Décembre 1921
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Publication fondée en 1881 L'Ecolf} primaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la couverture y comprise, et autantr de suppléments de 8-1 6 pages pendant l'année o.-dinlli.re (soit du 1er Janvier an 31 Décembre).
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Sommaire de l'.,Ecole primaire"
tion de la jeunesse, d'assister nombreux /Pensée pédagogique. - Autour des aux conférences projetées dans la série réformes scolaires. - ·Pour exercer n'est pas encO!fe close. Ils y recueill'autorité sur l'enfant '(suite). - P.ré- leront bieml des idées fécondes pour l'enpa'l'ation de la classe. - Formation de seig,nement non seulement de la bible, mais aussi de l'histoïxe et de la goog.ra. la mémoire. - Vn peu de tout. , prie. -0En effet, ~I.a œmdéristiqtte de cette Sommaire du Snpph1ment No 10 mêt<hode, c'est qu'elle Cherche à eXJCiter ILe symbolisme catholique. - Le ter- dhez l'enfta.nt, dès l'âge le ,plu& tenme,· rible demain. - 'Les montagnes dans l'attrait Ide l1a Œ"ehgion, en tf>r:appant son la religion. - !Pour devenir 1ricbe il imagiooti'on neuiVe 'Par des tableoox faut naître pauvre. - Les engelures. animés. Ces tableaux, aux teintes harmonieu- Les parfums.~ Quelles œuvres organiser à la campagne? - Les petites ses, lfeprésentent .d'abord, œmme J:ond, sœurs. - Mon cousin Etienne. - La les lieux 1Prino1paoux de 1.a Terre-Sa mite; les :pm-onn.ages et aœessoires ne sont paix est haute. - Variétés. --ofixés su.r le tableau qu'au fulf et à meq.ue le récit se développe. De cetté Suppl. extraordinaire de décembre sMe manière ~h'aque idée se trouve immédiaVoici Noël. - Un réveillon de Noël. tement ooncrétisée: l'enflant voit tout ce - ILe Noël de Pierre-Marie. - La qu'on lui dit, il ne V10i~ ·que cela; son e~ chapelle blanche. prit n'est pas distrait ·PM des détails· - ( )inutiles tOU difficilemerut eXiplicables, comme cela anrive dans l'emploi des taSommaire de la couverture rPoU!f les petits. - -Le rôle de la fa- b1eaux ordintaires. Un autre avantage, c'est de groUiper mille dans l'éducation. - Les rxamens en .gu-ailldes lignes les ,enseiglflements de de recrues. - Tarif postal. -- Nous-. la bible: tdans l'Ancien Tes!Jament, les veautés de librairies. - Annonces. faÏJts .qUJi annoncent oo prépalfent la ve-o.nue du Messie; da,nSt le Nouveau·, ceux Pour tes petits qui !font connaître la vie et le caŒ"adère On ap,prerudœ avec ,plai&itr que Mlle de NotreJSeignetJ['. La matière e~t ~par Galhery, .qui s'est fait un nom ·dans les tie de telle sœie 'que ces pnnc11paux œuwes de jeunesse et est déjà avanta- faits coïncident avec la date des fêtes gewsement connue dans quelqu'eS mt- liturgiques; si bien qu'an.t oout d',une lieux valaisans, est revenue récem- année l'enfoot 'a une idée claire de la ment dans notre canton ex,poser sa mé- trame de l'histo:itre. Le prog.namme, destiJllé .aux enifantt thode d'enseignement religieux ;pour les de 4 à 6 ans, pa!OOît dhall'gé, et œpen-' tout petits. Aytant assisté à un oour.s donné à dant 'Ces jeunes cer.veaux se l'assimi1ent· Ttbonon en juillet d&nier, des membres sans peine, ~~I1âce tà l'intérêt .que susci: de notre cor.ps enseignant ont pu se r~n rent Ies tableaux ooimés, rg tâce aUS.Sl rdre oomrpte de l'eJOOellenœ de cette mé- aux IOOOUtpations manuelles (telles que thode; aussi ne saurions"'llous tro,p re- déooUipage des 'Objets vus, pvq,Uiage, etc.) oommamder à nos maîtres et maît'fes- qui suivent 'Chaque ·leçon. ses d'école et, d'une manière génlérale, Cette mlétho.de .plaii1a sÛlrement à nos à rous ceuoc 1q.ui s'intéressent à l'éduca- petits oam.pa·gnavds, et même aux plu,s
