e ,di s l'a!Dlié lior,at,i,o.n, ·car je ;e p1u is AU •POINT ,DE VUE PE~.SÉE ad1mettTe1q1Ue ce qui est vu·a,i s1oit 11.nioi,n,s PRATIQUE. bNt iu et moi.n.s élég ,a1J1tq1u,e ,e,e qui erct I\tr un moyen t'a,pilde ides proc,éldlés faux. ( A suivre). 'giénér aiux etm ployés ,d!runls l'ensei1gne 1
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Un regard au t.abJeau noh-. I. - D~VEILOPPEiMiENT -DE LA PENSÉE AU POl'NT DE VUE ·THÉO.RI QUE. T ous 'les példla.g·ogues s"O:nt <l''ac,c,ord pou'l· a:ssign.er idaints l a 'hré11a11ichiedies sens la p relJnièll'e IJ)okt :ce ·8JU seins 'de l a r,me.ms1reima:i,qruienten mfune tem 1ps.q ue <"est ,oeil1u,i,qrni est le ,pl11s déveilioppé ehez 11'elllfan,t: « Il est to ,ut yeu;x et nouis s·olnlimes idres 1a,v ewg,les à rcôtié de l 'lll>) a dit Degowié. '
menrt ,œes ·différientes matières de l'ée,oiJe.pir1i1mJaill' 'e, ,01n se ·c om,viaim:cide l'iimlJ)ortan1re, :po1urehlaicune d' el,Jes ,de l'en:nplo~ -du tafblJieruunoiir. ' L A NGUE FIRA~ÇAI 1SE. - a,) 01·t11ographcet grwn mairc . - C'est iaiu ta bleiruu uoil' qn.e• sont ,c.<()lm'i ,gée:s ,c,o,lJedive'Ille-nt les Ù,îc tié·es; O'Il y écrit égaŒe•me'nt le'S exenurpilesld,om,t :on tiirera pa11' la. métho.d P ,déid11diJYe, la règle à l:!Uiv1,e. 1b) Oomposition française. - Leis idées e:xipl'În'!)éf' s pair ,lPR élè,es y ser()lnt éc,rites; ()1)) les clas Rera ecnsuite; ·ce tmawaiJ 1
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ee ter,mrl!n1eirapia1rrun oall!eiva,sà ,dffire.l~1>e1E01'URE. _ Uétu1die 1dies lettl'es a.u talbllea u no.fr est ,p l1u s fu:c,ii le et 1pl;rus V'a.ir.iée po'Ur ,les ,0011Dlmençmrnbs que iswr les Jlalbai'l"es et les ta1ble1aJ1LX ,mui1~a1ux , e,n .s~nérial c.oO.teux et inioOOD1mold.es. . g EOR:ITURiE. _ Il ne pe,ut y ,a1vio1,r de ~eçoms d"écri ,tilH'e sa'IJJSle seNJ1UJrs diu tablea,u, :uoi,r. ,On y diécio1IDJp,o,se et. an1~ùy,s,e "'1<ilnlt s,01n·u,.:i1•rD1d1 ,nueT ,obaiq,ue lettre, ·en .av~ ·1: • ·Jet, ,dléfa1J./tlsà éviter; ,les mO'dèles_là im~te:r y SOIIl;ttra ,clés d.arnsl'1011dire Jlll'eme ou l'élève doit les i-e,ptroldnn-reet ruver .u,ne dûSIJ)OISitiÎOn ild1e1Utiq,u,e. ~ A<RiITHMÉTIQUE. - Le ma.itii·e ~ bes,otin d.JUta:bJ.eau n1o~rrpour l'e~ro:1:;,iti0tll1,0fr. a,le ,aie siaiaeço~. c·e~t. ltà q•u 11 ~,dliqiœel'oTldlr,e et la ,d'is1pos 1ü~m ,aies ,m11 soninieimemlbs·qn'tl ,t1J.,aice l•es f:vgrnresgéom,ét,ri,ques ~.cessad.res à ,ses di&n.QIIls,tra._. tione. . A 1euir t01ur, les élèv€\S rnt1e'l'll'01glé,s .r Les exercices 01·aox 1~so1l;voot les .q111 esüons ,qiu',o'Il ·1e·wr_p.Olse et i:ion.11S le s lde(Y,oâll'IS d'e miatbénn1a,bq 1u,eis &ont u,ne p,a,rtie fo.n1p•O!t ·l1a.nte du proy sont ,c011. ~rigés c01lle1cl!iN<:1memt .. gram1me, q11 1 ',0, n né,g' l i,ge ti,orp sonYent. · NORA.LE. _ Le ,uiaîti1'E'y ~t·nt '.·,ha.K,0111s ne Yo1u1Jons va,s se,uaerrn('nt 'l?air)er ,q1wej OIU'rwrnelllla,:xiiime;!'l la fia~t ,s1urvr0 ide l'us·ail,"<:' fréq'U'ent et !P-O·uœ ai n~J ,da:e idu Tésutm'é de k1 leç-oo J<0m·:r1ahère. . 1HI1STOI'RE,. - C'est a,n irnbUna1u lllmr ·torustant d'es interrogations, qu,~ id·oit q ue le ma î,tu•et-ra•ce,rta1pid·eon:2,~ leis -Ci"P - icriée11·dlanJs,u111eiélcoije bien <'Ollll~mtel!'~ les bien q u 1•q uis nécessités !paJr l'exp01s1bo·n ide s•a éc:ha·nigeldïidoos co,nt iwuieili le.s pn,tr,e lP mai'brie ,et J'.élèivC'.I:1 lieç.o.n:amm:es, cosvU/l11es,0air.tes, ig1é'Olp;'na-né1i?1a' , a"'bien' µ lus : ,\,ps ,enfants ides éic:o l es_pr1iqu e l.e h•xte 1phlques •etc. . . T!J.y i1n1éL ~aircs, pa,rfo is même Je,s ét l èive , s qm 3,rdu .rés'lllmléà a l)p·re.D1d1J'le. 1l:e, ,rue-sarvenit pas G:eOGR\ iPHIE. Ohaq,nE> l1'<;01J1;·irvent à l'éc,ole uo11.mrn dloit être ,acic01mpagnée d"U"n to.·&cé hè_s s'exprimer; il 'l'au:t, à Ja,}ert:'fre,lewr a,pe :'t ca:user. sobre au ta b1oetamn-oiir. Les -éllèves idioi- .p,rea:11do.' vent éigal e'Tllent ponlvüi•r, fo rs idyn e Î!llr A l'éeoil~ primaire, da.rus lei:; ('1amp:1· tE"rrO!g,at iom, j01i1rudlre à. letws t't·J)Oll! S{':- gne•s sm·to nt. les eonf.a ,nts onrt: 1beS-0m le ,c,roqu'ic s nélcessaiTe. ,, , <ll1'on,Œesfaçonne à la pmroJe: _en ~.Iai:;SCIENCES. - Peu tl ~c·oll,e:;vos:,e- ·Se. p1a1r,d,es questi'on_tS,rdPs ,1'1éic.i t,a t10nt1 tdent 1m rrm1 :fé1riel srieutifiiq,u,e sulflffs·alD. t. et tles aedtH·es ex1pJrquée,s, par die !.pe· On y 'S•lliPPléeeu h i.1i;aint à la m,a,ie, i-é- tite .i:;nan iations ,portamt sun: id,e,sfaits ,dJUlit.sù lewr,s .tirait,s Psse.nüe11s, lies -01b- ,J"éells,JHt!J.·iœeis e.11 •00111 ·a;gennents à reux jets :tla.ifSla1nt •le swjet ,die la Jeç.on. qui ro.:p,011: i,a.nénnemt de1111,all1 /derut des ex· DESSIN. - L'oll>jet à. derssineo.·,plarcé ,pli catfons, font des re,mrurques sen~, ·dlevant les einifam 't1s n e suffit pas; il ifh,'llit Üil!J) 1r·ovise1n t des ex•elll)p!J.es ipouir l'a,w heDJooll'eque le ma:ître le dléC'otllljposeen ra tion :des 1·ètg les, etrc.; h-O'rrside la clal!-
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se, dan.s Je·s je.u;x: , •les rélciréatroms, le:.i ,a nxilliadir~. Pat· ,cet iexe.rd1ce roop néprc:~rneJlia1a 1es. c~est S·O'UIVfe•nt là qu 'un g,hgé, '1'e,s1p1.' it :wquieirrt to,urt enseltilble malîtr-e int ea]lg,ent et .attentif sa .is1ra du 1dén ~J.orppe«nent et de 1'a grâce, et le m1e'llx le ,111aturelIde ,ses ,éllèves, J·eUll'S l0Ts·q·n',e l 1le se 1.~epT'oduità d~·vers,es red,éfaut,s; H tioe-nrdriacotmpte .die ,ce qu'i l] p1,iises S()ln,s ume iruflueDJce inteflLigente, } e ll'l: au1 1:a enitenldu 1dfopJl'O'UO. ' 1c,01~1'.iig-er à -ell le fait pa,sser 1d,an,s les ilm!bitiuidiesd~ con1Ps11-rle s tra1veŒ 1a1ela.ng.aJgeet ·p'lus l'eSjp't'it 1rie,q,u'i n'en ,pairo.isis•ait qu'u:n ac('IJIC'OII'e 1~s trrarvers d e rr'•eistp r>it 1q;u111 a,u- ('i/denit. Et doequel av,anta.ge œ sero-tNL reimarqurés. Il 1po·urra rep,rendlrc p,JJe pa,s 'PQIUl r fonmer nortn.1eélève à l'éad1roitiffinemt en dlaissP tel s ujet d'e eon- 'loc•utfon '! Une oonver-sati'on de bon .ve.r,satiion éha1rnc!hé a'Ïl'l~n:r.s eintre ,eux, goût fo1rrm, e le sty 1'e sowvent ,mieuix qu' à ti- uine M'ln1position écrMe. >> Je1111r ,faire raiconter tout bawt, D10111 tire de leç•o,ni , m1ai,s,c,on:nrrne ;pou,r inrtétre-sA 'l'é10ole {l]IOmnaJe,h1: tâJClb e, si elle sPt' leiu11'R ,ciaimaa'a/d·es, ,lP f.nit ~nnrnsaint E>stpiln1SC'O'Ill •p-1ex,eq·n',à l'écOl!e priJmai0'11 ,c'UJ6enrx,fo no~mnelle dlu. j,on·r, l'én~1·e, est ù. ,certrain,s éga,rn1sp>lu,sfa.icHe et nPm-ent dlu Yil1a;gc:>idlont i:J.s :pa1rlaient pl!,us int'Pnessa.n.t,e. la s~argit '1ià de j e ut()lll't à l'heu'I'·P. E111,IeR rea11rena.ut fvllll:R nes ig,en1S(lui, to•ut e,n pooprruriatDtlelH's aiffe<Ctaüon, <>•n°leu1· Iiug,géraDit 1IE>mot · ,ls, s'éve ill ent à ll'ent en RP Px·aimeJIB~H'oitlessiOTI,n,e pI'oJJ)re ·fJJUian 1d ills le ,c,he,ucf :la YTiP ide l'imte1 l OigeD1ce. To1J1test n,oru mtlJ,rnntt à la 1c,o,nw,P1r sia:üo n ,dtU ton l,e :plus rrrntuire,l. f' n, les e-ntcon 111. ia1gN1nlt :\ ,ea.n ,PO,UJl' l?JUX ,aallliS ·ce illO'll.'<Εe dies .pa1~le r t·()lt]ijou'I'IS sj1mjpleiment, mJa:i ,s ,c,or- ~dée,s dont ]':histoire, les langues, les sdernres. •les ,a1r'ts même , J.eœr 'OUV'l' en t rectetmc:>nt , ,lllil ,bon 1maifire foraneria s~ lP.s vodÉ,.s ,et }Pur font entoovofr les ~lt>1,-P18 ,piresiqn(•Ran,RpeinP, _presq11e :à ITl1<C'uveitlile,s. DanR u:n tell mfüeu , à cet 'le<rnrin'Sw; i1 lell'r feira 1pt·en1a1re goût ~1nx •co1J1rre~~Ratio'llls sér ierns,e1i;; et s,ni v:ies, füg-e td'E>Yives imp1ressi ,ons, .siouis cette 1r•e:a,es étu/des, n'est -il il fo nl' d'ena 'PP'n ·ii Ilie'n , aibau 1d·oI1J11cr les ainsf~Q,l' inlfll1Jen 1 p as font ·nature l qiue 'l'oop'l".it se :diétvemaniè :rr,s ,fi~ l{)::IQ 'lr:r 1~ro,RsièTes, hrn:sc:>tse mû-rfase, et ,qu 'jJ ,clh erc'he e11 <Jn-es, s-a1ric a11,é•es , t.aip1a.ge.usos, ,si fré- JOJ])IJ)'C' 'I)311.'•d'e noq·melllteR r'hez les c:>mfantis 1quri ne font en qwt'llqu•e •soTte à ,s'iéjpaJD/Cfber lle clas•sp rnsaige,de la ,p aœo/le que pour ré- biles Pnti-eticns? Q·nel id'i•re c't eiurr, q~:r.e ,dj,r-eefri11:efd'\'.> lc,olre n1ormaOe n'a Raiisi pa ir <"itn ile.UJJ'IS leçon R s u11. · 1m vom nasillœrd. i nlSt arwt,s 1rih <> z s CtS é1è,v,e,s1c,ebe soi n die Ulli p éléliaigoigut''dist i·n~m'>, M. Théry , ,c· ·o1nivPrse.r, 1de 1dii;,crnter, ide rerrnuer de l ,l jm,;t'C'rmentfoisis( ,p.,sUJr l,e rô/Jie-d,e la Pt tPrr e, d''é0ha!ll1ge1·1p('le-rm'ê l,e l euirs (·,0111, ·e-risatio·n 1d,a. ns I'·éldl111ciaition des fili'dlée,sde omn i rc scib ili et de quibusdaui les. <<Dc:>·ce crue le t-rulent de :Ja oon:ver- alii.s? Mia1I1li,e1u·r à unE>étcoae no1r,ma~eoù ,f;laiti on est po1u•r a>insild1i 1re .imlllJéa,mx:fe m. ,ce 1be,s·oin n'a,ur·ait jannais &té :r essenti, lll elS. il seœia ,it _peiujust e 'di'·en 100noluire, où rioo n'aurait tna 1bi ce lbo·UJi ·)J,on,n,.' . dit ~1. Thréry, que le •mieux est id?albanlnlE> nt de J1asèvP inteJllPd111pijfie ! C'est <:e d'onner l'énèw à .son h en.neux instinict: tnop plefo , ·dE>l'ét'u/de qu:i is'téro111leranai.l y a peu de ipfanres i(JJU-i,pouJs1sentarve,o tu,r0n1I .e:1nrem 't t'n viTeR comversa t ionis. ass-ez 'd'i nidléip ernlda1I1Jr<e ert €'Il rtelrre a,ssez :RaniS :111· ,plf>1lJd,1·e ld1irig e;r Pt 1'féi gler toufer.tile JPOUŒ' se :p,a,sse,rIdes soins <dujarrj<Yt l/ 1 ·,; tes enitret ir:n,s, fl.lJn bon di:redk>.m· d-in·i·et·.)foins ,a,uistè,re ,que 1'a leçon, pilrns :d·'<ék'o le 1J10,T1m.a 1le .sanwa so1rnvent s':r ~i : ,e s·o,U/J)Je, 'Jlll'lls ,a ·riée, la ·coniversart:ion ne rnN.>,y ,faire interveni1r se,s .1Ùaî,ttresf-e:rtpals rmo'Ïns les intérêts iaie l'ierufa.nt; s,a ,IJll :aid\j'()û ut s, Pt 1d/ e la sorte y .umin1ten.ir le e:Ile ~P p1r'ête à La. nn-0'biUté <l'es senti·,eo1:1.hlPs.C'est d' ,aiTmentis , e,lle s111pip%e à •ce ,que le.s leçom;s ton et l'eP4)rit c·001, a,e·urs nnt• ex,c·e'lilente 'P'Wl1tiqu, :: ùrf>,susinie disent pas, eJ,le €n e,s:f:fo p'Uissant t ée dlans dies :p,a(f ,s ,,oi,sius que d'ia1utorl1
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1,a ter ,rc les moyen s de s11.llbs.i,sta,n1ce, -nif' semit-il ,pas in.fi1mimenrt:regu:dtab'le, .ùi,son,s-norns, que c,et enfant 1quittft~ l'~1(; .oile, i,gno.Hrnt ·l es prŒniei1,s des _Pt'1~ 1c1pes diont il dev •m fatiT,e um1eal])!plhc.: 1at1on j 01U'lm ·a llière? . , . De,s .ho,m1Dlles ptr.aüq1ues .1a,,,a.1ent ,(·10: m1p1·is i,l y a l ongtenn:ps. Pestalozz i, dès l.n. fin dn 1 X VJne sièide, fonid1a e n 8u isse ,p1,nsiem·s ,éK:o.J.rsoù J"agri ·cUJlturte êta i t en ,s1e1gn•ée. Le trar\'ia'Îl man~1~J _Y maucbait ide foon,t .arvec 1l'étuid~, s,er.YaJt .co11111me ide 'd,é'Ja,sseiment et :d•'.aipip dicatio n i) ,cet te tl ern ière. Pestallozzi n,e fit point fo ,l't,œn<> , J,oin de l!!ù; mais il e1fftù1umoins l a 1c,0111vi,,crhon ,d'-avo.i.r c,véé une rméthoide ip.lei11e ù,e 1p1iéie,ienrneis re,ssoumces et ÎH sati,sif.adion d'en voir ·le triollliPhe m"a nt 'SH OlllOTt. Vint ensui t e vVehrli, l'1omp,a,tTiote du cé:Wbre pbi :Ja,ntlhil.•01pe , .qui t;ll't nnett['e adEtude des branches f'acuUamiÙl'b~e,men,t en ,prra!liiq11.1,e ,les ip1Po1cé1dés tives au moyen des exercices ldlélton1n'r ts 1par re d,ern ie 1r. Olmll'gé d,e d'application. la dirc1d,ion de l' (< J.nstitnt ides !]_)a11v1,es )), créé paw Fellilenbeirg, puis diri(L'en se i1gu·eiment prÎ!m·ai 1r-e doit réponge,rnnJ i'é<:·.ol l e .d,e Kreu t'zli ngen, fo'rndée ldœe aux exigeruce 1s de !h1.vi,e d:U peu1ple; rparl''l1ui-11n ê1ne , il ,o:btint QJendaut ide nom 1es connaisill 1dloit fournir ,à l'enfant h:re1uses année,S de,s sUJccès éic\la;tants. ,s,a1Hce'S qui lu i seront in:d,isip~ns,rtibles. Le « Ron se<cret. éierivait vVa.l,seirres, conp1'0,grr'.rurn11Ue est 1d,on1c su 1s1c_eptible de si:;-;1·,wit·à. tenil' 1c,o;rustaimment en élveH 1moldificaüons ,sui 1vant les he :nx et les l'-ttttention de ses élè.ves , à J,em· a1p:p1·1~:J· tean1p,s. c~,est aimsi q ue l e ,Miveloippe- r:h ,e à r1é.fli{,d1iit· ... n U a:viait le talec.t menit .a?·nne in idrustr1e 1d1estiniée à deve\de llllJetke à .p1,ofit tous iles in st ants, :rnir ·rnne s,ouœe féconde de bien-être torntos Je,s 1l'ir1con.stances ipo!111'·co1mnrn[lelllt exi1ger ,que rd,es ,n,o,tfons sp,élci1a :l.es 1IlÏiq ue·r aux en fa 1nt,s 1s,es conna.issa nee,:'I so i ent ·ense~gniée,s à 'l'é0o ·l e. pm,tiiques et va;riées, e t d,e iJ!ieir étroite,ua,grircuiltuire, ,pa r exemple, « ce fonment 1]'Jé,t,u1rl1e ,d·e l'agr-iieulture , de l'hii;dielnw·nt !de 'la vie, 0ette noull''ridè1 ·e du toire nra1mrelile. des no:tions 1<fil1ygiène genre lmID1a,in», e-st œeidreYenue , à juste à .celil,e 1<111.1 mil cul et rde la la11lgu1Pmai p:·titr'e. l'db1et ·dre l a s,o\fücit1uldledes pa l'neUle. tic11l.ie,rs ,et ·d,e,s g,ouverueilllents. Gràee ·N·o1ns fa•o1111,·orus a.illeœrs q,u'en Snis;;e Hill.XPnlcom·a.g,ements qui •Jin·i sont proà Yuù1g .ai1·i.se-t'.Ji>s des l101mmes eheT,c.ha1I1Jt l(l'ï,gu"éls,1cet a1·t ,si niéice,ssni:re a~·anrce .sie·i?wcieis. IJ y a plh1s Ide 50 ans, un Anc bia1q•u,e jon.r Yers i;on 'JY€'1~fertmn:mr- golais, 1011·,d .·\..,s\hbnrbolll. ,dJéil'('<rnait deR ment. prix aux éco,li Pr.s (< conn.a.i,ss,ant le plus Ne serait-il ipas bien regirett,1ible qn ' ide 1c1bo sP.s •nswe01les n et aux inrst ituteurs nu ,enttiant - id·o·nt l'existence t,out en- •les pilus ha:bilPs à pn,seiJg":JleTces dern iè· 1a-nrc.P,s.JJr,arti,q11e-, tiè11'e se ,pa1sse,ra au mi li eu 1d'es 1tùm11u:ps, Tes. Pal'mlÎ le,s co.n,111:1is1s et q,u~ de'Vra demanlder à 1a crnltrnre ide lq1ue,cet hœnme écilairé MsiTait v,oor ré-
ser ,de temps en te:m[l'Sdrans l'éoole 1n,o 'rrma3·e, PI!Jilt·eles élèVies rde ~e •et d_e 3e a nuée 'des con,frGre:nic>e,s ou 1d11s10uss~on1s :,;·m· rn~ smjet déterminié ·~ l'avaruce eit 'Ùiont le cllrnix !]le'ur est 1l,a1ss·é, sours Tléserw· :die l'a\pJ)N)lbation du diïi,eicteiur. l,es jeume!S gens, tü'l11r ,à tonr _01rate'll'rs et a1rndileurs , sre c;i.·ittiiquein't 11'~1'eme,n! et 1s'a111is ;:inrue1rtu1rn c, ,d'onmemt ·un em1pl,OJ a,,~rl'.'ablh• et mti'le ,it 1q1ue1lq nes heures ,d,e J,cis,i r , 1a\:xprennen ,t it s'i ·nté1re1Ss,e'r anix dhiors'l'.S,de ~·'pSAprit, à p:n •ler a,ve-c ,O'rdl,e et mét1ho/d(• ia 11'lien lde rb,a1va.11 id·e1· là tort et it t'r;wers, et, ,:,;o,nllllle tm~te, ils He 'JJ11·i(i1x 1,re11t id,e l a s<YrtP à J',c;xierci:ce ide la JJairnle, rdont il1s a·ur•ont à fa ,.i. re dia,ns le e01111 •s ,d,e, Jell'r p1'olfe,ssion 1u;n·t11sa1 ge 1eo-n:,tant. 1
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pa rndu,e,s, on cit 1ait: l•a ';1ultu1r e ld,e:c.; légn 5n CaJcul. On fa it :parfo is 11éso'uldre mes, le .cfüoix de l a. n ouTrii.ure <'t J-~s ,des p1·oiblèimes d1on:11t lie::; ,d,onnées sont 1fag~ éc:v,noll11ique ei vêtements, lP- c•ha1u:f choi:,ües ipal' 1mi les suget,s 1p11éc~d1ents . la rentiJlatiou ,des [ cigeunen,tl\ le s ;Hé n. HI 1STOlRE NA'f10KALE cautio,Il's à p;i'enidire •pou.r éviter ou e01mE,r:crciccs donnés r.n appli('Cltion des 11Jatüe lies erflfets ,des t1eJlljpératuT ,e ~ ex leçons de c·es•siv,e1s. l O Lecture. ,Dig,1-essions aiu suJjet 11'n n TI s'aigi,t d0'111cd~enseignel' certa'i :nes mot ,q,u,i ·a triait là J)hi •st.oil'e ide la, ,Suisnot'Ïon,S saim, ,a u,gmenteir· ,Ja /dl\J'l''éedc>s se•: r,f:',p1,01dnchon pnr l'é-lèvc, a'P'I'ès la (,]assies, s1ains ,su11c iharger les enfa,n.ts J.e<;,on, des exp l ic-ations 1di on:née,s. 8 i le d'un Pl'OIPl,ong tm:vai •l et sans Il'Uir<>à ,c:ha1pih,e ,à liire e,:,t nn 'e >bio@t·a1p 1hie, l't·n lem -s pr1oig1rès,da·ns ,les b11an1eJ:ies,o:bli.ga- fa111t s'C•1·n10ha,t~·P d'e ·n faire JJ1er,é,swmr é (·oil·es. Cha ,que l eçon :d reva.nt êtr,e sui·pa11'ércriit. ·viP d'un exerdce ,d'a:pplkati ·'.> n , pon 'r 2° Rcrihll'e. ,~[,otdè'le,s dont 1l,e1R plhra.t.;es r1uioi eeiju.i,ci ne iPOIUO"l'.ait --ïl ~)alS to,w1·ner ·t·,1[µpe,llernt ·1me idéP mé1mo1mlble, un fait a,n ,pr,otf.it de l'u:rue 0.11,Ide l\ 11uüe d,es i,mp'O~·bmt, e·tc. 1fise a•u net ide rés·rnmrs hra llicllies f::wuJltafrves? Ce 111'est pas à '11i st O1·~1<J. 111e,s. id1iTe éivi1d1eim1mentqu,e !l'on se dislJJien3° Grammai ·re et orthographe . D id ~es ::;era 1d'cns ,eigne 1r llJne .pan ·tiie fd:e ,ces mê- do.nt .Jes ,sujets sont pui,sés ,drans l'11ismes matières SO'Us for<m,e id,c ,co,ur1s réto.fa,e d e notre patl"i·e. F,o,nmation , de ,g,uflieris, co1mimel e,s pT,o•gramJmes le ,p:red- ·11,hrns,e·s f-'ur 1Ja1mêrmie matière. •(·rivenrt:. 1n,t,i,on de iproiblèmPs 4° Calcul. R,E'>sol :Exa1minonis le ,gen •re ·d!'exe1•cices reaya .n( ·pou!r 'hnt id1r trouver l a date ,de Ja,ti,f.s aux brarnclhes ,a10ces,sofres, que ln n r, i1ss an,ce. 1d1c fa mort. - lia. d'urée l'on ipent ,œonme1ren aipplliica.tion ,a,es l ? - <l e .J,a vie de te ll ,pet·sonna :ge ,con1niud/ains r:10:ns ,snr ·Je.s b1~an,c:Jhieis o1hl1gwtoi.r,es. ( A snivre.) l'histoire, etc. I. GÉOGR!A,PHIÈ --·----------1 ° Lecture. Penldiant une J,eçon ide l1~ct1ure, le malitT:e fr,ourve fré'quiemrne.nt Ls hmgne et Ja grammah•e a1 oaca ,sfon die faire u.ne id>igir,e ,ssion a.u s,uljet du te11~mese 1•aipiportant ,à fa géo1° 1,1:v a uine d.i,fférernce cia:pita,Je e ngra1Plhie. A ,la f ini l'éllè"·e s·er,ru oharg-6 tr-P l'em, ,ci,gneiment fle la :g1m1m maiJl·e et d·e '11e!pJ'01d1uill'e par écri t le s explica-tfo,n,s ee1lui de lia. Jan1gu,e: l e ipreimier ne [Peut données. ff,oü· po,m· r 1ésnltnt ,qne 'la ,co•m,e,ction 2° Ecritnre. Des iplhrasf:',s Ü1'd,iq1u[mt lia 01i-t1ltoigT,aipibi,q.ue; le 1d,eTniE:1·a :pou,r but situatio'Il, la p,o,p'U1l'art:i,011, l'in lduis,trie. le dr,11/m e ne.1· les él,i',ïes à :pcrn,ser, à lsnoneonnnner:ce dPune vihle , ld' u1J1·e 1conkée·, le cer claiu·c·me nit, ·C" :Jn eet emont , die viYe nom d'.u:n rfJJeul\·e, Pk., 'pienvent sell'vi,r Ycix et 'pa 1· é:rTü, lf'tllis i,d'éiP,set Jeun, <le ~noidèJ.e,s ide 1cail1ligm1Ph ie. Sfll1 Îlllll('llts f>t à S(' l'l'Dldr0 bielll C'Olllljpf-c 3° Style. On ,peut rfrtoii;;i1·,p·om· :-;ujets des 11ensé-es d'a, ntrni. lt}p 1·,!"ld,atctio.ns 1d1es d,e,s1<:riptio,ns ide v·o2° L 'ern,eigneUI<'JÜ tlc ln llanguE> ne _vaig,esipar eau, pa,r 'Cl1ennin die feo.·. 1d,oit -clonr·pas ,d,é'bntPr p.rr 1n 1g,1·a'IDtm ::i4° Gra1m1w ire rt orthogmpll('. On f1Pn1 F,e, r'es t -.î -'di,1·e pal' d,es a!h;;trn,ctfons <'r dpi:; ditdiées '8'U'r k>s n.otion !'I ,di> g-.é;1 1i ~-r,,- f.o1·~1J"n l],rs 's:ei e11,tif i,qt1es q11i ue disent phie ; J'1éllève co1m,p,osera. des iprb:ra,s,e; se •l'Ï(.'IJl à l' inkllig(.l !.J· te ide J',enfa1Jt. Il doit ratta ,c'hami" au IIllême oedre 1dli,dées; la . éh'<> l,a p,rati :,1t1PhiPn ,diri g{,c du !an.gac,111,te mw1,aile pernniet 1de rdonn ,er iton- ge l wi-mêrnw. jou,ns le s e:xiplkaüollJs id'1une rn1anièl'e 3° L'·en.seigneonc,iirt ,graim11m1üc,a.l nrnin1tuitive. ipr emen:t dit ue ,co,ll1Jru.e nce ·qu'ù p,a.rtir 1
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108 du diegré inbeimié!di1a,i1te idie l'éeone p,rimaire, ,c'e ,st-à,d.ir .e ,dès la rquatriè1IDe am.née ,seulleall'ent. 411 Ce t erns,ei,gI1Jememt doit ,se ,ra:ttac,he r •a!U deg·ré de C{)lnnailss,auces qu'a dléjA ai<1qruis1Penfant loŒqrn''Ï'l a'111'Üve à l'~a0Je, i:l d,oirt ,Olbser·vier ,une .progresRion riigoure111se, Temonte·r die !l a, pratiq'Ue à kt tlhéo 1rie, ,œe,s,exe.llllplles ,aux pri ·n 11._,i ;pPs, d111·001meret à ·J'.aibsitrait. Cet ens1eiJgneonent dioit êt1re inrf.uiüf, vi'Vant, a,ntlnnié; i·l idoit corntr ibrneir ,aiu ·dévefoippe1ment des f.aicwlfüs inteUecrtiuellles et morales, J1J id•oit erufin 1arvoir (>n·Yue 1'expérie1JJCe et la vie 1pratiiq.ue. 5° La ~rrnmmai1re eŒJ1e-même 1ne do,it jaimais être erus·eÎlgnée ,séJparéiment d,e la 1penséie vi ·viaute q,u.i ,corustitue le fond dm1 la,ngage. EIJlle ne l<fo1it êtTe q;u'nne ,éùll)(\,e oormplémentaia·e ldln li'v,re ide Je,ctrnre: dr·aJbor1d ,Je fio1n1d, ,c'est-à- !d'i'Ile lia pelill'léle; '!)'uis kt fo:rlme, c'e.stJà-dire l'ex-
:pre ·sS1ion de ,la pe .nsiée , I;.0111 étJwde anaIytÎlq·UJe et s~1ut!héit ique. 6° Au ,lieu ide ipa1sse1r id~a:b-011·d en re,·ue les :parties idiu 1d,is1cours, l '1étrud!ede i.a g[~a1m1maiTe pa,rtira ide la 1pro1posit1on la p1l1us isinn,p•Leet co,rudud,m l'élèv·e rpa1r un détve!Joipjpe.mentg.raidiuellet une ipr-0g.reission lenit,e et ri•go1ureu,se à la péni,o/d,e la ·ph is 1c01mrpiliq.uéle.Il y mtta1e 1Che1,a s1IlC1ces·s iv e.me:n,t, idians l'Œ·,di1· 'Pr•es:cl'i,t prur ile J)'l'O~allll/Ille ·officie l, l'étulde des 1parrt:ies du 1d,is0oœr.s, lia ,comju~aison,, le voca1bulllafr.e, il?ana ly,se , ~,a, ré,d,a1ctfon et 1,a ,c;o1m1position. Vioilllà, no•ws ,sielJll!b le-t,il, '] e,s princirpes qui doriiverut diriger '1'eI1Jseigneme,nt ,de k1; langue ·rwa.te·rnieli1e 1po111•~e 'l'e:pl aceir s,u:r ses véritabJ.es ,ba S1es, •le ra1mrener ,d1anisl a. bonllle voie nat1mre1 J,J.erp,o,u ,r e.n. fa.fa:-,eune Mu/de to1u1t à a1a, fois a1g,r1éajb le et féic,onfd.een rés uatats.
