.......... ......... ............. ............... .,. .. _
s o
M
M
A
R
1
E
~
~
~
JACQUES & FILS SA
CE
MOIS-CI
T
Votre spécialiste de la bureautique
L'AVECO, par E. Farquet L'AVEP, par R. Papilloud L'AVPES II, par J.-P. Michellod Métissages, par E3m
EDITORIAL
- 2-
14 19
Korczak all Festival de Cannes, par J.-A, Tschourny Invitation all musée de Ballenberg, par M, Wuthrich
26 27
A vous la parole, par M.-F. Vouilloz
Du nouveau grâce à
brothec L'avance du temps,
WP-5
Fr.
990.-
avec fichier d'adresse
WP-6
Fr. 1290.-
avec fichier d'adresse + dictionnaire français-allemand
Tout pour votre bureau Tél. (027) 22 62 62 Fax: (027) 226682 Dixence 21 - 1950 Sion
- 31 -
- 21 -
- 3LES ASSOCIATIONS D'ENSEIGNANTS DU VALAIS ROMAND La SPVal, par H. Grenon
INFORMATIONS OFFICIELLES
PAGES CUI1lJRELLES
DOSSIER
3
Lectures scolaires, pal' R. Delattre Danses et rythmes d'Afrique Film institut
21 23 24
31 ,.. , par les inspecteurs primaires Directives co ncernant les examens médico-scolaires 33 En famille... Une chance à saisir, pal' B. Doggwiler 38
É
D
1
T
o
R
1
A
PAR MARIE-FRANCE VOUILLOZ BEKHECHI
SPVal
A vous la parole!
L
es enseignants du Valais romand - quel que soit le degré scolaire dans lequel ils enseignent - ont constitué des associations corporatives qui, par définition, ne regroupent que des professionnels ayant la même formation et le même statut.
On dénombre quatre associations principales dans notre canton: a) SPVal: société pédagogique valaisanne; elle regroupe les enseignants qui professent à l'école enfantine et à l' écol e primaire; b) AVECO: association valaisanne des enseignants du cycle d'orientation; c) AVEP: association valaisanne des enseignants ' professionnels ' , . .. d) AVPES I~ : as~ocJatJOn valaIsa~ne des profe~seurs de 1enseIgnement secondaire du 2' degre. Chacune de ces associations cherche une certaine homogénéité « qui ne se traduit pas nécessairement par des options idéologiques convergentes [mais quiJ est cependant capitale si l'on songe au consensus qu'il est nécessaire de réaliser parmi les membres d'un groupe chargé de la défense de son statut professionnel et du choix d'une politique de légitimation ou de développement de ses activités dans le champ socio-culturel où elles s'exercent».*!
Mentionnons cependant que cette cohérence interne n'est pas totalement réalisée; en effet, au moment de son adhésion, l'impétrant ne distingue nullement une quelconque séparation des sexes or, dès qu'il lève le regard vers les niveaux hiérarchiques plus élevés, il discerne les traits de l'homogénéité masculine recréée aux différents postes de décision ... un véritable paradoxe! Peut-on admettre que la discrimination sexuelle, largement décriée aujourd'hui, ne le soit qu'au niveau des bonnes intentions et rarement dans les situations concrètes? Soulignons, toutefois que <des acteurs (hommes et / ou femmes) agissent souvent dans leur pratique quotidienne selon des habitudes qui reproduisent précisément les modèles de relations et de conduites reposant sur une discrimination sexuelle ».*2 C'est pourquoi ce sont les présidents des associations d'enseignants du Valais romand qui ont pris la plume pour présenter les 4 associations. Ce numéro de Résonances entièrement consacré aux enseignants donnera-t-il l'élan nécessaire aux membres des associations pour qu'ils puissent enfin s'exprimer dans le mensuel de l'école valaisanne? C'est mon souhait le plus vif. * 1 et
2
in: Michel Vuille, - Les maîtres d'école. Vevey, Delta, 1978. (Coll. Sociologie en Suisse)
Société Pédagogique Valaisanne ment ou de l'instruction. Ses buts couvrent également le domaine corporatif et syndical par le perfectionnement, la culture, la défense des intérêts sociaux, professionnels, matériels de ses membres.
1. UN BRIN D'HISTOIRE
Conception et naissance Née de la fusion de la SIVR (Société des institutrices du Valais romand) et de la SYE (Société valaisanne d'éducation) , la SPVal a vu le jour en 1968. Les comités respectifs des deux associations présidés par W' Yvonne Gross (SIVR) et M. Louis Heumann (SVE) s'étaient employés de longs mois à la conclusion de ce mariage de raison. Convention, statuts, dissolution: tout avait été minutieusement préparé. La première assemblée des délégués se déroula le dimanche 9 juin 1968 dans la sa\le du Grand Conseil, à Sion. E\le élit Louis Heumann à la tête de la SPVal.
Présidentes et présidents successifs de la SPVal 1968-1970 Louis Heumann, Sion 1970-1974 Joséphine Briguet, Sierre 1975-1978 Pierre·André Carron, Versegères 1979-1986 Marie-Josèphe Solioz, Riddes 1987-1990 Hubert Grenon, Champéry
2. SES MEMBRES ET SES BUTS Forte actuellement de près de 1200 membres, la Société Pédagogi-
3. ORGANISATION Les cellules de base de la SPVal sont les associations de districts. Dirigées par un comité de district, elles regrou'pent tous les enseignants SPVal domiciliés dans le district.
H. Grenon, président de la SPVal
que Valaisanne regroupe les ensei· gnants(es) des classes primaires et enfantines ainsi que les maîtres(esse) d'activités créatrices manue\les (ACM) et de l'enseignement spécialisé (AMES) exerçant leur activité au niveau primaire. Les enseignants dont le taux d'emploi est supérieur ou égal au mi-temps sont automatiquement membres de la SPVal ; ils peuvent toutefois signaler leur démission en tout temps. Les remplaçants ou les enseignants dont le taux d'emploi est plus restreint que le mi-temps doivent demander leur adhésion à l'association. Le qualificatif «pédagogique» que lui ont donné ses fondateurs(trices) ne limite pas les activités de la SPVal aux secteurs de l'éducation, de l'enseigne-
L'assemblée de district, réunion plénière, nomme son comité, élabore ses propres statuts, désigne les représentants du district aux divers organes de la SPVal. L'assemblée des délégués, organe du législatif de la SPVal, est constitué par les délégués des sections de district (1 pour 10 membres). Elle est dirigée par un comité ad hoc et se tient chaque année dans un district différent, selon un tournus bien établi. Elle nomme la présidente ou le président de la SPVal. Le comité cantonal représente l'organe exécutif de la SPVal. Il se compose de neuf membres : untel délégué(e) de chaque district et la présidente ou le président de la société. Le CC se réunit en comité élargi au début de chaque année scolaire et lorsque certains sujets l'exigent. Partici· pent alors aux débats, les membres du CC et les présidents des districts et des sous-associations.
Le (la) secrétaire de la SPVal, désigné(e) par le (la) président(e), rédige les procès-verbaux, organise les assemblées et liquide certaines affaires courantes. Permanentes ou temporaires, internes ou bipartites, les commissions SPVal sont légion_ Mfublées parfois de leur sigle, c'est une excellente gymnastique de l'esprit que d'en distinguer quelques-unes, de la CP à la ClM, en passant par l'EP, la CDM, la commission de presse, la commission culturelle ... Elles sont constituées, habituellement d'un représentant par district. Les membres SPVal peuvent se regrouper en sous-association pour traiter des problèmes spécifiques à leur ordre d'enseignement. A l'heure actuelle, la sous-association ACM/SPVal regroupe des enseignants en activités créatrices manuelles et la sous-association AMES regroupe des enseignants spécialisés. Toutes deux sont dirigées par un comité respectif.
4. RELATIONS ... avec le Département de l'instruction publique Pour qu'une directive, un moyen d'enseignement, une décision quelconque soit bien agréé par le personnel enseignant, nul chemin n'est plus sûr que
celui de la SPVaL doit-on se dire dans les bureaux du DIP. Aussi, basée sur la participation et le dialogue mais empreinte de fermeté et de respect mutuel, la collaboration avec le Service de l'enseignement primaire permet une progression .satisfaisante des dossiers. Certes, tout ne va pas précisément où le voudrait la SPVaL mais la direction est, le plus souvent, la bonne.
... avec la SPR La SPVal est une des sept associations membres de la Société Pédagogique Romande, la troisième quant au nombre de ses adhérents. La SPR édite la revue pédagogique et le journal corporatif "Educateuf», organe de presse des enseignants de toute la Suisse romande.
... avec les autres associations cantonales Dans le cadre de la FVAP (Fédération valaisanne des associations pédagogiques), la SPVAL participe à l'harmonisation ou l'unification de certains principes pédagogiques_ Accorder les violons valaisans de tous les niveaux scolaires - entreprise parfois difficile - garantit une meilleure écoute de nos partenaires. Les contacts cordiaux entretenus avec nos collègues haut-valaisans de même
niveau se limitent principalement au domaine de l'action corporative et syndicale: statut, horaires scolaires, salaires ...
... avec la FMEF Membre de poids de la FMEF (Fédération des magistrats, enseignants et fonctionnaires), la SPVal soutient avec ferveur le nouveau dynamisme de la grande fédération des employés de la fonction publique. Quelque chose a changé ces dernières années; ça bouge, nous en sommes actuellement satisfaits.
5. ACTIVITÉS La SPVal fait paraître, chaque année, un rapport d'activités joint au numéro de septembre de Résonances. Nous vous y renvoyons donc si vous souhaitez presque tout savoir de nos activités passées. Pour vous parler de celles qui nous attendent, nous vous laissons le soin d'imaginer ce que pourrait représenter la résolution de tous les problèmes liés aux constats ci-dessous en précisant bien que la liste n'est pas exhaustive. -
« L'horaire de l'écolier valaisan quotidien, hebdomadaire, annuel est trop lourd et mal équilibré». «La formation des enseignants doit être destinée à des adultes et dispensée après une formation générale de base solide et permettant une mobilité future». «Le système d'évaluation - du primaire au secondaire supérieur n'a (presque) pas évolué, dans la pratique, depuis un nombre considérable d'années; il est poussiéreux». «.•. )),
L'année 1990 marque une fin de période administrative._. mais les volontaires qui conduiront la SPVal ces prochaines années ne manqueront pas de travaiL! RÉSONANCES· SEPlEMBRE 1990
COMITÉ CANTONAL Président: Hubert Grenon, Champéry Monthey: Marie-José Fusay, Monthey St-Maurice: Fabienne Jordan Tavernier, Dorénaz Entremont: Patrick Dumoulin, Le Châble Martigny : Louis Carron, Branson/ Fully Conthey: Gérard Genolet, BasseNendaz Hérens: Narcisse Beney, Ayent Sion: Jean-Paul Mabillard, Sion Sierre: Marie-Claire Tabin, vice-présidente de la SPVal, Sierre Secrétaire: Myriam Albasini, Riddes.
PRÉSIDENTS DE DISTRICTS Monthey: Vincent Dubosson, Troistorrents St-Maurice: Fabienne Jordan Tavernier, Dorénaz Martigny: Marie-Madeleine Luy, Saxon Conthey: Michel Fournier, Coor/BasseNendaz Sion: Jean-Paul Mabillard, Sion Hérens: Caroline Aymon, Sion Entremont: Nicolas Métroz, Sembrancher Sierre: Sébastien Rudaz, Sierre Présidente de l'AMES: Cécile Jaquérioz, Martigny Présidente des ACM: Dorothée Constantin, Sierre Président de la Commission pédagogique (CP): Grégoire Irillo, Vétroz Président de commission des intérêts matériels (ClM): Antoine Mudry, Sion.
,
DES ILLUSTRATEURS EUROPEENS DE LIVRES DE JEUNESSE Exposition réalisée par la Bibliothèque Centrale de Prêt - Département des Yvelines et le Lycée Maximilien Vox du Livre et des Arts Graphiques - Paris A voir du 24 septembre au 21 octobre 1990 à la BIBLIOTHÈQUE DES JEUNES DE SION - Rue Chanoine-Berchtold 21 Ouvertures au public: lundi et mercredi 10 h - 12 h et 14 h - 18 h vendredi 16 h - 18 h Visites commentées pour les classes, sur rendez-vous, en dehors des heures de prêt RÉSONANCES SEPl'EMBRE 1990
ques) et de la remplacer par un conseil des présidents d'association d'enseignants; la révision des statuts est en cours
AVECO Association valaisanne des enseignants du cycle d'orientation - elle participe activement aux travaux de la FMEF; d'entente avec les autres associations d'enseignants, elle a notamment soutenu le programme P1'oposé par la FMEF concernant l'introduction du 13' salaire de la fonction publique. 2) d'étudier les questions pédagogiques ayant trait à l'activité de ses membres ainsi qu'à la formation et à leur perfectionnement
l'AVECa a mis sur pied des commissions de branches chargées d'étudier les problèmes liés à l'enseignement d'une matière et de faire des propositions de cours de perfectionnement des maîtres. E. FarQuet, président AVECO dnns sa classe
L'AVECO est la plus jeune des associations d'enseignants du Valais puisqu'elle est née le 11 mai 1988 de la fusion de l'AECOB (association des enseignants du cycle d'orientation, division B) et de l'AVPES 1 (association valaisanne des professeurs de l'enseignement secondaire du premier degré), Les enseignants du CO ont estimé que la loi scolaire de 1986 était un moment propice pour réaliser une association unique des maîtres du secondaire du premier degré. C'est en présence du chef du Département de l'instruction publique, M. Bernard COMBY, que tous les enseignants du cycle d'orientation du Valais ont accepté à l'unanimité les statuts qui fixent les buts et l'organigramme de l'association.
