No 14 l'Ecole primaire, 31 Décembre 1906

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LE FOYER et lesCHAMPS

cgau dé beurre, du cerfeuil hâché et des croûtons cuits. Verser le potage dessus.

Siropde poireset pommes Cette préparation de ménage, Rpéciale à 'la Belgique, se fait de la manière suivanf e; · Des pommes et un peu de poires très mûres, sont coupéeP, san!Î être pelées, en petits morceaux, on les place sur le feu dans une bassine de cuivre. Quand elles sont bien tendres, on les presse dans un petit pressoir ou danti un linge, et l'on passe le jus au travers d'un tamis. Ce jus est soumis de nouveau à la cuisson dans un récipient de cuivre, jusqu'à consistance du llirop; avoir soin d'écumer cette seconde ébullition. On peut ajout er un peu de 1mcre blanc, suivant la douceur des fruits, par exemp le 25 grammes de sucre par kilog. de fruits . Versez ce sirop dans un grand pot de grès ; il rn conserve indéfiniment dans un endroit sec, et s'améliore par l'âge.

Pourcuire les légumes secs Pour cuire leR légumes secs de façon à ce qu'ils devien.nent tendr es, comme par exemple lf's haricots, on y ajoute souvent un peu de i-oude. Le lég!!me traité à la soude prend volontieri! un goût fade. Si la qose de soude est un peu forte, cela peut être en outre, préjudiciable à la santé. Par :ontrP, un peu de sucre sera préférable. Les légum es se cuisent beaucoup mieux et prennent un bon goût. Il va sans dire que le sucre ne tient pas lieu de Rel, et qu'i l faut sa.Ier les légumes comme à l'ordinaire . Bœufbouilliau gratin Prendre une cuillerée de farin e et la délayer avec un morceau de beurre gros comme une noix ju squ'à ce que celui-ci soit bien fondu: ajouter 1/ , 1. ou 2 poches de bouillon, mais peu à peu et en remua.nt toujours avec un fouet de fer a.fin qu'il n'y ait pas de morceaux . Assaisonn er la sauce avec une pincée de sel et une 1>rise de poivre et lorsqu'elle e11tcuite ajouter un morceau de beurre frais. Couper le · bouilli en tranches ; les ran-

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ger en couronne danr, un plat à cuire; arroqer cette couronne avec la sauce blanche que l'on a préparée et que l'on a colorée avec du caramel ou du jus de rôti; semer dessus un peu d'oignons et de cornichons bâchés et du persil ; saupoudrer avec de la panure; arroser avec de la grait1se ou du beurre fondu; mettre au four et laisser jusqu'à ce qu'il se forme une croûte brune (environ 15 minutes).

Dernière l.ivraiNon de 1906 Foyer 'et leN Cl,ampN

ce N'O Le 2ie année dans

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(2 livraisons)

31 Décembre 1906

,oe putmaire -----=---------'

Variété L'appélitrosse On nourrirait trois Français, deux Anglais, un gendarme a.Jlemand et un petit Suisse avec ce que mange un vrai Russe. Le climat poust1e à cet engouffrement formidable . Un estomac vide e11t incapable de lutter contre le froid. Et non seulement il faut le bien doubler de choses solides et grasse&, mais encore l'imbiber d'eau-de-vie, de vins capite ux, coupés de liqueurs qui réchauffent le sang . La ,ration d'un Russe malade, en 1815, dit Brilla.t Savarin, aurait grisé un fort de la Halle de Paris!

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Recettes diverses Humiditédes murs Lorsque l'on doit habiter une maison nouvellement construite, il est prudent de favoriser le desséchement des murs le plus rapidement possible. Pour cela, brûlez dans chaque pièce bien close 2 à 3 kil. de charbon dP. bois chaque jour, pendant deux ou trois jours. Si trois jours ne suffisent pas, recommencez pendant quelques jour s, puis aérez fortement avec courant d'air pendant un jour ou deux. Vous n'aurez alors plus à craindre l'humidité. Pourempêcherla fuméedeslampesde nait Il faut prendre une éponge de 10 à 12 cent. de diamètre, l'imprégnerd'eau pure et la suspendre, au moyen d'une ficelle, au dessus de la flamme de la lamp'1 à quelque distance . Cette éponge absorbe la fumée ; mais il faut la laver chaque fois dans l'eau chaude.

L'Ecole primaire donne de 14 à 16 livraisons de 16 pages chacune, non compris la couverture , et autant de suppléments de 8 à 16 pages pendant l'année ordinaire de 12 mois commençant le 1er Janvier. Chaque mois il est en outre apporté un supplément illustré de 8 pages intitulé : Le Foyer et les Champs.

Suisse

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Tout ce qui concerne let public:ettion doit être etclressé directement à son géretnt, M. P. PIQNAT, 1er sec:rétetfre etu Dépetrtement de l'instruction publique, èt Si~n .

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Sommaire

de cette livrai8on. P arn,ilfo et E (',:le ( s1ui1t2 · d:u lllR\Ppori _d!e1vf. pe1all·oie). - l!:par_qnt' scolœire. - Chant, Dessin, Gyrinnas . :iq11e ( r 2-S lbrn;é cl'lllil!eciir 01. 11lacire) . L_.écolegardienne rm l'école de .ioic. --: Pow le styl r. - M i.ette.-;pédaqo-

r,eg,:H'. d des noite.s ,pédia:go,giquies, ,c•c ,JJes obtiennes J}ar les. r oor,u,e-.;,a-u po.iitt , ,rle vue de 1e.wn:;c1a1p!ilôt,\s pli:"s,ifl'l1•:::·;-; tdt<-· in)K>va.ti.on s,e i1éfa1l is2, ce ~i'lt··~l un 1~1,0.tLf d-e pilu1.,,~le vieiJiei~· i'1c~ q,u,t} 1ws Jeunes g·en s t:11sa2fllt e!t,allernent bonne fi g1u r€ ~IOffiGoe 1,a;iwo :ï-t.

xxvme année

810N, 31 Décembre 1906

L'ECOLE

PRIMAIRE

ORGANEDE LA

SOCIETEVALAISAlfliE D'EDUCATIOli

[J'']1te,.

F n s11p1,lénieut spécial: La Cr1i,,s,::, rle retraite devant li>. Grn?1d Cm1seil. - Nos 1·e1,uP.svhlngo.rJ11.ue;; ( einc,Œ1 ai_rc <lin Dépa,r\bemeint am co.q)s cmse1gna.u.t ·pri ma.i,ue). Sommaire du Supplément (N ° 14) Le cimetière . - · Ceux qni aident. - De que: côté? - Bcmnndres m1i~aw.c (il su iv11c.) - L es malades ri ip c~·mvaque. - L'épar911e da11s la famille .. - L 'a'l'l;i·e vo ·rte des pommes mms pas pour z,11i-111ême. - L!/ p_lnnèteJi1.7?ite·1. - L es yeua; (le" écoliers. - Pl its haut! - Ce q11'il fcwt c:ux dispan1s. -- Val'i.éfés.

Avl•

Important

I.ia 1,·e li v,r1a ri1.31on·die .J1anvi er d ie

V8col e 1)1'imairc iaippcmt era Je 1t.itr~ et ),ai taible die., matiè1·.es 11 1101tnl'.a1nn 6.e ]9 06.

Le cubage des bois. - (CorrJ . 'l',rès srn.rvent de .sim1ple1s JJ!M~iim1- · Jie-Ps .sont emb ar T,asiSiéB,am , Hll()'!lll(']lt de l 'a1chal ou c1e la vente Ji'utw p i ère de ho,is, 1-,~11,ce ouie k~ me8•Utr!a,n·e cbt,, c m·; 'D1ro~ v,ôl1ume de c·e1 lc~ci el',1tt,oll.l, blèm e ;1 ré.sondn"e ,pou,r e,1L-:. Pour· en veni r à hou ,t il ex is,te ~,a-ns d,o,uie cl t!iS om' 'l'lngc,s StJéciaux, rn,a.i.;; o,nc 11l'J11 Il 'a pia.:, to ujO,U,l''S SOllUS •]1ama,in , 1Sli.lll"to,u,t q11'.i.ls S1o nt rein génét1a:l co1î:te,11x et p e-11 portaüfs . .AUJ9S Ï 3JVOUS -UOlll'S \'11 a:,,1ec d!'auta ,~t plus ,d,2:p1a,vs~r1·A_qe,11da rln V cûin3 afPn }orte;r daœ ~,n é,di1ti on de 1907 •wne heu1r:eu3e inn •orvëlüo n :\ cet éga ,1d1i. L' on v nrlc1 u,vera en effet, pcxu,r'ln. p c fois, ·,unre vina;b~in<' de pa ges renf er:ma1nt,,ar1.11 s1.siicondrc11 1::;é et .suh sitarnti el QIUtep1):s:sii.b le un 111 eüt utba12,·.e aiv.ec 1:ia,h~,U~s ,i31on r t raité de -c, les bo,i.s a.ba:1,tus,J.n,ia:cllr'ÏJerrs, p,l,anche::; <:~boi s s.ur pted. D_~ inldiiaaj;iom F· c~en ~,es et noos clanmes permettenlt de ·1JT" .e:;: · en <)lntue le meil1eu,r parriti de ce tt e int ére;;i:siant e niati.ce qui corrt~titue un e pa;r,tie ,a:bS101 um,e,nt nem,ve d(• l 'A g 1:md1Jdit Val(!.iset q,ui n e fign.ue d.:?. n s ancnn a.nl.1r.e.

Conférences d'instituteurs Coiirs scolaire 1906-0'l ( S uje,t à traiter) }(oyens à cmplo.yer ,pair l 'ins:titu teur P.?'-11'fa ire _aiimêir l•a p a:tr,~e e,t }}~T smte le se~·v1ce m ilitari-re oibi i1gato11ue.Çeit ,ens e1gnement hien do!Dné, Asenda du Valais 1907. q?el1lemfl uence exc r,cer!a-t-il da,n s ·l!a VIe tout en ti ère -d!uci'toYeli c.ommc Cet 31g•<md.a "·ient ,de· ipama~trie,eit du so1dat '/ · lets Si0011scTi1µ:te111ns etornme ito'UJs ,~wtres aohet;e .U:1'6pffil/V,en,t se l e 'pjliO.CJ Ullier dès aujou1r·d ~1 rni aux diépôts'et ccxnd i tioni.s Livret de serviee . or1dti.llla i1:nœ. L 'À_qenda du Valais '('jOnLe Dép:wtement nrilitJa:ire féd1ésr1al tinne id'·ai\ll,eurn•à ise v ,@dve 1ammême wnge D )ntroidJUir~ d:ès· m ai uteniant 1)1 1ix:, soii ib-r.od1é 1.50 - ,calrlt. 2 ttir. daru le lrvi,e t mili ,ta,ir:e de serviice, en poi11tBfou.i He 3.50.

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i ns ,c1 eJfll bna[1siéts , ,sio,i t g:otw:e1rue( Rappv-rt présenté au Congrèi; de po,u'V'O rn1enta rnx, Ille iv101u!Laiut \P,ll{Si, df a:111b1~e J,'.,ribourg, pai 1vl. Del aloye, prép1ao:'1t, j,giDJ0111eir aie 1dl r10;:i!t,die 0e-s:dersident dt la Société v.a.1aii6taii.tD.e n iern, j 'estiinre qiwe ùlanomi.naitioo.i,d,e ù ·:r:; L1u ,eaÜoll1.) il 'insütrn beiwr ofif.iicia l <llew1a~t être a1t(Suite.) tr~b11l ée à l(cl,1ctmn11um,e,sou~;_lal'éserDe c,e qUle je vie-n~.dl'étta1blir,il ré - ve du contrôle et de l'a,pprob at-ion s·u lte q111el,e :J:.Jè1110. ,eit 1hallllère ont le de l 'Et at. diroit pr-imcrndi.aJ cl 'éli11e l 'instilbu,DJ011J qrue •1'~mJIJ. e libre est, te uœ se Ion Jes 0r:oyaU1J eoo q.u'iiL s, ,pir10- . :2. Conv1aû d ·u,ne moo ième ,gérué 1 r 1alle, e,t en derfe.s,sent, les. eonviclti.ooo q1tù règilenrt ni,er reis 13101 r1 t , !Le 1 1 1 eti)wg1e dle!d as1piriaq,ru'i 1s leur c10 1nt.l1. nite e:t lia 151iJtm1aJhon ,hons e.t ,d1e s, ooil!biimreillts f.a.mi lia,u,x; e1s.tirn enit ,r ,é1Sie1r,vée p,air l 'a;veni,r à , :p11101tas1t,a ,Tut:s ., e] le c,e·u x qu.i ·S•onitl 'oJS de lewr.s OLS' eit :i,ai qiue, dan s le1s.pia1yis pePrnet à nos co,re.ligio1 n 11, aü-es die cha1i•1 ' de leutr ,c.harr ; rl fia1ult en rdiédJUi1sia1uv,e~a1~1dl e1 r }e1 r ul'ls , m 1 0, y ia1 n iC1ei S! r· e Jir•e é-galemetit qirne ooux qwi sont cha,r, ,dlamts l,elSt,cumtoo,sc1ag-és dln g'onweir,n1eunernt ,de la socié t é gieus 1eise,t ·q,ule, eilJe ienlè ve à ,DJ O}SIa,div e11,sa,i s,cmt tenu,s de faici liter à l'a f.amille rthofüqU1eis, 11eis le (1lr 1 o i Jt 1 d le cri, e œ à l 'intOJ léiI • . a :ne,e 1'a,c,corn,pl~sem1eint de s"Ono;bligi; Dti'On J1a p l11Js<:,acr ,ée , cie1 1G e qu i c.onsii:1beà et faciht,e l 'enseignement oonfossion,q1111e 11: ou,s ·dleforimer d '0.:xee1lle nfu; cit•O\-ePIS ~·a1:. ,,:r .9 IlJel offic1ieil,j ',eisltriirnie vions ta rv,o, niJsier .d!e tault I1odn-e po.ufils p,arfa iteme·ntt é,d)uq1 .1iéls.' vofr l 'o.ng1aJilil!Slaiüon. dies éool es h hr ,eis, )J eFGieu.r~,,c 'e~t .a1s·sez m 'ê.t.re ,rnt8 h ,rnndii1tii0:n <11u1'e:l,leis nre dl!:•vicn1 tirnrdé à VIOiUtSI ,d1émom,t11ar Je d.roit d,u ,nlt d,p .su:bver&ion p è11e,et n:e l a mère s,ur l'éicole où s,e ne'l1t ·1~1.'ts,nm .é.lP.rn/e pou a· hl s,oc iélbé. dévelo1p1per•a1'intellig,eooe et s·e for :3. P ('JftSIUlafdlé•dru, dlr.oiit q1ue les· 1)a mer •a le cœu.r .de 1'e:nrfa,rnt ; r;a,pidleont dl'élkw.er lellllns1einrf.aTuts , d 'arnen t, en qtùP.lq.u cs ligil!elS·,je v,eoo:: De-nt<s al9,p itialtiions 0t selon l(-m 1ra prP.s Jeu1r s si0tu~'Εg ne1rJ1ctS tnois conolusiom:;.qu 1e l ai premi ère pa,rit1e dle ice ria1pp,01r,t,tmip f1entimenms 1~eùigieurs:-elt, en con:s.ê letS env1oiye:r 1a:111 x éi1 ,ofo,s. ]iimpairifait, ~,emhk nétccs•3ia,i:rement q,uen~1e, dl:c> br,P.>s die l,e111rchoix; co.nsi:dfü,aill:t, c1ouni ma,11ldie ,r: vélrit:able 1.Ji'ais,ant a·h~.tra !cltion de tout senbi- d:'autre piair1t, ,qm,'iQy •a 1UŒ1Je ,re nn!e inmenlt ·poli tiJq,rne,c/D[llS 1i<llé 1r1anitq:u.e l 'in- a.noma lie, ipoilllrne pas, ,dJi. ,d1e-S1cifl:uenee ,dies ipiarneirute •S(e man:isf esJba d'Ïiscufable injustri.o('Jeà obli~-.e1t· flo.yens d! ',a\SISIUIITIIE.'11' ta, e1ha 1 ,ge s-i Jona·1 ;pi}us imméidrualte'll'lOOt, et iaJVecrnoà.nis 1

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Quia'l1dle euJti.via1teuir a jeté la. sedie <li'or,g,aa:lÎ!sietr 1elt<l!'iarntuiateni1 ~ 1eull't& tion correspondanhe et, 1clle même q/Ule tr,ncition du 0hef de fla:mihledoit pr·é,su,r UJO.isol siec et 1~ia111s prrofonmence coo1e1r, .flC('JOilllpi3ignetr et iCOO.lllJ)lê/!Jer' oepl'Olprœ écol/es en même temp,s1 qu' .pers ,onne DJerp1e1Wt êbrte<lléfpooühlé d'un deurr, des tiges se lèverion:irt, matis ~J,ui <l'e l 'in1Sltitrulte,mr. ils 1ooro.i,e:rutfumciés die l'3100lJtien.ir u111 dlroit naibwr1e[qrtl!'Ïlrrljploisie lia voix du h s s,e,r1,,'l l.t s:an1s,fo riee; eil\le:; lam.g:u.1système d'éc,oJ.es puJbliq1ue.si diout sa111g,ide même 811.llSSIÎ. ,per!Sl001nene A. - " L 'honE1ne: es1t fiaii,t à 'Urloiis ,Tont, se fanieroont, n'l8/lil·iÏ.v,e,oontj1a]e1U r con,s,cienœ ne rper!ITIJ€(t paiS die ti- penit être exempté ni is 'exemll_)tle1r .a,ns ", éC'riv.aii.t die Miaistrie. ,, Les rn,a.i,8J a:u fr1nit et S1()1U1vent pas même nait/UJ~. gn-mds ho,rnmeis, .a. d\i.it Bo~1s.111e1t, se à la· nenr; s, 'il ve11.11t r<etr1prorfit, j'estime ,qu'il es,t wr'g,eut d'une el.Ji31rgiedie: SieimJbLaibhe: r1emirplir sieisg-rnQu ',on IIIIe v~e'llll1edJoin.cpias n.o,t.1.GI forment s'l.111' le comité cerubnaildie:l 'ass.ooiale,s genomx die leuir.s1mè- nier:~, le laibo1rurrmurieto1mrner1a~on 1pon11· res. ,, En vé11ité, M,0ssii1eums,tout ce cha:iTupp,a:r dies: ·si.Hooo ipr'Ofon:dis·, il tion c.atJ1oliq1u1ed'étmk.'l.ier la qu12s- objecter qnm Les 1plaireDJtisn'ont pl™ que VOllltS posis€idez d.e fo1rce, to-ut ee 11imb iberia, d'eiatU cet le féicor.tt.œ.nai t~om.die s1av1oir1S1iil.,e s pwr1ents, ,nn.vo,- à s 'inqu~é,t,e;r <le J 'éd!UleiaJtiooet" die <le dJwjoiuJ1· que vo,u~ goûtiez de joies 15 1aines, touit riches engmi.s: lai moii"JS!Oil y,iwlt lerur,s enfm1ts a;rnxéiclü:les,}ibrieis, l 'instTuiciti.ondw fils à rp1a1rlbi1r ne vient ,a1ru 1dJév01rueme,nit c-e que voœ ,exercez a,·~nifluenee ne q,ue de la pJeirne temre ! ne devr1aierut ,p1a1s êitr:e cLéicihairg&s de où ils les ,rnn,t 001nifüéls; sipélcia,l', ee nrn,s vient-il p,a,s, 1plus orrnmoins, die 1 'im.pôt , direic1t ,a.u indi,rieic1t,néces:s,i.- d.'nn 1n.aîtne ,o ffie~el 10/Ui Or, la: plei11JetemI'3 die l 'écLniea:tion roo1rut:e la: resf-ces ann&·eti'·eilJJfiam.t~nie,s id)m~ant Je<st:é pair l'entret~en ,d1Es&collesofficiel- <lletrnier ai3!SJU)m&rlalÏJt-il fable rnis,Jes o,u, à ce dléfiam1t,die S1a/VT0.ir ,s,i. les ponSlabi.lit,édie ce1ttie1rieidi01U queUes 1a langue de voibr!e mère dé- e,t même die ] 'ins1trucition, c'est le âge de l 'enflaillt; i L fatuid:ria, écol1e,slihr,es ne piorrnnuaiie,n_,t pas fürt> s1ion. liait vo,tre ]1ai1.1gue, ISID'Il s1ouiriirerpro- pr~mi.er ùonc qu'il SIÜitt11a1V1aillé 18/Vecoolhlici.voqruait votfie solU.lrire ieit .son ercux subventionnées, [)811~ l 'EitiaJt. i\lessicmm,, Que pefü,emiez-:vo1u1SJ, tu<lle. d·éVlf'1rs:ait <llans le vôtne 1e germe die·s Ja fe.mmc qui, l~près 1e premif:r II. -- DEVOIRS DES PARENTS de Miais, cette inteHigencie einfanitine, ,·ertrns L. Et si, ,a,ujonm .idi'hu,i, La diibais,er m,rnteœne,1di~pcJsésiwr Je frornt qui n 'a:p1p,amaîtenoo:re qrrue semblaL 'inforvenition dies 1pia1r1<fü!1s dlalIJJs de ,sion enfiam,t, name~t,r1a,i!t !:ni,tB, l 'ho nneur et ],ai Foi a,u,réolent cielui-ci à ble à un boo.rton à peine éclosi, ci0crn1'éco.le n 'est piais ,S1eitu]1e1moo. t un ,c1r1iot , ume ,siervainte à 1,a·q_-UJ8lle ~,-0tr.eexis.tence, n 'estt---,ce pas-, :p:aroe ,eilil.etiendm1iit elle esit un dev,o,ir. C 'ies1tMt une véri- e.e lalllgaige: " prenez-le! ,d/umant ,s,ept ciue, petit en.fiant, votr1e père voru,sen 1ment l 'o,uivrir et en comcrn,en~er Je ce TI€ té, qui, de nornveiaJUJ et haiu:tJeu:nent, an,s je l 'ahrnnd1onn,eà VOIS soin:::;qu,e, ia, ins:piré le r:e1S1mict e.t.J 'amoilllren les développement '~ Evid1erm.1ment, sena pa~ piair die lonigs diis1c.011rs, mais noul'l es{ I'l3[)1pieUée Illon s1eullenrnnt,pair en 1aiL1JC fais,ant s,e r,ef!éte.r ~œ chaou:n ~e par lai leic1tureq'll.lel'on foria de tr.aiiit-; ·une circio111stanc,e j1e·ne eontrô_ 1a voix de Dien.1et de lm Illaiture, ma,is l e,iiaii ! » C<.'q:Ulev:01uis. a!C:tes L .. S1, to1Wt Je11111ies, v.01.11s eses ipen1sieriez.d'Ll,a ,u'8~'3i co,uinhs: qu,e oh air1mial!]t1SJ e.t carpaarns,si'}Jar c,elle die lai ,rlams/On. teismontés v,emslei ibien et lia 1S1cienbe, bles ,de füianpeir l 'ima;gination, c.e ne telle fernil:r:.,e?.Ah l vos1 lèv,L,e1S Aux veux die la Foi comme à ceux B 'm11raient pa,s d 'ex1p,rei,1'llionsia1sis,~z sians effo,rtt po111Jraû.nsi dJi;re, p0iroos Eera en pJa<7c1int à ,pno1T 110isUThebonne ve.'!'rse.ux. ,sn:urle s· gr,an<llesailes. de lai pensée, um,e sa,ge ·réflexion d()IIl.t UŒl diu cœuÏr, 1a p1aitemnitéhrnrnia.ine e,s,t énergique,s po1ur J1a 1 1sitiguna1tisie·r·et sa,ge~-e et d1u.triarv,ai'l,,n'est-ce pas ohj~ rencontiI"é, run é'Viéruementsurune émai.rualtiondie.la ;p1a:t,e1mit& divi- vou1s la . prodaimeil·,iez non pais·mère, p,a~ieeque, am :Jioye1rrp,a1terne:l~ 1dlès venu ainront for1.vrni1~OC\C\ai.s ne ; elle e.sit1m ~,eic1ond 1siaice-rid:oc .e <lioint mr-ris vé rit:'.:1.;bLe ma1râtre e,t conbl.Yl!P · ,ion. La fa: ~),remiè.rie heu,rie, les exempiies: s:e vérité di0it ent!r1e:r petit à petit e.t rien, ni pie1rso111ne ne· 1Siaiumaient eff.a- trice de l',o.hligiaitionla :p1lU1s' t'laie.rée. :e0 les en.0011,r.agie- oomrnie g,01uitteà gœiftJtedam.,sl es1jeumu[iti.ipliaient 1a1v N.>rle ca1r1a1crt:èir ,e oru iSIU/PIPJ'iÎJmfü' l,a, r,e:\f a:is,, "M:e1c;1si e)uJris,,sa 1eis par.en t.s menllls eit l,eis ensieignemenlts 1 d(),rntablechiairge. Lai fam1Î'lle e.st 1::iJ'll1s n'ont palS le droit de ~1eidJé1Sri.nüélr,es,S1er 11e.s têtes ,. Sll'i,na[}Jtla beill:e exprœqu 'u,ne annexe de l 'éooJle, eJ1e e:,;,t.le de c.e qui se 1ia1PJP1011îte Et, d 'a1Uitlœ,piani, .~i l '0111 riencon- si0n d'e Féneilon: « le r.ef'Vle1au, deS1ena1u.."fac1nlt§.5 foye,r qui la vivifie1ria 1e1tianime.r1ai,et ·coPpo,relles de c1etuxcrrniJaur dl0iivent tr .e tant d 'aùi01l,esc:e:ruts igno,r,alllJtiset fanrfu esit comme wne bou,g-ie arll111mée nul n'os.ern nier qru1elesr eutneüerns·, l 'e:xistence , aiv,ec ceimbieu plus, c1e sans a,rdeur po11.w le <ur1aN1aii.L ég-oùsibes da1Jl5'un lieu CÀlJOSié a1u vie:nt; oo lmlies le0ont~, les e:x,em1Plt>s idies p1aœient s mi,s,on ne sonlt-ils p1a1steniu1s f,t SêHlS d,élic,alte<;<,<,1e l{),U éTevia,tiondians mi èr'e YaicilI.e tio,ujo!lms,,. Ceux quii. · de veiloont d!e tiofUJS ilets emse~.e;nen.n, eIJJbsl es le,r à la fo:rmrution <lie]e:rnr intelligienles sentiments, senS1Ue1s,ISlafil ·s a:mpuil' ont La,mission ,dl'êdm,q:uer et d'iJll8pouœ la v;eirtu eit sa1111S1 pMSion IJ)Ofll[' trn1ire ne doivent rpas :lia!tüi;uerl'aitpilu~ -1rt.1fraibles,8/t Jes ipiLus.eiffi.c,ac-e~. ce e1tde lewr cœrnr. les grandies et be.Ues chO!Sea,à qui tention, t0111'.ioUJI'IS sinon le:s s1e1u[s. v,11a.aITT1iffilft dtuil'laibl es et en éveil, ma,i.s inc:aIl es,t inuti],e de m ',aitita1rdierà d éla faru,te"l N'est-ce piais .pir~s que Üültl- pa,hileisdi'rnn long effont: ils épiemil!t vraiment efrfi:cia~reselt ili3 nei peuiVeilJt v·elor11perurne vér.iité q:UJ '1a1u1mme perjorurris, pa,rce quie, ,aiux rprornières sians ce,,;is,ele, woment fiatv-,ora:bledie êtrre remip11aicés, IJ)1aJ]' ,d'31mtn~s.eeux-ci sonne de bo!Il .~1ens1n ~olsleiJ'la ciomhue,urrn de l '·ail11l'l{)Jl'ie, l!Jorultau .prin- semer dams J 'e,$ffl1r~tet .lie cœmr dies_ f·rnssent-ih~ 1dk:mnléJs1 fPlllirile mei ille,mr battr.e, et je m'e,m1p/l'le/Sls1e d'1a,r,riteml))ls, de lai vie, ~ls ontt éooabandon- ipetilts aifin d 'Éi}ever peu à peu F&diidies maîtnes. ver à 'une ·m1pidle étude dies nés à eux-mêmes7 q!Uletlli$-je? piair~ fiee de leurr formrution mo1r,ale et inNous l "alV'OllllSI v,ru! Hrnr l 'irns,t:ru,c,tirn.1mo·rens .pi::ilr J.eisiqu,e1ls les 1pa1r1e nt-s ont q111e,s,ou;vent et à 'Pil.ieinesmains', le tellootu,eJJ,e. ( A suivre.) d>P1S enf:airuts1 :uIIJ. dlrlofut ,exiS1be,JJœirn.or- à se fa.ï.i·eles c,ornpiér1altlem1ns de 1'écorpère et 1a m èiie a/ulrlont1siemél 'i.vrlalie dli,a~,.arnrt: ,émiie,uir à it1olnrue iliori. :p,Ols.itivee,t le où g.r,andis!SlellJ./t leu11 is einfa11tlsi.Modie l 'ïudo;lenc,e eJt de 1a. maJhonnêteité c'~st eelui <llru,pièue et de lia mère ; yens qtue je 1·és1ume en affirmant dlans·le cœm."et l 'es!P/liÏJt die l 'erufrun,t. ma'ls ce ,rltroiJt1C101mJpoll'rtle rwne ohl,i,g,a- qllle le tra~ari_,]di'é'duealtio1n et d'ins1