~nands; rous prendront .goû·t ~ œtte ~ tude imp·ortante de la b1ble q.u1, depu.s J'introduction du nouveau livre de lecture, semble quelque ,peu m~gligée maintenant, tau moins dans un œrta.in nombre d'éco1es. Aussi, lorsque plus far.d, notre jeunesse ira, s'il le faut, tà l'étranger, sa [eligion, moins faite de Toutine, risquera moins laUISSi de s'évanouir aux pœmi&s souffles mauvais. 1Pour •condwr.e, assistons nombfieux atliX oon!férences annoncées. Initionsnous à œtte méthode destinée à produi. il'e 1de lbons ~uits, pourvu .que chacun la fasse sienne tptaa' rune IP.rêpaœtion personnelle. 1f1aisons des saorifiœs, démngeonsnous · l'âme de nos enfants en vaut la peine·. (Communiqué.] --()-
Le rôle de ta:ramllle dans l'éducation d'taŒ>rès
La >Maison, Ide M. H .S'Or deaux: 1 ) 11,
Glorifier· la famille, le foyer où }',homme essaie ses !IJII'em~ea's pas, où il apprend à ()Omprendre et à aimer, où il ,se prépare fPOUŒi les 1uttes !futures, où se forme son ca11actère; étu.dier les dangers 'q.ui menacent l'union des ~poux ou l'éducation donnée 'PM les ;parents, vrulà: la 'belle tâohe à laquelle s'est ·voué ici M. Bordeaux, l'excellent éoriv.ain ca. tholique si avantageusement connu, dont on lit toujours avec plaisir et proQfit les nombreux 10u:vmges. Ce1ui que nous alh:ms essa'}'er 'd'analyser auJoUil'd'hui peut -cer!Jainement !Prendre !Place pMmi les plus attrayants. La Maison est en quelque sorte la biogmphie d'un jeune homme de 8 tà 18 ans et l'histoire .de la orise .par la· quelle il p.a:sse, séduit .qu'on le VIOit par les théories insinuantes et douces d'un .___
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1) Otez .Plon et Cie, librairie, Paris.
disdple de 'Rousseau, ami de la nature et ode la 1iberre, cherchant à se S'Oustraire insensiblement à l'autorité et aux tradititons de lta famille, impu.issant à rompre le doonier lien qui le lfetient à elle et abandonnant., dans une crise fin~ale, au chevet .de siOn père mourant, son orgueil et s-on êg~oïsme. Le père était oo ihomme énergique, droit et maître .de soi, ~mposant la con. fiance par sa seule presence: «Quand on ~avait anoonre: Il est là, c'était fini, toute inquiétude se diS'Silpait aussitôt, chacun lfesJ)i'fait comme après une victoire. » La mère, douce, sereine et bonne, possédait et communiquait 1e calme in· térieur que donne une foi vivante. Tous 'deux Œp.and.aient 'donc une impression de ,paix, de sécurité et ode protection, l'un tpaŒ" sa fermeté, l'autre par sa force momie: ils étaient bien la tête et le cœur de la maison, «toujours d'ac0011d », disOU·t ant de l'avenilf des enfants «sur ce ~on œlme et oonciliant .qu'ils avaient accoutumé de 1prendre pou'r régler d'un commun a<JCO:tld les questioilJS qui nous concwnaienlt! »; ·lui, «dont l'autorité semblait inooronlable tet infai11ible, se t()urnrait vers elle comme ·s'il lui reconnaissait une tpuissanœ supérieulfe » ; }eU!f partfait·e union, Jeu,r confiance reciproque, leull' fermeté adoucie ;par la gaîté, devaient donner