1ère année
1er novembre 1956
L,ECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE
WALLISER SCHULE ZEITSCHRIFT FÜR JUGENDBILDUNG IN SCHULE UND ELTERNHAUS
1. Jahrgang
Nr. t
1. November t 956
Rédaction: MICHEL VEUTHEY
LJECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE
Office de l'enseignement SION
PARAIT CHAQUE MOIS
1re ANNEE
Redaktion: Prof. ERNST SCHMIDT Schulinspektor
BRIC
. N° 1
SION, LE 1er NOVEMBRE 1956
WALLISER SCRULE ZEITSCHRIFT FüR JUGENDBILDUNG IN SCHULE UND ELTERNHAUS
Tel. (028) 31516
ERSCHEINT MONATLICH
1. JAHRGANG . Nt". 1
SITTEN, DEN 1. NOVEMBER 1956
PROPOS LIMINAIRE
ZUM GELEIT
Artikel 75 des Gesetzes vom 16. November 1946 über das Primar- und Haushaltungsschulwesen hat die Errichtung eines kantonalen A11'l-tes für Unterrichtsfragen vorgesehell, dem im wesentlichen folgellde wichtige Aufgabell. obliegell : a) das Lehrpersonal über neue Unterrichtsmethoden aui dent laufenden zu hU'~ten; b) die Prüfung der Lehrmittel hinsichtlich ihrer Übereinstimmung mit der Entwicklung der Methoden; c) die Vorbereitung der notwelldigen Unterlagen, wn den Unterricht dieser Entwicklung anzupassen ; d) die Sammlung jener Veroffentlichungell, die für den Unterricht nützlich sein konnen; e) die Beratung des Lehrpersonals in seinen Amtsverrichtungen ; f) Entgegennahme und Studium der V orsch~iige, di.e ihm von seiten des Lehrpersonals gemacht werdell und Hilfe bei der materiellen Vorbereitung der [(lasse; g) Fordel'ung des Unterrichts dlU'ch die Verwendung von Radio, Schallplatte und Bild; h) Pflege der BeziehL/ngen zwischen der PrimaI'- und MittelschL/le. Die Zeitschrift, die wir heL/te vo,..~egen und eine stèindige Ausstellung von Schulbüchern und Schulmaterial - sie wird zu Beginn des niichsten }ahres eroffnet - werden die hauptsiichlichsten Mittel sein, mit denen das kantonale Amt fiir Unterrichtsfragen die ihm durch das Gesetz übertragene Aufgabe el'füllen will. Sein hauptsiichlichstes Anliegen wi.rd - wenigstens für den Anfang - die V o:ksschule sein. Es setzt sich aber noch eine weiteres Ziel: die Zusammenarbeit zwischen den verschiedenen im Wallis bestehenden Schulstufen zu verwirklichen ; die Bestrebungen von V olks- und Mittelschule mit einander in Übereinstimmung zu bringen ; die }ugend über die bestehellden Bi;clungsmoglichlceiten bis hinauf zur Universitiit genau zu unterrichten; unsere Schulen den Beclürfnissen einer Zeit anpassen, die in stèindiger und ras cher Entwicklung ist, und sie zu einer wahrhaft lebendigen Schule im Dienste unseres Volkes zu macheTi . Dieses Programm ist umfangreich ; es kann aber verwirklicht werden. So gla.uben wir es wcnigste1ls. Wir zèihlen dabei auf die aktive Mitarbeit der Lehrlcriifte aller Schulstufen und aU der vielen Walliserinnen und Walliser, 'die sich mit den komplexen, schwierigen, aber interessanten Fragen beschiiftigen, we:che Erziehung und Ausbildung der kommenden Geschlechter stellen. Diese Mitarbeit wird ' uns bestimmt nicht fehlen. Darum legtm wir, mit einem aufrichtigen Dank an Herm Clément Bérard, der durch so lange Zeit die «Ecole primaire» des Unterwalliser Lehrpersonals mit Auszeichnung redigierte, die neue Zeitschrift in die Hiinde ihres Dire1ctors, Herm Michel Veuthey, sowie des Redaktors für den deutschen Teil, hochw. Herm Prof. Ernst Schmidt, Schulinspektor in Brig, und ihrel' Mitarbeiter. Wil' wünschen ihnen Mut und Begeisterung in der Erjüllung ihrer wichtigen Aufgabe jür die kUJlturelle Entwicklung unseres Landes.
L'article 75 de la loi du 16 novembre 1946, sur l'enseignement primaire et ménager, a prévu la création d'un Offic~ cantonal de l'enseignement qui a pour tâches principales : a)
de tenir le personnel enseignant au courant des nouveCes techniques de l'enseignement;
b)
d'étudier les moyens didactiques en rapport avec l'évolution des m,éthodes;
c)
de préparer la documentation nécessaire pour adapter l'enseignement à cette évolution;
d)
de recueillir les publications utiles pour l'enseignement ;
e)
de conseiller le personnel enseignant dans ses fonctions;
f)
de recevoir et d'examiner les propositions du personnel enseignant et de l'aider dans la préparation matérielle de la classe ;
g)
de favoriser l'enseignement par la radio, par le disque et par l'image;
h)
de veiller au contact entre l'enseignement primaire et l'enseigne1nent secondaire.
La Revue que nous présentons, et une Exposition pe17nanente de 'manuels et de matériel scolaire qui sera inaugurée au début de 1957, seront les premiers instruments de la mission assignée par la Loi à l'Office de l'enseignement. La préoccupation majeure de cet Office, initialement au moins, sera l'enseignement primaire. Mais son objectif vise plus loin: coordonner tous les secteurs de l'enseignement donné en Valais, de l'élémentaire au secondaire; orienter la jeunesse d'un degré à l'autre jusqu'à l'Université; adapter constamment l'école valaisanne aux besoins du temps en perpétuelle évolution, en faire réellement une école vivante au service de la jeunesse.
Ce programme est vaste. Il n'est pas irréalisable, croyons-nous. Pour le re1nplir, nous comptons sur la collaboration aCûve des maîtres à tous les échelons et des nombreux Valaisans que préoccupent les prob'l èmes complexes, délicats et passionnants, posés par l'éducation et l'instruction de la génération montante. Cet appui ne nous fera pas défaut. C'est pourquoi, en exprimant notre reconnaissance à Monsieur Clément Bérard, qui a su animer si longtemps le périodique de la Société valaisanne d'éducation, nous mettons' avec confiance la nouve:le Revue entre les 1nains de son directeur, Monsieur Michel Veuthey, du rédacteur pour la partie allemande, Monsieur le professeur Ernst Schmidt, et de leurs collaborateurs. Nous ' leur souhaitons du courage et de l'enthousias1ne en face de la tâche importante qu'ils assument pour le développement culturel du pays valaisan.
Der V orstehel'
Le Chef
des El'ziehungsdepartementes :
du Département de l'Instruction publique:
~.
~.
»
conna/;ssance MICHEL VEUTHEY
En toute simpiicité, «l'Ecole valaisanne» vient offrir à ses lecteurs ses premiers hommages. Elle part à leur conquête avec confiance, car elle n'a d'autre ambition que de chercher à les aider. Elle peut d'ailleurs s'appuyer dès le début sur une longue expérience. En effet, si elle est neuve sous plusieurs aspects, elle continue « L'Ecole primaire », qui fut pendant 75 ans l'organe de la Société valaisanne d'éducation. Nous traduirons certainement le sentiment de tous ses lecteurs en profitant de cette occasion pour exprimer à son l'édacteur., M. Clément Bérard, nos plus vifs remerciements pOUl' le dévouement qu'il a mis à cette tâèhe et pour tous les fruits connus ou inconnus que ses longues recherches et son inaltérable dynamisme ont produits durant près de 20 ans.
Le] buts de la nouvelle revue. Depuis longtemps, M. Bérard songeait à une transformation de «L'Ecole primaire». Il s'agissait tout d'abord d'étendre la revue à tout le personnel enseignant du Valais. On déplore souvent la séparation existant entre le Haut et le Bas-Valais; on déplore encore plus l;absence de rapports entre les enseignements primaire, professionnel et secondaire. Les cours professionnels et les collèges secon-
daires se plaignent parfois de l'école primaire; celle-ci, de son côté, pl'étend qu'elle n'a pas à tenir compte des autres degrés, vu la faible proportion des élèves qui poursuivent leurs études au-delà du niveau primaire. Si chaque maître, dans chaque degré, connaissait mieux les besoins et les buts des autres degrés, ne serait-il pas plus facile de s'entendre? Comm.e toutes les activités humaines - et peut-être plus encore que les autres l'enseignement court le risque de s'enliser dans la douceur d'une honnête routine. Aussi faut-il souvent prendre conscience des problèmes nouveaux qui ne cessent de surgir. Tout évolue autour de nous et l'une des premières tâches de l'école est de préparer la jeunesse à entrer dignement dans la société de demain. Cette mission de l'école est plus urgente que jamais, car l'évolution de la société n'a sans doute jamais été poussée à lm tel rythme. Si douloureux que cela puisse être pour notre amour-propre, nous devons toujOUl'S penser que notre action a un caractère transitoire. Nos lois elles-mêmes ne se gravent plus sur la pierre, nos règlements et nos organismes se modifient sans cesse. Et il ne s'agit pas seulement de «s'adapter» à l'évolution matérielle. C'est l'esprit qui doit conduire cette évolution; la tâche de l'éducateur est donc de la préparer et de l'orienter, en donnant à la jeu-
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nesse le dynamisme indispensable au progrès, tout en sauvegardant le respect des valeurs essentielles qui, elles, sont immuables. C'est de ce double point de vue que nous nous efforcerons de proposer à nos lecteurs des sujets de réflexions. En retour, puissions-nous recevoir le fruit de leuI's méditations. La revue pourra devenir ainsi l'occasion de féconds échanges de vues.
Ce qu'on y trouvera Une première caractéristique de «L'Ecole valaisanne» vous est déjà connue: la revue sera bilingue. A première vue, c'est regrettable. Mais chaque article sera précédé d'un bref résumé dans l'autre langue, de sorte que chaclm en connaîtra au moins les grandes lignes. On ose espérer d'ailleurs que cette connaissance insuffisante vous incitera à utiliser vos capacités linguistiques pour pI'ofiter de l'article tout entier. En somme, l'inconvénient dont nous parlions est lm double avantage: il vOus apprendra ce que pensent vos collègues de l'autre partie du canton, tout en vous fournissant un bon exercice de langue étrangère ! Chaque numéro comprendra tout d'abord un certain nombre d'articles. Afin d'embrasser des problèmes trop vastes pour une étude unique, on a prévu certains cycles. Par exemple, tous les numéros de cette saison contiendront lm article sur lm aspect de notre organisation scolaire, afin de permettre à chacun de ca"nnaître un peu mieux les autres degrés de l'enseignement.
La revue prétend offrir ensuite à ses lecteurs du degré primaire une « partie pratique ». Nous avons déjà recueilli un certain nombre d'opinions fort divergentes à ce sujet: nous serons donc heureux de recevoir le plus grand nombre possible de suggestions de la part de celU qui en useront. Leur avis nous pennettra, espérons-le, de déterminer la formule que nous devrons adopter. Une troisième partie sera réservé~ aux diverses communications: communiqués officiels, avis, convocations, comptes-rendus, rapports, projet~ de progran1l11es ou de règlements, etc. Quelques nouvelles d'autres pays, quelques indications bibliographiques et, hélas !, quelques nécrologies éventuelles achèveront cette seconde partie. Qu'on nous permette, avant toute eXpérience, de recommandel' à nos cOl'1'espondants de nous envoyer fidèlement tout ce qui peut intéresser nos lecteurs, mais de se rappeler que, dans un compte-rendu ou un article nécrologique, la brièveté est une qualité ...
U ne prière à nos lecteurs. Toute revue prétend être un lien entre ses lecteurs. Malheureusement, nous devons avouer que cette formule se réalise rarement, car le lien reste passif. Les lecteurs sont simplement unis par le fait qu'ils absorbent les mêmes idées. A condition encore, bien entendu, qu'ils lisent les articles! Mais nous osons sOlù1aiter que « L'Ecole valaisanne» soit un peu plus que cela. Nous nous permettons en effet de demander à nos lec-
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teurs de se montrer actifs en nous écrivant leurs réflexions. ' Envoyeznous des critiques constructives, des remarques, des suggestions. Répondez surtout aux points d'interrogation que les articles vous fourniront. Nous espérons que, dès le prochain numéro, une place pourra être réservée à une «boîte aux lettres» où vos réflexions amorceront dans nos co-
4n unsere 2eser Die « W alliser Schule » mochte si ch heute ihren Lesern vorstellen. Sie schickt sich an, das Walliser Lehrpersonal fUr sich zu gewinnen tilld tut es mit Vertrauen, hat sie doch keinen andern Ehrgeiz, aIs ihm zu dienen, wo und wie sie es kann. Von allenl Anf ang an darf sie sich auf lange und reiche Erf ahrung stützen. In der Tat, weIll die «Walliser Schule» auch unter mehreren Gesichtspunkten neu ist, bedeutet sie doch die Fortsetzung der « Ecole primaire », bisheriges Organ des Unterwalliser Lehrpersonals. Wir geben bestimmt die Gefühle aller ihrer Leser wieder, wenn wir hier ihrem Schriftleiter, Schulinspektor Cl. Bérard, den herzlichsten Dank aussprechen für die grosse Hingabe und Sachkenntnis, mit der er sich dieser Auf gabe je und je gewidmet hat.
Welches Ziel ste lIt sich die neue piidagogische Zeitschrift ? Seit langem schon dachte H. Bérard an eine Umgestaltung der «Ecole primaire». VOl' allem war beabsichtigt, sie indeutscher Ausgabe -6-
lonnes une grande discussion. Car ce lien entre lecteurs et rédacteurs est le secret d'un lien entre les lecteurs eux-mêlues. Et nous remercions bien vivement tous ceux qui accompagnent déjà de leurs vœux et de leurs conseils l'apparition de « L'Ecole valaisanne ». Puisse-t-elle se nlontrer digne des eflpoirs qu'on met en elle.
auch dem Oberwalliser Lehrpersonal zuganglich zu machen. Mit Recht bedauerte man in der Vergangenheit die haufig nur ungenügenden ' Beziehungen zwischen Ober- und Unterwallis, aber mehr noch das Fehlen von Verbindung und Zusammenarbeit zwischen Primar., Berufs- und Mittelschule. Die beiden Ietztern führen deswegen ab und zu Klage über die Primarschule. Diese vertritt ihrerseits nicht selten die Auff assung, sie Iube nicht auf die Wünsche der hoheren Schtùen Rücksicht zu nehmen, nachdem doch nur verhaltnismassig wenige Prinlarschüler ihre Ausbildung über die Volksschulstufe hinaus fortsetzen. Würde aber jeder Lehrer auf jeder der verschiedenen Schulstufen die Bedürfnisse und Anf orderungen der andern Schulen besser kennen, ware es bestimmt leichter, sich zn verstandigen, um dann besser" znsammenzuarbeiten aIs heute. Wie jede menschliche Tatigkeit und vielleicht mehr noch aIs· jede andere von ihnen - lauf en Erziehung und Unterricht standig Ger ahr, der Mittelmassigkeit, ja 's ogar der Routine, zu verf allen. Also ein Grund
luehr, sich regelmassig darüber Rechenschaft zu ' geben, dass gerade auf diesem ' 'so wichtigen 'Gebiete imnler wieder neue Probleme auftauchen, die nach einer Losung l'ufen. Um uns ist alles in standiger Entwicklung begriffen, und es ist hestimmt eine der ersten und vornehmsten Auf gaben der Schul~, die Jugend auf das spatere Lebell, auf die Zukunft, vorztiliereiten. ,Diese Auf gabe ist heute ganz sicher dringIich, denn noch nie war der Fortschritt auf den verschiedensten Gebieten unseres Lebens stürmischer aIs heute. 5-0 schmerzlich es für unsere Eigenliebe auch sein mag, dürfen wir doch nicht übersehen, dass unsere Aufgabe und Tatigkeit nul' vorübergehenden Charakter hat. Unsere Gesetze werden nicht mehr in Stein gesdll'ieben wie einst; unsere Reglemente und die Formen unserer SchuIol'ganisation 'a ndern si ch ohne Unterbruch. Und dabei geht es nicht allein und auch nicht zuerst darum, sich einel" mnteriellen Entwicklung anzupassen. E s ist der Ge-ist, das Herz, das dièse ' En twicklung lenken lImss. Die Auf gabe des Lehters und Erziehers besteht · ·im wesentlichell darin, die J ugend zu orientieren ; sie auf die neuen Anf orderungen .vorzubereiten; ihr Interesse am Fortschritt in massvoller und gesunder Wei se zu wecken, in ihr aber gleichzeitig die Ehrfurèht vor den geistigen Werten zu bewahren und zu pflegen, da sie allein bleibend tilld unverganglich sind. Dieses doppelte Ziel mochtell wir erreichen, wenn wir unserll Lesern dies'e oder jene Frage zum
N achdenken unterbreitell. Ihrerseits dürfen wir bestimmt das Ergebnis ihrer Überlegungen, also Anregungen und Vorschlage, erwarten. Auf diese Weise konnte die neue Zeitschrift e i n e m fruchtbaren Gedankellaustaus ch untel' dem Lehrpersonal der verschiedenen Schulstufen dienen und damit der Schule selbst.
