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2se année ilaie. - iIJes Journaux. - Le dtm'8illohe et J'aLcoo1. - Le pAOO,de lièvre, - .A. travers les< A'l!))l08 ni:1,ai=es en ,bruHoo. - ·Examen tlies i°,ec,rues 1908. - L'institu:teui· dies .oa,m. ;pag,00g, - Ohahtles-Q<mint et 1e Novice. - La
tN° 13. - tAive MM-.ia. - Bomtié ,pa,1Jern de .Pie X. - !Ma p,r-erndère ~C€!J>tiOOJJ.- · .grès des m~ns ldle .CODllDl'lllD.i •catiou. g!loranœ des ,g,ooi11 ,inûe'1lligents. - La eu IClité. - •L'am'Ïll1aJI suisse .ar existé. - •La ,co·mwtiion d/tJ trèfle pan• nes abe l'llles. - V
,va:liennrdes fl1UJts. -
La , lettre. - Loue ta femme. - Le jeu. - Un ,I1omme. - L'eyiscopat sudsse et le JeOne flédJéral. - Va11';'~.
ri!êtés.
Partie vratique. - Sujets de ~édacti L'édju/oa.tion dillll.1sLa lfaanH1Je . oa loUil oraa. et éc11t, d!Lctêes, rêoltatioœ, et .Te 11m sais pas tire. - J:JOTgue. - La oo1onne 15 28 45 60 77 02 126 155 173 186 190. 'VerllébraJ.e die nos e:nitiacr:Jlts.- L' a11; '(]je_ ,renVa1·iétés. - 16 32 48 79 96 112 128 1 ,a~·e :hemieux:. - Faire son aiveruïx. - L'hôte 160 176. ide Di'e'UI. - Oo:nsidlératiOiIJS sur fa :vle11!Jesse. Miettes 11édago9iques. - 63 95 188. -·· Patriote. - l-e drapOOJUvolé. - V181riêté.s. N° 11. -
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-N° 12. - Un 1,ervenam,t dru; ipu~,atofoe. Mon :p1'0nùer i:JJéjpairt.- La 'lldstamoe die l'ho-
Eolws des oonf&retice~.-
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Soeiétè valai~at)Qe d ·édu~ation Livres et matériel
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d'école
Année scolaire 1909-10 Le Département <lie1'Instruction publique mappelle ci-après la liste et iü prix des cl.as,siques en usage Hans le.s é.<:loles primaires et die répétition et en v,ente au Dépôt cantonal du matériel soola.ineà ,Sion. RELLGION Caté0hi.sme dru diocèse Ribl :e JJiJ,ustroo B-Oua.-quJa,ra ,
LANGUE )fATEHNELLE ~Iéthode d:e lecture S. M . . . . . Ami {le J'Enfamce, 1er li'vre . . . Livre de lectlllre l>OU/1' .les écoJ.es primai1,es d,u Cantoo. de F.ri'boo!l'g: ,, ,, Degré meyen ,, ,, Degré ·supêrieu,r Lariv ,e et Fleua.·y, Gl'la!mlllail·e prép. . ,, » 1re amtnée » » 2me -année . . . . Méthode anal d-e Sty~ pa,r F. ,P. (divisée en) Allnée .pi·ép_
O. 40
o.70 O. 40 0.50 1. 00 2.00
• 0.50 0.60
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S. H. W ..... . 0aite die la Su:isse SIU.l· toile Ca,rte soolai.oo du Va.Laiis . C'.a.rte muette de la Suü'!!lse par ,wgger ..... . Aux Recrues ,suisses .. .
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Chaque mois il est en outre appor té un supplémen: illustré de 8 pages intitulé : Le Foyer et les Champs,
Ra!D-
ARITH}fETIQUE . \ritbmétlqu,e des éoolies primaires : » Année ,Il'l'épat-atolre O. GO >1 Dours moyeu et !!lu,pé rienr 0.50 CiHA.NT Recueil <<Dieu et .Pa,tr!e ,, . . . . . . O. 50
;\fu\:TiERLEILDIVERS Oartes lll'Ui'rules die Ja ,Suisse, d e l'Eua :ope . cartes m;a,ppemondes ,et girobes terres ,tres, J.ivret-s .soolafres, moy1IDS d?émUJl'atlon, sêrleiJ de taiblea'UX ·de leütmre cart<>n:nés, tableau:i. dn 1S1ystème métrique et <'Lesoiseaux utiles, ca.h'iers souis-mai-n à 6 fr. le œnt et c., etc.
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L'Ecol~ primaire donne de 14 à 16 livraisons de 16 d t _de pa~es . chacune, non Compris la couverture, et autan. suppléments de 8 à 16 pages pendant l'année or mwre (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).
HISTO.JJRE •ET GEOGRAPHIE
l<)!émem,ts de géographie . . . Abrégée d'his.toire die J.a ,su dsse
0.901 _
0.9o
Elie BLruuc
Suisse
Prix d'abonnement: Union postale
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Tout ce qui concerne la; publlccttion doit être a;dressé :ilrectement èi son gérant, M. P · P IQNAT ' 1er secrétctire ctu Département de l'lnstruction publique, à Sion.
'--------...,. Notre perfection consiste à unir tellemen t notre volonté à celle de ieu que nous ne voulions que ce qu'II veut.
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tcurs qui prépar·ent les voies à cet te l,es noüc~s, renseig;1e.ments, huillet' e!ni:se à la Direct1on de l'Inst itut de terriblie maladie. P.our combattre sa propa.gation, ae fo:ndmte etc., neeess aiTes à la v eronéLe. ;sco.a.JTe et aux nrot,rès de l '·en:fan -onous dispo sons de différ ents moyens des instituteurs ~e nouv ea'.u tyrp,e, qui wt ad Oipté conférence ,,dont vioici les principaux: 1° Re n,on cer de cracher sur le ,so1. '1 endu obhg-a.t01re 'Pour t,oQ:Lte s ] tt district de Sion . 2° Pr évenir tout danger d 'inf ec, classe1s, s1e1~aintroduit à ipartir Pa r un avis 'pa ru su r l'Ecole pri c.ours ,s,13_olarne 1~09-10. Le règLem r,aire, M. 1e Docteur Ducr ey con- tion 'l)ar le lait ou la viande en_sousur l~1s:ecole1sprimaires indiquera. 1-.,it le 22 d&ceimJbr ,e le p_ers001nel en- mettant ces aliments à une cm sson fonchonnement -odu, nouveau 11·vr·e.t· eignan ,. t du -di,strict .1e Sion, à une suffisante. 3° Désinfecter tout obj et ayant ser onférence ,sur l 'hygiene . vi à un tuber ouleux .et éviter, auta nt Personnel enseignant. Cet a.ppel fut ~9cueilli avec plaisir Le tableau a . t sahsfachon ,et on lui fit honneur que fari.rese peut, un cont ad dinict ao·nari.t ipri'l~aire u . 'l?'ersonnel . en,se vec empr.es,seiment: instituteurs et ,vec celu i-ci. 4° Obliger toute personn e ,qui tous1,f;n~a~r~ ~ ustituitrices a,ccourur ·ent nombreux _à. Départ~me;n·t à [l:O.trepr.ochaine . 8-~ , ,sera wm •E co1le normale pour entendre la , ;e ou qui érache du sa ng à con sult er 1ivraison. ersua,s.ive -et convaincante 1)arole du le médecin. ' · -o.onférencier. Ge fut une journée des Il serait superfüu de d ir ,e .que cette ieux emp l,oy.ées, car tous s 'aprpro- c,onférnnee fut au ssi int éressante qu' Le c Son de Géronde > isi,0nnèrent de forne lbons con,sei1,s et instructive, ,et nous ,sommes 0onvainpour le P ,our ,êJ?un ,p lét~r ~ ',4ppel au gran ·èg-le,s,hyg-iénique,s ,qui, prêchées et cu qu'elle se ra fructueuse ~t ait, petit public Jomt p,o,nr nos piphquées à l '.é,cole, ser ,o,nt uti:lês à 1)lus grand bien de nois •populations. One M. Ducre y reçoive ici l 'homma. onn ,es ~~ ya 1ais à l 'édit ion de c cut e la ,populaüon. des ,plus ,s'l.nc~res remerciements Jour, v,01,m, 'a 1'intention ,spéciale d M. Ducrey rés ume d 'a bord la con1:ei,soi;mel eJ1Jseignant pr:ùma.ire v:aJai éren~e qu'il _do:nnal' année dernièr:c de la part du personnel enseignant et san, l un ou l 'a1utre petit ,colliseil: u meme aud~t01rn. Il rappel} ·~ ensmde tout le district de Sion. Compte de chèque et b . ll t. l l '. la ?,Tande mfluence que 1 ,ecio!e et Une agréalble .f;ur ,prise attenda it · souscriptio it e in a e ,,'1pstituteur e;ern~nt sur la sante des les instituteurs ,à la !sortie de l 'Ec ,ole Le ,cou .f' ..n., . elev~s en P,ar~i,cuhe r, et ,sur eelle du no rmale. M. l 'ingéni,eur Hannii , :proB ll t. dp O n iguranv a drmte du puibhc en O'eneral. u e .in e versement p eut être re , ,., , b 1 11,f' 1 frsseu r d e ,phy.sique au Collège de pli au v,evso pa,r l'e.' , ,~dit , n:'. Apres ce 'C~urt p,ream u ,e, lVl.. e S ion. les invita g.racieusemen t à :pas ser dans son cabinet, où i) leur mon ,p~a~e indiquéie par leXJt7otc~:·m!irtl Dr nous ·entretient de la Tubercu lose: tra ]a p,ui ss;ance des r ayolliS X de cation, pour mentionne ,r les ,éeoles ou Ce mal qui ·répand la terreur. Rœntg-en. La 1 / 2 h. vas sée avec M. )€,spersionne,si rep ,réS'ell'béerspar la v,a. Mal que le ciel e~ sa fur~ur Hanni fut très ~oûtée, elle fut pour leur env,o-.-,éeDon ·ne·. 1 'b . c1 Inventa pour punu les crimes de la terre . .. ., · · 1 · ,e nom· re ,e~ souscnpte:urs, comme jus qu'i ci Je nourrai t-on dire av,ee J.e ipoète. La ainsi dir e le cœnp1ément de la conf érence de .NI. Ducrey: ap rès avoir enCüÏ;Jl:)ll ·~ev,ant servir de ba se ;ou.r Juberculos ,e ,e,s t la iplus memtrière 1 t endu l'ex posé des symptôme ,s de la ipu l~watio~ di~,s doJ11sda:ns iles jour- d~ ~ourtes Je~ maladi es; ell~ ~est un tube1icUJlose, chaqrue inrstituteur iput Pal' !]e de ga.~che du foTmu- ve rntable fleaiu de l 'h umamte ..'Elle / 11 e, soit le <t:OUipon deta:cha,b le quit - sr prnp.ag-e surtout de 2 mamere,s: se convaincre de visu, que ses pouan:c· .i~e,ste aux ma ins , d,e J 'expédi- a) par les cra ,0hat ,s qu i, a;bandonnés mons étaient e~empts des tuh e,rcu1es .trm de la valeur , comme déohar,gie. sur le 1solou dans des :mouchoirs, se dont pa rla,it le confél'ell'ci,er . Un chaleureux m.'erici à 1 M. 1e pro . Qu,ant aux bulletins pr1op.rement dessèchent et se méla ngent aux ,pous fesseur Hanni · p ,our l 'em:pres, s ement d1ts de souscription, ils ,peu vent sièr~s contenues dans l'a ir que n?us ü~>mmel'an -derni~erêtre ienvoy,é;s,tout re sp l'ronis_; b) ,:p,a_rla consommart10n avec lequel i,] se mit à n ot re di ,s posiSl:ill P!'ement .a,1;1 ,Departement de l 'fu.:;_ de prodm~s d .amma'.11:X . tubep c~J.e;1x. t i on a:insi qu'à M. le D ir,ecteur de tI~11ct~on publique. Lor,s,que Ja 6ious- L Ps affoct1ons de iportrme neghgees , l'Ecole normale p our l 'acc,ueil sym~nption sera ,aichevée· ]a oolfoction 1'insu'ffisance de nourri t ure et ·sur - uat hiq u,e qu 'il ménagea .aux in:stirtuJ. J. aes formulaires remplis et ,r eçus sera tou t l'alcoolisme, voi1à autan t de fiac- teur's.
Sommaire de cette livraison A v4 très importa!Ilit rpour tous nos a~bonnes. - ne l 'éducatiion du 0aract~re. - La :correcüon de la composition fra~çaIBe au ,co1 u rs , élémentaire . .Sav ,~~r par ~u,r n 'esrt ;p,as savoir. N. l ~t?nahon dans _la. l~cture. _ os phernx . - De l 'mdepend ,ance dans 1e tr. 1a'va 1·1· _ ·L"s "' ad,eno1..d.ierus. -- Un ,bnn 1e m~ra1e (fig,ur,es et griJ~aces). -L ens,e~.gnement de la géiog_r~ph1e._-, P:arfae ,prahque: Oompo~ sihon, d1ictee. - Variétés. · -oSommaire du supplément No 1 Le N_ oël des P,etits. - La m:ùssiou. de ,S. Nicolas. - La eomète iJ\f.orehous·e. - Pa~vres :r,os.signoLs (à g]ands) ~upplement spécial: Le Fi0yer et le.s ·Qha~ps et rpou.r les a1bonnés du Vala1,s 1 arp,pel ipour le Soi, d G, ronde. e e-
=De,
-oConférences
d'Jnatftuteurs
1908-1909 · Voici le siwiet rà l ',ordre du jour
pour leis 'con~ér;ences d'inst ituteurs d u cou~ sico.Jaire 1908 -09. -~a ~~i et le règ!ement des écoles p1imœ,,1~8.dit Valais prescrivent ue les sont r.iqouq r punitions t . corporelles . eusemen inter dt.tes à l'école . .D(!nner les raisons de cett~ inter. diction et en montrer l'im o t . dans l'éducation. v r ance -o-Llvret scolaire. Dans· ·8:a ~éa:n1cedu '17 déc. dernier ~~ eo1mnuss1'.on: i~ant.ona.;;e de l ',ensei~ ,..,nement ,pnma1re s'est occ11pé t;ar~eS', du llOQ:LVeau Jivret Süo!~i~~. u_ur ty,pe compr ,e,ud 2 iparties . 1 0 1e lry1~et de ,c,orr·esipondance ( fünil~ ia' recevoi:r . llets ·· detachables . . . . . d"'sti·u~s "°' · rappo-It s mhmes üOitl'Cernantl 'é~v~" e~tr~ J.e.ma~tre ·et leis parents) ; ~ la parhe /'txe, dev·ant 'oonte:nir
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SION, 10 Janvier 1909 Pour
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Jeunes ,, ?,e Ja C11mpa,cne.
Ce. rapport, l'€sumé clair d qu\stion,. sera it étudi é à l 'avan e On sa it que I ,education rprofessio ·1:et1_tcomit~ et discuté à l ',aide de~ nclle est. un des serviDes essentiels ~t .1~ct3o_n~ prevues; ce se rait com m premier ordr·e au point de vue d repehb on d'une scène à ,·0 ORGANEDE LA hrd da , . uer ' }1l1POrtance, ,au ,point de vue de l 'ine : ' ns une reuni •on pl us iirn ;:ff;ei~e nos jeunes gens en peuvent tante. J?ar exemp le devant tout SOCIETEV.ALAISA.lllfl D"IDUCATIOlf . POiPuiaho~ du village. . Il aut ajouter Que ,ce se r vice conçu cr. Cette seance publique aurait t ~ ~~ s1mp eme:1t, Prati,quement, ne sera 11 /;iges: 1° stimuler l 'é nas_le moindre attrait de nos .Sociétés trd .' 0 in~resser l es réunions d e .1eunesse. · es f , .3 r00andre l 'ensei{)'nem Pro ess10nnel t> ~ t tcd'~st. 7?récisément la ipratique . qui es 1ff1cile. Je oarle .s~rtout po La présente Jivraison de l'Eoole Celle-ci s'est particulièrement accrue g-ne. A la campa!r!le iJ°r, 1a cam l'imaire form e ZeN° 1 de la 2s-•n.can- durant les trois dernières amiées. Il_n e ,s'agit pas, bien entendu d'or fadlc qu 'ailleur~ :-, d ,. n est rpa ée de cette publication. Elle est enL'.E-cole î)rimail: 1e donne pendant gamser, des cour s compliqué;, sa: faire apprécièr de· me mau,gurer, oyée à tous les abonnés actuels. l'awnée ordinaire ( Janvier à Décemvant.s: rec Jamant des conféren0ier d A remarquer qu 'en cas de renvoi bre) un e quinzain e de l'ivraisons !lrem1er ordre. n s 'aQ·it d 'aimeners îee ~ntr epr ise de c~ O'enrenP a biep 1~ .faut des étude; inté~ess°ur reu , a bpnde d~it porter, outre le_mot .respécialement ré,parties sur la période .1 runes R:ens à des ide'es se'r· ~ l' , 1euses a sti mulant d'une séance bl_tes e use, la signature du dest mataire, proprement dite des classes. Elle am9ur de l 'et u de: il s'agit de fa'ire Les nremiP,rs llémPnt~ u , ique .. elle-ci étant requis e pour la régula- forme, au bout des 12 mois, un fort f~n cbonner de oes or{)'anes d ''d tion dan l · ,.., e uca- sont une salît> de réunion 3eressRJ ·ité et aussi afin de s'assurer que la .ioli volum e. ainsi qu'on aura pu s'en ' ,s e~ momdr~ g-roup ements dan s les momdre_s v 1llaire,s. Il faut ~es et périodiqu .es bien c'h/s. brc?, euiFe a été ré.eller_nentpré~entée. , rendre compte en consultant la taa char>un de voir ce ou ,.11 L E,c.ole 'Pnmair· e, continuant · a ble des matières de l'ann ée 1908. La J:?0 ur fce1~ des su.1ets int éressants ll t 1 . , i1- Pou r donner connaissanc e d~It fa ·ester l'organe de la Société valai- collection de dite Cl//1111,ée de la feuille f 1 es. t d ac11es a' me tt re en rpr,abque; al! a_nsces g-roupements auPlau 'un contien1'.ent r.es broclrnres. J. rce anne d' éduca~io~ , a pour clientèle principale, a,vec la couverture et ses ,o~:n.pmsse .roou~er 'à cette étude la e.~10Iic~t10ns, int erro~rntio n; ~/~: iatur elle et principa~e tous les.mer_n- suppléments, embrasse en effet plus 1 esmn e,s, etc. L'idéa l sera i·t 's d1r1g-Pr, ou 1 pu isse 'au moins mettre Cdf' res du corps enseignant vrimaire de 400 pa_qessur 2 col. pour le prix 1• t<"'!r.u' un con f'eirencier donnât ans, l aisan, · · ne l'e mpec " he poin · t absovamen t minime · · " a ce qui et res tant l e me~lus les. Yeux des habitués des arti1 ca~10 n du suj et pour à la r· ex~ le compter 'U ,n .ioli nombr e d'abomiés me de fr. 2.50 par an. . es dP Journaux. dPs revues nrofes S)dnne' ,Jes se référant au sujet à é1u: smva,nt e, ~evenir sur 1'a causeri~tm hors du Valq.is. à savoir dans le La Jolie amnexe illitstrée Le Foyer ~es que st!on_s et nouveJles ex c~ton de. Fribourq et d{1!)2 s _la par- et les Ch amp s, qui chaque mois cometr ~ d1 'une l~ct ur e facile, ,attrayan~ e e a a portee du commu n. . t,,ons: ma2,s 11ne faut pas :rronp tie satholique d!uJura bernois. Nous prend 8 pages (96 par an) continue1 ou-e Jes sea'!1ce.s res se mblent trop esperons Q,u~ nos lecteurs actuel~ ra enf~n à auq?r},e'r!ter: le baqa_qepédaLa,_lecture ne suffit pas, ell e me ~arn ,1t ,pourta nt J_aconditi on :premiè - un~ c:JassP. 1] fa ut à 1'a,::;sistanc/ 1 dans ces reqions non seulement lui da_qogiqueet litt era1,requ'offre l'E d~rta~n J,ais_ser-aller dang Ja métho demeitreront fid èles, mais aug,mente- co1e primaire à ses fid èles abonnés H'. d un cou r s ,O)l l ne possèdp ,pas de as~·J1J111l~t10n. Puis où trouver ront dans une notable proportion. et lecteurs. L'Admini stration . piofesseur spec 1a l ; mais il fa u d. ·t oue 'C,ette Jerture ,s,oit dis·cutée c~,~ co~ferenr1er Pro'f ,,sseur oui 1 ••--- mepnteP. vér)fiée Par 1'exipérie~ce - nnt ce rôle <Jans cl1aaue O'rou H Y. an rait au.c:si un ~o v~n · 1 * De l'édncatlon da caractère ,caT-a~ter-e, ,e,n ,e ffet, d~~nd.e7:1 grande . our y.. m t'eresser daviantage · la ~ nouryait é!onner des ,ésnlt t _ partie l e ~~!1,eur d~ l rndiv1du co_m:ieu nPsse. Il faudrait r.ue d t 1 t ' 1 · P em ps en ronferencier exrnérimen ~u 1 me ison utüit e ~ pom ~ de viue socul1. ,.a s. O . , emps un rapport très clair "01·t fa1·t èl,rms le v 1·11aO'" · tte ,se J:Pn T elle 'Un e Cll'e moUe qu e 1 on pour, c '·"St l a bonne eduoafaon du ca.rootesu r un ' · d l ,, c ., e sen e e ectn res nrésentant ,...