3) d'entretenir les contacts nécessaires avec l'autorité
notre association suscite et organise des rencontres fréquentes avec le chef du Département de l'instruction publique, le chef de service de l'enseignement secondaire, les inspecteurs, afin de débattre des problèmes inhérents à l'enseignement au cycle d'orientation. 4) de travailler avec d'autres associations pédagogiques
l'AVECa a proposé d'alléger les structures de la FVAP (Fédération valaisanne des associations pédagogi-
consciente de l'importance des relations avec les associations des autres cantons romands, l'AVECa participe activement aux travaux du CARESP (Cartel romand des associations du corps enseignant secondaire et professionnel).- commissions et colloques de branches - formation continue - relations avec la CDIP - contacts avec la SPR - libre circulation des enseignants - programmes et méthodes romands - coordination verticale - évaluation
L'organigramme
Les assemblées de section et l'assemblée cantonale des délégués sont convoquées une fois par année. En 1990, les assemblées de section auront lieu le 6 octobre et l'assemblée cantonale des délégués le 23 novembre à Loèche.
ASSOCIATION VALAISANNE DES ENSEIGNANTS DU CYCLE D'ORIENTATION ASSEMBLÉE CANTONALE DES DÉLÉGUÉS Chaque cycle a droit à un délégué plus un supplémentaire par tranche de cent élèves L'association comprend actuellement 114 délégués
PROCHAIN NUMÉRO
L'AVECO a pour but: ses membres
ÉCOLE/ÉCONOMIE
notre association a un représentant au comité directeur et 2 membres au comité fédératif,'
Enduits autoadhérents
RÉSONANCES · SErrEMBRE 1990
Le président est choisi parmi les présidents des comités de section
La composition du comité cantonal est la suivante: Président: Vice-président: Secrétaire: Caissier: Membres:
Edmond FARQUET Hans-Peter ANTHAMA'ITEN Chantal CHABBEY André PI'ITET Umberto CLEMENZ Armin PERREN Patrick RUDAZ
page 1: Association valaisanne des enseignants du cycle d'orientation page 2: Association valaisanne des enseignants du cycle d'orientation section du Valais romand
LES BUTS 1) de défendre les intérêts matériels et professionnels de
COMITÉ CANTONAL composé de 7 membres choisis dans les comités de section
RÉSONANCES SErrEMBRE 1990
Mezenerweg 9 Tél. 031 420443
-
- .,.,.
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES SECTIONS du Valais romand et du Haut-Valais La section du Valais romand comprend 601 membres La section du Haut· Valais comprend 220 membres
COMMISSIONS DE BRANCHES Economie familiale Travaux manuels Enseignement spécialisé Informatique
AVEP
Français Allemand Mathématique Le comité
COMITÉS DE SECTIONS composés de 5 à 9 membres choisis parmi les membres des sections
Association Valaisanne de l'Enseignement Professionnel 1. But généraux L'Association valaisanne de l'enseignement professionnel a pour buts: a) de favoriser le développement professionnel et les inté· rêts de ses membres; b) d'organiser des cours et des visites, des séances d'infor· mations et d'études, d'entente avec les autorités compé· tentes; c) de favoriser la publication d'ouvrages d'enseignement; d) de collaborer à l'établissement des programmes d'ensei· gnement et règlements; e) d'entretenir des rapports entre l'école et ses maîtres R. Papilloud. président de l'AVHY avec les autorités et les associations professionnelles; tions pédagogiques (FVAP) et de la Fédération des magis· f) de favoriser les relations amicales entre ses membres. trats, des enseignants et des fonctionnaires de l'Etat du Elle cherche à accomplir ces tâches par des efforts corn· Valais (FMEF). Elle collabore avec ces diverses institutions, muns de l'école, des maîtres, amis et intéressés de l'ensei· le Département de l'instruction publique et l'école en géné· gnement professionnel, en collaboration avec les autorités raI. et leurs représentants.
ASSOCIATION VALAISANNE DES ENSEIGNANTS DU CYCLE D'ORIENTATION Section du Valais romand
COMITÉ DE SECTIONS composé des 9 membres suivants:
Président: Vice-président: Secrétaire: Membres:
Edmond FARQUET Patrick RUDAZ Chantal CHABBEY Anita BURRIN Catherine VUISSOZ Jacques BESSE Philippe NENDAZ Yves RABOUD Hervé SCHILD
Elle fait partie de l'Union suisse pour l'enseignement pro· fessionnel (USEP) , de la Fédération valaisanne des associa·
2. Objectifs particuliers
De ces buts généraux découlent des objectifs plus spécifi· ques en fonction de la situation de l'école. Ces dernières années ont été axées sur l'amélioration des conditions salariales. L'obtention du 13' salaire et la nouvel· le conception salariale constituent une étape importante. Il s'agira maintenant de suivre leur mise en application. Aujourd'hui nos soucis portent principalement sur: la coordination verticale des programmes, suivant l'adaptation faite dans diverses branches au niveau infé· rieur; l'analyse de la formation du maître professionnel, les possibilités de perfectionnement, la formation continue. Sujet d'actualité puisque ce sera le thème abordé lors du congrès annuel de l'USEP, les 21 et 22 septembre 1990 à Lucerne;
RWNANCF.S SEPl'EMBRE 1990
RWNANCF.S SEPl'EMBRE 1990
profession, celle qu'ils enseignent, pour assumer pleinement leur devoir que la situation actuelle doit changer. Une commission des intérêts matériels, mise sur pied en 1987, a rendu son rapport qui guide nos revendications. Ces préoccupations nécessitent une action à long terme ca· pable de corriger une situation par trop déficitaire et d'avoir des maîtres compétents, partant une école encore plus pero formante et des apprentis au bénéfice d'une formation soli· de.
- l'introduction de la semaine de 4 jours et demi et son incidence sur l'horaire du maître professionnel; - le projet de révision des statuts de l'AVEP. Une commis· sion a été constituée à cet effet et présentera un avant· projet lors de l'assemblée générale de l'association; - l'intensification des contacts avec le chef du Service cantonal de la formation professionnelle, les directeurs d'écoles, les chefs de sections, l'inspecteur afin de pren· dre des mesures concrètes susceptibles d'améliorer la situation du maître professionnel et de rendre l'école plus performante; - la mise en place de la révision du statut de l'enseignant professionnel et du règlement des écoles professionnel· les.
3. Préoccupations L'augmentation des exigences relatives à un changement technologique rapide et important a eu pour conséquence que l'école a dû assumer de nouvelles tâches et les assimiler dans de très brefs délais. Aussi celles des maîtres sont devenues tellement importantes pour pouvoir maîtriser leur
Diverses mesures sont envisagées: faciliter l'adaptation aux changements technologiques afin d'augmenter les compétences professionnelles; favoriser le perfectionnement professionnel, la formation continue; appliquer une politique cohérente lors de l'engagement du personnel de l'enseignement professionnel, notam· ment concernant l'exigence des titres adaptés à la fonction; établir un équilibre entre maîtres permanents et auxiliaires 1986: 97 maîtres permanents pour 227 maîtres auxiliaires, 1973: 81 maîtres permanents pour 73 maîtres auxiliaires ' pré~oir la formation des nouveaux maîtres professionnels ; créer un système qui accorde la priorité au statut permanent à défaut d'écarter de l'enseignement les meilleurs éléments; redéfinir le mode d'organisation de l'année scolaire; accorder des décharges aux maîtres à qui l'on confie des tâches novatrices; répartir différemment les tâches techniques, administra· tives et pédagogiques des chefs de section et des maîtres afin de les rendre plus efficaces; revoir les effectifs des classes dans certaines professions; abaisser l'horaire des maîtres professionnels; aménager des décharges horaires en fonction de l'âge; établir un classement cohérent des diverses catégories de maîtres; rétribuer équitablement le maître professionnel qui dispense des cours de perfectionnement. Cette action menée à long terme exige un effort de tous, des maîtres dans leurs obligations de : se tenir au courant de l'évolution technologique et pratique de la profession qu'ils enseignent; adapter leurs cours à cette évolution; produire de nouveaux supports d'enseignement; gérer et utiliser un matériel important et sophistiqué; RFsoNANCES - SEPrEMBRE 199Q
rechercher une pédagogie propre à descendre aux ni· veaux de connaissances des apprentis; et autorités de créer les conditions matérielles nécessaires à réaliser les conditions précitées. Elle est susceptible de modifications et nécessite un réajustement périodique en tenant compte de l'évolution de la situation, des objectifs choisis et réalisés.
4. Organisation, structures Peuvent faire partie de l'Association: a) les maîtres enseignant aux écoles professionnelles; b) les maîtres enseignant aux écoles professionnelles com· merciales; c) les conseillers en orientation scolaire et professionnelle; d) les amis et promoteurs de l'enseignement professionnel et commercial. Le comité se compose de sept membres. Il comprend au moins trois maîtres permanents. RFsoNANCES - SEI'ŒMBRE 199Q
Composition actuelle du comité: Président: Raphaël Papilloud Secrétaire: Jean-Louis Maillard Caissier: Arnold Berchtold Membres: Joseph Branca, Gustave Clivaz, Jean-Emmanuel Crettaz, Aloys Murmann. Cette composition tient compte des deux régions linguistiques - Haut et Bas-Valais - des différentes écoles Brigue, Viège, Sion, Martigny - des catégories de maîtres - permanents et auxiliaires - des types d'enseignement écoles professionnelles commerciales, écoles professionnelles artisanales, ateliers - écoles. Les conseillers en orientation scolaire et professionnelle sont représentés au sein du comité. Une convention régit les rapports entre l'association des conseillers en orientation et l'AVEP. Des rencontres entre conseillers en orientation et maîtres professionnels ont été mises sur pied et ont permis de nouer d'excellentes relations. Mais les structures de l'association ne répondent plus aux exigences actuelles. Aussi une refonte des statuts a été décidée, un groupe de travail mis sur pied. Des contacts
seront pris avec les écoles professionnelles supérieures école d'ingénieurs, d'informatique, de cadres pour l'économie et l'administration - pour voir dans quelle mesure les enseignants de ces écoles désireraient faire partie de l'AVEP et former une forte association de l'enseignement professionnel. Une première réponse lors de notre assemblée générale?
5. Réunions Un des buts de l'AVEP est de favoriser les relations amicales entre ses membres. Pour ce faire, une sortie de famille est mise sur pied annuellement. Elle est organisée pour 1990 par l'école de Martigny, le dimanche 30 septembre. Notre assemblée générale aura lieu le vendredi 26 octobre 1990.
6. Relations avec l'USEP, position par rapport à l'USEP L'Union suisse de l'enseignement professionnel (USEP) est l'organisation faîtière. Son rôle se situe plus particulièrement au niveau fédéral.
EXPOSITION DE LIVRES SCOLAIRES Les Editions LEP (loisirs et pédagogie), Bordas, Retz Groupe de la Cité et Le Robert tiendront une exposition de livres scolaires
le mercredi 26 septembre à l'ORDP Les éditeurs précités présenteront des ouvrages de type scolaire tels que mathématiques, informatique, éducation civique, sciences, géographie, histoire, français, français langue étrangère, coin bibliothèque et appui pédagogique. De 10 h 00 à 12 h 00: présentation aux directeurs ou délégués d'établissements scolaires et membres des commissions des moyens d'enseignement. De 14 h 00 à 17 h 00: exposition ouverte au public.
L'autorité fédérale, par le biais de l'OFlAMT, la consulte régulièrement sur tous les sujets en rapport avec la formation professionnelle: règlements d'apprentissage et d'examen, programmes de formation, modification de la loi ou de l'ordonnance fédérale sur la formation professionnelle, de la loi fédérale sur le travail, etc.
L'autonomie des sections cantonales est très respectée et la défense des intérêts de type matériel sont exclusivement du ressort des sections cantonales. Elle peut à l'occasion prêter main-forte à l'association pour l'établissement de statistiques ou l'obtention de renseignements SUI' la situation dans d'autres cantons.
