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Novembre 19 5 9
L-ECOLE VALAISANNE
LAVAGE CHIMIQUE S IO N~ -
SIERRE
MARTIG NY - MONTHEY
NOTRE REVUE CHOISIT UNE NOUVELLE VOIE
Téléphone 21464 1 - ---- ---~
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Notre Revue est bien jeune: trois ans!
Enfin J'agence
Sa jeune expérience a cependant .suffi pour la placer devant un nouveau choix.
REMINCTON
En 1956, la formule bilingue a paru la meilleure. Elle devait permettre d'intensifier les contacts intellectuels entre nos deux régions linguistiques, de faire profiter chaque région des expériences de l'autre, de faire de l'école valaisanne une véritable unité d'esprit et de cœur.
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M. Michel Veuthey, esprit sensible, pénétrant et lucide, a réalisé le maximum dans ce sens. La Revue, d'une haute tenue, aura durant ces trois ans, éclairé la route de beaucoup, .a nimé des consciences professionnelles, renforcé ou même éveillé la foi et l'enthousiasme de certains en leur mission. Cela aurait bien justifié que l'on conliinuât. Et cependant ...
FERS - QUINCAILLERIE ARTICLES DE MENAGE
Lorsque l'hiver dernier, M. Veuthey nous a fait part de son désir de se consacrer entiè· rement à l'enseignement de l'art et de la musique, qu'il comprend et traduit si bien, nous n'avons pu que nous incliner.
ARTICLES DE SPORT FOURNEAUX POTAGERS Le~ue
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SIERRE
Et aussitôt, nous nous somm,es posé la question du bilinguisme de la Revue. Les avantages attribués à cette formule n'étaient-ils pas en grande partie illusoires, chacun s'en tenant aux textes rédigés dans sa langue? Et n'y avait·il pas là un obstacle à la réalisation d'une Revue vraiment vivante, attendue et aimée de ses abonnés, leur apportant vraiment leur message? Lorsque nous avons eu la chance de convaincre M. Claret, sous·directeur de l'école normale, d'assumer la relève, c'est la première question que nous lui avons posée.
Téléphone (027) 51332
(Membre du dub des Lihra,irels de France)
Ensemble nous y avons répondu. Les associations consultées se sont prononcées dans le même sens.
Demandez périodiquement notr-e cakl'lolgue : «Nos enfants lisent»
I-
GRANDS CHOIX
Nous avons pensé en définitive que le Haut·Valais aurait intérêt à recevoir à nouveau l'excellente revue «Schweizer Schule », dans laquelle une place suffisante serait réservée aux communications officielles de notre canton, et aux associations du personnel enseignant du Haut-Valais.
GRAND ASSORTIMENT
I RA B AI S 5%, èla
Téléphone (027) 22951
S ion
articles réclames non compris, a'u personnel enseignant, sur présentation de la corte. ~
«L'Ecole valaisanne » deviendrait ainsi la revue de tout le personnel enseignant du Valais romand et de ses diverses associations. Le nouveau rédacteur, M. Claret, dira comment il entend l'animer. Nous sommes certain que le personnel enseignant partage notre joie de le voir assumer cette mission et notre confiance totale en son action. La nouvelle formule ira de pair avec le développement de l'Office de l'Enseignement et son installation, exposition permanente comprise, dans les nouveaux bâtiments de l'école normale des instituteurs. -1-
Nous espérons vivement que s'intensifieront dtt même coup les rapports entre les écoles normales, celle des instituteurs et celle des institutric~s, et lewrs ancien~ élèves, les maîtres et les maîtresses de nos écoles. Le perfectionnement et la joie au travail de tous, et par conséquent l'école elle-même, ne pO/!Jrront qu'y gagne~.
POUR LE 1ER NOVEMBRE ET POUR TOUS LES JOURS «L'Homme vit et meurt seul ». (Pascal)
_En r~ndan,t hommage à M. Veuthey, nous rendons du même coup hommage à celui qui fut l'animateur de la Revue pour le Haut-Valais, M. l'inspectçur Schmid. , M. Sèhmid, dont le dynanisme et la science ont contribué depuis tant d'années à la formation sûre des jeunes gens fréquentant le collège de Brigue, a ajouté depuis trois ans à cette lourde tâche la rédaction de la partie allemande de notre Revue.
La littérature s'est complu à décrire Ja solitude tragique de l'homme, l'égoïsme de l'amour, l'incommunicabilité du couple. S'il est vrai que chacun de nous vit son drame personnel, impénétrable même à ceux qui nous aiment le plus, ce ne peut être que sur le plan purement humain. La solitude est impensable pour un chrétien. Notre drame est d'abord pénétrable à Dieu.
Et maintenant, faisons face à l'avenir. Nous devons à la bienveillance de quelques-uns d'entendre dire parfois qu'il se fait beaucoup pour l'école valaisanne. Cela ne nous empêche pas de constater que plus on fait, mieux on voit ce qui reste à faire. Et la tâche est encore immense!
Après avoir redit notre reconnaissance à MM. Veuthey et Schmid, notre joyeuse confiance à M. Claret, qu'il nous soit permis de vous dire une fois de plus, à vous qui pm:tez la ,lourde responsabilité d'éduquer les enfants du !]Jays valaisan que tous les progrès J'éali\s~s par '. le Valais dans l'équipeme11:t intellectuel et matériel de l'école, pour nécessaires q~'ils soient, ne seront jamais que l'accessoire. L'~ssentiel, le moteur de tout progrès, a toujours été, demeure et sera toujours le maître. .
Il l'est aussi, dans une mesure pleine de mystère, à ses anges, à ses saints, à l'immense et invisible famille des élus, eux tous qui nous entourent, nous enveloppent d'un réseau subtil d'influences heureuses. Merveilleuse et émouvante sunprise au réveil de la mort que de découvrir cette présence et cette influence sur nous de .nos frères de Là-Haut! C'est une croyance universelle que l'homme baigne dans une atmosphère supra-natureUe : les dieux païens et leur fatalité, les fées du moyen âge, les «es,p rits» que peuvent seuls apaiser les sorciers et féticheurs, l'occultisme, la théorie moderne des ondes et des radiations . .. Chrétiens, nous avons mieux que cela: cet article du Credo que nous rappelle la TOUSSAINT: Je crois à la communion des Saints. Des Saints canonisés, nos frères et nos sœurs dans le Christ, de tous les élus du paradis, bienheureuse foule wionyme sans auréole, de tous les porteurs de grâce sanctifiante enfin qui militent encore à nos ·côtés. Moi, abandonné en ce monde impénétrable, voué à la solitude à perpétuité? Mensonge!
C'est avec conviction que nous vous disons notre complète confiance. Le temps qui vient est celui du cerveau : malheur aux pays qui n'auront pas compris à temps l'importance toute nouve,zze des investissements intellectuel·s. Les responsabilités de l'école de ce fait, et plus encore dans le domaine de l'éducation, sont chaque jour accrues.
Un réseau merveilleux d'ondes surnaturelles me rattache aux hommes du monde entier, à ceux qui me sont le plus proches notamment, à mes élèves ; un courant de grâce ensemble nous emporte, la main dans la main, l'un tirant l'autre, par delà les portes étern.elles, jusqu'au trône de l'Agneau Mystique . ..
Ce n'est qu'en vivant et en aimant ces responsabilités, qui le méritent bien, que nous demeurerons dignes de la confiance du pays.
Se~l le péché voue à la solitude. Ai-je jamais songé à cet aspect de ma classe qu'une pédagogie profane ne saurait comprendre, à cette «communion» avec lJU~S enfants, tous mes enfants, même les plus fuyants ? ;·.I~ Peut-être serais-je étonné, leur parlant de ce mystère, de voir comme -vIs comprennent vite.
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Joie pour moi. JOIE. Réconfo~·t ~.
aux heures sombres du découragement. . ,
Je crois à la COMMUNION DES SAINTS. Crocus
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Sohéma'lIiquemel1Jt, l'INP il,épond aux qua,tre fins s uival1ites :
POUR NOTRE INFORMATION l,
Etudier, sélectiol1l1e1l', oata.}oguer ,les mOJ'lens d" e nseig'l'lmllel1lt ·et ,l es r essOlurces pédagogiques;
2 . faü'·e voir, f.aire connaître ces moy,eu s d'enseignement, en informer les éducateurs;
Une réallÏisat,i on unique au mOl1Jde :
L'Institut Pédagogique National à Paris Pad,s somno'l e clans lI a t011peur du 30 juin. P.as un bruissement de f'ooùlles au Jardin du LuxembOlU'l'g où m"a dépasé l'aUitohus. Sur Jes baIllcs, 0'11 à même les pelouses, d es cen· taines de Il yoéens pO'~a's s'ent Il 'oratl de hmr badlolt av;ec une apP'Hoâ~ioll1 r,ei.l'altiV'e. Je cO'lllpe le Boulevw"d St~MichBI, as·s oupi lui aJUs'si à oeltlte heure /lourde de l'après-midi. Voioi Le Panthéon, et, à ,droiJt.e, une rue 's ans hea.ucoup de f'antaÙJsie, sans v;itl'ines, sans haroS, imag'e de l',a ustérité s'wdieuse dans oe Quartier Latin pOUl'tal1it ,s i Itapageur. C"est [a Rue d'Ulm au hou'!: de Il,a quell'c s'ouvre, el1'tr·e autres, il'Eoo~e NO'lUl1aile Supélùeur.e. ,L ui i on,t e SCOJ.i~, à dro.ite et à gauohe, ,d 'a'ltlIl"Ie<s l'ues fort saval1ltes : Emsme, Gay"Lus·s·ac, Olaude Bernal~d, Pi'CllTe Curie ... A<u numéro 29, un .dmpeau triCOllol'e ,e t une il11soripltioll1 : INSTITUT PEDAGOGIQUE NATIONAL. C' es~ Ilà. J',el1'~re, <9ai,si p'alr une f'r aîoherur bi envenue, tOlutefo·i,s un rpeu inqui'e-t, ohe'l'chant à m'ol'ienter dans Il e haLl aux dimens ions re·speot-a}y}'e·s. Uéj-à on m'a rt~pél,é : - Vous désilJ:ez, M'o nsi,e ur ? , Et l'~mployé, me pousse gel~t~ment .V'el1S le Servioe d'A<ccueil, 'me ,p âe de prend,r·e plllce, .m assupe qu o.n v·a 's O'OOUiper de 11101 ·a ~'a nunU!te. Je li.e connai's sance avec un Norvégien, professoor ,d e rm athbmll·lIi·ques, av ec une Di'r ec· lr.Ïce égY'ptienne, avec un l'l1speot·eur ,anglais, qui viennent eux 'a ussi V'isitell: ~'a gt"an.de mruis on et se ,dooumel1'teren mrutière de pédagogie. Le Servioe d'Accue~l d,e Il 'IPN (nous ruppt,uerons ainsi désol1mai,s tl 'Institut P,bd·ag'Ogique Naitionail) ·s e paoÎt une règle ·d 'introdui'l'e <les vilsitCUl's étr.angCJr<s d·ans l'e s élfia:bHss'emell'ts 6'c al'aÎ<J:es de la tl.'é~ion parisienne. Mon 1Iour vel1JU, je sui,s ,r ·eçu par M. LEHERPiEUX, Dir.ecterur du Sel'Vioce d'lAccue~l, qui s'j;nfoI1me .des mOlt·ifs ,de ma v,is~te, m'leX'p1ique le fOIl1C1tionnellnent de Il 'IPN, m'assu.re d,e s'es bons o.f.f,i'ces. Je suis émell'vei11é de 'cefi~e ruohe, qui cOillp:tait, f·in 1958, un 'total de 570 emplloyés et ,fondtiol1l1<aJÎ1l"'ClS, .dont 200 'envh~on pour Ile sel'v,ilce ,ex-tél'ieur Id,e loa Ip rovinoe. Je s<uÎls gêné aussi d'entendr.e 'CCIt th omme dOllt [es 1J110m'ellts sont rpréoi1eux m"eXlpo>s er 'a vec ,s impll icité et p·a:tience la s't'l1uctul'e 'elt l,es buts de J'IPN. A ,quell poiltt j.e do.i s lui pal'aÎ'tr·e béo'~ien, je m'en doute un poo ! J;I m'aur.ali't f'a llu une <Ïnitirution préatl ahleav'a llt .de pénétl'err' ,d ans ce ,b ureau! ... Mais tout ·s·e 'telmine bien. C'Ol1if.ié aux Ibons <soins de M. HA,S SENFORDER, Id ooumentaliste d,e méti'e r, je voi,s ma ISBl"V'i'e Ue 1S'.empHr .d·e tpublicartJion,s ert d·e bt'oohul'<e's 'qu~ VOl1tco.mp[éter heureusell'l1ent mon inf.orma'tion. Oés'oil'mailS toutes Les pOll:teS me set"ont ouver,tes. J',en tprofriJter,a i l:els jours suivants pour rpass'e r d,ans ,l es dlitf,férel1ltJs sel'vi,oes.
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A mon tour, ohe11s leoteUil's, de vous renseigne'l' sur ccl Ins,ti,tut Nationatl, cen:tre de dooUimenta:tÎoll1 pédagogi'que au service des éducateUl1S et d 'e Il,eul's éJlèves. Ses différentes sections de 1Jra'V'aitl sont si nomhreuses, et ill y a une teilLe intJerdépen:d'a nce entr'e ,eHes, que les c1assifi'CaitÎoo'l1S pèchellt toujours par quelque endroi't. Mon plan ne l'espectJClJ:a pas nécCIS<S'clire· ment la hiérarchie aclminis'trative, j'e J'avoue d'emMée. AlU<Ss~ bien, ne 'Voyez id qu'un wavail d'approche ,dol1t Il e .g~ but est de mieux f·aJÎœ sais.i r Il'ensemble à un tlec!teur de ohez nous qui ne conuaîtmÎt r·i'e n de J'IPN.
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,bV'entuB1J.emlenrt pl10duire les mo'y ens d'e n seignem ent;
3.
pel'fe~~ionner,
4·.
lenlCrin, I~t da'llls 'CJCIl1ta!Ï.IlIS 'd 'OIl11'aines 'r estreil1lts, 'Les .procurer aux éduca'teurs aux m eill lem'es condi,t,ionls .
1.
Le Ipremier ·s er'Vice - ,è liU'cle et dO'OU'll1el1J~ation - est con.fié à .des COll11'l1USSlOnS de pro· fesseurs e t d'·éduca·teurs ex'p érimen tés . IIls ont pour tâche d'é tud·ilell' rOUiS Il es lnanu ~l s sC0l1aires qui para,i's's ent, l'ous les ouw',a'g es d e mbtlhodolo.gie uti[es aux maÎltres, ,tOlUoS ,l es liv r es d'e fOl1m aJüon g'é néna'Le pWlp 'r es il aider maît res e.t élèves. 'D es analyoSCIS et des Il i,s'tes bihliog'l 'aplüques !POUl" bi,bl1iolihè'q u'BS scolai'r es 'S ont p'U!btlù. ées cha.que moi,s , L'an dernier (1958), 2450 ,li'V r es ont é té a insi 'e xamil1'és. L" en semh~'e dru ,travail ré a,l~ s é .d.'e!pu i,s Il,es débuts constitue ce'nta·inemeiJ1't la do'c'U111'entat ion hiblio grap hique la p,l us comp~è't e e t lIa pllus ob jec.tive exist,a nt à ce jour. Une 's·éle.ction s'emb'la!hle ,es t faite pour les documenros phort:ogr.a phiques, aHich es, d ,i squeoS, fil1m s, uua'tér-i el1 sci entificfUe, 1110ib iJû'e'r scohül'e. En 19-58, 805 p ièce s de ma'tér~'ell O111t pas:s,é par l'examen de J',I N P, 197 film s (clon't Œ 'e 43 % agréé), 650 dis ques (32 % a gréé) e t 161 pièces d e <l1101hiilier S'colalit"e. Mais ohacun sai,t qrue les :r e·ssourc-es pé'd a,go gique'S d 'érbol1d,e nt l'encein:te de J'éco,l e. C"es t po.Ul1quoii l' LNP e t ses annexes dépal'telllliental'es ri'e nnent à jow' un guide d:es Ir e s·sour,ces eXité, ri eures ,à la cI.a's's e e't o.{fel"teoS par llCls mus'ées, l es 1l'lichlÙ",es lO'c:a l'es, Iles monmuents hiS't01·i· qu es, les eXlpJoitations, fahnique·s et u sines d,i ver,s es, rtalllt oificidl1es que pr.i,v ées où un maîttre p'eu:t être am ené là condi\.loÎ<r e ses élèves. En oU'tœ, il ftÜurniÎ't toutes ['es indications pl1aitiquôs ,p'm'Im e ttan:t ,d 'o'r ganÎ<se,r les COllltact-s e t die visi,t-er a'Ve'c ,l e 'm aximu m de pro'fijl t.
