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16 .Mars1920
TOUT MUSIQUE
ce qui a rapport ou concerne
la
LES
INSTRUMENTS
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en tous genres
ET
HARMONIUMS
PIANOS
droits et à qnene
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TRES GRANDCHOIXET POUR TOUTESLES BOURSES L'Ecole primaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la couverture y comprise, et autant de supplé· ments de 8-lfi pages pendant l'année ordinaire (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).
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à Lausanne,Veveyet Neuchâtel LIBRAIRIE THEATRALE
Prix spéciaux pour Instituteurs, Pensionnats et Prof. de Musique.
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Par an: Suisse fr. 3.50, Union postale fr. 4. Les abonnements se règlent par chèque postal IIe 56 ou à. ce défaut contre remboursement. Annonces : 20 cent. la ligne sur toute la largeur Tout c:e qui conc:erne la publlc:ation doit être adreH~ directement è& son gér.xnt et fondateur, M. P. PIQNAT, Sec:rétalre au Département de l'Inatruetlon publlque, è& .Sion.
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Sommaire de cettelivra1s ·oP
,mations simultanées e( pressaintes du dicasfê. re des fünances et de la banque cantonale ,Le .oru,oifixviv.ant.- Lia V.:l!lieur mo- celille-ci fais,ant ri'o:lliice die «fourrier ~ - le hon publ,ique a-t-11 rn1le de l'~parig,ne.- .Aiuxjeunes (.P.air- Dépau:rtemen.t de l Inistn .K"J dû songe'!' à modifier, dm s le sens d'une n.o· tie p,I1alo~que). - B/i1li~etde l'instituteur . balblle siiml])lifica1 ion, le mode actuel du pate· V.ef1S l'avieniir. - Ua lutte contre l' akoo. men[ des mensuallités. Le personn el ense1Msme ,piar i''édQlte.- lJa gymamstique gniain. t a donc é!é aJV• isé, par circU!l'aire spécia· 1s,co:Ilake . - Slav,oir bien oornmiand'er. ile du 28 féwier .dernier, que désormais les V\1~iété . allilocaelionsde tous les maîf.res et maîires ses d 'écoUed'uae même cour~muneou localité, au [1darts indiv,iduels coo1heu, de ,pa,1w·mir rpa~·111a Sommaire du Supplément N°3 me au début, deuiranrirveraien,!par I entremise Lia dëvo~i101I1au S\aoré Cœur de Jé- d'tlill des iu téressés le mieux placé pour en er la remise atUx béoéficiaires, au pllus ,s,uis (1fte,tt,r,e ,paisitio.ro lte de S. O. Mg,r clfoo'u tartl fuisiq, u1au dinmndhe stti1va,nt la réception 1Bieler,évêque die S\ioni).- L'honneur du mmi'aut global. ,et l'alflg,ent.- Ma sœUtr,mfeux vaut ne Toute réolamaiion reila1'ivea,ux traitemems JPassiavioi r. - L'hiv1er et ·I:epdntemp,~. et don! i'I y auiltl'itIrieude tenir compte dans Je - Mioidè!lre d'hiivier.- Trroi1smauwus bortl.Greau suiva111t,dew,a être adiresiséeau Dépall''emeni ju,s,qu ·au 15 de chaque 1110is'.A ce •procéJdlés d''édiuioaiiion. - Variétés. dé!ia1Urt, c'e s,t le 1b.u~lefo1 initial qui fera r~Ze. Pou ,r le dennier mois du aours scola~re, une d!é.roga•timi sensib 1!e dervra toutefois être Sommaire de la couverture admise à ce '110ded·e procéder , cela eu éga:rd Plar,t de l'Etat a,uxtraitements. - Se- au fa'it qu'un cerfalÎn nollllbll"ede bénéficia.ires élan! a!J)rès les cla,sses rentrés chez eux, ne c00Jjarû 1at de l'lnsirruot.io,n, prubO .ique. IJ?OU/flront plus être règjlés au siège de l'école Aufüu,r de Sœur Hélène. - Société 1pu·,op~-e.men, t di t, La mernmafüé finale ne po11r1 d'ims:tJtunr iœs. - E,choiSdes aonféren- ra d'aiJ,lieu Fs ê.tre ve·rsée q,u'aiprès l'envoi des cies (idlll di-sil!ridtd'Bh'UI1ellJlo ,nt) .. - ,Oo,~ - raJPip, ort s d 'ins1peotio11 , ceux-ai devant être at· rerences d'instituteurs. - Av1s du dé· renidwspoul!" permefüe, comme jusqu'ici, l'éfia. bfü,semen!, 11011seulement du bulletin des 110• pôt s,coila,ire.- Fête de S. J10,s,eph.Jé11ité'es, ma,is enmre de l'extrait de com1pLes hiviers doux. - Viariétés. - An- les 111 1e te!! que foumi jusqu'ici, rlaœJSlequel figulfe• no,nœs. rn éventue'l,l.eme1 nt la cobisation à la cais&e de re~rait-e aims1ia.ue llalbonnemenità la revue pé· da,g,ogique. c ·ê,st dire que la déduclioo h ef• Partde l'Etataux traitements teotueT . le s·era s1ur la mensual,ité fÏ!} 1aŒe A l'ooœsio11 de lia récente entrée en vil e Secrétar iat du DépalI'i!ementayaa1t pour gl.lleur de la nouvelle loi &ur les ti,aiiements •Î·11,s,i,r,udi on et co111s.igme de règiler le soitdiedé· primaire , 1,> e xpé11ien du person ne:· ense,igtntaJn·t biteurr· a1Près seuleirrieut q~~ les condi_ti_o ~1 s. <'Ï' ce faiite a perunis de co11sta~erque son alJ)IJY ,1de'o. su,s aur 0111téilé rnmJPhes, les héneJ•1c1a1res caüon eut.traîne un su1roroit considêrab1e de seron't irJtéress·és à {,a,ire tou1tce qui dépen:i !raivad1 et de frais. Et 011le co1m1JX€l1dr a sans d'eux po,wr acoolérer le règlement intégra·! de )P€i.nel'orsqu .e no•Ul s a uirons r~~!é q.ue l'e!· leur ~flaiiemwt. foct,if d:es ins:tituteu11set des mstitutn ce,s en · ··-~---adi viié dans le,s écoles puib1nques vafaisannes .s'élève à en1v1Î'ron 700. Un beau batail:1011, Secr étariatde l'instruction uub11que n'esr!-iIpas vrni ! Mais c'est le règlement menPa:r su,ite de la démission de M. Franz suel de !~ « s,o/lfde », eo exéc111no11. de ·l'art. ~' fofüof comme searétai.re à l'lnstruoLio,n purqui imjpose, par 11awo;ntà ce qui se pratiquai t 1:iique', d€1!)uis1913 (nommé Oaissier mU111i· jusqu 'ici, tune lourde angmentafiom de h_eSo· ci1pa:l de Sion), sa su·cces.siona été dévolue à œ des reclag:ne el de f,ra-is. Au,ss,i, en (PréseI1J M. Jos. Pancha,rd de Bramois, q,ui occupa-it, 1
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ni avant sa nomination ici, .~n~ pl1ace de secréf ·re au Dé{Paiitementm1hta.1re. Le nourveau ,J;ula.i.re sera d 'a,ufant '!1°,ins.dépaysé dans ie ·,poste que vioo.t de lut a~s1g,ner le. Conse~l \i'Eia,t qui'i,l est homme d~cole, ayant _pra:hqué tempoll"ai-remen,t l'ense1ginemen!.prt~tma t 1re de so111b.revet d ms I u. eu:r aiprès 1•ooiteirrlio11 (1906). :M. Imhof, son pr&Mcesseur, J.aisse du res. ,te Je SOU,'Venfr d'un fonctionnaire à la ~auteur de sa tâdhe et qui ~ite la . recoon:u~ die l'Etat pour les bons serv1œs qu tl lw a rend111s.Nos inei,I,Jeun,svoeux l'accompagnent dans ile nowve,1emploi qu 'i1li a!Va.it~vant~e _à !Préférer parce que sensii1!Jlementmi.eux rétr',1·
Autour de Rév.SœurHélène
Nos insfüutrices a,ctueilles,presque toutes ip,réjpairéesà le!lJI'nOlbl:ecarrière sous l'excel• :le111f.e di~cirion de Sœwr Héilène, lu:i conser· ,vent, 0/11 ne 1'ignore point, le mei:llle:ursoUJVeni.r. LetN". s témoignages de reconnaissance e1 d'a!Hfection,qui se sont d!éjà tra.dlllits et conti11uent à se maoifes,ter de taio.t de manièŒ'es, ~ouive111tque ses anciennes êlèves lui gaJrdenA à iu•!>lletitre un profonid att31ah~~nt. Les 1et tres si pJeines de douces remimscenœs que reçoit fuiéquem1nentdans s,a noUJVellle charge la dkectrice du Pensionnat et Ecole ména• gère de s,te-;M.uiieà O.rsonnen,s ~Firibou:rg) Œ'aJWeili lemt aJV'CCémotion tornt le bien qu eille a fuii,t en V~lai-spendant les 17 années de sa hué. , d t tRresq~en même temps où 1aute\lif ~ ce féconde a,ctlvité au milieu de nous. enflrefüet regirettait le déipa.nt d·oo colilègue Sœwr Hélène qui ivJent d'être v,isitée par syi~ique et sailu.a:itPainr.ivée du coHa?olliagrirni,e dont ~lie ,se remet arvec;peine.et qui ra,teur aŒJŒl<ellé à Je rerlljJ)la·œr,il jp0uva1t sa1s1r n'a oondiamnéetemporoliirementà un reipos ab· foccasioo de r~ler, de son côté, que 1;a solu a été ifmlP!J)ée e11core tout dernièrement daœ du 9 tna!l's évoque celle de wn entree dan.~ ses plus dhères alffeatio1J1Js . EIŒea eu en au senvice de l"f..tait comme secrétaire die effet le oha,gu,iinde perdre, le 7 fév11ierdel' 1'Itnstructioo puloJ.ique, d00it l'inouhl>ia:bleM , nier, en Mille Emma Ruedin (décédée à Neu· Heur,i Bioley (t eu 1913) ét-:it .cl~rs !e dhe!. ·dhâttel ;i. l'âge de 82 ans) une tante devenue C esitdionc bien ·JA44e alllflee qui vient . de une secoode et tendre mère pollŒ"ses nom• s'otwrir po!M"1u,i,comme pour 'Vérifier , d 'une bretlX neveux et nièces qui devaient se _troofaçon plaii9lllllte,'le moit d'un de res cheîs (M , ver orphefüus de bonne helllil'e.Bn eXipnmant Chawaz, égalleitnentdécédé) qui, p~1t1J.an~ ~e 11100 respedweuise•s, quoique ta.r~ives cond~~ son seoretaire dans oo cercle dlanus, disa,1t Jéanœs, à Sœuir H~lê11e,à l'oce,a,s, 1on du d~1111 que ,M. p . PIONAT FAIT PAiRTIE DU .M'O- éprowvé par sa fami!Ce,nous serons cen,ta1!lleBIJLLBRDU DBPARJ1E.M'ENT. Ill y a 20 ans mrn,t l'Jonter{Plrète fidèle de toultes nos bonnes déjà .que oo1~ :pairoi!ehumorisiti:que ~tait pro· ,martres,ses .d'école qui rue sauraient manquer noncée et celui qui en fu,t l'obJet fait encore de s'as,sooier à œ doulouirewc événement paaparolie du ,MOBI.IiIER tMais ju,squ'à quand? follf.ramded'UJ11e pil'ière pour le reipos de l'â· C'es1 Je .secret de Dieu . .Pendiainrt: ce temps il me de la kès regu-ettée~1e. , P· ne cra.i111t pas des em>:iewcdu titre que L'uiWU,1 -'."