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BAN~UE eANTONALE
nu UALAIS . SIO
Agences à Brigne, Viège, Sierre, Martigny, Salvan, REPRESENTANTS à Ritzingen, Lax, Mœrel, Wyler tLœtschen} Loèche, Nendaz, Chamoson, Bagnes, Orsières
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Médaille d'or à l'Exposition nationale suisse de Berne en 1914
Publication fondée en 1881 _L'Ecolt> primaire don~e. ~ne .dizaine_de livraisons de 16 pagesJ la couverture y comprise, ·et · aÜtaiii ctèasuppléments de 8-16 pages pendant l'année ordinltire (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).
Par an: Suii!Uie fr. 3.50, Union po11tale fr. 4. Les abonnements se règlent par chèque postal ne 56 ou à ce défaut contre remboursement. Annonces : 20 cent. la ligne sur toute la largeur
Tout ce qui concerne la; publ.lca.tlon doit être a;dresaé directement è& son géra.nt et loncla;teur, M. P. PI~NAT a;ne. Secr, a;u Dépa;rtement cle l'Instruetlon publique, è& Sion:
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cernant la création d'œuvres de jeunesse. tBien que rl~ 'vénéré Ohef du diocè-se se soit a·dressé spécia•lement, pour les promouV'oir ou les organiser, aux desservants de paroisse, nous savons qu'il compte également parmi les auxiliaires de ceux-ci MIM. les Instituteurs et .MeSdames les 'Institutrices. A de nombreux titres, en eHet. les humbles et dévoués oionnielfs ·de .t'êduca:tion populaire ont 'leur plaœ marquée oour rempllir ce rô[e important aux côtés 2 Subsides pour soupes scolatres..des hommes et des femmes de cœur. Or;ng.es ll9 .65.- Sierre 23•4.15. ~ Stsommaire du Supplément No 4 d'action et de volonté pour atteindre Luc 19.65. - ISt-Malftin 312.90. au plus tôt et efficaœmnt le but oro· (3 annexes 'de B.PaRes) Au. . B 30 Saxon 137.05· Malfhg~y-< · 162· · -V 1-d'llhez 167 nosé. L'intervention du personnel en~ G roupements cathoihques. - . a hrist _ Nos homes smsses. Oh:ampery 199.80. seie-nant pour ·ta marc:he et le succès de tour du C . · - 'V.âme _ ILoué soit · jesus-Chnst. telles œuvres est tout indiquée en pafr. 25. (Bulletin off. ldiu 24 maTs.) de l'enfaJtl:t. - lLe b.Mon de ~· joseph. reil cas. là surtout où les maîtres · et . --o~ILe devoir. - 'L'école. d~ Vice. ---;A Ne maîtresses d'école étant domidliés dans conecte pour les pettts affamés l'endroit même, peuv•ent s'empl}oyer nen.dites 'Pas de mail. - iLe Orédo de 1 ame russes qill souFfre. _ IPrépar,ons . le grand dant l'année entière à secon,der :MM. .our - \La Tecrue. - ,Le JOUr de .la les rév. curés. soit à faire .1 leur tour 'De dililïérents côtés des menfures .,du h~e. _ !Un lâche. _ A vos souhaits. enseignant nous :indilq~~.rent, avec Pf~et~rreiOn'tantl rruvre d'apost01lat. ainsi qu'il convient ~ des écluca·teurs et à des éducatrices •mentionner OOUSI notre Org'~e <iPl'ntf!'• - V'a'fiétés. rle la collecte ordonnée en ~ovraiment diR'nes de ce beau nom et bie1 par 1e r>é!parte~t !J?oor le , • r~nétrés de leur noble vocation. petits Russes decunes par ~.. sommaire de la couverture .A nrooos de l'initiative éniscopale, de ldé.[iêrer à lei\lir dê;li~, l~tttme '" directeur de l'Ecole primaire :1. puCorufér·ences d'institute~s. - Collec- nous attenfuons d'avOir re~ ~n d let estimant .que la IPubli!Caüot;t e hliP sous ses initia1es ,dans différents te pour les petits aHame:s russes. ' rtiells et ilsoiés ne donnerai~ ~s iournaux du canton, l'un ou l'autre ::JrBMiments et ~ourpes scolaires. - Œ,,u- romp 's'l~Œl!Ais J?'l _ ,_ ~ nrêtendent aJVOlr · t ,..,,.,'IT<~rm ticle de cir·constance. S'il les renroduit .vll'es de jeunesse. - APP?rtons notre satiSfaction a lli1.(\l e ,-ment diroit toutes les êco~eS: ayan :miourd'hui dans son organe. ce n'est concours .aux œuvres d~ Jeunesse. _......., ,.,re h'lllll13!mtalre. Nou1> pour c"'"'" œ..,. d poids ooint. qu'on le veuiHe croire. par vaine Valfiétés. - Bibliographie. trions au\tretJlent user de euxedett ~atisfartion d'amour.,propre. mais simdeux me911!re1S en mettant en v e ' n)Pmen.t pour associer sa mo'de..c;;te coltain nomlbre d'inféres~ pollŒ' en laboration f1 C!eHe de tous les l·aïques dans l'ombre, qui m~Itent toUlttion conférences d'instituteurs ron-viés à pr.