2.
Le 6en ni'üe d'Inf0Cl1l11ation e t d e R en sei.gnem en't es't -la sui ~e Il o gicfUe du p r écbd en:t. III es't très ';Ill11por,tant et ocoupoe un nomb r eux p el"'wnneJ. Dans une grande sa!}tl'e il l'ayonnages m b ta~1iqu e's, voici .d"abo'r ,d il ers coOOecti0'l1S ,pm'UTaH'e ntes de Hl.all1uei.ls, g,r oup,és par m~:i èl"'es e t pa r niveaux rel ' éltude. A'Vec Ile matér,i-etl d.i'd'a C'tlÏ'que, Il e uuohùlier, l'a'l1ohùtecliu.œ d es bâtiments, I ' eJJ.losm1l!hle Id e ces co'Hec:li ons !p erma.n entes consÜtJu<e ~e MUSEE PEflAGOGIQUE, Cl1éé en 1879 déjà par J'llt1e·s Felwy. L e .M usé,e Cos t égalemel1lt Il e ùatdre d'exposœtilOns tempo· Paires sur ,d es .rhèm es ,d i.vler.s : 1Ï'ttér.atu'l'e, tl1Î<Sltoi'r e, d essin, trav.aux ,d' él è'V es, COl1COUŒ natio, naux, etc. Ces ·expo s-it,i ons peuv ent é.ventu eŒlem ent ci,r :ouler e n 'p roiv ince, Oe qui 'est au Musée P,é'd'agogi.que y reste. Pou'r tl1a'V'ai'ller à domi'oile, voi ci l'a BIBLIOTHE, QUE CEJNTRIALE DE L'IE NSEIGNEMENT P UBLIC, ,l ogée à 'l 'INP, ,e.t qui compte un n1Î<lliOon ,d e vo'Lumes 'a:vec 2500 pér,i od·i'ques . U éltai:} inrbl,essant: 'ce tte bith l,i-o th èqUie es t o u:ver~e chaque jour ,ju,s qu'à 22 h., ·ce qui p'Cll'm e t ,a ux 1}11a~tJre;s pa'11isielJ.1.s, aux étu;dian:ts, aux norma<hens, d'y vel1Jir tr-availller après 'les co.urs. Cene 'bilbhothèque p'r êt'e égal'C1m1el1l1: en pI'ov;ince, laux tprOI~eSlseu1"s Idte [la COlm~l1un'aWlié If'l<ança,ilse, mêm:e 'a ux ipropess'eu~"s relie [ ' éltJPangeT, par l'inlteJJ.'médli,ali'r e de 'l eltl'l" bi,bll io'lihèque uniV'CIl's hai'r e. On sla it La place d,e p'luiS en p lus gr-an'de qu'occupelllt l'.imag·e e t le son {lans l'ens-eignemellt 1110 d el'lle. L'INP di'spos e d'une PHOTOTHlDQUE, ,d'un e flISOOTHEQUE et d'une FILMO, THEQUE prohabJ.em ent sa·11I5 ri vatl'es dans le monde scolaire. IDes caobines tÏIITs onor~s ées , des sal:les .d'e 'p roj ection VOU3 p el'll1e.rtel1t d',é couter l'un ou l'aU'~r e .el'es 6000 dis qu·es séll'e otionnés, d e vis·ionner un COlwt ou ,l ong métrage -avant de ,l e command er pour vO'llre 'CIlasse. iEn 1958, 20000 copi,C's de fi:lms Oijllt é té exp édi ées e n pd~t, avec f'l"ancllitse d e port, par l es sen nÎ:c.es 'sp éCJiatlis·és d e ,l 'INP.
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De nomlh reusBs puhlioaltio.ns, relv ues, fa,sciclilBs, guides, hrochures, filohe·s pédagog~que's et teolul,i'cfUes S'O'l1ten't 'cle oette ,m ,aison 'e t s'en 'Vont jusque dans les d'éval~teme<l1'ts Je plrus l'ecu11&s comn1;ulüque,r Il es traV'arux Id 'e s dlilf,f;é'l'enlts seriVices, .l es paru~ions ,r ,éoel1ltes, Il es nouveautés pédagogiques de Fraruc,e ou de J'tEltl'ia'l'l.ger, Ajou1tez ,à cela un Ser'V~lce Ide Renseci.'g nemen:tJs p'roprement dli ts ,(not'L1e «Questionnez, on vous rbpo.Jl'd,ra ! ») 'qui forun1Ï't Itoute's Il es ' ill'dioa'tions de Cfueàque ol,dre que ce üi't, mêane de.s L'ens'e i'grrement-s admini'Sltrat-ifls et k'3 talJis tiques , Le troisième ,S e·r ,v.Ïlc e vise à p.erf'e~tionne!1: Œes <Il1o)'lens Ididactiques, en tenant compte de.s ol'Ïitiqrues et dies .suggestions du COl1pS enseilg uant, Bério'd -iquement l'INP procèd'e à des el1'CfUêtes des:vinée\S à 'collitrô['e!l' ,1e\5 Irésulh:at,s 6~0[,aa[re.s, ce que Ifiaillt 'chez 11'0US ~e Lah'oll"alto'Îlr e de Péda'g ogie expéliimenltale de .Genève. 11 ,oherche à amélliorer ,s ans cess'e b qualité du liw··e, du ,fiILm ou du disque, déllivl'e d.es «'VIi.lsa!s ,d"ag11ément» ,alUX fwbrican:11s de ma'tbl-ie[ sco[aire, intervient parfois ,d.ireOl1eITI'enlt auprès des prodlUc-telU'<s en sigll'a.Iant [es vœux des la ulollùtbs Is colaires et ,des péd-agogues. Parfo'i s Il 'INP pro'cède Illlli.qnême à lI a ,f,ahlii'cUi~ion ,soul1'a'~~ée: ma<téri,eJl de démoJl.\St,r.a,tiou soienti~fi,que, montage de f.~ms 'tournés par ,des 'a marteU'liS, a.'Cllapta'tion e·t üt'r a'g e d·e f,i[mls étrangeI1s, ,oréa:tion Id e :cli,g ques pour Il 'étH'de des Jan.gues viv<3ll'tes, e:uc. Sous la l'llhr'ÎIque ,« produotJÎon», liJl J"alll!t 'BnCO'l.·e Im en'ti'Üllner :ltClS ,tIl'ès n01l1!hreus,es tElMISSIONS SCOLAiliRElS de 'l a Radio et Id e <la 'télbvi'siol1 'f,rançaises éJ1aiborées p 'a r l'INIP IBn ,coJ.la'bo,r·3It:on ~l!\"ec J'Eldumution Na'~iona'le.
3,
s ervice de prêt .de di.sqrues et de {oo,m s (500 f'ÎIlms en Il'olUlement ,dur,anlt ,l'e s 4 ,pNm1Î.ler,s mo.i\5 !) sur quelles basCls fli nancières r·e!I)OIse l'ol'gani,saltion d'un ,Cel1ltL'e :clépal'~ementall, que1JLes dlÎ!tficw~és sont à cr,aindre, quels écue:Îll s à ,éviter ... La tâ'c he n'es,t pas d.e tout repos 'e t les ,deux perm'anen1ls dev'r ont ê1'r,e renforcés d'ici peu. La vi'sÎ!~e du Centr·e d'Amiens m"a été on ne peut plus pl'oflÏit,a hll,e . .c'est sur le modèle .de ces 'Genltœs d,épartem'e nroux françai,s que dev.r,a être développé no.1re Off'i ce oantonal de l'Eus'eigue!1ll:ent. Ainsi conçu, l'équrrpement d'un .centr.e d·e Doownentartion Péda,gogique, exigera oe's années, même s'iil ,demem.·e ,d,anoS des propoil1tions moch~s'tes en regH'rc1 des 'l'éahsatiolls {,r ançaÎ'ses. Grâoe à ,M. VEUTHEY, ju.squ'iüi IreSpOl1s-ah:le, un premi'e r pais a été ·fait pour iJ.'a pa,r tie fl'3nçaise. La partie aHemandle .smv'r a peu oÙ poo : l'e Dépar{1eanlent ,de 1 'Il1'sltruotion Publique y e.s't fe11l1wmelllt ,décidé. IllSouha,1ter'a.it t01.Lùe.foioS une 'coihl,aibomtion .plus effeCJtJÎ.'Ve de tOUites iles compé· 1<ences eJt de torutes les bonnes voilont,bs dont no'tre -teme valais'3un'e ne 'm anque pas.
E. CLARET
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EnflÎn, Il og·iqUie a\rec lui-l11Bme, ap,r ès avo~r sé'lle ctiolUlé, ped"ecllionné et r,ecol11m·and'é ce
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qu'ill y a d'e mieux dans 'l e ,doma,ine d 'e J'ellls'e ignement, l'LNP se chal'ge de ['acqubl'oÎ'r pour le Com]JI~e ,d,es maÎltre'S, du moi,l1is ,dl3l1<s ce.rll'a<Ïn.e:s caitbgO'l'tie.s Jspéoialle\5 'COaTIa11'e Il e maltéâell de démol1str,altJÎoll sCÏ<e!11itif,Ïlqu:e, ['elS apP3JL~eiilis 'pOIU!l' J'IBI18Jelig'l1'erll!elllt 'al\.ld,io"Viils u:el. Une 'Oenjtll~e d"a'ohat :groUipe h~s cOllnmall'cles alSo>lées ou mod'CiS'lte.s, coe ,qui permet d'ohtenir de suhs,t antie~lle.s ,p édudiorrs.
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T'eJMes sont ,l es fins les p,l us 31pp a'r entes, si j'e pW\5 di'l'<e, de ['INPo Mais cet II1IS'~i'tJwt eSit encore un lieu d'e Rencoll'ltrels ,elt de Congrès, le k'3'i ège d 'e nombrBus'e,s HSSOCli'atiolUS p,é'clagog,~qrues natioJ1'al es. 'V Ense:Îgllemel1!t Ip '31r cOl~11eSipondan'ce qm groupe 'q uellq ue 20 000 léJtHdli:a n'ts lilso[és~ ainsi 'q ue la C0[I.1l'oeiSipoud'ance Scol1a;ÎIr,e I!l1Iternal~iol1'a/le (140000 'C-Ol°il.1e1&pondanlts d'e 'l'O'lllt pays) sont ég a'lm11'enlt lJ.·a1~1taiOllés à J'INP. 1
Ce;tte :descrœption 's omluai.re aura donné une p'l1emièœ i'd ée de cellite œuvre certainement unique au mond'e pal' s'On 'allnp1leur. ELle f'a ilt gmoo honneur à ,l a ,f,r,a11'oe rdontt n 'o us l'devons t,l'Oip ,s ouvent [es IdIÎ'visiolllS 5colain~s au l,ieu ,d~.a,dmirer .ses remal'quahJes 11éaI1i,sla'üons. Pour être ICOmpiJ.elt, il faudrailt continuer ['·enquêt.e par le hais, c"esltJà--clir,e id,emander à ceux qui en son:t Il es ibénéfic.iailJ.·,es, éc1uoateurs die tous o'r d'res, qUieJls S'C'l'vi'c es Us r,eçoivent 'efifecthnem'ent de ['INP 'et ,dans queJ1s Ic:a,s i,Ls Ir,ecourellt volonti.ers à llli. lil f'a u d'11ai,t aussi érudi'e r lJes ,r ·amificRl1Î.ons de Il 'INP, lo es «üel1ltres régionaux et 1c1lbpal"te1
men~a'llX d.e Do'c umentation Pédago,gli'q u'e» qui nouis ipal'3rr's,sel1lt enco're p'lus près du corps
LES EXAMENS D'APTI1'UDES PHYSIQUES DE FIN DE SCOLARITE EN VALAIS La Presse nous a appris récemment le projet de créer en Valais un «Macolin» cantonal dans la région d'Ovronnaz. Cette nouvelle, accueillie avec joie par les sportifs valaisans, réjouit également tout le corps enseignant. Nous sommes persuadés que la gymnastique y gagnera, elle aussi.. Depuis quelques années, l'enseignement de la gymnastique est en net progrès chez nous, ainsi qu'en témoignent les lignes ci-dessous. Les résultats dr,t recrutement, les épreuves 1. P. confirment cette avance, mettant le Valais en position confortable Ip armi les cantons suisses. Sans ignorer les Associations sportives qui mettent la ,g ymnastique à la base de leur activité, deux noms nous paraissent associés étroitement à ce progrès dans le Valais romand : celui de M. CURDY, inspecteur cantonal, et celui de M. JUJL-LAND, l'actuel chef Jo P. iIl n'est que juste de rendre hommage à leur idéalisme, à leurs efforts désintéressés pour donner à la culture physique sa valeur d'humanisme pour lutter contre la commercialisation et l'esprit de compétition qui gâtent très souvent les plus belles performances.
el1!seignant et de ,s es hesoins professi'OnneJIS. Le üent!L'e de T 'ouJ1olUse, pa'r exemple, 'ClSlt une l'&pHque à peu iplrès parfaite :d'e celm doe Paris, y 't ,i l rend à l',édhelUe irég,iüna1le des servÎ<c:es incontesltaibl'es. Je n'i3!Ï pas 'Vi's hé le C'eutœ doe T'Ou[oUtse : ses aC'ti'Vil{1é,g lSont déor.iresen déta11 da:l1!S un nlUJI11&!.·,o '.'\péciiI3l1 du «BwlJle\l1Î.n !l··é~ioIl'a11 d'In!f'Olmwtiotl!S Ulli~CIl'ISiÎIIJaiÎll,Cls ». }il m'lÎ!nténe'S'sait d ,a,v an1a,g e de 'voi!l- un Offi'c:e dépMîtemBn~all à ses Id ébuts. C"elSit Ip ourquoi j'ai ch()Ji's i Icelui d'AMIENS, .q tui n'a guère IPl us d'une :année d"exals tence. Le Direc·{1eur de 'c e Centre, ,M. P.o1GNANT, m'a enlt-re'tenu dm.1ant pJusde rtro.i,s heul'es Id e son It t'av'a ill : commel1!t 011 équipe une .]y,~blio:t.hèque péù'a gog'Î'que axé,e sur Il es nou'VIeaubéJs, .comment fonc:tlÎonne un
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La rédaction.
L'éJduC'a;tJÎ.on phY\5ique scoilaiœ cherche à réail'Îls'e r l'bpanolUis'5emenIl: totall de l'enfant, le dév,eloPPe!1llent hM1I11oll1JÎ.eux .d e son CO'l'pS ·en par,a!lilèle a'v-ec la [orma1:ion de son Icamctèl'e. Nous nous défendron.s 1:oujours de ne tIl··a v,aal'lei· à l"écoil.'e que dal1.s '] a -seUile ,in~ention cl'-améliorel~ des pel'f.O'I.·I11'a noes.
