No 02 l'Ecole primaire, 15 Février 1920

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16 F~nier 1920

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L'Ecoleprimaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la couverture y comprise, et autant de supplé· ments de 8-16 pages pendant l'année ordintl.ire (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).

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Sommaire de cettelivraisop

m ouiteJ'o11garnisa1:ion. Le sys'téme de dt!·

ef trtinsmettnaientleurs décisions aux ser10nttrainrsrmi,ses au Gomifücèntta:l qui conférencesré{!ionalesqui se prqnon.ce. oonvo·queira, si c'est nrêoessaire,I' assem1l!e po,u;r1remois d' alVlfil. raient en dernier ressort. bree grénér:a

par ·La lutte oonitlre'l'ailloooMsmepa,r l'é· mandes et otfres d'emploi \PfiOrp,osé

M. de Oou,riten, inrsipeateu,rscO[ic3..ire de Sierre, r:éuinit tours 1,es su1fuiages. Un a,vi1s ic!ia •rJJsles jo,umaux mettra les in· b,utéresisés au cou,runt de oe 'Il'Ou,veau Peau de ,p1a>eement.Diverses p1I'10IJ)OS 1-0M. füo1rus sont faites qu,atlJta,u, t,ittuilai:re. Sommaire de la couverture ] iO: s. ,M-0ulJ.Îln le fu'ro.u ;v,e déjà tout désdln!tér1êïs lde ŒaSociété valaisamt,ed' E- ginrédlan1s 'Vaper1so,nnedu ,giér.antde Ja ducatùm. - AP,piliictation ,de [a n,o,uvellle Oaislse,de iretr,aite et, pour f.i;nfr, S'U,rJe 8-0i.sur 1Ies iirattemenrts. - Société 1d'i,n~ ,pœarvJsde M. 1e PiresÎldent,on .dlécide tilburfoes . - Oonférenoes ld'irnsJtituteurs. idel,aiss,erle choix au Oomité c.en1lr1aff. Ce - -L'av,enir ldu 1oa,nal Stockalljper. fü:nctionn>aiire serad.t rétribœ , en partie de 1,a1piraho 1!,ette.- Var-iétés. Aiufü,ulf paŒ'unie ,cot1saitionIde fr. 2 rpar les memlblfesde lJa Société, et en p,arrtie par -<>urn,efi111~!Il'Ce de 10 fr. payée ,par chaSommaire du Supplément N° 2 que bënéfici,a , i,rie. !Les dhiffres défini.tifs 1 Le mois de la Sainte Enfanœ. serront arr.ê'tiés piall' l''Alssem,1)]éegédu pajn . - Pro- nérall,e. 'Betlhlléem , m mla,i~ro,n pag1:1tionde lia foi. - Une martiresse II de maison d'aujo,uirld 'hud. - A 'Dortin ( or.ioq ui1s mo,nfüg;na![!d). Fondation d'une Société cantonalt

colle. - E}d/u,oatiion ph}'ïs1que.- L'é· ld,urcatfonde Da voJon,iié. - Un devoir natiooarr·. Prou:r,quoi soigner vos dents. - V:ar.iétés . - Pensées.

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Iotérêtsde la SociétêValaisanne d'Education (Procès-verbal de la Conférencedes dél~f!Uésdes districts tenue à · Sion le 15 janvier 1920) A 1 h. 50 nous noius tr.ioovionsréunis dans 11asaUU,e de deS1s.in ,de l'école nor· malle des in1sitritut ,eitli!ls . ·Ge Présiid!eni,M. le Oh!anoine Deilaloye, ou~e lia séance !P!<lll' '1:a,pirîère et, a,pirèisavioiTrsa!Luélia présence de M. le doyen W,wI,en,r,e,prés,en'IJémt de .La Soci~ ,d'fidlu1oa,tiorn :diu Haut-Va1aris, i'l . passe à 'l'o,rc:llœdiu jrOUII'

I Créatl:on d''lln Secrétariat char~é de

procur.er aux instJ.tuteursse trouvant sans emp/.oiune place en rapport avec leur professÎ{)n Ohtaoun,a1pJ)!llau,d:irt: à rr'initiative de M. 1e Pirés:iiden,t et d'em'bU êe o,n en dis-

du personnel enseignant Ciefle IDlotÎlon,fuia:rJJs 1nüs1e:pa,r M. le Président ert ém,ainant diu diisltrJot de ,ier t,outeisles Monll!hey,a 11edon de délJ. au~a·ng,tl'eis.P•en/d!arntq,UJeIes uns ia,Prpi1 dirsisent,en y voyiantile ,seuUmoyen d''a,r. riv;elfà l'unité d'aiotiiron {'ntr,e Ies rttlemhreis du oorips ,enseignant ,orimaire . du ca,nton, d'autres sou.Jèv,entles objections q,ui s'im)Plosen!t. Ern'fin, .a,pir'èls a,v,oir reçu Pa'SISmla~oe, donnée par O. Our,1y, que 1lies1promoteiuTS du mouvement n'enltlewdenit s sa bo,ter •Ies buts. ,de 1~ 1pa1 ·société .a,dtlu.ellll te, mais au c,ci,n{,ra1re 1u1 ooruSieliVer son oa:m ,ctèlre moral et édittoafüf tout ein iaSlswnaintl'heureux aboutiiJS1~ernent ide nos nevendiaatiorn'smatéTi,eillires, 'lia p,r,oipo~dtion slUiVlantede M. 1e Piré'siidentest votée à l'unanimité: 1

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· Maintien des deux Sociétés qui .<;eraient réunies et mises en contact étroit par des assembléesde déléfués. Ces assemblées discuteraient les qu.esüons commumesà 'toutle personneldu canton

1M. le dlo,y ,en. WerflJen,IPlfésidentde la 1aiis, ,prévoit que la SocÎléœdlu Haiut-Vrail idifülérnncede I:ang,uesconstituerait .un à ,'.Dafondation obsiardle insU!fmoortla!bllie d'une Storciébéwn1q,ue, IDlaisque l'idée de giliOu,per1,esdeux sociétés de la ~arrière d~des,sius indi,quée, ,est pianiarternent rea1,isabil,e et en hiarnio1nieavec le b:ut pll'O,POsé . 1

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lSJUif f·e dlésÎlfde 1M. Victor Bonvm, i1I sena tr,a,nsmisau D~all'temerut le vœu que no,tre aJll~o,ca,tilon suppilêmerntaire de renahléni ,ssemeni soit füœe pa,r le Ora111d à Jia session de rna,i et non à Oo'rJJsein ce%e d':automne.

V PrlsMence de ,a Sociité IE!nfin, d0100ainitsuite à sa v-0fonté HI !P!Lwsüeurisfois ma:nifositée,de_ remettre AMl:Jcation S!t,pplémentair,e de rerntr.ed'aiwl1res111/a:ins il'a ,prés1denœ de renchérissement ~a So,aiéJtié, M. Q,e Cfrlanoine DeiiaJl.oye !JrciM ,Le Prrés,id:eillt donne 1ectu,rede nouis confü,rmesa démirssion, la din~c. Uia00ll'll' ,esipon1dlanoe .aiotiveéchiang:ée en- ti,on de no.fr.eaisrsodatio,n- sans qu'i:l tne ~luieHle DtW.de 1 '1:ns.ilr. [>U~ . au .su- y ait inoompibalbit1i!é aiJJt&o:hue aviecl'1mj eit ide ae:ttte:trolP fameu,s~ a1Iltoc~t10~ . rpolfli:anie CJb.,~ge,dievicaire grénooaildu ,dliUlonrs ,q,ue c est g,raoe a ldi,ocètsedont I,e notU1vie!l 'Nows e!Il c-0111 évêq:uievfoll1tde rsesp[1eSlS1antes dlémar,dheis,q,ue .oes 50 [e Œ'eVêtir-, éta,nit cependant rendue f:r. tiu1renlt oonsientiis,ce[a bien que nom~ pll'esque incondUiabl1eavec 1:estravaux 'briede oommunes favioreb1'esà l'ootro1 que néceiss,iite aErlJte der:ii~e fonction. Ide ce :SUIPŒ)]ément ne se fassent pas anM. J;os. Moulliinse fait iici l'inrterpirèIl!001Jœes dans Ule,délai 111tÎlle, soit arvarnt tie elletous no,s iieg,relis. et ,de n.9tre Q!!O~e 1et d!écemlbr,e. fonde reoonnia,i ,sisiamcepour ~e zèle et .fü ,est égia:1ement,pris adte du fiait que :,a coll1jpétenceal\'lec1,esqu,e/l!siJJevénéré Mes1dames·Des insiti:bultirices, auXJq.ue:IOt>s diémissionnrai11e.no't.tsa dirrig,éspend:aint des 1rommu111es cd: allllrouéun s,u,pp,lé- 1es 17 a,n111tées de sa JPI1ès1denoe. H soumen:t, reoeviront fa p:art in,comlbaintà 1lig111el'acili'Vilt!é 1qu'i1 a dlêp~oyéeet Jes ~'Efu1t pour autant Q.uele penme~a le aroolJtornti,o,nsa1P1pooiiées, girârce à s1a crédii (maximum 30.000 fr.) vote par perséviélr.aince, dla,flls notre situation maœeOrnrrd Consefü. tér,ielllle ,et d'une manière g,énéraùed1ains ~,e dié~'O :PJPemootide i'Jn!Sltirwction pri1 1v mai[[1e.D' aiŒleulflS, ce n'est heulfeuseAssemblée générale meint:pais un adlieu qu'il fa'llltaidlreS'St:1' 1Elfiantaiaq,ui:sil,e ila.it qwe ;per1sonne, à Ml. lie Ohla1no1ineDeŒafoy,e, 1puis,qu·1,t p:arrmi~es membir:e:s ,pœsernts, ne récllél- oontilflueà fa.irrepiairrtiede noiflreOomima~t 1a tenure, en 1920, d'une réunioo œ dlornt,il sera to,ujouir,s un des miemp1:énièJr,e, suir. '1laprnpositiion de_ M. le hres les jpllirns éao·utés. Plfés1dootet VIU le peu de tlnavaVleffecEln q,uefliques 1PaŒ'oil1es émru.1es et bie~ tif fou1rni par œs arssemlb[ées,.M'M. les senities, M. [,e Ohlanoine DelllaŒoy,e d1t idé!lré,giuiés a1aceplbeint de flatilf,e d1Jc~t,er et ,son 1e15jpoi:r, mieux, IS1acelt"titu:dte que la ·voter dJaos lles oonlférenioesreg1onaa,es Société 11esiteradla!rns ['av,eniToe qu'e1Jile à metltre sm le ta- Eut dJaJ11,s tou,tiesles questi10,rus l,e ipasslé: urne .vér,i,tabUre soçiépis. Les résu[taifisdes déci,sions prises 'l:éd''écfu ,cation; ses membres ser-0nt tout 1