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füité, 1'impo1l't,an ce, la. né~.e.s:sii,t.& m~me de cett,e hmlll!che. C '1elst,urn :tia.tt ind,éniabl e dio,nit c1e1p12tnd1aint .on ne tient pals enc,oir,e.nlsrs1e7, corn,pite d1wns Suir ces ,qu,atre poiuts, le Déu,>m:tcment <le lMHS école,s. MM. lesi 1D1S(p8ic ,teuJr1s alun rnstrnotior: rmhliq llle a airli·eS1Slé,L 11IM. Jes ront donc 21 eolllltu :ôle,r ,a,U121s1 ql\.lle.cet In.specteur~. ~~] ·d'élbut .de a•alll née ·~colla.ire . , ' d'I n!llle 1 ense ignement so·1't . CJ1~nn1e , m~1906-07, nne cireullcaire di0111,t ,n()l\]IS ,croyons devoir dliire ici deux mots en en irn,dij,qwrunt 131 nière réo·uœiè11 e 11altio1JIDeHe, :p1r11 .ht::1 ' stfüstal!lJce, Jrnisq ·ue son ,c on'item.] !011Jéll'es1Sle ê1s'l'b1. ,e um'f ~,nue que et autant que p101s goalement to,u.t le cœ1)S ,ense i,ginant [)a'imiah·e, 1 1 clam;,Le,séc,0Le1sq)UiÏ1S10[)Jt \SI U1 S1C~JPlt.l blles ~\ont 'les cffo1'tis :clev.ront a\Îllll~~ten1(]1re à l 1a , d e le recevoir elt d'en ipirofvttelr, c:e rtallisatfon du même ibuit. qui est s,ll'r,bolU\t l,e cia\SI 1poU!r les, fote1a1li l. C n,rnets d 'épargn e té:s ,dla1nsle.s:qt11e ~1les s'·exeTICle q1uie ]q'lll~ Cette. ins1titrntion, diomito[]J!Siepr10- indiustrie. metl1:Jaitbeaiu001up,poiU(rfiarui1~air,i1S•er 4. Gymnastiqne la jeunes 1s,e s.col ,a:Ï!r\e!ruv1~\C lies ,s1aiin1e.s (;omrne l,o challlit eit le d!21E' ls,in, 1a idées d'ordre d'éco ,IlJ011uo.e et die,s1a1ge nlOIITlpr ,évoyance, 'c1S1t_ipihutô1t en vio~e die ,rymna.;::.tique e:s,t enco,re, ,dla11s1 ·p,éricfüter, ,ce ,qm ets1tv11 ·1ofion ,dlémenlt bred)ç C0ll1lllliUII1€S., ûüi!llSidéméeC)Om, ia..111pœ:tiaœe si, regrettab l e.. Les me~br,~1s dru, peir- me une br.anche sa!IJlS son111el en ~Œgna:nt n 1ns111s1bent 1::'11I1s non snllper:flUJe.~n pr ·ésenc'.e dies ines d1olulte p a,_s'.1 1S1~ez srur ~,ai 'V!a [ eU1l'.,q,arpor - j onutions fœm:ce !leis ,et :j: r,2,'.':ts1mt i tés fédémles1, rno1u1s ne rsta ll.ltée éduieahve et s1om1awe,des, ,c1aris 1S1e S" ü,es am1to,r · lon1g1temt1,sC\:l · d'érpargne seiofaii ir1es mrus1e1~à lia: ipor- :ï.ions to lér ,e1r. ;p1ws était de chose.s et V·CnJ\'31pmio,n.scn~Olre t ée des enfantis·. Le Deip1a,r1b21mie1J1t ,s 'o.ffre n:u hes10,~nà f,01 l:irnÏ!1· 1l~els,r,e1~ - ,d~insister én~rgiqiUiemenit dla,ns, ce ::èis .cLe}'.:I'M.le,, i1J.dÜL nte1:11rii5 lt1,omts 1,:n,e;~1e:~1s1a J- sens ::i:up, 1!':ei(J'nements et ms11:Jnrnc ·r.ne et dle1s , .1~ulbo1r!i.té:s ·~·.;s' pou,r a,gir. alV'ecpJmisid!'erfrfic1a\cit ,é ·1iue cela co,nic,e ,c,ommuinaJes qm ne •pirnsisiedenit ,p ats dians ce doman.ne. eDJco ire la p1a,CJe0tu l~1S,e,n,gins ~nl~n~:2. Chant pensiable:s a cet en'31eTgnem1ent . L 1aL.A ·plnsieums 1r,e1pll'ÎlsietS ,dléjà,,d,es ins - q_iUisi tion d 'eilD\l_J~aiciemeinrt\s1 ielt llru<'t~nstr,n,crt: 1ons ont éité dJO,nnéeset dies, .1·e- trnction 1 die ha1l1e.-:1,d,e gyrnna 1s1bug1ue 1e: 1sia ,co,mmanda1tii:onis1p1resrsia!Jllte,c,, if1ai1.tes bénéficient, comun,evrnu,s 1 tvez diu pa,r l e Dépa1r1be1r:,erut ,a1 u pe:1iS1o1I1ne, I r,eslte ùu 25 % e,t l,eis eng in1s dltL ùe. ens-eignant a1n suJet de certlte,briallli~he 75 % de la, stUhv,emitio1n .f,édéir1a l0in;; , En attend1a:n,t C\es ,améilio:r1a1bi oblig,a:toire d111 ip,r!oig1r1a1mme ,s,C1olùa1ur1~. Or, ·,d!a,nsn,ombl'le d'èe10\l:e1s1,,]_'0ni- e1- qUJe pa:rto1ut l 'o_n 1pI'laltiqwe 1c11 u, o·nelr11.entrlu cihaa1itn '1a,,p1ais 1 hein d111 moiins les exerciee1s· ,dl'o1r ,éllr1e et ,iè•re in- d 'aisi.so1uplis;s,eme:11t ne nécesisit,a111rt 1~1Ufurnt ou e.st donné d:'rnne m11an .suffismik. ~'- 0e1t,&gia1 r1cL,é.gall,em1e111.t, cun engin; qu'on le f1a1stS1e, aiu ibesa m, 10 nt s'a1s1sll1MM. les 1n,~.pectewr1S 1dlevu. dallJs 1e,s localitéis. élie1Vées , en 1ai u1trnm,r.er que, cliB·ns , tomii:,e,s,],es: c~a1~1;;1es ,cùe ne ,e,t au ,pœinroemps1,die ma[Diièœ_à ]ie111r -re~,sort, les: he1ume1\f1xees ,piairl,e e:e que le ~o,rubn~ to1hail:tdeJ' }:1eu~ws ,;:imlt,egna règlei.ruent p,::;.uœ . l '~n1S 1e1g,neim:enltd111: ,glementa1rns .soit,, 1-.aJff,eicitJe I , . , lle , .. chaut si0ient a,ffec:tees exc~uis·1v1ememt ment à 0ette hr,atnl5lle. .1e11J(r eJu1ge 'al~ sur!d:e régnant euoo1ne,dlalD:sc,3~ u1à <:~te branche. nes loca.1Ït6s, à ,s1a:v ,ofih. , 1q1UJe nlütS.en3. Dessin fants font ais : s ez d!e g-; yw,ua151aq~w Inn:tile dJ'inswsrtetrnom ·p\lru,;:;, ,s1u1rl 'n-

Epa1·gnc ~colalre Chant. DeHin. Gymnastique

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dian1s les dlÏatt:lllPS1 pollllr Sie distp1ense 1t Ja p,remièr12;fois e,st bi1:-a1port.arn:t; ri d'en fair e à l 'écoile, n '1e1slt rp,lrnsdie s1aii- vit an dled,ans a'une vi,e rphylSIÏ!ofogi ·rl entP et ~l'.m>SI •1Ilh"1aive. Si l 'éson et dloit d~sJI)lall'laîit1r1e dleivan;t1e fa it que •31i_· 1pe!Ulr, il 1e1s1t JCI Ujnd'éniah lc qu,e JieS! tJJ.·1a.,~a:u,x dtc J,a cole ne lui f.a~t a,uiC1uID.e die •sa, c·arnpa,gne ne ,p,eu1V':e1n,t p1a1s -r,emrr,1:fü' ;:1~· l'ieux d, 'v êitme et k1s ip101ribe;i;, ]es e:x,e:rciees, ré,g[,éis1,die:Lai gynmmslti- jenne · in'teJligenc 1e ,s1'01n1V1renta,u-dlel rn, die. J'iinshit1wl1rioe. qu 0, com,p,osié~eJt c101mbinéis 1 ,d ';a\près vant dies pa,r,01 lle~ci l '·ai,rn1e1dl·~i.\. 1es donnf:es d 'uine .~ir.ie1nci0 é,(JJé ~:i1a,l2 S'il devine ,J,UJe c1e1 t ha,sée snr la ~,o,rn1JaÜJs1aiDJc1e et ~le fcin : - si elle pren<l cù'embJé e son 1p,0tii cœua:, e1t le fa,it ba1 btl'e conbr•e l:e ,s1i,en. :ti,onTuementde nt ls 01rg;::1111e1s,. (\~1S'1ex211· .. u1ss,i. P liUJsrien ,a1 l,m·s cice1s physiqu1es1 ,o,nJtmême u1ne 1C1er - il 1'arilue déià ,a1 ,taiue imp,or,ta,n1ceaiu ,pio1initdie v111ein- ne le trorubfo et il e,sit. à J,a fin, tout t,elleetwel et moml, q1uà.eislttü{l]j,rnru rls, yeu~o, tou.t ore-iUes, to 1d cei·veoo ;po1uir à jUJSitetitre, nofa'lerpirœnri.èiPe ,et 1p1rin - ,s,e mêler de toufo âme à la vie de 1 cipa[e pr&ociCJU1Paltion,rp1l)i,s qru'ellie ] 'éoole. ·1e ,contri:bue à me:tttre al11 1S1e1r •vi,c• .e ,d'11111e 'l'an dis qu e J'éao1le l'.'evêchie, ,dp11 i tive, l 'école qllllÎ.gêne o,u âme s1aine un 001r,pissiafün,~1oml})l .e et et 00,eT"~ 11uà.êtir1eq;u'à vi·~·011ro u x. En 01w trie non1:s: ,c!Je~r ,ons fait ma l ne ,peUltj aimams rf:ür,e rm s,o-rtequ,'aiuirioin!t dl2·vuie mi- demi profita:ble diansi l 'œuine ,dJo,uble li tof1jr·e nlo.sj e!lllne:s 1,;ens, ne sioicnit pal"l d 'édruoation et d 'ms 1tmuiatiou. C '·esit ce ,qJUte 000lllp1iirent J,e.,, j nférien rs ~ s,oi\ 1,s J.e ,r1:w1p,rJir1t clle1s -C1/Ul'l ... Jiv,~ 1s, pbys iqu,es, à lelllr.s conif.éicllélrf s g1,anc1s µédaigog,u,esi J\.Ii;:mtaigne et Fénelon, Lc,cke, llow.':tStel& lui, ,(lt 8.(:>:md 'm1tres cinntoDIS. ccr, p r ès d,e no U1s 1, qui dléci!Jairia . q'llle la. .. t •• ---~ joie est u:n puiisisai11ttcmiq1u,e. L'Ecole gardienne Tonique p-orur le c1on1p,s,q!u~ :s'en t::r:ouve pl l1LS gaiHa,11.1;1tmliq.ute JJCIUIL' ou l'.1141colecle joie ] 'int:lligence, qu,i diép1oie .sio, n ef fo1t:t 1,] us v1go, u 1r:enx; toni:qwe ,l'.iOJ\lil' le Lrni"sriuê l 'h ,;mrne Clll 'lJlliu.tô,t l ',ern- cœur q ne la .s10,rnff ria,nc,e 1aù:g-r it. f ant, pu is.q n,e ~ 'c~it d 'éeo~··3 . g•a,rd \: n.r.,e Il faut donc <1UJe: l 'iDJstiihŒbriÏ.~ 1e, girnique nom: allons - nolUJs,QiC'1CUJJle 1r, (',~,t kcnublé d,a,rnsb sériéni.té d e se1srl.,i,~- dienne fa :::se de s100,foa[c wrr foye·r [JoOlsi ,tcio1m_::intérieua.·tc1s 01UJ contm1ri ~ c1'a'ttirnnce, Ulll !~.,ail a, is, die joi ,e dlo;~1ce p m· l (~ j ru d•es, ,ci rcoi!lls:ham! r: r,s ext6 - et ~olidle. Vllic du dehœ,s, l 'élcOile1Sler,a,dléjà:::1~ rir:~mes_,i ] s,o,uffr.e à Ullldleigré1pluis oiu belle, CJlliE-'] 'enfant dlésrirDc y venir n Jn n101n3, m t,ens,e; ,s,on 2:ti~1entiibn, 1:1on ;nipa1s seuleme nJ pamcie qiU1'i l s.e fa10,rnvcit<?Hiigenco, son âme s12 ct0rnceï1t1l :-e 1811 .~il.' ::.·a g•r.andi d'a He,r am1s1s,ien da!sls1e, l ',obj,e1tde s,1 doukuir . .. ma is ·ra,ree q;u' il sent qru'on :' doii.t Co,mrnc d'ins1tin_, c,t, il: si : ,t,;1n,rn2 êtn~ bien: 1e prr,s,u, t1rè:c: r ·,iio~tre ' 2r.1 ,1lor1s vers cen:x: (Lui l 'e11Yi11Ju,:-1<n' t .süJ hien ég-::tliSté., Hml!ri ç,à et là, en,pouir irnplo ,l'OT 'P~ti ,\ p1anid 1on Cl\l sie towré ,die tvo,ttoi.r,s, enoa1dlv&,die "'l.11'10ou1r1s. raül e,s neuves ()111 ba1dige,onnr,es a12 To ,~ltes l·eic: i:rll~;tifatbric.ets ~,.aid ,i "n- teinte<, dair·es. Jrri flaii:t1s1 ign° ,d '1e!f1nes, toutes l 0.s mères, qrui(.'1onqme a. \ u t,rer. <l,c1 kt dbUJleUJr,q,ue di,s-je, qrui,c0.:i.1q ,ne 1'}n cias•s,e: oh ! J.a,j O'li,e, siaJJ.e.,aMe,c ,a :;cQ1ffert - et q ui n ·,a, ,L J1a1S sowff.~:1t 1 ses fienêtres ;tourtiesgma1nrd1eis, 1p1a1 r ,o,ù é1 ru S't,n l'i.'lli. 1111: 2 001mpi:e. paisse tant dJe luimièrie jo1y:eu,se( et s,i suir J,a1 L'enVa,nt ·tJJü.Î. <111 '.i.ive à l 'écule ,iJ101Uil' cla.ire !) qu,i va se 11éit11éiohir 1

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~ 1'10n ai1JtJenb]auchen.u drs m1.11naiilllt:i,1."/Ulr la. on n P ,pourra it y rutltl11c,heri prorproot.édru pav0menrt , ~rrnr~ 1écü,aitc1ru 1.ion q u 'a,u prix d 'nrn effO!l't d'KJiuJoopcële, qui r,elu!i..tidjamsLa cage •die fOO. re.ux, dont iJ s 'ahst.ierut) ; ga · l(" l,e-f e11. i1"ax11rla manière dle 1repr:élsie111Le,r Ert voilà, sUJrlie ma,rhrie de~ i_abl E.t- ( en ,unité ,arvec le ,S~Jtèmie, en <·Oll1e,;;, des po,té~s 1lio,bmsôe1s,ide ,r,c1s,:5 centrJ8Jtion aJVœ 1es enseigille1me1nr :s die qui ,pil'écèden,t O,UI V 1~mt SIUll V,r~,.~'cS(tlJJan<'hes, dle ten<llneis gé:l'iam.iurnL'>, bégoni:w, emporunp1·ésï v1orilà,SiUTJ,e à-di re en o,rdrfl logl'qœ). F.Ue y ~em111r,su r 1e gralild traibl ela/\.1llloÎ'r, dies p,nn d la vie : dJOnuc-t-eUeiwn exea:12w.e images viv,antes 0t :richern:en:t coilo- cl'illltnl'ition, chaqoo élève possèd,e .un Tiées; des ti~rS,a~?2lSoù 1,es iteinrtleis ,ér,ha,ntil1on qn'il :maJ.y:se; es,t-ae m~s 'ha,rruonisierut! 'l'orut ,oot be.an.1. l 1C1Spo,ssible? elle mo-ntJr,ewn ,type:.SlJ!fflbanœ repeints, 111migésen lignies hien swn,t pour quie charnm. ~e v,ow dti:siti.1?,:..'<l,roites, rooo,u;verts d/',ernfants ip1no- te1IDent,.oiUelle le dfelSSllne IM' 'elC ca1ai1.res pres, invitent à ~'lassle,cJ1iT ! Et qu'il d,e CIOlll!leru,r:s et lignes dia· for:3e qiui fa,it hom ici : 1'air, iloudiou1rtsren.ornve- animent le modièle. Jé, la tempérl8.fau,e réglée 1a,n, füe,rm,oD'un exerciee à l 'aiurt:irie, el]ie évitt> mètre, fait à la staùllelUll) e 2-rtmlot9pihè - de perd,re diru ternJps': ~es1 n~~ T>tl dJe hien-être. vides engendrent J.'ennm et 1 eru11m Rien-être cenrtrnplé 1p13rrla IJ)lrésien- est 'UJileforme 1dre],a soolffirirnrroe.P~1· ce die 1'in,:;titurtirioo! !". ,a Vl()flX elSltmru- une µrrépa:raitio1nco,mplè t e ide 1S1on trrasieatle, symrpartbique; s:es yeuix Oillt vai l dida,c.tiqu,e, e1Ji1e ~1eipir éseITTVe rd! :? des ·rleg,airds, .sie,s brias. ont .aie,sig'eisltieis toulte hœiitaition y,~mdlailltqiu ',eUJe ende mmman q mi c:arrieSl3'e. iseigne: elle s'intéresse !aflliconitirlawre, El1e s1ait que l 'écoile {110,it iait~ .i.rer, à t001t c.e qu'elle fo:~t, ·eUe y mêle doit réjouir ; ciait·,sir.cm, '1eis,enfiairnts ,pleinement 1sia pieoœonna1liité,olle v.a y viendront pair foNie, Slalns g:oùt et Ftimi directemenit, ré:sioh1r111en1t aln, b.ans régnlairité, piriéifémnt dlem2fll- hut, et sa cla,s•sre,q,w'efü1eexcite 1()/U q11' rier aiutp:rès<lie.le rnrs. mèrieis. elle enkaîne , l'y 8lGClü!Inpagneaivtele Elle siait qwe la , sens.ïui lit é, ,a:gréaallég,rcslSle 01L1 die bolllne ihrurm1erurr. bh,meut touchée, dlÎ.1S1posie le ,0011ps à Comme l 'éduioa:tion <;,e niiilise .sauJe la flér,énité, l'mtellig1enœ à l'eff.omt, ment drans 1,ame,s1mr;e ,où l 'en.facnJty le cœwr ?t la v,ei·,bu.Lai ipelÎ.ne,1a1uc,o,n- déploie <:on initia1tive, s•es dlOOlsœtrai,re, if'régu1l,a,r,Î1S!e 1',aif,fil,uxs,ainigia1in, t,u,rels de sponfanéité: Sion inelinratiOIIl le ~rte SIUJ.' 1es :regÏIO;'DJS ooœbI'!aŒes :\ l 'aicfrv ité libre, J ~i,rnsitrirtJ utrie:,e ~ie qui n'ont ·poinit dJe mkl/til()ln1diir,eclte g,amdlebien de comprimer les élaipis ,soit alV8Cl'objet de l'e),,,-ie:r,eicle 6j0i.t die sŒ1 élève; ell.e J!e ,s ét udie t1hi1tôr, avec lie~ fac(U)l té:, intelledtiue],Le:s ,01u leis dirige a1UJ bien et en p,rnfite 1,.i,ou:r momlcs appeilê e~ à l 'œu1vre. AuG~i, '1n,i:foire goûter le pliaiisü· a~ 1'aetila maîtres,se a1d1roitevieillie:aJV'e1r. ISICtrillvité. pule, à d onnm· to,uj·o'UJI'lswu vif et Mais, drans nos c1asi.31es, même dams L' lmrmant i nkrfü à .s,~,s leçŒ ,;3: ! 'enseignement individruel a,u sein <lie 1° par le choix d!u, mo1ille1Jtle prhus La fam1He, l ',alCitivitéIlle peut se II)lrrOpropice, grâce à l 'inte11li,gientediÏJsrpo- duüe eu lioort.é pra;rfüite et eons,t~nsition die 9001 homaiirie; 1,e.L'intérêt même !die l'éilève, q<ll'ii 2° p M la namwii e! de fo, rn1a:ti ère ( um fa u,t aœowbumer a:u tr,afV1ai 1, ,exi.e;,e s,ujet ahsifr.ait ou t-'l'.10!):) génfuia,loiu iirop qu'on le dli.sicipline, s,a:ns violence, JJeu f.an:nj]ier ou t~QP ooien,tifiq:uie. . . bien entendu, ma:Îls a1Viec fürmeté. est urn ,:ujot nveugl,e piOIU/r l 'ooifarut; Or , cette dis,c;~pline riequic,l't J 'effort 1

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de la pairt de l'~; 1:iefifü~it ,comiport.e la. peine: l 'mstitu:tnce benéfieieia die l 'aic,tivité libre p l0'1111· pa s ser à !J'~~fo,ité Q'éig11. _ée dla,ns le t.r.avaH: elle rendlr,a facile la. ~ouit.e qui va de l'un e à J 'n.ulbrieet dinuuoora ainsi le <llegi,éde la ,peine; elle f,c_ ra 1petit à. pet it a,ciq,u>érir1'ha bitrud~ die l ' effort, de la peine, 1dJutrava1'1, ·~l bien ciu'en fin dre comprtie,le travml soit pour l'élève, comme :il l 'e..s·tµouu.· l.a plUi,; nou~ les gr:aill~~, la S101rurec fraîche du p1a1Sllr. Pou.r v arrri.ver, qUJ'elle n'a,g-g,1,a;ve jamais 1a..fiait:i.gue:q,u'elle. vairi~ le aen1re d'ocon,pat i ons oru d.·e.x.erc1ce3 ~nr la mêrnie notion; qu 'eiHe me.tte fréquemment sa cla :;;is,~ a,u jeu, . au diant i\ l,a gyrnna,s11Jrq ;u€; q-u dle fonde' ,sua.· il.'aiffectiun réc~p,10q:1H : U!l8 dis:cipline faite fo_ur à ,toiUr, de Dons,entiement eit de hberte;

q:u elle ob -

tienne une fréq1uen1Jati0in1Yonc ,tudie ut .a,~,gidue; q1w 'e1HLe J,o:111rung e ,p,l,u1s qu'elle ne hlânw, .aux illU'> pen ,lu châtiments , dies r•é-0011u1prelllses 18lllLX 18/LLtre'.':, à ceu .. x qui le;; :rrnéir i tent : de:,; bon.s points, des bo1nnes noites, des 1 ionets · ,de.s tnwa :u.x i J1t1iµpl~11" be-ria1u,x ., ' "' 1~ , ' t,r,e ,pa1rent:S. .. ; s,u,d.()(UL, g:u e 11e p2_ne. l'enfant la: frumille , <llel.a conv1ct.LOn 4.rne.l 'écile e.sitvr<ai'l~ientutile, p,a,r les notions· q_u'.elle en.se1gne et le:, facultés ,01uaptituiles qu ·elle dévefop:11e. ]fallfin, l 'insrtît,u,tl'Ïc:e n 'o!lllbliera j am~s gue le bonh.eur pe;rsonn~l .s ',aicon01t de tout le b10n qu Œr fatt ;t a.urrni. Son éco ,l e sera ,pilus heu!teu.-,,e , à mœure qu,re les élèves, se. dévoueront mutwell:lemrent de ;plem cœur. ();__i}e,s a:e.coutrua.nen· a donc à h1i p,olitess,e les uns env,eiriSJe,s a uLres, à b 1Serviabilire, à la dou 1cewr, à la. charité ierrLv,e,r:s cEmx quli n '-0i2lent 'Viat3 01L1 qui ne ,p,aiiwri 1ennent ,p,alS . La joie, la. bonne lmrnenr règneront en maîrtves!Ses ,'; 1'écic,le. p,a,r Ll. i)eia·uté ; ,pair l,e travail , pa,r la bouté 1

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et l 'iaifrection; voilà Je 1princiµe et ies moyens. Priw]ipe et m~y?m q,u·e nu!le 3:nstitu:tric-e froi:ibeb·n.oe. nu,l m'3tituteur non iplu1s,,nulle jnst~tu.trice primalÏre ne ,dJe,vr,a;ientperc1ne de vue, pon:r initier .hen,re~~e,men~ l~,: éli\ves a .vivre 1a vie cl,e I aurnn.mte.

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(.4. ,uwre.)

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Pour le syle Certaines revrnesi pédiag,ogiques de ] ',enseignement pI'im1ariri? ,puJbli7nt, cùa,nsleur p,a,ntr~eprroailiqu1e, d~s, SIUJet.s ide ,stylti tr.1ités pair Jle1s mei ll~rs &l~ves de chaqwe d egr,é - dJepms l,e de~· buiiaJiltq ta. racon t e ,en 3 1·1gne~ ce Y'~il a vu cliez le bor..1rlangeir,JUIS(),U a

l 'a ,dlOlescont, Silljet~ quie l 'in'Sltiitute11r <.lomnrnmiqm : à la. rédlai::tion, a11 )l.'k8 retoui che~ et rn1mu~'&dl€,s initi1ailes dJ..' ] ',a:utieu,ravec 1'obserrv;aition: Sans ·retouches o,u Qiielq'U.es retouches . L,e nom entier œe l'ins1titml1Jeru1l · ,ou die •l'eco1e qui ,a cornEHwn i q,u,é le ürœ\"f'nil pou,1T~,it ê.tl'e ,r:,1u:Mié1a1?~.;.i,s!e.mble·1 e,m.u1laiho,u d t--il, arfm cl'a1u,..,.menter ~ t l 'intérêit. Ces même-.s ~uJe s poU/rrnient e ns,wiJt,eêtir12t ,d!oiill'llÉ is à l~ 'atu tres éc0 les et, touit ~n :rienidJaint Sl8\rvice aiux ·nrnîto.'teJSi,ils, intiro.d,uiiLJ. 'JaÙ.eint ,corn.me une sm-.te die ('J01ur,a:nt,d 'é 1nut1Ja,tionentre l es dive,ns,e,s ée·01l ,1:1s. L 'élè-, e dont le tn1.~ai~l a1wna . été imprimé en sera to~ ,t fi~r, les ému les ne rnanqueront pomt e.t.ehacmn aiU1ra à cœur de ne pa ,s se l1fü1,s,ser ·sm1pa1,.: ser . Sarns doru!,e, si l'Ecole primœi'l'(t VùUllia.i,tprêter s,es eofonnes i'1 eette innorvia.ti.on- que j8 sio,urnet s1lmmblemcmt à l 'a,ppré13~aJtionde qrni die d1,oit, e.ile d!evra.i.t é1a1rigi,rla: ,pla1ee réservée ·:i la pnmtie pirirutiqu.0;,eù1ene lü refusera p.as si J,a 1pu1blicaü~m.,die quel ,qn es ù1evoü 1s c1'écioli,errs lui pa1

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i60 à ta (l01)l'I)()9l/tion rat u,tile à 1a noibJ.e oamJSic,qiu'1eüle m<oit, 1Ulllle UieGon SeJ.1viru11it fNIIO,ça.i,sie. seirlt. X., inSlt. -- oRéd. - ~ ous S.OliDIIDes .pa111fa~ t·e-<1uentd 'acco nl av,e1cnotre e10.rresp1011A.ppr"nons à bien connaitre dent pou11·adkJipibeT 1 e mkJldle J)IIO rpü\Sl2. nos élèves

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L'é t~u.cation rnoa·,aJle dlOl1ts'1awuye.i· ;.ur 1ufü.• ,couna issancc se:.J«:lledes end'a~1ts: Je,s, même$ punitiOllls nt sonti 1()13Sé,,"Ullement effietlK'es IPO~lil·tous lmi enfrunitls.; ce q1U~touche les uin.s et leur in.,;;pit•e q11elq1J€'S1 sa~illltaiires- remOT'ds, ,rév-01te et exas.père Jes wuitmes. Au ma.Ure die Du meilleur système disciplinaire ~,u,Yoir doser ses ~<é!p;J·imrundes , et .~es i>u n·iLe,; con,,cHs, SaillJScknutie, iras c.hMimemms coil"pOil'IE!Os IP'l'O· tiOID!Sseloo les tempéraments. :n01J.·a~e,s , ('i<Ulffisent à rendre œrpN! men,f diit!s sonit ,!Janinis die r.os léJcolles:Plli- les 0<'11Use1.·ie.q, D'ruutre .s sembl iq•u.eis eit ill seriallt viseux de ôiy alnrêllel' ; •tiain:s enfant'.,;, ,,lociles et b01111s. blent rebel les il. toute éld'uto.<ttion mora,le: <'e ruais bien des maître ne ûOUll[Xl'ennen t l[)as sont rcs enfantsi ttu,bulen.ts, mlê<!halllts, exfiassez ,qu''ill y !I cert'<ljimiels11unitiOOJ1S ()!lllÎ 9'-en ;rés ·l'Jles caa.:a,ra/des, ::11ball)( l O'Illllés pa,rfois pair rapprochent , comme les Jo:ng1 ues srtutioDJSùe,e m aît re lu i-même q,lli les parlJUP., coml!Ile boot, le p,iquet. les long,s pei!11Sl11IUs. Ill 'éltait des [)la11'ia~. srnr des ban c,· il paa·t: gém:én.,a/Je 11.•tilleld''!IIOO)lell.et leur atnemtion sur œ [)Oint. ment on voit en eux Ides momitrps qu'il faut D'a'11.11l1e prurit, 1.es ,nœuiris dialllS· Ilia sociêtiê eic ,les f-a.mH1esse slOID.t,cOIDisidlér.a,bLememrt; aii:oru- ü;oler; un maître ar,;·isé voit en eux des manades, des d !&_gé;nê'l"és, Ides 'Vict ime s inres,pon ci~s. (P1€1crt-êtire uill Pffil mu dlêtrtimlC'Illt des œ.'Salilas t1le-1-a t11be11Cll.llose,de l':ü coo'li9rue 0'1I ·1-~i..ctères,n,a is paut -êtu:e ,~U1S\~·i ta1U 11p1·olfirtüc la ù'm1 mUieu vicieux, qu'il fa,ult soi~nC'l.' et ~.o:n dtg,nitlé pm'.soan~11e, ,Q,tJ€11Jles qu'en sai.eœt les exn S1J)é1'e 1·. C'e1:<t t'ID, m{'ideC'in aim ant et l!)eroonlSêqju,enœ,, il !a'l!lf ~e coois~ll:ter et 1l01'1S'q1Ule su:iSbf qu'il f'llll1.t ici et non nn in:i.gis,tp1• ,'!éfo Codie 1,'élr,aJl !-":',c.statlOllllCi.fant-ill ,q,u,e!ta d1i.s- vêre et ipréitioaut. <J~p]ine d'e l'ooo.1~ reslt1e in!(,)"extble? NO/UISso.m-OmPs d'a,vis, a,u co11oraJ1r:e, que ~es ll>UlllitiOllls doiV'ea.t ê·tme rorret9 et rco,nr<te!S', qu',elhlresid,oü.vtem<t Nouveaux-nés ën pr esque ,t'oucto-umspr éc-édêes 1<rea.•avenisit1air1e:l'>Olbjen:<l'un s€lment .e't d'Ulll <Stu,rsils, ,q'Ulec' eis,t à ces: .c<XO- (Ces stlrxlll)hes 110'11,rro:n.t exoetMùœ ,d'onthO,!fM:pih,(.' eJ d'•un e::œnciœ die tdit iorns q1u,el/tes_.'P'l1otdutsren,t JJ/eur ,ef~t. 'l'êcits/tlio1u.)