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Cependant, les examens d'apÜl'li ,d es phy.sli ques d,e fin de sco'lar-ité nous donnent un reflet assez fidèle du Jl'l<veau de nOitre gymna s~i'que sco,}·ai'r.e. En effe'l, d'une palrt, Je,s pel'lform·aJl'ces Ï!nllpo's ées sont si modestes que mêm,e un éIlève peu doué parvient à ,l es 'l'é·ah'5'e·r . Rappelons les ,exig,e'l1'ces a'ctuel.lemel1lt en vigueur en Valai,s : 1) course de vitesse 80 m. en 12" 8 2) saut en longueur 3 m. 40 3) lancer d'une ba'll.e de 80 gr. à 321111. ou d'une pierr-e de même potid,s 38 m. 4) grimper à la perche de 5 m. en 9" ou à.la corde de 5 m. en 12" 2 5) boull et de 4 kg : 'to:tall d'un je:t du 'b ra ,d roit et cl'-un jet du hr,a,s gf\Juohe 10 Ill. 6) pouûl'oe d'appui, 1 m. de hauteur: sau.t cos'l'al eJt saUlt écaet (ou el1Jm:e lieS bra.s). D'aut'l"e 'p art, la div e'l1sité ,d es ép11euves exige que ['enfalllt 'ari:t été I H'éparé, confo,rmé1l11ent au programme, d'une f.açon complète, .f-au'te de quo'i il aura de .la p.eine à réussir toutes Il es di sciplin es. De plus, il ne .s '.a git P3'S ioi d'apprécier un candid'alt e·l Id e Il ui dOl1l1or des notes r,e latives, mais simplemel1't d' enregistorer ·s es pe11formanoes. Aussi Il ''e xaminateur n'exerceJt~ill pl'a~iquement aucune ,i nfluence sur les résUiltats, 'e t n'est·iil pas nécessaire 'd e !fa·i re ap,p el à des spéciaJistes pour di,r ig,e r Jes épreuves. L"enfant abord'e Clet 'eX'amen !Sans appréhensrron, et 'p 'e ut y donner l'exacte me:sure de sa v'aJleur ,p hy.s ique. Si nous tenons compte enf,i n du fari,t que nortlJ:e examen de f,i n de 'soolla1:~lté alHeil1Jt: tous les garç:ons de 15 an~ sans exception, qu'ils soient élèves d'une école puhlique ou pl"iiVée, pri· m·aire ou secondaire, nous pouvons admeHl'e que -IesstoaÜstiques ,de 'c et exa,m 'e n on\t une 'val'e ur pour le mo!1l1's bga1le à ce'lil,e du 1·'eiCJ.'uJ:ieun'enlt, 'e t qu'IiU ·eslt po.sl.S~ib:Le d"en tj'l.ier des IeHlseigiJ1enlents valahles.
Résultats généraux: Au point de vue s'Î,a tistique, nolUS considérons qu'un examen est réussi ,l orsque ,l e candidat a 'r empH les condittions imposées dans toutes Jes disciplines. Nous don!1onlS il a iP'r éfér,ence à oe sysltèmoe pdult ôt 'q u'à c.edui du barème avec un toltad de iPolÏnIts il obtenir ains·i que l'ont adopté cerlarÏnB ,c antons et !l'LP. ,p arce que nous oh'li~eons Id e cebte f·açon l'enfant à réaliser un minimum dans toutes ,les ép-l~euve.s, e't pair (l à àse dévellopper dans toutes les direction s. Voici les résultat·s O'bt,enll's par nos galr çons de 15 ans au cours des 5 dernièr,e>s années: Année Nomhre d'é/lèves Ol1't réus.si toures les épreuv,es (en %) examinés : 1955 60,2 % 1176 1956 63,1 % 1332 1957 63,2 % 1363 1958 64,8 % 1516 1959 68,8 % 1529 La situation sera plus claire si nous rappelons les résultats des premières années: 1943 (année d'introduction de l'examen) 40,3 % de réussi 1944 51,4 % 1945 52 %
Le j eune hOlllme qui ohtient la note 1 aux 4 épreuves r eçoit un e m ention d 'honneu r. Année
Note moyenne pOUl' Il e Valais
1954. 1955 1956 1957 1953
7,21 7,05 6.66 6,64 6,50
Ont obtenu ola m ention d'honneur ('e n %) 16 % 17,7 % 20,6 % 22,4 % 24,75 %
Les prog,r ès réailisés sont dus avant tout au travail .du ,p ersonnd enseignant qui -apporte toujours p'l us d'e zèle à ol'·ens·eignemell't de 'la gyml1'a.5'tJique. Ils sont devenus en effet bi'e n rare,s, les maîtres qui dans ce domaine ne font pas leur devoh'. Une part du succès est due aussi aux ,places et ~m;'talla' tJions de gymnalSlt,i~lue qui ,s e muhiJplient ,d 'a ns le canton grâ,ce aux efforts conjugués du Dépa'l'Iteme.nt die 1'1nst,ruction publique et de l'Office canto'u a,l pour rlns,truction pl'épm<atoÏ're.
Résultats particulieTs : Si nous 'co.m.p a'r ons en:~l~e e.hles I,es différentes discilp11Î11 es, nous COIlSitatons qu'en 1959, 92 % des 'Pal'toioi.panbs ont réus-sti l'e s'a'tltt en longueur et.le lancer 91,6 % le jelt du bou:]et 39 % le lS'all't avec appui 33 ,3 % la course, 84,1 % » le gr.i mp'er Ce classement enlh'e .les dilScip:1ines est à peu de cho se près chaque ann ée Il e même. Sans vO'll'lOli'r 11O'll'S ·arlJ.1ê'ter 'l ongll 031nent sur ce Itableau, nous nou s borneron s à Il'etleiV,el' que ~a . OOUL1se Clt le gÛlJllper, où ~es échecs 50.llIt 'Les pŒus nomlb re.ux, sont justement Il es 'bl'·anohels Œes plus impo'l 'tantes, c,e lles dOlllt la P11ati<qu·e peu:t aid'e1: le pJus ,e Hieac'e menlt au développement de l'e nfall't. III tf,audil'a donc œes : ~l1a"f,ailner ,pIll.1lS là fond Idans :toutes ~es leçons, muJ.rtipili~er les le x'e r.clÏce:s de départ de course, les conCOllU'S ,d.e vitresse lS ur cOl.1lrtes dilStances, et aux p'eroohes, insistel" davantag e sur ,l e t-r·avai,l des jam,bes qui lla is's e à désire'r . Pour la pl"emiè.r-e ['Oi.s 'c:ell~e la nnée, 110US -aVO'l1'S ajouté à rexamen de fin tle ,scoJar..ité une bpr,e uve de uatla tion pour ~es écoles où .peut ose donne'r cet enseignement. Les exigences étaient: a) 25 m. 'l1'ag'e Jihre b) pl'Ongeon de 1 m. c) reoheJ:ohe Id'un objet 'Par 1 m. 50 de fond. Voici Il es résultats de cell: 'e'lmmen : Loüalit'é Nomhre d',éllèves examinés Sierœ Sion M'alJ.-:tigny Monthey
36 65 36 42
Ont r,éussi l.es 3 épr.euves de natation (en %) 64 % 58 % 70 % 80 %
A rVilb.l1e de cOI11Jpall'aison, voie.i ,Les rbsulltaJts em:egiMll'és ces d'e rniè,r es années Il ors des exa· mens du recrutement. Ce.l eX'amen .coir1'lJpOl~1ie 4 épreuves: cour.se de 80 m ., s·aUIJ: en [ongueur, Jan1oel' du poids de 500 gr. et grimper à la perche ou l'a CO'rde. La meiHefl.ll'e natJe (no~e 1) est ob:tenue avec 'les perfol"mances 's uivantes: 80 m. en 11" ; saut 'e n Jongueur, 4 m. 50 ; rIa n oer, 38 m. ; gr.impell: à 1a pelfohe 5 m. en 6" (ou à la corde 5 m. en 8"). Les notes vont de 1 (meilleur l'ésülta't) à 5.
Conclusions: ILe ta'b 1eau des l'ésultats généraux ci··des's us nous ilTIOl1'IlI.'e ·que les p,r og1rès de lwtr.e g)'lll1ua'S tiqwe scolaire \Suivent Ull!e courbe ascenldante régulièr,e. Ces progrès sont du l~eS'te p'l einemenlt Iconf,i /rilll'bs ,pal): les lJ:é.s ultMs du recrutement, oit [,a posri·ci'o n du Valru.s va s"anuéJlio:l.'a11lt chaque au née, en un IIJaIJ.'a[:}.éll ilSme 'réjoUlÎssant av,e c nos 'eX'amens .cle fin de IS co'l arité.
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Si nous pensons au peu de 'temps là dilSpos1i·tion de nos maîtr·es Ip our J'·em;eignement de la n arra'ti on, nous 'p ouv,ons cO:l 1'sidéœr Ic-es 'r,ésiUrlJtats /Comaue Is attisfaisan't 'elt 'l'o ut à [eur honneur. No/u s Is om;I ues ,d u ,r es:t'e cel'tain de les 'Voir s',a m,éIl.ioil:,e'r 'e ncore ces pr,olo haines ·a nnées.
Le jeune Vall a'Ïsan quirt'te .J',écoll e avec une honne pJ:épara'lJion de base. Ayant pris goût aux leçons de g')"J11na:s·tique, ~l est prêt à co,nltinue·r 15'3. form.a'tion au 's ein ,d es lSo!CÏéltés ISpol'thT'e s et dlels '~ro'U1J.)'enlents .d e ['II ns't!uction prép'aIJ.·'a'to~œ. L'Office can!tona'l I.P. f-ai1t lU!l1 rex·ce1ll .enlth:avail d:ans Il e ICianton, crl1a,is il ne pea.lIt ;m 1a.lheureus'ellnelllt 'e ncor,e ,art't'eü1C].re Itous JleIS j leu11le:s g.e!W; . L'~ aplp'l'enti,s 'e n 'p 'alJ.·liC'll'l.Ï'e r é'c happent presque !toulS ,à s on heureuse ùlfluence. AusslÎ fO'l'ill1ll110nsnou's Il e 'œu que 'cetJ~e catégo·l'ue IS!Ï. IÎmpor..tante de no:tt'Ie jeunes'S'e pui'Ss'e ,b i'e ntôt bénbf.icÏJer d'une édlU'oalbion physique p'O.s!t-ls·coJarure ad'a plt'ée il lS'a con'dlÎlt.iol1. En tel'll1inant ce bre.f .r ,appo'r t, nou s Itenons à l"ell'tercier J,es le xp'ert'S aux examens, 1(1 0n:t [a cotUa,b oration nous aide à IContrô l e'r le pou'l,s {le 1101~r,e gymnasllJiqll'e scoll'a.ire . Nous 'espél"ons 'que ces que[quelS consi,dérations seron't pOllll: Je p 'ersol1'l1e,1 enseJignant un 'encol\l:ragemenJt dans la voie du progrès. ,Car ~Il '1:est'e enco.r ,e 'b eaucoup à /faire pour qrue !tous U()!S le nfants rte'l1l11linent le'o r .s c01a:J:'ité non Is euJ'el11lel1't avec une bonne é'dU'oa~ion ,elt un ip,récieux ba'g.age Id'e cOl1l1'a,i's sanoes, mais 'e ncore en :p'lelÎl1e poslSession de It ous ,l eurs moye'Hs phy:siqoe,s, pOOl' la pporter au payiS l'éIl.an et lI a force d'e ~eur jeunesse.
Paul CURDY, inspecteur cantonal de gynuwstiqlle
CECI
VOUS
B.C.G. (vaccination contre [a 'l.ube1r,cuilo's e)
Il e'Sit l'BcoHlJnM'n1dé de Ip rotfliter du .co.l1'~rôle l'a'dio1logique pour procéder à un t'est tuberoulini,que pair :la réaC/t,ion ,dlÎte de Mantoux. Si ·ce·~te réac:tion ,es't négative, noUrS voU·S con:sC'Ï!lIons vivemen't ICle vous fla~'r.e vacc!inecr' .alll B.C .G. Le's méic1'e'OÎns 1J.·:eço~.yen!t de [a Ligue Vallai'S'ann:e pour .la lu'l'te Icon'tœ 1a tuheœu'l ose, Itou.tes rI es i ncl ic'U't-i 0 Ils nécess aires ISUl' :l,a manière de p.rocéder. La l'ai,s on d,e .c e rruppetl .est que 'l '.on ,a conSlta t.é à p'lJU.s~ eur.s reprises, au COUDS de ces dernières années, d ,es cas Id le maÎ'tr.es c1'·éco le, .a~tei.l1!ts ,d'une 'a,uecJtion .inoonnue et q'llli ont ' contaminé Cel'taùIls ,élèves . IiI rflarœt ,à l'ou:t pl1ix éviter .d'e s inf.ections massives ,commie le oas s'lest pro-du~t .enCOlie ·tolUt réc'en11l1,ent le t ,leJS l1TaÎ~res Id',écoJ,e .ell'c'Ou'r,e nt une g'l'ave l'eSipousahi:h té en nbg.1j'ge'al1't de lSuivre les dire,c:üves données oi-'d e's sus . Le Sel'vÎ.ce cal1'toll'ail Ide Il 'hyg'iène publique se permC't donc de f'a i'r ,e appel à l'a cou1pl1bhens'io,n, ,au ~e ll's du ,devoU'l' d'e ohaque auaÎt:r'e e:t maÎ-tresse Id es éco'l es 'Bnf'antin~, 'Il,l',iHuÎl·.es, prorfres'siOJlQlelles, 6'e c on dla hms , 'c o'l\lè'g'e:s, :etc., la fli n 'crue ItOiUJt \sOÛlt nus I6U œuvre ipour éviter les iI1lfect-ioll's 'que Il 'on 'c onsta!te d'une ma'l1ièl1e coupante 'e t plus spécialement tIans les cour.s ,supérieurs.
CONCERNE
LE SECOND CONGRÈS INTERNATIONAL CONTROLES RADIOLOGIQUES ET B. C. G. Le décl'et cantonal d"apphcalllÎon ,de J.a lo,i ,f édérale ,s ur J,a I~lrbel'Cluilose prérvout que [es maÎrtœ.s ,d'&coll'e Idoi'viel1Jt Is:e ,SOllUlll1e1UN·.e, tel',une rf'a çoll loh1i;~atoill'e, là un 'eX'amen Il'adliOilogI1que, au déJhut ,de chaque la nnée IscOllai,r,e. Le Icer~i.f,i'ca,t méd,ica'l, 'al~tesl~a,lllt Iq ue ce cOl1'trÔ'le 'a btéelFtf,ec:tué, es.t en'Elui'Le lenvoyé au Ser\nilc e ,ca11ltonall Ide Il '·hygiène [Juhllique, pour ['e 31 décembre au plus tard. Comme de nOl'ITbl'eux ,cerbirficats ne nous pa'l1vi'e nnem Ip as ou -S Ol1lt ic1li frfidles à 'Ohtenir, ce qui 'crée Ides C0111Jp ·H ca1I'ions <adulil1'isIN'atives limpo,l~tan~es, nous nous Ip 'el'll1eHonS de 1l1a'p pe['e r aux maÎltr es c1'éco,l e les points suivants: Le contrâ'le .r adiologique IpBlllt êt'l1e bit:
1.
par un médecin <au choix du maître .et à s'es tfmlis. Il ,est rec0111mla'lldé de <se ipl1ésente,l' ohez :un méd,eoiu ,spéci'a lis:te e n médectne ~n'tel1J1e ou en phti,s io[og~e.
2.
pair le servioe r,ardli o:pho\top'aJphique, à rocca'sion Id es 'eX'amelliS Id ans 'l e's communes. Le S'ffi'vice Iradli o,p hotogiraphtiqU'e ne p'eUit .pas !p1'o:céc1.er au C0111!cr'ôle d 'e Itoultes Jes 'écoles d'aIlS le l'a ps de Item/p s s'écoulant entl1e l'e début ele [l'année 'scolaire et Il e 31 ·décembre. Le..s maitres d'école, ,d,ans ILe secrVBur d es quels ILe oar Il'adiOiphotogr,aphique n'la !pas ipa's sé, ,c1oiv'enlt s' o'c cupel' eux-Ill1êmes '(le faire eff.e·otuer ~eUrr conltrôl1e rpar les autres moye·u s.