-oui veu. Pnt Iei · · d·a r ai·t f aQonner 'a son gre,' 1e caira,ct'ere ·r,e qui fait l'homm e vertueux ,et pa rettp voie· qu'il 1 ensemh-l e d'un sui et ' · l. t , . 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a ISÔ}us. Bill cor,ps, et aux ip81SSÎ0Il1Squi Un def.aru_t dans 1€1q :uè-1isenihl ue iplaie,s et bosses: il suffit d'être l ~ad'fil1gent. VE<rser certams maîtres d'écoles es hommes de trav,ai l, de c.aral'.ltèr e, , L 'édusa~ion du IC ,anactère selon 1'iâernes est teelui _q~i oon,siste à t es hommes de rvr,ai progrès. Qu,and dea1_chr'-eti.en, est un tnav;ail de to t~der au ;pla11S1 ,r pou ,r a:r.r iver n .voisin que le couna.nt des erreurs le~ Jo~·ns et. de toute la vie. «,Que ~!~ pr,og-r~s. Instruire en .amusant se oderines a dJétoumé du, chem1n du lm qm est ']usite :S''efforce d d . 'nl ' . ' t . e everur iblent-ilis dire; tout ,pa,r la, :pers:iasi rai progrès, s 'apercey,ra qu,e votre ;rus J~ e_enoore." .Mais c'est à l'' aison est mieux tenue, :que vos en ,cole ,pnooipaJ,ement , , e- et la dt0u,ceur. la ibelle et d 1"ff"1 1·1 t!-JUt,est devo}ue idéal si aa vie n ',était q ants son t mieux élwés 1et iplus :insCe serait il , c e ache de former ~~ amusde~ ent. et :le cœur huma ruit s, que vos champs sont , grâce Ca.Tact.ères, ·~~ redresser O'll d'ex, ,. vase _e1ect~on ne IC'O'Iltena:ntiri v-0tre iintelli,gente activité, 1plus per ce _q:ue l 1ginor-aa:i c e iauT.ait ro spères, qu,e · Vl(}tr ,e commerce est v mtrodmr e de difforme oo, de dlP,U a. 1~p~ ·rfa1t. Relias! il n'en •est f ectueux. .e- 1: 1ns1, ca; i_lfoot ,oompter avec .J fJ,ori~sa,nt, e.n. un mot que toutes vos ,.,ravses re,a.l,1tes de la vie dont l 'éco ffatre,s sp1mtuelles et temjporeUes . L 'éooJ.eipeut wgfr di:rec+nm ·t· l 'erufant 11 1/tl en .snr da.nt i ca! ~ e ,a tout en mains pen- •est l 'a,pp.rentissage; ,il faut :c:om mal'chent mieux, gu,e vous êtes heu .a.vec qes ,penchants , mauvais infe reux enfin 'autant qu'on ipeu.t l'ê t re . .a periode iscoJ,aire; elde peut agir md1rootement par 1,· te·-- , 'SJ ble.s a la do111ceur,auXJguels iies rvo· ici-ha ,s et 1que vous devez tout œla , à dia1re des ipaI1eI1ts . d in !l'11le. t-eJl" , &I es ra 1JJ11?0rts seœles de Ja religion et de la !l'aj,s,o une bonne formati:on de vo,tre carac' tèr e, à l '.accorruplis.sement du devoir, ont 1eur mot à dire. 1ico11genttls re; ft s!11ivis eixis,teint éntre e ,e a amine. A VO'Uloir Jpasser du r~g,ori,sme ~ ·l~ pr.~tique. de 1la ve rtu et ~~ la .r,ehg1on, mvm ci,plement, ce vo1sm vous outranc!), routiniier et traicaJssii, , toutnelf ~ici,dp!l.ineséyère, mais, juste, systeme éduoatif qua si en s~~· sera sympathique et, &a'llS' beaul'.l?UtP un, , ai .e . honte et de f ertrneté ohere sur celui dru fameux Ro: de ,ser1:1,ons, v ous ne ·serez pe,1;1 t-etre UJ}·e,etude SUJ..iVl:e ,et 1sérieuse des tem' 1peraments . t' n seau,. l'on s 'ex·pose 'à former d pas lo1n de , r e~'))o,rter une rvJ1ctoire f t • un m eret ,constant et afonous, doo âmes ,avides ca complete en !faisant un heureux de ec. ueux ,pour cha,q_ue élève en jp.arti- f,~ct,è_res u] :Pia1s1r, des êtres :sans idéaJ in:. d ,plus ·sur la terr e a:ttendant comme t ' c Jer, un amowr mie, de s,acrifice , de dévioueme~~ V•?U~le. bo_nh,eur du ,Qiel. Soyez assu~!n\a :f<3ation d'i~stii:e~r ~~~~:~ db~es effort; c'est méconnaître 1 b t d re, ,ecn vait a un mm le ma lheureux T soutenant tout le reste ph ilo suph e de F ,emey, ou'orl' pas .se voi a quelques , oonditio , , 1 ' ! '-éducati on; c'est défomne e 1 u · ~ es de bien tri stes moments à 80 .ans, sans. lesq~elles il est diff! ·1gender.aes rnctères. cevioir , ... JJ e · e conUne bonne forrnati·on d t' qu and on nage d,a,ns le doute. 1 L . p ., ins · t. l\xemp~ue~a ,/1J~~~:i pui sse, (Par re p.r,e, pare l 'lhomme a'lll· honu oarac1- et yai,Uer ·avec toute d'·eff:1gne!:?~~t, traCar la o-r d 1 t , comua a la fo .._. cao1~ voulue · " an e · u te ·a fa•queUe nou r~a;Lion des oaractère,s ,as~1,sto:g,stous les jours, à 1a uell meme nou_s ip~enoD1spart, n 'e.sl pas La correction de la composition . " Celw :qwi triomphe de .s~ swn.s et de lui " . pas- ~~ tourn ... 01 da:ns Je-quel des chev ,a- française au co11ra élémentaire q~ celui ,qui J! !t vhi~: ,,fort her s ,revsetus de uuissa t a~més d · d · ,n es armures e 'J?'l e en cape, cr,oi,sent ru:{ iSi.da,rns oertaines classes, on feuil s~n::~enons donc iauiX oofan~ ià f . er meur~ner sous des reiga:rds avi- lette le s l'.lahi,ers. l 'attootion est tout de OU! .nter leur ·~vemion pour 1'étude~ et rouneux: c'e st le combat des es de suite attüiée par les devoins de pour certams ex•e.reioos , mander ,à leurs . . , a comla lutte e~tre le lbien ,et le mal- médaction, à C8/UJ8e de la ipfüfusion imaofoat·1 , ~. CB!pu'Ices·et à leur r,nts, des eorrection1s à l'encre ,roug,e. Ce erreur et 1'ete_rneUe Vérité '"' ?,D'..riJPP,renons-Ieur .' IPforter .st<2 1quement l 'effürt 1 a supf- gn?rance,. la ro utin e, et le vrai', ~- ne ,sont que ratures, sup,pressions, ran~e meme, Q u:and . : ia sou , - g!fS, la raison et J.es,passions ees ~er 1addition s, modiif~c,ations de toutes c~.s,saire,s ou utiiles 11.clfuxt-clisont ~e- n~e~,js,Oayant ,pour chef de file l'o r= :sortes au milieu desq ,u,elles 1es au~1mer le d · · · aru eur f mre teul'ls des d,e,voirs ne rooonnaia'3 eni k"'llT_ fa.i_re gioûter :Ja ·;st1~ha:lr;::~tdedi:ef~: satisfacti,0:vfr, doJ?.tl '~r plus lellll' 'J}auvre !petit trava il. 4.~""' • "une 'VWtowe •rem ·por - bien _effrayant, ,car il n 'e~t :ien ,e ~ """' 'r SOI mean 1 • • Il y a donc de oe fa.it 'll[1 :éno1rme du 'bien a~o~: a Joie du trav:ail, cessaœre "t , pas ne~:aspil1ag,e de temps . d h ' ·~our e re a 1'avant~garde es c amp 1om'3 du bien, de ne 'l'êver 'Nous v-oud'l'iom; indiquer ici 1iu1
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,prooédé pratique, oommode 1pour les maîtres, pr,ofi.talble pour les éilèv,es, d ':e11Plioat~on et plus piairticulière m ent <le -correction de la oorrupœition française au cours é lémenta.i.re. On ipeu,t donner le plus souvent dans œ cours, ;surtout en F 0 année, deLSdescr ipt ion s de .persOillJlages, d 'a.~i:11.aux ou d 'obj,ets· bi en oonnus des ,elev,es,. Prenons ,par ,exemplê comme s uj,et : « Les ,cha,ussures. » ,Le maître, après av oi r groU1pé les élève:s ,autour du table au noir, écirira le titre , poo la tpremière question du ,sommaire: Nommez les di verse;s s.sez. chaussures que vious 0orun:aii Les élèves .ré.pondent . L'éillumérati,on se oomplète peu ,à ,peu v er baù,ement, pa:r l'effort de tous. . A!'o,ra le maître émit la ·réipOillSe am.si dbtenue sur la moitié de gau che du tableau divi sé en deux pa ,rti,es éga1e.s piar ll1!I1 trait vertical. On ·pas,se ensuite à l,a 2° qu estion : Comment v;ous chaussez~vous ,en hi verî :La réponJSe e.st trou vée ioomme st io!Il',iplll•Ïis écrite d,e rpoyr la 1re q1Ue meme au tableau . On oontinue ainsi ju siqwià la demnière q1U ,e,stion. tLe taJbleau noir !]'.)tfésente alors l 'aspect du tableau ci-d essous . 1
COMPOSITiONFRANÇAISE Les chaussures 1. Nommez les diverses chaussnrès que vous connaissez. - 2. Comment vous chaussez-vous en hiver ?... etc . D:evoIR CORREOTIONS SoMM.URE.
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1. Je connais beaucoup de chaussures : les souliers, les sa· bots, les bottes, ... etc. 2. En hiver,je por· te des sabot s parce que ..., etc.
iLe devoir am si -pn~paré en com mun est re1u. Le maît re aippelle l 'attention sur les iprinciipales diffioo}.
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ot a.voir compris, avoir retenu tés orthogr!aphiq.ues, puis les élèves · un ,ordre diifférent les div,erses clra ,n m ' l' e sures. , pouvoir ap;p iqu r. vont à 1Eru.r rplooe. On v,oit ioombien ce rprocédé de c ,On rp,eut ;s,avoir ,pa~ .oœur toute s J.~s Là ils copient suir leur cahier le recti,Olll ·simplifie la tâche du maît , O']e,s de , b gmmma ,LTe ,et de la; ~hetitre et le sommaire et tr~ent le trait 1 · ;ique, êt r e oa1p,able .de...les re clter médian qui séparera leur tr 1ava.il ipere ~ut" ~rat1t,sQ,,qute}q1ue,s ?1l~entio ot à 'rnortisans rp:ourv ,01'1~ etre correct, ,sonnel de la partie ,réservée ,aux cor- e c ,es u . uau ,aux ,e ev-es, . . ; rire . « Quand un ,enfant, rections,. s '~ffoœent 'd'autan~ q)Juis d:e ne . ~ sKvoi[ ~~ met rpa,s·,en ,p:ratà1que une qu'ils ,save:ç1t ,qu' ~t o-raimmafr,e peu importe :Lorsique tout le monde a fait cette faue de f~u~es 1 seront obhg 1~s. de les o~r~er. eire ~·.&~ite. il me 1'.a1sai t -pas. C eoopi:e, le 1II1aître retoume l,e tabfoau aùns1 q11e 1~ j; \: sait in'.faillib1ement q ui l 'aipou couvre oe qUJÎ y est écrit avec un ,eettE?correctton m~e, im ort '11'il ne la réjoornal ,et },es ,élèves sont invri.tés à remrrse du texte modele \SOUS le,.s ye ~ -, a de;s élèves, me 1piamis,sent 1bieni :pr _hque; peu P e iq faire leur ,rédaction.. . . ,pres !à rendr:e, les e:x1erci<0es de 1te rpa s. >> • La oor 1recti ,on devient a10irs trâs position françaiise ,plus IJ)rio fitables ·. ,On_,peut savŒr,1p.ar:,~ur tous }es simple. A v,ec la manièr.e de .procéder ,Ge ;procédé, .a,vo!ll!s-n,o ,u1s dit co ,éorem:es de Ja g~·ome tne, toute s ~·es que lll'O~s venons d'indiquer, il y au c. vient au ,cours élémentaire, s,~rto ,~rmules de l ':aJg;ebr·~, tous l es ,pfn.nra vraisembla iblement Udl nombre à la, pe a1ll'.l!ée. 1i pes de la 1phüos,orph1~. to,us ,les aits ·Cfnsidérable de. hon:s devoirs,. Les1 éIl f,audrmit sie g.a.rdeir de J'empL e.}'histoire, s~rns 1~v~1I' ·POOf ,c!!a la levoo ,a:u11ootd'a1t seulement quelque1s ye:r aru c,our,s.moy;en, 1et '1'.lJOtamm-e ci,ence d~ l,a ,ge<?metne,, d_e1 ·~lne!bre, fautes d 'orthograiphe, écrà.t :par eXJem- av,ec des sujets de oomposî.,tiion d e ·l~ iphilo:;;0T?h1e,de 1 ~1sto1re .. On rple soulliers ou, botes . Le maî.tre sou- mandant de,s ,efforts d 'imag inatio Qlssede ,ces d1".'er,s~s '.sciences, s1 l,es lig,nera simplement ces mots' à } 'en- ou de jugement. héor~me s de g eo1!1e~ne,le,s for'I!lu'1es cre ro111g:eet l 'élèv ,e, ,cons,uJtant le , :Il ·est nécessaire a:l,o,r ,s, de Laisse 'a;lgebre , ~,es 'PrI~C!Pe~ de rphil?s~texte du tableau ,replooé oous ses a l'enfant ,s,o.nactivité per sonneUe e hie. 1es f al!ts de l hrsto1pe, ,ont ;peneyeux, écrira 1sur ,s,on.calhie:r~dans la réflé~ lü.e, de ~:ui ipe:l'lnettr,e d 'ex,prj ré ~·a.ns,.Iasubstanee. meme de notre -colonne réservée aux ûorrections et mer ia ~a mamère ce 1qu 'il ;riessent p ST?r!t,,~ ils font :pa,~tie de ,not!e ~enen. fa?e des, mots fautif1S (,pJllllSi;e,urs ce 1qu'il pellise, ,sans e~ercer sur lu éi!ité. s1 notr~ e?'~r.1tles a fait 1si,ens, fo1s s1 l'on vieut) les mrots rectifiés ,qu ·;1J 1 l'.es.a ass1m1ILe?.· .eomm~_}e ~orp~ une _disci~line a,ssujettissante souliers, bottes. ' ' 1subs·tituerait la rpensée oru J,eis senti _,as,s1m1ile la nouirr.1nure ,q1;1,il prnnd 1 iD'aurt~es ,éilèv,es,1Surfout parmi les rnents du maître à ceux de l 'élèv,e. 1 nous sentons,. s1 nous J~g,eons, ('H Un Inspecteur scolaire. ·OUB :parlons, ,s1 nous a:gisson:S en ipl~s fa11bles:, auront ma1nrqlll'écer'ertn de 1cets principes, de ces faits , tams ,para.grarphes, soit que les idée8 • • onformément 'à l 'en1seig1I1Jementqu' n ',aient rpas été bi,e,n ûOID.1p1r:iJses. soit < Savoir par eœur ls conhennent. 1q,uel '·expre,s,sion. en ait été' inc~rrecte. n'est pas savoir , " Noi:s P!'e,nons ,en ~a~·de (confions la: mem:01.re) Jes op1mon:s et l,e 1saIl ,suffira dans ce oas de mettre en . . ,oir d'autr,ui, dit :Montajgïle, et ,p;tüs , marg,e d u caihier et ffll face du paratP1ar lia, :M!Onta1gne,de q m est cett ,'est tout: il faut le,s faire nôtres. » graiphe défectueux la menti,on Mal :"eiut ,~ou:s dire 1q~~ savoir t encore: « 'Ge:1:u i-là a. mieux pvofité qui indiquera 1que J 'élève dœt r,e.fai- IP~m1e, c est temr, ,e a1pppo1pne), ce 9'U ux leçons, qui :l,es fait, que qui f.es la coloilllle des on a donne (,sen,etr.garde ·re l,e rparagra.phe da111:s a sa, memome ait ,, · oorrectiOiilJS.18 'i~ ;n ',y ,a rq,u;',une1partie c'est avoir coufié à celle -·ci de s mots E. 'd t · st ~e iparag,DafAhie1inc0I'!recte. cette ,par'- des ,phrases, des formu l,es des ,rè~ 'i\d 1'1€mn1de?-t'·· .savdm11 · ipa1: cœur l~; fa.e ~eu1eiment 1sera soufügn.ée :p1ui ,s gles · des faits . ' 1?-·~ . es ,con 1 i,~n,s, e a sc1ffi'.lœ; ~corngiée ,par l 'ru,ève. ' . S' .. , . . . 1ùce d e la ·~c1,eil! ce ne ,s.e iconstrmt · avoir, e eist avoir l 'mte1hgenc a:s su r J,e vide et 1S alll'Smatériaux; Il est là peine ,besoin· d'ajouter que de,s 1es, des fomnule s, nais ]e,s matériiaiux sont v,ains, 1si on m?t· s , des plhr, a s J.e texte ;dl! ta!bleau JJYeut &Uiptporter 1 J,8:8 ;CO~prendr,e, c ',est e sai't, ,si oD! ne (JJ1e,u t en diisrpos,er: des mod1f 1cations -et q_u,"on ne ma,r- des fa 1ts ; .c 'es~ 1 ruv,m·r. la . s11gm1f 1cat:u?n:, }'a porté e, ·1 , s emba:rrnssent pJutôt qu'il,s ne .s~ren 1quera pas de faut~ a~x ·élèyes qui , les, apphcabous, Ja :v:ente dans la ent. · IJ)ar exemp~•e, aur 1a1ent en,uimeré dans tJheorie ,et daœ I,a1,prntuque; c'es,t, en
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Il fauit que le tra.vail de la _mém!)is ,s,éipa ,ré de CE:1 111du JUre ne soit ip,ai g,ement; il faut s 'ruprp110'.Pnerce qu_e l ',on ,a:ppre n d :par cœur. il ·faut .le fa1t v1v:arri . t, re ,pass er et le ~arder a, l ''te ·8:. consci,ent d'abord, par la: re flex1.on; ~)uis, par la :rétvétitiion, ;p a,r l 'hab1tude, illlconisicient, et, en :quelque 1sorte, in stinc t if. 1M,ontaig11:e msiste av,ec fo1ice s ur cette nécessité de s 'as? imiJer, ,par un travai l ipersonnel de J~,g~ment ~t ~e 1ra ,i,son, ,ce quel 'on conJfie a J,a :qieim.0 re: « Nous ne tDavaillon s qui~ remplir la mémoi :re et a,aiisson s l 'enten dement eit la c,onsciience videtS!... On ne ce,sse de criaille .r à nos oreilles, oomme ,qui venserait dans un entonnoi r; et notre charge (ce qu'on de~ande de ,nous), ce n' ,eist que. de redwe c~ qu'on :nous a: dit.. . Qm .demande a son di~iple ce qu'i l lm ,se~ b!e de te'lle 011 telle sentenœ de C,iœro n Y On nous les plaque à 1a mémoire , tout,es empennées, où les 1ettreis et Les syll abes sont de _la suibstanœ de la chose ... Je v-0udrai ,s que le gou:v:erou instituteur) neur ( précepteut chang,eiât cette ,partie, et que, de belle arrivée ( dès le début) et sel-On la pmtée (d egré de dév:eJoweme nt) de 1'âJille qu 'i'l a en main, il commençât à la mettre ,sur la montre (l'amenât à montrer ce q11'el1e peut, \Je qu'e lle vaut), lui faisant g.oûter le.s choses. le s ,choisir ,et dis ~erner d 'elle-mêm e; quelquefois lui ,ouvrant le ·chemin, ,quelique!foi,s le lui J,ai,s-sant oovriT .... Qœ'il (le .pré:cerpteur) ne lui deman de :pws 1(\à son ié[è:ve) ,seu lement compte des mots de isa leçon, ,m-ai1Sdu s ens et de la substa~~. et q 11'il ju_ge du ,p,rofit 'QU 'il aura: foit. non ipas le témoignage de sa crn~orre. mai s de sa rvie. Que ce ou'il viendra d 'apprendr ,e, iJ.le lui fas,se mettre en ceint visagie,s (formes) ,et accommod er à autant de sujets ( aw liq,uer à nom·bre de cas), ipour voir s'il Ï '8. enc.ore 1bi,err.rpri1Set ·bien fait ,sien ... 1