Miettespédagogiques

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Pour faire une bonne leçon d'histoire Ohoülslil·SiIIllJ)l ement q,uelqlu.es M'lls <ma<a.otlérislti<JIWS nt insist~r ~1111·<'M· fati/tlsi:œa.RieÇ()ln ,s,era mo.Îlll,s fomgue, moins rowfliue. J.,eis :êlêves f00t:΀!tlok'o.nitmi eux pamce que Ces itbHi;i iseroD,t tP8U noonbt-eux. pa.JIOO (}'\lie lles. ~ta,'illJs, int!êr-es,sautis q1u:i :pou!rt·u111t ~tn,e rlioinlné.swr cbaoU'll d'eux ICI.Illpêcharont ~·auit>H. I ls ll'let1tiemtlroolt im~x rn.lJJSi.,;i si ili~ ll!Otm,snmwe:a1U1x , O!es1d!artes ~oot éC<J"lits en ,grcs,c:;es•lettires ia1t1 tab'l00jt.1 nflin 1'!1ljQUte: 1m so11V'enÎ!rvi!JUJel Il/Dl sOl\lJVl8Il.ir taru' dll'ilf. Ec.:ri:ri?M• fur e,t à masuine ILe(l.ll.8nIoo ila leçon S1!!1' !lie11!aJb leau lllOlir; aii.ruililes troêlv,e,s'Vleil"~·onit 1m'li~ux la ,suwte rd.es: lildl6e"s,]Ja oolll(po'Sliliion de !la O~çœt, .et IC'OID!Ilie'n t tlollt ,c·e quo a. ·M.11idirt ~ •ra'.ro)ol1t-eià r.iid,loo gênlêr<a,1e, obj,eft de 'La •leçon; îLs tp11an.dtront •adlntsi,. par s'Ulr-

Erufoa01ttsa·uo jotlll', iî noilliVle/aru,x-n~1, ·! Petites boruchies. petit s nez, P,<11iit1e.s ~êrvres IClt>mi-<J!Ol~. Miembœs tlrtemblants, Si frais, s>i'Malnlos. Si ros,e,s !

En.C,alllltts d''l.101j(Jllt'r. ij ,DO'J.llVea/UX·Dtl'J! POIU,rlite ·boolte'llrr QJUie vo1UJs1doo1nez A Youls 'VOO'rdrormiilt· idrillllJSIvos Oia-nges. ~ir dus n1dls, 1SoY1ezi!Yén,is ·Cller.s a,nges! Vorus ;:,tes fi. toute maii.S!()IIl ~ .qrwell!a tilCIUI'est a'll! g~on, •Ce •CJIU1~,ci.el -est l':êtoil.e •bla01cihe.

Ce ,q11'11u[)en d ' ea11.1

El*:m ll"O-~am,

Qui proi,che. A. Da'lldet.

Supplément spécial del'Ecole (N°14.1906) Cai88e de retraite.

ans. En effet. ]e Gr:and Oonsél v-oud:na bien reima1rq1uer que le fonda·, NO'Us •atlin'<ms l 'atte ntion, dlu. (Pel'EOillllPl enconstiti té va1· l'institufe1tr .seul . •suf.ieigora.n.t Slllr !e flaJit q1J.1e qes <:ompteS'II'endlu:.; fit .pom service ide la, p ension dude l a ipresse n'ont pas toajoort"S E'!>:~tement s. En réarant ,ce la,ps de buriit.s nDJéle J·3U.)1)0ll'l1lê les d/éblats et 'les iùlêci sious dlu Gd lité, ne serait-il ttxaisoru•eil die voir l 'Etiart; s,péœl•ler, .en dl&rruveu,r-de la Con3'elil Telativement à la. œisse lle ~~aUt; venrve et ,die l 'ar .phelin, sur l 'm·_qent lrr p11M.i0ation dlUJtexte <Cctlil!Plet<:aruseM O'l\llle déposé pr.r un pa-uvre instituteur, ' l'U l'iaiutre agréaih1e '91Jlli!m.se. qu'on a obligé de faire partie de l,a Le COll'.Dité,pru: 1'01rg<a,neÛJU. pœsi.demlf: de caisse de retraite? la S01ciéit:é,a fait parvenk !Pilmsde'ILI'<S méllnoires a;us: :111to1·ités S111PŒ1ieutres; le der.nier é2) No,u1sil 'ruvons dit, cet rurt. 17 ,pri&vioit que, en ms ' de décè<sdru me-m,orlit ïu,t 'lu d.3.n.S'1Jl1les&.n<:e :dm Gram'<i Cooser:vii.le durant 4 SPil et n01us pensons lr•têresser nos Jecteuo.·s hre, la ;pensiion .se11a. a.nnlé,e-sà Ja. veu1ve e<t!1<11Xorphel iill'l en Je reprodi11Jsan,t dliUlJs ,l',.Ecdle [l'rll.ma!hre". e:cclusivement. · Massongex, le 16 Niov. 1906. Nous <li0ma11H1ons , reslpectueu1seMonsieur le Président 1rup,lruisv,ive ill!StaŒ1 du Conseil d'Etat, Sion. ment., maig ar<l'eic ce, qu ',on f.ais.sesuivre le.s mots <le Monsieur le P1·ésident, J 'arpprends qUie, confürnnément à « veuwe et or,pihelins » de oeux de i. si pœnotre vjf <lié-siir,le p.nojieitde oaisaie « père et mè·re » - et a.'U!Ss de ,:rmt•aite <lle.sin:sti twteiuJr,seit in:siti- 1üble, cite" frèI'leiste!t sœm'1S». ~Jn ,effe t~ le tex.te, adt01pté en 1m tutrioes ,sier:aidrii scrnté, en ,sieicondsdébats ,, dur.ant la p1iochaine ses-sion du déba!ts•, étaiblit une d,éfaveur très noGra:nirl Conseil. J ,e m'empresse, .an.i, table à l ',enrdimiJtidlela. pairt.ie la plus -p,oiintsde vue, nom du. personnel ens·cig-naut, die jntéressante, à ttcru,si Qu 'on en vous s•o•Ulmeltitrcie lei~ prin 1c:iipale.s mo- du perS1on.ne'leœeig-DJarrirt. ·diemala: pe!l<lif:iiC1alti:onJs qui. ,sm1llb1entd!evoi1J.• s/i.Jn- jrugie! al,or?Sq<U'on aice01I urY-ent .ado~esicents eit •pü'siar au pr1ojet SIUl.31.dit, pelrsuaidé q:UJe s.i.on a,ux fils, <;,cJ1 le Hairut Conseil ,d'Eitait n 'hé.site-ria, hcr !s <l'e néceisisité lJrcs,gant.e, d'u!ll pa,s à r eorn:maître leur bien fondé et .h1omme dtéfunt qlUfÎ.:.:i. :p,amtag·éeon ù les tmansrmettire, en leutr 31ecardla.Dttemps et sion dlév,o.ruerrnent e11tre les :c-1o n hienveill:mt et pui~amt a1ppu~, ,enfalll:tside siou s:9.;nget ceux que lui ù l 'A&F<embléelégiSi1rutiV1e dlui er:m- ,a confiés 1':F}bâlt,oette ·p,i:msiionon la ·.r1efuis,era ,a,nx (Pètne eit a:nèmeeeirttiarinJe ton. in 1Les modifietaitiO'Il.s très. modesrtes o::nent5.géls,ertibrèsifü,&ql00ll1llne.nt auxqu,elles·, vu les. cireon.s t,ances , finmea et gênés : ,d'une insitit.ut1rice,011 quû, diésü:r,eux d 'êtrei ennous jugeons à :pw01p,oo•dienioms .a.r- im,tiiûuit1e,u,r à lcl]r ~e,ole, n 'orut pa:s hésité il tierts rête ,r, dans cette lettre, sre naipl):Oll' reDJoncer amx joies ,psite•nlJelle;9,die ln t.en't arux tirois amtioles 17, 22 et 32. 1) A r.t. 17. - Il fut staltiuiéen pre- famiwled miens dié!balts,quie, •en ,c1als11dle rdiéicèisrd\u Qu'on ne pam]e -piaisdies dépensa,s membre ;palrv;eiruu, ,an.1,itell'1IIlle. <lton:m;a:n,tqu 'occnrsionneria,it à la oaMllsede 11ed:roit h la nelbna:ite,la rpelllsionne s1e- tna ite l 'aldi01ptiondie la m-0tdificaü o1n -pairnoil.ll'3 ', ciair- ,1'expé,rienrait ,servie à lru veuve et a:ux ovphe- !Slo11icitée ]ins que dumantt 4 ans; n!Ofl.ts dieman- -00 J,e p,l'OllLViejU1s,qrui'à1'évidenc.e -<lons qu 'el1e ~o,i·t eoil!tinUJéej-U!sq.u.':\ les institutricrrs DOOV'eioooo défini1ri.v.e ce qu'elle ait été perçue. pendant 8 ment qui ensiei_gnent 1pend1aint 25 n.nLs

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162 sont extnruor.dinarii1ement:riare; ,,fan.s le caint,.)n.;noUts en tr,ourv,erons tJ 011 a p,a:yé s,eiscot:ü:ia,tionsdie 40 fr., s.oit }es, in1Jé5, et les 100,triJtmlt0WrB célibataires Ille a,u to,tal 12~8 fr., v C10ill1p1riis rftis Qatpitail~sés; ~lle menirt, emipor<lepa,ssent '))atace chiffiie. tee 'f)laJr une ma%31d'lJe ao.nti:,a,ctée à 1'é• cole; e,lle· mewnt, Lrnists.aJillt s,an~ s,e* * ATt. 2~. - Ce.t.amtiele dit q,u,e« En cou.rs, son vieux père et sa vieille mèf rè1~esqui furcmt C;a!.S,de <!iesès les 1ŒÏ1S1p01.~Îtions d,e }'ar- re ,()1]1, ~e .pam1v·1:es Des,1238 f1r., q1.1i ticle •p,rec~ent sont ~p]ica,hles à sia ~on umq,ue füurniillae. e_taient ~ependant l 'ar_qent, la chose Veu/Vle ou a ses descendants. .~ No,u~ 9'e1~1~dJo~,si, nou,s supp,lionJS de la defmzte, •l 'füttllt ne leur d,onne. . . ilJLsine .r,ooe1 ,a1U1to11te l.~sla,tà,ve de remplaicer r1a pa:s un 10eDJti.iime les mots <l1e « a isa, Vetll(Vle,o!UJà IStetsidlels- vriopit rien, ca1r ils ne .s.ont pas desoend:~t~ " 'J)laœ oeux adimi,s pair J.a: cendants ... ~on .sie1UJlemeIJJt eeiux-ilà sam,n{ ~"-Omm11sa~on d~ Gnand Conseil, « ou a leur deBanl!ta 1euns· ayaints-droit ». rnym.s bi~n. trimiJtésqllliÏ. se seront priR_efiusor ,d'aldm~ttre uo,tre rée.la- ves ,d~ J•OlC!~:flarrni,Ji,a,les affin d'·aipma/hi.on semait Sjaorifiew aiœofo,ment PM:t-emr entie-r1ement à fowrsi olève.s le rpenSionne,1.ens,~igua,n,t eél iba:t,aire m;a1s l 'Eta,t riéici01mp1:ms,er,a, mieux 1~ et? ·~us pa:ritic.u,1ièt··ement, le sexe fé- devo1U1~ment,dJece-lui e,t die eelle qui mmm. se Ttett~ent ,dJe:1'oo.,;,,eignei rnent ·).}<>Ur ~, e mruner o, u T-J,OIUlr oiecu1p1er ·a:il'lem·ra . AVla.nt t-0u!t, je tiC'ns à 0onSit.a,teor ,e q 1u,'i·l ne ré<J~, henr'ews,ement P,0'1.1,r leur ,pr-o- une pla,c,c,PhllSIl11cr,a1fü, le id!évo.uiementde celui gr~ nt 1~1..ur hoame ~ll!rlche, l 'insti- co,1?1,1f)enrseat1 e.st tomb~ su'.r la hrèc:he, qui ,a. turtrwe mere d:e famille ne se ren- qll!l., eont~e p,resiq:uie'Plais da.nis nos éooù,es lutt e e,t tl'l31VailléJwsqu 'à é!puis,ement des forces! ... v a,lai s1aruies. d Cet,te oonsta,ba,tionfaite, j'établis N,e s~,ffit-il pais de s,on,g· ,er ;\ eie1:; -e~ 9ais_concrntsi, des ~ais prntiq rnes a llOl111!8]H.':S P,Ollllr•Se r,enldJre C01l1ljpte qm. ,eclarner:ont ~t sroru,hgneront si n- c~11;·h1en m aic~e,pfo,b]e esJt ]le texte .airglllhere;menJtle bien fondié de nosi r é- rete en l er. deb:=vts. clama1hons. · A c.e.q_u:i.J?rc~cMe vient s 'ajou,tei• 1a cx:ms1 d cr.at1on qu 'on ne peut eoin.Une maîtr.csoo, après 20 ans d'ende .reitlrla-ite ù oers,e1~neime~it, .s1er:e,tiit •e des écoles pouir p,~neirn ol~re ÜalÏ/SSie oc.cup,e·raill!ew:ri.s una 11j},a1ce q1uel ,c.on- !mnes CmJs·es amxq,uelle.si on n· p;e.utque; ses. pmn~a<:vei·lsée,s à Ja Gaii"'1$e e~re songe lors <le la riéooote lbi.s,cu,3_ v.aibide retr.a1t,e I:ui'.slQ,n,t 1:"errthOfWrsées i, iiair s1on; en effet, k1s instit.u1beiu:ris1 san:s ~ernnt f~més, Hs, .s,er/ontobligé.s el]Jeest .détrr111&~onn-aire. . Un~ ms:tit1;1trice meuir.t a.près. 20 de .fia.ire p~mtie œ Ja CaÎIS51ed,e -00 _ on nei lSla/UJJ. ·.aiit a1:s.9'e bm:v.a~l1S1cola.ine;elle a POlu,r tr,aite, voila 1p1ofuir1qlll!oi IC/aBI r,efuser, .s,wnto,u,t die <liéicès,, '11:~ 6111 heriJtier u,n. fi:ls légiti m e ou iJ.lég,iJtime, .gr.and J,erune hlomme dJe 20 tà(D!S ·. remhou,r.s~nienrt ,d,eis -primes mux acel111-c1.~eoe~na les. :J'.)! rüne \s pa,v;ée ~ y~1nts-droit die oelluti q,ui les 31 veœd 'éq,uité. pair s,a merie a lia Caisse de van1,âita seEs; _.c'est une questi10111 A~ir anb.rietm1oo,t iSlelrJalÎ!t enfin sou~an~ recev,m oatr H etS\tdesce,;~ ...... v,]ratnemfnt impnident. 'En, efiet J,e texte au~itu,el ~3tÎa:IJt100U1 ,tlotu/t célibatai .i. Voici ma,inteoont une ,aiu-tre ma A 1·i,ress,e• eJl , ~.1 r~ ma, l ade s 'emiwes~era, en viertu · d~ ' e a eg,rueme,n.t euseio·né pen .ant 20 alllls€lt ,véigiuJliè,riernietrut ·dE;s~œt.1~ e:t 20, de d:onner sa dé111uss1ona<fm die ne ,µa,s ,exposer ses

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héritier s nartt1.11Tel islà se voir fr'llstréts ~rès d•ansle domaine d~ iJ.'ins·tr:n~on ,de son argent; nm1s, a!lllPÎ,on,s ainsi leis prnp,ufaine... ,et ce;s ,7e?x ma1t,r~s sau,~ le rcg1me dles nndép enses de l'Etiait noiil pais dimi- ont tJn3.ivruillé nu ées mais, fortem\e(Ilt a1ugnn1enti éeis, nimes trait.et!llen'1B,en même temps c:ar, d1a,nsi l 'année, il e1<:,rt; bi en p1u,s de qrue la fr.équcnt1aition ,obligatoire d,e:s et les rp,rog,r1a ,mones tout a OO!U!P mial:akl!es q,n,e die mcir,ts ; n011,suei de- écioll,eis ,t von,s pa,s 10, ublie'l· non p,k ,s le vide q.ue notRbleme.rut nlU·gmentés ~iou1ova,ie~ eeiSdlémis1sions f.er:a1ientd'a!Illsle c01,ns et maintenaieDJt c,ontJ1·eetUx le mec:ms~ignalD/t, Yidle q,ui ne s,er.ait que contontement, ! '•animosité d!es pa rents c-t so'Ulv.entl 'iru::liffér.euce po'Ull" bien d·ifficilement 11e1 nwli. ne Pornr 0011.ls ces n1Jo.tJiJfls · no,ulsi VlOIUIS p,a,s·d~re l '.mtipa 1thie dies Commu1. prions d 'ohtenii• q,U1 e le texte die cet nei.s Ce fut s,011wentune ,exis,tence radiea.rttide so it réuaibli tel qu 'i,l exista.i,t ,a;viai111t l es pre1J11i 1e111sdéba1ts et dont ment pénib1e qiwe: 1Ja. lerur ! E,t no,tons, en pa;ss,all/tq;u 'ils, n ':ont, voici ]a. teneur: " En cas <le décès ,dlu, ,menn1br~.. . .Erurx. a1uC1Un8s•p,oir de ;iawi:r des a·V'a.nmodific,a,tioms que. g,râce les cfü1po$itions id.,el 'anti~l e p!l"lécé- 1Jaig~IU.iS1es , fédémles, le tean~ dient sont alJJp]ica•bl·eg à ses aiyant.s- ,au,x S1UJbv:entioru:; a,ppo,rtteria.1nér'JeS~iai,rerœDJt ù. la Ca:i.sdroi t » s1è id!a, riatirtaiite. * • * ·Comme on l ~a fait rern.a,rquer aArt. 32. - Niou/s,pirioœ le G.r1a;nd ve/c naÎS,<J!ll', l 'aig,p;ra.va;tÎOd'.l doe.sd&penl'art. 32, chif - ~es S1e1r1aû.t Consei l die n1()1dri.f:üe1r· 'Vlriaiment. insignifialllte fre 3, ~onf.ormé.m-erutà l,a. dieo:rmllldie'PO•rur la Caisse. En effet, admeittons foi,te p1a1rles 1.80 régent,s réunis à q,we, a,p rè,s ,a,v,o:ùrrpia,yfrellljris. 24. OOÜ!t.)iou en décembre 1905 ,eJt a:11: µrécwi•s siaJion s ami,œlLeisdie 30 iir•., 30 mstidie 1ai Oo!mlIIlissionlé~isilative; voici itiuiernrs ( chiffre évi,clem.ment exa~é la tenmur qui ,scmubler•ait 'Pouvoir ê- ·:r,é) S1o~en,t a,dmiis,en même temrp,s a:u tre a,rirÉ'tée: bénéfice ide la pension d 'a,p,rèsi l'é3. " L o,n:Siq-ru'iills sie .r•eitriirleJroint dt~ c'hellle,élha;blieà l :a.rt. Hi, la, S•UIDChairl ',euseigne1rne,nta1p,rès 25 ans, l 'Et,a:t ge a,nnJu,e Jle po,wr l 'I%tt. sei:ait at\11 toleuir sie1rvira une -pension annu,ell,e ,e.it t::il elle 225 fr., soit 7 fr. '50 pou1r clmvingè-re ca]eu.léte <l'asp,rès l'échelt1e q uie me:mbre. V.a1uit-il1a:pe,ine d,e foivrévue à. rart. 16. re cetit.e ûd1111Ction,S101111s Œe,p1riéitte :X,tie Cette pens •ÎŒlJsem é,ga~_ement pré - d'éoonomie, en défoweu,r die nOls:1paiu_ levée s1u,r les s.ubventioru~ scolaire.si n ·es et dévouié.s Ttég,ent.6de 1a pre fédéJmles et à dléfaut de oelle:s-c:i,sm miè r,e heure î la JÜais,s,e<liel 'fütait. » • * * Nous d!emandoœ l' aidicwtionde ce Vom, i\le1s~ieu11is,, lœ ,prin1cipale~ tP.xte afin quie l 'a;ncien p,ers1onnel modifications• q,u,e non1s aimeirl.o.D.6 puisse r,e,cevoir u,ne :penS1Î-0n pare-ille à celle quô.5lell".a serv ie a,uocnou.vea,ux v,oo,rintrodluites lors dies s,eoonrls dédl01I1: s le forme eS1P1ofur insiti'IJuiteurs.N OiUls ne plO!Uivons J'.ou- bats et nous ,g1aJr1 l>lier et ne ~·aurri:Jnsjarrrua• is at5tStez le qUJe·le Gr,ain,dCom31eiJne, ir'eiplOIUS9ell1a nfo~ber: c 'e1'3.tS1.11Ttcmt à (Le.1l!f d'évoœ- pas les Yœux <lJu p,e1mo.nnel en:::cimerut ÎIIlila'sSaihle, à lernr zèle adirniila- g:nant. ble, à lem· rema r q:uJa!bled:ésintéres'DollllS , 1e-sinstitlliûe111ir 1s cmt en 1eemosem€rrlt qn:i,elie Vmlai~ a dû de faire, ment Je111r s :r!€1giall1dis fixés 1Sllr le derpuis130 ans, de si éto!IlnaiD!ts pll.'o- Gralilœ Col.llsieileit, aivec Ullle vér~tatbie 1


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impattienoo, 1<111JtendleDt Œ,a1 dutir01n .dJ'u- l 'iauifîo.risationd'enseigne;r i rVelS p'erne guesition q11.llilœ ,im.rlelsLS1e<lJe,p,wis,si sonne:s qui n'ont ja:maiis p.as1S1é pat· longtf;emp<,;ih n~ r,ffilNientc.riOÏJre que leis Ecoles no,mnaJe,s?. .. Ce1-,éicoJles le ·P!a'.}~s s e refUJsiedie le1]r ,:maordet norrrrJ,ruleis eHeis c-0,ntinmieiflont · ,à volir oo g,ue pves•qUJep,a:r;torult :aililel]r!SleUJrs a bonder , les é,l~ve1s~ matis dl~s é,lèv.Es collègu,es ont o:bt~mUJ et Sl()[Ulvent a:vec qui, les rou,11steirminélsl,paye:root les ciomhieu pilws ,dJeiLatrlges,s.e! Nolis frRlits légaux et ir 101Il1tderniandle!ra,u.x v11 les genda:rmeis f avori 1siés pos ,te:s, a:nx chemi'Ill3'die fleir, am,cornav,011:1.1s d'une Oai.ss.e clo111,t le s1eirrvicecùe lia mer:oe, etc. de:s 1P,la !Geis , rémn'Iléllia)hripensnion sena ,piOfU/r rJhaiq'lllemeanibr,e ces. deuix fois pl"ù:Soo,nsidiéiriaib1e q'UJecelwi (). 'on ne c,r101e . piajsQ/lllei:e·s 1·1gnes ,~u qui nou.s €t~t résieirv~, et cepencfunt il s oient écrites dans 11,uèJsjprit d'eX'.ane viendria à J '·es,prit ,dle1p,emoonne die géra/tion ou dans mn hurt d'il1Jb.irrnj,d1acomparer l,es fonctions et le tr ,a'V!ail tion qu.eloonque : ce sielliaœt,rfüdbwle, de ll!OIS agent~, die 1P01 lice a!V,eicles ee s,eriait nrnladr,oit; cela n'eis,t J'.)la!s! fonctions S111llC'hJargées ·die r!et~ipons1a-J'aime rrwin:p,ays i je luii signai le Tu11 1sia(Illt, bilit6s .et l '&piui le 1-0[Uloo 1aibe,wr dlanier ù éiv.iit1eir et une 11éco1nipensc de nœ miaûtmasi. ! mériité'e à ·accoirdler: voilà borrut Tout le loil(g <le la; dlis,cuss~onon Coonme l ',a ,sli bien dit M. l,e Chef ::::entcourir comme lia, <.mainte,die gre- du Déipa,rfament die J 'Insmr;uction )lJfllver lJa Caisse die 1'Etat ... mais- on ne bliqrne a.UJ diévou,eiment,dJu.qu,eJnOllllS sia,urnit o;ublier q,uieJeisi <llétp.eillSlelSi se- r~n~on13:!1,omrrnage: qu1e,_g1râe1e à la, il'Ont 31;,surmées JJiair 1es s/lllbVJeJ:1ti//J111s generos1te diu 1pia.y:s, un 1S10llJI', die mpœ fédléirale.s et les institUJterrursm1x-miê- soit p.réparé à Ilos vielUIXmartl'leis· mes; tandis que la: moitié deis f r,arusqu,e wa main qui ,se ten(œ vens. eiu~ oecasi,onnés ;pair J,a ciaiiissede 1},a gen- l)OUJ:r les reme·rcietr et Le,.sr&itwnpenà 11a sex .soit une main génériml.Slee:t s1vmdiairrmerie e;;;rt ,e:x:<"1'.lls,ivmnent chaœgB diu camltcm.... iP:athique. · J,e l'ai dit et je tiens à le Tlépéteir .. G. Delrlloye, preml. ile la Soc. ba,S··talatis. <i'E1kca t iu11, oomme p,rœi'œelllt,dJela Soci&tiébaisMaÙMSJailmed 'Edirnc.a.tion: No1s l'é• * * ~enltls ont J,ei:t:ris œg1a1r,d/s . fixés :S(llJt les na.utes allltor~téts1 .de notre répilllb]iiq1U:e Le c,o,r,ps e,ns,eigwaill/t·lüiai cer1t,aiinea1TIISSÏl ',exoefüent et i!si 1-1.ttendentimpaitie:mment le ré- ment •aivec pJ,aiiis,i,r ..ürt :préi.seUJté, airu!11/om die haiooimsulfa1t d:es dlébaits;]JIOIUlr pr,oodr ,e, e1U,x 1~a!Pip pa,r M. le dlé/P(Ulbé ,f ul1as,Tis·aœsi, une déciL<iiion. LeiUJris-vœu~ afn- m1s1s:ibn, sières, de Mai:rtigny, à il ',o1cQaiS1ion 1d/e rnnt-ils été exaiUJcléls1, Üs C101D,tinrruer1cmt, diévi01uéset reconlllai'Sls.ants,ù ·fo111n1er l 'enlbrée en ma1tièr,e ( 2d• 1dëba1ts,) iS'llll" 1'a1,Cia!ÏISI.S,e die reet dlévelop(Per le cœ-wr et J 'es{prit.id,es le <lléeret Îill&tiiJrnauit ;jeunes générations; l0U!reispoiiins1e1r1a-traite . t-il déçu! A.t~és et dJétOUlriagés, M011sieur le Président un gr.and, nombr1e ,d'e:J;Jttie · erux s'en et Messieurs les Députés, iront à d'a,uJâr:es · be'31o,gnes cplUIS 1L11cna- < Vous êtes aujourd'hm appelés à tives que ·leUJ]: . Ïll!9brucUÏJon et km1r discuter, en seconde lecture, le dé· é<lUJCationleu,r 1mr-0n:t vite priom~riéJs; cret instituant une caisse de retraite et e·n face die c,et e:x:odeque .dJe1viein- des instituteurs et des !institutrices, dr1<mtles, écoJ~s, ailo:rs qrue, à -oeitlte adopté en premiers débats le 27 ocb.emr,e~l,e Dép.a:r.t.emeDJt, Ii11&nq'll1ant<lie tobre dernier. r,ég.ents, se tmlll/Ve1oblig(id 'a:ecordleir La Commission que le Bureau du 1

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185 Grand Conseil a désignée _Pour l'~- de l'instituteur en développant en lui tude de cette question, eshme qu 11 le sentiment de la prévoyance ; de là, y a urgence à mener à bonne fin cette me semble-t-il, la signification spéœuvre de progrès et de justice, et vous ciale de la loi. propose, par m~m organe, de voter La législation sociale, Messieurs, . .. . est peut·être celle qui caractérise le l'entrée en matière. Messieurs · la loi ayant deJa fait mieux la phase d'activité où se meul'objet d'un~ discus~ion devant ".ous, vent les parlements d'aujourd'hui. je pourrais me cr01re, avec r~u~on, De tous côtés, dans les grandes nadispensé d'émettre des cons1dera- tions qui nous avoisinent, on s'aptions d'ordre général. plique à introduire, dans les rapports Point n'est besoin de revenir sur sociaux, la plus grande s~mme P?~· les avantages que la loi assure, et sible . de justice, et l'on discute? 1c1, sur la sollicitude que nous devons les assurances contre la. maladie .et à notre corps enseignant primaire : la vieillesse, là, les retra~tes ?uvrièvous avez encore en mémoire, à ce res, ailleurs, le re{>OSobligatoire des propos, l'éloquent message 9ue !e employés de fabnques. Conseil d'Etat vous a adresse, et Je Chez nous on peut jusqu'ici faire craindrais trop de les a~aiblir. et de rentrer dans' cette classe de lég~slales diminuer, pour que Je cr01e de- tio n, la loi sur l'assurance .~es gm~es voir reprendre ici le~ excel.lents et de montagne, qui est déJa relativesolides arguments qm y étaient dé- ment ancienne, divers ar~êtés conveloppés. cernant la protection des Jeunes V~Vou5 me permettrez cependant .laisans placés à l'étranger, et les l01s et je crois que cela ne sera .pomt plus récentes sur l'as~istance, les ~pcomplètement inutil~ pour la ~iscus~ prentissages, et la caisse de retra1~e sion qui va s'ouvnr - de Jeter a de la gendarmerie. Notre pouv01r nouveau un bref regard sur l'écono- exécutif se rend compte que _l'~tat mie générale de la loi. . moderne a pour rôle et pour m1ss10n Le décret instituant la Caisse de d'être un agent de prévoyance so.rétraite des instituteurs et institutri- ciale · nous entrons donc, nous aussi, ces peut et doit, à notre avis, ê~re dans' cette phase où d'autres Eta~s rangé dans le groupe de lois q~e l.on nous ont précédés, e~ il faut sav01~ caractérise du nom de < législation gré au Conseil d'Etat d a".01rprés _ent~ sociale>. au Grand Conseil le proJet de 101_q~1 Il est en effet, permis d'affirmer est aujourd'hui soumis à vos déhbeque le pouvoir exécutif, en dép?sant rations. ce projet de loi, n'a pas eu un,1qu~Messieurs, pour atteindr~ l_e but ment et simplement en vue d ameque nous nous proposons amsi, nous liorer la situation de notre corps ~nseignant primaire. S'il avait obéi à créons, pour. l'inst~tute.ur, une P81!-cette seule préoccupation, une a~g- sion de retraite qm lm sera ~erv1e mentation pure et simp.le des. traite- dans des conditions détermmées, ments eût peut-être mieux repondu lorsque l'âge, ou la maladie, ou d'.auau but qu'il se serait proposé. Ce tres circonstances l'auront r~~d~ imque le Conseil d'Etat a voulu surtout, propre à poursuivre son activite proà mon sens, et ce que nous ~oul<;>ns fessionnelle. La loi vise essentiellement les insaprès lui, c'est améliorer la situation


166 tituteurs primaires; d'autres professions leur seront toutefois assimi- remboursés, avec des modalités différentes que la loi énumère. lés. Une commission, dont les attribu~n principe~ - c'est ici un point qu'il faut souhgner parce qu'il est tions seront indiquées, administre extrêmement important -:- la parti- la caisse de retraite ; le Conseil d'Ecipation est obligatoire. Il n'y a d'ex- tat est l'autorité souveraine de reception que pour les étrangers, pour cours . les membres des congrégations reLa loi a voulu enfin tenir compte ligieuses, et pour les vieux institu- de la ·situation quelque peu défavoteurs. rable faite aux vieux instituteurs Cela dit, comment, Messieurs, la dont les traitements étaient minicaisse de retraite sera-t-elle alimen- mes, et a créé, pour leur usage tée? une caisse spéciale avec des avan~ Dans la règle, d'une part, par les tages particuliers ; c'est là une insticontributions annuelles et fixes des tution différente de la première, dont membres, d'autre part par des con- l'Etat seul fait le service. Messieurs , nous pouvons maintetributions égales versées chaque annant nous demander brièvement née par l'Etat à titre de subside. Et l'instituteur, au bout de 25 quels sont les avantages financiers ans, touchera annuellement le 25 % de la loi. des cotisations par lui versées, au Au point de vue financier, la caisse bout de 30 ans le 28 %, au bout de de retraite n'est que la constitution 35 ans le 30 % des mêmes verse- d'une rente viagère sur la tête de ments . chacun des membres . Mais, au lieu La pension s'éteint ordinairement que le capital soit versé actuellement au décès du bénéficiaire ; quelque- et en une seule fois, les versements fois, en des circonstances particu- seront annuels, et limités à 25, 30 lières, elle sera continuée au profit ou 35 ans . de la veuve ou des enfants mineurs . La caisse fait à ses membres des Il fallait, Messieurs, prévoir le cas conditions exceptionnellementf avoraoù un instituteur, membre de la cais- bles; le taux de la rente est plus se de retraite, doit en sortir avant élevé que celui servi par les plus l'accomplissement des 25 contribu- grandes compagnies d'assurances et tions annuelles. rentes viagères. Et l'on s'est ainsi trouvé en face Ainsi, pour citer un chiffre, l'inde diverses hypothèses : stituteur qui a acquitté 25 contr ibuDémission, soit abandon volontai- tions annuelles de fr. 60 a versé en re de l'enseignement ; tout, intérêts capitalisés, une somme Sortie non volontaire, faute d'em- de 2600 fr. L'Etat versant une valeur ploi, c'est-à-dire faute de repourvue égale, le capital est porté à 5200 fr. d'un instituteur à un poste d'ensei- Pour ce capital, et à l'âge de 45 ans, gnement; - qui correspondra sensiblement à Exclusion, soit de la caisse, soit l'âge de l'instituteur ayant enseigné de l'enseignement ; durant 25 années, - la New-York, Enfin : Décès. par exemple, sert une rente annuelle Dans toutes ces éventualités, les viagère de 334 fr. La caisse de reversements faits seront en principe traite , plus généreuse, lui fera une

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pension de 375 fr. ; alors que, réduit à ses seules forces, et dépourvu du subside de l'Etat, l'instituteur ne toucherait qu'environ 160 fr. Ces chiffres comparés sont singulièrement suggestifs, et montrent le double avantage assuré à l'instituteur. En outre, tandis que la rente viagère s'éteint toujours à la mort ~u bénéficiaire, la pension de retraite sera parfois continuée au delà de la vie de celui-ci. Il y a là, Messieurs, des avantages marqués en favet_Ir des ins~ituteurs et l'on pourrait avec raison craindre que l'équilibre de la caisse n'en fut rompu si, d'autre part , quelques légers bénéfices ne lui étaient assurés, sur lesque ls nous aurons l'occasion de revenir en cours de discussion . Le texte que la Commission vous propose n'est point sensiblement différent de celui que vous avez adopté en premiers débats. Les modifications introduites ne portent pas sur les grands principes que je viens d'énumérer . Il y a peu de temps, une nouvelle pétition a été adressée au Conseil d'Etat contenant de nouveaux vœux des Instituteurs. Après mûre réflexion, nous avons cru pouvoir, sinon totalement, d_u moins dans une large mesure, temr compte de ces desiderata. Messieurs , en terminant, nous désirons que, lorsque la loi sera votée, Messieurs les in~tituteurs y voient une preuve de l'mtérêt que nos Pouvoirs publics et le Grand Conseil leur vouent. Nous avons conscience du rôle élevé que l'instituteur est appelé à jouer. C'est lui qui tient en main l'avenir de nos jeunes générations. Il faut qu'il leur apprenne à croire, à ~archer da!ls la voie du progrès, à aimer la patrie.