3. pa'l' ie di'spensrui,r 'e. Il lSuiffÏJt de se l'ense'i gner auprès de 'la [,i gue Ide ,district des jOUll1S d'ou-
POUR LE LATIN VIVANT Parado;re de notre temps! En 1900, on s'est insurgé contre le latin; on a estimé que les études scientifique's n'en avaient que fcâre ; on a créé avec el'rvpressement un bachot sans laûn, fut considéré C01nme une grande victoire.
ce qu.i
Aujourd'hui, après un développement extraordinaire de la technique, on regrette cette langue qui, rajeunie et adaptée aux exigences actuelles, eût pu devenir la langue internati01wle des techniciens et des savants. On lira avec intérêt le compte rendu du récent congrès de Villeu.r banne sur le LAT/IN V/V ANT, tentative qui mérite tous nos encouragements.
Du 8 au 10 'S'e!p·temhr'e dernier s'eslt 'tenu, ·à VILLEURBANNE, dans ilia hanll 'i eue de Lyon, le Second Con~rès InternaitionaŒ po'ur }e IL atin Vi'v.ant, qui la groupé Iles !l'elpré:s'el]~anibS d 'e 18 l1a1t-i'OltS. Pour lI a Ipmif'a:i'te .in\teUig'ellice {le la 'chos'e , H n\~slt pas inulti.i [e id e Il''alppeJrel' ILes OIlilgl'neS Pl'Bll1iè11eS Ide c.e (Mouvement. oL'inSllu.gall'e.ul' eu [Uit MOl1swOOIl' Je:an ICAIP~LùE, 'anCli'e n iR'eCltem.· d'A'oa'dén1Î<e de NANCY elt ancien dil'eCiteuIl' gél1'bl',a[ rd'e l'iE'Cluc-a'IIÎ'Ol1 'e n A.-O.F. On vO~lt rd onc qu'.irl lS'lagii:t là d'une in.iJt:i\u ti'v e sllil:icitemen~t 1ll11lÎ'v elsilt-aÜ'.e.
Les crer·tilfi:oa'ts clo:Ïvlent êtJ.1e J:eiI11lpl~s immédialtemen:t ,l ors du cOl1'l1rôJe 'Clt 'e xpédiés sans l'e'11U<11d ,au Sel'Vlice 'cantol1'3.:1 de l'hygiène 'IlurbiliÎJque.
Mrui's Ihl 's 'lagÏJt, 'en p11ll15, de i'üllÎltia'Üve d'un (5 cljel1l~ilfJÏqrue, e!t non d'un ~a:tilliiSite. MOllisÎleur CAP.EJLLE 'e st ,a g.régé d'e .mallh€il11a:~i(ques, pro[les.seul' de méClanlÎque, eJt Is péci.'a'l,iSlte des englr,ena~es. LI fuit quelque temps ,t'echnioien chez Oiltroën. Un JOUir, CiJtroën ['envoya à LONDRE8
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V,ffi·ture du disrpel1ls'aire.
au Pl·emi,er Congrès -Ï1lltel'nationail pOUt· Ja no:r ,m a[is'atÎ<on de f'OUlllil dage id'e sitiné il l1a <t:aiJhle d,es e ngr enage:s. Mons1em CAPELLE p eniSa·j,t qu'à LONDRES on parlla-atiJt Iangl'a,ÏJs ; m'aJ~S pa's d'Il tout; ill fial1lut l11rolÏ;s jours pour ûmduJi.re il'e s j.nberventJÏOI1!S de cha'ClUIl, al1'o,r 18 qu'i11 aur:aLt 5uff~ d 'une d'em 'i-joul'n ée pOillll: s'enltlen.c1<œ <sri Itout Il e monde ,a v aiJt pa'r ll é 'l a !J.llême l1al1'g'UJe, Sur ile chemin ou :t'e t-ou'l', 'M 'oBls:Ïieur CAiPiEiLiLE Is'e di't que J/es hom.m 'e·s d 'e iS oi'enCJe O'l.1It 'aujol1md'hui hesoin d'un e -langue commune, s o:ÏJt poulr ~ee\S Congrès Initernabi'oaaux quli se nlluJltÛJp1i.enlt de ,p lus en p lru's, 's01t porull" 'S'lû ,v,r e ce qulÏ paraît .dan.s leur spécia'ü 'té et 'q ui lS'éC'l,it ~lclluelHeD11Iel1't .(klllS une cel1lta ine d'e il·ang·u es. Mon&Ï'e w' J ean CAPELLE proposa que ,ce!ne ilangue ,commUl1!e fût iLe l1a1tin Vô.'V'aI1lt. !Il pUlhha un 'a'litid'e e n ·oe Isem d ,anIs ,l,a ,r evue « L'E'd uoalbion NaJliionale » du 23 ,0'Cltotbre 1952, ltl l'ecut \alol'~s lun 'co'llfL'l'i,e r 'e xtl'aon:l ill'ailr:emenlt ahon'd 'a nt où 11 dlÏs cerua en pal,tiCJUlliIer U11!e lleJtbl'e d' e~ Mons'ieu<l' Edoual'lcl Théodo'l:e AUBANEL, édiÎJt'em: à AVIGNON, qui of,{ll'a.iJt un appui s'a ns l',éS'etl'Vle, C"es't pO'ul'CJ'uoi ,l e Premœer Cong.r ès Inrterna<tiÏonail pou.r J'e ILa't.in V,ivalJ.1It OOlt Ji eu .en AV,IGNON, e n 1956. Irl fut présicM Ip al' MOl1ls.ÏJem: Edouar;d DALA D1ER, DépUlté-Maire e.l s'O'U\nl,it dans Il e ·Châ~e'a'U d els P.apes, !le 3 ,se'pitemb:r-e, jour où 1'EgiLiIse Ga tillol1iquie c&lèhr'e l.a fête de 1Sa.:,nt P.ie X, IclO'nt le MO'11U IPIl'olJr,io ,déorèl~e qrue Ira ~,a'l1g<u:e propre de ['Egll~s'e R 'omra,in e es t.Je .~a'tion. N ul n'avalÉt ,certainement s ongé à c:e,tlle coïll.ciiclel1o~, 1
RapPJôlol1::i qu'ffi:l es a V'aÏlenlt é té ;Les [ignelS dia',ectnices die Cie pr,emier 'Congrès. MOI1S'.Ï,e u,r Jean BAYET, IDi'r'ec' ~eur de Il 'Ecolle f<l'auça'i,s e de ROME, 'a v,aut p'l.'ononcé rune 'al [O'oution clans J.aque:Ue cill ·a vaùt proposé une ppé!s,enba:t>ion si,m~}lif~,é'e de la g'l'am'll1'ai:r.e IMi'l1'e 'e t montr.é ~a po,S's.jhih~é de Iplwa:s,e;s J·altines CO'l1l1,te;s, silmples, olaÉœs, ·crupah.les He s'ffi'vir iUne .p'e nsée scien'liif~'qu e. Le P,ro:6esseur BURCK, de il'Univensluté ,d e KIEL, démonlbr·a que Ja 'Vé'l.',i,t,a ba'e pr'ononCÏ'a!Ili:Oll du ,l alb~n 'est ].a Ip rononciation « l 'eJs.lîÏJtuée » et qu'ill lfa'lllt :1'·a dopt.e r Idans ile mon!d e :enlti er e n v ue de l' unlifiea'tion. L e IP rofesseur Gue1'ino · PACITTI, ·d e 1',IsbÏrl'UIto di Sbu'd i iR'OUl'a111, monlh'a CÜ'll11u el1!t Il e·s 111'e i1UetUII:,S auteurlS latlÏns, lS'OOiS vivaient à llo;til'e époque, n'hésiItm' aienlt pa's à 'alClop.lJer, en les il'al ~il1iS'aI1Jt, ItouS Il es molts nouveaux i ndJispel1!Slables au pro,~ r è'S des sci,ences (radar, r1aclm'j<s ). Le P'l'o fes's-N],r ·Gooclwin BEACH, du T er inwty Col,l eg'e (le HA-RTlFORD (Elt<albs-Un~s) prés'en1lia un nUP'I)'O'l1t Isur il'a ,f açon .ele ,r lénover Œa p éd agogli1e «lu il'a!tin 'Bt d "en f,alÏlI:.e une Jmtg'u e ;vj"nrun:be, D elpLli,s Il e ICol1grès d'AVIGNON, ·une Revue a p'alJ."U rég'uJLi èr e m e11lt, 'in'bi,t'l11ée «Vj'ta Lall'ina ». E']II.e !Sert ,d e lÎien ecn"h",e O:es con /?ir essjs tes e!t MOl1iSriJem: AUBANEL -en la ssu r e la p1.1Jh'J,i ca<LÏo 11.
Le erond Co n grès 'd'evaÎlt av oir \Li.eu à BRUXE:L VES, 'e n 1958, ipelldal1Jt l'E"''lpo,s iltion InJte r· ll'a1bional'e ; ùll j' l~ t li mpossih1e Id e Idon'ller Isu~be ,à ce ,p roj elt, ma.is on n e 'p 'e nliit fJ.'i'el1 Ip our 'a iHendre, En eJV5e1t, MO ll s,i'e ur Jean ,GAlPtElLLE ,eslt devenu, '(l'epu ~s Jo'rs, le opéatem: elt !Le Düe'()I!CIll'r (l e l'InsllillJut Naltioll'ail cles SCli,en c·es App!liqu éas Id'e LYON. Cel éita,b lLi'SiSeilnle ll't, ,d on't on lÏuna.g'Îne mail , ,de ilO'i,n , Il ',i mm ensi'té, 'eSlt 'conçu pOUlr ·acouei.hl.~'I.' qua;1i'e m ,NIe é[èves; lS on hUit eSit d 'e f0l'l11er des ing,éJ1li'e urs e t d'e s il'echniCJÏ'ens hau'temen't 'qualifi és e1t :cl'e il.',éailiis lelJ.' d es !l1ra,\naiUX (Je l'e'oher che , La Iforrd·ation ,d e ,C:elt Inst~twt &l'ruLt cl écicl ée pail.' ~a iloi Iclu 18 mrurls 1957 ; !il ouvlr ai,t eff.eobiv,em ell't en novemlwe .suü'van't, c"elS't:à,.elÏire 8 mocis pJ'llS ta~'.d, car Monsiem: l'eau CAtPEIL LE n'e5<t <}J'a's un rê,neur. Qu'un 'Congrès p OUir le ],a'uill vivanJt s o,i,t anll'ilté par 'l'I'llsltÏ'tuil: NaIt,io'llall d'e'5 Sove11'ces .Alpipliquées j} y 'a Œ à tout un symbole . En 'l an ça nt son .idée 'P'ar !Son 'alJ.il!id'e ide 1952, Monlslieur OAPELLE ne pTeS's,elllta.ÎJt ,s an.s doute ,p 'a.s ,qu'ljj po.ul1l'a·~t un jour 'a ccueillier 'e's ami,s da·l1.s ce magnif,iCjUle Il1!sllÙltut 8'CÎoenittlàqrue fond'é par lui. IL e COl1g,r ès de IL YIÛN exml1'ina à qu ellll es cond,Ï1tions ,le Ilatin Ip eUit res ter 'elt r ed evenir un mo)"ell ,de JIi'a'ison, LI 'es'!: Iilfl1Jp'OiSsi,b~'e (le clonner .ioi ne fûlt-ce que l'énUll.uér,amion de ItOU:S Jes ~:appo'lits ·e t Ic ommunicaltiol1!s. III IseraiJt d'Iailbbeurs Itrès IClé11crut ,a'e IDalÏœ un Ic ho:ix. Signailol1.iS 'c ep enc1.an't Il e magnljf,lqu~ d,i,S'cours d ie Monsj'eur QiiLb er.t TOURNIER, Dü~'cteur de b CO'l11;pa,gnle
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POUR NOS ELEVES:
FEUILLET PRATIQUE
L ____ - _ _ _ _ _ _ _ _.....J 1
COMMENTAIRE DE LA FÊTE DE TOUSSAINT Introduction: ,P our :beaucoup -d'enfants I(et d"ad<uJlllies",) (la Tousséti'l1Jt 'est <un jOiUr Id e tristesse, Ralsons ,d e ceHe note nos'I1a'lgique : prox!Ïmli.:té du JOUi' Ides '11101,ts, vi's.ÏJtie Il'ra!dilbionnelile au cimetière, approche de ['hiver, , , Pourtant, 'l a Toussaint 'es:t une des ilolUJtes g,r.andes fêtes d ie J'année, Fête de famiUe, d'intimité, de communion, d'ulliité, , , pal'tant, fête de joie intéli,eure et eXltérieure, FETE DE FAMILLE, d'intimité «'Spiribuehle », d'union, d'unibé chrbto1elUle, 1. la famille du Ci'e l : les SA.INTS canonis'és, faire d ,ure aux enfants leu'l"s saints 'P1'éférés , , , ~eur lfialÎl1)e lbrouveIJ.' ~e<s saiults :lo'c aux et ~1'a,ti'on'aux, /lies gpand·s piÏl1i,erlS -d'e ['Eg.llÎ!se, Apôtres, papes, mi'ssiOllil1aÙ'es, f.on'd,œt<eurs". «Aimeri,ez"""ol1l(s ,avoÜ" connu ,l a T'l'ès Salinite Vi'e11gesur Iles ,ohemins de Pa1le'Sibine? Âvoi,l' été ballt<i's és pa'r Il e gl"and St Pi'el;re ? Avoi.r é;t<é 'e n da,sse .avec Stie 'TIhéIJ.'èse de ~':En~an;t Jésus, avec St Jean Bos co? Acvoall.' été le ipetit ,f'l'èl1e ou ,l a 'P'e'bite ,s œur de Ste !A,'gnès, de St Domini,que Savio, de Ste Miaria GoreittÏ ? Ou ,au ffiOlins Jeu!.' 'c ousin 0'11 [eJUl' 'cousÎn.e ? 2. la ,BamilJj}le du .Giel: les 'salÏn:1lS non canonisés, En un is'e ns, es-t «saint» ,celui qui a f'aÏlt ,s on BallU/t, qui 'e st pa'11mi Il es élus, q<ui est confi,r mé en g'râce. , , T'ex·~es : <<,!',assemb'lée des sail1lts », «ce'He forulle imffi'e nse que 'per,s onne ne pouvait dénombr,el", de Itous pays, de toutes ol'a sses, ,de toutes ;r ·aoes 'elt d'e Itou:tes -langues» (St Jean) e,t dOl1lt Les Saints canoI1Jffiés ne sont qu'une ,infÏ1ne partie. La Tou<sS'aint est !la fê·re de 'l a s'ainteté 'anonyme. P.a'l1ffii ces s·aÎ111ts anony<l1l1es, nous avons ,aUlss-i ,des 'pal'enltIa, Ides ,amis, des cOlU1aissances, que l1.0US pouvons S'llp.posm' pat'n'li les ·élus, confÎl1:m&s en /?irâce à cause d.e leur vae é;di fia n te, Ci:ter tel ,défunlt de 'l,a paroisse, un modèle de Viie chrétienne, re~retlié de tous, , , 3.
la familHe du PURGATOIRE.
