No 04 l'Ecole primaire, 15 Avril 1920

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15 Anil 1910

TOUT MUSIQUE

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Publication fondée en1881 L'Ecoleprimaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la couverture y comprise, et autant dEi. ~?.l!Plé· ments de 8-1& pages pendant l'année ordinaire·· (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).

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~mmnmmmmmnmnmmRmmmnmmmmmm,mtfflfffflfflfflffltfflmffl'fflffl.ff Rien d'excellent ne se fait tout à coup: pas même un grain de raisin ou une figue .


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Sommaire de cettelivraisoP

Pe11m-0houd, de M. Mu.m, ancien dire cteur et _la prude l 'êco'1enorma-le, touis UJilein.s de zèle et de persévéra·ooe dl.ms ,lia j,UISitice!. IJa d!éviotionaru S.aoré-Oœt1Jr d:e Jép1101duit Ilia coordma,t1on des dté,vouementpour le prog,rès de nos éco,les, dence -qui 1 isus. - Oe qllie doi,t être I'iThsltiituteu .r de et de MIDe Oésa~ine Genoud , institutrice , en- autres vantuis.Les pirivJtlègessont aus~i rnos j'Oll'flS. - Des élèves dies éco,Jes rua:u ruomlbre,die,tino1i1s: épou_x die Mane, levée tro jp tôt, hêJlas ! à Sla ndble tâche. f'alkJSet 1euir avienir. - füfü1et de J'ins,be tiami,I tle et père ,wurriü 1. pll1incipa1l e questio111à !"ordre du jour chef de la $é!i,n füuteuir. - Dans ma cl'asse . -· Tout est ensuite tra i,têe. M. Hœh , directeur de cier de Jésus. , 1'écolle nonmlle , dê:bu1teen oou.s raippekmt est ipréteJdtle à aorJ1Jgé. - Vla!f ,iétés. Voici mJainten:a1111: Ue,text,eide cettlepirequel fut son role dri.ns l'élahoration du nou- face 1qui iiiig1uOOI'a ,dlan1s lies éditions fo-&-veau « Gonrs dr la11g 11r frcmça i ,qc •. Ptui,s, i:I tures dJU Mii,sseilrnma irn: ,nou,s monitrre que fou,vrage es1 moin.s Sommaire duSupplément N°4 « n est :w-a.imen. t digne . . . de clraŒLter vos irrêJ.igieux ou arelig,ie.ux et pil'us mé1ho;dique fin du ma1ndemenrt: de Carême 1920. , de vou;s bénir ~t que ses dë:tracleurs veu,knt bien Je prétend!re. louanges comme il COONient - Mla,gida. . - Zé'nio'bi,eest triste. , $eigne.u.r,dans t-afête de S. Utne int'é,res, sanite leçoo pra ti quie su i,v,it son de vou.s exa1Lter C'est lui l~omme drms.te q1Uevous avez -Plllu~dJe 1lra,wül et moiITT!s de Luxe. ex.po&é. La di,scL1JS sion qui s'ou:vr,it ensuite Jo•· d001Jé comme él})owcà la Vierge -Mère; c'est sain,te. -· Le pajn mi,t en r'eqieï l'oJPIPOsi ,tion el!l,tre les partisans Autoruirde l:a fia.lb/lie ,fidèlleet pr.uden,t à qui vous ide vie. - Oliod11es et .}~Las. - Faut pe,s du Cours die J1a,nigue qu1, ajprès avoir hésité lui !Je sel1\'MeUJr 1~r, s'en momtrent à prése1r1t aivez confié 'V'01ire faimilile;c'eSlt lui que :vous d'aibOll"d à 1' a dop s'en fuirie. - Oridlœ de Mosoou. très saü>Sifai!Js , et ceux qui, de parti pris, aivez dh.arge de teniir Lieu de père à vohre fi'.is peut~re même sans U'awoi,r es;:;ayê, dê.~larent unique, oonçu p!II" r'oplératioo du St Esipnt, d'em!illée CJJU 'i1' ne répond pas aux beso,ms de N . S. J.-C.par qw .. . • Sommaire de la couverture ]'écolle va1'aiis-aru1e et condluent à son rejet. Les concluswns sont communes à touErdhlos dies co1n'férenœs. ~ La p•réfüc-e A 12 h. 30, 1'a séa[lœ est levée et l'on tes 111esP.refiaœs. On y 'flrouvie [es 11ouànde S. J101seiph.- Eilliseignementde la prend 1a direction de l'hôre 1, de la Poste où ges des .A!ngies, Uiesaid10i.rolti10ns IdesDogyrrrunastiq:ue.,- AJlim 'anach du V.a~,aiis e~t préparé Je i'f'aditionnel banquet. minatfons et Jiesiirémissiem1enit1s des Puis_ AJPI'èsle dîrn~r, M. le Dr de Werra , . m~19211. - Sup;p,ressi,onou Jimita:tion des Vie1!1hlis et OiesSémphi,ns s.co1aiire , nous. réserva une très inte- sainces. l.Jes ,exiarrnenrsdes r•ecmes. - Dio1lesménia- d'.eci111 . Au ci-el -nissent 11100,11sentJhiousia1smes ressa1r1ite caus~rie surr la tuberculose·. Il nous gèreis féminines. - Une be1Jlefa,mill~e. ou,t •entieTqui ibreS1S1ali1Lle, U,aitet11re siupy coo~ainquit que le meill,leur microbicide V.ariéres. - Ann1onœs. plianbe vient j,oiŒlidr,e ,ses vioix,pour chlanest 1e so!Jei:l.Aussi, pé.tn~trés de l'eXJc:eijŒence ··-0-s oubllier que Sier:re ter le tpisagion étlerne1. de ses co,nse•i,Js et san11 ipossè!d!el'~sfi'e du jour dlan1sson blason, mol!s -0Echosdes Conférences faisons honmmr aux eX1ceEentsorus soumJs · à noiltredêgu,station pour couronner la séance. DU rn ST,RlCT DE SIERRE Enselgnement de la gymnastique F. S., ins !. :Mercredi 17 tllaiI's,les insiii,t-UJteurs de no-

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tre région étaient réunis en confêren,œ dans le ahef-llaeu même du di,s-trict. Tous ruvaien1 répoodu à l'au:iipe-1. La séance s'ouvre à 9 h. à la maison d'êcol!e. A,vamtoue soit abordé •Je s'll,je1priucipa·l, · de laru.guefranqui a tra,it'au nouveau coutl."ls çaise, M- l1inspeoteur ,,cOllaiTede Cou.rten reme.r:cie.la J>lro;v,idenœqu.i, oous a si heuceuseinren1tsoutenus da1U ,s la tâœe ardue de \"êdu~a,tion et de l''fosi(.ruciionde fa. jeune,sse durnnt œs de,rniières acnées où ta,nt de diffJcu~'tlésde touire amturre on{ entr:a.vé la bon.ne matl."lahe des écoles. J..'ais,s·emil)]ëe se lèive en5uite, en sàgne de deuiQ, à 1a rrœimoüe de MJgr A.bbet, dont le souiveni1rdoit resl!er dher aux instituteurs va, ·laiis.1ns, de M. le Qhano[ne X. de Cocart:rix préfeit des etru,des , de MM . les curés Blianc el

penl1 s i,nspecberonlf: chaque année wn cerit!a!inrnombtI'ed'éodl.esd,e diaque distr-iot,de manièr,e ,que toutes, aient été visitées darn il'esipaieecre2 1ans. Un mipp,o.rtdétiailJ!êisera fourni après chia. que t>oumêed'1ruspectfon. Pa.r ll!amême ,o•oQasio -n , l,es comtlil/Une,s dlains lesq,udU,esiill seJf;aprocédé aux e:xiamems d 'ém.1éM1dpiaition sont invitées à teniit· ,prêts ,et ,en bon ,éfalt,1ies110.cauxet engin,s de g:ymna,siti,que, ,afin que l'examen 1powr cefü1e bir,anchepuiS1Ses'eff,eotuer noil1mafoment -0--

Almanach duVala is 1921 Les ,c~li1alb-0,rafoUJœ ror1dinafr,es 001 o·cide nollire1Périoldi,que na;tionail oa,s~onnellls sont ,priés de :Pt1endrernioteque les mianuscrits à 1a1dlrnsis1erpour l'édition de 1921 dew·on1 :parv1enir au p[us taird j uslqu' au 31 mai IIJ!f·Odhain pour êttre examinés ,par illa Qoonmis"S1on changée du ,dhloix des ma:tédiarux. ·Siu.ivoot:l'a00I11dianœ de c.eux~ci et là nœribe égal , la p!l"éférence'sera ,a1ccO'I1dêe .aux articles encore ,a,journlés d' 'a:runées précédentes. Les ma1nurscriits sont à tTansmettœ di·recte1nentà Œ'éditeuir.de 1'Alma,. nach du Valais, à :sfoin.