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oel~ va de .1soi que le, t·exte exmli~ vent dire: « Je iSa.Î,slire comme que se:na.rrmeux lu ,qu ·~ .~u~re gm c pe . · me n'est pais '.Compris, ~a~,s J, ru.,de !a enir ,à J.a foi,s les figures, les s " Ce qu'on .sait droitement (lbien), lt es idé:es ,et les •liaisons d'idées. Ceu ~ doit hr ·e », et moi-_m.ie~eJe ne., , 1 'il , orte pas fort de foire, a µre~iere on en dis,p,ose sa:ns regarder au p,a. 1peine à voir une ,f!3-ethted_y <:>btent.r tron sans tourner ,les yeux vers son ci savent 1,ee le(ID.ent;ce qu s ,r,ec 1 ne une .J,eicture oor.recte dans 1 rn~o- une bonne mtonatmrr: les moœ sont Jiv.r~. Fâcheu ise ,suffisance (caipacité t ent, i,ls Je oomprenneint. 11s se so at·i',onautant q,ue dans la ip1<ononcia- très difific.iles ,à évaJuier.. intellootuel'.e) qu ':u,nesuffiiSauce ' pure rendu .corrruptedu plaiJl del ',a1U.teur, Qu'en pensiez-vous ami lecteur! 1'ordre de .se,s (Pen1sées.et 0et, ord 1 est ' 'Le Désireux. · ion. A J,:.,,"''. ,e primair e, l,ei_ 1princilp,a_ (pu,r,ement) liv-rooque 1 » est une :sorte .d e ,'.!ad,re ou vrn 1· Les ,oonniaissance.s livrées à la mé- n1eur ent naturellement se Tanger à Je 'abord de fai~ _acque~ir,au:x e eves moire, et dont ,on ne :peut au besoin rp]aœ les idées et loeurs signes. prononci!3-bon . 1rrepro chalbl~, 1ne * Nos phénix disposer, sont oomme des ivivr.es déSi l'on rawDoche iees différent ·ans p.ar,l,er d'mtonation. ,Qet enseirposés danis un maj!Ja,Sm,comme des manière.s d',31V'fY)>r,endre .pa:r <eœur d ~einent doit ~éj:à µrurtir, tou,g le saOn a .souvent et admiraiblement livre s dans une bi bliothèque. Il faut 18. distinction étaiblie ,par .Montai . ent du: rprem1er tableau de l~cture, que les ,vivres sorent lia nourriture de ,entre les deux formes de savoir qu' ,oit~e continruer jUJsQu'aux trms der- parlé de l'1Jmp-ortance d'ullle lbonne et chaque jour, ,et la viérité oontenue OJpp,ose.on v,er,ra que, µour [e visue · ières ,année s d'éco!e ·où l'on: peut tSérieuse :prépaDation de )a cJa.gse. , Qu'en a-t-0n diU ,Que .de cette rp,re<lans les lïv,rns, la lumière et la vi-e l ',auditif, le routinier, ,chez l,esquiel ommen1cer à faire lire en marqu,ant ipaDatio.n dépendent un~quemen,t le ·habituelle de niotre âme. l'idée ,est remmlaicée ou dominée :pa '.intonation. succès des élèves, l'av enir de l 'eco~e X l'image ou l e mot, la ll'é•citat~on es Vous n'·obti endrez jamai:s d'un en- et du ma.ître. On a dit 1qu'il ne .f~Ha1~ ,La: parole de JMiontaig,neétant ex- un pur mécanisme. Les mots, che ant de 10 de 1J. et même de 12 ans pas ·se fier au bre~~t de cayaeit~ qui pliquée. il peu,t être uthle, ·au point de eux, 'S 'a,ppellcnt ·et se déroulent com ,ne lectur~ igue l1 'O(D, ,puisse appeler vous ,ouvre fa ,ca1r,ner,e de 1 enseigneecliire, ~u sens '1 es-tr,eint du ~ot. _Et ment car il n'en est quel~ couronn~ vue rpéd,agogique, de claisser les en- me l es anneaux d'une chaîne; qu' 11 Paroe que, ·pour ibie~ hr "?:, de la' théorie, bien bonne, 11est vrai, fonts suiv,ant 1eur manière d 'apipr en- anneau ise rom1Pe, et l'<élève se trou Jour<quo ble. inoarpabl, e de <e,on,tiru uer le ré,cit. ·1 faut <?OmprendTe c~ qu'on. ht, &1dre pa.r cœuT. · Il IJ 'en ,est ;pas ainsi de eelui qu on, _adieu }a bonne mtonat10n: on mais n '·assurant r0as beaucoup de suc]l en est qui ue cherchent rp1asà . sa.ns la 1>ratiq,ue. , « sait droi:tement » ehez lequel ~ 'ima _ rppuiera longterrnrpssur llil1 mo~ _que cèsL'art comprendre, 1qui veulent simplement d'enseigner s aicqmert rpa;r µDononoer i'bneive- 1\~tude mais il est .g,u.rtoutle frmt :fixer daœ U,a mémoire l 'ima.qe vi - o-e et le mot sont subordo ,nn'és Ji.l'i ',on devrait suelle du mot, .sa place da,n,s 1a ligne, dée. Les mots du texte peuv .ent lu· 1ent et on ,glissera ,sur d'autrels d(;!nt d'une iongue expérien~e, d'une lo~la ,place de cette lig-ne dans la :page. ma.niq,uer,mais l'id ée lui creste. et l' i e sens demande que l'oo s';y arrete .gue pratique. C 'f'.st un heureux ~~ . dée -peut toujours ti,ouiver des équi pres que. Oe s·ont les visuels. 'Savoir, fI)Oure'1l,X •lange de dévouem~t et d'a1?,tor!te. Quel instituteur, d '1a1lleuris:, n'a de tact et d 'intelhgoo ce, qui n est c'est .pOUvioir reli.re en imagination' valents rpour s'expr ime.r. .D'une .part, o,n a un perroquet qui pas rencontré de oes é1èv-esqm, tout certai niement pas le part:a,P:~de tous ce qu 'il1s.iont vu, dans leür livre . Ii1 en est qui ne ,se contentent pas ne :s'·enteond pas lui-m:ême · de l'au- en ,croy.ant bien 11ire,vous co,uµent des ceux qui ont obtenu l e d1;plome. dE; l 'imag,e vi•sueO. l,e; il,s veulent en tre, un,e intelligence oui ,a '.fait sien- hra ses ibien oompréhensibles, mais J ,e n'en dis pas daiyantai:re s~r cet. que l 'on ne peut sa.l!sir ,µa,r suit e tt, :prépa.ration, car Je ne ferais qn,;e outre, fixer dans la mémoire le ' son nes les ;pensées d'autrui. Le savoir par cœur. malg.r,é le :tr,a.cl'i'Il:terru.ption hors sens t des mots et, pour ioela, li.sent tout répéter \le q.ue d'autres 'Plus ·comµehaut leur lecon. Pour eux. sa:voir u,ne v.ai1l qu'il ,exürn. n'est ,qu'un saivoir 8i j'émet s a.ujour4 'hui c~ qu,el-. tents ont dit, et ,ce n'est ;pas là mon leQOn.c'e,st 1a lire et l'écouter dans nass if, un savoir -p}a,qu,éet tout de x,ue.s réflexions sur l'.mtop~hon. dans but. , leu,r imagination. Ils ,sont à tla, fois suirfaKle; },e savoir est l'œuvr,e d'un ila le,ctur ,e, ,c'e!Stque Je desrrera~:s saJe veux parller d 'rune autre !Prèlp~e.sorit aictif; c'est de la pensée a,ssi- voir, si des maîtres rplus exJpénme:I?, - tion qui serait ibien utile au~s1,.ma1s visuels et aiiditifs. Il en est Qui s 'ooouoent en même milée. il fait partie de notre menrba~tés pensent 1ainsi que moi, q;ui ne sms que personne ne fait: ceJle qui conque dans ,J.a 6me année d '·enseigne- sisterait à s 'ét,udier :préala~leme~t temp:s de 1'imaqe et de l'idée: mais lité, de notre suibsta[lce. ment. la conservation de 'l'idée est en eux Je ·viens d:'avoir la vi,site de M. sur les ~oniv·ersations que ~ on doit un mouen mnémoni ,que, non le but i 1 ,poursuivi. Us 1se ,serv-ent die l 'idiée De l'intonation dans la lecture 1'ln s,peicteur qui m'a exhorté à fai~e t Pnir. J ',ai en effet, eu l 'occas ion de parlirr avec intonation mes 'élèves, de dix ;pour T-etrouver nlu,s faicil,ement J 'iler m~intes foi.s à certaines persOJl.1S 'il est une branche diffici[e à fai- et onz.e ans . ~aig-e du .mot. ,Quand, ,pa.r la répétines qui n'ont à la bouche que ·le s'!Sans doute, quelques-um;. diront jet je , accompagné ou non de la ne.tJon, J'élève ·s'est fait une routine il re apprendre au :point de pouv,oir diioubJie ~eisidées nour les mots; il 'ne Te: nos élèves la connaissent bien, iqu'il n'y a qu'à bi,en ex-plilq:uer le b. morceau de lectur e, piuis, il ,semafacile ~tioo. /Pense ,plus à la chose sign ifiée il ne c'est .a.s.su:rementla lecture. Je ,r.enoontrais, il n'y a µas 1en Rares, en , e ffet. iser-ont le,s ,é lève1s d'obtenir unie ·bonne intonatiœ:11 . Oela retient qn~ le siqne. ' Il en •e.s,~ ~mi:Q.qu! ~ ',attachent à Te- qui, en quittant définitivement l 'écoU
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longtemps, un, col!ègue q.u}, il. est parce 'qu'il pl'épare touj,ours bien: eut ne 'sont pais deis entités s:épa- ré{)"ions s,on.t sensib les au ssi bien que ·sont le vrai, est · uo boni 1'egent ·et ta qm ().Il classe?" Ce-la ·peut être v;riai, c.ar une d'entre ·eHe1S ne rpeut 'S'8 1,e;'autre s ,centres e.t qu 'e11~s siè me notamment des seD1 sa ui1ons, mw spourr:a.it demander souvent conseil v,ois par expér ienc e ,qu'u ne cla ·, . tére.sser d es deux a utre s sans sans jamai,s 1être déçu ùans son espé- bien préparée en vaut deux et mê ~<luire d~s effet~ d~p~otap lei~. Le cul~ireis., articulaires. enfin de toute? rance . Mais aipr,ès ,queLques minutes plus d 'improvi,sées. ,Mai,s tout ~mp,s n'e·st pa~· h'ês l',lmgn~ ou des ce:s 1sensaÜoDJs f001damen tales qui passées en 1sa compagnie, j '·eus tout étonnant ,p,rngrès ne vient 1pa:s de ducateurs d~ r,enom der·l2:ra1•e1~.t,sen- sont le 1point de départ de notre rpsyde suite une {J!pinion oilus que médio- je le vois plUitôt dans la fable . . . ncieusement 1qu 'i:l falla it fair;e de chogénooe . Le s sellS'ations muscul ,a1re·~ ont cre de sa science et de ,son savoir - Viennet: ~ gymnas ,üque ,pour reposer umquef aire. Quelle verve, mon Dieu! a :nt le cerveau .surmené des ,enfants . une irwp.ortaince maje11ne au pomt ~e 'LA CHUT.ID D'UiN GLAND vue de 1'a forma.ti:on de l a .:pers ,~nnah .1e , , hi" . t V""" "Diis donc, me fit -il, a,près avoir Am [}ied·d'tWJ. ohên1e et i~uir ru,11 ·vert gazon, ] s Il ·e r··eflec ssaten p1as •en ,ad humaine. N,otr ,e _devœr d ,edu?aéPha ng-é les salutatiorns d 'usag ,e, dis Se reposait iune 1b~1ert: te, ant cette a~urdit& ,qu'ü s, con arrn- tlé teur ,e.st doill'c ,de ve i1ler au 11,eg,uhe,r 1d't1JtwcM[)llir le :f1rooùiaqui ai·ent du meme cou p le s mefüodes ,et donc, mes élèves font des· pr,ogirès :r'a- Quand I\J/ll glaJDJdJ ( procé dés en •v1gue,ur . sui· sa tête. es ,pour l ''d e u- dé ve1o;pp,em~nt de~· ceil?-tre:sde· la .r~nides; ils avancent à pas accélérés. V ient ià1 •tomber à 1Pkm11b ·et, 1IDffillJblant Efüe s' évei1Ue d'reft'ro j, a.tion inte ,11ectue11e. Comment, ou gioo rd1and1,q,ue ou dotv ent aipp~ra.1Les 1petits qui ont dé:buté à l'école cette anné 'e, a:u bout de deux mois me De •œ .Ji(>jllJdlwngereuxs'enfuit à [)€11"-dil·e ·.avait ià teil ,point le oe.rveaJUdes ,en~ t re ,et s e fortifieir lf'IS ,base,s me~e.s [die à rpei f a 11 •t fl a:niquer ,ceux-'Cl de l '·esprit. 1Ce1scent11es de la m?t~1?1; li,sent couram,ment a,u livre de lect u- Oriant au raitJ·eine, 'des clr11f1Dd}s, qu'e1Ie il"eg ants ,qu'il ai ,c it é Si0I1Jt1aiu 1ssi iceux d:e la sens1tnhte re; d'autres qui n'avaient ,encore eu « IJà-bas, Jlà.-.ba,s,vtwt de tomber S11.n· m.oi ne ou deux .foils rpar semain 1 e d'up ménéra:le 1qui tnorns :donne can:s01en~e 0he ênœme td!rurn,g.1.101s ,chêne. » aucune rnotiŒ1Jde calcul, me font de La hra.n1 1aître ,de gvrrma st iiqu~. j,o~ant 1,e ~oe de médecin, ipour reiialbhr pne mr- du monde extérieur ,et de noUis-melonaues multiplications et de lonques Le rat n'1eutig,wdle 1cl',aJle:r •voir. ôro1u,tant su1r Jia,œm u1atiron "Compromi,se 1ou dec,ongies- mes- ,et noms fournit l'él ément e.ss·endjvisions 1 sainJShésitation, etc., ètc. " Il di't à d>euxila1Pi>ns . , . (Jl]'lm gr.ois 10biêne ·-vel!lJait :de chorlir , .i10 nrner un cervieau surmenié par de~ tieH de la voJ.o.nté. ,. . Enfin H m'énumérait le,s énormes 10'iest ,ce ipmnt I,peiClialq.~11m a d1~Srnr '1a /bi,lettes,a -voisine. nofers1s1eurts !pieu iso.u,ci,euxde la ,i,ante ,proe:rès que fai ,sait toute sa classe, Des ffia!I)iws, ein Je 1,aioonitiMllt, · t té les rq:uelques lign e1s qm v,ont sm depu,i:s le dernier j1usqu'1aœ .premier Y mêlent 1<Les ~ciairis et 1>e1eu 'd'u oo=erre. e lerur.s élè'Vles! Et pms, poussan vre. , qui allait 1bientôt dépas.ser ,son maîUu 'écm1,ernhl., ,q,udJies enteni<t, eurs thléorioes à tf,ond, oes ~ême1s .auVou s avez toŒs rema ,rqrne comme tre. Y .joi!ntn.m,•1!11€!D'.lil:>' Iell1!JOOt d·e terr1e. ;oritiés ,en 1matièr1e d '·édu catron: a"J<QUBiref, iles faits, les -déta61ls, 'l'u1nrrH1ir l'a:u ai,ent: « .Surtout que dans ,vio,sleçons moi Jta di rfficulté 1qu' ,on ,ud ',obt e!ùr Dè·s dictées 7. . . I'l n \m: trouvait ·. iaippniyé s, e e."Ymna 1stiique ile cerveau n' ait rien un en sem b],e ,parfai t da ns l 'ex écut_ïon 1Plt1tsd'assez corriJpliquées pour 1enfonS'él t ~1ent Je Je~d:emai!Th si /bien, lml\]l]ti'pliés, , ~ · , . ·1 faut le relposie r; J.e cor,ps de.simouivementis, même les p lu s sim cer ses disciples. iQ.u'a tronroe 1m1~ à 111'ltfO'D!d>e I a. .1au e.. 1 . . €dlfrrruyés, seul doit traw11Uer. V ous aUez meion- ples. iL 'histoire suisse 7. . . -Ma1s le mot à '.rems· les an.imœuoc iCela résu llte de D1 0ID1 b re us es1.ca~ses mot est récité du commencement à la -Darnsla chute d'un gland voya1enitrrafin d ti,nent. retra,rncher de vios _le<:,ons·to·~t ,qu'il s,erait superpu de v,o~loH en~ ce .qui touche 'à. la m'émoue, ·au rai1 , monde. fin. rrnérer toutes. Qu' il :me suff11se ~e diANTIV.A..N!DAiRD. sonnement , à l 'ima ,g-ina:tion, etc. " re .que 'la 00,noe;pti,on n' est 1pia,s e,galeLa giéoe:r.a,pihie?.. . Toute 1a";p;ë_ Or l1e,s ,phys:i1o1 1ogues ont ma;intement ra:pi de chez tous :].es enfants .. mière division ip.aroourait l,e globe nant démontré à l'évidenc e ique le,s Faisan t abstraction delS-cas,p a.thoterrrestre en rpassant par les plus peDe l'fndépeadance exercices uhy,siaue1s· ont une influe!l:.!- l100·1qu es qu',0111 !Tenoontre freqUJe'fl;tits détroits. dans le travall ce 18ialutaire &nr l·e idévie}oppe ment .g~- m~nt et 'qui s ont de l 'uni1q1;11 e oomJPeLes problèmes?. ... Tous J.e.s:plus Toér,aJ de l'enfant et roeuv,ent ae:H tence du médecin, il fa n.lt ?Ien. reco ncomnle:xces ne Je1s entretenaient ,pas A,.·cett-e f ormu 1,e es, d.'uine. maniè.re, très·t effi cace sur 1'é- naître 1q ue l e temps d e ;rea~tion e1?On 1':.a d't1, ·,:;~ dix minutes, •ek, etc. vr,aie, le maîtr :e de gymnastique doi duciafao,n de 1 ,e,s,~m : , , et l ',exiecu~i,on var~e tre ,la conceuti ,OiJli ,Je ,s.uis heure;ux ,POU'rtoi. lui ,r®liIl v a une Q•UJza.me d an!l1ees tout de sujet à s,uijet1pou_r_d es ra1:so~s· d 'a êtr.e de iplus ·eil1,p1luisdoublé du péda quais-ie. Je rvo1.s1que ta cla ,sse n'est g:og-ue. Il n ',est 1pJUJs·permjs a:ujour au nll\l's, ,on cisoy:ait encore que 1es {)",ede ·sant é, de milrnu , de develo:p comrootSée oue de véTitables .phénix d 'hui de conS'Ïdér1er 1'éducation 'phy t,erritoiœs autou r du ·S'illon de R?:1,an- ~e~ent, de ,eiol!ldi?ionsociale ., de fa qui avancent à vas accélérés, alors 1sique comme le contre -pie d de l 'édu do, au ni ·veau de la ·0ou che corhcale mille, ,efo. •Et 1pms l 'enfa:nt, ciomirr;e que !J.e s miens, l(J'est tout au JJJluss'fü: cation i,nteI1ectuel1e et mo ral e, ou du cerveau, étaient id~1sic~n~re,s. •e:x,clu- l'adu lte, :p1réfèr ,e ses aiises a.u trnvai]. 'P'fllv,ent suivre le vas d'école . ipour m 'e:xiprimer de façon à êtr siv,ement moteu1,s: :l1a, d1.s•mt -·on, 1sur- Il ,évitie instinct ivement to1;1-tefab : L'ayant ouitté, je ,pensais: « Com- m.iieux comp,rils, de considérer Je mou ;g·it l '01~dre de mouvoir Je hr :as, la .que lql]i n'est pa s désord ,onni~e ou ?UI ment ce maître, t-OufoU1vsoontent de vement ,et J'hyg·iène .oomme les oo,r- :iambe, tel ou t el muscJ.e, et nen de ne l ui piiocuve p.as une sahsifadwn lui-même . 1S'V 1mend-i1 rpour faire ,r,ecti:îs seulement de.s 1eXcès J irntellec- plus. · rper!S'onne11e;de l'à ià t:riouv~T de .~ m~ ipro~re~$er ain~i se~ ~lèves? El'3t -ce tuels . La 1scie'l).ce Auj,ourd 'hui, nions ,savons que ces yens rp,our se fia:cilite,r 1a faehe 111 n y 1 1a mora J.e ,et [.e mQiu-
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la précisû.o[l, la ,rectitude d ·t f' taüon s adénoïdes s 001t c~~tit?ees a qu'un pas•; et ~otre enfa:nt , fillie ,ou c'est les m011vements ,et les diriections u-v.ewent ·com mrun.dé, d01: ixe·r 1p,ar le dével ,oppement ·~xa~ere d ga,r(.,on l'a bientot fra,nchi. déc!1S i•O'Il.au départ et la ,prompte~ n attention , - 1.e ,sens .d\ la ;vu_e D 'abor<l , il v,eut mettr,e son :pro- cution piour arriver à l 'ensemb~ eistplus seul. ,en Jeu, ma1:s :imagi- glande ,qui. se ,trouw ,situ,ee en:~r~ e nez et la gor.ge. Quand ~es vegetarfp.sseur à l 'épr,1:,uve.D se fait 11 ~éter tion ,et le ra1 so~m:netnlt Y ,ont leU;r ,c ',est donc mo ins le côté phvsiique plu sie ll'ris foi,s de suite la m~m e ciho- est à ,cornsiidérer 1que },e côté psyc rt - i1 ,s'en isu~t toute ~me coord~- tj,ons atteignem.~ un , certaitn V·?lume, elles doninent heu 'a. ~es ma~if~t~se avant de l '1exécute1r. Si co moyen que; et comme le disent très bi fan de s,ensahoœ qu'l . transfortions va•riée,s donit v,01c1les iprmc1pane lui réu ssit ,pa.s, alora ~l se ,rabat le s .SuédoIB: ((iAva.nt de condamn ,é;S ,en imipulsiooo mot~cr oo,ro:sur ce q,u 'on voit dans toutes lies· le- t~l. ou tel .exercice, av.a.nt de le disiq unique.nt le mo.u,v:emen .a ,a ipen- l,e.s: , · b1 ' l'' 1o .Syrnptôrnes apiprecia ~es a eçons •et da,ns toutes les i0la:si&es:l' enr,eche.rchez-ie.n ]a ria.ison érie. fant co1pie su,r s on v,oisin. 1C'est là lifier, · s Fix,er scm aittent~on', appTendre0 cole: a) La bouch e ~ t ,pr,es'que t,o.uJour 1me des 1p'.,a ieis de l 'enseignemen:t · quand v,ous ipens.emezà la !haute' lieur du but rec herché, votre oip:iru la mux ,enfa:ntts, ma.1s c e:s t 1UII1e Cfeaitr ',ouv,erte a ca'll,~ea~1 oblstack ·c 'ei,;t l 'aibominatiou de la désolation'. isera telleo.nent ébranl!ée .que· vo . . ssentie~rre! Il .est :v;ran.qu~ c ,est 0 a:pporté .~ ~ :r~sprnatwn nasafo On a be.aucoup ,cr itiqué les ,exerci.- n 'hés·iterez 'PlUJ s à brûJ.er ce que vo, ien diffi.ci!le. P.rus uuie heur ,e a 1 horpar les v,egetations. ~~me COIIl,r,es d ',ordre à c a;Use du rpe,ude ,pro,füt avez adoré iet à ador,er ce 1q1Uevo ·fe de la: ,classe 1J1'est ooffilPairable 1séquenoe, la lèvr ,e ,s,urpen~u:re es_t (JI. 'en œti r,ent les élèv es . Il y avait ~elle conis•acrée à 1a l,eço~ de gymvous pr,oposiez de lbrû.ler. » relevée., oourtie; elle a subi U[l ar certainement :à rédui re de ,oe côté-là Je fais encore Vl()]ontiersoette de astiQu1 e, ,et i'lienine saur,alt la ;remrêt de dév eroppement, 00:mme et 1;me 1Sé, '.:e0tion s ·~~·posait. iM:ais je xième ic,o!Iwession:iles exercices lib Jaœr. tout orgal'.l'e privé de ses foruc•crms qu il fa.ut ,evi1.ter de tomber de Choisir l,iibreiment pa:mni tous 1es s bJ.