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de dévouement dlans l'œuv:re de fonma- d~pl\a,oement, no,us croyons utlillede ra:,ptio1n mo111alne ,etinteil~eonuelŒ,e au'ils ont à peller ioi: aiowmplfü; iJ1sseront 1':ex•eJII1lPlle qui en1. Primes d'âge. - 1(1 ne suffit pais tr1aîinedans !.a Vioiedlu bien. Dieu, l'E· \d'êlbriedians aaSe, I0e, 15e ou 20 angllirseet Va Pa:briiedewront tioujrotlif's les 'née d'enseignemien:t.pour pirétefrdreaux comlJ)!~er :p'airmi J1eurr,seni1an~s · Ires p lius swppalémen~mernme/1:s resipeciti.fsde 35, aimantis et les p,1111.s füdèiles.frlis auron~ 50, 65 et 75 tir., m1ai1s H,faut, dia11:s cha'à sau,v,eg.a~dlerj.a!liousiement leur &01.t que ,cais,afil,e11Jdlre ffia6e, 11,e, 16e e!t21e ,de ,rev,enfücail:ion,en œ rqui concerne .année, 1'art 2 dis1aint ~orm~lernent: 1eur,s in~.êret:smlatériel~s;mais, dan5 la ·après 5 a,ns, etc. manifesilartion ellece drroit iQlsauront à 2. Indemnité de dépl'luement. - H cœu,r d'oblServer to:uj1ou.11s Jre f:ad qui ,que Je ,personnel et , 1qui, diu rres,t,e,assure;.·_a n~eis,tpas nécessalii:rie s'i,II11Poi&e d~ Sia corn· enseigina1nJt quitte le te11ritoire mieux te suocès. M. DeffiaJ~oye remercie ceux qui l'ont girainldemerutaLdé,sur- mu,ne diedomidle pour po,uvlOlrp·rétentout pe!lldaintles dernièr,es ann~~s, dl~ns dre à l'indlemnité en questi'On. L'airt. '.J ,oaJbll1e à tous lresinsti~es efü1o11tis clépenSléspourr F.amélvorahon de la I,o,ies:t a1p1p;Li et insHfu.trtJrfoes qui sont oblligés tu.burs 'du ,soirt du perso1rnneil emeiginéiJ?:t. . Il adlresise un hommage fout rPa,rücul 1er Ide dhlang,er complètement de domi_cifo 'de satiisffia 1oti'on à celiui entre les mains ipot11r,eiœifloerleu,r aobivi'té profos,s1onl:luqu,e/Jirl eslt füull: heu~eux de r,emett.re nelllle. .fü via cfiesoi d'aifü,euœqu'on ne peut se.s ·pouivo&r,s. ,.. , , , Oe s1tmces1seu,r ayianit déJa été even- 'b1énéfücierde ll'intdemnité de idépilacetue!liI,ement désigné dès rle printernpiSde mell/trque poUJr1,apério<ded'.aibsencedu oridinafre. _ ,ooe de M. Thomas, 'domioi1Jie 1919 dans la ,peris,o ·celliUJ~ci se v,ojrl:IClonimint,mai1'giréses vives et sincères ,protestatio.flJSnon déSociétéd'institutrices d'endJossrerla Jour. nuées cfrefocr1demenli:, rLe D~pa:r,temenit de l' Lil'simucti~n. ,ru'de cUJlarrig-e de J,a· 1prés,idel1lce.On n''au- bllvque, dlonna1rnl: suite à une ,d,ec1s1on rl1!Ïtpu ifla,il!1e uin meill!~reur ch1oix . oanitonailrede ipJri1se p.a:r fa Go,rnmis1sfon C. ,Le Secrétaire ad hoc U'enisreJ,gmement primajr,e, vient d'ôrg,a&) nii,seruin petit pIDébi~cite au:pirèisd'e ]vJes· :dames les I1nSltituliJr,ioos. Un quest10n1De nomblreux i,rnsitituteu,rsne .possé- 1naire, .aiu,q.uel !les i1111téressées do,ivent !'é'daint piliUis les Statuts encor,e ,en vigueur 'po,nidre au plus ta~d jusqa'af!-_15 die la Société va/iaisanne d'Education, vrier, four idema,ndieen ,effet s,1 e!le.s nous les a,vornsreimprimrés teffisque1s 'sionltde 1J'avi:sque ,I1epersonnel. ,ense1. et les jo,1ginon1S à lia p,resientel~vrajson Q1n,a,nt ~éminin devr:ait se ,consiti,tueren ~·~ecp;rJère de I,eisC'on~er s01g:neu ,se- r~ociété sipéci1a, le Id'êdlu,oation,.ayant son ment prour m~age oooars1 onnel. comité centriallp,airI:equefWse fi.endrait -0en oonfüot avieclla société an1allogïue fon. I d ée p1ar M!M. I·es Jn1Snitufours sous Je .Appllcatton de la nouvelleJol v:ocalbUe:Société valai,sanne d'Eduu1.. sur les traitements twn. Quell!quesrédllaima:t~onis se pr.od~isant A [a date du l 2 février, [,es réponà s,on suJet,n,ofiamŒnent en oe qui con- ses ,pia[l\llenu,es, qui engi1?bentv;u:s d~ cerne l'es primes d'âge et l'indemnité de nia moitié idu pooso11Jnel interroge, op1.

nent fa pl:urp.an,pour cette innov.at1on. Des réfractai.rescon~tituient une infime minio;ri,té 1q,u,e J:esrépo,nisesencore atten. rctueislJai,sser.ontviflai•semMablement telle quell~e.Les idhi,f1t1res une fois devie~u,s délfinitifo ne modii.fieriontdonrc giuere, aictue1,penso,n,s.,nous,a;es IPII"O.po,r,tfonis n.es,ide sorte ,qu'on devine ile résultat de ~ 'i111iiti,a,tiv,e .

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0 A for.dre ,dlu,jour pour cliaiourne,con. fiêrnl11ce de M. le dÎlrieotewrde l'écoiie 111or ,mra[e, siur l'em(p[oi diu nouveau

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Cours de langue française. -0-

L'avenir do canalStockalper Sous ~e ,tiitre:La navigation en Suisse, 1notre AILmalil'aoh ipour 1920 :PUbJie une curieUJse1pagiesi gnée 1du,nom avan. tageusement -0on,n:u de M. H. de Preux, irngénieuroanfona:LPari[/aintde la création à ,l'étwdeid'u,nvassteréseau de voies naviig.aibilies, il y dlait ll'œsortir ,que l'artère qui initêr,essetowt 1Spéc ia1ement la SJUilSSe ,oœi:deniale ,esit celJiequi permeittrait td''()lpéœrùia jonclfoindu Rhôm~et du Rh'in ip.ar a,e moy,en de 1110s tacs. C'est ,ceibf:e V10iefiluvia1Ieque itouch,erait J.e V,afais ,qui (Pooséderait immédiatemenstIes deux ports ide Bouver,et et StGiingo1jph.Parmi U1es meH1reun;. projets, oolui rde,'M. Autr.an, une aiufoTitéen la mafière, is'a,ttad1,eà Œ'étudedes condi,et financières dians liesticms 1redh1ni,qu,es 1

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q,u·ei1fos,Je ,oan,aJ Stbokailper ;pourrait être oonve11tien voie ,navJgaMe. Il prévoit un canal! ,q,uiaurait son origine à Mon:bhey,où u111gir.'.mrd!PO·rtvallfaJ.san iseia-itaménagé avec un 'large bassin de dhlangement.De llà,Œetraoé se dévelop!Per;:1,it )Pa.rafüslementà la voie ferrée jusqu'à CoHornbey,où serait éta1b1 Ii un arutre 1port 1qui servirait également de IJ)Oiin~ Idecrni~ement et de virage. A parti'r lc:i1e OoilU-Ombey, le canail,,oornstiti\lé sur p.resiq1U1e fout 1Scm 1PaJ1COurs par un s·im1Pil,e éla.ngissementld'u,cofüecteurexistant, lies locaUité6 ia,I,i'ment,erait isuiocessivement ri\JleraiinesIde Vi,onnaz, 1dleVouvry et Bouvemet,où éga1emerns'0ipéreraient les 1111anœuivries Ides dhall1:mds,desisenvant U,esÎlnidlu!Sltriies Œ'ocailies. Le tyipe Ide baJe mieux aux con.diteau 1quisati1slf.enait üons rnqu4is·esp:ar'aît êtr,e une 1péniche de 200 to1nnesavec hlal,age éfoctriique s'effectuant depuis Q'une ,des rives. L'auteur du. ,projet roondut ,qu'i~ <J"és,ulte de son étude que l' aménag,ementdu caen vue de U'a oo.vig,ation, nall ISitiod:aljpier fout en Uui,conseii\lia,nt IS'onŒ"ô,I,e ide coJJecteur 1d'assaini&sement,ise présente comme une entr~pr,iseipar:faitement réaŒisaibJie. Nos ~ecteu,11s ,qu'intéresserait une étu. de IPfü;spr,ofonde de a-a1q,u,estion,auront tout rpll'aisiret 1profü à UiiI1e ,ce 1dhapitre inSltructifde U'Almanach du Valais. 1

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Aotourde la Picbolette (De ,!]l'~eou, fév11ier 1920) L'EOOIJE PRI·MAIRE nous ,parnissant pouvoir être au besoin me tribune accessible aWS1Si bien aux commi,s,s,ionrS scolaires qu'au IJ)e'.r<>Olll1ie~ enseigmnt, foo v,oud•rabien nous permettre d 'y monfor aajourd~hui tPOUJr un in1sfiantseulemen/t.C'est dire que nou,s n-'en· ,tendons pais y kaite,r :Jonguement, poull" le q,u,arttdbeurre au moin1s,un suüet qui se prêteradt œpendruit à de nombrewc développements, anai,s,y faire une ,simjple constatation et p'laicerun aivils,UJti':e à !la.dressede qui croiriai,t dervoir Ie prendre JPOur:lui. Ne précisant