La participation à la Revue, journal officiel de l'USEP, qui se veut être le trait d'union entre les sections cantonales, les régions linguistiques et les membres, est faible. Cette modeste collaboration de la part des Romands en général engendre un certain désintérêt par rapport au contenu de ce journal.
La participation de l'AVEP à l'USEP n'est pas des plus actives. Les préoccupations cantonales ont largement priorité pour l'AVEP et ses structures actuelles devront être renforcées dans une nouvelle organisation afin d'établir un contact plus soutenu.
Reste à trouver le ou les correspondants qui se mettront volontiers devant une feuille afin de rédiger quelques articles pour cette Revue afin de la rendre plus attractive et d'intensifier ces liens qui font défaut. L'AVEP apportera sa contribution aux mesures prévues pal' la rédaction.
Une constatation du comité de l'USEP va dans le même sens. L'USEP semble quelque peu éloignée de la sensibilité latine. A cet effet, il serait bon qu'elle s'emploie à modifier son organisation.
Si l'USEP est l'organisation faîtière de l'AVEP, il est à relever que les différents membres de notre association nouent des contacts très étroits avec les associations professionnelles dans les diverses branches enseignées et collaborent aux diverses tâches qui concernent la formation profes· sionnelle et le perfectionnement qu'il serait impossible d'évoquer ici.
Afin de renforcer ses liens avec les différentes sections, un contact étroit avec les sections cantonales dont les présidents sont conviés à tour de rôle aux réunions de l'exécutif de l'USEP a été établi. Celui-ci permettra un échange de 1\ est toutefois certain que l'association reste ce que ses vues SUI' les activités et les projets de chacun. Il permettra membres en font et seuls une participation active et un également de revoir la conception des structures de l'USEP, intérêt soutenu contribueront à son succès et sa pérennité. et l'AVEP s'y emploiera et pourra également se tenir au R. Papilloud courant des diverses actions entreprises.
(JL..I...Jcnw :
C,..,)
0::::>'-'.J'"
-'~
::;;:;::
:::I:'"
::;;:'"
U
0"
U'J",
u
Elle représente également les enseignants professionnels au niveau de l'Institut suisse de pédagogie pour la formation professionnelle, de la Commission fédérale de formation professionnelle, de la Société suisse de recherche appliquée en matière de formation professionnelle et auprès de nombreuses autres instances faîtières.
'-'.J '"
:=l>-
u..J
0:;;
MARTIGNY
Z
,"
-' u..Jo
f-Z 0::::", f - "
Type de formation: diplôme de commerce reconnu par l'OFIAMT.
u..J
:=l ...
'-'.J
-
::;;:~
L'USEP est à l'origine du Groupe parlementaire de formation professionnelle des Chambres fédérales et deux de ses membres en font partie. De plus, elle est le partenaire de toutes les associations qui œuvrent dans le même domaine telles que la Conférence des chefs d'offices de formation professionnelle, la Conférence suisse des directeurs d'écoles professionnelles et entretient avec ces écoles un contact permanent et fructueux.
Durée de formation: 4 ans.
Inscriptions: jusqu'au 30 juin 1991.
Renseignements, prospectus et inscriptions: Ecole supérieure de commerce de Martigny Rue des Bonnes-Luites 8 1920 MARTIGNY
Outre ce rôle important à jouer au niveau fédéral, sa tâche principale consiste à coordonner les actions les plus diverses entreprises par les sections cantonales c()mme celles des associations spécialisées.
Téléphone (026) 22 59 92.
RÉSONANCES SEPI'EMBRE 1990
RFBONANCES - SEPI'EMBRE 1990
AVPES II Association valaisanne des professeurs de l'enseignement secondaire du deuxième degré 1. BUT GÉNÉRAL Fondée en 1964, l'association valaisanne des professeurs de l'enseignement secondaire du deuxième degré a pour but, selon l'article 2 de ses statuts, de: «défendre les intérêts professionnels et matériels de ses membres». Ce but généraI est à comprendre dans son sens le plus large. C'est pourquoi l'article 3 des mêmes statuts précise que, au-delà de sa neutralité politique et de son indépendance, l'association «offre à ses membres les structures leur permettant la réflexion et l'action dans les domaines pédagogique, didactique et corporatif».
2. OBJECTIFS POUR L'ANNÉE EN COURS Ces buts généraux se sont traduits durant la dernière année scolaire et se traduiront encore dans les prochains mois par:
3. ORGANISATION
Français
MEMBRES: environ 400 professeurs des différents établissements de l'ense ignement secondaire du deuxième degré en Valais. (Lycées·collèges, écoles de commerce, éco les nor· males, écoles de culture générale).
Jean·Marie CLEUSIX Léo KRONIG Nicolas FOURNIER Hedwige AYMON Ghislaine BÉTRISEY Gérald DARBELLAY Stéphane ROUVINEZ
4. PRÉOCCUPATIONS ACTUELLES
l'organisation de cours destinés à assurer l'information des professeurs sur la nature et les incidences de l'enseignement renouvelé du français dans les degrés inférieurs; l'organisation de cours pour préparer les professeurs d'allemand à l'enseignement de type communicatif; des consultations propres à permettre la réalisation des nouvelles grilles horaires découlant de la prochaine introduction de la semaine de 4 jours et demi ; des rencontres des groupes de branches destinées à mettre sur pied les nouveaux concepts de programmes découlant des exigences de l'ORM.
Durant ces quelques dernières années, les objectifs de l'as· sociation ont été définis par, d'une part les nécessités inter· nes et, d'autre part, par les obligatoires adaptations de l'enseignement secondaire du deuxième degré à l'évolution des structures scolaires dans les différents domaines de l'enseignement. Reprenons:
la participation déterminée à l'action de la FMEF en vue de l'amélioration salariale; la revendication de réduction de l'horaire de travail; la mise au point de tout un catalogue de points qui doivent trouver une solution dans les prochaines années.
Anglel.,
Itellen
FVAP
Grec Philo so phIe
Comité en fonction Président: Vice-président: Secrétaire: Caissière: Membres:
4.1 Préoccupations relatives au domaine pédagogique 4.1.1 Coordination verticale Les premiers élèves issus du cycle d'orientation réformé vont arriver au secondaire deuxième degré avec une inciden· ce certaine sur l'enseignement de branches essentielles. C'est pourquoi, l'AVPES, en collaboration avec le Départe· ment de l'instruction publique, a organisé et organisera encore des cours de français et d'allemand à l'intention de ses membres. RÉSONANCES · SErfEMBRE 1990
Dép. Instr. publique
Con'. recteur/ dlré e.
Sclenc8a
2.1 au niveau pédagogique
2.2 au niveau corporatif
Allemand
Call11l8 de retraite
économlquell
SSPES
Technique s
CAReSp
de bureau
Aaa. val. en seignants
Sciences natu r e lle s
Educetlon
de parents
phySique
Ces cours ont permis une approche de la matière vue au cycle d'orientation par les élèves. Ils ont permis également une prise de contact avec de nouveaux outils didactiques et se sont révélés extrêmement utiles pour favoriser la résolu· tion des problèmes de coordination verticale.
4.1.2 Introduction de la semaine de 4 jours et demi Cette introduction a provoqué une activité intense au niveau associatif pour résoudre les problèmes posés par la réduc· tion de la grille·horaire des élèves. Ecoles de culture générale, Ecoles de commerce, Lycées· collèges, ont dû ramener la grille· horaire de 34 à 32 pério· des d'enseignement par semaine. Dans chacun de ces types d'établissements, cette réduction s'est doublée d'une réflexion approfondie sur la structure même de la grille et a abouti à des propositions qui relèvent de la volonté de repenser l'ensemble du problème. Les solutions imaginées représentent beaucoup plus qu'une ba· nale réduction d'heures de l'horaire. Cette réforme va maintenant se poursuivre par une réflexion tout aussi intense sur les programmes. Au niveau pédagogique, le souci majeur de l'AVPES a été
de donner aux élèves qui quittent les établissements du RÎ!lONANCIS . SEl'fEMBRE 1990
secondaire deuxième degré une formation qui peut permet· tre de réussir dans l'économie ou à l'université. Un certificat de maturité trop peu exigeant serait un passe· port direct pour l'échec à l'Université, laquelle, plus que jamais, demande des savoirs précis, des savoir·faire vérifiés. Un diplôme de commerce trop laxiste ne rendrait service ni aux porteurs, futurs chômeurs, ni à l'économie en mal de personnel qualifié. Par ailleurs, tout le monde connaît les exigences des écoles de type social ou paramédical qui viennent après une école de culture générale. Le maintien du niveau de formation en phase finale d'études paraît, pour l'AVPES, une condition capitale de crédibilité de l'ensemble du système scolaire.
4.2 Préoccupations relatives au domaine corporatif 4.2.1 Augmentation salariale Inutile de revenir sur ce point, il est en conformité avec tout le travail de la FMEF et des autres associations d'ensei· gnants.
4.2.2 Réduction de l'horaire du professeur Durant la dernière décennie, le paysage économique a été imprégné par un progrès technique fulgurant. Les entrepri·
La durée normale de formation d'un professeur de l'enseignement secondaire du deuxième degré serait ainsi portée à 6 ou 7 ans. Lorsque l'on se réfère au libellé des dernières mises au concours de ce printemps, on constate que ce qui est offert - poste à temps palt iel et pour une année paraît bien peu propice à susciter des nouvelles vocations d'enseignants. Le risque est donc grand de voir se dessiner, dans les branches scientifiques surtout, une pénurie d'enseignants bien peu souhaitable.
c) Dossier caisse de retraite Contrairement aux autres ordres de l'enseignement, les professeurs de l'enseignement secondaire deuxième degré affiliés, en principe, à la caisse de prévoyance de l'Etat, ont une durée de cotisation de 40 ans. Cette situation paradoxale eu égard à la durée de formation exige de la part de ceux qui ont sacrifié 6 à 7 ans pour leur formation après la maturité, un rachat des premières années de caisse de retraite pour pouvoir bénéficier de la rente maximum au moment de la retraite. Inadmissible aujourd'hui ... ! On pourrait encore allonger la liste... mais...
ses obligées de s'adapter aux modifications structurelles ont dû prendre des risques et les entrepreneurs ont été contraints de trouver de nouveaux créneaux pour utiliser toujours mieux le capital humain de l'entreprise. Quant aux exigences professionnelles imposées aux travailleurs elles ont augmenté et se sont diversifiées. Dans ce contexte, la formation et le perfectionnement professionnels ont pris plus d'importance. Cette évolution a un certain nombre de conséquences sur l'école.
Ces quelques réflexions montrent pourquoi l'AVPES exige une réduction effective de l'horaire de travail. Cela a été et reste une exigence fondamentale. D'ailleurs, Monsieur Bernard Comby, chef du DIP, ne s'y est pas trompé, lui qui s'est engagé à résoudre ce problème dans le cadre de l'introduction de la semaine de 4 jours et demi.
5. INDICATIONS GÉNÉRALES 5.1 Assemblée générale Se tient en général vers la fin du premier trimestre pour permettre de régler les problèmes administratifs liés à la décharge accordée au présid ent (6 heures pal' semaine).
5.2 Assemblée des délégués
4.2.3 Autres domaines
Se tient en général deux fois par année.
Différents autres points retiennent encore l'attention des responsables.
5.3 Relations faîtières
Les mutations technologiques lui imposent de nouvelles tâches qui exigent de l'enseignant plus de temps et une adaptation continuelle. Beaucoup plus qu'autrefois, le professeur doit: s'informer, se tenir au courant dans sa branche et ses annexes, se perfectionner; se situer face aux nouveautés dans sa branche et dans le domaine pédagogique; rencontrer individuellement les élèves; préparer des cours qui prennent en compte la plus grande disparité des élèves; être partie prenante dans l'évolution de l'école, de ses structures, de sa spécialité et des problèmes pédagogiques.
Aujourd'hui et sous réserve de quelques l'ares exceptions, la durée normale de formation nécessaire à l'obtention d'une licence est de 9 à 10 semestres.
Par manque de temps, le professeur valaisan dont on ne rappellera jamais assez qu'il est en valeur absolue le plus chargé de Suisse ne peut que très imparfaitement répondre à ces nouveaux défi s.
Or, à cette durée, il faut ajouter au moins deux semestres de formation pédagogique. Par ailleurs, le projet de deuxième révision sectorielle de la loi sur l'Instruction publique prévoit encore des stages obligatoires.
a) Le problème des nominations Les établissements de l'enseignement secondaire du deuxième degré valaisan ne jouissent pas du même statut juridique. Cette situation a une incidence directe sur la situation de nomination des professeurs. Dossier à suivre.
b) Allongement excessif de la durée de formation
RÉSONANCES - SEPlEMBRE 1990
20' ANNIVERSAIRE DU SERVICE ÉDUCATIF ITINÉRANT LE DÉPARTEMENT DE L' INSTRUCTION PUBLIQUE vous invite le 20 septembre 1990, dès 17 h 30, au Collège des Creusets. rue St-Guérin 34. à Sion.