> - do1yen des e1111Ployés de l'E· soru m,oie111neté: ta:t. AiPIJ)ellé, ,selon .tourteapparence, à t~ine~ Sociétéd'institutrices le sa ou,rière au 1POOteq;uiïLoccu,pe dCŒ>U'D.S Voici l'e trésullfat du plébis.cite organisé 9 mairs 1877 il ne • déména,gera > sans doute ipar ile Dépair!errumtc.ie1'lnstructioo pu,oltque qwe fo,rsiq,ue'l'âge ou la saulé, pernt-être Jes de:ux à la fois, tŒ-aihi ,sSl3Jtltses forces et pa!l"a- au1Près du ,pet'soonel ,ensei,g:na.~t féminin pour !,u1idemander s'i:l serait de l'lllVlsde consfüu~ tysant so111adtiiiV ,ité, le décideroot à ,prendre une société spéciale d'éducation ayarut son CO· sa reiraite 1IJ!brem e111tou forc:émen~ . Au sur· mitié cen~rnl· pail' lequel elile "Se tien!diraiiiten pllus i,I powr.ra, bien entein.diu,•ar,ri,ver j.usqu!a· contact avec fa ,société simi:laiire foodëe par lors que if!a dï,vine Pr01vfa.Iieinœ, {!III. ses myslé· M!M. 1es Jnsfüu.teU111s: rieux e,t ,profonds desseins, awra pu mettre fin 182 questionnaires 011tété ]a111C'és, dlont 158 à ,son pèlleri.nagie!erresitire, puisqu'il n'es,t pa:s sont rentrés. Ont ,répondu OUI 135 - NON de ·vieux « mobilier », ftlt-i1lde chêne, qui ne 23. Dans une demi-douzaine de bwlleitiinsseu· doive se remlJ)lace,run jom. 11.e~nt ,0111se p,rooooce dans «e!Sensd'une tu- (!~ s,ion arvec raSociété d~s inistiturteuf\s.La très gt'.airtdema1jorité,slalflfürnre ainsi netteme,n.t pour
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croyances et les traditions que 111otts:resp,ec. tons? Il serait dil!ioile d'en citer. Ne perdo ensui·ie pas de vue que ce manuel rues·adress e wniqueme111 .t à n.os enfants vailaisans. I 1pa,s 1 est awel~ à ser;v!Îrà Lag,rani:l'efami'lle roman, de et les instituteU111s carvholiques trouveron -0facilemen.t da,rus.ses ,l~çoITT ,s matière à élever ,le c,œur :de· 1]''enfa11,tà >lou,salO,intsde vue. Le Ecbosdes Conférences iP'lus long,s discou,rs ne somt d'ailleurs pas Ie nISTRICT D'ENTRoM'ONT meillieurs et tl'e.nseiginemient.occasionnel, mi C'es1 pa:r une Cllairematinée de février que bon 1 Uot, l 'exerniple du maître produirnn les 111st,i iuJ'.euL!',sd ' Entremon l, empres,sés de mei~'.eu ,r effet que ,les ,pllu,s]on,gu.esthéories . se réuu ir en co,n~érence annuei;Je, accourent elle émane piroQuant à la 2m.e objjeC1tio11, bourg du Châble. nombreux dam, l'hos,pitc1Jlier croyant sa baJ~emmt ci"u11esprit sUUJé-rieUJr TŒ'èspeu d'arbsents .à excuse,r, le ;personnel ·J11léltlh~de nase,wlebonne. On ,s'es,t j us.qu'à pré· ensei,gnaut féminin même est presque aUJcom- sent ,fro1paliiroidhé au müll à mQl t ; 0111a délaiS8é pllet. le seins. L'e.nfarit a ,{11qp llfAprisde règ:les qu'i La séance s'ouJVireà 9 h. 30 par 1laprière na jia1ma.is com(Prises. ()11 a tro,p ou:blié qu d'UJsaige.P11J r des paroJes qui voul au cœu.r, , ae but de l'école primaire n'était pas d:e ver, ,M. l'ln sipeclew Qallïr0il1souha:ite Ja bienvenue » ser da,n,s la tête die fe,nfant des connaissa'll· à tous les memibres ad ifs !Présents, aux memr » ces toutes faites, ma,i,sde le •rendre ca.pal)le bres h•ono,r,a iTes, commissi0il1sscolaire~, atuo. » de s'en former dre bonirnes.» Si donc l'eor ités œ1mmU1Dales dorut la :présence rehaus,se falll f so,rt de l'école ,primaire , le cœu,r f~ na tire ,réunion. H eirwoie un souven.i.r ému à l'i,nte,!tlige,nce diéiveloippée , le ibu1 t e,n sera at, notre ancien et dlêvoUiéIn~pecteutr MeiHand, teint. C'est ce à Quoi a visé ,le noU1veauma• q.ui ~leSit tant déperusé pour 'le dévelO/Ppement .nu~l pair s:es 110 ,nÎlbreux exercices d.'aru>licade 1'édd!e 1Prima \i,re et auquell les insfüuteurs tiou1, de vocalbuJlai·reet de comiposition. d',Bnttr'emoo.tgardeall le IPLus aJfedll!eux ,aitta- qu',i,1 sera mieux co_rnpris et mieux employé dhement. L'asseimlbléese lève errswle, en signe il n'est pas d0iu1teux que l'écoJe 1prlmaire f,er de deuil, à ·liamiémoire d'un aut,re anciein Irus· un grand ipas da111s1I'e(lseigTiemen! rationn e X. de Copecteuir d,u tliisitriiot,M. ,le Cha111oine .du [rança:s. .cart1r1ix, 'dioot la m0I1t im1Pitoyalbtle ,ven:aitil y a Bn l!lne leço111pra:füque qui il1.U1stretrè quell1q11.1es ·semaines seu/~me.nt, de faucher bien sa disse11!iaitioo , M. ile Di.rede1.lirachèv ôJ.èXl i,sten.œ, vouée t-0ut entière au prOgll'ès de de cooviaincre ,ses auditewrs, car 11omhr l'insrirrluictio 111 1 ipiulbliquedans notre canton. d insti(UJteurnyeLnu.spou,r comiba.ttre la nou Après les opéra1ions rpréfüniniaires, nou,9 velle grammai,re décfü.:rent1loyalemmt vouloi p'CO · abordons La ,pa.r.tieprincipale de 111ot<re (ourtà fait s'y rallilieir. gramme du j,oUll":« EMPLOI DU NOUVEAU Aiprès fo. discussion des aukes tiradanidas MA:NUBL DE LANGUE FRANÇAISE A l'a•ssemb'·ée se rend ,à Jlihà'el du Oiétroz ot L'EOOIJE PRIMAIRE. • les a1itend oo e:x;œJ 1lent dî,ner ag,rémenlé d 1M. He.eh, le dis:t,i,ngué directeur de not,re ,prol:l1Uofioq1,s o,ratoires e1 de chants. Mais, écolle normale, aipŒ'èsnou,s ,avoir parllë du, rôhfi!a,s! !1heuire du dé.part ayant somné on le qu'il a rempil.i dans la commissiion inte,r· de co,11dialespoig,nées de mains, de éoha1ruf!e ca11J'ona1e,chargée de réd.iger le no,\.weaiu S-Ot!h'aits de bo,n retou,r et ipar girouipesjoyeu manuel, réfute ,les deux graindes Q1b,jectioms les r'ége,n,!se,nilr e,mQ1n, tai111 !.s ren (reut dans leurs qu1a soulevées l'aipparHion1du COURS DE foyell'.senclhia111tés de cette lirnatu.euse journée LANGUE FRANÇAISE: 1. Il est a~hée; 2. n ·a LE SnORETAIRE: H. R,ausis. jn!;t. ,pas de méthode. · --n•La première od,jection tombe d'eili!e-intêma à !".examende tout esprit sérieux et imparConférences d'instituteurs tial. Le nom de Dieu figuire en e{1fêlà diffé rentes reprises en des pasS1age.soù ,il a,urai1 Elrles 11'0111~ pia,s encore eu lieu JY.l.ll'ltou l ipainra ifoment pu être rem1p'aœ. Tmu:verait-0111 ij)OU•r ce cou,rn soofüire. Mais nou·s aipprenons qu 'elne. s von1•têtre tenues avec le n,iême ordre ens,uite u111e iph,m,sedir,igée cootre rios chères ia CousiituA-ioo d'une Société pédagugique spéciaile, ind~ndiain!e dès ,loirs de celle des institUJte\Jif,s. u~,somt.in aya,n! iparllé, nous ne ,tarderons ,sans doute [Pas à entrer dans la pé· ri ode de la réah sat i0i11 . 1ptl'aroiq ue. •
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du jour que précédemment, emfir'aufres le 17 ,mair.s,à Sierre, et le 24 à Vétroz, pou,r les instirurt'eursdes deux diistdc1s de Sierre et de Confiltey. --&-
Le DépOt scolaire iinforme le ,personne,] ense,ig,na.nt q.u'il peut aotueD!ementfoumi,r la nouwclle édition de l ASREOE DE L'HISTOIR,E DE LA SUISSE et des SOLUTIONS du cours supérieur de l'Airi,lihnllétique , tous d'eux ouv,rages figutraait pa!1llli les dlass,i1q.ues obl,igatoires po,u,r nos écoles. -0-
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Vendredi 19Mars
iles. La ,prédication de tl'fa:angiJe a ilr1a,nsf.o,rmé~a société en tmnsform.ant La flamillk La s,aintemaison de Naza. retih, iginorée, pauvre, aibr,itaitles trnis ,pQrus , augu,stes ,perioormagesqui aient l!)alSIS~suif tei:-re: Jésus, le fiits de Dieu; Mlane, la VI·e~g;esans ta,Cihe · Joseph Ui'ar1tisan qu.i e?- ~tlaiit le ah~, qµi · ,SiUS e·~ M!a 1ne, et/a1~nt sOllffils.Une paix ipa~mt'e .y reginai.t, ,pa,rioe que tout y éiia1tdanis l •o!!1dJI,e. C'oot le modèle que Œ 'E,gUis,eprésente à bou,bes 1-es~amiUres. EŒ1es aussi s,ont ,puiofondérnentatteintes ou Faff.aibHs. [Jairfoispar ~a dis[Pair:füon siement de ~a foi ci le mé;pris des Lois ,de fa moraile chirétienne.Auss,i ne faut1il pioil11.t ,s'éto[lner que le désor:dlre s'y iêtJa .blHSS1e ~ Œ 1es bouiI,evrer,s,e. L'auftorité pa,ftooneilJl,e est mécornnue,même die ceux qui on1:!Jedevio1rde l'e:iœ:roer;l'union ides ~poux est troip sou.vientbrisée; les ne connaiisisientplliusfobéi,ssa.n. ·enit1ainJts œ dt dhocdhent tous lies moyens de s'y sou.s,!irai r-e. 'Sians d10ute,il se renoontrieencor,edes tfloy1ers béniis où dhaœn esit à sa place, où ~e res[)ect et •l'amou,r mwtu~ maintienirnmtI'h!annlOni:e et J:a j,oie diu cœur. Ge sionit,ceuxq1ui oilJI:pris ,pour idéa:l Ia famiJlJI,e die Niazareth et s'effooœnt d~y ,conformer Lieurvie. 1 Puisse S. J10,sephob~enirde Celui qui ,l' aweJJlaitson Père, et à qui il ne craig,ruai't jpias die dJo.rmerle .doux nom de Ffü's·, qu,e ces foyers eX!emu:>'1aiir,es se multiiPaiiient et devilennentJ.arè,gllegénfu'aŒie . IJa quesifii •on sodtaJLeet bien d'autres sieI1aiientaŒoT's res,ofüues.