VII

~ants; ['aîné, A)lfu:ed , journailier, a quarante On n\wairt 1Pas vu cela depuis quarante ans; ll_a plus jeune, Ulllepe tite fi![e, Charlotte ans, disent :Jes saJVan.tsqui tra,va•i[llent dans n'a que creux ans. 1'éjphéméride. Et pareilile chose ne sera arriTows, frères et ,sœurs en âge de tra,vai1Jler vée que treize fois en quatre cents ans : travai:llent aivec ardeur et coufage comm; Au XVII. ,siècle: 1604, 1632, 1660, 1668. leurs 'hoonêtes père et mère. Au XVIII. sièale: 1728, 1756, 1784. Au XIX. siè<fle: 1824, 1852, 1880. ~ Au, XX. siM e: 1920, 1948, 1976. UNIE 'IM1RETE IDAJNS :L;E CA:l.JENDRI 1ER On dherooait un gour irrwosisil> 1e, pour une récea,tion suwosée, dans l'ordre d'idées pilaiBibliographie santes de la fameUJSe• semaine des quatre AILJMJA!NAOiPf:STA[.0221 jeu/füh. ~t .agoo.da, destiné à 'la jeun.esse scoJake, Que[qu'un prOl!)osa: ~ dn;tin~e [PM' l'ingéniosité de fa disposi. Vo~ _!l~~ez qu~ dire : ce sera pour Je i'Ïon, Ua ndhesse de na ma~•ièreet fart avec ClilllqUieme d11mand!e de ,février · comme fé. lleq.uell y ~oot :roooUJVe ~és dhaque a.nllée ,!es ~.rier n'a que 28 dour,s, soit quatr e semaines, sujjei!s traités. IJJen existe rnaillltenanit deux i,l ne rr,eui évidemrnen,t a;voir ,que quatre diédï;tions, Q'unepowr gaœ-çons,l'awtre poUJr füi· 1es. · 1naru:hesJ l>.r,ix2.40. - Parot, éditeur, Lausanne. :Mais wc per,son,ne au courant fit rema.rtjuer que, iprecisément cette année 1920 bisis~xt!le,lle 1er lévrier est un dima:nc:he,~t qu' :f:Nous solllffrons IJ)lus~n généraL de l'a.painsi .,le 29 .retombera un dimanche, cinquièpréhension des souffrances que des sou.ffranme dumainchede février! ces IJJlêmes.

ru .lieu

ni pe1:1soone,1110sJignes ne sauriaient bout des &lucateUJr,sexemipiaires et des sudu reste offusquer qui ,que œ soii. Ce n'est j'eibs d'édification pour touis, grands et petits, riches ou i[)a1l!Ylres. d 1aillleUI1s ,pas Jeùr .bult qui est celui. de ser· Si la perfection éliait de .ce monde, e1iledev,i,r tout uniment ide OA:RDE A VOUS. On 1'a déjj~ dit ailllleu'I'~et nollls aim0ns à ·vra,it être J'apanage ~péciialde touis ceux qui par vocation oo pr<llfession,à le répéter encore ici : 1a coodu.ritedes maître-s sont a11Jtpelés, s'occuper des jeunes âmes au 51Piritue'lcOm· d'école du VaJla1sest généralement des plus me au temporel; mais [PUii,squ'fü n'est pas en sa.ti4aisiantes, à en j,uger tous. œux qui nous d:e ,l'atteindre, tous noos avons sont conn,u,s ou dont nous a:vo•ns en 1endu notre iPOUJVoir Œ'im1piéirie~devoir d'en approclt& le .plus patf.er. IJLssont pélllétrés ides irnporiants de· ,voirs que 1.elllrr~[en1 Ia loi et le règùe- poss,iible, pour mieux ressemb!er à notre. di· moolf:des écoles pr~maices ainsi que l'excel· vin modèle à touis: Jlésws-Ch:rist. Nous n'en dirons (PaJS d"11vanfagewjour•lem o,pu.sruleL'EFFORT EDUCATIF QUJ. S'I.MJPOSE,qu' ias ne sawra.ient tl'op méditer. d''hu;i sUJrœ ~hème,sauf à y re1Veni!'en terqps , puis.qu'il ,se prête à de bien iplluisamAu nœnhre de œs olbligaitioos, partiowlière- u,tit'.e me:ntiI11!J)Orla.ntes pour qui, ,dans une certai- ples considérations et que nolliSn'a1Von,snul· ne meswe , a en queiliquesocle ch(IJI'lg'e d'âmes, 1enent entendu ~'éjpuiser ici. Un président de commission scofigure, 'pour des édu1cateu;tischrétiens notam· laire, vieil abonné et lect.e11 r ment, oe!'.llede donner toujoucs et 1partou1 le assidti de < l' liJcole f)rimaire , > bon exen'1)ile.C'est là un a1P0tstdl at que tous nows po11.l1Voos et devons exercer sous peine de iaiaU,irpellît~iŒ"e gravemen1 à nos devoi'I's, J..'éducaœur peut, malgré ses efforts et sa bonne vollooté, ne pas iret11s1Si'l' tom}Otllirs p'.eineVariétés qu'insfüwteur tout sii,rqplement. ment en .f:3.111Jt Pa,r cootre, ce qui est en so,n pouvoir et de UNE FA!MUU:E DE VlNOT-SEPT son deivoir, c:'esit de doo,ne,r con.sfamment ~e ,BNf'ANTS bon, exemple puùsque, investi de la no!:llemais JL'Académie kançaise a reçu à œ joUJrp!,Us in,gmite mi1ssi011 dfostruire la jeunesse, il s'est en même temps imposé celle d'êdiuque,r a.vaut de 20.000 dédlarations de ,carulidatures aux tout en la guioont daDlsle chemin de ~ ver· tlota.tiolllSCognaoq, de 25.000 trancs, qu'eLl't ~u, d'être pour elile en un II10l1: un swje! d'éichl· tlii! ,iribueria en 1920. Cette dis.trihutio:: aura fioaltio111, SOUIS tOUJS raworits . J,ieu d/ains fie premier semestre de [•'année Or, tel n'es,t maM!eu:reu,sement pas touJjours 1920 oar i l lfaiut à lt'Académie •Je teJJ1fl)S de ,:e ca,s, à certains éga!'ld.lSau moi,ns,.L'Un ou choisir ,parmi iles 20.000 famiBles de neuf enl'aUJtre maitre d'écd:e Œ)OUŒ"raient 01U miWX devraient s'olbser,ver dia!Vaintagequant à la fants viva1J1tsdR.lmême Ui,t,- minimum désiBOISOON. Rares œr!ainement sans dowte g,né - !es plus dignes , tant par Je nombre ,sonit ceu,x qu,i se 1montrent par des e:x;cèsré- des edanrts que µar les besoin·s et ,Jes IM· ,pr&ensiibles à cet endroit Mais si C!1~i111seri tes d'obtenir les 90 [Premières dotations de mês fu:ssent0 ils, ce serait tror J)Ulisque,Join 25 millle francs-. d'éldifier afo1:1s,ill1sscarui:füsent. Quel respeoti, Sur fes 20.000 f.amillilesimscrites, bea.ucoup au .suinp\lluJS, peuiventbien alVOirpou leur maî\:i~passerut le minimum de rreua: enfants vitre, des écdlJier.s,qui l'ont pewt~e, un jour, re+i,ré ~vre. d'un ruiisseau ou qui. le voien.t \rain.fsdw même ilii. Plu.sieurs mi!Œiersde ces a.près l'écol1efaire die la vi1sÎ!fedes pintes et familles comptetlit dollJZe,dix-dliuitet jusqu'à de la • cu!MUJre du peitit 1Manc. soo ocouipation '1ingt enfants. : faV'Orite.Si J'on ne peut rai sonnal,lement exiMais .Je 1ecor:dapjpmient à la fa.mme Jo· ger de nos i·n1s,tituiteursqu'ilis signeinltFaibsti- seiph ,Roger de ttou~Yleis(Seine-et-Oise). M. neruce, si d~siralblleque ce ,serruit parfois , tout et Mime Roger, Je père, berger, la mère, ouau moins a-t-on le droit et Je devoir même vrière d'usine, n'ont pas main$ de 27 enfants! de leUJrdemander de pratiquer et de prêdher la sOlbri~ ,au.ssi bien da,ns le boire que dans La guerre , Mias! deur en a tué plusieurs. 1 1e manger. A•iosi fai,sa,nt i[s seront jUSl(!u 0.u Mais il leur en reste encore dix-;huit bien vi-