êter leur concours clans les être 'les ihonnetlll'S d·.ooe men nrntll' st-Maurice-Monthey ~--limites de ,}eurs forces ou de l~ur si'Oo."" ,..,.., 00 •..,...,, r-- de pattenœ · · encore ,.....tnn!e ILes instituteurs de œs d~ux districts l!ou~ le monde troUJVe [CJ. son ~~..,- · tuation. .P. .P. (qui forment l'arrond. occ1de!1tan au~ ~ ~ · ront leur lféunion de cclte annee le m~~ (Conresponda!1oe 'de 'Sio_!!;.) d.i '18 ·avril, à Vernayaz, ·sous }. a presiœuvres de jeunesse dence de ·l'v\'. Plnspeoteur Abbet. (Un mot au personnel ensei~nant) Oans ·~on beau livr.e. «Pour l'Ac- ( )tion ratholique », MQ.'r Oouroud a é'Les membres du corps les lignes ci-après hoones à mlêdiprimaire v:rutaisan ont pu -··•·nn,,r.. Bltiments et soupes scolaires et surtout à mettre en pratique, à lectuœ de leur organe et . ~ 1L;e Département des Finances est .ap- la ,.,..,nui de l'.aPtpel 'adresslé :pav S. O. aussi, l'appel de S. 10. Mgr Ble er pelé .à payer les subventions sca.laues
, munes· ~uivantes. de 1a aux ·C?m , 921) : sommaire de la reuille principale ci-apres . rpadie ,française du canton ~'P- 1 ···r' pour construcüons seo1!IL· tDévotion au \SacréJCœur. - Pftan 1 . A rrte e 00 fr Chrpd'wne leçcm sur l'adverbe: - 'S. !?· 1~ res: - Ohermignon 15 . - . pape 'Pie X!I et .la formation des msh- pis 4219 iT. - Miège 550 fr. "'-: Slerre tutrices. ~ 'La poudlfe aux yeux. - ~u 867 k - Ayent 429 fr. - Herémentour d'une école mixk - ·La routine. ce 873 f.r. - Sion 5·43 fr. - Q()n.if1ev 3083 fil'. - 'Véhi!OZ 94'5 k - Orsmre~ 'L'endiguement d'un tor~rent. élève n'est !pas intelligent. " 106 fr. _ ISa,lvan 3000 fr. - Ohampe ry 104.9 fr. _ Gollombey 1·87 fr. Variétés. M·onthey 18,000 Tr. . ---o-
«!Cet
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Mgr ~Bieler, évêque de Sion, dans son Mandement de Carême de cette année en vue de •créer et de murJ.tilplier ·drans nos cpa:roisrses des œuv·res •de jeunesse : «Nos eSIJJéranœs se changeront en ,, réa.litrés IQU!and les pères et mères de » famHle lfemp1iront tous leurs devoi·rs » vi'6-à-~vis .de ~·eu:rs enfants, g:ran'ds et >> petits, qu• and' 'la jeunesse voudra se » Laisser former et conduire; tqulanid les » bienfaiteurs Ide n•os œuvres oatholi» ques taupont :oompr,îs 1quel champ » V·aste et féconid s'olffre enc!Ore à leur >> .chall'ité. 'L'h'omme d'action doit sa,, voiT pourquoi ·et comment i1 doit ~'in » téresrser là la iformati'on Ide œtte jeu» nesse 1q ui est tlla réserve de 'demain. » H n'.est jpas .de <lause .qui mérite da>~ vantage sa symp.a'thie et son dévoû,, ment.» Dans œtte question 'd'une :imrp!Ortance ·ca.pi:ta1e, il 10onvient d'·abond ·d'examiner quelle est Ia formation néce~i re à la '}eun.eSise •catboJi.que. Avant tout, on ne perdm 'j am'a is de vue ce noble et véritable brut: fiormer Ide v·rlais chrétiens, •cathoU:qures ·oonv:airicus. et pratiqutants. AjoutO!Ils, parœ \QUe œs ;points sont t11op :souvent négligés, que ida:m; cette p11aHque rrelligieUJse il faut oomIPrendre les vertuls de justice ei de c:har itê, •Paœomp1is:sement fidèle et exad des ·devoiTs ki'étlat. Sans do•ute, i]J'néserver 1la jeunesse des dangers de 'coiTuption intellectuelle ou momie, c'·est ldêià un tmvlaiil furt impartant et mérHoi:re; mais tant id~ef ·forts tser.aient inuti~es si l~on ,ne visait en même tem<ps. à construiŒ'e l'édifice S"dlùde Ide 1l1a f1ormation 'Oh11étienne. En se ·con~entant !d'une entreprise de conservation on n'•atteindrait ;que t1arement un hut bien ê!levé. 1L'eX7Périenœ prou'Ve, •du ~reste, 1que les œuv:res 'qui s'~·rrêtent à cette étape, w hien sombr.ent lamentab[ement, ou bien ne donnent qu'une éduCiation re1i'gieuse ou soda:le incom,p1ète. 1