Eux -aussi ,SOI1it de6 éhlS, (üls ne peuvent plus pécher), des « ,samlJs» 'a nonymres, pour qui b vi,sion béalriflique 'a été o:'e tardée",qui 'cloi'vellit encOll'e <S'e purifier .. , C'·est aussi Il'eu.r fêle aujourd'hui, Us ,S011't aussi ,de l'a ,f,am'iŒ'1e, Malll?il'é letUJ.1S souf,f'r ances, ils ~x'Ultel1't de joie ·dans l',aititeltlle de voi'!.' D,ieu <bientôt, . Nous devons prie·r pour eux, maits ne pa's êh'e tristes, R.appeJl d'1scl'et des défUll1<ts de :1''IDlUée, FETE DE JOIE, ne <se 's entir ,ainsi «en famiNe» avec tant de sa,i nts do,i.t nous fa,j,r,e .exulter de joie. Les textes 1U,I'ur.giques 'd'e Ja fête ISOn t sli s uggestlÏfs , , . Relü'e IlBS « BéatÏ'tudes» o 'e J'Ev.anglÏ<le. GelS l ~eX'bes r'el-rd'enJt pnes'q ue Isellisilh!1e ,la prés,Bnce autour ide nous Id'e cebte AssemhJé,e des Saints ,de 'oe:bte 'Familhle «,a,éfjlJ.1:ilti~le » qui en1tom'·e t e 'brône ,de UJ'e u dans un spectaole 'hll'el6f.aJhlle de « Son elt Lmnièl1e» éI~e!l'll'ell, Isans c()ll11mun~ ~Il'eS'ThDe avec n'os fêtes d'li:oÏ-lhas", Conclusion : E~re FIER d',appartenÎlr ,à oBtte g~ode'll'se .fal1l~11e qu',es't l,a communau:té clu'éltJÏenne, En 'l'oute ,ré!a'1ilté, chaoun de al0'U 5 'elS!t Il e .fil'è.re 'o u la sœur ,de 'tetLs 'et <l!eI1s s,a ints que nous admirons 'ett a'imons .. , de 'tous des saints C01U1US ou inconnus, NOIUs péné;bl~er de 'c et·te il'éaŒité, ,R enfoil'cer 1Il00h1e union 'a vec ces innombTaMes proibe:otew.'6, no.s Ihères 'et Isœul'S :dru P 'ar.adis. V'Ï.'Viœ e n communion qruoltÎld,i'e nne, lp.el'll1'anel1'be, avec eux, M~t d'·o·rdil'e : JE GROIS A LA <COMMUNION DES SAINTS,
F'E U 1L LET PRATIQUE
LES BEAlTX TEXTES (-C ours supérieur)
L'été s'en vÇt . .. Un .bûcheron qui .dévalait Du haut des bois vers les ma-rl1liè-res A rencol1Jtré, ,l a nuit dernière, Le bel btéqui s'en allait. - «Pourquo-i parr tir à l'.a'v enture, Eté, mon bel été, alo-rs Que des Il'oses gr.impent ,e ncor Sur mo-n pignon et ma ·toiture ? » - «Si je m"en vais, c'est à regret, Mon bûcheron, tu peux m'en croire: Ma mort survient, -la nue est noire, Et l'âpre autan mord les guérets ». «Par .les fenêtres de ma chambre, Le soil eil entre rell plein midi ; On y rencontre un co}n rtiédri Pour s'y b:lottir, même en -décemhre ». «Hélas! combien j,e ser,a i .las Et pauvre et tQiussotarrt un rhume, Les jours de ténèhres et de bl'ume, Quand .fa clarté n'y viendra pas ! » «POUil' éohaJUffer jusqu'à ton âme, Veux-w mon foY'eIl' Itout enti'e r, Avec 'Son feu large et!: -al~ireJl." Et la couronne d'e Ises flammes?"."» - « ,Bo-n bûche,r on, je resterai Dans ta mais()il1 -s ûre let rtranqui!l'1e, Et rdrans ,I.e :doux cœur de ta fi III e, Pendant l'hiver, je i11eurir ai ». Em. Vel'haeren Dialogue entre le 'b ûdhe,ron et' l'été, l'emarquable 'par sa riches'se d'évocatioll. No-mhreux 'le l'm'es à .eXlpiliquer. Fail'e ,U'Qiuvm' 1C1S s-enl!Ï.me11lts qui se dég-agellll dre oe poème. Si ,l'on fa~t 'a pprendrr e par cœur, ùlsister sur J'lexpres,sion '(Ile rtl,istesse des premières :;'1Jrophes, sur [':ills,Î1stance du bûcheron, '~ur rI a réso~iUttio-n joyeuse de I.a f.in.
Composition française: Le maître fre ra ima~ner un dirM ogne sembtlaMe elltre ['Hirvrm' et une " Ii:eliHe femme aUant au hois mol't. .. entt"e 'l 'Hiver et un vign.eron, entre l'Hiver et des enfants jouant au bord de la fo-rêt. ..
FEUILLET
PRATIQUE
TAMBOUR BALOIS, BOITE A BISCUITS De-g·r és mO'yen elt supérieur, gall'çO'JllS et ftiJ1l'e s. TrarvaiJ m ,a nuel qui prbsen:~e ce.t a'Van:tag,e d'être ,cO'mbiné ·a v'e c le dessin. On l'l'ouve dal1ls le 'cO'nUl1'el'Ce de j'O'Lies bO'î,tes ,rO'nd:B1S, e;n 'cal1tO'n ou en aluminium, qu'O'n peUit !décor,er en ~an1lhO'Ul' bârlO'is à peu de frai,s, pO'ur se:rVlir ,de bO'nbonnière OIU ,(loe hO'Î/t e à bis'oui,~s.
CeilJles qui ISe prêbent .l e mieux à ceot':-e tr'a nsfm:mat,iO'n 'S O'l1Jt Iles bO'ttes KAMBLY "(:bis'OllÎ,œ au s~l -GO'ldrf.ilSC'hlli, bilS'cuœtJs au chO'coll<at SohnaggJi). On cO'mmence ip'aJ: pr.bpamr une bande de pa,pice>t· à la jUlS'te m~swre (.dévelO':p .pement du cyilii'Il!d'l'e) en ayant ·sO'in de ip'révO'ill: deuxc-el~timèl\Jres en plus pOUt' J'O'u~let de 'CO'I1Ja~. Sur cette hande de pœpi'elr , fai'r e un desSoin 'g<éO'métrique en Id'e ux 'cO'u'Leur-s bien 'bran'chée-s : bl'a nc.'rO'uge, 'Manco/n oir, selO'n exemples ci-jO'ints. Au li·eu ,de ·dessiner, O'n pelUJt aus's i se -servir de papiers colorés gommés. La band'e é~aIllt cO':lilée ,s ur \le cylirrdll~e, Ip lacer le cO'rdO'nnet -de sO'li e nO'i'r , l'O'uge ou dO'ré, ainsi que tl ',i nd'l que Ja figure : deux anneaux en ,b as ,et en haut, a'v·ec un IÏ.n:tennédiai œ qui ?Jigza,gue de Il 'un à .J'aultx-e. r
PO'ur éviter que .J·e s deux ,a nne·aux ·de cO'rdon ~lissel1Jt r1Je hmg du c)'lllin.dre, Ilœ {{boer avec un peu Ide 'Cenl'el1llÜit ou mli 'e ux .en'COol·e lI'e s cO'udr,e en 4'la i:sall1Jt Id,eux p'ell~ts Ibrous dans la P'aJl'OO (Ju cyl}.irnd'l"e. 1
Au cours moyen, 0'111 se CO'l1!l!eIllten:a de dess,i ner !le c Ol1dO'nne<t O'U de le 1l1emprla-C'er pat· d'étl'O'Î1tes band,e;s .de papiler gommé noires O'U hrunes. Au cours supérieur, filles, on r-empl'a cera aV'anllaog·eusement l'e pap~el' gommé :p ar de J'a feubrine .Mia nohe 'et Il'O'uge ,s ur ~aque,l['e ill -sem lliaciloe de coud;J,'e J'e cO''l~dO'nne>t. On pO'1l!n~a :mê.me if.ruœ cO'u.Ji.sser .d es peliles 'die 'bO'is, thrurres ~t O'Ib!l.O'ngues, le !l.O'rng du cO'/:donne-t inroerméd~aire. La réallisart,iO'n se'l"18 des pl'll'S g.I'aoieuses. NO"ba. Des assO'IJ.1l!Îmel1't<s de fe;UtiI:ine pour b'l,O'delù'e flcO'ilai'r e se ·trO'uvent chez ScJhubiger, Je1mO'll i, .etc. en r.e'01'angllleJs ,d,e 21 x 25 om. PO'ur !l:es IbO'îtes Kaullbly, ces J.iootan~les sont I\IJ:O'p CO'UI~tS . Archet'er plwtÔlt ·a u mèJJ.!re Idm-rs Iles Ima.g,as'Î-l1s -de t1ÎsS'us. 'CO'ûte :enViÎll:O'l1 14 f,r. Ile 'mèrlire, en 180 de large. Un mè't'11e suffit pO'ur 32 'éJlèves, d,ans une cou1eur. Infol'l11a-tiO'n prise, pas d'e If eutpil1e ·au dépôt calltO'nall ,d es -tl'avaux féminins.
VO'il' ,dllÏ.ohé au versO'
FEUILLET
PRATIQUE
A VOT,RlE SER:VLCE L'Off,i. ce .de l'Ensei'g nement oreçoo't fI'légUllièremenlt une :vlÏngtaine de r>lWUelS pédagogiques, qui ma,lheureus!e>ment ne peuvent pas ême envoyées au per,sonnell 'eJllse.ignalllt, sauf eXlCeip·liions à des ,~iJIIs prédses. Il,f.aut .se eon'tentetr de les conSUI~t1er sur place. Sur 'le nomhre, .no.us UÔous perr.melltons d'en 'r.eoommarrdle r qualiI1e, qui SO'Jllt 8'V81l1Jt 'tout des instruments de travail ex;tJrêmemeIllt précilfj\lx :po'ur Œes ma~tres, comp~l1anit des fiches de h'av·a'iŒ pOUT 't01U!S les degré'S 'e t pOUIr ltoutes Iles dil8'OÎpLines ,scolaires. TOUilles 'p uMient, en s~temhre ou en fin juin, lia Hsoo des centr~s d'lÎnllérêt qu'eUes trai'rel'ont au COU/l',s de l'annbe B'col,ai're. Les deux Ipremières 'Ciliées 80nt d'·in'!q)ÎTaliion nelitement cathoHquè, ayant même dea fi.ohes d"ensei'gneme~t religieux; Il es 'd eux autres ISOIlit d'une neutraHté ' hÎlenvei.lJ1ante.
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Revue mensueJJ1e d'e 96 Ipâg,Cls, ,donnantt un ,pl'og'l~amme ,de Itrl1a'Vla'iIl pOUlr d'e IlnolÏs enbier (4, semariIl'es).
Compte au moins 25 à 30 'COU-ahOIl.'là'beul1s irég'liiliel"s.
Mou eigneur DELGADO, !Doye n d e !l 'Univ'e r,s:ité ,cle SALAMANQUE, ,dans 'un s.uhs tan't,iel eX'posé, 'IH)llla 'qrUle 181s déCO'll\nell'ltes 111'o-lllness o,rl.Î!OOl1eIS ip'crllH~tbeI1lt la ux 'enfanlts ,d ie c.OQnQ11lenoe'l.' l'étud'e ,du k~l:lin Idè;s Il 'âg,e ,de S'ix ans. Si 'oelllte IPII.· atique :Ele 'géné'l"alllÎs'arÎlt, 'CIe IS'ClrœiJt ceJ' tainemellit un e aJl1!balÎI1'e IpOUir -Ile IlaJtin 'viv'a nt. Soull ignons ,que Mons'eigne'lIr .DELGAtDO Is "exp'rlÎ'me a ldIlT11Î:l<ah1ement 'e n J.ai Jin. En .1956, déjà, lill aV'a!~t ,p l'ésBnJté un 'raippol<t. P·eI1Jclan·t qU'lill 'P'a'l1la~t, M. P1aul GUTH, ,envoyé Id,u «FIGAlRO», péll éltmi:t dans !la ,sail!l,e aV'ec l'-infte'llll1Îolil de ,s'e Id lirSitli ai'l1e 'aux
Abonnemellit pOUl: ;],E:~l'angCir: environ 20 ,fl'. 10 Ui'ds, y -co.mpl'Îts le sUlpplémen:t-iPhoiws.
dépens Id u 'Gong'rès. Mai.s, 's lllbjugué Ipar ~e hr,i,o ,de tMollJs'eigneur DELGA1DO, Pauil GUTH f.Ult
Partie génél'lllle : EiduollibÎon et Pédago-gie. Puis fj.ohes ,détachées ,aV/ec ~Œ11Jpl'eSS10n d'un ,sooll côté Ip our Itoutes ILes branohes primaires, y compr11s éduoalUio-l1 ,eslUhét'ÎtcfUe leit 'scÎ!el1oes IllippLiqu:ées;
cOllqui,s .
. Editlions AiRMAND ,COLIN, 103 BoUlI'eVla11d St-Michell, ParlÏs (V)
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- C e l1te.s, h eauco'Uip l'eJSlterOnJt sceptÏJqll'e!s ·sur :l "ave ni'r ,du Ikl!tin ICOilll1111'e '1all'gu'e ~JlIlleJ[JmfllÎol1'al'e . Cep ell'd,mllt, Is i l'on HV'a;~t ,dOlUlté que ~e l1a'uin 'p ût 'sefl'V'm' Id'all!s ,1a Idils'cu1ssÎ'on, ill leÛlt 'S'lrl'tBÏ 1(1e 'Voia.· un E spag.J1oll 'eJt un P.O'litugais Is',alfif'ro'l~t:e.r, ,en ~,a:lli.n, avec uIl!e velwe ,incroyab'l'e, Ip'OUIl' ~,a l)ll lls g'l'and'e j()li,e Idu Congrès, ,sur lia vél',ir~a'bllte f'açon ,de 'p'r<Ollonce r l1a Jangue de üicbrol1.
Hebdomadaill'e. 40 numéros par la n, de .pLus de 50 ·p ages, ipetÏJt format 'de ,poche.
Le jeudi, 10 1S'e!p'tel\1lIbiie, ,à 20 h eume;s, lelS Congll.·,es\5is'~es se IlJr.ouivaieIl!t Il',éU!Jl.Î's dans 'l es Salons de Il:a P,r b6ecture du Rlhôll'e 'PO-1.lr un hanqllleit que Q.(wa~lt pr,és,ild er Mon,sli'ell'r Jacques SOUSTBLIJE. Einllpêché, ,l e MtiniEltll'e 'av'a[~t ,dru 1l110:În1S ,en'Voyé un alles<sag:e où ~II Il'ap'pehjlt ,l e lI.,ôle
Manzlel général de l'InS'tnuobÎoll p 'l1i-mafi'.e.
joué j-adÏJs Ip'a r ,le la,uin pour l~ra'J1IsmelltJ.'<e Id'âg'e en â'@e 'l e3 tJrbsoms Id e [a 'ciV'~LÎtsrutio<l1 leJt ml'Îf,i er l 'Ücddenlt, 'e't où j,l IsoU'ha.Î'tailt que Il es h0ll11ll11 eJS d'raujourd',I1Uii IpUls's'enlt lI.iellIl'O'llv.eir ceUte unité Ling,u 1ilS'tiql1'e eJt 'oe rvéhi'cul]'e 'c œumun des p'ellisées.
Articles d'éduoal1Jion généra/I.e. Fiches de trava:i!l dé·tachahlCis .sur Itou~es ,tes disoipll üles et 'a ux 'trotÏJs ,(I,e.gl'és Pi'Ùma>h·e;s (cours élémelltai,r e, COUl'S moyen, ola's ses de f.in d'érodes). Textes adminiSl'ratifs.