·aiset des: jambes, oombinés ,dans l' excès oontI1aive si nous ne vou- ve,c de s ,exercices d'ordre et des rp :x.ercioes rupipris icelui qui est ,ciomtions. , t t t , b) Les iadénoidi•ens rpresen e~. re~1 lons pas nous privier d'un ,e~ceùlcnt <le daŒllS 'e, dég'énèrent facileme nt ,e 1andé et l ',ex,él0uter oomme on l'a ,s,ouvent d!e.la dur eté . d '·~u~e, Q,~ moy en ']J'our fo déve loooement <le la oc,-m~lica_tions inutiles 9ui fatiguen onmri s ,ave.c to:ute l ' énerg~-e dont on ex,pliiq.u,ebien des !o~s l ~u dis·rersonrna :Mé et de 1a vol,onté chez la la m~morre. ~t IC'ommeü s demand e st ca,paibl,e, ma.IBc 'e1Stse h V'rer t~ut tr ait qui 1es caractense; il~ •sont grande ma sse de nos élèv,es. •u_ne etude tre s l,ongu,e et des répéti ntier. c '·e-&ttravailler en com'l)lete sujets à des dou~eiurs et a des ,Ma .p:rioposition a évidemment une ho:ns sans f iin pou r 01btenir ,une ex' déip~danoo · ,c'est se détacher de d 'oreille .s. forme un peu ,pa.raidox:a.l,e.Tous le s cuÜOJ? qu~q~,e, ,peu 1p,ass,a!bJ.e, c es sem blabl;s, se diff-é;~nci,er, ~on- c) écoulements La voix ·prelI1d un mm br ,e na .sal. détr.a!cteurs de,s exemic:es d'ordre exerc1ces d'eg-enerent en mouv ,emen ,er ,sa mesure dallls 1 accoro.plmseL 'adénoïidien aura d,es t endan ces Q('·S mouvements d',ensemble ,et de ,l~ enJtde son deV10ir;c'est tr-emve\ j;a puœement r éf l exes. à di·re : baban aUJlieu de roa.maJ?-, discip 1~in e dains ·le trnvail ,se &ont ,ser- . Trop et trop ·?eu .gâtent tous le ,olont é,; iü'e:.st,forger s~n ica.!ac~. ad,d'eau ,au ]i,e,u de anneau. Le bevis de~ mêmes argument~, mais ,pour }eux. J,c me méfie deis comhmaison ,a c'es t de l.a gyrnna stiique éducatig-ai,emoot n' es t pas ti:ès, rar,e. . souten~r exademe nt l,e <'o.ntr,aire. Il s ~nvan~e.s et des séri es variéeis. Ma,i rc quifait surtout l '~duc.ati,on de 1110 ,s d) Le d,évelorprpement ,wener.~1 ( tail ont '])retendu Que le travail d 'ensem- Jr; .crois ,q,uece,r ·etoroche :Jl'e1Peut'Plu entre s n1erveux die v,oliüon et de cole 1principalement et 'P01,d,s) est b;.e _n~s.ert ·~ ri;n, ~inion à empêcher s ;:idres,ser ,qu'~ de rares ex0eption!s r.dinaüon. O. Bubloz. l ent. l ,m11nahve, a d1etr'Ulre J,a personnaliet en tous 'Cas, 11 ne s,aurait dimintte e) Les :fonctions du ,cerveau oont ,rat e et la volo1D.téchez l eiS individus en rien la vialeur des- e:ire.rciiceis libre lent ies; 1 '·av'Plicatio~ il;itel~ectu elMa.i.s leu,r j,ug.ement !Ile :r:e,pooesu; exécutés au 'Commandement ,et darr Les adénoidlens le est pénible; l '.assmula~o~ ~e·:;.:, a~cun fait précis; ] 'expérience et 1a ·une ·~aden ce atpprop.riée. noti()lll.lSniouV"e lleis est d1ffl.c11e. ,sc1~nce prouv.ent justeu:nent J.e ,con.foi s~ pos(e wne q uesti?n .,oédaµ:og-i IM. l,e ur Roure, de Vale'IllCe ., aJP,rès L'enfa!Ilt e,& t s•ouvent iclas'Sé parfrmre. que. L einseigne~e!!t d]oit-il ,se fair avoir montr ,é d:an's une rt\-:?e p~dami. les p.aress,eux. , Je concède, ,à ceux (1Ui ipensmrt dif- aux .enfa.1;1-ts ,par i!111tatwn ou pair dé-g,o~i,que tout ce que :f.ontdeJ.a l~s ms2° Symptômes appréciables e1i faferemment. deux cho ses; enco,re mon:stration 1'atm~n el.le ? p,emen . titru·teur s a,u \Point de v,ue 'Social, en mille: , sont-1elle,s d,e peu d 'importamice d,a:n1s ?enc'he cpol?,r œ l~e-~; Je sms moins dehor s des ,o:bli,g ati:ons ;proprement a) Le ronflement nocturne est la re~C' débat. absolu. et Je ~:r.~1,sa l ',exoelilen.e,~de di.tes de l eur en&eigneiment, vierut a~,a1.1 e ;presque généra le . , celle-c1. Comb1nees, l_es de'llx metho- tiDe.r l,eur attenti,on 'S\H une malad1~ b) La to,ux !D'OCturniees~ asse·z f~·cLeis exiemi~e.sd ',ord'r~ n ',ointqu'une el valeur r eilah ve ,am_ pornt de vue du d:es ~:i·ermet\ en~ d 'ia;rn ver ~ .J,a corl'€c - hi en connu e auj,ourd 'h'U!i ~ru, mo!114 ,qu,c-nte;,efüe se pro~mt rpar a.umdév_el,olp,pemen~ phy,siique. J) 'aicc:ord, à1on dan s l exiélcubon et a la bea uté médical ,et d,u ,public écfaire, m~!s tes deu x ou trois fo11s, ·par inmt et aulSla f~rJ?e.. i o-norée ,cheQ;les ,pop ulat10nis Oill.Vne mais en l es fa,1sant ,exécuter œ n' est même ;plus. Elle ,eist due 1à la cp.:1_?.; de .Ja deuxième méet rurales. Il s'agit des vé.qétaLa .s ru~r1 10t r?té ,pas iprélc~s:émoo~le mu scle, '1'0S1S.a.t u1 8 te dan s le 1.arynx de mucos1tes r e, .les a.rbcu:Jiat10ns,la ciœu1'ation et thode ,re~nde JUS~ent dam:; le fait tians adénoïdes. iprov-enant des végé tatiooo . Voici ce que dit M. le iJ)r Rou.r,e 1a respü~ation que Il!OlliS -rooher,c,ho!D.ls:que 1 •enfant, s 'il veut exoouber le
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13 c) Très ,souvelllt J,esommeil eS1ttrou_ . ma~e. P lusie,ur ,s d 'entr ,e vious f. b1é :p.ar de s cauchema ,r:s; l ',eiilf.aiilt de.s g rimace is ·s?ns l,e savoi r'. Par n,s.onge. Vous. n 'a!V'ezpas le arn.1t cun de-s mons tres ,qu~ :v~us .v,enez de ierie se lèv,e sur son ht av,e·0 des xem/ple rq,u,and JJ1sciha:ntent. 'll,s .'.Q e ehanger ],a f1gu,re d~s-.,gens a~1~ v,oir. Ces miroirn rqm deforment ~ts S ;O'de:s ,extérieu ·ns, d',une teirreur ouvoir ],es rendrre I"1J.d1c?Le s vlus sent I.e front contraiete:nt les tr./:nts Vl. sa,o·es .sont le s,ymhoLe des es,p r'~ls intcn:sc. . c,..~ . , t t e ,qu J,r s faux ,qm d eforment _ou. c d J On a ,s.ignalé l 'in~ontine'IlJC ,e noc- font une rbo~,che eomme ,s'ils épr ' :P~,ent et les faire ma1 Juge r . vai , e nt de viol , e n'tes coli:que1s. En é se·ar,der le,s g'em, les ?hs erv 1 e.! !els voient les choses , a u ssi bien rque ..~s tu111e d 'uritll!e oomrrne assez friévant, s· u rto u t en 1s 'a1ppliguant 1à fa el1l.s sont et ],es déperrndr~ elela gnma,oe .ne repiehomm'.es. Car quente chez }es adénoïd~ens. Ja callig,r.aphi,e, un oertain no t ,c'est 1e fait d'un l~oooete orn~ les V1S1!'1-g ·e1s 1?-, ude sente pas . s ,eiulement 'füus ,ce,s syimptômes ,diminuent 1 . 1est bre d 'éc,olier.s tirient légèrement Regiarder)e s g'ens, tacher de ld~~ mal.Ils par Ja ,sécheressie ·et s '·ex·agè11ent par ailte're's · ', o·u lies ,uhys1onom · ,.:i •t uv,er un de faut , et mettr ,e ee e lanJom.e,et tournent l euns y€ux d' rrnoraJ,es infidèl ement ,re,p1;0Ll'~1 e: et le:s temps humides. Us siont moins f a.Q;n .arrnuJsanite. On dir.ait , q ru ·'en · ~ t tellement , e n reli~f .que toute l.~ calomni,ées, mais ,~lle ,rerpr.es~n o,u mm1qu,és en été qu':en rhiv;er . Ce.Ja 0 cri va.nt i'ls jouent , u n mo·rnei a u ra; r, s onne en eBt ·oo.va,h1.e, c ', e st le f.a.: ICE' ,qu: i ,est défourne de s.a_vrnieA tient ·à rce 10ue Le tis:su adénoïde, très et de se,s just e~ pr(!!Portions . , co il ,spongieux, s'e g,onfle sours l 'infl.üeince accOlmpaJ~'nement des yeux et d'e resprits ma lv eil1lants ·et. malhonnel ang-ue. E,n:fin v;ou~ eonna isse~ to .s. To~,s }es voJe,:irrs de f1gur ,e.s ·~t ~~ des chO!s·es vraies, Justes, ,e:iwJctes ,"' de l 'ihumridité. " . le monde les ,c;ho1se,s famss,.,s, La staitisüque a démontré ,q11,e40 l 'u sag1e ,qu,1 es-t fo1t de la g.r1m 'putations pra,h.q,w~;nt oe siystele~ Y ,a. d,a~s ., , ·1·b , Les ore - _ à 50 .% des so,u,rds-muets étaient de1S rdans le,s r,efabous ,enfoe cama.nad es !hommes, q,uand 1ls obs,ervent . ,ex,agereers, dieseq:u-11 re~ . tr,es :Sont ,comparab les ,a des. m.1- miè1·e,s son t le:s figure s, reeùles ,et ~.u .ad&noïdi,enis.Bien des ménin.giteis de Quand il est défendu de pariler 1qu ',on ne s,~1itq,u.e dire, on corr,esI?iü irs. 'vo us ~avez qu'un bon nnroir thcntiques, les seiconde,s ,so_n\ les 1'enfa:nce n'ont rpa,s d'autre origine rfoa tme s, le,s rcontrefaço nf ,. · ,ers g 1p,a,r deis gr~mél:c~s D y a des gnm nv:oi,e l,a figur ,e tep,e que~1,e, . sail ..!1;aüond'une suppuraque la prrorpia; ces !p_ouir.s1g,mf1er: " Je _me moq. ;011 y changei:. Il n em~elht .pas, . ma "e"' Rien de beau qm n aJ.t ,sa conttion d 'or·eille1s. ' de toi»; 11y ,en a ,pou r drne: « La 'enlaidit 1pa,s,, il r~proqm~ aveic exd9- tr e!façon ,en la,1d. B Hm II!'~·us, -0e . rsonnt ,E,nco.re une ,co,nsta.taüon qui ,parle 1 se-moi tranquille»; "Tu m'ennuies tude. Un mauv-ais m1ro1r vous. eles phùs belles cho~es qm , d.e': ~~ne , en faveur de J 'instituüon du méde- " Je te témoi_qne mon mépris». L'a rme le crâne, vous bosseUe la laides ,en etant d~fi,guree s :\, ""' ~"lus l car il imlporte d'av,ertir cin rs,c,oLarire, ";,, ' t-' ·11 qm en se co-rde f.a,i,re des grimaces . .comiques o e vous gondo le le ne~ et vous t91 ,ce .sont :J.ersme_u eure.s . . ' ·, Li les famiUes . terri'blerS est enfin :pr:atiquié rp,a,r œ ~ or-eiHes. Il vous ab1m~ c.omplete- r,ompant, de·v.1ennent les 1p1re.s. . c -.. t.ains foo)iers :qui a:iment attirer su ent . Dans ,certai~s m1-rro1ris ~ots •s 'ouNDe devant ,nous un e .per'.s,pectiv~ eux 1'atte_nüon des cal!l'araders. Ils tes grêlés cŒ~me 1~1 .vous . :-'~,us e- immen se. La porte de la 1~1ia1~ on pa1 Un brin de morale s.ont a·crqui.sdans la .gnmaiee une s,p iez d 'ooe ,petit~ v1ero!e no1; e. ~ux larqueUe nous sommes ent res s es~, ou1 F'IGURES ET GRIMACES 1 ) cia 1ité d 'a,illeur's lf)eui liecommaa:1d '·entre vou,S,q111aurarnn~ 1 occas10~ verte suoce,ssivement \Su r des 1P1eces ble et qui r,a,ssemble arufour d'eux d e pas,ser dans · un maigra,Sllinde g:la~e de grandeurs viari,é,es ,où, com1;1-e.en Dans notre 1p,récédente causerie, , .vas t e et "' o·a·rn1·. de. .~a ,Q,Tou1pe,s ;plus rou moin_s i?,térnsséls o~ verra:1:ent uine coUe~.tfon_de 1Jfo;n·~ un· mus ,ee 9 renes, nous ~wons parlé de la. figure . Creule .sip ectaole de leur m1m1 1 que. Ma1 ien fait s pou~ 1 ) ,~s divertir. s ver nou , s avons, vru, des ûUr:1:0 , s ri t es ,n~m~ sons notre sujet . .C '.e,st une opérafoon ipa-s. sans "' s'·ortons à lalquellre on :gagne toujiOurs. rSi tl'on quiitto:rrs(:ette partie du, ,suj,et qui n 'e ai,ent des mirŒrs 1concav;e.~, con- ibr,euises. ,N e !l·e.,, est que l'antichambre et ;poursui exes, aUongés ,e~ forme JO_ya ,.,e. C~~ ~,oir bien profité de tou'.tce q:m pe t ne prend rpras }',habitude de creuser ~e voir i,ci. Figures ·et gnmaces, que v, o ns. Un:e gri,mac,e 9ue1le _qu '.el!e so! üroirs leur f:eraie~t une tet les sud,ets, on est comme celui qrui se l,evue :sur Jes rch0:ses et les hom~es, c,op_te11,te de· parSiS·erdeViant [e,s: porl res ~st une f ig-ure .a;lter:ee.ndwuhsee, de 'onde comme U?-frnrmag,e .de t O t formée. En PIIBn ant la ,plhy,si,onomi ,e, tantôt ,aiplatrn 001m11~ ·e llille. e, la vi,e et l 'Œ1istoi-re,ces term e,s, n. ~uet ne ,se donne .iramais la peine d'entre.r dans lers maisons ,. Mieux ,vaut natur ,elle d 'm1 homme. -on 0oun1pren antôt en forme de p9rr:e. foi ' a Îse ;r ,ent -ils pais! iO~mme il ,e_stdiff1c1Je visiter ren, détail dix maisons que de ,qu 'eJile est l'image fidèle de ,sa; rperr ,'.alrlonge oomme_ P'.e~ne et _ro~,E:e dt>,c1onTiaîtrela figure vraie des .c;ho,ses da :n1Sle prés ,ent c,ornme da~ s _le pas'ser· deva ,nt :eent portes saillis rien .sonne. _rSiv,ou,s ,exa~,érez et modift·e ntr~ des main s _,1~~1ble,s q~, 1 Je.s tralt:s de oette figure, vous cree ·crm.ent en boudm, la, elle .s e ar;;, 1 rpas'·se' ! Combien d' ,e1rr,eurs, de J_uge<ëtpprendre de ce qUJi.ex:iJste derrière ,c, .roug-e q?1 •1neDts famx, de ma,lh eur s, " .·hames ' ce,s ·portes . ;Je v,oms iDJVi.tie donc à !Pê- une imai ·e infidèle de cette mêm .a •boucihe est une crevarSse 1 ,.. ' · 1 1 ., ' ' t Enfm ,e. Vous' mo!Iltrez un homme ourt d'une ,or,e.1e 1a u. a:u re . . · · n·étrer a;V1ecmo,i da'l],s l 'inté,rieur de ·ner:sronrn ,proyien~ ent de c-e qrne, .a.~ h~,~ oe snr.i,et,dont la; ;porte ·est à notre dis . S·ous un aspe,ct :faux. Ce n'est :plu,s1iotre ma.lheur ,euse figure srubJt tou - v1'a11esfigur.e:s, :on. n a. ,c,onn'll'91?-~ rposition. Figiure, tela fait , de· fil en lui, c'est sa rca6catwre ,que vous no us es les injur ,e.s. Votre ·personne j'8 grimaces! L e Chnst fat ,cru cifie en,aigmille, ,penser rà gTimarc,e. !Chaque exhihez. E ,t ee,ci équiv,aut à un faux ent maniipulée follement, oo:mme ,·e tre de ux larrons, a;fin qrue l~ foule, n,enfant srait ce IQurec'est qu 'ul)le g.ri- témoignag,e contre lUii. IL'a,rt de dé- erait un rpâté et c '.est l!n ~eso~1'.-arpres qui n e ·regarde , 19u '·ernr;rio,s , le. lCOnfo fonmer 1,es traits des gens en pa,rol ·es ela de ,consult-er un mu ~oir ve\~_d ·dît dans une meme r·esprrohat10naiyee ou pal" des d·ers•sin,s, tendancieux es t ui vous ~eme.t ,en honne__u r, l'e a 1 1~ ses deux comipa,~·n~ons.de, srupJ?liC'e~ VoiT ,,Eoole tlll'im~ü:~" du 30 ŒIIOV.1908. une des formes les phiis 'rusées du e vos t.J;'aits,et ·vous :p.rouve 1Cfrlle , vo 111s C'est 1ià un ;proüede; qm n ,est ~1 al! ',ête,s ihooreurs,ement .sembl.able a aru- cien_ ni no,wveau, il n'a pais d'ag,e, il 1
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est <le tous les temps. Faire !I}l'endre g-1'imaice!<?equi ,est une fi. g-?re wfm de ,P.o~v:oir le lJia.ïr, le persec~ter, Je dietrmre, ~ ',e.st J.e _procédé pa1 leg11el on a touJours e•ss,ay;éde 'P?U:rsmvre, no1rcir, ,ruiner dans l'o,pimion, ·ce ,q,u'il_Y avait de .plurs beau ,sur 1~ t•err~. ri )a v,éirité, ni la justice, ~i .}.~ ~esmtwessement, ni la -lib~i:te, ni rnen de 0e qui fait l 'ib:uma,mte ~obl,e et ,pure ni'es.t demeuré à 1'a 1b!·1. Le grand 1problème, [a diffi1~ulte de tous le s âg-es ,et de tous les ii:i,,stants, c 'est de Teti~ouver la vraie f 1,gure des .choses parlIIli leurs grirnaices. Ch. W ag n er .
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lève ,par là :a 1'idée d'un gr.an'd Partiepratique v·e, d'une vaste ichaine de monta es 1maîsons vrufi.e ,avec la lati tude, Dan,s les écoles urha ,in es même ec le p lus ou m oins d'e fréquence Composition française 'Gff1 jo1nr, u11e jeune fille ét a ,it pkvcée à t;i,. . , 1prnciédé·est, a,p;pl~caible.La wlle ' s ,pluie~. rc ,rtl•ttx ,amies , a,e ses paren,ts. L'tme el.le tmyer ,see ·par un f1e1Uve'? ce fi On rehent ~1en_c~ :9uie 1 ,on ,a ob - .hie e,n t:> 1cùn si 1c"était elle -q-u,i avai t ve ·reQoit-11une riviè r e '? QUJoide. rvé, on ou~he d1ffr mlemen t •ce que cl'ellirs J1u d 'Cl~uu1n, '.t u,n ,cer ta ,:;n g,HiP,rnu. qu· en c tr,o,wv,ait cllél,i.facile .alors ,que de donner au x él on a e,ompns. La nou velle méthode 1':1 cie,n x. " Je .n:e mP m é1e pa:s , d e ,ces c.Ji.ose~~es noüons die œive d roite, rive 'enseignement de :la géo~r~phie n'i.' ~ù >). l' t!1p,o.n,d<i,t 1a (Ue.moiselihe ,d'.u;n ,ton piqu6 . che, ruf1 fl.uent , etc. '? Us n' ,oublie epo.se donc ,pas tout entier e su,r la Q 11~ ~i,ens ,e,;;-y 1ous d e cet te Tépo ,n.s,e? Qne, iplu,s :ce ,qu'on ,entend 1p,ar oonfl ,émoil:e.-·~n ie.or ~ ~elle-ci lui est-e11e ef\t. à votTe .a.vi s, le il'ôle ,(Le Ja. femme n•u. fo , de deux cour,s d'eau u au~ihair ,e ,pr ,eeieux et n e doit -ion ye Q· dome-s t ique? 'L ',o.bserViati-on di~eicte n'e st . as néghg 1er de ,s'en .serv ir. 1S 'en serIndications. - :Cette •r1&p0Tuse'Prou .toujourn !Suffisante . iOomment i,r, n on 1pour fa ir-e .appr end re· be.au.. ve que la jeu n e f.iUe est afflig,é :e d 'u lier des Alpes l'idée oup de détails,, mai ~ p our fi_xer so - n e vanit,é 1hien r id~cule. Elle dédai~ne ner à un éc<Y q,u 'es t la mer et de ,son imme de1:1entda ns 1 es'Pnt les notions es- J,eA ti,avaux dome stiiques , eHe 1s'im.a te 1 Comment donner à 00 ,éc;olier entieJles_. " ~avmr p ar cœur n '·est .gin e qu'elle d.ér,oger.ait en s'y livr ant la plaine l'~dée d'un rpa:y•s> age ;a as ,gavŒr ", nen de p lus j:uste_. ~ ai s iCes tra:va,ux n 'ab.ai,ssent aueune fem •••• e qm a •ete extr,e'? P.~r l'image, par des g ,r.avu ~pre_nd r e ,p~r cœur ~c, 1~ par l '·e'Illtende- me - fût-~lle du p lus g.rand monde bieAnfaites .au colori s vif et de bique, e.eqim a :P~S1s - ; au ,coniti,aüe , ils l 'honore n t, ·parce L'enseignement g,out; ;P.air des descri'))ti,ons ruussi, ,ent, est ,sou".'ent md1,srpensa:ble, sur- qu 'il s sont utiles, ,ou plutôt nécessai de la géo-graphie des rec ~ts, ipar des lectures ,choi.s out ,ave·c )es _JeTun es enfa n ts. Du res - re:s, 1p:ar.0e qu 'ils s,ont inhérents à la ,Mo,niirei: â q,u€l1)Jes•fü1!CIUll'Oês de ['esJP{l'itV·OUS .a.v.ecsom. L'ima1gination si vive e, la me.mmr e de s mot s n' est rpas vie d e fami Ue, à l'existence mêime du · if.aites ·IIJW)el da111s ,cet en:!