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tio.n des élèJvres1sutrle bi.en~être,qui en a.tmo151Phèreréconforfante qui leur ren. résulte. Il ,désaipu,rowv ,era hautement fü.a ibeiHe,et heureuse la vie d'école. S'ils 'l'illlljpohteisse entr,e ,cam:arardes,les g,ros sonit ha!bitués à voir, :à ,faire, à aimer mofa et 1,es,quereUes. Il ira plus loi.n: ce 1qui ,eis,tbeau, üs le rechercheront, ils ii évitera de 1prre1111dr,e ,en parlant a:Jx s'.aip1P!i 1queronH::à so'Ï,gnermieux leurs ef. écoliers un ton s·ec de commandemrnt tfets iet leurs traivaux. Des mains ou tm ,s,e,car 'ÎŒs.pnmidr1onitleur re- :v:êtementma~prn1presferai,ent tache, rls ·qu,i les ,bll,e.s va,nichieet en u1SeJ.1ont de même •elùtre sreifforçer:ontd' 1êfr,e ,ein ,oricliriesans ciuc eux, ,sinon ,av,e1c leur maître et leurs pa- 1Ie maîtrie 1s,oit sanis ,ceisseo,b'ligé,de réiprima:nlder,e.t de punir. ,Même ils pourrents. Banniis, na-tureHement, 'les vocabJes ront aip[>ort ,er 1oet amour :de l'harmonie 'de « rnrenteun» ,et de « trnm,ip·eur» d tihez eux pour 1,e1pl,u1s grand bi,en de tous termes mta;l s,onnants même quand Ueurisfami~,\.es . Plus tar,cl le souiVenir Hs serai.eint m'ér:ités; ,oe1a nuit à la 'di- )1,eur .reviendtra ides !heures bonnes èe (Ynité,du maîilre et à ceNe de l'~nfant 'l':écoa.e,ns ,C01m1Pre1t1.1dront ,et ils e:,cpérib . qui doit ,en aivoir consdeirnceet n~ rJen rmmter,ont ce qu'autrefois ils sais1sc:Hreou ne rien fai.re qui l'arrnoindrirn1t. ts.aient·av,ec ipeine, œ .sera pour .eux un De m'ê'm.e,},e maîtr ,e ,doit veiller à œ que ·rêwnforit. La petite gr.aine que le tnaîtout clans sa tenure ,soit d'une distinc'i:r,eou la maîtresis,e a~ait .semée aura tion ,patifal,e. Lei~ ,enfants . ont ~i v_ite germé 1et,donné une ,plante robuste qui diécouivertle imoiITT ldre travers, le rno,,1- porte ,du fruit. dr;e geste un IJ.)eullfÏ'f, mala,dro'i,t, ridiOuvrir !''âme de fenfant au charme cule, ou o,sé, et Hisne l'oubiJiientp·,a,s, 1ls ,et à fa puissance de la bea 1té, c'est, en ïien't, mai,s ioe-lales trouble. Les :pour ipluJs tar,d, le ,prés,e.Ner ,des plaigronidieries co.nbnuelks aussi détruis,ent si11sgrossier,s ,et des mauvaises cr,mpa1'1liarmon.i-eet ,engien:dreni le dégoût 1g-nies;c',est aus1si ,prévenir l'~a11tüp'ardhez !''élève. S'il faut punir, qu,e cefa ioe ,qu'il trouvera une o:ccu.p,at\onet de soit îait ,av;ec ,oa1me, d'un ton qui ne ,no:bl,es joui1$sancesà lire de bons ausoit ni ouifré, ni emJPorré et sans dé- tteu,ns,,à ,conrtem :p'l,er 1e,sœuv1œs de la mor1JSrtr a tion 1qui abaissera.H 1te maître nafare 'et ceil1es,des gran tds m:aîttes, à aux y,eux de ,51e,sél'èv,eJs,car il doit .~on- ,enteDJdrie ,de bonnes "Oon ;férenœs, à écou· serv,er un IPI'esitig ,e de bon aloi ayant 'ter de la bel1e musique, à paTticip1~ rà pour bais,e sa supériorité inte,llec:~nel.)e 1cfagréab1,es conver1s.aüonis. · jointe 1àJa r,idb'liers:se ,de .son .c.aracte,r,e. C'est le mett.r,e à l'abri· d'UJnefol!le On 1exi,g ,e ,de '1'1éJoolier qu'il re's~e:de Ide meJsquineri,es-et de ~r.aicas qui tour· son maître, ocla 1eis{bien; encore fatrt-11 11nen:tenthe1s,cerveJauxsans cès,se .:>,:;uque le maître .in5!piretouij,ours ce res- pés au terrie~à-t.erre de .].a vie quotidïen,ndre aiVecfü 1crainte :ne. C'eisit1luipermettre ,d''éctlapp·er aux J}ed - 'ne ,pas co'nifo - et, èn ou'tre, que ·oelI:uici s,aiohe res- 1mfüeux les plus ,décourag,eant,s_, et leS ~Jede,r l ',enifanrt:, ,considlérant ·en lui i10n p!us ol)JIPr ,imimts. a'éo0ilier·à riéduire à l'obéis,sance, mais dans ,une âme la faculté tErv1eiililer le citoyen de tdemain. Nous irons plus id'éltP)Priéder le beau, ie'•est lui ouvr.'r !a foi'Il: il fa'u,t que le maîtr 1e 1soit mû ,par ,porte \à :de mu1.fiiplesj,oies pures et ~un ildéa,l1s,ujpérieur, ,qu'il ,puisse se don- rnlbles, .c'eis,t l'la1p,peler à une vie md.s, lP,lrnssaine, pfos ridhe, plus heil· ner fout ,enti.er à sa ,grnnlde tâche et com- 11,euir ~nu'ni1quer s·on entlwusi.a;sme à ses élè- ·reu1se. {BuN.etinmensuel.) v,es· iceux-cine com,pr,emdront ipeut-être p:as'toujours, \clu mo'Î,nsi1ls 1sentiront une •••••

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ECOLE ~ PRIMAIRE ORGANE DE LA

8-00IITI

VALAI8Alllll

D'BDUCATIOll

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SION, 15 Février

Laluttecontrel'alcoolisme parl'école

1920

an!tia:Lco,oil:i,que doit être grrie!ffésur le Jpriogirammeessentiel Ide il'êao[e primai. we 1S'i ,I ne v.eiut 1p.astirer là 1I1ui un peu ltiro1pide 1sève et ê'tre 1quaMié à ju~te iNous avons lia aoinviotion,que notre ti~rie, p,a!f les ..Îilllsitiiilu~eurs eux-m'êmies, pa~ne se déblartrns:sera et ne s1e pré- d',enseig,nemeintpar 1a,sii'taire.T10utce que llll'Veracliu füéau de l''aüicooQisme que ~1es ,einseig,nementsiaooesisoires,ont d'in· uneinistruotio!11 ,et un e édlurati1onspé- ~éreS!sia 1nt, 1d'utitlie, 'de néoeS'S'airemême, cialescontinuent à êtr;e vigioutr,euse. doii -et peut tlrowver n1élrure!l:Lemeint sa amt dloninéeisà no,fir ,e j,eu,nieS1Se. Seuil, iP:~oe, 1pet1te 0iu giranide, id!anisivesmaœ eceiptioi.sme ld!emaruvfaise fo i:s cionisi- tièr1es 'foordamentla 1les du [Plf01grawne tlrea'éc01l1e ·oom1111e iune,qua111füé négli- tpri1mtad,re. 1e ,dans Œa lllutifiecoinilîre [>'aJlicoo'l. ~a~ba:cho111s donc I,es q,uestions antireuis,ement!lieniombrie,de ces sroep- taJl looo11i,ques aux maitièttiesiessen,tieillles dlu ipes >diminue1dhlaqu,ej,ou:r.L'école a:p- pnog,ramme. Af,rusi,en ,i~arr1I}ant aux enrt,die ip/lluis ,en 1p!lu1s, commreun 1ns- fants ides dif,férienrosorga,neis die thiomnt i'Il:compar:a ,blle ,da1ns fa l:n:tte mie, on JPeutffeuir,eX1Plliquer, iarvec qll'el· nouisiI1itêresis,e. ques ldëtadŒIS, en se 'servtani aillssi d'imiaft ique!hs1sr on,t Œ ·es difilérenifs modes ,gœ ide !blOJil 1g10ûit, Ut3S,ravages prod'uiœ ·on Ide Œ'éooŒ1e rdan's œ 1dJomaine? 1pa!I"iles,hoilSlson:s .alllco 0:L1q,u,es sur iles sy,seont,élJUinomh:reIde deux, U'iµ.struc- tèmleis1di!g.e1sltûlf, ~elS[P,iratoir,e, cirœ<liatoire et ['êducatwn . et miêmeISiUr Œ'inite!llld:genœ et ~la senisibifainlonsid'abrol!'ld 'de Œ'i,n,s,fmeitiio,n anti- lli1té. Aipirèls,qu'o111 Œiett!f,a bien mis so,us i.que.Oette i1I1 stmotion dloJt être les y,eux J~s ,dla1I1g 1er5. 1qu1epres,enilel'a. ée au Jprogramme d'hygiène et buis 'de J'a~toooŒ ·, on peut lieur e~IJ.i,quer tiences nabuil1e!IJies. L'en~eiginement :que ld)1msooe iallianentattionbien corn1