Ra,rœculafre du 30 mar:s écoulé, 1e -&Dépallîtemen,tde ,l'I,n,stmctioon pub:liq ue a ,po,rre ,à ila c.omliai,ss,ainoe :de la di- Suppression oulimitation del'examen Lapréfacede S. Joseph rection des OoiJ,1èges, des insp,eateurs et des recrues deJtlt,e1a:nnêe, pou;r [1a première fois, i1 des ·commissiomsscolaires de i1a partie On mainde de J3iemeque ,tie Départe(a été -dhiantlé à la mesise de fa fête de S. française <ltU,piayisqu'en vue de favomen't mi'litaire s'o,ocwpeaotu•ellllementde Jtoseph ,une [Préface ·sipéda~e, a,p[YI'OU-riser ·1'ediévielliopp.ement ide la g.ymnia·sti- fa question die sa1V1oir 1s'11y aurait lieu vée pk:lir:J,epaipe, pouir ê!fir1e :récitée,à :t'a: que, des 1biommesde [ra pa,rtie sont d 'éliminer oomlpiJète:nJerut lia partie péVIOOir, ,en tious[ieux, ,aux mes·ses du me- ctt:a,rgésde conbrôiler désormais l'encfa1gtogi!que et ~ ,aisfüqu1e de l'examen me Slaint C' esit 1dle ;Jla·dévotion de Bte- seigneme>nlf: de ,cetltieoranche obliga~ ,des morues qui aiviait été1StU!Pprimée de-inoît XV ~nve,rs S. J1oseph que cebtepré- toire id,u prngimmme . lJ) u is le oomm~noemtenlt Ide ta guerr,e. face ,tlill'e,s1onr0,rtigiine. Voici 1iecœur die Dains œ hut a étiédésig,né l'i-n1S1pec-Comme il s'agit ici d'urn prob'lème aip1a Pr.éf.aœ nou,veŒJe; il {lonitfont{iesver- te~r..can-tmval!. de '~a ,gymnastique éœ- ipe]é à j,ouer .wn ralie importa!Illt sur lie tus .et iletspr•ivilèges de S. ]'oseipih.Les p1fameWy,e,,r, à Vièg•e), auq,uielse trou- 1sy1stême de nos éco11eset Ide no;!JreM"vertus: ill y en ia :fuioirs Œlfincipa~es:~ia ve adjoint, p011rr la 1pa1'ti,ef1rarnç 'aise rnée, lie D1:Waciement mi:Lifairene voit justice, ,q•uirés1UJme illorute,sad,ntieilé :etfai± du canton, M. Oh. Bentrand, moniteur œtita fnem'ent p as san~ d~pfaisir, lia Qie15j1wSll:leis ,du del; la fidélité, ,qui est na de g,ymnast~q ,ue 'à Mon1fhe y. Ces ex- ,quesifion disoo,t'éedlans 'La,prnsse , étant --- <'--


IV

idio,nnêque seul d'uill édhfangied'ild/ées la:bondan.tja ~füi1raU[le image nette die l'-01pinion1publriiqu,e dlan:sce domaine. Une ,suprp11essfonicom!P[ète-de ces des né·examens ser1ait,au poiillltde v111ie cessités d'éao,nomie acburelllîe,parr-fai;temenil:,souilenabllie.Les fnais pour les ex!Perts se trouvent éliminés, f;riai,squ.i repres1enkiruttoujours une somme de plus ,. Mais ,de oe fait s,e trouide 200.000 ,:fir 1Verai€1I1f aussi ,suJJ1pr, imées Ies va1lieurs ildëales, qui s'aifüirment beaiucowpp,lu's imporfarutiesque les fir'ais.L'exiamen du jieurnesolllda ,t, qui n'a p,as unii,q,uernent pour but de 'Contrôiler'le p'ou1,s et de conseafor l'eristooce de p•ieds plats, mais ,qui o,iIBr,e J'oocasi,oo dre se rens eigner sur füut le déveiJ1opipement intellectuel et physiq.ue de l'homme, a poua.nofuiearmée une imp,orilaincequ'on ne samti>it méoornnaÎitlfle.La d'imi'nution ·es, qui auiproj1etée,du nombre de reCiiU ra ipiolllrréswlfut une dimliinuüon die l'armée au po.jnt de vue quantitatif, doit s,ans aonitredit être •C01!1/P·ensée par une augmentation qualitative .des hommes instruits. fl est nécesisai'r,e,que non seulllemeinit l'aŒmée,pour oorustiiiuerune giarant'ie rée[ll:econtre lI1esd~:ngier1s du idiehons·et du d,edoos, s:oit formée .d'éléments de premièr,e quafüé au point de we co[Jpornl,mai,s ,qu',eil[ea:trteig,ne é:ga1,ementun certa~n nirveaiuint:eiUeduelin. ,diJsp-einsa,blle. Nous n' aniverons ceipen.dant pras à a:-éalliseroe résu[itlat si un n1veaiu minï!ll/UJmdes conna i,ssanoos n'est pas fixé. I.;a sup,preS1Siondes ex,amoos pédag;ogiques et gymnrastiques exercerait lieseffets Ies prlus dléf.av,o·rables sur deux i,n stituti()IIlSqui ont fourni jusqu'à présent 1,es ·resudit'a~s ·1iesp!lJussiati&!a.ilsants : l'éco·1e 1oomp: lêmentaire et lies Sociétés die ~poct et de gymnasti:qu,e. D' auicuns coITTs idèrent aujiourid'hui, il eis~v:rai, ,oomme inidi;gne d'uŒlin~iviidu qui iSe dlit Nrue, le fait de t'ra.wul1

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Ier en Vill ·e d'un eXiamen,ma,iisce but ' atteindre est !Précisément oe qui donn aux éllèves des éoo[es com1pllémentair le zèle désiré, et il ·esltheur:eux que 1 plwp·ant dle nlQlsjeunes g,ens éprnuven eniooTeLahonfe ,d'attes~er pM les point inscriiilsdans 11eu'f 1,îvI1et de s:er fai 1Y1'es vice, l'insurffüsainœde leurs conna,is:sain ces. E,n suipip,rima,ntoe stimullain.td'a. e mo,uP..prrofPre, on sU[)[)[ime du miêlm couiP1eb,u,tvisihrrieà attei,ndŒecl l'écoil bie oomp1lémentairene seria ipl:ursCÎiains des ca:s qu'une fairœ. En ce qu,i a trai>taux q1SSooiati001 ,s d s,po,r,terl:de gi}'IllŒl ra:s.tiiqueenfiin, parm· I,es,queUes,règine génér1a!liemenit encor mn ,réel esl}J'ritpatrfoüque, l'aiban:do,n d I''eX1amengymnastique aurait pour oon séiquoooe un déaouiragement des jeu nies membires, pour desquelis jusqu' ,présent, !'·examen officiel de l eurs ta lents était à •J;afois urne récompense e un stimu1ant. H finalement on ne slaiUŒlait mécon naî!flr,eque l'examen représente auss des avantages ,conisLdérabll •es pou l'a,rmée car en i,n!ir'()ldl!üsant une limi ' reOOU,temrent ta:tion diu il s,era poss1"b!l 1 ,aonlna,irs,sia,nœs requises, de façon nna!V'a.fü[er sur une baise meiil\Leureq u traviai.fü ,er s,ur une ba,se meûIDieure, qu p.:1rlie pa,ssé. ne oeimefaç~n, la notio de citoyen en uniforme revêJti(rarée!lŒ,e ment toulflesa portée, l'un ifünme dJusol dat représenfuint en même temps pou 1'hlommequi Ie poirte un signe de ma turitié intéllectueUe. 1

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Ecolesménagères féminines Oin a dit que le progrès, du bien-êtr an vW!lag·e contribuerait à y retenir d t:rav:aü,lrueiurs ·trop idisiposés à émigr.e La ,crejpopuilationd veiiS ]es, oerulroo'S. camipaignerset lia su.Œ,p:op1:1rr:ation _des tés e'fürayientà bon dm1t lle3 cito · ala.irvoyainlts ,. Non seuQiemoot1~ ou