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Fête .chômée de S. Joseph S. jios,eiph,a,u,quiel tout ce mo:s e&l ronsacré, aura eni00,res,a fête sipi ciJaile . solennel 1}e ,encore cette ·serna.i,ne Heureux .cfan,s ,son humblie condition, le glorieux pawiaricthe,héri1tioc des rois de Juda, te fi'ls de David, trnvailllait de ses mains pour nouPrir (JdlJUiqui fait p,o,ws,s·~r J'es moissions et qui mu['t'ip!li a ·l.e,spams :POU\!" 11a 1s1sia1sier IlesfouŒ,es. sans au:tirie :ambition q,ue de plliai.reà Di-eu et die fa.ure sion deV10ir,rien ne 1'erebuta d/ans }1esépirnuves qui ne iui manquèrenit pas, oomm:eà son fillsado;p1:ifet à i1a Vierge Mane, son ~pouse im.miacuLeshiversdoux lliée. Doci'le aux moinidlres ordres du les 11JU11ées se suivent ei ne se ressemblent Cieil, fil s'est s0incfifiédlanisl"obsœritê, pa,s. A:Llit,w l 'es hiver·s de !a guerre furent où ~! S'epllaii&ait,doooia,ntaux ouv1riers cruel!';;, autta:n.t œ'.u,i qu,i l'a sui·vi s'es,t tem'l"e~e,rnipll e td'uinevie Iabio,r.i ·euse et immo- péré. Uée. 1910 no,us, avait inondés, JP..'l.,is la tempéra. ·S. Jos~~h est aussi li3.gfoire de !,a tu,re aivail été olémente. 1911 fi.1 moi:ns de ra· v,e domesihq,ueet le sou,üen des fami1l- vriges et fuit seul!ement h umiide. 1912 et 1913 1
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la mer Mié<Litenranéefu-ren~ geilées,que les cloches se brisa ient au moi111drecihoc et eu ' enfiin Ulll nomfure CO!llsidléraibile de ~rs,oru;es mowrurent. u même phénomène se produit en 1740. Il avait fait ohaud à certains joull'S de déœm'bre, mais en féw"ier et sUII"touten m.:ir:, le h"oi4 fot· d u,ne in.tensi{é SUJ1'prena.nte. .l..os h~veirs de 1723, 1730 et 1779 fllirent très doux. En 1782-83, la chaileu,rfut eictraordinaiklstiroipihe. Sans doute, les exemp:es de pareils hivers 1re. Au JTIOFsdie d~mbre, j,! y euit des orages comme au moi's d'août et' e,n ia111Jvier tout soot a9sez .l'axes, mai,s il en Fut ceqJendant dè était F!ell!I'icomme en mai haibitue!lllement. pl'.u.se~'ll',aonl irnaires encore. Aulberrtdu peüt Thouars nous [.e dheivaU.ier A,in si, -sous Ph i1'.i[Rpf-Au:gu ste; en 1163, i'i~prend que !'hi ver de 1795-96 fort dé!kieux n 'y eut pos11 Nvement pas dhi~r . Les a,rbres jUISlqU'à la fin. de îêvrie,r. La vél?étation_étaii .f-n.utiersétaient en !1leuirsau moi,s de décem• très aiv,anicéeqooml, brusque:men,t, Je 26 Ïé· bre, et la vig.ne en îév'rier S1Uivan-t. AUiS·Si, on vrier, le lhennomèt.re de!>œndit à 8 degrés ver~dangiea en juilfilet. En j,ain.'vier1258, oo au-dessoU,s de zéro et s'y maintint pendiant troUJVa it des v-iolet tes; les pommiers et les quinze jours. I1 en réswLta narure1lement que fraisiers étaient cOU1VeI1 ts de fileurs,. Un ohroniqueur aiqemand raconte qu'en les f:ewrs des aJbriootieris, des pêchCll'is,des rommiers et des ,poirie11sse desséchèrent et 1287 ,on vendait, en décembre , d,aos les rues de Cologne, des vio'ettes cuei!llies d.an,s les moururent. Même fâ!dheux accident en 1809. Dans les pra iries du Wiin; le joUJr de Noël et aux premie11s jours de mams, aiprès des moi,s presRo:s qtti sui,virent, les jeunes · li'1'es pr irent part aux processions la têfe couronn~ de que dhai~ds, le lihenmomètre descendH à 10 deg,ré,s au-de,ssouis de zéro. Les abricots dé)t bluets et de pŒ"imevères. gros comme le pooœ furent gelé,; et, sur 60 En _1421, les arbires fümrirenit en mars et pê<:iheris,Du peti,t TOUJa!l"s ne réoql,ia que 12 :es vigme&en avdl; on ellit des cerises dès ce pêches. dernier mois. En 1529, H n'y eU,tpas u,ne st= ,uUli,ver d-e 1821-1822 fu t d ·une doL1Jceur 'e ge!1ée;en 1538, les jardins se coulVrirent cte e~tionnell 1! e. I,t y aiv,ait dies pois en fleurs fle urs dès le mois de ja,n:vier ; en 1572, ]'auau mois de dJé<::embre el les seigles étaient rennée de 1~ Sain,t~Ba:l'lihéilemy, les arbres bour. trés à la Sain.t-Je,an.. EJll France, la récol,te ùes geonnèrent en j1airnvier et dès féVll'ier les en• fant-s dén.iohaient les oiseaux. cette am1ée~1à vins fui très ab on:dian'e cette annie,Jà. Et ce des pays d'Europe; et a,ussi en 1585, à pâques, les b 1és ét,aient fuit ainsi dans 1a pllJ!PilI11: même en Russ ie où l'on n'est pas accoiul'amé ,prêls ,pour la moisson. Les hivers de 1605, 1609, 1615 et 1619 fn- à de pa-reilres aubaines, on ne souiNrit pas . De ga,int~Pê!ers,bourg, r-eut d'une douœ-llir eiocesisi,ve.En 1622, on du troid celte a.i.mée-ilà on é<::ri-va,it aœor,sau ,,JoUJm:aiL des I)ébats": n ·a1~lwma ra:s les cheminées une s·eu11efois et x Uhivier de cette M111ée n'a été q.ue d'-uu m_ois Qe.sarbres furent en fileurs dès Je mois de féà peine. De Noël à février la saison a été vrier. diou1ceet p:u:vieuse: des tempêtes, des inoo,En 1658-1659, ni neige, ni gelée. Le grand diaitio[liS,mais à peine quclques neiges. Ii a phy1sicien Rœumu.r nott>S,a d~ori:t ùa douceur régné des vents . dhau!(!Jsà ToboiLs,k . Les habisu·IJPrenante de l"hiver de 1709 à son début, tants les p'us â:grésn··ont j_amais rien vu lle LI es<tvrai que towt à couip, à la lin de féivrier , , ... Je froid devint si intense que la Manche et ·senfüla:1:;le.
fwren! de même, 1919-1920 nous a ramené 11inou1dlartio,n, Ja pllru ie, .Je veni, mais c'est à peine si nou:s aivon,ssou~îert de fa neige et du froid, saulÏ dans les rég ions montagneuses. Con.strunmen. t, le thoomomètre a marqué 7 à 8 degres au"Cl.essUJs dt zéro: c·esit au moürns 6 degrés au-d~ssuiS de la noirtnaile . ,Manmra i,se ailaire, sans doute, car iil est douteux que cela d uire et ce sera, a'1ors, la ca·
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Ei1 1824, le thenmomètre ne s'albaiissa pas au4diessous de 6 à 7 degrés en France, en Aoglleterre, en BeJlgique et en Suède. On !l)lfUJtciter enco,re comme p,ar-!iowliè· re,œnt oléments 'les hive11s de 1832, 1835, 1
1845, 1859, 1863, 1866, 1828, 1883, 1884 et 1888. Une t~nure comme oeille dont nous a'\"OlllSjoui cet hi,ver e~t-e1Jle à souhaiter? Oui et non suiviant le point de vue auquel on se place. Oui, si iJ'on n'a d'a,U/tresouci que de de-
meurer au coin de -son feu ou de flâner par les mes. Non si, au contraire, on a la préoccl.ljpation de la réco1,te. Car n'oubliorns pas que les vieux dictons potpuitaires, ciréés par Jia sa· gesse et l'expérience des observateurs de la nature, veu lent des saisons équilibrées et no· tanuneut des hivers moins doux. Ne préteudent-bLspas qu' Année neigeuse Est fruclueu-se et ,p[an~u,reuse.
ou bien encore
Hiver, sitôt qu'i,I es/t trOjp beau Noru1Spromet un été plein d'eau. Et ne disen(-ill:spais enfin: Qu.and 11hLverest de froid trop ohiahe, Ne fait pas le pa,y,~n rü:he. _ / Robert DELYS.
t N'emploie pas ton esrr>ri1à criHq,uer autrui, ,si auitrui doit t'aider d'une quelicoinque manière. t Ill est plus dur de se débrouHJ!erque de ne ~s se brouiller . .Pensons-y! ~ • Un bon ,cigare. Raipineau:dfltre à oo ami un aMreux cigare que ce dernier s efforce en vain de fumer.
- Commient,fait Rapine.au, ce cigare n·est pas bon? Je t'assure cependant que j'ai donné un franc IPOurce bout-là. - Possihle, mon .vieux, relo.11que .l'ami, mais le marchand a dû te rendre au, moins quafire-vingt-quinze centimes.
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16 résenve ert reste rd~:sponiihle rpo,Ur·cel[ies Adam et dOOJtle.s ~rmon_! n'obtinrent que ides éco:les,qui IIl~auraient ,pu en :reœ- .peu de st~s. Volit.a1;e111vta1i trorp lu .,Ouf' bt wir [IQ,riside fa 1PTemièreréptar12iti10 .ri, pa,s CŒllllill1trece tra,1t. , Booiser~e ~ui-11Tiime. duit !Peut-être ce llJOità rune 1quiantiité[PeI1llleititant à ,dhaJquefaVoici d~s vers qui mffile ,d'en obtenir un exem[Pilaire. P. l ,w.1de ses corutel'qpOII'ait1JS. 1
' ECOLE
fumnH! a\direi~s à lli1~1!I"e Adiam BiiITia.ut, rnenui,sier de Netmr1s: Ornement du •sièdle où n,ou,s sommes, Variétés Je ne dis rien de VOUIS, si111on ·Que !l)Ouir~es vers et IJJOUlf le nom UNE COUTUME VAUDOISE Vorus êtes ile ;premier des :hoimrnes. 11 y a que/liquesamllées, da'DISJe,s vi,~:age.s ·Et j111Sreamnit, la chose s'esrl: rettouivellée,il du district d 'Aigle, ,i1Ié~ait ieolllt,unnedl/lllls Jea y a qu~l.q,uesJn,o,i,s, à Pari,s. Les jeU111es consêcoCes de d'01me•r .dhatque a111,née wn cade.aUJ à cPi~s de Ja d:a1sse20 afüten!iiai eint 1eimoment dt filllS'titurl:eu1r,eoi téimoigruige ide ,recomniatssanœ paisiser la ivJ,s ·i1e sanitai,re. On ooit q,u.ïœsdoide son dévoueanen,t. venit se p~enter dans J.'ordire.alld)lhalbé!•iique. A ce sajei+, queillques-UII11S des enfants le3 •Doire, 1e ('()\]one!'qui pr&i<l,i,i,tle butrerau p!UJSâgés ong~iis:aimt wne soœoription auéta,nt !l)r'êt, s' éicrfa: près des p.aif'ellJts,afü,n d 'oibten.ir 1me petite - Faites entrer ~ premier homme! s01It1meawec ·JiaiqueWe j'l,s achetiaient le oa,de,au. ,Et ce fut •UJn nommé A<l!a,111 qui erutira. Au j CJ<UTfixé, 'les élèves se rélJllliSJsa,ienl Ce· qu'iil y a de plrulS~traiondinaire da11& ehez un des leulfls, demewral!l,t l .JlTOXiÏITTliifé du l1hi,s;toiire,c'esil: .que œ ijeul!le ho~ habite co~lêge, e,t ilâ, fi1J1Jes et gairço1111s, fornmient un rue de .Pairadiis !