PROGRAMME 17.30 Visite de l'exposition sur le Service éducatif itinérant Apéritif Accueil par M. J.-P. Rausis, chef du Service administratif. 18.30 Film sur le Service éducatif itinérant (première projection) - Echange avec des enseignantes spécialisées: animation par M"" Marion Salamin. 19.30 Partie officielle: Allocution de M. le conseiller d'Etat Bernard Comby Historique du Service éducatif itinérant pal' M"" Simone Reichenbach Situation actuelle du S.E.!. pal' M. Philippe Theytaz de l'Office de l'enseignement spécialisé. 20.30 Film sur le Service éducatif itinérant (deuxième projection) - Echange avec des enseignantes spécialisées: an imation pal' M ~ Marion Salamin. 21.30 Visite de l'exposition Verre de l'amitié.
Il se pourrait que bien des Suisses nous doivent une partie de leur instruction ...
Au niveau cantonal L'AVPES est affiliée à la FVAP et à la FMEF Au niveau intercantonal Ell e fait pmtie du CARESP Au niveau suisse Est affiliée à la SSPES. La question d'E-CH est encore en suspens.
5.4 Structures des branches L'AVPES compOlte un certain nombre de groupes de branches très actifs. (Cf: tableau des structures) Au niveau suisse, l'on retrouve également des sociétés de branches qui organisent chaque année des cours de perfectionnement spécifiques en collaboration avec le centre suisse de perfectionnement de Lucerne. Jean-Pierre Michellod RFBoNANCES . ~EPl'EMBRE 1990
équipements scolaires
hunzjkerll\\@l~ au service de l'instruction Hunziker- Kal SA 1024 Ecublens Chemin des Champs-Cou rbes 6 Téléphone 021-6918287 Téléfax 021-69164 83
Enfin à Martigny un choix exceptionnel de BD
LlBMIKIf 114NT I/{?
Nouveau: un secteur spécialisé de romans pour adolescents
BD . ROMANS· ALBUMS JEUNESSE
Métissages
Et toujours une sélection merveilleuse d'albums jeunesse
AVIS DE PARUTION
Vivre au quotidien avec des gens d'une autre culture, ça vous oblige à revoir vos certitudes. La réalité la plus banale peut être vécue de façons si différentes! Voici quelques reflets des expériences d'une Suissesse mariée avec un Africain.
« L'école
est fermée ... et alors?» est un cahier de la Section des sciences de l'éducation de l'Université de Genève. Paru en juin 1990, ce cahier est consacré aux conséquences des fermetures d'écoles dans les régions de montagne. Il s'agit du premier volet consacré au Val d'Anniviers.
(rOUS de
mémoire
Les auteurs de cette étude sont: M. Siegfried HANHART, Mm, Véronique BEER·FLUCKIGER et M. Gérald PERROULAZ. Toute personne intéressée par cette étude peut soit emprunter la brochure à l'ORDP, soit la commander directement à l'adresse ci-dessous (Prix: Fr. 12.-) : UNIVERSITÉ DE GENÈVE FPSE Secrétariat des Sciences de l'Education Groupe des publications 24, rue Général-Dufour 1211 GENÈVE 4
MEUBLES + FABRIQUE DE MEUBLES
Gertschen: Brig (028 / 22 11 65)
Martigny (026 / 22 27 94)
Sion (027 / 31 2885)
Naters (028 / 22 11 65)
RÉSONANCES· SEI'IEMBRE 1990
RF.soNANCES . SEI'IEMBRi: 19!JQ
SiffhceS
INFORMATIONS CUL T URE L LES
Lectures scolaires En 1986 la Société suisse des écrivains adressait une lettre aux DIP suisses, pour promouvoir la lecture d'œuvres par les écriv~ins eux-mêmes et pour se renseigner sur la rétribution allouée à l'écrivain par les différents cantons. (La SSE proposait au minimum Fr. 300.-, et Fr. 400.- à 500.- s'il s'agit de plusieurs lectures en une seule journée) . APPENZELL (Rhodes extérieures et intérieures): les lectures ne dépendant pas du DIP mais d'une organisation pour les lectures des écrivains de Suisse orientale. La somme de Fr. 300.- proposée par la SSE ne paraît pas excessive.
LUCERNE Les lectures sont organisées en collaboration avec la Bibliothèque cantonale, de mi-octobre à fin décembre. Le canton paie le tiers et les communes les 2/3. Le tarif est de Fr. 120.-, plus les frais de déplacement. Les organisateurs s'arrangent pOUf qu'il y ait cumul de séances de lecture. Les auteurs lucernois touchent Fr. 300.-.
ARGOVIE Les lectures sont payées entre Fr. 200.- et Fr. 300. - pour les écoles primaires et Fr. 500.- pour les écoles secondaires.
SAINT-GALL Fr. 160.- par lecture mais les cumuls sont favorisés (dans ce cas, Fr. 120.- par lecture).
BÂLE-VILLE Le tarif est de Fr. 90.- pour 50 minutes et FI'. 160.- pour la période redoublée, plus le remboursement des frais de voyage et des frais d'hôtel si l'auteur vient de loin. Il y a 200 lectures par semestre.
SCHAFFHOUSE Les lectures dépendent des communes. SCHWYZ Les honoraires proposés pal' la SSE sont corrects mais ce canton n'a pas encore organisé de lectures. Mais un progl'amme est prévu.
BERNE Ce canton paie les honoraires fixés par la SSE SUl' un crédit annuel de Fr. 40000.-
THURGOVIE ~'r. 120. - pour plusieurs lectures, Fr. 160.- pour une lecture unique, plus les frais.
GLARIS Les communes sont seules compétentes poUl' résoudre ce genre de problèmes, mais les honoraires de la SSE paraissent normaux.
UNTERWALD-NIDWALD Les lectures sont du ressort des communes qui donnent Fr. 110.-.
GRISONS FI'. 300.- dans les écoles cantonales par demi-journées + les frais. Dans les écoles primaires, les rétributions des lectures sont du ressort des communes.
ZOUG Fr. 100.- pal' lecture + les frais, mais il y a souvent cumul.
Le l'lus grand choix de livres POUR LA JEU1VESSE en Valais:
/ /
ff2CA.!t: ~ . .: :
... . ~ . ... .. - - . . . . .. .. ..... . . _ .
: : : : .:.
- -- - ,- ._.. Librairie pour enfants · ~ _ . _-~
RÉSONANCF's . SEI'I'EMBRE 1990
Conseils et conditions spéciales pour bibliothèques Albums, premières lectures, romans, livres de poche, documentaires, livres religieux. Achat et vente de livres d'occasion.
32, avenue de la Gare - SION Téléphone (027) 22 99 67
ZURICH Les leelures sont organisées par le Pestalozzianum et par une commission de la bibliothèque pour la ville. Les lectures (Fr. 150.- + Fr. 150.- prise en charge par le DIP, par année) sont payées Fr. 140.- par séance et l'auteur peut cumuler 2 ou 3 séances dans une seule journée. Les honoraires sont pris en charge par les communes, l'hôtel et le voyage sont payés par le canton. Les lectures faites dans les Mittelschulen sont payées de Fr. 200. - à Fr. 300.- .
Cantons romands FRIBOURG Les lectures ne sont pas du ressort du canton. La lettre de la SSE est transmise aux ~~établissements intéressés», GENÈVE Le canton ne s'oppose pas aux lectures dans les classes, mais paie les auteurs au tarif des enseignants remplaçants (Fr. 56.- , Fr. 45.- pour 45 minutes). JURA Le DlP insiste pour promouvoir les lectures dans les classes, mais au tarif enseignant: Fr. 43.- pour l'enseignement primaire Fr. 54.- pour l'enseignement secondaire Fr. 77.- pour l'enseignement supérieur. NEUCHÂTr;L Alloue Fr. 1000.- à l'Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens pour promouvoir la lecture d'œuvres par les écrivains dans les classes. Le DlP a constaté que cette somme était nettement insuffisante.
Il semblerait, chez nous, que les professeurs aient honte d'étudier des auteurs qui ne «tirent» qu'à quelques centaines d'exemplaires (au fait: combien de livres de Victor Hugo seraient vendus, s'il n'était plus étudié dans les écoles? La valeur d'un livre ne repose pas seulement sur le nombre d'exemplaires vendus. Le premier livre de Marcel Proust s'est vendu à 2 exemplail'es, et à compte d'auteur.
Un droit de cité Il impOlte que le DIP fixe des critères valables pour déterminer les salaires des écrivains invités aux lectures scolaires. Il doit regarder ce qui se fait Outre-Sarine. Il doit trouver normal les honoraires d'un écrivain. Est-il admissible d'assister à une projection cinématographique sans payer son billet d'entrée? Le prix de celui-ci varie-t-i1 selon que le film a raflé tous les oscars ou est un navet de 3" zone?
L'écrivain romand, de son côté, doit aussi se battre pour acquél'ir un public et un droit de cité, établir des contacts plus fréquents avec les médias. Ceux-ci sont indispensables. Sans eux, l'écrivain melIIt. 11 doit aussi montrer sa disponibilité pour pmticiper à des lectures publiques. Les écoles doivent im pérativement se constituer une bibliothèque romande et acheter les nouveautés (20 à 30 titres en Valais pal' année), pour amener les élèves et les professeurs à se pencher sur leur littérature. Une utopie: tous les (bons) poètes et prosateurs invités une fois par année, dans toutes les écoles du canton, pour réciter leurs dernières œuvres. Quel enrichissant appo.t d'idées pour nos jeunes, puisque, on le sait, seuls les écrivains parlent encore de la beauté, de la morale, de la philosophie, en termes non mercantiles.
ET RYTHMES
A la suite des tournées accueillies avec enthousiasme par les enseignants et les élèves, en automne 1988, au printemps et en automne 1989 ainsi qu'au printemps 1990, le Comité suisse pour l'UNICEF et le Service Ecole Tiers Monde proposent à nouveau cette année, du 29 octobre au 18 novembre 1990 une série d'animations dans les classes de Suisse romande. Cellesci s'inscrivent dans le cadre de leur programme d'éducation et d'ouverture au monde. Accompagné de deux percussionnistes, DAVID M'VOUTOUKOULOU, musicien né à Brazzaville (République populaire du Congo) sait s'adresser aussi bien à des adultes qu'à des enfants: tous. des plus petits aux plus grands, sont envoûtés. Le programme est adapté à l'âge des élèves, de l'école enfantine à la neuvième année. Chaque animation dure environ une heure et comprend les éléments suivants:
o Démonstration d'instruments traditionnels et participation des élèves à chaque instrument: tam-tam, sanza, pluriarc, arc musical, balafon, cloches, kuiti, kora ..
o quotidienne Démonstration de danses africaines faisant partie de la vie (pêche, chasse, récolte, etc.). Ecoute musicale
ANTLER
o Participation et sensibili sation des élèves à la danse et au rythme. Mouvement, voix, expression corporelle, jeux rythR. DelaU,.e
pour les élèves.
més, communication.
Dates de la tournée en Suisse romande: du 29 octobre au 18 novembre 1990 Participants: 70 - 80 élèves par animation Durée de l'animation: environ une heure Coût: 1 animation Fr. 800.-; 2 animations Fr. 1100.-; 3 animations Fr. 1800.-; 4 animations Fr. 2200.-. Inscription: jusqu'au lundi 24 septembre 1990, au moyen du talon ci-dessous.
Nous invitons David M'Voutoukoulou dans notre école et souhaitons nous inscrire pour une/plusieurs animation(s): Date de la tournée en Suisse romande: du 29 octobre au 18 novembre 1990 Date souhaitée: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __
VAUD Le DIP laisse l'initiative aux écoles et aux communes et trouve nettement excessif les honoraires proposés par la SSE.
Enquête menée par la SSE Rapport de Jeanine Messard dans Genève Lettres (revue de la Société genevoise des écrivains / N° 15. Avec l'aimable autorisation, M. Ronald Fornerod, président de la Société genevoise des écrivains.
n~MSiS
«Le poète reçoit ses visions dans la solitude, puis il partage avec la tribu. Une lecture de poésie est une séance de guérison, une inspiration, un exorcisme des démons»,
VALAIS Le Dlr n'est pas opposé aux lectures. Celles-ci sont du ressort des communes, dans le cadre des activités culturelles dans les écoles. Les projets de dépenses sont proposés au conseil de la culture, qui distribue ensuite des subventions selon certaines clefs. Il est donc regrettable que ce système oblige l'écrivain à marchander ses honoraires avec la direction d'école. Les subsides sont versés au prorata du nombre d'élèves. Les grands cycles sont donc nettement favorisés. En matière de culture, il ne devrait pas y avoir d'injustice...