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l"OJIS- ~ q u 31Pirè.schaq'Ue étuidie d'wue bBUire et ,deiJniueJ-e l'èghm1e:n ,t ·aiurait ,pl iac·ê UID, moment d•e 11elilche, Jrnsite pom· ae .-.n~ ilSh· ,cti _ resseu · , ,.,,.... e.s IPŒl ,x q'llll ,s ,ennmdie,nt en dasse? Non; i!Jes Ill.:tÎ'lll,es 1sa.ve11t JllÏIBUè\'. q ue iil'OlllS comuœnJ.,t
uoos _.ae:on~ •timvaiJle.r. S' ils 'll•OJu.s!Ïill1posent des Œ'êméa11iO'Ils,'Il.Olllls devons par d Tté regaroer ces rêc:t1ê·ations . ' oc1:a ' , co1mm1euu devŒr .
I. Entrée en matière/ a) b) a) II. Influence b) { c) PLA.N,
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I. Entrée de la lettre
j,ama!ÎLS,et emplo i e tO'Uli:as~es ré?'_éatfo111,~_à fa 1ec.tm·e ou à l'ét uldie. Ec:riJvezluo. a ·ce S•UJet.
PLAN II. Corps de la lettre
III. Conelusion P.,
~
~ b) Nécessité
Dernière recommandation 11 lll3inS· 1905.
a,ujm1111c1'hui,,et oeipen,füllllrt <ill
fwmt qne je te gro111de'lllil ,peu. Tu e.n e1S
,SllD:liS
ùout,i étornné, ,toi, le modèle de rl',lll])pld~atioo et de rta:nt de bonlll,E'S qua,litês. NéalilllDodiIIIS ia t'en. man,qu,e ume: t,u. veux êtn-e tl '.op prurfait. Vois-tu, l'excès est n ui •silbl e en t0111t, même t'n la perfection
•
..
do.ne appll"iS qU1e tu Dasi:ro.<;llleis 1t'êcirénti01Disà lir e et à ét u dder. Et pûl\J,l'qUoi 'IJas 3!USsi 'l)i'lll<lal!lJt leis 1-ep,a,.s? Ha! je t' ,eJDJtlelllldls, me dire: « Ne iil'aut -iIT !PUSmanger pour vi'Vre? >> Fort •bien, mon [)E'-ti t Loruis . l\fa.Ls ,c,Toi 184Ju qu'il ~ faut pais au1Ssi, ;pour v•ivœ, se 1'€jp<)J'ai
des récréations
L'Amitié CANEVÀS Lllif~t~ence q'Ule <pewvent avo,h- a~ rel!Ja.t io.ns <1ra~1t1é SUJrla vie ,d' ·UJl1 j~lllll1e homme. -- A qu101 11,econmutt-0'11aesvra.i.s rumris? melllt choJ.sj,rez-vows iles Vôtneis? .
Co11n-
A.bus du mot amis Ce qu'est l'amitié
l) Hygihe 2) Santé 3) Travail 4) Devoir
l
sier? ToUlt iLe lDOIIl.de &e fatlgue: l 'o•UJVrier fases ti,giue ses 1blras et se,s 1L·ems;le vo\Yl[!JgJe/Ull", ja,mbes. DelP'tÙ's q:uftlld na tête a -t 101ilie rre pri-
vi ,lège c~ ne pais is.e fa.fügn:er? Slllche dol!lJcq1rne <tarnttm vail est nme idiépense ,dieil'oi'ces, et 1110tre ,COll'P,S,,si faiibte, n'oo ,esrt pas 1m dépôt in,éjpu.ilsa/Me. A force de COiD:teillrti001 1 rl' éiludie a,mèrue lie sang à la tête; ce .sang ,a besoin de ll"epr,e.n,dlre,s,a coua-.se 1régu li.è1,e,,eit .c'œt ce qu' il if.ait IJ)lend=t rle repos. D'.·ruil!Je,m,s,nous vivon,s d'air au€isi 'b1en q ue d u p,ai111,et le mo111r v,emetnrt:nous est aurssi néciesisaire rque a~sOiIDmeil. Tu, n'es, ,cher petit .f.rèœ. ID.iUlll ip,ur eB· p,rJit, n ,i UJI!le maohilllle de fer ou d'·a,d~:r, et encoa,e J·es 1ma,chfa)les ,se faitigU!elnt eit •s'UJSent iprur u111travail colll1Jmu.. '.Du me d iraJS peut-être: <<Mais je ne me
l
1) Désintére1sement
b) Signes de la vraie amitié
IV. Conclusion
d'être obligé de gronder b) Atténuation de ce pénible devoir Chef d'accU11ation
:\ion bien cher petit f.rère, .Je n:e voudraiis, bien n'avoir pas à te faire cliei;; reiii,roehes
III. Choix
{a) Regret
fa)
--oHo--
Sar nos actes Sur nos défauts Sur notre conduite en général a) Prudent et réservé
11·es 111ejoue
SUJET A TRAI'fER On vous ,a appri,s qu'uru de ,,,os jeune-s il'rè-
hLen qu'
VoiLà, ,mo,n cher Lc>ui.s, oe que Je vouLaJis ne ·S~uJ/t de mal q'Ure aor.squ.'iQ est Jâ. Si tu t e cli1~e.1'u vois qu'on peut pécheu.· par excÈ!til le ~~~1,s, ce sm··a it cliêjù trop ta.rd. rn ne te s ufit"1: ·ai t ph11Sde te r€11Josrei·. rmais iJ lfalll/cl,'rrut <lie,siage~se. Sn;ruRdoute, œt e:x:trêime est mœ dan.gei, ciux ,q,n,e l'Rutre, et ~a faute q'Ule j·,, : te 1so1gner: t u seraiJs maJa;cLe. N'aitteniù.s pa,s neip11,o~-lhe 1m1·te en e.l'le-même ISO n ex,eu/se.•i\[at• c: moment , et 1persu1a ,füi,toJ ,que rre temps du ne ,so1is. pas trop ,sagie, ,rue seirait,ce que par .pais perdu iPOUl' t ~a ét de , dtll _a~semreJJJto11''e1St J< 'a.1 . l ' . ~" u 18. modestie, P~nu: n•e pais forure tr o,p Q·oo·giJ.· ceux. _s ,en , expe1r1ence, et ouvei·J·as ,q,ue t ,u tro.d1e ~s oom:1.Jsc1p I ,es q1u.in,e le .solllt [)as a,s~ez. val11/1e1·as pl ulS vite et avec pJiw" die ,fr ùrt: ê ~ l ,a,p1r s Je.~1·eJ.1lchœ.n~ces.sa.ir,es.. Aidiie u, mO'll .oh.ea· Louds, je t'embraiSJse •ûein dnein:uent. IDt c1:o.i,s-1m qu,e c',est sa n ~ b u t et !S1am1s ral Michellod Pre-Jus. ~on. ~ue h~ i,ém'éatiollls Olllt été étrublies?
Partie pratique Lett e
>> Tu .sai ,s fart
fatigue.
se'DS auolline
O!ll
2) Affection 3) Sincérité 4) Bon exemple
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Résolution DEVELOPPEMENT afo1r1s~a crawnte de leruir éLêplia.il,e t110U1S fot·ce ~eiam;onp de jieunas g,oos rub111srellllt du JIDO<t die ve.ilfo:r su~· nous et de cor,rig,ea: n,os déa_m1. 'oJonti<ers, Us œoun.ent C?~ t.i,tre â de On sai;t;, du 1reste, combien ,est glisf1mlJ}l,œcamarades dont Hs igno.11eJ11t: souven,t sante lia penne du rmauvaiis ,exermll)'.le:Ulll amli e· cruraoetè1'e, les hab:ûtm1deset les mœm,s Les pai,esis•eux, füS1Sj1>atmm·, ÎIIIl,pi,e J)eut ruilsêmeat c~~œmclte:s ,ne ,sont prus ra,11es, talllidfa qru:e lie~ ~ét<YU~·n:n·Ide son devOJir 'll'll jewll'e homme na.1s a.mi1,s.so111thès peu .nomlbnmx. ·Qu'estl'll!Slque-llà siagie, p.ie,ux ,et; labo1rjtffil!X. ce. clo111c q rne il'amitiê? L'arnibiê eist u~ e ch~se _D'.un a•utre ·côté, J,a v.ile a des momwits b iloo Sl1füte, '8'8.0ré/e•· n= n e u" eXJJs , ~uer qu ,,e!Iltire !!l0I1J1ib}/eg /P0.rfoi,s. S'!lllllS doute, Dieu et lS'a grâge.ms ·~~ bren qui ,s'eistiment récj'Pll'Oq'lliemenit. CP_pernvienit not~s s,ulffüre pom ne IPllllS 111ous 'Pllillllces ont des conrtiisl3.IDIS,les· 'hommes l a.Jiser ,a,Har 3lll 'Clêc.om·a."'"""~t b/1 "~ ,.,~= - ···M,·us. .pr'E'ncl com o~sti~s, des U,iruisOIIlJS; 1es méchan ts , 1~ •, ucr1em~n t .notre ·Cœlllr déS1el31!)ê:ré c1és ou die; , . , t,eis R•SISOs ,complfoes. IlE1s hommes v,ertueux coua ruge, qllJUnd un tendre .a,nJj le CoiIISol.e seuil/s on~ des a:mJ.s. AUJssi Ulil ,wmd vêo:itable .cms il':1ffli:otiou! l,u,i 3/Plamit les dii.1Jficu1~ esit mi b:re:n [JrêC]0UX et ll",are. et "'le. dévotte po,1J1rnious COlliIJIS et ilme. . Le/s [1e1atio!lllSdlamirt:,ilé peuvent . avoiQ· des Aussi, dallls •le choix Œe's amis . faut-<lŒêtre J~fllue1_1iœsheu11eU(ses ou nuisihl,es ®ur la vie prudent . et ~'""t..'S!el'Vé . on ,vecornna.it · Cetlc'C 1 d,11n J.e un e ,hnn-n=~ N' t ., ,, . ' . ~··=· ,es -l u pars V'I\'lfi q,u 'a RŒlt ·~1giilles d e ce 1ti,tr,e,à aeu1r diéis:iJnltlé,'1'€1S~~~ ,allllt ~ aigu· no1~s illOll'S ldJemandon;s ce que n:'~mt !L leur a:t'fection ·cliéwouéejrusq'U'a u sm·ri Pf':Illsenc,nt, Cie q,rne dill'OIIllt nœ ,a • die a,ctes? Alom ., m~s nos f~ce, à leur silllcérité, Rux .b~s e:xenJl]) l'.es et . q 1U1e, tort pemlt 'D()JU)s fa ,iire nme a.u,x hon,s co.n.s,e iJ'Squ'ilis lllou,s doillnent. Ra •
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. .
·
oru vo,uforus mérlitea: 100!r estime:
I P1111"mn J•= · = J~unes gens
~"' ,=t,l;S 'de .mon â=.. ~ oc ,_.._de 1ua
110 Les;ou coodition <liont !,es qua.li.té,s a.imrr.bles rut:fo-ew wt .rua 'sympathL~ ,et qui se distin~ ;ueront 1.- Qui e,:,t l)01n? - D ieu e,::;t bo u. Qtl'i est par Jen r 11i.f •té s in cè re, 1'e nr amour <h1 trnma laillie'/ - Le p èr ,e ·~,:,;t ma ,l,ac1' !. -- Qu\ e;:t 1·a,i.J et ,le·\ul' ron du ii'e i1,r,éprncha.b le. iLli,s.e.u:t'! - :'.\Ion fr,'re e , t all ~< ·nt. M ichdlorT P ·r c-.Jo.~. II. - D ieu e.st quoi'/ - Di,:'\l ,,st to,n. Le -- -oit•J-p{q·e {'5, t quoi'/ - I -€ QJère es t waJ.a,dJe . :'.11 011 f,rè,r,e ,2!, '<'tqu oi '? - :\.fon fr ère es,t a,bs1e n t. A. Enseignement antialcooli.que III. Re[}r, e nou,~ le,s mêm e, s que stio ns, 1. Dictée ma ,i·s n'y 11éipond,ez que ~or nn ,sen! . mot. ? L'l!lbs.Lnfüe Q u,i est malade? - 1e pe,re. - ,Qu, e~rt bo<11 . li 1,é<;,ultc cl'n.n,e ,staüstique, ù,olll,t les êlé - Die•u. - Qn1i ·es t ab s.ent? - ~Ion frère. me,nrts ont ,é,té ll}uisé s alL" sourc es officiel~e ., , D'.i,en, c,;<t quoi? - B o1m - Le père est .quo ,i? qu e ,L'1 consomma tion dJe l 'a,b,sin.tfu..eeu s·ep,t - '\fruk\o.rl •t'. - Mon :fir(ir,e es t q,u,oi? - A,b ;,,e1J11t. a-rus de 1885 à 1892, a a.ug;mernté en Frn,nce IY . Qu:>! e~t le ,mot qui unit bo111,à <l'e 000 hec.toM .r.es; de 1892 à 1896, en qn:atrn a,i~s, lllllJe noov,e:11!.ea'l1gmentation de 85,00_0 c,Dien>,? -- C'es t. le mot rs/. - Quel est le ll'ecto.lritt,es a été con1Sta1têe. Le ~oison co,11ti- m ot q,ui unit maJ11cle à « p C,re ll ? - C'eist 1-e ,mot est. - Qu .el eist le ,mot ,qn.i 'lllllit alb sent uu ie à être absorbé ùe plu s en pJm,s . il « mon fr ère»? - C' ·esrt ~e m ot est. Lis ez ,c'est biein l e mot « poi,,on » qui cOillJv,tentà .les tl'oi R e:x~mples cloun és ,s a,rus ce mot <<ie.st ». J'lf\lb.sirrrthe. rpo1sou ph11s v·i,ote,nt qu:e J'a,ci,de E~e s-v ous 1S1 mti·sf,ait :r1,e ,ces lo,cntion\<1: Die u J),l'UIS1si 1que 1mhmême. Ll 111éM~l'bed'UI1Je ex:pébon: ile ~)ère 1111a,lade:mon fl'ère alhsemt? 1·hmoe réeente 11ue des po.iJl'Jso,rusmi,s d,ans Oh! ,non ; on ne dit ri en ; on ne 11;1,conte![}as deiu x vmS1e;:; coirubelllJato.t. l ' u.n de l' e-a.u ,aid,dLUo uQ~1eil ,e,st oo,nc. da,n~ née ide 'S.ÎX gou.t t~s rl',acirlie pN 11 ss.i,que pa'l· .J.i- u1ILe peti' ~e ,h:isioi[1t'. crl'l tr oi~ [llhras ,e s, 1-e mot 1e plt~s imp.orta:n:t ? 1n:e. et r a rn~re de l'·~ain .aicl.diti.o;DJn ;éc 'rl.e six - O',e1s,t~,e mot <<,e,s,t >l; ,l)lWCe qn .'i1 affii \me. p;,o,utte.sd',es semiœ d'a,bs,iuthe ~}a~·Litre (~·ga,le•1x1c01ntPqu,e,1que cho,se dt> q~elqn''lllll. - Bfen. m,e,nt, oe so'lllt Je;s ,poi1~so!llis JJllarf 1s cla,ILs ce Sa,vez-vo,ns f·om,me<nt 0[1 aip1pel1e -0e mot d:eT,nier va1se qui sont mŒ·lts le.s preJ1Iüers. <<e1st )>? C'est le vie:t•b>t>. li. Entretien V. - Comment al[)p,eJ'lle-ton ce <<q 1ueffiqu'<Ulll >> Ailcoolâi~me eit t111bm·Cl\1.IO\'l e Le bacille ,ale ~a tuber cu1,ose s,e tro ,rnve p an.· doiILt ou r :wonte un e pPtite hi s tcfa·e? - C',est ,Le 1s11je1. - Et q1ve1 ;nom clonn e-t -on au mot mi/11ioffl!s clans les 'C'l'a<'b•ats ,rles tubei·culeu .x: c'i>st le p:erme <le La terr.ihil,e ~n:rlaidie. Ces q11i clit comment est le R1U;iet?- C'e,srt l' a ttlümlt . - Bi:en. Pour i!n:œi,quierq11'11.1ill mot ,est 0i,a1chats dos.~t <',bês. m ,@Jang/\ts im .."C 1P'OU1S 8jèreis (.dODJcplllls die ba~aya.p;.e â. ,;,ec) sorut jet ,f'l-'ldlai!l,s ,s11ct et. on le s nr mon,t,p d·u chif.f ,re 1. prurce 1',atmospihère. ,et il!e1s baclilbes. pi·o,rn,en,é(s ,aimJSi que le pl us so u:v1 e:rut il ocr'll'pe 1-a pn·emière ,clan s l'air. ,s'i ntro,duis en t ,d.mru ~ les vo·it>s ~·es- [)~rucc ,dans la 'P'hrai s-E' . « E~.t >) J),reinld ffe PhifQ>ivaitoi1r1e1s des pro,men 1e1ms, 1dEIS pa.~,s,aurt:,s à f;re 2. pa 1rc1e q11.1'il'UID it l'attr,ilburt: au s:njet. il qui j1Q pemv('[Jt. dau11s ;c. le s Mn·c()!]]l s.tian.ce,s fa e1s,t e:rrbllE' J.e~ rleu :s:. L'iattu.·.ib11t 1i11o it clone ac VOJ1HJh1:t> .<; à leinT d~v 1efo:pp1e~1wln t. .i,noPu~·eT u;n CC'p<1:P'!' le cbifü1•e 3. mrnl ,smJYelllit .sa n,s rcmèid 1e. Le ·crnchirnt es:t V,l. - Chiffr ez don c ces trni ,s ,plln·m~e,s : ,su,~ec-t; di,s,on,s: '\.e r'l':tchat . voilbil l'emnemi. 1 2 3 C',est s:rnrton1rt ch ez iles nkooli,i_ne s .qu,e J,e baD,ieu es t bon. c Hle 1dJP 1-a tubercuJ·o.s,e a ph~ de ,priis.e: aussi l 2 3 qu,e id's11Jlcooli.ques dev ,iemneJl't it>t11brQ ' l'l;t,loox ! Le-p~ e8t mal ade . Q111a,tre-vingts alcooliq1.1,ei.'>po u r eeint. d'aprês 1 2 3 n.ne ,s,tatistique sé 1·i,eu1s,e! RJétfil,éd1i 'ssez-y: l'a,lcool, qu eliie q11e ·soât la Mo~ tr èrè est a;bsent. qtmrnmt.é absœ1bê.e, <esrt to<u.jou[1Snu ,isiblle. Le sujet ·e,st do111 f' 1'e mot doint on raconte rnne vefliite lü s toire ; on 1e ·chiffr e 1. T!attrilmt ,e<st le mot qui cl~t ce qu 'est Je suje t: B . Analyse c'e.st ce q~1'on .r,a,0o'Il:bedu. sudet: OIIl[e chiff1re COllll':Si:o.féri 1P'llll'. 3. De verbe s·e p1a:ce eintre 1e ;<1njet e,t Q'a:ttriNotion sur le verbe, le suj et et l'attribut but ,pmn' cliJJ,eqne la petite hisi!oi~t' est V'l'aie; Te·xite à 'analyser 001 .J. e ch'i'f.fre 2. Dlie'U es t bon. Lt> pi'1'e elst mala de·. lVfo,n -ttft'm•e est rubsent .
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--t.t-
Ill Composition . -
Cours supérieur
Lesprairies naturelleset les prairies artificielles Questfo11s vr éva r atoirrs
pé , tmnsfol'Jné Ue iplu,s ,souv,emt en foin sec. Il est con sommé arns.si q,ne.l,queJ'O'is il J'é lta.t üe foul'ragie ve1't.
. Les prairies ar tifioii el1les ont , ·sur leis praimes natrnreHe s, un avwnrt:age U[)[H'ÔCiahle· elle.s pt·o1Cluis,ent immédia te ment u,nc qua1;tité d 1e fQJllllT ll ge que les pl'ruiœi,es .u,a,tii,u;e,!]e,sne 2. Qitels sont, comvar és aux cltamvs cultfrés, les avantages des pmfries? cliOlll!l'E':DJtql\l,e ,p'll\1 ,sie.m1s années nprès 11:u,r Ellles 1dlonmeintun p1rod'll.it pfos 1,fuuu1Dé'1·a- rn'êation. tem · à cau:s.Ê j',une pln ls gra111 .de t1acild,té de A,ux IJ11'aiill. 1ie·s artirfictieil l:es. on réserve s m·,cw1t~n:e. N011.1,~ ne po,uvo111,spa s, dmns no ,s to,ut Ja cultllll'e c1'e,la luzie1L1ne , 1c lu trèfüe et du saiOJfoin. ·vwllees, emp,lo.yer au,~:si a vantag.1msern,ent 1';s ma~~,tnes l'~ 1·icclE,s ipea'll'ec füoillilées que Jou 11til11Se ·c1alll,s les gr·aurle s ,eiqpIT,ottatioilllS de la plaim,e. Pu~s les p1l'OJu.i.ts,:J,aitiier,~ se !lie :·es péd ag ogiq ues v:eL'd'~int à die·s prix éle·vé~. 1. Qu'est -ce qu'mie vntirie? C'est lhll teirrruin cuilti vé pro,c1tüsm1,t du foin.