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lllll1 boo ,ent!rtat,nement, miais insiulf:fü.sant:ëJ.iewe de ta dlasise. fin tété,jlllSPT<Of ,iœpour obltenirwnrêsullitatnotaWe.Quia.nt ,tiont de l'htewre fraÎIOhreIP'OUI' exéru~ 1auxfiiIŒes, rien ou pt1esiq111,e rien ne leur IJ.es imonwementsarvec ip[us d'en:tiraiin. estoffert; on craint ipreut-1êtn,e de les fa- Oe S1erapour tllouteaa j:0urnée :Lac11rcuil!iguerpm oe qui leUlf ·dio,me!liaitau !J.ationrendue pl'll!s0,ctive.Oar avant Ja tCJ11tt1aire l•a furme même. On ne s:ong-e liiatig,u,e aUJr:ootété mirSiesen.j,eu 11esfonc,de [',orga:niSime,,enJt[taîpas•assez à ~,es meftre en éllat die :resiiis,. tio,ns g,énéf'.aq•es :p[,usde via11anoe ret 'à leur idoinner il,e :diév;eliopipe- lnement,q,ui :au.r.a1heau;colllP ment ipihrytsi,aue •qui Œeur1pennet't11:a iprliws ff,etllf fait ,au début Ide l a j,orUméequ'à fa;I,d,a,u foyieir, d'aiccOim/PŒ ,ir v,ajil[am- ~out autre moment. mootfo granid 1dieviok'de ta maternité. Nouis 1s,arvonsbien 1queJ',obj,octioinde IEt5i œ 1q1uü iesitfait IJ)omrreis:e,iarÇons « iperte Ide ~emps» ne mJa!IlJq,u,era pas Wle iio:iisoru ldreiuxipar 1Siemafr11e donne ldrêtr,efaite pair iceux1qu,i,,s'en ti,einnent 1a ppreciabnes, .q,uid11s lctéi::i ides rés,uili/a~s 1 stidctiement:àUa'lebtrieide1'1ens1eig,nement bienfaits.él1P1TJorr,!,emi1: 'i:t fouisrrwsenfants et aux ip~a111s /trotu.t éta1bl,is.1Le,sipr.-ogmmla goymnasf!irq iue TTêpêtiée rchla,qUie jiour ! m1es rsont iclléjlà1si ,ch/airgés! . . . Les enSouv,ent,'dla1n!stes cllla1S1S1es. on donne à. lfain~s,rdi'fres ..V'ousraUiS1sd, ·senontagités; le etc. tomrnierritte!r 1 o ettie 1Pa11de: « C'-es.tauan/d ld&uil: ide rrad~assie1S!eramauvais. Dé· ,Eit tout ,cela :peu.t être idit ret doit être l'ainb're ,eistilernne1qru'i1I f.a,utlludimp1dmer trompez-,youJS: Ores 1et1ifiaints détendussedit dains 1eslleçorrus de sdences natur~Education physique bonne ldir, e cti!o , n » Si Œ ia max,ime est tl!le : r oot lblea.ucottlP plU$ ·a,ttienMs a {'enseii,es. No,u:s gYerusons ;qu'ill res\t:inutile d~ juislt,esse·en matière ·d'é- gnement idiumaîitirie et ,ü6utd'abord aux IDe tows côOOs et en totllSSlen'S les ef· d'une ,p1a,rtfai1:e ,donner un cours 1syisit,ém0:hl!que td1~nhjiuLsite en- il"eoommall.ldlatio:ns id'rnr1dnemora[ qui' tendent à réiiornn 1er et à &œ~iion,iell4ea1pp.al11aîtipil'UIS a[lodo1Li 1sme; notl!s e:n étions pa.r,tis_an fo:rlt!sa1dliuldlls core ill o ~qu:'ii~ s'agit id'êdiu 1 c aiffo[1 phys i: o uwient habitualll1001 1ent [a j1ommée. A 1p,elffiecti ,01IliI1Jer fen$eignement. l;a quan. 'S Ue SiOmmesmomis aturiir ,efoi:s,mai1slll!Ol\l que. ILa · g ,vmn/a'S~Lqu,e ldl oit être prati~oU:t JPmerudiœ, 1q~e iseirai ,enlt1qwe'11qu,es i nsltité de dtplômes dlécemés. en no~ aujiourtd'hlui. On me ,co1111Prenidra _,sii'a1dès[e j ewneâig,e !d'une fa00[1 chaque j,oUirà Œ'oode,en ,,. quo- taints ,enlllevés ·1· oute 1 que 1'ens.eiginementtprimaure est \orloisisantailtestent hautent1entle deve- ome '1' ~ oo.lll)plami.son des bienfaits de la gym[orp1pement de l',instriuotion. Au1SS'i bie11! tidienneet raisonnée. p,rnSlséide ,oonJcll,ure,. parioe '.qu,e -1ses e1iei n aSJ!ii r q l\1:e 1 q1t1otiidi ,en,ne?Heawcowpd'en'La ai e çon , f .)I1oprem 1 e nt dite · s era hi e b1n'e,st~œ pais seUilemlenit l'i!Jl;S1lruiction qm l\fe1s;sont ipiressës·,die travaii:lil,er,q11,ecet fants œangiwirssants, aux ipâlllescou;l,eu1'6, dorrtaidlaire QIU mieux bi-heb,c'lomardaire, nOUis par,aîrt eS1S1Mtiiell~e, mia.i:s ' l 'e~~ble ooisei1g1I1001 ,ent ,estainrêtéà 15 ou 16 ans 1arswe,et ,apathtque, n'ont ,st>i,que. là Œ'aititil!ulde 1n, 1a formahon gënerade ldonnéeIJ)arun maît11eIde ·gymina et dlo-~trc1omJp,or:ter œpenidant ,une, ~e,r- ]de :l"êdiulcaitio 1s m1 nornnaU. aîrhie ide gymnaisitiqu,e rbesoiin q'llle de id/évie]opipement i1 eSitregrettable qillf l'é- Nous ldd·soo iaine SI01l1i111le :de con1rnatsisia:r1œs ·genera· ldlainsLaiql\1.!elllle ,S ioiït qu'JIT : s aientl: â réagdr contre un afaldluJoa:tio-n phyisd , q ue s-oiit tt,op souvent néqoofüiié 1et non 1p1ais n'importe oui, si ~esénlélmenitlairres, i1m:1liSipoo;sal~lies dams la ,ou Uie,s:ciommenœmenfa remJpll,i Ide :Oo.rnne voŒ ,oinfé iqiu'on Jie su!J)- :vrsme œâicltieux, vi,e. On ·s:ai·s1it1drem!JJléeU.a,nêc,esis.H:é .qu' giHgêe. d',u111ieenf.ainoedébi'I,e , -0,u une [ente .oonip;ar ârg,e d On commence pou1'.lta111t à en ~ oose.!Les,enfu1nts,g1r-01umés iŒy a ide ne iP.aJSuroulbler1''u.nitéde.l'enide rma~aidie(l)ttcrm-0inai ,re, ou l',imlPo.r .tanoe. et ~ i lies pirorgir,am, â ioeuprès pal!"for!oede tésistainoeau· 1v,a1I.eS1oenoe :sei,g1rnement p,rimaire. i:,J ous ·ne fatsoThS (piI1en!dire 1ecorn u.n défaut ide oonfomra.ti-on o,ssieuse, .etc., unies d'insttrud!!iœ ,pr1ma~rie sont . p erfœ. ront lcfooc ulne viérifuŒ)lle Œ : w , i s oha,que fom::herià da iqueslbi on. . 1atin, Ides , e tc.; llla gym[lia.isti 1 q 1 u e 1q1t1otidi,enne vautri.onnés a, f ün ' q ure dha qu, e i, n diV1Mu, . par b!lfe m Fentrée ren classie, Je maîi.P1our ll."éS1Umer 1èefte 1premièrie~arüe \Ilesi~clleset les tows ~eismoyietl!ssache .pl)uis et ml~ tre1·Ol\l lÎ ,awr.a•S1Wf!Viei11nté ['ex,ercke, com- ldra iiourStties~oni'o'll!es, ,de nofu-eISlulet,111-0llli& tl'ÎWn!S,q,ue ~~r soit 1,ui-même phys· t,t,i,s et retenu Œiesin strurcti,o,rns.iiet1arie- iph:oslJ)hlaities . C'iest1'oxyg'ên,atrlo,n de tout l'i:nlsltlruction seuŒe, Il':éco~e rpeuit de1a ien,corefutu.t-:i[q1t1'ill ,quemient déviellOIP/I)lé . d ès . l e jeuine âg,e paf ?o· n rn1nisme. Uexerci.oe 1 dema,n:,dlé ,aux faire ·dru1.1a , n t 15 ou 20 minutes füs mar'beiawooru1P ·pour fa da.use :d)e[la sobrr~éltë; IUJne êcbuicaition qui mielite en vaileur lei ( poumon, s 1 e t k3:UX mu~dJ,es iprioifitera à :t'êrmies . . J,es mou~ernieiJ:lns respiratOires et p!a,r ,lies rno.tio1ns ,Sjp!êdawes de phys!•ofo1i• : t re 1ouit ,enri'er ipowr ison hamnon,ieux :ciéfoés1011s de vtle qrue hti a confiés ia Pt'Oles exiefictoos rd' as1sou;pll s sement. gJ·e, ld'h~iène, k:i'éoonomie:domoottq,ue :v.e!I01P1Pemet1t. üe mlat:inest ~'heu11eide cho·ix,<:a1"la et 1S1od.a1e, ,eùlle,peut montrer, par _av.aiO- lv1fdenoe. 1Ua ,gymna,Sli:iiq,ue ldlont no,u,s , pat11 ons ,oot ·aŒ ·ors a1s1s,ai.nie JOar1'aéra+io,n oe, 'à 11:aj,ernneSise neid)a1nge~ ides blo,~sisons 'Llé1gymnal9bï,qwe esit devienue ~ c'la,s,se e -01Mi giatoir.e: c'est U!Il piremiel' 1p1asldu ltloutceifjte·arndenne gym. ~ ·fia nuit. De 'l)i1U1s. 1PoodantO'hiver ],e;s in'ielSif: allido,oai,ques. Eli: en. ce ifa11sant, eilllieac- lbr1a;ncli 1s et exeirenfan~s.,en faj;sa·nt q,eur gvnmas+inue nas'l!i,qruieavec iefl!ort/dietr1a:ct:ion co1111)Itdt une tâ!dhe.imp,o!fta'.Ilte, Caf l'encu~~œ ph~si,q1ure si agi~ de .œrands fu:nll:eis~ l' eiS[)oirldleJ'averur. rMiaŒiS, .est- ip,a,Ocltltte s'écihaulfferonteux-mêmesertne s,ouffoi- ciœs rd'ag-rèis,rqu.,ipil"ésentaiit dhez mes suj,eifiskib1es, oe tout? Bn s,1JiPposant que lies maîtres mel1Jt,pr,êsentéeaux garçons est ui.1à ront1PasIdefa tempêr1ature,encore ip.eu dn:oonvénioots

prirs:e,in est f;adl~ de ,se pas 1ser de bo-i~- dionnenit il"em,eignemoot en ,quesition pour dëtoUr. isons aJllcool1i1qrues. :Des e:x,em1prues pr1s avoc zële, oe1.asu:fifüll1a..f[-IÏ[ al· idall]SiJ:a1rvie 1courainte /dionnefiont aux ner le flDéau?Non,, l'instruciîion a:nitii co 0H tqiu 1 e 1 s ,e,u1e e,s , t ii.ncapia,bl1e . d e .irem. maî.tres [,es moyens dè ir,oodre1euirenpùi.r ,toot,e lla ,tâ)c/h1~. Et iq~,e rfau.t-ill~ seigine:m,eint vhnaint,et fra1Ppant. ip!l)us? Ill i f aut y lél.J??1~ 1'eidiu~at 11on;il r,Mlêime:la 1piarltieéco,ruomique .de la est m.éoesisai1re iq,uell'êleve.él!PfPbqu~ ,c:tàng ,question ipl0i1lif ,I1a iêrt:r,e iaholfldée.:L,es en- sa vi,e :c:Le tous lies jiour,sIles cons,e:ill1s en. fanrtis ,coII111J!f,eI11nenrt: lfirès bi,en 1:e tort tendluis :à 1l1élcoo[ 1 e. ·Em. un imo,t, i' l faut ,caursiéa1Ulbu:d1geJI: fu.mi.lliallpair }es ha:b1- que il"enfanit;y~ve;l'i,nstmofron aintiaUtoo. Jbuldles die boi:ss10111's d'un ,de ·ses membres. i,q ,ue .que niou!S~! ,do'l1l1;m11s .. ·~'allUons Ii1s ootn!p!I1en ldlraient Jéga[ement.les piré- 1pas ou,Mver1que 11êlctuca!tio ·n, rc1 oomme j;uldliioesIde 'lloute-srsoTies,qll:efos buv~ur~ 'ai,hleur.s,a l!a pr;irma1111ié sUJr1'insi!motion. icawsoot1auIPiaYJS rfuut enher: hioSJP,1tah- N,o,us aiblo[1deir ,ons fa secJOn lde p,artie 5a1tion1da1n~leis m'airsioinsld'a~,i€més, en- de nofuiesltl'jiei: ,l'éid\ucation a,niti~oolitretfon die,;priis,01111s, ira[,entiis\sement~e l'a pro:diwctvonna rioina1 ,e, accidents ,d1v,ers, que, 1da1rnsU,e iprod1)ainnuméro. E. Coquoz.