Was wir bieten mochten : Auf eine Eigentümlichkeit der Zeitschrift haben wir bereits kurz hingewiesen: sie wird zweisprachig sein. Auf den erstell Blick mag dies bedauerlich erscheinen ; in Wirklich· keit aber wird es gar nicht so sein. Zu Beginn jedes Artikels solI eine kurze Zusammenfassung in der an· dern Sprache geboten werden~ die es dem anderssprachigen Leser erIauben wü"d, dies en wenigstells in den grossen Linien kennen zu lernen. Vjelleicht wird gerade diesel' Umstand die Leser ermuntel"n, die zweite Landes's prache besser kennen zu lernen, mu nachher den Artikel mit vollem Gewinn lesen zu konnen. Der N achteil, von dem wir sprachèn" kann also in einem doppelten Sinne zum Vorteil werden: wir werden die Auff as:mngen unserer Kollegen im andel"n Kantonsteil hesser kennen lernen und uhs zugleich im Gebrauch der zweiten Landessprache ühen. Beides kann dazu beitragen, Einheit und Geschlossenheit unter dem Lehrpersonal des ganzen Kantons ,zu fordern. Jede Nummer der Zeitschrift wird zuerst eine Anzahl Artikel enthalten. Es Iiegt aber nicht in \lpSerer Absicht~
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jedes lVIal eine besonders wichtige Schulfrage abschliessend zu behandeln. Das ware au ch gar nicht moglich ; hingegell werdell die Nummern eines bestimmten Zeitabschnittes der einen oder andern wichtigen Frage gewidmet sein. Wir denken zuerst einmal an eine Artikelserie über unsere gegenwartige Schulorganisation, um dem Lehrpersonal der verschiedenell Schulstufen Gelegenheit zu geben, das besser kennell zu lernen, was bei uns bereits besteht. Die Zeitschrift wird ihren Lesern überdies einen praktischen Teil bieten, also eine direkte Hilfe für den Unterricht auf der Primarschulstufe. Diese Losung stellt, wenigstens für das Oberwallis, eine Neuerung dar und wir sind überzeug1., dass sie warmstens begrüsst werden wÜ·d. Natürlich ist es keine leichte Aufgabe, diesen praktischen Teil so zu gestalten, dass er · aIle 'Ansprüche befriedigell wird. Für entsprechende V orsch.lage und Anregungen sind wir daher vor allem l Anfang sehr dankbar. Ein weiterer Teil der Zeitschrift WÜ'd die verschiedenell Mitteilungell enthaltell: Mitteilungell der Behorden; Einladungen zu Konferenzen und Tagungen und Berichte darüber; Entwürfe von Reglementen und Programmen; etliche Schulnachrichten: aus andern Kantonen und Landern ; ein paar Heinweise auf Bücher und Zeitschriftell lilld vielleicht, au ch das ist notwelldig, den Nachruf auf verstorbene Kolleginnen und Kollegen. Wir erlaubell uns, unSere zukünftigen Mitarbeiter einzuladen, uns alles
zuzusenden, was unsere Leser in teressierell' kann, mochten sie aber jetzt schon bitten, sich in der Berichterstattung der Kürze zu befleissen, getreu dem uns aIl en bekannten Sprichwort : «In der Kürze liegt die Würze ».
Die Schule, das grosse Anliegen des Walliser Volkes ERNST SCHMIDT, Schulinspektor
Eine Bitte an unsere Leser: J ede Zeitschrift will ein Band zwischen ihren Lesel'n sein. Unglücklicherweise - wir wollen es heimütig bekennen - wird diese Absicht in der Praxis nicht immer vel'wirklicht: das Band ist sehr lose, wo es stark sein sollte. Die Leser sind miteinander bloss deshalb verbunden, we~l sie die gleichen Ideen in sich aufnehmen, untel' der Bedingung natürlich, dass sie die Artikel auch les en. Aber wir wagen doch zu hoffen, die « W alliser Sclmle » mochte etwas mehr sein aIs nul' ein so wenig wirksames Band. Darum ersuchen wir unsere Leser um ihre standige, aktive und vertrauensvolle Mitarbeit. Wir erwartell aufbauende Kritik, Anregungen und Vorschlage. Schreibt uns VOl' allem, wenn euch der eine oder andere Artikel Fragen, Probleme aufgibt, die einer Antwort rufell. Wir hoff en deshalb, dass schon von der nachsten Nummer an eine richtige Aussprache unter unserer Leserschaft zustande kommt. Abschliesselld mochten · wir allen herzlich dankell, die mit ihren Wünschen und Ratschlagen ·das Erscheinen diesel' Zeitschrift erleichtern werden. Moge die «W alliser Schule» das Vertrauen verdienen, das in sie gesetzt wird !
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L'ECOLE GRANDE PREOCclJPATION DU VALAIS, - L'auteur attire l'attention des milieux péd~gogiques sur le grave problème q~e pose la jeunesse actuelle. Il analy~e les changements intervenus dans la structure économLql~e. et ,socwle de notre c~nton, consequences de l'évolution technique générale. Toutes ces modLfLcatwns exercent une mfluen?e p,~ofon~e sur notre jeunesse, qui s€1nble perdre parfois le sens des. vraies valeurs, de la, me spu·~tue~le en particulier. Il ne faut pourtant pas en conclure que ,la ]e,unesse actl~elle, est pU'e que l anCLenne. Elle est simplentent placée dans une tout autre sLtuatwn, une sauatwn devant laquelle les parents se trouvent très souvent désorientés ; ils ne peuvent donc être à la hauteur de leur tâche et donner une éducation répondant aux exigences de notre époque, Il n'est pas seulement indispensable de prendre conscience de ce phénomène ,pour en tenir, compte dans l'éd~t cation en cultivant les valeurs nécessaires pour affronter la ·ULe moderne; LI faut encore savmr que n~tre école, pour une grande part, doit se !)réoc~uper, de. cette éduca,tion .nouvelle ~t ~'eH rendre responsable, C'est la raison pour Iaquel'~ e, au]ourd hlU pIns que ]amaLS, elle dmt etre la grande préoccupation de notre canton.
lVIit diesel' überschrift mochten wir hinweisen auf die grosse und doch von vielen verkannte Bedeutung der heutigen Schulen aller Stufen in unserer lieben Wallisedleimat. - Gewiss ist die Schule inuner und überall für den jungen Menschen eine unumganglich notwelldige Bildungseinrichtlillg, die aIle Aufmerksamkeit und steten Opferwillen des ganzen Volkes verdiellt. Doch wird ihre Bedeutung grosser und . dringlicher, welln unIwalzellde Zeitumstande und Lebensverhaltnisse die Schulbildung unserer Jugelld gefahrden und damit illdirekt in vermehrtem Masse f ordern. In solcher Zeit ist es dann erst recht veralltwortungsvolle Gewissensp flicht aller Erziehungshehordell lilld Erziehungsheauftragten, wachsam lilld aufgeschlossen die Zeitstromullgen und Unlwelteillflüsse wahrzunehmen und ihnell mutig, zweckentsprechend
und behardich zn begegnen, und dalmt die Jugendbildung in deI' Schule so zn gestalten, dass unsere jlillgen Menschen jetzt und künftig Gott und den Mitmenschen gegenüber in jeder Hinsicht lebellstüchtig werden. Sind nlill bei uns im Wanis Zeiteinflüsse und Lebensverhaltnisse der Schule gegenüber der art, dass wir diesel' mehr denn je Ullsel'e Aufmerksamkeit zuwendell müssen, weil sonst di~ Bildung unserer Jugend gefahrdet und ungenügend würde ? Fragen wir heute alte Menschen im TaI und im abgelegenen Bergdorf drohell, was sich bei uns im Wallis seit iluer Jugendzeit bis auf unsere Tage alles geandert habe ! Sie werden uns sagen, dass sich die Umwelt, die Situation, in der wir heute leben, wirken, schaffen und uns behaupten müssen, eine ganz andere geworden ist, so selu, dass viele sich verzogell
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fühlen in fremdes Land, mit dessen Lebensgewolmheiten sie noch nicht vertraut sind und kauln mehr vertraut werden, und wo vieles flüchtigem Wandel und sûindigem Fluss unt~rworfen ist. Worin besteht nun dies es N eue, um dessetwillell wir uns um unsere Schule SOl'gen machen müssen? Einmal im s cha uri g e n T e m p 0 uns e l' e s L e ben s, in eirier hastigen, nervenzerrütenden Unrast, mit der wir heutigen Menschen auch hierzulande für Geld, Einfluss und Vorteil in rücksichtslosem KOnkUl'renzkampf stehen. - Unsere alten Leute schütteln staunend und lnitleidsvoll ihr Haupt beim Gedanken an die tau sen d Ge set z e, V e 1'o l' d n u n g e n u ·n d VOl' S chI' i ft e n, die unsern Rarun lmd unsere vielgerühmte Freiheit heute bis ins Pdvatleben hinein beengen und begrenzen. Und sie staunen nicht nul', sondern f angen mit Recht an sich zu fürchten VOl' den u fi z a hl ig e n t e c h n i s che n E l' fin d u ng e n, die dem modernen Menschen das LebeJ;l erleichtern und geruhsamer machen sollten, und doch nehmen Gehetz, Unrast und Unzufriedenheit in erschreckendem Masse zu. - Merkwürdig und aufdringlich kommt unsern guten, alten Leuten die Art der heutigen Pro p a g a nd a und .R e k 1 am e VOl', die aIle nû>glichen technischen Mittel in ihren Dienst stellt und in schrillen Farben und schreienden Superlativen aile Sinne des Menschen schonungslos bannt und beansprucht. Verblüffend und aufregend wirkt auf den alten
Menschen heute der gel'adezu wütende Verkehr mit allen sei n e n For men. Gewiss, el' ist froh, dass uns Heutigen mancher beschwerliche Fussmarsch erspart bleibt, und el' freut sich, dass in unsern Berggegenden junge Leute nicht lnehr so schwere Lasten schleppen müssen wie ehelnals. Und el' weiss auch um den Vorteil, dass heute Fabrikarbeiter und andere nicht mehr zu Fuss auf ihre A,rbeitsplatze laufen müssen. Aber gleich.zeitig ist ihm klar, dass diesel' moderne Verkehrsbetrieb mit seiner Zunahme auch vermehrte Charakterdisziplin und Verkehrsschuhmg erf ordert, welln el' nicht ausarten solI in ein wildes Durcheinander OOt noch meln Mellschenopfern und Verstümmelten auf unsern Strassen. Der alte Walliser ho1't nicht selten heute auch die Klagen vieler Eltern und anderer Erzieher über die m or a 1 i sc h en Ge fa h l'en, in die sich unsere jungen Leute mit ihren so oft auf Abzahlung gekauften Motorf ahrzeugen begeben. Wenn man sonst auch recht genau auszurechnen versteht, was alles rentiert und was nicht, so Hihrt man ohne Berücksichtigung der Kostenfrage allen moglichen Vergnügen nach und bedenkt erst recht nicht, was in sittlicher Hinsicht einem alles begegnen konnte. Unsere alten Leute freuen sich von Herzen, dass den jungen Menschen unserer Zeit das Gel d ver die n e n bedeutend leichter und trotzdem eintraglicher gemacht ist aIs ihnen selber ehemals, aIs sie bei harter Arbeit und karger Kost und ohne irgendwie
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versichert zu sein, werken lnussten. Aber sie wissen no ch gut, dass sie damaIs viel weniger Anspruch und Bedürfnis kannten aIs die nloderne Generation, in der durch unûihlige, propagandistische Anpreisungen ohne Unterbruch Wünsche geweckt und wachgehalten werden, die dann trotz aller modernen Errungenschaften nicht befriedigt werden konnen, und was dann bleibt, ist eben entsprechende Unzufriedenheit. Der alte Walliser fI' eut sich heute mit dem jüngern über die stets vermehrte A u s n ü t z u n g uns e rel' G e w a s sel' für die Elektrizitat, wofür reichliches Geld zurückfliesst in die Kassen unserer Gemeinden. Aber mit leiser Wehmut sieht el' zu, wie Bergbache, WasserHille und rauschende Flüsse in finstere Stollen verschwinden und ausgetrocknete Flussund B~chbette zurücklassen, in denen früher die wohltuenden, milden Farben des Wassers leuchteten, des sen rhythlnisch gleichmassiges Rauschen auf den Menschen beruhigend wirkte wie feinste Musik. Dafür fliesst heute der elektrische Strom durch ein kreuz und quel' gezogenes Netz von Drahten durch unser Land. Und weil diesel' Strom soviel Geld einbringt, wagt karun jemand ein W ort zu sagen gegen die V e rs cha n dei u n g uri. d Ver u ns t aIt u n g u Ii sel' e r pra c h t ig e n Ge b i l' g s he i ln a t, die durch ein H,eer von Stangen und Masten verunstaltet wird. Ein Zeichen, dass alles, was Geld lmd materiellen Fortschritt bringt, uns Heutige blind und empfindungslos macht für aIl das -11
Schone und Bezaubernde unserer Heimat, um deren Pracht uns zahl~ lose Fremde beneiden. Mit Welunut und Besorgnis sehen unsere alten Leute zu, wieviele Burschen und Tochter heute der he imatlichen ScholIe den R ü c ken k e h l' e n und ohne hémmen des Bedenken dahin ziehen, wo si ch leichter und reichlicher Geld verdienen lasst- lmd auch vergeuden. Daheim lieg1. mancher Acker brach, Matten und Alpen werden nUl' meln notdürftig gepflegt, ab und zu gal' nicht mehr geerntet, weil man wahrend der Erntezeit anderswo mehr verdienen kann. Freude und Stolz an Bodenstandigkeit' entschwinden, lmd fremde EinfIüsse unpassendster Art haben es nicht melll' schwer, unsere altehrwürdigen Sitten und Brauche zu verdrangen, lmd das ist um so tragischer aIs diese neben der Religion einem V olk am meisten sittliche Haltung geben und bewahren helf en. Unbegreiflich kommt deln bejalll'ten Walliser die Hal t u n g der heutigen GeneratIon dem lnodernen Sport gegenüber v 0 1', weil sie den Eindruck erweckt, . im Menschen nicht mehr ein Wesen zu sehen, das aus Leih und Seele besteht lmd weil sie den Sportskanonen mehr EIll'furcht erweist aIs den tüchtigsten Führern unseres V olkes. Dadurch kOl1unt eine wirklich besorgniserregende Verkennung der wahl'en und echten Werte zum Ausdruck, wobei diese Einstellung unserer Jugend nicht so seIn aIs i h l'eS chu 1 d zu verbuchen ist, sondern aIs ein
N achahmen einer verkehrten Haltung von uns Erwachsenen. Und wenn wir den Ans p r u c h des Lebens an die Jugend von damaIs und heute in Vergleich stellen, begegnen wir aufs neue einem riesigell Unterschied. VOl' fünfzig oder sechzig J ahren genügte für die meisten die Primar- und F ortbildungsschule, um spater anstandig und l'echt dUl'chs Leben zu kommen. Heute braucht es für jedes Handwerk und jeden Beruf entsprechende Lehrzeit und für alles Ausweis lmd Zeugnis, d.h. der junge Mensch von heute braucht eine wesentlich gründlichere und umf angreichere Schulung, Wel111 er seinen Lebenskampf erf olgreich bestehen will. In dieser Situation ist VOl' allem dieses Eine hervorzuheben, dass es für die Jugend von heute wie für den Erwachsenen a u c h i n r eligioser Hinsicht eine ganz anders geartete Umwelt giht aIs etwa zu Beginn dieses J ahrhunderts. Der erdrückende Einfluss des Materialismus auf allen Lebensgebieten lenkt schon den jungen Menschen vom ganz Wam'en, Guten und Schonen ab und heisst ihn nur das beachten, was direkt materiellen Vorteil schafft. Für religiose Vertiefung und Verinnerlichung bleibt wenig Zeit und Lust mehr ühl"ig, lmd darum lassen sich junge Menschen ausserhalb des Elternhauses lmd des obligatorischen Religionsunterrichtes oft nul' dann gewÏlmen" wenn ihnen der Jugendverband ein genügendes Mass von unterhaltendem Betrieb in Aussicht stellt. Alles in allem gesehen -12, -
wirkell in der Umwelt unserer J ugend heute meln Faktoren, die den jungen Menschen abwarts ziehen, aIs solche, die ihn bildend heben. Früher war bei uns die ganze Lebensatmosphare von christlichem Geist durchstromt lmd dUTchwarmt, heute ist sie kalt lmd ungesund gewOl'den wie die Luft der letzten Sommermonate. Diese soeben gemachtell H i nwei s e verfolgen keineswegs den Zweck, ein einseitig negatives Bild der heutigell Situation zu entwerfen, aIs ob es hier und heute nicht auch viel Gutes, Wahres und Schones gabe, über das wir uns ehdich f reuen wolien. Und sie wollen und dürfell auch nicht den Eindruck erwecken, dass die heutige Walliser J ugend mindel'wertiger ware aIs die von früher. Sie ist nicht besser und nicht schlechter in Huer ganzen Veranlagung. Aber sie ist in eine ganz andere Situation hineingestellt, die auch eine ganz andere, verbesserte Bildlmg verlangt, die heute zu einem grossen Teil die Schule vermitteln muss, weil viele Eltern si ch in dieser Situation selber nicht meln zurecht finden und darum in der Erziehung ihrel' Kinder oftmals versagen. Darum muss die Schule auch in unserm lieben Wallis das g r 0 s s e AnI i e g e n d e s g a n zen Vol k e s sei n; eine Schule, die in Verbindung mit dem Religionsuntel'richt die J ugend ausrüstet mit allen jenen Gegenk.raften und Werten, die lmsern jungen Menschen Gewahr bieten, sich im Wh'bel der vielen Stürme behaupten zu konnen für ' Got4 den Mitmens chen und sich selbst.
