SION. 1r, Juin -
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beurre .tre·s f rats . et c 1 1le . a pprécautlOn de J·eter e a mieux encore s·1 on prend par-dessua r
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tes sur s~ns~~tr de pétrole. ~~::s;, le meilleur moyen re laine et l'on goutqui devient Contre les P us propre qu'avec d'a tot!e ner fortemen maux de dents on . u ras hqmdes. gencive. On t ravec le doigt la partf~nsellle de frictiondouleur que cela de la service à bien ;- l ce procédé este nerf.et que la Lal·t F . es gens. e caca tl rendra • aue b ·11· e le conserver out tr le lait est au d lait sa saveu et de_ _l'empêcher f.:~t-_être u~ moyen fun ott cl un autre 'il ôte latt dans une ' u. en étant plus ft . qut na aud un linge mouil bien bouché: r . Çn enferme 1 on entoure server deux et lt Amsl préparé 1 1 peut se conleurs. m me trois jours, dan: Nettoy es grandes cha-
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foit !"opération une 11 es traces du liquid r~ncer à grande eau e ectuee, on Pour f& e tntroduit. pour enlever der de le un bon vin chaud (Sc. prat.)
l!" ca•;e chauffer, comme ~ela Il faut ~ien se gard~e r~ a~t
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souvent; donne même lfeu lui enlève tout brahque le plus amertume. Vereez 4 ouquet, et lui dans une tbéiè res d'eau avec en porcelaine et fait:serres. d? vin pur peu près) et aut n peu de cannelle (de 1 :oullhr 4 vercrer 8 verres de sucre que vous l gr.. à 1 gr. à bouillante sur d ordinaires Vers emploterez à suez. ensuite l'eau 1e vm froid et se;vez aussttôt.
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L'ECOLE YlUIAll\E ORGANE DE LA.
SOCIÉTÉ VALAISANNE D'ÉDUCATION Conseils à un jeune Instituteur Pour lui indiquer ce qu'il doit fair< pour que les di-
verses relations soient aussi bonnes que possible. (Fin}
La "nité nous rend encore capable d'une autre !ante: elle nous rend jalon< de nos collègues. Nous ne sommes pas leurs juges, et pourtant nous les jugeons. ·s'ih obtiennent une laveur, nous ne voulons pas qu'ih l'aient méritée, et nous accusons encore nos supérieurs d'injustice et de par· tialité. Nous nous déclarons parfaits, meilleurs que des gens que nous ne connaissons pas, et nous proc\amon' bien bant, que nous savons mieux la vérité que ceux qui pourtant nous voient tous. Si l'on nous accusait d'agir ainsi a l'é· gard de quelqu'un de nos élèves, nous bondirions sous l'injure; mais notre vanité est si forte que nous n'hésitons pas à attribuer aux autres ce dont nous ne permettons pas qu'on nous soupçonne. Nos supérieurs nous mésestiment alors, et ils ont raison. A partir de ce moment, nos rapports avec eux cessent d'être bons, el c'est nous qui sommes justement victimes de la faute que nous avons
commise. Beaucoup d'instituteurs compromettent encore leur position d' une autre façon; ils veulent être habiles, être forts, comme on dit aujourd'hui, ils manquent de sincérité; ils cachent la vérité, oubliant que la duplicité et la ftatterie n'ont qu'un temps. Ils étudient leurs supérieurs pour découvrir le cOté faible par lequel ils sont le plus accessibles, afin d'exploiter leur dèoonverte au profil de leurs intèrêts par· ticuliers. Ils s'a1ilissent bien inutilement. Leur habileté ne tarde pas à leur nuire, et ils s'aperçoivent trop tard qu'ils ont perdu pour jamais une confiance qu'ils avaient usurpée.