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PRIMAIRE
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ORGANE DE LA
SOCIETE VALAISA.11'1'1 D'llDUOA TIOll
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SION, r5 Mars 1g:ao
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rorttège. En tête,. p'laœ soiigneusemm' IPia.rmi
des fle!Ui11S et dan,s une g,r,ande ('()!l"bei'Jlle g,racieUJsemenlt porltëe 1par .La « rpremièire»des fi,1'ies e,t 1e «,premier• des gairÇ0111s, Je oadeau, à ofiflrir. Après ile ,couJPle ,se trou1V1aii ,t un dharmant petit sapin coqiuiettemimltdêlcoré de :rubans et de ,roses. Jit él'ai-t ;poir:œ ,pair !Jin ga,rçon en giuiJsede baruruiè,re, ci, aÎ.llJsiprépare, 1ecoŒ"tège s.e1cJi,:rii,ge,a ,i,t en ~Jai9sepowr l'heure haŒ>itu.e,Jk A ,Farri~ de 1',itmsfüUJternr, ffe cadeau, était présenl1:é ,r Ultte ,petite .allocutiœ die :remercie1pia
ments. A ce,ttegeintillUea,tfontion de •seséllèves, Je 1n1 v6reréqxmfdla·iit pair t1J11e.pe'i-te cdll1ia ti on,
composée d~ vi•n chaud et de ga:u,Ffires. rPeniÙal!l1t ,ceiHe.co1ffation, le r·~genrt[)(l'Ollllettailt à ses rvi.si'eurn fo1téresisants Ullle charm.a..n. te coor,se ,cl.ansles eI1lV'koos,a,u cours de la bOl!l!lJ.e sa iS'Oill. LE PR.EMIERHOMMIE V ol\.taiirea l"éjpl@té j,usqu'à sartiété cette p 1aisa111terieSll1Lr 1re p. Adam, Jiésuite, q11J ,"i1 avait in1s!JajJl'é chez ilui: - Je V'()IUfSJP!reiSei1itele P. Adam, qui n'est pas ~e premier homme du fffiOUde. . Benserade, u,n sièc:le a1VaintUui, aiva,it fait ce jéu de JllQlt,ssur .un, prddîicatewrnommé 1
seulnementde Jlà-ihlautq!U' ,on aithlr-eles âmes. Ill ~aut que ~,e· miaîfuïedhirétien Pensées soi,t oommieun c,r,uci:füx vivaiilit.l'l faut 1Aenld/ant ce VenlJPIS de 'Tia,passion du qu·i,1 puJss,ediire a\llecS. Aau1l: « Je suis &auve1.u, sa or,oixest cli11essée sous nlQs iat!tJa1dhlé t Un insitrilurteu ,r qui ,veiUJ!,gouverner son à 1h ori0ix avec Jésuis.» Eit n 'école doit apiPrend~-e d 'abord à se gouiverner yeuxet ,pr,és,enifüe à nos a,dlorat;ons. ~aut sull'lt!ou;t q1u,e Œo1r1Stqu'iif palr.lie ain'Si, ·soi~même. C'esil: sou.v'oot urne tâiche difüci!e Nous r~piéto ,ns: « :Salut, croix, notre les e!liflaniiJs le orniienlt.Quanld Le oroi1onsqu\i11 a falti d'occasio11,s d'e ·s'iriri.ter, ntais uniq!ue eSjpé,ramce ! » Bspérnnoe pour 1a wnt-iilis? Qua,nd iJ~svierr10-ntde l,eurJS ·c·est l~a ·cOlll,dition essenfüelJe d 'Une ~ri table vie :Euture, sa:ns doulf!e; mai's auss.i esPê- y;eux un hlo111!II11e hlahiiüuel~emetnit mor,ti'awtocité. rancepiour ]a vie p·réBente,et ga,Qïede füé,i111senslMe a,ux ai~es de 'lia vie, am~ :j: Je jpriéfère ivoLr ~es enfants d'un v iihlage succèsdlains nos ,effo11tspour é1e'Vierrde Vap:auw,etlé,oubniteuxde lUJi-m 'ême et entre iles mains d'un homme qui sait son c.a· nes ,ernfiant·s.Nob:1e;Sei- « ,ne se tirtouvant pamlais mi1eux ·que tfn'füe!linemeint tédlüsme et don t 1je connais ·les !Principes, qu' gneu-r .av,aütl.e secr.et:d' artirer à lui Les quand i'l n'eislt giuè\r ,e bhm », pour· em· 'elltre iles, mairns dlun grand ~vanrt: q.ui n'a mfla ,nfa et les flotllles.P,ourttlant!'a-til!r.ait p,]oyer 1'a g1r'lalcieu,s1e exjprlesJSi 1on ,de S. po:nt de base ,pour s.a morale et awaune conqu'il,ex;erçaitdiur,a,ntsa vie pubUque filiançois de Slarrles ·. 1victioo ar,rê,ree. Napoléon. n'étiaitrien enoore a11iprèsde la puisUes enilan~s, on rue siaur.ai.ttiro,p 1e :j: C'esr! une déJp!oralblle ha,bitUJdede ne pas san·te in:filiuenoegu'il1 deVJaiitdéployer ,réiP'étea:, o•nltune periS[) i,oacité éf.onnaniEe f.afre ce que .l"Œ1 a .à fai.re ow de ,le fa.ire tour SUT la 0110ix.<4Qu:an'.d je s1erai élevé de pour d~couv-:r ,ir le fio1rtl:et ,irefa'fblle dlanis joo1tepair a:cqu1it de conscien,ce. Tout ce qui terre» et a:iJ!iachré à ~a crnix, « j'attire - lta oondlu,H!e dieLeunsmaîtres et die leute 111/éri.te d'être fa,it méa'iite d'être ibien. fait. la rai~outà moi. » Siaarioixa été lie g111a ,nd mlaî,wersis.es. D'un dou1pd' œi1I, parfois, ré!OOi11'J)ettse eSltd1a111JS .Je.resipeietq,w'illJSIJ)iire Uille insf!r:umen,t de es conJquêtes. Geliui qui 5 'hé!fa 1 s ! suir un,e sim/pLeap:!)'a:rence,ils pareilll'e C'OllllœJl)tioo du de!Voir, même aux éll~à son p!OUViofa' conqué- reconnaissent fa pœs,enoe d'un défaut, ves :lestrn0ti1111s miéri.farulis. •I,Iy a .là u111e cOllldi· veutêwe asiS1ocié ranit,- et lies édlucateu,ns de I'enrflaneey et s'auto.r,i,s •ent de lieur dléaouv:ertep:our tio,n ini!aiilblilb "e d'au1torité, fandi'S que la répulfa:tion d 'en preutidireà 1sorn..ai-sees,t h ruJne sont a\sS: ociés p,ar V1ocatiûn, - doit donc en p·rte•ndre eux-•mlêmesà ]eur aise. de kt disci~)l;illleel! de J'intLuencc morarre du s'ass?der lui4DJ~~ à ses souifflr~nceset 1 QUiaintaux vertius,iœfa.ut qu',el!resS1oi1ent maÎ<IJre. mont er co1t11me lm sur lia oro1x.C'est dix fuis affirmées pa,r lia condluitlrepOUir
LeCrucifix vivant
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waître à leur,s enf:anlflssoient piayês en 'V'i~[lS tous , l'âJge qu,i se peupile de souvenirs, qu'.iŒsy o.tio1entioomement. Ainsi est tœ côitë,c'eslt wniedes sauvtegartdesdt fiU!1llémi ide tan( de dhères emipreintes, re p:a:rIliaiiam11EJie, et que le 1)11'.'Îxqm est ma1liqu1é o.n dloirl: d]o,nic 1~a conseüler tia1te1la piaU<u1e n -irure humaine, cré- 1'a m!or:a1irlé; comltje ·aill!sside ta;nt d1aimersregiret,s. Tu sens en s:oi,t d~11~Sé à ;}la ~aÎIS!S,e d'épargne. dè&le du[reau maQet teinte à ooo,i:œ au lJi,en. à i'enilant et 'liUifoire con<tr:acte:r, tc111.cor,ps ,pênétrê d'une virilfüé oroissau,te; on ma-têr,ie!Uie des ton jeu~e âlgte, l''h:aihi ,tude die l'économie. Ce seria amsJ 1a s1an.ot1 1i,n,t évêque de Geriegar-d deviemt tier, car ,too brn.s se fait Le domiesttiiq,ll!e -du 1S1a dh101se que de sa.Voit effor1fisde l'é.lèVre. fort. Bh biein! "illlj, ne gMe pa,s ee déveloprpenève avaiit l'i,ndli1s10f\étfo'î die :tie~,rdJer C'est une e-Xloellllientle préte.xfued'éoo,nomi,e, ·~·i31itcorJPorel; survei,Jùee' re,~ecle too corps: C€tpendlant,SIOU!S pair 1etmu de Iliaserlr,ur.e, pour examiner r,églklfs,a ·dlélpernseet die nie Point oon. il ne faudrr:a,i , t pioint ]1a:ii&S !ltr l'enflant s' a- ame S1am,edaJ11 s UJ1 corfP3 sa·in. Gall'ICi,eta torœ fo manièr,e dlonts1ee1oui:portaH son m:aî. somnrnr tout ce qtt1iest à notr,e di'SŒ)o. cll)emiifi'er ver:s l'a~rioe; j1} fau,t qu'i'l ôu'ViénJle,e"lilees,t si 'œ11e à notre ei])Qq,uede ,si 1tion. 1L'élève die,l'éoo ' l ie prim!ai,re J)eUI tœ, q1uanid vl éfaLt seu'.l. De ré:siuŒfat de Ga,rde ta îieli'é, e11l'ete prése,rvera de de lia piriod:i~aŒiité que "".'u.œir~e. soit arns;s,i é!lloiginlé Sion exiamen l'é'dli,füaitpro,~O'l]ldéinent. ·êtI1e al1Il'ené.pm finsbi.tufour, non sien. !d'un i-ntérèt étfroMet mesquin. L'in&td~ .btel!l des o1m!es h,umi,l,ia11 ,les. mais encore Soym1s mor1iilifi'és, s,oy.oinstoujours en il'eme:ntà l'aide dieoonseù1lls, Am;! crnis, aime et espèii-e. tuteur saulîa oomib1a,tilre en Eui les tenOrois en Dieu. Laisse à d'au1res le scepticr,oix, mlême quaTiid on nous rngiarld'e eIT 1,ui ~ai,sant appPoodiriede bonne heu. âanœs.à la lés,ineI1ie, asis,ezria.ries,d'ail!. cis.lf11e r, e dies · s entences q1 u d s,e r!a:p1podent à vu~gai,re qu i n'esit qu'u:ne ma,r,q,ll'e\:l;e fapiar Letrou ellefa s1errure,sains grue nnus (euirs,1[ ~aut Ie dirie d!ans 1'enfanf tu' i · t ê ou de so.tl~se. l' éip 1 a,11gine, telllie.s q u,e oel111es-ci : « Gar. nous ,en dloufrons. L'exel11JPŒe que nous <Jm,i,s en ta forœ, et nwts,.!J,aau seriv;icede ••• dlo,n1neiio ,I]Saü]si à nos en!Eantssera p1fü 1s » ldlez ohlaquejrour quiellquechose de Vo1es ,piriructip es: elile !Setia bien eltlJPloyée.Grois conViaiindantque lle'Srptus élo,q,werntes le- » il!re gain, · q,uand c,e ne serait q1U'un uitri,.om1p1he derrraJ\/'éiri1é;ne fe!lf,ra.