to0ute sa valeur au système d'éducati'On qu'ils employaient. La 1Slo1iodarire .qui unit les uns a.ux ~autres les membres d'une famil1e, la nécessité. de pe.npétuer la tradition de fidélité au devtOir mise en honneur /Patr les ancêtres et 1rr'.ansmise tde 1père en fils, l'importance et le sérieux .de la vie, l'a valeur at· tachée à la vocatitOn oho.isie, voilà les principes •qu'ils s'efforçaient d'inculquer à leurs enfants 'PM' la pratique de lewœ enseignements, -car si 1es tparole·S émeuvent, 1'exeffitple enwa.tne. lfermes sans raideur, sérieux sans austérité, g~ais sans excès, ·dévoués au roi et plus encolfe là la 1pa;tcie, fidèles par
dessus tout à Dieu et .à son Egli:se, dominés par l'idée du deroilf, ils. tâchaient de former des fils lfespectueux, des ciroyens dlé\noués, ·des hommes soumis aux lois ·P'M l'amour de l'ordre et de la discipline, des indivjdus .distingués et forts wavaiUaJilt ,POUJr la S·OCiété. Tout tendait à ce but: les pr:omen&des, dans lesquelles le !Père faisait admirer la naturre et le glénie .avec lequel l'h•omme l'utilise: les lectures ·de biog<raphies éveilLant dans l'âme en'fantine .des désirs d'idéal, de dévoûment, .de vie noble et belle; les recittS de la vie des ancêtres, h10mmes sililJ:lles mais intègres, ooUa:bo:rateurs modestes à l'œuvre .de la civilisation et du 1p.rog:rès. Le rpère ne manquait jamais l'o-ccasion de •rendre hommage à celui .qui lui «apprit l'importance, la beauté, oui, la beauté de l'ordre qu'()n irnpo,se à la natilllre et à soimême. :. Cette édu.cation, ni brutale, ni coercitive, est 1a bonne, à la oondittoo qu'elle laisse à l'enfant assez d'initiative pour qu'il comprenne .auss.i à se diriger palf soi-même. II. Si, dans l'éduœtion intellectuelle, tl faut teni·r ·compte des besoins de l'enfa!l1t, évei11er ses désirs et ne .p as le brusquer, il est indispensable, dans l'éducation du caractère, ·de donner des habitudes; or, La .première et la plus importante est ceUe .de l'()béis1sance, -consentie d'abond léllve.c 1peine ,peut-être, mais plus ta.r d voulue ·joyellJSement. Les parents j-ouissent aux yeux de leurs jeunes enfants ·d'un prestige incontesté: ils ·ont la stature, la for-ce, l'âge, le savoir. l'expérience; ils n''()nt pas besoin de tout un app-areil p>our se flai!fe craindre et respecter; à eux de maintenir et ·d'affermir ce tfeSjpect et cette confiance; à eux de gar.der le prestige de l'autorité et .de sauvega•J.1der les droits de la hiérar~hie. .: L'enfant dl()it être libre», a -t-Qn d1t, et l'•on a ~con:fiondu liherté 1avec licence ou
ana~œhie;
l'on a oublié qu'être libre c'est lj)rendre une .attitude en faœ de la v.ie, c'est se .dominer Sl()i-même, c'est im. 1p10ser rune limite à ses pl[!opres désirs, et que cela s'acquiert .par tline IJ>réP'aration longue et .parfois douloureuse; êbre libre, c'est reconnaît-re ses deVIOi'fiS' et non seulement faire valoir ses dr'()its, et cela ne s'enseigne pas dans les discours, mais par une éducati-on .de toute la v.~e et ·de tous les instants. 