LES TENDANCES ACTUELLES EN EDUCATION EU GENE CLARET
Gegenwartige Stromungen in der Erziehung. - Der nachstehende Artikel belasst sich mit dem viel diskutierten Gegensatz zwischen «alter» und «neuer » Schule und stellt lest, dass aul diesem wichtigen Gebiete eigentlich alles stiindig im Flusse ist. Die Lehr. und Gediichtnisschule von ehemals weicht auch bei uns mehr und mehr einem freiern System: im Mittelpunkt des Unterrichtes steht das Kind, sein Interesse; es soll zur Se:bsttiitigkeit erzogen werden ; Beobachtungsautgaben, individueller Unterricht, bessere Rücksichtnahme aul die Forderungen des wirklichen Lebens dienen dazlL; Gruppen. und Ge. meinschaltsarbeit hellen mit zur Vorbereitung aul das spatere Zusammenleben als Mensch, Bürger und Arbeitskamerad. Auch im Wallis ist Inan aul diesem Wege.
Volontiers on met en opposition l'école dite « nouvelle» et l'école dite « traditionnelle ». Remarquons d'abord que ces dénominations sont sujettes à caution. Qu'est-ce que l'école traditiOlmelle ? Quand a-t-elle commencé? L'école de luer était nouvelle pour l'école d'avant-hier et l'école nouvelle d'aujourd'hui ne sera probablement plus, demain, qu'une «vulgaire école traditionnelle» pour de futurs novateurs mécontents des conquêtes actuelles. Ainsi en est-il dans la plupart des domaines. Gardons-nous de donner aux choses mouvantes des étiquettes figées; nous risquerions de nous trouver dans la situation assez amusante de celui qui, en 1956, découvre en son grenier une gramnlaire toute poussiéreuse, à demi rongée par les souris, et qui porte toujours
fièrement le titre: «Nouvelle grammaire ». Entre l'école -de hier, qui fut la nôtre, et celle d'aujourd'hui qu'essaie d'être celle de nos enfants, on tend à établir certaines différences. Chaque époque fait automatiquement la critique de l'époque qui l'a précédée. C'est normal; c'est une preuve et une condition de vie; c'est en définitive une cause de progrès. Les attaques et les contre-attaques finissent par amener une paix de compromis utile aux éducateurs et à leurs éduqués. Par «paix de compromis », nous n'entendons pas un mélange de bien et de mal ; nous songeons à une confrontation entre les propositions souvent outrées de théoriciens non pédagogues et les réalités concrètes de la vie auxquelles se heurtent les éducateurs de profession; confron-
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tation qui amène à choisir tout ce qui est bon et utile dans les nouveautés pour en faire bénéficier la génération montante. Cela étant dit, rappelons brièvement ce que l'on reproche, à tort ou à raison, à l'école de hier. Hier, dit-on, - l'école se proposait surtout comme but de communiquer aux enfants des connaissances toutes faites, connaissances acquises par les recherches laborieuses du passé et ju'gées nécessaires pour la vie de demain. Comme il fallait communiquer le plus de connaissances possible et que le temps dont on disposait était très limité, le maître devait se hâter: il parlait beaucoup, laissant peu de temps aux élèves pour réfléchir; cel.~x-ci devaient surtout emmagasiner ce qu'on leur ' disait; p our la même raison, le maÎu'e avait recours à des résumés fort secs que les enfants apprenaient par cœur. - Ces multiples connaissances étaient conununiquées selon lm horaire très précis et en branches nettement séparées sans relation entre elles. Le Maître, utilisant l'enseignement collectif, s'adressait à un élève lnoyen hypothétique, au l'isque de voir les bons éléments perdre leur temps et les faibles lâcher pied. ~ Dans ces condition8{, il était ma· laisé au maître d'adapter son ensei. gnement aux intérêts de ses disciples. - Une telle transmission collective de connaissances exigeait une atten· tion soutenue guère possible sans une discipline stricte, appelée la 'd isci· pline du silence et des bl'as croisés.
- Et quand le mOlnent était venu pOUl' l'enfant de décI'oiser les bras et de se mettre enfin au travail, ce devait être pour un tràvail «chacun pour soi », l'aide d'un voisin plus avancé ou l'aide à un voisin moins fortuné étant considérée comme une tricherie. - Ajoutons, pour tel'miner cette liste bien incomplète de griefs, que le contrôle de l'enseignement s'opérait avant tout par la récitation orale -de leçons apprises par cœur. Pour remédier aux inconvénients signalés, des spécialistes bien intentionnés, amis de l' enf ance, surtout de l'enfance déficiente, ont prôné des théories nouvelles et dés procédés nouveaux que rappelleront les expressions et les dénominations suivantes: L'école doit apprendre à apprendre. - Tout doit venir de l'enfant. L'intérêt est le seul moteur valable de l'enseignement. L'enfant , doit redécouvrir par luimême ce qu'il doit savoir. L'école active ---J les méthodes actives. L'école vivante et joyeuse. Les centres d'intérêt. - L'étude du milieu. Les tâches d'observation. Le travail libre. - Le travail en équipe. Les coopératives scolaires. L'enseignement individualisé. L'école sur mesure. La méthode Decroly. - La méthode Montessori. - Le plan Dalton, etc. Le self-government.
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f
L'école pour la vie et par la vie. Et nous en passons ... Tous les lecteurs auront fait la pal·t des choses dans la liste des griefs adressés à l'enseignement traditionnel; tous les lecteurs auront fait aussi lm choix 'd ans la liste des remèdes proposés. Il faut en effet que les remèdes soient de vrais remèdes et qu'ils soient applicables. Si nous nous en tenons à nos écoles valaisannes, nous pouvons, semblet-il, prendre position en faveur des points suivants : 1. Obtenir une plus grande collaboration de la part des élèves, en ayant recours davantage aux tâches d'observation, à l'étude du milieu, en utilisant les procédés qui nous sont si familièrement indiqués par le grand pédagogue que fut Mgr Dévaud, dans sa brochure: « Lire, parler, rédiger ». 2. Tenir compte des intérêts vitaux des enfants et de leur évolution, mais non de leurs caprices, nous souvenant, d'une part, que l'éducateur doit suscite!' et former parfois lui-même les besoins de l' enf ant; nous souvenant, d'autre part, que les besoins de l'enfant ne sont pas la seule norme de l'éducation; il faut tenir compte aussi « des' besoins de la société dans laquelle l'être adulte s'intégrera» (Dunand).
3. Faire un effort pour individualiser l'enseignement, le mettre, si possible, à la portée de tous les élèves, en utilisant les directives pratiques de M. Dottrens dans son ouvrage devenu classique : «L'enseignement individualisé ». 4. Mettre plus de cohésion entre certaines branches du savoir par la méthode 'd es centres d'intérêt si chère à M. Viret, l'animateur de plus d'un cours valaisan de perfectionnement. 5. Eduquer progressivement nos jeu. nes à l'usage de la libe"rté en même temps qu'à une vie sociale plus intense, par le recours, par exemple, à la répartition des responsabilités dans l'accomplissement d'une tâche commune. 6. Enfin, si c'est nécessaire, surtout pour les plus grands, rendre la discipline plus souple, sans tomber dans les erreurs de la démagogie. Depuis ' un certain nombre 'd 'années, les milieux pédagogiques et les autorités responsables se sont attelés, en Valais, à ces tâches éducatives. Ce sera l'une des missions de la nouvelle revue pédagogique de continuer dans ce sens et de provoquer les adaptations judicieuses qui améliore· l'ont lentement, mais sûrement, l'école d'au j ourd 'hui.
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n-ÇjJRAKTISCHER TEIL
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LEBEi'JDIGE
SCHULE
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1
ARBEITSREIHE FÜR DIE UNTER- UND MITTELSTUFE SR. LOYOLA ZUMTAUGWALD
LOUIS PRALONG Einführung :
C'était une aimable, une bonne messagère. Quatorze fois durant chaque cours scolaire, elle arrivait toute pimpante dans sa livrée fort sympathique qu'enrichissait la devise de la Société valaisanne d'Education: religion, dévouement, science. Inlassablement, elle apportait les nouvelles de l'école populaire du Valais romand: communiqués du Département de l'Instruction publique et des associations pédagogiques, invitations à participer à des cours, messages de joie relatant des nominations, des réalisations scolaires~ messages de tristesse annonçant des deuils. Elle constituait le trait d'union bien vivant entre tous ceux qui œuvraient pour l'école priInaire. C'était une modeste tribune par laquelle ils pouvaient faire entendre leur voix. Plus encore, elle était un outil précieux. Bien ordonnée, elle contenait des conseils pédagogiques fort avisés, elle traitait des sujets d'éducation les plus actuels et les plus divers, elle l'enfermait une pal,tie pratique d'une étonnante richesse et d'une utilité incontestée. ~
Telle était «l'Ecole Primaire ». Telle l'avaient faite ses rédacteurs et leurs collaborateurs. Nous ne pouvons pas les citer tous mais ' telle l'avait courageusement voulue ainsi M. Clément Bérard aidé de Mlle Y. Gl'OSS, de MM. Julier, Gribling, C. Moix et par d'autres encore. Le personnel enseignant l'avait aimée: il expl'ime sa profonde reconnaissance alLX bons ouvriers qui ont si bien édif ié son journal. Eh bien, «l'Ecole Primail:e» s'en va. Généreusement, elle fait place à « l'Ecole Valaisanne ». Son rédacteur, son équipe lui apporteront aide et conseils. Elle lui souhait~ vigueui', j oies, succès. Nous sommes heureux de voir la f amille pédagogique valaisanne s'agrandir : la nouvelle revue touchera également le personnel , enseignant du Haut-Valais, les maîtres des écoles secondaires. Nous' saluons ce l'egroupement des forces pour l'école: il n'en peut sortÏl' que du bien. «L'Ecole Primaire» aura de la peine à se faÏre oublier, «l'Ecole Va]aisanne» saura se faire aimer. 16-
Si cher sind uns die Begriffe Gesamt- und Konzentrationsunterricht Idar und geHiufig. Doch ist es wichtig, dass wir au ch I(lares und GeHiufiges wieder einmal UlIter unsere geistige Lupe nehmen und untersuchen, ob das Erfassen genügend in die Tiefe gedrungen ist. . Was Gesamtunterricht ist, weiss jede Lehrkraft. Zur unterrichtlichen AuffrischlUlg sei das Buch «Gesamtunterricht auf der Unterstufe » von Karl DudIi (Verlag Fehrsche Buchhandlung, St. GalIen) empfohlen. Aus . dem Gesamtunterricht hat sich der sogenannte Konzentrationsunterricht (auch eine Art Gesamtunterricht) für die Mittelund Oberstufe entwickelt. Es liegt auch diesem Unterricht eine BildwIgseinheit zugrunde, nUl- erfasst sie nicht aIle Facher. So verlangen Geschichte wld Geographie oft einen eigenen Weg. Anderseits bieten gerade diese Facher manch wertvolle Einheiten, z. B. «Der Kreislauf des Wassers » oder «Verkehrsmoglichkeiten meiner Heimat » oder «So entstand mein Heimatland ». lm Lehrgang der Facher liegt eine Systematik, die für einen lückenlosen Unterricht eingehalten werden muss. Die Lehrkraft ll1USS sich von diesel' Systematik führen lassen, kann sie aber meistens trefflich in die Bildungseinheiten einb~uen. Der einheitliche Gedanke verbindet die Facher untereinander, befruchtet diese gegenseitig und ermoglicht VOl' allem regelmassige Wiederholungen. Die Bildungseinheiten, au ch Arbeitsreihen genannt, umfassen ein Monats- oder Wochenthema, oft auch ein zweiwochiges Thema.
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Vorliegendes Thema ist ein Monatsthema, in vier Teilthemen, von je einer Woche, zergIiedert : 1. Wir besuchen den Herbstgarten 2. Ein bunter Strauss aus dem Herbstgarten 3. In einem kleinen Apfel 4. Mutter kocht ein. Zwei dieser Teilthemen sind ausgeführt und zwar hauptsachlich in sprachlicher Hinsicht . Sprachliches Hauptziel ist in den ersten zwei W ochen das Dingwort in Gebrauch und Satz, oIme BieglUlg. Selhstverstandlich kommen auch die andern W ortarten in Gebrauch, zur Bildung des sprachlichen GefÜhls. Das Ausgeführte ist eine Moglichkeit, herausgegriffen aus vielen, gedacht für eine Schule mit Unter- und Mittelstufe. Auch die Oberstufe fande in diesen Themen gute Entfaltungsmoglichkeiten, Imd die Gesamtschule ware beisammen. So konnte auf dieser Stufe «Gernüseernte und -verwertung » oder «das Aufbewahreü des Gemüses » eingebaut werden; im Rechnen : Kauf und Verkauf ; in der Geographie: Selbstversorgung und Einfuhr. In der Reihe «Ein bunter Strauss aus dem Herbstgarten konnte auf der Oberstufe die Bhunenpflege, das Düngen und Saen und Schneiden, auch Straussbinden wld Heimgestaltung (bei den Madchen) dnrchgenommen werden. lm Rechnen gaben Bodenberechnungen viele Alùlaltspunkte. In der Geographie ergabe sich eine interessante Moglichkeit, von den Blumenfesten der Heimat auszugehell, auf die Tulpen- und Rosellfelder Hollands überzuführen. Dieses Land im Vergleich mit der Heimat im Wesentlichen kennenzulernen.