~pas des >> sott1. Dêipensez dh\aque· j,our un Partie pratique al10,rs en effot çons. 1msc001Jp111md1ront sures des 11wdhan(s, ni de tes échecs: 1'a dé,nis que viotre revenu qrl.l'ec'est Jésiurs ·-Oi.1r~slt 1/ui-même qui est » ,centime de m101i fa i-te es1tsain,!e et s•allufaire. Re1lève-toiretrern1e maître de noitr1evie, et re:connaî-tJr ont >~net. - IJe prem1er centime est plus ij)~ et l;liraivede .nouveaux olbsi<ades. AuxJeunes! à gagll1ierque le s,eaon:dmdt· Aime tout œ qui eSitaimalble: aime le com,g1ner lies pt1é- » ldli'flfüoi,lie notre dtroit à leur eniseli » \lli,on. » Ces m1ammes, aipfPd , s 1es druu ibait, Jeffesfoi à calé die fus ,Frères. Aime \a ver. o~ptes les plliu1s ia,u,sitèr,esde a"E,v: angi,1è. ru, fûl-e!lle même naï~. Lettre à un ami inconnu S,i nous sommes des crucifix v'iv:an 1hs, :tentfaI1Jce,resiteront d!ans11a mémoirede Bs!JJèlœman~ tout, ton jom v iend.ra 1'a ,ihueront sans-dou. lMoo ciher, Ires eninemlismêimesde Jia relligion fîni- ['nomme fait et ooifi'lir v ie te foit 11111.e co!llljJ)en~füo111. Qu'illlJPol!'terut ·Wnt eux aus,si par nous :tiesiPeciler. OaŒ" te à le porter à l'économie. Je 1-œi:e .connais pais, ma,is ~e 1'e vois sur les victoires des au,t,nes! Que si,g111ifierait 1es di.il:,est une les b1n1 L'éQ)argine,av!o<11Js,,rtouis 1nie,r1; ne v:aut la vertu pour tenir s-0U1s ,cs de l'éifiudie,dans :L\a1e1'ier ou, d,ms édhecs? Rien! Tou.t oroul'e! Regarde au.tour [e C1na:I1111e 'Les miédhla 1rn ts eux~mêmes. des sa,u,veglar!desde lia mo,rtulitê;en ef. les ah:m1ips.fig,noire to,11nom et je sa:is cepelll- 'de t-01i . . . que voi s-1u? Des ruines! . . . la ll!l1 enfant et g,ue tu n'es él\les,e diével.!01pp:ent les habitu· d1mtque tu n 'es JP~L.!ls ve1tu seù e dern~ure: sois vertueux. En quoi Ay,ons lies bir:as étendus: suir ra croix, foit, a1V<ec coi:1s~s-tecette ve,.11tu?A faire le bien, c'est à a p3s einaore un hüirtlme. Tu es l'adolescence la c'est-à.,dire po,rtons ju&q1u'à « !b Wlk ides de sobdétJé et de tm,viai'l.EUUe l'e,qyéralllce.Laisse-moi te dire que' je d'ire ce qu-i esit utHe et honnête . Or, ne crois.&i un rés1U1ltiat qui· a son 1~'.ortance j~t~esse, ldleta croix» l'am'our dJu r,en10,naeffilent,~:liU!Si ta·tme et que dhiaque fois que je te ren1contre p,as comme moi oue ]',utilité et l'lho,nnê•eté de 1:a:plamnœté,die l'ablniégatiion,de ta a,u point de vue économiq1ueet g'énéraL dans mon ohemi1n mon cœuu· se rennpl!it d'é- ,iiu S'e riésumed eu essenÏae dans ces moitis: Prière ·e Le gia:slP iTiage.Si mo''ion. Et cfes1 .dat11sœ s1et1 patience. No,s pin-esaJdivleI1Sia1i,res en sie- c'e~ qru'ellll,eeill)Pêdh ,famerit ·et dia.na et tra'Vaill. • Ora e1 laibora », d'isaien,t les a11les ob· ~0,11 exjpériemoeque je :pui,se Bes ccmseil,s que ·oiens el ls>(ï1rfo11mu11ie,n 'a rien perdu· de sa 110n1t touchés à ta fün:~u,e.Ues ainnes tom; les gens éta1ent éoonornJeis, à 'lia vi,edurnraknt plUS Je va.i,s te donner. teur tiomlbieron,t des mJa.i,n:s et ilis s''é'criie . j,eitisnéoes&a1ir,e,g ,vaJleur. et, par coIIJsêquent,leur J)[tt Si, hê'.ia.s! ll!ll sowr-ire moq;u.euir Hotl"e 5 u,r Ou.i, ieu,ne h01mme,orie. La na,t:uire ent-ière ,ron,t: <4 Ah! i1! foud'mi,t êlîre pire que fong.teIIJJPS, ,ure si ta fP1rie:ro"iseau /d,an,ssa ~o,u;vée,1a Pleur d,anis le ins élievé. Ainsi l'ëpM· ta llèvrœen, dommeinç.ant celtte 1.M( J,u:da1s ! » Qu,elllqueis -ml!s, iJ esir VU1ai, s,e idlevfamdraitm10 gairde, au coi111 , ijeplH amer d~t désabu.is,son, Je vent d•ans les bramahes . Ecouite et fornnt ooe gl1o1red'imiter et m!êmledie gmepeut pr.ofiter,non soo[,ement à l'eD· bcu,ahe bu5é; si toa1 espr,it et to1n cœur son,t saturés imi•e. D'ai1ll1le,uirs n'\a,s-fo j,a,n11,is senti le bieo~a:rut e, t à l'hiom.:mle, ma,is encore à l'hu· <lépa,siserle tr1aîtrie.Notll.1e-Sei,gneu :r a d'égo1S1•-ne et nlotnt .plus de plaice pour ce qui fa,i,t d .. !a prière? S,i, n'es.t-ce .pa,s, ,j,1 t'est arri à dies ennemis pirieis que Ji\1- m:a,nité tout enmè11e. eu a:ft1aii1e J.ig,nes. vé un in,,fant où lu t'es sen,ti seuil, très seul'; st pru,r, g,r:md eit bea·u, ne 'lis pa,s ces das. Mais ceux:~àdemeureront toujours 'M)ais ce n'est pas ilort.l!td'éaolil!~mi~, elles ne sont paô- pour t,o,j, Qhe,ro'he aui·re u111in.sfor.1tOLI i,l fa ~embUê,qtœ Je 1110111de .enà l'éttat de miii1110,riitié, et aomlMend'aui1l ~aut saVloi,renoo:rece .qu'on doit fruR chose. tietr t'a!band'01maii"et tes mains se sont jointes tr,es p1a1sisernnt,si IJJousle V!OU1ions, de ,de ses écfü]ornies.D' a,bo,rid et avant touh .J\i~ais.si tu 0s cclu,i que je cherche, s.i les d'ell'J"e.s-n•êmres:en face de la g,raT!lde,de la , tes il ~aut lie:spia,cer à ]a ca:1s:sed'épa11gOe.conseiis de i'a mère te sont to1uûouTs sa,orés s-i ,mu, ;fJ11e solitud~ ot1 Je l!aiss·ai,t 1111.Ulmarnité 1''h/01S:tii~itllé à Iia syimlpat!hie ! G. D. j,oies se iJr-owetn-tau foyer sou.s J,a la~e lèwes ont murmturé ces mots: 1Moo Dieu, par1ms,erai,tdlésira 1bl;Je que oha:que é[èvle eÎ!' ~s CdmmUllle;si, dans ~a y,ie, tu conte~les en1un petit cl)êpôtà ce!l.llJe ..ci, H cher:ch~ cor~.un coilll de ciel serei11; si tu. asp"ires à d.c11.. . puis une voix de l'a'U-tl~làa pa,iilé à '!0111 âm~ et tu fes seuli p!lus font. ou~ . pirîe. Lavaleurmoralede l'épargne 1nailurellfoment à 1'eg,ro'&S ·ir et prendt\\il un 1déan q,u,i esst cerrui des fontes races ,. oh! l!Nme h011111n ~e pri e co,m,1n~ la nature, de. tout ,ainsi 1'1I ,a1biwdie de l'êoonom1e. Obie- alo.r-sser:re cet1e main ctu,e ie te toods à tra- !,on cœL11r . ., s'i1lest porssibll\e, qat ~rs 1·es!Pa.ceeit laisse-«noi rà11~e!e,r mou ami. 1L~irg ,ne aacu,muméeest une for.ce lnons des piaren~s .An 1,h, -trava ill'l.eI la tkhe est si Q11"an1de, le.s Tu es datUs-,~ bel â,ge, 1l'âge que nous en- ou1vr, de sati,sfucti'oodlonnéspairte iers si nues! N',a,s-1u pas 1,'impression ajoutée à œlllleisde la .n:a~u:r,e; d'un au- [es bli11reits 1
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20 produire, rnaJ;.s même paT les jou~ssa,ru:es qu· qui\ 1'h.eure ~te 1'h0l110lefuit la peine. On évite ile tmMaJi ,l; jadis .Oill kri soW-iaŒ.t; on aplla- efü! ;pirooure. La vie fade ei monotone! ... Que'llieeTre>U'r ! Jrl,sn 'an! donc jama,is, ceux qui 111i~les diiifioufftés, nos aïeux eux, les bria[e d~cllairen t, ,gowté L'âi])re saveur dium sacriti. va.i:emt:c'êi.ait biel!l plus beat1J... ,oiibl,ie j,o,iequie procll!re un triom Quell/lleheJle i,â;dhe que cen.11e de remetbre ce ou l"irud~ phe entièirement per,sonnel. Non, la vie n'est qudques goutte,s die vie dans ,cette huma,nité ru ~ade ni triste, e1 Les sou1llfu1ancesqui rac(ffigiém~ ! . . . Eh bien! C'est à toi qu·est dé:com:patg1nem ,t sorut lie{J1isterésultat de no,s fauV'Oiureoe~ tâohle, jeune homme. Tu re peux! . Sai,s-iu, par exem'I.e v:euiX-iiu?... Oui, n'eslt-œ pa,s! Bh t>ien! tes ou de notre incomlluli'le plle, d ''où vient tr ès sou:vent kt misèlf'e? Regar. quii que tu so,is: fii:s d 'ouvrier ou " fi,J,sà pade à l'aulberige, ohez ,Le rm.lf'cihaindde vin. U pa», rrœts l'a main à ·J,'ouvma,geet fais quel\dies homlmJes sOlllt attalbllés, Jeur reg:a,rd est qu'e c110s.'epom Hmmrun,ité. mrnn11 e ! leu,r mil!le hâ:ve. C'esi de D'à!L'ouvrier 1Es-1'll!o>iclhe?,re,giarrdeprès de toi tant d 'ê~e1itesoo safaire, le jeune hrnmme y perd son tres que la ,vie a meUJrttri's;donne: OllJVreta in,teliligenœ et ,SJa ra'ison. C'eslt là l'albîm~où lhou1rse et sUJPtooitoulV' re tou cœur. OHsse s·amJbire ta1nl de bonheur, c'est 1à la ru,i,ne dt dians deltre main noire 1a pièce ,i,tamohe qu:i t de cihères i1I1l1ll'si OiliS • • • . a!P'Msefflata,im, e'! da.n.,scette âme la :J1Jl 1ml,e qt.1,ï fa1t1 .Mais quüt,on1s œ.s oho~es, ami, ha,ut les con,sollieet foritihe. Soi.s bon! ta ibonltéétouffecœuirs! R~evions la tête et armés du gl aive ,ra dlans son gemrrlece'l~esemooœ de haine et de la toi, éJh1.n9ons-tnous ~per.dwme ,n,t dans la tle jlalrou,siie jeiie rPOU!r[e so1cialisrme et 1es ,vii·e . . . Tant die nobles cause,s 11011 1s y atlenidëes d,i.tesnou~1 1lies. d'ent! \Bs..lbupaitUVlre-? ta mailll s'es~-ell1edé/J,à durAu 1-el\l'o ,iT, ,je t'attends •Jà-ba,s. cie au 001I1ita 1at de·s ouitrn 1s? sois 'heureurx, tu To•n ami : FRANCIS. es pi1u1sUJ~1eque 'les auitrtes. Ne les jalO'll,se )Pas sltll1tout,i,J,s ont tant de misères . . . 