'Les « gâtions:. comme nous les avons entendu appeler, ne sont nulle part des êtres libres: le plus souvent mécontents de leur sort ils ne sont 1pias des «faiseutfs de joie»; or un être 'libre d()it être joyeux. D'ailleurs le vieil adage est touj·ours V!Tai: il faut a'V'oia: obéi 1pour saVIOir oomm.a:nder. Qui .doit donner œtte ~dlucation sinon les ,paren~s? Ne sont-ils pas les mieux 'Placés ,pour observer, ·étudiw et :suiv.re leUJrs enfants? LeuiiS efforts vigilants n'empêchent d'ailleurs oollement ceux d'autres 1personnes, des maîtres, par exeiDjple, qui .p ar leur oa:ra~tè re et par leu.r enseignement peuvent exercer une influence même sur les élèves :Eoti1I1és avec soin. Une chose certaine, c'est que les élèves éduqués :Par Ieu:rs parenfs dans le sens où nous l'a'VI<ms indiqué. sont ·toujours plus furts ,pom ,résister aux crises intellectuelles et morales ·de l'adolescence. C'est ce que devraient comprendre pères et mères. Malheureusement, dans œrtains milieux, .pouŒ" ne ,pas dire un IJ)eu dans toutes les dasses de la société, beau.c0'\11p reruoncent <à cette l·ourde et belle tâdhe de l'édu<:a.tiiOn, par fatigue, ,pa'lJ JParesse oo 1p ar incapadtté; d'autres - kès nombreux -- .considè· rent 1etlirS enfants ·comme des insbr.u· ments de lfap.port que le Ciel leur envoie poulf leur êv.iter des domestiques coûteux et g·êillants; le présent seuŒ· 1a du fPrix .à leUJI's. yeux et ils ne se préoc· cupent pas. de !'·avenir. T()US, d'un commun .aooord, laissent !au personnel en·
seignarnt seul Le ·rôle técmSJant .d'édu.cateU'r, heureux encore quand ses efforts ne sont •Pas oriüqulés ou cont·recarrés.. Hélas! il 'fa·tild~a sans doute .att.endre Jongi:emps enoore le j'oulf où les enfants .pou·nront toUs 1d1re, oomme le héros de La Maison <P Mes .~arents. aimaient la g-aîté, se pltaisaient au bruit que nous faisions, mais ils me se moquaient jamais. Ils :pren:aient la vie sérieusement comme une occasùon de bien agir, et il~ estimaient qu'elle mérite les plus•gtrands ég.aros. :. P. ·P. ---1()-
Les examens de recrues
puis si longtemps en vigueur qu'Ft n.e pui>SSe se trouver des gens encore ,peu familiarisés avec ses ntouvelles taxes et dispositions. A l:a fin de l'année, 1i1 y a touJours recrudescerrce d'activité épistolaire et commerciale. Il n'est donc :p as superflu de donner à tilouvea.u le tableau des princi'pa·les taxes 1postales, afin que· nu1 n'ignore ce qu'il .aura à JPayer poùr ses correspondances de fin d'année. Suisse Etr
Taxes po:males, .en \centimes. . Lettres jU'squ~ 260 gr. 1cJ!ans le :rayon local de 10 km. 10 en dehors J(lu rayon local 20 L'Cttres, jusqu'à 20 gr. 40 pour ma-que 20 ~r. en plus 20 Caries .postales simples 10 25 avec ·répon-se J>ayée 20 50 Imprimés, j.usqu'.à 50 gr. 5 50 à 250 gr. 10 250 à 500 gr. 20 par chaique 50 gr. - 10 Pa!ffers .d'a'flfaires ~omme les lettres pa•r dili.q. 50 g•r. (min. 40 c.) 10 Echantillons, jusqu'à 250 gr. 10 250 gr. .à 500 gr. 20 'Par clJ.aque 50 1g1'. (min. 20 c.) 10
Depuis ·qu'une Vla!Ste .comm1ssion d~ex. perts s'est <Ooclll}lée 1de la Téintr.ocJ!uctton des eXIamens ~ recrues, adaptés aux dPoon&lfances actuelJes, le silence s'est quelque peu1 fait .au sein du publ.lc, et les ·discu'SISions poUJr ou conhre se ~ont apaisées. Les irnsilances fédérales rom,pétentes ont mis, .de,puiiS, à l'examen la gruesfiion de l'application praHque Jes pr~positions émises en leur temps. Puis une ·commission ,p~us :restreinte s'est réunie ·qui compte soumettre l'an pro~ chlain à la gmnde commission d'experts -'()des .pr<Opositions positives sur !'