Cette mission, l'institute~r ".alaisan est à même de la remphr dignement; et c'est parce que nous le savons passionnément _attaché a1:1pays, au progr ès, et aux idées qm nous sont chères, que nous sommes pi:êts à ne lui ménager ni notre solhci~ude, ni notre bienveill ante s ympathie. Le Département de publique l'instruction Au corps enseign a nt primaire du Canton ( Cfrcu lœire) Sion, le 10 dér:cmb1-ie190G.

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A l 'e;,remple d,e nos pTéd~ce·3se1:1,r.s au Dépmt"tement •.h l 1Ius,t r uct.1on publiqur:, no1t1! S No.yons, ,a.w~omm;3'~· cernent <l.'une 11ouvelle a1Imee ~.cOl,.ai · 1el ,enre, d.eY:o ir ra :pipeler a 1 l?'0rs.o_n~ ou 11 ,,ei!!n:a.n+,prima ir e la necies1S1tll 1

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p110fe.c;,.,,ionne1le, .so1J::; peme de ,\o~n: ter dJalls la :routm,J 1..:,tcl e se mo1•...1e,1 bientôt a1u-0ess'Ollls<le sa• ~.efü• e~ d~lica'te missiJon. Le s rrem1el'3 prmc.1PPS de ,cette forni ati0n s,0:nt posus dans · no,s Ecoles 1:orma l e:s;, c 'e,s,ta.u maîtr e à Je.s.cM.veloip 1p,e -r e,tra 1lœi a1~pli q:uJer; ce] a ne. se J~on,tqwe· p1a:.:· 1\>t.ucle de rtmaité,.; sp:' cm m: 001I1_c~erna :1t J:a matière et lia le1c1bu;rie a1~1. s1,d!weldi?. revu,es l,Jéd.lag,ogjques. . , . N-o'U:5n 'inrsi1s 1~emo ,ns 1aiuJo ,u1ridh1'.t qne siuT c.e dle1rnier 1po,il])Jj;, c:omme ,s1111ons idJ'u,n te ,à d,o-nner aiu.x ei0011eo1ooi ra ,p.p,o:rtC)Ue l~, c?mité d.e clm:u u~ cl'e. llJC15 dle,ux s,001-ctes rantona,1e.., cl.mstih uteu.rs nous a, .t1rtallIB/IIIJÎ.,~. _P,alr'10e T3Jpptcmt,no.uis a,v,oiiliS.. ~JP1p 11-:t s~ (8{\~elc S'Uirp ,ri se et r,eo·ret t.o,u,ta J1a to1s, que q,uie~q1Ues membr1es, h eureusement e!l ,petit n omhrie, n.upertwm1el cn.sie1o·n·ant' néo·lio·eaient ,le s ',aibo n ne,r a1ux :,,- . 0 b . b1', revuie.s -p6c1agog1qu es, ·PIU ,rr~ paœ


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les soins et sous les a,uS1picesdes lhl- che prog •r1e:33~v,e des1éicoŒeiS. El~esi detes sociétés,. N 01ws fü} pl®vom aip- viendront ég,a,lement, aivec 1e .temps, proucver une telle aitti,tnd'e: elle ISem- un bwlletin eit rwn guilde q1U1e ,cli,aicun blemit témoig,DJer du peœ d 'intél ~êt :wma,pl,a.isir ou in,tiéirêtà cousudiber en q,u'on iattaohe à l 'œUivre dJe l 'écliwc.a- cia1sdie beisoin. tion et el~e ,~ justifie d '.a-uitantmoins Noti~e illJs1tainrlieJ.1e1C(()j[U/ffiatnldatiou que, grâce à la bienveil1ante s,011Ji,ci- s 'a1<llresise@Ul!'JSi bi,en ~fux inisitiltiutnidie de l 'Etiait pour le corps ens-ei- rbriees au 'a1ux i0Js1tiimibe1m•s 11a,i&all.lt g,I]JRJTht, 1~ situiaition rna,té<ri1~.l lo ,dies 1p,artie des sociétéis1 Vîalliafus1a1moo d :'éinSltituroewnset des instivuitrice,s •s'ie1Sttducation dioot lesi memibl'es, sont tJea1SSezsensiblement améli,o.rée ,pO!wr IlilllS - en v,er1tw d!e 1auiI1S1.sit·a\tiuits l1euir permettne de ne 1)1a)s tmo,urv;erex- die,s,'abonruer a1wxrle,va.œs(PiréCIÎJooes. eessive 1a dépens ,e oc1casionn6e pa,r Po,ur no,uis, ai:,,i3JL1lrleir de ·~a ,suite diO!TI ] 'a.buThllementù rnne de oes l'evueis · uée à la nr,é,..s,etI1te cir1c111Waii.ne . Il! J )Lù.3 écrites s1péciaùleunentpoill'r em::, -ellel 1 1e!.s1I~p1e1c1teuir1s sloo. repré.~entent l,m1J11s beslQii!lls, lem11,S1 in- clrnl'!g'eons - }VCVL ]afres de s'en ,enq1Uér.ir i l 'ociC1al.3iou térêts ; ils <lloivent idJonc en êt.re le.s leuins vi,s,ites e,t -dieU01rl8fiarûre,r1aippl01rt premieœ lecteums. Nos vœux et nos -pr,o,j .eitsi1a:i'Il!sri exPou,r tC"us ces m01tifs,, noms invip,rn ~és, nou,s sa.i.siS1s1oœ, la/Vtec rp,la1i1.S•i r tons, d'une manième généir:a,le, lei pe:r11éiioor1e1r 1au,cio1np:1, sionnel ense,ig,nant 1p1rimai.re à :s ',a,- cette. occ,ai.5ion1100:u~ bon~er mu moins à UIIle r ,evu,e péda,. enS1ea.gnant p.nmaruœ, ,a1V1ecl 'ia/315\llet rdleu0t'br,ed/ég,ogHJJUe, et llOIUJS CI'IOJYOTIISI faire œu- r&nc.e de no·tre .a1pipn.ù vouement, 1 'e:x:preisi3icm ,d:e no'/JJ~,. vre de 1J13Jt!l'!iotis~e en eng-a,geant réfranche sym:p,afüie e!t ,d)e , nOtt·Pe 1p1a1r~ gents et regenteis a a1cc01rid!er füemfrl 1p1riéfa.i te consiidér,aition. f érenc,e a!lL"\:: ,01~gaJI1P,s 1dJenoo S!01ciétés Le Chef du Département. ciap.toil'aleis id:'édJ11cia 1bion , aUL-:q1UJels ] 'Etat luii~même s 'intéirl€1S1Sle pa,r. une J . BuRGENER . srnlw,ention bien jUJs·tifiée. No,ns les N.-B. - Bien qiu,e noni,s dleman·nec1œ:n.rnatI1d:~sd ~alU\ba•Il/t rpJru.s insdions à tou,si nos ins1tri.trufüe 1n;:is eit instamment _qu'!1s ,s,rnn1t fouis dieux ( l 'E- t.ihl,t.rice.s ,die s1ofll/ sŒ'ir.e à une r,e:vu,e cole prima,ire ,e,t l 'Erziehunqs10eipen~ ,pédaigagiqUJe,nouJs 1rudlm!e~tons f'rmmd) a,!)lpelés à dieverur 1plu1s·iÏlrlltê- da,nt 1'une ou l '.1.1~rnfa:1e ,dJén. ,oga(tion à 1,e,s,~ainn,Ni :r-ais1ondiu diévelop1J,e- <!et.te règle . C 'eslt ain.s1i C}IUI 'u!lle ,~e:1.111 e melJlt q11,ci non.1,s 1 n1c1us pro ,pi)sons de feu,ille peut s1ruff:iJrie pollllr des !fr€1res klllIDdionneir . Notre ;proj,et, ,en effet et sœurs habitant ernis ,emJblJ.te e.t 1e,X!er , d'es miaantenalil!t \ es t d 'y res,e,rve.r, 1me' ça.nt dans lai même 1oie1afüiJté . .Sa1uifces ' , • 1 ' JHa!cespecialle pou,1~t0:rnsi1es a,ctes oif- ,ca,s, l 'aibionne,ment ·s,'irm1p10fS.e die confic:i!eilsimpor,tlairtts, &mana.nt cl,u Dé- venance pou,r rboru!s, 1es meŒllhr,oo ~,ans v:2.ritem:entde l_'Insiti1:u~on, 1iei1squ,e exception di111 c1011·1pa eiru,1eignainlt. mrcul ,11res, aivJJs, diecrn~ons concernant les u1embr e1S1 ,d)œ,coJr•1J,s eooeiA 1J'Ïsoff-iciel. gnant ou, les ault,o,rité,sdo;ntrl releve. 1~·:o;s'!)'J1h lic1ati.on.s · ,ooolmi:r1e1s, r,e1S1S1er reDans le cûu11aut ,dJe Jiamvie,r,1907, ron t ainei , pû.t11$ éfo.1o~teme1nt 1encon:~e le c,oqn ens·eignant ,primaiir,e in~aevna qu,c par le ,p,al.Slsié, J.es uell)SI d'esltime ie ·texte. définitif dm, ,dJéwet du :2-lnoet de confiance r.écip:mq111,e1S1 ,die;sitinés vernhre 1906 instiuu:ao:itla ca1i1s1S1e die :l U:11irtml!.3c.eiuixq:ui .s',inté~e,sJsent ù retr·ai~e. 0,e diée<r.ert ·eJD.foe en vigmonr l 'œU1V1ni <l1e l 'édiuc1a1tione!t } ~a malr ·- le J_er Janvier 1907. 1

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L'édit.ion d,e 1907 1se foj ,t remair- des a1pprentisisa,ge,s) die 1La légis~1a!ticm ..-: 1111r l 0s méltiems-, le oomq111':'1r pair ,de,ux aimélior:a1tiiot11is ,a1p1pl'lé- oaruton::>J1,r e et l 'i ndi111S:bri o, .&eis ,ta1be:1J es üiées . E l1lecontieint, <~ne.Uet, uine no- .mEil,':! .cJ1nvrieir1s e1t.wpiieie œ'nne vingba~n,e die !])iagieis1C1om - pûull~ irn,ciri pti,001 clie1s 1p!r<:ma111,t dJe,st1abeJ.lesdie C1Uiba:g,e pornr ~wentis entrés e,t soriti1s, des notes à ],e,sbofo:'1 ,a,ba,ttus, ma,dlrie,r,s,,iptlia:ncihes 1payier et à r,en1t!ier. et boits ,s·u·.r 1piied. Qu1aJil't . ramx?..(!1 :riJcu,J.teirnus il 1s ,tmor1weL 'ari.11t:r,e inno;v a1hon, ,qiui rpl,aaina1S/Ulr- 11ontégalement leu1r comiprterpia.rla, réto,ut a nx pa/tJroTil~Gt ma,~tm0s d 'était, cpétitio,n ,die1s · nombNiUJs1e1a n01tieeis,et ()onsi,s1tePn de.s r.:x:it.mit s·, (foun:·nis pia,r brnbelile,s, qui fig:ument tlJ!eipurus ,q(Ule rlq UK7S M. ViT.ffan ni, ,se,crétiai,r ,e 1e1arnitioniail,années dlans l 'Aqcnda clii Valai s. 1

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dJUJes les il:umtes b!elflbeis., ,1es1ID01Ul8'Se1S :pai11a~sri.,t0s, leS' r,001Jcies j1al101UlSes, tom1s l0S ~c11ouù.eme01Jts et 1tJ01Ultlas ,les moil'ISIU'.Je :;.uiisle Oim1e.tière,le 1:meanieret Iles v.o'l1lS,o.ff.r,ent1'imJa;ge. oèle ,ÙJemieirt1erraiin quie lieis,v,iiv.ant1Js, E1t1JT1iavoix, l '1aiv,ez-v;o1u1S ,enJlJendrrue T d,ent a:ux mor:t1s,loin, très loci.nd'ernx, I 1nmerns1e et teQ'iI1.fiaJI1Jte, v,o!Îx d ',oc,érun eair 1a1moir,t falÏit rp,e:wr ! Et ,cette peuT et de tempête, fiaà.itledies rphm:rlSve,rme g1ande mi,e:u:s:qrue mes muriaiihles. ,sés d1ep1u,Ï!s Abel, dles arits dé:ciminanits . Ji.:nmiev,oyant, te ,p\aJss111Jnt ipméeipi,tre des mèrœ et des v,eruiv,es s,a eoums1e,e,t :s,e isigne, ,avec le ,sentiSarvez~v,01UlS giUle~,théâitirieje SiU1ÏS 1, a:bîme tO!U'jou11.1s ·béam, et q1welsdrnannas s'y jQruent à ohatqJUe ment id'111m. d'où l 'm1 ne s,om t pl'llls,. A oenbari.ns hemîm"? jrOUll' •S, On me V11SÏtP.,<C'rMt qWand le Sa:viez-vouis le isipootaJcleqlllle j ',of. cœulr s1aiigne, Ofll! que le SOOllViea:iir rdes fre, à siix ,pie1dis!SIOIU/SItwœ1 .. . . Si ,cl!i1s rpa•r ,uis devient rplmisi .obsiéidrurut; mon -"'OJ s 'enJt,r,oovialitsuJbiitemenlt1 mariJ<J, 'P'lus hrubituel1emenrt 1a: sioli:bu- .... Penahez-v,<"!IUJS ,eit reg,aJlidez!. ... de esit mai com1J1aigne,,et j,e n ',ai die !\[atis non! .... Vous 11ecrullez ,cilaJD.s UJD semblant de vie q ,W8\ lia v,er(diuff/e rdles m ouvement d'ép101Uiv 1airube!. . . . Oe·s IJ)lins,la briise, l1ai rf!enn,piêite, 1eiSI rfüieralfs·,IBUi:l:TIS YO•ulS pialfllen,t ! . . . . 00.S moll"lls 1e ,s,oJeil, s,01u1r!i..re ·ŒalllJs leiS• f!!oors,, pa- vo'U/s1po:uinsllllÎ.viell1lt ! cieisyiarux ,dJê,pû'U!Ï!1rw·,e de filalllcée j e!tée SIU!I'111n foi1.1Jtôme,lP.s v1ot1Jsfixent, ces memhries, iimmJo c1mel des lrnn:nainis'PfOIU!I' .éJtio1UJff ,eir j ,eJUJ 1sais.ir, 0es biles s 'a1g-itenitpolU'rViOIUJS ma voàx et mes ,diwr,esleçoills,. fantômes Ma.nc1svo1111S1 .f1o1I1t momr ! ert·1elSvivieum.s ,1 Je iSIUlis le Cimetiène! Je bolÏJsJes . ... vours, les viv:all:llhs leis mieurx . . . . P enit-êt,r1e•r1epir1oohez-v.o p] e'lllI'IS sitéœiles; les prlod,eibs ,ua à ,l'éC/O'l.1çu1s,~ j,e les ,dJé.f,ais; je 1drus1SIÏ\Ple l,es crivaiu oe'tite .furociartfonOOIIllme 'Il.Ill rêves ,et j 'ét,eins l 'e1s1pœr; j,elllile,s,s ,e, maillqrue de g,oût, .ertvioiUJs, ,emfflff<essezbeian.lltJé, foir;bUU1e, g:lo~ne,nom, ,aimo.rur, vo,u.s ,coor,efernruei:r0es ,etemcruieil ,s, poiu,r ~ :empo,rte liouJt;,srcm!rldi à tlolllS · le,s,,c,rô.s,, ne ,pJ1111S v.oir q,Uleee grui les r,eoouv,œ: j,e v·a~sibir1oyantles· eœurris, ,druss1oôam la ver:drnr:e, 1es pair~UlllllS. eit les flffll!Œ ! l e,s fia1rn1iUe,s, f.aJiisia1rnt de ifiollllt ,c1eil.ia u:ne .... Menisrnng,e et 1llUJS11JOiJ:1JS, ! ~10,u1s,sièr,e •t:iams nom ·elt SJ8.ins ,dla1be q:ue ,T,e1su1is],e Cimetiè11ie! le, mu1S1&e de l c f 01ss1oiy;e1mr 11 :ra111m1s1s1e :poru1r00111v:rir' 1a moirt od'frialllJttoms les ,conrtmas 1bes: d 'rarrn tn·es c1a1dlaivr1es . ri0bie1s1s 1e •et müsère. . . . néant ,et fé:tJeu-re 1sillele ,condiit,é .... borne et 01pChaqure pelletée de 11111a u1lem,ce. . .. S!ang 1eitles la:rrne:s,,et I1a(P,pieH,e l ',ag,o... Comme c1e1ibams :füe1UJV1es, jie 001UWe, nie, J,e néant crot/01U,t,la iv1amté ie,tlia ,dians meis v.a:gule:Sc1rnnge1antie1S, des folie. p1aliJ1e1titie.S' e,t des, diiaimannstJOIIrllbés 1dle J 'a1ppeHeà an1Q,n ,an.dieJe ibemps:qru.lÎ. mafos ,déc,hiwimées ,et i'lJwsitireis.. . . j,e ·s l 'orfèvr,e .S10JU)bem,ain, l,e jooo,1oc émi.etltlà]es fon1iheis,effr ite le mair- ,S,JUi. hiie eit le bronze; j ',ajppel1e,à mon 1alÏ.- imilli:ardlaii.rie,diesholClhemde 1'avall1ii.'té die l ',oiubli, le g,ra111d rle'11!Vle ,q!lllÎ.pa:sis1e . . . . j,u,s,que d/MllSlai mort. charm.,iarutle1s1So,u1venir1s, 1eiséteir:neilrs Quaen ve111t? . ... ,pffi'ISIOlllllle ne rié,r,el'1m10ruts d 'rnn jollllr, les .fidélités n,a\UJ- pcmdi! i1ci,même J.a1Œ]jpmi,té l'IOOUJlie. dlonrt les g,r,ille/S·tlOlff.:ragé1es,,éip:a1v1e,s ,Je 1suiJsle gil'frunid divmeibo1U~OIUJI1S ,olll!-

Le cimetière

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TRAVAIL ASSIS ET DEBOUT S'adapte à toutes les tailles Ce pupitre offre sur. les autres systèmes les avantages suivants : 1. De s'accommoder aux diverses tailles des élèves ; . 2. De leur permettre dans leurs ch!férents travaux de co11server une attitude physiologique n'en traînant aucune déviation du tronc et ~es. memb1:e~, assurant le libre jeu des v1sccres et evltant les inconvén i ents graves qu'a pour la vue notre mobilier scola~re actuel ; 3. De se prêter aux ~1v~r ses ex1g·ences de l'enseignement, ecntu r e, lecture , dessin, coupe, couture, etc. ATTESTATIONS ET PROSPECTUS A. DISPOSITIONS

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Tableauxardoisés en plusieurs dimensions

Porte-cartes géographiques ·

Matériel scolaire officiel du

etc., _:etc.

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V O!UIS qui plaur ,ez, f.ermez !œ y~ v,el'it., le p1us 1Sllllhlimea,près 1:E~gisuir mes ,tombesi, o1UJV,rrez..J,as, siUlr. ia . q"~ les ,d\oirnJilwet V'OlUS iJDIO(I1'0Qe le, 0 111 p"1utôt je SllllÏBS\()[l he\l',al'!J~~a oro·lX Jr1tmême V10IÎX sPD- ,éloqiuenit ,oorotrru;n~,c,. la ,és,rnnr~twn ·~ 1,rmi:_1a mo l'~ .: 1 Co~e. lUli, je .pr1ooll~rrne " l um~~ .J1esuis le .s'eUl])l qJUlloovire arm néoeBsiaitDe "· Sai,dlootlrrnie est l,ai m . té. i 'Eglis:e me i1'1ésmweles• ipilins ne· j,e ll\llÎ em.iprUIIllbeISf0Sistetn~~ ·' a- be'aiu~ cihanibs,elle ,dlit q~e il v.~ iui j,e chanJte lie Christ ;'11Cltorie~, i:mrruOIDtel~,qUJe 1e OblrrJJS\t mo . }a: mcmt v.a1inCU10, ~rub~ ~le~ riessuscÎ!té, at ql]e ses. 00 ,die l 'àrue; j ',31,µpihq~ mfllex11bl,~emlt ~uscimeront 0omme il.Juil· qiUJe · ·ses ,pciD1ci:l)let81, j.e ipems. ,oe {ll11 il.t_en- n, e~t Q'U''IUllll,ioo ,d~artlbelllte;ellle,alff11r· "'"'~"" l 'E:.-~~.....;~.,.. oo .aie- mon. 0 .,,..,cu, l 'EviamigUe,et ie D.c)6a:nlle ~s,e1. gne, Je .,........., :vlèllLlo= lav di 1 c!hiaiiID • 'f oùa Sl3!Venit 11100 dlan,s!IDlelS'-p,ages,ciaŒ' me, t,hohq111e, la oosru.rr~Wlcm1 81 d'œi je pia~l,etoutt,ooles lLa~es et an\a,- ,aJU dleirnier joor, e.n U01 c 1D. ,~ ,,.J,~ ~"""" ""' oMhn tCt as œ •'a,,...,=, ,.J . , . dre...'-1.Se à toœ les, âges et à ;~tes les 8fU son we Jl8J U\V.lL~l:-'I""'""°' inltefügences. L'enf ,~ m;~peille, et dont j'ai le , 1lépôit,e1etbe,pouis!:l.ler,ee,Y\ ,a~.~ pairlClelle yemx egaires mes 1~,a:r.ste, -.u. .,.:, '·do,nt auicitme , ,.J, d1.n-"' ~ui.,,•siesgl'\a!D!dlS · , .,1, · ISlll!r idle1a ; 'est!:r,en,tJroe <ll3JD1S ;Jenreiant, •uie 11JOIUtombes, ISle ·g001V ·e ,déja IDl!alocre ,. V18aU.animés pair~ '~me, <lJe :pad'}a, mor,t: j'enseigne '<llU lontié die Dioo, dev1iendI1omlt\P()IUII' es sa1iJtrr,ien; j'éooaise 1~ '~~1-"':"~rel e penseUll"sous 'le <piœ:ds ldlumystè ' @UJS 111 n 00111ps viiv~mit, be)alU) die ~ . c,ne . a, l 'llffi{HO · · ql\]J ,1"l IS"' "',-.n:mrnie et be,alu'tié,du ,prieirmer .A!dlrum,8t ,~e Je '"" 'li~ v ...... y , ID·;,,. ~rmttiJYJlie ses :iiemofldlS; •a' ,tous, J·e à jouir. ·ruv,ec l 'ame 'U',.J ''ll!Il i'-O,DJhffillr "' , "fw , dJi.s:Croyez, iamrez,,espétt'eZ• ex'Plica!ble daŒ1S!':!aln::i.hi:re,cl. 0f',er:ne1 · 00 fête, ~.aFête des d!ains,sa dn.nrée. 1 ~ai~ 00 j,ort11r ,J,e~s'li<isle Cimetièr ,e ! l~ ~! . . . . Je suis fêitlé,:1)18l~UJt et <lie 1 enrpa,r itious, oair lia lD!drltn ,oiulbllie:per- voor dru Ciel!. · · · et ta1U1S1Si1. 5100:me. Dès la v,eiil1e, à l'ih~e dleis f A,r. d Pen,sieri-y en 1ûe visitant .. . · . e~nboos, il.€6cloohœ rp;l,e.ulfielD:t a wus ,enles beffirois; iet c 'eslt ~ ~~ main 'T)eu:t-être :7orns m ~.apparrit.1 san.g,1otéparndtu,dtains~ '1a1r,v-œx lJilllJJ~- dltiez juis,q:u'à la ,rns~rroeclboin poiUlr· lra vfo . . . . O{llliaim01iit éltlelrneU.e. sante des ,toopaœéls,dlis,amlt i8J1llX~; V'allltJS:SouïV,enez-:v1<11llS ' 1. . . . et priez . Et 1e loodiemaiin, à l'altllbe, ISl()J\]$1run pâle soleil die n~bre, on_lSle,piresCeuxqui aident ~ dams mas ,aHèielspair ipds g00\\11ipes d'abooxl, rpsuis,en fo":111e ooonp~. V (;U!Vlesen grrailllddenill, orJPheilins·, san,s le is1aV10ii.1r µeult-être, •pia1~~·, ~~ mas,atssiièp.ient1etstorobes qm .s ~ileven1t blranches, oarfois ensolleillè!es, 9\Jr tous les 1d'euils. . Jie ,suüs 1e CiroeltièT10 ! J ,e n '311 . rpais s0Ullemelll!tun corps, j 'ali_~llli.~~ um cœu1r,giuibalt, ,:uine~e qu~ Jlat1.1lit. de ce néa:r11tql\lle Je is,ullS~ qlllll. ~owe JUtsqu 'aiu CiieJ,sllllr dleuoc1at1.l~:pnlllSSailltes et j,am3.Ïls·lasses : l ',~pé!lia.n1oe elt la UI'