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3. Qncls soins exigent les prafries r Orthographe et composition française lll~·es clioivent être ndv,e!Jées, en.tO'll,lées cle dotuu ;s 1et f,acilliement aocessiblelS. Leis i:1J1 stjtl1te,m1~ 'tfuiv ,ent Vlf'1ifiP ,eJ· à, améilio4. Q,ue/s tnt11m1x ex;Jent-elles eltaqur nnnéc? 1·01 · 1',en,sei·gne.n:uerut ù,e 1a gra.mmai·t•e q,rne q1.1 :eiLquieis-11inJ s d'entre ie1u:s:,s o1rnt enco~·e tentés lll~es sont fiu,,n·ées, bec-sêes ., aT11:osées,etc. 5. l. e l es la/Jonre-t-on vas quelquefois ? <lie do111U1e.r rl'un,e façon t.l'O!J.)3iv11es1que ,et pas n,s,s,ez vivante. Ils do,iveILt .Je 8Jllll}}li 1füer Ie [lilus ~ont ,les _PmiH:if 1 ·all'tificklliJ.es q,ne J'.on seane ,de trrêf1e, de s,ain.fo•in ou ,cle, Juzernie. ·poJS1sib.1Je et &uuto,urt évdre.r d'êl J,e ill~lés,einuer . ~- _Qu,els sont les avantages !les prairies arco,mme Thil en1s·emb1Je d e [·êgJ.es dJfficHes at 11,ticiellcs? uebutarutes, nm r ec ueil 1d'e T,ecett,es 1:iaistidi,e;ullltUe,sJJ · :iduJs,emt ,J 2 ·_çlus fol 't t·ellltlement. sies qu'om appi·eud pm;~,i,v,e ,ment et q,u/on a,pVhCIJu e ,mécm11iiq,ueme,rutda111,s:rlJeisi€X'fil'Ci,C'€s Canevas m,t,e~1minlables et =uyeux. 1. De fa prawi,e e,n génê r aJI. 2 · i(}u',a1Pped1e-t -ou 1Pt·ai.J•1es n:a tm·e~le.s ? Le vocHbuUa ire , la grn,m1ma:itJ. ,e et l'Oll'ùho3· Qu 'aw 1e111 g1;a!P,b'ene isont qu.e 'des ruuxiJidail•e is ·elle 'la com,e4 -on P1":a:ki;eisail'tif,i,cieil1~s? positi01D fu•anç.aiise, 'lie p1·emi,e.r ,et ,La..,dJerruièire Sujet traité pom· les .mots, ~a ,s.eoonde ll)Our ]e m ,01\111,e d'es On appelle prairie tout teit,ra,in produisant [)h.1•arse,,g,A,ul"(]Je,ssu,sd cis mots ,et d.e<s.ph ,r,ruse,s ~ia~i ·el1~~1ent ou IP3il' ·se.miis, de J'herbe dess?~ les i:dées, idout la 1re0her che et ~a d ts,potiD,e-eigen,01,alemeint à la nom'll'it!m,e du, bétail. s,1~1on . so111,t l~ JlTO)P1lede la co,mpo ,s,ittion ,fTamSelon qu,e ·C:es p11aJJ\i,ess,oort eu,se;mencéoo on i:a 1,s,e; c'eisrt:,(laillls cet ,te 1dJerJ1Ji/'1,e ,que diodt ré~Ion qu ' e[l·es pi·odJrni,sent na;trn,el1eiment, el,~ild~: l' uuité . die l'ense~"1lliem enit du franoais es poo-te,nt ~eis noms d.ilffü1,einils. :1 l ec oJ1e pnmai!re. Ce!liles qui don.n,eint ,l'her,be ,ordJ.nwe s'appeilerut, 1IJll'ai,rli es naturelles et so111.rt engazonL'éducation civique Illées ·d ,une façou p,en.·m.airuencve. ELLeis collllStiet le respect du passé tue.nt, 'e.n Va il:ruis cln moiŒ1s,,et vom"VU que la _BeauC"oll/P de ma-îtt·eis, id1a,ns lle11msrr,e çons nat un:e •dlu S'ûil ;s'y prêt,e , 'llln gen~'e de ooltu['l(l œ,unstrnctilo,n civliqrue, rl.Ollln,e.raie!lllt 1à ernten1d[1t, <liesp:JJuis['éffiU'Iléina,teurs. Les ,bo=es p ,1•airies qn,e Je pas,sé ,n'a été que t é nèb1<as ,et ba;r'bad_o111ne.:1't to,u_oom·s un béin1éfj,ce net .bJen, supér1ie, et nos prooéceis,seuŒ·,s , .a,e,s,sots, ou. des rieurr a cel u11dies ciha;mtl}ScUJlt.ivés. fouis . On llOIIlllrne;pra.iJiiJeis artificielles oelles qu'on I:1 Y ,a ]là u,n viice die mêtlioc~e très da;o,geRème ,a,e trèf1 e, de ,sa1nfoi'Il ou de iluzer.nie. r ~u,x: ,d'·ahm'd. id 1,epo,se sm· ·ul!l'e em,e,u[· J:iiLstoIDUe,sse composmi ,t d'um m·è,,: J)eitit no,mh[ ·e m!,qu1:, ca.r 'le pais:sé, ,av·ec ses · d:iffér=teis illlsd~ planoos, •s,ouvent d'urue .s,eu~,e, qu'on des tme, en gélnén·ru l, à être fairnclhées. et dont '1a ti h1~0 .nt,, a e'U so.n uülité et mêmie 1sa né<.'l!iltu11·e fait pairt1e tn t ég raffl!te de 1',a,ssoa,eunent oesrs11té; 1'es i'Illstiitutio,n1s d'll pa.ssé Sl\10.'Viivent 'finœ,re, 1es 1u,n.e1sà p,eirue mo,difilées, ~es am,a[l)trè ;s une , o'û ·eililes i~e1111l.-entgérué1,ai1euwe111t tues tm.nsd'o1t\1Ilé'eset ,mécon,OJai,ssa,bles. ~faJis. 1x arun,ees, _ qu,elq.ue!ois troLs. po,u/1' failre ,sa,~ le IJ)la1s1sé , :le PTés1en:t ne .seirruit pa,s <"e ce a tllX eéreales QIU a to\1t a,utre cUJl .trnre. L e f01Urn,age ,dies prairies esit, Ulllle fo,i,s eoru- q.u 1,1est. Oet!e 1d'ée de so!1i!,arHé des g,ênéra t10n.s '&11Jocess1 v,es ,ne 1'11QiÏt pas êtil'le ;méconnue.
C.:
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112 En outr e les Jeça m; civi quies doiven ,t a.pp1-en.d<1 ie a, 1x ,e,n,fnn tJs k t mocleistilc et ln tol éra n,oe l'h nh itu clc die se l:>llliJJ.m r tx>i· l M nns le.« :w ,t~ . Or. J·e.s l eço ll:.s d 'i nstruct ion ci vi qu e et elle mœ ·nl,c J.üst,01'.iquc .. fai tefl .Sul"un , ton ~g re ~si-f . av ec 'i\l!'ls ex p ress,io.Ill'l outr e-es. h abi tue nt .Jes oo-fnn~ à. cro i!l1e qu e le roood e m -Otdamc COODJmen ce a veC' ,e,ux et cl+t>nt\ ll'é 1iix e r o,11t l: 1 va lJ)J i-té, l'i 11to.lé1·a,nce rla lliS la 'Cli•SC'l~Ssion , Oie ·. Il fa wt q'lle s,ecta.ri 'Smle étr oit et b at aille1.11 l 'dns tlituro ur 1d.cmc1.1 e à ses élè ves l'e xemple ,l e de de '1a m()ldé>rati1on et du tar.rt, l',e:x,eim;p l'œp ri-t cri ti que , brusie in druspe:n.salble et n éoossa.i,re de t oute éducatio.n civ,iqu.e et d émocra tlquie.
La vraie pédagogie La ,péda gogi e, q11e l' on ,su,ppo se fod crunp1iquiée, est, au cOI11Jraire, trè s simpl e: Ce n'est a.près tout que ae ~ s eins, le Jug ~rœnit, la r éflexioo et ~e raisoil/IIJell1.ent appl 1q11és a1ux chos es die l' écoie. Aux maîtlreE!, nOUJSù1ron.s don c : soyez vo1~s-mêm,e,s. QrnM11d vous ser:ez vous -mêm e . vou s ne s erez pas lo tn 1d,e b ie n f.ail,e. Ces ldogmre s p édagogiques, per,sonirue u,e 1sooge à vou" em ·illll/P~ r PO'lll' la bo.nne rliiison q ue !p'eT,SIOlll llle n 'e n 11. Rê füé<'hiossez, o,bwrv ez et tou,t ·i'l":t bi '.elll. Plerd :ez ,cette ;iJdêe qu,e vou s ête R jugé !'<l.lil' ,elles minu,ti,as , q.œ l'Wl vo1ll.'! fait un cri m e die 1le1 011 tel p.roc.édé q11i n e .sten'llH [)ot n,t 011• thodo x e.
La reli gion La r.e1igi o,n. n'est- e!lllie p as ~ l1a1•mon i~ pro !olllde n rec ,tou tes les 1nolblœ pu.t ssa.noes, ave c toutes J.1ei s g,rrun:àes faou1t ês rle l' â me lh1t1m ~in e.? L111mi è1'!' d '11 nte1'1iig,en~ e po uJ· l' e.c;. prit. fitlllIIllme elle virepo ur J.e cœu 1r , pn issaJnce enco rnr a;gennt e iet 1•e do rnta1ble p<JIU/1'rrac001Sciein.ce , 1oi tmmwable po1u· l es m œ lllro<, au to1-ifé <lO'llCe et ife.rlllR powr lie ,carn 1rt ère . grâce et 1!e coums !POnr la v er tu. Qllli n e ro IIl'J)'l ·enJd t out oe qu'eilœ peuit pour le dhne1op p em,ent d es fa. ci.ilffi.o;? R epOUISSCTla relig ion <l,n j •e!JlJIH' il ge . mali'!! N' sera liit u.n d ~fü -e.
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s·œ11ce.On 1Pent l·mlJJ'expQ1qu~r :i.1lltl'c1pative 1111e n.t l:i. 1·:1.'iso.n cl'êti·e ,elles ch o.seis qn'oo~ leu r del!llil.U'C l10J. 1a ck11DJS l' ave n ir; ou p,t't~ ruus."'1 le rn· (\J()IJ11]e1. " J.e.Q'mOti-fs qu i o nt d.étetrlliliné te l or <ke O'll te,lJe défen..~e dains le [)assé; m ai!'; on ill!e :pe11t. s on,s 1u1mm pr éte..~te, raisoDllll' r un 01xlre q~1d doit ê ti~ exéc nilé s11r-le-c l1amv. H cirry R csoull.
L'éducation
est l'essentiel
L 'édJucatioo 'cloirt êt r e l,e bu t ,s up,rêlllle. la pr éoec urpatiOIII ldomi.nrunte d e fé? o~e: et l'?n ;peu,t a,jo'llùe.1:~c;.rurto ut <diel'éc oe pr un a.rre,_!J)ll.10$ qrne, d,anis J·c mfiliien. 1 oil s'ex e1·ce SOlll ~t1 on et quli fot ·me , n e l'oublions pa s, 1,n naibo n ~llC'même . so n ,iin.ifh1e.nœ 'éilu œ tri ·rre e'S't[)Our a1ooi (ii ,r,e f'l.'lJlll<; l i,mit e et s;anis <:0111tr ôle .
L . L e Ohevalier.
-- --- --·----- Variétés *
?if. Rich ar ds on. '<ll irecteu r de l' éco le commun:i.le du qnn,r t ier d 'E a s t-H a m , à L ondre s,
a vait in stituô nn 1·ê ,gleimen.t Sl,)écia1 ponr la co.nJd:uit e idleisêlèv es en ·crus d',in,ceoo,ie. D e temps en te mp13, i J fillisaj ,t ISOIJ\in &· 1''1lerte , ipotli' vo•i'l' ,si les em.frun;ts ma nœn v r ·:üent bien. PnJÏ's, à un s iglllfil, les « moo ite'llll's » ou vre nt l<elSiPOl'teiS de ln cJ.as.c,e ; Ies élè ves l ll.ohenit imm éd1iatemen,t ce qru'ils ti enn e.11.ten mai 'n et ,sor te n t dan s le co1llloo1· d 'o1l, en 'l"alllg!'(se rr é~ f'/1: d'un p a,s ,rythm é. d1.s de'SCC'llldietnt 'ànlll.s la COUll'.
Or , hi er . à 9 b. 1/ 2 du ma tlin. ~e s igll'aJ d 'a» 011VT ila:rm ~ fn t do rnn é et ~es « m0iilli1Je.uu.,s i'&llt vJ,fe le s port es à deux b nitta uts . Co m,me s i 1,i,eu ne ,s'était passé, le.s écoliei \~ exéc utèTe urt Jem · 1Illl!Il œu,v:i:e de sortie ; tout ,au plu s qu e lqu ,e s-nn s tr o1wai,œt étran gP qu 'olll l (>IIJJ· fit in,te1ir -0JllWl·e tm e clia,ss1e pollll' nlll exe1-ciee die poimp ier s. ,Ils a1:1'dvèœ n,t at nsd ;c;; ous le préruu, oil. Hs l'ffil,CO'll trèt-e !Ilt l,e,;; e.Illfn.11Jt s de s ruut~,es <fi.:Jisses. Al ocs ~ m ent ail"is'ap eirçrnrent qu e lie t oit La mémoire <lie l' é00 le é œ.i,t ,em fe-n. T..iesis<mv,ellli'l'IS ql!i ,s'am '3JS'R ~t en n ous C'.é 1Ja.it, ce,tt P ,fois, u nie :i.a,orte ju stifiée . 1et de s oot la COIDlditi•on mém e de n œ p emsée,s• 3'.l.ŒIsenilliment ~; en per d a'Illt 1ie oou;v€1Dli'l·, IJl,OUB L'év :i.c ua ition cles ~a1l~c;; avai t e u lieu e'll perdrrion s . ,a v ec l' in1:ell:D g enc e. ,cette •S'e:Ils i:bli.- cilnJqmi.n,u<tes. Grâ ce à Jem · oalm e et à l,a. rusHll'e ,a,c qu i,s,C', I e,s 2000 ,ffillf ,a nit~ ,d e l' ~ ba.ffiM pl.us é],e -vée ·et ,p allll s c11moat e ,q1t1 i l'ait !Ilotr1e e1i,p b1i,s,serruent oot été sa uvé.,;;. A 1frec1 F'o11 i11ér. !!'lJ«>ério1 ·.it é sur 1',iunimal. U·,aux Qu l8llllt au bR.ti me nrt:, 11 a b.rO.l~ ,j lll.'*J. t ondation s, miailgré lies ef fort s 'Œes pompi'€11!. La raison et l'obéissance :U fœUJI:r ai.sool1œr a,vec les eDJfa;n, ts , maàe
On l es ra ille un peu ,cbez no us. On les apmottent à 1'1hi 1stoiœ d' ,édifùer ses grands oupclile « 111aca1·ouis». Ou lc.s sO'lljpçonue. Oin vrages et de laisser ses t~moiguruges éc:•las'en défi e. On imagine da.Il!S,leurs r angs autants. ta n t <tl',é n ergumè n es drunge 1•eux, d 'ra,gitate ur s ]ls n' on t uieu, ui fo:11 tull:e, ni c:uHure, n i maisu'bVCQ·si f s, de tr istes chevaliers d u ,c..'Outeau. son. ll s n'ont que leUŒ'Sbras. Ils sont ceux Si, quelque [)art, u ne rix e éclate, un bras s,e qui on t des br as, des lirrtcc; ;ianti, CWllllle ils li'1·,c, 1.m poign ard luit dans l'o m bre, on dit: ,s'appel lent. 1.\. la vaste Pfiltt,€!(p['iseen ,cours, « Nat ur c:llement, enco ,re un It a Hen! » Ce s-onit ils app or te.ut t out ce qu'ils ont: leur dêvocl('S gens traîtres, fom'bes, sangu inaires, ditio;n, leur courage, et leur,s l:>ra.s. Quelquegues de la co1'Cleet du gibeL. !ils sont en 1·e- fois, i~s 1eur donnent plus, ils leur donnent ta1·.d. lis sol.lJt iLlett11és. Ils son t sa1'es. H é1 Iem· viic. So1clats ·a ·u sen ri,c:e de clemain, ils las! C'est mécha m ment m oco.nmûtre lems tombent sa11s gloire au cha 'llllp d'hOIIllleur et fortes et fines et belles qualités. <le h·ayail. LeU11··S~crifioc aura pru•mis l'œucl qu cs cen t Ou i, sans do ut e, p m\llli l es q.11 vre ubile à d'autres. n ne faut pas en rire. mil[e Italie n s que la Sui ,s·se •aicoueiUe, et no H faut les re 1s:pect e1:, car, héllas! Ie champ tons bien, que la plulI)a,rt du tomps eJLe va d'ho nn eur -est partout. cherc h er, iŒpe ut se ti•ou ve r d es malancli-i u ;;, Pllilwpe MONNIER. et il s'en trouive. 11 n e s:1.urait en être a u tre ment qumlk.l il s 'n,git d'u n e ,rague d' hu ma n ité :i.ussi hauk, d'une potpula,tiou d'émigmtion ·iant des aussi flott a nte et mé langée, ch:1111. (>pœves, d e l' écume et de la li e. Ma i,s le geste · !l'un Luccheni ne dClna it pas nous faire LE TRADUCTEUR (fr.:rn~1.. 'Üs-wlleru.) oub lier taJJt ide ve1·tus obso ures, n i s urt ou t et 'l 'H E TRAN ,SLA' f OR (aillglais-altan t cle ser vkes 1·cnùus. lell.lKLllld), 1·e11nes 1birneœ 1ue ~J.es po 1,1. 1• ra uncs gens, parus ùe lleu1· petit l'illage l'élu rl1e des Ia.ng,u,es aille 1 manJde, a,11. a ,·ec qu.~tre l111Q·ùespliôes da ,us le lllOnahoir , ~ l1a ii1:S c• Pt fi1·rn nç,a'i1Se .. \!bo11nieimen 1t.s ,i;,t •et re.,poir ·iJ1JJ mense rla:us Je cro ur: Us sont rn,ers,t ,1'1t>ll!s fr . 2. - drn<·111 111 ;e. N ul111i !-'iit·iQI~ les fi'ls clu meneilleux p..iy,s ùes foesques et \les i:,;latues, dout nous ue nous lassons point sip1c.';;dmRllJK gralis µar J'adiu1inist ra tl'a l'ler WLhui1'er les cllMs -ù'um\' r es, au q uel ti ·o 11idu ,,T1,adïnl(;teur" •ou 'du ,,Tram;. clla qu ,c l)'riu-tem,ps notre âme ti·h;tc va reùeJa i,01·", à I,a Ohain•X·,de-Fionrls (·S ui sse). ouw'llca· l'é t el'uelle a·uwône ct·uu ,peu Lle luCes !deux pu,bijfoations cionstituoot un mière, cie pnix et de beauté. Il s sout les enfants ·cle cc 1peuple robu~e. pro l ifiqu e et 1,aiu , exieeHl:',nlt ,ruoye-n de se 1peT rfoc<t.iionner al'ich e ùe sa11g ro uge et ùe t·lla n so 11s, â l'i 111 ùan,s les .p rin ci;paJes k:mg,ues ,dm monde. ;;iuatio11 colol'ée, à la grâce uat m,ellc, qui .sut E ll es ;;oŒJtrodigée.s ,a•vec un soin ,mirnu. rueltre d an s sa i-ie œtle ch ose iuesUwable: et la grande va'l'Ï!élé du texte, tÎ'Pf nx, ht [Joflsic. Ou leur a dit que la S u Lssc ho111 g,ué soit de tr ,a1dirncti'on,s,oomnête étnit un 1Tai eu tll·oit ùe Co0ag11Jl', q u e ·a r •O'o1111pa1 1plèh-'s e,t -eo'lniectes, &oH de notes ex.,plisou cu:m· était fklèlc, que ses m:i.ius étaient pm·os. Ils l'ont or u, et s'é-tau l 'Ulis eu cJ.1e- ca t i Yf'::;,J.e~ ,1·eud,ent 1'ec: ,o,rrumain1da,b!.ei:; 111iu, i ls out lo n gueuueut cheminé S'll'r les tant po ur le 1:,t·aviailindividuel que .p,out• routes, pieds nus, 'lem-.s sou li ,c.r.s à la. lllain fé-rn11deen, fif1trni 1iie. 1-'e~ ,-._ ,::-,\ ;u;; ~~ :!·2 !1~~ J1um· .uc poi nt les clomma.ger. gu ,es diif fér.e1Utes ipcu veDJt Mr.respo nld1e lis sémt soln •es, la:bo1,ic u x Pt alflf,ubles. I ls ewh :t> L~llx. f'oltnp -rnt•{- n 1tx a1'"a!l11taig ;p:;, qn' tr:trnille1Ut ù ur sans se plaindre .. \. 1Uidi, je ;l>l'P~01ffrPll'l,Je,111· IJ.11· ,ix L•-~ t ruo/dlL'iS te, et r,g :nxle re ,·euir du clrn.utie.r leurs col.10ne.s <> blarnohes et p1·cssêes, et ie so,ir je es cousillf •- tot1if:leete.u1· studieux eu ~·etire.ra cerr,• fumaut leur pipe sm· nn seuil ou prome - t ;1i D('!llen t un f,"1.'a ·nd profit. 11aut nu petit cut'aut - une ,créature coU1m e ib s·eX1p11imeut- dans leurs bras. c·est grflt:l' à l"ux qu e les gr:i.uds tra.vau:s: ,c~e ce siècle List e de s li v re s d'éc ole . ~·a.ccoul/l)liss,eut. c·est gni.ce à eux que le SimJ>1on n pu être ,p ercé. Telle ln fo ule a uoPou1· Ja go u vetne du personnel enuy me cle·s es·claiv,e.s ou des légio nn ai res ù'a useign afllt, d'f'S admiuistratio ns co mm u ttl'fois, qui vœ:laie11t l~s pierres cles PY·L"all.lli- nales et des commissions soolakes, lles ou tles ch:iussées, ce sont eux qui per-
Bib1iographi~
nous oroyons devoir il'appele·r ci-après
4 la liste des cla,ssiques en usage dan~ Carte du Valais ~os écoles et qu 'on :peut se pro,ct1rer Ca~te de la Sui,sse (sous e1:1,:elop· cours de ll.'épétit10n a:ux prix indiqués 3:u Dépôt c_antonal_.d,es .pe) 1_}0UIJ:' l·ivres scolaires, ma1s(}lll Gabwud, Swn . A1·•ithmét·iq,ue Religion Arithrnéüq-ue ,dies éco les -primaiFr. -.40 Catéchisme du diocèse il~es. 0.70 Bibl1e illustirée Bourquard Com,s é lié>m.,et p1r1é;paie. 0.35 Les iS·oil,urtfon:s Histoire sainte N° 1 (S. M) rd•u , cou,ris éliémen0.50 Histoire sainte N° 2 (S. M.) tai,re s01nt d,onnrées ,aux maître!s ,et maitr,e,s,ses q.u.i ne [,es ,pos,S1é Langue maternelle 0.40 1deiraJent pa.s enico•re. Méthode de lecture S. M. Oo,u'l'S moyen et s1rnpéœi,eur 0.50 Ami de l'enfance
FAYOT &
Cie
0.80 0.80
0.60
Supplément au t3V l de f,,&cole" (1906) 0
Lisons l'Evangile