E,n Aimérj,queet ~ Belgù,q,uefonicVlriers1dieschamjps sont att.irés d/ansJes vi'lU!espar les ha1b1tuideset l,es besoms tio,ooent un ass,ez gir,and Il/ombre d'équï!l•; ont con'Uraotésau cours de leurs co1Leis mrénagèues a:gniool1eset d'écoles pl'u~ de I,aiterie qui ont le dlouhilieobjiet d'in· voyages et par l'a.pipât de s~1llarines élevés miais les fils de cu:l~ 1vateurs ai- téresiser les jeumes m i.es du vtllllage à , à La plu,s heuir~115e sés tr~uvent dli,flfid1ementà fond~r ou 1'a plus M11lll!aiLe à dointiooer un éta1bllissement agnc'Ol~, des exi1sfonoes, et die les mettre en état pour lequel l~ c~nooms d'une bonne d'y réuissdir. Dans un ,Payis comme 1e nôtre, où e: pance que fermière eis,t m1diSjpenistarhrr v,~vientdu trade formieirisveiu/liernt aussi s,e 85 % de la po:puœa,N,a:n les f iilll1es diu foyer vail dlu so11,la CO[lS101l~dait10n . mJa,rierà lia vi,1\I;e à to~t agir , i oole doit être oherr,dhiée Pour a,ttla1che1r les agrim:1teur,s à la feprix. Nufüie dépense nie ser,a p~us terre il faudlr.ait do1ncramener l'amour oo,nsenhs pour dre 1~ tertre dh;ez le,u.rs aom)pagnes, aip- cornrdeq!ue lies sa,e;nitfides siornoollled:e la ~eiypriendlre aux fi!llleset aux __femmes de l'éJdu,caitio,npŒ'ofos mière. H fiawd\na,it féliciter les, autontes formi ws que l 'étlaitde f,eruruieree&t plus p:Lus pour lia p,e,mévlérnnœ qu'eliles_ ~etuüle, plu,s sain, pJlll~_coofo:rtaMe,_ intéresm'Ilt que toute. aiutr,e _conl~it_ion. traient à fai<repénéwer oette insibrturhon La Baligique a comwns lia necessi,te.de dans nos CJaimjpa,gn,es. oette p,ropag.anc:!Je ct de cefte édiucat10n. ---0-··Un de ses plus d~sti:nguiésagronome.'Unebellefamille disait 51pÎ!ribueJ]liement qiu'on avait déoou· vert dlans M. forme pou,r y a;pporler le ,üains 1notre '.ca1flhio[[,q ue Valais il ~ bénéfice dre.J/asdenœ moldeme, d''abord 11encorullœ encore bien des flammes qm ,un1ou ip!! ,usieu,rs die11,eum memrcxisrence dlu bétail, p!Uisoel/1ed'u fer- coII1jptient de la fermière. Un,e :bJr,ese1nt1riès mier, enfin ce111e en reUdrgi:on ou alJ.):pairtenan t femme qui dloit à 'l-1 fois êt!re mère de à 1a mi1 Iii,oe saicendJofu!Ie. Leu.r nombre famJilile,maîwes,s,e die ma,ison, co:Uabo- toutefois ,semlbffie pllJutôrt: idlimioo,er·qu' rnroioe d'une entreprise agrico'l.e, a élJUJg,mlernter, ·au m!ofa11s si !]OU~ en jupourtant besoin d'tllile préparation sipé- g,eonsŒes &füou:IiOOs 1queir,eJI11conitlre l'e reciaile. criuteme[li t :diu derglé, œl1a: non seu.~emelllt ,dh:ez noius, mais ida1rnsd' 'autres Dl faut que Va fermièr.e a ime la vie des clllamps ,pour y a,ttadher s1es ~n- diocèses ,enaore. A ce prr-op;os,1wnjiou_rnia:J,pimpos.aiit fa-rutis;i,l rauit qu'elllleaitt des connaist à ,I ' a1dm~ ,r a1tion 'die ses liecsa,noes étendues en fait d'hygûèrre, d'a- 'Técemme,n 1e famiM e angtta,ise Viauglimentation, de tra1V1auxdlomesti,q-ues, ~emrsl'ï11Lusitrr pairne ,qu'eih},ea m1oinisde rnsisouriees h:an ,q1uii a ,eu l'honneur , sua.-13 ·er1!Fanf~, étrangèties sous La main q~ la cita- d'en ldlonner11 à F'EglLise.Ill n'est peutdine. m~aiut qu'elll,esoit capabile de te- êtœ pas sains Jrt:iiérêtrde connaître ]~ nir une oonwtaibihté, de dkiger la ou,1- cause d''uine,si ,extilriaoirtdinaiire taveur d1ture du verger et du po~a,gier, d:e nour- ~ine. Lia voiioi:llieplus giraJnddlésk de rir la brassel(lOu,rse]lon ]es méthodes Mme Viaug'hlanéflait:de vioirsies·enfants de fa.rer le mei]Leur parti p,rofütaibll1es, se œnooorer ,au ,SJerMice ,dleDh:,u. M.1JiS ou iia négligence de co1TlJ111e du Jlairt.L'ill1Jdiu1sitTie el!Jlle 1sa1V1ait ,q,u~!fieseu~idésirrdies la fiermièr,ejoue un rô!Ie 100,ns,idérlaMeparem.ltsne suflfit:pas à f,ai11enaître ~,~ dlanlS1a ,p,rosiPér,itéou dans lia rui,ne vOica,tionso,U:dle, eNe s' adresisia au d1v1rn d'UJilérobil,i ,s,siemenitagr100[1e. 30 ia!Ils1el[eiiit, chiaMiaî'filie.tPen1d)a[llt 1

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que Jour, à cebbe.inte,ntJio111, une heuir,e se,r.vez un visage lollljour s serein. C'est ia di· iCFeviant [ie S. Sia.crenmnt. vine Protviildiencequi penmet tout cella; recevez D'où Œe1"1ésuJ1Jbat q,ue ,nou,s ·admirons: l.i.ebOllmegrâce ce qu ·eme vous en voie, et vous oi,ng fi~Hves rieil.i,gu ,e,wseset six fiils prêtres, ,serez vous-même éJt,oo.méde vous t rou1ver dlontun oarldinaJI.etd~ux évêques. Voilà bientôt .pa,rifaHement heu:reux dans ces dérancomment JJJotnePère céfüesltie eX1auceceux gements q,wi font ma-intenallllt vofre SJUJ)!Pl iœ. quii ,o,béws~ent à a'oridire ide son fils : Sans doute , vou,s a·Inez être enco,re bien sou· « :Piriez U ·è mam-e ,de Ta mois,son d'en- venl surrexci-té; il vous semblera q,ue votre v,oyer idles ouv.nier ,s » . - Si toutes :Les ,mécontentement ,,a édliarer au dehors? Coumères ,c!h !r:étienniesimi~j ,ent, iaufant que ra,ge néanmo:ns ! sauivez les llifJIParenceset ce '11eu,rcoindiition œsipactive lie permet, se-ra dêjjà bea,u,coulP: 011,J igez-vous à répondre ,rexiemiplJ'e de Mirne Vla,ug'hian, oDnrnaî. avec douiœuŒ·à ceux qu,i vous ennuient, à att111ons-,nows ·ce :füêau:,]1a rpénu.rie de prê- tendre aiv,ec pat ience la fü11d'une conversatioo tres? sotte et inu1ilie; à avoir potl/f tous un soud 'a1di01fla 1tion

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La population de l'Europe Deipuils 19114, la 1po:puilaüon de lia 1pliuipaid :des pays d'Eurrope a dimiillué, SéllUf1cemleide ,Iîa Grande-Bretagne ; de 46,089,249, en 1914, eiile a ,p,assé à 46,784,000 , en 19119.

, ·~a pop,uiliafronide ' 1'.AiD1emagne,qui eta,1ft,de 68 milfüons, a passé à 65 mûl-

li~ons, Œen1omlbredes nai1ssances .a été d'un tiiers i111ffrieuir à celu,i des années d~al\llan,t g;uer,re. En A,u,trilohe,on cons· tiate une idlittninuti1on à peµ près égale. Dans tous les ,pay,s, on enregistre, ipeindant Uesannées de guerre une forte idfürünubiondes naciissances'et un ac,orojs,semenlt:ides 1drécèsdû à la 01uerre 1

ou ,a,uxép,vdémies.

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Variétés

L 'ART D'ETRE HEUREUX Pouir être heure ux, il faut s 'habit uer à ne pas s'impa,l1ienter ni se plaindre au mi1-ieu des déra1igements continuelis et des contrariétés de toute soir,te qu 'on éprouve dans cerfa,ines sitrna,'fioo,s. On fait du brnit , on vous aJJIPel~e, on vou,s inte·rrow(Pf dix , ving't fois pendant que vous êtes 1!1Pf1JH 1qué à oo travail sérieux; il semble que ch,acun 1prenne à par:tie de vous distraire. Quo i de .p lus agaçant? Eh bien , pour J"amornr de Dieu , demeurez cailme, con-

rire et llll1 mot ·aima1bll.e.Ce n'es,t pas du premier coll/P; mais à force d'effoms et de viictoires répétées suir soi-même que ron devient dornx et patient.

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Savoirbiencommander

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Dictionnaire des lieux communs Contradicteur : Mon honorable contradicrourf:ce que Fon comim!ande a,ux enfantis Tu l'appelles ainsi à la tribune, et tout 1Serait-,Hétonnainrf:de ,cons'!Ja ,te1r un dlé- teur. bas, affreux coquin, affreux drôle, qui se d:lautd'hbéiSJsia1nce, si ,fosenfün~sont mat permet d'avoir une opinion contraire à la entenld!uOH im1parfaifement compris ce mienne. - Dédale: le dédale des lois. C'est à ce dédale que les avocats font~des ,que l'on 'demande 1d'eux? Leur imJ)'i)s,e,r grâce affaires si fructueuses . - Education : les !des ,c:h,oses,e:xiceslS>iv ,e,sou bien dioriuan- bienfaits de l'éducation.Ont quelquefois les ifiespour eux, .:tlJ 1ors même ,q,u',et1esne S't'- mêmes résultats que les malheurs de l'icno• 1es, ,c'est: , rnient 1point ridificu1 aussi s'ex- rance.