•eign.emen,t ~n~antJ leur r8jprésente le,s contr eule en J•eu. La carte tout entière, foy er don t jls ,créent et multiplient l,a E~eunpl,es à Œ 'ap1Pllli. ·· ,elmg~ees, 'les a~11:mauxétr.a.nger,s, art_~im~ra le ,ou ?a rte. de l 'a~lp1~, res - val eur ,p ra ti que ,et la valeur mor ,a,le. , ·utref?is ! ',enseignement de a.a f1orai,son mag-:n,if1quede s tropiq e g1 aviee ~ans l ,esprit de 1 ,eleve et De plus, cet te jeu[lie fille mé0onna.ît geo1gra,phie 1!aisait pI1e~1que lllliq:ue üs ·se tr1aosportent rna,rla pensée d es nom s viennent ,s'y <placer d'eux - une t r ès douce, une très hienfai ,sante i:_ien~ a:ppe~ ra 'la memo1r.e. [i'enfant ~eisr,~giio~squ '·<?n.le,ur décrit . Et ],e 1êmes,- Cet~e i~ ag e graphique re.s- inS1piration du cœur , rpui,S1qu'e1le lll' 18'.1Viait 1~nî~ux ,sa l.eçon ,qui, .sans hé~ 1magmatJ10n d1ng.ee, canialisée 1 era d autant pueux que les enfants isrber, •recitait ,d,es hstes de viUe1s.de que1qpe. sorte 1par l,a pr,éci,siion , uron t eux-memes ,fait ~es icroquis, t ient iauicu,ncom pte du plais ir qu'elle rpourr.ait .r,élpand,re autour d'elle en fleuv·es,. de ·~~ntagnes, etc.. Enseigne- , descn~h~·DJS·et des imag,es ne 'éig, les c~rte~. ~urt ou,t de memoi !e, ,~a r- ·S 'appliq ,uant à cert ain s dé,taiJs: du 8 me.nt ,s~nguher ,ement_ aride et rébu- ipas, n ~nfante r1:Ya1s de1s choses biz es t_res 1s1mp le_s, ,sans oorp.p hcations mé na:ge, ,comme la confec tion, d'une ta~t qm a p.eureu~ement cédé la ,pla- r,es ,et inconnues . ,E He reste dan s nu!Ües, exerc1,ces de l 'œil ,et de l a ici1ên1e ou d'un e ,petite 1pât isse1rie. 1 1 ce a uni~ methode mtuitive, raüonneJ ·rée], dans le _,possible tout au mo· nmJ?, et non. 1pr:étexte s à. ,en:j ,0liv ures. ,Aj ,outer 'Ollie la femme riche, que le et. fec;onde qui met en œuvre ~ Obser~er, rmruginer, c'e st bien; j A1:1si oompn s, l' ~ns~1:gnemen1t de la, f emm e qui a des se rviteurs ,et des ce~ta m nom?re . de facultés, de l'esger •et_ra.J,s9nner,1c'est mieux. La g a ge~gr~ ip hie r:par.alt ,etr 'e l 'un des ·pnt ,. en ipa.rtw uher 'l'·observati.on , l 'i- g r,!1,phiefait app,eil,au jugem,ent et lus mté!e ,s~an ~s de to~s ,ce~ qui ibonneis, ·a besoin: elle-même , ,pour bi en rnagmahon , il,e jug-,ement, }e ra i,sonn,e- rm~onnement de l 'enifant . .Quand s,ont donn~ s. a '1'.ecole. Lom d 'etre in- remp lir •son rôle de maî tr ,e1Ssede mai ~ent et la mémoire. P 1a,r 1à-même, le maitre montre le,s rappo ,rts qu'il y gT,at et ,stenle, il est '!1ttmy ant et fé"- .son, d ':a.ppl"iend re ·eit de pr :at iiquer, 1 <? 1e personnel du maître .s'est consi- e_ntr,e la nat11;r,e.du_,sol ~t l es rprod ond. Non ~e~lœnent 1] donne _a,ux,en- dan·s Uille oer ta ine me sur e, la :s,cienœ du ména 1g-e. Rema1,quer enfin qu'il d~:'ab]em,e~t aug'me?-té_et l,e livre ,q,ui, h?ns, ,quand il mdique 1'influen ce fan~s le m1mmum de oon11Ja11s1sall1ces rpeut ],ui a:rriver de 1pe r dre sa fortu ,est 1pas deda1gne n e vient ~hmat ,sur le ,eaœ.adère des habitan 1nd1,spen sa!ble,s, mais par l 'aip,p,el fa it certe.s, ne: ,elle utili serai t alo,r,s le peu de saq u '·en second lieu. Avec sor{ texte J.es il s 'adres ,~e _au jugem ent de.s ,ellif,ani aux façulté,s il tl:év,eil1orp:pe et forJ_ifi.e ,v;oir 'q u',elle aurait acqui s 1sur cette ~artes ,et les igravures qui l 'illust;ent Ne le,s fa~t-11 pras ,r.aisonn,eT quand ?elles-ri et 10ontr ·ibue à. la :format ioD il a encor ~ ,sa ;plac,e, une ipiJa1ce impo~ leu r ex-phq,ue ou les amène à exip ipt eUe~tueHe de s es:p ,nt s. S:a v:aJeur m ati èl'e. -0san t e, m~i.s :no~ toute l,a .place. quer eux ~mêmes le réœime des fie eduicative est donc trè s g-ra.nde et eHe 0 est .a~gmenJt~e ,encore de ce lfait que l' Le martre :füut d'abord ohserver à v,es'? Dietées , , enfant les chos~s ,au'il l)Emt avoi,r Les ellifants n'ont 'Pas he<soin d' la g·eogr:a'Ph1'e, 1p.ar lai_oonna 1ssa n~e ,i\ifiA.TI NfüE DE :PRIJ.'!T:IDMPS so1;1sles v,e~, le S'1te qui J'entoure le tr·e grands cl,el"Cisen .g,éologie po ,qu'eHe n~u s .donne de n otrei 1p a,y 1s, ,La IIllJa;binéeêt ,a,it cl:élicieuse . Une if.ra,1cbenr rm~seau Q'l!l traveirse son: vil1a1ge,'les ri01111_?rendre 1c~e1 s choses. Ils ,s 'exipl nous le fait aimer dava.nt a.g,e. !"llbruu ,m~ie ,sm'tai t de s IJl' of .orud~ur s ,ve,rtes. collmes ,qm Jboment l'horizon et l 'é~ queront de mœne ·que l 'a.rchitectu: ,S"Lur.Je bo1•d: •d1e Ia. route Jlh.eT/be des va.i.nes ,pom• ~e
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JI)Atm•es. roelil,ement p~nétré die l'<OSOO qu'elle Histoire contemporaine, - Torus fres iP'- reviendra deux fois, tro is fois dans semblait IJ.)'&Jie , était criblée <'Le '()'etitesfleua·s sont auao,m,œhuiaiocrochésaux Ech~Me8 a siaison, se ,rendre compte de ce qui dies ,boi.~, hlatDJc ,a,el.aH, 1•ose gris, ~illas, cJ,l!Jir, Levant, si biein,qu'-L1s fer,001t,c-assea.-quel fllll'a été f ait . tc.:i1t .es ·s1 pm;e~!Là-ha.ut,A 1adme des gr.ands lb.ar11ea;ux . .. . .. Jeanne id'A'!IC a g.agné ,1abataille L 'idéal serait d'avoir une -école de <llllne.s, '.Le soi~1 11ev.antLain9ait dans les feouil'les se.s pi!ieun.1è.res f,\1JS·i\e11 oiét:in1celles De jo- iPynamiode,s,; c',es.tpol\l~,qu,o d on lui a él formati-on où 1'-on feTa it passer les y-c_ux l,rupÏins, la queuie en trom[)ette:tr.avet·· Qm ·e startues'il~·la 1PLa ,ce de ce nom... . jeunes g-ens qu i seraient à même de ·S,'l''.ent. Œa i·o,uJteen q.11elq •\1Je .s 'bondiset d'is1P'a· · .E,n_1793, •q,uaud,l'Euiro,p, e fit ile ,c devenir ch efs et inst ructeu r s de gro urai1ssa1~nt d,aon.sfo fou,rré. Les oisea,uxdian.s 'd'e }es -1:,018, elle v_itave.cune ten,eu,r:bloa µes. Et même sans avoir une école O·esb.a,lhers , •cha.UJbaient é(pe1,dfiment. 1t un lLouis... qu,il ~~ 1~~runqu:a spécia,le ne pourra it-on pas d ans tel(D'.ajprès F. Coppée.) 1 ~ Y .8J 1•ee11·emen:tpour Iles di{pl,om.a , ] , · . • t' qu':u moyen de s'ientendire, ,c'est de n.e le eco e ,su d p er~eur e av? 1r un~ sec1110~ 01 1 1 ,..• "' e. )l , omPO?ee ·8 Jeun es Vl ageo1s_a ~Il, mais se ~~'.Vir'?Ill têM,ptbioa:!, UiN BiOiN OONSIDIL AUX. ENF.A.N'I'S. , . .. (J .a.1 écrit douzeIJ)ai ges iCOIIll ttne ca. recevoir 11'.)~ n dan t qu elq}l~Sm01~ d h 11~~s •chens en,f,rnuts. _ V,01UJez-YO<uS' _ je p10-fesseruir :m',a emlbra \Ss,é ein me dis ver l 'enseig n ement s.pecrnl qu i conne d.Jos pas êtm e touct,our.s ,heo..1Œ·et1J!: ·vom·~ • cc:M:o.n rnm1,v~ êtes 11111Cll'é.tim.• C'e s,t tout vient à la jeu n e,sse de nos c,ampa 1·ez ,pJ,us. t a.rd . ·q•uece n'est ;pas f,a1 · ~· verciLe- mala ,que criou.s ,vmilùons .savoir.») !fnes 1 Si l 'on pe ut env oye r un m em,voulez-v.01J.11s n 'êb!,e jamad,stout à If-ait ,maJ* •"' hre de 1a ie une s,se du villag, e à un e bernreu, x? n ll'ef,aiurl:. pou,1· cela, qu,e ,creuxchoLA SI•GN!ATURED'UN NOTAIRE bonn e éc'Oled 'agricu: tur e, on aura en s,e.~,deux choses très simples: animer,,...t . . v Jllll·ea·. <:;c r.a D'AUTRElFOr ,s. Jui. un au:s:i1iaire précie u x, à condi·oer!Jrui1n,e.s ,e·criturns :cl111 vie tion qüe l'éco 1e en qu estion -ori-ente A ,e.x,rumium· . A_ïmez bien q,uivous .aime; ,aiuneza,ujouirt ,a:voirso,us les yeux · .d lio~[ v,os pai'6lts, ,ai,mezv.otre .mère, c~ qui tem.J?s,,on c11.'oi-rai :tra,oe ,cho,rêgr,aphique •de q,ueOqueb son enseig n emen t dans ce sen s, ce am VO\lJs . ,awreiru&·adioucementà aimer vot-re d'ap[l)a~a,t.Les sign,atuil'es,d-es• 1I1otai res, n'existe pas ordinairemen t . IJ) a•t1'.1e, ,notu:e 1mèJ.1e à toruJs. s:onten oe g,em,re d,es œt1vres En tout cas avec un i eune homme . . ~t. 'P'l11 ~s tl'av.arnez.·Po'llr :Leprésent voos pa[·ticm,liar, solU)ment'llliltqillies. Oe qu'il fallalit ,de ' Œ'ecus il f. ., ' d , tt · ·' t1 a, a1lle,zà 'VÜIJ.1 ,s instt-uiJ·e.à ·deven,Lr.,,.M Jememt, de ,soi:n,, de 'U,gè,r,eté ,die main :die on , eux, ormes efce. e mant1ere, un ·hommes· d V•O'll.s ,a v,e,.r,Nen tra,vaj,JJê u~., ···· et ,qu.a.n 1emen e,s.saver J.enrt(l]Jat11rel ,et d'o&tJude sérieus. e [)OUJ r' ex.éc Cfre JJ-Our r a asse~ ac1 et ,que 'Vous,avez ,conte111 té vos .m.a1tue,s e.s·tt~n· ,ces •chefs-dl'œu,vreest vrailment pr-0 ! ~ 1,_vre ~n ques~1·on. Il y r este r a _des '°'.'~·ue v-ousn'êtes ,pas p1rnsIég,ers,pŒu~ fü~- ,gi ,eux. ,comment un iwmme capable die IJ)r e r.1ff 1~u1tes ·praboues. des sur.prises :Pl 'o,s'.,.Est-ce que VOll~s J1ej'O'llez p·a,s.aivecp~u,a n.o m: IIl 'en a touiour s ,nossib 1es de la nart d r la ,dr~ ~ette peine ;pcmr tmacer son c.. enn,aiJn? C' t t · . . es outJO'll ,r,s am.si; 1ma v,a:iJ.lez eit 01a1t-1l :pa,seu. le .r,es=ct? ·Pune~.:::;-e. · 'i ,rus · l' œuvr1r se f ,er,a s,1 · l,' on . .,..... - · . .J ',.v v.o,u,snuœezla ,oo.nseLen ,ce s:atisfaite J e . Je V OJS d ICI, Ce .Chier nota1r e à p,er; ~ 't , ' ,' , Abb' Q 'll 'Et quand, la cons.cd ,em,oeest •&atlsifaite · et q\lJe , Je Je vois diépo,s,er ,sa tabatièue id!'or , al . perse, er0r. 1·3. e .·iti et. •qu~~J~ ,cœur est content ,on ne p.eUJt pas, être borl: , s'asseo -0cnh crement ma.lhe'lla: eux. Victor HUGO. le ooilnde IT'<litable,tâtm· .sonj,ru no,Memein.t, aJ'llSter•soo ~p ier, -exrum iirner L e Théâtre en Valais. ;pl'\lJme, J,a trffiDIT)·er -ùruns l',encre et, -deven , tout ~ c?UiPs1érieu]!:,JanieerS'llirJe papi-er A ce su~et, ceu:s:·que cette que,stion i!H'ffimer Jet élég,ant et hau.•dii , pll'é,ludle dies pl Variétés 'éton•n.amœs'V.ar1aJti,cms . ,Sa 1nlilün passe et intéresse -1Yourron t lire dans 1'Alma p•asse,s':allolllgeet ,se i!"eplie . Bi0Illtô t il s 11achd11V ({lais 1909 - à côté de tant • COO ·I:PO,SITION 'DUBAOHOT ible 1'™: Ja p,a:ssiO!lJ l'emporte; J,es t . roits cl'a u tre's ch aipi t res instr udifs ou ré - J~,a,iété reçu Ml,d!er.ni er ex,am1m d'lliba,csuibits et r créat ifs -~ une cur ieuse étude mon ,ca1rutn 'eat fr.ança,isavec une m·entiOID , très ~-ulhphemt,,et, [I),811',des reto,u,l)S p:?es, eHeest emJtratn:ée ,ae too,8 l es, côtés tra nt à sos nombr ,eux lecteu r.s « combien ... IIJ1eme 1-etml])S . Vin;grt; fots e11e 11.'e vi>ootSlllll" ment et depu is quand le.s dive·rtiss,e- OomlJ)os-ition d.ifficile? 110'11 , t e S81llS pa&ser {))ar ile mêime chiem in. o , - .T~ te ,cro,i,s. . . il .n'y ,a que imoi.~e,pltll'l tl'emble, ,on a ie vertig,e. Sans dlo111te el ments scéniques ont con quis sur n ou11 nuvœ1s élève d'e aa c1as , s e · q u,· a· . , . 1 -re s ·t • 1 .su o.a faJe:ase à ravein,tm,re, -cette ,a111dia cio e mse ma,l n , tre sol la faveur popula ir e ». Cette . · · · · · · niie : <c Dêmonitr er pa,r •votre i,gru,. bientôt elle V'a s'-arrêteir,coofuse aiu ,mi1i niotice, i1,'lu,S1t ,r1éed' une 1be 1le gr.avure: n.11,11, r ~ cr.asse l'in:urtiUtéabsoliu e Ides êbudes de l'inextri-ca,b!,e,chao,s·où ·elle s',em;pll'i& o111La levée de la Mazze en Valais. em~coŒ ,atrcs ii , ' . 1 1 . · · · · : · ma f·al!liu•d'l!j1'o1,a: oru- •à ,p.1'ai:s·1r . MwÏi!! non: J,e ta!bel,Ji.om sourit ,bra ,:,:~ blwr le ,pe? q 1ie J,esa,va,j,11 ,et ·êcrfr.eensuite. ·e· 1)1usi,2.u rn pa ,ge,s qu'on 1p,a:rnou:s r.a,ss,u,~ e. La iPlu:me g,r:inçaur te, :llati _Ofométn e. - Le plus c,o,urt0hieu:nin d'u.n ppelé, [D,a,s soumise, achève UIIl 'e dern ière volt ·0 uurrR- a.vec plai•sir. I1 y ,est ra 1 r>o1n·t i à un ,autre, c',est l,a l!gm,e /OOIUQ 'be wr exécute une diernièreiPifl1ouette <'ntr 'autres, que la fête de1 s Rois, à. ,e t rtoonbe ,to exempte 1n ro~iede l'automdbile 'P à co~p êP"UJsée, -sruns for-ce, tombe a.at ête Savièse, dont la .dernière représentaHisto~rf . - La bibliothèq ,uc d'A1ex;M1,drie1irem1ère,drnns le tr-ou de J'écrito,ire où ,e]J ·c01J1, tenait 'Uil mlUionde ivohlJllles ŒOIDJt 200000 rieste immobile et dr,oitie -comme llllll' 'p,erupM tion eut lieu le 6 janvier 1891, n'est que le prolongement d'une ancienne ou 300,000 livres sterl1.n &. " ' 8/lJ bo,rdl d'run rêtrung . • • •
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tradi tion. L'a uteur ,entre à ce sujet dans le.s déta il s ,suiva n ts: " R ien ,de plus ~im p,l e ·que le dra me de ce -Mystère: l' adoration de.s t e par Hérode de Ma.g,e.s, la :pour,SJUi la .Ste Famille, et ]a fu ite d e celJ.e-ci en E gyp t e (O rmone dans le ca,s préSé:nt) . Rig oureuseme n t le nom de c,aval-cade ou rie cortège serait ici plu:; cx,a,ct. Ce1ui-ci com p rend deux gr-oupes: Je prem ier est compo-sé de J ésus d de l a Vierg ·e en blanc, dr. .S. J ,o_ sepb, oondu i,san t l' âne classique, des Ma g1es t out cons cien ts de lerur di~nité s•ou1s leuir.s couro nn es d e pap ier ctorê, dP ch an t re·s, de m u sicien.s et de gam ins figurant les an ge,s; H érode form e na tu r',eHemen i le second grornpe avec .ses ·cava liers à 1'aspect far ,ouche et au x man teaux d e vif écarl ,ate flott ants a u ven t. Après l 'infructueus·2 p,o,ursuite qu i se déroule dans lrs diff ér -ents vülage ,s de la commune, le cortèg e w n tr e ·à .Sav ièse. L e hérault qui J.e,p r écède a écb an 12:é1'étoi.1r confrr un e lan t erne et banquette à ]a mai:son de commu n e. Au gr.and scan dal,e d e be.aucou:p il n 'Mait pa ,s r are ,l'y voir ?"farie, a:banèlonnant tout sent ime nt dé -dignité c1td 'arnour-'Pronre, « t r inquer » familièrement aver . H 6r,ode. Ge fu t même la finale p arfois trno p rofane de ·cette fête qui e11 amena, l 'interdidi,o n . ,, - o-
il y a o n siècle. La date du 1er .Tanvier 1909 rap1p el1e qu'il y a juste un sièc1e - c 'é tait 1e 1er .Tanvier 1809 - le Déoar kmen t des Finances avertissait les négocia n ts et commissionnaire 1s qui fon t des expéd it ion s ,p:ar le Simplon et 1e St -Be rn ard qru'·un nouveau tarif de péages all ait être établi en Va lais à partir de cette date . Voici, en effet , ce que nou s lisons à ce sujet dans 1'Almanach du Valais 1909: « Il ne ser a p 1us ,perçu, à l'ave n ir, aucun péage quefoonque poU:r l 'E-
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tat
ou le,s c.ommu n es, ni ,pon_tenage ! 'intérieur ; tous les droits sur marchandises trausitantes par le Valai~. y e ntrant ou en ,so.rtant, so nt r é u,nis .en un seul qui se paiera à 1'entrée ou à la. s ortie . Le ,s marchandises tra n si tantes qui entreront ou sor tiront paœ le Bo uveret paieront p our le s deux routes du q•uart au tiers moins qu e celles qui prendront ou quitteront le territoire du Valais .:l St-Maurice. ,, dans
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vingtaine de pages sont co urarnt ll!llll' le •boill!heUJ"de &e-,: iPomceaux crées à c e chapitre et rnndrio n t de re1Irns. _gnalé,s et fréq 1uernts service.s non kme ·nt aux m.archa n d,s. de bois, . .'a m.is,éricoQ·.d-einfi n ie a son hem·e : t s.0110'eau ·<nav s' .à kL vi,eille deme ur e, . · p n,s,.n.n f ores t 1er.s, 1• ' mais· . eno o re aux snn " · ·· .-. · • . 1• , • b fovPr oil j a,dis il a·va1t vu, le JO'lir; parhCU Iers , S-8IlS llieCe8 Siter a 60 ·on,ge à ses pm en,ts, i\ ,S,Oingeil leur nmo·ur; men t, pOUr Ces derill€flS, l 'acq,ui ,si ~ Ill ' son front blêmi de folie et d' 1vresse d'un ag·enda , de fo re stier ou d '·U:n ;eut .co•m:•r enwre une aiman te c.are.ss,e. Vrage S:pée,i al pOUr S ' en tirer dan cuu1\JiPU de se r viteurs, 'dit-i:l, et ,de va lets, mes urage de.s boi!S. iL'Aqenda du ure-nx prè.s de mon pere, a1,0si qu 'en un lais 1909 contient mêmë à cet ,éO'a [Jala is, . [bondan ~e, 0 ' a!,n b'an.c, de vin il11u,r , vive nt dans ,l a· ' ·1 oo n ee rna n t 1110 P 1 : . ,e ·c · rde fai·ni et de soufrr ,ance, e,s d -étau :S: nouveaux Je m u,r.s 1 ·1 · · d·e Ch 8;U ff ag .e e t l a v.a 1eur ca 1O ,ens' rea · b OlS aître en moi le .r e mords e,t l'es po•ir; CJ,U'eders bo11s. u·y pu i,s :pll,ns t en ir; - j'i ra i, j 'ir ai ce s~ir , .frir mon r e;penth·, -mes larmes à. mo~ ,peJ·e, jet ei· à ses •pieds mo n a1,d,ente :p'l·1e1 ·e. 1
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Pour moi qui rus toujo'Urs f idèle à mon •devoir [ [soir? F it-on ·jmuai s fe ~tin ,comme o,n en fa it c•· - Ne s"oyez 1ioi.nt ja.l oux, mon fi.Js., de v~t~·e - rfTère[ipete , } f e!'l biens fure nt ;os biens , h1i répondit son Et le) pieux bonhem· de paTtager mon sort A yo·s veux ne vaut-il pas u.n riche tréso r? S' il l'at;t se réjo,ui r eu q·u elqu e drcon ~tan ce, c·c:::t d'a voir espéré c,ontr e toute esperail<;C, C'Pst d e re.yoir Pion fHs en heu reu,se !<~nté, Ca L· 11.rnnfil s éta it ,mort ; il es t ressQ1sc1té!