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Or, pour que la jeunesse soit bien nel~e qui doit surtout viser à faire con· •ne prévoit pas la jeunesse ,mais que tout par les objections courantes sur le formée au point de vue Teligieux. elle naître •au jeune homme le •plus sûr moson eJqJérienœ de la vie n'a que trop manque de temps, sur le local, sur les doit -d'abord être fortement convaincue yen de rempliif, le ploo ublement poossujet d'appréhender. Il sait que tôt ou ressources, sur les éléments, sur la préde sa foi, ,e n sachant qu'elle est fondée sible :powr lui et oon l)lfoobain, ses detard le souffle de la l])assion et de l'in- tendue suffisance d'une bonne école sur des raisons valables toujours et voi.n:; .d'état. Le •cathOlique 1qui, to.utes différence, ou le vent de l'irréligion, ca tholique; ce :i'lllt là des obstacles qu' partourt. Cette instruction religieuse est choses ég:ales id'lailleurs, exercera le voire même, hélas! de l'hostilité reli- un véritable pasteur d'âmes saura dégieuse, peut venir déflorer, dessécher, daigner aussi bien que surmonter. de ,plus en plus- nécessaire. Pour lutter mieux son .devoior 'Professionnel, sera contre les périls qui les menacent, nos au.ssi le 'Chrétien le 1]Jlus sincère, le cidisperser ces âmes auxquelles il avait nu moment que le curé aura le soujeunes gens ont besoin de solides con- royen Qe !PlUS• ·consildiélré et le plu.s injusqu'ici prodigué les soins les plus ten- ci de conserver ses enfants de la previdions. Catholiques de surface, plu- fJ.uent. dres. !Son désir est alors que de l'union mière communion, l'œuvre sera déjà sieurs d'·entr'eux, même dans les clas· •En 'laissant de côté tous les aubres persistante entr'elles et avec lui, naisse fondée. Ce dont il se préoccupera alors ses intellectuelles, sont à la merci du points de tvue •se:oondaires, Œ"emanquons ceHe for-ce de résistance au mal qu'il c'est, en dehors des distractions nécespremier hâbleur venu: i·l s ne savent que que œtte iiormation devrait être donnée est inutile de chercher en dehors de la saires, de leur formation religieuse, répondre et se mettent à douter de l'en- pa'f la famiUe, mrus tf01p souvent eHe religion. par 1la pratique intelligente et ferme seignement. C'est que trop souvent ils la nég-lige et même l'·e ntmve. De son des exercices de piété et de la réception De là le besoin toujours plus impén'ont pas profité des leçons même ex- côté, l'école. à !défaut de ta iamille, est des sacœments; leur formation morale ceUentes du catéchisme, ne soupçoninsuffisante, •surtout !Parce •qu'ell;e ne rieux à notre époque des œuvres du gen- par des avis et conseils affectueusere qui nous occupe. Pour la préservanant pas a•lors la nécessité de défendre garde pas le jeune homme et la ]eUnt! tion comme pour la f.ormation du jeu- ment donnés en (:Ommun ou en parti1ewr fui dans ~ewr inteUigence et dans 1 fil,le jusqu'au temps des plus rudes ne homme, leur nécessité s'impose plus culier, leur formation intellectuelle par leUŒ" !Cœur, en théorie et en ~ati'que. épreuves. que jamais, à tous •les prêtres vraiment des causeries et des conférences sur des · · .1 d · L'air ambiant, celui du monde ou du soucieux du bien spirituel et de la pros- sujets actuels. A 1a formahon mtel:lectuel e 1 'Ott .. 1 t , , lement t 01·n d'être fa ' · t 1 f t· al r·~ · stec.e, es genera, • périté de leur champ d'action. En En manière de conclusioo de ce nous a~ou er a orm_a zan m~r e. \..A: ~ut vorable à . la santé de ·Pâme. Il faut ~!lan que I.e 1plus a no!re Jeun. esse, 1C est 1 d an 1·sation capable de pro· effet, au sortir de l'école ou après la vel article, son auteu-r, en insistant sur Ua volonté. la JV~o1onté, d~ans toutes ses ,one une ?rg première communion, x~enfant livré à ·l'imporf!ance exceptionnelle des œuvres manifestations. digne du cll'fétien, ~1 . teger 1~ Jeunes gens contre les danlui-même est généralement exposé à de jeunesse, aura garde de sous-entenfaut chercher par tous les moyens à la gers 9m 1~ men~cent et ?e comp toutes les défections, s'il n'a pas un lo- dre que leur création incombe aux prêrelever à La ·'rorti~ier \POUr en faire la l leur educahoo. f2 est le role e~ le cal où venir se reposer en saine com- tres seuls, car elle s'impose encoœ aux tour i~eX!pUgt11aib1e du idilsciJple sancti- · des ~u~res de J~unesse, dont 11 y a pagnie ou près du proêtre, l'ami de son hommes de cœur et d'action. Si un bon fié de N. 1s. j.