Manuel général
Son ,Ein'Linence Je ,Ca'l,d,illa:l OEJRLI:ER, qui ,av.ruilt ,a'ssÎlSlté à Il 'a >séance linaruguraol,e ,d u Cong,rbs, a,\naIÎlt 'tenu lég.al,e1111eJ1lt à êlbœ llà .am Ba'l1:qllelt ,die .olôlbull·e. n'~IÎJIII'eUlr,s, qwand son Eminenoe péné:t.r,a ,daIlIS ,la ,s~llre ,de f ,e sibin, ItJOU't t1e :montl,e lS'e 11eva Idm1!s U11 IS'M,euce !œSp 'eJcll1U1eux qui f.U't Il'emaJl'<qué. A Jla fli n IdlU J.'leJp'ruS, Il e üa'l'dlÎlmll IfÎlt 'un ,toa Sit, qU'liIl prononça 'en 11~tin et 'qu'rill acheva 'e n lf,mn 9a~s. «P'all'-Jlli a'e.s InstJill:1UJlli0 l1S qui .s'e l,éjoui,ss ell!t Id e 'Volbre iràti,a:.1ive,d11-.i:1 il MO'l1 S'.ÎieJl.1ll· CA'P E,IJLE, J'EglJise 'es'! ·celi l1aj,n enl'enlt lIa pl1emlière. ISfllns ,do:uJtJe, .a'ClbuelrLel11lffi1It, au sein mêlme .de 1',Eghse, une otftflC11IS1i've Is 'mnoJ.1ce ,conbre Œoe [altin, Ma:Îts no.'ll!S v,eillJlerons à l,a sltorp rpetll.'. QueJlil'e joi'e, ,en leJHe>t, Ip ou.r Il'EgiLis e crutho'lâ'CfU!e, ,s i sa hl1!gl1'e ,1Î1t'Uirg,j,que ,cltewmalÎlt [a Imlgue des teclllùdiel1.s 'el t, p 'ai' là, œdevenalilt Œ 'a Ï'ang,ue uni'Versell1e die ~'11llI1Tanril té ».
oeSlt ,oentlahlell1'enit l'ooUJl'Î11 /lie plus employ.é ,dans ['el1!seignemCll1t o,f,fJ,cruel Ide
France.
Ed,i)llÎons MOHETTE, 79 :H d St-Gemna,i ll, P 'llil'Ù:S (VI).
A 'ces revues, i l y a J.j'eu d'ajouber :
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P. C. N. B. -
!Jocuments pour la classe >Ul1e Itrès IsuggBSibÎ've Il'e,"ue bimensueill e pu:Mi:ée ,p m' a'II :p.N., 29 'u ue d'Ul'llil11, à Bal'.Î!s. ElJLe s"altJtaohe ipaItJicurllièretll.lliellt 'à dlé'V'e'lo,p per Il es 1l110yer,s audio-vÎlsue!ls, publlâe IdleJS 'COillID1lentalÎ!l1e1S des émÎ!SSlions 'l'adio.,sool'alÎlr,eJs {die Fll~ance tcl'wle 'présentaliÎ'o-l1 l'ema'l.1quab'Le. IOhojx IŒe Il1eXite's, ChlliIllbs 'aViec noltaltion, Irepl~O'dlllct>ions ,p 'ho!togralpruquBs grt~and formait, 1ll10no.gll~phllie;s ·très 'compJ.èllelS lSur dies ques1tJiI()IlIs 'd'Œ'l1Jtéi'êt géllél~a1, temc.
Problènles pour les têtes de classe . ..
InconvélliÎ<erlit : 'SUit d'e très p 'l'ès Ile pro'g ramme des 'é missions françaises. En vente là la S.!E.V.P.E.N., 13 ,r ue du Fo-Ulr, P 'a'uilS (iVI). Sur Idem'andle , on peut ollioon,i,l' ,à <ûe'S 'adl'esSoeJs des i\1uméro's spécimens.
On p eut .se procur,er .l es actes du ·Congll.'ès chez M. AUBANEL, EditeJUl' à AVIGNON.
1.
Une hricfue pèse un kilo plus une !demi-hrÏ'que : Ic ombien pèse-t-elle ?
2.
Un troupeau ,d'o'Î'cs Ip as's e : iiI y en ,a une deV'ant, une enl!l'e deux, et une tcl,errièl'e d ie ux. Combi'e n y en a"t,i,l en !J:out ? '11101 ua s :éJ!O fi : as,t lodiJH
3.
On monte ,dans un .ba'l'eau /}Jal' rune éohelle rfii:x;ée ,au ,holidage 'e t dont !les éohellol1!ssol1Jt disllants de 50 cm. L'eau 1ll10'l1'~e Id·e un ulèitr.e pail' Ih euœ. CombÏJen Id 'e ItOOlipS mebtJ.~a J'eau pour atteindre Ile dixième échelon?
'son'Jf G : éJSllOdiJH
.4
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COMMUNICATIONS
OFFICIELLES
r
COURS REGION,AUX DE GYMNASTIQUE L'Arssoc.j'art,ion de,s IMaîl\Jr:es ,d ,e .gymnaslti'que ,clu Varl ai,s roman'cl orgal1'Î's'e à 'l 'IÏnten:tion du per-sonnell l es couns de gy:mnrus'tique G'lllival1l~S :
SOCIETE SUISSE DES
M~.lTRE5
('onvo'Cla' ~ion pM' I(li!recteur Vouw'y: 17 nov,emhl'e à 16 h, 30 V'ell"llayaz : COI1'v.o·oalllion par ~hrec:~eur Fulily: Bagnes : 11 nov,embre à 16 h. 30 Riclde'S (Leytron-Saillon) : convooalui'Ol1 parr clilr eoteur cOllvooa'vion par directeur Chamols on : convooalViO Il par directeur Isér-ab!l'es : cOl1'vooa~ tli'On par direc:tem' Saxo n: 7 novemhre à 16 h. 30 Savtièise : 14 110ve,nù)l"'e Nendaz/Br'ignon : co n vocallli'on par directeur Grône : cOllvocal~i:on ,p M' .directeur Bramois : convo'c;al ~i'on pa,r dilr ,ec:teur Ven'uhône: 7 novembre à 16 h. 30 V'e x: Ayenlt: cOllvoca'rion pa:r d~reoteur cO.llvoealtlÏon par dÏJreoteur Amri \~iens :
DE GYMNASTIQUE
Publication des cours d'hiver 1959 La Soci&té ISouiS'se dCls maÎJIlI:e:s ,die gyuulaISitiqu'e org.anise, SOIUIS les 'a usp,ÎoBS du Dépalltement llülüaiÎr'e flé'dbra~, les 'COUDS suhnall'ts ,p 'our de ICOllp'S re nseignant :
a)
Cours de ski du 2~ ,a lu 3n décembre 1i959 : 1. Les Di,aIhllerreits 2. L es MOl1'bS-Chev,reUiiJs (Il'un des gr,olu pes du 'cours forme,r a lI a classe préparatoire pOUl' le br,ev.e t d'LS.) Grimlelhv,aJld 9too,s 5. M,ürr·en 6. SÛ'renmerg 7. ]jlltios. COflU-S prbpanl'tolÎ're pour r}.a SULsse ra ililemand,e au 'b rev,et 'd'ill's' h1uO~eur d,e 'sklÎ. Le CO'llll1S est ohligaltoir.e pour les oandi'dMs au cours du brevCit ,d'instructeur d.e ski qui aura lieu au Ip rint,emps 1960 . .Les le:l.'lÎ.g·ences à ce COUl1S préparatoir.e sont très g·r and.es. Les l)a'rbic~panJtJs Idoivent êrbr'e ,de thons Iskiel1r>s connaissaUit l.es Id,if,f,érenites disc.~pil<Ïne'S du Is ki let 'oapab<les ide .sIc'ile r ~l'ans la n'eilg'e p.rofornde.
3. 4.
b)
Cours de patinage du 26au 3'1 décelmihre ~ 95.9 : 1. Lausa,n ne (~)our la Sui,s's e i1:oma~1'de) 2. Bâll 'e 2, 3.
Bâl'e (du 2 au 6 j.anvûre r 1960) Si,(wre (15 .places sont Ir ,bs·er",·bes là loe jour IP011<1' Je oan.ton du Va\lrais), Le progl"'am'l1le d,es COlU1S de rpatinag'e 'comprendra Il 'étude 'd'e j'e ux 'en ,sallle pour éVii'~er un.e 'tro,p ,gr.ande fat.igue ch~,s rpa'l1bicipan1lts.
p, Pi,gnat
G. Calr'r aux Roi!. Gay-Cro'SÏ'eu: S. D ellaloy,e G. D erlarloye P. Glas's ey G, Ue!l'a.loye Roll, Gay ..ürosier AL. FoulmlÎle r AIL Fou rnùer V , .D.l1's's ex A, MaiHa'fCl ,M , E. P. R,
IÜhev,rier PtÙbve[oucl Glassey MOllll'e t
Les fta'is Id 'e rclépll aceuTent 'sOllit rem~:)'O'Ulr,s'bs .aux membr.e:s de ['AMGVR .
EN TÊTE A TÊTE LE REJDACDEUR VOUS PAiRJLE.
Pa.rticipants : Il e.s 'cours :cle 's ki e:t .de rpElItÎlnage ·s ont ,dClsltinés 'aux 'l11'embr<es du COIJ.îpS 'eUls'~i
gnaltt en fonction qui ellseigl1'C1l1 lt 'le 's ki, J'e pa'l'inage Olll parti'cipelllt à Il a 'cllÏ'r,ecJt,ion Id e camps d'hiver, Les CO'Ut'S sont mix·tes. Indel1'mÏtés: 5 inc1eamllitbs jour.nalière:s de fr. 9.- (Si'erre, 4), 5 'Ïndlemnirt:és de mr~t d 'e fr. 7.- (6iel'l"'e, 4,), Il e ren1!bOUrSeJlllell't des rf'm i,s d.e voyage, It11ajeJt de p'lus rcJ.h"eJClt du aomicile où 1'011 'e n se,i'glle au IIÎ'eu du COlUrrs, InscrÎ'IJtion: on n e p'e ut s'lÎnsorü'e qu'la u COU'llS Ile plus Pl"o'ohe ,du fieu où l'on ,ens ~.igne.
Toute ,ims Dr..ilp ,tion Ip réall ahl'e len)t;r·aÎl\1e rna'ntmeÙl1emen:t [a rpaIJ.i ~iciJpation au COUl1S. L es l1mÎl'l',es d éls'Î!l"anlt rpa'l1lJÏcÏJp er lti :Un 'COUDS ,clO'i'velllt 'cl emmlder une :fo.l'mul1e d'in:scdp,llÏon à M. P.aull ü urldy, Sion, ou ,à M. Max Reilllmann, maÎ'tJre Id e Igymna s1t<Ïque, Hotf,wiil b/Mündlenbuohsee . Cette Ifo11ll1ule ,d'iIE or.ip:tion dÜll1'ent r emplie ,s era retourn é e ,à ,M , Max ReilJ1111'ann pOllliJ: le samed,i 14 novem h r e au p'l u s ta rel. Totis 1e·s ,coJ:lèg'l1e,s ins miÏJts recevront une 'l1é,pons'e ju,squ'au 5 décembre. Nous Il es prions a;ill'si Ide hi en voulotj'r .S',whSibellh' .d le tOUite dém'allicJhe inuitill e. Lausanne, 6'ept,embl1e 1959.
Si Il e MOI leJsit haÏlss·a:b\le, Ile JrE lu e ~'C'Slt palS mOii ns.
n est pOIll'li~all1t dies CiillCo.I1!Sltall'ceJs 'où :il <{Ial\l!t /S·avoir il"em;ployer, d'e p'l'éf.ér:ence au NOUS o{rfJûoi'ell, IcérmnOl1i1C1llx, !pil:e·sqUie â1npffi·lsonnel .. • Le JE BS't rp1ll\1!s .dlÛredt, !p~'lliS a'fflirma:foilf. IPronom de la 'V'anll té iCJ:al1s h~en des oas,
Le père vu par son fils:
il,e;sp'onS'a:h:i.li~té.
Quand on COl11'lll.'BIrCe ·à ·cOl1'S,uJUbffi· !Le !le:CiN~llll., on peult êibrre rsûr, a .p.l1Ï 0l1Î , tcl"e11lfoend,r e [es o!p\Î.!J.lliIOl18 iJJes plus 'conitmdicltoir.e'8. QU'elI-que.s-uns r,erpil'o'ch'aruent à !la id,éfunfl'e IBCOLE VALAIL SANNE - W.AlLlJISEiR SCHULE 's on b~iJ,ingu.iÏJs<n1Je, IS'a Ibenue 'trolp la 'oad'émJÏ'qu1e, ,j usqu'là Is on papile r l 'll:l.m:eux : lpeUit-ê lll'ie m na,Î'en!t-lÏ!ls ralûsoll. D'<U'lllh'e.s au :oonlfirali~"e, se félic~~a,i' Bnt Id'e 'ce haut nlÎ"TI~au : IÎI,s n"Rv'ali,el1lt Ipa-s ttOil·lt.
Le 'p r·ésident de dia C, T. :
N , YERSIN
,hl IBS:t aus's!i cellui Ide Ila
Je Il ':a,sISiulll1emi Idouc 'pOUIJ.' VOUIS .paIJ.{Ler Id'e il'lEiCOLE V.A!LAISAlNNE, vo'tl'e Il.''evue.
Tout 'dép'end 'du po~nlt d:e vue ,auqule [ on 's'e p[,a Cie, lelt lÎ'I n 'IClslt IpaiS tÎJmlltJil1e Ide Il',a,ppeiller illci que il'ECOLE V\l\iLA1SANNiE Is'la.d'DC,s's'e dt toUiS ,l es lel1's'eÏgnanms, pJ.ÛilnaIN',es, lSecon1d'ai!r,es, pro f'e's sioHllIell s. Que IOClllX !d'll prU.lJ.11.la'Îl11e lS olÎlenrt <uv:al1Jl3ag'és, (La .oholS'e le st c·oIJ.TIip!liéhrensibiIte. Ne rsonrt-4[1S pais we p'lus g,ran:d iJ1'O'llÙ)!l'e ?
à 10 ans : «Papa 'eJS!t forrnidrahle ! Jamai,s je n'an'ive11ali à Ir aire co:m me ll ui ! » à 14 ta ns: «p.apa e's't un IÏm1béClile l Jamai,s 'j,e ne rf'exaiCO!I1Ulle ~ui ! » à 20 ans : « P 'apa ne 1S',es't Ipas trolp ma'l déhrouillé fd:ans lI a vü,e ... Ma1s je 'I)'ense faÎ<rle mieux que Jui ! » . à 30 ,a ns: «Au fond, papa a 'très bi en ,n bu ssIÏ. s'a vie. P ,uisse-je If,aiœ ·aussi bien que [uli ! »
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Un'e Olbj,eCibÏon laS'Sle z génélia'l e a ,élté J.a :S'lli'V'anllle : K< VOllll'e il1e'VlUJe n'lelSit IP ·a.S als.S'ez p !ralbilq ue ; i,l Jlarurd'l'aI~t nous IdoillI1'ffi' draWni\.iagle d ie (l.eçol1!s ·liolUlters 1f,aJÏ!l'es : J'C10U',e:S .eX!p1iqué,e.s, tLeç:ol1ls de 'CIllo:s'es, ,l'eçoiJ1ls ,cle de.ssin, . IbriaV'aux d~V1er<s ... ine rpiJlus, liil lS'ffiial~t 'S'ouhalÎll'alh'1e que ['a il'leViue rp'ail'Ûlt Itous iLes quin~e
jOlUl1S ».