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nu.an-ce de l"e!gpedtqu!i ne oo.ha:p1S1ams pœie, saiDS mélblrodles1a11."lrlêtéelsi, s•a,n,spairil:îi ,pris., :i:J.s, sooJt ·pJriéoooupé:s •pe ·pai:3; wn m101t,IUD :rteg,~rldiLuii d!i.l()oorl/prisi,qlUl'ils l 'apd 'ail1éigeœha ,peine ,ou l,e fal'ldlea!UJ dœ sent q.n'il,s l '0111it rooonf.oirlté,il aiutres, dle r,enld:rtele f'lle1UJV10 ,die13Jv,ie , ,PDOIUfVielllt. EneiOJU,raigé, des furie.es 1plu 15 n.aivig·uaibil,e1pio1U1I'1 cielUIXdieivalillt I'!~µi~end s1a r,ou1t1e aJVIOO nouvell es e.1 s'il finit lf)la!r ltriOOllJPihie ·r l esq.ue!ls•l>eso.bsibafcllr~ \Sie,dmesoorut. Th lllfu'la1V1rui.ent Sl()ll we s,o,nt pas dies j'lllges, sévwes~ itolW- des rés,isrbaillcies quli 1e à ces jours pr,êtB à lblâmeir oo 1à oolilldiaon- ŒUIV r,e, iil l,e d'ev,r,a ipietU)t-êbrie ,a imiJS i ncoo1ruUJS', en4lrevuls serulement .ruelI'.Ils ne sont !l)laJs dlalVlwbalg,e:de qui i 'ont rpiui'SiSlalIDIDent oeux qirni. exooserut 1e maJ.pOllllr isre dlÏs- uu pia:Ss181g,e·, :pens,er d:'y po1~te1rremède. Ils Vl()IJ1t,,aidii pair leu1r <liserète siyml)18Jt1hie. proos à d'Î:re à œ.uix qlUJi.rpau1rmaâ.ent Ils songent moiillSà .se fP'~aJindtre de a,v,Oli.rbejsio,ind 'e,ux, q1U'il,ssioieil!t ri- ce qui via ma,I, ,qu'à :sie réjouir de ce ches o'l.1 ,piaJUiV!fieis, je'lllI1es Ollll vieiuix, qUJiVta, bien. f 18 n 'esbimenit .paSi qu' aà,maibleisou enn.UIY,errux : noœ -volÏ.là. il f.a,ilJe .sietruire q,UJa:ndl]ll sennon, P,euJt-êtire n ',onit-i1s1a1UJC1U1I1 1arr,ge1l!tà un frVirie,u:n wticle die j10UJrmmJl,un lm1.r ,d~sipOISIÎ.rtiioo. ~ 1aiu fü:ro <lie jp.Olll,tableau., un -co.noeri leUJr ,a ,pil. u, et voir fairie Faiumône, •a1Umrui.ent-ils plu- pn1deir s,e,UJlementq111aJDd ils tCIDt u9l'e tô:t besoin ,d!'êke is,eco!WrJUS. ernx-mê- criitiqiwe à fommuler. I1s exipriment mes. QU! 'm1por1te ! Jls 1ari.d'entrpaœle'U'r lewr .aidmiraition,fooo-,pwruis:itr CXU!lei,.111." e, J: me d''1a1utres lem · bolJllllev.olontié, plalr leur CIOlllllPréhen- ap ~.:,,1~oh:-tion sio,n, piar' lerur syrnip1a1tib.iie. 1:ilâme oiu leur méoontentement. En wia1go,u,il:; ISlaJV.ent ~e gêner Hs rellJContment rnn b.alIIllbin qui nleu,rie rpair'C'equ'il •cs·t ltlombé ,d;airu:; .la nnur fruire ph .·m ,a!UX1ruurtJre,s;à. l '~. boue, qu'1l a déchiré ISK)npa:n.tbailon, gJis·e. ils n' ,aia-)apament 1pats lias ooins qu'il seria g,rondlé !plair/Sa; m~n : Ils ·dos haines·; dlain,s1a vie, ils ne jou,~nt s·'a.mêteil!t 1polllr ,s ',enq1ulérirdllli motif ·p a:. des c.oudi~s1pour se ftrtaiyer leür d-J ~on grroo 0biaig.riin;il,s le dlé,brur- vo,ie ooû,tie qrus- ooûbe, sa1l!S tenir · 1dle l,e.un-;prœ b:r! ,i .:i, bu1ri.llent; ils tiroot leuir moooho>i:rde oowr te dies dlr'}itis leu1rpo~he ,pour: le mo'lltehe'I'e,t 'POIUJI." ,( )11 ne .f'aœt :iama1JSarppel en ,~ain ~' l,e:1<bolll.Ilevo lonité. Ils !Slontitouj,ou.es e'S'S'UV·e•r se.s ~armEiS. I1s luii donnent un e rpe.tiltetiape '81\llr lia jouie eit le J:ias- pr,&i.:;à 8000:U '.:.1.T les· foJi,blies~à SOUîe,cbia!Iltc~,e'Illt.IlS' n 'acfa~ ~re nt: •1a,,diéchi1~ure n 'esit 1pas· ISla!Jls nir: ceux :q,1111 11emède, ma,m:-1,nne g,r,onidJeTiai pas si blc:nt pas 1eis Yid·,imes· dlw vice d'nn qiu.e forL . . . et l 'enf ,alllt II'lefPll'lendi s:a -ct0 u11 ·- méipœ de phairis,ien; ils sa,vre!Dlt ~0 diéjù 1:lo •Ult con$lolé. Oh! 00,mrL01e ils s'il:; ,ont été g·airidés,ii1s le dloiv;ent à 1·c1I1t•aÎ!d·é ! Longteim:p1S 1,peruit-êtire, il 1e,u ~ en1Jolulria~2,à leur édmC'.aition, ga•r<llerale so 11; 1enir die cieuixql\llloint a,ux cir'CIO[ls~a,noeis rpiliuts; qUJ'à euxcompiris s1aid:étr,essie elt cp.triÎISI isiapeine mêm!eiselt ;pirurtoo,qu'iJs le sa!Venit,iils IllC Œ1E.poUISI.Sle llft <r,er1sloome l.oin d;'ei.t.x:, P.d1 p iJtié. l,e,s. pfos La mailignit,é cp. 1JibHqrue., la j1rulo 1UJSie et àevamt l,eis ,1)uis idlégmald!âs, · d lèseEpéré/s, :ùls font 1'ulÎlne en~oo,e l \-.s.. ou lia hêtise hu0111aiines ',a1cibirurnent r de 1 Jar,éd0'Tll(ption tpOSIS'.Î.ble . contme un ho1mmle'dionitle oui.meoon- :pio.i 1sis,te à être S'()ll'1fil ,dJw!I1a1rng, ,à ne ,pa:s H ~e pieut_qu'ils , soien!t fa:'1apj,eune&, chemiiller dJan,s,l 'iorniièlre;,à. pens,er trr,r, inex1p,ériffienitas, lùl'iOtp IDa~bi·:lJ lJiatctf.rement q1rue cEMJe,prwi:ssaooe q1Ui le.:;rro1U1r q1Ue1~111ns a1etes,au 1em'S J}ai",g,rimdle :im::ltpor,1Jam)e, s ·,,p-pel,le la foul,e. fis, lie sialureDJt rnl,es aient u111e q.naind iJls le renoo1IJ. trient, arvec UJD.e e\t cependant, ipaiooe qrur'ilrsISIOO.llrieDJt,

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péché de ,ciroire a\UJ bien,, où ~air' 00111 mé;p11,istu m ~alSeml)ooh,e dle me re 1 . [•tPe, to1U:ts,e ·Sena.rutbeia,u,oo!U/P mienl!X: 1,ev,eir Tel 0ibu.s teJle rpilaü.esoCI:aile se foi t s,a1ns noruis. -dlres81elraioot,en rioaiœnt 0t iprPC1ia1D 'aulbre p,a!l'tt,,q;ui donc, ldlep,ro1})01S 'l.ner,aiie-nt qflle si IClefll!Xqmles comhaltd!élibérié se fJ'.)llarÎirtaiit à enwêcl1,eq,·le t.r-u ie'Ilt ,ont écho!Ulé dans ;}eUlfs eff~ hi en die se faire1 L'anairlCÎb.lÎlslhe qui c'esit. que no1uis les en a.v1œmem~ pl.a~e n'Ile bomhe <lta.IJJS 'll!I1 iétdn,fice.pu~ eh&. s. R t qn.1ed 'a.uimes •reiprœlhe&, qrue hlic ,se cons idère eomme l\llll bi,einf'ai- d 'arri/tl roo oon<lia11nn• a,t,ÏiOI.IllSn mtente!U'rd,e l'humanité, eit [ 'éig,oïste,q:ulÏ. 1d/r1aieint ;pias beatU.OOIUlP id'~nlttre~Oll1S·, ne iremuierait ,pais um dloàig.tp!()IUII"le qui crioioot ;poorrlUlU:llt la)Vowr ltio'uciOl\llfS bi,en-êtrie ,die •oo.s,S1em bl1aibles,ise peir- été cLe1sgeœ de bi~n? . . S1UJa,die CJIU ·e la. s•eru1echœe q'Uleses lSle!IllM0!is le oontrt11r.c œ JP!rOO!ui'l"alit b 1.a(b l es demande-nt dle l1rni, c' ·e&tq111 'il a:ussi. Les s,urrlpri~ ,sieraâ.entœdieM les ]'8JÎrs1S1e t11a: nq1Uô.lles. nallmwes. et , pa1l' mi 'COOL"!(13.lUlX.q~m 'le Piauir siaivoir dtalnlsqoo He œ)téigoirie t émoig11Jaige ,d'lai\"OIÎ.r O!idésetrait ren 1101U :s 11amgier,c'e,sit;à œux <all1milieu du, d.~ humhlœ, idk=ls s'liIDfi)lles, des dies,qllJ011s nous vivùns q1Ui'il,faUJ<lJnaiÎitcœ:u;i·sdlroits, -des hommes idlebornDJe noius arllœlsser; c 'esrt à nof31JP!l'OOOeJ51, voil:oDJtéroipon<limienit: llO!lllS n e l '101à noo anrnis, à ceurx .a.v.ec[e1Sql1lie1s 1a vions jrumaii.ssu. vie nomtsa:net cihruqruej,CJ!Ur en c01I11laK?lt A 'Ill jon11ripiro,cibie0111 lomtlaiin où q;u 'i-1faiudlna,it le ,demam:der. A tcrus l 'l11U~nilt.ê r,en.dlriases OO!lll)phes, les ûeux-l à nexus d ev.rions '[}OOllVIOÏr <lii,rte: ums, ceux qiui arun. 1ont .aà.dê,~ponq.U!el rôle jaooD1S1-m:me iaJlllprè.sde doonit:: Qwand donc l '.a,v01ll&- nonu; VOUIS' Î Empêch0/11181 - IlOIUB 1 Aiidons- fait '? Tili.les aiœtrœ·, l,es ,empooh~s. nows,1 IDt nout&reouil:alntd(a)via,111 !Ja,gie, s'écriront: Qwarw]i ne l ~a,v1oall!Hll011.1s ,p,oiuir étendre IlJOIDfle horizon, IllOUJSéle- P,füS fa.if? via.nt plœ ha'lllt iJ)Olllf é1an,g-.iir notr-e Peut -êtrre le meilll·ootr. mk:>yoo.die point ide viue, c'eslt à ['q p:iniorn i!)IUih li- }1/00lJSiassn.1ll' or die 1,a,~laltégorie dews la,quie tolilt eintiè11e, cibiriVo,yairuteà sies q.uienenOllu.ssommes rialllg€/Sicoosisltebeuiries, m,a:lgré s es avemigilemen~ de ra it-i,l à Olll'Viflir l'Eviangiilie de s>aint 1s.ur±iaicie, q uie 0011.1s dleivrrii0ins 1po11WolÏ.r ~f.artthi®, aUJclia,pitire XXV, et die lirJrier : nobre ·hiameaiU1,m:itJre vil.Ja1ge, 11·eèœ,puti.s]e vietnsie.lt 31 .]~ d~ioo noûrie cité, notre ,piaitri-e , iJ.'hrurnja niltié de œ j utgiemeut iau sortir klluqiaerl clm.tout entière bénéficient-Ïll& die noif:tre û UJD..satll!ra, siams,alP/PeilIPIOlSi'S!Ï.ble, qinel l:lXus ,ten~1e0/U en ,scmfifrent-ilJs'? le.s a- était le vrtai nom q,UJe mériifJaliit ISO!Il aevons-oo,us rendJus 'PilfleSIO)U.imeiileull'IS1 ti v.iitérter ,rieisiœ. Oeuix qrrui.IQ!Il,tfaiîm, ,ruicfons-m:ollll-J '? em1p,êcil:ronis,..lli)fl]B 7 ce'lliX q,ui oot ,sp;if, œ,uix: 1qllllÎ.sKJIIlit~ 'I'oiwtes ces 1voiix :r,errudmaient:I)eult- J.e•séit1r,ang€.l'IS, les, mail.aidles,lœ p.riêtre die\S•vero'iots q1111 i. n0/U1SI étolllne- sonrrie rsi ne form e:nJt-ilSi )J'.l(alS1'eœiemr1aierut,no1ushuo:nôJieoraii.eaJJt, noms.~ b le dia genir1e• humalin 1 Fioru~es.affa-p1limicJJJt mêm,e 1dJe ·r,ennood~r,eit d ief _ mées de bon!he1111r, cœuJr6 ruffiamœ firoi. Teil jerune ib.lQlrrnme ·dléM:>,yé, t.ellie c1~aff ercbi.01D., VI011l~ • itoust [ee :iBPllés, iœ femme to1mbée, nous cviemaiient, dlu sa,ns f Q1Yers,srains:p1alllrie,â~ enrlbfond die 1l,e111rtiatnig,e: T.e &)JUlvïÎ.en&-tn? lo,ries, et VO!illS les maiLaille~ q(Uie 'VOS T e IS)oluJVÎeins-t:u <llu j10Jl1lr où tl:Jum 'ias maJaklii.asroierut -plhysiiq!Ule'S 10Jlll ,srpiiriemipêlcthéde ,sUJÎvre lai TIOJU)t0<llude- itue1les, r1éeHes oru imagin81ioos, V10ll1S voir, où platr tOIIlexerrup,lefu m',ais eIID- enc oire les ,pfllSK>IDJiliens q1111i VOIUJS défoUls unie tenidlamceà croi re q111e nous ql\lle, ipeulta,r.ons « fo,u.t fuit », ,aÙJoll\5.

rh~o-r:i,SS)el~

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anttant. ,aiu moin s, q,uie ,sia,~e~ · . . .b • ânœ , ,. P.a1f\Otle « Cornn:aQs -t œ ·w 1-m , : ., ite d 'Ulll siaige, o11dn:ce 1P~ ohe~, ,ptec .e,p entre t,om1sdifficile ·a 1PX!filt1q,Ul er~. ~ . <llarn~,]a qiue.sition q,~1 1101u,:; A..IJillSl, VIOIUIS ,oc.·1c urpe, lequiel di'•errrlrr'le Il QIUl~, Je ..

1e deroa!Il!de,r,ép,ondirabJar1éLl!Illlent. ~e ,;i,· , qm ellll,ipe·S1Uirs,d,u n:omlv-r.e w:: . ceux . ' client, De rooin vrai nom, Jie 'Il; atppeÙe ~mpêchwr ! Ah! bien rp!u~ ~ n,oua s éarieriionJSino:uls rpaa: ((~ 01, ).fojt,; . j 'a~<m; de t~tes .~ · rrœs . ,. ,;,clle.·,'ai 1a; 'J'.l18JS\S1JJO[l kl!e1dloinneir,~s J d,~ ·, · " · ,' ein~ :llre 'congeils. je n ',as)p11.I":e qu: a m~ !' 111ti •l e à mon pJl"O icihiamen le ~ing·~t, ;n ]ni 1uoDJtriaintlia voiiie·~ siun.lV'.re. S il . ne 'flel.lSo ' '"'!IBS!e a,rniiv e ql\lle Je • IJ)JaS ' OOilll• ·iort11tis. ]1ai foiuih~ n 'ie<n eS:t ~ a mon., ;1n1a1i ·,..," à< ,c,e.uJX Q!UlÏ.si'icilbstme ntn1IOa Je :nepiaiS , ' c.roii~ei\ mon e~ne,ime, g,"';"'.- VOIU~ Jia.~si.!1-id,eret q~111. omit,~irefielre l<ffill lUimie res ,aiux Jnj1Jennes' . C FA uau ~ s.e1fons ,]Je, bolllne f~. , ~ · l e be,s,oin d'a<Ïldie.rasit inhfo :'len~ a ;i lmrniari. ne n,ajOUII1e ; il na.i"lt1dluibesorn_idle f aire .r,eroia1rq,nrer, die ser,rten'.l.àlr'e mdlisi·pei:I!IS 'able, die .sie _diémenieiret ~e ne,r; -ï1 l n•aît cm m.1:U~ohooes1 q1111~ n ont ;i._

De quel côté?

:se pw-

o)lais ·1a ip11 ·us loinibai~e iPfall'len'.lJœ --~

i ,a,momlr dJUp1ioohaan. Les, mo,u,.;,.ues dm cocihe SJOnt]légion et nolllB .a,vons

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188 baittez dieJI!rière ;JieslbaTfI1elal1l!X d 'um.e œllude cm giu!Î.hooirltez vos têtes oonitrr,eles oolbriaivœ die wa'Vie, V101UJSles œptifs du vioo, dn.1J imeooong,e, die l '.alicool,d!ll rpoohésous touitœ SleS formes, n'êtœ-vOIUSl]1aS le 'P'ro~ihain, œmaqiueIlOIUS ml'VOlD\SI ,atiœrt

1,es yiatlX : il ·a 'V'UJ1e rpatrti qru'on :pollllv,ait ,tire1·,et il en .a oheoohéd}~rt~, ob~e,1,vant de façon iplnlis ·rnflooh~e. Oe,s oonooridlainces, œ l5!0!Dlti1es•farntls

m&tléariO/logiqueis qui l,e.s_luii,ont fOUlr; nies id',a·ù0111d.P,ainrouttl'l 1a œmistalbé qu ':awecdes m11agesdie teRe ·fior,meet Ah! dites, VIO'US aiidlo!llS->IlOIUS,VOOB die teille ,provenance, à te1le siruiron, il tous qllli 1riepll'lésenitez sllllr illaitetr1reCe- dlevaat s' ·alttendmeà die 1ai;pluie, à rdle 0111.à d!el '011aige. De la dirieiclui QJUi,'UJil j-0,rur,,tôt oo itiair.dl,nOIU$ 1a :rueiige tion ic:Les ventis, il a tira ,arolaslÎq'lllelque classe1rai ipiarmi J.es empêcheurs 01U en~igneme!l/t: fJnfin, à mesume qu,'il ,ptaJrma.les1 aideurs? M'alisV'-O'US' aJUS1'31Î volllS'VI0!1lStaâsiez. est deivenn.1iµ.lus .aigriicuiliteuœet éleP0111Jr no~m oonnaî1lre iil!Orus-,mêmes , Vlffillr; il a. ·a1ppris à ,tilrier <ltesbêtes ,et c1esindices 1d ',01I1(ll'e miéil n'y a qJU: 'un moyen, infaillible ce- dies rpl1am1tes ,rodimenlui -là. Il oonsiste ,à n-OfUSI JI)il.iaoor · dJe- téomologique. Catlt:e1001,en,ce s'œt valllt le ju,ge !SIUJP!l'ênte, le imitroû.rvi- i!Jaüe, oourvent pncJiblémaitiqUJe, ,orisitmJ.lilsée , e n un non::füue octnJSidâI,aiviam.t,en fiace <lie1a 'Vie 1p1amfJa1Îte qui ble de dlietoœ, de oroyaa:ro~ q1111e a; ~é voowe !SUlr fa terJI!e il y a, iprès l' on :r1e1bmuve ·dians tous les ,pays. Ces de <lfe.uoc mille nllliset à fiaii,rienotre di.etoœ, les citJaldlins œ ,l,es i0oom.a~ examen à la 1Jurrnière<lieoobte cions:palS,OOOIJJIDieil!es cienoo de wJtre 001I1SCienoe ,qui ne sent g,,uère: n '1a.yiaint soruci die cmù.rtrulnes ,q,uri.scm1t oon111a.îtni ICIOIID,PIOOIIllÎS,ni :falU!X- rUJr,aiùix:, loor uniq'llle 000upa1tiion,et hmr gram.f,u~~ants.H noos faruJtDJOlllS OODJ(p1atr1ell." s'intéà celui q'UJÎ .estl 'ial!l'.OOltllr,erur IPlOlllll'IIJO'll- de préoocn11paition;le.s cii1laid.iiDs ·retssient ipel\l' .a!ll< tetmp1S qru 'i:1 fümai. Car ,~oir ,a,îdieT il .fiaiuitaâ.metr. il ne / A i,mon&-no11IB ·'I T10Jrut iest iJJà . M:ruis s \1 peuit les gêner ,ou oO'IlltJnan:i:ier, oommenit .aimer 1 <l!em/alllldJeat)insn0'\119 peut ig,u,ère le& emmicllÏJrl()U; aff~paroiCe 1SOID,ff; toms, car enfin 1:JollliS1, oiUJÏ. IUO'm3,, DJO/U.8 vrir. du moins drreote!IOODlt. les e1rumpaig11:aJrds,, ,et sUJrlbault ,a0U1X qrm VOt11idlri.oœ aidJer. vivenrt • a in contoot de.s :am.Îll.llanIIX, q'lli A 00/bte ,qilW€ilfu>n, q_UteJ ~hiwnmnité Qn.t , f icmmi le co1I1pS1 di e la méiœlorioloentière réipète, IDuigèrre,ile ,boo 1poèfo, gie am.imrule. ,de .la 1prréldiation 1cfu via répondlre : 0011'.li'PS d '181J'.}rès les manrièr.es de f,aire ·Si VOIQS voulez aimer, il itia.'trt,croire d'a.bœid'. et l 'artrt.itrud,e dies ra!llimalUx. E11a(llit ,phJIS Joseph Autier. intéuessés am: obser~ reqiUlises, i·ls y étai 1en t ipiLus!aJPltelSI ia/UISS'i. A U13·1si les <llÏctooo re~artifs à La !pl'lé!diction Baromètres animaux 100itein:J1psd' 1am,rèsles ani.rn81uxtiannenit-ils UIIle pl,ace 1a1S.S1ez iID1pOOTba.nte, Bien fom.,gtemips,0N1anit,qiue le ba- } cômédie IC'ffilX q111i sie r1a,rppontentà romètlre n 'exisif:âJt,<lès lai ipwœ hrullte oeititiemême IJ)l'OOictiond' 1a,pirœ les runtiq,u,ité, ~.elo,n toialte ;pmdba1bilité: aspeobs de la naitiure. Ils ron:ttrès v.ail 'homme 1a cb.ierohé à IS!efa:iine 'llfl1e ri éis; iJ ·en est d'a&Siezexiacis, oomme idée du temips .~biruin, 1P1aridœ :n:ro- il en est de i!Jrèsf,aftllX. I 1l n 'es:t peris0111Iro qi111i n 'a:iit ernœnye,nis divens. ,Sa.n,sdoulte, i:l ne les ia pas ~h0rohés, rtouitId~aibo["d;:l 'oibser- du di11e: v10,ilà,1-eichaltq:wis•eŒiavedeTSialWI ~ion l'UJÎa simplamenit fioumi q,ool- :rtièreles 1mei:Hes,il VJavle1l!Vloii:r. rud<n1œ 8ll)rœ. .. mrui8 quies ooncorr,dliunces. Oooi lui a 1Q11v ,mt dcmteJ il pleuit .tio 1

,a1UJbau!t 1dJ' un temps qu,i rpioot êtrie ia.r momer la .pl.me; ~ LesgeJl61POl,Slitrès long. On giaigne à ,tJOIWt tOOlll!P 10D. tifs, ce sertalÎitsimplement 1Plreimve qJlt' falÎIS!amit cette prédliotion. M1aiis qrwand il désir,e se fJ)!l1rrger , .cm bien vomiir, üll ·1a forrrnllle, ,en isouis-eDJ1Jem:dlailllt qoo ,pour le bien <le sa earuoo. Qoom:l il se 1a,rpl,UJieviendra bientôt - OOlllSles 11cm:1e, ,on dit qu 'iJ via, fiaire dlu vent . 2t~ hem'les a,lll p1rns - on se trr~ml[)e D '·allltres dü~ent que la rpeasn1 1uii détrès 1soU1voot. airr1ive ooDJStanrum~nltrnan~e et qu'il ~he1œe à se g:rta:tlter que le chrut se lave ·dloorièœ Jes•oœ.iJ.- ')Jar les moyens d:00:t :Ï!ldiisqjotse,,aiuoc 1es aairu51qmie le IOOID(J.)IS · ·se mertlte à Œa end 1mtis -où H ne rpieutt tprute:r. IllÎ m pluie dle iplUJ&ienris jou:ris. Bearwciooip dient ni lai giriff e. Encarie mie fuis, de chruts sie 1av,enit :arunisirtio.us l,es 1'i.nterrprétatioo ipqpUil,alÎ.irle peut être j,oums. exia/Ct,e; maris Œl n ',a ,point fiaJi.tles..obÂrul 15me ,sioolte, d '1 3jp1rès·M. .Sébi'1- S'er'\'·aJl:iOIIllS isiystémla.ltliq'llJeSi et sci:eD!ti lot, on dlisait oOilllIDllfDiém.Dlte.noore fiq,u.esqu'il f.an.1111lrait ,p,o,a:rnoos · ronqaie 1sile oha1t s'ais1si!eid,au ,soiLei l et se minare. J 1en ,dina~ ruuitlant~ 1 sàgnes met à faœre ume itloiletteinltiunie, en ~uivirunts qui passent. l)OIUl' indiq/ll.€11' ,µriojeoamtt une dlei&pa,tbeis d'ianièœ la 1ürnie : la v1ache qiwi, a,u pâ1lulrege, au-d1eJSS'll1s de 1'oiieille, il ,dlevJrui.t ipÙ.OO'- se rouche tôt dams '1a jo,wrnée, le v1oir .dans la jquirn.éle. Il d:lamlt croœre cJ:iien qui fia.i,tdm :1:Jr!OUSen tertre, l,e l es mœwrs hœuf et le 0he!V'3Ù que depui'S le 15m" IS1Ï.èo1e ,q)lli éftendent Je ooa. des cha{isont oblang,é.Gao.,•il [l '•esltpiaE! ell 11ooifil:mt l 'air', Je chevm q,rni est die dh'31t ·soÏ.gnioox qui ne fastse ce plus ombrageu.'C que dJe coutœi:hoe,et giEisrbeto:uisJ.es joulrJS,eitipcxuuftlatnlt, il ne e::;,tinqwiet, J.eOO!tlail, qlllWlldil se r~ p1euitrpJaJS ql]otiidienlllelIIlent.En iréaili- siemble ,aiu même boutt de ch&n)p et té, le chat n 'mdri.qi~ 'Pas, g,rtlll:l.d'oho - tomme la. q,u.eruieal\l v ent, leJStml()(DJt(mS se au temJ*;, q(l]J'il f.e:na~ Phil1QS01Pihe, il qruairudils se mss001bl.ent l0'ts,e P'fle&s 'aim,ooge du rtempis qu'il flaii:t: il ne •senitiles un s contre les ,aiu!tiœJS' . Diall:J6 .i®e pais ,am ip110phèbe,iqf®i qn'œi re diemieir oos,c '.iestlllll oiriage q.ulÎest en dii&e. probaible. Le bœuf et lie ooe'V'rul qrui. En Br,etagne, le poire ieltle molllfu1111renif1lenitl 'a~r s 'exphqJIIBDitrpoot-oorie ~ont oowvent inharoo,gœ e.n œ.rutq<tœ sam :peine : iis rerulleintl ' aœrdéjà rtl.- • baimmètves nait111rels.Qu.emd ,le poire frlaîcJü 'PM 111n,e p,l'lllÎe lmnitlaine et grog-rne et &p,air,po.J.le sa liJtièœ, c 'eslt po,rtie1ua.~dl'une iùdielllll" c:rumbltérisluiq!llle. œ qu'il v.a y avoir mruwviais,tlennlpls,:.et Il n 1y ,alU)rta:itlà nmil1epœviSIOOlll; d 'um eiettiten~ti-0,n sie inrlrrol\llVle de l 'iaiutre serarut seulement une .ptero~ côœ <lie•l'Atlantique, orù 1 'on dtùt q1m chiangement pTodro.ità qœlqrme 1d!ise ·et q111i ia, .à/es0.bra:noos die s 'éteinl,oll'sqru ie le ·pore gr .og.ne .et ,s'ag:ùte en 1tia1rw toms sem, tenmt die 1a p1 aiililieIOIUJ,dJe dre. la lirtJièœà la OOU/ohe, le te~ Via deIl fanl'draiit tro p ,dJ'e.5paiae pout vemr manmra,isi. I18/PIJ)OI'it:er tonltes l,es ~ P001r le.~ mo,rutolil!S, iws,amn.O!Il.ce-météorologiques q11:'·001,amtrib~ ,aimx JP}Jmt.ôt iarux oi :naielllt le même fialÏit en deven;alllJtfu- mamrnifèroo, ;pa.SSIOIIJS lJaJveir Jâtres. en jouamit ,et en ù.'llfitJaJnlt les U!I]S sea1Ux.Oa,rill:3,ont, eux iatlJSISÎ, tu ipr-0phétiqu1e. ool]tœ les iamitries:eJt ceci Slelrlaàit ,UIIl fai,t d 'obsel"Vlalbi.001 .aJU!X Etaits -Unis « (~u,am.,d Jes iam.ettessententt '1a,tem. au&si bien q,u '~,n Fnmte. C'est peut- peste eism()/\_1JV10~r en l'air et qu'elles En Bœtegne, le volent et erieDJt su r l 'earuie en bas, êt1~evrai :d '1mlJ.,eUII'IS. chien qui IDOPd l ':hetr.be;paLssiepOUT c 'est tiligne q11'il p lou.ve,ra,aa!llStiem.-

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rtiou du ,gibi-er. L',agiitlaition ,dles hijpeste; mais .q111and e11~ .sie ibarisre.nt. e:1- 1r1cfildelless<lJUll. \PII'écèdiel '01riage tient 1 les re.dimlitenit font le lbonnoHe. is1o;u.vie1nt à c1e •qoo ,1,ersmoucherons , Quand le,s cygnes et loo ,oies· se bai- scms l'influence ,de ilJa<iliail.erur,so[lt gnent ,et se débarobeDJte111l 're\8!11, il n'y ;plut,::no.mbr,eux: 1011i1es ont hâ:te de les anua MJJCrrnne f,a1U1lte qu'il ne pleru,ve éiainltrnr er. oellu1 j10l\llr. Le hémon itrilsctJesurr le il est l\lill brutu1aKlienql\llÏ .a l,a rêpuboird die l ',eaiu. et ne sie rn01UMamitsi- tlrntfond 'ê)bre ,palfltielleunoo.t.bar>omégnifie l 'hyver ipŒ".oClh.ain, etic. " ibriqu,e: c ',eslt Lai riamelbbe ·. Les gr.epriophèAinsi pairle Noël dtuiFad,l. 1\i.Lai:s n'y noruilles, en générol, siell'!aielllt : ,qruaiDJd: elles cfüan:tent plus 1a-t-ilprus quelq111,e p,résom1,tioinà vo,u.. ites a'l1iSSIÏ loir tir,e,r ,aiu:g"UJlle die la ,trî.steisse du qrrued!e co,urtwme,c'est q1u'il v.a -pleuhfaon, A-t-on jrama:iisV'ù 1Un héron rvoir; q•rnand ,eil1es·s'ébattent bruyamgai! De nos j,01um·,1a rporule q1ui se ment, le ·pro[lorSitiic,eslt le mêmti. Seuroule &ans la :pollllSISlièr1e ·priésrugeir1ait lement, on n'est pras,rtort1ità fait c1'a-cc0fl'td. Si ,c'est <llaœ les Vosges qn' ],ai .µ],nie en Br1eltagne e·t dailllSles Vosges. Un pe~ ·pamto1Ut,~0<J re, c'esit si- e.Ueaehia!Illtenit,c '·eslt •Laipl:uie. Si c \,st, gne de ,pluie quand l 'h:Lrondleil le v,o:J.e en B1~etagne ollli,en Poi,tou, c 'esit le ba-:;. Même intcmp,rat.laitionqn]and:·les be:aru temps q'lll 'il füuulta,ttetndre. Le vairie iœ'urrrerégio111à 1'alll:le.l\l/11S :plumes; qnawl rp11ono8itic oiseimx li<ô,<,,ent les -pouilesharttent des ailes, qurunrdlies tre, ert 0eci oomipliqflllel'emplo ,i die l!li Qfl]OIÏqu'il ,en ipig:e01ns•r ,eviem.nent en bâtie a:u co- barométrie zo1ologiq1Ue. de liai a:ia!inette,ai loID.bier, rsi Je riouge-go,r,ge chante soit, la ,ré.prurl:Jatio111 lon~temps et :fülrit,& 'il se :pieirchesw· ipaœutirès ,so]idement établie grâ.cre·a:u le,s hr,am.(:besles plllllSha1urtles;qua mi rpia.tronage que 1wi,a, dlonné l e ma ,rélE:s piinbades cb:anteut iPlll$ qrue de cbiai Bru.ge,an:ud. C 'élbruiJtruill'edeis orodu roai:r>éoo,tl co,ultume, q1uand les grn,p.,t,·mènent. yainces 1es pJrus,f1era:nesi que, .SJÎ l'on enf e1rme , d ies 11ïalinerttes gmand taip1aige,eltc. ,oo'Il:s u:n bocal · r ,enf ell'IID)alilt IU\IlJe, pie!tite L 'énum&.rn\t:iion1pol\lll."lliait sle ciontin '·olllltd ',a:urtroesouci T,01Ut crela es1t-"il échell,e. i0e1:Les-ci DJuerfort lo111gtemps•. vie qrue chalil)g,erd'é0herlon exn:cl.î C 'est-à-drure le-s faits, S\Olllt -ils dJa,ns :s,e],on 1a tendance dlu rtiemps 1eltd 'ine~a,c,ts1 Les ,piouiLes1steroulent-eilles 1 .~iqiuerr pi111· là, al\llX ,obse!I"Vialtooll'ls plulS diarn.s1 1ru,poruJssièlfle 3 ou 4 hem· e.s pie111srpic1arc ,es, ]es iphéncxmèners rnét.éio ... ruvant La 1pluie que 20 0111 30 heures'/ !,oilogi.quie,8 M1XqU1el1s ,on. ,dioiit ,s•'artibeinOn n'a ·p~s, là.-dess!US·,d 'o hse1rvation.s préci.::,es. Pol1.lll'e1equi est des. hiron- dlre. « Un b~romèrtr>e;pru11:6ailt ,et q111ine ,eXJU"Cft. dlene.s, 1e .fai/t sien:nJb1e coûte uresqrue rie:n », ,drusa.it1e mairé1fai ,s H umpihry Davy a 'do'llné une M a:Jhe-ur•en.l!'ô1ement ·,u:n z,orologilSe~plic,a\tion q1Ui,sreimibletrès rra!tion- cili.:111. te, M. die Lindenf eld, n 'lai :piaJscrm,die:rue&le . Le refroidlisseanein.t des oorœ- voir accerpter 1es yeux fem'.Illœ ,le ,crogches srrur&ien:rroo,die 1'.a:.trniœphère, me qui ornurmit le molilldlei: il rai viol[Jlùu, •r,ait veI'IS qui ip11écèidle h11piluli.e,d11a1Sse le so1ume t1:Jrle à une véirifieaJtilo!ll aitle ba.s les inisieciteiseJtrpia,pill()llllS dont tenrtive. Et le dbgme 1e1sttoonbé en ,ellee se noomrisseDJt: elles tSuiivent M. ,die L. .a p}lacé 10 œ1afo.ebtes rtvlitlll: simpJ,ement Ile bud:f!et.TI n'y aill- ,piècers. une cage aonibellllarnJt échelle ,dlarn,s rr.an:tlà 137t1ouoopœivIBfuon: II'ien die die 20 éc•heJons,,et il },es,a•ui ne ,ohserivréleJ:l plus qu'un ohaingie!UlJeillt de temain de , enchias.sie rel û à tUllchangement dJe pos.i- .aititen:tivement et riégu[iè1rieme.nrt 1