TESSIN C'est aux écrivains à se proposer. Le canton paie comme un cours de recyclage: Fr. 150. - l'heure + les frais Fr. 600. - pour une journée.
RENCONTRE AVEC L'AFRIQUE
Degré scolaire: _ _ _ _ _ __ __
Autres dates possibles: _ __ _ _ _ _ _ __ __ _ __
Nombre des élèves: _ __ _ _ __
Heure: _ _ _ _ _ __ _ __ _
ERRATUM Dans le numéro de juin, une erreur s'est glissée dans le texte de M. Delaltre. Il fallait lire:
Maurice ZERMATIEN Gravelone 54 1950 SION Gaby ZRYD Av. de la Gare 10 1920 MARTIGNY
Nom, prénom: _ __ _ __ _ _ _ _ _ __ _ __ _
Tél. privé: _ _ _ _ _ _ _ _ _, _ _ _ _ _ _ _ __
Adresse privée: rue _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ __ _ _ _ _ __ _ __ _ _ _ __ NPA. localité: _ _ __ _ Adresse de l'école : rue _ _ __ _ _ __ __ __ _ _ __ __ _ _ _ _ _ _ __ NPA, localité: _ _ _ __ Téléphone de l'éco le: _ _ _ __
Avec tOlites nos excuses à l'auteur.
Prière d'envoyer le talon d'inscription dûment rempli jusqu'au lundi 24 septembre 1990 au:
De cette enquête, il ressort que: Les cantons alémaniques ont déjà, depuis quelques années, une infrastructure en place, pour accueillir les écrivains dans les écoles. Dans les cantons romands, les écrivains ne font pas (encore) paotie du patrimoine, tout comme de même qu'ils ne figurent pas dans les programmes scolaires officiels.
Comité suisse pour l'UNICEF, Werdstrasse 36, 8021 Zurich, tél. (01) 241 4030.
Rf:SONANCES - SEI'I'EMBRE 1990
RÉSONANCES - SEl'I'ElffiRE 1990
NOS FILMS D'ART MONTRENT
FILM INSTITUT CONNAÎTRE LA NATURE GRÂCE AU MICROSCOPE Trois films réalisés par un passionné de la nature présentent des phénomènes imperceptibles à l'œil nu
Hans A. Traber: l'amour de la nature Hans A. Traber est né à Zurich le 10 janvier 1921. Très jeune il se passionne pour tout ce qui a trait à la nature. En 1936 alors qu'il est encore gymnasien, il publie ses premières pho· tographies de biologie qui révèlent un vif inté· rêt pour les problèmes techniques des photo· graphies de la nature. Après J'obtention de la maturité, il étudie pendant six semestres la médecine et la biologie à l'Université de Zu· rich. En 1944 il interrompt ses études à J'Uni· versité pour devenir membre de la rédaction de la revue «Du». En 1947 il est nommé di· recteur du Département de biologie du «Schweizer Kulturfilm A.G.». Un an plus tard il dirige le département de mocroscopie de la "Wild Heerbrugg A.G.». Dès ce moment il montre des aptitudes hors du commun pour tout ce qui concerne la microscopie. Il collabo· re depuis 1955 avec diverses institutions de sciences naturelles ainsi qu'avec la télévision suisse. Les émissions scientifiques de Hans A. Traber obtinrent les prix suivants: Prix Onda, Preis flir Mikroskopfilme Wild, Prix Japan.
Trois films ... nous montrent en gros ce que notre œil ne voit qu'en petit Il s'agit d'œuvres uniques faites dans un esprit d'observation minutieux et dont la technique est très intéressante.
Vous pouvez obtenir chacun de ces trois films avec une brochure d'accompagnement qui selt à compléter le film. Elle vous donne une bi· bliogmphie su r chaque sujet, des dessins et schémas ainsi qu'un texte explicatif. Elle a été réalisée de manière à pouvoir être facilement photocopiée en format A4.
Le rhynchite du bouleau Dans le film, la femelle d'un rhynchite du bon· lean, de la famille des charançons, confection· ne à partir d'une feuille de bouleau une cham· bre d'incubation pour y déposer sa postérité. A cet effet, elle découpe la feuille selon un schéma de courbes bien précis, puis l'enroule pour en faire J'entonnoir au fond duquel elle dépose ses œufs. Le film montre chaque étape de cette aventure avec précision.
Le cycle de développement annuel du petit paon de nuit est présenté dans ce film à tous les stades. Il est expliqué pal' des dessins ani· més intégrés.
La huppe fasciée La huppe fasciée est une des espèces les plus ' intéressantes de notre avifaune. Elle est beau· cou p plus l'épandue dans le langage populaire et dans les contes de fées que dans la nature. Ceci s'explique par sa morphologie et ses mœurs paoticulières. L'aire de répaotition de cette espèce s'étend de l'Europe jusqu'en Ex· trême Orient. En outre la huppe occupe une grande partie de l'Afrique. Autrefois largement l'épandue en Suisse, la huppe est devenue très l'are dans notre pays sauf dans celtaines ré· gions du Valais et du Tessin. Sa disparition est due principalement à l'agricnlture intensive, qui a réduit considérablement ses ressources alimentaires.
Le petit paon de nuit Il s'agit de papillons. Le petit paon de nuit (Etudia pavonia) et la Hachette (Aglia tau) sont sous nos latitudes les représentants les plus répandus de la famille des Saturnidés. Les mâles des petits paons de nuit, aux cou· leurs fauve et orangé, volent au printemps, généralement SUI' des te rrains découverts. Les femelles, un peu plus grandes, se camouflent volontiers dans les branches d'un buisson ou d'un arbrisseau.
A qui s'adressent ces films? Ces films s'adressent à des collégiens et à des gymnasiens dans le cadre de cours de biologie. Ils pourrout illustrer non seulement les problè· mes particuliers dont ils sont l'objet mais éga· lement tout ce qui se rappoote aux insectes. Au film Institut E1'lachst1'O.sse 21 8000 Beme 9 'lU (03I) 230831
des artistes à ['œum'e (dessin, sculpture, architecture, contexte social) des techniques et des tmditions des styles et des écoles Rendre justice aux artistes prophètes Les film s d'art montrent le contexte dans le· quel travaill e ou a travaillé J'artiste. Ils sont donc des mémoires vivantes, documents quasi ethnologiques. Si aujourd'hui certaines œnvres d'ait déplacent les foules, elles ont souvent été conçues dans la solitude humaine la plus cruel· le, à la suite d'nn combat intérieul' ou d'un émerveillement intense. L'art est au service de J'homme mais les artistes sont souvent déni· grés, considérés comme de dangereux margi· naux et leur côté prophétique, revêt parfois un caractère dérisoire ou même menaçant. Lors· qu'un film montre les conditions dans lesquel· les naissent les œnvres d'art il met en lumière tout le travail accomp li dans l'ombre et l'end ainsi justice à des créateurs qui furent oubliés pal' leurs contemporains en révélant leur réali· té d'alors.
Avotre service: histoire et techniques Nous avons donc établi une liste de nos films d'art en les groupant pal' catégories qui repré· sentent un éventail des grands moments de l'histoire de J'art et un choix de quelques tech· niques: gravure SUI' bois, fonderie, mosaique, sérigraphie, eau· forte, etc. TROIS FILMS, TROIS EXEMPLES ... VINCENT VAN GOGH Ce film montre les toiles les plus connues du peintre néerlandais et les replaçant dans leur contexte natu rel à savoir les paysages du Nord et du Midi, les petites gens, paysans du Bra· bant et du Borinage, pauvres et miséreux mais dignes, les proches du peintre. On voit la réali· té sensible se métamorphoser sur la palette du peintre. Grâce à ses autoportraits, on assiste à son combat intérieur pour faire triompher la
~~r;/ ~a~yI s
R~SONANCl:S . SEPn;MBRE 1990
lumière de J'ombre, à sa recherche de la vérité intérieure des personnages et des objets, à sa volonté de traduire la vie, palpitante et frémis· sante. Quelques éléments biogmphiques appa· raissent concrètement: la maison paternelle, la maison jaune d'Aix, les toits de Paris, l' Hôtel Dieu où Van Gogh fut interné. Ils illustrent la vie dramatique du peintre, en rupture avec son milieu trop rigide pour sa sensibilité toujours en éveil.
Les lettres à son frère Théo Le texte qui accompagne le film est tiré des ( Lettres à Théo», Vincent écrivait quotidiennement à son frère qui de son côté tentait de vendre ses toiles et lui envoyait de quoi Slll'vi· vre. Mais ces lettres ne sont pas que des ap· pels à J'aide, elles représentent aussi une SOite de confession de l'homme trop seul que fut Van Gogh. Il parle en toute liberté à son frère de sa passion pour la peinture et le dessin, de son exigeance de vérité, de son espoir de voir un jour son travail reconnu et apprécié.
Un réalisme particulier Si le film, limité dans le temps, ne restitue que quelques moments privilégiés de la vie du peintre, il est néanmoins significatif. Car as· sister à J'élaboration d'un dessin de maître, voir naître le visage du modèle sur la toile donne envie de connaître les œuvres, d'aller au musée. De plus, ce document est fidèle au caractère d'AlbClto Giacometti qui a su em· pmnter aux diverses écoles de peintres contempomins (cubisme, surréalisme par exemple) certaines de leurs ((découvertes)) tout en l'estant fidèle à sa propre démarche, à savoir le développement d'un réalisme particu· lier. En effet, il explique dans une brève intel" view, comment il conçoit un réalisme plus lar· ge que la réalité, symbolique, et comment il pousse le plus loin possible sa recherche sur le même objet. Il en résulte ces sculptures stylisées et fragiles, à mi· chemin entre J'alt figuratif et l'mt abstrait, échappant précisé· ment à une classification.
Interrogation sur l'art d'aujourd'hui Ce film, en plus d'informations SUI' la vie quo· tidienne de certaines régions au XIX' siècle, en plus des paysages et des reproductions de peinture, nous offre J'occasion d'un débat sur l'aot d'aujourd'hui du point de vue pictural, sociologique et économique. ALBERTO GIACOMETTI On voit l'artiste dans son atelier de Paris aussi bien que dans celui de Stampa (Grisons), son village natal. La caméra le suit et saisit sa démarche ondulente, son regard aigu SUI' son modèle, sa main qui dessine ou qui sculpte. On l'entend parler, chercher lui aussi cette vé· rité intérieure des gens et des choses.
LE CORBUSIER, UNE VILLE À CHANDIGAR: ALAIN TANNER On assiste à l'élaboration de ce fantastique projet qui tente de résoudre l'équation corn· bien difficile du problème du logement dans un pays comme l'lnde. Le respect des techni· ques ancestrales, J'implication des indigènes dans une construction européenne, le pari d'in· tégrer un profil moderne dans un paysage sau· vage, chacun de ces éléments soulève des in· connues. Le style de Thnner les souligne avec ce brio qu'on lui connaît et une infinie tendres· se pour le monde des travailleurs et le monde en général.
1920 MARTIGNY Grand-Verger 12 Tél. (026) 22 21 58 Fax (026) 22 01 88
Visitez notre nouveau local de vente au GRAND-VERGER 12 à Martigny
FOURN ITURES '--P-O-U-R-S-U-R-E-A- U-X-E-T-E-'C-O-L-E-S------'
LIBRAIRIE SCOLAIRE - ARTICLES ACM / SCHUBI / BRICOLAGE
Korczak au Festival de Cannes
Invitation au Musée de Ballenberg
'"
RESISTANCES! Au Festival de Cannes, en film-sélection, sous signature d'un des grands réalisateurs de ce temps, l'action d'un éducateur des temps modernes: voilà qui n'est pas courant. Andrezj Wajda, le sénateur polonais, y présentait son dernier film, tout simplement intitulé KORCZAK, le nom du médecin-éducateur de Varsovie.
Bon sujet? - Peut-être, d'autant que le ghetto donnait un cadre dramatique au scénario. Mais un bon sujet fait courir tous les risques au metteur en scène, que l'on accuserait vite de signer une chronique limitée dans le temps - Varsovie au début de la dernière guerre - et limitée à un groupe particulier: les Juifs de Varsovie. Or, c'est un produit très fort qu'a signé Wadja, et sa production polono· franco-allemande:
Le film a obtenu un succès très réel à Cannes. Encore faudra·t-il voir maintenant quel sera son succès commercial, dès l'automne 1990.