-C. Les moyens les plus ! ra d a!1leurs heu de repader âme et le confident naturel de ses difchrétien doit s'intéresser à toutes les . . 'té et 1es sacremenv::. ~P. P. !pUissants sont 11a pre ficultés. œuvres de la paroisse, il en est une que de Pénitence· et ,d'EuJohlaristie. ·• • • - . Voilà pourquoi il est si désirable sa qualité de père de f·a mme doit lui On ne négligera rpaSI non :plus la forque, déférant au désir exprimé dans le faire .préférer entre toutes, c'est l'œu· Apportons mation sociale, cM 1es préoocwp•a tions dernier Mandement de Carême et ré- vre de jeunesse: patronage de garçons notre concours en œ !dom~aine \SOnt devenues si g;rapondant à l'appel pressant du Chef vé- ou de filles, selon le cas. Avec la pronéré et avisé du diocèse, nos desser- pagande qui se fait partout des idéec; ves et si universe1ies que nul ne sau- aux œuvres de •~n• vants fondent dans toute paroisse, si irréligieuses ou immOfilles, toute la jeu· rait 1es dédaigner. Certes, il ne fau· drait pas l()f()ire nos <Jontemp of!ains humble soit-elle, une œuvre de jeunes- nesse d'auJourd'hui est exposée à pe-rOn nous écrit de Sion: se de plus ou moins grande envergu- dre sa foi et sa vertu, et on ne peut la dénués tde œrtaines notions eJCades sur Lorsque le moissonneur a re, mais où le jeune homme se sente sauver ou la préserver que par des les vertutS tde jutStice et ide cllarité; sua: la responsabilité .de tout acte, privé ou sur le sol la blonde récolte, son lui et V·ienne reprendre des for- œuvres post-scolaires. Celles-ci doivent pour les •l uttes morales ou matériel- donc nécessairement éveiUer le zèle et public; sur les précautions à prendre mier soin est de la lier en gerbes des pour fetJl.IPêcher de devenir le poUT résotlidre Ta terrib'le lutte des clasà soutenir. Pour atteindre plus tM se condlier :t a co'alaboration des vrais des intempéries et la proie trop efficacement ce but, leur zèle et leur caltholiques. A la conjuration du mal ses et a.tténuerr- 1es misères <OOcia,Jes. ire ne se laisseront pas arrê- il est nécessaire d'opposeT la conjura· C'est bien à Ja jeunesse ·q u'il .convient des tempêtes et des ouragans. prêtre, ouvrier du Moissonneur par la forme ou le nom à donner à tion du bien. Le prtê tr·e, n'y pouvant sufd'infuser œ « s·e ns ,90eia'l , 1qui ren'd œuvre, patronage. cercle ou so- fire seul, a besoin d'auxiliaires pour lui contemplant sa phalange de toute vie uti·le et féoonde. ni par une organisation trop sa- prêter leur concours, et le devo·ir de C'est encore un )peu une êdu~ation communiants, envisage souvent du danger ou trop administrative, ni sur- ceux-ci est de le lui apporter. L'aposangoisse l'imminence mor<lile que ceM:e formation profession-
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vn tolat ,certes, s'impose aux prêtres plus qu'aux laïques. Mais ce n'est pas assez que les prêtres soient apôtres, car la moisson, étant toujours plus grande, requiert davantage d'ouvrier·s. Les laïques doivent donc entrer dans la lice, venger la religion, secourir les âmes, arracher la foule aux missionnaires de l'impiété et neutraliser l'apostolat du mal par celui du bien. Par leurs dons, par leur sympathie, par leur activité même, ils favoriseront dans les paroiss~ l'écllosion et le bon fonctionnement des œuvres de jeunesse. Ainsi, à leur tour, à l'exemple du ditin Maître ~ que tout chrétien digne de ce nom doit s'efforc·er d'imiter - ils -passeront en faisant le bien.