3. Kliil'ung der Zusarnmensetzung:
2. übungslektion : Klarung . und lektion.
Sprachziele :
1. Intensive Sprachübungen 2. Das Dingwort in seinem Gebrauch 3. Der
einfache
Satz in verschiedener Fonn.
Vertiefung
der
Sach-
Arbeitsl1wterial : Der Gemüsekorb mit dem verschie· denen Gemüse ist im Zimmer. 1. Wiederholung der Benennungell :
Wir besuche.n den Herbstgarten 1. Einführungslektion : ~hrgang
toffeln. Ich hebe eine Rübe auf. Wir heben Rüben auf ...
(beide SUtfen) :
Wir besuchen einen Herbstgarten. Augen auf, wir sehen allerlei !
2. Belieht : Wir zeigen und beuennen: Kartoffeln, Kohl, Rettich, Randen, Rüben, Salat, KohIrabi, Bohnen, Erbsen, Schnitùauch, Fenchel usw. Vielleicht hat es auch Blumen; danu werden auch diese benannt. 3. Spreehsehulung:
4. Spraehliehe Auswertung im Sehulzim-
n'ter: Unterstufe : Wiederholung: Wir fanden im Garten : Kartoffeln, Kohl, Rüben . .. Mittelstufe : Arbeit an einem Tafelbild: Auf 'der Tafel sind allerlei Gemüse angeschrieben, au ch solche, die wir nicHt in unserm Garten fanden. Die müssen nun geol'dnet _aufgeschrieben werden und zwar so :
Unterstufe : a) Wir sehen hier Kartoffeln, Spinat, Rüben usw. Wir finden ... Hier liegen ... Hier wachst ... erst in stereotypen Siitzen. b) Ich zeigeeine Rübe - Ich zeige 3, 5, mehrere Rüben. Ich zeige eine Kartoffel - Ich zeige einige Kartoffeln. Übung der Ein- und Mehrzahl.
Mittelstufe : a) Der Herbstgarten SCheIÙ(t uns '" Wir ernten ... Wir heimsen . .. Kartoffeln ein ... Wir sammeln in den Korb - in den Sack ... b) Ebenfalls Ein- und Mehrzahlbildung mit der Unterstufe mit dem Unterschied: Ich 'e rnte die Rübe, eine Rübe, die Rüben. c) Übung im Satz : Die Mittelstufe spricht VOl', die Unterstufe nach, einzeln lUld im Chor. Ich zeige eine Kartoffel. Wir zeigen Kar-
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Tafelbild: Petersilie, Kopfsalat, Blumenkohl, Garteukresse, Rosenk~hl, Kartoffel, Weisskohl, Schwarzwurzel, Spinat, Gartenbohne, Feuchel, Erbse, Gurke, Tomate, Schnittlauch, Blaukohl, K ü r bis, Puffbohue, Rosenkohl, Grünkohl, Kohlrabi, Mangold, Rübe, Zwiebel, Rhabarber usw. 1. Wurzel- und Knollengemüse: 2. Blatt- und Stengelgemüse : 3. Fruchtgemüse : 4. Hülsenfrüchte : 5. Küchenkrauter : Die Gemüse, auf dem Tafelbild durcheinander, werden in die besondern Arten eingeordnet: Erst mündlich, daIm schriftlich. Nachher werden die geordneten Wortel' mit dem Geschlechtswort verbunden und so nochmals geschrieben : Die Unterstufe benützt den Tafeltext aIs Lesestoff: einzeln und gemeinsam.
Ein Kind der Untel'stufe zeigt und benennt ein Gemüse, die Mittelstufe ordnet est ein : W. +K.-GEM. BI. St. Gem. Fruchtgem . Hülsenfrüchte KüchenKrauter Man spricht: Die Kartoffel ist ein Knollengemüse. Der Kürbis gehort zum Fruchtgemüse. Die Rübe gehort zu den Wurzelgemüsen usw.
2. Rechtsehreibübung Unterstufe: 5 Gruppen: Jede Gruppe liest und lernt leise für sich eine Kololme und schreibt sie 2x auswendig nieder. Nachkontrolle! Wer eine Kolonne recht ha t, darf andere schreiben . Mittelstufe : Schaut sich die Kolonnen gut an, nachher werden sie auswendig eingetragen .
3. Sprachlektion : Das zusammengesetzte Dingwort. Tafelbild: Kartoffel - Kohl - Rübe Bohne - Salat. Tafelbi~d
1. Wir bilden zusammengesetzte Worter. Die Kinder , stehen zu zw,eien einander gegenüber. Gruppe rechts nennt ein W ort, Gruppe links fügt eines dazu. z. B. Salat - Kopf. Die Kinder geben einander beim Sprechen die Hand. So bilden wireine Reihe zusammengesetzter Wort~r. 2. Wir schreiben solche auf. Unterstufe gemeinsam an der Tafel.
+
1. Arbeit am
im Bewegungsprinzip.
:
Arbeitsanstoff! Fünf Wortel' stehen an der Tafel ; 25 mochte ich aufschreiben und zwar Worter, die mit denen an der Tafel gleich und doch nicht gleich sind. Vorschlage! Kartoffelsack, Kar.toffelschale. .. (Wir bilden Wortzusammensetzungen mündlich.
2. Sehriftliehe Vertiefung: Mittelstufe: schreibt die 25 Wortel' auf. Unterstufe: Wir schreiben sie gemeinsam an die Tafel, nachher Abschrift !
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3. Wir bilden wieder eine Linie zu zweien 888888 ein Kind nennt ein zusammengesetztes W orto Die versclùungene Hande werden auseinander gegeben_ Linie rechts ru ft ein W ort, Linie links das zweite, z.B. Busch - Bohne ! Kartoffel - Sten gel usw. 4. Auf der Tafel stehen viele zusammengesetzte \\7orter: Unterstufe tl'ennt und schreibt sie, Mittelstufe trennt und schreibt sie mit dem Geschlechtswort.
4. Sprachlektion, Rechtschreibübung : Tafeltext :
H oeh und niedrig ! In unserm. Garten wachsen Buschbohnen und Kletterbohnen. Die Buschbohnen sind klein aber kraftig. Sie brauchen keine Stützen. Sie sind stolz, weil sie so gerade und aufrecht stehen. Aber die Kletterbohnen sehen hochmütig auf sie herab. Sie prahlen : «Wir sind viel hohel' aIs ihr. Unsel'e Blatter und Blüten sind nahe bei der Sonne ». 1. Leseübung: beide Stufen.
2. Unterstufe Absehrift des Textes. Mittelstufe Gedachtnisübung lUld nachher Niederschrift aus dem Gedachtnis. 3. Hans friigt : Wachsen in unserm Gal'ten Buschbohnen ? usw. Diese Übung wiedel' erst mündlich.
Unterstufe: Übung mit W 0, z.B. Wo wachsen die Kartoffeln ? W 0 wachsen die Buschbohnen ?
Mittelstufe :
Lautschulung : Auf dem Acker ruft man einander: RaHo - hallo - Komm doch !
Ebenfalls gegebene Tafeltexte. Der Bauer und der Teufel S. 71 - Die Stadt- und Feldl11aus S. 72 - Wie die ersten Kartoffeln in Europa Aufnahm e fan den S. 86.
4. Schriftliche Ausführung.
5. Sprachlektion : Aufsutz : Tafeltext: Wer bill ich ?
Lied: Unterstufe .
:J
7. Rhythmus und Reim :
3. Die beste Schilderung wird mehrmals wiederholt und gefeilt.
4. Freie Niederschrift.
6. Lesen : 1. Klasse: Randen, Rüben, Kartoffeln, Salat, Kohl, in kleine Satze eingekleidet in Ver· bindung mit der Fibel.
Mittelstufe: He r b s t (Eichendorff) Es ist nun der Herbst gekol11men, hat das schone Sommerkleid von den Feldern weggenommen und die Blatter ausgestreut, VOl' dem bosen Winterwinde decl~t el' warm und sachte zu mit dem bunten Laub die Gründe, die schon müde geh'n zur Ruh. Durch die Felder sieht man fahren eine wlmderschone Frau und von ihren langen Haaren goldne Faden auf der Au spinnet sie und singt im Gehen Eya meine Blümelein, nicht nach andern immer sehen, eya, schlafet, schlafet ein !
Daum· Zei Mit Ring Idei ins Fen,
chen ge tel nen Bett keines
J
j sag' fin fin fin . Fin chen sich
ich gel' gel' ger ger ail mehr
J eins zwei drei vier fünf gelegt regt
Mittelstufe :
lm Hinblick aufs Zahlen gewahlt. Mittel- und Unterstufe: Herbstlied: «Bunt sind schon die Walder ... » Neues Walliserliederbuch S. 110-111.
Vorübungen gross ausgeführt
9. Schreiben : 1. Klasse: Vorübungen : Wir kneten mit Plastilin oder Ton zur Lockerung der kl. Finger. Kartoffeln, Rüben, Zwiebeln, Kürbis usw. Übungen mit Kreide in grossen Arm. bewegungen an die Tafel oder auf Packpapier. Hin und her - auf und ah, kreuz und quel'.
Buchstaben :
10. Zeichnen und Schneiden : Wir zeichnen und schneiden allerlei Gemüse. Mit Packpapier eine Gruppen. arbeit: das ausgeschnittene Gemüse wird in Korbe gelegt. (aufgeklebt).
Unterstufe : Vorbereitungsühungen : Zierleisten
00000
Mittelstufe: Jede Gruppe zeichnet eine bestimmte Art., z.B. Wurzelgemüse, Blattgemüse usw.
11. Rechnen : 8. Singen : Stimmbildung : Glocken lauten den Feierabend ein
Unterstufe : Tafeltexte aus den gewonnenen Wor. tern. Der Herbst S. 110, Die Suppe S. 122 . Die Eichel und der Kürbis S. 135 Zur Warnung S. 72.
-
» Hab schla -
Unterstufe: Ratsel von Stückrath. Es g'e ht doch dl'Ollig zu in der Welt ! lm Frühjahr ve rsteckt l11ich der Bauer [im Feld, Îm Herbst zieht el' aus mit Weib und [Kind und sucht, bis er mich wiederfind't; aber dann bin ich nicht mehr ailein, ich hab' eine Menge Kinderlein.
1. Bearbeitung des Tafeltextes: dlU'ch· lesen und besprechen, beide Stufen. 2. Untei'stufe : Abschrift Mittelstufe: Gruppenbildung, Jede Gruppe kann ein Gemüse wahlen und bespricht si ch untereinander. Die Schil. denmg geschieht nachher au ch un ter dem Gesichtspunkt : «Wel' bin ich ? » Die andern müssen aus der Schilderung erraten konnen, welches Gemüse ge· meint ist. z.B. Ich bin ein l'un der dicker Knollen. Mit einer Hacke wel'de ich aus der Erde geholt. Die armen Leute brauchen mich jeden Tag, aber auch aile andern bereiten gute Speisen aus mir. Das ganze J ahr werde ich in einer dunklen Keilerecke aufbewahrt. Kennt ihr mich? usw.
Beim
1. Klasse : Alle guten Gaben, alles, was wir haben, kOl11mt, 0 Gott von dir, Dank sei dir dafür.
Ich bin eine Kletterkünstlerin. Mit meiner feinen Stengelspitze taste ich nach einer Stange. Ich lmlklaml11ere sie, winde l11ich oft herum und lasse sie nicht l11ehr los. Wie ich das mache, mochtet ihr wissen ? WeI' ich bin, wollt ihr auch wissen? Denkt nach, und ihr wisst es.
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in grosser Ausführung. Schreibturnen : Fin' g ers pie 1: Das Daumchen fiel ins Wasser hinein. Der holte heraus sein Brüderlein. Der hat es in das Bett gesteckt. Der hat es sorgsam zugedeckt. Und der kleine lustige Schelm schaut her ! Der hat es wieder aufgeweckt. Fingerbewegungen dazu!
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1. Klasse : Wir ûihlen Kartoffeln, Rüben, Zwiebeln usw. in verschiedenen Zahlarten bis 10 VOl' und zurück. Unterstufe : Zahlen im 100er Zahlraul11' in der Schichtung 10 und 10 VOl' und zurück, auch zeichnen. z.B .
2. Die Verschiedenen gesichter :
1. So ist sie entstanden : (Erzahlung)
(Vergleich, Eigenschaft) Der Blumenstrauss steIn wieder im Mittelpunkt der Lektion.
1. Beobachtung und Besprechung: Mittelstufe : Einführung der Waage und der Gewichte : kg und q Additionsübungen daran.
Ein bunter Strauss aus dem Herbstgarten 4. Schriftl. Vertiefung:
1. Einführungslektion : Arbeitsmaterial: Die Kinder bringen aIle Herbstblumen, die sie im Garten fin den.
Die Unterstufe erhalt Kartchen mit den Blumennamen. Die Mittelstufe teilt sie leselld aus._ J edes Kartchen wird 3 - 4 mal geschrieben. (Trefflich eignen sich dazu alte Samenkalender wo Bild und Name dôn sind. Die wel'den au sgeschnitten und aufgeklebt. Das liisst sich auch mit dem Gemüse machen !)
1. Erlebnis : Heute formen wir gerade mit den Herbsthlumen einen btmten, hübschen Blumenstrauss. Je nach der Menge der Blumen wird gemeinsam ein grosser Strauss gebunden oder au ch in Gruppen. Die Unterstufe schafft mit; die Mittelstufe spricht wahrend der" Ausführung : lch nehme eine weisse Aster und jetzt eine rote. Da füge ich noch ein Lowenmaul bei usw. Eines spricht den Satz in der Einzahl, das andere in der Mehrzahl.
2'. Mittelstufe Arbeit am Tafelbild: Die Dahlie gleicht --------\.-Die Aster gleicht - - usw. 3. Unterstufe: Arbeit am Blumenstrauss
Mitte1stufe : enthiilt:
Unser
Blumenstrauss
Dahlien (Riesen-Zwergdahlien), Astern (einfache, gefüllte), Phlox (Flammenhlumen), Zinnien, Strohblumen, Sonnenblumen, Lowenmaul, Nelken, Pethunien, Chrysanthemen usw. In Verbindung mit Zahlwortern: fünf Nelken, drei Dahlien, vier Astern.
-2. Kenntnis der Blwnennamen :
Jetzt sagen wir einmal, welche Blumen wir aIle haben. 'Er st loses Aufziihlen, dann Name für Name durchsprechen, einzeln und gemeinsam.
Die Blumen sind verschiedenfarbig: Es hat weisse Astern, blauen Phlox, rote Rosen, gelbe Zinnien usw; das erst mündlich, nachher schriftlich.
Unsere Herbstblwnen sind verschiedenfW'big: Die Dahlien sind orange. Die Rosen sind weiss usw.
4. 1ch setze das gleiche W ort vor und 5. Wiederholungsübung:
(beide Stufen)
a) mündlich : drei Reihen : 1. Reihe spricht die Einzahl 2. Reihe spricht die Mehrzahl 3. Reihe nennt eine bestimmte Zahl dazu.
3. Vbung an den Namen : Wir schauen tms den Strauss wieder an. Nachher prohieren wir auswendig zu sagen, welche Blumen der Strauss enthaIt: zuerst wieder lose N amen, dann in der Satzform: Der Blunl'enstrauss hat . . . Der Blumenstrauss enthaIt . .. lm Blumenstrauss sind .. . Wer bringt 2 . 3 . 4 - 5 . nacheinander fertig, ohf\.e zu zogern.