- il choisit le noir et blanc, moyen d'expression de sa jeunesse, et qui
Ce long métrage offre l'occasion l'are de proposer au débat public un
impose une distance;
- il juxtapose une série de rôles seconds très forts, bien que très brefs, et qui donnent l'universalité au film, cette universalité de toute société en situation exceptionnelle et qui voit cohabiter honneur et trahison, grandeur d'âme et vile cxploitation de compatriotes fOltu· nés. L'histoire se passe à Varsovie, en 1942. Elle pourrait se passer partout. N'importe quand. Chez nous aussi. Demain; - il choisit de ne pas montrer la marche des enfants au four crématoire, à Treblinka. «Je n'aurais pas voulu et je n'aurais pas PL"', déclarait Wadja à la conférence de presse de Cannes. Ce choix est cOllfageux, au moment où les révisionnistes mettent en cause l'existence même des fours crématoires. Or cette nn est encore plus forte. Car symboliquement, Korczak et ses enfants entrent dans l'histoire, dans la nôtre personnelle, et dans celle collective de ses publics. On n'est jamais emprisonnés quand on résiste, semble-t-il nous dire;
ennn Wadja choisit de limiter son film à deux ans, soit le temps du ghetto. Mais Korczak y fait renaître l'esprit et les pratiques pédago· giques de l'orphelinat.
éducateur moderne et une éducation novatrice. Il offre surtout une
actualisation inespérée de la très récente Convention des Droits de l'Enfant, votée à L'ONU le 20 novembre dernier, qui précisément confè· re à l'enfant à la fois des droits (à la protection contre les abus) et des droits d'êtres sujets de droits (de penser, de diffuser, de débattre). Donc de résister, quand il le faut.
Le Valais et la Suisse 1815. Le Valais décide d'unir son destin à celui des cantons suisses. 175 ans plus tard, je vous propose aujourd'hui, parents et enseignants, pour marquer cet anniversaire, d'emmener tous les petits Valaisans au Musée en plein air du Ballenberg.
Vous verrez, vous aimerez Les enfants aiment le Ballenberg. C'est un musée vivant. Comme par enchantement, les portes des maisons s'ouvrent sur la vie quotidienne des habitants de ce pays, au XIX', au XVIII', au XVII' siècle même, comme aucun livre ne sait le faire.
Et bien, tout cela, Korczak l'avait dit et mis en œuvre, avant-guerre déjà.
Le chevrier de Grachen
Les éducateurs auront intérêt à voir ce film et à s'en inspirer pour leur pédagogie future. Car les temps viennent où les enfants demanderont que leurs droits soient respectés. Enfants sujets, et non plus objets.
A l'instigation de son fils, Thomas Platter, en 1572, écrit en vieil haut·valaisan, l'histoire de ses origines paysannes, dans la vallée de Zermatt. Cette démarche est rare. Jusqu'au XVIII' siècle en tout cas, jusqu'au «retour à la natu· re» mis à la mode par Jean·Jacques Rousseau, les paysans n'ont pas pour habitude de décrire leur vie quotidienne.
Avec un grand cinéaste polonais, et un admimble acteur polonais, un grand éducateur polonais sort de l'ombre! Un film à Varsovie, une Convention à New York. Vraiment, l'année 1989 n'en finit pas... Jacqlles-Andl'é TschoulIqJ Dil'ecteul' de l'IRDP
A Sion, de 1882 à 1896, Marie de Riedmatten tient un journal. A côté du récit de ses occupations bourgeoises, on y lit des descriptions de la vie des paysans des mayens, du travail des vignerons, au rythme des saisons.
Marguerite Burnat-Provins Arrive à ce moment·là heureusement en Valais une femme écrivain et peintre, Marguerite Burnat-Provins. Les paysages sont neufs pour ses yeux de Française. Avec infiniment de ta· lent, éblouie, elle écrit les Petits tableaux v.laisans: ... «1 pilloz C'est le cœur chaud de la maison, c'est là que vient échouer l'activité du jour.. RFBoNANCFll - SEPl'EMBRE 1990
Blat/en (VS):
11Ulis01l
d'habitation
On y entre par la cuisine endeuillée, aux larges dalles tendues du crêpe des suies, et violente comme une eau-forte. Au-dessus, le grini s'émeut, de petits pas griffus et circonspects s'y promènent, on devine là-haut des choses tranquilles, poudrées de gris, qui attendent l'achèvement de leur vétusté sous des guirlandes de raisins suspendus. La Chambre s'est emplie au cours des années d'un fumet sauva· ge, haleine de bergerie épaisse et compliquée où fermentent tous les relents des choses, des bêtes et des gens, On y découvre les senteurs mêlées de la laine et du bois, du lard et de la fumée, de la soupe et du cuir, du lait aigre et du foin coupé, du beurre rance et du vin; résu· mé d'exhalaisons fortes qui assiègent les nari· nes et pénètrent les vêtements, odeur synthétique qu'on ne trouve que là. Au plafond noir, la poutre médiane ouvragée porte une rosace avec le monogramme du Christ et des initiales creusées: l'almanach aux coins retroussés s'y balance accroché à un bout de laine rose, et la barre à pivot qui soutient
la lampe tourne au milieu, pour déplacer la lumière pendant la veillée. La pièce est bassel sombre comme tout ce
qu'elle renferme de choses asservies qu'un usage journalier tourmente et rend dociles, de meubles râblés, sortis robustes autrefois des mains industrieuses des ancêtres, mais aveulis et lustrés par chaque génération qui, en passant, n'épargne aucune peine à ces amis de tous les jours. Les bancs écornés sont entaillés au couteau, le bord en est devenu glissant comme le couvercle ébranlé des arches qui gardent les habits, et sur lesquelles les gars aiment s'asseoir, jam· bes pendantes, mains aplaties. Dans l'armoire, s'alignent les robes et les manzons de la mère; on y cache les plaques, plutôt rares, et le pain blanc à côté des piles de linge: toile massive et résistante, assouplie sous le bât, contre le dos du mulet, et qui use la chair avant que d'être usée.
Un glossaire suit où l'auteur nous donne le sens du mot grini: le grenier, de man'on: corsage de dessus, de pillo,: la chambre. Marguerite Burnat·Provins va encore plus loin. Elle fonde la Ligue pour la beauté. Cette so· ciété, devenue la Ligue pour la sauvegarde du patrimoine national, Heimatschutz en aile· mand, comprend aujourd'hui plusieurs dizaines de milliers d'adhérents venus de toutes les ré· gions de la Suisse.
\lt aujourd'hui Les écrivains d'aujourd'hui eux aussi se sou· viennent. Maurice Zermatten, dans son livre qu'il dédie à sa fille Françoise, nous parle par exemple du travail de teillage du chanvre. Porcs de pâturage à. lOl/gs poiLs
Sur le rouet géant, les fillettes se penchent pour apprendre, elles aussi, à guider le fil impatient que le doigt pince et retord d'un geste prompt comme un vol; car, la mère et l'aXeule filent tout l'hiver pour habiller la mai· sonnée de la chaude douillette des moutons dévêtus. Les vases d'étain, pris dans les encoches du channier, se renversent la tête en bas, pendus pal' le pied; un rayon de bois surplombant la porte, soutient des coffrets minuscules et la boîte incisée, à coulisse, qui conserve soigneusement pliés, les beaux mouchoirs de soie: une boîte comme on en faisait jadis, comme on n'en fait plus parce qu'on n'a plus le temps. Contre le fourneau à trois assises en pierre ollaire tendre et polie, le père s'adosse pen· dant les conciliabules en famille. Le dépôt des fumées filtrant au travers, peu à peu, s'est vitrifié là, en un vert glauque qui se mordore et captive d'étroits reflets, comme un étang d'eau morte. Dans la nuit des encoignures, on devine l'an· neau écrasé, le verre obscurci d'une vieille lan· terne; un tricot hérissé d'aiguilles est tombé, tandis que la pelote roule au bout de son fil. Le balancier palpite dans quelques chambres qui ont une horloge, les autres ignorent l'heure toute la vie. Comme dans les tableaux anciens, une courroie bride les cuillers de bois contre le mur; sur la table fument la soupière d'étain et le plat de pommes de terre qu'on saisit par les oreilles, les mouches taquines teurnent autour des ver· res vides, barrés au fond d'un trait rouge. Côte à côte s'ouvrent les petites fenêtres dont quel· ques·unes ont des rideaux, mais la plupart ne connaissent que la gaze bleutée des poussières, lignée par la pluie et les buées. Au·dessus de la bande lumineuse, seule joie de cette obscurité, les images pieuses sont métho·
diquement rangées: le souvenir du pèlerinage des Saints Ermites d'Einsiedeln, rapporté par les parents qui s'y rendirent autrefois en un long et patient voyage; Bernadette, rigide et blanche, extasiée devant la Vierge, aux mains unies, dont les pas se fleurissent de roses, une Notre·Dame triangulaire et gourmée sous un invraisemblable habit de cour. Dans des cadres profonds et plus petits sont blotties les reli· ques grisâtres, embellies de paillons, sur un lit de bouclettes dorées où se faufile une légende imprimée. Les paroissiens aux marges tiraillées, maculés de la cire des cierges tenus pendant les offi· ces, se pressent au fond d'une cachette près des cagoules blanches ficelées de leurs corde· lières, et qu'on déplie les jours d'enterre· ment. Un clou supporte l'écheveau des chapelets lui· sants, dévidoir mystique de la prière dolente roulée sur chaque grain qui retombe comme une goutte, et tout près, à la place d'honneur le crucifix en bois: un bois gratiné et souffre· teux, gonflé de fleurs sculptées avec des mol· lesses de cire à demi fondue, peint d'une cou· leur baveuse et larmoyante qui retient des restes de dorure. C'est vers ce coin révéré que montent les re· gards inquiets dans les moments difficiles, c'est de là que doivent venir les consolations de Marie, les grâces de Jésus. Car, le soir, à genoux, chacun prie avant de gagner le lit voilé de cretenne où s'étend la lourdeur du sommeil. Je me souviens du matin où j'entrai dans la chambre: il y avait dehors une neige douce et, devant les petites fenêtres, un chat passait allongé, le dos pliant, sous une branche de vigne dont les feuilles jaunes se flétris· saienb>.
" ... Ce que je retrouve intact, en revanche, ce sont les travaux de teillage. Ils se faisaient en deux temps. Il fallait un poignet vigoureux, tout d'abord, pour actionner la brèeha, sorte de marteau à trois ou quatre lames qui s'abat· taient sur les tiges, tendues à travers autant de planchettes disjointes, et les brisaient. L'in· térieur ligneux des hampes tembait en débris inutiles, cependant que l'enveloppe fibreuse ré· sistait, formant de longs fils qui ressemblaient à des cheveux de vieilles femmes. L'écandage faisait un bruit assez sec, monoto· ne et criard ; Il avait lieu au temps des premiè· res neiges, après les vendanges et le ramassa· ge des pommes de terre. L'hiver descendait de la montagne. Des oiseaux funèbres chantaient tristement sous le ciel gris: c'était la chanson des chanvières. Second temps: les femmes peignaient ces longs cheveux de filasse qu'elles saisissaient en larges poignées et tiraient à travers des griffes métalliques. Dans les ruelles, devant les maisons, par petits groupes, on frappait, on peignait; je vois passer dans l'air, au· dessus de moi, comme des queues de cavales qui s'abattent sur les dents du peigne, que l'on tire et que l'on relance dans un jeu de lumière pâle. Et toujours ces corbeaux qui croassent à l'entrée de l'hiver... ».
Enfin, la petite maison d'habitation de Blat· ten, dans le Uitschental, de 1568, est un des plus anciens bâtiments paysans dont la date de construction est connue. Elle illustre de façon vivante le mode de vie des XVI' et XVII' siè· cles.
Le retour en Valais Vous aurez le sentiment, en rentrant du Bal· lenberg, d'être allés à la rencontre des Suisses des autres cantens et vous aurez sans doute fait mille découvertes, sur nos différences et sur nos ressemblances, par exemple. Mais aussi, et j'en suis sûre, vous vous apercevrez que votre regard s'est modifié. C'est avec des yeux neufs que vous allez revoir les belles maisons de nos vallées.
Les enfants n'oublieront pas la démarche des pionniers du Ballenberg. Ils sauront désormais que notre patrimoine est vulnérable et, en grandissant, peu à peu, deviendront vigilants.
Marguerite Wuthrich
Bibliographie Guide du Musée suisse de l'habitat rural, David Meili, Ed. 1986. La maison paysanne et la vie rurale en Suisse, David
Meili, Ed. Payot Lausanne, 1984. Les sèves d'enfance, Récits, Maurice Zermatten, Ed. Pillet Martigny, 198L Ma vie, Thomas Platter, Ed. L'âge d'homme Lausanne,
1982.
Trad. Edouard Fick. Petits tableaux valaisans, Marguerite Bumat-Provins, Ed. Slatkine Genève, 1985.
Marie de Riedmatt.en, Journal intime (1882-1896), texte établi par André Donnet. Martigny. Bibliotheca vallesiana, 1975, 2 vol. Les photos sont la propriété du Musée du Ballenberg.