,ses :s,ocimts et .s1esfo 1r,cies aussii ,bi,en à la pl,œs !biu1m1Mle petite füleur ,de ·IliOS 'Chamups IL'Erviamlgilees1t le coidre le ml€ux ré qu'à 11',alrfüiregéainJt ,de n,01sforêt1s ! H •s·oudi'~é et J,e <pliws: pamfruit quii exi>ste et qui eûsfte 1ra ja1mariis;c'e:srf:le tl>ivlI',e, ,le 1~a1de- üent !Pun,iv·e/I'lsenJtiier, et 1-es ip.aiurvr,eis 1d! 'iicj,-ha1s, 'S101nrt: ,0ontd1uli.ts,1prur ,sa ,necrnm ,pou'r cette vie et pour :I'1auvre, où 1Pèl1e1r1ins 1s. c'halaun, niobe o,u: paiuvre, tt,01wveria!pour matiu et auss~ rapp,elié1s1pa 1rL1ui aiu··re:IJI0 éternJel. fü,ute .s 11,esc-ilr1co1nsïta.wces .de sra vie, en 1ruseOette un;ité se tlll,On,tre llllell'VeJl'lre cl'ehoris de/s P-rus,ei:gneimenrf:is r,eçUJs ide ce,ux ,qui 01r1t mi,s,siorn ide lies l eur d!?1n- merut 'bü~,n,dia.rusla ,prière ldlu Rédlen1ip'.l1Je1r, ·tune,règle ,dre·C!o ·nlœuite. H n'y a ['~e:n teur: « Mbn Œ'ère, rf:01ut1oe,que j'ai t'apet itJo,wt ce 1q,ue tu as esrt à ·d'iétlomrniaw t en ceJJa 'Pu,i,sq,u·e ·C'.es,t D ieu 1pm11Uirenrt: mo.ii» - « ·Pèlee, ,c,01I11sel'Ve-:l:e,s -à t1on nO/In, J.111 ,m,êime ,q,u:i e n esrf: F.a>uteu,r! L'isons l'Evangile . N,ous vermoms qu 1 ,a.fi'll,qu'•un jo iu:eil]s, 1s1oirem.tavec nrorus». .aius,si g,r:an·:rncu,n h1om1mc n' esrf:1Pa,rfa i1t et q,UJeclba- V,ori'lià v·raiiment ,u1ne rwnruM i ·sainte, iaruss~ :pœrfaiite qu',on e, dle, a/Uls,s que ·01p,iniio[le.s,t ·d'u,ne 'Vialeu1· J.~m~ité , e,t ,ce;perndiainrt v:o,11s q,ue m-a1iln,t,e id>ée 1S1erareiporus,sée, .que 1 .pUli,s,s•el'ilma•g;ilner tT,01rnvez encfo:re, idJan,s · oe 1.l!i'v,1·,e qui d:od.t maâm,te 'Olpin.io-ntomJbera, ,que mamite être ,lie ·comrpagnon, rd:e Il'otre eX:11s 1teDJœ, p,o>lritiJqu ,e ces s,era; ·q,u',o!Ilne de·-vr,a,p,a1s rej"eter re>tdamrner tourt: 1d, e stuilte 0eux urne ld:iver1s:ité arns,sli ,grainrde, auis:s,i p,a·ride q·ui ne ·s,om1t,pa,s ,d' aioc,ord ,aiyer, n,ouis, fo'iitJeq,u,e pols1sibl1e: ,c'res:,trqiUl'à:J.'éc,O'lie l'H o1llllllle-D i eu , O'U, ,oru'bl'iie :d,e d:iraw•eT -c.at· da1D1s'ba ccmra,1siorn idJu Pèl'e <·éles,te towt ,SiU[';lia!llême 1f:o1rimeOIUJ :dams 1lJemêi1J y a bi'en .de.s dieme.ure.s! » m:e UllJOIU,]e. ·Natm1rie1Ueme,rntla T,ria,clriüoru dionit Evang1i~1ev,eiut dfüve « ho1I1Jrue oouivelL'E)g;l;i,se esrf: la ga,rdden1ne e.t Ie po,11tevo-ix ,est un e 1de•s s10iurces ünipol'l,ante ,s ~e >) et damfs· ,0e ·qni ,dlevrait être .1e ((lbréde La ,vérirté, mais, ,C'et.te g1a:r1di:e1D,ne d1e via!~re 1diufaiqu:e )), :P.Evarugdl'e,.iJI:y ,a une heiu1r-euJsle 'Illo,uJVel!1ie p,o,uJr1chra10un rde no,uis. 1'a 'l'raclii.tiJ01 n, l'E1glise, nou.s met entre les mai.iJrns11\Èv.a:n.gfle,et •norus iDJVit,eà Iil! iveiwt q111efa rvi>e ,s1oit 1r,éta!bllie te'11le ,qu~1e1n,e 1dloitè'tme, ,ay,amrt:rpo1u1r ·01rgand 1saen fa1i,re no.fre le0tiu11'>e fa1vorite. tniice lJa j1U1s.Ooe; .s, 0 1n Eva · u gu.tlte est avaro.tt La fo,11cede 'l'E vangi :I,e est to,ut ,d'ai:11-v,eurt liien bâtir, 1Là bmïd ,dia,ns .11e d'aiJt,q1u,ec'esrt Dieu ,q,ui en ·vo,u:t,a.ff.irmat:iJf, 1 où le ·beslorun 1s ·en 1'œit ·sent:i!r, mad.1s, il e,st 1'.am,teur, et ernsuit:Je,p.ar,c,e c1,uie·dan1s J)'erlf1e1ctlwrmer.« J!e rue l'EvaŒ1Jgile vio1u,s'I'en,cornJtpezde ux ,c,ho- veut avallllt r!JO!urt ·verl/u ;poutr rubollir .la l1oi, mais .se1s,,rnn:eiJ)ar1fiai,teunité ,et une .granlde su:i!s ipra1s· 1'al0com,pli,r! )> piû'ur 11 dli"i"€11'SlÏité. II est :èf! oruc ve1ruu;p,01uJr ·r,eidlr1eis1ser le J ésws -vtie,nt 'f)Olll'I't,oœs les hommes et !le<saip,pel1l,elies ,enfa,n>t,s .d't! n mêllile ro,s1eam c,o:u,rlbé, p ohl'I'1g,wéri:r i101urtesaies 1q,ure,c,01r,p,o,relPère· i1lpaide d"un ,seul .r1oyiaimJ..1 ·e, d'utue mli,sère1s,itanrf:1sip:i!rfut,u,elles ' . liei s. Jiéls'us, rnofu.~e 1maîtll'e, 'e:st 'Vfem u aux '1uimière 1d!umonid'e, 1d'·u1D1e f.o1iet 1df:UJn Juwu gie. ,Jœest Ulll rste,ul}: ûS{P'l'irf:. U •est •l'al1pha, petiitts, ~1u,x 'hurmJbl,e,s,atmx1d1és!Jiélrités, 1 p en[)Œ,e ! Il a ld' ruÏ'lilienr'.s vo,n,Jlu: Luti-1même 1 l'',o,lll/eg·a,ù,e;pminci1peet lra fin, 'CO!mmei'l est le ,centre id'UI ciie1·et ide ila ter.rie, 1dru, naît.re id1u 'Penrpil,eet .aiu rmil:ilem,die luJ; ,pom1r.le 1Pe<nipl.e, en viv,r,e et se sac1nilf.iler mon/die 'eutiier ! l!ud ioomlfJ.,~mamt tou,t,e ami))liJb10'n rpre 1nmi,'.Domtrt:ui tœe:n1t,a1u cœuœ, il ,po:,oidl.iJg,ue ,s,e, ·1:io'Wt'e tenda1.DJc ·e 1au bli,e[l, to1urf:,e·Den1
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66 ,m;i;]le,s •o:urvr:i ève.s et bo w1,g,eoü,ses·, ·l' Edlalruce à kt joŒi,s,s,amlc e (j us1te). ·E•n, 1un ,1a.n1oj 1!1e,s,oit à l a 'P'liruce ld~: bJt,,l11lll ewr, et mJIYt i l! v,eiurt:,mu/érir !l/e1nmrude ,et 1lm.i , ,r~s0 ' • ,cœuros·1s un·]s,s.e!D'l: t i tw'etr l a vériùaibl:e j,oie die viwe e,t d,e que ]Qlrsque de jeUU11e,s j:}:g,1·eçoi,ven t j-ouli1r, ,s1am ,s,.d,1 ~pa,s,s,e,r ·~es :1\imiteis 'q111'ti!m • J}O,uir fiorimer U1nefia1m~1He, ·c.om1miec,Offilplrug.non id,e J:e'll'r vi e là d,e!ll~, 'PO\Sent1,a jwsiti ce et la v1entJu,. l:MJai:sil ne 1s1a:I"rête prus 1à, / ,:iJl,va 1p1]us JJel}iiv,re ,dra;rus :l1eq·uel ii'~s jporu,rl'onit ;p,mser, 1nüeiuix ,q,we ,cfa111sto irnt autre ,a'iklle, •Lo-in, il rrest ,pas ,s,eu/JJeme1ntve'lllu p,o,1n ;les ·hiulmlblies, leis 1 p,aiurv 1reis, lie1s, ·so,uf· foTc e et ,c,on.s,ol1aitio1J1. L isons l'Evangile eit woms de.v~eruck101n1'1 fria,müs, ,1,e ,s. d1éi1aiis1s1és, ,ma.fa fuJ,a,piptaiiiait ' a.UJ SJS ~ po1rnr l1e,s f,oirts , 1les hteuœucX:et· ~ ·e. - :rneillüieuir,s1, n10,u,s cdiirigeron,s p1lus .fa'n,o,s -pas 1d,ar1s lce·s ,C(llmlba;ts 1q1ue me J1e,s ras 'st3.1siés.- l'l a ,s,on 1Eva11gil e d!Le<Illle!Dt 1 no1ws ffv .onl'l à is101rntenil" e,t da111s, 'les 11e•pOJUII' t ,01u,scar « .i:Jabai ,s,s•e ,c, e,u.x qiwi ,s écemeruts die la vcie. l èvent >>. « :Le,s ipcveim:ieir,s 1s,emont l eis ·n0:I1J der .rui<er:s ,. » << 'M ia1lih ellil' ia,uiX1rliicihe s. » <<BJenhe.u11--e11i,x œ ux q u:i: ip1l,eiuren,t. >> <<Bile:nlhieu11 •e111x0ewx q1u1i s,ou:ffu,eirut >> etic. - :que « ceJ1uj ,q1111ive,ut •me 1 s1usiv,re 1'e'TliO'Il1C1e :ù :1J ui-1même. >> <<A1im1ezyo,s << :U holffilffi'e vfit veu die .t,eimpis, et ,;;a e,nnemtis. » - << F\aiities 1dJubile,n ,mf'm p à ,•i e ,est 1ren.11p,li e die m,o,IllJblr eu1se,smi sèY01s,ernnemi,s. » << Je :nie v,o,111s .a1i;pa.s res.» Lo1ri'3i(] 'ue 'J:e ,s iaœrn t hoim1 m e .Jolb pr-r•a,pp.rnrté 'lia paix. . . <<'1111011 ,f.a1rd •earu >'. nconçatit ,cette plia,ilnt,e dlés·o:lée, iil ne c,o,i1. woit ètwe 1Imrté, miati,s « il e.sit Jié~e1r>> sa 11 ,a,iJs 1sa!it µas l a 11 ·é,g'é1rnéra1ti.o,11 ,aie l ' hn1mavou tS volll']1ez lie pcY1'te1r.1'l m,ép:riis1~ l'ar11i,té ,par l'e Ohr iist ; i:J· n'a '"a,jt pa s 'le tgt=>Dtt'11e.s1bton111e ur,&, qes j ,o,wils1saruce1s. sio,U1I)Ç011 1d1 u .samemie1nt diu 'baJptême. Il Il pl,ws ·l,oim·.,il ruons falit :v,o:ï.rJ,e 1)l lu's n'es,t 'P'a\séitJo:nmi aint q u,e, .s'aba,nd1onnant inarwit,ponrt die 'l' aJbn,égaüon 1évanigéJ licq-ue à isa doull'eu:r, i l 1afut,ou:vert Ia: ,bou1cht=> -n'O' n ,s,euilemeirnt da•.ns le ,s,a,clI'ilfücie, li? po1ull' marudiil'e IJe jouir 1d1e 1sia . ·n,a:~s ,sanlr,e, m01rt 'du ,0or,p1s iprur amo111 T <le Ta j rnstice, 1dii1sawt:.(<Pér:ùs1se•}e jo 1m r où je ,s,11ii :s :nié! mari.is airns:s~,d,arus 'J,e lllliatl"tyirie de l' âme ... P.o, r ni ~ quoù ® -je tété 'l.'eÇU , s u:r ·re. s g'ek i ../b)a1s,, c,omme 11~1ex preS1sJi,o,i1·l~ pilm•s n,oux ,d,e ma mèJre! ·P1ou :l"qt11toiia.i-j e été granldle dln tle1D10 Œ10 eme11Jtià ,s•o,ismême. mourn.".i de 1s,onJ/rui t ! Je idcor'ID:irrai,s · cp,ré· Lisons l'Ev angile, eit ,en }e Ui.san t ne seruberrncenit1d,alllsJJel'l!i'Jel]),ce,d'e 1La tom b.P chell'chon's ,pas ,à,·contreca ,rr:er ,s,es ad'1ficr- et j ,e m•e 1-e.po,s,eralÎls danJs ,c,e ·som1me!'l matû,01n 1s, maliJs ,c!he1rc'hio1rns ,à m1etfre en avec 1ei.s 1ro i,s et le s p11i1SJsam\ts ld'e J.a te ·r1tratliq,ue ,oes rpa111o~e,s qfl.l]i •l!e 1r,é,s ,ume11t. O'e, q,ui s,e 0orns,ftr,u1~s ,e111td 1es ,sép1uLc1~e;,i « 1S,oyez ,pia!t'lfad!t\s ! )> ~ar 'i'l d:oDllle ù ch.a- d1am1s 1],e,s ~riem·xd,éJs,erts,orr ,ruvec1l•e,spl'\l'Il· <me n 1c,e,q,ui .1rni,f!e'Virewt rsrœr·Cett e terre, ces q uci on,t .p;o1s ,sédié ·d!e,s t 1ré&oa"s,et 'l'~m· oomrrue i l ,se riéis•e1·ve die rendlre ,ép,13\te- plli ,œ1a irgent l'e;u,l.':sd:eimeuire,s; ,o!U b1en mewt à ,cha,eu'n ce qud. J1uiirevienJdTa ,(}anis 'COtllll IDe 1Pavroll'ton quli IIl''a pais véciu ,et '.J'aJuc,deil;a . quti rra ja:mais vu: 'la lm1m1Î ère, j ·e ,s·erais e,st '1'ex- r e1s1M,dia:rus,]te néant. » IG01IUme'Oin 1,evoit , 3'Eva .llJg1i.11e ~:faJi1sq•œall!l'alit 1dlit le 1sa'i!ru t 1ho~e p,r,e1si sli-olll ,dies µe,nrs.ées·~ei s J}1us ~lievée·s, ·challllgé s?' trlüs· les tphl'S j cnsteis,; îl :mo,rns1mo1J1'1J11e , .dam;s J,ob et qu'e vite dl iaiUJriœilt to,urte 1sia'Clalrt<é,,11avélriM et boute l a vé- ,te,s,s1e eui: j·oie eit sia p1,aiinte en ,a1ctwrutde riltié; eit 1pia ir 11a 1ectiu,r e de IPEv,amigHe 01râice1s,s1 ill a vrut vu 0e cq,Ulise paisse 1s,: ,UJnnc01uv eau- n é powté rJit ,d,e tout homn:rue,d'e'VileTudira h 'Utril· rltA.n,s nOJs ég•l'i1se 1r,eisp ,bJ:e, <l!oiux, j1u1Sr1:ie, ·bolil , ,l:i,bre, ,s,ociabUe et au tem p1lrep ar ,Utrueip,i,e11s•e et •oon.,dll"f e, a10c,o,mip, aigrué d1'UII1 l'Ulst"tqu; s10ciruL - Et nou1svio,utdlrions , ,que, tan t à ,ma11.malin 1a. wl!lie q111'àJJa, ,ca,II!jpagn:e,1dan:s,11estfa- ,c,()(ntè.ge, e,st 1reçu cà la iPiüll't e ·pa,r ,J,em'l·
L'enfantchrétien
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n~srtre die Dieu! Un rdlialiog,we 1s'eirugaige erntre lie <prêtre et 1leis répo 1llldiaiI1ts. <<Que d!e,manldrez-.v,o,u ,s tà il'Eg ,ltilse de Dieu ,? - La fo ,i. Q,we'l bien l'a f-0,.i '\'OIUSpll'OCUll"et-
s:alin te Eglics,e ,c,artilio[iJq ,u,e, à 'la Oom mun,ion dies 1s1aimts, à lia nén:mssruotn rd!etsp,éohéJs, à .1a.11és, m1r,ecttiJon de La ,c,haiœ, et à :la vie éiteirnelile? - Je ·c1eois. Veux-tu êtr e ba.ptils.é? e Ue? - Je l,e v,eiux. >> - Lia vie éterne'lUie. Re;po1s~1rnt1sur wes bm 1s •dlu p,a1rraà.'ll.et - S'i vous vou !l 1ez enfreœ d 1am1sJ.t vJe, die 11a nna11 :rra'iJn1e, 1',enfaru t e1sit J)II"éiS1erut é g1a1r1d-ez 1,e1sOolIIlllllan!{!Jeune ntis : V ,01uis ai - airu 1p1rêtll'e; ee1Luli-c.i ,'Ver.se l"ea1u baptiis ,merez 1le Seœgrn;e.UJr v,01tre D.iieu die to;u<t malle en :fo rme ide ,croix \SIWr1a tête de rotme ,cœ,ur, 'de touite 'V,ofa"efume, d e touit JJ'eruf 1a:n,itet il dlilt : <<Je te iblaptiis,e au v.ocfa ,e e,s1jJ' rit ,et l'e prioc,haœn,oomme vo111!'!- ·rnom Jd.u Pèr<e, :diu Fi '~s ·et d1u iSailll.t-Es'lllême1s. >> ip.rit. » ,Ay ,ant s101rufü1]é til'o~,s fo tils 1S 'W1 ' le v1saIr Luli faiit e111suJteen f,011,me de c;wix ge, a1e 1p11 ~être f.aj,t ~e :s11gneide Ja c\l'loix une ,on,ction aiVeicl e 1s.ün•tçhrême , ià"l1œ s,ur ,J,e mr,o•ntet sur 'lia ,poüI'lin e ,die 'l 'ens1oubaite ,La .paiix : Paœ tibi; illi lui met 1ur fawt , il .]crui imp o1seJ,eLS •ma11rus 1s lia tê- ,s,rnr-iJJartête un barudieau die to,U,e,hl'ancbte te; ,aip,rè.s a mir lbémlile ,sel, JtlJ'Ulie,n met ,e,n iditsant : « Reç,odls1r.evêteJlllelnlt bl anc, un gria,i'Il! ,da1J11S 'la 1bo1u10hie et après aivo~r p o1,te,~e sa,I1JStache ,d,evant le itrtbuna :l pr,o•ruon ,c,é Jes ·exo 1rcis,me1s·i1l .fait s1rurl e d1e Jés11s..lC 1l'I'i,s:t p01uœa V1oi 1r Ùla vi,e éterfü'l()ln,t,lie SIÎ1g111ed1~ 1]/a,c.r·•oûx, •p1uiis le toin· ·nie[1l1e. >> H l 111 i :pll.'6sente e111s1uite un ciercha 1nrt a n~c ,t'ex tréunité idie ]t'1ét ,o~e, iil l'inr ge a11Ji umé e·n ,dus'ant: <<Reçodis cette ~utl'Old.uit dailJs l'~g11îse .ein disa'Il·t: <<Fais m ièir,e 1rur<d,ent,e~ g.aJr\d!e ,sans Tep.l'o1cheton ,tt()n entrée ,da rus le terrrrplce•de Dje a, iJIOUr bwpitê:rne, ·Olbisel"Veiles ,cormJmatnid 1emients avoil" pa,r t a r:ec 'le Ghri isrt à l a ,.i e ét'er- d1e 'Dieu, aJifun,q1uie,1oos1qu1e 1'e 1Seigne11n ne:l1œ.)) viem]ro :p,rnwr11eisin/oc,eis , :tJu · ,p.uÏiSise,salLe 'pr êtll'e, av,ec ,l e !pa1 n·ain eit ln ma:r- !Jer a·u-,dcevamt !die~ui et weic t10.u:s , J,e,s ,s,ain:t 1s ldial!lls la c,ou,r c,éille,ste po,s,sé'der r ai ll.lle, •ré.ci te •à haiute v,o'ix ·h:! Credo, il 11e 'e:t vj.vll'e ,d:a.n,s Jieis ,s:iè1~110 ,non,ce rd,e·wo1uv,e.a1u ,J,es :exo[·dsrnes, et l a v ll'e éte rm,e,1 atya-111t tr empé :J,erpo1wcedJarns:l'chuile ,die1 s cLe1s d'es, ,s iècles . >> Oa~chwmènes, i,l dit: « Je fa i1s siur· -toi Le1s 1a1~s ,ÎJs ltalllJtis111éponld!ent:Amen, ,qu ? '1'01UJ et i o1n ,de 11''1btu.1lie,d:n,,s1al:ut en J 1és,rns- itf en 1s1oii t ,aillisi. Ch.11~scf: N,otr ·e-Seig nem J)O,ull" que tu <<Via tdiom.ic, ,e,onCJllu.t 1,e 'Pll'êtllle, et 1l1le. » })()1S'S~.dieis,la ivi,e ért:eœ:ne qne 'le '8etÎlg,n,e,11r .soiit aV'e<Ctoi. •Le 'Ulloment ,soiliennel esrt 1a1ni"Vé; U é- A.men, qu ,'iù e111 ,s1ojt a.!i.n1s'i, ·réjpo.nt iha1n,ge 1'éitco1 le v iolle tte, S}1filbo;,e die ;p6- d·e·Il!t ernoo,re ù1eis ais1sii,s ta lllrf:,s . )> ni tJen,ce, eûnt1re l 'étoile ,ol,anc:h•e, syIDfbo,C"est ifini. Om. i'Ilsr0l'lit 1S'UT 11 e :Li,r,I"eides 1~ rd'i•ruoo10enc:e1et die ,µu,r eté. aicteis 1d!e1bap t ême 1e, nom, :de 10e · nou11 inteŒ·1rog,el 'e rufa rn•t au 1110,rn ,de 1qiui vealu ,chrétien. Le cŒ't ège JS!er,efomme les paim1ai1n ,et 1ma1m·ai·111e W)lllJt11Jpo 1rud:l ,e: et ,ton 1><ev>i ,e;rnt ,à :lia 1JlliL ÏJS, o!Il, mai1S·On bô·en « 01~01s-t u en D i,eiu ·1'e Pt.'Te tomt 1S irrnpl1e s:o,urve'lllt, 'hi'en rpamvue, ,s,i Vü!US '].Jiuii1 ssa:nrt, ,C1,éate,UJr,dJucCÏ'eil •et id1e la h ·'r- J,e ,ao1n1lez, Œ 'ec o·uve1rte de chaume , mai 1s 1'€? où 111a :fami1llle ,cihŒ 'ét ien:ne halbi<te idan,s la - Onoü,s-t,u en Jés,11 1s-ü hr'Î1srt:LS·Oll fi1s paix ,et rdla n,s 1]a joi e. 1Le vioü,c,i,le petit baipt,i,sié; 'la mère 1,e uniqm,e, Xo ,t11 ,e,Sei,gnewr, qui e,st né et <.J lli a 1S 'o11.11f'ifert? i,eçoiÏlt ,d1wn,s IS'elsbrais 1et ,J,ebadis,e a'Vec - Je c11.,ois. r,eisipect; We pèi:ie .1,e l:Jiaws1e au ,sisi, pulis C rois-tu au iS1aiillll t-EisiP1r>it, à Ja ,l!:' afiecuJlet U?a'Jie'ruJ.e , 'les tfrèrles et les 1
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68 ,sœ urs . IlLs 1SJaveruttOIUJSque ,cehl:i qui lieve.r ,ein!fin cou:fovmé1mlerntà -sa co,ndi ,d'e mf'arutide Drieu. n'étalÏJt ,a.vant d'être :po,rbé à IP'églllisiequ' •liiloŒl ,i1 on ,pe u,t forme1 · d1es :Senllie la r,ei1J1g un ,pauJV r1e ,enfant ,d' Aldlam, 1un objet de âmes v;i,rifüe1s, iet d-f'ls ' 1cœurs rpwrs.S'iù eist m'a{]/~dli.1ct11on, ,œnêtre rempllti ldie IllJ]Sères, t\evilelllit,d1ursaiint baptême purrufiié, ,siainic- vriari., colffime Je d!it ,qu1efüque·pairt Jea ntiflié, €fi,evé à ulllie rdli,gmité1tirès b!aute, J ruc,q,ue1s Riou ss ,ea,u, qu'1u,n ernfiant q.ni a j,uisiqu'à vi1ugt ans ,siorn innoque c'es:t 1u,n l"oi ·oolmIDlel'Enif ant J 1éls1 us , ,c101rus1en:w1é 1 manrt:, 1,e et, ,CJommlelui , ;parr' Wa'gr âce ldle !J. 'a,dJo1p- c:erncie,es t à 1ce •t foge •le .pll1u:s ,a1i ll_);J.1111s .g,ém1é.u·eUiX, 11 , e me iŒl, e rn r e,t ,lie ,p1mlS tio.n1ldi.'VlÎIDe, un .fiiliside Dieu . Jllls sarvienrt aiimJ r ub [le rdies · h to1ID1ID'e1S, i! l est eruCJo.rie pl 11s q,it ,uJ1J~IIllgle,1dielS1C'e1rnd1U td'u ,cJi:el l:, veillllera 1e,r'Ve 1r,00J11s r oes ,filerur1s 'P'l'ésur is,on âlme pouir la ,oondUJÎ'fleen Pa:oo- v1•aii,q,rne rp10,u 1es à ka1vers 11 1e,s· annlées ,br ûlLaintes ùils. E·t qu ·' impOil'tie qrne ,oe toit die cb'au - c:i:ews de ikt j1e 1 n . ne, s ,se, .Fenrfalllt a be.s:ori.ndie la me raMJieilllie'l'·étaJblle dre Het hŒéem ou ·l'a telli•er tdre N az'a:reth? oottJe ldleIll!e1rure, re1lt1g.i!o!I1. ]l a .beso,i.n de ,crio.ll!. 'e à cie J ,éls1111s ,don,t d 1èS qiu'eilll!eesrt h!a1b1tée J)'ar 1dle .s -chré['ernflam1œ et 11;aid,ofüe-s10ein1C!e wo.ll!solilt ~'Ptilenis, est 1um,e imrage d'u cieO. u,s wn j,ou1r,g;i Q,ald 1,ei iux. 1Le v.oytez-viQl rus, ·oe ·no,wveaiu ·brupibiisé, pm·1u 1s1o T1l.a, be,.:101i,n ,de se rpélll,étJYer ,dle.s.a 1<l01cdlalrns·sow beToeiaiu, da ·rns 1e,s· 1bfr'as,die ,so·n tir1i 1 n,e ert die t•ec10Œrk à , s e,s Sili CJl 1ements, pèr e, ,s 111r les rgeilloux ide ,s,a mèI1e -0u ill a b ers1o i1D d,e s'iaip(P•r101c'h , e r ide ,ce trilbus,ur 1s,o•n cœ uT? ne ·q'ueillsl&oiimis iJ1eis t ,oom;all dle mi>S1édc10rn:le et d'alil.OIUT qui :s'~p1 1 to111•ré,die ·queilll,eisip11é0a1uti10[1JS et d'e :pe1Jle le t rci .lbu:n1a U 1dle lin. Pé1Iliitem10e, triq ruellilreisterudres ,ses ! L'b umhle ile:mrrne 1])1um1aU , où ,qu 1e 1guie-ro,iis. 1"imm,01c·eDJcie 1s•e 'l"é1 qud 'l'a ,rnrlJsaiu •mon1de .Jienorurriu.ia d!e s,on Yèlle ,en cr1oiy:arnts'a ,0c1useir, 1maj1soù le ['a~lt; rpo,ur 11uli aeil:ralv'a:i\l,de ,s1 0,n père, pécheuir est 1lavé ipar 11,es l!aivme1s,. CP 'J)Olurl111il'es 1caTesises, les 'bai'seris 1d1eses saŒ1g diu cœuir mêllé ruu ,salD/g die J!ésullfrèirtelSet de ,ses sœu~s. m va g,r a'Illdillr, Ch1·Js,t. i1 va ,se foirtifier; ,e.n!fa:n:tisq,uli eni:louirez I TIJili01c,en t 1ou ré.co,ncii.1âié , ril 1a >besio,ind,e sl<m bel'lceau, 1a)"ez b!ien ,soriJn1dl u ipe'tit r -à .la ta,b\J.,e.ga:i, TI,tie •et die llilan:t1rère, ayez -b:i1ensloin Ide lia, rpetirtle1s1œ ull', s'ia1s1seoti ger lie pa.iJn vi va,nt , Uie1p1atÎITh /d1e,s:a1n;ges, Le petlit frère u',a ,pais 1S1e ,ufi,e,rnerut 'i'ai ilJe p•a'Ï1ndlu CiJe[. vi,e ,cio,rspoll'l ellnie, <dbjet i n1CeS1S1 a1J1Jt\die La Ce h e1s1oin1de 1,e(lè-vement ,et ld.'e ipurieollllli,œ1twd!e,d!e ,}1afamiil11eto ,uJt entnè:rie, fri1ca ttilotn, où :p,011,rra-t-HF1a:s1s10111,'Viir, J'enfil ,a Tleçmrpar .},e ,.siaint lbaiptême uJl'e am. ·fant à .q11,il''on a 1cMsaip1prr i1s1l'iaŒillo u11_· de trie vri,e, infiimilment ,pil'u,s1prr1é1CJiie1 U1S'e , Oia JéismJs,,lte ,c urritie d1e ~a l])UTe,t:Jé , 11 ,a pŒ'la1tfüqu,e VIÏledle ,lia. girfuoe, 1a vùe .Siuœt n.1a.tu11eilll: e, !l'a idiu111eno'Il ciememt et 10e't esipa:Littd'e ,saiavivtire1dliv-jlne. Bien ,mill'ce b:éritier 1si l',olil fi,oe ·sia:n s llie<J.1rueil niein die beia,u, r'!Ïiemde ·re.glrur 1de ~,a pruuJVT e'tlé q,u!i 1'entowre, iU g;ra;n/d •Die s''1a1cciom(P'l!Î.t dlamlsil1e mooid'e? ld!o!itthériter, 1p1uisqu'Î'l est if!t'èr1etdie JiéQue ~lwi dloruner1a-t-1on ,en élch!ange de tm ,srnsJChri lst, !du ibeau r 10, yall!IIle d!u OieL foi p1er1dm1e,de 1sles eisipéralllloes, ,&va· Ou!i,. mais -poor g.aig,rueir .l'e Cie l, po•111r rno1ui e,s, ,ett ,c,o,m me rut fe1•a-t,oilli die ,}luliun oibtenir il'a vi1eéte ;1ine1[e, ,midte'V!l'la ,dès iSa holll.u:ne q,u,a1J1\d di! au~a ceis1S1 é d'êfoe um pilu1s,fe'D!dre e•nifa!Irce,et pernld1ant ,s!a jen- ,chrléi:ien ? nieis,s.e·et ·arprès , ci toujroums, alin:n!eir Diieu ·eisic en,t ,qui au'DcllU!taut'l"e .s1era 11',aJdio[ et .giarlder 1se;s .c,omman1demlelIJ.1:is. ra v:écu ,~emo1n 1'Evang .iile ,et irep01s.ésa E)t ic'est 'Vlou:s,pèr,es et .mè!'le,S,pairj enne s,se à 1Pombre Ide rI1are:JJiig1on. i:IDnfa1e1'é!dlu1ciatÏ'on veiùiig,ie ,use et ,cef11~ rra.ti111,s ett mrurll'iaJi,nes,l(J'll!Ï au1rez l',ob~ligatiicm 1dl'in,s,trruli•r1e CJe,petliit, :die Jlu:i. f.ad,J,.· '(JIU~ rue :P•f" srt:vais, ipcmrirez-'V'O'll is, bésli.ltler, , êtes chr&tiems, ,sli V10IUl8 œnliliaîtrre sa hla1ut,e dieisirtinéeert: d'e J'I - 1pruoorntls, ,sŒ'"OIUls
avez J.e s10,wc. i d:u bOlnheU'r ide v,ffs enfants?