11u en Le 10 ffiv,r,ier 1920. ctou,1es?... Grois-moi, je les ai vues de si près Oh! je sais men que ton oireillile les a dé'.làe111iteùid/1.t'Sces moitis magtiques: Lutte des c'la,s· Billetde l'lnstttnteur ,ses. ,, , diicrtlartl\llre du (Pro,l(é13.l!'Jact! etc. etc. Ü 10 · pies , mon aani, dhin1ères!.. . Ouvre les yeux et coo.tem1Jieles pa,y,s qrui en Ql!lt faii,t leu:r coPiins',ti.tu,iiel\1Jr ,qui a ,don,scienicede sa die... Tu te dëtournes! n:'est..ce~s, c'e.st trotJ) mi1 ssivondh,er,c'he non s,e,ufomentà donh'idleux. ner à ,ses élèlvies une 1coot:aines,,0mmede aue s,igmitient ces a,spirat,ions Q',aïlll~"uJns, 1Connaissainces , maiis oooor1e à e~ercer d\m âige d'or ba,sé swr u,n régime injuste et iune i1J1flVuen,c:e lhieu:r ,e,us,esur 11ieuirâme, à imm001a;l?A quoi bon ces cr,is stér,i'les, ces er lie beau et à a!JJpelsdés:e,s11::Jérés d'un aivenir irncerita :i,n, Con1- rueur appil'erndrie,à ,aim1 v,oulltoir:1e bien. 11 cr,o,it g,éniér.ai ,ement me si cet an;en,i,rn'étaiit pas à édifier : i1 sor~iira de nos mains , ami, die tes mains à to'i, 1avoir,ré'a1d ,sé cette ,dioubile,tâche quand IJmsque tu es wn ou1vrier; f,u es le g,r.and artid1I ia 'dlonnés,esJleçon 1s aviecso,in ,et .qu'il san des teim!Ps~Ulh. l'l'S·! ,a fü,r é Ide chia1cune ,ce ,qu'il s1wpp0ase êl1rt iVaNenir social dé,pend de ton a:venir pHpnofüilabn;e ' à I1e5\P ri i :t et au cœur. de ses scmne!]à toi, o\Jiw,ier ; il ne sera doue pllu,s j,euneis a ulditeul'IS. En .a 01iiss,a,nt ainsi, il . I:', œa'U que si tu sais agir . Lais,se à d'autres \pieut, oert.es, ,s,e rienlcfuele témo,1,gnage œtfe . vaine ,pour suite d.u borrheu,r à t,ravers d' a·v:oir fait son devioir, et Dieu s:emlsait les ins.t'ii:tultioos . Travamie à rendre tes frères ih6UIJ'euoc , soi,s la fleur qui emibiau me, ce p aipil- iles trésûrs diepatience1qu'i\l fiaut dlépenJoo. volla1gee,t insa,isis,saŒJlleviendir~. iottt dou· is,er iPIOl\l[ .a,C!oomplir,vi,n,g,t·ans, trente œment se ,poser d'<l. ns fo1t1cœur. 1ans durant cette ingmte besogme. On puhHe 1P!1rtout q;u·e l'a vie est fade et püurfunt, ieeriliainsiél ducateur:s,gui· crt11oi!J ,oitone, qru'eF.'ene vaiut .pas la peine d'être 1 p,air un iicl l ê aŒ su1 p ér.ieur, font mieux ldlé s vtéctre. . . Cella est faux, mon1 ami! la vie !et c:fa v anl f age. A f aot~oin coŒŒ!eclive qu' 'v'alUJt .Ja peine qu/'oo lia vive ; eJ!e le vau1, no~11iil19eXiertcen t .suir Ieu,ris é'lèvespendant «ui!e1ment paA· le.s f.Ji uits mora ux q,u 'eHe peut 1
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insouipçonnées. IQ aom1p'l'letl:d!'la leE défu.iJU'anices ,e1, 00Miais1siant les cirnonstances 1q11:iont ramenélia faute, ,il aura 1p'llu1s d''i1rudJu~gienioe et ,die1 pitié powr k cou,pab1Ie.In réussilr:asains do,ute à faire tS'i'l ,ar,rivie à ,capter i 'amimieux ,eiruco,fe, .tié et illa co:nfüanoed!eso"nélève, il au.ra sur llu:i u,n .aisoem ,~n± tell qu'il 1e ramè:nieria,dans [,e ,dhemin diu drev:olir.Dans ·,des entrefü,ens,intimes, ,il p,a.nsera dlélli1catement s·es pŒaiies mora'Ies, ü:lforla enteI1Jd me la v1oix du cœu,r, iil :l:iet1a a100,eJlà ~'émo~ion et aux bons senfüments qui 1S'0Il11Il1ei 1ll1enten s>aC'Onsdenoe,J'.enoolllrirag,eria,dlan:s sies hléls:itiat~on rs, oiriien t.ea:ià son énerglie vier:sUiebfon ,et édfairera ip.eut-êtire uine,vio1oatiQ.n ,rnai,ssante. En ,effeuiU)l iainit nos souvenirs d'enFa:noe, ne ;Y!OY'Ons-1nous pas su:r,gir quelrques,..u 1nis ide ces êflr.es aimés à qui nous .g;ardl011s wrne'éterneUlle11eooonJai s,SW]ce1piar:c e qu' ,i'ltSnous 'ont gJU.idés aux paissia.g,es dliif lfidilles de ,la vie, p:Mce :qu'i,J1s sio,ntv,en111s à nous ,et1nou ,s ,o,nt tie!ndiu Utnemain frtatre [ui. ih emneJfüe ]o, m ~que nous éfi1 0,ns ,en ;péri~. ,!JemHdeu:llamill.J:a,1 n'est pas toujours 1qu'i1s ,nouis,ont aidiés à nou,s !l' ·elieverdie œ 1qu'i,l deVJ11ait êt!re. Des parents ig1nono.s ,dh : u tes, ,qu' : " ns s1 e sont 1 a 1 s Si0ciés à .nios ranfs oiu mia[ .i1ruhemtio,nnês s,3U)eJn t j,0uifjoi,eis et à no s p:einJes. nelJl ,ement 9cm auto'l'liœ.H y a au~s,i ~es 1 est SIOU- Le m'aî'.tre,dlontilie,rJiomes,t a,ûnsi ,béni camamdes dont 11a co111[l!agnie au fo,Il'd ,d1u:n1oœitff ,a été un vêritablle ventnêfla1s~e. Qui dira jamais [,é nomêdu,oa.teu.r. SionmJéri~en'auria plI'lohiaibŒebre de j,ernilies :giens ,pll,eiLnsd'avenir qui ment étlé ,c1otlé ,dlans 'aucu,ne sl:atisitique; ont été aigu,iil,]éJs 5;u,rune ~a,us ·s'e r'oute 1orri~e, ,qu 'i1Il!P d ,a semé lie'bien sur sa rou. pair les sug;gesftfons.die,con,f ,iden.fis p~rte,ill rléoollberralia j1oie in~imequi .a,c,c;om'veris? 1Paglne 'le bierullait1e\tqltti ,e,s,tU;am:eiaa ,eu,re 'Liesr,ecommanidaitionscolteotiv,esn,e 'dl u dl é v ,o,u 1 e mient. X. iriécom 1 P 'enJse suffüsemt pais ,à ,annihiffier1fl oute1s .ces 510,l. ( Bulletin pédagogique de Frfibourg ). fici.tationisd)a,ng,ereuees; une adtion in1cfiviicuueJLe est nécessaire. L'institu.beu,r pressent-i1,qu'un d!e ses élèves prend Versl'avenir une rntauV1aisevoie? Qu''H tâdhe de gag,nie r sa conrfüanoe,qu'i1 l s'inif!orme habifonumt et dùs:orèteme,nt eit :tente de <Sil'insMuneur veut uoor die l'in1luentfévoi'1 1er ]es in:11liu,ences dé~étèœs ,qui ;ce ]Jég1itlim le que lui asisure,n,tson savo,îr ag'i:ss,ent su,r Œui , gu'i-1ausOUJlfie son âme . ;et n,e1s iservi,oes q,u''H[',e<fl!d, j1 peut oontirl ~ Av,ec,d!u, tact et heauioornp de bonté, il ib,ute r, 'c:Ila ,nis,une IDa1igie meisu·rie, à étendre dêoouwdra 1Peu~ -1 être des misères cia- n,eslbieni.1a i't.s ide 1 'Jn,slII'uctiion en en O'él• rhée:s , ,dies,dh.lag'lfi'llSintimes, des tiares :gTeJa nt ileis j,eullles 1gens Œesmiieux doués
fi,eUites die ctlaisse, ils s'efdio ,r-0ent d'aj.out,er ,u,n ,e emd)lf'ise irudlividuellll. ,e. Tâche dêMoateentre toutes, mais aussi combien ,0001J1fo,1fünte ! I[ y a bteau,OOUlp de mJéri ,t,es à se dêpetl'S~idlu111ant_ u;1e 1Leço!f,,à chercher à conVJamc rie 1et a emou,vio1r,à y aŒl1er, ,en n ilJl!O ,t, ,de toute ,s1onâme. ~outefois, 11es 111 ,paro~esqu,i ,s~a,diriesserntà <tousn',ont ni ia ,même portée, ni ,1a même ,ef!ficacirt: ié que JJes oo,nsetlls ,pa,r,ti 1ouU ,i,ers. L'enfant estvit,eblllasé ~u,r iles eXJhiorta tion:s~énéraJ,es . ,Le 1Pq 1uis souveinrt:, ,elfilesse .perdent, s~mi,efüJent ou ,n'aifiteiginent leur but que ,d/u,ites est fupar doodhet. L'êm1otiion.pr10 giti\,e,lliesbonnes riésio :Luti'onss'.effaœnt et l,es 1oi,seia1ux,diu ,oieilmangent le bon ·gt1aan. L 'ins,ti'bu ,teur ne cfio,itdonc pais s'ifü,u ,s,iDn Œ 1'er1su,r 1l1es ,eNeilsde ses l1eçons. est d' a:i1U,eur'S ,s.ouv:en1 Son i1n1iliuenoe contreoarréepair u,nre:tioufiie d'agents 01ccuilrteis qui teinldmt!à diét:ruireson œuvre, lQUifuïa ,Vlailld,ent à côl!Jé ide lui, mais con1