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Wie die Menschen, so haben auch die Blumen verschiedene Gesichter. Wenn wir sie genau betrachten, konnen wir die Blumenkopfchen mit aIl erl ei andern Dingen vergleichen. Die Sonnenblume gleicht einem Korbchen. Die Aster gleicht dem Stern, sie besteht auslauter Strahlen. Die Strohblmnen fühlen sich an wie Strohkorbchen. Das Lowenmaul hat einen richtigen Mmld mit Ober- und Unterlippe. Der Phlox gleicht einer unlgekehrten Zuckerlüte'. Die Stiefmütterchen tragen ein richtiges Gesicht.
h) schriftl. Unterstufe schreibt Blumen-
namen mit bestimmtem Zahlwort ; Mittelstufe suc h t unbestimmte Zahlen: viele A ste r n, einige Dahlien, etliche Strohblumen, eine Menge Phlox usw.
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~
nach dem Ding: Erst mündlich: Die rote Rose. - Die Rose ist rot. Die weisse Nelke. - Die Nelke ist weiss. Einübung in zwei Gruppen. N achher schriftlich. Mittelstufe: Schreibt die Satze auswendig nieder und unterstreicht das Eigenschaftswort. Die Unterstufe schreibt die Satzchen, wo das Eigenschaftswort nach dem Dingwort steht. Eine Prëichtige Herbstblume (Sonnenblume)
Wiederholung und Rufeform !
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Die Sonnenhlmne war einst ein unscheinbar kleines Blümchen. Die Blüten hatten so wenig Honigsaft, dass nur -e in Bienchen genug nehmen konnte. Alle andern mussten hungrig weg. Das schmerzte das Blümchen, Es fing bei Mutter Sonne an zu betteln : Bitte, bitte, schenk' mir eine Blüte so gross, dass ich ein ganzes Bienenvolk speisen kalID und meine Samlein auch noch viele hungrige Voglein nahren. Nach langem Bitten mId Flehen versprach die So"nne, zu helfen. Da streckte sich das Blümchen voll Dankbarkeit zu ihl', und siehe es fing an Ztl wachsen. Starke Wurzeln vergruben sich in der Erde. Der Sten gel streckte und dehnte si ch aus, Die Blatter verwandelten sich in grosse, grüne Herze'n . Zuobel'st dehnte sich der Sten gel zu einer kreisrunden Scheibe. Rauhe grüne Blatter umzaunten diesen Blütenboden. In diesen pflanzte die Sonne viele hundert kleine braune Blüten, AIs leuchtende Wachter verwandelte sie einige ihrer Strahlen in gelbe BlütenbHitter. Diese winkten den Bienlein. Die kleinen Blüten offneten sich nach und nach, zuerst i? aussenl Kreisen, dann der Mitte zn. So sah diese Riesenhlume wie eine Sonne aus. Den ganzen Tag blickt sie ihrer grossen Schwester am Himmel nach. Ein ganzes Bienenvolk tmnmeIt sich in diesem , luftigen Gartchen und belabt sich -mit Blütel1staub und Honig. So blüht die Sonnenblume nun jedel1 Sommer. 2. Unterstufe: Zeichnen der Sonnenblu-
mel1geschichte,
3. Mittelstufe : Anhand einer Sonnenblume wh-d nachel'zlihlt, Nachher
4. Übung des Vel'gleichs ais Vorbereitung anfs Diktat: Die Sonnenblume scheint wie eine Sonne im Garten. Sie ist so hoch wie ein ldeiner Baum. Der Sten gel ist dick wie ein Ast. Die Blatter sind wie
selbst !) Wir graben einige Herbot· zeitlosen aus . Alles wird betrachtet: Wurzeln, Knollen, Stengel, Blatter, Blüte, Staubgefasse usw. b) Zeichnen der Herbstzeitlose: ihre verschiedenen Teile. Unterstufe: Auf der Herbstzeitlosenwiese (Schil. derung).
Schirme. Ihre Blütenscheibe ist so gross wie ein Teller.
5. Leseübttng am Tafelbild. 6. Unterstufe Abschrift des Textes Mittelstufe: ben.
Auswendig niederschrei·
7. So sind sie
3. Sprachübung. Einsetzübung !
Tafelbild: gross, gelb, braun, dick, grün, fleissig, leuchtend, schmackhaft, herzformig, anndick, stark. Etwas an der SOlmenblmne ist so ! Erst münd· lich. Die Blütenscheibe ist grosso Die Blütenblatter sind gelb usw. Schriftlich: Unterstufe: Bildung die· sel' einfachen Satze Mittelstufe: Ruft das mal aus! Welch grosse Blütenscheibe! Welch starke Wurzeln! uSW. Hinweis aufs Rufezeichen !
Tafelbild: Wir gruben eine . aus. Zarte . strecken sich aus der K. heraus. Der . gleicht einem kleinen Rohr. Die . sind der Ttùpe aIuùich. Die . ist blaulichrot. . frisst die . nicht, weil sie giftig ist. Erst durclùesen un'd durchsprechen, dann ins Heft. Mittelstufe : Bericht : Wir gruben eine Herbstzeitlose aus.
4. Wiederholungsübung: Zwei verschie· dene Blumen! (Sonnenblume und Herbstzeitlose) . a) Vergleich mündlich! Die Sonnenbhune wachst im Garten, die Herbstzeitlose aber auf der Wiese. In der Erde hat die Sonnen· bhune starke Wurzeln, die Herbst. zeitlose hat eine Knolle und nul' zarte Wurzeln. Der Sten gel der Sonnenblume ist hoch und dick, jener der Herbstzeitlose aber klein und rohrenfol'mig. Die Blauer der Sonnenblume sind breit und herz· formig, die der Herbstzeitlose abet schmal und lanzettlich. Der Kopf der Sonnenblume ist korbformig, jener der Herbstzeitlose aber kelch. formig. Die Sonnenblume dient uns allen, nicht aber die Herbstzeitlose, denn sie ist giftig. Diese Satze weI" den mündlich erarbeitet und in Stichwortern an die Tafel geschrieben. b) ' Die Mittelstufe schreibt den Text anhand der Stichworter.
8. Die Sonnenblume vel'schenkt aUes! Den Honigsaft gibt sie den Bienchen, die Sarnen aIs Oel den Menschen oder aIs Futter fül' die Vogel, die Blatter aIs Viehfutter, die Stengel zmTI Heizen. Unterstufe : Lese- und Abschriftübung daran! Mittelstufe: Übung der Befehlsfonn ! Komm hole die Blauer fürs Vieh! Nimm die Sten gel aIs Brennholz usw.
Das ist eine andere Herbstblume ! Sprachübung tilld Aufsatz. Sie ' steckt gal' nicht in m1Sel'm Strauss. Ich weiss warum. (Sie blüht gal' nicht im Garten und ist giftig).
1. Vorbespl'echung: Gleicht dem Krokus im Frühjahr. Ist die letzte Herbstpflanze. Das ist gut, denn aIle ihre Teile sind giftig. Lasst sich schwer ausrotten, denn die Zwie· bel steckt 15 cm in der EI·de. Sie schadet den Tiel'en un:d durch diese auch den Menschen.
c) Unterstufe sucht unterdessen grosse Wortel' (zusammenges.) wie Herbst· zeitlose, Sonnenblume, Strohblume, Blumenstrauss, etc.
2. Erarbeitung : a) Wir schauen uns eine Herbstzeit. lose an. (Am besten auf der Wiese
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24-
(So wei ter mit Ringfinger und Klein· finger, Faustchen, Handchen, Ellbogen, Kopfchen. AIs Spiel wird abwechselnd mit dem Genalmten auf die Tisch· kaute geklopft).
5. Lesen : 1. [(lusse: Dahlien, Nelken, Strohblume, Sonnen· blume, Verbindung mit dem Fibel· text.
Untel'stufe : Ich habe keinen Garten.
Untel'stufe :
Hab keinen Garten, habe nul' ein Topfchen, drin wiegt eiu Blümchen sein buntes Kopfchen . Ich giess es abends, ich giess es früh, mein liebes Blümchen vel'gess ich nie! (von Albert Sixtus) Der Text der Lieder wird auch aIs Reimübung gebraucht.
Tafeltexte, Wiederholung: Zm War· nung S. 72, Die Bienlein S. 54., Das gute Madchen S. 120, Der Greis und das Madchen S. 117.
Mittelstufe : SJW·Heft «Bei unserll Blurnen », Jo· l'inde und Joringel S. 27, Oder SJW· Heft «Kleine Welt », «Dick und die Sonnenblume», S. 20, Oder: «Der starke Basclù» S. 122.
Mittelstufe : Der Ursprung der Rose (Aus dem SJW·Heft. « Bei unsern Blumen»).
6. Rhythmus und Reim : 7. Singen :
1. [(lasse: Fingerspiel : Wir spielen, wil' spielen und wollen [lustig sein. Und wen das Daul1lchen nicht melu [kamI, dann kommt sofort der Zeigefingel' [dran. Wir spielen, wit· spielen und wollen [lustig sein Und wenn de~' Zeigfillger nich mehr [kann
Stimmbildung:
dann kommt der Mittelfinger dran.
Lied: Meine Blümlein haben Durst.
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Dreiklangsübungen auf m, n und ng. Bienchen besuchen die Sonnenblumen und summen verschieden.
Lautschwlung : Sonnenblumen, Sonnenschein, Sonnen· strahlen auf verschiedenen Tonhohen scharf gesprochen, leise und laut.
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Mittelstufe : In unseres Vaters, Garten. S. 112 W.L.
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8. Schreiben :
6EO ANKEN
1. K lasse .'
I VM f B Il 0 lM
Vor ühun gen gross li n die To feJ und auf Packpap ie r : W ir Laufen auf di e W iese und z urück lm Kreis he rUlIl . Es wird gchiipft. .
J( H VLRAV M~
Schrcibe n : Mit SleinschriCt : Wo rte l· nus deln Sachgehiet : Di e Rose ist sc11i:in Di e Dahli.e ist schon Di e Ne lke Î st E:i chon,
Dom
Unterstll fc.' Vo ,·be re iluu gs li bu ngen:
nufschlnss l"e iehe n
/fA./ M itte!stu fe : Oi e Vorü bun ge:1l gJeich de i· vori gell W och e. Buchstabe nre ihen
lI1ittclstftffl :
Miuclstufeo'
Sovicl 1Il1lssie de r Gürtnc r (ür den verschi cdcncl1 Blumensamen 7.ahl en: E inführuil g in di e Mult.i plikati o n allch mit F r. und Rp. :
Gem e insam e A rbeil , U nser H crbstga r. te n in der Dlum enpracht , Un terstu fe .'
der So nne nblulll c.
1 P iickle in Nelkcn k osten 40 Rp . 2 » ?
• usw.
10. Rechnen : 1. Klasse o' Ziihlübullgen :
P iickl cin Lowenma ul 1.20
Z ahlda rslellun gs- und Zahla uffasslln gs. übllu gen , Verbindun g von Za hl und Ziffer 1 2 3.
+ +
-
C zClTcd .. t >. -
Es iSI klar, dasa di esel"
WaJli st" l· Schull"iium e n bcrc its Wandbild cr
K Ull stwcl'ke di enen k onn en , cs sei deon , ma n woll e durc.h di c llelrachlnn g kit sch iger
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Bil de r Il cwusst lInd klar vorbeuge nd und
schmü cke n und frc lllldli che r zn gesta lte n,
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m an .li e Bild cr im U nt er richt
vo n V isp Hess sehen, dllss aU8sc rorde.nÙi ch
lI usw,'rtet: bchande lte geschichtli ch e, geo·
werlvoll cs K umilglll Hi r di e WcckulIg und
graph isch e odc r nuturk ull d liche Gcgenslân de
Fii rdcrull K des K unstsinn es im Kinde d nrge·
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Di e AlIsstt" lI ung
bote n wird, un d 7,W31· vc rltâ ltllismassig 80 billi g, dass selbst di e ânns te Do rfs dllll c e iJli ge R oprodukli one n wirkli che r
{(lIll st ·
T1 eo hachlull gS' und E rillll crungs ll"cu e di cncn .
wc rkc cr werhell kann , tli e im einfache n,
All e di csc Z id c Illlbe ll ihl"c n crccJl1i gull g.
ahe r gcsduunck vo ll e n uud chcnf ails uichl
Abcr e ill w Îcbti gcs, c l·û e herischcs Mom e nt
tOlll·cn Wcchsclnlhlllcll nach unrl !Inch den
stchl d amit tlocli
K ind crn 7. 11 e in gehe ncler, oh wiede rholLcr
UliS:
di e BegeglllUi g mil
Ilem nSlh clische n Erl ehensdra ng des K indes. ....... Dicscli ErleJJen
Betrachtuu g vorgeCiihrt werde n.
ist ja niclll glc ich zu.
Ernst Schm.idt.
sel.ze n m it dcm vcr·standcsm assi gcn 1<:rfasscn
*
des Bil dgege nstundcs, sondcrn es ist das le he ndigc Eml)fillden des W ie der Dars te l. lun g, der KOlllpos iti oll, des Rh ylhmus, d ei· Lin ienfü hl'ung und dc r Sprache der F arbe n.
Nac lt schrift der R edaktion. W ir werde n in der niichsten N llmm er ge· IHHI ~
pfilHl s:un ke.il , den Si nll fü r dus wirkli eh
7.e igtc n R eproduktiollen und C raphike n und
Gle ich mil den Bl' lmc npreiscn .
Seh o nc, gi rl es durcI! dus B ild im Schur ·
zu gle ieh di e Bcz lIgsquellcn an gehe n. Es sei
v. lUasse
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• usw.
hi er auch fein e Mo gli chk eit Dre isul7..
100 Stück Gladi oJcn 27 .60 15 » » ? usw .
26 -
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giht, dicuc n dicse m e iste ns folge ntl en Zwek.
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Di e im K ind c schhmu n ernde, fe ine Em.
12
U nterstll.feo' Dcsouclere Zii hlü hun gen im 1. ZWHnzi ger A tld. 1 2, - 1 - 2. UT. tUasse W ic dc rholung mît der Il. Klasse. Zühlüblln g im Tlll1 send et 100er Sprül1 ge, 10e r Sp r Un ge ulld 20er Sprünge vo r und 7.urück. St off : Blum ell , Salll en, Slrii ussc lI SW .
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9. Zeichnen :
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darlluf ·vcrwiesen,
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DurliUl dorf das Bild, das diesem Bildun gs·
St hulhmkscndlln ge n von R3dio BcrclIlIün·
l.wtcke di enen 8011, lIichl an crate r Stclle
ster j cwcil en sogcnullnte Bildhc tl"Hchtllll gen
vel'stiindlil'h, sonde rn clllp(indha l' und E r.
gescnde t wel"clen , Sic vcrdicnen das voIl e
lc bnis wcekc nd se in. Di cses 'Erl cbnis k omlllt
IlIl er essc d es Lchrpersonals.