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La religion dans la famille
,que et prur le,s sienüments d' un•e sincère iai.fectiom. Et alor s t,out s'étio lera· la vie de f.amille lalil!guira et ell e finir~ bientô t ·par ·S'éteindre. ,La r,eli gion est nécessai:re non seu lement à la vi,e ide f,amitle, maii,s encore à .son bo nheur temp01rel. Oair elle est très v~aie ,cette rélflex io'n de 'Moll'tesq uieu: «Chose ét,01l1Ilamitedit-iil la re. ·q m. sem bl e ne posséder ' ' les h.g10n que prOlillesses pour la vi,e éternelle assure · déjà no t re boniheur en ce mo1DJd '.e.» Arrachez au foyer la r eligio n, et immédiait:ement voin,s y venez p&étrer }a sauw1igerie du vice, des pa ,ssfons et de l'incm 11d uit e, et avec elle l,e,s .tira:illements , les ,cruel ,g déehiremei ruts et le ma lh eur. Aussi J. de iM,aistr:e ne cra ig,ruait pais ,d'at1fiir.mer 1que .Ja re lli,g.iion swffirait seu le, même à urn degré impa.rfa.it, po111rexdure la sau·va ,gerie. ~fa.is ·que ll e sera la -veliigion d,u foyer 1dom esti,que? iSeT.a-,ce ,1:a phila.ru.throJPie? 1Si ·raffinée qu 'ieHe soit, la phi la:nthropie .ne possède pa:s le moindre souffle .reli gieux , pu-isque, comme l'a ltruisme mo derne, elle ,se foit gloire d'.ai:mer l'homme ,pour 1'1 10-mme et ·mon pou.r Die'l1 q,n'el1e aflfect e de méco ,m1aîtr,e. D'ai llemis ,, •la philant!hrop ie ,e1st un 'Vain feu folle t _; la plwpa1rt du t eilllps, elle est so,rnmrne à foutes les im pre ssi ons de l'humeur , j'a ll,ai,s dire ·à rtorutes les va riatioos du tnhe b~r om ét.rilque. Plus d' n,n pllüla ntJhrQ!I)e,dégoû t é de .Sion·Système, :a fini par dire .aivec Sch ille r: « J'a'V.ai,s étreint 1',hu.rn:an'ité avec u,ne vio,l enrte aT'deu.r, et je trourvai à la fin qne je 1n'a'Va~,sdians les bras ,qu'un glaçon.» On ne peut pas non pl us faire appel à la pihilosophi ,e, si ,a11,stère soit -elle. (< L'idée ide la philos-oiphie, di t l'Educa,teur .arpôtre, est ·stér ile; elle ne s'a dresse qu'à l'esprit , et enc ore, elle ne le g,ouverue pas. J> Que l'o:n se raippelle la paro le du phil osophe ~cle,cüqu1e, J ou,ffroy: (< Hé las! tou s ces sys tème s ne mène nt à r!ηe:n.(Mi,eux va,ut mille ,et mill e fois wn bon a·cte de foi ch1.1é1:i,en1
Un ancien mo·Daliste grec, P lu tar q1ue, a la1issé ·sortir de sa 'PlŒme wrne sen ten c,e 1ple i11e :de vérité: « Il se,r ait plu,s fa,cile, dit-il, de co,nsi..rrnire ·urne dl 1le :dal11s les a irs ,que de fonder un . Et a:t sans r,eligi oiJJ. J> •Sans y songer, cet auternr .païen eX'pJi.quai,t à sa ma,nière la. pelD.sée du psa :lmiste: C'es t en vain que les h ommes essayeront de bâ tir le temple et la 'cité, si le 1Se~g.neur lu imême ne ,les édifi e de ,sn propre main. Vou'lo!Îirinstituer ett: co:nstrn ir e en dehors ·œe D ieu, en ·oprposiü on a-vec L ui , c'est u·ne uto:pie mon stru,euse iqui n e peut SO't'tir que d'une t:iête sa.ns eern ~lle; ,c'est édi.fi.e.r sur -l'abîme ,c'est b:î.tir pou r la ruine. ' P,as plus qu,e PE-tat , ,la frumill e ne peu,t ex ister sasns reli,gi,on. (< La reli gfon et la fiaanille , disai t un jour le P. Féliix, se tie:nnent et se nou eIJ1tl'une à rwutre par des lie ns int im es. » Rompez ce.s liens ·et la famille se désa,g1,égera. Fortilfiez .ces li en1s, mu lt'i1pliez ces lierus et la fam ill e s'aiffe rmir a · ell e se C()l])soli!< i el'a d 'a ufa:nrt: p lu s. ' C'est ici le ca·s d,e répéter une pa:role de 'Mme de Staël: (( La religion n 'est rien, si elle n'est pa,s fout . » Il fout que l_a reWgiorn &oit tout au foyer d·omesbque; l,a re léguer 'à l'ar:rfore-p laTI, r'est la oonda;mner à n'être rien, ,c'esrt ou:trn;ger Dieu ,grièvement et ,c'est s,e 1J.ém olJir soi -lffiême. La religion est aussi ·nécessaire ,à l a \'Ïe de famille, qu ·e la r esp ira:tion à l'in dividu. p·onr -virvre. Si les membres de la f·~lllldlle n~ sont pas unis ià Dien ·par les li ens soli des de la foi et de l'amo ur Jl:ll' la prait~que de la ver,tu et l'aiccom~ plis,se:men,t f.iidèle rdu de.v,oir Hs 111eseront p·as non p:JrulsNés ,enrh'.e eux pia,r l'exerdoe idu idiév-0uemeillt 1réic:iJp r,o-
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70 tlllai,s d"•ume façon ·correotie, •c'e,st ·emitendu. Avec ,r.@semve1œ• utne 1b:a:'bile •S'UTveiillan. ,oe die ,La 1paifltdies ipareDJts, l'entr ,ée dians le mond 1e ne sauœ,ait se fail'1e trop tôt; cair· celui ·q,ui ne ,s,0;ctira '.qUJetrurd ,de sa 0oq1uille, 1ne ,saUJm s"en élio1ign,er 1beaiuŒ1',a 1urez f:Oll'·oouip, soyez eiIIJ.sûr, ,et ,VOIU'S mé q,u'un ,demi-;sauviage qui ,sera: 1Part ,out ilmtmédiafoment ld:évi:s•a,gé et ldevielilid'ra J'.objet ,die to llltes ·J.es ifaT'cies,de touis les ,quiolibetis. Une seunlblruble édrnciart:ion ne .peut q u'influen1cer fâclheu.s emen-t le ·c,a,ra;c. tèr;e ,d~ l'e1niian t , c'e·st iJ11d ,uJbita,ble; ,car, TO_y1aintde l a fan&tre rd!e sa ip1,i.s,onides 1e,s d'éco~e jouer ,darn,s la r,ue, caD113.Jr.ad ·i•l !brfrl e dl',e:nJvicd,e .partiiciiper à leui-s E'3bats. Alo,rs ,la •col ère g,r ond1e en SO!Il cœur, il épnou ve 1un yiif rressenüment ,contre 1'es auteu'lls :die se·s jorn1,s qiui le r et ieDIIlent iet ip1u:s ,tarld, ,c.e ressort se diértieinifü·aavec d'.aiuital]]!tpliurs de fone ,qŒ'J a ·été maLa,dr,oHeimein't ·00,rn,p1r~mé. :EHe est a ussi antii:b.y,giéni.que. L'a ir Qui {I ·t~füé,nourri en ,u111 tom:neau, n'a a ét,é fait pour l'-emlfan't ·et les oùsea:œx:. jn1mais rien vu que pa'l· la 1brnn1d1e', !dit 'Un Laiss1ons-h11i idonc le temps œ,en ip,01mpil'O'Verlbe.Beam1co,rup de p,a11~enlils ,croient .pe.r 'à •cœrur j,oie; s·a 1s,anté en ressentira qiuie ,pour bie:n élever leums elllfamt,s et d •e salutaires effets, •ce q,ui fa,v,orisera l<es p ,réserver ,die la contagfom1 œes mé - uill ,cormrpl,e t ldévell()lpipernent. Po,œr lu~ l.'.l cha1nt,s, i'l fauit les tenri.<l'1001n:s>ta1mrurent j,e,u , ,1,a,co,urse, la viv>aicitié,la t·urbulen:amprès de soi, lies enfermer llillême à kt ce, ,ce qui est un bien, .pou1·vu qu'il n'y ma.is,on, s'ils ,sont •dblig~s d 1e fiai'l'e 11iu1e ait aucunméla1ruge d,e médhalilleeté, seu le albseince ip1'Uls,ou moins ·prolon 1gié 1e. chos•e 00D!damrna,ble. D'aucuns croie .nt IC'·est là •UJnpréj:uigé qu' ,on ne .sam1rait qU''·Olndroit se f.la1rt:erde poss ,éd,er un enfa ,nt rm0111 ,et u:n •cheval fougueux; •c'est assez combattre. tout le ,oollltra liire. N'o,U!bli•ez pas qu'il :Les telffilps s•o1nt pa:ssés où ·de pieux dlans le vamt mieux p1,em'dœe·un lJi,oou 'POU'r ·reana1chorètes .s'e.111fer1JTI 1aient ,d.téis,erit:, ou am· sein ·des ,f.o1rêt1s,pour y ten.i1r l',e.nfanlt:,1que :pouir le ti.rainer ia,près soi. A•utœfois, d'ites-v'o,us, le'S enfants virne soilitaires loiin ldle tout ,contaiet étiai,C'Illt bien moins vifs que de IOOS aveic lie mo1Il'dle.De n,o·s jiours, ,c'1e,s,t .J.avie jo,urs . N·ous ne le •contester01J11Spa1s, in1telllise,,c'est ht foml e ·qui vours enltoure, voŒS presse <lie toutes ip1all't ,s. Bouir se mais ,airnssi·c'·étaiit ·l'{i:ge 'heur eux diu -oréürer d',e'ID.lba'I'.rais et sa!Voir aŒssi j,ouer tirnis1me. Vo,u:d'l'i•ez-·V"o ,us le voir .reve1n'ir? !De iplu.s, les bonnes ire}ati'Olns entre dies could!es au milieu 11lesrou!blfü·d 1s ·qui siont légio'll •et ,app.airaissenrt c10\Ill'me ruu- famiiill,es rnisines, dans die semblables c001ld'i tions, ,œe1,iennent fatalement alté· tam1t de suçoiirs ,d,ans 1a suciét6, il faut être aus.si wn p•eu ro,ublafld soi•même . rées. Car, emp<"iche-r s·es enfa1nts de fréSi v,ou:s nie voœlez être TOiu.lé, sa:chez qwente:r ,ceux ,dlu vorisin, ·c'est un lan ,garouler v-ous-même, dit ,un ,prov,e,rbe, ge mUJet très 001mpréhensdble qui lœl
ne»; et cette .autre d'u!ll J:i,oa:nnue.de b,ou sens: « J aima.i,s philosophe ne re11dit metillleure unie seule â:me ·dl] qŒaœtier qu'il !haibite. » ,Quell e sera don ic l,a reiliig1on de 1a. fami:lle? Il faut ,que ,ce s·oirt la religion de l' Auteur et dill Restawmtie,ur de la famille, la re l igion de Jésu,s,Ohri:st, « de ce Maître inc.o'IDJ)amalble, disait Pas·cal, d•o.nt on s'aipproche sans orgueil et d 1eviam.t,qui on s'a1ba.isse sa:ns honte.>) Le christ1amisme se ·u,l est ·cia1p a1ble de ,donner à ~a famüle sa sta 1bilirté , l u'i seu l est capable de l 'ag ran 'dir et de lia faire pro ,g,resser d1am1stous les domaines. Aussi je coonrprends 1q.ue Vi 1ctor Cousin ait pu dire: <<C'es,t ,diam,s le triOIID'P'he du chris·tianisme ,que je place toutes mes espémnces 'Pour l'aveJJ.ir de Phumanité. l> (A. swivre.)
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Un côté d;.,l'éducation
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dtit: « Tes e nfa11its ,sont grossiers o,u gütéis, j e Jlle ,·eux pas ,qu'ils elll.lpo,i sonnenit Jres ,m,i•e1ns. l) Et cllacrnn ld•e di,re brc-m'JJ,a :Utt1q1 ue •ceux ,des a utr es s.oDJt cotr01[)1)P'U1s, mais persio11ne ne veut .aidimettre ,que le s siens rpt·0ip1 •es 1'e sont peu Li?t·re. :U.n in st itu:terur ,expérime nté disait un jo,ur: <<To ut J.e :mo1nd,ecrie: Que les emfants sontt ba:n'dits 1de nos t ,emp ,s! Il y a ip,e,ut-être quelque 1cbose die v,rai là de\dJa!Jl's.C~enldant, s.i vous 1,éun~ssiez rous les bons papas et les ,tiein,û\rns1nm· mans et leru,r dii,siez: }fais, ,,os erufamts nés, ,so,n.t lbiein 1mail-élevés, très ,mal éd ,111q •qme-lles imme'Dls·espaires ide .gitfJ,e,s;v,o'lls ·risq,rneriez ,de ·récoJ!ter ! Vo ilù ,ce ,qiuJ i •s'appelle parle,r ,d'Oir. Pa:rents ! n e ,rendiez 1donc ,pas -v,os enfants' to 1qués en les isotmn1. La-1s:sez-les s'a:mrnser a,viec l.e,u1rs ,camairaldles ,d'étcole q·ui, en sonrnne, ·se v,aile,mt. -Qua111d:on ,·otit ,un jeune homn:ne à .J1a •t'Ounnure gauiche, à l 'aspe ct ,craintif ,o,u;.srurrvadégo,ru1<dii, ena·omé, le s,o,nge j et un a1u:t<re ri:re a•wx lèv ,r es, la rmine ,évei l,liée,:mn.pe,u 1n1ons ·par le die f~u d·ans l 'œ il , e01mp1re .pre mier que l'é)dlucaüo,n au tOilllIIJe a u es t p erruide u.se et à la v,ue tdlu seoO!rud diisonis carrélment: Bra1vo! En voàllà un qui fera ·certai ,n,ement son chemin .daJllls la vüe. R. V.
De ,c,omfiéireruci ,er l!l'a pais ,cir1alilnt ~e dé1bruter rpa'l' Œapa'l.'·ollleque ,citent 1'€18 ipll."IO· ,phèlteis ,Térém<ie elt Ezé1cih·i~J1: <<Les, pè111c ,& o,wt,rn1am1g ·é a,eis rai.s1Jrusv,errt:is , ·et q,es mrt:1ruga,céeis n. lden.t.s dies ,('lnfülll:'tlsen 1s,o Et ,j~ a 1~a)pip:ellé ,0bemfun fotilsalillt lia ter1e, c,onrt'Îll'!Ill!éiepa1r rDo11e:p1a1r10fi!e 1mt01sia1iq.n l',exipérlile:n ice, ,et qlU!ifTa1p]PICIlia!tir'Odisrièane et lh qrnat1riièlme,giéOOI'laÜOII1. :!Je ip r•oibJlèlil11e de 11':hérléld[ tlé œt dies ,pJl,u,s "001mip,l1exi es et dies rpll111s 1s!érireux. c'e1st 11Ja1s1oniiidlamit'é emrt:neJ,es L'hié!i.·€idii't1é, ,g1é. n1éra.tiKYus humaines. Oe [P'l'1olbi~~, 'J1'a,g"'l_1èr,e, ét:aûit t1ria1n1ché 1dlam1s·utr:uisieIDJs iil.'qp a:bls1dln1 , die .p:all't eit 1d'ia11.11trr1e: poŒr ldtitéétali.ttouit; po1U1r id'ruu,J,c!s·n 1nrs , 1·',héTJé ,tr,rls, elfü1en 'étaiit rielll. En lfu1it, La ISIYiilr thèis 1e est 1'e j~1'slf:iemiOi,eu,: !1P·hiéfli8d~té est OCR,U/001Ulf), (lt il' fia.uJt s?0Il .faJir1eUlll1e aJ}~iVéiP pour nie ,µais ,arv,ori ,r en enilie u:ne aid: YCT ,Sla"Ï'l."e j,mtp(]Ja1C1aJbl'e. E,n ,elffet, J',hé,r~dli:tén'eslt l)YaJsumfuq,Œem:ein!tmo1rlbùlde,ic' est >àsdtiT<e rdJ élfaivoira,bùie : i1ly a 1-"héll'éditién,OT'lliJailie, ,qrurl.peœrpé:tu1e d'a 1•a10e et arc1cent1JJ1e ù'imldliJviiJdiu1a/lJité. Et 1'hé1~dûtté Jl)'8Jth10l1,01g:q1n1e ,el!Œe-même n'eist p:a.s t01U1j 101rn11s aneurtrlièll'le. QfêIDJe1d1arus ùle1s 10as lieisi[P!l•uJS< 1S10JIU!br,e,s, 1e Jlle mie:n{l)ceip1a1sl'ieS!J)èce h1U1m1aii1ne, e,m C'al' a/a faimli!1!lie ilrlOip,c:ontJwm,imées'iélteiitn1, 1r mœ1t de ,1',e1n1famt e'Il b:a1s âJg.e, SrO!Ï t 1p1a ,Sloit P'als stérùJtlité de ~~a1dlu ate. Et même -en cie ·c:a1sa1e mélde clin, q1uiIIl'•a .pirus,se'lllle,ll1ent r1Je1SrO·UJ0i <le Fieistpime, maiis ce0111li die ll'linlditv.ifdu , ipe<U'tlluUer, 1aittiélrnufell' Je à mail, 1par'floi:sllie.guérœr , dainJ&de1s ·CJornJdtiSUI' )'hérédité ti.ou1s,.favorolb1eis d'hyigièn,e ,et ,d•e ,genire ,die ·vi1e. )f. le nr Tai1!J,erus ·, piriiv:at-idJoicent à 1°UL'hê:réldrirt>éf))ia:tholliog,i,qnein'·e.s·t ·dom1c 1ü1·e1r 1slit,é die La1wsiarurne,a dioŒwél'ia;utre 7}a!S •UIIllefiatailli'tié.s~,nlsaip,pe(]. j,ourr dianis oetite vi/lJl,e1um1 e lbe1Dllf> oo,nlf'é1SridlalDJSC'P-rfoi'DIS {'131Si1l y ;a 1hél'élddlbé t'e'Ill(.: ·e snT 1''1.llérJédli'tJé path ,0J11og ,iq1u,e. Cet c'e,s t-à -lœirrie::i,crroi 1S1semenrt: te •co:11d: iér·f> 11'œ,•rema.rq rna,bilJea1U'])Oint ·die fPno1gi1P1S1~füve. 1iraC1tè11:es ·mo~~biides, illi y .a ia:ws·si, YU€ die 'la fo,t'Illlerpar 1s1aclkur1té,au 1porin t ides >C{ bt><1wewsemenit, P'hié11éld1it.é még;r'e1ssti!Ye: le d'e vrne 1d'Ufon 1d 1p1a ,r 1wrne 1coru •rag,eu~.,a 11 g'a ttélDJUleet idii lSipia!I"atit. fr>anichiise, a fia,it 1d1ainsrria,,FeruillJlled' A- !11.18 " [1',olbjiet dlu ~6S111Jmé que v'Ï1s d1e LaUJS1airuJ11e q'iimrrurnmité 1L'hériéldMié/])eut ,cJ01DJfié11~err,,01i1cli,1qmi s,e :lliira •c1el'!ta;i1rneroe:nta·vec cont re ·cer tai 'ne'.S,maŒ-adiieis. Sti 1cip:rrta!i1ne1S ip!Lai1sli1r et pirod'it ; . ,o.IlJtdies p,re'l''aiceS<, Jlk'lltiorns,01ufü1mri1IUies, 1
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Une conféren re
méditer
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1i,eis·, ellile~ rtJ dJilS(plo/SJÏ.mo111s à 0eri1aJimle1s l1lllan/ald é 1m1art:1eriil 'e)llle 1lèg1ue ;p!IJu,tôtUreis 1cJaiI'1 aic~-e s IJ)reooèrles allllnlées, ·q!urell'·ellllflallli1:d'a1- rse,s1aictli 1on,s 1onrtllie,u'r,001n •tr1e-·cro1urp ISIU/l'IS!e,s 1tèrlels 1II1Joy ,ens ,die !Fa :rruc.e; IJ, a 1 p,re\lnlièrri c, 1s101I1rt imrm.ru'lldls éeiS !J)OU!l'd'0.1urt:['eiS. LS 1e1nJJbUa /biL eis ci ,su , o· sa ipTIO\I) rie ,dieis1 cencorol!i~qUiee;srt 1JYa11-tfa :m1lièue:miernrtbien A i1n!s~]e1s nèig.res,tsiOIIlltir·éiirruc.tailœs à 1cha1rige, :la ,s,eico 111 1d1ec,or1'1ig,e . .De :lià, sramlf diorné;•a/près 1a1,noâ ·r rd1onrué 1l'infilulSJÏŒ 1 ,d'un rdram 1c1e. Oeùlu,i qu1i, rpar 1dieis eXicèts,,rm::i0r e !lia if'fo·v~e jruUJille·et .a1ux ur<aJ1l!ll'.)jaJtjJsime.s .. ,e:xK~eipif:ij ,o,n1s,m1011·roildie1s •c,0111 1sitiaitréeis ldlu:côson 100111pi s,, port ,e 1attiein>te à ,ses rpr,O!P'l'e,s e,s1p1rrit vif, ld'•wne il!l.lte1J1l 1i,geruc'e onrveirte, Penldian:itt [le:xipéldliti10,n ,du Me:riq uie:, iso1u1S M ctiémim:i 0r, ij''iin uime,nise .aivan,taigie 1d1el'arr·iit ,de dà1rie:<< 1Mit1s n.prè,s al\"Ol'r tren1u ITerprerruiJeT ranig 1d·e .sa ,e,nfainrt:ls. Nua 11ù1 1e rd1ro afu"i1cairn 1J ~e seicOIIJ]d eimjpiilr,e,,UJnbattalÏll/1101n 1a1itemrent mat·e:r';l1Jel1 , q rne rliien ,ne !]_)eut U/1'UI1'0i , t1l01S1se , ,Le1p'a1mvv e e.rufu1nrttrompe ipeu à !l)lfl r:en t,s ne .SIC ,s,ornrt·p a s g OOt'IS' (llrOI fièw l'le jia1wnie,q,u~ld!élcdmant I1ei1l1fp/l!a1c€tl' ·té\sli/srt:a ,à 11:a. , 'Piarrtfia li.temeillt . peiu et idte pq1u1 s ,em 1pl1 1u s q1e,sesipéran,oe·s je n'ia1i pais à me gêne r 1p,0 ~111' llllleis, en- . 01e,s rtrlo1U{Ple!S. ,De même , pio,ur :éipI101U/Vi e!r L' hériéidlirtlé1)a tbrolliorgiq 1rne1d",aiut,1~ iJ)aTit, q'll11001 fo[] , d,a;i,t ,sWI' R:u.:i;,s1oncaria1c tè11e ,se fants , et j,e veux vivre à ma gu.~s1e. >> ,lia mial1a,ddie [ieu11'ls « g:rdisagr'.Îls )), 01nrv,o~ 1die s 1n 1ègtr1es nie ,l'èg,ue 1pa1slcfüPeiCltiememJt · Cet é1g,o'ts 1mic; est ·C'ej!Il'.lirnell,ert 111110 1m ,u1,0 1dfüfii :e fa11 s1eI11 s~b\l!emient , .i\l 1d,e viie,n't Œré diétiiJobdisrte'S s',o,u'Vlr.iir:rieve·nitre, 1s·otrtiir 11eis elJllie-1mêJrnre, mais ]la 1p:r>él@S1pio 1sn:tJi1om, à ILa 1erS,, et ùl:l!'3 g,er, ·dii1 sil:raiit , elllljpoTt é, VIOÜ'l'emême t ruerux 1de toruite1sma'11lièl· 1CIÏem,('e llies l'lemiet,tJ l'e, et ~e1111 c(' e>I1~riaûllil 1es,le s dlévi1c1eir, maJllaldie; e1t ,cell,a ,failt 1u1I1e,dlitfifü1 ha1·1g.neux. U,e1001nfdlam ,ne amsd 1(]1 11:e 1]1e fa:it ma Cn!Il1SSie l[ielm1e1it rie eiux-rmêmleis ta1n1diisqu'u1n notafbl11e •ain po111t,de 'V'lle 1dle1s 1s1od: rus préOn ,volÎlt lliers dieiscerudia 1nrt1s 1d'rullc,0 100i- 1C'iien1oe. ib01am1cn'éc.h~!pip,erait p,rus €in IJ)l aireill ,ca/S vemltli!flS'. U!n ellifoint de tl]be['fC/U[1emix nie 1e'l à qUJe1 S mamiqrrne r a1b 1s10!1Ju m ernt de ,se,n.s mo,En t 1e ir:mdnaut cet €110 1qu,ent a1P1P à maIIDOll'i:. se['a pia.s 'llléiceiss,aiŒ'ementrurn1 t'UlbeJrlaUraO•, et a1bio1w ti 1r 'IJ1ême 1a1u ,cirirme n Ulll rr,a s,oUIÎJdiavité ,et au Te.SIJ}eiet tdie n'lHl/lU{lni ,A ,côté d:e ['cirrnml/UntitéIde ,ra1ee , iill y a fou;x, mtais liJlfaut veHJer ·slUII'fü~ :oomlnlie â.ge s1 tlen/dirte, qu~ fa j,U1 s1ti1ce hésut e à rt:é ein slüi,même, M. 'Da:iùlJ:eills · r'raip1pietll'e ['iinnimmm,i,tJé rucqruiilsre, qui attémJ11Je 10111 1srrup- 1srmr ,um, 1ciarndri!d 1a,tà !La 1:1ube1I'C1u[10rS•e. ,1~adim/ir1a1Me rp011',oille 1d1e Ilia,hémiéldJiicrt:ti,on du siéiYiÎ 'l' . 1,email. Par exem1p1l1e, 1Jia 11'0~llgle1oll 1e, iJ}'I'1Ï,m'e rI./héréldJité lll/eirvie'Ulseesrt: ,rréelIU1e, bien : <<P,0111[' q:uie v,ois a,c, Le :n/omlbr,e C' Jroj 1s1s:anrtdrers ,crrrumin,e\l1s m'a,rfüagie ipie!r:s,a,n me1111rtraèrieà 1ses ,dlébrut1sein E rŒ rrO!Pea:u q!Ule ,dla1n1s 1ce ,dio.mruirne l]'tilJDJJ)Ilév:u •s:oit :ui1001e :s1centls ou mêm1e ,enf ants , qu',on Ü olil!s ne .s,0~1r n.t 11,ivmine,: ni follilieis, cria,i13e 1Sdè clie, et!: qui ,s'ie.st momrtréle rtiel l[lre rp11rus 100iIIllpllexe ,que par1ioru1t aillllleiuo.'IS . CO'lllS.tateà \la •J 1e1c,t1u rr1e dies, j roJU;m LU:u.x, g·nez déj,à, ù,es y,e·ux de ,·,o,sd'uturt~ enamx mes Fi/dgi ,dlalD!s·wrue ,éiµildlémiieO"lé- Au :s1e 1111s 1a lbs!Oil1u1dmteir me , !Ires10ffi1Vieaux para1Jtbien ,r,é1s 1urrter , rd'taJpi:rèis ille!Sst,ati1S- fant rs. >> eente - ,]a 1pi'1emièrre€(I]J 1ceiltie·co1rutnée ipanfimitrenn1em rt sia.li:ns1s'û'nt :rarres,. Le tria,sisaut dies alroolO tiqru1 es, du ,n o!mbre ,m·10~ - me tmreIJ)llu·s:gmèrte rchez no1u1s iq1 ure .pian: vaiil e·srtIle granld ,priéserrv,atâi. Ill fo111ette 1r c, tiqures, ,n 101I1fl)aJS · s,eruLeiment ,pra e ,que seis 1C101 m!plllieiati10I11 s.: ,n1o rtl' e ,raice etst en 1a v101kmté,.ill empêc he iles idlées UJOlilres ifaJJ1croro/1 pülu!sts·el'iaÙJOOIOl l,iq ne 1a m ·crinre, q urelllqiue isoTœ v:a·Cl cirnée oomtirte ,ce filé a1u. d'enV'a1hi1r l'a iperuslée. T ,el1 rudiiv.ildJuiq1rne rula'.Îi s,1a 1ulslsi et ·s,U1rt 10ut pal'lce G?aUlcoolli irque (S uite et fin) Dlils,01I11s enJ0ore à il'1aictilf ldre JJ'héréldirtJé [',01i1s 1~vet,é lliiw•e·mirt à na 1dl~gé,niéll''es1c,em 1oe <'n1 g·ellldtr'edieisdiégémrémés. 1E111Su~s,se, n:01us ia,rvoTus rpa,füoll!~oiJqu1e1qru1e ,1a rp1~éldfüs1p1osutruo1I1 à mental l e, €/st nomma!l ,dlanisŒ a 'Vie 111iorrnnia,faiit: qu,~l1cp1< 'S 'PO'll!r•siup,prilineir 11,es eiff0t1s,'ill'd'aut SU ]) ·U!nlemaùrudiie p!I'~sre'lwe1d'u1D1 e .arurtire:miav.ïreide tra~dJJ . Si Œ e Q!e,,c',esrt-'àadl irre 1u1nre p11•0,gteès s101ur s ·l e vaJPP,011<t de r] i a iI) 1 M<t:ecpr,irmler1Ja ,causie. 