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PRIMAIRE ORGANE DE LA

SOCIETE

VALA.ISAl':IE

D'IDUOATIOli SION, r5 Avril r920

Ladévotion au Sacré-Cœur et l'éducation

dlwoa,tiondoit reiposeirsur Jiésu,s-Ohr·ist, oeni[,r,edietoute g,a,g,eisse et de floute for--= ce. Con1séquem.iment'lies s1entimentis du Le.s,peT'so.nn ,es qui 1p,ro1pag,er,ontcette cœwr adoria'bll ,e die no'lire divin Miaîrf:re clé'Votion a,u,ro.nt1eu,r nom éorit dian:s d:oiveinitêflrela base ~t la swbstance de mon cœm, .et il n'en seria ]'amais eflfa- 'l''é!d)u,aa1ti,on clhréfieinrne. (N.-1S.à ~a B. M1amgru 1eri;te-JMarie.) Que.Ille aonsofante prnmesise! queülle Ill esit dès loflSatblslÜrlluiment nëcessair-e t>llt'lcedie héniécfil.ctions et de paix! N 'y ,qu,e le maHtr1es10uioieuxde l' a:acornpUiis-fil pas l,à de q111 1oi ,enga,ger tou,t fie 'Semeirutde sa miis1sion·s'air1prnp, rie 1~,s 1de, ,et suilitoutnou'S autres mait,rns 1d!éJsiris dJu Oœulf de JéSJus,et, une floi'S écr<Ale à tmviaWler adivemen,t à P:ex- qu 'i1Len aiurn pr:iisl'hiabibudie,hl; es.tim·on d'e 1'a,dévioti on ,au Saaré--Cœur·~ pos1s,ihŒ,e qu'iil ne s,e sent,e pa-s porœ h premier:s noms en retif!eriio1nsde tr.avtaiillierdie houteis ses flo!lcesà la réa ~ • ieux aivairuba1g,es, sains compter l'heu- 'liooiti<on c:lle.oes d/ésirs. Q,ua1 Ilid en Jéi,niflluencequ',en resseni1irait no- sru1s-Ohlniisrt on s'est aiocourtuméà voir enseiginemen't. un ami et J,e,,pllillis ten!d1re des .amis, H ,est 1sib1l.e qu',on nie drenche ,pas à Ie Puissenitlies ré~1exlonsqui vont sui- im1POS 'tl'eèfniegoûtées des lecteUJI'Sde l'Ecole fake aimm-·. OommJeintpouŒ"",rait-i,l en · ire et trouver de nombreux a1dhé- êtr,e audirement chiezI,es jnsfü,uiieurs du dains les raingisdes irnstitu.f.eurs-et Viall ,ais? Alp1Pe!llés à fionmer la jeunoose tri'ces dlu,Vlafais. 11,en sera ainsi d':u,n p eupùlequi na:giuèœ,1'0if:s d,ennouDieu dlaiginebénir ces lignes . 01iaibll1e dëmo,rusilr1ationreŒigieusedu 22 ma.i 189·3, à Vallèir -e, se C'oins,a ,m-: ait s~ au divin Cœu,r de Jésus, lennelJJ,emenit Pourêbre réellll~,ent fructueu,se, l''é- ' iLs·doh11ent ohertclhlerpar tous lie's mo1


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où oû illesparoobs sl<mtpilus aifd1é!iirés yens à dêvel1od)per ohiez leurn él~es, es,t le ,poi'ds qui m'e,ntraîine; :paJ11tout et ont sa jp•téip,aŒ'atio,n ,piliOœesisiiome i,Le et sés p1UJS de peine à mener à bien Ieu,r,safcett,e dlévlotionà la1quellUeces dermeris j1ewüs c'est J,ui q1U;im_'yporite. . . ap,ti:tlUJcl!eis ll'e1Dui1P_eri1111etltent, il ipeu.t,,de Ce poiicllsne clélim~tpa s la 11berté, fa.iir1es matêri,eWlleis ,et, piairle ~ait, se dé- na 1S1mte, sont tenus en vertu des p~-0m_es 1se;~.de exe:ricerume i•fllfü/u,e1nœ bhmtfiaico,nstamment l'exer. chia,r,gem t [)!fieJSlq uie,oom[Jilètement &llir à'é- .saiillre,siuir 1a jmnes1sie,en p;amcuJd,er, 'leuris p,a,rien.ts;c'est notre devoir d etir~, ,00 .i,s iJl en dir.irne 0 . 1-: • . ,s .d•a,1mer l't cnŒ ,e ldlu 'SoinIdel 'éidiu1aafü>n nêoeisisaireet au po,irut:Ide Muieireli,gioox·et ,mio,r,aà. en wn mot, de vira.is apôtres dtu Sra.cr-e~ ciice. Nou,s s.mnlmeslilb\De IJl i~1eillsa'bI,e,de loo:r1s co'Il!V.ï,ent Cœur, en reponidarnt éga]ement !,~ ; 3. que nows voullorrs; mais ,n?,us ne 1, de ~·irnSlbriudio,niinJdii 'd'',a.iJJ1eUJns ide ·raiJ)1pe~er 1ci, [a 'Vocaltion1pêd!acg10,gi 1que ,en- le 1Priin mai ,p;rodhain à !'ap1Pelde notre v;e.nere somunes .rias de résisteir ha,b1it~ellnem~ erufuin1is, ciire, foUJtéliUICÎen :qu'il, .soi( a à 'l'im1Pu]s'ÎO ·I1 dre.l':amoUJrqm ,dom1_ne 1[.aîlil'e uin,e·rnsJporna1b1illitélbien(f),l :us gra_ piliu1s :que jama:i1s ;s,'On;app:li:aation, éVlê! qru.e dlont 1e pr·emier mandement Oette 1m)pmssa ,noe n est J<a. · ve ravec idelSldeivoia,sip:hl's étein:dius qu'il aura p~éc,is~ment été .aons,a,cœà Jabel- en n1011.1s. q,ue ,le JPrêbrieet Œ'inistiituteUŒ" doivent · maiis plus grnnde que dan·s la jeunes. y ;a 50 ou 100 anJS. le oov:o.tion 1 d1u Siaaré-Cœwr die jésus . consitammentis·e1diomer1Pamail!1,et ,qiUe s1e où 1"àmees~ dlominée,p.JUJs q u,e dains ~,e bira.s 1Hâ~on:s1nro,uis:dieifafo:ieid ,u,ne consta- le seoondlldioLtlêtlre•V'érifübiliement IiI u~ auivrieâigie,,p.M S\a se1I11s1ilbii1ité et ses tialti on. 1La giwea:1rie mo[l]dia~le.,qui a.c:au- ·dlro·it ,dlu [P11emie.r. Qu'on he nou,s taX1e,pa•s d''exa,gér~- afifocti:oiilis.Si donc nlou~ v,ouilons qu~ sé ltia1nrt ide trléliV ag,es, a li>ou/1evers,é oomCeci dlit, 1I10,uis osonis certifier 1quefoution si sairusjp,reju,dliœdes g10-yensspe-- oes jeunes â!mles, do,nt l '·éducia1tfo,n nous_ pilètemen t , l e mo,n1 de '. c Jies ·i • c liées , e t a fait tes Œ,es dhla:11ges a1siswmiées ,en deiho,r:s die ciiaux 'q,ue 1'e:xjpél1iencepeu! si'.gna1 ,eir, 1est confiée se portren:t:vetristout ce qui iniau,g1ur er unie vite nouJV1eifü'e ,dla!TIJSdelS '1'eJnse,igtr1ement ·et des œuwes ta.111neXieis nous 1atfü'i•m10Œ"L'S ,que 11a devotJ01nau œt noOJU,e et pur, qu'eJ!llieis soient fortes conidi.ti ,ons 1ab!soiliwment ,différentes ,die die fémle, porten,t IJ)réj,udii,oe aiu maître O::eillrde Jiêsllli&, bien cOIJ.?)PlfÏ~·e_. _est uin c01i1iir e toutes [:es ~n;fll uences q ll1 ~·e~- 1'é,poqu ,e 1pI1éôé!dlente . 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D'une étuJdem'fir€jpir i•s,e&ans le Bul:die[',éco,leide 1 111a.nière à s'y cons.a· pé!ir Q,eip.aislSlé,,l'éldluoafomrn'·eist,pas une A twt cœurr hiumam, mais surtlout letin pédagogique ~ l'ajp;pui ,d'une nou- viVlPe crer eXldl u/Siv.elment et Ide ,g,aî té 1de maichill1e.destil!lée',à 1diJsitniihuer aux cœtli11sde vingit alil!s, il furnt un veil\1e ,cJ,esC01I1· toi ·s,u,r 1,estir1aitements q/UdOr,psen. tœit!Œ". Po,urroela û1importe .q,u'il puisse naœS1élil11ces, amour; et, pair donsê\queŒlil:, il sera pres- ·seigtr1ant prima ·i:r·e fu-:ibou mais àJl 1dlo1it et v,eUJt être ~geois, n_ous mnolflioerspmtanément aux foinction:s avia1I1:t ~ouit 1 œ n \hlomme id' a,ctï,on, un p,roque im!p,01 &si1:Jil1e, à ceux que_l'amour 1~ dléJtaicllfüns 1,e,siriass:a ,g,es sUivants qm ne aacesisoi!f,es eit aibis.oirlb :a1I1ites o,u ingrates pia1g,a!tem tdJesi,d/éeis: id'o:I1dre,et -de pir:oCœu,r die Jiélsiu,s n' alfülrauch1 ,r.~ pas, de mJa1n'quen:tpas d' adtiu:aUi~é et die ju~t,esse qui 11/ui001rutitlroip 1tiaici[·em,e,nt .o,f!fertes . g,rèls, u,n pe.r.soonag,ede haute in~·uenéhla,,P/Pef aJUX dhaî,n~s d llfi ~ uffie en Vlalllais,comme tton s'en co111N'aincra Noiu:s 1ald!mei/tlonis 1UJ11e s,eule ·exception œ momJe ·et ,dvilirSiaiuri ,ce. '.Le meilll,eur amo,ur. Qrnanid J;a relhg1on ne regn~ !Sains;pei'Ile: qui, ,dlarnrla géinéria[,itéides ,cas, présenpaiS d\arn is .}1ecœur. ,el1llen'est p1us qu · insibi,tJuit:euŒ" mieis,erta ipa:s,1dléso,rmais,inSi l'institu!beu[ du bon. vieux ~emŒ)S te 1P 1llus Id' atvtélil1Va!g,es ,q,ue ld'i,nconvé- fai'lWibll 1emenhcel1,ui!qui o01ncluirt ses élède viêltemem<t, do.nt o,n s',est 1me s,o,r1tie .r,és,uQ'tats le jour d~ bien vi,te dlépümi,J,lê ; dü·sons mieux, P!'.ile jouiait Uiil rôlle marq!la?* dla,ns J,a~bca: nients, au p,o,i1I1tde Vîttegénérai!. Nou1s ves Jaux mei!M,eutrls ipadeir ,dies.fioinoti,o,ns .de dfrec- l'examen finall (nia 1riéallisat i-01n:de ce hut est Uilljoug gênant d!ont on se hâte ~!e lité paiI1oeqruri!l y eta1t un d!e!s 11'.l~ voulUorns idlu dhtant tr·e'hi1gieux iq,ui donnent à iS pairilOI1JSici sJŒrfoutde5 lellll." !Je mot cfe S. Augushn U·e/bhreS(!ThOU n'!a !d'aiJll!leunsTien ,q,u,e,de iJiouaJb, l~ en s·'a\flfu;a,rndh'ir.· l'oaca:sion,die 00,ntribue,r à ~u- l'imsfüluitem etlie-même),mais ,cel1Uiq1UJi ld\orunea,ux resteu1a vrr:ai ~airr,tque 1:a naliulfle hu- .commwnesrutraifos), Il'OUISoroy,0;11,s idu ,eu,Ue. Si éco~iers,J,e goût ,du ~r.av:aia,sous toutes maine n'aura pas Clhla 1ng.é: Mon amour voi,r a,t1füirmerqu'à l'époqu,e actucl.k, rd1/au·siser ],es ,oétfémonJ,eis 1