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triansà entlner,s,oit,à il'éoo'le no!I' ,tmiLe,soit ,ê:Ja.ns Laluttecontre e'l'Leest .aipjplliilq,uëe à la v,ie. n est donc ment die riaision,q.ue 1'écfucatiio1n l'alcoolisme parl'éco1 8 cr .esidiiviwsesiéooffies 1s~aondrafa,es ·q1ui s' ou. nêoessiair,equ,e ,nous ajoutions à nos füflme lie mo:nJde. 1Sile C!O!f1PSensieignant, bi,en uni et eX\Pboarbioins S!Uf [:es .dangers et la llaiweint ldevlanrt1eux. Dla ns ,n_otr-e,~eiflllli eir . artfol~, nous ,n 1d!e\1io ,i,r, réussit à 1P.emsi0n11e a,eur,de l'i111tempêr1ai111ce, l'exemple d'une 'b'i,enrrénéluiéde Sio mi.eux ,que l'i'lll&ti ,t.uteur ne ons par 1le de 1insrtDUtohon a1nt1·aloooli. 'vie sobre ,et d''un aamcitèiremodéré .en 'ila1ire dliisipairaî~me une des biahitU,des1es s des 1enrants. .~,;id aiv1 :is mnaî:t /Ves,a1Ptitlwdifl die]a bo,~sson,il eoru. 1os,es; nou,s fertons ainsi l}eau- ·ptuisrrefla1stes, celli1'e touites,cfu. esit·vu1a ,iment ziéllé,is'H es!tjaloux d:etta - 1q·ue que l'école pr.imad,rie!Peut et doit oruillons,a,ujomd'huJ oa:us,e q,ue IJ1es ·tribuena ainsi à a,ugrnenver 9ons1idéracowp,plliuspouŒ"lia boflltlJe ~:aiiiLereu biien 1dlup,ay,s) .i'I aU'ra .soin .die ·donner. Nous V: )liasomme du biien-êbrepb.sique !plusbeiau.x,dJis1ou~.Dans sion l!anga,2::e 1bl}emeint /l)ousis,er a1eisj1eunes ,geinis,au ,sorti,r de l'é. parl;ier de !'éducation antialcoolique.' 9efflleëldru ,cafion ,anHlai~co1oiI1i1qu,edo:itse ·co,te,,y,er;s la 1da11rrièr ,e ,qui 'leur convient. itnJagiéS. füanço1s de SlaiJ.ieis dit: j1esit1- et mor1aQde no"Sp10,piu,llahlions. ·,e aviaint tout dla1ns la fami'm1e. C•est me blioo ,pilus unie oooe de btons exemNlo,us l]O,usrésiumo,ns, Nou,s d'îsK)lns (Ju'il in'ouh11i1e 1p1as ll"écoQe norma11ie, afin &a'F! qu1e l' écioilie a 111ne &ouh[,e ~âldh1e: ,pilieis ,qu,e oent 1Jwei&de pia,rnles. » quie ff,e,cor/PS1e111isei ,gn.a,nitne s1erecrute ,ellllequi, !llaprnmlière, a. ,qua:lité pour di. 1. EJJ.ll,e la l'obllli · g lami lon de donner l'ïns1.augir ,é ,des ca:pn-ioes nig1er ,l'enfüinrtcfaITs.la vie morale. L'é[mine iaiu ihlas·a,rlcl!, iDepllius,'leiserut1a111i~s siaisiis.sE'ntimtmé,einine,n'est dtesti· cfi'atementles aontrna,dictliol]s qui po.ur- ~flUctionaniti,a1l1coolii 1que. Ueœeigmiement 1ou,des 1c1a11 1cu~s i,nil!ériessësdes pa[1entls. col1e,même tirès ah111éfü .q1u' à sieooifildleir ,tes efifü,lits de .Ja fa. 1111f\aurt•que l(e choix ,des fütur1s,insliiitu- Œ~ée ,riaientexù,Sllle:r .ol1ez,nous entTela théorie \die l'h,ygiène et deis sdenoes natu~1elffies ceŒŒe-ci dallls l'en· a!dllnimbll :emreintà oet e'Ilse1gn e~mrs 1s,oitldi,dlié1par une v,o·dation sêr:ieu- :mi1]le d à reitllij)iDacer et .va prnrt\i ,q,ue. Nous d'evroillsêtre su:t· se prr-êl!e ,e ne peut pas donner. ,sipéciail ies. De 1se'igmementq.u'ell[ ise er ,p1ar des aiptir!:u:dles :nos g1andteset nous ooniduire die t,elle m1ent~éoiaŒ. 2. E[lliedloit!: ap!Pfüiiqueir à la v,ie jou,r1PLulS, Ulepay1sia beStoinide flo.nofionnai- m es~ dles clhoses 1po,ur Jes,queUes ies ,façon qu•e nous D;'eméfli11:dons pias 1'.apne pourront nallli èlfie de l' éoo!fü1er l' insmrucbiion antfüa,1ireis 1C1aip1ablles, :d'.agri.ouŒii!ems 1i ,nitiés aux 1m1ar~.re:stes 1pfüts d!éVrouês ,ori du pro1V1erl>e: « fü pa,d 1 e b'iien, ,oer 1Ja.famiilŒe. lt1en ,e,st p11icati ii1 ,esrt n~oes1s 1 a if1 e q,u~ Y~n' C O'o[ .i, q ue, da,r irnouverntes métfhlod ies iet ,aux ,prog,rès.réa- 1j,amai,s r em/P:1'a mais i1 ma,rclh:emat » 1lique. si :fa111t,con,flflacte,pen,dlwnt sa soo,1ani'é', 1e. mnous ;ilaut, ,en ou- ai,n,Slidre l'éd1Uea1fonanti,afficoo illisiés ldlarnsce 1siècl 1 No,u,s.ne dlevionisp1a,srieslteridans Ie don,nent Pexem1p1e de fa sodleishiabitudes de s'OŒ:>1Iii:été. .L'ex!em;pl e dtu· i11re, ,diesiarltisans 1q,ui aient 'fait un së- lbes,pia1rienrfls d10in/ai 1ne cfelia thiérn1iie,{YUJ'le et simip[,eet miaîlt:irle e1!llllraî1n 1era 'Fadlla,s,S'e. ;riteux :aspiPfentiiJs,sage . Ainsi ,quellls senvi- lbriiétié, i!Jest Œribain que teurn ,enfants ,nou:soontoofa:a. .. de diiire:« Ill ne füut pas . ,par ,oet exemipil,e E. Coquoz. ·ces ne r,enclir:Mt-,on ,µa,s à n,o:s camp,a- sertont ,enJ!lraî111és bo, i lf!e d' a1 ù oooU . , dl rueiiatUtp:a·s .f.a,i-r.ed' a· I!1serait bien à dési,ner que beaU<COUtJl 1gines en d!o~anr!: 1peu!à ,peu ,chta,quecom'bus ... etc.; mJaisnou,s dlevons wn'ir la im:une de ,qu,e~ques agirfowlit:eunqui 1d'en:fanilsne füsisent j'amais en contact !Pardie à .f'a.dte.Nows ,esil;imonsl''enseisoient a,u cou,rant des periiedionnemen~s 1av1ec DeuirsiJ)arenils, ,pa,r:oe,giU'i:1s ne peuLagymnastique scolaire .gnemeintintuitif. Or, 1'eX1en1Jp, '1e es,t 11e , v ent , 1 1ooevroi.r d'eux q, u e die mauvais ,que J.eissoi1en,ces,ont ·a!})J)Ofltés à 1'ind'usmeiillllie1UJ1' moyren ld'i11ll:u1sfu'er les leçon'S , . 1exem,ipiles. Qu'apfJrnndlra un petit gartri.e /Dafüèr :e ,et ,à ila ,culture 1dlu so~, 1hUieaues\t vivant. Dans ce ,cas lie t11a ,De fl'OS ~ours, 10n s'a,cco,r1dieà reco ,s 1<ado1 11duite ,d\m ,pèir ,e qui n'ai.. iC:"estIle ,&Nlll 1moy,en,d,e ;tri'ûlllù,>hey de ç·on g1ou m faut que nou1s ourVlrions lia vi01epar naî~r,e qu'une 'bonine iél~CJationphyis1me . q ue nes oa'biarel~s , d'un ,père qui ne ff;a ,co:naunr.ence,de halllnir 1a roufi1neet [e !}on·ex·eIIliPme et l'ertlflat11Jt s'y élancera qu,ee>stIllécess 'a:Îrie, non pia,s seul ement à 1,eJS)PII'.éj iugiés et Id'a1ssiUir,er ;]a rtic'he5;sè,dlu ,cornnaî:tque lia viied'auber~e? A moins 1es immlédiats.,qu'el1le , c a, u Sie ,des 11vianea;g à nJOitlrie su:ite. En dehors joyeusemient d'un mirfadlte,œ maiJ11eureuxse jeite!l'a lf)ays. 1es, da.ns no,s prio10,oure mais , s u, r t110iut ·à ,caus.e ,des h,eude I1!0S heures de da.s1s iP ,s ·farid, dlanis 1}' abîme dJuv,i,c,e a près OerEeis,personne n'est mieux qrnifüié 1Plliu , ,q1u'e]De·ex,er,ce,d]a[lJS , a''d e .ucanos exerdkeis :r,eux efülets men,aidiessoofai:res, dat11iS m1oir . é té . u ne vid.ime ·du mJauv,aiis exemtt,er 'de :fé:,que 1'ins,fituteuir ipour IP!l'iOVIO'q de gyirnnasti , que, etc., nous auiroins l'ocit i on :de [',iinteiltfü , g , e nce , e t du ctatactère. )1Jlie. ico1nrdes ,ini!iii 'atives, en vu.e d'élever tiouReao,nnlai,sions ;fout d\1bo,11dque ['ê_ 1L'léco:tle est ég1aŒlement, 'dlans I'éldtuca- ,casJon die dlémonfuier,prlaifi.q,uement à jour,s Ire niveau mor-al ,et ma:tériel de 1 d\u;oo ltiion .pihiy&iqu,e ,n'occupe ipas :enoo,re nos é1è;vïeS qu'on ,peut vLwe ag;r:êa'bi<e ,q1Ue,u:n facteur essentiel. notU1e,cfüe,r,ca,nfon. l'l su.filirria ·,souvent fron an:riaiko0Œi ment, p,renidlreu111 pruaï.sfa' s:a,nsrec0urir ',da111 s ,niois~caille s 1l!a 1~aae à t'aquelJI,eeMe .Mlais , i ci, oo111il11e dians ]a familile li.1 lctrunenoour,agement, ,d'un con~eii.il, d'uà l~exioÎ!tla~ion f,ad:icie'dies b'o,i'S'S:onsa,1- 'a ldlr1o •it. ' ,est,d'une ' a-b· irne ,iindi,ca ,tion 1} J'our 1slll!sditerfouite Utllle gmn 'd.e leçon den'eX1eIIJi!)Œ,e coollliiq uies. l.!a 1santé ,die llou.tlêorehumain en géC ~ e,slt a iin~i que IllOU'S dev.o,ns so[iu , e néce:ss1ité. SiéllilJS ~ e bon -e:iremjple, 1exis~e,ncede 'diév,ouementet ICÎle bioofu.irs i11iorttn ale et 1agiir,en toute ocioaisfon,piar une action inétail ,rêd~ame,une 18Jdi:vité ,i'l'!:le n' abouti·r.ait , :p/JJusim- U'éclludationanHal!lcoo,1 rda,ns u,ne ,car,r,ièr,e ,pluisé12e\llée h,airmlo!Ilii,q ,ue des 1]oroes..1!)aflentesdlan)s de l'enfant. ,intime s,ur illavie r,êéfü1e ;pais. S, U Jp1pos1ons ,un inis.tiant que l'inst1i· 1portlan~e,et 1POIUls ~êoondie. 1L' ins,f:riudfüon antilaliicioo 1l~que sans a1p- n o,rgim1iisme ·' 1J1es idiif1ficu!lités:et les exitut,ewr ,ne flasis,e,que donner sèchement . fo.ujouns tpl1u ,s fortes ·de ta iv1e 1p1Htca ,tion riéellŒ1e à Dav1i,e es,t lettre morte. ·crerne!es d SJa n s oonviotion l'oo'sieigneme.ntanti· U'h)omme 'à ld~p,~oyiertoujourris Notre o/ojie,etÎ!Î prii,ndp\a :l reste téd'uoa- ~b!Ligten't 1afoo10Hque, ·qu'en riés,u~rtera-'i:-il pour f.a :j: AV& qiu:elsu,r,ga,u,t on liit d'ans }'Ecriture : s <d'lérner g:ie ip our me'btir e ·à !})flotîit ses ·fion a111it:i 1all'do101lli 1q,uie . Getlteéidudat:ionsieu. IP'1n art de ses élèv:es? Aumn hiein. 1.;a })11UJpi • Toot homme est ~teutr ». - Avec que]le sia . 1Ue piaujpérismea si0<uv-eint 1'eestcaipiabille de traœ'floirimerles mœurs facullHJés mota,1e Ide Œasiobirié~éest .comm1etoute tri·s'!les,se011 voit quie le m~t n'a pas mmti! , c iaus,e ip,flem l iène · d )anis 11e m1anqitte ide sa1 ,a,u.lJremior1aŒ e, eil!Jie n'a d'e vra1ieurque si 'adbu~ies. Lei,bnii1tz a d!iit,aviec inf'Îni1