'Le •bu veu,r eist un ma a!aJdlie . Jiaibeu1rip1énriJbll1e ,est ru\llle ip·unitil()n, iJ!'a1crt:i tiQ1n qru~o'Il /dio'Îlt a111:xpetitls1 ,ociJseaux, laidJequriJl fiahJJt.gulértiir em U1es,arn·va.nt die :IILy a U'llle,c,otmlp,elillsirut!iion. De~ e!Dlt'.ants 'V'i11éé!i1(e1rJgirq1 rne esrt uin1ebénléldllictilo111 . Sii rUt iS'Ull'a,e,s· borrds ,de 'la rrnlruisc'elSt rS!U1l'IDO lrtJi-1même. :dieJSrhumart:tiJs, ani:ts, rde,s , ~rrth riitruqrnes, q,e S'lll'me!llia,g-,e f 1aat rdJeisvdlctiilm1e,s, U'oli:s ri,}[éliterranée q1ure ise font :les, (PJ1n1s 1Et tl'e,rufant, quel p1,01bllièlll1e sorcfa il. qrure ·g11andis·ma1s1s1a sonlt g,arr!amtis v.iJs~à-tis /die l~a t,uJbenicu- y1e1néell! felr,aiiif: d'llr'V'a lntage ,emlCJOIL'le s'i)l pietfits ofi;sea:ux. 1C!veis1dle 1 <'efllui idre rs,on 1sa, uvet'a,ge < p hy ,sliqrue ,eitillliO · Au pu.ienlirer rpminteimps iJJ1s1r1e U'OISre. étatit J)'o1s1sliJb Œ1 e 1à t 'h 1011ulm e rde vi1V'l'1e 1d1an 1s ,vienJnie1J11: raU!. . . ·Leis enfo nt s ide.c,; T1il1Jl e:s - ceux en fo,u.lie, ,s10 1mverut 'fia:ti1gués 'P'aa_, fDes rma'liargeis c'Orn 1srarn ,gœin ,s io,nt 1111I1e[la ,molJJ! e1sis!eet 1l'i11ra 10tilO'I1pe,mnJa1Ilient c. rune 11-0tu.de Plar'Îls ipia!r exemjpllie - siom.t arll'ruc·hés gue travet~srée et 'Oil J1e1 1dté/'p]JoT1a!brlie l'léipllltiatdlo lll au rpodrnit die YUle l)faiils :voilcii utrne1dl e,spl/ulS ter<i_·ilbll!es fors r,eç:oti.rt à ·cn,ui)S à 1l" 'hiéir1édlité m.'llllitiip1l e qu.i /lleis rm1em1a1c ,e; de f:UJsriJ hyrgru éniq ue. On exagère G,erums torts . Ge m~s de Œ'ib'éirié ,s-, iœité, ,et collll1bfu e.n ,11ëipan a ,nec ·de.s rp,ièges, deis r ffü~rt: 1Set pair iJ'a vie à il1a ,camp 1agll1ie,reindes co/lo- tourt ,ce qlllÎ pa ,sse ,e,st d,étrulirt saws· JPri qua. e:st vr!aj, ic'est qiue rces uroi101DJs 1peu , ,d/u1e,h éllmls! n-ie.s,a,grfrc,o lles, rà ·J'raiir, am s1Q/11e.ill , a'V,ec t ié. Ceux q'Uli éch,a!prpe'llt a111 vewt: d'anlr'el('JOïn1ci'd 1eir, ruux 1dléfpenrs1de 1ru en •n'es,'t 00\l1ll]Yar 1•a1b'.1 1e, ldla!rns:sie,s .ef. , ,mais:, a1cre t'(,x,eI1cJi!C'e, l'hy1dti•olbbé!ra;pi1e - llies 'b'a,inis ont enooll're 'à fira'Illch.:ir ide ha'Urtes mionIF'-ernlfia.rnt, J:a mêmie b1é1"éd tirb é ipiaitll'o0logti- f e trs niuri1S1ilb ù1 eis ,sur na 1d1e1s1cernJdirnruce, à lk>rtlrvière - e,t rre iT a,v·aill p roif e ssfuo11:nieJ. q u1echez ,l e père et c,hez ilJafilèTle.,Si U',WD\ F,an1co ta1gne1s, mais ava n t qu~j,]s, n 'a,Ueignernt 1o[i1sllllJelde's p~rrent ,s. La .cib,01se est 1te U1eu'J' éid1U1c rut:iJ01n,dan,s :tm , q,rui,otrtiJeu et Jll'autre s10.rnt tuberr0u/1eux, 1ce1la 1c1lll8 ,r- dru res1f:ieIde nKifofr•Jié . ifü rpiuJbMqru·e. die g1ra1Ilide ,s ,h'a111teur1s,,J.e ima1s1SJaJCil.-e lre1 eerusprraM!qrne et rnv:am.t.arge ux rà nie~u f1onnmence ,et 1rien n'es,t ,épa1,gmié rge Ul\hélré1dli. 'tlé 1dieJ}~,einrf1 ain1:. ,Sri IT, eis 1die mx 'Vaillc·o0Œ li1srme 1llnlÎ.-iIDêl!ll'e esrt 1s10:uivent , ;n:i 'les Mn,té. lé!pou:xrue ,s10'111 t tpiaJS· de Œam~e ifa'IIlrilliLe, ihé11é]d1i 'llJi 'le,s 1r0rs1s ,igin101l1s , J,e ,s f1a!ll :hi1110Ilidrel]ies, ' om imrt:,ervoigeaveJc ifürire, et IJJo~1Slqu ti/1 y a pll1u1s,die (füam10es:a111·,c,ontrtali're s1oiln ilie:Snua~ad·es aD1r,o1oll1 Ill e8't ,ralJ)i.11all 1drepinorf::iterrdc ila~;; Yeitltes, 'lies mésalllges , etc. i:qµ1tes, 01n arp:poru;rrqrrue1~,run n:',alit :pia1S Ja trurie ,pbys!Üo- prernd ibire,n 1S1QIU'V,e!111: de1c11oiis1sra1n,c ,e, ,q n,i :cist én1onrneidJairus 1J'-aiqule iJ1eiu1rls rpa·renm û etJtre ma,11Jière1d'ernt,erud1r1e 1Pag1·1iJc ul[lo!giique, oru qu',en tl0111tca1silla même t.a- értali'eut dléjlà buNeu1fiS dio 1l~s1cemic,e, maj 1s q u.i ,pil~1 rs tranid;rdinuli1nue tm1e eist 1sci1n,g1ulliière, !. 1L e f'a.üt est dh1 ·O'll en rir adit même 1·e ,ne ise ·net~olU/Ve ,pa1Schez n~rnnet 1l'a111- r esrtle·CO'D et ,&'arrêt e. . IDIU'f):our d'a:ult:1rie1s pa1s1si00lis,t eilsi ce n'éta it 'alUJsrSJi. 1Jl<irsrt:c ! Peti<t: ià 1P'etit tre . 1I1e1s q,u1e l'irbeirtifüro1geou :],e,g1oùt 1din je11, Le 1pœ,o ,bllellll1eIde rr?hétrléldlilfü est 1slolcilail lHJ1rns1 -voyr0rus·1es petits oi.sreia1ux,dJir s,pa•e:x,emipùe. L'hér~ditl:ié p1art:1erJI1e Um e aèigu1e 1dlaivamrt:a- p,a11· ~ 'll1JOi raù. au ipir,emiier clhielf. L'dnrdâ1Vli1dmi·ait~"e ,(lie 1I101S campa 1gne1s ,et 1 e.s insiecge :lJeis,c'alractèries dinfdirv1~d!U1e,1Js 1; U!hiéll'léldi- 1Dan1S c1e,r 'f:a 6n~ ,~tvrie ,e!Il rse 11 ·atp1pellarnrt: ,qrne t10ute1S te.s airugi mente'l' danis die ,granidles :pmol mn/S· 1ca1s , .jfl rS'eimJM 1e, •dalDJs 1
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Oiseauxet insectes
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75 1S 'diéban·11 ·1a 1ss•cr (}e,s ins'E'c·P,01r:ti1o n:s. T,o,L11be1s Jies p]awteis ouiliti•véielR ,u,ti lies ·pom ' :n101\1 ,pornr nortire iaU~ne,nit:at,on en· ,Olllt à so1uf- !t >f>iS.Il fia:ut i·rus1pli;r1e1e à l''enfamt ,un vé1'.i1e<t· ·cie- rt?nhlc •respeL·t po,ur 1lie1snidis. :firi1·, 10m ,c,oimrmence bi'en !:t s'en rarp On c.iite ,des fooilieis daillS lesq ·t1elleis Y·Oil' 1 et ·On cher ch e "à réagir. lj11]e1ente n1t" e i:nte 1 "11tart:i ,oèlllail ,e est :iJ11- 'l'es enfants s,olilt a1s1s1e z i:rnstrwit s po•u,r t(' 1r ,,eniu,e 1heur-eu1sement pomr ·enrp êch e1e ,se ,fo1rnne:ren 1peti t es ais,s•ociaieïions. 'l}O'llLl' J.a ,oon1se.rratioin id'es n.i•d1s-dl',orus,eru ux. ,la ,a1e:st:r1u ,ctilou :d:es,petitis ,od1s,ea ux , c'est nairus 1po nœ les mld!i:r Rendwe 1leis enf.alilitlS ·blun fort bien ,c1t,on ne ipeu·t ql\l)Y alp;p.J:a :a.yeic l 'e,S1püJ 1r que la lt0,i .sera -Uip pll1ilqu1ée bêt ,eis, c'~1s t d:év•el1opper·chiez eux .Ja chaa·iigou1,e1u1 s•eiineu1t, ,ce q,uii 1ue un:a•nique1ra ,1'.ité c,keétti.en-rueet :J,eis rcDJd•rebo1n:spo ua· p a s d"av,oü · ,die 1bo1nis réis,utltatis. Ma 1Hheu- 1lem1s sem'b l ab l e,s. ,n ,ne la d•P:s1trw ctiio1Th c1esl)C· 1~ i o-n c-01n.N t'PUls1 emient, :le payis où 1Sie fa ti1t lia pl 1us g.r1<w11d·e deis1Jrn1•cüond'oiisea ux n'y a pa is 1Jit,s,ois·ea,ux, 1".ho,m,u1•e app1ren1fü·a à ·ses ·em1 s, <Ju' en rompant ,F,éqUJiJih re d,e la a d'hélr~:,,,c;',est l' HaJiie. E S(pér,O,l]S ce pe1n- <liéip 1dant -p•n,co,i•e q,u•'e.Jtl,ey a1rriYeir,a,,s.o,uisla 11ia1tin·1~. il fürit nnP œuvre néfa1ste. iJYl'elsision!die,s i nrt:léreJS tsés, ·Ccm· Ha ,cho,se est tr.:iiste <à c'Onsita.ter. ,O'a,utu:eis cau1se1s tell'denct à fa iTe ,d,ispa .r aHre 'lies rpe.tit,s oi:s•e:a1ux,de nos ·cairn(Suite et fin) ;p.ctigDJeos. J,,a c.;u1Ji t-m·1e.a 1se;sexi 1ge.11Jceset L e lirt: doit être d 1spo-s1é ,a;uLant ·q·up ,;,;.an iS 1pai11le1ides d1éif1r!Ïche:mernbs ,p,r-01p r e- 1wi:;sibl e œe fa .~,oinqu'on puiis,se ,cir1culN men1t dlitls, ou ie<Illlhed~s bo l\11 q1Uets id'air- ,a,ll'ico ,wr . .Sa:u,f da,ns •l e ,ca,s -OÙ1,1 nwtu re hres et .'des arbres ri,s,olés, a,insi qu,e id:es de la ma:lald1ie ,condamne ,1e n:ruatlaidie à ha.ieis q1l'i •serrva'ieult die relfiuge àrux oi- nille i!mmobilité a'bs,o,h1e, il ,faut fai Te ·seitux. La ,e,u1füwrie:int e11Jsive qlŒÎ1S1e '.]Yra- s-cm 1l'it t01n1s· iles jours . On IFernv;eloippe ,li.1q1uie auj,o,wrd"'hf\l•i ., .ne veuit pas perd <t·e idairusl es ,c,o-uive ,rtures et on l e üan· spor.de 'terralini, ide là enilèvell1Je1nt 1die fo ,ute te ,suT un ,a'llt,r e ,l,it , dain.s Ll'll e ipièce, ,d,o•nt vé,gétatio·n qrni. ,s,e1n"U•it dla,b['li aux oi- •la tempé!eatme es t .s•erusiM em ,emt :la mè•seruux et ,où j],s, IJ)O ·nn:itlent éta:MJ:r 'l•euw,s me ·que ·ceUe de l a cha.mbr 1e ,qiu 'ill1quirte . · pro- On aère 11 'Il)i.ld 1s .p 0o11a, y vorndirie et y ié!l1etve1r ~1eu,1 ,a,rgeme'll t :ia E1t1eri1e .œvant de géinti;brnee. A cette cairns1e il n'y a ,guère r efa :il·e '1c 'lJt. 'foutes ,les foils, ,qu"on imet de ,eeJmède; ,eepeuldant ,on pe1U1ty parer ides ,draipis proipr ,es, ·o•n '1-eséteru.idiiqu e,J.q1ue j,usiqu·'à un ,ce1r 1a.an:p1oüut,·en éta,b l1s1sia.nt tem1ps devant Je fo u afin que 1a. firai.aies n l1choirs ~Tt ifli1ciel1spa.rrtormtoù fairr:e ·che ur hum iide d,u li nge ne 1s,aii,s:i,s.se pas 1t ilie,s,s1ociléités l e m.afade qrnand i:i iréi,ntèigre ,s10,n ht . .s,e perut ,et 1sü1fü'> ·CC ,Tia pip,01r. :in'Oteci:Jri,ces !die,;a1n.imaux ,oDJtbien i:Jra,Pendant ,que le ma lrude es t ho •rs d e 1la ;re~o1Il1Il1aiilS1Samice vaülllé ·et méritent 1s.a C:hambre, on e,nlèV'e, :avec ,un linge <lie•sa1gr i1c,u 11teuJrs. l hwm:iide, '1a po ·u,ssiè11e dm :piarr,q ·ud. Ce Le remède le p l1UISeiflf'i0a1ce co•nitre J1a bailiaiyaige hwlllli~fo peu t être 1'ia.i.tà "l'aiidesitln 1•cti-on \'les -0ti1sea1ux d•olÎt résuHe 1r de d'um ,dés:i.n1flerctan t do.nt ,J'(Jlde,ur ne dé ües mœua'IS, d'e .lia oon1vi:cbo11 et •d,e l'·i1ns - plia!Î!tprus ,a,u ma1la-die. On rall'g•e en suit e trrnctâion. lJe,s :paren1!t; ,doiiYen t il·eµrien- la ,c'haimibre ide faç ,oin à ,llu.ido,mue1r un .a.rds dj['e ,sé vèrieme.nJt l'euns enfail,ts il-01nsq11 ' :ts:pect ag réab le. A pol"'tiée ides 11,eg e •un ,1a1se rentfe:ri1l:s'l'e.s p1renlll!ell'tà idlétir•uiire d<.>iS·nii.ldis,et du ma •lade, on p1J1a1c ues flernrs -s,a,n.s ,pau,fi11 1D1;on •le 1mi:: tHTe ld'1écol1ed,olit agiir de même en '.ma,ut qu1e}q· 'c ndre à 'l'enfant q u 'il idtspo ,se ,su1r rrne ,petite tab l e placée fa i1sant c,oillllP'l oorlllIIIJe t un e m1écha:n te aictii0r1 en r et i- pr èis du ,lit 1e,s obj1ets ,d,OIILti,l a 1souve,nt n·atn,tlia vit: ,à •de pa u v,r ,eis pe tilt s an itrna:ux bes •oin et iq,rr'i·l 'Peut pœerndre Lui-même 1s 1·•e,c.ouri r qui n,e ,lC1Uir· font a.UJcwnma J et q1ui sout _,san,s êh 'e ob'ligé d~ t,ou,j101uir
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La ménagère · garde-malade 1
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aux b'ons o:ffi.0esde IS·es1grur'<l ,es >mal.a1des. Cette 1pctirt:e tia:ble ,peu<t su,pp,o r ter ,wu réchawd· li. ailiaoo,l sur Jeq1ue•l on iJ.)lace ,m V'a"S1eüo'llJtenant 1Lne :iinfUJsi ,ou de fen1fülle1s 1d·e,ulool,yptus 01u de feuii11'le,s de dlég,a:ge ide.s vaaue·nthe. Oett,e i,nf,UJsiio1111 pe wrs, qui 1a1Ss1aim,is1s1ei nt ,l'aiir de ,l'a iahambre. JJes -va,peurs .d'e1u1caJlypt,u s, 1s1ont s•rnrtom,t excel 11e-ntres, 'P'OUIJ.' Oes mwllaides e s res atte'int ,s :d''imf.1aimmati'On :dieis, 0:i. ipiir·at,oii1ve1s . Ill va ,sam,s idi1requ le ,la mère 1de fa.mil.le ,se fait avderr par f,e'S enfa:ntlS, bou,ties i om à ,leis ,fois ,qu'i1lm)y a :pas ,ct:e 1co11JNug 11·edJc)Ulter.Les jJ_Yetites ,fillJ.e:s d:iout ,aJinsi ,J'iaippirenti1ss wge de lieu~,tfutur IIIlétier •de méln<agère .gairdeJmail,alde; ,eHe1s appren ,nent , en ,ou•ti1·e, à ne [Pais trop r etd,ou ,ter ,Je 1m:a1l , el,lies a'l•l~gent ·~a tfudhe ,s1i1pén iMc ld!e 'la lfil.rnrnia:n,et eJ'le s témo. ig:nen.t -ainsi lewr a ttachemeirut ip•olWrl e 1IllaJa1dle q uf,cil, les isioignent bien mieux q,uie ne po,m,raie.nt fia.üie l eis ùaI1ml·S o:u les -p.110 test,ai:Jions d!'affüction . ,)fa :i1Si,q·UJrund,1a ma lia,dic es ,t conta gleu ,se, 'il faut ,pa_"le'llidre de sé-vèlre.s pré •ca•utiQin,s pour v r éseTv ·er :du m a~ lc,s a uirres mem1bre,s de la fam1füe . La gaJ11diema1la1d1e :doît a1voiir bi en soi n die sie .laver ,lieis1main,s dans 'l'eœu: ad:dion d'adde ,phiénitiionnée de :s1U1bli<mé q,Œe, cha,que f.oi,s 1qu' e1lae amœa. t0<UJché au 11uia ,l1rud~.E ·l:l'e a ·œwm1-1:IJg .e à ipo1rt,e11 · ·s'llr se1s ,·êtemeinûs u•ne gram1d1e 'b,l,o,w se de to'i.ile Ma.n c'he faofüe 'à emid1osr.s·er ert à quitter .e1t ,qui ,s·era s,o,ru-vent et s,o,igne us,ement lavée. E l11e •qulitte 1cieitlte Mous·e ,et ene est à peu ,a,u 1s,e ui ll de 1a ,c,hiaUlllbTe près süre , •en prenant ,ces ip1-é·cautio,ns, de ne pais ill'a:msmettre die g.ea.1rnes·de ma1l1a1die a,ux a uti'€,S m embr es ide '1a fam ~ll~e. EMe 1doit ,sav,o.iw·e·n .o,utre qu -e.J.le.s 'SOIIlt ·leis ,prélewruüo ,ns ,spécialies 1à 1pren1dlre •sni n1mt Üla;natua:,e d,e ·la ma1Jaidie 1qu<i fiiaippe 1} e rna,ladie. :La, fièvre ,sicairla.ti.'ne s1e t,rarns1J11etsuriJÔ'lllt pendia .nt l,a périod •e d e d e1 sq•u,a1lllati1oin, iruu moment ,où de JiaTge.s ip1Ja1ques 0
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,d''·~IJ~c1lerm Je ,se 1dét1aoheut. C' ,eJst •à ce 111wmen t-là .q,uJj,J fa urt:1ried'o,ulbleirrde ,piré1c,au Üol!Js et ·dlésimrfect.e1.·1s,oi/g,ne,use1ment t-out iee qrui a été en, ûonü11ct 1a:vecle mafad ie (v-ête1ne1rnts , Iing e, ,J,ivre,s tm.êm,es). TJe ba-ci;tle •de iJa fièvre tyip1hoiid1e se renicontire ,s,u1r 'tio·ut dans l1eis,d,égect:Jiions d.es, ty,p'hiq,ue.s., iil est d10.n1c 11_ ,e,lJaitjv,ement fa.{'Ji ,le ,d!'évit:e,1· l,a i_pro1prngatilon(1(:: cet1 e ,m:-111 ,aidite. r,eis ba,sisiu1S,·ltes •sea,u.x hygi és '<ioiivent être Œ1ti 1ques, •les linges, ,sol\l.iHlé l,a,v;é.s•à l''eia.u 1ad.diit~10 ,nnée td.e ·suibli,mé. C'eis,t exd ·u1s,i·w~metnt •pa.1·l,es dia:uss0s m emlibranes hmmiJd-e ,s 01udie,sséchées que se pw-0Kiiui t la. contaigi.on d,e Ja di:i.pihtérje et 'lie ·bad Lle ,c,olil,seT ,ve l,ongterrnps tou!Le .s,a tir1nil1e,ruce.Il es ,t toud,o·urs dangereux, ~! es t ,des 1s·éc'hé. La 1gaœfü:1mümc •qu>a1111d ima,lade édt>er a d1ornc ,de 1se tenir en fa.Cie,de ,lJa büuiche d1u ·mwlndle s,urth11t ipeu d1:mt ,les ,q,u~!ll,tes·de to, ux. 1S i ei1le a a:ux ma:in1& ou au ·v1;s1a;g,e ,uue oo·uipur c ou e a nira bien un e •sli~llJi)~eéco 11•c•buir,e, etllJ isoi1n de ila 1·e,co1n vriiir de o00, J11o•düion·afin ,d!'6vi ter il"jllltr.od irnction :oo b-alcible et s,on 1eoniia1ct ,a.ve,c 11-es m'll,qu ieuise.s. 1c s·e br,ouLe ba1ci,1'1ede 1Ja! tJubercuiL01s v e dtans lies e X'pecto1,art:fülil1S,d:eis , mai L,id es . •l.uiss.i 1d,oit-o,u 'P'rendrc so!iu dJe .fà il°(' m'aeiher ·1e, mla.la!de dans 1u.n,r'écipie n t coutt>rnarnit de l'eau , ruaj is jalmali•s 1dJa,ns ses 1llirnrnchoü·s O'll dan s ,des l Ï!nges ,qui , aut r es rüsqu 'el'ai~nt de ,conta lrniner 1es pièiccs de linger i e.
LE V01UTE VERT (Légende conthcywnne.) Le Bo,u~·g ùe Couthey, tel que nous le voyons a,ujom ,d'hui , ne pouTra.it jaJlllais nou s dou11m · une jd{;e, mêlrne a,pproxililla1h -e, iùe ce ,qu'il ét ait v,ees ~a fiai du m oyein-âge. Au zèle infaügable de 1'hi1s-torie n 1'oui!tJ.aint, COIIIl11mI,sant tr .rui,tés et doeuu:n,ents ide tou s gen r es, norns cl>e. vons de nouis orien.ter dans le ll)a,ssé . C'€>St gràoe à •lu•i éga:l<ament que, eu (P.:tr,tilculiier , le•s p r i,sons, Ja toll'I" dérrnan-teloo, les restes <1e ,re.mparts qui ,son t, ,au Boll'I"g, Œ -es o'e'I'niers yesüg,es d'un tellJlPS qui n'est
76 d!UDede l'adver sité? « Hier encoiœ, je n'a.u iph1,s, :ne sont !I)alSdeaneuQ·és IJ.'.)O'llll' nO'UIS des rai,s ll)as échangé m001 so11: ,contre cellni du énigmes. ll)reonic1r monarque de 'la ten,e, et aujour:M:a.is si l'ihi!Stoire a sa !l)art, la :Légende a d'h:ui .me trou,vei· id1a11s œ pit oya1ble était! ii aussi ,1a siellile 1d18a1,S œs IP3DSde murs délabr és '), se d,ressant i.sodês au miilioo de bea:ux ,se ·d,isait- iil <dams !d'es sentiments die proifonde a,mertuone. vi,gnolbles et ,ayan t pour tous l.lôtes quelques Soo parti .est IPl'lis. n q·u.ittera 'le village, oiseaux oe müt qui , au crêpuscU!le voltigent a,utour ide Qe1111' demeu~·e ifr3!l)llaru,tpa1,fohs .err.era ,co:mme un jproscrit à tr,a,vers le monde vi,an,t o·a'Veaitures s'iiJ ne pe.ut anourir à. l'air de lug,u,bres crÎIS. 1a' .g,rne11r.e; ,c'est bien, ,pense-t-i:l, ,ce qu'il a L'histoire ne doit avam:cer que d'es faits de lllieux Il faire; \I)uisq'll'e ses (Plus beaux cer.ta,ins, ,cOll!dition eSS'entiel[e 'die s on existea:ice; .la légt'.nde est pllIB ou moins l'esclave rêves se sont rein,volés sans !l'etour, J-a d-if.féde i.a famtaùsie , voiflii. IPOUTq,uo·i,en ,passant rence c1e condition étant !devenue entre elle dans ce1·taius esprH-s malv,eill[ants, ed! Ie peut et iui une barrière à jamais inframKlhissa;b1e. dégénhrer et ,se prêter à des couJieurs aussi ,, Elle», c'était 1,a ,bene Z~Jbirri'll'e, Ulllle noIPe'Uomttl'l,elles que grortesques. Le récilt suiùile ,cbàt,e'laine du BO'UJI'gqiu'un wa1:tn die vant, éliminiamt toute suwositJio n absurde, il avait ent revue da[L8 UJ1e va,po· :v1·i:n,te«Dll)S a IPO'll'l' but d'établir iles faits tels qu 'ils sont reuise toilette, rosseIDJblamitail1S'i à ,une idéesgênêraleanent ·admi·S. se ento ,urêe de ·blanc-s nuag es. Dès oe moViers le mlilieu du XIVme sièdle, œma>Soù ment cette vi.siOIIlne 1J'aivait !Plus qœitté; il Collil:bey é tait ,e[)Jcoreso,us [a domi:uation des en ~valt 1·êvé et le jour et a,a nl\1Ït. comtes de Savoie, vtivait noble UOysse d'ErEn 1\éaildil'é, cett e :perJe qui lui avait des, 'descerudanit d'une faimi'l1-equi, d:iJt-on,teitotH'll.é la tête, il ne l'•avait plus rencontrée nait un Ides plus hauts 1:a1J11g s [)a!l·mi iles bou1·- lclifll)ulis , ,mais cette (Plhrase qu'liil ,a".ait engeoi.s .a.eContbey. Au moraJ, U!y,gs,e étruit ten:ùue à. 1m cOIIll.pag;n on: « Zéphynne!. ... citô a'UX jeunes ge:ns comme modèle. Au oh! eHe est s i ,bene, qu 'un 1·00 en 1a voyant physique, il étaill: iparfa:it: T.raits fins et réii, ,cette pb1·a1se,disonstomlbcratt à ,ses ipi,eéLs gufü,irs, vi·sage 1ra;yonnant de IS3llltéet de jeUr non1s, était vlus que suff1sU'llte !I)our prounegse, cooisütution forte et robu ste, et avec ver il. Ulysse q ue œlle qui l'a,vatt obarmé cela •un eEU)·rit vif ,et intJcllligent: tours les n'ex~stait IPaS sieulleme:nt ùans ,son imaginaava ntaiges elil un mot la watur ,e les ·avait tion, et les per.footious -est!bétiques qu'iil en![)rOidH.guiés il ce friI1Jgan,t che,vaHer. MalJ:J.eu- teuld:ait ilouer en elle n'étatielllt pas die na reusament, J'info11:u,ne 'J)'e'ut, de sa 1om'd e ture à 1·eifJroL<:lir soo cœm·. Et voilà qu'aum,assuie, ifr81PP0t· 1à où l 'on ,s·y atrentl le jam1d'hui, dans le 'mêm:l,egouffre, ae j,e,une moins, si bien qu'un jour on armonça que œmom·eux yoy::üt SO[ll'brer ù la fois et son noble Ulysse d'Erdes était comiplètement bonheur et son el,{[)oi'l·.Ou,bher Zét(>hil'i:ne,en ruiné. La cause 'de ce catadySIIlle n'en fut ,lJ.mer :une autre qu'elle, c'est pour lui chose [)as bien cllaire: Imprn,dence et néglligence de iID[)os<si:bilJc; dl s'œtime ll)1-esque heut ·e11x d'êso n père. tre bientôt sur •Illll champ ,de ba .tailllie, et dl tombtem Wœsé il. mo1·t, sa de110ière .D'un counm'llll1 aoc:or'd, 1Jes OlUC.œis et le;; quia111tl i>. oousinis d'Uly$Se tentèrent, par de:s iùons pensée sera S11co1·e,pom· cce:J:J.e aidroitemoot dissimul'és, de :reconstituer sa Quelques jours se ,sont écouléi;. Ulysse se fortnme; imais ce'l<ud-ci,druu.s -sa fierté, r.efusa sent plus réstgné que jamais. . . L'e ilru<lertouil:,1lillt il être seu'l ù ·eXJ)iieries fautes parnatiu H sera en ro ute :potl'I.'la gm,1rn:; Je Dieu ten11eHes et rnccepta, a.ve,c une 1rési,gnatiou ùe l'EucmaŒ·istie ,qu'il vient de re cevo ir ra 0ppa,11C1Dte, ,sa nouivo'lle et ,huwiliante situa~·en:ùu foo-t, et cette 1<}<ernièrenuit il J..1(Passe tion. Dons 1e fouid (le son <:œur, i•I éprouvait relativement calme. œipellldant de cuisa.ntes tortures. Comment Dès la ,pointe idu jour, fil se prf.pare a1t1délui , qui jUIS(}u'a]or,s n·a.vait jalDlais engagé pm·t. Le volilà e111 ,route. A Yalllt ,de rpasse:r la un i[)ieù dws le sentier de J:t IClouleu,r, lui , {Porte dite du ccipetit hœ », il ,g'ru-xête et fait hmfant gftté ,de '1a, d'allliNe, Œua,l' être aduilé ses ,a:clieux à ses ,parents €!t <i:i.ses ami,s '!'aS· de la jeulllœse, chemi inera,t-il dia.os la vie si semb lés en foule. Soudain son Yiswge s·eillipomu:we,sa vue s,e trou/ble, il est secoué (l'un 1 ) On sait qu'une pa!l·tie des ruilnes üu Châti1embletment uea·,·eux; sanis ajoute1· un mot ù1 teau de.s c01IDtesia été dé!I.IlO'lieet les p!ie1~res, !!)lus, il ra,ssemlble ses d'o1·c-es et ,file ,comme à tr3lllS()ortée<S « à la chaîne ii, emlJ.'.)Œoyées ,pagnons /d.'armes,. un trait, suh·i de se,s co1111 la reconstruotion de l'ég li se de St-Séveri[l, ,sé, uulnelesut; Ce q'lli l'avaüt alÎ.ll'si ll)on!leive1· en 1842-43.