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On amma~ttomt dJe,s,e fi,g1u,1 ,eir, mia[i-egi~trmit ,en même rtemplS lai tprie.s~ giré les rp,rogirès d[l{s à l 'illJSltrlll)crtion, à s.i~n,_la tempér1atu1r·e1eitl 'étiruthygoo a"IJJeltnqUJe . Or, l:i ,courbe .dlu;" baimmè- la diffrn~,ion ùie.s j Ofil'ID!a/U!X,elt <aillidfdles bibliothèqi11\e/s 1poipu'Ul'e à ra~net!:'tes" n ',a eoïnc.iid!éarv-ec v 0;10(]'.)IPernent ]1airne1&, qu,e to/l1t em:pir'ÏJgme ! aâit dis a~m:i._e amih~ecirnrurhe . P.o:uirJ.iaipJrelS'" pair1U.,dtans ce d:oo:nraine..Sians ,c.llc:)'llite 26 fuis Sllon, lll y a eu co'l'.l.Cl()frtdia[1Ci8/ on n '1em1p1oieiphm les <llrlOg!U!eiS, baruet dlés1::11c,cmtl 22 f.oiÎSt.Et ,pOOlJI' lœ rnE:s 1 e 1t éli..xiir.s qllllP nœ 1Pètl'lets vénéjrnrur,soù '1a priesisii.on.,a éilé 1aiu,plirus · b::>B,la cm11r1he rl,es baJtmaicieooa été raient r10mmedies cho\Slesrp1récieutSOO urne foi,s p!rws harmte, lll[le rut1ft1r~foiis ·Onne coms,idère iplus·]a poudre de vi~ ,~lrwsbal8,s.e.0~ n'e6t ipats 1p, lm;, ~rnipmr, phe c,ornimeindisip,ensia:bletin c1aisde fa.ail.Fn ce qrmC(}OOernel 'étatt hyig,ro- n11an.1xj 'entl"aiHes et la· fiente de nécesr.. méJtlriq·ue, ily a eu 0olll!c1or1daooe 22 paon 'mâle comme ab~t0lrœmeD1t :sai11e oo::nrttre la 001quel'Ulcihe. Salills :dio111 .. fois, elt diés1arcooll'id 26 fo.iJs ,: uillfe,ex,aiclte L:ounpP.nsa,ti;orn. vo,ulr 1a légème ,diff ,é- te, ,on rne Dùrtr:•,plus l 'éme·ria:udiepiorrur de la mo11-:tsubite, 'Olll'la nmce d\e,s ,c(c,uŒibPJ.S ,dierpmeissiiolll . En- 'Sieprlése11'Vler tmr~i~e pJ()!ll)r s,e gar :aJI1rtirdes cbiufin, il a pb rn j ,oiUJrLS IS1Ulrles 48 qiu,'ai , ,dans •p,lUJsierums \dienos vildruré l 'ex')1érience. Or, 12 .:floosLa te1s. :M:tams la.1ge.s, ~l fa1udlr.a~t dii.œ iaiuSsi dJe OO'lll!' be des hatt:r1a1câiaJIB ai été afllf-<dleisnois oeilitl'leJ& on rencOtIJibrle dJeS~oiens . s~1aet 7 fois a1U-clr21S1sous. Ni 1a ipfoil!e, lli an.11cu[l drersfiacilemrrlSI dl<mt il ra: .élœ Clfllls~ serr.vent dle rremèdles hi~ar,ries, ternu compte, n'exercent dlonc uoo in- ,panfois dia,ngffi1E:'llltX, .aw,elCIUJilie:igno,. riance et 1u,n méir,ris de 1~hygiène stu :füiuenc,e arppiréciable eit C10!IllE/taJ11te S!Ulr péfiants. la raine,Lte. AiillSIÎ,10,n triOfllJVe entCroire dl0sif.emC 'esit 'l1rr1 très piètre 1blalr101Ill~tlr'e,mes ;p1<>1u1r 1aipp'1.iq1U1e,r <l!e.sescair(g10its ,é. (f)1air consréqnent. Ce .seiriaiiit plruitôt l\lllle emtsté:s rsiuJr dies plaies 1P'UJI',wleintes· · hü11 1l0.ge. L<'is ·r1ainertJteisiJillO ,nlfamt le ,di',a,uiODefs qrmi dlonnent ,de il' e·ruu-,de -vi; ~1oü et rrerdeis1eenéùenrt; le maltin. Mê - à leUlrls enf1amhsma:l~dies. ,de l 'eSrtio.me ,cnrnme hoir~og,e·;eù, l,es ne idioinnen!t 'llllaic . On e1I1vo,i't qui ,ollllt 11'€\00JUII'S allltX t?Ultefois, q11,edieis siaitisf~01iooisre1'a~ rnehouteiwrlS,honnête.s geillS, ,évidemtives. (A siiivre.) merut, mai:s p;aJstrès foribs 1.S<UII" J',aJ'liartolffil!e. Oo~nbüm ,de mères en1 o or1e q'll!Î •••• ne :ûOll'.llt rll/en qrnand leuns bébés :sont ,eit leis lalÎ.slsenterie!I".« C'e,st Les maladesà la campagnemrulardes, srarmd e c~·iE.,r,<;a rdévelo'P!Pe'le,s po111m)0Jns», ,dis,ent-elle'3. Le fuei'imOmètrie On a dlcmnéju1Slqlll'icidielS.OODJférien-it fièv~·e e3!~un instr,wrnent ÎiiliC.onnu . .c;essull· clieis,s.ujets 181pécia1UJX (1ag ,rico- LP; nombtrredt'l- peTsonne.s quâ. ·Slâ:vent les entJI"Je autre:::} mais, on n'ia riien üfll 1simgrne:T lJlrlO:T;:il' rem~nt 'lllne ipJaii.equelp,resiqiuie Tiien,dit ISl.Ur un S1Ufret très im- 0oinq11J,e : :11,1qure,eoo'['lchiwr ,e, 1C101U(pUil"le , pm1ua:rutcP1penda'lllt,d 'u[l ~if initérêt erbc.,,eisitmfinirrnent petit . le1S,ËoiÏ.DJs à dionrpo1UJr ,1a rp1ü1pu1.aition: En vhlllie·,F iHconvénienit n '10jSJt palS ne,r 1a1u..':: ma~ardle-s€[1 l 'aibsence ,dlumé- trè~ g,~aind: Jü 1p.l.~·r1mcielll et 1e médecin et l'hygiène mi génér1ail. 1~1ecm:~diei!l!X_P::18 i 1! y a, ,en 1p,ll]s l'in·Cetitla br1anc:he die 1'éicton.omie ·di(),- fmner1e ou J·hopit.al. A la;oaunpagne ~e ,~rt,Î'qitlle lais\3ie encor1e bea1U1eon:up à :!cl·~ ',en. eS/t:pa!S·de même . Là, IP!OÛ.nt d~ gs ,dlés1:rell'pOJUir1.1!111p1a:y,s qllllÏ 1S1e ,pJr,iéltend :rnedlecm, Slruufdans , les g 'I'iOIS' ho1uir • t ,d•epua,r;ma'Cien; I ' l et pom on e,n ·esltil'iéaims&i ·ruva111cé q(l]Jele nôtne. 1 -

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Et Phygiène de P,aJ.irrœm/taltron? dufut ,à oo's µrroplli0'3 l'leslSOUlliCelS . Que ElQe ,eSit so1rnventdéfeclbu,euise.Il Y a fa.it-01I1ai110lr.s? On lia•v,elia ;pJiaie,on y là dies 0h~s1esélémentaiires à laipipu-100met rurnilillOUJChoir et c '€lSlt ltJout.Ql]ellquefo_i,son <lésinfecte af\llete<llruly,s.ol dl1:e, à rnnemr. IDt..l'hygiène 1<ros vêôu de l 'eruu phéniqllllée, ,et ion Cll'IOi~ a. ·terrnents 'î Le :cihamo d 'n ctioni pou1r ] 081iconfüvoi 1r paJté à to1rntdlaillger. On ,a b:Hm ·nenci ems eist v.aistei.Peu de ciœnmmnies C tUlél 'inf:eatio111,rmai11s ~i ,cm Jlle Jpa,IlJS!e I1111l'!aà,eis piosis·èdent des miéldlecins. .prus oo,ip;n&uSlermentle memb["e 1altDalll's les -a1U1tires, le3 maùl~ ,cm.les teint, ,et ,q'll!'0111 continue à !OOIUJC!her die~ b11e1Ss1éls doiÎv-ent aibtend1r1e. C'est là obieit1s·1rueloonq'Weis .p,r1opreisie1tsales, qu'il fauidlriait CD'Sei,gner,a)pelle T1evient r,al))iidemerut.L 'a1nt ,dle rsiulfitolult brundleJrU[l!e plaie esit <llé, li!clalt..Aidimet- ip,r~ndo'€ a111xrnè·re,s ~t .aJUJX scmllfs à tom,s qn.11e <leshommes Ilie rpuiissent il.ie S1vigneTles pères e~;les f,rèlias; c'est là 'il ifia~1rlr1aitrép,aind)re ,d)es no~ falite l(')Onvenahlement; le,s femmes itiolllis die t.h.Srr1a,perutiq11:e, d 'hy ,giène Lle'\nmient Je, eor1n.aîtr,e.Il n'y ,a,•Qlll!'à . g foéma1le, idl'ianatOlm:Îe. lel11r1atP1P'11enidlre . On ne !Pie.ntpas croor <liatnis tonlS1les Bi en des vill,a~e.s sl(filt :iJs.ollés, situés ,dJe:sécoles d:e gairdm-mruliaà des liem1e1~ <llel'a ville la :p,l:ms1 voct.~11.-di1srtmiciJS .rrulti ne c 'est-à-di,ue .d/u madie1c1i.n le ipiliu,s dets ; ,m1a1ison pouin ·!ait e:t o~ <lieJv rpair ides oo!Ilf étren~-es pO!l)u113:111ieiS, Œél'DS [Pln~che. .A._11,rive-t -il ll!Il a,clCÔ.<lOOt dia1Il1S ~IX un bam.e1a1a qui ne rpiossèdierpias 100 :té- les Yillia,ge~ , 1:hJYer, ens1e11.gner aidlu!lities et al\lJX jeunes filweis um ian.1t iéipb.one, ,q,u~ faire'? Un homme ie/Slt qui ,de, v .ria:it êt:re honoll'lé en fous ,tombé 1ooru1s Ull1 chair, :un hùciheiron a étiép111esique a1sso,mmiévar IUIIlebûche licurx:: celu.i de sioigner les maladies. ide boo.R,un f;an.1ch ·8'U'rs 'estt 0111JVert la jambe ,0111 l,e pied al\'!lCiSlrutfo!U~,q'1118 rf:1aii1rie '? On ,p1errtd la tete. On iame, Oill L'épargne dans la famille s 'aldlressiedes ,repr!Ocheis,.. . . JPUilJS ,on ,et on via chercher Qiemédecin. 131tt1el,le Le~ arrwiernsmoines, ces vtaillalillts Si, à ce moiment-1à, on :saN!atit,~iquletr UJn pairnSiement, netltoyeir la ,piionnieiris ,die 1a ·civilisrution ~tien a:<ll()tpité ciomrne diav11Sie aes IJ)lktrie, 1diésiinifocter ooignieulSlement, ne afVlalÏ!enlt br,eif .sii 1 ',on saJV'aiitcie Q/lOO ,tout le diei~lX mo1t,seX'pI'1e-ssif'8:Prie et tra IJllondJe,d!mr,raiit ,~aiv,o~r,lés ,aieciid:~Illtlsvaille. Chez ,ffil.X l 'oraison ,et ta cooJ,aitiion s 'ailliarr,ent très .b<an:ŒDX>n ',alll/I'IMenit oowvent paig diei'.Sll1Îltes gir.a.. 1tiem1ip :w.ec les laibeumsmtellecves. Bien dles ffiTI!p!OÎ8()([ID0Jlll0IlJUS dlu ni,ernsietrnient ,et OOII'!p ,o,rels. C '&tlaà,t l '@tio111\Sie ISRlng,bien ,d,e:s inf.oo~OD'S'i!Jeu:tr1i:hles1Jllle.ls ltével,,yppalllt s\C,11/S to,tyte!S 1 s es. foir~. 'l'llfü' cette 1gnor.amœ des so:nrt;dalUISI& L 'épa!rgne ne les ;pFeoœu(p;airt;gu'?:re, unemiera ,soins. de •<slOi . Liés ipair le vœu .die · Même inoo'rie QU'HOOil s' 1algliit id~ efülea11l,aù,t pa!llV!l'eté vivant 51ous1e •régÎlme 1anl!Smailia1dJiesC·rdinaii rie·si : lliefr100Jdlissie tère d '111We règle &age .et ~v~~' üs memits,infiliammaiti.ons<l!'inlte<Srtins, inloor tr.aiv:an.11ndlivI1ooel digesltùcm.s,mauvais ·rhrumes. On ne 110:rudlaô.,ent IS\a.itrp.atsrpK>tslffi" ,diesY·enrtorù$esOfUia1p- ruttilerpiourla vie commune et le bien1plirnner 'llill r?,aitapla,sme! On crrofutqrw' êtr,e die 1,a.société; ca:r, il ne fia)ll!t ;ptal:l lia mwS1001-mèredies pa/11'il ftauJtcalfen 'l:;r,erle 'lnaJl,él\dle ,dlaa:rs Ullle l '01111blier ' .' chJa1mb11e awrchaufféle _; oo .a ipe1UU' ,dlll Vil.1€\S, c 'é'tlaiitaùoris l,e mo;:nJaJ:iltèire. La devise IITIIOIJ'.1alCiale,,ci,ooe pllllS ,soJ.ei!l .. . •

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1ai ip)aSiséen iakJlrug ,e Slt.1Jr- tion. Cette épalr'.gne ef:lltutile oolf!teide au ibo1111t · chez 1es Bénédli.otins, def\llraiit demi-vertu qlllle l'on (P,eult11.I1JeUUl'le 11.ia;node 1'o-rdr,e et die lia, .p,rqp,neté si être JI)l~QpiOISée à DIOS potp1uJ,art,ioillS OOlll1 s;a,int Friacnçoi,s die Sia1e.s ·. me (Ùeviis.,e, ±iao:niliade.:M.ais, , à nJ01br e lo111{e1pran.· ,e}éetrœr hurrnhl,e aivis, ;poJ1111 · dlonrueirsa1tiisif,ac- :f)JJWr/gnetr alfin <lie l)atl'Vio!ÎJr 1arn ce, .sietion à la q,ues;tion S10ciale,il f1wdrarut pl:us i1airgiem1ienitla bienfirui.s lieis malheurem y ,a,j01111t1e1r u,n p,efü mot qui ·a bien son cwrliir les plélll1Vr1€1s, 1pe!Siant <l'01r: Epa,rgne. De S10ir1te qrne et .a~pioll'lteranu œwvreis1m.,aJp:plll'Ï.efruuitolll'r no-tire d!evis,e ,f1almÎ lia[e eompùèite se- fiœc.e, c'est faine r1ruy)C,nlll0r :la:cliiaJrité. nait: Prie, travaille, économise; S1en - jie is101La reine des veirttlUE!;, nolll,S ,en.t.entenoo .biien sociru1eet bien chl'léitùemle. C '·esJtidlarus r.:e1siensq11118 E piélJl\,,0'}]0r, c 'est s~iwegiairkfur s~lll <l!orn1'!é;piairgne,et c '·eslt oomme telile la pro.posons à nos cihèries afVIOli.r, c 'eisit le gal!"antir colJ'.li'brte les1ialt- qi~ n-0111s tœillOOS de kt ,OOIIl.'VrOIÎ1ruse. E1pall'.gllJelr, famililes iciJuéitienneis. C'est ceibte éluii.-mêc 'eslt se seiv,l'IE!lr ide •fiurtiles ,d~e:n.'810.S, 1p~:rgne il.à que J ésn.1s~ChriÏ.slt c'e~t lI'iedirooche,rl'abus, c' 1etsi 11ogneT me ,a lo,méeet moo:ull'.'aigée,loiœqu'i1 diBSamrus1ruvecles même s,u,r l 'US1ag1e permis,, miarusto1U- a cLit: F ,aœtes,..v,ouis jo1]I'1S<CllmnsUln 'huit 1~égritime, IJIOOllr richesses tem ,po·reJJe.s, q111isont 10trtdli.11:aiirieme:nt UID fruit 0111IU!DJe 1s01Urce une fin 10flllab1eet dh11âtieŒ111·e, (Wall'V0l1S <mer dJamisl 'uniqll1e ibult idJ'~pi1eJr tdle d 'iniq1uœtié, aifin que, ·Q)UIR!Il!ct! l'or ornd:e l'airgeDJt, ce senait cuipidi- viendtrez à mourir, ils rvoos :reçoivent ité et so,r'ldide •aivairiœ ; ooolsebien con- OOlllisles rdemeure.s , ,éftR,rneihles. dlarmnaible; samit P 1aiul 00D1sidièr1e l '1aIl ·eslt slOIŒVie1;ari.nemeD!t ~Olr\tiamt ,nairi0e oormme unie ,s,or.teid 'idiolâtrie ; dJerp·riéic1owserl 'éipirurgne,œD.06· jc,ms ·qn.œ1'a.- ~llirto111t die fa,irt,elle n 'e,<?tairutl'echi0!s1e 01111a. s01if du lu'X<eie\tdie Ja dlœ,3itiJondu vie,a1Ud'Olr. Epairgner, jorrni:ss:ancierègme s,u,r toll1lteil.'éclieHe fiaire la ba,nqrue à usmrie, en vnre ,die Sl()IO:uaJe, 1alll)ta[lten bas q111' 0n 1hla!UJt. La satisfair,e le vioe, de nolll!rrirr1e.s vi- miotde dol!IDele v,eTitig.e·8ll]L~ pe.nsonleis p,a~oDJs, 1po,UJr,SJe livr e.lJ''élJl1luxe, nes dlu.rsiexe;c 'e~lt une vmiÎe folie qui à Lai prlOdtigaüté, à l 'i1V1rt0!gnemie,à confine aîUJdév/eil"gondiaige . En nmii.nts l 'incondurute, qrue .siais-je ,enoo,re"? eie ,endroits, .Jas mailisbes ISO!Illt 1s1111r lœ c,1e11ifüÎJt pl!UjSqu-e ,cirimine:l, œ sieriaiût dlents, ,tla:n.lt S()rut imp1tio,yaibles· les exi11&e1rd'un é1 lém.ent d'iniquliJté (P.Oltllr g-enlCleS druibeiruusexe . La, sierV\all!Ue eit m1111i:wpilier lie (pécibé. C 'esit à ceuix qlllli 1a.rp1a1t1,v,rte;Ss,e VieUllentêtre miSJes , eiomaigis18,entdie ,la so:i;te <Jruc18''1aki)i.10ssentme <liespJI'i11JCe s•s.es ; en oeirrua1i:nesfaJJes-pialrlotLeis de siaint J aJCq'll!e&: Cette lJ!lill.eis, iu111 œil a1n.".a1n.gieir .ne JS)a)utrialÏ:t ro·uille portP.ra témoig ·n,age contre dnstinguJe1r 1en1Jrela maîtrie.ssie ,eit le ·~:ous, et dévorera votre chair com,me 1pe1ts1CXIIDel ,de servic1e. Q111eilil.e JPœtiié de nn feit: c'est là le trésor de colère v,00:reeSiescalI'giotsdi'un Il:O!ll!Vie)aJUgen11te vous voiis amassez pom · les der- r~ pontier ,snr le l<llOIS i1eumcrnell{Ue 1Pll10niers jo1trs. (J)riétié! On µa!l'le beaoooUip die r·éagi:r J,fa~.s ép1a·rp.-ner <lram •le bult de se chez nol11lsœntr .e les extr/a'Vlagianêes c1iéer une rposiition hoinoirlalbJe 1d)all1!s la ,dies cœsrtrn0tions; c 'es1t !pia:rfoiteE.loioié'té, ,oo vu,e.d ',obtenÎT 1une helUJr,eu"' iment j.uisfte; mai~s il fiaru)d!ria'llt 1a1111sisi se médioorité , 1omée'Plalr1e ipoètie, 0et- ,t1ravatiJ1erà mettre en hairmonie l 'iair1te oob1e 1aii:s,ance qui f,al\r,oirœs,el ',exe,r- C!1Ï,te~Ull{I1e die J~ mcde 1aivecla s.iimn:)l licice de ],a vertu, IC'est là fiaJirie!I)lr~uve c1té de noo i:mciennœ :mœllll'IS ~8lbrfa1rd:e ,~agesse, c 'e5,t une tégi!tin:œambi - oaJes.

haiult. ,et qui

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QUJe,d'1airg,entj-eitédlams Qe ig101U1f fir1e ,dmJari.,t,,df,friiir afll!X-p,r10ld\uitc; aigrieoles du lm:ie rpiour la iprur,uœe! En oombien vlus d e mmunnénaition, si œtbe irunœ1vfr qu'à ,l 'eixdie f.amuilles, aiub:iefois T'.iche-s,la rfllli- liol'a:tion ne de;viélti;t&e-r ne s 'eSlt infiliriée rpar ,cle'!Jue fissn:urie ! •tensiiron ::le l ',ailco.o lie:meî On ~~1spJlnequ \m rplu1sieiurn[foyel"s où le 1pèJrepûirtJe moc!Jestemenlt son tmihe $!JJ:s lies gTiall1desciroonstiarnces, miaL'arbreportedes pommes diame 1e)SJt e[t tirain ide ha[,aiye:r l '0N10iill' mais pas pour lui-même fiami11i1atli8JW!C i.su longrne qllleule Jiu..... 2... 1e11s 1e tio1mtJ.e long die l '1ailillée.Bo;n a11, maaian, .ce islO'il,td\e.s mihliertS' die Chaque enfant sait cela: que le fr:mos .saiorifiés à la dléBS1S1e 1aimodie. pommier ne mange pas ses pommes, 1obseirv1a1 Si moll:ilsii:e1wrveuit fair ,e 1SelS1 - mais que ce sont les gens qui les ti001s,bi·en :so,uven,tmaid\ame T)'Olll)r:1:arr,t mangent, mais beaucoup ne pensent ~le récmieT1 en lui jetamlt à lai figmire :le pas que derrière cette vérité à La saJDJ,.,"l1aa:1Jt :teD1iocil1e d 'emrpfo;yeir_ien exPalisse il se cache une pensée plus cès dlarns'1a boiJS~onle rp1l11.1l-. claà.Jrdeis profonde. En premier lieu, ce pro11ooetbes,.F,,t .ainsi ']Jia(Slse11rufoll'ibu111everbe t'enseigne à quelle loi obéit 1]Jal1',dJemx: troJUSbéiaDJ.,i:tl. l'arbre en se couvrant de ses fruits Q'UJe,c1edéip,ens.es iaiulSEi1pl00lll'. l'a- non pour lui-même mais pour les memiblement ! Ils ne .solllit!plais1SiÎ.111air·es autres ; il dirige ton regard plus haut que le dôme de feuillage, plus haut les j,eruJ111es é-prntx q,ui emipll'IUllllDent de 1icmbe& ,SO!lllrnes1po1UJr,se .prtocmer dies dans l'azur où habite Celui qui revêt me;nlbleisdie luoce, gwéridollls, '03.l)la\Pés, les lys et qui n'oublie pas l'humble gilc\,ces, bonhe'lw~du- jotwr, eue., Le passereau, Celui qui bénit tout et 1bout ira :p,r,end.r,e1pla,ce dlains un aip- nous rassasie tous de ses dons. C'est l))a1rleimenthum:üde, viorusinidlel ',éOID- lui que tu remercieras, c'est le don a.•ie101u idiai!l!s1101e cihatmbre ihalUlte,isou~ de Dieu. Mais il faut voir aussi plus les'tuü.les, -en ruH181Ildîa.rut q,u'il 18/0it po:i_·_ loin. L'arbre porte des pommes pour té ,a1u cha,mipde l'enrnm et die la ifaü - l'homme, mais aussi pour les oiseaux füe. Quelle l}Ütié! A qUJaJnd1dioiillc l 'inset pour d'autres animaux qui s'en ti,tuition d'une c:onfi,éifii.efPIOllllr µriqpai_ délectent. L'arbre n'est point un égoïste qui ne vit que pour lui, mais g\er l '•111s1a~;e dJu Slal)'.)QU bLatnJc 1 QuJe,de dépenses :,vu)$iiiplOIUh.'.1a tia- il fait part de ses richesses à qui bl e, même S'OIUS le toit die l '•OllliVJr'ieT! n'en a pas. Eh bien! ami, ne sois pas un avare, Quie d'.:t1r2"cnt,frniit des sJUJe'Ulrs, jeitié brluiba.11 ,emem:tia1u M(ofochde l ',aù.ooolis_ laisse l'oiseau prélever un léger trirn,e! En lVlaiin aimé.liolflOns-norus 1es sta- but sur les dons que Dieu te pro1aires, a dliit Migr MOOIIliÏn:g,s'ils sonlf; digue; pense que ces aimables ped,&p1ernsési à 1-ne,s,ur1epoJUirl 'afoooL ( On tites créatures aiment aussi goûter pornnr1ariJt en dtire ,a•wtanit<lielai honnie au raisin savoureux, à la poire fondante, à la pomme dorée. Tu auras chère) . .C'eist comme 1sri.il.',cm JV1erisarirt; de 1',e,aJu dlansimn panieo.·. Ce 1SIOOllt, sie- toujours de tous ces fruits la part du lion, lors même que ces auxiliaikm le molt die Jérémie, ,~s citernes crevia1s1séeisqrui ne rpeu'\Tent meteniœ res bénévoles auront prélevé leur l 'e,a,u." A quioi bon dlèis1lms ohe•r,eher part à eux. Reporte-toi plutôt à quelà ren 1d1r1e le 1s1oiritdu c!Ul1tiV1altem)r rpJm. 18 ques mois en arrière. Combien as-tu µr 01 ~père, pornrqooi hatlllsslElr Je IJ)ll'ix soupiré au printemps, en voyant les 1

C

hannetons et ;mtres maraudeurs dévorer le feuillage de tes arbres. Je n'aurai pas une pomme, disais-tu, en te désespérant. Mais vois comme tout s'est passé autrement que tu ne le prévoyais_ En silence, mais sans repos ni trève, jour par jour, la troupe ailée a absorbé peu à peu les insectes dévorants, si bien que aujourd'hui contre toute attente tu as une belle récolte de fruits en perspective. As-tu jamais observé comme ces petits gymnastes s'y prennent pour passer en revue toutes les branches jusque dans leurs recoins les plus cachés. Sans doute, tu l'as observé, tu ne serais sans cela pas un campagnard. Eh bien ! maintenant, laisseleur prendre la part qui leur revient, ils ne l'ont pas volée les gentils oiseaux. Fais r ema rquer tout cela à tes petits enfants, fais-leur remarquer que sans ce corps de police de nos arbres fruitiers on n'aurait pas autant de fruits à récolter. Tes enfants sont honnêtes et intelligents, ils comprendront cela, et c'est avec un redoublement de plaisir que pendant l'hiver ils tiendront bien servie la table des petits oiseaux affamés. En ce faisant, tu ne seras pas toi seul un bienfaiteur, mais tu auras fait de chacun de tes enfants un être bienfaisant, animé de l'amour du prochain, de la pitié pour les faibles. Tu pourras contempler dans ta vieillesse les fruits d'une bonne semence et en jouir pour toi et les tiens.