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c'est il.a gymnastique ad!aiptée des 1~é-

L'Education de la Volonté

111ernm1: t [.iéea~ _[db.reiaroitt-e. 1

,LeJ.ibr,e .arb1tre eSII: 4a base .et Ga conifuodes 1suéldloises.Oesd: wnie succession ditiOili : d ~ manifostationrs ex:rerie~resde ide motllV'enJJents ;so1uuJ1Leis, ar.ro!l1dis,iinœNotre époque, 1seoouée,par [es pas. t.avo11ointé. Nous /POUV'o:ms ,mer Dieu ou :riessiaint églailementle ,tronc et 1,es mem· ,cMmagog ,1q,ues,1S1embŒ e '51Ul11liou,t ca. ,l'adorer. Mais nous saVJo:ns éga;lement 1bre,s,et !dont U',ensemb~1e, -s'i1 s ,sont exi- sions mc'œ!ri ,sée ,par ,deux mall:aidites iai,guês de 1à ce qu, t attend notre âme ,dans il'au~det1 œrtésarv,ecmiélihiode, aura if,0111cé tous l,es la vo~ionœ mar;quées ipiardies proc~sus se,on Ilia r,ou~e 1que nlOU!S au:rions suivie mu/Sldl.les ià fuumiir fouir oomipŒ1et dêv;e· di,veirB.0e maa:aits,eicon1S1i!aITTJt, ces crlses icï-'bas. Œ ,opipemoot.·ID ne ,s'agit .pas ·d'a ~I,Jie11,r1s, e.nldlémiJques, ·ceri.tte :fu1én~sie da:ns le, mal, .r.x,smaUaidiesde lia viofointése piréIdeifai'l'eidenos ,enfan1ts :d!es1acfloœtesou qui :se r,el:I1ouivel1Ji: à fous [eis de~s de senœint sou1s ldeux lalS/pects:l''hytpef\bro de pel'~tsplhlénomènes,mais s,eu1lement, ,l'échelil.e sociiaile,.sont duis à 'lliil l\llrns af. et [; ~ipaifh.i·;· :~ ipremier ~a! pe~t phie. IP:a,r Ides 1~eroioes rie51P1z;afoir:es, ,par 'le fedant notrie être ipsyœologiCJ.ue. œnifmera JJafrenes1e.C'est un deregle1dlêvel1ow:ement füomdq,ue, p.ar des je1:1x 111ent ,de la :fla,oullœ de vouGoil" ·quie Dieu Il faut to'l.llt ld'· a 'bol'ld · d iSltin , g ueir kl vo,. en ,pillei,n1aiia.", par Ides ,ou\l'lesde sQIIe11l, fonre inldi,vilduelilie ' d e lla votonté colleêa pi·aœe , e n ;i~s ipourr _i~s fi~s ,~~id',ent:rietleniir lheJUir :santé ,et ,de 'leuir donmes, wne exim , t alii!On teilnbiLe , q ui dechla1tive Les v-0 : 1 i o n. l !és inidiv}duei11 es amalg,a~ ner lœ moyens dieirésiister,eflficaoement t il"avolionté,ooiDLective qu' neJes pires i'I11stindts. Devenue coifüecti,à ~a ~u'be:riou1ose à illaquellU :e un tro,p mées fo11111en on ret\rtou!Vle , c :Ea:ns Œ'elij)ri.tidraSLSoci,ation, ve,ceflt , e mafadie lcLe i l .a voilo-nté;annonce :g11aind,n!OilllOOe ,sont <:a>nd.iidats penidan~ :da:ns J,e oullte ide œa ipatrdie, aux hewres tes irévoŒuti,ons av,ec ~OO'r lug.ulxœcortèaapêriiodre~(loŒairesurtout. ldiang,ernaü0111ail . 'La volonté ge,demassaor:es,de v,ols et de crimes de gra111d 1{'1our œa période [POSlt -soo~aire, des indîvidiuei,e s' a.ffinmetdanrs l'effort de detous .genres. Toutes [es V10 1l'ontés ineX!ercioes ,d'entraînemtent 1progœss ,if rendhia. ,mn 'V·WS œ 1q1ui 1oonvielllt~e mieux à di,vi&uiellles ianc-boutées ctans ~a haine, d:rion~nos j,eunes giens cap:aMes de son tempérament 1et à ses apifiitudes.Si co11111Josent .ceilteinfernalile V10fonité colIde ra lutte la v;o!lion:té,oo!l[ecti1Ve faiœ liaioe aux idiirfhoulltéS1 ,est nécessiaireau lectivequ'on œi!r-0uvie à tl!outesJes heuIPOU!I' l',exiis itenoe. Oes :e~eruioes,.en dJév;e- P'flog,rèshumain, là [' avenir d 1u111e nia- restristes ide a'hisltoiœ. Id, !l'homme [·owarrrt leu:ris·oélJPa,ciités physiques, a.f. tfon, aaVJoi1cmœ inidiviidiu:eil ù1ementse irudividtuellie ne l'est pas n'apliussu ,v,ooil,oir ifermiront ,aussi ~euns fa,ouMésmo[:ate1s moins C'es't icette dernière qui -dlonne growpeten des ,g,a:mesredêr:ation,spour et contribweml1Ji: à fa-ire d'eux des h1om- du n:,Ùef1autflavaiil,obSICU'f ,dieŒ'artisani obtenir oe 1qu'il étai:t Œ"'ai.snninao1e -qu'il mes 1diains fout 1ie.sens ,dlumot. Et, fo:ris· qui Ouif.ai'ten/tlrevloil"[,esjoi,esldJu ~ia.beur eût,collectivement,non en usant de vio-_ tqu',i1s aul'\otfllt'l'âg·e. idleSiervirfa .1 ~ftri1e, a.ooep1re et ,de menaces, mais en demeurant Ide ,lJ!o,n,c~ ipo'll!f,Ie ~}~~ :de lence œ IIIe sera ,qu'UIIl 1eu ,po,urOO'S ms:t:rttc. to!uis· ,c'est elli1Je ,qui féoonideaad11v1té~n- su,rle ,terrain de ila ,légalité. En s'ins,piteuTs d'en fair1edes soMiats. Les éooiles tens~ ·de 1'airtisille,ou ,dieO·'êcriviain,[/elsre. rantide ipri1rnciipes cl7irétiens,fa quesde r,e011u1es oint füooni à ce swj,et des ex- ch~roh,es,a,pdlues-de O'inventeur et le,, tion,sociale pourrait ,êŒeŒ"ésoluesans ipêri,ences ,condLuantes . De jour .en iour, é~des ~ér1euises heurts,san~ violences et :sans mi:sères. :dtu 1sociollogue. ,01n1se ·conV1ainc idavanmg,e 1qtU1e l'édllloaA fous les ~aides du iprogir~s, lcl~n& Maiisun,e ipres.9eathée ,et des menems tion iphysi1q1ue ldevraiit êtt1e,partie inté,es ont dénatuire Je pr-0toutes ITiesman111esta'ti.onis de f e5/Ptritet sansSC'l"UpUU grante du pir,ogmmme s,colai:r,eet êtt:e 1e ,s;odai ,diecr.'ouv-rier et ont erre du ilravta-i1, ,nous rebrouVions1ia.ioi de gramm rendu.le,oMigiafo!iI'e p-0uirIles jeuliles gens vie fondiamen'ta1eex,eficéeipar ces dieux un.f-0:SJSê ,qui vta s'agro'Illdi~santde jour 1 à 20 ans. 1jUJS1qill lequel fülSœnrd'tliÎsentles formes .de vo110n-té. E1l~es,s'ench&êt'rent Il! jour et Vet'1S tE111donnant là ino·s en.fa.rutste goût de lia vo,et ,parlidpent à :l<ous[ies acres 1de ,~otre tares, 1es ipauwes man1aidleis lde1seXleridoes00111PO[el ts et des j,eux en vie. n y ,en a ,de fortes ie!tde ~1biies. lonté a-u'i1sont ,s,ug,g,estio.nnés. Des masp[ein air, on [ies veI1fa,une foii,sjeunes Quefouei'o'is,nou'S ,croyons you~~tr ~e • d'-0uvri-eI1S faisant albs-trad.iionde 1giens,dêse:riterirurtitnctiivementlie caba · nows-mêmes,et ,c'esit~il.tltrgesm1 leur Œibire arbi,tne,ide[eu'r ·digllüté d'êtres 1onœs ,par !l'1ei:, où un trop g,IiaITTJd nombre, maihieu- l' amiohél!Il'ce Se sont ;abandO'l11IléS ,cO·l1pSet ide 1la.voOontécoŒll eclive <lue humiain,s, tI1eutsement, .pa.s,s,ent de .nos j1~u~,s1I,epil~s nious a0isisons. De füus ~es 1phêno!l1èrles àme au,x maÎJI1ts tdleohclis, dlontque!lq 11es. ,cilair ide U,ewrtemJPs,oo détnment Ile JJ.siviah10110l!'iqu,es 'à couip isûtr, devraient , t 'étulde des ma'fl1fei:ta· 1llS,inM!Œig,ent!s Q,eur 1sainrté,et[ieurr- iav,enir. B. a'Vloirmnscien:cede teu!ls tertions ,deiJ.:av,ollontéest ~la pIDu,s · IJ)'a'SISion-Œ!)eI]Jd1ant l'thae.s r,e1s1Ponsabidi,tés.Il y a,urait um nante, m1ais au,ssi fa plus 1C10mpllex~ ~ lide , t rèsOW1ÎielliSe à faire SJ\lrla p~yla plus d~ioa-te, pa,r,eequ'elile est 1-nili· 1

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dlili!J..01gie des oouileset ces grandes vagues id'olPinions1qui mènent les masses exiflrênnté 'à 1I'au/br,e, de'Ssentiments d 1UJI1e [es ,pU!Uls divins dredouceur et de char;tê des !haines -et des pasaux ino111oeulf1S si,01ns démag,og1queis ùesplllltSviles. Mais œJ1a ne :ren1trre p1as ,dains I,e,cadre de cet airtid!Je. DLœt 'd!if:füd 1J..eau ipelliPJede vouloir femrement, 1l1orug,t ,emp1Set si;:i.1ntement, en ,s,e,oonfor:mam aux !Plfdincipes de ta justice ·et de 1l'éq,uité. n y a de brusques 1s1au ,tls :ct'humeu,r . Ill veillttrliilo,pou in ne vetlit p,a:s. L'aipa~·1eeist1:1 ,u151si funeste que:le dé:bo11dem,e,n,t Ide '.!,aV:OlllOnté. On- i a retmuve, j,n:amuSllx5e :dia.nsmes :fa:u.hoUJrgs diesvilrl-cs, s'ainnonçant pa:r 1lia négjlttgence,le 1désorlc1Pe, 1a ma1lipŒ'oipireté. L'iwo.gnerie ,et ŒapaTelSiS~ sont deux r&u1lrta,ntes di. 1recteis de il' aipa-tihie.Ceux ,qui ·sou,fülrent de oe m·a1L·se [laissent viv:re,'1nsieinisibiles itiru's ou moins à rout, et ne 1S'ai~1iq 1uent ipas à amé!lli-o:r ,er U:eur tri-ste 1sort. Ii1 1s forment un contrnSlte fraipjpaintavec les éner,O"wmèn~nie irêwmt ,que vtoJenœs. v"'a~t-i1 ,des remèdies à oos mafadies ~rndémi1aues de Ja 'V1oil 1onté? Certes oui, c:uioiqu'~ $e pllaigne ide Œesig,norer. Il faudlru.it fout d' a:bor,d r,evienir à u1ne ,piluis,$aiin,e tdle lia loi morale oonoeiJ)t.ion et des obll.i.gatioinsiattt:laClhées au p,tan harmonireux viouilu 1p1a.rDieu dans ·1•exemcice du 1'1brearbitre. ,deŒ'awfonté est :à faire, 1L'é'cTh.tJc<afüm dans 1Jafamiilll.e, à 1'écoŒ ,e, da[l1Sfü société, /Paf fa parole et par l'écrit, con~ jointiementav,e,cU'é'ducat ,i-oo de l'inteili,et la jeugencte.En forman,t [es erufainitls 111esse aux idées sai,nes, m.fu,ut fortifier l,eur car:adère ;pair Jl'ex,ericiœ,donner à lieur,y:ofo ,nté 1es .moy,ens ,de·cléferuseconven,a:baieis, afin que, ,après avoir entrev1 ,lie hi-en,,ell[ene se 1aisise!J)1a 1s ens'll:itesé.. d uiœ par [,e m:al ·Pou[' ,u1Sier du fainga.Œechiréti-en,no'll!s,d~rionsqu'i,1:faut fui.Te pa,ritici1 per Q'homme à Ja ve1iu, ,dlèlsle bars.,âge.lloi, en,core ll1IJlefois, comme 1