'/7 d'aue1ms se mfrenl -it S'lJiPPoserqu'il tremiJ>lait la scienœ docto1·a!le se déclara lmpu1ssa.nte à !La guélür. à la pensée Ide J'ennemi. Da!lls ses nuits d'ins01IDnie, elle se [ev,alt en Après quelq:ues bewe s, ra·sséré.né au mi.Ji'eu silen;c.e, ·se glissait à ipas 1de lOUIPlda.'lls les les 01·de ees fr~res d'armes, iJ. C1D;t&l!ùaiit dres de gue rre et jurajt filùêliité à A,rnédoe long,s oouloiI'S, ,ge dirig:eait vei·s Œe(Petit Ja.c et !là, dans Je ca:Lme d~ ta nœit, lançait a•ux VI, ,comte d e Savoie-. quatre vents du cie l u.1re mélancolique comPlus d'un mois s'était é<.:ol]1é;Ulysse, à cha. :plainte, oiî ill étniit question t1e guerre mauqu.e occasion, IS'était battu en brn .v,e, indiifféclit~. d'amour mailbeU!l·eux, ,ae 'boIIJboor en1·ent Ide tomber ou de r,este1· l(},elbout,alijant volé. Ceux qui, du clbâ.teau >du comte, ~11tenmême au 'devant ,cle rra mort, et la mort le daient cette triste m élopée , ne pouvaient jufuyant ,toujours . .. cette ger si elle ven.ait du ciel ou rcteJa te:i.•t>e, .Que ne pouy,ait-il, en se::i,moments de l.assL vo ix qui avait le don de les beiroer ICI.ansles twde, oe cœm· al\lrt:refois .si a;rdent, lire dans 1·êves les [)lus doux. Cha.que nuit, la •même cefll]i de ZéphiTine! Avant son :de.part, que de vo1x se faisait entendre, mais se ta'isait au !ois Ia belle ob11.telaine, au guet derrière les moin'<lre bruit venant dies habitations. pe.rs\ennes du ·cbllt ea u, avait sui'Vi longu,eAméj:]lée VI, surnommiê 'le Comte Ver.t, arment des yeux l'apuient ,cavaUer! Comment, rivant Wl sok eiscorté ,de ses bai-ons, :passa 1Pnr :ull'e sérénade à laque/Ille elle 'Il'a.vait osé la JlJUit a u ·château. n fut otrangeanent ravi 1·éponidre, il J'a,vait cepein:dianitsi délicieuseà Œ'O'Uïede ~tte ·voix eneb.alllt!e1'e!SSe, et :non mcn,t l'C\IDUée!Da.us son no'b1e ,cœUQ·de ellrêm-0i01.9sUJ1))1·i·s a.u douloureux ref ra in qu'<eille tienne, les sentinneul.l; d'aHecUon qu'ehlc cban1lait. Il promit u,ue bell e 'récOllll.Pense au avafut d'aiboa"C:léproo1vés pour U ly,sse, loin de obevalie11·qui r.éll!Ssdi ·ai-t ·à inllrwuüe au chàfaiblir e!ll·suite, n'aivaie.nt fait (J'Ues'aocroitro tewu <:e11e,qui deva 'it être si ma]beUTeuse. en proi])œ·tion tli recte 'Clela gTaru:Ieu1·de SO'll M-a:is,·au momen.t où la lO'Urde (P011tJe id/u ma in.fortune. n.oir ,or1a ,sur ses gonds, ·la charmeuse diSJPa•Mais c'.est surtout après le départ de celuirut. U~gère coIDODeune liibel'lule, à trruvers les ci qu•,ene 1•essoot toute na force de cet :~mout ,pmh·ies eu fleui-s d:es ccRa,ngs ii, e t le comte eit, oom,me J.a nymrplle ,Calyipso, ~11e se sen t de s'être en v·ain dérangé n'eut qu>ele re1:,'111et maJ,heuŒ·euse de ~e1voi!l·woo-1·.c vi'Vre. Sans et d',a,voir interroml).)u ta d1ivd!ne ,symphonie. cesse eue prie Dieu 'Clel'app·e!er à Lui ou ,de On la pr,it pour une fée, et dès 1ors on se Ta.menier le cllier '<lis<paru... OOlltenta de .J'êcouter, se gre:!doot bien de Dans sa V·ie sêdentau-e, elle en ,a,yaill:fa:it 1'e.fi1laroooher. l'()lbjet de ses •ccm1sta ntes o:êveri,es; son cœur Aux ,aipproches de l'aU!tomne, 1u1D,eb:ève s'en é tait ainsi ·embrasé à tel ipoint que st ayant été •signGe, 1e:s soLda:ts du <:oonte de Savoie 'rentr·êlrent daus leurs !oy,e,rs. Piwr une a•on avait on'i's le monde entier d'un côté et (<son l> Ulysse ,de l'wutre, ,celui-ci am·ait étê nuit semée d'étoiles, 'le seul Oontheysan q.ne, tout et ,celui-Jià un aitome. Si au ,moin ,9 elle au deirnter combat, la ,mort ava'it respecté, a.vtut eu des nourveUes ·de l'rubsent, IDl.a.iSrlien, s'aJcbamiuait tristement vers ne Bourg de Cont1hey. Comment se :i.léjoair qu1an·d on. a Ia rien!. . . Le.s se'IDames, les mois ,passent et moo:t oans l'ibme? continue, augmentant chaque son ·=rtyre jour ld'intensité. A défaut de il'être qui sans M'l'11'1é 'lJ'L'êS ùe la PO'l'te ldU La.c, il fut cesse occuipe ses 'Pen·sées, eJJle en est venue fra{W)é p,31·uine ·SUJ)erbe m8'lodie qui le cloua 11. aime.r les lieux oil ehle l'a vu, et surtout net s111· pla,ce. Ne .pou'Vant ,sarl.S'irla dil 'e!<; t!on l'.eDJd;roitoil ell,e q" ,a a.perçu pou,r la oo'!lière ide la voix, il reste là, ill1lmobile, écoutamt le s !ois. Oui, ,c'était là, non loin du châ.teau des émo1uivantes strophes .qui 1deviermenit de plus Comtes, près 1d,e la porte du !l)etit La;,c, qu'en en :Plus mfila'Ilcoli.ques. Mais voilï\. que, au un matin de mai il avait .fait se9 de.rniers milieu de son extas,e, - •CM.' le refrain redit Bldieux, tandis qu'elle, à de.ru.li,morte d,e douscm nOIID- quelques habitants du lac , ·SO!l'te.ru·, demeu:ra.it ,transie 'à. quelque 1distall'ee, ta.nt la tête de l'eau , se mettent sans plus n'osrunt s'aippro,chei· .... Et il êta!it parti san,s de gêne à commencer le concert qui leur est sa.voir son secret, sans même la remarquer ![)llQ[Pre.Ulyss1e - car c'était lu;i - saisàssant c'est du moin s ce qu'elle s'Lmaginait -. Cette u,ne garuŒequ'on avait lai :ssêe près d'un no <lernière p e!n,sée,plu,s que tout le 1•este, lla toryer, en .fra!P'Pel'eau [)Our imposer silence aux ,dit ll'aJP.Pétlt,détru,ait sans •merci. Ellie en IJ)e1 affreux oatra.ciens, afin d',eruteDdre encore é.rtit vi,siblement, inquiéta son entollll'ag,e. la voix aimée, - et non, com'lll'e quetq:uesTout le m.olllde IS'occuu.:md'eJae; •de célèbres uns fel,g,nent de le cro ire , ;pour que .le .comte médecins ·fment ma'Uldês ,die tout ·côté, mais pfit dœ,mk en paix. Pat· ce lllloyen,, Ulysse
78 ré uss it à te uk en respect la gent mar é ca,geu- comlble, avec tous les objets qu 'e11e renferme: tapis, nattes , tenttu-es , ustensi 1es, meu&e, et il J,ui est doll!Ilé de savourer encore bles; tout ce qui peurt être aêré, épousseté, peDJdant que lques min utes la ravissa;n,te voix. Bi-entôt 11alun e, montant ldaD1sle ,cieJ., écla;ire frotté, lavé , battu, est transporté dans la prur-dessus les créneaux du château, une fr ê- eotu· ou dans '1-arue, pendant le teIDIPSnêces. saire ·au comp1,et nettoyage des planchers, le si1houette ,blanc.be qui ,se dqplaeoe, et soudes mm·s, d es escaliers, des ,couloirs, des terdain l'on n'e'IVtend pJ us 1·ien.... Il n'y a JJl!us de doute , c'est èLe cette nym - rasses et odes balcons , dep uis les salles basses jusqu'aux .cha1mbres hautes. phe que vena it la voix. Ulysse la po ursuit ·am village où ell e runive 8/Pl'è::, de loin jll'SqQJ.' ·La 1IDai"Sonnettoyée , on Ja décore d 'orneU1Dlong détour. Il Ja voit entrer dans le châ - ments qui sont a utant de symbOJles. On 1Plan.. teau de Zép'l:tyl'line. ccSerait-ce elle?» Son te d'aibord, ou a•on doue, de ch a,que côté de il ne pense plus qu'iil. l a ipor,te d'entrée , des :branches de pin, symcœur boui lilonne... revient de la guen-e. RevoiT 1es .siens, n.ar:re1· bole,s d'éternelle d'U'l'ée. ses e:x11>loiJ1Js à ses amis, ce n' e-st :plus (J;)OU'l' On y joint deux très ha u1Jsbambous ve rts lui que futilités ... S'lnd'omner de Zépbl[·i- av,ec leurs branooes , symbo les de dro i,ou1-e, nie, êclai.rcir ce anystè re, occupe son être tout et 'des fleurs ,a.eprunier, symboles de oou:raeintier. <<EtaJt•ce bien d'iel!le cette émouvante g•e. .A cette ve rùure et à ces fl eurs, les comvoix ,cLesirène, se rétPète -t-il sans ie lasser , merçant s actoutent de s saies d•e riz O'U des baou ,celui qui tout à d'heure frSlru)alt l' eau à rils de saki (vin de riz), indlce d'abondance. coups d:e gaule ne ,semt-lil qu''l.llll hal1uciné? Au-dess'Us de la porte, on suspentl, d'un a,uZéa.)ihirine, 1a belle 'et ri-ch e ZétPhil'lne l'rui- vent à l'autre. une guir lande de 1Pai!Je tresme118Jit,h1i aujou:Dd'hui iroturier sans le sou, sée, souvenu· .aie 1':llllcestralle s im1Plicité. Cette lu i, l'iu trepide g,uerrier qui, h ier encore, au- g,u,irJ.a:nde fo1w.e, en son mmeu, une espèce r ait s,an•s 11:egret Iai ·ssé « ,sa guenl il,le » sur de large nœUJd ou 'baldaquin (rauazi), s,igne Œe cha:IDiP de ba-tam e? Non. cela. n'est pas oe ,I>UTi.fication , sur lequel sont attachés: un possiible, condut-H; ce serait pour ,moi plus citron, sym\boJisa nt l'esoo~r d' un e suc-cesslOIII die bon!hem· qu'en peut .contenir un cœur hu- de générat ions; queœques rameaux d'un arrnaim. et j'en mourrais ... ll bre nommé izourika , ·dont les reui 'lles ne tomIl diut ceperuda.nt ·se reIJJm·e à :l'évidence et bfmt j ama is avant l'aJ)[)arition des n,ouvelles; n',en mourut pas puisque , un mois 1Plus tard. des feuilles de fougère et ,un morcea,u d'alalors que ~es coteaux d'wentour retentisgue, embllrunes àe toute fé coDJ<lit-ê. saierut SOIUS les gais refrain,s des Y011danQuamd 1a id,écoration exté.rieu 1,e est ainsi geurs, IDy sse, à genoux an pied de l'aut el, achey&:), on s uspend avec une corde, au iPaJSSait.au doigt Ide Zéphirine UJD e isupierbe IJ)lœfond de la salle ;principaqe, une planch1: batgue en dirumant, qui était toute sa fordéfüée à la déesse protectrice de aa denieure. tune . Vous dire combien :iJls étaient heuPuis l'on fPlace. ~à. et là. des nœu.ds de pailreux en ,oe momeillt, ce se raft tenter l'i mp os- le, ta.Iisman qui -êlO'ignent les soTts contraisible; jamats plume ne pourra l'exipri,meo:. ['0S, et surr de s guéridons, dans des pots, de Tenwnt à 1-êromuienscr Ullyo!sede ses actes jeunes pêchers nain s, couverts de f lew·s doude bravoure, le Comte Vert se chargea tles 'bles, pour saluer !',année nouvelle. f.rai's de la noc e, inv.ita ,"i.un somptueux reOn cuit e.ns'll1te, ou on fait ,cuire les motchis, rpas aru châtie.a.rule coUJI)leilltl\J)ti.a l a,vec tous gâ.teaw: de 1•iz, qui, sur des p lateaux de lales convives et fit '.J)rê.'Sentaux jeunes ma- qne, doivent figurer à toutes les ,réceptions, riés d'U'll ,magnifique dom:üne où ils trouà tours le.s repais. et ®11x ou trois jours avant vè1,ent tout pour vi·vre he ureux. entrete,!e premler de l'au , de s haricots noirs , qu i <'0.nanrt: dans leul',S cœurs, sa.us Je lal-sser éteinhwbitent .dans 1:t même gousse; >d:e s gourami8, dre ja,mai-s, le doubl e feu sa,cl'é cle l'amour poissons qui vive!llt en tr ouve, Ides kazondivin et de l'runoul· conjugaO. F. B. uokos, autre s poissons, ,qui nai ssent en qu!Ulltités innomb1·a'bles; autaillt de p1·ésagcs de féco n d~té ipoor l'accroiss ,elllent de ia tam Hle. Le 31 déc<embre. on règJe Sl'S .com;ptes; on se fait [)ayer ce qui est ,dO et J'on a,cquitte (•g-alemeot ses dett.es. Les fê tes de l' An , au Japon. d11ren.t p lus ,I.Jes paysans viennent à la v ille chargés de d'un moi s, à dater du 13 dêcem ,bN>, « jour ,du pin.s et de bambous qu'ils vendent ipo•ut··la décO'IDmencement des :préq;)ara,tifsn. coration des maiso ns; Jes gens de la banlietw On pur ifie -d'abord na maison de fond en et de la :province viennent aeheter des a,mu-
I.eJourdeI'AnauJapon
79 - Balhl .fit-ill, en se débal11·3.9,ant de sa peHs,se, j'en ai ·v.u d'aut1ses! Et ill (Poussa la !]_)oo.1te de ,sa ,c,hrumlbre à de saul ,es pleur -eurs, où sont aocro,ohés des ,ll·ngêes, nn dé à joue1·. lie la ven:oitierie , de s coucher. roasQnes de vieii1les femmes _et des moTcea.11.1,. Le ifeu de la cheminée aichevaiit d'y mou1·i!.L · met1Jrun t d,alllls,l'obs:cU'rjtê, sur ·!les l:™!U · de roéta,J. Sur la voie p'Ulbllque, les fo rarns bl~ et ~ taa,)isserres, d{l'S'lueurs da,nsaaltes, inst:illés mêuent 'lill grand vaearme de trombizaru:es, fa,ntastiques; ,aJH'UIID3ait, ·puis sam:s pette s, oo sifflets et de fam'bourins, débita.n.t am.t Ues 0111sdes ,ca.fuies; fou!des jo nets cl'enfauts, des masque ·s, des ,peti- k,an,sition , iéteig:111 tes lanternes rouges, qnii se bmlan,cent au ,samt des ombres étrlllillgeS, q'llli <S'aJilléaJlltis sa ien t tout à COUiP d:aniS 1dlesclartés d'u n roubOut d'un fil, à un faisceau de Jongues et ge inf.e'lma,1. f!esilb[es brup;uettes,. Des bateleurs. ,des bonzes dll;Ilsenrs, les quêt.e111·s tJuTlesq11es, du Dams Sd si.tuation d',eis, prit, oeJ.a Jui d~ut: culte Rami, des gens M~gulses, a,·ec des masi'l 1Prüt œeux tiüches, nes trussa su[· il.a cenru:e ques d'oiseaux il lon_g-s,l:Jecs et 'des coiffures boosiHanrte, et, sans savoÎll' pourquoi, IS'Msit, fantast iqu es , déambu l ent, cll!l!Iltant , s,mtamt, les 1-ega,rdrui t •brü lm·. iil 1s'Jntéres,s,a 8JU.X caQuellq,ues .iillJsta[lJtJs, an ~001 •du ta.mbour <lie basque. Pt quêtant de port e en poTt,e. 1P1'licesdie -la fJ.,a.mme et à voiT é.dlate'l' les ,sous O.es clla'W'œls caresses d,u, feu; Ln. IJ)!Jupal't des Ja~)onruis ne se C01Uchent éco1~ mais, 1dêdd~ imeait, iŒ S'e passait en luli que[pas ,cette n'tùit-lù. L'heure est !J)ropice. eu effet, pom· « prenclre des sorts ii et <::on,juiser qne ah-OISed'ano1,ma,l, H mo.llltait a.etout son 1i,ssa,ble d'tm mallibeuT les ,mauvais _g-énie s. Un pe u avant minuit. J.a être l'angoi&.;e illldélfim qu1 ·a!,lai t SU1l'V<ell1Ïl' . , • famüLle 8C ,ra·ss•embJ.e dans la ·cour, a utO'Ull' i OJOOllDU Pour ,cou(Pel.' court il, touit, i'l S'e co,u cha et rl'urn pet it btlcher. auque'l le !Père de .fa.mi!Je s'en.do1,mit en ·-se demœn'Clrunrt: ce q'll'liù pouvaG,. met 1P .feu. Le s bC\c,hettes sont Taugées dans bien a· v oiir mruugé. no 01xlre étrubli et, d'al])rès la far.on dont eUes Une hem 'e d'U matin ... la petite 1PentdtUJle brOlent, on en tire d·es prévisia.ns 1pom· l'anèLella cllann bise à cou,c.heT.soDJDe , et SOID bruit, nêe nou,elle. très aiclouci, ,suiffi t IPOurtaut à Je réivleill['e'l', P.uis, paré d,e s,es plus beaux ihaibits. armé et i1 se trouve 1mdsselaut Ide sueur. d'un sab1•e ou de plusieurs, le pêre de famille Ça ne va ,:pas; iJ s'aœoude Sl\.lll' l'OIDcilller, va. seu l, tle chambre en chœmbre, tooan t mais i~ étO'Ufre encore. d''U'ne .ma,in nne boîte pJetne (1,efèv·es gri1lées - Ailo11 s. ,quoi! c'est sê'l'lieux? munmure-t qu'l'l lance de l'au tre. un ;p-eu !Partowt:, conil , en se dil.-essruntSUll' son sé ant. jm·ant les ffil)rlt.<; ma lins. invoquant ~a [) l' O· Aut'OUJrd'e lui, tourt: faiit 'siLeDJceet tout tection ,nesdivinités favo,rables. somimeillile.. . Dams il'obscuirité 'brOll·een veùlVel's 2 ,heures du matin. les dévots vont il.eus,e,dans u.n jo.li globe irisé , l·a .fJaman-e imchereher , MlX ,bra siers allunnés dans tous 'les motbBe d' une lamjp·e ha.ute , ,cadeau èLe X ... templ'es. ~e fen sacré qui doit cuire },e pre - et, cotmme il falt un 1IDouvement IPOU!l'J'atmier met s de l'a.nnée. le zoomi. gâteau de riz tei'lldlse, i1 ['es&ent dans la \I)Oitrine ume doucuit dan'S une purée de 'hru·Jcots ,blancs, de lle ur 11an)i:d:e , prot'OlllJàe, quldl ai'a jallD'ats ésel et d'avo in e fe1,m entée. sauce misso . On p1·ou1~. goO,tera de ce !J)lat pendant Jes tro is jprB'Dli61'S Décidêoniem. •t, ce sera grave! et, de,v-eo:manjour s de l'année , av.a.nt le lever du soleil. en xieusemerut attentilf, il s'observe, il écoute buvan t clu ·vin de To ss o. quH\carte les épi - lf'S mOIÏJlioo,espulJ,satiOJ!ISde son êb:e: sous sa (A s uivre) . démies. chem hse, le cœur a.ffollé ,sou1ève tl'eS côtes, et comme il! veutt metto.1011a\Jlll8.Ïlll IPOUrae comp111mer,1U1Dnuage rouge 11:uip81S1Se devamt les .veu..x,et ses tempes blattetnt à éclaœr ••.•.. Qua.n id une g1lllsse veillle via se ca,sse'l' ldil!JlllS le IPO'llOll<Y.n, oe doit être e-OIIIlùlleça! .. .. )) Une fouJ!e de mo.ts, d'images , toutes aussi Ce soi,r-là, qusmld i!l !l'Clltra d,u. jO'ltrnal uh10s, pass~t effilllyamtes Jes urries q u e aeis e.1 dans son Juxueu.x ipetit entre .sol, iQ se sentit daims son esa:n'lit et le tem-orise.Illt.... em.botout œ"Ô1e. ruie?.... cOl!llg~tion.... ? a:ngiue de poltrme·t .A. fa 1uem· muntiieOllore èLe na. Jamteme per.•• • OIU r ien, rpeurt-être? .... eiSaJDJetdtu vestilYUlle. i,J jeta. poru[' ,se [101DiS gner, les yeux ,sur Ile 1mirolh· d't1 (Porte-ŒI10..n- Et imunéJdiatem.elllt, comme pour ruiner cette <.-'IS(P'&'an'Ce, comme au dœ-nier 11JCte .d'uill teruu et se itr01Uva ccdéfait».
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Marn 190fl
h E.
. ~m1Ployé pO'lu' Jui, ce tall,ent qu'H t' ,ruvairt oon ,sent ac.co<tu ·i'l·, gron.der, g-rruncti,r q,llleJ1qu,e chofié, poUI' ,le ctéfenŒl'e drun.s l es fumes des pe. se comme na [P1•e:mièr.efoos, mai,s [Jll.ru 1s ,ter:ri- tits ·et des hllllIIJ'bi1es,n 'est-ce (Pals que tea t,Ie ...• rpln.l!S ,ï.n;dicicb[e encore! yeux n'au:oolent [)rus cette ,eiqp1,ession ·aifto. - Oh! mo111Di,eu, qu'·est-ce qui va 8 ,e paJS- Dée, et que tous ,ceuoc quli t'alimant [PO>Uil'raient ser? Tout dan.se, tO<ut tourne, to<ut fait i(fo. te idoUlliler•en paix De baiisei: de J,a dern.iêre ,s,élvrurn>ti on ? . . . . v.am!t ses yeux, grrunldiis1PaJrna[)&un:, tme ronde •i,nsansée su r un plian(!her quJ se dérobe! P1•ofüte .acu moins de tes der,nùers .mOlllle'llte E>t, ,selS ,diix d.oJgils mispés 1d•al!liS ,sa ,p,olitrine, et Des y,eux sur [e Ohl'i·st . . . . maJs je n'en le-s ,v-emes du cou grossi10s s ,uilJl1tement, ~a v,ois [}rus da:ns ta ,clramblre? ,Quoi! palS même tête 1•ejetée en ·acriè'J.•e,il tombe en ,tra,ve:ns ul!l m•t1ciifix, fût-il sur àe I,a pehwhe? Tu n'aa du lit, étend ses ,bras da1lls le viide, cres 1ra:mê- [)ms tro111vé coin rimur le cruolie:r? ne à Jiu.i.•cùans unie CO!ll,VW!SÎOIIl ldie1mii il'e, quQ S€1mbllefaiir.e ;passer à J,a surface ,de sa peau .... Et ,ce f,ut d.rurns[,a ch~mbrc ide la bon-ne comme des déchar '.ges éiectri'q<u,eis, et ,1.,este qu'.on •a'Lta•ch'e!'Clrer •l' i:ma,ge dm Christ conitmmo1bil•e,llies yel!IX chœviI'éis dialJlJs'l!a tête so1a~u ·r , mais qllal!lld on 1·evilllt, H était trop . . . . ,~IDmoibiiLeaHreU1Semen.t! taa'd, l'autre étant mort 8 anis Œ ,uli ! Q,llJa!llltil revie<nt ,à lui, n<n :petit fi:let de Ça ne fait rieu, ,me diisrult run de ses sa;ng cO'llJruitde s-::t,bou,che sur son 01·ei1J.er; rumis, en deiscem:1ant l'es ·callier, fil 1J10'l11s a sou. et ,Lu.i. , l'h01mme du o.n001d• e, habitué au x miJ/le ve,nt colllfiê .qu/11 voiufait 1bien de lia religion délilcatesises ide J.a vie éléga!llte, :vou[u t ,se .déil ,son Ht ,die mort , mruis .se111emerut .... quand tou:rare1· [)Olt.lit'ne ,piais voir ; ma'iis rrii. où 11 ce ,sea.'llii t trOIP taül. ... ! était tom ,bé, J'il 1aus•si m &tait écrùt qru'i'l deDieu l',avait ,exalllcé! v·adit oositer. PIERRE L'ERMITE. Tout da'.ll'S·sa cfürum:breparait, ,d',aŒleuTs,,le 1·egruuder: et la lhaur!JeIa1II11Pe · qui brille tou jouil18, ùroite, imrnob.Lle, •clalrusIe jo1i globe irisé, et Iles tallJleaux ilégerll, mo'lliélains, s'inPENSÉESDU CAREME cli'IIB.lll:t ,vers l'lli ,du haut .de leur ,co11delièTe, Quand nou:s nm1s 1rendons inld!iginesdes grâ. et lia fil.a:rnu:ne100 foyer, qu'on dirait , pa ,r ces de Die.u, notre âme est comme U1DeteITt poUJranieux votr, .~n,strunts,vouloir 1se h3111,ss•er qui ne produit ,que des ronces et d,e,s épines ; •et ,tous ces vjeux bibe!lo,ts, rê suuné de ,sa v1,e maiJS 111orns n'avons qu'à 1e vo1tloir et bie:ntOt banall 1e, ;sou>1einiTs de ,œbotiJIJls, ,re:mei~cie- les épines et iles rO!lloes cLiS[)aratS1S•ent et res .men:tis ld'iactTi.ces, qui semb(len t, hypnotis 'és, vertus ,les remplaooot. ~e 1·,ega,i1cJiermollll'ir. X 'Vanité des vanités! part·a'tsisaient ï1s ,J,ui dire, Si 1'œ1 poruvarit ,comprendre combien le I>ê · itLs Qe sentiro[J:t ·comme toi, 'llll jour, rme .ché d:éfiguTe 1Jllle âme, on n'amiait IP8.S la for. :rruit, ·lllll momeint oü, comme tod, iŒs,s'y atce œof ,œns ,ei· Dieu. t01lidr001t1e ,moins! X 'Vwnité des vanités! 'Du t' e.s attaiché à t11ous, c'est nous qud, co,mme des ,sirètnes m·oIUJHm· Pouvons-nous •espêl'er de nous ['approoher s·eJS,aiv,o,ns enlacé, ca[)tivé, iuutilifsé ta vie; de Dieru au moment de notre mort, si penidant ,et m:ruÏ!Dlteru:unt , [IJ()UfS ne rpo,nvon,s ,rien IJ)Our notre vi,e nous nom,; ,en •sommes s éparés? toi! X Vanité des vanités! Aclieu J'exis ,tem:;e :!'acile, Il ,est des péeheurs qu,i o.nt 1pa,ssé 1-eur v.ie '·Oque.s ! ,sans pe.m.e'l· à la mort; relie 311·rive,et voilà 0iùullée, faite d' en;cen:seIU'emts 11éC'i!Pl Aid:ieu, tot1t ,ce bilffilrêr!Jl ·e gag,nê en pe11datUt qu'ils ,sont dépourvus d>e b:on1nes œuvr.es: la ,les âJmes ! Demailil, tu seras me:urtii pa1· ton foi, ,l'espé1,anee et l'amour éta,i,eifrt 1dé,j!lmorts ,eel'Cllleil; te.s ma,il]S joi1Utes seront OfPprim·ées chez ,e.ux ·ruvaut la disso'1ution ,cle leur corps. ·bruiit ! Deipa;r des p'JJalruches<!louées à gr,3111ld X •malin, ,ton vttsage ,d'ib.u.mol.iste n'>a>ura phis Ceux qui ne font au= effort pour se vainque la ma,r.que atroce de l'a,gome dernière re >et iPOlll' porter de digines: fruwts de pém· et idlea'éjpornviautable visiO'll ide l'au-delà do.rut -O te:uoe sont •comme les arbres €!Il! hiver: ils tu t'eis ,moqué! Demai'll, c'est le cortège grJ. · ·n'ont ni feurilles ni fruits, ,e't pourtan:irt:i/1.sne maçrunt d,e ceu.x que iJrua•s coruduits à il',eillfiea. sont p,a,s morts. Le saint Curé d'.4.rs. et qui te maudiront !!)eut-être à j,aJilllruis,. Eœcepté aimer et servir Dieur Si tu l'1Wais od.ir.ru:me, où les éV1ém1€1:m~n ts ,se [P1'éic:ipi tant, il
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Foyer et les Champs Histoire- Nouvelles - Mœurs- Sciences -Inventions- Découvertes- Voyagea Education- Politesse- Economie domestique - Hygiène- Médecine Cuisine- Recettes- Procédés- Travauxféminins- Variétés,etc. M. H . DING, édit ur 0
Publications recommandées
~ Le Sillon Romand gratuitemeu La Revue Populaire <!>"'777' envoie NO spécimen Estavayer-Ie-Lac
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VERS
NOS
b~es
Ce qu 'il faut à mes yeux las de s i lllngC's Yiles Que la rue au soleil étah• à 1·uiSH'nu 11l1·in, Sans ég3.rd pour l'eninocc e t 8• s voil, s d11tin . Sans souci du J'cspcct que se cloivf'llt. les villes ;
0 Ines, c'c.") t votre azttl' ùiYitH.•mc·11t L('inté. Où la Na.1urc es t seule ii P' ne;h r sa beaut é,
Ce qu'il faut à mOn fron t d'o l, s 1envolpnt par fi les • H1clm Les songes de mon cœ L1r;). la tristcss <. Ce qu'il faut l\ mes jo urs qu ' al! lrn à le u1· (l,~c-Jîn, La contemplation d,·s chos t~s i11i:11ol,i lt!S;
C'e st votre hal eine tlou ce à tout cœur tloulour cnx . Et Lhms cc noir cùaos que f ont les mouts entre ,•11::i 1 C 'est ce m or('eau de ci e l qui vou~ ~ert de surfac e !