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28 Cefüe idée droitsalll!soesse guider les ses formes, ,q,u,isusidte iparmi ·~Ux le ,désir eflfücaiceIde Sieirendlre uhl,es et de :inisfüuteuns et ,les i,nsititrutrices dans r·emip :orrter chaque jiour ellesvic:to.ir,es mJO_ J,euirœU\/Jne d'édiuœfaon. 1SaillJSdoute, 'l'ins,tiitJute,u,r es,t a,ppeié r:ai1es,ceilui,qui, ,en un mot, fait le ll_lus de bien ,aux ienf1a1rut& ,qrui tui s,ont ,con~ à do,rmer à s,es éJlèvesdies oonnais,san. fiés. C'esit .l'a:pprentiss.a,gie de lia vie q1!1 ces d'o,ndlr,egénêirlall,et l'enseignemmt n 1es:t pas ~e son fait; Pl se faiit: à :l'éco1eteJlQe !q:u'ellie,est orgiam- ,pro1te1s1sioœeQ n'ielTl est piais m:01il1!s v1na1 _que_tou.t t-e siéemain.teiniant,,eitpK),ur,que cet airpren,r le,s inolmer tout tisisa10-e ·a,~t1dus,u,ocès,il faut que J'en- qu'~l peut f:aiirre,posu seiOi;ement1S10H is,ans,cesse odenté vers douoemerrttvers le cfhloix.d'une profos, et 11esprlédûsipois,er _pour l'éducation la ~ie rréelll1e, Œa'Vie1Yapilius urne à l'in - s1i10n ·divildiu i,sioJéet là Ilia,GO'li1edtivité, 1,a ip&us de l'œi[ e.t de ra main, es,t }ouaMee1 confürme aiu lb,u.t1sru!l)1f!ême ·.quiest 1,c :;a- dio1ned'êtir,eeŒcouraig;é. 1ut de l'âme, tle •se•u.:l iprinicipevital des<> ,Si 1,esiinisitii:uteulf's et 1e;sinis.htubrices des vi]l~ ne peuN"entag1r dan:s ce sens tinlé.à w1bisisters.a:nJs d:iin. Si l'ins,tmcbon e,stp[1u1Sou moins in- que d'une ma,n:ièr,eindi,r1ecte,ceu~,.des doivent être p1iusexip1 1'c1t~. 1chs![)ensa 1b~e à dhlaoun, il n 'en est pa:s cam1P'ag1nes Le r aQson en est sim)Pk Les enfants ,mo,i1111s virai ,que U'réJCJoile e~t uin :dlang,ereux cDa'IlS 1es vitllliesne les ,q,ui,ttent ia· iéltément die prio,girès, 1sii il'inshtutew .qm él1eiviés la ,dirige 1I1'estp,as eiss,erntiëi~emi,nt b1en- m.ais pour a'mier1pllu1s !la.rd trava iller ~ ,s,ement, la reifai9a1111t ldia:lllSiJiouteis ~es .formes de son la oam1pagine.Mlalliheureu ,adtivi,té. Aiu1ssi,1iaut-iQTeidlou,terr 1'e pé- cipro,q,u,en'ex~s,te.p,a1s. 1da,o-,o,Q1U ,e 1qui rie sa11.tJr!ait ins1pirer à ses 1La terre n;eg,t pa<s ingiriate, mais le :êl~~ ,qu1 e 'lie 1dég0Ûltidu t,rnvail, ·q:u1 ,payis,ann'·e&t~ilpas siouVîentingr;at poil!" lformeiraH.ma[ 10,uenroném~nt l'a cons· elllLe?J,n,gira ,t pl'il" ig1noranoe cl n?n de cuen,ceeit 11ej1uig em1ein1t, qui .ne saura.il propos déddbéiré,ae.la va S~ITl's d11re.~e à l'aciivire qu·otidiienne1'3piréo1c- payJStanaime la teirrie, ma,~s.11.fa?t ai. j,o.iirudir,e C'ltp:ati 1on ,conista1n'te idu ,de:vmr.à aœom- mer a,viec diisicernemenl S,a1t-11 tou1,ou1Jl [)fü et idtu blon o,r1cl\r,e à !s,~uv,eirar~er. rnc:on111 1aîltire ce quie lia terre désire, ce Pfüuisque j.élll11aus, IJ)lf1odllamons-le foein ,do,nite!lllie souififu,e, ce qui est néces~aireJ hauit 1'ïnisfüurteuir,,à !l'heure tmuMée. ,e,t son bie1n-êibre iet à sa 1réll1ecti:0 ·n? Sd 1déciisiveoù inows vivo1ns,d!oit étire l'a- éfait pitmsirnstirÛi,t,i,l sierlati ,t 1P'l,usap:e 3 pôtre 1a,rlden it, 11e id~fons,eiurco,n,vaincude 1,a tr aN"ai '11ar,à ]la fai:r,e pro diuire sa!l6 t ou,J,es~1eis iblonlil'eJS causes. ]',é)puisier; ü 1s,aiurrait.beau1coup mieux ,cl\arnqu,eilll,e mesl1.1[1e jQ peut tirnr p~rb deis mJadhd,n,es et dieis oogit1.ai s, priof1rer de l' a,s1s.o,oiatï,o,n oœer des syndica~· Les élèvesdesécolesrurales pilUIS au cour,an't des :propriêiilésde sOll et leuravenir so,l i'l saumit aissŒ°itir'les ouU~meset füini~ait,pa,r brouv1ar, d011!S .fes vente~de uine rérruuinêrafü'on satisfat 1Le&éllèvesdie nos écO'J.es rural,es doi- ses cliOOJrées, D' aitl'tre pairt, sa fomme ayaŒII vent à de rarres .exicep,f!i ,ons près, pars- &aJilltie. ,a,g~ ·ser f.ffil[' vde à !)a oama:,,agine ,et y co,nbi- reçu à l"éd~re p,rimlaar1e<littviŒ! _dromeshq nuer le métier de J,euirrsp:are:nts. U fa.ut bo1ns p,rindp,es dJéaolflJomie ~?'" ma1so,nsur ,dol!l!cl,et.1r fiéüre aimer de borune heu,re et d'hiyigiène,tien1dlr1aiit: pied de propreté inte!llfagieinte et donn 'les .ohlamrpset 1-eisooaupations rustira~t à l' aŒiimenfait,iion lie soin et la y, ques. 1

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Billetde l'instituteur

riété qu-i sioillltUU1edie,soolll:ditionsde lia s:a111itê. :Sla ins douve, towtes l,es inlstituti.onsindri,s)tinatiement doivent domer aux Jeunes füllles de bons et soŒiidesprincipes surd'économie domeis,ti ,que, mais c''e:5<t tout à la damjpaigin,equ'il faut s'y ap-