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P. P.
Bibliographie L'ART DE COMJMANDBR AUX ENFANTS, paor l'abbé H. IM'oriœ, 1aureat tele l'~ démie frnnçaise. - Un vo'l. br. 4,50. Av•i gnon, Aubane1 frères. Ce liwe w.ut bien p1u.s à lui seul que certains gii"OS vollliii1es. Le respeot s'en va, l'en· fant n'admet plU'S i)a notion de l'autorité, c'est un JiaJi. Cerf&ins trouvent qu'i1 fau1 se plier à cette fantaJis.ie, et puJsque pour t'en· bnt l'a;u1orité n'existe plus, 1'êducatewr doi1 la considérer conune inexistante en droit. A que1 gouftre condiuit parei]le ihéoriie! I.e sim,pie s,pectacle de la soti~ aJCtuel'le suffit ~ ~e d~nontrer aJVeC les rélvOiltes de ses fi1s, !l'insubordination de ses êadl·i ers, les grèves à jet continu de •ses ouwriem, le mépris intime de se·s ditoyens pour tout ce qui fouohe :mx ,p<>lllVOÏ11s étabti.s. C'est contre ces errements de l'ind:ilvik!'ua1isme que s'~ève l'aurteur. Allrinnre.r nettement te principe de l'auiorifé, en ;prOIVoquer la con~i'ction ·d ans l'élducateut et dans l'enlfant. donner artll premier tous les éléments qUii lui sont néœSISakes pour faire du second n10mme viril de demain, telle est en résumé l'élconomie de cet OUiVrage qu~ 3ipporte au pr~ème de l'éducation une solution uygente ... ..
L E SAC~ DE ~IRM ATION. Doctrine, Cé'n?monies et prières, ibé J. &rtl - ·Brooh~: 2 fr. - 1\.' Vlli!UVliLII Au!banet kères. li est certaines pratiques es.sentieMes de religion qui paSISent facilement ü'1aperç1ll~ des tij:lèles lql!li n'en possèden[ qu'.w1e iVague notion. De ce nombre assu.n3ment le sacrement de Confirmation. Combien portés à ·Je regarder comme une œ.têmon~• pure~nt fa.cull1athre, comme un à la première communion, introduoii par sage mai·s dont i:ls ne ·conwrennent ni la tée, n.i la m9cessité. On ne saurait donc propager cet OUJVrage dont la pub1icaiion pond à un reriWe besoin ~ ~.'époque d gnorance relitgijeuse où nous viwons.
TOUT ce qui
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MUSIQUE
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ou concerne la LES
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COURS DE DICTEES M!USICAILES pour servir d'introduction), mélhode de Jaques-10a1croze, au Conservatoire (le DlUiSique de châtel, par M. Louis Hammerli. teùrs Fœtisdt ·F rères S. A., La111Sannt!.• Dans cette petite brochure, l'auteur fort judicieusement les 'bases naturelles lesqueiJles doi•vent reposer les c Dictées sicales. Ces dictées, dont quelques exemples rent dans cet <intéressant opuscule, par leur variété, tous les éléments nrr•n..... développer le • sens auditif • ; elles N . ., ....... . . égaiement des • tests • au moyen aesque:at est fade de juger des apti!udes l'élève. !L'exposé très dair de M. Louis oermet d'augurer fa·vorablement de la ~atioa procha·ine du • Cours Ide dictées cales :.. ...... t
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