Citers ernfants clu Va.lais, sur la terre ét·rano·èr e [lillèrc; N·anez poin t . :·ec hencher un bornheur. ép,~éMonthey et Val d'Illiez. N'allpz poi,nt exuioser cl'81 1s un •pays ~omtam , Un e ha;p itr ,e de] 'Almanach du VaLa fle.rnr q1i.e vous i])Ortez d'un e trembl ante main , lais 1909 intémsse tout spécia lem ent L n vurené clQ1 cœmr , votre bel1e in!llrocen-ce; de cœur ha '.eta.nt. il se met eu. cbelillin; ] 'i ndustri eu se cité de Monthey a insi An foyer :paterne]. a tta ,cbés dès l'enfa n ce. ntôt il Y.Oit-par aîtJre, en l'hor izon lointa in, oue la b elle vallée d 'I1E e z. Il a pour Rnt"ltez- que ,le bonh eur tie nt La. m,ün , du L!e· Il buvait a. lo,ng·s traits la cotl!Pe du bonb homme couro·nné de vieilless e e t de grâce. ti t r e: Vieilles histo,ïres d'un vieux voir rso1r; i se jette ü .son co,u, .1e •p;remier [p etard·O l'emIIJ, SO'n reg at,d ~tai t !P 'll?" et ca1me éta . i t s,on , c brasse pa11s, et pour auteur M. Oscar Per- · E t q·n'tin1 jour ra,dieux ,proph êt ise u n beau 1 Clrn.q.u~ mat m et so1'l·, de son -p~re et sa ~ , . d;, , t· _ ;\,fou' fi:ls! _ mon père, ro l laz , so n ooU.aborateur avantageuVotre :père, c'est Die11; sa mère est votr e 0 _ . . ont Un bat s{·r s ur S'Ü'nfront sceIJait u,ne pn . ·111 .san ·. · . . . 1Inèr e; seme nt connu. 'Consaoré rparticuliè/ Sa t·able Roimvtrneuseet ses, cba,ud's vêteme 1,péicl1é contre vous, con tie ,un (Pe.Ie s1 b . ·. A )enrs soins conjfi.ez votre barq ue légère, · te 11e·ru"'i·it e iJ'.l.11.s•q111ev,011,s soyez rnon ;père, · ·n t pu cùêf1 ·1e.rm1sere · - et m.a111V-ats rement à ra ppeler l e souve ni r d e• I .'..m·rtH' am.si ,qu run me11Ce· E t sur lem· ten rclre cœur, ineffablement . bon. l'Emeiite de 1vlonthe11,en 1'a n 1790, Un bo11bcu.r tro:IJ complet est de ·court e chi nit-ez.'Uloi d ésomna1s naire . Pen c·.lJez ,e,baique matin, ch aqu e soir, votre 1 1c,récit nous intr,oduit d'abord dam · Et l'â me de i·•,enfant ,eu était sat mée; . front. « la pinte de Josep h F r anc, au coin 1 Il rés.oint •ne fui 'l' le :pays 'des aï:e<i.1 '1C le vère et .le tils,, ~e ten ant pa,r !,a. mam . L'IDR)U'l'T1l DE LA YARD1 DRE . ,fo la rue l'le du Ohâteau et du Bour.:~ Et de pM·ter SPS pas SO'UIS de ·pJ.uslibres cJe ntrent dm1s !a ma ison qne pleurnil 3'0T· -- ~[on père. •rl0'1111ezarnoi. dit-il. mon hérHa 1:ilielin; _ ,m1x Fabre,s ». Ensuite nous assit> tn us à la foire de 'Monthey du 8 Se.11- gt f aites à vos fi'ls. de vos biens le pa ·rta,ge se j ett e. é>pel'iclu . da ,n s les hra<1de sa .meTP. Et lP pau vre v ieiHat\cl, les larmes clan-s l nil1ant q,u-e ·retentit 1·a vo ix de son v1~x t embre 1790 et .plus loin au scpectaclc ~t1_s; [y ·père du 2:ouverneur Schi m1er, ex-médecü1 OOfüSjj~I LS D' HYGLID NE DP son enfan t in,gl'at r éaliR,n -lies. ,vœux. .Te cban tP mn inte n:rnt nunc SC1T1tm. tlun~t 1 à ,Sfon, ,au moment ·OÙ il perd sa :per Le fromage •est un ·a·liment très no·n ~Tisro•us . mes serYitem·s. a,pipor tez à mon fils Ti fais.ait .froiLl <'<' ;,oï.r et :Je ciel était sorub robr->des bea ux jours cle sa première euruaue. Le chap . 4 nou s transporte s:mt. tri.\s ré11::i.ratenr. Il y a des gens qui r n f,a:nce! [nocence; Au to'llnrni1t du sentier . là-ba,s , comme cl, clontent, q.i1i ne vo-ient d·e saJüt que cl'arns l:1 enfin à l'auberge de ]a Oroix-Bla n[l'omb ne veux ŒJlus rien voir en ,lu i que l'in- dnnr1e . mai·s ces ge11s,-, '.à o•nblient on igno che. à Si on . Cette noti<!e historique La ·t{ite d~ ns le Têve et la la 111guesans v •mettez J'a.nneau ,cFŒ· à se·s d.oigts am aigris, w-nt q,ne ,les 'l'obus teia; montag uar .cls <le ,,:, es t illustrée ,p1ar un excellent portrait L'eufn ,n t cl·is.parnis~,a.it11,n e dern ière fois. la. ·bl.a.nrc.he,cb,auss~1Q'e à ses, IP'j.eds to ut S11isc<:ese ;n,O mTiss,ent surtout {le fro m age, et dE, Pie rre -Maur ice Bellet, dit Le ·1 Allègre et sa ns souci snr la terre étr ang' meurtris; qu ·uue ho.nue ,parüe de ·la pop,u latiou ita.lie11 Gros-Bellet, le héros d e Va.I d 'I lli ez, I! court cherCfher d'ortu,ne et f.aire bon 'é·par ez un fes tin à, nul a·ut.J.•esembla ·ble; •ne fa 't c1u ma.ca:i.·onian froma ,e;e la base tle dont le nom est inséparable de l 'échèr e, [le nviez les :1ri1l;;, .le; ,c. :~!11s "· rua twbl,e; son alime1n,tait io,n. 0.n ::t clone rai·sou c1,e f,nit'P. 'l'a u•clis qu"à .J:.i, maison, ,pLongés d'ans la do ites partic1p ,,. tc:ut le 11.-111 ùc· au repas, c u ipée du 8 .seotem bre 1790 qui consnu mo ins une f.ois IJ.lîll' ,io•n r. 'l1,n repas , de pain l0Jreint s t po.u•r un ,s! b,.~11 jo 1:r immolez le vea u Sos vie'l1x et •bons [Parents .cl1é!]) f't rlC' frornngc, et c·est (,gale m.e11t avec ra' · t itue le fond de ce récit. ima'lhem·. gras, [de vle so.n q1i:e llcn~U< }o,1w, cl'nuvt:iers pré.fère:nt rl t' · --t:tjP1mer O'l.l so•rnp0r nv!.'c dn f t·omnge qn'n,P e Bienl ôt ,Ja liber té fait pliace ù. 1J'esd ,avage . ,. mon f ils ,,t.1it n ,on; ,, ujo ur cl'h:ui; J.)leiu ·dPs légumes . Il me so·uy ieri''c. ii. ('e prop os. com\J!e .de ho·nheur ma vie.messe rav ie . .. 1,e cubage des bols. E t 1·a,ffrm1.se f.a1min,eabêtit son ,visage; . rrne. d'ans ma jeunesse . lorsq ue je co111mf"l1 A ce sujet, l 'Aq ·enda du Valais Renco11trant STIil' s,a rourte un brnrupeau e frère aî né ren trait l,e soir même des ,s1 is il H u,cli!'er la mélle c:inr. je me trouY:1'i UH 1!)09 apport,e, dan.s une série de t a pou rceaimx, db1uni:·~; .i'Ol1,ril la cn,m.1)agne dans ·11 1ne ré un ion o~, 1111 Il ,rl,eurn,n.cJ.e iL veiller sur ces vils ianlmamr , f1' utend it , .,111 (Jr'~. ie s,m •1L•s i11,trument b: je,nnc ma1·i .go,uQ·m::tnrlnit .~.afe,JJ1m bleaux, des indica,tion,s ,préc i e use s e (l e ·lrns~t'r .\. tlo-I'luir avec ?nx , en !Plein. air,~s·uT la dm Q.ne veut di r(\ <·P llrni t"! Qnt•l.le est cette pour le me.surnge des boi ,s abattus, icu r cnf ;mt ·mm1ge1' à. pJ,eiues mains un morA rpa1·tage1·erufm Jeu.r igmoble 1pa1J\M"e ; m ·1.siflll' ·: [que? <'Pi.11 1 rl{•froma .ge. de gr uyèrp qu·on ne po·n1·:1it madriers, planches et boi'S rsu r pied. }fais à cbaiqu~ d,e:mande il ess,wye u,n re ' 1_.pou,rquoi r-·--· f'C'~t;11, ce con.Ler L ma,gnif ilui arnw be.r sans exciter s·cs cris . Lf' pèt 'P sf'
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L'Enfantprodigue
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Variétés
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Supplémentau '3V 1 de ,,f &cote"(1909) 0
8 üéso,'.ait dans la pen s'ée que cet aliment était très échauffant et aalait 1"e1n,d ,re l'enfant mal:1.c]e.J.e -dois ayouer , à ma honte , que je pa ,rlageais eette op inio n. Au,;si lie fus -je pas ,vcn s,u,rpt\i,s, ,(1',emteu ,c1're ,œn vieux mé'('ledn , assi~ prüs rl'e moi. d,onner [·aison à l'instinct d,1t 11 wt:t yorace et reco,mma.1HlPl' ù,e ne ~1:1~ l<' tronhlN -clrnu~,son a:raJétit. en disrrnt que cel:1 \":-1lnit , ·POUi' lui 'll,1W ('llÎSSe de ])O'lll<'tet St' tlig·,·rait plu~ fa.cilcment. Je ,su,is aujourrl'hni rlr J'ayi,;, fl,e re vim1.x p:mtic:iea1. Un vieux ,Mé d cr.:il\l. '' Avant de 10,uer 11n aplJ)art ement. UI\I monsieur questionne la couc ierge sur ·les au tres locataires de l'immeuù le. ' - Mon .prem ier, répond celle-ci. est JCCUpé l)a,r nu Jlotairc ; mon second a é té loué p,ar· ,une famiJJ.e anglaise ... Le mo11si·enr, amusé ,pa, ce to:urr de chal'acle: - Et votre tout? - :wa toux'/ Vous êtes bien arimable, répPnd la concierge flattée , mais je n e peux rrns m'en débarrasser . * On fait clevaut Oba,r!ot l'é 1o,ge de son maître rl'école , qu ' OOJlui re,présente comme très fort: - Ce n'est ,pas malin, dit ·le baruhin. il y a 6 ans qu'il est dans la même
ATELIER DERELIURE E Le Noël des Petits D'ENCADREMENTS
qui m.e met ,de marnv ai,se 'hurme'Ur r . Tu t ra. vailles d,epu-is dies semaines po ur que l e11 en11a,nts aient 'll'll jŒfü· joyeux . Et mo i, qu·e leur donne-ra i-je? ,Si je t'entre dans mes h ode tableaux, photographies,portraits, etc. T,ruudis que les deux erufa.nrts j,011alen t ,sm· nora i11es d,e leÇOllls, cela . me ;procrnre.ra jiuste carré cLe n atte limée, J ean contemp lait rle quo i p.aye r le Joyer et a ss·ur er n otre ponsivement sa femme, à dem i-oouu:.bée srur pote poo11 · tro is mois. n ouvrag,e de ·cou<tmre. Il aa trouva it pâ1J'! ··- Oh ! larvieLlle ménagêt,e! s 'ex,clam a-t-e He, pu is ,quel q ues semames, ,presq uie vi,ellUe . iHHas ài ~~; lui Je coU!sait pl-us que de raison, acce,p.ta,nt en forçant .son Tire. Il fül,it rre -tour des pot s tl saindoux. Et ,cl''albor<1 qiue sa is-t n de ce qu' il n ,seulem ent les t r a:vaux cLemaigasrn, mal!! 11Jons,faut po1Ur la popote? Ne suds-je p ais la trav·aJUX .d'O'lbvroh· ,et même les r.accom eu ,isini è're? E t qui me dit qu e bu ,ne ,m,c donùa,ges -que 1ru:iproC1U1 ·a ien,t qu el.ql\lles am is n,m·ais fü<;sez,pour q'l.1e j-e ,l}'ltisse .soul ever u n s intimes, 081' iJ.s t,enai ,en t cachée autant pr•tit extra de .fête? ,ou to ut au moi n.s t"emplfr e poss -ilble lernr misère d'être .s i-ntelligents · successeur de L. Kalbermatteri l e.s ,sOIU 'lie:rs de N i,chette et ce ux d e N iJlJet ? ID ailh e'U1•eUŒ . ~ue du Grarid-Pont Il l' interrom,pi-t cJl'l.m 110.u,r h·13 ritten dri et Le j.eune hoon:me, ruvec un peu die l'insoUr ,(]',nne ca'l,esse. 'Du n 'e n tends r ie n, ·a ux f<omrpnree '.llalruxelle à so,n temrp:êr,ame n t d' artiiites . .. et 8JU~si ipouJ."alDJelle-r Le so1u:rire aux lê C hapelets, scapulaires, s légèrement amères de s,a femme, fit en - Chèli e, -chè11e petite! mm ·mura-t-il , a.vec statues, médailles, et nt cette remarque: ça qne je ne v·oi-s pas , que j e ne sa is, fl)as ... Ou i, .ie mJi.s sonv=t cla,n15les Têv e.s, c•ei!lt Fournitures de bureaux - A Tepr i,ser les vieilles n,a,prpes de d ame gon . tn gagnes p lu!!! que moi il don n er c1es vt·ri.i.. . Et t iens, ce so,ir, j'm·:rive à :peine à f ixer m.a pen:sée . Il me s•em bJ·e que Je vh , O'llS cle p iano; .SeUJle.rne n t, t'll es une peti t e dans u n rin1tre monde, q,ue l es f·r ôleim emts joare; to u s tés g1·os sous tu les -caches fürns y.eux. des sons d·e clo ches m'e n.tou .ren:t _,,, b as e,t OoI1n'en vo it jamairs 1a •OOIUleur. 'J)l]1is q,ue iles larmes oou !,ent aUJtornr d e mo i. :,a:--· Articles de pêche .._ Elle soru.ri t ·c°:° :me il ile .<lésirai t .. P'llis C'r st très ·bête, ce qu e je s,eu s, tr ès bête, <>t . bres en caoutchouc et métal lpta sur ~es doi~ts: u n: deux, tro: 's .... T lm classe . .iP ue -R,'l'lll':a[,s te l'-ex p [iquer . n.s qu atre J'Oll['S, d,1t-elle, Je dénouerH ·1 mo'!l de l,a ,i n.e: Pour l:a . Noël! ]]]!Je ,oe;; Leva. ·écaT t a les enfan ts q ui f a is n ic'llt lt>R yeux s ilenc ieu x d01n.t ils a vaien t j P om· la Noël! .Aih !· vetite folle . va! q ui ,git ,sel!! yenux:.pâlit sa .min e, ,p,icote ses l'lrn.bitind e , et aHa'Dt au f.on d ,de 1~ chambre ig-US.,afin cJ:enOIUSfaire gl'OS•Se ch êTe à ],a. P-lle omrri t le p ia110. I! ,compr H, hœussa les éJYa·u ~es. {l'1in riil· cle l~\i\~tcr~\ cloute ,et de rai! Uerie , p1lis, ·co,mrrne elle in~is ta it cfa1 rega1,d et q-ue l11i-.même b1·t'\l,alt à'n composés ou recueillis par F-0 Wolf org11nistede la cathédrale de Si s et ton marri. p a-s, ·t ' ob l'ons:;· Et s011dain. lrui qu i éta it ,gai tout â. l'heu . dés ir d 'épnnc Q1er son l'lme tou te plei n e des h (Avec au es appr a i s'a~~ombrit. n rhoses bêt.es -diont il pa œlait , il a:lla fle i=!O Les 103 morceaux de ce recueil se répartissent ainsi : N°5 1 à 32, can - Oh ! tu 1bm1idei!!?tu numi n es d,e,s c b ose.s pn s tr aî,n mr <l: à l' ins ,t1,umen t , .s·'a ,s,sit. la'iss,a ,a.n;t les toue1'.1',er ses doigts -sans ,suite, eff ireom ques dédié, à la sainte Vierge, - Nos 33 à 88, cantiques au St-Sacrem~nt 1,~! fit -elle , en . J<ui.efüen r a.ut la joue de cfh es j au'Ilies. tand is que J.a jeune f em me , r eau St-Esprit, - Nos 89 à 97, cantiques spéciaux pour Noël, - N°s 98 a lQpom te. de 80 ~ a 1grmlle. . . . •. . . . - 0~11, ce 11el!!t p as wai ce (Jlte Je ,pe n se. 11re n a it sa p lace au ·ooin de ila cr oisée . ,s e pe n cantique~ <11verspour process10ns, m1ss1ons. .• pE'!lse. ma he lle . qu e j,e 6 u 1s ,1m :bon il rielll. ch n it S'lll' les p .et its pon.1r le s em!braSR!'l' r t Les cantiques à la sainte Vierge et ceux de Noël son~ écr!ts. en gran . .J'ai mal fait a:e !J)t~n dre femme. :m1ll',mn 1rer à Leur ,01reillle: partie pour 1 ou 2 voix, dans un style populaire. Ils sont destmés a etre chant. .Jean, tu en es don c :bien m~cont ent de - Bien !la,ges! Papa traV'a ille . 11s étaient t on.1j,ours bie n s~ges. NiclJ0tix' par les écoles lors des bénédictions et saluts du mois de mai et pour l'arbre de No em~eï . . . . . . Le plus ~rand nombre des morceaux ont été arrnngés pour 3 ou 4 vo - .Ten sm ~ satisfa it . . m~i ,s Je suJ,s m/1- rPpr it sia pO'lbpée. q,u'elle rJ:ésihabiJ!ri pou r 1a • , l f ·1· é ·t t . · l élèves des sé ,tent fle mm-même. qm a1 fondé u ne fa- trP11tième fois. Ninet 11eco,mmenç a son vi ngd'h ommes. G race a eur ac1 1t , 1 s p~uven convenir vour es . . .. l<>sains avoir J'assru:rance d'e ;po1Uvo ir la tième chfi lien,n rle <lar tes. mè ·r e se rem it à RJ\ naires, des collèges et des écoles normales, et surtout pour les Céc1bennes de v ner à bon p01·t. na .ppe. et 1-ni. . . là -ba ,s. . . dan s Ie fo nd' tq ;:1t lage à l'occafion de bénédictions, pro1 essions, missions, etc. . L' ass 'l1ra :nce! .s'écria -t-e11e. Avec ça. q~1· ohs cm·. il ,clionna libre ,c,ours 'a.ux ·ehoses bê tes qn 'il n e S'avait exp .i·ime 1.· en ,par oles,.. . q,ue lfr. est ,11tl r d'll lentdem>ain. D11 pl'l1S riche ques ,a,ccm•ils brisê-s. iuciécis . in,d'lff ér en ts. plu :=;pa:uvre . no·us en so,1m:n1e s au même · s.a,n.s 1-1 1ite; puis. dans ~1ne las si.tur le rlP!s Remise aux instituteurs, sociétés, écoles, suivant h quantité demandée. t. sous re rappont -Iâ.. Et ip11is, t iens . c'est rl'0i~·ts E>t rle n•,e,sprit. ~me mêJ.o,nie lent e. flit i p;enrn. 11.rabor<l d'es fête.s ,. œavoir aes ·.~UéE> . .. un anêt, un acco 11d ,qn ,i -sang lot e . . . I0Il . es comme ça; t u vas t O'l.lS 1m:ms attri,s~er. que l,q~i,es me.su res sere in es de ronso lat ion , La Table des matières du recueil est à disposition ou envoyée gratmteme Q'1.1ev€'llx-tu'I c'·est de pen ,ser aux fête!! 1
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PAPETERIE Charles SCHMID
S 10 N S 10 Objets de piété
Articlespourarpenteurs et dessi etc etc
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l'usagedel'église, desécoleset desfam1es t
L'exemplaire
solidement
cartonné:
· · · .· César GRENAT Depos1ta1re ' s·
1.50
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·:~r::~ ~:~f::b=~a:~! '~\~~u. ~,:
3 pas .décisif sUJr le seu.itl q,ul l"aippelle, d'inten,s e l1rnmière l'éblouit. Q'lli ~~-ce? II rau ,v.re le,s yeu.x ra.piüem eut da!llil un élan vers la vi-e, uine J,oie dooce, les clo,rdle t1~ott-0ir en ·tf~·ce, odn (lh1·el1in,e que je vi,ens de faire là, il lc:mch e ;ne seconde; ~sru ches, qu'il ,en tendaii t toiut à l'heure, les olode.ssus, me l'acc ,ept eirait de mauvais grê u:nc ii rent ree .. u son·, un e v1 rm,e e J-O·U· ches appelantes, le 1·ire f.raiis d'un enfa nt qllli Il<' m'en donnerait pas u11 cent ime. 011~ . ),[a0hi oafo men t . il trav erse la. mi:;. ,/1.r-oute,la som.orité ·plus cha ·nde, J'ai'l·,ain glo, - E t bien -qu'lmport ,e? pour une fol~, •rs Jèn ·,es s'entrnnvent -d·ans un TWe rienx, les vibrati.ons qu:i s'envolen t , e.m,pllis,:11.1.rnist on œuvrc signée de ton nom. tu Je bonM. Les ·beaux jauj,oux! qne de sen t l'atmosphère, s;e dispersent, ,se ,ralentisrais la glotre .. . ilocnr les '})oupées! -que d,e panu r es! que s0nt, dev.iennent vwgnes, l.ointaines, i.u.sa.i- 'l"u. mets la gLoire il bon comp.te . toi! lr fla fü1! Ah! Nic!hett e ! Nichett-e! Pè · si8s:lb1cs, et enfin le chant heurernx: et am- !Dn to·ns cas, cela te mettrait en ·e vo't t,es gran.d ,s yeiux qui b1illent , 1, ple , qui, de la :Poitrine et du cœur doll't il et pl'us tard on t'achète rai t tes œuvres... ·oit Je rose monter ,à tes jo'ltes J)<'llot.tes, il s'échappe, se déploie en grandes oudes moel- Oui. dans d:x ans oo après ma .m ent frétiller to ,n petit corps trop grêle po~n leuses, en la•rg,es phra-ses de béatitude. 1rp,ies bril.len.t, :\Inguet me donnera d·eux oents franc5 de P~ .srpt a·ns pen,si-fs. E.t J.es -toct .Te,ao s'arrête, laii!ISe glisser ses mains sn't· t!'e nte me.sures. et HélèŒle, tu sa is, il t les cheva,n·x en bo.is montt ,an.t les dents, ~es geno,ux, sa tête sur s•a poitrirue. P1eu,re· faut !J.as .gémir et pleu1·er. tn sais, ce s ·<·clressent la. c•rinière! Ah! Ni ne t! Ninet! Pèt-il? Est-il très très heureux? La . cl}am,bre '[)O'll'l'la Noël d.es petits. ." €'ntenrl ton ~·ir·e q.u.i vibre! Et de vos frl· e~t dans ijfl pénomhre. On n'entend: t·ien .,... F.t rleYl?'llant soud'ain enfa ,n.t. dan!! 'll:11 10111sse.s mign,onnes il em;plit ses yeux noy,ês presqu,e rien , - un tout petit pas lég.er qul r·i'.~ de nerfs q'l.1,i le fn,i8ait pr,o,bablem 1e J:cwmes. li tend les br.as. il veut la vl · trottine. ,srmffril'. il bondit i'L '1:ravers la clutml rine tout entière , avec ses 1·ioh esses toutes U ne menotte se pose sur la main de l'arR\;mpn rn cl,e Ja po,npC-e cle N.ichette, la a.l. ,.11ves, p,OQN'vous les a,pporter. En. ce motiste, deux yeux ,profo.n.d·s cherchen t les rin·n rl'nn fort tiraillement. tandis q111?.l a 1ent que h\.i im p-o~·tc q,llie son nom &oit en siens, une voix [)ll'l'e co·mme un cristal irnlrtte pilliss ait sa11s o-Rer '])•rotf'ste r cl',1-1n rte de deux f eui Ue,s volantes, et qu ·autoud" pl-01'e: -rt ;J s'écria: Je ùu i des voix disent: - Encore les cloclhel5, ,papa! - Est-ce une 'Jl~1npé,e, rf' paque t rl-e C'h - Crt homme est célèbre! .Tpan tressaille, plonge son Te·garcl dans fon~? Et ~farlemoise'ie. qu'a vez -vo,n,~ fait I Ce qui J,ui importe ,en ee .moment, c'est 0Pi11ide Ni:net et mu>rmure, 'Pas bieen sorti de 1,npe:1·1·nq •ue? Oette 1•obf' <'St-en0 en ~,ati :u? li<' s·r-s pPtits connaissent les joies de Noë l, ~n rêverie : .n.r•t. ton rheval clc bois n'a ;p1'ns ,cle tê 1 q.ue J.eurs dom:: fr.outs Pn soie'l1'1:a1.rréoJ.és. - Les cloche!!? QueJles cloclles? Alerte . rajcn-ni. so,n Tonle.a-u de papier pré (;o,mment ma-man permet- elle cela? Il fa - C'est vrai, on di·rait les c.loebes qui rlrn rine bcmhomme Nol(] passe J>Rr id! ·'l'll'PIJW ll t Mreint. i.l Ya sou,; la rrnfa,l,e 11a:~scnnent lt Noël! fait Nichette. enhardi ,e p-ar le pntPnrlR. 'J'}etit.e môre? Il fanrlra qrne honho ~ute. Ro11s J,e grésil fou"etM cùn vent, Il va. mot de so.n frère. nw i\To1:Jpas,ie ,par ici! l'eneo ntrr d·es rruan·tiers riches. il va venFlt ,Te.nu sourit: T1PR f'nrnnfa ,souriaient N'a.i'11tivemcnt, !r,e un pn 1 de son i'ime. 1i,n 1),e'l.1de so011cer -- Vous avez rai~ou, bébés: nous aJ)'])elJ.e· sn-"hnnt que -prm,sf\1' d.e ln gaîté -d.u P~ •p,au. 1m .ne11 rle sa :D11itcle ve ilfie ,et d e froid, Les cloches de Noël. rons cette machinette: r1'!1inP P-On.n.r. pns frane. Pt ;mu,s ln~nelle )'e lr sPS e~Î1oirs. de sa, fi erté Ué,giUme, d:e R,on Bt tiens. j':i,i ,me idée. Hélène. i11Rt:rn·I·rl'PnfautR pr~r.0-00~ lPn r f-mt -clevm ,rguf'i! si riber. il va veudr ,e tout cc (]1u'.,I H(~lène l'a devinée, s.on idée, car P1le fait i\I~1'P R01l'J}1.rP. prenrl .fla,rrn ~ ..1~,:i'rle rlïnt irne et d-e préc icnx pot ll" aclleter 1•,11 ,-.,n.111Prtrl'111e. une mone qui rlit: no·n! 't1ne moue fü, révolmn·n ~ ln tfitc rle son ·m.aM et mQ1i· .mnr e : rnie µonpé-e il Nichette et 1m cheva l de bois tf', il ln fin. ~ Tu :h~ rais.on. va! mou , ami! ce 8<' Nin et. .Jean écl-atè de riTe: ))<'lll' ln Noël des petits. Va travailler! je 1 Qnn.n,cl il rentre au loiris . deux heure s - Ah! l'orgueilleus·e! elle vouclrnit tout rl0,,.hn·hille. il est tar cl. lus twrd , .Tean trouve Hélèue n,ss'se 'fllllJll'èS pou:r elte ! et La gloire et l'arge nt! Il 1·e-t()ll1l'llP il son · 1Jia.uo, il .griffo.~ne. · · <'S conC'llet t es end.ormi ·es. S'l.11··la ipointe d0s - Et bien oui. va! je suis la sse d-e te voir n·ndre lt cet imbécile de ,Mngu,rt. tan ,t Cf' g-riff.onnP. · · · ,et SC'\lJ le fmicl QJUil J.e . Sl ierlR il ,;''lw:mcl<' . <>tt-out h"e,mpé. tout roid i. J)l'<'n:l l'arrache il son trav ,all 1J{)1Urle Jet o11t jo ·~·e nx, il s·e lai ,sse tom,ber aux pl·eds de CJ•llf' tm fais de beau-. rie vr~i. tout ·Ce qui est n 1! lit. 1 jeun e femme . et p,ose sur ses gen.oux clC'l1x toi. et j.e su.is écœurée de le voi-r s'a-flfu1b1er Le lendcmûn, il vn. mal vêtu , sous le g ent s francs: la Noël des ,petits. rie tf's p1 nmes. et je suis révoltée cl'enten.dre Nnlacés. pendant qu,e1'ques mi.nutes i•ls .,;il q11~ crn ·q11e. Il va. et :'l meimre que <1Ï1'Pn nton a· de naus: fl'nirl ,lC'>pénHre. ,~,n. ,Zilîtt'• fn,rtic e l'aiba nd!o outem.plent Je so.mmeil des enfants, ctm som - Ce )fugnl't! quel talent! qu 'il est fin! llP; il s·nfi'f.Olll!br it, il p•ense à cc q,ue ce ser 1ei1 p le in d;e Têves enchantéis, d•ef!l rêv,e-s fle nn'il se11t et compflen d! q,u.el artiste! qu,an<1 clonx. Ullle f.o-i,s.cTejO'lliT cle so n ta.lent. d:'ê 'oël peut-être, c,ar ainx üoins d'es lèV'l'es sem~·pst toi qui <>s·tl'a11-teur ·de tO'utes ses œn-vres. n<•r'mué. npp.réciô tont 111nmoLns. d'avoir '.ables de11,x fo,s,sette,5 jum elles SICcre usent , rle tontes 0elles qui font parl er <ie J.ni, et perrl'rnit de revC'lldique r S.9 chose, d'être qu ouc es cornme des nid s. 11wt.tent de pass ,<>r l'épo -11~<' SUT les antres, rin·un . en un mot. ·e,t 110!0·P1118,s,c,nJf'ment E t J,ean se clit. en ,s-ongea 111til l"a'll.niversals·nr S<'S P,o.dornmntes inventions! n~tit mnître cle ·musique in conlllu. il ,peine ' e p ro<Yhede l'·En.fant-Di!eiu. q,ue tous 1es pe - Alqon'.5. alJ.ons! dit Jean. le ton d't1r. N•pté . jamais üomp,·is . its enfants qui naJ'.5:serrt ,sont des r.êd·emp pr"'l'l' rae!her ~on inti'ille s0<11!franc~: ce n'e~t Rt oomme il pa,sse .dcvnait une mais e,urs, qn'Ps a c,00,mp,1isse .nt 11ne mis,s,io;n saLn<llH' jn8ti0e; il 'Dl(' paie sllns lês.mer ':t. 1! dans les cœurs qui les aiment; q,ue des r:'i:•rlHion. une folle envi<' J,e prend rl 'entr p,a i~ !'ncore l'ê<i1teur riui met en ,pu,bllc1te clf' m 0< n1rnr son manusc1.·it. d·e rl'ire: Tu le sais bien ~on ... mon . .. notre œ111vr<>. - 0',est moi qui ai fn it ceJ.a. par <>xpêrien('e. Hélè'll<'. ~i je m'en ann ls moiIl s'ari,ête, il piétine sur pla ce. il v.a fai même chez un éditeur, porter la petite ma-
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1inan<l u JD jet
plus égoïstes ils font jaillir u nie flamme lle bon té ; q11e des })lus origueiH emx et des p l•us clurs, ils ,font, ne ,serait -ce qu e p O'l\lr 'llill temps , rle-s cœ n.rs cle :père.