-organisation des examens de 'recHres. Elle a Nouveautés de librairie proposé dlélns œ but que chaoun des· experts exposât .p ar ëcrit S'f>III avis sU[' le La ii~rairie •Payot, rue de 1Bourg, à 'Lanchoix des disciplines d'examen, .sur sanne, VIent de uous adresser: l'organisation de œs épreuves, le choix .l\IDN JOLI 'ilW'RE ViBR,T des e)CJ>ents. le SYstème .d'~a~ppréciati()n, de M'me Badlef, â Genève. (Prix 2.50). Ce etc. On pe!l!Se qu'oit sena IOtWO!f·tun, après d!aTTilant ouvrage, comme les précédents du la disrussion et les éclai·rdssements même auteur, .continu.era à faire le bonheur voulus, d'organiser, en manière d'essai, de la jeunes·se en train de pénétrer les mysun ·examen de recrues SUir œs bases tères d'une thonne lecture. nouve11es. juSJq·u 'à ce mom:ent-là, les CAIUE MANUBuUE DE •I.:'EUROPE examens de r.ecr:ues restent Slus,pendu-s à l'tJ,Sage des élèves, (1.25). Cette notwelle comme ils le furent œs dernières an- carte, lir~ â l'échelle 1Je 1 : 11000000, provient nées. de Plnstitut géo.,rrraphque Kummerly et Frey,
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Tarif postal Le nouveau fa·rif postal n'est pa's de-
à Berne. ·Les Etats y sont délimitéa selon les différents trai!és de paix oconclus depuis la guerre.
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L1HARMONIUM R51JIOIBUX. - 2e vol. - Collecli·:m de morceaux variés pour tlarmouiwm ou orgue :;a•ts pédales ob!iiées. Recueillis et transcrits par P,erre Allevard. - Fœtisoh Frères S. A., é:b· ieur, Lausanne. Le premier volume de la collection de morceaux variés pour harmonium ou orgue sans pédales obligées, a obtenu un succès telle· ment significatif que les éditeurs n'ont pas !hésité à continuer 4a série de ces œuvres fa· ci tes·, mais ohoisies avec 1u11 grand sou:ci all."tistique. Dans le deuxième volume, nows reJevons particulièrement les noms de Franck, -Bach, Handel, 'Liszt, Ohopin, Mozart, Wa· gner etc. • L'Harmonium Religieux • ne tardera pas à devenir indispensable.
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d'ubiquité. On le rencontre partout à la foia à CuJiy, au Sépey, à Eohallens, à Grandson' à la Vallée, et du côté de Œngins où il riÎ contre les Genevois! Dans tout le canton on l'aime et on écoute ses histoires les vieilles ---. tou.jours IWtiVelles - et ,les nouvelles qu1 valent les anciennes Sa bonne humeur délfit le temps el la méchanceté du siècle. Heureu. sement pour lui et pour nous, on peut bieo dire: Toujoû le même ce Jean-Louis!
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~ LES >BAS BLEUS et autres ihisloires pour garçons et filles, par Marg. Piccard. ~ 1 vol in-16. - Editions SPES, Lausanne. Madame Piccard a pu donner à cette petite histoire de collège - la première du volume :- une saisissante vérité. Sans moraliser, elle œmpose une leçon de très haute portée. iLes au1res morceaux sont de même sorte de v.raies petites tranches ,de vie enfantine d'ua réalisme excellent til"op souvent absent des ou wages destinés auoc jeunes. Donnez cela l un garçon ou à une fillette, vous leur ferez plaisir, à coup s1lr, et sans qu'ils s 'en doudent, vous Jes rendrez meilleurs! Connaissez· vous beaucoup de livres récents dbnt on e11 puisse dire autant? :1: Vous rega1'Xlez œs grands du monde:
du lit de mort, qu'emporte~~~t-ils ? Grandes ter· res, grand . train, demeures somptueuses, il leur faut latsser iout. S. Augustin.
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