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COMMUNICATIONS - MITTEILUNGEN
RUNDSCHAU Das vOl'dringlich sle Pl'obl~m der Ober. und allch (lei' UnterwaUiRe r Volksscl1l11c hlt'lbt na ch wic VOl' dei' Mangel an Lehr· pcrsonal. Er IUlhm auf di escl1 Herbll t nocillnais sr.hiirfere FO/'Ul en UIl , nachdem im Fdihjahr 1 Sommer eiu:ljg illl de utsch. spraclligen Landcsteil weit ere scc hs jungc odcr doch jüngel'e Lehrer den Schuldi ellsl auCgcge ben habcn, mn sich ciner Beschüfti· gl1n g bci Post, Bahn und Arheit ersckeetnl'Ïal oder dem WciterstudiulIl zltZllwenden , Da. mit steigt di e Zahl der Lchrer, die in den letzlen zwcieinh alh Jahl'en den Obel'wal. li ser PrimnrsclmlCIl verloren gingen - mail kann wohl 100 sagen - auf 34, Die Cründe diesel' Abwand cl'ung sind genügend b-ekannl, ais dass wil' sie hicr noclunal s eingehend darlegen müss ten; l.ahll'ciche und z, T, ,'er.ht Înlercssa nte Verdienstmo glichkcit en in alldern Kalltonen ode!' alldern Bel'ufen; kurze Sehuldau el', schwie ri ge Sclllùverhiilt· nisse, Bcreits beginnt dic Abwandeflmg Ruch hei den Lehrer innen eillZllSetzen, Nar.bdcm aber sozllsagen die ganze Schweiz iibcl' cine" selu 8tarkell Man geJ an Lehr· IcrüCtcn für di e Volluschliie n klagt, ist di esc Erscheimmg eigellllic11 nicht wei ter ver· wunde..lich_ Das Erzieh un gsdcpartemcnt hemüht 8ich, durch die aUjiihrlichc Aufualunc einer grossern Zahl von Sdlülerinnen und Schülern in di e Seminarien der Lage 10 0 l'a8ch aIs Illoglicb Herr zu werden, Dall eben aher drangen sich wei tel'e Massnahm en auf, Massnahm en auf weite Sit ht, de Uil cs ml/ 55 des bcstimmt esten dBIl1Îl gerechnet werden, dass die übrigen Ka nton e wege ll ihres cbenfalls cmpCindlichell Mangel s !ln Lelll'krühell di e nach Slen paAl' Jahre noeh cine seh,' grosse Anzichullgskraft auf ullse.re jUllgen Lchrcrillilen und Lehrer ausUben werden, Eine gewi sse Milderung wird di cscs schr
aktllelle Pl'oblem von der Seit e der Sch uJdaner her erfahren, fül' llercn Verliillgerung sich au eh im Oh erwalli s Illchr und lUehr Cc· meinden interessiercl1 und einSClzen, 50 rassten im Laure der lel'l,t cn Monate in di efiem Sinnc Beschluss : di e Gcm cinden Coppi!,herg, Morel/Filet. Na ters, Ried·Bl'Ïg, Raron und SlIl geseh , lelztef cs rUr die Klein· kinderscllllle untI di e Klasscli der Ulll ersluCe. Es sail deJ1llliichst an dieser Stelle gcnau über den Sland der SchuJdauer im ganzen Kan· ton ori enti ert werden, Das Untcnvallis hat in diesem Punkte einen schr bede utenden Vorspruil g al1f den obcrn Landes teil, Di esel' ist lIicht zulelzt in giinsli gc l-en wirlschaftlichen Verhiiltni ssen zn suchen, z,T , aber auch in ei nc tatsüchli. chen AuCgesc hlossenheit fUr die Belange der SChlll c, Del' Lchrcnnangcl Ill ac.h l hingegen auch dem Unterwa lli s stark zu scharren, ohwohl die welschc Schweiz fül' auswiirlige Lehrkrafte viel wenigcl' au fnohmefiihi g isl aIs di e de utschschwf' izel'ischcn Kallione, Dafür iibcn Handel . Indu strie, Gewt:rbc lUld Vel'waltull g auf di e jungel1 Lehrer ci ne gcwisse Anziehungslcraft aus, Das Bedürfnis na ch neuen Schtùen hat si cil he i uns in den lelztcn zwei Jahren all gemcill etwas vcrlangsamt , hiilt jcdoch in den grossen Zentren des Un ten\lall is unvermindert an, lm Oberwa1lis erhi elten neue Primarklassen Brig, St. Niklalls und Fieschertal. Bei letzterer Gemeinde handelt es sich UlIl di c Wiede rerOf(nung einer Schl1le, dic (rühel' bCl'eits einmal heslanden hat. Es sei danll1f hillgcwi esen, dass in den vergnngenen .Tahrcn Ruch in ciner ganzLoi R eih e von BCl'gdorfel'll ncuc Primarlclassen errichlet wel'flen 11l11sstell, Man macla dabci di c inlercssante FestsleUnng, dass dort in der Rcgcl auC cin ziemlich l'!lsches Ansleigen der Bevolkcl'ung fa st r egelm8 ssig wieder eine Abnahmc erfo lgt. Am Unnde wollen
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wir festhalt en, dass lInser Ka nLol1 gcgenwiirlig 11U1- weni g zalùeumassig wirldich stark bcsetzle Primarklassell aufweisl_ ZUlU E..rrellJichstell in unserm SchuJwescn gehol"en enlschi eclen die alljahrlichcn Leh. rcrbildungskm·se. lm Unlerwallis sLieg di e· sen Sommer die TeiJnchmcrzahl auf nuh ezu 300 un, verleiJt a uf cine Rcille von K ursen flir dBS P erso nal der versehiedcne n fichul· stufen, Jill Oberwallis gÎn g vor lcurzclll der CünCte Kul'8 in cler Reihe « Psydlologie uud Methotlik des VolksschulunLcrdchtcs :t Zli Eude, Er wies fust gCIlUll 100 Tc.illlchmcr auf und crfaSBt.e 80 den dritLen T eil des gesUlu len Bcstandes an LcJuerinnen un d Lchre rll, Für di e kOllllllellden Jahrc s ind hauptsachlich Kursc Hir die Wcile rhildung im muttersJlraclllichell Unterl"icht vorgese. hen, Sie dürCten gl'ossem Interesse begegnen und a ueh einem wirklichen BedürCnis e nl· sprcchen, da der Ullterricht in den Illuttersprachli chen Füdlern a us Gründen, di e wir hi er delllll acllst darlegen werden, zu· sehends schwierigcr und damit wobl auch wenigcr cl'fol greich sein wied, Ein We it crbi l. dungskm's CÜI' FortLildungsselllùlc111'el' wird dic diesjiihrigcn Kllrse altsclùiessen, Magen Iln serc Schulen aU8 alleu di c.sen VeralJstaltungcn aucil weiterhin reichen Gewinn zic· hen ! Das SOlUHlerhalbjahr war wiedcl'wl1 ge· kennzcichnet durch cine sebr crfrculich e TiiLigkeit Îlu SchuJhau sba u, TiitigkeiL, an der sozllsagen der ganze Kanton A nLeil hat. ln Arhaz, Chal ais, Sidera, St, Leonhard, Sitte n, Nendaz und Orsières cntstandcn ode r entetehen bemerke.nswerte Neubauten, fil St. NiIcla us wurde das neue Schulhaus ein sehr gut gelungcncr Ban - let7.thio bezogen, III Zermatt und U nterbiieh sind die el'sten Sp8tensliche gelall; das Schul. haus von Val'en sleU t 8ich vergros8crl und IlUsgebessert VOl'; in Eggerhcrg wird lIJun clemniichst Band ans Wel'k legen, ebcnso in EischoU; Gu ndo und Münstcl' sind am Planen, Kun gesagt : cs gcht vol'wiirts und wir wollen uus darüher aHe her:llich Creuen , Bald niihern wir uns dem AblauC der zehn· jiihrigen Fl'isl. wel che das Gesetz für di e EinCührung dcs hauswirtsehrutlichen Un ter·
richtes im ganzen K,uitOIl vorsiellf. Cauz besondcl's \V aren im Oberwa1Jis in dieser Hiusieht e rbc bliche Schwierigkeitell 7.U übel" win den, hauIHsiichli c.h begl'ündel in dem Mange! un gceignclen lUiumliehlceilen , Um so beme rkcnswertcr i51 cS dahcr. dass di ese n H erbst vier ne uc Haushaltun gsschuJen cl'offn et wel'den kOllllteu ; ULricllcn (Obe rwu le!, Obel-gesleln und U lri che n). Bi el (lli eJ, Hitzinge n, Sd kingell, Blit7.ingen, Glurin gen Imd Rcckingen ). Bürchen und St. NiklullS, El'w iihncn ",il' im Vorühergchen, das5 es im gUll ze n Kan ton au Hau8wirtschaftslehl'crinlien fchll und überdies an Inlel'cljse /:lll dit'..lle.m sch oll en und dallkharen Derufe, Verschiedenen Massnahmeu , nuf ausse rOl"' de ntliellen Wegc, Personal fü l' di esc Schul en 7.11 gewinnen, wal' leidcr nu l' cin schwucher Erfolg beschi ede n, Uuse ru Lchrcrinlle u cr· wac.hsi hi er d ie bedeutnngsvoUe AuCgabc. ge· ciguetc Tochter auf ùcn Beruf der Hauswirtschaflsl ehrcrin aufmerksam zu lIluchen. Einer glückli chen Ncuerung r1ürfell wir an diesel' Stelle nicht übergchen: die Eiu· rühl'ung tler llerufsberatullg in den kauto· nalen MilLel sclllùcn, Die ersten hei uns auC diesem wichtigell Ccbicte gemacllten Fest. stellungen und Erra hrullgen bestati gen, dBSS es rÎchlig unù nOlwendi g war, sich dicses Allliegcns ohue Verzug 31lZllnelliuen, Die stiilldige und regc1massige ZUllalulIc ùer Schül en uhJen (li eser AustaIten spl'ach eLen· full s zn GUlls len einer solchen Massnalull c, Ocr wachsende Bedarf an Teclluikeru und lngcuietll'en ricC Ilach Schaffun g 7. insloser Dul'l ehcn fül' geeignetc jllnge Leute, die sich di esen BeruCen zuwenden wollen, oh ne die daHir notwendigell fill3n 7.iellen Mittel sel bst allfl)l'ill gen tU konnen, Ein Staatsrats. bcschJu ss rcgelt die Formalitaten der Dar. Jchensgewiihrung. Schon diesen Herbst wer· den di e ees ten Illgeni ellrstudenten in den Genuss zinsloser Darleh en gelangen kOlllten, Was lange Wiihrt, wird endlicll gu t! Verzeichnell wil' abscllliessend noch den Wecll sel an zwei bcsollders wicllLigcll Po. sien Ullsel'es Schulweseos, Am Lehreriuuen. seminnr von llrig wil'd Sr. Stephani e Crand aI s Dil'ektorin von SI', Angela Locher abgelOst, die diesen Posteu schon einmal wah.
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rend langerer Jaluc mit AnszeiclullUlg versehen h at; deu m utlcrsprachli chc n Unter. richt am Lchrersem inar übe rninunt für dic Scllülcr deutscher Z unge H e rl' Arthur Fibi. che t·, Silten. Dcn Sch eide nde n und den KOllunenden uufricJlI igtm Dank und herz]iA. Ch , eh es Wi UkOlllmc n !
A PROPOS D'UN CONCOURS DE DESSIN
Duns chaque ca nton, un llIe mbre d u jury désigné par le Dé l>arteille nt de }'Jllstnlctioll Publique opéra un e première sélection et ne rc tin t 'I" e le 12 il 15 % des travaux t1e son cant on. Quand Je jury se réunit il Lau, sa nnc le 12 juin J erni e r, il restait environ 200 dessins e n compé tition, tous affi chés, sans nom d'a ute ur, da ns la grande Salle des Vigile rOll!! de la .Gare de Lausannc. Le jury procéda à une pr ~ lllière élimination n e te naut comp te que de l'exceJl eJlce des tra\'RlUC dans c.hu CUIi des 4 thè mes imposés, Ce prtl:uier tri révéla d'embl ée la ne tte supériorité de BERNE et de GENEVE près dc 40 dessins rctenus p our ces deux cantons - tandi tl qll e 3 sell..l cJ11e nt du VA. LAIS é tai e nt pointés. On r cfi t un de uxième, pui s un troisièmc triage, en tenant compte cette f OÎs de la IHu'ticipation cantonale. Finalem ent, alJrès quatre heures d'un laborieux travail d'cstimati on, Jes 50 h eureux ca nditl ats furent désignés. Parmi eux, 6 du Valais, dont 3 c r cpêehés " pa rmi les é limi, nés de la premi ère heure. C'cst I)eu pour noh'e amour·proprc cantonal, mais c'est bea ucoup si l'un ti eut eO lllpte de ]a valeur comparative des trava ux présentés, Car c'es t il ecla que jc ve ux Cil venir: nou s avons e nco t·c beaucoup il faire dnns le domaine du ùessiu scolail'e pOlir aH c in· dre Je niveau des autres cantons. Si le jury que présidait avec autorité et di stincti on Me Jul es Faure au nom du Seer élariat Génél'a l des CFF, n'ava it veill é il une ré· PHl'titiOll équitabl e par cantons, Ic Valais aUl'ai t cu deux lauréats au plus, sans doute panlli ceux de onze ans. S'en affliger ? Cher. cher une excuse fa cile et somme toute accept able dUlls notre rég ime de six Illois où l'en seignement du dessin est sacrifié nécessaircment ? Mie ux va ut eo nsidél'e r objecti vem ent nos défici e nces. Cil
Les fêtes juhilaires ..Iu Simplon remontent à quelques Illois. On se so uvi ent qu'à cette occasion, le Comit é d'Orga ni sa tion avai t lancé un Concours de dess in ouvert il nOll'e jeu ncsse sco laÎre romand e de 10 à 16 ans. Le thème Cil é tait fixé de fa ço n précise : Pour les écol ie rs de 10 il 12 ans révolu s : a ) un traÎn moderu e à l'e ntrée ou il. la sorti e du tunnel, ou bie u : b) l'arrivée il Brigue tlu trnin roya l itaUe.n, le 19 ma i 1906. Vour les éco li ers de 13 li 16 a ils : a ) une équipe d'ouvrÎers au travail dans le tUlulel, ou bie n: b ) une illustrat ion symbolique du tunn el, trait d'union entre ln Sui sse et l'Italie. Les conCUHent s pouvaient utili ser la technique de leur choix: crayon, plwnc, lavis, aCfUal"eUe, gouache, découpage, vitrail. Plus de 1400 de.ssins parvinrent nu Secr étariat Général des CFF. BERNE ve uait en tête llvce 600 compositio ns, pui s VAUD: 250, VALAI S , 180, GENEVE, 110, NEUCHA· TEL, 130, FRIBOURG , 100. En Valnis, Brigue ct Noters envoyèrcilt une septllntainc de dessins. Ri cn que de très natu rel cn cel a: ils sont il J'en trée !lu tunnel c t ont vécu les fê tes cOIIllUémOl'tllives. Mo nthey envoya 15 travaux, Loèche e t Ma.rtigny 13, Viège lI, M iex s/ Vo uvry 7, Ulltcrbiich 5. L'ensemble représentait une quarantain e de classes au plus: 132 garçon s cl 48 nUes. Quant il l'â ge, ce furent les e nfants de on ze . ans qui fournir ent le plus forl continge nt. Parmi ces 40 classes, 14 n'onl cnvoyé qU'Ul} se '.Jl t1essin, sans doute ccl ui (!Ile le maître el:i timait être le meilleur de la classe. En quoi il e ut to rt, cal' sn discl'ÎmÎnation U'cÎlt pas toujours été celle du jury.
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Deux lactUlcs me pllru isseul devo ir ê tre signalées c.h ez nous: la pauvrc té de rima· gination et l'insuUi sn ll ce de la tecl mique, Chacu n snit que l'ima gina ti on cs t ehicbem ent contin gent éc che;" nos écoli ers de Ja montagnc, lis ont , il est vrni, des compensations dans J'uutt'es dOlll aines. Mo is quelle pauvre té d'idées daus cc thème du Simplon !