----··------La mission de saint Nicolas Ced se .pa,ss ait à une époque iudiéte.rminée . De sa sphère idiéale, le Seigueur, penché mp J.ai t l'.arff,lig,e ant ,s,pectas nr la te11r e, -cOillltc cl•! que .l111ioffr.ai ent le s hommes -. li souph•ait: - Oh 1 'dans tout •cet ,m1·ivers , se trou,ve-ti' 1m se~l 1cœur pu r, sim,I>ùe e t aiimllJn,t, q,ui 1;<>soit 1Poi:nt soui1lê pait·,le pê:cb ê d'av a.t·ic -e ou ll~ {:on voiUse? S\Ltl.res sant à sa,int Nicola ·s, qui est, com me chaC'un 1-e s•ait, •un dies UiPôtres qu'il en· l"O'. ·e k plus s.01.uvent.en dé 1)utation: - Va . saint Nico.Jas, et vnisses -tu m'en rn·pporter l'inesti ,m;ii!Jle hom ,mage. Sfün t Nico :Jas coiffé d e s,a lillître, am1(1 de ;;a cross e. se l a'is;sa ohoir üo•n ce me.nt de la Vt,û te cle 1umièlre. Da·ns son voyage aérien , il se •disait, .perplexe: - Où d<iriger mes .recherche s?. . . Vers les .i<'nues ou les vieu x, les ri ühes ou les :pa11''l'c~? 11 songeait nu <'Or tège d:"innOIIIl'bra-b 1es f:i iblesses attachées ù <'E'Sd;iverscs eatégor ie,•. Sonclaiu iI se trom ·a da os une piaille trt:s rn•stl': clie la .rnai,n . il to110hait à la p01rte 'd'u11e pa<ti:v·re ,m as ur e. na'VJ'ant refiuge ile mi~i:·n'. bât ie à IJll@.mele so,l Pt reroct1,,erœ eu -cl1irn11l'<'. 1,1 s'en •füit,o,u,rn,a ave c tristes -se, et sC' h-()111 :va v,is-à-vis d'un sup er be châ tea u féoda.l dressant hm 1t daŒls les ai11s s•es t ou r~ <.;1sénP 1ées. Un pa[·c immen!!e où le claim s'é· batta it e11 liberté . s'éte.nd·a ,it devant la fa · çn'.fle au.x -cinquante-deux fenêtres; une grl'l·!e é'cv,ée , -eo11r onmée de piq ,ues, entourait l a ·d<'me111· .e seignem1ia •le. - On ·a bell!u jeu à être gén ,én.·e1]X~n un0 am,s~i 1lixum 1se deme,u r e .. Je n ' irai pas .plns loin trnter l'eyrc 11ve or..-l0Dné0 par mon Soo· yernin Uai'tr<'. Un sO'U.ffle fl'a ir lé .xer envelOII}p·a le s:iint. <>til .ne reida ,plu s v·est i,ge rui ,de la cros s e nii cl<'·1:i ,mih·e . Seul. un ·vierJlarœ ,à :bambe bla·nc,he et à l'as pect vénérab le s,e tromv-a it dey a nt In lum·rl•e p-o·rte p.rotég ·ée de ehaîn es._ Il éhranl a l•a doche qrui retentit bruy.a ,mment. Le ,maître, le puissant châtela.in Gérard qui chemina it lentement en cl e Kernadec. une allée booicl~e de magn-ifiques espaliers, 1
5 vieHle - - et son. SO'llrlre il'a,yonn alt dams eon plia'llt SOll6 JeuTS trults 8'\l,penbes, 11@01'1Ç t1t le pâle visage - it a fait un gL'lliildvoyage, cet vlellla-rd. . homme . .. il est très fatigu~ . No us ... ŒIOIUS D'u:oe voix ·br ève et ,j,ro,pérativ.e d1!llls la· q•uelle Jes trois siêeles die -OWDIIl'll:lldementd,e n'avons pas 'b<JUgé de notre feu •.. SI. .. el tu vO'ulads, nous irio n~ C()ll}Oherdans le greses ·aïeux sem'blalen,t pa sser ~O'.lDIIIle un tonni er ù foin . .. il y fait très 'bO'Il,et on pournerre, iJ ol'I"ia: _ La ment1idti6 est in.te1\di te da ns c·e rait lu i donner Je l it? pays; passe ton chemin, IIDOn,twa,v,e. Le pèi-e J-0se.p,h la rega:rdla, comme éme1·- •Mon seigneur! j'ai fait ,un ~001gvoyage. veil1é. J'implore d,e votre charité U!ll a,bri <por1.11r l,a - Tu as eu oouaorurs 'bea.ucoup ,d/e&prit ... nT!it. J ,a.mais eet te idêe ne me sera it venue, et - Mes chambres sont h rubltées, -mes éc u- l)O'll·rtant clle est fa,meuse, tOill id'êe, oui, elle ries regorgent, et IIDOinciheruil est lllll' cOill{Plet. est fa 1meu11e! Adresse -toi aüJeurs. ,Sa i'll't Nicolas 1es laissa fa.ire et ren'<lit Le .Saint -baissa la tête SO'll.S l'i:nS'lllte qu' lJOm.mage à Dieu. il ne daiign.a ~a ,s releva- et t ourna ses pas ttt ve!'I, l'humble petite c.ha·ulIDière. · Le lendemadn , ,de !bonne heu,re, comme - Autre ten tati ve, se disait-il. l'a;pôtre •N!fPl',emait !!.Ol!l ,bft.txxn ,de !l}èl~n, Je Il frafPI)a à Ja port,e êtroite et ba.sse. vieux co11plf' vint Jiud sorubaiter UIIl heu:reux Tout de suiite, ·un b1•uit de ipa,s·retentit, et, terme •à son voyage. clans l'enca .àrement de la po1,te ,q'll.Ï s'ouvrit Alors, sa taille c011rt•lle se redr es!WI.et 'lO'utc graUJd'e,un. doux v'isage de vJeille ifeml'1i11réole d:c sa inteté CO'lll'omnason -frO'll,t: Illl' aip,parut , S'O'Uria ,nt sous, ses ·bandeaux --' En 1·em.el'ciem'ent die v.otre ·h<>S1P itaUt ê, blancs ·: j e réa'liserai œs vœ ,ux: que v-O'UB .formttlerez: - ,Entrez , entrez; qu,i q'lle vorus soyez, jeunesse, ·beauté, riehesses sont à vous. Par vous êtes le :bien.V'enru. .Jez. ·- Diem vorus bênisse! ,ma ;bonne dame! Mais ce 00111Pl·e, runique aru 1ID ondie, secou :i . . . ,l',aj f a it 'l1ll lolllg voyag,e et je S'llJs 'bris~ la f êtt>. et d'nn commun aooord: de fatigue. - Nous somlIDes aiti terme de notre c.ar- Youl'! tombez bien, la talble est mise , et ri è re. Pourq1t1o·il a re commenicer? .. . Cc que le moo u. ;io11~·êtr e t rès frugal, ri'en sera pas nou s sou.ha.itons, c'est de conN'IIJller notre moi11s p1rnfagê de 1bon oœur. , sur ]'au .tre, - Oui . . . orui , ,bi,en StlT. al))IJ) uya, un ivieH- <:im1)le vJoe, nous a,I)p'l]yR'Il,tl'1t1D la,rd ·assis aru roin Ide la vaste ,cheminée oQ jll'squ"à ·ce qu/il pla ise à Dieu de nous ra!()• peler à ,Jud. sur q,ue}ques men œ ,fa,gots , ,a;oheva,nt de se Sa int Ni<'ola s pos a avec respect ses ,mains COJJSunner,C'Uisait tO'llt d'outcement une ;pœuq1t1a ,si divines sur les ,têtes in.clinêe9. Sa pen \Te SOUIJ'l'e de paysans. Et pend~nt ,que Ja brave 'Vieille, que 1a ~:ée s'éleva it vers Je Orêateur. - Que ces vœ:mx: tout de tendresse e t de bon ne voJ.onrtê remldait presq,ue a'le.rte metdési11té1-csseme n.t o.nontent vers 'VOIUs, ô mon t:i,it un,e troi sième as siette et cherchait dans f'è rc! le ·brnffet •un e booteille de ;pi,quette du pays P uis il les ·bênit et s'él-0i,gna. q11c. t o~1t il ·l'heure. on boiradt en 'l 'ho nneur ,S,enlemen.t , il avait rtouchê '(]ru, d-oigt Je d t' l'h ôte inatt end u , le Sad.nt s'entretenai t seuil de la ·porte , et la miséra'bJ'e' dhaumiè1,e :iyec le vieux. s'é tadt tra nsfomn~e en uille conforta:bLe peAh! les ·bons cœ urs simp:Jes et .naïfs comN te ma iso n blancll e et l)J·o.prette assise dans me dies cœ ur s d'en!fants . P rès de quatrevin,gt années avaient ,Passé sans rêm!sir à 1 un "Ye.rger lux i::·i:rnt. fa h·,e lever en ,oes âtmes ipri1IDjtives le molntt:t rlrf' levai11 de colère ou de désir!! illicites! Or, ce mati. n-là, ,Ie puis,sant seign eur Gê· Rec-0un11issa,n,ts dn.1 peu qu /qJs gag naient rard d'e Kemadec "Ven a,nt sur veiller Je repas ii tresser e.nico1,c ·()'llelque s l])Ulllie.rs·,ils· V'i- de s a •meute, e ru t êt re le jouet <l'un :rêve en vitlen.t ,e n :p,aix et adora ient Dieu qui lNl voyan t la Pim!Pante rpetite bâUsse ,paisib lela ;ssa it l'·u,n à, l'a 11tre. ment installée à l'elllq)lacememt mê me oil s'ê· Avec bêatit ud'e, le Saint ê<:onta!t. levait le C'hairupignon 1IDoâsiqui , en qualitê CO'l11mele .pauvre r<epas êta.it ·tenm in~ et de v-0isin, offu,s-quait ch·aquie jom· ses yeux qu e ,tous ,trois se levaient , sain t Nicolais sai a ristocratiq ue !'l. sit ce dfa logue: - Qu'est-ce que cel,a? Com men t cette - Ecoo<to, ,mon vieux! disait la douce maison J,à a,t -ene .P'>U&&éen une ŒIUit,ain si
<Jll·une f!e,ur, sous 1me plru,le ~e prin_be'Ill:Pl!I; ra is ... la baronn,e a,ussi l'es,pê.ral t ... e.n!lm . . . nous -00,miptions que 'VOUSvm1dr iez bien fait éclate r so11 bour ,geon et s ,épa.no·uit? Qu favoriser ,cer tains vœux que ... 1)'11 aill e p resteme nt q1u éri;r des n ou vel:les et Le Saiut. q'lli souriait dans sa barbe d'orqu'on me les app11te. gf'Jlt, inter .romrpi1: Un va.let rléJJêché en hâte anu'On~a l"éton- Des vœ uiX! Oh ! ,Mon sieu[· le bororu, uimt événemen t: run 11:tuvre vieillard avait iôc1amê J'hoSl!)italit é dans l' humble cbau m~~. croyez-voru:s que l'état de votre cœur vo11s 1x•1'.m ctte d'en faire qui vous soient -véritare: sauJs dioiute, c'éta it ,quelque ihôte d'essenblemen t favorrubles? ce· surnatm:oll(;. car, en ,retoul' , il a:vait la issé Le baron eurt: oo sursaiut de jo ie: cc clû'Il m<ira~u i~ux. A'b ! cher pèt>e! ~sayez ... Le baron GfraT, 1 se s ouvint de l a requête - QuJC votre désh· soit donc exaucê: Jcs df' la ,·eille et du hr111taiu refu s qu'il avait t r-0,is pr e1IDlcrs -vœn,x que v-01 1s cx,pri.merez 01,po~. sero11t a,ccom;p'is. U u e ru el 11.'eg'L"et le mordit aiu cœur. Le ba1·on rem ercia avec f'ffus ion. Oepe.nIl alla conter à son éip,(mse Géraldine. dant sa superbe r en.a.iss'ait déjà .. . N'ava it-Il Les femmes sont parfoi,s ·conse il'.ères de pas obte DIUce qu' il vo ula it? resso ur ce. ttt - Hâtez-vous, ,baron, et OOUTeZ :8Jl)rès ee Il f it to'twner ·bride à so.n,cheval, ,le fi dèle \ (•11 (,ralble y;r·illa:i'lt De l'âg e dont -vous le nn rk. et l'é-per()ll)na. Il ava it h1lte d'être de d{>pe}gnez, vorus J.e ra ttr ape1•ez sans peine et le pr i<.>rezde sêjo•urne.r en Œ1otredC'meur e. l'P-to\11· l't 1:lf' combi11er. tête à. tête ave o la Le châtela.in f.it sel ler son meilleur C'heva:l baronne Géralcliue, le plan qui il'eihaus•ser a·it knr fo1't une •et leur p11issance d·'un nouveau et se la nçai 'brid~ a.batt:ue à la ,poursu,i,te de cet hôte e.xt raord ;i•nah·e, si malencon t reu sel ustre. La rOIUltes'ét enda Jt d evan t lrui à l[)erte de ment êconduJt. vue. uuirforme et sans omb re . De plus , il ~alnt Ni-00la1s, qui aV'a,it , lorsq11'il le j~1.avait faim , il a.vait soif et iJ ~tai,t fatigut. f;<'a't 'bon, le pas fort aJlongé. é ta i,t déjà . . . Dark, de même, avait soif, faim et êtait loln. Ce .ne flu,t qu'après trois heu;rcs die gafatigué. Il a'Vait fournâ l\llile ,fort lo ng UJCcourle baro111Gér1wd par ,v int lop d'és·orrlonnê q11.1e s1;. !:>"1 1 po l,trail était b:runc d'êoo,mc et à ses il le rejoindre . flœn,cs. 1·uisselM1ts de sueUJr, :perlaient des li ra:bor,da ·a'Yec hmniHté. g-011lelettes de sang amenées par l'éperon; - O m-0n père, oru,bliez un IID-Omeut de l)llll trot se faisait inégaJ, e t les scco~1sse11 maillva ise hu meu[ ', dép loré t ôt après. Proou ·en épro1wait son cavalier devena ,ient fe ssez le pardo n cl'e ,l'offe nse et re"Venez avec moi a·u ,ehâ.teau ; vous collllblerez de joie la 1~resqu.~ in tol'érab les. L'-h'l'IIIlleur du !baron baronne Géraldin e et vot r e humbl e serv d- tvur1111.ita·11som bre; il ne se ,conten.:üt ;plus et <'Xhala,it à voix b aruite son .mécontentete ur! ment qui. natu,rellement , s,e manifestait ,coo- Misère des hooxunes! pensa~t sain,t Nlt rf' la baro1we Gérn'dine. i'Dsitigat rice de cetcola,s. Vo ici cl'onic ce seigneuœ, profes11eiu:rde 1(' p~nib! c dê.marche . . d<mj-01n.féoda"l à to1Urs crêlnelés, descendant - Les femmes sont 1n.smtiables ... Elles cl<'s anciens preux , à ,pla t ventre deva nt l~ faveurs qu'il espère soutirer à son t<ro,r 'Cie ne ,se contentent jamais de ce qu 'elles ont. . . . Il leur fau,t to'l1jou,rs d1ava1Jtage. . . Et ma 1·econnaissiance! ·Petite ,m,ai,son blancihe, r;u is il est t rès fa cile de se mootrer enitr eque de clbemin tu an.,a·a,sfait fa ire à ton !I. . tr • t..l 1,:-enant C'D faisant agir les ait1 es ... "'""· l u,sh-e vo isin ! lui ~onbaite r11is cle se trouver assise sur je Tout ,hruut, dl d,it: ('c·tte s,elle a vec ce daimn,ê tro t SR.-O cadêl - Mon âme n 'a poin t de r aillcune, M'onTant à C<Jlll!P , le -cheval ,ha ,rasSlê, 'buta; un seign~ur. et se sent toruc.hêede oo l'Ctour à 1a ,, ,. ,;rs pirds re>pliês SO'US }ni vint heurt& rourtoisie. La démarche qu~ vorus fa ites aulourde m ent une pierre aig uë •q'l1i ·éta.it s'l.lr près d.c .moi ,m'es t sens i1 b]e, m:a.iis... mou temp s est très limttê, et je ne ,puis a·etour ' " che m in. RclcYé cl' une ma in vigour,eu.se, le <pa1uv r e ner en al"rière. a-tl n~rk se mit i-\ boiœr dJoiul()IUreuS'ement.;. Le •baron Gêra.rd, insista. PC'llt-être 1l sa ;:-<·nou -gauche a,p,par aissa it uue ;petite plaie propre a,v,iditê s e jo ignait -il rune sou:rcle craûn1·00de sa.!gn runt a.bon.damment . te ,de l'a,cooell q•u'd,l trouvera it mutprèl!Ide la Le 'b8l·-0n de Kernooec était hors de h1i: b11:rO'Ilne,à s()IDretoru,r 11JUehAtea u1. - M-0n m~Hl.elJlrcheval co•urooillll!. . . Ah! - 0 '0Slt ,que, mon excellen,t ,pêre, j '·espé-
(j
que n'est-il ,plu,tût ,mort! Comme il a-cbevruit ces mots, la belle et Ya.iiJautfi l.>ête manqua à la fois des q11atl'c pi-eds et. eouchéc sur le flanc, t ourua ver,~" " maîtr e, IJ'lli se relevait péuil)lern ent, ses gTtt111J.s P'IIX d?·ux, voilés dé'.j;} de J'ombre ,1_,.la ,mort. Puis . .Jai.ssant n,tomber s·J t·te tme, mart1uée a,n f.ro:nt d'mi,e (>toile bl • _e · Dark mou 1,ut. · anche, Le baron -t ·t t , , e ai a· terr e. Les pa ro les du ~ail1t s ~. ·, ::cpresentaieut il so n esprit av ~mgulic re netteté: ec n 11~