,s:oiir,j,us1qm1 'an .print.e-mL*J, épolq\Uieoù el1e oommell1'ce1xtà s 'effatceir ,de la

1sicène. la rc,olThsltielJ,lwite ·r se tn:mve dia,DJS1 lmition z,01ilia1e1a[~des Gém~arrnx, à rdiroitie1,esdieux ,ciélèh-res éc1:1oileis, C.al!Ji. rtl01ret P,olù:rnx.Situation ex,ciet11:ente, ca:r rtoi1.11Le .eef:tevé.gi001,d/u! ciel ,ei.sit bien :fiaiite 1::wo 'utr ol'(ptive r 1',alttentri.olllde l 'esipri..t oanten'Jp,1a,tem:r.C ',est J,à, en ,etlîfet,qrll!evont ,rupparafütœe,loo 1S1Wpeirbes 1cionJ stel1a.ti.cms hiv,er'Il!ruLes . L ',on peclllt déjà dristingUJer, ver/S 9 ih.., le. gT·r.mpe ruhsolrument inooimrp1a1riahle cl'Or ,i,on, 1a:rnquel viendr1a s•'1aj101rnte,r b~entôt eefoi de l 'éclafuanitSirllioo,dioma,ine dn.1Griand! Chieiil. A11.1-d1e,ssiU1S· et à ,dlr.oite de J u;piit:eir,le ,Co1cheiret lie T1a1w11eiruu égrènent dJalillslie ei,e1 1eUir1S muJlit:ütrnd!es dii•a1mamtêes.. Jr1J1pitle:r atbteiniàJrasion 1phlls grla1nd, 1a:îin de ] '•amn:ée . éc11aitV1er1s Le imomdede ,Tutpiter, sô.é1œgné id!e D101h 1epiatri,e 1ie.r1rie.s1tirie ,erl;rPrOUlrtan t si 1mnŒJJJEmx , forme une des oumii01srités céle31tiei'3 1es iplrn~intéœesi51a1n 1,eiE> à oiblSl&m'm'." V:o-ici ,plus,ieunis raiill1ié~ ciru:e .i'a!i 1re pl,aisir id!e l 'exrurruinerr,sKmis l 'œil rpU!ÎJs1S1aJ1Jt diUJtéle.s,eotpe,élc:rû.t M. L1e.lly,1pmof.91ss1N1Jr à N e.u1cbâitieù; ,eh bien , chaiq1rnefo:iis quie 1~a.sitr ,e géanit m ',a1ppa1r:aiÎ1t:irvec son hril1a.nt a01rtège cLesia.tcHites. .ie ne pufus rm'-ei1Il)pe,0he-r 1d/el '1a1dtmirer . H y a là Ulll!e,â;p'J'.),rnri nonqmi ti en:t vrnûme'Illt du .rêvie et din cµrloldJige. Pcmr j,crniirrd 'um tel ,s;pieCJbacle, iporint n'est he.sioà.n id'iDJSibrmmenitis cd:'opti.,qfUle~;i:g·a.ntie.squers; ·ullle 1uneit.te q,urigi1101S1si t de 50 à 100 florisre1.sitbien 1ttuf \fiE1a .ni1Je.Un groississ1ffinl(mt rtirès.in•••• f é,rie.wr même (12 ?1 20) •permet de La planète Jupiter. ,sa}1sriT l '·e~semble dm isysttème {p1anén 'erst prr UJS! 1C(l111'Ïeiuix: q !UJe tairne ect1111en TlUJmnt ('es mois d'hi~r, ile bealtll ,de .siuivme~tic'un s,oir à l ',aiwtr,e, 1o:r,sJwpirte.r ra;;;plenàiria,, là -haiu't, p(a1rmi qiue le temns e1.s.t' fa:vo,1w1ble,lai dJa1IIBie les étoiles. On rpiounl"a voi,r la rp,1ainè1Je11 ·ia1PiÏXÏJe die,sq u"-t11epe1tiites 11llne ,s 1aiu;se lievtant de p1UJsen pl1U1s rtôt chaqllle UOirnr dm ,g,lohe oennr,aJ. » 1

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vr.es ,s.ur pia1pier ja1ml!0,1,a qnes'tion de l ':a1dap,tn!biion -OIPfPIOl't1me de lia 1v.mi.è>rieseria.it ,résioJiue. _:\n moment où ,l'1amnée 1S1odlair1e Reste h ,d1u1riée rt:JJ.'IOIP llon:,.,01111e dies n '·en e~.t enc,or,e ,qu'à 1S1es1dléhU1ts , iil hcu,res d 'étuidies1. Aux Arb~ 81tMétrèR i rnpoi11baDlt ,d ".afpipele ir l '1a1tten- tiers cl'Ange.r1s, aiU Prytanée <le 1~1 (~,i:rt ti <Xn dos pa ,rents et des jeunes ~en~ 1i1] èche ,où leis értmidies n'o1rntjamais deles dlamger,s de l 'étu- prussiéu:ne heJU1I1e reutX-mêmesf\1t1·r eit qrrnan...tr.1t:vile heu ·dieà l 'é,gar,d 1dlœ ye111X. r<' et dle,mie, 1,a rnyorpie s'e:sit tenrue La mvO!J)Ît"' :c;eolaire ,est ,me atffec- consfammenJt à mi nive an très inf é· à ,eelui des lycées. "E:imliqiUier üon rorist,atée µrœique univ,e,:rsie!le- ,ri.<mn 1 ment. Le p1,ofosi9euœOohn (•n a fixé cPtte- ,d,iffiéJrence·~sitivutile . '1 0UJtle ·de ~rlmur,end (]niel 'orgalll~ de la l.a mov0nne à 57 % 111oot · 1'Allema,- :mom JiDOlritler ~,ans fatj g,u,e gne; Èrnmerlh à 50 :%pour la. Srais- vnP ne ;paut 'SIUO la fix1 a1tiio,n a1nipfüJ'niéie d'un i'pa,pi-e1r ~e: M. 1\fobi~ à 46 % ljOll]r J,a F•raince. L~s ms.xi.ma ont ébé trouvés dalD.s cou ver!t d'élmit,nre , dlumant des heu](~S clai~1sies, die 1philosiophie, .ert; l '1ac- ~,flfS. L \1,lte,r,ruancef.réqinente des heUJres CU'ffÎS1S1(l{ment sn.1oces1sif , en ·l'lefat.ion dtet ·die,r·C!plüls mlall'lquiéispiair J1e,c,te1arvecla. m1airche ck.s étnllèl.8's,a die tma'V'.'li'1 rsiemùeimernt ,s1001·€té ,démontrrléµarr 11a,sfa,tis.tiqrue1sui- l.e iM.1 n'est donc ,pa(s1 1rnit,a1b le ~m ,r,oinit die V1Ule :dlUI mo,r1a[ ; vante prg,tiq1uée à La même époque elle évit, e rn ég1a]eme,nt nolJillbrie die [! é en Fr:mce et en Suèifu: s g\r:a1vês1, :tieililes.qUJele Dams ln cJias.seinfére11we,,()Ill ,relè- sions: ocn]a,11,e, ~trahi;;:me, l '1 a siti~mq/tilsime, la mvio,ve : ~1:yonie O. Aw ,co1mmencement de nie, efo, eltic . · la S·(\(~onn'eavnée, i: y ru 3,3B %. Puis On ne sniu,r1ai.t fo:101p in1s i sltJeir ' pro1111r 1 c 'e.~t 6 % à ],a. tJ.'fOli,sà.ème; 7 % à la fl'Uie 1e,s 71r,()g,narrn11nes ,dl'inlsltrootitOn arna1trième; 32 % à IJla,rhéto,rit11ve.Un ti ennemJte,omnitJ e die , eitrtietrèls1séirieP,q11:-H'.t ,d11~ss111.ieitse:x1aiminéi::; ~J:air M. l\fotais ne prés 1enlbent que ! HScan'\aic- S P 01uestion d 'hyg1iène. tère-s d 'U1t1einfi11m~té srimp]e; I~ , 3 R·lllkes qn.arts s1ont,altJtieintdie compli! •'.::t:tions enh,aînn.nt ,~he.,,, '<:eI1ta11ns 1~oib li g-::lltiond '~1iba1I1Jdkmnw lia; iC)alrlriÏè r1e rhoi sie. rC'êtalit il y a 25 ans jOlrur !POllr .jOllllr. • • Qtue Il est drmonit.ré ,q,1.1 1e Ciegrrave était Ide .fois ;pnT!eli1leimo~1tume E1St1smw:emuedè::. vm,age 01UJa 1l'lem'\S... de ch01s,e·3dléll)eud: tii de ) ·~damua:~e lors,Un aiu,pèrie ,sOIU/sile 1la.ix ldlu fa. déforürnux; 2° de la: mau.vais,e dis ,- beu1r [J(lu19,eISUi('\Clombaint irucoceq,nle SO'lls 11.ie[l)OOdsidlets1: ms ! po~iti_.o,ndP.s itaibles ,aie t.ra;vn-il: 3° ot F\oocihé iprnr Ulil.le ,a,trt)ruqule, ,an. :Pffiedmle besioglllle. snrtou,t, id,P. ],ai 1u,r,oi1ong-aitionexa1g'é- Qt~ues heunes slllfd'ix€!lllt [IOIUil' [ '&"l'laich:er à 'UIJ:ed'a,mi::Llie dont il êrtnit l'i3(p[)ui, jp!Olllig,eaillÎt Jiéi0 dE's'lH! 11111e1s, ::l!'êbwd'es. , rum :foyer , ln Lrs d eUJXp rerni.elf\S'point:s. ollllt été ain8i e.n uni dlésa1r:roli, tra.gi,C}fllle 1 velil'le encœ <e , reyon11alllrt: ldle IC01Ild'lljgla1e lbEm· mo, ifirs Pn he:a:01JOUJP d'enid!roits ip,air k~ s·n.1,stitution ÙleLa lumièire éle0tri- iéllrosse. Brisiée iprur um. :COU\p ia.111.SSd ll'IU~ , tl,a, ~ que r,·r-t,frnse a!ll, _g1a.z, et pia,r J'la1diop- ,toult '<.l'a·bo1 ,ai, ldiro:neiumaIÎJil/e1'tte,itnldliftéirenlt1e tic,n r1cs t.ab]e1s11à cman,s.On y a: raôion- eomme ru;;sommée . Les ollIXheliDJs illJe s,u1N!!lllt t6 iw ec r,ai"IOTI l 'e:mil)foide 1'écriiture <1cie ~ur'elr . Et. a'a.uigiuste iso0Jild111lii/llê oo.1vu·iêr9 droit .e, des ca(hiems,,dJro.it.s S.i l ',on ,eu<t a'oCiClalSli:oo id'e se ,IDl!IŒlli.fœller 1COIDlfmeelllle OIOClllll"eGlrC8&. _ioig-nait enoor1el '1mpil'les1siondleis li- ~.ltt: tOJUjo1Ull,s •en ;pafr'eillilJels1

Les yeux des-écoliers

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Pins hant

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Urne voiS!Ï41lé œariblibt~ itat'lll,a dies fourre!liu;x noir.~ [IOUlr 1ies , pl't:iit-es; 'UJDes:e(C>OlllJdle hé1bet1gea ilJelSe<nifani!Eet ile:utr IIDère. D'~ llmias com1Pa:tii.'l'l!a.lllteis enfin vaf{}uèl1,emlt:ruux: lbestoq idJe ci·roonisbmlllce :i'URqu'raiu,ld'épiarl.'11 dlu pè1,e ip()'Ull'

n~K'h3illlp ct:u.repos!

Epi&olde 1u,g,i~bil1ed'ullle léan001v1alllitebi,s/lloirP . tirois joul"S, la 1!'li1tula.1rilOlll1d'1lllllie. JJamfile éit:i 1t die ipoin t en podnt 11mrun.slform.'êe. Hia ·, <'',étaiit l'a'U\be Q'1ia.n,tsuir de j1e<UD 1es illNJallt,.sirnSlal:lcrÎielul'I:,lLUOOUl!'ldi'h'l!i C'étlait 1JitVIÎJe 3JVl0CSOill :C'O'l'tèg,ord'iaJrns ·tJéritlês. Ji}n

Oell!i:: 1d01111tun rdiesseln .1l®me

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P1llls· hanuli ldiamJS les 1oomlba,ts. dont le OM le's>tl' enj,e,u ! . Pl1us ,\1,8/lllt,p'Lus l'lrus ha,ut dia.us Jia "\7le![1m]J! ihallltt eu'OOII'e Sur c~ttle léchellle d'or quli; v,a se ,pe11dre

,en Dieu!

Ce qu'il faut aux disparus Le nollllbre de croix dliml1IH.lle Au cianetière. Malis .alloa."e, Powrqrooi ,talllit ldlelfleufl1s, ~·its foots, IDDIbrie Ues if1s ,dlainisIl'.avranue? ,Q,u'ilDŒ)OO.'tie â œ qftli .f<trt ulil 'C011PS Une -:l<elll'.lle11'1"'6 /bftlent1'emruJe? D',a.ille,urs, fa. !I)ilerr.e stem IIlRl~. TM oo ®i'l"d, 'iroa.·les p!lillJVll"œmOll'!ts. Chrêtileu,s , 'POOJJl" nœ too:nlbes aimêes, !Mêlons ruux: ger.bœ iem'bamm~s . Un ,espo'Îlr q'Uli soiit ,1mmorrlœll. 1Demaiin, nos tllteJUJrts selr()[lrt ll)OUSlSIÏêll."e. Senll, Je (l)amftll!ll d'urne pmèœi DJUD.-e ~eirn-e~1emi0lllt'a,u ciel. Fu.iamçois COPPEE.

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pa~ immlé<ï!lat. A~ i~ •a11x'I.J'()!l'l1le,Ull'IS d,e V'er:rrJ:e,s.

Comme il approchait de la v1·11e,

A ry Scheffer

Jésus pleura sur elle.


LE FOYER et les CHAMPS LE FOYER et les CHAMPS

L'orphelin

que nous avons à mesurer, avec nos pieds, un fameux ruban de chemin. Albert-tel est le nom du petit orphelin - suivit son protecteur. Ils marchè. rent rapidement sans mot dire ; mais, au moment d'arriver, l'ouvrier, presque malgré lui, ralentit le pa.s. C'est que l'on approchait de la maison, et il redoutait la scène qui allait avoir lieu, à cause du nouveau pensionnaire qu'il amenait. Il faut convenir que le moment était bien mal choisi pour une présentation semblable, car, du bas de l'escalier, il entendait sa femme en discussion av ec le propriétaire pour le terme d'octobre , non encore payé. - Il ne manquait plus que çà! pem1a l'ouvrier: nous allons avoir la tempêt e au grand complet . Et il monta hardiment . En voyant son mari, et surtout en apprenant qu'il avait trouvé un nouv eau convive, la ménagère éclata en imprécations, en reproches, et l'accabla de touteR les épithètes injurieuses qu'elle n'avait pas osé adre sser au propriétair e. L ' enfant, effrayé, se mit à pleurer. Alors l'ouvriei ·, sans mot dire, prit le petit orphelin par la main, et 8 0 dirigea vcrij la porte . • - Où va s - tu à cette heure ? lui cl'Îa sa femme, dont la colère allait

C'était le matin. Un corbillard de pauvr e montait à pas lente la ru e de Mau be uge, àParie se dirigeant vers le cimetière. Le convoi n'était pas nombreux ; un group e de cinq personn es, suivi d'un garçon, âgé d' environ sept ans. C' était tout. L'enfant trottinait péniblement et grigno tait, en pleurant un morceau de pain . Il marchait le dernier, à quelques pas du convoi. Un br ave ouvrier, ému et voyant l'isole me nt de ce triste cortège, ôta sa casqu ett e et se mit à cûté de l'enfant pour accompagner le corps jusqu'à sa dernière demeure . Quand la cérémoni e fut finie, il se tourna vet'll Hon jeun e compagrnn. - Qui a- t. on porté là , petit? lui dèmanda-t-il av ec un touchant intérêt. -· C' est maman , r épondit l'enfant, en lâchant son pain pour frotter avec ses deux petites mains ses yeux tout relui san ts de larm es. · - Et ton pap a ? r eprit le bon ouvt·ier , p ou1· fair e div erllion à la <lou\1 ~ur <le l'enfant . - Papa? .. . - Oui, ton p ère ? - Mais je n'en ai pa s, fit le malheucrescendo. re ux , en baiRsant sa tête blond e. - Et où va tl-tu. aller maintenant ? de - Je vai s conduire ce mioch e 01.1j e l'ai manda \'ouvrier tout attendri. trouvé, puisqu'il eRt de trop danR notre ~ J e n' en tlais rien, répondit l' enfant mansarde et qu e, de plm1, il eiit un 1rnj1 t av ec cet.te naïv e insouciance de son âge. de discorde ; il vaut mieux qu 'il meurn L'ouvrier baissa la tête à son tour et de faim dans i a rue. Et il fit mine de sortir. réfléchit un instant; puis, paraissant avoir pris une résolution courageus e, il s'empa- Allons, reste ici, s'écria la femra de la main du paavre orph elin, en me ·dont la mauvaise h11meur avait grommelant tout bas : subitement disparu. Nous aurons soin de - Ma foi, tant pie! Nous allons peut - l'enfant. Mais à une condition, cependant. êtr e nous chamailler un peu avec la bour- Laquelle? geoise; mais qu'importe? Je sais que la C'est que tu n'iraf! plus boire. pitance n'est pas toujours abondante; - Oh! pour cela , je te le jur e, c'ci,t mail!, comme dit le proverbe. quand il y fini. En ce moment, la porte fl' ouvrit, et le en a pour un, il y en a pour deux. Allons, en route, mon mioch e, ajouta-t - il tout propriétaire parut sur le seuil. haut, en s'adr essant à l'enfant; et Monge - ,T'ai tout entendu, dit-il à ces brn-

ves gens, qui R'attcndai cnt à de nouvelles menaceR do. poursuit es judi ciair e11,et ce que vous faites pour cet enfant me touche profondément. Au sRi, je ne v eux pas qu e, dans votre position, vous soy e,: seuls à_le secourir. T~nci, voici ma part. Et , Jetant un papier 11 ur la tabl e, il s'en alla avec précipitation, comme pour se dérober à tous r emerci emcnt ll. Ce papier était la quittance du loy er !

gnitn du caract ère et la bonne conduit( :. Chose remarc1mLhle, qui est, rlu mfüne collp le plus hd h ommilge re nd u à. la vnt u IPs méchant s am,si respectent l'homnH• rl~ rlruiLurr et de nohlc carnnth r t·I, mépn f:P.11L l<·s r,nmp::i.~ll!Jll s llll les imitat t'ur:-; dv knr s prnprrs dé<:orùr es.

J-> our JlrP-respecté il faut être re~pectnble. N i ordrr , 11i 0lérnt.iou, 111lwllPs pa roles n'y fon t rien. 71'7!1......,,

L'Automne Salut , hnt~ couronnes d 'un r e~lf' de verdure ' 1 rud ldg('~ jau n i,, ..inl , fiUr le> , g .1,.011!-i Cpan. J · $ .dut, tfcrnic r s hc.1u x jours! le d eui l de l;1 na ture Co n vient à ma douleur cl pla it ~ mes regards.

lt: :-.uis d' u n pa s r ê veur le j'aime a revo ir encor pour Cc so leil pàlissan t d o nt la Pe r ce :\ p eine à mes pi ed s

sen tier solitai re : la d cr n it"re foî~ fai bl e lu mie re l'ob sc urité cics h o i~.

O ui, d an ... ces jours d'auto mn e, oû la na t ure expire , A ses regar d s vo ilé s je t r ouv e pl us d'attra its ; C'es t l' adi eu d ' un a m i 1 c 't.s.t le d ern ier s ouri re Des lèv res que la mo rt va fermer po u r jama is. A insi. p r êt i, g uitte r l'h or izo n de la vie . l' lcura nt de m es long s jours l'espo ir évanou i, Je me retour ne encore 1 et d·un r ega r d d 'envie JC i..;. ontc m pl e ce s bi ens d ont je n';t j pa~ j o ui . Te rr e, so leil, vallo n s, belle e t douce na t u re , fe vo us do is u ne lar m e au bord de mo n tombeau! 1•.':1ir est si parfu mé ! la lumi e r e est si pu re ! Aux re ga rds d'u n mourant le soleil est si beau! Je vo lld rni:- mai n te n an t vid er j u~q u·:1 la lie Cc C-'lke mê lè d e nec t ar et de fie l : J\u fond de cett ~ coupe où j e b uv,tis la vie , Pcu t-r tr e nstait-i l une gou tt e de mi e l ! P eut -êt re l'av eni r me 5 a rda 1t- i1 ('n i;o re l in retour de bo n heu r do n t l' e spoir e"t per d u! l'r u l- è tre d ans la foule une à mc qu e j'i g nor e Aurait comp ris mon àme e t m'aura it ré pon d u! . ., 1 ~ n eur ton, bc en livr a n t ses parf um s a u zc p h ir: A L1 v ie , ::iu so leil , c c ~ont lâ ses adie u x: Mo i je meu rs , et rnon ,i111c , au mom e nt qu'elle expir e, S 'c ·d 1alc l:Omm c un so n t r i~tc et rnrlodieu.~ .

LAM ART IN E

@ondifions de resped L e r espect ne se commande pas; il faut le conqu érir par le mérit e personn el, la di-

Grain d'or Causeriesur les intérêtset l'épargne Lrs francs plac{•s dan s une hanq,w 11r11 vent être comp ar (>s à des <lomt•KtirJ tll'K, <'L u·s serv1t eurs dociles ne drman clrn t 11i ù boir e ni à ma nger; on ne sï nqu it-lr 11idt leur lever ni d e leur coucher, et ils ignor ent les bon s lun dis. L eur tr avail j ournal ier est minime, c·esL vrai, mai s ch ez eux, l'union fait la force et le te mps c·est de l'argent. Si vou s n 'avez qu 'un franc placé, vous u ·avez qu \in tout petit domestiq1,c et il derr a res~er en service Hnc année cnti i:rn po11r un salmre de :J, 4 un 5 centimes soit de quoi. vous ache ter un crayon, une' urangl' , ri 11elg ues bill es. ~ lacez 10 fr. rou f: anrci dix <lomeKtiq 11e s qm Yous rappor tcrn11Las~cz pour aclH'tl'r u11 cout eau, un e ardoise, une mu 8iqu e , nu fou et . Cen t fntn <\S au ront trnrn illt; rl:tv,tnf.age · ils gagne ront suffisamm e11t pour vous fari~ liter l 'achat d'un ch1tpeau, d'un sac d'école, de patin s, d'une luge. Avec les r evenus de nulle fra.ncs, au :1 1/ 2 °/o,on pent ach eter u n complet ; et celui qui laisserai t ces mille franc s pendant 10 an s aurai t assez pour acl1eter une Yachr. L e prem ier franc est le plns diffieile ù, rcon orniser: mais en s1ùvant les conseils de Fra nklin ; dépens er chaqu e jour un sou de moins que les r ecettes i> l' éparg·ne est pos~ll!le,même au plus pau l'rr. L'énerg ie, l'e sprit <le smte et la 1icn,évéran ce font de gra n de,; ch ose~. L. et J . M.


LE FOYER et les CHAMPS

LE FOYER les et CHAMPS

FEMMES

D'ÉQUIPES

Voici une nouvelle carrière qui s'ouvre deva11t le henu sexe: 011les emp loie en Amérique à l'entretien des voies de ch -mins dP fer. Ce doit être un rude travail tout de même, qu'on ne poul'rait s'allendre à voir pratiquer que dans le grand pays où tous les moyens pour vivre et gagne!' de l'argent sont employPs sans que pusonne y trouve à redire . s -·~ ..., .-,,..-~ o;..x,

Enseignement du tir dans une classe élémentafre anglaise Dans quelques classes elèmentaires anglaises on a introduit les ex ercices du ma meme11t de l'arme el un plan d'enseignement pour apprendre a viser . . Comme le montre notre graintre , les fillettes prenn ent au;çsi part â ceUe _enseignement auquel on attribu e une grande valeur pou1· l exerci ce de l œil t ,•, :.. >:.:•: Y. ... ),. ),. ;,; :.:

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La maisonde la falaise -

Sur la pointed'un rocher.Témérité cruellement punie

Les hab itants des contreforts de la chaine côtière, au-dessus de la baie même de San Francisco ont souvent été alarmés par des secousses sismiques, ce qui ne le s empêchait pas d'ailleurs , de constnùre leur s habitations dans les endroits les plus dangereux. L'exemple que nous donnons ici, montre la sécur it é <lans laquelle il s vivaient? C'eRt une photographie de la Cl1ft H ou.~e ou cc1rfaison de la Falaise )> :que l'on n 'avait pas craint de coostruiTe sur l' extrêm e pointe d'un rocher an nord- ouest de la vill e. Il est vrai que là on pouvai t admirer un pano- . rama splendide avec le détroit de la « Porte

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cl·or» et r entr re de la haie ù droite, la vue du large ·:i g;rncbe et tout prochP le S- al RtJck autou r cluquel par centaine s les phoques s'ébattaient au soleil sans qn'auwn chasseur les inquiétât jamais .

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lors de hi nremière secousse du tremblement qui clevait anéaotiT la grand e cité américain e. Aujourd 'hui, il ne reste plus la moindre trace de la Mai· on de la falai ,c. ~

Snr la rivière St-John,en Floride Naviresbloquéspardes fleurs La jacinthe d'eau ( Piaropu.~ cra8sipes) est uue fort joli e plante, originaire des contrées trovicales , introduite par hasard il y a quelque(années dans les cour s d 'eau de

Celte maison pitlor esqne a complètement di.spam dans le désas tre de San F1·ancisco

Cette témérité fut cruellement punie; le Cliff House fut précipité dans la mer,

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Les bateaux, envahis par lesj/.eurs, ne potwaient plus ni a-vancer ni reculer.

la Flor ide. Les riverains charmés par la beauté de la fleur, eurent la malencontreuse idée d'en prendre des boutures et

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de les planter sur le bord de l'eau devant leurs demeures. Mais bientôt , avec une rapidité in croyalile, la plante se multiplia eo drpit de tout ce qu 'on entreprit pour la clétrnir e: de véritables radeaux Yégétam: flottai ent de tous côtés et la surface de l'eau se coU\'rit comp lètement de ces fleurs. · Alors, on put voir , notamment dans la rivière, Saint-John, à Edgcrwater, à quel. ques kilomètres au-dessus de Palatka , léi navigation empêchée et la pêche arrêtée; les petits bateaux à vapem, voire même de grands steamers, étaient incapables de se frayer un chemin à travers cette végétation envahi ssante, les hélices s'engageaient dans ces masses de fleurs et s'arrêtaient, bloquées au bout de peu de temps. · Depuis lor s l'administration fédérale a organisé un service spécial destiné à la destruction au moins pa.rtielle des jacinthe s d'eau.


LE FOYER

LE FOYER et les CHAMPS

Le ventilateur aux Indes L'homme moteur.-Un métiermonolonl\ Dan::; les Iurle:-;,1nglt1ise,:, le nmti latcur esL apprlé "p 1111l rnh l i et lr J_ >unlrnli-1rallah t•:,;t le 1loml'shqur drnr gt'.·dt• t.ircr prnrln.nt des hL·ures r;1.irune (:urrlt• 11uiaeti1n111e c;et instrument de première nC·ct•:,sité cl:rns le:, pays chauds. De8 irnliPus sont c;har gés <k cd oflfoc qui n'exige pas un trt'S gran1l dfort et (llli ùcvie11l , rapirleme11Lc.hez nux 1uw :-;o rte de mouvement automatiqul'. lluelq11cs-uns d'entre eux, cqwndm1t, ont tr ouvé le moyen de sirn]llificr cnc;orc cc travail trè:, ;;imple eu le rendant vl us ,tgréable. Couchés s11rle dos, les yeuxmi-elo:; dan:,; 111w surtc de béatitud e bien l.ionddhi1 1ue, ils adioonent avec le pied lc1 curde. q11i est

Unabri nalurel.- Seplà huit foiscentenairt', T,'èbt illP,·rairnPll t rmtiq m•que repré srnte 1111 tn' gran ire a dé eull~trni le, ~i l'on prnt ,.,·pxprimer ainsi, piir 1111 t;Hlt,iv,tteur (;a,nadil'n. Le trunl, dl' l',l'La.rhre qui l1lt'SLUL'cn \'iron r1n,1tur'l,l:' mi.1Lt·e,; de h,wtPUr cL iwpt mr trc:,;tle dianièt.rr it :m ha~t·, rernvlil ;id·tnire mirnl1ll'Illl't1t k r (ik auqnl'I CL' i1r11prit' ingt'-nicux L, dl'"l,irn'•. L(·s vadll'S ont, l'air de se vlaire ,lan:- r.l'ttL' dt'lllPnrr rn1Lnrdle t· uù l'lll'S ::,,nit 1L1ill\'Ul'S lugt-':l'Stri.·~ 1·.u11,· nablemcnt .

Une construction à bon rnarché

f,c p nnkah..,,.,,,a l/9,h travaille couch é sur le do,

nuufr au gros orteil. Les AJJglos-Iudiens ('ommenccnt à se familiariser avec cc spectacle et ne s'étonnent plus de rencontrer clcrnnt chaque maison un homme couché fl ui ((trava.ille)) clans une demi-somnolence. Mais il arri ve parfois q11c le punlmhwallah s'endort pour tout de bon, alors 1e ventilateur s'agite encore <leux ou trois fois puis s'arrê te, à la grande colère <le ceux (lui occupent l'appartement . Le <lormeur est vite réveillé par une plui e d'objets et de jurons, et repr end sans s'inquiéter son travail ,tutomatiqu e. Le /punliah-wallah que montre notre illustra tion est employé à ventiler un el<lcs 0hmnbrées d'un régiment ca:-;erné à Sita p \Il' ,

Cet arbre devait être nn espèce d·unn e gigautc ::;quc qui seip.ùle a:yoir été trunqut'· par .la. fuuclre. Pcr sonnP clans le pay:; ne "l' rappelle l'avoir vu antremcnt q11edam; cet état. On calculr qu'il est sept à huit foi~ cen teuarre. Comme le tronc était complètrm ent crc11x le provri étair c du champ où il se trn11,·e u·eut <1u'à le l)onrvoir cl'um toiture et ,\ doter d'une port e k ya:,;te orifae (lUi :-;c trouvait à 13a ~base, et qui ne mesure· pas moins de trois mètres de hautem . ~

Uno in11.ovation l}Jr&ticw.wc ; L'indicateur-express TI est intér essant cle suivre les amél iorations qu'apportent les différentes compagnies de chemin:; rle fer pour la commocliLé des voyageurs. Voici encore une innovation (lui ne m m1quc pas d'utilité ; c'est un infücate Llrplacé depuis quelqu es temps dans la gare de Liverpool-Street à Londres.

et le s ' CHAMPS

Les heures de départ de chaque train sont indiquées sur un cadran au-dessus duquel se t~ouve la nomenclature des principales stations avec indication de correspondance s'il y a lieu. Les vo.vagems pressés ou hésitants peuv~n~ ams_1se rendre compte, par un cotip ri œ1l rapide du temps dontlils peuvent <lis-

drn le pis. Il serait certainement mort dr faim, s'il n'avait trouvé le moyen de remplacer les deux pieds manquants par nn autre tout à fait inattendu. li a élevé son train de derrière, posé son museau sur le sol, Pt c'est ce rrmseau,~constituant le tr oi-

Or iÎ.r.e à l' ing6nieuse d-isposition de cet i n<licn,lcn,·, les voyageurs voient fac ileme nt l' he,we cleclcjJm·t de leur train.

poser ju sq 11·au tl{,part rlc lem t ra.in : ils \'lJiüot aus:.;i,par un n uméru, 1(, qua.i vrrs lNJuelils doivent se diriger. Un système analogue a tité introduit ù. für e d'essai dans le8 gares de Sydney et de Melùourne . Lorsque, sur le tableau in11icatenr placé au milieu du hall , on a tr uuy{! it' nom rie la locc1 lité où l' u1J Yl'nt aller il ~uftit rl'appuyer sm un bouton ékc triq11P · apparaître aussitût, dans un 0ap11u r vo11 dn, vrii,-in, l'l1e1m' ù l11 <11wllerluit partir l(' ])rt.\m1rr trn1n pour cl'ttc drst ination. Tl l'st· ù ,s01 1li.1itrr (JHl'nos g,U'(•sa.iP11t au;;si hiL·ntC1t, tl t' sP11ilJlnhl e:-;t.al1i1 •n11xintlir·..1t.P11r:pnnr rrnseignl'r yih- ,•t. lii1•11Ir~ 1·11ya.~·1111rs.