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A Bri gue-Na ters, on s'est contenté de copier l'entrée du Tunn el. P eut,être cst,on allé SUl' pla ce, sagement ass is le long de la voie ... Deauco lIJ) Ollt agrandi plus ou m oi ns fid è lement le timbre·poste co mmémora tif: train sortant du tunnel et fonçant sur les tou rs du Chût eau Stockalper, lequel est bi en mal placé, mêm e sur le timbre en questioll. D'autres en cO re ont fouillé revues ct jour. naux, l'el>roduisallt gauchem ellt un e gravure de l'épo que archi,collnue. L'arrivée du train royal à Brigu e, par exempl e, chatouill ait l'ima gination, autorisait une vraie débauch e de couleurs: oriflammes claquant nu vent, neurs partoul, roule Li garrée S Ul' les quai s, pel11OIlua ge6 officiels, compagnie d'honn e ur ... Tout cela, même gaucheme nt rendu, se l'etrouve dan s certains travaux confédérés, avec des tOI1S chauds qui donnent vraiment l'ill1l)ress ion d'une foul e en liesse e t lai ssent le jury rêveur. Mai s cette richesse de tons Ulanqu e citez nous. Plus pauvres e ncor e lcs scènes il l'int érie ur du tunnel, dans la gri. sa iUe des hachures au crayon ordinaire. Et n'alléguez pas que la vivacité. de rima· ginat ion croîtra avec l'âge! Même chez les nOl'lnnlie ns de 3ème ou 4èm e année ]a décoration d'Ull trian gle, la comhillui sol: de de ux initiales pour Ull troussea u, ull e mur· que couull erciale, un motH de felTolln c ri c m'ont touj ours vivement déçu pal" la pau · vl'eté de ]' inspira lion ,
le juger il 4 ou 5 mètres. L'œil u'est retenu pOl' aucun coloris. fi est inté ressant tic remorquc r que la plupart des trava ux primés il La usanne furent d e~si ll és au néocolor. On d ira it que nOlis sommes p révcnus en Va lais contre celle c nouveauté :) (vieille de cinq ou six ans !) dont l'excelle nce justi . fi e la vogue. Ces craies grasses permette nt tics effets surp"enants c t n e dépassent pas le prix ,des grands assortiments Camu d'A che. Un dessin au lléoeol ol' fait tou· jouJ's cho c. pOlir peu qu'oll sachc utili se,' celle techni<Iu e ra cile sans fau sse timidit é. 11 raud.raiL C il géllé l'uliser l'e mploi dès les classes inféri e ures. Lu phun e pm' co nh'e me parait délicate il ê tre lllilisée avec art dans le dessin sco laire. Plutôt la gouache alo rs. A cc propoH, il me plaît de relever ici les execllents l."avuux il la gouach e fourni s pal' l'école de MIEX 51 VOUVUY_ Sur les sept écolie rs valaisa ns invités il Mila n et il Gê n e~ par les CFF, deux venai ent de celte peli te classe de hameau, laqueUe co mpte au plus 12 élèves il tous les degrés. Lc pe tit nombrc d'enfants y eS t pour (Ju elque chose; l'initiative du maitre aussi. Puisse. t-il avoir d es Îmitateurs ! E. Clarel.
La techniqu e mê me la plus b rillan te ne sau. rait faire prime là où manque Je SUpPOl't de l' idée. H élas! la technique aussi est très défici ente chez nous. Nombre de classes de montagne ne connaissent encore qu e les traditionnels crayo ns de coule urs, souvent bon marché et de qualité inférieure, made in GermallY ou Tchécoslovaquie. On n'ose pas c presser :) p ur ee qu'il s cassent, ou parce que le maitre le défend, peut,être même pnr un réflexe acquis à l'école enran tin e, la maîtresse aynnt hataillé constamm ent pour la soupl esse et la légèreté. Cela donne des tous neutres ct des compositions sa ns l'clier. La li gne, le dessin, voilà ce que l'on soigne relativement chez nous, Nous jugeons un t1essin connue une page de calligraphi e, il 30 centimètres, au li eu de
In der drittell Oktoberwoehe beherbt:l'gte die idylli sch gelegene Schützelliaube in Visp die Wanderau sstelJung des Sehweizer , Lehrel'ver eins über Reproduktione n und Graplliken alter Meister und solcher der Modern e. Di e gediegene und bunle Schau ul11fasste ca. hundert Wel'k e~ angefan gen von Dürrer über Rembrandt bis zu Gaugin uud van Gogh; ja sclbst Picasso hatte seine Vertreter. J eder, der mit der Ausschll1ückwlg cines SchuIraumes e twas zn hm hat und di e Aus. stellun g aufmcrksam dlll'ch gan gen ist, wi l'd ohne Zweifcl für sei ne Verhiiltuisse (w ir de nken hi er Kil Berg und TaI, an ldeine und grosse Rüwn e, an Buben und Madehen je· den Alters) das Passende lUld Fruchtbare ge. funelen haben. Die Kunstkreis· wld ArI a·
«DAS BllD lM SCHUlRAUM » Zur Ausstellung in Visp
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Blauer sind daneben auch Cii r jedcn cr· schwi ll gli ch und, in die pl'aktischen Wcchsel· rahlllcn gegeben , wirlecn sic guL nnd Spl'C' c.hen du!.! Kind jewcil s in bunt cm Wech scl un, Wir hattén jcden Gcmei ndéPl'üsi denten lInseres Kü nt olls in dicse Sclunt hine in ge· wünscht, mu ihlll zu sugen, doss iJci einem SchuJhuu sbau mil ctwas diinnt:l nl Mallel'Il dem Kinde beslimmt Ilichts abginge, und das auf diese , VeÎse crsparte Sümm ehen, zur sinnvoJien lnllen gestaltun g de r RiiulIIc ver· wcndet, dcm Kinde cincu ReiclttlUll fii rs Leben gabc. Das Int eresse an der ge hotenen Scha ll war sehr regc, und wir hoHen gerne, dass der Besuch jellc Früchte zeiti ge, wel che die Erwartun gcll edüllen, di e dus ErziellUlIgs· departt!lu cut, ai s Initiant der Veranstaltnng, in unsere lokalcn Rehôrden und in die Lehrerschah serzl. NntürJieh soJlt e vo rub di e Lehrkrnft selbst der wrull'en K un 5t he· gegut:ll sein ( dm'ch dt:1l U nt erricllt in Kunst· gechi chte illl Sem inal' und durcIl Selbstbil. dnng), Hill diescn R eic111111l1 an die Sc11üler weitergt:ben zu kÔlln tlll. Die spont a nlilen Ausaerungcn hôrteu wir stets von unsern aUerkleinslen Besllchern, und ihr St rom slauLe s ich jeweÎls vor den Bild ern, die die PIta.nta8Îe Hlll'cgen, di e Gr en zen der Realitiit durehl)l'echen , Bildol' al80 mit imagiuati vem Ilùlalt. (z, B. c: Die l'Olen PCerde :. von F, Ma rc ), Die M..itLcl· stufe spl'Rchen solch e mil realisti schem Ein· sclùag an, wie etwa Kollers « Vi ehh ercle am See ~. Die Gl'ôssten von de n Kleineu wiesen daun schOll eiu gewisses Verstandn is auf mr di e Jyri sch·rolll ll l1tisch e und eX I)ressive Luudsch uCt ; sic wii.hlten untel' andel'l1 Hod. lers «Sch wa rze Lütschin e >, Di cse FCslstel· lungcn m ach ten wir unhand scltrifùiehcr Proben, Atû jeden FoU !tounte man Cest. stellen , duss das Kinllt:l'gcmüt beilu He· trachlen ci nes Bildes weit alûgeht, sobald cs den Kontakt zu ihm gduuden hal, und ware di esc Brücke aueh nur ei n wi nzig klein es Lebewt:sen, dos es hierhei entdeekl. Wir schtiessen mit der AufmunterulIg eines Ldtrers. der mit sei ner Klasse di e Ausstcl· IUll g besucht e und die Killder einell letzten langcn Blick auC den durchwündenen Saat
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zurück weden hi ess. Sllrcehend: c Trinkl. o A uge n, Was di c W impcl' hait , von clem gn ldn en Obcrflu ss der We lt ! ) A. Roth c1t,Pfmnmutter,
ASSOCIATIONS
ASSOCIATION DES MAITRES DE GYMNASTIQU E - CO URS REG IONAUX D'AUTOMNE
,~VERE INE
VEREIN KATHOLISCHER LEHRER UND SCHULMJ>;NNER DES OBERWALLIS Exerzitien Wir m achen Sie du rauf auCmcl'ksam. dass dicscs J ahr wieder Le brer·Excr7.Î tien stall· Cinclen und zwar VOlU 8,·10. Dcz, 56 im SI. Jotl crnh eim in Vial>, \Vollen Sie diesc hilL e rccht zahl re ich miLJllilChclI ill Hu'cm ci. gcn cu Interesse und Z lUll crzichcl'Îsch en VO l'. tciL unserer Ju gt:nù ! AUlllcl<luu gen an die Direktion des St, Jodcrnhcim8, E. Sch,
Komiteesitzung yom 6. Okt. 1956 in Brig Samtli ehc Vors_landsmit gliedcr sind an wc· sem] ; duzn der Sckrc riir des Eniehllllgsdc· parLementes. H el"!' Prnsidcnt Slucky rrClIl sicb, nach langer Zeit wied er eilunal H, li. Professol' Schmidt bcgl'üssen zu konnen, den ei ne giitige l''iigun g naeh lall gwieriger Kcullklleit endlich genese n der Schul e und se illCIl Verwandt en und FrelUlilen zlIrück. gegeben hal. Ocr Vertl'etel' des Dcpal'tcmentes oriellticrl e über lH,ch steh cm]c Fl'Ugcll, di e gegellwnrti g heso nders im Blickrcld det, Arbeit und Auf. IllcrksAlllkeit stehen: Massnahlllc zur Be. hcbun g dcsLehrerlll angels ; Ursach e der Ab· wandel'UlIg nus deUl Lehrberur ; Stand des lIlullers)lrnchlich eu UntelTichles in den Volksschul cll un d Vel'besSertlI1 g5l1lôgli cbkei· ten ; He ut:S Lchrprogrünuu ; Walliscr Schul. Irlatt (neue piüla gog isehe Zc.ilschl'ifl) ; Ak· ti on «Gesundes Volles ~. Zur Sprache k amcll ferner: die CV dcs Vcrcins Hir das ScIllIljahl' ] 956/57 ; Lchrer. exerzili ell, GC(jtültulIg der LchrcrLildungs· kurse. All en Mit gli cdern und KolIegclI: eill ge· segnetes uud erfolgreich es Schuljühr! D er V ursLalld.
C0l111l1e par le )lasse, nOli S comptons cette anne ... 8111' un e exce ll e nt e purti cipati on ccs l'Ott l'S, I.e Comité lechnique.
Les cours de gymn aslique sui vallts scro nl donn és il l' intention des instituteurs e t des instilutrices de tout le Vaillis rOlll ünf!. Les deplacemcnts ne serOnt pas rembourses,
U eu
Dute
Riddcs (Ley troll, Sai li on, Riddcs) I sêrahlcs Pont dc la Morge Silv ièse Grô ne Saxon Vcnth ône Vel'llaYHz Fully (Vers l'Eglise) Nendaz
co nvoca ti on persollllf'lIe 21. 11. il 16 h. 30 ('onvocntiol1 perso llnell e 15. 11. 14. 11.
14 h. 00 16 h. 00
l'o nvOI'ütion pe rsolluclle
Vcx
St·M urtin Bagnes Ann iviers Orsières Ayenl Vou vry (Va l d'J1Iiez) (i nstituteurs) Bouverel (rf' li gic uscs ct illstillltriees)
8. 11.
Ù
16 h. 00
convocation p crso nn e ll ~
15, Il. il 13 h. 30 ]5, Il. il ] 3 h . 30
Nom. Gaston Dela lo)'c Gaston Delaloye A loïs Fournici' André Fourniel' V illf'elll DU $sex Ro gcr T heux Ma ul'Î(:e Chevr ier Joseph Vuignier Joscph Vui gni er AJoïs Fournier André Fournier André Fournier Roger T h eux R. Monnet Rogcl' Theux Marc Lamoll Paul Pignat Paul Pi gnat
SOCIETE DES INSTITUTRICES DU VALAIS ROMAND (S.I.V.R.I COMMUNICATIONS NOli S ré ulisons celle ann ée un projet déjà ancien, E II effct, après Ic succès de notre cours de de5sin dt" l' hi ver dernier, nous orga ni so ns Cette ullu ée une suite de confé· rences rormant ulte véritable introdu ction li la mu siqu c, MOllsieul' Mich el Venthe)' qui joint à tant de talents celui d'être \Ill m usiciell accompli Il accepté de nous se rvir de gu ide dans ce merveille ux voyage; ses ca user ies se l'ont agrélll t'nt ées pÜI' l'au(li1ion cl'œ uvl'es ch oi. s ies, Nous vicnd rom; n ombre uses, CUIl8cielltes de l'enl'ichissement qui nOLIS est off crt, P Oli r facilitel' nos déplücemclI ls, ulle premiè rc conrérence Se donnera ft Ma rti gny, le di. manche 18 no vembre, il ] 4 IL, il l'H ôtel df' vill f', A l'inten tion df>s coll ègues de la
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région bas-vülaisanne; pour ceux el celle! rie ln t:apitale ct du Celltre, la même confe· rence ulira li e u il Sion, il l'El:ole ména gère des jeun es filles, le 25 novemlJl'e il ] 4 h,
LE GRAN D CONCOURS «LA FORET . N ous rappelons 11111 p, E, Je gl'3nd concours c: La Forêt :., organisé par l'Eco li er romand dont nous avons tous reçu le No de j uin , Pour permettre il nos écoli ers valaisans d'y prendre part, le délai d'envoi a été renvoyé au 1er tlécellllJl'e 1956, De bea ux prix ré· l'om penseront les conCO lI 1'8 individuels ou ('nllel,tifs, L'espriL de rcchcrdl e et d' invention , l'j ll gé· niosit é, l'initiative sont so lli ci tés daus ce co nco urs qui ne manquera pu s d'intéresser nus élèves si lions le leur présentons, Tout cehl n'en va ut.il pas la peine "!
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NOTRE RETRAITE Nou s rappelo ns ins lmnlUe n t il n os m emhres notre relraite annue ll e du 26 nu 28 déceUlhl"e il Bon ·Accueil. Qu' un r éserve ('cs dates il ce lte Înte ntinn pui s{IUe m ai ntena nt cela est possible il chaCLine.
No us avon s tout es l'o bli gation J e remonte r Ù ln « source » pOlir y cOllduil"C
chréti enne et très util e ft beauco up de nos Valai sans. Le Secrétariat général no us écri. va it: f:: La pun icipatio ll du 8ec rétari;:lt géné ral aux dépenses des distri cts vala isans est dans une large mesure l!Iupérieur e ... il cell e dont hénéfi cient les ~ utres cantons romand s ~ . Com prenons·le. C. G. Membre du. COl!!ie i l de F01ldatio1l.
nOllg-m ê m C$
nOS e nfanLs.
1
Y. G.
OIVERS~, VERSCHIEOENES
LA XIXe CONFERENCE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE 1
TIMBRES PRO JUVENTUTE Pro JU\' c nflil c organi sera sa Vt'!llIC annuell e de timbres et de cartes à la fin novembre e t au premi e r décembre. J e voudrais attirer J'a tt enti on du }le rsonnc1 enseignant sur ce tte Oe uvre trop pe u CO llnu e chez nou s. Pro Juvenilite s'intéresse spécialem ent il l'cnrance déFiciente dans lIll e fout e de secte urs, mais ell e aide généreusement hien d'autres mi sères ici e n Valais. C'cst ainsi que le Secrétariat général de Z ud ch lt versé dédu ction fait e de la co ntribution de l'Etat ÙU Valais de Fr. 25 000.--', Fr. 65 ....15.- en 1954 et Fr. 70041.- en 1955 conllue aide aux survivants. A cclB s'Bj ou tellt les SOUlIlles versée! directemcn t a ux di stricts e ux·mêmes et qui sc mont ent il Fr. :n 352.30 pour 1954 et Fr. 35 :123.30 pOllr 1955. Mai s un e pa re ill e œuvre ne peut distri· bucr q ue cc qu'elle reço it . Auss i 1101l S vou· drions (lue le P e rso nnel e nse ignant s'int é· l'esse vivement à la proch aine vent e. Cette vente à produit e n 1954 Fr. 23723.80 e t Fr. 25406.60 en 1955. Il y a donc ulle belle marge entre ce qui est apporté e t ce qui est reçu . Nous sOlùignons que te produlr net des ventcs opérées par les <listd cts reste aux districts ct qu'il y a int érê t 11 acheter les timbres c t ca l'tes a uprès de leu rs vend eurs mandatés. Le pl'oduit des tÎmhl'es ach etés il la poste va IHI Secrétariat gé nél'lt l. Puissent ces li gne!:i ê tre un l'appcl e n fa veu r d'une œ uvr e très sYUlpa tl1i que de ch al'Ïté
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La XIXc Conf é"ence international e de l'ins· truction publiqne s'est réu ni e il Genève, convoqu ée conjoint ement par l'UNESCO et le Burea u inte rnational d'Education. 74 Etats y étaicnt représent és. La Co nfé. re nce a élu rOlUm e )lrés ident M. AUred B orel, chef du Départ em ent de l'Instm cti on publique <lu ca nl o n de Ge nève. Le Cllili , l'Egypt e, la H ongrie, l'Angle tetl'e e t le Pakistan ont été éga lement représentés au sein du hurea u. Lu première des deux recommandations vo· tées pal' la Conférence co ncerne l'inspection de l'enseignement. La seconde a trait à l'enseign eme nt des math ématiq ues dan s les éco les secondai res (36 articl es sur les buts, la place, les JlI'0gralllmes, les mé thodes, le matériel ,Iidüctiqu e ~t ln rnl'll1atioll des profcsscurs) . En outrc, la Confé rence 0 co nsacr é lIlle par· ti c dc ses quatOI'ze séances li la discussion ries l'apports des ministères de l'In stru ction publiqu e sur le m ouvcment éduca tif en 1955-1 956_ Le texte des deux rccomma ndati ons sera e nvoyé gr otuit emcnl li qnil:onque e n fera la demande au Burcau interna tional d'Educa· tion (Palais Wilson, Genève ) .