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p
En s O'mme, si je ~O'mp,rend.s ibi'e n, [,a l'e vue cl.evr'aJi:t ,remplacer l e JI1aÎtre, tlui mâch er la h esogne, Ile doÏ!spen's er die ItoU;t It11aViaH de Il;épal'~ÎJtion ,elt (le Ip répa,mtioll,
~ARTIE
CORF:::tORATIVE
SinguNèœ li'l11age ,d u CO'llPS enseignanJt ! ,f,orUl'11'ÎJl' Id es lt'eXites d"éltudes, !d'e no~nil)lle'llx It'e x'lleiS, indiquer de,s IS ch éma;s, ,des oanevas, 11elldipe oO'1l11p(~e Icl'rexpéllilen:Clels '\'el1l~éeiS par ,dies loollJlègues, d'Onn'er pa'l'f:O'iÎls lUne leçon de 'ohO' se sOOlrm'a'i'11el11'el1't lesquÎJslS'Be", Icl'Ia'oco!pd ! Malis Jü;V'l'eIJ.' du «tO'll't cllIilt », déj'à ma Silli'q ulé, Is-alllÎvé ct: pl,êt là .la 'dé~iU'Il~ll1O'n, n'on paIS !I
A l'issue de la semaine d'études du 17 au 22 août dernier, les participants au cours Cuise/Laire adressaient un message enthousiaste et reconnaissant à l'inventeur de la méthode des Nombres en Couleurs, A l'intention de tous les amis de M. Cuisenaire, nous publions la réponse qu i, nou.s ef.l venue de Belgique,
J,e 1',e'v0'.ÎJs It'elJJ1e ,é)lJuÔ'e !de lIlexJt!e po;u r eoUll's mO'y,e.n O'Ù ,tolUS Il es m 'O'llIs ,dilfif'ioill es m.llt été eX'p-1i:qubs, lauall'y'séls, 1d,é:OQIJ.illÏlquélS .elJ.l tlle11lte.Jsnx qUeisitiO'ns 'elt Il:épO'ns:es, 'O'ù ["O'n a IpriÏs à au {'OI.ÎJS l,a place -drU m 'aÎlliJ.',e Ielt IceiliLe ,d lel'> ,élè'ves, Un 'llel 'liravlali [ ne Ipenllt 'convenir qu'à ICieilui qui l"a pensé 'elt :r édigé, Oll.1eûll1e1J.' Id'e ,p ailles's'e porur 'queJlqu:es l'are!S 'Jl'ég11igleIJ.l!~s, iÏ-nuvÏ'1i'sa:bl e 'lJOIl1!r ['a
AUX PARTICIPANTS DU COURS CUISENAIRE
majoll.'\ÎJté d:eJs m'aÎltll'elS, Oeu:lta:Îlne.s 'l,e'v.ues fll.'auçoatLs'eIS onlt 'chorilS,i 'ÛeHe 1f000.1l11'1ltLe ,d 'IUllJpl'êJller tIa heS'ogn:e, rg·eIJ.lmine aprè.s :s:em,aIi~lIe, PO'lWrquoii IleJs lpiŒ1e1J.' O'U tI,es lI.ieC'O'lplÏ.,e'l.' 'à nolliJ.'·e iU!S'aJge ? li! 'elslt ,pllus oSlim:ple de vous y 1l1e!po,rit1er Idfur'edllem.enJt, y la 'dhtBz nous lell'v'i'l'on 250 'albO'nn:&s à !l'leX!C1e1l1lle nllIe lne-v ue L'i8GO,LE. Je m'en Ir éjoulÏ.5g,mn'dle menit. VO'll'S IbrcO'llV'eliBZ pIlus Iro,i n, ,d'a ns ~IeJS f'e u'illl eits ,d'e cO'lUll eur, ld'mll!Jl'e8 aclo11eSls'es ItO'ullles 1J.·,ec'Ûm'l11 a nlchb,lle s , Fa,i l~elS un 'BS's'ai.
n
Oeai IŒ1t, ne déJO'Il.',m ez pO'!Ï<J.lIt m 'es IÏ!11IlIeullÙons. Je Itâohelnai Id 'êtll.'oe . iflJUS'Bi «p'l',aJuiqu1e» que pos's'ilblLe, ChaqUie uumbr'Û ' cO''llJtl~endol',a I\l!ll c'e litalÎln nO'1U1h11e ,el'e p'a'!;1es, Id 'unie 'aiUltll1e Ite'Înlte, ùiÎil',e:creuren1t 'llit<illi~salb1BS le n dasse, ICBS ,fleulill,lellls tfaoilLell11'en:t ,c1é1ba;chahlIres pOf\.1!lTonlt Iset',V1i,r ,de flilches,êt,re exp 0"5 ée:s, ,éVlBlllliuJe!llellllenlt 'coiIt1ées /Sur rd u 'oa11 tO'll, 1L'li déal lS' eII.'al ~t I qu'~lls rugls'enlt li:lTIlpni:m bs sur une ,seull e {'a ce: ûe ne :SeIJ.1a pais ItOU'jO''Ul'rS -p'o'S'sible, 'l es I~ex:tes 'dev'anlt lJ.' eIJ.llrpli1r .eX!a'cltel11'enlt 4, 8 ou 12 'p ageJs, .et non
UIU
nomhr,e 1ÎIl1lI'Brméd,i'atÎ.!J.' e,
A'IlIIJr.e O'blj'eJctiO'll ,f'a i,te ,à mon IJ.)Jréldécesseur: « la ,p atitie cOl'poll'oalt,i ve n"e! t pa,s as'sez tl éveJclppbe », ki 'eJ!1cO':œ, i!l 's"ag:!t ,de 's"enllIe,lùlrt-e, Vouilollls-nous ll11n hllillh~t!irl1 Ide hmi,]il.e qu'i l'encl,e conlJJit'e Id'e tO'us .l1e:S iTIla'liilageJs, na,Ï'ss'anCles, ,d,écès et la'l1itr,es lévéll'eIJ.lllelll~S 'SU'l"VeI1IUS dans l'hono.r,a Me IcO',r p'o/Nl:ti'on ? Que l'e!s Ja'sso; oil aJU~ons i'lllt&rels's&eJs I1O'lU1l11.enlt ,allolI.'os IUn ICO'Il·J.1espond laonlt dans ahaque JcHs'troilCit IpO'Ulr Itenur cell/lle Ichll'on1ique, le Il'éd,a d:eur ne pOiuvMllt êtne 'pr,és·enlt idla nls ItOllllS ~es seOlJeur-s ,à l1a Ifo:ils, Je Im e Ihon1'era;Ï 'à I\l!llie Is otite Ide ISf\.1!l'Violl, 'a-VleJc uI1le ,prréldlilLBClIliO'n pour Œ le Hal\lltVrala1s, lE u ,elff'elt, lœnoncer fa u hiiling,uÎJS'me ,n'est pas iJ.~éce' s' s·ai,r,emellit rO~l1IplJ.ie :a'VIec les diz'aJÏ.ns 'Supélii,eUlr,s ; je voud'r:al~s une cll1l.onique 1J.'.é@ul1ière Id.u HaUit iRJhÔ,l'lie, ,cO'nj'Ü~!l1Jbe!mle.IlIt 'a ,nec une chrroJ'If:lqu:e sCQlla\iil"e
Bravo les Montheysans !
su:~S's~e.
IIlIulbil1e ide If.ai'lie a'PIP'e[ à votre 'c ol1l'aib-oil.',ail1i OU, v,oUs rtO''ll'S qui 'af'\1lez la rhe(LLe mli s's·ion d'éd,uCFl1'eiJ.' ~Ia jBunelS's e : lies p'a.~eJS .de il'EGOLE VALAISANNE VO'us Is on't ,e nlt<ièl"eJrnenlt 'orll'V'elJ.1be.s, C',est ;d'lalillileJllll"S plus p'rur d eJs I conl~adts 'lJ'ens'O'nrnefIJs Iql1'eprur IdieiS 1ÏJ.1'V'~~a1t>i:O'JljS généluaLes ICfu:e fau1r'ali des CihanoBs cl'ê'blle
Thuin, le 8 septembre 1959 Chers Corllègues, C' e3 t av ec une 'sympa·:rhie tO'u-te <S'pé:cia,l e que je 'm e fais un p.J.a.i.si.r de VO'us ,témoligner ma profO'nde recol1nai'ss ance pOUl' ,l e cO'l'd:ial message que vous m'avez 'a dressé à Il'.i&sue .(I.elS cours donné3 sur 'l es NomJ)1'e-s en CO'l1!h~'1111S par .mon Iflmi ,MO'nsoieotlol' Bioil laz, V 0'5 deux Il'ettres -couv,e r,tes ,d es 94 si'gna ture's m'a rquant vO'llire ent<hO'rUsiasme re't vo/lire reconll'a'Î'srsance vi'e nnen't en~'!Ïchir ma cO'HeotlÏ.on de précieux dO'oumen:ts. Joe vO'udr,a i,- VO'l1lS cUre combien je ,sui s heureux, tant pour Il'a nO'ble ml~s'Sion que vous cxe-roez qru e pour lesenf-an~s ql1!i VO'UlS 's ont confiés, ,d e ,sO'uligI1'eIJ.' vo'~re enthO'usiasme pOUir nra mèrhode de Calleul. J e sui.s p er suadé que ce,t entohousia-sme ,se 'lr,a d'llira pal' vOltl'e mise en pl.1a.t-Ï-que des cli'l'eCitives complètes 'e t ahO'nldan:tes ,r,eçues d.uroant votl'e selJ.11Iaine d'étud,es, Vo.:,re foi ,a,c qui's'e à iIna mé.llho~d'e vo,us condui'[oa à ,d,BS succès r-eml3ll.'qua-bJJ.e,s qui couronneront vo~ne It,rava~l. VO'IS élèves -a'cql1'Bl'ol'ont une {O'l'm,a tion ~l1a'tlhémlallIirqu'e .sûre qui fa,ci.litera g'rand'ement 'leu'l' éduoatiO'n au cO'urs de ,t,oultes J'eul's bliudes, Grâce à vou,s, !iJls aboll.'d'e rolrt: !:'ans 'lacU\lle3 Il'es études sCÏ'eI1'IIifiq'lles, J'aurai vivement .(Iési'r é ètre Ides rvôtres ,à Sion pour exprlirner 'm a g'l<aJlIirtude aux organi6'atem", ,d,es 'Cours, 'pO''ll'l.· VO'US féllioÏ!lIeIJ.' d'avoir salo rifié Ides jOUliS :de cO'ngé e.n ,a5'si,Sttal1Jt à ces jO'urnées d'ét<uc1'eJ3 et pour vous d~lI.'e que Il e VaJ.'a is est ma !Second.e parbrie. Ma~hel1'l'eJlllSoe!Inent Ill'es O'ccupatrions m'ont pliivé de cene jo,i e. Je m'effO'-l 'cemi ,d e vO'u.s l'evoÏor le pll us tôt poS'sûbJ'e pour adnürer vOltre itr,a ail. En iflJtJten:c1'a nt rvous ,p ouvez êt'l'·e 'a ssurés d'Il dévouement d 'e Mon~iel1'r BioUaz qui V0113 Il ais's e accoe3silJ11e sa dla's se chaque ,fO'is que vous aUl',ez besoin de ses s,errv,ÎJees, P'eIJ.' me'Hez.moi, Gher.s GoMègues, !d'e vous présenter mes ,s entiments cord,Ï.al'e ment dévoués. G. CUISENAIRE
\~lllJen,d,u,
Qu:ault .au {oll'malt, ,a u 'p'atp:i'Br, à lI a pl'rbslen~a: ~i'on, 'a u 'cJhOlix deis /cara dtèl:e,s ItY!p'Ogr'Uoplhtiques, que tl"on f'as-s'e 'conlfli'all'Cie ,à J'r.i.lJ.nip!l1i:Ill'enlIl', hMll'me ,de 'gO'Ûlt !a'lll~run:t IC.fThe cl "eXipél'.j'ell'ce, Le$ p'l.'o~ets du il<éd'a:CJlIeJ1lIl', illo'Viirc'e là h.ÎJen IŒes 'ég'a11dls, /Sollllt po.rur Il e m;omenlt ~m1p'rb.cti.s, ·c.hang·eanills, Ic:him&rtiquels, diJspend,i'eJllx : ['lilrl1Jp.nID.nleJlllr 'sa'lllrH le\S ItelJ.11'pé!l.iell' lelt le6 nOIl'mali,S'eJr. PIell.1So.Im:eJJl!em'enlt, je 'VIOllrd'J.'{lÎ!s tune 'OOUVietiM ,e clOJlIt [le JŒess!Ïn ,o hangleâit à .chaque numéro (ülilo hé iPhOl~og;ralp'hli.qU!e, ~)0!Î!S gliavé, INuo, Id 'e&s~n Id ',e n,f'alnft), 6ell·a.Joe 'p o·srstih[e? O'U ' s-im~Jllem:ellJt sO'llhaJÏ1tlalbil:e? De ItO'f\.lIbe IflaçO'n, ilelS débUiIls lSerO'nlt une pél'lio'd'e dre ftâ,tO'mliemmllt. Le bO'Ls Ig'l~avé .cle c.e IPIl.1e1J.lllilell.' illuméirO', Id'une fine.soSle i"e,m a:r,quahJ.e, es.t ,d û au CJils'e<flu cl'André IP Olll t, Iirn.sI~i1llulteur .ft Si,e1'\re, 'quii ' la ,ortf'e11t cl"emh~'ée lS'a ,cor1J1ahOil.'.artlÏO'n, J,e J'en lliemeIJ.'Ore chaleul'eUS'elJ.ll ent,
E. Ola'l.'ielt -16 -
Sur ,1'ini-bi'aJrirve .d,e M, PioeI'l"e·Ma'r ie IDAHBELLAY, huit corlrlègues ,d e Monlthey O'nt suivi à, Pall·i~, 2 .au 11 ,s-ept·elJ.llIhre dernile r, un COUl'S d ,e T1'lav.u-11 mal1lUeil 5'cooaÎTe o'r ganisé par l.Atsso'Ol'a~l'On «LA VIE ACTIV!E » (20, l'ue Gu-el~saut, XVIIe), ,Cours de ibalSe 0'11 d'iIllÎ'ti,a'liÏon aux 'l1luhi,p:les te-CJhll'iques, qu',a,S'StUl1e a'V'ec icO'mpé~ence 'e t un d -éV'OIUJement rem·a'l.'quahŒ'e M, A~ BOEKHOLT, ,fO'n;d'aJteUrr et granJc1'pRtrO'ill ,de Il'As\SO'C1ialtion VJA, Si Il e prO'fiJt :imméJd'iatl:, c'es't-à-di'r e l'atppHc.a'l-ion pr·a'lIique à IllOS dals ses primai'l,es, flllt d.i,sou tahJ.e, la fOiunaiIJion ,indi'V.ird.ueille du m3Îbl',e .fut par 'con:lIre très heUllBuse : .plus-i'eJllr,s Ides ,pM'ltioÏipanlIs O'nit cr·e ,dé:si.r d ie 1'elorurne·r à V,A, pour ,.')uh~l'e un lSI~age d ie IspécJiia/1ÎJs·alion (rvanl1'eIJ.'~e, ,C'é.l'am~lq'lle, l'IeJ1Ï'Ill'e, m'O'lS'aïque, ma'liÏlOnnettes, ,etc,) LI 'e st -~r~s heureux que des crll'aÎlres vallaJilSans voiel1Jt un p'e u 'c e qui ISe passe ,h ors de chez eJllX 'elt ,s 'en ailllellit op:r.e-I1'dl~ Ila 't-empél~tul'e ,d e ['tE'lirange.r. A ..srignatllelJ." aus's i que ~,a Commune de M.on~hey a VleTSé là ohacun dels pal'ltÎrcÏlpanits un ip'e ti,t .subsiôe hileuVienu. Puissent Il,e scO'JllègrUeJs m'Ol1JI!heysal1!s avoir de-s im~lia'teu11S! NOIl.lls 'l1el1Jdons cependant alitenDi,f,s au f'a i,t que les 'COUrI'S V.Â, \SO'lllt sOUrs lie ré~ime de 'l 'internat eJt que iJ.'hol'lruÏre de tr.avail eSJt 'lirès c:ha'l'gé - jusqu'à 10 Iheu~es par jorux ! üeux qui Ip ensent . e r sruirv:re un stage V.A, pO'ur jouilJ.' dœ dj.Sibl'a'CJ~iO'TIs CJ'U'o~fl'e ~artÏIS serOll1lt Men déçus, Moai.s cene J.'lBSltl',i'CllIÏon n',es't-ieiUe palS eUe-même une ['O'uang·e ? Se l'ense1~I1'Br aJUprès Id 'e M. P. M, nanhellilay, lirrSlihlteU'l' à Mon:they, ou à l'Off,ioo de l'EI1Iseignement.