TiJ1'bel (VS)
Le Valais aussi Trois maisons déjà représentent le Valais au Ballenberg. Le moulin à roue horizontale de Torbel, du XIX' siècle, montre d'une façon très simple comment des céréales peuvent être moulues par la force hydraulique. Autrefois il existait des moulins à roue horizontale dans l'ensemble de l'espace alpin. Cette conception s'appliquait partout où l'eau était peu abon· dante. Dans un espace réduit, le moulin de Naters, de 1872, permet de montrer comment, depuis la fin du Moyen Age on traitait les céréales. RF.'iONANCES . SEPTEMBRE 1990
Adresse de l'Association: Association des amis romands du Ballenberg Avenue Biaudet 39 1880 Bex Tél. (025) 63 16 60. RÉSONANCES· SEPTEMBRE 1990
---
----------------------------------------------------------------------------------------
INFORMATIONS OFFICIELLES
Depuis plus de 14 ans, nous organisons des
~ollo~ue des
COURS
~ourrler
nnspecteurs de l'enseignement Unformation
IO)rimaire U édagogie
- orgue élect. - piano - guitare - batterie - accordéon Nouvelle méthode YAMAHA-Technics pour tous les âges. GRAND CHOIX DE PIANOS ÉLECT. ET CLASSIQUES ORGUES ÉLECT. - SYNTHÉTISEURS - GUITARES ETC ...
X
Septembre ... reprise de l'année scolaire. Les vacances, génératrices de forces vitales certes, mais aussi d'idées originales métamorphosent souvent le décor scolaire qui apparaît renouvelé, plein d'espoir, source de projets pédagogiques inédits.
-- ---- -- ----- -
Bon pour un cours d'essai gratuit
Septembre ... période qui fait la part belle aux directives et documents administratifs, parfois redondants, mais nécessaires au bon fonctionnement de l'école.
(tous instruments)
Les objectifs des visites que vous communiquent les inspecteurs scolaires ne visent qu'un seul but: celui de la transparcnce au service d'une collaboration franche et efficace.
~ALKA
Durant l'année scolail'e 1990-1 991, les points énumérés ci-après feront l'objet d'une attention plus particulière:
DIFFUSION
Albert Klausfelder
1. Ecole enfantine
Chemin de la Veyre-d 'En-Haut
?:~~ ~~~~~~L~~IER
- Education des perceptions visuelles, auditives, du corps et par les contrastes. - Education du mouvement.
Tél. (0211 9434282 - Fax (0211 9434284
Nous avons le plais ir d'informer Mesdames et Messieurs les ense ignants du Valais romand, ainsi que toutes les personnes touchées ou intéressees par l'ense ignement que notre Maison organise une exposition des livres scolaires qu 'elle diffuse en
Suisse. CETTE EXPOSITION aura lieu le MERCREDI 24 OCTOBRE 1990, à l'Office de Recherche et de Documentation Pédagogi-
ques, Gravelone 5, à Sion, l'après-midi. que en 4 langues, accompagné des planches de dessins qui permettent un montage en volume_ du monument. ARC DE
Extrait des catalogues de nos éditeurs:
NOS OUVRAGES D'ENSEIGNEMENT-LOISIRS Editions MAGNARD
les)
BIP TOP ANGLAIS. 1 cahier d'exercices avec un Bip-pen et Fr. 28.20
BIP TOP CALCUL MENTAL. 1 cahier CE1 (7-8 ansl, 1 cahier CE2 (8-9 ansl, 1 cahier CM1 (9-10 ansl, 1 cahier CM2 (10-11 ans). Chaque cahier avec un Bip-pen.
2_ Ecole primaire
TRIOMPHE - TOUR EIFFEL - CHATEAU DE CHAMBORD, etc. Vient de paraitre: TOUTANKHAMON (Tombe et funérail-
Collection BIP TOP - Le Bip-pen est un stylo électronique qui indique les réponses exactes et permet à l'enfant de s'autocorriger et de s'auto-évaluer. 1 cassette. Pour enfants de moins de onze ans.
En 2' année: acquisition des notions de grandeur, d'espace, d'intensité, de temps, - épellation phonétique, - maîtrise du geste graphique.
Fr. 18.70
Editions L'INSTANT DURABLE Prem ier éditeur de livres-maquettes. Chaque titre de la collection «Architecture et Modélisme») se présente sous forme d'un livret comprenant un texte histori-
avec des
dessins
de
Jacques
Parascol.
Martin.
BDjHist.j Fr. 56.40
SITTELLE/Editions des Voix de la Nature Une merveilleuse collection comprenant des enregistrements d'oiseaux, batraciens et animaux sauvages sous forme de petits coffrets contenant 1 brochure + 1 cassette. Fr. 28.50 Nous diffusons également: Magnard . Colin· Ed. du Collège . Desvigne - S.A.E.P. - MFG - «Lis-moi 1 histoire» - Minuscules - Chardon bleu et EDIMAGES. Des catalogues sont à votre disposition sur demande.
liers) suggérées dans les ouvrages romands (cf dossier «Mathématique» dans «Résonances») N' 7/901.
Les ùl1lpecteurs scolaù'es et ACM Les respO>l1lables de bmnches
2.S CONNAISSANCE'
r~!..........
21 ENSEIGNEMENT DU FRANÇAIS 1P
Lee/ure: - Compréhension globale d'un ensemble de mots; - lecture et compréhension de textes simples. Ecriture: - Utilisation des fiches d'écriture.
Tous nos ouvrages sont disponibles chez votre libraire ou , à
défaut, chez ALKA DIFFUSION.
2.4.2 Activités créatrices et manuelles et ACT
Journal de classe SP + 4P - Présentation, soin, préparation détaillée de Expression écrite: chaque cours (une semaine à l'avance). - Pratique de l'expression écrite et moyens utilisés. Calendrie,' des pl'Ojets ACM - Programmation judicieuse et planification 61' adaptée. E'xpression orale: Réception du message oral; .Filou et Pricoutine» (ACT) - description d'objets, de personnages, de - Exploitation optimale de ce moyen d'enseilieux; gnement romand. formulation de consignes. RéalisatiO>I1l coUectives i P + SP + 4P + 5P + 6P: - Poursuite de l'objectif des années précé- Utilisation du dictionnaire. dentes; réalisations collectives en vue de décorer: - les salles de classes, 2.2 E'NSEIGNEMENT - les corridors, halls d'entrée des bâtiDE' LA MATHÉMATIQUE ments scolaires, - d'autres édifices publics, murs d'une 1P + 2P cour de récréation, transformateurs, Utilisation des jeux numériques suggérés par passages sous-voie, conteneurs, etc. les méthodologies romandes (Sllltout dans l'avenue OP). Pour les activités de grande envergure, telles que les peintures murales, les enseignants peu· SP + 4P vent solliciter le concours de Mm, Corinne SarPratique de la phase manipulation dans la dérasin chargée de l'animation ACM à l'ORDP, couverte des diverses notions (utilisation du tél. (027) 21 62 85. matériel romand). Bonne année scolaire à toutes et à tous et 5P + 6P plein succès dans vos initiatives et projets. Utilisation des situations - problèmes (Ate-
2P
Lecture: - Utilisation du livrc de lccture «Comme tu voudras», RÉSONANCEli - SEPTEMBRE 1990
DE' L'ENVIRONNEMENT 5P
Utilisation des nouveaux moyens d'enseigncment (géographie, histoire, sciences). 2.4 EDUCATION ARTISTIQUE' 2.4.1 Education mWiicale (4P + 5P + 6P)
Chant: - Connaissance (air et paroles) de: «Mon Beau Valais» «Cantique suisse»
i
CAlTA
Henri Caloz Route de Préjeux - Champsec Papeterie + Papiers en gros 1951 SION Téléphone (027) 31 32 92
A l'intention du personnel enseignant, il est prévu deux visites commentées de l'EXPOSITION
NOUVEAU CATALOGUE AUDIO-VISUEL Le catalogue des moyens audio-visuels de l'ORDP est sorti. Fondation Pierre Gianadda MartigI\Y VENDREDI 12 OCTOBRE 1990, À 17 H.30 MARDI 16 OCTOBRE 1990, À 17 H 30 Les personnes qui désireraient se procurer la «c:am d'e\l8llÎgnant» au prix de Fr. 15.-, valable une année, voudront bien se présenter plus tôt à la caisse, à partir de 17 h 00. Chaque visite commentée débutera à 17 h 30 précises.
Vous pouvez le commander au dépôt des ouvrages scolaires, 55, place du Midi à Sion Tél. (027) 21 60 62
Directives concernant les examens médico-scolaires pour l'année 1990-1991 émises par les chefs des Dépa1'tements de la santé et de l'instruction publique en août 1988 et adressées aux médecins scolaires et aux infirmières scolaires du Valais Le Setvice cantonal de la santé publique se tient bien volontiers à disposition pour tout renseignement complémentaire désiré. Sur proposition de la commission de médecine préscolaire et scolaire et de la cham bre médicale scolaire, ainsi que sur préavis du médecin cantonal, les présentes directives se rapportent aux contrôles médicaux à accomplir pendant l'année scolaire 1990-1991 dans les classes des communes respectives. Les contrôles médico-scolaires et les vaccinations doivent être terminés le 1.4.1991 au plus tard. Les médecins scolaires organisent les examens médica-scolaires en collaboration avec les centres médico-sociaux.
Renseignements: Mm, Suzanne Dubois, tél. (026) 22 17 52.
1. BASES LÉGALES
PROTECTION CIVILE GRÔNE
O.M.E.P. Le Comité suisse de l'O.M.E.P. en collaboration avec le Département de l'éducation publique du canton du Tessin vous invite à participer aux deux
JOURNÉES D'ÉTUDE qu'il organise les vendredi 12 octobre 1990 (après-midi) el samedi 13 oclobre 1990 (malin) à Loearno-Minusio (Tessin) Seuola media
Si votre promenade d'école ou autre excursion devait vous conduire dans la région de Sion, à partir du 1" septembre 1990, le Service cantonal de la protection civile vous propose un programme complémentaire, et ceci sans frais, pour
VISITE DU NOlNEAU CENTRE DE PROTECTION CIVILE À GRÔNE
Le service médical scolaire est mis en place conjointement par les Départements de la santé et de l'instruction publiques, en application des dispositions de la loi sur la santé publique (articles 74 et 75) et de la loi sur l'instruction publique (articles 116 et 117).
II. BUTS La tâche essentielle du service médical scolaire consiste, d'une part, dans le maintien et dans la promotion de la santé des élèves et, d'autre part, dans la lutte et la prévention des atteintes à la santé des élèves. Cette tâche a un caractère principalement préventif, les trai-
1. Programme Déplacement en car de Sion à Grône (et retour) visite du centre de protection civile film sur la protection civile boissons
IV. ACTIVITÉS DE L'INFIRMIÈRE SCOLAIRE
tements des maladies ou autres insuffisances découvertes par le médecin scolaire restent du domaine d'un médecin librement choisi.
III.
ACTIVITÉS GÉNÉRALES DU SERVICE MÉDICAL SCOLAIRE
1. Généralités 1.1. Seules les infirmières diplômées, engagées par les centres médico-sociaux et chargée de l'activité médico-scolaire, sont habilitées à effectuer les examens médico·scolaires. Exceptionnellement, des aides médicales diplômées, annoncées nominativement au Service cantonal de la santé publiquejlŒqll'au 15 septembre 1990 par les médecins scolaires, peuvent être autorisées pal' le médecin cantonal à effectuer cette tâche. Leur liste est établie à cette date sur la base des requêtes présentées par les médecins scolaires. Aucune autre catégorie de personnel ne sera autorisée à effectuer les tâches médico-scolaires.
- Promotion de l'éducation à la santé: soutien des maîtres dans leur rôle pour l'éducation à la santé; - contrôle de l'hygiène dans les locaux scolaires, en collaboration avec les commissions scolaires ; - conseils des autorités, des enseignants, des parents et des élèves dans les questions de santé (conditions d'hygiène, maladies contagieuses, etc.): - collaboration dans l'organisation générale du temps scolaire et du temps libre de l'élève dans la mesure où cette organisation a une action sur la santé de l'élève; - collaboration avec toutes les personnes qui, au sens de la loi, s'occupent de la santé des enfants. D'autres activités spécifiques ne seront supportées financièrement par le canton que si elles sont annoncées au préalable au Service de la santé publique et en accord avec celui-ci.
1.2. L'infirmière scolaire se soucie de la suite donnée aux cas signalés aux parents par le médecin scolaire et en informe celui-ci, qu'il s'agisse de cas organiques ou psychologiques. 1.3. Elle assure la liaison avec le corps enseignant et les institutions spécialisées, notamment avec le service médico-pédagogique.