Un curieux mode de locomotion

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Un moutonacrobate J,e mo11Lonn'a jamais passé pour 11n annua~ tr~s int elhg eut, ni cloué de l'Psprit 111vent 1[. En vo1c1Llll cependant, qui pourrait ~tre consid,éré comme une exception parmi ses congenères, tant est ingénieux [r, m~de ~e locomotion qu' il a choisi pom su1)pl~er ,~ la mai:che normale, que la. natur e 1111 avait refusee. Cet animal est venu au mollClc al'Oc ,lrs p.1Ues pustéricur e;; in,:umplètcs, <;E'( llli r,:mpêcha d'abord de suivrn sa mère pom pren-

J,c. mo11ton se sert de ~on m11senn COlllme lroiNi èmc point d'appni .

fiit'•nw point <l'appui iorlispPnsa.hle, qni . lui n 1wr111i s de sr tl'nir e11 t'.•q11ilihrcnt d'nvnncer. n PRtcertai11que cette situati on ne doit. pa::;être excessivement commode. Aussi notre ruminant qu'on pourrait c1ppder <,11' mouton à trois pattes, dont un uc'z ,), 11·,,n nh11sc-t-ilpas. Il ùroute co11 ché, et qna11tl il a mangé toute l'h erbl\ qui sr trnmaif, ,111to11rde lui, gagne 1111 uouYc• .J Pmplncrnwnt.. Ln façon dont cPt animal s·,,,,t a,lapt<· a11x condit.iou:- r,Hti eulièrl',: rlr ~(>nl'xistr 11cn dvit dig·nr d'0t.re signalt'.-e. C\ t C'xc rnpl<' montre-llii'n q11Plïn gr'.nio:-;it<· ,;11ppl t'•t' ,;u111 ·ent n11xirnp1•rfrcl i,m:-;de la ·natnni. 1

Recettes diverses Destruction des rais On peut détruire les rats par un vieux moyr n bien counu, mai::;dont on néglige dl' faire 11sagc qnuiqn'il soit ùicn simple. Sur une assiette 011 étend du plâtre finement pulv0risé et par dessus une légère conclw de farine. Auprès de cette assiette on y plneu 11ncautre avec de l'ean pu re. On voit ce qui HP }Hts s c', les rat s se régalent du fa.rint· en a1Jsorl1ant aussi dit pl:ître , ce qui leLLrdonne soif. Après âvuir bu ils péri ssent


LE FOYER et ·1esCHAMPS

Cuisine

Foyer

Hygiène Friture

Fa ites un e pâte composée de farine et de lait , à laque ll e vou s ajoutez un ou deux jaunes d'œufs, un peu de sel et un e cuiller ée d 'eau-de-cerise. Fa it es frire au grand beurr e, en y plaçant la pâte par cuiller ées. Serv ez chau d, saup ourlrez de sucr e.

1

Supplémentà l'Ecole pr1ma1re

Brûlures

. On cicatrise les brûlures par l 'applicatwn de corp s gras ou de gelée de groseilles; l e coton cardé donn e l es mêm es résultats. On en obtient de plus efficaces avec un Œufsà la neige onguent fabriqué de la façon suivante : Prenez huit jaun es d'œufs. Bat tez les Prenez une pincée de pépins de coings qu e hlan cs en neige , lrs saupoudr er de sucr e vous faites bouillir pendant une heme dans fin. Fa it es boui llir, un litre de l ait, sucré et un demi verre d'ea u; mélan o-ez ensuite parfumé. Au moyen d'une cuiller à bouche, avec du saindou x le plu s frais"'possible et dépos ez les blancs dan s votre lait . Faites ajoutez un peu de camphre. Etendez cette bouillir très légèrement le lait, tomnez les pommade sur une carde de coton que blancs d'œufs en ayant soin qu 'ils n e cui- vous appli quez sm la brû lme et renou velsent pas plus de trois minut es. Les égoutlez l e pan sement toutes l es 24 heme s. Lorsque la brûlure est pr oduit e par de ter sur un tamis, l es dre sser sur un compoti er. D'autre part, avec les huit jaun es l a vapeur d' eau bouillante, voici comment <l'œufs, faire une crème anglaise de votre 11faut opér er pour atténuer la douleur: bit ; la pa sser à l'étamine quand elle est cassez un œuf et recouvrez la part ie échau iro:dc, la verser dans un compotier avec l es dée avec le blanc; l'albumin e se coagule imm édiat ement et fait comme une espèce qla,n cs d'œufs par-dessus. de vern is sur la plai e; 5 ou 6 couches Moisissure des viandessalées de cette substance suffisent pour isoler 1 Pour empêcher la !m oisissure des jamhons, sauci ssons et autres viandes de con- complètement la partie endolorie du con- 1 serve, ou bien pour la faire disparaitre là tact de l'air et amen er un e guérison parfaite. où elle s'es t produit e, il n'y a rien de meilVoici encore deux procédés pour gué- , kur que l e sel d e cuisine. On fait disrir les brûlures les plus sérieuses: soucirc tr ès peu cl'eaLLde man ière à former 10 sur une brûlur e par l'eau bolùl lante un e l.)onillie dont on enduit la viande séou la vapeur, appliquer une ou plusieurs ch ée. La moisissur e disparaît et il se forme au bout de quelques jours une couche de. feuill es d'aloès. Si l 'app lication est imméfins crista,ux.de ce sel qui pré serve com- diate la douleur disp araît instantan éme11t et i l n'en reste pas d'autres traces qu'une plètement la viande. t eint e violette qui disparaît d'ai ll ems au Gibelotte de lapin bout de quelques jours. Prenez un lapin , dépouillez, videz et 2° sur une brûlure par le feu, un éclat coupez-le en morceaux. l\1:ett ez du beurre d'allumette, un fer rouge, appliquez du d:ms une casserole et faites rôtir de petits charbon de bois; au bout d'une heme il morceaux de lard . Quand ces l ardons sont n'y paraît plu s. frits, retirez-les et mettez votre lapin; faiQuand l es brûlure s sont considérables, tes-l e revenir, ajoutez ensuite une cuillerée il est indi sp ensable , sinon de se mettre à de farine et laissez roussir. Mouillez alors la diète , au moins de ne prendre que des de bouill on, vin rouge ou vin blanc; ajoualiments l égers pendant tout le traitetez bouquet garn i, oignons, poivre, chamment . p ignons et remettez vos petits morceaux de Jard. Fa it es euire ù.peti t feu . Retirez votn.> l)Ou cpwt et servez.

et les

Décernbre 1906

Champs

Histoire. Nouvelles. Mœurs Sciences. Inventions. Découvertes. Voyages. Education. Politesse. Economie dom~stique. Hygiène. Médecine Cuisine Recettes. Procédés Tr avaux féminins. ·Variétés etc. Publications recommandées

M. H. DING, éditeur

~,, Le Sillon Romand La Revue Populaire ~

1

NOEL ~

Estavayer-le,Lac

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envoie gratuitement No spécimen


LE FOYER et les CHAMPS

Unsabotde Noël

côte à côte avec l'ennemi · din din don . è te l'.ec h o mutin, et la' pauvre ' ,mère' rep croit entendre un chant de mort. Elle reIl neige, la campagne est blanche 9 le voit les premiers jours de son mariage vent souffle par rafale, et chaern devant sa vie tranquille d'épouse aimée, et songe lui ces papillons de l'hiver; tout craque, avec terreur au lendemain, à ce lendela nature courroucée mêle sa voix au main sans pain suivi de bien d'autreR. 1;hant sinistre du hibou, et les arbres gé- Eh quoi! le courage lui manque-t il pour missent en éclatant soue le poids du gisoutenir son enfant pour conserver un vre. homme à la patrie, un homme qui venTelle s'écoulait, en 1870, la .poétique ge~a son pays et son père? Non, elle a nuit de Noël, dans un village d'Alsace. va1Il;ement chefché un emploi, mais les Onze heures viennent de sonner au ateliers sont deserts et les fermes dévasvieux beffroi; la cloche tinte faiblement tées par l'ennemi; eh bien! elle tendra au milieu de la tempête où se mêle par la ma.in! et si le pain de l'aumône est amer moment le bruit sourd du canon . Les il nourrira son file dan~ la haine de l'éportes des · maisons commencent à s'ou- tranger. vrir ,des femmes, des vieillards, pâles et Une douce voix vint interrompre sa tremblants, s'acheminent vers l'église; triste rêverie. · des homme@, il n'y en a pas , fü sont loin , - Mèr.e, R'écrie le pP-1itgarçon , joli les braves, luttant contre l'ennemi, morte bebé dont la fièvre empourpre les joue~ peut · être. Boum! boum! entendez le mère, voici la nuit de Noël; te souviens~ carillon prussien, c'est l'agonie de la tu l'an passé comme c'était gai chez noue pauvre .Alsace et le glas funèbre de ses papa ~han~ait la ba}lade des bergers, toi vaillants soldats. tu prepara1e des crepee, puis on buvait Seule, à l'extrémité du village, une du cidre, et tu me couchais dans mon lit chaumière demeure fermée; une mère bien chaud, pendant que l'enfant Jésus est là, veillant son enfant malade . Blottie passait dans la cheminée pour garnir mon dans un coin, sur un mauvais tas de s_o,1l_ier: des ora~ge~, des pralines, un po· chiffons, elle cherche à réchauffer avec lich1nelle; ah! c était beau, die petite mason haleine les doigts bleuie de son fils. man! Il est parti, lui, le chef, parti des pre-- Oai, oui, mon fils, répond la pauvre miers, sans attendre qu'on l'appelle, il a femme, l'œil sec et enflammé de désesquitté ces êtres chéris, les larmes aux poir, dors, moi je pense à ton père: qui yeux, mais la joie au cœur, brûlant d'alsait à cette heure où il repose la tête. ler croiser le fer pour son pays, il mar- Maie, reprend le marmot avec l'inche sans se retourn er, pour ne pas voir souciance de son âge, le Petit Noë'l va la misère qui frappe à sa porte. venir, mets mon sabot dans la cheminée La chambre est froide et nue, les meu · je n'en ai plue qu'un, un groR vilain 8a~ bles brûlés tour à tour et la huche vide bot, mais demain il sera tout plein et sert maintenant de berceau à l'enfant nous le trouverons joli. qui grelotte et sourit en mangeant le der- Il néige, enfant, la tempête augnier morceau de pam. mente Jésus ne sortira pas ce soir. La mère hâve. les yeux enfoncés, mi- Oh! si, si! je vais lui demander à née par le chagrin, ne peut même plue genoux, il nous apportera do bonR habit" pleurer . Par moment, elle lève la tête, et des petits pains dorés et ramènera peut~ écoute la cloche qui tinte joyeusement: être papa, pour que tu ne pleures plu~. Din, din, don, elle pense à l'absent dont La mère émue et réconfortée par cette elle ne reçoit pas de nouvelle, din, din, candeur naïve, Re le va lentement pour don; il est blessé sans doute ou dort chercher le sabot et le placer dans l'âtre peut.être dans un coin de terre isolé, vide.

LE FOYER et les CHAMPS

Son cœur gonflé éclata, des larmes abondantes la soulagèrent, puis, peu à peu, l'eHpoir revint; la confiance de son fils la gagna; qui rnit si l'enfant n'avait pas dit vrai, si bientôt elle n'allait pas revoir le cher compagnon de ses premières années de bonheur . Une partie de la nuit R'écoula ainRi partagée entre la crainte et l't~t1poir;~inq heures sonnèrent trouvant la malheureuse femme toujours immobile et songeuse, les yeux. ouverts et perdus dans le vide, pendant que l' enfant dort en souriant à quelque giga,1tesque polichinelle . Tout à coup on frappe à la porte; la mère, effrayée Hort de sa torpeur et se lève brusquement. · Qui est là, murmura -t-elle tout bas? - Moi, répond une voix d'homme. Elle tressaille, cette vo,x ! blle la re connaît ! C'est celle de son tant aimé, Pierre . Hélas! eoupira-t-elle, il est mort. Marianne, je mis là, ouvre donc. Tremblante, elle tourne la clef, la porte cède, et elle tombe dans les bras de Pierre, du brave soldat, sur la poi trine duquel brille la ~roix d'honne.ir. - Toi. .. , ici. .. , mais c'est un rêve! et tu vas sans doute me quitter encore, ajoute-t-elle avec tristesse. Non, ma bonne amie, je reviens pour toujours, malheureusement, car je ne suis plue bon à rien pour la patrie, murmure-t il, montrant son poignet droit mutilé, pendant qu'une grosse larme roule sur les joues de ce brave. _ Il s'approche ensuite du berceau où dort son file : «Enfant, dit-il, je te confie la tâche que je n'ai pu achever; tu remplaceras ton père, tu lutteras comme lui contre l'envahisseur de notre pauvre .Alsace; ma main, restée sur le champ de bataille, ne peut plus porter le fusil, mais, les tiennes, jeunes et vigoureuses, le ramasseront à leur tour . Il promène alors son regard dans la chambre vide, comprend le dénuement de ces deux êtres chérie, et apercevant

le petit sabot dans la cheminée, il <Je dirige lentement vers l'âtre: la confiance de l'enfant ne sera pas trompée, dit-il à sa femme, d'uno voix imposante ; et, tout ému , il dépose dans le sabot du bébé jouets et friandiseR apportée à cette in tention et il détache ensuite sa croix ·d'honneur qu'il ajoute aux mod r stes pré11ents de Noël. . MA f\lE-LOUI SE N1tRON

Noël 0 Christ, 1 0 Rédempteur! la terre te salue, Elle jette à tes pied~ son cœar et sa r aison, Ecoute les àccents de sa prière émue : Reste à son horizon

* * Il est venu l' Agneau de Dieu , l'Immeme, l'Immuable, le Tout-Puissant, le Dieu des armées, afin que tout homme

qui croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Il n'est point né dans la pourpre, mais dans l'asile de l'indigence; il n'a point été annoncé aux grands et aux superbes , mais les anges l'ont révélé aux petite et aux simples ; il n'a pa11réuni ~utour de son berceau les heureux du monde, mais les infortunés; et, par ce prem,er acte de sa vie, il s'est déclaré de préférence pour leR misérables. Nous voyons, depuis le commencement des siècles, les rois, les héros, les hom mes éclatants, devenir les dieux des nations. Mais voici que le fi.111 d'un charpentier, dans un petit coin de la Judée, est un modèle de douceur et de misère; il est flétri publiquement par un supplice .; il choisit Bes disciples dans les rangs les moins élevés de la société ; il ne prêche que sacrifices, que renoncement aux po:n. pes du mende, au plaisœ, au pouvoir: il préfère l'esclave au maître , le pa uvr e au riche, le lépreu x à l'homm e sain; tout ce qui pleure, tout ce qui a des plaies, tout ce qui est abandonn é du monde fait ses délices; la puis11ance,la fortune et le bonheur sont au contraire menacés par lui. Il renverse les notions communes de


LE FOYER et les CHAMPS

LE FOYER et les CHAMPS

En l1al1on1wnr le l'ôte. Nord

La chassé a.ux tigres à Sumatra l ·-.

L'île de Sumo. tra

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Magnifique T(qre royal 111,: clans ,'1/,• de StllWJ/m de no s compalrio/es M . 1'rilschler Ferdina nd, d'Oll eu ,1111,11~

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Cette île, une des plus bellea de notre planète, au dir e de M110 J. Asmir, est riche en montagnes boisées, en vallées fertiles C)_Uerecouvrent des champs de riz aux récoltes abondant es. On y trouve l'igna me, la patate douce, la noix de coco, la pistache, le ricin, le sésame, la canne à sucre, le palmier, l'anana s, le poivrier, le citronnier , le bé · tel, le tabac et lu café. Les monta tue11 cun1iennen t <lei,; gibement~ d'or, de diamants , d'é · tain, dr cuivrP, etc. ,

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Nacelle du ballon dirigeab le cr_Pôle ~ord » avec ses cmq aeronautes dont l'un M. V\7ellmann l'invente ~r. L'exp érience s1 malhe ureus e du pilotefrançais Andrée n' a pas ré ussi encore à effrayer tout le monde. Un amé · ricain M. W ellmann a un e ' fois encore tenté d'atteindre le pôle nord en ba ilon. Un g-and journal américain ay,rnt légué une somme d'un million pour en a~surer la réussite, le coura · (l' eux, explorateur est C

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parti.

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bien elle est utile dans notre monde si rempli de mi~ères. Que d'occasions autour de nous d'exercer notre sympathie! Que de· besoins matériels, les pauvres, les malades, les veuves, les orphe lins, les â ïJe.i angois8é.es et découragées qu e rien ne console mieux qu'un cœur pitoyab le: que de misères de , tous côtés! Que de fois on entend parler du prochain avec indiff ére nce ou porter ·sur son compte des jugement!, trop sévè · res. La vrai " Rympathie ne se décourage pas , ne Re désespère pas, et ne se laisse pa~ rebuter; car c'e,t l'amour dévoué du l'humanité ~ouffrante la vertu persé- Christ qui l'inspire. èutée, celui-là, no11Rl<>jurons, ne saurait Nous ne sommes pas seuls dam, ce être qu'un Dieu. CIIATEAllB RTAi'>.1). mond e, il est des âmes qui vivent de la ---- -'ilt.~ ~'· ~~ vie des autres, souffrent de leurs douleurs, et mette nt en pratique cette belle pensée : «Je suis homme et rien d'humain ne saurai t m'être étrang er.» Sym11a1hie 0 parents! ne négligez pas l'â'lle de Que d'occ Mions ch aque jour n'avon11- vos enfan ts! .\.pprenez-leur à sympathino11Mpas d exercer cette qualité et corn- ser avec lqs ma lheureux

Le ballon géant a 50 m . de looirueur . Il peut porter 7900 k iloR. Danij sa i;pacieuse na cell e ee trouvent deLX moteurs donnant un total de 80 chevaux-vapeur de force. D 'après une exp ér ience faite le ballonpa rcourait22 k m. à l'heure .

la moral e; il établit des re lation s nouvelles entre les hommes, un nouvea u droit des gens, un e nouvelle foi publique ;il élève ainsi sa divinité , triomphe de la religion de s Césars, s'as .~ie d sur leur trône et parvien t à subjuguer la terre. Non, quand la voie du monde entier s'é lèverait contre Jésus-Chri&t, quand touter. leA lumièr ·'~ de la ph iloso phie se rP-uniraient contre ses dogme•, jamais on ne nous pers ua dera qu'une religion fondée sur une par eille ba se, soit un e religion huma ine. Celui qui a pu faire adorer une croix, celui qui a offert, pour objet de cult e aux bomme l!,

Morale

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En route pour le Pôle Nord

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~u & 1 le rix actuel du métal, que des sp~Plusieurs fabriques de chocolat du con- ~ulate!rs ang lais et holl a~dais ont f~it tinent joignentdepuis quelq ues temps, la monter outre mesure. Un Journal socianote suivante à leurs tablettes: c.Çollec- . liste de Ilambourg racont e que, dans une tionnez le papier d'é~ain . Çe papier est localité de la banl ieue, un groupemdent du métal pur, un metal tr es ch~r: Pro. a pu se procur er un e par t.le e sa chainement, ce papier sera .recu ~1lh par ~r;ioièqu e en collectionna.ut lell feuilles des agents et pay é au prix c~~tant ~u d'étain du chocolat . pour des œuvr es charitables. ~ md ustrie du chocolat en Europe e~p lo1~,Po_ur 20 Les soldats du globe million fl de francs de papier. d e~a1;1par Une n vue a calculé qu'il ~e trouvait à année. Ces iO millions sont generale -

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LE FOYER les et CHAMPS

LE FOYER et lesCHAMPS

la surface da globe 5,256,000 soldats permanents. En cas de conflit univeuel, il y aurait 44,250.000 hommes sous l~s ·.arm~e . Si ces hommes armée recevaient l'ordre d'exterminer le reste de la population :_terrestre, chaeon d'eux ne devrait maSlacrer que 32 personnes. Ils n'auraient qa'à s'entre , uer ensuite pour ei terminer le genre humain. P lacée en files, les'. soldate·du globe feraient un cordon Eerréautour de l'équateur. Une seule décharge de tous les foFils de cette armée coûterait plus dt 2,500,000 fr. pour pa,su c•s troupes en rt'VUI', il fanduit un train m.irch mt à gcan-ie , itei;se et sins arrêt, pendant ïO jours. •JIClll

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Pensées Le::. bonnes pal"oles sont bonne s, mais les bonnes action s sont meilJemes.

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Celui qui est sagÔ et gnnd Yient frop tût ou ti-op tard.

Lesécu.ries d'unSultan Le chef des Musulmans vient de faire reconstruire et considérablement agran . dir ses écuries. / Elles occupent, à Constantinople, une superficie de plusieurs hectares et sont éclair.See et ventilées électriquement. Pros de deux. mille chevaux s'y trouvent en permanence; quelques-une, magnifiques, ont été payée près d'un demimillion, car le Sultan est un amateur passionné des chevaux . Il se vante de posséder dans ses écuries e.u moins un spécimen de toutes les races domestiquées ; chevaux tartares, barbares, arabes pur sang, danois, anglais et français, trotteurs russes et po. neys australiens. Il a même quelques zèùreJ:jet de superbes couagge.s afrfoains.

Lesfantaisiesde la mode Le premier chapeauhaut de forme Le premier chapeau de hante forme (on b&nt de forme, la di3cnseion est encore ou vule), qu'on ait vu, a été eihibé dans les rues de Londres, le 17 janvier 1797, ;>ar nn cert11inJohn H·iherington. Ce John H tbecingtou était chapelier de son état; il venait d'invrnter le a. tuyau de poêle » que i::.ooscoonahsoos encorr, er n'avait pas troové de meilleur moyrn, pour le faire connaitre à ses concitoyens, ~ue lie l'arborer lui-même en public. L'es.périencetourna mal cependant. Des rassemblements se formèrent autour do cha · pelier qui , antait à hante voix l'escellei:ce et l'originalité de sa marchandise. Dans la fonle on prit parti pour on contre la coiffure nouvelle. Dee discussions s'élevèrent qui s'envenimèrent bientôt et des horions forent échangés. L'inventeur do haut de forme \'ID reçut sa bonne part. E11fin , des policemena l'arrêtèrent et le conduisirent an poste, Le lendemain il était jugé et condamné à l'amende peur avoir trou· blé la paix publique. Il s·en consola plus tard : le précnraenr do «tout reflet, fit fortune. Et l'avenir s'est chargé de prouver qoe John Hetherington avait en un trait de génie puisqu'à plus d'un eiècle de diatal?cenous subî,sons encore la mo:le qu'il avait conçue.

Aux Indes le rhinocéros possède une corne d'une 'iongueur ne dépasse.nt je. mais O m. 30, mais dans l'Ouganda o_n en rencontre dont la corne e. quelquefois La chasse au rhinocéro~ dans l'Ouganda jusqu'à O m. 45 de longueur. C'est de.~s cette contrée africaine qu'a été t~é l'aruNulle part le. chasse n· est plus_,g1ût~e 'en Angleterre. Pendant des siec es e. mal repréeenté sur notre dessm; s~,n appendice nasal est dans son ge11;e 1 ~q:asse au renard a été le passe temps chantillon le plus remarquable qu on rut ;e.VOl'Ïdes riches seigneurs d'Outre -ra:vu jusqu'ici. che Comme le nombre des ren~ s : ___....,_~ mi~ue sur le territoire des Iles Britant.1 ues beaucoup de chasseurs s~ ~ontenL'animal le plus âgé fent 'd'exterminer le commun gt~ier ~ndu monde dis ue d' autres s'en vont au om c erchei des distractions plus da.~gereuses det =-•• ;:::::::...:..... - ---::: ,/Jr/n abe.ttre a coups e ~ fusil les panthères, Unetortuede quatresiècles , les tigres et les éléDrake, la pacifique et vénérabl e Dra,' phe.nts. ke vient de mour ir. VoUR vous d1me.n~ Une des chasses dez peut -être quel était ce. personnage? -.~ les plus pérille~ses Drake était une tortue g1ga~tes;1u? d~ - ~ - auxquelles on puisse l' espèce Testudo Ab~rrg dom qm v1va1t -- . se livrer, est celle du dans le jardin zoologique d~ Londres et 1 C, t a11i r11alp os·c,d" .~ rhinocéros. Ce paqui passait pour être l'habite.nt le pl~a p!us bel!e co1:nequ on a,.t chydeTme sauvage et viP-UX.de notre planète . ,.Elle comptait amal8 vu e 1 indomptable n'attaque jamais l'ho!31~'t le environ quatre cen t B ans d, age. • Cette tor tue fut capt ure e aux iles Sa.remier mais quand il est blesse i s~ ~ontre terrib le. Sa lourde pe.res_sefait le.pagos vers le. fin du lace à une légèreté effrayante; il bo~ . XVII{ 0 siècle, et on tt e.r des mouvements brusque_s ~t, de· observe. que sa. carap ' s'élance avec la re.pidite du pace portait, gravée à sor donnes, l meille ur cheval, cherchant à fou er aux la pointe d'un couteau . d et à transpercer de sa çorne ceux une date dont les deux pie s . ·1 se sent attaqué. Aussi n'ose, d h aux. pTemier~ c~ifîr~s. seu · par qui i t-on le chasser que monte sur es c ev lemfnt etaient lisibles: Dmke pcu, ait pltt16 . . . On déduisit de sieurs jours d ans 11ne très vifs et très légers. . Les indigènes chassent_ ces a~n!1aux cela que l'animal avait immobilité cor.ip lète manger leur chair qu'ils considerent ,., e'te' captur é un siècle auparavant, d e3a , ', h ~~': sans raison, paraît-il, comme fort mais qu'il était parvenu a a e c_ a.pper. délicate, et aussi pour s'emparer _deleurs En supposant qu'ell!~ fut pnse vers l~ cornes, avec lesqu~lles. on , fabrique des milieu du XV[le siècle , à. }'érquo, Oll ob. ets d'un prix. tres eleve. Ces cornes elle comptait une cinquan te.me anneLs, J 1·d d'un rouge brun en dehorR, âge auquel les tortues sont encore da.os I cen sont so i es, d - l'e nfaTice. Drake au mome~t de s9: de~d'un jauné doré en de an~ avec e tre noir· elles sont susceptibles de p~en- xième capture, étai1 au moms tr01s fois ' poli Les éthiopien11 cro1ent dre un b eau . , ll • ' 11s ont des propriétes merve1 eu~es, c~ntena.ire. La date de sa mort ne se co~na1t pas qute e nt celle de détruire les effets exactement . Elle avait e.cco'!tuma de pasno amme 1 des poisons les plus de.ngere~, et i s den ser plusieurs jours de sU1te d~s une fabriq uent des coupes pour l usage es immobilité complète, et par consequent, chefs pusillanimes.

Une corneprécieuse

A côté des écuries réédifiées on voit les nouvelles remises, où sont rangées et entretenues avec soin les que.tL'e-vingtneuI voitures de Sa Majesté turque. Le Sultan collectionne, depuis plus de vingt ans. tous lefl modèies de vé~iculee que l'industrie a pu créer: coupés, dog-carts, phaétons, victorias, landau.,, chars - à bancs, omnibus et traineaux, jusqu'à une automobile neuve - encore inutilisée!

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LE FOYER et les CHAMPS

les gardes du jardin zoologique ne s'aperçurent qu'elle ,avait cessé de vivre que lorsque sa tranquillité leur parut par trop prolongée.

merce pour les liquides, ressent une première et violente attaque de goutte ; il va trouver le docteur B ... , il lui expose son cas et lui demande ce qu'il faut faire.

- Voyons. lui dit le docteur, comment vivez-vons? Vous ne vous levez pas trop matin, vous étant couché tard, vo~1sallez prendre, chei un cafetier, de vos clients, Fermez la bouche un verre d'absinthe, ou de vermouth, ~e respirez jamau, par la bouche, à moins ou de bitter, quelquefois tous trois, avant que ce ne soit absolument nécessaire . Le· déjeuner. nez est fait pour nspirer : 1° les narines - Mais oui, docteur. sont garnies de poils deRtioés à retenir la -- Ensuite, vous déjeunez, et vous dépoussière apportée par l'air; 2° elles sont jeunez très bien, !!Oit avec des clients, faites de façon à réchauffer l'air à son passoit avec des confrères. sage; 30 elles lui communiquent une cer- Oui, docteur, vous savez, dans la taine Jmm1dité. Or, c'est justement ce qu'il profession ... C'est forcé. faut à l'.air avant d'être introduit daosnos - Après déjeuner, vous retournez au poumons café, chez un autre client, vous y prenez CONTRE LE FROID La protection contre le froid ne doit pas une demi-ta~se, avec le petit verre et être exagérée. Les vêtements trop chauds, une chartreuse en guise de consolation. trop lourds, sont une cause fréquente de Puis l'on vous propose une partie de manille, et vous buvez de la bière jusqu'à maladie. Trop de chaleur etrefroidishements. Les fourrures, par exemplP, peuvent ren- trois où quatre heure de l'après midi. dre d('s services, mais surtout a':!X person- Alors, pour faire des affaires, vous allez nes tubissant au repos nu froid rigoureUJ. visiter un autre établissement où vous Dans nos climats. la marche avec un: prenez un ou deux verres d'absinthe, manteau de fourrure déter mine, même en sous prétexte de vous mettre en ~ppétit. hiver, destrampirations dangereuses. - Oui, docteur, on ne peut pas faire on·évitera particulièrement de trop cou- autrement . . vrir les main?, la tête et le cou. - Bien, bien. Vous dinez par là-desPas de cache-Dfz, de foulard, et surtou t sus, mieux encore que vous n'avez dé<iP.boa de fourrure au cou ! Ce sont des jeuné, on échantillonne le Bordeaux, le nids à angines . Bourgogne, les mousseux, les liqueurs ? Les vêtements trop lourds et trop épais C'est vrai, docteur, que voulez-vous, ne protègent pas contre le froid en propordans la partie ... tion de la gêne qu'ils occasionnent . Bon, et souvent, a.près avoir repris Plusieurs vêtements très minces et sou ples, mis les uns par dessus les autres, sont du café, pour ne pas rester en reste vous plus chauds qu'un vêtement unique, à lui passez votre soirée à boire la bière chez un ou plusieurs de vos clients, et vous senl beaucoup plus épais. vous couchez le plus tard pos~ib1e? - MaiR oui, docteur. - Et puis, vou1:1avez la goutte! - Mais oui, docteur, que faut-il faire? La goutte - Eh bien I Monsieur, les grenouilles ne l'ont jamai11,il faudrait faire comme M. A. quarante ans, forte constitution depui11 sa jeunes11e voyargeur de com- elles.

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Hygiène

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Faits divers


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