Olt l'Homnrn apparai~~ant
u'est qu'nn poin L qu i s' eifa (·1·;
LE
FOYERel les CHAMPS LE FOYER
Que fqire de la vie 1
exercer· de temps à autre votre plume en des articles pleins d'à-propos, courts, cha. leureux, vibrants, destinés aux journau x La Carrièredes Lettres chrétiens . Gareà l'illusion Que de défenseurs de la bonne cause Jamais je n'oublierai l'entretien d'un se plaignent de n'être pas secondés r Aulittérateur émérite avec un jeune homme, tour d'eux, sans doute , il y a des amis · naïvement convaincu que sa plume allait mais combien peu ont un talent et un cou~ remuer le monde; « Que savez-vous ? lui rage à la hauteur de leur foi ! Partout, demandait-il ; quelles sont vos connaisc'est la somnolence et la torpeur. Ah! sances positives? Quelles chances de réussi quelques vaillants jeunes hommes site avez--vouoi? » voulaient écouter leurs convictions et les cr J'ai fait de bonnes études classiardeurs de leur printemps. que de merques ; j'ai le goût des lettres, j'écris faveilles seraient le fruit de leurs efforts ? cilement et je suis prêt à tout faire. » On se mo1ue souvent des plus saintes -« Mon ami, croyez-moi, prenez garde et. des. plus él~;11~nt~ires libertés, pour de n'être, en ce genre, propre à rien ! » faire triompher l rnJushce et la corruption. Encore un conseil de l'expérience . Quelles colères ne devraient pas gronder Etes-vous peu fortuné, à moins de dons dans les âmes jeuneF<, intelligente,; et littéraires incontestables, renoncez à la convaincues! Et au Roulfle de ce colères, carrière des lettres. D'ordinaire cc n'est quelles pages. éloquentes inient s'impripas à l'opulence qu'elle conduit, mais à mer ~ans les J?urnaux chrétiens pour pro la ruine, Voyez Paul Féval, le vicomte tester , pour reclamer, pour exiger pour \Valsh et bien d'autres ; n'étaient-ce pas rompre enfin, les chaînes de notre 'esclades hommes de talent? Ne s'é taient-ils vager pas fait un nom ? Et malgré tout, ils ont Le journalisme , de :nos jours D'Ouverne V'écuet ils sont morts dans l'indigence . l'~pinion. Maiq l'opinion n'est-~lle paA la Quant à vous, dont le génie ne 3emble reme du monde ? Le journalisme est par pas devoir s'imposer à l'admiration pulà même une puissance; lui prêter son bhque, 101-sque,pour la première foi~,vous concours est un apo,to lat. Un illustre écriabordcrio; un éd~teur, peut-être vous tienvain n'a-t-il pas été jusqu'à dire : Si drait-il le langage qui accueillit jadis le saint Paul revenait parmi nous, il se fochansonnier Pierre Dupont : rait journalist e •> ? - Avez vous déjà publié quelques voRappelez-vous cette parole, !llL~ heure,; lumes ? de loisir butinées dans la carrière do vo- Pas un seul. tre choix, et méritez cet éloge 11drcHséù. - C'est [âcheux. Faite8-rnus connaîM. de Champagny, lors do sa réception à tre, nou3 vorron~ à traiter ensuite . l'Académie françii se : - Mais si l'on ne publie rien, com« V 01;1sêtes chrétien, Monsieur, par'ment voulez-vous que je me fasse contout, touJours, avant tout. C'est votre hon naître? neur, votre mérite et le trait caractéris-Oh ! quant à cela, rien de plus fatique qui frappe d'abord, quand on lit ce cile, on publie cinq ou six ouvrages à ses qui est sorti de votre pl urne. » frais. ~~ - Je ne suis pas riche, balbutiait Dupont. - Vous n'êtes pas riche ? A lors pourquoi, diable, écrivez-vous? Il n'est pas au monde un grnnd pays Choisissez donc une carrière où vous dont la prospérité ne repo~e sm· le déve!!Jez chance de réus3ir. Cela fait sans loppement industriel. être écrivain de profession, vous pourrez Le travail est la clef de voûte de l'édi-
fice Rocial ; c'est la base immuable de la puissance nationale. On peut mesurer sans erreur possible le deoTé de civilisation d'un peuple à l'activité de son industrie, la supé riorité de son énergie créatrice. . L'homme qui travai lle ()Stle _pren:1er ~outien de sa patrie, et Ronpremier bien· faiteur à lui-même. Il n'est plu s aucun bien, ckpuis la santé jusqu'à la riche sse, qu'il ne puisse acquér ir. . •rout homme qui se livre à la , paresse anéantit une force vive pour l'Etat, et pour lui-même se ménage la faim _et la miHère. La loi du travail est écrite dan s tous l eH détails de la constitution humaine, dans la chair les muscles, les nerfs, le cerveau. Eli~ est écfüe dan s l' histoire des peuples en lettr es de fou et de Rang. La nation qui travaille gouvern~ ; la nation qui se rnpose dans une ~oll c mactivité s'abaisse et tombe en servitude . Le travail a renouvelé le monde. H. de P.
CHAMPS
ture sont bientôt punies ; car, l'orgueil qui dîne de vanité soupe de mépris. L'orgueil déjeune avec l'abondance, dîne avec la pauvreté et soupe avec la honte . Mais, après tout, que revient-il de cette vanité de paraître, p ,)Ul"laquelle On ~e donne tant de peines et l'on s'expose à de si grands dangers ? Elle ne peut ni nous conserver la santé, ni adoucir noi. souffrances ; au contraire, sans augmen ter notre mérite personnel, elle nou8 rend l'objet de l'envie des autres et accélère notre ruine. - Qu'est-ce qu'un papillon ? Ce n'est tout au plus qu'une chenille habillée; ·et voilà ce qu'est le petit-maître. (Jue l1e folie y a-t- il à s'endetter pour de te lles superfluités!
·~ Inventions
1 ç
Auto-11ropulseur Boudin Ce bateau d'un nouveau genre a été expérimenté l'an dernier. Il pourrait peutêtre devenir un appareil de sauvetage assez pratique, puisque sa forme lui as-
De la parure et des folles dépenses
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Le travail
etles
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La parure est une malédiction . Quand vous en êtes atteint, consultez votre bourse avant de consulter votre fantaisie. L'orgueil est un me~diant qui ~rie aussi haut que le bcsom, e.t avec bien plu s d'effronterie . De plus, s1 vous ach~tez une jolie chose, il vou~ en fau~ra dix autres pour que l'assorti _m,ent so_it~omplet ; aussi, il est plus aise de repnmer le premier :J.ésir que de contenter tous ceux qui suivent. . Il est aussi fou au pauvre de voulo1r singer le riche qu'il l'~tait à l.a grenouille de s'e nfler pour devemr aussi grosso que le bœuf. Les grands vaisseaux . peuvent se hasarder en pleine mer ; mais les p~tits bateaux doivent se tenir près du l'i· vage. Au smplus, les folies de cette na
l' Auto -pr;pulseur hors de l'eau
sure une réelle insubmersibilité, le vent et les vagues ne pouvant guère avoir d'action sur une sphère métallique étanche, qui flotte sur 1' eau comme une bouee. '
L'Aulo -propul senr immergeant
L'auto-propulseur Boudin se compose de deux sphèreR concentriqnes, dont la plus grande a 3 mètres de diamètre ; le
LE FOYER et les CHAMPS
LE FOYER et les CHAMPS
tirant d'eau est normalem ent de Qm 90 . 1:Jn moteue rLpét r ole de 24 ch evaux )ac- dans le vide. A u moment où les roues ,de la bicyclet te reprennent contact avec Je . t10nne, par de 1 rou es à friction la sphère sol, la corde s'est détachée a utomat iqueext,érieure 1ui, muni e de petites quilles ment , grâce à la forme ·spéciale de~ crol,;terales, f~1t en_ tournant avancer le sys chets , et le cycliste peut continue r son temc ;_la d1rec(10n s'?bticnt par u,n gouen ligne ~roite ; mais , pour cela, ?hemin verna il, d le pilote tient la route a l'aide 11_ fa~t, que la partie recombée de la pist0 d'unprisrne , comme dan s le s bateau sous ait. ete c? le vee ?t, aussi que la part ie marin ~. On _entrn dam l'appal'cil par de s hublot8, qui se trouvent sur le côté et drmte, qm pour lm etr e rac, '.ordéc se trouva it à environ Ü'",30 au-dessus du sol que l'on peut fermer hermi;tiquement . . s ' a b arssc au cont~ct de cclui-rü. C'est pon-' J,etour·billon humain di!lt que le cych~te est en l' air - et cc .\ l'attraction du .- bouclage de la boun'est pas long - qu'un aide opère ces cle >> en a succédé une autre 1 qu'on deu~ mouvement~ ; la seconde paetie de a bapfüée du nom de tourbillon humain. la piste est montee s ur deux rai!R, qui , : oici comment les choses , sont dispopermettent de la faire coulisser sur le se es. C~la donne la chai e de poule. · côté ; quant à la première partie elle est La piste, deRtinéc à donner la vites se maintenue su rélevée au moyen d'un che acquise nécessair e, est, comme d'hab itude valet métal,lique , qu'on abat en appuyant un long plan incliné, dont le point de dé ~ sur une peda le, Le même homme fait par~ touc~e au f~îte ,de la salle et qui, donc .la manœuvre des deux parties. apre s avmr abouti pres du Rol, se relève C'e st .l\Iorok qui exécute le « tourbilen forme d'arc de cercle , mais seulement lon hu ma in», A ce jeu, d'aille ur s il risHUI' une hauteur d'environ 2 mètres. Au . , car pour peu qu'il dévie ' sur que sa vw bas de la piste, deux poteaux de 4 mèla piste , soit à droite, soit à gauc he les tre s de Jiaut sont solidement établis · ils crochets de la machine , ou au moin s 'l'un portent à leur extrémité supérieure d~ux des deux, passeront à côté de la corde et le cycliste sera jeté sur le côté. '
.
Le bouclag e de la boucle
erochcts en forme de tire-bouchon , sup~ portant les extrémités d'une corde qui pend en forme d'U enh·e eux deux. · D'autre part, la bicyclette possède une s~perst1;uct1:re qui dépasse la tête du cycliste d eav 1ron Orn,30 et se termine par deux grand s crochets ; ce sont ces der niers qui viennent s'engager dans la corde au moment où la vitesse est à son maximum . La machin e et son cava lie r continu ent alors leur com·sc un instant sur le bout de pi ste en al'c de cercle pui s, r etenu» _par la cord e, aclit>ve la circouférence
, .
Daleau en pa11ier·
Un mgemeur autr ichien vient de se constru ire un rac ht, 1:n yacht comp let, avec coque , v?lles, mat~ et gouvernail, le tout ~n papier. C'est en comprimant à la machme et dans des moules plusieurs colle_ct~orn,comp_lètes d'un des plus grands quotidiens de Vienne qu 'il a confectionné d'.~~ord la coque_, puis les agrès et les d1fferents accessoires de son navire 1 qui • mesure 5 metrcs de long. Sa construction a. ex igé l'emp loi de 300 000 feuilles de journal environ . ' Et cc bateau va sur l'eau 1mrn, avoir d'ailes, bien qu'il soit fait a~ec des cana rd s.
Sciences Le cancer . At roce mal , s'il y en a un , et qui pardonn e ral'cm ent. Pa d oiHil semble aban-
donno r la partie; mais à de::;anné es de distance, il se ratt r ape. O n dirait qu'il ~ait d'ava nce Ha victime marquée pour le ,mcrificc. Pe n lui importe que cc :,oit pl1rn tôt ou pin, ta rcl. Il tient sa proie, il l'aura. Tl faut , panlÎt-il , peu d e chose p onr détcl'miner 1m ca ncer; un coup rndc reçu par ina~ vcrtanoe m en~·trit la chair. qui progress1veme11t se decomposc.: les tissus roncrés forment bientôt u ne plaie . Le malad; en peut constatel' cha 1uc jour les ·' le ch emin à fournit· encore s'a r rooTès o brège, l'isfüe n'e st pas douteuse. Le:s uns se lai~scnt comme hypnotiser par l'éven tualité fatale: les aut rNl se résignent . Le seul r emède, connu jusqu'ici, c'est le bistouri. Il en lève cc qu'il peut : mais les ramifications sont si multiples, elles ont si compl èt em ent tout envahi que le succè s est le plus souvent partiel et douteux. , E h bien! voici une grande nou vell e : I<' cancer peut être guéri. Le docteur Doyen, de Paris l'avait dé jà annoncé il y a un certain temp s, à l'Académ ie, de médecine . Il vient d-e le proclamer de nouveau le 18 octobre passé , dans une séance du Congrès de chiru rgi e. Le grand amphithéâtre de la Faculté de médecine était bondé de tout ce que Pa ris possède de chirurg iens; de praticiens de toute espèces et d'étudiants , sans parle r des médecin s accour u s de la province . Le remède cette fois, c'est un sérum spécial, dont '!'inventeur avai t déjà fait conn aître la composition . Ce qui était intéressant c'était de con· naître les résultats d'une méthode inaugurée, paraît-il il y a un an. En voici le bilan : 42 guérison.s confirmées le 30 s_eptembre 1904 ; 46 cas en observation, dont un bon nombre avec appare n ce favorable ; 20 cas n'ayant pas donné de nouve lles · 120 mauvais cas aya n t pour causes le tra it ement trop tardif ou l'interruption du traitemen t. Le doctem Doyen a renco;it ré des contradicteurs ; un de seR confr ères s'est ins.crit en faux contre son in vent ion. Une
comm ission sera nommée pour suivre l'affaire. La cont l'adid ion n'étonn e plu;; 1(\H invente ur s c' cKt pfll' là q ue 1< ' 111· gluil'C' (·.ornmence. Long ue Hera it la liste d<· l'l'IIX qui en 01 1t ,onff:rt, de. ceux 111~:111<'s 'llli Hont lllUl' ts on lllCOll1 Jll'l8 ou llH ' C(l l: · nns. l-ln' irnpor tc ! To utes les µ;1andr:s reformes, on pourrnit pre..;que dire, tous l<•s progrè s ont eu leur doulournu x uu sangla nt baptême . _. Ici, comme dan,; bien d'autres mal ad 11•s la 1uberc 11lose ,mrtout, l'cs~cnt icl, e.,t de . . ne pas ;,,'yprendre trnp tar_cl. 'rrop tarcl ! li ne faut qu une dl'llll·llll· t1ute poul' manquer un trnin, e t, av ec lui, nnc affaire impol'tant e . 'l'rop tard! on s' aperçoi t de Hon ignorance, maiH le~ années ont passé ; on n' a plu s ni le goùt, m le temps d'appre n dre. Tr?p tard ! une ,crrC'ur a été commise, impo ssr?le de la r~parcr, • ceux qui en ont souffert ont ~1sp~rn. Une fissure a lieu dan s un na vire; impercept ible d'abord ou négligée, elle devient une voie d'eau, le s pompes font ra(J'e inutil e le bâtiment sombre: trop t, ' ' tard! Et que de ruines matér iell es et morales, auraient pu êt1·e prévenues , que de désastres, évi té s, en s'y pr enant asRez tôt! Assez fréquemment témoin des souffrances par le cancer et des dé solatio~s qui le suiv en t, nous saluons avec esperance la d écouver te du docteur Doyen. Et nous formons le vœu qu'à la première appa rition d'un mal, quel qu'il soit, on s' empresse de verser sur la ylaie o_u_ le sérum qui en paralysera la decompos1tion ou le baume qui adoucira un froissement ou une déception, Pt, en rendant à l'esprit son éla sticité, lui permettra de rép arer des brèches et · d'assurer l' avenir .
Il va ut mieux employer i,;on temps à acqucl'U" du · savo ir, que de lr, p er dre à faire parade, de celui qu'on a.
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* des*esprit-6, plage où L'oisiveté? Ecueils l'on s' enlisc 1 gouffr e oi+ l'on se préc ipit e. .
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LE FOYEH cl les CIIAMPS
LE FOVER et les CHAMPS
Histoire naturelle
mem brc lésé; 2° la cornpression de la pa rtie blesHéo.
Hygiène
• Dellx Brcleo ic•ps
Hor s des marais où ils vivent, quels disgraciés se mblent èt r e ces cur ieu x oi sea ux de la fami ll e de s éc hassiers, si laids avec leurs longues jam bes, leur tète dis proportionn ée, leur bec éno rm e et contre rait!
Usag<'s mulli11lcs de la glycérine 'l'u ut le monde connait la glycérine ut s•m utilité cuntro les crevassai; et leti gcrr.urcs deti mai nti. ' On n'en tire prt~ cepe ndant tout le parti qu'on en pour rait obtenir, car cli c po~~èdc no 111bro d'autres p ropriétés de~ plu~ pré ci euses. Un,• tr:rn~pirat ion trop aboncla n to des picdH diminue ~i on froue ch aque soir la plirntc du piert avec un mé lange do 1 pa 1·t ie d'alun ca lcin é et 2 parties de g lycérine. On la,e Jo mat in avec de l'ea u tièdr. Pour les cors et le~ oignons, on se sort avec avantage d'un mélange à partie égales de glycérine et de teinture de chanvre indien. On s'en sort pour badigeonner la surf ace à traiter, que l'on reco u vre ensuite d'un morceau de flanelle. Cent grammes de glycérine dan s un grand bain rendent la peau fraîche et délicate. Pour le v isage, une pâte faite do fa. rine d'avoine et de glycérine et appliquée le soir en se couchant donne un teint fra is et une peau fine et blanc h e.
Médecine Education
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~loyenssimplesd'arrêle1·unehémonagic A ch aqu e instant, les journaux relaten t des cas où la mort a été la conséqu enc e d ' une hémorragie qu'on n'a pu arrêter en l'a bi,ence d'un homme de l'art. En généra l , les premiers soin s qu'on donne au blessé, faute do conna issances, Hont plus nuiijible s qu'util es . En effet, au lieu de Rerrer la bles sur e, do favoriser la formation d'un caillot, on lave la plaie à grand1.. eau , et, par ignoranc e, on entret ient ain :;i la pert e de sang. Pour mettre fin à l'écoul ement de sang déterminé par une ble s1rnre , il .Y a dPnx règles à observer : 1° la po8ition du
Cc ,,u'est la 11olilessc La polit os:,e est une envie de pla ire à tout le monde: c'est une deR fill eR de la bonté , que l'é ducation et l'u sage perfection n ent ; au~i,i, s' il Pst fort excusab le de ne point être beau, élégant, spiritue l, il n'est point permi s de ne pas êt re aimable, et l'amabi lité n'est que de la politesse bien en tend ue ; enfin la polit esse est la chaîne do fleurs qui lie le monde. ll est un grand écue il pour beaucoup ~:nrlne;
~o~~t::r:r;<i;~cfo~~lll~:;c:~~~~~j~:~
lui d'une élévation Rubite qui l es étourdit et leur fait comp lèt eme nt perdre la tête ; aim1i noms avonfl vu beaucoup do perso nn oH polies, aimab les même quand elles occupai ent un rang modedte dan s le monde, devenir tout à coup hautaine., et impertinente s, parce qu'elle s avaient obten u un haut emp loi ou fait une belle fortune dans les affaires. Le monde en rit derri ère elle s et se prépare à leur jeter de s pierres aussitôt que l'adver sité sera venu frapper à leur porte, ce qui ne peut pas tarder, le bonhe ur ici-bas nous étant toujours diRtribué d'une main avare Qne de déboire s et do déceptions on aura alors ! Aussi est-ce autant une prouve d'esprit que de sav oir-vivro de ne pas s'exposer à ce danger . Mais beaucoup do gens du monde confonde11t cc qui r st politesse avec cc qui nHt protection, et s'imagine nt être polis quand ils ne rnnt que dominateùrs ; er re ur qui leur Eait beaucoup d' ennemis et qu'évitera toute p ersonne véritablcm<'nt distinguée, cai- ce r idi cule n ·appartient pas le droit de !'Onquête q ':'i la classe de;; parvenus. Mai~ il y a on 01·c une lrè, grande différe n ce à ét1tblir ont.re la politcsflc et la civilit é, deux chose s pourtant qu o l'on r'.onfond trop f;onvont e11scmblo ; la civilité n'est qu'un verni:, qu i recouvre souvent une fol't laide étoffe, t andi~ qno la polit o.;se c,t, an co11trairn, une qu:d ité JH'Oprc ~L faire va loir les autres. La politcs~o r;;t ~impie, a i~éc, noble et franche. La civilité est ra ide , com]'Ostiéo et toujours prétentieuse. . Une perl:lonne polie nous m ot à notre aise tand is que si ell e est civile, cll A nou~ gêne, nous embarrasse et nouf! fatigue. Une personne franche est généralement polie , nnc personne fau sse est presque toujours civile.
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:Recettesdiver6es
soit compl ètement imprégnée . Vo us pouvez ens uite avaler le~ médicamont ,i les plus amers, ain1;i que l'hui le de ric in ot l'huil e de foie de morue sans être iucommodé. Voic i un autre procédé spécia l pom l'huil e do rici n . Pre n ez du cacao en pouder dont on a retiré l'huile (c'est-à-dire le beurre de cacao) et qu'on trouve facilement dans le commerce, mé langez -l o avec l'huile de ricin, ajoutez-y un peu de sucre et même un pou de vanille, pui s pétri::iscz le tout dans un vase ch au ffé de manière à obterur une pâte qu'on lai sse refroidi r dan s un moule ou sur une p laque. L'h uile de ricin ainsi préparée eESt trèi:; facilement acceptée par les petit ti en fants et aussi par les .. grands cnfanb,. Le:-1 proprotions à employer sou~: Cfl.cao, une pal'tic ; Ilu ile de ricin, une p,trtie ; Suc r o,dcux part ie:-.
Unmoyeni11füillible Un cuhiv atem· vient d 'imnginct· nn moyen infaillible et d'exéc ution facile pour détruire le:; limaçon~ , lns com tilières <'t autres in set"tcs nuisible~ qui, dopui:-1quelque tcmp,:, ravagr nt les produits ag ,i coh·s. Lrirsqll'i l fait froid , il place d:111~ un champ ou dan s un jardin , et sur différe nts point,, plu sictn·,; ta~ de fumier tout cha111l, nouvellem en t extrait d e l'écur ie. Les ins<'cte,, n.tti1·6spar la clrnlcur, ne manrinent pas cle venir s'y réfu;;inr. QuclqucH jour,; aprè ..., et lorsq u'il gèle, notre homme vir nt répandre Kil t' lo Roi ~es m<'11les do fumier dan ~ lo:,qtwllcs fuur111illc11tce,; i11sectt's <ini, ain~i cxpo-é,; à l'a ir , n e tardent pru; il s'engourdir et h péril', saisis par le froid. Il re con,t ruit ensuite d'antr<'s meule,; de fo mier et obtient le même rétmltat , jnsqu\'i cr,mplèto dciàtrnct"ion de Ceti ilf'IRPctesmalfai sanb1. ~
Cuisine Pommesflp ferre cniles sou~la cendre.
Pour avaler les médicamenl s Pre nez un bâton de ju s de rég·li,;se et sucez- le ju squ 'à cc que votre bouch e en
Los pomm e~ do terre sont bien meilleures rôties souA la crndre que cuites de n'importe quelle manièr e. Lavez-les avM soi~
15 Avril 1905
24° année LE FOYER el les CHAMPS
essuyez-les avec u 11 linge et enveloppezles avec du papier de soie. Enterrez- les dans des cendreR paR trop chaudes, couvrez-les avec des ch arbons et laissez-les cuire jusqu'à ce qu'e lles soient tend r es! Il faut renouveler le charbon de temps à au tre à mo ins qu e la cuisson s'opère tout près du feu. Mangées avec du beur r e végéta.l clics oont succulentes.
Variétés Le roi des œnfs On mande d e Chicago: Il cx iHto bien des roü, dans la répub liqu e des Etats-V nis , le roi de l'ac ier, le roi du p étrole, le roi du coton, etc., mai s il ét:üt donné à cette ville, qui d'ailleurs en compte p l usicur:,;, d'e n sac rer un nou ven.u, qui à l'aven ir f!<'l'a connu sous l e nolll de roi des œufs. Un gr::u1dcommerçant de South'Watcr i;trcct, dep LLÎl:! plursieurs jours, a acheté tous les œufs qtti se trouvaient sur le uw.rché. Dans une seule journée il en a ac heté· 4, 7 52.000, à lo cent,i et demi ln. douzaine , et quelq u es h eures plm; tard les a revendu à 19 cents. Un homme q11i, s' il le vou lait, pou·rra it se payer une onH'lclte de 4.752.000 œufa, mérite rée l- lomcnt IPs honneurs royaux, et il ne se trou vern pris de prétendants sérieux pour r<•1wNser de &on trône le roi des œufs. l,e réveil,le l'agricullureanglaise Dans le but d'enlever aux. pays du ro11tincnt - dont la. Belgique - l'important débouché qu'ih; p o:;sèdcnt en Ang leterre pour l'écoulement de leurs produit:; de la ff>rmc, agricole:; ou maraîcher s, il 8'c8t fondé en Angl eterre une association qui se donne pour but la vulgar isat ion du progrè1-1agr icole. L' "Agr ioultural Organ isat ion Society" ainsi s'appelle cette société, veut em prunt er aux pays concurrents leurs mélems systèmes th odes pcrfootio nn ées, d'organisation profess ionnelle , syndicats et coopératives, institutions de crédit, rnutua lité8~ etc., pour en dot er l'agriculture anglai1;e.
L'cn~ciguelllent agricole reçoi t déjà et d e nombrem1es des encomagemcnts, sociétés se fondent , - tém oin l' ai.;socintion des plant<'lll's do pomme:; de terre de Girva n, - - à l'instar dc:1 synclicnts de Belgique ou d'Ita lie.
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Poésie Lii grandesœur
La Nal11re répJ n1I à nos pleur~ étouffant s, Aux rl~ch;ran1s avrux de toute créat nre, P ar nne indifférence heureuse : la Natu re Nnus guérit comme on doit. apaiser les enfants. 8'i ls se font mal, on a des baisers réchauffants · On croit porter remède. à leur peine moins dure' Mais pins on s'ap itoie, et plus le chagr in dure:i Le jeu seul ent rendu ces regards triomphants.
(0)i!{{~~l ~Ji DE LA
.Soeiété valai~at)Qe d'édu~aticn
En voyant notre angoisse, en en sachant la cause, La Natnre, gaiment, nou• parle d'autre chose; C'est Fa leçon de vie et rie ferm e bonté. Loin de gémir sur nous, elle veut nous distraire; Et c tte grande s<.eur,quand il a sa.n11; loté, Pour q"' il u'y pense pins, rit à son j, une frèr e. ~
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La Poste au Portugal
L'Ecole primaire donne de 14 à 16 livraisons de 16 pa1;es chacune, non compris la couverture, et autant de suppléments de 8 à 16 pages pendant l'année ordinaire de 12 mois c0 mmençant Je 1er Janvier. Chaque mois il est en outre apporté un supplément illustré dA 8 pages intitulé : Le Foye1· et les Champs.
Suisse
Prix cl'abonnement: Union 11ostale fr, 3 fr, 2.50
Tout cc qui concerne let publiccttion doit être l.ldressé dircct.;:ment' èt M. P. PIONAT, 1er sccrétl.lire à l'lns~ruction publique, à Sion.
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ture sans ordre et sans méditationne profitepas plusquer1oo repas maldigéré. T l\lnl:rv,"'lo rJ
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