La ginarnidle ori&eq!Uenous venons de trr.al\l'e:fls.er a :fait coifllst ,a~,er pilurs .d'u.ne ,ce national. Uézarlde da;nis navre ,éd'i.fi Une idleispfü1smen1a,çanteis, au idiir,e des ,esrp 1rits daiirvioyainitls, est 1uine cerritiaine pHqiuer. tiédeuir l}Jaiflr ,ioiti,que ,qui p;onk beau1coup Les inrsHtuteu11s p:erttJVein :t, avec non 1 èe 1 c itioyein1;s :à :pllacer 1-eunssylIIllpafüies moins d'efüüioadfé,prép aŒ'e:r}es fils de peo.""!SonneTiis au-ides,s1us ,nios ,cu,1tiv,a.œŒrs à la vie qu' ills dloiveint ou lewrs inftéJI1êiJs des , i nt'éirêVs , g iéntémux ·du, JPaYIS. C,e~t 1}ià miener ét!a1T1t hommes·, déposer en eux , : u ne :flêlliur,e ,qu'il iffiipO ! r te de tiaire cfüispades germe1s ,qui fruiclMi ·eront plus tard. ,raînœ 1 s i 1no,u : s , v oui1o , n s .gjallider inta,ct ,et ... S'ilbs lie v,ewl!eint,i,~s peuv;ent prépa,p.peir11,eIPiié:cieux(PaitJrimo,ïne que r,er pour norllre p,ays de:s générMions de 1déveJVo 1n'01sa1ncêlb.res . cuilm}vateuir,s 1 }Yl<U 1s i1nshru~tes,phvs ap1es :nouis09-t lllégïUé QuellUe siem n, o tr,e 'tâidhe, à nous, à ta fonction qu'i;li.s d'o-iv,entremp,ldr... édlu1cateuris , dialillS oettbe œuwe de oonli] y a un âge 9~ùVavi1 lll!epeut exerœr et id:e,paria1dhèvemeint?H ne sur un eisipriitneuf, avide de au,ri,osiLé, 1~,m-Vabon s,era nullllemeI1/t nécesis.aire, œoyom,s a,vrdie cl'illl;co ,n,n,u, un siirug;uŒii,er attrait. ,d'introdluiir·e ,c],e1Il'OUNehie:s discipliC'est un miir,a,ge qui s.éduH avaŒ1tde ûl'Ü!US, l!l.eis,dlans .nos p mg.rammeJsidéjià combromjper. .On ornit à UŒltraivaü pilus fadlle, à uille p}us girarnde rémunéraüon , p1,esoosà ù'eX!trême. Le p.atriofisrne à wrnevie pihvs douœ ... D'afüŒeurs11a n'esit ipa,saffaire d''émdHion;)l ne s eŒl,s aom1me ;le ,caiTICU!l o,u],es,scim,e 1p1a ter111e eisit si i,nig;rarte,exig1e tallllt de pei- sei,gtrl ,htre:J./leis. I[ ,e,stu,ne quinteis:sence nes e,t dle sueu:ris,siou\nenten pure pe:r- 1(,es!l1a ,de senfümemrtis idlo,nt,le sièg•e e&td:ans le t,e... et JJ',onpart. E;t ,]"on està peine arir:1\/léq,u' on étoulfüied:amJs UJn monde CŒIUŒp!lmtô,t que d)a,IllS le cerv,eau. 1;l est d'une ü,ei.ntteimprêgnatic'.!l étroit, où fout est _g,êtue, cont,i,n,ueUe5'll!l"- n,elf!élsull./tat veiil1.1lianoe d!e soi-rrn!êlrrJ.e et rude sou ci dlU iqui, peu à ,peu, .comlmeg:ouitteà goU:,tJt,e, cerpain quo,tidien. Dles diffioufü~s qu''o,n g,agLnel'âme entière. L'int:eiUl.i:g1e11œ, ne pTévoya,it ,pas 11ea11dient la vi1e d'au.- fos, ,ne ~ui ,eis1t1pais iét,raingèrie;eil1,econtiri,et 'lui asswr,e tant ,p]us .dJll!feq.u'on n'y étla'i,t pias pré- ibiue:à 1son éipa1no,uis1seme11t helfüe.fülo,ral.sion.Airusi, un bon pa:ré, q,u1etO'llJtest nrouveau, que ce soni 11mepll/u1s ,ne ,sia:uira i,t ig.norer Œesgirands. dre ruair:gtes haibiit:udesà ,c:hlangierp,our Oo11J1tiédéré 1 e, Jeis 1prindpa:les dies hahiillutdlesé1l!io,i ,tes, eit que lia saine ifaH1sfde n;o1tir,e h~Sl!:oiŒ et fomtiifia111te aitlrniosphè:redes oham[)·s i,n1shbuüonsde a''Eitiat,Œesdivis,ions teret ,leur illldiépein)d)al]lde slaorée ont fia~t iritoriai1e1sdlu .pay1S.:M'ai1s ,oe n'est pais 1,pu:r,ement inte11leduiel pillaœà l' aiir vicié, aux cltaimbir ,es étro t- dans une ooJlituine ,le ,que l,e pa:tir,i!o~i~meIJ)'U'Î,sera sa fl'amtes à urne sortie d"em\piriso,ooementdu 1 ne; ,c'est lie cœ:ur ,qu'il faut ilou,dheir. co~ps, souv,Mt iiunesilleà la sianté. . . 1P1ouriquoi l'i1nrstiiflufieuroachena1,t-i![ L''ét!uidre ide 11'hfa'toire, p.a.r eXell1[) 1 Le, ,auhuit 1d',a1pp,r ,en:dre',des oeis nœe1omtpteseit. ces dlési1Ilusions? rra rn!oi,nis QJ<ou,r ,et des dlateis1q,uede 1gili or,ifier et Poutr1quoine c'ommlerurer ,aiiit-ilpas à ce 111omls iprroipos ces sagies préaeiptes: Ne 1âchorn.s de faire aimer l'œuvtre dieniosaïeux . Le ,e ide1shiél1os,e!t.des igir.anidsnomm,ers pais Œla1p;ti0ieJPOOr ll'omlblJ.'le. - « Un >CUllt aieuilistravaux, tiens vlaut, ce dit.on, miieux q,u,e c]leux ,qui, ipar ilewra'binégiation, a,ewr sdeJIJJce, lleuirls1&aorif:ices, ont hl{}tu 1'auira:s. » 1

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30 rôfüésau service ides monar 1ques étrain. giers pile-uir.ai'erut en en.teindla!Ilit la mélodie s ». Cette de no:tre « Rlanz ,deis v;a'C!lie ·e et 1fhJ:te que ipeut empiriise m~1slœr,iellis et ,eimnœr füe chant ,doit êtir,e aipjp;récié mise en via.rleu[1da1ns. no,s écoUe<s. Notre 'hiyimlr1:e ,nationail, en 1PairüouQie;r, qui n,o,i1is illai.sise il:rlo[P irudiiflfiérnnt p,arœ Que .it être sowvent i[ eis,~mail exiécu~é,dev;~a mieux ,en honneur p.al!'mî,111oiflre j,eunesse. Qu'ii !SOhl: tOIUljowris ,clh\an~ dehout, têi~e1d/éo ouiv,me. Arux'Hats -Ullis, dans chlaiq,ue1s1aiJ.te d'éOO'le<fll •o,tte ile dtrap,eau 1dù l]_)ayls.Aiu momemit ,d'entonner le dhia,ntniaitionail,le !Premi,eréllève de la dliéùSJS,e 1 e Jprnnld dans :ses mai,ns et ,va se plllaœr cfiev.a:ni ,ses ,camarn1des. Et, fla1oe ia,u dh-1apea1U, ,l;es éJlêivesfont vibrer 1:eisa1ocen~ .1Side ileiu:rhymne p·aibriotique. C1esi~ ide 1' aip;parnt, :c:Jlel' ernfantil'La.ge, dlira:.;i.Jon. Eh bien! .non, ,c'est Ul!l ,ei nseig,nemen1;t,et rr,e :r:Jii1s,oon,m;et, ~e p,lius prenaITTt _qui ,soit. Arv,ecd'esâlmes jeunes et naïVJes, c'est ein eXla !lta,nt, p,a:r des moyens .tlarngiiblles, Q1a füer.té niaHonaOe qu'o[l a-r1ri,v,e le piJluLS aisément 'à dêve. 1Les a'Il!nées :loi 1Pper·l,e :pa.inioti1sme. poo.cœlllf. s'éloou , I ,er n,oilil.lblfleuise,s, les o:rages v,e nt ,IJes h-ewr,es d''irnsttr,uotionc1v1q,ue, ,eint 1déraciner bien des qui, ,semJbJle.it ~.ill., devr:aient être p ou~ nos elle lia vie :peuiv i,meints, maiis l:es1souveni11s d''enfan. gr1ainds éllèv1es,~es pJ1us diir1e-0tem1entsenJt ce, s'i1Js solll!t em1bel\hl1s d'un ïpeu de poéccmsa.crées :à la ,c,ulfure national!,er.;ont sie, , s uir:v , i iviront à fous 1 , e s •rra,ukages. ! ceMes où i'ts pr,e,nsouvent, ô ino111ie nent en ,dtégiofü 1no,s iiflisitituti/Qnis ,. Iil en ( Bulletin pédagogique.) est aÎJilsipar ~a faute de œux q•u.i ont v,o:u:J.,u tir8.!ns!f1o,rnner œs '1,eçons,en ,de vr.ais coœrs de 1droi,t, Dansmaclasse Le iclhail1 t, 1q:uis' a1drn9se,surtout .aiu « Je vai.s vous rruconter ooe "1i!>toire •· ,cœuir, qui fiait viibreir les âmes, peut Au:ss•iltôt les yeux rpétiffllmtet un frisson de contribuer ,pour u,ne a·airge1Part,à_ fai'l'ë ,joie agile tê'lioob1ondes eit têtes brunes. Chèaimer ,la terœ nata1'e. Qu'il œlèbtr'e les res pet,îte,s comme e]Oesm'écowt:ent,leur peti· beautés ou leis gll:o •ire.s de [1a,pa.tir.ie,1le1s te âme .feorlue ~ers la mienne. Que/Lsilence. Je 1·ewr ,pa'liled'un père de ~amitle, aŒtrefois J\Oiesou '1es nri'sibesises d!ufoy:er, 1~ p~ési~ bLuveur, mainteinant a:bs.tinent;awec aŒ !pes,br,eou 1oamipagnar1de, •q,u ·~1 eg1.11e énmfüon jedevenu leu. retirai.cele 11ablle~u du, bonheur ,ou qu'it aillherudiris se, le dha1nt esit un idre'la mère et des enfan,t,s, qui ,voient l'aisance lien doux et puissiall1tqui ,e,nllacel"êlbre sais..seofr à nouveau à 1eur fo,yer; de J.a Joie da1nisœ ,qu'H a ide pJu,s intime d l,e pfos grande du père qui rend 'les s.ieos heU· reux et quj en esit 1aoit aimé ma,intenanl. rnWadhea 1u ipia1s,sé.Les mencenaires ein-