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Nous avions un remèidehiien pliu1s ef- comil){llera, noos ·en. ,sommes certains, tooj1ourts idev\o,nis ,r,eoorm~i,ttequ'il ce bon vieux temps, ,comme nous Pap. 1 'llJOUS ficaœ que toutes les drog1t1es,piŒufos [es vœux d'une bonne partie de la poœt rrreoosisairede reoourrir à Ja !leiligi<orn,ipeloos parfoiis, ,on aruJraitpu nou:s obou autres ,proditüts plharmaceuti,queis. lpuŒ~ibn. B. ,gnes, iClommeià l!a grainde êdiuca1irice.Saint jecter, ,que l'air pur de nos moŒtta Notire devoir ,est là . . . . tout tracé! Pierre siarvaiJt ,qœ Jêsuis pos;séd~i,tJes reohlell1cihé clha1queannée, par des mil·---aaH1,-a---;'[)on1ner 11asan:té à La j,eunesise,La renpiaroQesde vj,e_Nous oov:oinsà notre 1iiers d'étrnng1eirs,était p!J.us,que suffi. areplrt.tsforte clianJSla [uHe pour l'exis1t IPOUrir,erndlre!fülorissantela santé tour, que !liesooooi,g111emen1Js diu Maîtxe sa1I1 Pourquoisoignervos dents ~ence.Nos moyens? . . . la gymnastiront ooniSler'V'és et trainsm&s1Parl'Eglise. de notre j,eun,e,sse.En ce temps-\l,à,l'air que, les spor~s! . Quie,oeuxqui :v;eu[ient guérir le monde se n'était pa,s corrompu par les éina. C'esit ùe titre d'une [)etifleibrochure 1faire co~nr, s~uter, 1gr1,mper,jouer, naitiiornsde gaz d~létèrns,s'e}dh ,afa'llli:~ piênèt'fenJtde sa doctrine. R. M. adressée 11éoemment ipiar Jies SIOÏ!Ilsdu 'fa!lYri,quies, comme c'est le cas de nos ifilfuiserde la vie, de 1a santé; dévefop- Déjplartementd1el' I1111&'!Jrlu1ction ipu,Wi ,que j;ouris.,L'irudusbriea pris un essor con- per U,es-0rganes inttlemes, aa poit:rine, à tourtle per:soninell enseignant priunaire lies memiblleS; re11Jdr·e en ,que!Lque s'Orte ·siid!ér,ab~e d<'lllliS n1otre cainioon.Un peu porur être, par ce!Lui-ci, répandiue pam11 Un devoir national parrout des ila:briJq.ues s,e isQtnt<l()Œ]S,trui- 1e jeune 'homme fort! . . . En :faire un fü genre écoŒière à raison ,d'un exem1. . . lies, a,p!Porta,nJt 1a pr'oiSjpéritéau payg, llOOJ[Ile 1P 1 l aiI1e ipar famifüle . Get 01pu 1s0ulle, q.ui Q biut ne pourra êtPe atteirnt que « Une nation n'eist réeil'lementforte, mais non uasanté. !Pair 100,n 1S100:l,tirtre idéjtà!Se lt"ooomm1an 1de par Faboutil5/Slelllerlil: de notre initiative. que si les inicllivklius ,qui ~a composent, Sltnrpris d'abord, puis éijfoui par la à l'aiJt,enUonde füus, rernoigtr1.e de la Nos a:uto:rités aJCcueillileront a~, e c oienlsont sains et vigoureux; s'arœo'l'\dlan.tipriomeisise d'lllil meiilllewrsalaire et d'un ooipérieure vei:l/lainoe n,o,tre requête, car mieux que part ide !l'arutwirtléiSlooll,a:Î:!1e ientre eux piorUrdir,igier1leurs pensées, tra~aH moins péniJb[ ,e, 1,ecampagnard a qu'ellUie est · s oudeuse ,non 1 s eukment d''uper,sonne, elll1œ oonruüS1Sent 1e besoin leur énergie ,et leur activité vers ,le bien; ahaillldlonnéle dham/p .pour Œ 'usine. M ine saine fo11matio,n dintefüe.oou,e!lllie et miourg,ent id,u,n,e no1 1 .1JVel!ae réforme dans ce lcha1000,se préooou)pant de son hygiè- a peut-êltre trou:vé de meillileuresoon<ilm 1 e rdle la j,oonesse ,dies écolles, mais aus~omaine. · 'ne, de son perfectionnementphysique it,ilQIJJIS de vie, mais il a perdru oe qui lui L'1rnllr.Ofdludtioo des cours ol)liga.toires si ide \l'hygiène publli1que et dre ['éduca·et maral; oonvainau du bénéfice, de ëtaitt le plllusprécieux: le bonheur et la ,pbysique ,en rcréant des ·0ours 51pé1 exigera, isarn:s gu,ever oonS<idérablement tio111 nintiér!êt1qu'i1 peut en tirer, pourr iui- santé. Le bo,rtheur! iparoe que sa li'ber· diam :die ,gytm.rua 's'oiique,et en vuil:garioohie buidlg , e t canfonal, une certaine mêrne et pour ses ,desoorudants. :b té, 1Sli sa,cTéeaux yeux ·d'un paysan, e6t noos le savons; maiis cette saint des ~onnraissaniœsipropres à favoT,ellesrt:aedébut ,d'un e'X!posé que fai- là Jamais entra\'ée par les ~évères règ1le- t!êpOOIS'e, la santé coripoire1nos riser et à 1dëv,elo1P1per sait ,dernièrement dans Qe Gymnaste :rne11rtis de Fusiine; paroe que >sa cons- ,quesil:fonseconldlaire.airrêtiera-4:-eUOe k iclies jeunes giénératioins. gou.rvern 1 a,nrt\s dan:s . a e devioir patrioti'Suisse M. E. HaiI11Jmann, ,professeur, .à denœ, toujours si soumise aux lioish'll· 1L''.opiusœ1e ons ipas 1,e or.oire ! en rquestion, atl)fès avoir Lausaiooe,~ur la « Nécessité de rendre maines, est à dhaque i:nstiaintoo butte que? Noms ne viouŒ abligato~r,es les exerâces corparels,pour aux nomlbreuoos tentations assai:l'llant Chaiqueailmêee, de gilia!Ildesdépens-es érablli rque si on ne so,igmepas [es dents 'notre jeunesse masculine, pendant la 1'ouwi:er ,de ,fabrilque, r-êswlltantdes sont fuites ,pour des eiarux,des forêts, · el}i!es,se gâ1tenteit lf:ondionnentm:ar, cela. 'périodepost-scolaire. mau~aiises fu-éq,uentations,mauvaises pdu,rl'.{l/!1iélwratkm de la race bovine au dêJ!rimentde Ua ,digesition,indique etc. lLes.soins là 1pren<lŒ'e:tlous 'lies 'jioulflSet IS.eria,i,t-ill (donc vrniment 1n:éces1sairede Uloorures,elle.•. tElst~ill auidaioioox,de notre pant, de •s[)écialement ldès [e ibas-âge, ,œrtia1nes mOIIlitrerpar ides arigumoots ,plus c01n·La santé! p:arœ que l' aiir vilcieux,le& vait]candls,[e biut paifu-(0 tique de cette odeuris, les pO'USlsièrtes de f usÎIIle,ont peooerque quelliquessodétés ou que1- pehtes mafoooes, a:pJPellêes infa.nti1es, mal 1soi,gnéesS. Un en,trieipri:sie, ayia,nt uine oerfaine anailo- tôt fai,t de changer le j,eune et :r1oou&te lques h001ŒI1esénergiques pourraient 1prov,e,naint ,de lcDeni"LS e:füloir1t1s et réclamreir,pour niO- ~ des meiihleursmoyens ·de ,conserwierune gie, a\lloc deilileque nom; ip,reronisirons œmpagm.ar,d, en un être Cihét1f et ma- !unir IOOiiS ibreJlaœ, c'es~là, ..dire JJ!OiUtrŒl'otrejoones- lbonine oontê, y eslt_ill , tdlit,c'est d'avoir ide,Mièrementlda111S ,uin j1oum,ail: I,ntro- 1ingre. si géné- toujouns !des dents propres cl ip,as gâëhootionrdlansle ca,n\flon : de la gymnas· IQu,el oh:amp,d 'aotivité IJ)'OW- les ma· 6e, un peu die cette ooITmdcitude, aooordëe 1dlansd'autres do- tées. ,se isoigtnerŒ,es !dents esitiaUSlsi imtique obligatoire pour tous les jeunes ,ladies! ... UA TUBIE'ROULOS:E... 1 irewsemenlt jporfünt p·our ffe,s)Pefülsique IJJiOU!f! :],es gens suisses de 16 à 20 ans. D'autre lfisJ:.;i[ néceissaiire,de pa1.11er de sas ra· maines? !l)OU!f [ies ipau\lllieiS ,que pour- lies 'part, i:l 1estdiit: « Une nation n'est réel- va,g,eis. . ? E~-ill néoeissair,edie rap,peter . C'est :wn Devoir national ,auqueJltout g-rairndls, soucieux ridhles. Bonnes dents pour bien mâcther 1ement forte, que ,si les indiv,i,diu1s qui 1a ~out de qut est fait poutr fa ,c0mlbatm: bifoyein, toll!t père de :famiŒlle oomJposientoont saûzs et vigoureux.> constmctions de sanatorium, propa· klela 5a!nté de ses enfants, ne voud!fa iproirorent bonne digestion, dont déJP[iaçon,s toute notre penld:s0uvea-J.!t Que fiait~on ,clhieznous :p-011[donner ,gairudre,co[Uectes,ebc. Les expo,sitions se s~usitraîre. N~!UIS fa santé. en nlOIS A1ufo,ri1:és;eIIIesoomo.e 'la sa!Thté, Ide la viigueur à la jeunes- q111sre,sont faiteis1dernièrementdans le, OOil'f1a111ce ,Bien ,que rp'LusieuTs mifüers 1drexemcette noihllietâtlhe, qU'i s'im- !})l!ia:i'l1e1S 1se? Trèls peu . .. ! P.orur parler fran- prindpa l ,esloca1Ji.fi§sdlu canfon, ne sont- PI'OO!dtiont de cette ,plla,qudte iliilwstrée aient chement ' .. rïen . . . ! ëUes pa!S·elles,pireurveis oonvamcantesde poseà notre g:énérati,on. Nous ,atten- été ieX)pêdiésau person,nel enseignânt don1S id'·elll.J.es une ld~cisionf,av-0rabŒe, q·ui pouir a,''usagte w~~.hnidiqiué, ' 1[ y a 15 ou 20 arus en arrière, dans lla .néoesisitéd'en.rayer ce filêaiu? ,me certaine 1