CONCOURS DE LA SEMAINE SUISSE Les membres du personnel enseignant pri. maire ont reçu la documentation relative au Concoul's de la Semll inc suisse. NOliS nous fai sons un pillisir de sonJigner ir. i l'intél'êt de celle initiative ct nous recom· mandons vivemcnt il nos maîtres e l maîtresses d'e n fairc part li leurs élèves.
Le Département de l'lnstructio,t
T.. e 24èmc ro /)port aJl1wcI de l'Oeuvre
BIBLIOGRAPHIE ~: aÜCHER
des lectll res pou r lu
OEUVRE SUISSE DES LECTUlŒS POUR LA JEUNSSE Neuf nouvell es hrochuJ'es OSt. vienn ent dc so rt ir de presse. II s'agit d' hi stoires eapti· vantes qui Ceront certain ement la jo ie de tous les e nfants. Les hrochurf!s OSL, joli. me nt illustrées, sont e n vente ou pri x morIi · Ilue dc 50 centim es l'exemplaire dans ,1eR kiosqu es ct lillrairi es, auprès des (lépôtli scolairel'l OSL et du sccrétariat de j'Oe uvre suisse des lectures pOlir la j e un eslj{'. No 564 « La merlleilleuse Iri.~to ;re de Hans· Cllristian A ndersen :. pal' Norett e Merte ns. Séri e: Bio graphi es. Agc: dC(Hlis 10 ans No 565 c: To"ki1aron monte en avion » pal' Ernest P hodlOll. Séri c: Littéraire. Age: de 8 li 12 ans. No 566 c Ondin e » (Jar Nelly Simon. Séde : Littéraire. Age: de(lltis 12 a ns. No 567 c Oukidé, captif d es Touurllg :. p ur J ean·Loui s CO l'lluz. Série: Littéraire . Age: de 12 à 16 ans. No 568 « T,a croi_~ i è re de l'Alllti:r ';) par H é. lène Devenoge. Série: Voyages et Age: depui s 9 ans . aventures. No 569 « Ué trangé aventure de Petit-Rien ::. I)ar S tclIo J lion . Série: Littéraire. Age : dcpuis !J ans. No 570 c: La fo rêt ellclwntée » par Alice Pa· ri so t! . Séri e : Pour les pe tÎts. Age: delm is 8 ans. No 571 c La belle Ni vernaise ';) par Alphonse Daudet. Série: Littéraire. Age: depuis 12 an s. No 253 « La chèvre de Monsieur Seguin :. par Alphonse Daudet, Sème édition Série : Alhum à colorier. Age: de· pui s 5 ail S.
jCl/lles .~e
Le mo nde de l'avenir sc développe dans le cœu r de nO S e nrants. Exe rcer un e influe nce sur ces cœ urs, les orient er vers des lectu res posit ives c t sai nes, convenant li leur âge, tel est le hut que se propose l'Oeuvre suisse des lectures p our la j eun csse (OSL ). Qu'elle lui SOil demeurée fidèl e cn 1955, e t qu e SO li succès ait é té grandi ssa nl, Je de rni er rupp ol't e n apport e un e l}rCuve éloquente. La vell te dcs hrochures OSL, si go üt ées rIes j ellnes, fi haUlI tOll S les l'ccords att eillts jus· qll e l à. E n 1955, dans toute la Sui sse, il s'est ven d u au total 811835 brochures. IL faut y ajouter les recueils OSL com pl'e llont charun 4 hrochul'es el dont la vente a attei nt 12310 exem plaires. A insi, e n 24 ans, depui s la {o n. dation de l'OSL, la vente lotale a lar'gellle nt dépassé les dix millions. A fin 1955, l'OSL avoit é dit é a u totnl 545 brochures (339 e n all ~ IIHlIl d, 11 6 C il fr ançais, 73 en it alie n e t 17 en romanche). Cela co nstitue UII ° 11pori 81lpréciahl e dans la lult c presliant e engagée contre l'aHlllx de littérature immorale e t de mauvais goût qui nou s Ilrrive de l'é· tranger, publications ne poursuivant que des hut s lU ertltifs. On ne se dMenrJra jamais assez co ntre cet e nvahisseur éhonté. L es résultats si réjouissants obtenus pal' l'OSL prouvcnt aussi (lue cette œuvre est un mo yen tIc Co rmatio.ll capital de la j ellnesse de ch ez 11011 5, qu' il a l'u pprobati on de,; éd u· Cate urs et des parents. Procurer il nos jeunes plus de 800 000 bro. chu res chaque année, cela exige beaucoup de trava il. Le rapport parl e de ce travail, des services rend us e n silence il notre pen· pie. On peut le r ecevoir gratuitement e n e n faisant la demand e au secrétariat de l'OSL, Scefeldstrasse 8, Case postal e Zurich 22.
DELAI D'ENVOI POUR LE CONCOURS DE LA SEMAINE SUISSE, 1er DECEMBRE
publl~qu e.
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sui s~e
(1955).
Ersles Dntlllll j cwc iJ en l'tlorgcn sclldun g 00.20 bis 10.50 U hr); 7,wcites D à tlllll WicderholulIlf 0111 Nuclullillug (14.30 bis 15.00 Uh r).
EMISSIONS RADIO· SCOLAIRES SCHULFUNKSENDUNGEN
6. Nov./16. Nov. : Der B ergsturz von Elin. Hij(-fol ge vo n Hans Thürcr, Mol. li s. (Ab 6. Schuljahl'. ) 7. Nov./12. Nov.: « De r Tod und das Miide/Hm >. E rnst Müller, Hasel. (A b 7. Schuljahl'. ) 8. N nv.!l"'. Nov. : « Die Beulerin :.. E in c n ctl'ochlung d es GcmiildclS VO n Frrillk nu chsel'. Aulor Otto Wyss. Sololhurn. (A b 7. Schuljahr.) n. Nov.!19 . No v. : Kauuchuk. HOI'(olgc von Emst Gra uwiU er , Liestal. (A h 7. Schuljahr.) 15. Nov./23. Nov.: SOS!· SOS! Pilot Oswa ld Matti , K lolte n. (Ah 7. Sc.hulj ahr.)
7 Nov. ù 9 h. 15 ~t 10 h . 10 : DlUU l e monde de.~ /lraÎgn ées. Cllll st-rie par M. Géo Dlalle. 9 Nov. il 9 h . 15 c t 10 h . 10 : Lohengrin , de Richard WagneJ'. Au dition com . mtmt ~(>
pur M.
IJC l1l1111111
14 Nov. il 9 h. 15 c l 10 h. 10 : Les
de
L~mg.
sOlfIJ(!J/irs
MO ll .~ ie/ll·
Gim.b,'elette. EvocIlLio n par M. .Pu ul Ch npo l1niè ,'c.
Emiss ion d estin ée tHiX classl:s supérieul'es.
21 Nov, à 9 h. 15 pt 10 h. ]0 : Jill vaca n('(' s sur III lun e. U ne histoire de demai n racont ée a ujourd' hui Ila r M. Plai. lippe ZC Îss ig, (n\ cc co ncours).
20. Nov./30. N o\'. : Tac des Kindcs. André Jacot , KiislHu.:ht . (Ah 5. Schuljabr. ) 20. Nov. 18.30 bi s 19.00 U hr : Volksbi. bliolh ek cn . E in e Horrolge für die Forthildungsschul cll von Fritz Brllnner, Ziiri ch.
28 Nov. à 9 h . 15 e l 10 h. 10: Dalls le monde du cirqu e: Un grand dom pleur cie lI ot-re Lemps: VojLeeh 1'rubl.:a. R eportage J)Hr Mll e Lync A lIskll, Avec co ncours.
FRANCE
séd e Il e nou vell es cllai res dnns les uni· ve rsités. Un Illuilucl con tenant la doctrine de Gandhi sur les pl'tlhl èmes édlll;a tifs csl e n voie J e préparation . Cct ouvrage ser il llrilisé pal' tous Jcs éJè\'es·maitres au cours de Icur formatioll.
Pénurie de tcch"iciell.$. - Lo rs des jour. nées d'éludcs qu i onl ré uni les direct ellL-s des écoles profess io nnell es, eeux·ci ont constaté que les promotions d'élèvcs qui sortent de leurs éco les tro uvent inulJ é diate. ment une p lace dans J' in dustrie. Malheu. reusement le nombre des cand idats adm is ne correspond pas de Join aux besoins crois. sa nts qui se font senti r : o n estime e n effer, qu'a u li eu de 2000, c'est 30 000, ~·cst . à·dü·c quinze foi s plus de diplômés qu'il faudrait former ch Aq ue Allllée.
SUISSE L es maîtres au Il illage P estalozzi. - Pour la troisième foi s, ulle conférence pédagogi· qu e internationale a e u lie u au Villa ge P estal ozzi, à Trogen, sous les Auspices dc l'Associati on Buisse des in stitute urs, de: l'Association sui sse fJes institutri ces, de la Sociét é p é tla ~ogi {(u e romande ct de la Com. mi ssion sui sse IlOtlt· J'U nesco. Lc hut de cc LII', ré uni o n est fi c pe rm ettre (Te créel' d es co ntacts e nt re institute urs e L illstitutl'Ï ces J e dive.rs pnys et de coUabore!' à la compré· hen sion internationale.
IN DE UI1~ propos ition a été fonl1111 éc c llvis ugCAllt l' introducti on de la ph il osophie de MahatmA Guudhi dans les plans d'é tud es de J'c nse iguclII e nt su· périf' II T. CclR ex igera ln créa ti on d'ulle
Gandhi ct. l'édUCIltion. -
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ACQUISITIONS RÉCENTES DE LA BIBLIOTHÈQUE CANTONALE Les ouvru ge.~ silr'lul é.~ ci·cfml.'wus ,Jcuvcn t être obzell//s gruluite m cllt en prêt. I.cs cotes indiqu ées SO/ft cellt,s d e ta ni iJI; {J I'';~(JlW c(IIILQuule.
ZUWACHS VERZEICHNIS DER W ALLlSER KA N TONSBIBLIOTHEK Die rwch stelr ell d aufgeführte.n Wer k e kÜtlll CII Ulwlllgclllich lciluvcise bei d er' Ktmton.~ bÎUljoth ek be:z:ogell wcrdl.!lI . Die uugcgebe.ué ll Zcichc /I ( Bm::hMabe.lI " "d Zahle n J sind. di ejenigclI d er Kallton sbiblioth ek .
1.
RELIGION · l'HILOSOPHIE • PSYCHOLOGIE
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LUETZELER, Heinrich. Die chrisùich e KUllst tl es Ahendllmdee. (7. AuU.) (Conn), Bonner Unchgcmeinde, (l954 ) ; 8°, 231 S. 80 Tar. TA 13.537 Ln Mu s i ( I l l e dnns le pays de Vaud, [suivi d' un] Index hiographiqu e de 90 musicien!! romands. Lausanne. Ed. du Cervin, 1955 j 8°, 47 p. rig. PA 7236
Marcel Gross
Propos liminaire Ce/cil
ZlI1/1
Mi chel Veuthey
l'olLr lar~re co nnai !i.~a ll ce An (Insere Leser
Ernst Schmidt
Vic Sc/;ul.e, da.~ grosse AII~iegen. des Wall iser Volkes
Eu gène Claret
Les tendances acul elJ.e.~ en éducati(m
13
Lo uis PruJong
De « 1.'Rcole primaire :t à « l'Ecole valaiscl11ne :)
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Partie pratique -
Praktischer Teil
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Communications -
Miueilwr gc1I
28
PAPINI. Giovanni. Michelangiolo und se in Lehenskrcis. (überlr. v. Ernst Wi e. gand Junker'.) [Wicn], Ama ndus Vert., 1952 ; 8°, 727 S. Tar. TA 13,341 Pablo Pi c a s s o. Oas graphischc Werk. [Ausstellull g im] Kunsthaus ZUrich, Mai bi s Juni 1954. Ver'T.cichnis der ausgestellten Wcrke mil einem Portriit des ](ünsll ers.,. (Gcnève. P. CaHI er,) 1954; 8°,54 S. 54 Taf. PA 7259 REGAl\fEY, Pie. Kirehe und Kunsl im xx. Jahrhund erl. (lns Dcutsche Ubers. von Gcrolf Cou denhove.) Graz , Wien, Kohl, Ver'i. Styria, (1951'); 8°. ' XV + 500 S. 'far.
TA 13.521
REINL'E , AdoU. Die Stadt Llizern. BascI, Birklüiuser, 1953.1954 ; 40, 2 Bd e. Abb. (Di e Kunsldenkmiiler des Kantons Luzcrn. Bd 2·3, - Di e KUllsldcnkmiiler der Sehweiz. Bd 30.31.) SL
ADRESSES DES AUTEURS - ADRESSEN UNSERER MITARBEITER
Michel Venthey,
rédacteur, Ve nlayaz
Loui.s Pralon g,
prési denl de 18 SVE, St·Martin
Ernst Schmidt,
Schulinspektor, Brig
Eugène Claret.
proresseur, Ecole nOl'lnal ~, Sion
ROSTAND, Claude. Bralulls. Paris, Ed. Le bon Plai sir, (1954.1955 ) ; 80, 2 vo l. P ortr. (Amour de ]a musique.) TA 12 .900 SPALDING, W. R. La musique, un art et un langage. Manu el' d'a nalyse musica le. Trad. de Firmin Roz. NOllv. éd, Paris, Payot, 1950 ; 8G, XIII +383 p. mus. (B ibl. musica]e.) TA 13.005 STEIN BART, Kurt. Konrad von Soest. Wien, A. SchrolI, (1946) ; 4°,46 S. 90 Tac' (Sammlun g Schro)) .) N 476/9 WEIGERT, Hans. Stilkullde. l. Vorzeit, Antike, Mittelalter. 2. AurI. BcrHn, W. de Gruylcr, 1953 ; 8 0, 136 S. Abb. (Sall1mlun g Goschen. 80.) N 567/BO Deut schc Z e i c h n e r der Gegenwart. Sonderau sg. der Zeitschrih « Das Kunst. werk >. Bad en·Baden, W. Klcin , (1951 ) ; I~O, 70 S, Taf. Abb. (KlIllslwerk. Schrifteu. Bd 26.) PB 835
RENSEIGNEMENTS - HINWEISE c L'Etole valaisanne > paraît à Sion UII débui ..l e chaque mois, Die « Walli scr Schlll e » ersdlt'i nt in Silt en ?o u Beginn jedes Monats Edition et adminiSl1'utioll Herausgeber und Vcrwaltlln g Impression et expédition Dru ck und Vers8nd P ublicité } Illserote nannahmc
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Pri x de l'a bonnement annuel AbonnClllcntspl'eis prO J ahr Délai de rédaction l{edakti onsschluss
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conseill er d'Etat. ch ee du Département de J'In stru ction publiqu c, St·Mauri ce
Marcel Gross,
F'·.IO.-
le 15 de chaque moi s am ] 5. des MouaiS
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