no.té ·le payis,/doit o·ôowper,une U)'Luslarg:eIP'laJce dans 1JJ1ortire en:seigm.ement.Metibne:en rieJlJ,erf torut ce qui peut ress,e:r,rer, Œes·Iieins,qui TI!O·WS un.i•ssent, Varswr cfu.ns oru1sdiivis,e,n'esli:-œpas ['omlbtreoe qui ITT. illà!1epthU'ssûir moyelll:d!efairr,e,dj!siparaîltJrepeu à IP'eu,ou dlu moin,s. d_'atfénuer a,eisviei'laies 11a nou.ne1s,liesIfrvrailiims de ,raœs, die la1ngue, die rnligii1onis?Un peul])te ,e'st to:ujownsfod s''ill •eSitguidié par uin mJêlm e i déail ,cte [iiberrtiéet de con1oollid e. IL'eŒsieiginemeçil: de ~a géographie, s,i ,souj\nmtariid!eelt oou,r,réde nomend:artulf!e,peurt dleiviern. iir wne s10,u1f,ae prtédeus,e d'attachement à •La piailri>e.Les beaU'tétsde notîre pay/s ne idioi,vent.paisservi;f; simlJ)ilemen.t de ,suj,ei d'énumêI1ation;-et~ ftes,ne ,d:oi,y,eint 1P1as .êbr,e ides ch;os,es m0:rteis figées idl.ms un1,e ,gliaciaiJ.eimmobHitlé; iù 1fout 1.eur,prlêiEer uITT:e âme, ~es fai,re :viivll'e,aux yeux ,d!eIJ!o,s élève:s,mieux enmr ·e le>sfaire ,esitimeir.Que le « v.isa,ge aimé ,die,1.a1patni,e » ne -snit ipoi,ntpour eux un rnaisrque q:u 'on, if'eg,aride .avecouiriiasiitê,mJ,üs qui n'ex;pr,~me rien a,u

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L'histoire terminée, ohaque fil!lletteéarit ses reflexions. En voici quelques-unes qui peuV'ellt fa.ire .réiillêdhi:r:

Toutest prétexteà congé

De M. l'.w1S1i:iect>eur Ris,se, dans le ,,BuJleiin péd\'igoigiquie-','les réIDtexio,nssuivantes don.t 011 l])eut :ms.si tirer prclit ai11leurs: Quia.nid:mn éV!élllemenrl: de que~que impor11:a~mue a « mieux a~mé » soo mari et les fance su,r,vient d'ans uo de nos villia,Q"esle enfants ont « mieux aimé » 'leur ,père. Où le -, " ' me1,,lle1m· moyeu de ~e céliéJbTerconvenable,mari boit, ,pe,r1soone n'est p,fos ma1 heu,eux ment est, cœume VOLUS le 51a1vez tous de donqu'eux. ner congé aux écollier:S.Cette idée defe.rmer Je ~s bien que la mère et les en'l:'écolleest /Par eJILe-mêmesi s,inwJe si réf.an11is htrent fort S'aüsfaits, eit que 'le, père a j,ouis.sa1lfe,si faci,le à troUJvie .r , q,u'elUe'remonte lût une boune aJOtiooen si·gnant ']'albsitinen- fout seulle 1:mTI1me un b01.11chon sur l'e.au et se ce. Oe n'es,t [Xl'S étoonant al[)IèS œl'a, si tous ,presmie :14vecaittendTis:seimen1tà l'esprit du ont ,pu vi,v,re J.rès h®!I'euJSemootet joyeusepremier ~nu. ment. A ceikt, ill n'y a rien à rndire, et il faud.rait aivoir I.e caractère d'un bouledogue enOe ,père de fumi,He a donné le • bon exemrnli~ ,pou.r formuffer .LJa.plus peiifo 0 bse,r~aple » à ses enfants, eo signant J'albs~mence. .Les edaubs étaient heureux, mais le man étai,! œttainem.en,t ·le • iplus » heureux.

tion.

Si tous les hommes étaient arbs!inents il y aurait moins de mafüheureux. M faut runea-cie .r le bo!UDieu que dhez nous peTSonnene boit. Re,sipectfPOUJr le [Père qui a la boooe idée de gainier son ~Dit fPOUlr le ménage, au lieu de Je dé,pe,nser à ,l'auiber.ge. ·Moi, fPOUrmon corri!JY(e, j~ ,préfère 1,a grosse miohè de pai:n au veTre de vin.

Oet homme n'•a.urait jarmai,sdû boire et sa femme et ses enfo.nrt!saurn.iefl!t ét.é tous heureux. Avec touit ·fü~nt qu 'H a dépensé pour boire, i.l aurai1 pu se fake une jolie _foT!u11e,un jolli pe~it • •cllrezsoi ». Quelquefois c'est bien la faute de La femme si l'e ltJJariboit; pa!rœ qu'il n'y a pa,s d'ordre dl'lrrs la Iro.isoo. 'Si Je pè.re u',11Vait,pas sJgmé l'abs,iioeru:e les enfantls deivien'd!I'aiemit peut-être des iwo· gnes.

Un honvne a1bs1ti11ent g:16one.raplus • faciJeroon.tsoo étemi-1:é> . I'l donne Je bon exemple à ses enfants. N'est-il pas yrai de dli,re . que de telles .réflexions doi•ven,t faire réfüéchir. Pères de famiil l e qui vouffezêtre aimés et re,,ipedés, écou1'z: ces et:fa(llt,svoiu,s eo indiiquent le moyen. B. SAVOY, inst. ---· - - -~ ......_...... ~---·---

En vérité, qllli JPO •U1I1I1ai.t se p1la.i:ndre? Tout Si la nou;wiHe %Ltr le monde e.&t s111hslJiaiit. éba ..i,t annoncée ett1 hollkmdais ou eo grec moderne, les bamlbii,nsla sa,isiraient tout de même diu premier bond et n'aüendmieut pas 1orugll!ettnjps pour dléJgdn,gollercomme un ton• nerre sur l'e,saa:J.ier eit se p,ré,cipi,ter dehms. Le rogen( fom1é à 1'dbéissainœ ne soufiile molt; I1amertntrr.e aivec l\11quelleil songe au 1eml])s,pertht qu'i•L fat~dira regagner se caohe · petit à petit sou.s le iIJl'qjet d'lll!le sdlide pa•tie de pêche ou d'une visite u,firr'e aux abeill~s e,t aux !31Pins. A dhaique oœasion cela rernmmet1<:e· une réjoui'Slsancevilli!>ageoise Olt ]a noce d'un' con&ei1Uler c011tJmU1Uai! s!Ol!ltsal!!Jsdouite des. mo1i~s pi1u:s que plausi'blleis , comme aws,si l'eica~n dllfü:iel de l'itnS{]}fofeiur ou la sdllenrui11é de carn::wa:I;la s,i,gnai>uirede l'a=is tice ou u·tl a,n. niVe•11sairepa1kiotique appellile:rut 1t1aturelJierne111t la même fOll'1malitê. ,t e,n no,s conGest ainsi que i•oa se l"f/jou.i ,Lrée.s; Lme 1Per ,so111nese met en 1ê.ted''ammncer des vaica,nœset !out marelle sur des roulle1J1/e,s. C'est enco.re bien p,lu\Sefilroyab!e Jors1que les aJlfai·J'lesse gMent et qu ',il y a du malheur , soucieux de d1an,sJla'ir. le Oonsei,!I féidiéria~ La guerre, orsus/tender·Je bon peu[Ple diura111t donne d'a'lligimen,terJkls emlb'l!aivures.On l'ui ·r,éipood en ,pJrolm1geant les vacances ei en mutti1p1fa111, t les coo.glé;saux é!lèves,et J.a patrie est sawvêe. U11 miék!Jeci ,n d/frouvre 1m sou.p· çon de dÏjphférie clhez' U1n !Patient, Ull brio de 1