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1V1oi 1r~aire ldlel'homme, et ,cette inoapaciité p rut ,êtr·e,1dlarnis 1bi,en1d:esreas,a,ttr1hu.éie lau manque de ,oeté!qui11ibr,e Idei"adivité. !La 1prosipériitié 1d'wn[)eu,pi-ene dépend lpas seu[,ement tde ·sion\IJiiavail•et de son laotivfLlé,mais artliSSi klle1'estime et de lia iconrfirancede isni-même,c',esrt-à-dire,rde lsorn'énerg.ie. 1L'édurcatiron1seu!le donne 11 :a. forne nécessaü,e à ae ,oo,u:1;age. Comme l'a si bien diirf: P,es.taŒoz21i « [1hommedoit êlmecap1a ,b\le,très hiaibileet apte à tout. >> IPù,usq'édm.ca Hon d iun j,eune \homme ,est lhiairm1orI1i"q1.1te, rni,eux H es,t1pll"é[pia ré à !La ll;u,~te 1pour ,l' ex:,i ·s,ten,ae,C!arrill1esi i,ncontes. lflarbille,que IJ.erdévièlioppernent généraQpr.old11.1H rJ:a,santl!édu co,f!ps:et ~,e-rén!dmi!eux (aipitie iau rMe ,q.u'i1l eiS:t.a:pipelléà j,oueir 1
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iposerà des résist'a,ndes rqtu'~lsernit 1par:fidisaussi d'i.f,f.idlte que dêr:aoisonnrah:le de :v:ainar,e,,eten :11aae :dteS1queines , l'autorité (du maî~e Œ'isiquernitfo1I1t de s'amointlrk. ,
2. Exiger d'eux ce qui a été ordom;é.
Qu1arnid on /a c:omma,n1 diéru:ne,chose .railson:nabllie, ,pos,sibilJe et .nrfüe,il faut .exi,grer !des ,en.fianilJs une obéissanceentière,sans 1pro:tesfla1Jion, ,nriidemi-ll'dus, une obéissance immédiate et sans d!éJ.iai.S,i l'en 1iantrésiste, id faut r:eveni.rà l,a char,ge :sans co:J.ère, m1aj1s •a:uss1i sans faiblesse, ieJt1aNec 1pws:évlériait1ae, juSiqu'à .ce qu'on ait trJo,lil)p 'h'é de s1on oostiniation. J.l ne iaru,tpas ,se r'liaisserdésarmer ruipar se-s rca111esrses, ses r,irres,,1S1 es .cajofories,ni piar ses fa!rmes, sies arts, sers bo;udreird,es ou lpllu:s rt:ard . ses co1èrres. 1Le hurf:.que f on pou,rSittîten gymna,splus faci1ti,q1.1te sieo1afre,n~est,en aucune :flaço11 de 1 3. Pour nerMrel'lobéissance ' l e ,à \'enrflaint iŒ rest bon . d e füui inspirer la lpJ:10 cllui>re uin fü:~av:a~l 1stpéciallbâen dékr'Conf lance en ,ne ]e .tmormtpant jamais, de ,mirrré,m1a,is ld'ofltrir arU ,dO'lll)'S rde ,l'ena'U'i ins,pirer la sympathie en l'aimant et œantf ocda1sfon 1d'assowp[,ir ses memhlfes ,et ide oorntr ,irhurer,au ,dfév;eil(o 1pfPementra- en 1Judmonnran!tnotre ,a@fection,de lrui bien ce 1s. Toute ,:Borce tioimne11de ,sio,n,do11p 'Orfgia- ins:pirerdu respect en sadhlanJI: '!que , n oms vou.lllons d!e ùun. · 1 lniqure,se c!Jével ,01pipe IJ)ar IP. action. L'ef4. ,Ill faut 1amener l';enfant à vouloir ~orrteeJt'dlonciun ,lJeSiodin nahtflell,,et,si ce 1on de l1ui ex1> !bres1oi ,n ,eis~S\atirsiflaU, ,dirigé et pl10'voqué ·obéir, et 1po,u;r,ce1,a,•iù eis:t (P11rq-u , e r brièvement l,es ria • i sons des orid'une façon mëtho·dd.que, 1fa ,gyrJninas.fiidires que nows .Lui 1 d hru1ons, n0<11 certes lq.ue 1a:urra ,remlJ)'l ,i rr1ernenfi.el de s:a tâehe ipou.rr ,qrU'iù di,smte ces :rais,o,ns , ou qu'il 1e,tc'est !afois:i1q1u ,e nrous fü><U<s aolremline1!\0rnsve,ris1ta ,rêaWi.9aHon, •en partie :du erg10,te; - il ne faut jamais lUi permet1mo ,Ln:s,ide ,oe [l)iri ,nio~pe: ((Unre âme Siai- tre des dis,cassions;- mais pour qu'i'l 1comjpr ,enn,e .1es motifis de ,oe que no,ns rne àla,nrs un oor,ps sain». 1lUJi , o ommlarndon 1s. ,mexêauterram1euxles -- -- ..,.., (o,r:dresqui~1j1u:stifieI1a·1,ui-mêm~. 1
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Savoirbiencommander
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Dictionnaire des lieu:,c communs Contradicteur : Mon honorable contradictout ce qu,e fon commlandlea,ux enfants teur. Tu l'appelles ainsi à la tribune, et tout '1S,erait.,il•étonna111rt ,de ,c0rnr&'ba<te 1r un cfié- bas, affreux coquin, affreux drôle, qui se i:l1autd'bbéislsa,nce, si ,1\ es enfa.n.ts ont mal permet d'avoir une opinion contraire à la mienne. - Dédale : le dédale des lois. C'est entend'u on impia.rfaitementcomrpris ce grâce à ce dédale que les avocats font.:des ·oue l'on 'demande !d'eux? lJeur imposer affaires si fructueuses. - Education : les ,ives ,ou bien cho·0u.1n- bienfaits de l'éducation . Ont quelquefois les (des ,choses ,ex!cesis ,t,esJ.WrtlfeUX,1a~orsmême ·q,u'et1es ri~s1e. mêmes résultats que les malheurs de l'i1no1mienrf:,point ridlicu~es, ,c'esit ,au.ssi s'ex- rance.
1.
Eire clair, f]récis, raisonnable en
1
' ECOLE ~
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NJJ
~
PRIMAIRE ORGANE DE LA
SOCIETE
VALAISAllllE
D'EDUCA. TI0:1 SION, x5 Avril x92o
~~:,::~===-=..,,.,..Ladévotion auSacré-Cœur et l'éducation
diwoa,tiond1oi,t r,eposer sur Jésu,s-Ohrist, œrntirede foute s·agesse .et de toute for. = ce. C'oruséqu !errument'l!es s1enitimentsdu !_Les_ ,peris.onrnes qui propageront cetite ~œ~ir a:dornhllredie notre dï,vin Miaîitr·e dévotiona1UJ1ont leUJrnom éorit dlan:s dowenrt:êiire la base ~ la su:hstance de moncœu;r, et i,},n'en ,sena j'amai,s eflfa- l 'êldlu. CJa1tfon dha.'êifienne. cé.(rN.-1S.à Va B. MJalI'igrueir,it ,e~Marrie.) Ill ,e,s,t,dès Ions aiblsoiliument nëcesisaire QuelllJ.e ciorn;?d!a~,t~ promesse! que]le so~ce de benecfilchon1s et de paix! N'y qu,e le maî,t!res10udeuxde l' aœomrp11iisa-t-ill pas lrà dre :quroi enga,ger tout loe :s~~oot :d1e sa milSls ion s' a!P/Prürp,rj,e 1e,s monlde, ,et su:titout,no,u.s autres maît,res d!es! ,ns d)u OœuŒ"de Jéslu ·s et une flairs iil. es.timdéoo1eà trla.V1ai11ller a1C'flivemenrt à J''ex- qu 'rŒen aiura prr-i,sl"hla:bi:budle' tensiond'e }a dlév,otion au Saor'é-Cœur? prns1si~Q,e qu'i1I ne s·e sen~e :P~S porté A de fout.e1s ses fü,pceisà la réa~ .iPremiws nous ein retir:erions de ~aVl':11~1rer prec1eu~ éllVarnlfla ,ges, siarn6compter l'heu- hsa,tion elleces dlésirlS.Quoo,d en Jéreus,emrffl,uencequ',en rtessentrirait no- srns-Clhl_11i61t on s'e1sta1oco·uwm~à voir ginem·en!I:. ie enrsei ~,n a1I111_ et le ;p,~s tenldiredieisamis, H ,est Puis~erut]eisrêfüexionrsqui V'Ontsui- imipos,s1 ,pas à le 1~e ,qu on ne chreiriche lYeêlJriegoûtées des 1eicielllliS de l'Ecole !a1,rre a1mer. Gomnnienrf: po.urr:rait-ilen primaireet trourv-erde nombreux aidhé- enr~ ~wtiremootcih'ez1,es ins1ti.trufourrs du ren~~,~ ,s les raJng,sdeis instituteurs ·et ~~Œa1s?Aip;p,ellléisà ÎiOI1IIHrr i'a jeunes1se ~tuiJrrces dlu Via1lais. Il en sera ai.nsi ·~_unpeJ1.1pd1e qui nagruètne,fons diennouIl Dierudlaigmeoonirrœs lignes. °h!J1~ll1e demon,s'ùr:a ,tion reHgieuse du 22 mm 1893, à VaUèire,se cons·arctraitso, lemne~ement.au dlivin Cœrur:rdie Jé&rns Pb-Uir être réellltier!entfructueuse, l''é- ' 11.isdlod \IJerr1rt: chrer1clh1~ ,pair tous :tes mo1
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