elle passe ,_po·ur lui lnai_perçu,e J,oln de la te 7 re _'· c_'Je a Cel))end a?t ét é vis ibl e à J'œ il no r. l>•n,tl,t,nt quelq,ues Jo1m·s et l'ou peut l · . Y"l' f"II - • . a SU,J. 1··, · .·coie avec une si.mple j'Ulmelle. Maiij Quénisse t, et à l'o,bse,rvatoi 1•e de Meudon, Le C'yaJ1ogène est uni gaz déiétêre . Le voi nuit s s~out _froides e t nou s avons ·bie-n au. par )I. Rabo'lld iu. Anrès ~1Ius de cletix h = 1 . siun6\! c1·u11e co:mète ù gaz r·yanogène ne se L,e <'ho/le n fo n·e q't1e de . "' ·, ~, . nous e>1w bume r po~w 1<'~et rlemie de r,ose les 1ilaqill~S ont ré vé'é ra it ,]Jilfi il .,011-lt:1.ite.r . N'ou s pou .nions êtr.c t . . •rl1sloc . ·a t io: · ns ·' int-éri · e nrf'-s · .cii··t r_p1•otr , , une nébnlos · ,ité tta ns l' espace. LI!~ .c·r.·s gra u d 1oses i 'lJ.Ye~-Otf 't{,,~ lhll ' 'lltl ,? 111:1 1...: ,~f' ~;:-t~,'l·ll-"(' tO X:· iq n .{• ·~" iond.o,mes ont , ai1 co,niraJre, toutes les rai- ' On sait clflpuis lon.otemps et M r,,.1. yc y dr p J,11sienrn .millio1.1:-1.clc kilomètre s C'Ll ,beR. " 0.,JJ.S " • qn e ·,., •· inat '· . ·e se inréoo ~· , · CJll1Pc1· cl 1e eet astre origi u nl 1a ("On saoré phrn d',u,n mémo_ i1•~ ·ie'1 C t; 1Scntil· nn <:>J'i1.1üu m,) nde ·sm· ln quelle 1wns P t 1 1 nO·llS 'l'.[)_p •t t "' "• ' "" · '' . ' ai ien , ue notre côté, d 'eo r•' <'0;01.(lta.i 1,e est repo1]sséc 1rnr le soleil q,ui n e c•C>mpti,o ns pas. Mais la oomète s'en va · lllPn l<il. t 1onn,L·1·J.e ·rrassa ' '"'"e amx €'1ltva·ons du so- , r 11a~se :e.s ,qnenes e_n arl'ièn• lJffil·c'tant la :mn :rPc nous Iai,:se1·a. tranq·ni!lrs . N' import P, no'l.1~ . . ("llf' clf' J nstre. l\fa•1s. ·c'est blien la ip1·emière ' .- Ete~-vons en étart de formuler des iso1nnw, c11 f:1ce rlf' p.hénr,mèn!"~ bie11 b izarli ,;'agit clc la comète (1898 --c), découverte fois que n ous sacfüi,o:ns qu e la m::itiè r e co'œux qni vo11s soient salutaires? l'rs rlont lP RCP.1'"'- non:R é 0hHJJ,pera encol'e e Jcr 8eipt~mbre clerni~r par )f. Morehoruse, n;Hit:t·,e intéricitll'e a été bo,ulcversée à CC' !o.n."f:f\llll)~. IDt il ùaissaJt hl tête. Apr ès 11,n.dem i,er ·1·c- l_ H. de P ARYILLEl g-ar,d il son fa · 1 · J< '.'.ne étiud rn,o,t de l'observa ,toh1e Ye11bes, il point. C'est 'U!ll r1ésordr,e ineX'prima 1 b ~ e . )f ,.,,'ll hé " t :vor1, ·e CO!IIJ)a-guon de ses cheii _i.fümtus Hay (Etats-Un is), et à (Peu prê:s eo B igou:rdla :n , die l'obse Tva,to i,re d·e. Paris. cli· .., . •l" t e.~ •, l'a·v,ers bois , il s''le 01gna . le pas DJ~·mc tem1ps par M. BorIJell,y . de l'observa, W SRn . le 0œu r oipipa·ess.é. sa :t le R octobl'e: ,, Quel ,c hang e-me.nt clan s toi_rc •(](! .)fa ,1s, ,eille. Cette comète a tout de J,1 11ui.t dJU 30 septembre: la queue, estim .ée :th s·\11,te at_tir~ 1'1t1tPntio,n pnr sa dés in volture il 20', le Lendemain avaiot dispar tw . >> La p1hon0 rctol!lr a:u e,hiltemu., il nwnta di.r edet·atacté 11iRb,qu,e. Elle -était ~H~u visi'b le, de 9 8 to,gra ,p,h·ie n. r ect ifié ûette obs ,e,rva t iou f::iil.c meut aux appm'temeut11 de l!l 'ba1·cH111e· . n f:rnt, l'hiver , comme ti.n toute s a i,so n , e n' 'êtaü pJus g,uère vi.z1·,~~·~<!1u; q,ninze .iowrs après. elle était de il 1a J,nue tte. Da que111 r~n<~tmc 'éprn nvait .le besoi n rl<é•R'é.p,anc;h~\~ soig u er ],es animm 1x. Tm1.s, les lrn,b itnnts de 1 Jru ~~~'. pa~sa ra~)iclemeo.t à la se ,ptimne , à s ib' . : füins l' insti•ume:nt , mais elle n'ava it pas '~'.1 . /IJJ.l 'J!110 ,cbant d u houd ,oir. il ,perçn,t des ex: la fprmc wnt f;lur p ied Jlo,m · -eela de puis - cinq !.t s1xiem~., ~ atlJ)rochaillt it la foi s ct,u Soleil rint 1eJ11:~ ment cJi.~,parn pou r l'œ il ,photog-raphit_.amat1ons de co111 1To1ux attC'ig·na .nt a,u . . he nrcs rl'H .ma.t in , et l)0'\11' p e-u qu'ill y ai t un e )) sme. 1)11.l'o- ..t clr la Ierre. E lle est resit:é,e de sixièmo qt,,c>.Sm.· !es ·photograp hies de Me ucli0,11 . ro,m1n r c,eHes rle j uvi~,y. Jes tl'a11S'fo11matio11s · CiIHJ1lllfl'nt a i,ne de bêtes. je VOU:S a ,SRlll'e qu' il ;:;Ta nrl('u~·· a'ors (J.'ll e l'on prévoynit prym· Plll' me ;;; .<S ' _Viv,e'.u<'~Lt . il o.unit la pol'te et rcs •ta ,c']OQJ ,é il ~' a de q1wl s 'o c,cnper. P rui·mi elles, n en t1r:~ cJ~3tnrées p'us bt•illante.s. Elle ,prngres. 8e rk cette camète kal 1éïclosco,pe ont été rema r, i_u le s,e111' pai· l'l'>frange 6'.[Wdade qui vint P8t une qui ~s t partic ulièrement cho yée; c'est 1 rps v1tr . ~ne offre une t,ête a ss· e z ùe ll e sa,n, <J:trn , b J.es ,cl , e raipidité. Il y ::ivait des changic~ fta :p·pe r ses re,garcls ahu1·i~. l'ênorm e « hœbillé rle soi,e » . comme ou dit. r·o11rJ,r,~sa!10ll et ll'lle longue (J.'llC"Uequi a at- 111PI1ts.<J'lien re 'e<Tl hell['e c]ran,s ,]es rayons fü·~ .. .Ln hnr oime cl<' Kernadec é tait rjnsta.]]ér. Jp bon g1·-0s co chon l]·ll'i tou,c he au te rme de h•int .nm1~1·il 17°. c'est-il-dire trente-quatre r1ue ues et des aigrettes. ~m. ,mie sf' llf' en fout semhl ·able à C·Pll,e ul R·a JJ1it11h1rens,e ex iste n ce ,f't qui ne \'e rra p,as fot'< la _ lni-ge<tu · nppa 'ren t e de lit IAl!lle. Elle a F}n od01hr f ', la {lJ1.1 1 e ue . teUc qu'on la vo ;:_tait d P1JJP.l11l'é 'C' sinr Je cfo~ dQ1•P8'l11·r P Da;.k . la ~oël. r ar cfa-ns t (Jlnte;; 11'0;, mnisons ruTnpa,,f da,ns J.c>prolorngement des éto •i.les g-am- :rn '.t rlR11s les C>'liren:ves avaiit enoco11e10', ce ,'·t· IJ~1,. -"ttr lit ,l'(JU1e v.n~o10i.lléc. et 1111 fu le.s la. cotrt,u.me est clJe le t uer quelq11es jours mn et de11a fl,u, Oy,gnC': Ir 2,5 0,ctrybre. ellt' qn1 .reipré~c nte p,h 1s rle 43 million~ ,1e k llo 11€'\1~ IJlO'ln-0ment d,c va-rt -v iP,nt étnit i.mp ria va.ut c·ette fête, a n,x joi es .cle 1aqueine il apNnit roisine üe gamma de Ja LyrC'; Je 7 no- ml'tres . ,et le no,:varn ,me,mr ait {'nv ir.on 10 mirn1> a ln ,pa11vrP :t.nrn .zone. port e nn sa voureux a,ppoint. Le sal ,olr l' a t1c SC' frryuvait près d' eps i~on de n,n,tP,s d'arc. soit ,e·1wiron 460.000 ki lomètre~ Y('mhrr . f"l Se c11<>yant le jOQ1et ,d'une ha ! 'awhrn tiou tf·i1tl, où il doi t constitup\· J,a :prnvision ff11l'A;gl1•. C't le 1er rlp,cru1bre , elle a tINlssé au •l l' c1:amètr 1f' . Jp unalhe111reu~ ,baron restai t su,ffoqué. 'l'ont 11'11f' l'.e. et p.our q,u'il .soi.t meilleiur , on le ga~nrl -ûuP~t dP lambda de !'Aigle; depuls loo rs Qne ,co,nc lrnre de ces g i,gantcsq u es pe rbnrà ro 11QJ , ·son I mp ru uen " t 1'0ullrnit J,nj apparut ve . ru ee~ derniers Jo~l1'S,,cl'evérita;b les fl'i ,an r:1P ·lenrl il rl·C'S<·P 11Ctrc ve rs l''horizon . E lle ,1.Jations qui se passent soit1s ~ws y,e-ux, de ecs <'Villme_ •tracé en lettres clc ,fon; << Ah 1 ·e tJô~Ps: heUeravt's é p.lnchées, ipomme.s P'as trop o uYeme11ts im,uueus ,es an s,ein ll'a:st.res qu e ,.-.rn a,11 ·pfr ihé lie Je 25 rll'lce.rnibre. Elle ;;'6· 1111 t,wd1·a18 qrue ce fOt· e lJe qm . se t·ro:uvftt · ~·ur J 1:m1r1":es , farin e rnél angt5,P ,en fort<' propor 'oi~nC' <lP nom; tkpui,s le 15 ort01br,e. .nous conua issOl!ls encore &i peu? L es c-OJIDê • une sel!0 pareille à celJ.e-ci. >> t io11 a,n son de sa ·pfttée on li,n n.il'e. e tc .. etc. '.rou.t ccc•i n·a rie n q ui p u isse nous fra p , ~.,,, 111,1 _1 a . r n iss~ n t c omme d,cs aimas gazPux en Et le tr(J,isiième vœn de rnrttre pied .' Ln: ,·,e J.::iis,s,e •fü1 .ke . inrnoce nt et béat. sans se 1ier. ~f.ais voi'Ci où ,oom1men.oe r ,iu,té rêt . .r,us- ffl' o]Q1tton, ;;m1van t des w u tes déi i,ni es Llaus d tene à la ba r oQJnc. rl nntC'r rltl t ra.giqn .e lendema in . 'l'li°au 30 sevtembre, pdite comète bou : .,., .. eoi !'• : spa ee, mais qrneHe ,peut bien êt re leur 01,11 Saint .Nkolas était remonté rl,no!" sa céAn.ssi. c' est p,le i·n rlie ,co nfiance qlw. le ma ~e suivant son itinéraire f\, peu ,près, h ·an· _gme ? Quelle é'nigme! L'ana1yse s,p,ectralc lPste p,atri('. t in f.atnl al'l'ivf . il vo it q,u·on Yient le ciherq11,illP1nent. 'l'o , u tefoi~. rlim irnt:ticm d'éclat ra- n o·us a l)ermis dêj~1. cùe re c neil1:.r un r ens e i. Il avait l'f'udu C(1mptc dC' sa mission e-t c liPI' C't ·suit celu i qui ouvre s·a porbe. es.p1\· pitle; pui~. a,près m innH , pr ,emicr CO'll!Pde .e:~rnmcnl bi-en_ ·biimne. Les ·comètes sont en 1 E~eJ"ueJ _coutorruplait. é,mou et attendr/ la mut (JnCl:,que gîiterie n·o,uvelle . T-0u-t le monrl,p théfitre: la q, u ,(~ u ,e se r=,pt e.t hL ,partie rom gf> ,nfa'HI , c oustituét'S :i3air llt e s gaz. ,pa.t· rlcs hy ,JJPt1te uia,1so·n bla,ncfue qui a hri tîtH les deux P~t là , 1''011 matti,c, ]a patl· ,oillne. les serv ,an·pue ~(' cH.ffnse a•n J.oin. Nous voilà au. 1er oc, droca rlJnres, des m 1llia .rcls de mf'tres cubes cœnrs .purs simrplps et aimœnts1. tc>S, lr·R vatets cl'e ferm e . les enfants. J.e< tol>l'P, Awt.re c oup die t h.é.c'ltre. Est- ce encore tl"hycl,rogène ,et ct e car;to,oe. Or , la comète )fax RE,ROUL. r,l,iP,ns ans i,i ·b ien i>n1'enù u ('t jus,qu'a ·u petit la ,111('me comè te '/ Tout est bransfoTmé. Dt' :\'.forehouse-B~r~,ell:i:' offr irait Pnco1·e r,u_r cr h,•!'ë(N. N tout le mo.nd:e Je 11egarde. I! d,resse J:1 tN0 e1t forme de ùa.rrl s'élancent 'Cieux jet~ ·po mt uni~ or1g 1'Ilahté. D':apri's les ,pre,m1èreR lt•s ni·t•il~c-s. il l?lvi<' un musean1 méfian t . éca1'rec-tiHgnes. ,a,u .(lelà cl esq'llels, l'anden n e q'llelit• o.hRei'vn.tions l'l])e_ct rosco:p1.c111PS,les ga v. co'usrinil 10 Re,.<; ye<u.x m inn,sr uks . ·s'effar ant ,u u ~r· ditïfuse ,de to u tes parts. 11 Y a '€ln cœnme t1lt~·n.n.t~ ue se:rn 1,e nt pas ,cl-es 11:ycJ •rocm,buJ'C'S. 1w11. <>a.rPll toutas J,es mai ·nis ,sont .des instru u.uc révoh1tion intérieure. L'a.s,tre &'est tout m:11s h1Pu 11n au tre co,m1posé bien conm1 de m r,ntR inqn it'.>tantf; ,qn' L! n'a Jamais vns et iL fait modifié. L'e.neu.r est imposs ible pal' - t(IUS. le cyanogf'JlC . gav. for:mé cl'nzot<' d clc []ont il ne con ,n :aît ·pa,s l'·us age. Voucl 1·ait-o n Il existe en ce moment 8/rn ,ciel une corarho,11.e._ Il il ,. r;•u. reste, d,é~,~ ·été ,tro,u vé s nr ce qne J,ei, rp,ha.ses de ces trans1fo:rma tions mète toillt à fatit extraordùna,ia·,e. lu i fair-e cl~1 mal aprf's l'a-vo ir torujot1rs si ont été saisies 'Pa'!' la photogra(Phie à l'oblpi, co;13ete s. L anll'ée ,d ,e1"!1!e.t'<e, rlnoiis la coh'en trn it t5? N olll, il nie po11:t lr cra:n cl'r c ; ceLe ,1rnlblic nie s'en o,ccuipe guère pai ·ce q u' se rvatoir e Flrumrmarion die Jiuvtlsy (Pal' M ll!ète r ,P.mpel. lVIM. D esllmclil'es. Bei ,nar .d et p enclnnt. il y a li\ un é t,rn ngPr. 11,11 lbomme ' · · Bosle r ont Tenocm tr -é les raie,:, .cnrn0téris lirri1es d,u cyanogène. Huggin s t1·0Q1:va a11s·sl q·uïl 't1'::ijn'ill 'i'ÜS'nperçu . .qui n nn hnrut tablirr le premier le cyanogène s·nr sa bl,otrne et ti ent ·u u objet nong et bril· dans .la cornèLe clr lalllt. Qiu'es t-ce q•ulil peut bI,en 1,u,, vonloln 1881.
·r.··
1
Panvrescochons1
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La comèteMorehonse
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23 Janvier 1909
28° année
8
L'inoon,nru est debo,u,t ·am;près d''lln êpa is lit n '.est guère d'allllll.ée oil oœtte horrhble scêne <le pn1!Je étalé a'U milileru de la oou.r, et ,p,aratt .ne se p,a.sse une fois ou deux. Il s n 'ont paa ï ntt <·nclre. Tout cela ne lui dit 'l'ieu qui vai!. là -bas l es n•erf s t,rop sensi bl es,, et quaoo lia le, et il pou .s,.q e qQ1,eJqu 1es groig.nements in sero nt le Œ en dema in at ta blés a,u tJoluirdu OOUqn1et,s. din fuimilUJ,t e.t de 1a ,gr ilLad~ doirée, Ils ne se Jf,ai;; il n'a p a-s ne temp s de t·eculer, tml't somcie,r o,nt guère des !SQllllffra,nceseffroJ'.a,bles le monde s.,e pr éciiplt e et J'entoll're , -deux g,ar s qu'il~ O'llt fa it ,subir ~u :13alth~ re_u~ q~ 1 leur vi,gonr enx lrui saisis.sent <'h acm,n, une j amrbe donne ,cette j,oie cu,lma1'11e.Ams1 J•adis, les p on r le <'OI U.Ch e-t· ·St1r ln .p11ille oil il'! le ma. 0 • trneurs d'oU!rs &.1 t emps des ,cave rn es.··· tieI!'nent malgré s-es cri.s époruvanta ,bl:es; )Lais -est-il bi en l!IÜJl',qrue nOills sommes s~l oin !',homm e au t a·bli er s'approche, se bn.1-sse e t d'eux? CUNLSSET-CARNO · 1 h1,i ploug,e daŒls le oomc~t in,str ument brillant, loIIJg <'001tea't 1 .de bou c,ber , d-O'llt tout à l'h eure il is'êpl)trv,a,ntait d'instinct Sa,DJS en df"vmer ll''emploi. Quell e horreur! Les CI.·ia de la ,p,a,uvre ,b ête redowbleut, elle se seoo~rn <lans un s u.p1'êm-e effort. m11,is c'est en 'V'ain, DU 2000 A L'HElURE. c:ia· ,eHe est solidlement ~enue et LSOID sa'IJg conLe ,\ ilongs ! lots. La mé na gèr e ,l,e reçoit 'l'out · 1e monde le sait: l 'aérop lane est dan ,s u.ne p~!,e Il. f1rire long em manch ée. le •l',rup;pareil de transport qui est dt:stlnê à POU· 1 ve1se il mesuTe dim s 11'11 AA>mu oil 1'a se r V'ant e v oir 1·éaliser les plus giran.des vitesses. Jusle renrn ie pour qu'il ne ,ote forme pa .s de caflqu' ici, ·il es t vrai, il n' ·a pas !dé.p·ass~ les lot.s, quj u11hiaient ·à ln qru,alité dfn boudiu . à l'heiure, mais il ne faut p as oru.bher qu 11 J.es cris s'aif faib Ji,ssent , bie'Iltôt ce ne sont v ient IPOIUl' a insi dire d'être créé et que ·lea 11h1s q,ue del!! rliJles: en co1·e qu elque s so-ubrePl'ffill!ers C'hem,ins de fe r ne marchalem t pas snnts et l'œ il s'é tei nt , et c'ieAt ti,n~! b e111 ucou.p plus vite qu'un,e bon n,e ~ba ise de poste, et ne fa .isaien t que du 2~. Il n '~ pas Alo 1·s on r,ecomvre le cM·ps d'e patnle et fall u un d~mi-siêcle pour leusr faire atteindre l'on y met le feu. '.)}Ourbr t\ler les ,soles a.fin ,leur .maxmum, qui pa.rar t être 130 kilomê cl'a voil · Qlll be-a11 C-Oûhon, b iien .p·ropre. Une ti-e.s à l'h eu re . orl,e,nr /lcre de IX>ussi -vou,s prend. à la gorge. Mai;:;... mais ... q1u '~t ·ceci? On dirait q,ue C'es t po u1,quOli l•l est pe rmis de cr01ire que, le <'Rcl'llv,re a rem.né. Posi t iv€'memt le s brindille temps et les pe rfectio.nn emen ts a hlant, 011 lr!': Pn.f!.'l•m1mée'I!! !S'•agit ent. vac llJ,e.nt. s'ouan,ivera à imp.ri1meir ruux oisea ux méca,nlVl'en t . Pt la ·m i,séra1ble ·bête. ma1J1,q 11ée-par ques, dégag-és de tmit es les grossières. attal'ex (!.cut,m 1r q,ui n'est pa s n111pro f.essionruel, ches terrestres, ne tro uv amt à !€!Ur vitess e qu' •une seu'e limite, J.a résistance de l'a ir et mai.'! nn voisi n <'O :mplaisnnt. e-st so rti e. S·O'll' S la mo-rsure de-s fJamm, es. de J'-évanoni sse moe-n t la ,puissance dm mote11ir, quaSJi lnd êt'inle, des d éfpla,ce,ments de bolides. M. Archde a con qnP la. pertr de son si11 ,n,g ·nv11it ·cnus~. Ln ca,lcu le que d'ici trente O'll quarante ans on voi<-i dPb out . a Ve,() Mllr Je <los 1m foiyer incan. dPSC'l'llt. :ll'rivel'I\ couramment à t'a ir,e d.'u 150, 200, nt elle , Il. l'éo!)on'Van- 250 kilomètres. Or , la sêcm1·itê en aérop lane • Ellie fon ce rl'rolt d-eV'l! e;;t prêcisêJID.enlt en raison <te la vitesse a tr clPs ns,sist•alflts; to ut le mo'llde crie. 1es tei n te. La s8lllle difficulté à s,u i,monter ipoull' <'hiens aboient de to~1tes leu'l'S forces. les en<le lourdes maohines vol•a.ntes, c'est le dépa rt f11nt,ci se ca chent. reshommes sa isisse nt des et surt o11t l'atterrissage , mal s on peut, sem,fnn r ('he s. des pieux, n 'imp orte q uoi , et se ble-t-il, donn er crêdit wu.x 1n:gêll'ieurs po;ur .1~tt eu t éleva.nt le fugitif q11i n. '!}ris le chem in lei:: résœ1dre. tlfls i:c11riP.-!I et va mettre le feQt par tout. Mals M. Elsnarult-P aJter ie, l'dnventeur dl\J mon o lf's forcf's l'ahan.donne nt ava nt d'y arr iver, 1 ;p.lim et Ù!U moteur à e lnq cylindres, a 6m is il s'nn·êff'. sP~ 11:1ttP1, fJ.êC'hissent et il se r ê0emme nt l'oipiŒ1,ion q,u'on fera1t cert aineMn ·rhe POQ1rn e pl.us se relever cette fols. II 7 ment un jour . en a'érOiI>la111ie , du 2000 à l'he'U· 11°) n rlo'Dc q,u'il rep1·en<'ld-e l'op ératio n ol'I re! A cette v it e·sse on effecruera lt ~e toor d1JJ Pl'e pn Ha it resMe. M'ais quellle alerte! mon,de en 20 heu res! Et, à SUJP'P()serqru-eresJilt n.P croyez pas que ,j'in ven te. Oela me pa·ce hmi-t eneswe soit rempli d'a ir, o n ipar"" r:i ~se pas tou.i,om-_,;atn sl. be"t1 re u sement: v iend,ra lt à fa . lu n e en mOtins de 8 jO'Urs. Ah ! <'PflPnn:rnt l'a ventu r e n 'est pas !lJ\lSSI ra-re no s nl'L'iêre-pe tit s-neve u x vei,ro nt encore de rrn 'elle <lf'VTait l'ê tre. Ou t'ait trop souv ent be1les choses. J'{ironom ie du « -salgne-nr cliu vlllagie », et Il
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. b'ien penser, bien sentir et bien rendre Bien écrire, c'est tout à Ja f ois, ce que l'on pense et ce que I on sent.