82 scarJÎat1nechez un autre ou quelques sym:p: Quii n',a p,s 'VU tcmt,er soo espoiir,feuiQleà feuil]Jle? ,tômes de gale entre IJ.esdoig,ls d'un inforhl?1e Tunt de rêves d:éçu,s,pMilis au fil de l'eau! bonlhamme? Vi,te une bonne ord~11n~n:ce Ill· Da,ns les sentiers discrets, fant de ïleu.rs que terdi,ra I'entree de 'la dlasse aux ecorr1ers ralfül!l cueiJil.e ,v,i,s. Qu·and il s·agiit de lla g.rilffi)e,oo ferme Et qui meUJren~ aivecde dernie,r dhaintd'oi,seau1 tou)fes les écoles ;pour toUitle temps. . tM!aiilltenant, 'La füè.we lljjlhrteuse envah1,t Quand a SOIJ][lé pom nous l'heure triste e~ ,J.esêtalies, iral[)ll)enos troupeaux, r~au,d dans maiUJVa:i ,se, nœ canwaigne:s'lia l'uine e,t le dh,ag,rm et me· craœ notre payis d'une !e:rri1bile cait.g,slrnphe; Gomme le flot troulbilé qui baigne la falaise, Un ,remous d',limeirituime elil)pOiien·Ql!,recœUr: . . nos bvwes paysia.us, inquiet~, ~e. tournent de 1 fouis ,!es côl'és rpom aiWJleller a ! aide; les _.pou· Mais '1'01UJ11aigain se fait. .. ,Et 11,ava,~ue lo~nta~ voins iPUh1icsson.! sur .les ~ts et )'a science Bei11cecâE111emoot'1'épwe q111'elleemmene. e!He-même se d!&llare imjpU!ssante a 1rouve,r SUJr]'a mer et sur noUJs,'l''ooibl!ije:l\teses lieurs. '1 .:r:emèlde ca1Paiblede coojurer 1re_ma:Iet de / n~ au IPll-6ce miséra1b1~pe,üt microbe qui Cécile P. oaUiseta11t de mi,sères et de traca,s.. . . ~ Awc mailiheureuxhahiibants d'es reg1ons mf6Ciées, i,I rnste au mojns une fioh_e~e conso~ :RONDE ET CAIRRJEJE. Un b°'11Vlieil fation: 'les enfan1s sont en conge; a la I)re imsfüuJ!eur du furqps jad.is a1va.it .deux taibamière nowvell1equ'un quad11ït.t':Jècle au ~1ed tières u:ne ronde ,JXllW' fa semame et une fouro'hu se me:t à barver; Ja prê!ectu~e " ~aarr~ ipour Ieis d.fanandtes ei iê1es. Quand presse de fermer Fécole du vi'J.lage;si .1a_preill eX[)ll.iquai~ à se,s éllèvesla forme de la tem, aissez les.te, '.eis au~ointe~ Joreoture u'esf i!Jl3!S vl aiviaît I'ihaibi.tuidede leur montrer S'a ta?l· cales sont Ulll ,peu là pom vetlier au ~ram . tièire et die leu,r c!li,re:ReJprêseaJtez-v-ous bien A Ia vérité, .pe,rsomnen 'est ~:&se~ _nalf potLr ,la t'erre, ellle esrt ronde comme ma t,ab~tièr~. adlrmt,tre un seuJ instant l'e\ihcaote de cette Un joU'r, J'i,n,sipecieu.r pol.le la question a ,meg,wre·s'il en éi>ai~a111'rerri1eJtJ.i!, on commen· un erifaint: QueU!leesil:,la forme de lia terre? œrn:it interrlfre aussi aux gens de se ren_ M'sieiu, ellil.eest ronde pem:funt Ja secoo4re'r à 1'aulberge. . · maine mai,s e'llleest cair,r,éele d[mandhe. fédé,raJ, sa1s1 Je ne s·ais ,n1 h.11squeil ett1!lllloyé [.;'i~ateur duJt en prendre une pr.ise-· · • i • 'i 111.ere pouT 1e de $1llJllPlfi toult à cou\p d' 'un i,tl1l111lell1S'e ,se, eJt 1'iinsrtiitu'teuraussi, mai,s qui de cantoo '.d~ F riboong, et se prqp0S'a111t ue fileura:it pas le tabac. ner du. cœur au preuplleentier, de1nandai~ e ~ ,suis[llellldire toulte,s ll!s dasses sam excepti00 ; le Consel'l d'Hait n'·a pas jugé à pr:opos_de \LES QUA11RE PŒNTS CARDINAUX. donner su.ite à cette creip!loll'a(ble su~,~st'.on. Allt cours d'une (P'fOIITlenade à la Œlllll(!Ji3,gne, Eit nuis il faut bien que tes autonrtes aient 1le maîœre explique à sa petite o'Lassece que .,- ,re q,u,ell1qu,e dhOise...,__,,., ure q_u1 ,J'ai,r d~ Jiaii n ,,,e mes .• · ·sont l'es quailre poin,ts can:l\inaux. - V~us .se jiustfüerai,t ,pfuineme111t ris,que d'être m~1 acaivez ·Le Nor,d de.1vantVOUIS, l'E,sit à droite, ouei:J,Die; aŒors, 0111ne lia prend pœs, m~ns on [:'Ou.eistà gaUJdhe. Qu 'elSlt...œqiœ vous aivez se ra,11f:raipe swr l'écoUe. deruiière vou,s, Jeain? - (Le peitit, en pieu· rant:) fa{\llalisbien dirt à maman que vous ··-·- ··-· ____ ...,.-.o.------------verviez que J'ai un kou à ma cufotte!

pa,r

1

_dor

variétés

L'HEURE GRISE (Sou:met) QUJi1ù1.ipa,s entendu sottmer œtte heure grise? Qui donc n'a pa,s vécu ces joUirs de sombre '

enJlllUi?

Qu,i n'a pais,san:1g}~il.é, tooit ba,s, dians lJ!le église E,n a~'aITT~ Ja mort e,t l'étemetle n.wt?

··~ ' ECOLE ~

PRIMAIRE ORGANE DE LA

SOCIETE

VALAISAlfl'E

D'ED1TCATI0lf SION,

25

Septembre

1920

Larentréedesclasses

,qui oocl1amoottdie 'V'O'br,e iP'atr ,t. ip1u,s de 1s1o ins ~t 1plu,s,,de 1paüenioe. ,P,airvotre ipirièo,t,œ 1dou,œur. rv,011.1is 1p1ouw,ez A Fép1oqu1~,dieIlia 1ren1brée ,cl! es ol1aisses, ifle,et [J1air11.n die v,os iéllèV1es que l'EcokPrimaire ne 1oroi1t ip1ashoirs, de s,ouvent1obteniirIP~UJs, mory,en:. prOIJ)o is ,de raipipe!e1raux 1m~tliituteur:s et pair fout a,uibr,e auxinsltiltutrioes ,qu1e1ques ,u:ns,,de l'eurs P,wi: squ,e a',enfaJIJJt·est 0S1sie111Heil1l1eim1en devoirs,en:ver,s,Ji es ,enfairnts ,co'11Jfü.lés à leurs imi{Ja1teu,r et ,qiue :)'ex·em[Pilie enitimiî-rue , H

fau~ ,qu,efirnti'tufour soH u·n rvrn1i' modèD''ab01rd,,q,ui'i1s:se 1pe,1,sua-denrt: qu'Hs l,eideJi:outes ks verih1s,ch,r1éti,ennes, et qu' &lllllt1p1J,u ,s ,que de 1siiITI1pleis ·emfPwo~iés 'Slala- à 1 ,'ex,emjplede S. :P.aiuil,i11puis,s,e dir,e à riés;;i,ls ,siontUres,substituts ,des pialf,en~s,1 ·setsiéllièV1es: « S,o ,y,ez mes iimitaiteuirscomlt.s:aiu'XHi 1airns des, a1utio,r:itéiseoclés:ias- me j,e 1}e'Sll'i:s mo1i'-même dieJiésu1s~Ghrlis.t.» tigll!eset dvi,J:eisi ida,ns ù,a:fomraiti,011;· de C'esit de ll1a, .!f)!l u's 1h,aiuteimp,01r,uan1oe 1pour l'homme, ,du 1chretien et ,du1oiitoyen; du J,u,i,de veillifor 1c0011sbamment ,siwr isies1 pa,auœèsde lewr :trav,ai;l ,déo1en1di I,e bioruheur 1I1()l les, ses ,démallîCJhes et toiute sa conduide,I;eœrs iéilèv,esi 1pot!Jf,lie te111tl)s 1et ipowrl' é- te, ,cJiete1Jle s1oc ·te ,que [li,en,en :t,uin'étant tmi11é. u ru 15 ,ujd de lllJauv,ai's , ,exempie,,fil I1J'aiit [;a, mil& s~on.des insfüufou111s étia1TI1t dli- pa,s à 11edou:terce:; teririMes, meooœs1de Yire,i1ls or11t,bes:oin ide g,râioesde ch01x ~a Viérhliémême: « M:al1het1Jr à Fhomme pouir Ilia111empliirr{)o,nvitmia ·balement,,et ces IJ)'a )r 1quli:I'e :sicairnd011e ·arriniNe. » AU P)ENSIONNAT . - Lu,cien,ne est à Kfâ9es inei1'eurseront ,aioo(}r,dées . ·qu'à 1,a !A llia 1prière ,eb ,à 1'eJOffiI1Jp1e, 1 ''ins,Ntu:. et fait des ~fficuO~és pour _pren· <On<liition fi11ijijm1e,rie ,qu 'ilis J,es dmuandent. Pliiez 't-ewD ,do,Îlfa,j,o,uter 11'ens1eitgniem. e1J1t,mais dre un mëdliœnrent: -- Offre~1e a,u petit Jé- Î>nc,chiensdnsMiUü,UJrs, ,prr-i,ez ,avec fier- 1un ,enJ9eigruemeni 1r,a,is ,onrné,,s1ollti,d!e, ,pra~U!s,lui dlirl:-on . - Oh! jamaiis, c'esit bien trop Yfflr,ipirii~z :s~ns œstse 1))0 tm1 vio,11:s ,et Hq1Uie, ,ca;pJalb/V e ,de ,former des mtem'b:r,es mauvais /POU'f 1ui. «->ur vo,s chier,sélèves; l])fl~ez .dru,ne ma- u1H'1ies à fE ,oil1ise ·et à a"Etat ,er no,n de ... ,..... tière fouie pa1r~i1cui liièreipo;u1r ,l'es enfants œs lhommes",qu1i:, 1enfil~s ipair'un ,peu de B')tlllS.

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