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16 féoonve,en res,te/cLi,5IPoniiibi'le ipo,Ur

œ;][,eis

Maim et dOOltles sermo.ns n'obtin,r~ qut

ides écoJes iqui n'aura:ient ipu en rece- ,pèu de slliCœs.VolfaiTe aiV'ait tmp lu pour 111 · wir QlonsIde il.a ipriemière rêp:arhltion, pas coom.Hre ce t,rait. Beaiser>ade diu,i,rr,êmedwt peut-être ce motl itne 1qu.antLtéfP'aI1111ettant à cllaique fa· Cwi de ses c01lll~aiœ. Voici des vers mill!e ,d'en obit>erurril1!J1exemlPdaiTe. P. fuffll/1! a\dlresslésà maî11!l"e Adiam Bi'lil!auit,:.. müsieir de Newer,s : Ometmen.t:du ,sioohe où nous sommes Variétés Je ,ne dis riieu p.e YOUJS, sinon ' . .:_,,,.-_ Que pouir les vers et IPOlIŒ' Je nom Vous êtes ile preimieir des '.hommes. UNE COUTUME VAUDOISE l'i y a queJ!iques ru1~es, daws les vi,1J;ages ,Bt jU61.ein~111t, la chose s'es.t renou1Velée, il du dis.trict d' AigJe, .iil éJ~a.itieollltuunedwns des y a quelques ffi()1ÏcS,) PaTi1s. Les jellllle.; COit&, êcofles de dlouner .Ciha1crue année wn cade.au,à cPi~s.de tlla<fiasse20 ai'ttend!aieilil. 1e momen,tdt .rï111sfüuJteu1r, elll témoi,gruaig e Ide ireC'Otmialssanœ paSiser la 'Viis·ite sa111itaiROrus.ait quïills dot.. de .son déivoueanerut. ve'llJ( se 1pr~se111ter dans. l'ordre a~albéj,jque. A ce sUJi,el,quelllquœ-UilllsdeJS enfaŒ1tsles ,Dooc, le colloneJiqui présid;ai1 .Je bllAlll: ,pluJS âgés ongiainiüsaioot.wne souoori:ption au- êtarut JPfêt, ,s'é.oria: pirès des iµa;renJts,al/1n d"olbitenir 1u111e pe:tite - Faites entrer l'e rpremi.erhomme·! 50l!lllltle a1Vec·/Jaqu e[i;e i'i,s ,achebaient le oadeau. ,Bt ce fuit wn n~ Ad11..m gu,i erutn. Au jooir fixé, ·les élèves se .réUlllisisa,ienl Ce · qu'i1l y a de pbwsextraor1dinaire chez uITT des leull1s,demeuralll1l prox;i,mi1édu ilfo19toii:re,c·est que ce 1jeu, ne h()lmme hablfl co~lège, d ,Ja, f.ii!Oeset garço111s,forimaie111t UJl rue de Pairarl~,s ! rorltège. En tête, ;p'laC'ésoJgneu,semeirutIPa.rmi des füeu111s et dan~ wne grande corhei'!lle g1raoieuseimenttJPOir~ ipar .La « ;premièire. des fi.JPensêes 1les e1 ~e « premier • des gairçon1s,Je oa!deau,à. olfiFrirr; Après :le couple se trou/Vla,it un oha-rmant :j: Un ins,1.ô.iu~etl'r quâ 1Veutgouverner &ai petiit sa.pin coq,uettemeinttdlêroré de rubans et ·école doit a:pJPrendtred. abord à Se gouivemer de roses. I1t é>' a.i,t porM ,pair oo ,gia,rÇO!ll. en U1ne tâche diffiàlt g11tilse de banJlllièire, d, ainisi IP(lilpaté,'le co,rtège soi-mêrrœ. Cesit cSOU/V'o..11.t 1onsqu'ot1 a tant d'occasions de ·sïti.11iier,maie se dirrlige.a•i ,t en claisse pollir l'hewre halbitu,eil'le. PJa,co111,diiiones,senfüe1Jed\rne vérii.tblt A ,l 'arr ivée de l'i1111sfüurteuir, necadeau, était ·c·est 'awtwif.é. presenlté pa,r unie 1peitite aalocutiiQUde :remerciemen.1ts. j: Je ipréfère •voiir ~es enfants d '\tll v~ A ce,tte genti!1illeaitilentio111, de :ses él!ève·s, le entre iles mains à"un .homme ,qui sait son or n11mire·ré(P011idlaiit pa,r une .pei;ii'e coltl)atioo,cO<m- iéclhism.eet do1I11 1je connais ·les principes, q,j posée de vin dhaud ot de gau1Pfu-es. ·e111.reues ma:irus d~un grand saviant qui n'a -ceitieromation, le rélgemt:pr()lmet- l)O:nt cle base pour s.a morale et au:oune con• Pein~1111t tailt ià .ses <V'is i 'eun; iaitéres131an.ts Ullle charman'Victioo arrê ,tée. Naipoléon. te coUJr ,se ,cLansTes enivi,ro«1s, au cours de la bOl!litlCsaison. j: Ces<!une diJPfor.1lblle ihabituJCle de ne pu i.aire ce q,ue )'0111 a .à faiire ou, de ,le fa.ire toUt jU1S 1te ~if acquit de con15cie.nce.Tout ~ qui LE f>JREiMIER HOMME mérite d'être faH mérite d'êtire bien. fait. u recompe:nse eSlt c:lial!JIS .le reSipeJOt q,u,'iMJ)Ïire 11111 V o!l~am·ea réjpléiléj,rns,q u 'à sarliiétéceitle p' ai,pa,reirn'eC'Ollliœptiœ1; du d.eivoir, même aux lê, sa111teriie sui!"ile p. Adam, i~ui.te, ,quï~ avait ves :les 1IDOtimis miérifualni.s. ,J,I:y a .là u11ecoodl· inslia!Jllé ohez Ou~: tian inifaii1b li!b1e d''au\lorirté, fandÎ's que la .ri,, - Je V'CYUISIJ.)il"ésenite le P. Adam, qui n'est pu~ation d'ein preilldire à 1so1I1 ai,se esit la ,ru4ne pas 1!e :premier homme diu ~onde. . . de J.a disciipliine et de J'iutliuenœ moral!edl Benserade, . un, sièdle aivaint!lui, aiva~tfait ce jeu de mots sur .u111 . ~.catew.r nommé m:u"tlre.

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ECOLE ~

PRIMAIRE ORGANE DE LA

SOCIETE VA.LA.ISAI1'B

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D'EDUCATIOll SION, 15 Mars rg:ao

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seuiiement de ]à-iblautq!u'on attire les âmes. fü fouit qu,e k ' miaîtrie dhirétien soi,t oomrmieun wuciilix vJvaint. It fau.t fencilarntoe temipiS de Ua,passion du qu ·i1 pu~-ssie ddre aVlecS. Aawl: « Je s.u.is eur, ~.a or:o.ix est diI1eS'sée sous n!os ·ai:il:la101ué à la or,oix avec Jiésiu!s. » Elt jtJ et présenlAf e à nos a:dloraif:; ,ons. fout s,wr1bout q!ue ŒoŒISiq:u'~Ï pair.le ain1si, s r{jpiétons : « Salut, croix, nofa•e l,es endlanills: le orni,enlt. Quand le cro,i~ e espér:éllnce ! » Bspéranoe pour 1a po,nf-:rns? Qua,nid ii~s vier,Dont de lieurs it+ure, s:a:nsdoute; mai•sau'Ssies.p:é- yieux un hlommfehlahiw.eil[Jemenit mortlpour ]a vie p,r'ésente, et g-ao1ede füé,in,s,ensi ·Me a,ux ai5·es de lia vie, amt dlainsnos ,eflno ,rfts ,pour éLeVieir de na,f)la 1uw,etlé,oublL~eux de liui-mêmeet ieooemeinrtIles ,e,nl~anJ ,s. Noh1e~Sei- « 111:ese tr1ourvaintJamlais mileux quie av,a,it le secret d'attirer à lui lies qu~nd i1 n'eslt giu~e bi,en», pour' em· s et les ~ouilles.p;ourifanit l' aitilirait pilloyer la g111adeu1Se e,qprr,essionde S. il ,exerçait diura,nt sa vie publiiique fülançois de SlaOies. it rien endore auiprès de la puisilJes enfün~s, on rue siaiumtt ilro,p J,e infilwenoequ'il' ,deV:aiitdéployer répéter, ont une peris1picacité étonina,nk la woix. <4Quan1d je serai élevé de pour dêcouv,r,ir le :fort et Fe ~a-i':blle dlans -. et alifadhiéà lia croix, « j 'a tltiœ'e- ·la co,ndlu.Hl e de LeuITTs mlaîtres et de leute t>utà moi. » Siaoroix a êté lie g;t1and maûtresises . D'un doiu1pd'œi1I, parflois, en,t de ses mn1quêtes. C~iui qiUi héfa1s ! sur une silm(p:Le appia:rence,Hs êtaieasS1odéà son p1ouvioi1r oonqué- reoornnaiss,entfa pres,erJlced'oo d.êfaut, ' - ei fes écliu,c<afouI1s die"l'endlanCe y et s'autorJs•ent de lieur .dléaouve!fte pour a'5sociés par vocatiion,- dloit dlonc en ,rpI1end-reeux-1Iliêrnes à ~eur aise. ier lu,i-mêrneà s,essouifm-a,nœs et J Qœaintaux ver-tus,iœfaut qu',e]fes.soi~ comme liui sur liét croix. C'es.t dix fois affiimiées par Fa,conclluiibe pOUJr

LeCrucifix vivant


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