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Et ceux de Sion ... C{)lmmelllt ne 'p a's .signaler aussi que pail"mi J'e s 19 V,wlaisans ,qui 0111t suÎ'Vi Cett été I,e C{)Iur,s fédé11a'1 'de Berme, ill y 'alVait 15 Sédrul1'o'Îls, dOnlt 11 ins'bÏlbutrioes? C 'e st Jà 'Il!Il'e ,r éelle ,pel'~0111nanoe, ~o'Ut à l"honnB'll'r ,du pffi1s'onIH~lens'eig.nanJt die Sjon, de Jla IDm:e0t,i oll des écoles et de la MuniC'Ïtpall,ité. CeŒle-oi ipaie ILes fr,aÏJs ,d'e déiplla'~emenJt des 'p mibicÎlpal1lts elt Il,eur acco:rde en OfU'bDe un sUlbs,i de d'e 10 fl'anes pail' jour. Et cevte :}targ'e sse ne date ip'a s d.e eJe'lJte année! Que ,d'au'tres c{)Immunes vaJaisuml'e-s en })leJ.ll1Jent de ~'a ~raine !
alaL.IOGRA~HIE
d ebÛ'wt, une pa'r tie de Œ 'a tour, une arcad'e immens'e, !tout oet enseTll'bll e fa,s oine üe garçon. iD"autan.t p~u:s qu'.~l ta 'en:tendu p['US,i'eulliS fois l'acontlier Il'thistojll-e f.albuleus,e d'un voyagetull' qrui bta~t g'r ,Îlm!pé jUls que ilà-ffl'a ut, flilt une rc hute e1: qu,i ISe rua. Saura4Jj'l résister à 'l'appel de ['taVeJ.lltul'e ?
No 66'8 «Trois garçons - trois aventures» pair Jean Feyrin Série: Voya,ges e,t 'a ventull'es Age: depuÎ!s 12 ans Doe m)ns'térieux 1Jl1a.fÎ'quanbs, une .~ro'tJ~e pl1éhisl1oTlÏ'que, un singulier voJ:eul' d'ampoules éleotDiques ..., telliles sonlt Iles Il' enc 0 n1'l"BS OIU [es dtécouveJl~tes que feront Jean-iLoup, Fred et Ohri,g,üan au COIU'l'S de Œeurs 'Vaoances. Tour à Itour Icamp'e urs, e~oUl~s:iol1ni,s t~s, d btecbi·v es imp'r ovi,sbs ou .apP'r,e'l1'l1i,s spéléo[o'gue:s, ils Iconn-aÎ'\1ron't de belles émo:tions ...
No 669 «Bricolage» par Gaston Fakonn'ier
SEMAINE SUISSE La réee.s's ion dans certaines bmnches au com-,g de 1958, plus pat~tioUlHèl'ement dans l'oÏrtd'lliSlR,ie ,hOll·aogèi·'e 'e t ,text:Ï'I'e , a'i'l1ceJl111ÎItud'e 'régnal1lt qual1lt la ux 'c onséquenoes dlU ;malJ.·,ohé commun sur nOlb11e éco'llom'Île invÎltè:rent dIe nouveilles en~:l"'ep'l1Îs'es à ac,cotl"der ~e'Ur appui à la Semaine SlÜSls e dont le nombre des membres s'e's,t accru de cinquante en un an. La propagande en faveur ,d'e s produi'bs du pays en sel1a 'l'enforcée, ~râce auss i à la cOIHahoJ.'artion du commerce dIe d·éJtail. QUIUtl'an~ be miltle 'quatr'e Clerrt cinqllan!l!e~s.ix ,d,éliaiillll'Uonlts OI1it ,pll!l,b~c!ipé à lI a /lIliadoiitionnelle mani,f'estat,iolJl >C1''atl'tomne, à laqueUe la pr'e sse, la radio, ~:a tt>éJlévisio'll, l'e ciném'a, il!es org'a nis'ation s culturelles, économiques ett ,p rof.es's ionnelil es appo'r .tèrent une alide efHcace. Chaque année, la Sem,aine suisse s'ad'l"esse aux jeunes, fUltulJ.iS al1lÎlmarteUliS de no'lire écollonüe, 'prur lS on concours de 'C'O'l1'1pos~Üon. Cons'a'cl'é !l'an Id ern:ier là [' épargne, IiilIe1llreg'ilsibl1a une parüc1pa l1Îon 'l1e'COil',a ,d'e rplulS de 40 000 éco<liers. C"BSIt ,afin Id e 'contrÏ<buler ,à tpo,puJ'al1ÎS'er ndée ' d'e la Se(l11'wine ,S'u~ss'e 'a up'r ès de Il a jeunes's e que le p:rus complelt aJppu.i fwt 'donné à ['neuil··euse i'l1i;tiarti'Ve Ide !l'A1s,soCÏta'bÎon ,sui,s se des maÎltl1es horuJ1anger's .;pâliJ&srLeJ'l'lS d ie ol'léer «le p .eillÏJt pa,i n de }a Sron'aine &u~S'se» à J'flque'llle Ip l,ir.ent pal1t près de 5 000 boultangers~â,bissi'er,s du pays. Oelb~e oa:l11Ipag,n e ,s el"a n~lpl'is'e c.et aUitomne. Soul,ignons lel1'core .I,e succès de ,l a ,d'Ïs,tl',i hlll!Ïon ,d'un ,p anonceau d'e s,tiné plus patl,ticuHèL'emenrt HIUX com~11'elJ.· ça<l1'ts des ISlt,ations tOill'l'ilSlt,j,ques telt Je·s nomlbll'eux aws donnés pat· 'lia Seiluaine suÏJss'e dans Il es <do<l1mines de !1!a p'l'olteCit!ion des 'e mbilème's na1bÎolTwux, d'e s imUCalbions d'ol'rÎg;ine et de pro"ne11'ance, de foir-es e t exposilbÎons. La modifi'oation de Il a Il oi 1P0iUll" (ta prolteCltion des al1lTIo!i'rÎ'elS pu\M i'qu'e s ,e t aut'r'e s 's ignes Ipubilti,os suisses aevile nt 1l1l1gente là ~a ISUÏJte de,s a1b us conSlN~~és dans ale domaine Ides 'alr,tides-lsou'Venk itJ1'lipO<l~tés 'elt mlUIlÙ:s de 'oro-ix &udls's'e,s ou d"eJlnlbllèlJIle's canto'naux. A cet éga'l'd, lI a Semaine suisse salue taViec .jn:~érê.t J'a «pel1Ï1te qll'eSition» dépo's ée le 8 maliS 1959 par M. Rh. Schm~d-R'll'e'ddn, cons'eiŒ~eT nattioual, ~nV'i'l1anlt ilre Cons'e1~1 fédéral à examinel' ~,e Plr oh[ème d'ul11e tl'evtÏlStÎon ,d'e lI a loi ISUil' ~a p l"oltec'!1ion des embIlèmes llIa\)iol1'Utux en liais on avec ce'l'lllÏ des a r't,i'c!les-soUlVeni'l". Création nouvelle, le panonceau traditionnel se présentera cet automne sous un aspect inédit: une pochette imprimée remplacera le motif traditionnel laissant ainsi à chaque
acquéreur un souvenir durable de la manifestation d'automne. SEMAINiE) SUIS 'S ,E 1959 17-31 oatÛ'bre SecrétarÏalt ,die Ja Semaine suisse, Riponne 3, ,Lwusa'llue, T ,éléphone (021) 227241.
OEUVRE SUISSE DES LECTURES POUR LA JEUNESSE Oinq nOIUV'elle's broohures OSL wennent de sortir de presse. III S'tag~t d'ihiSlto,fl"ICS cap:tiVall'tes Cfui tfleJro[lJt cel1taiil1:emel1lt ta j'o,i e d'e tOllS Iles len:f'lIDbs. Les hl'o'Clhul'es OSL 18011t le n :ven're auplJ.·ès des ,d,épôtssoo~rui,res OSL 'e t du secr.é:tariJat id e l'Oeuv'r ,e IsuœsS'e .d'e's ŒeCbures pour lia jeune'S's~ (Seetf'elltdtsbl"ass'e 8, ZU'l'ilch 8), d'a'l1's tles 1,ihr.aJi'l,i~ et d,ans d ie s kiosques.
No 667 « Les ruines de Houdan » pair C.F. Landry Série: Voyages et a'Venlbures Age: depU!Ï,s 12 aIlS Un garçon ·de do<uze alIlJs haMte au fond d ,ets camp'a gnes no:r maud'e s près d'JUille é~li(S'e aJUs's i g'l'all'cle qu'uue 'oattJhédlJ.·all e maÏJs ItO'lllt le n rrumes. Oes IhatWbs Ipans d,e murs enCO\l'e
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Série: Brico'llage e t comiltru:ction Age: depuis 10 ans En p eu de IlleJ.nps, .avec (les l·i'eJ.l's, vous Ifterez vingt ohj'e ts utiles ou amusan!bs : Un gri'l, un cadll'an 's olai'l'e, des Ib oulS's oŒ'e.s, un IM arrvi en ,p~us 'V,rai que ua'ture, un châte,au-fol't, eloes chevaux avec des bouohons, ,des lSapins a,v e'c Id es cotÏIrs d',envelo'p 'pes ... Pour c.eux qui aimeut 'tr<a'v aiIN er Id,e tle.w's dOÎlgtts, 'Vo·itd donc Vling't ,j ours de ,b onheur à trois cenltimes 'l a journée! lil n'y a que les brochures OSL 'p our 'vo<us offrir ça ,
No 670 «Bonjou,r Frédéric» P'OIr Collette A;ma l Série: P ou,r Jles ;p e,tillts « BonJour Flréd&l1i'c» 'VOIUS l'a.conjtt:~ qll eJlqu:e s-u!1lelS des taiVent<ures d'run p etilt g,a rçon ' bien 'l'Ul'hulel1lt 'elt 'pcr;eli'll Id',im'ag,inM~ion. Jtl vous 'e nllimÎ'Il'em 'a vec lui d ,a ns ses eacap'a des et vous amn ere z cŒ·,ltain.e~TI'en.t commÎ',br'e ,tOilllS ,selS ,peliÎ'ts co:nllpagnona : le oha't «NalP oléon », « Ton'toll1» ILe mo.Ulton savant e t Sill'l~tOiUlt lIe mY;Sltél1Î'eux ohasseur de la fo'r êt et le mignon ,p elrirt pho'q ue ,aux glJ.'antels yeux ttl'ÏiSlies.
No 6/'il «Boulou-I<alari» par 6rne'st Pérochon Série: L'iJlltémill'e Age: depuis 9 am'i Les g'l'andts bl6phal11ts !f<ui'elllt ['Ih omme qutÎ pOll·te Je 'l onIILen·,e. iLe jle mle éléphant BoullouK:allwlii délsohé'ilt le t Il,ai1eJll'tÏIt 'lia mm',C/he du ItroiUlpeau. Que :d'a'ventulJ.'es ,el de drames dans cetlbe f'lllhe ! Que ,dlevieIldla ILe j.eUlJ!e 'élléphanlt ?
«L'ELECTRICITE POUR TOUS »,
'l'evue 't rÎmes:lirÎeillle 'é d,Ï!tée Ip ar K< OiF<EL », Lausanne, conao.intement 'U'v:ec «E1eotrod<iftfusion », ZU'l'Îdh, No 3/1959, 37ème ,année, 32 lP'a~es, nombreus'e s lÎIlIlusltrations el dessin s.
Sommaire: «F'açoil1 ,COI'I'eote ,d'ubÎHs:er [le cou~"all1lt»; «P.air Q"écoILe V,eJ'l1S la Il!eohnique », pal' P.arul Oalhenellll; <<:V olbre Il OIro'S'COiPe», p'll!l' ~llheDt ÜOllit; <<lJa pa11!Ile», par N OIllky BabaiUard ; « VactuaJlillié », 'IJa.r Banriell BeJligOZ ; «Le stardd OFEL .au Compltoil' suisS'e» ; «Oonoo.urs OFEL 1959» ; « Coll'seiiLs à ma voils ine », pail' M'all't,i'l1e .
LES FONCTIONS GRAMMATICALES CHEZ L'ENFlANT
pal' }acclill'e s Willlbwer, 294 page,s, 12 lfJ.·., neJlaClhalUx et N~'e&tJ1é, Ne.uc:hâ'liell. Etude ~l'ès f'oUJi.t1lée, ipa'r 'Il!Il IP'DatÜCl~en 'eXipérimenté, 'SUi' J:es 'c ap'aoÏ!liés d'<a.llalltyse d ie !l'enf,a nt. Pour he'a ucoup <I.e j ·eunes é'lèVles prÎlma<Îll',es, ["aIl'a ly,s e 'elSlt une ,pUil'e soi,ence de IIlIO II1S, vilSant à 1"acquiJsi'ti'Ül1 d'automa,bLsm 'e1s, taffa,Îlr'e 'd,e m ,émoh'e en somme. rL "auteur 'S',é'lèv:e contre de IlieU,e s conceplbi'o ns. L"anaJys'e eslt matière !d"obseIJ.'V1a!lJion, relil e exige un effOl":t, non !pour flruire euh',e r un mot ,dans <une dlaS'sif,i,ca'tion 'COnVleJn1t-ionn<e'1.l1e, 'm ais pour f'ah"e compl"end~e ILe il"ôle exact qu'i.t a Id,ans une phr,a se. On !d'evil"ai,t ,éltudi,etl· Il 'e s mollis, par une observation, une œppréhenstion di.rec1te, Icom~11'e on 'O'b ser,v,e J!es plantes, ~Ies tÎn!seictes, les animaux, le n [es reg'a'lidant vivre. lJhnr,e fOIJ."t IIlitill e 'a ux maÎlbres emtb-am'a,s'sés parr Ilia méthodologie Id e l'al1laŒy;se.
LA GENESE DES STRUCTURES LOGIQUES ELEMENTAIRES pa,r }.e'a n P.i-ag'e t et ,B all,beil Inheadell', Dela'c.halUx elt Ni'e'S111é, 295 pages, 1959. Fimd'e des f.onotions Qog,iques hrus,ées srur les nO!t,ioIlis de ,sél'.iaition et de da,ssd.fdowtion (les nO'bÏ<ons «Tou:t », «QueJque's.ml11s» . . . ) Itnltér.essel'a !>UDtout le psyoho[ogue. Pour bibHo'lîhèques d'Ecrues nOl~males.
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L'instituteur, a p rè s le d ur
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labeur de la journée, sera heureux de jouir des plai-
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SOMMAIRE M. Gross Crocus E. Cbret P.aul 0u11dy
Notre Revue choisit une voie nouvelle Pour le 1er novembre et pour tous les jours L'Institut Pédagogique National à Paris Les examens d'aptitudes physiques de fin de scolarité en Valais Contrôles radiologiques et B.C.G. Le second Congrès international pour le Latin Vivant Communications officielles En tête·à·tête Partie corporative Bibliographie
P. C. N. Yel~sin E. Gla'œ t G. Guisena:ia'e
3 4 7 10 11 14 15 17 18
CAISSE D'ÉPARGNE DU VALAIS N,otre étabHss,e ment tra ite tOlu,t e's les opérations de banque. U exerce son activité dans le canton depuis 1876. ' U n'e po'ursuit pas de bu,ts ess'entieHement lucratifs puisqU'e ses bénéfices, après l,e s prélèvements nécessa'ire's à sa consolidation finoncière sont entièrement affectés à des œuvres humanitaires et soda,les.
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