NOUVELLE ADRESSE À SION: Roule de Loèche 6
sur le thème
Les questions ci-après seront abordées: - Types d'émissions offertes aux jeunes enfants par les chaînes TV - Choix, genres, quantité, qualité des programmes - Horaire, durée, fréquence des émissions - Analyse et propositions d'amélioration
AU RAYON «BEAUX-ARTS)); Produits PEBEO, pinceaux, toiles, gouaches, huiles, etc ...
2. Durée
ECRAN TV ET PRÉSCOLARITÉ Trois à quatre heures
3. Personne de contaet Monsieur Michel Karlen, adjoint du Service cantonal de la protection civile, 1951 SION, tél. (027) 58 18 54,
COULEURS et VERNIS Tél. (027) 22 29 83 Fax (027) 22 53 88
Prix spéCiaux pour les écoles
1.4. Elle collabore avec les médecins scolaires, notamment pour les vaccinations. 1.5. Elle s'assure que le dossier médical scolaire de chaque enfant soit détruit 5 ans après la fin de la scolarité obligatoire.
établissement, tenue à jour et élimination du dossier nominatif de chaque élève (cf. point IV. 1.5.).
2.4. Cycles d'orientation
1.6. Elle assure l'administration des docu·
Examens préliminaires indiqués sous point 2,3.
1.7. Elle doit s'assurer que tous les élèves aient été examinés par le médecin scolaire.
l US~
2.1. NomMe d'examens
Le premier à l'e",,'ée à l'école (enfantine ou première primaire). Le deuxième à la au,s: quatrième primaire. Le troisième à 15 ans: deuxième année du cycle d'orientation (fin de la scolarité obligatoire). L'examen de la vue s'effectue aux âges suivants: 4 ans- 7 ans - 10 ans - 15 ans. 2.2. Clw;ses concernées
Ecoles enfantines, primaires et cycles d'orientation publics; - classes de développement; - classes spéciales; - écoles privées. 2.3. Examens à etlectue)' pa)' l'inlïl'/niè)'e sco·
laire avant la vUiile médicale - Examen de J'ouïe à l'aide de J'audiomètre; - examen de la vue à J'aide de l'optotype et du matériel adéquat; - contrôle du poids et de la taille et calcul du percentil avec inscription sur graphique: - contrôle de la tension altérielle;
en collaboration avec «LES PITCHOUNETS», jardin d'enfants, école enfantine, vous propose: -
Dp·1~
In~c~iptions et renseignements au 021/32 37 21, professionnel, ou 021/331703, prove, ERE Devin 74 - 1012 Lausanne
v, ACI'IVITÉS DU
MÉDECIN SCOLAIRE 2.3. Examens cliniques à efkctue'/'
1.1. Seul le médecin scolaire nommé par le Conseil d'Etat est habilité à remplir ce mandat; il ne peut se faire remplacel' sans autorisation particulière du Service cantonal de la santé publique.
1.2. Le médecin scolaire effectue ses tâches en collaboration étroite avec J'infirmière scolaire dans les classes préalablement visitées par cette dernière (cf. point IV.2,3,), 1.3. Le contrôle médical s'effectue selon un horaire établi par le médecin scolaire en colla· boration avec l'infirmière scolaire et ap rès entente avec les maîtres de classes. Dans la mesure du possible, toutes les activités médico·scolaires doivent être groupées. 1.4. Le médecin scolaire remplit l'avis qui est envoyé, sous pli fermé, aux parents dont les enfants nécessitent un contrôle. La formule prévue à cet effet est mise à disposition par le Service de la santé publique. 1.5. Le médecin scolaire est responsable de la tenue à jour des statistiques des déficiences découveltes.
Seulement Fr, 2,490-
IDÉAL POUR: ASSEMBLÉES :: SÉMINAIRES - RÉUNIONS:: :: CONGRÈS - ÉCOLES - etc, ::
-
Projette directement chaque original sur écran ou même une paroi blanche: pages de livres, prospectus, dessins techniques, film et n'importe quel objet. -
=
La projection reproduit fidélment les couleurs _ originales.
Format OIN A4 en hauteur et largeur. Stilus SA - via Passeggmta 1 6828 Baleroa - Tel 091 4351 43 Telex 842 092 - Fax 091 43 06 07
-
_
2.4. Cycles d'orientation Examens cliniques indiqués sous point 2.3.
2.6. Vaccinations
selon les instructions du médecin cantonal. 2.7. Cycles d'orientation et écoles secondaires
du deuxième degré (collèges, écoles normales, écoles supm'iew'es de commerce, écoles de culture générale, écoles prépmfessionnelles mixtes, écoles pl~vées)
2.5. Développement pmjchologiqlle
En cas de difficultés importantes d'adaptation scolaire, troubles du comportement ou troubles du langage parlé ou écrit, le service médicopédagogique est à la disposition des médecins scolaires, des enseignants et des parents, Le médecin peut procéder selon l'une des deux modalités suivantes :
Le médecin scolaire assume le mandat de médecilH01Uleil dans le sens des activités générales décrites sous chapitre III. 2.8. Ecoles professionnelles
.. ---------.,•
- soit de la même manière que les troubles organiques: message informant les parents que leur enfant nécessite un examen psychologique ou psychiatrique et message sous pli fermé transmis via les parents au Service médico-pédagogique ou au médecin de leur choix;
2.8.1. Seuls les médecins-conseils des écoles professionnelles, désignés par le Département de l'instruction publique, sur proposition du médecin cantonal, sont habilités à procéder à J'examen médical.
• :~~ieu
- soit en recommandant à J'enseignant de prendre contact avec le service médicopédagogique pour discuter dans un premier temps de la stratégie à suivre.
2.8.2. Conformément à l'article 5 du règlement d'exécution du 20 février 1985 de la loi du 14 novembre 1984 concernant l'exécution de la
•
Noussouhallons:
•
D Oocumenlation
o Démonstration
• ~:~::~sable •
2. Actù,ités spécifiques
Statuts somatique et psychomoteur; seront spécialement recherchés: cardiopathies, hépatosplénomégalies, hemies, cryptorchidies, phimosis, troubles squelettiques, hYPCltrophies des amygdales, adénopathies, etc.
Lorsque l'examen de J'enfant par un agent du service médico-pédagogique s'avère nécessaire, et à fOltiori lorsque la prise en charge de l'enfant est indiquée, l'agrément des parents est indispensable,
Date/Signature
•• •
2.1. Nombre d'examells
Le premier à l'entl'ée à l'école (enfantine première primaire),
VOTRE LEXIDATA CHEZ SOLA 19 fichiers en exclusivité Pour classes primaires 15 fichiers Le fichier de 130 pages pour Fr. 15.Pour classes enfantines 4 fichiers de 90 pages en couleur Fr. IS.-Ie fichier L'appareillexi Fr. 29.Rabais dès 10 pièces
Il
Sola Didact, Finl'Ues 54. M:ulil::t1)" (026) 22 5464 - 22 4542
Olt
Le deuxième à la ans: quatrième primaire.
De 4 à 15 ans
l
une formation en 3 ans; une nouvelle approche de l'éducation ; un enseignement personnalisé (effectif réduit); une école jeune et dynamique; d'être compétitive dans votre vocation.
Début des cours: septembre - janvier,
1. Génin'alités
2. Actil,ilés spécifïques
ÉCOLE ROMANDE D'ÉDUCATRICES
DIRfCT PROJfCTOR
L'infirmière scolaire signale au médecin scolaire tous les cas suspects de troubles organiques ou psychologiques.
Sur demande, le dossier médical scolaire peut être transmis aux médecins-conseils désignés pour les écoles professionnelles. ments à caractère médical. Elle prépare notamment les statistiques et rapports annuels, de même que les avis expédiés aux parents.
r-p
Le troisième à 15 a1Ul: deuxième année du cycle d'orientation (fin de la scolarité obligatoire),
2.2. Classes concernées - Ecoles enfantines, primaires et cycles d'orientation publics; - classes de développement; - classes spéciales; écoles privées.
ÉNERGIE ET CRÉATION Stage animé par Marie-France 0' Leary 17 au 21 octobre: Ferienhaus Brunnen, 9612 Dreien Prix: Fr. 700.- (le stage, l'hébergement et tous les repas ci-inclus).
Une connaissance de l'énergie Exercices de magnétisme, de massage, de relaxation. Renseignements: Margrit Gutknecht St. Peterhofstatt 11, 8001 Zurich Tél. (01) 2119115 (soir)
Rf:SONANCES - SErn:MBRE 1990
macintosch prix spécial écoles et enseignants sur toute la gamme
computerlove sa concessionnaire agréé «a pple macintosh» face au centre scolaire du Bourg rossettan 6 1920 Martigny 2 Bourg tél. (026) 22 89 69 RF,soNANCES - SErn:MBRE 1990
Loi fédérale du 19 avril 1978 sur la formation professionnelle, la possibilité est offCite à tous les apprentis de première année de bénéficier d'un examen médical anamnestique et clinique gratuit dans le sens des examens demandés par les assurances privées ou publiques. Celuici aura lieu, si possible, au début de J'année scolaire. 2.8.3. L'Etat prend en charge les frais y rela, tifs. Si l'examen médical, entendu dans le sens défini au point 2.8.2. devait conduire à l'indication d'examens pm'acliniques complémentaires, voire d'une véritable expertise, les frais devraient être mis à la charge de la caissemaladie de l'intéressé,
VI. EXAMENS RADIOPHOTOGRAPHIQUES Un mandat est confié dans ce domaine à la Ligue valaisanne pour la lutte contre la tuberculose et les maladies pulmonaires: cette Ligue vous adressera les directives utiles,
Radiophotographie du corps elUleignant La. radiophotographie du corps enseignant, y compris les rempl açants, aura lieu durant l'an-
3. Mobilier scolaire
née scolaire 1990·1991. La Ligue valaisanue contre la tuberculose et les maladies pulmonai· res est chargée de diffuser les informations adéquates en temps voulu.
Ecole pédagogique
AURORE
VII. LOCAUX
forme
- institutrices - jardinières d'enfants - éducatrices
1. Mise à disposition de locaux Pour des raisons de discrétion et de secret de fonction, les examens se dérouleront dans deux locaux séparés, mis à disposition par les administations communales. Celles·ci doivent fournir des locaux appropriés, c'est·à·dire tranquilles (les tests de l'ouïe ne peuvent s'exécuter que dans un local silencieux), vastes (les tests de l'acuité visuelle nécessitent une distance de 6 mètres), chauffés, bien éclairés, confortables et munis d'un mobilier adéquat.
> CD
en
lJ'"
:::J
4. Classes spéciales
MÉTHODE MONTESSORI plus actuelle que jamais Rue Aurore 1 1005 Lausanne Tél. (021) 23 83 77
Ces classes doivent disposer de locaux de qua· lité et ne pas être défavorisées sur ce point par rapport aux autres classes.
VIII. ÉQUIPEMENT 1. L'infirmière scolaire responsable s'occupe
de l'achat, de la surveillance et de l'e ntretien du matériel indispensable dont elle assume la responsabilité, soit:
Les locaux d'examens médico·scolaires doivent être prévus dans les nouvelles constructions ou transformations. Ils doivent être suffisamment grands, clairs et tranquilles. L'enfant doit pou· voir y être examiné seul et y être couché. 2. Contl'ôle des locaux ?
D'après la législation cantonale actuelle, le contrôle des locaux scolaires incombe aux commissions scolaires (cf. règlement du 23 aoùt 1967 fixant le statut de la commission scolaire, alticle 15, alinéa g et q). En cas de problèmes, lesdites commissions devraient en informer les médecins scolaires.
cr>
co
Celui·ci doit être réglable et adapté à la taille des élèves. Il sera contrôlé par l'enseignant, la commission scolaire etlou l'infirmière scolai· re.
Tél.
Le chemin de fer Yverdon-Sainte-CroÎx vous y conduira
024/21 6215 . Fax 024/21 8844
a) un audiomètre; b) une table d'optotype; c) matériel de dépistage précoce des troubles de la vue; d) un tensiomètre; e) un stéthoscope; f) un dossier nominatif pour chaque élève; g) un graphique pour le calcul du percentil pour chaque élève (table de Prader de ZH). 2. Le matériel mentionné sous point 1.f) et I.g) est fourni par le Service cantonal de la santé publique. Pour le reste du matériel, l'in· firmière scolaire s'adresse au centre médico· social auquel elle est rattachée.
Rétroprojecteur. ~~li[J(Q)~llJl~
Les aspects financiers de la Promotion des Etudes sas
• Invitation à des manifestations organisées par la
La Promotion des Etudes n'est pas la baguette magique qui vous servira votre licence ou votre doctorat sur un plateau. Mais les avantages financiers qu'elle propose vous permettront de vouer toute votre énergie à vos études: • Compte à intérêt préférentiel géré sans frais • Obtention aisée d'un crédit d'Etudes avec couverture d'assurance gratuite • Copy Service (service de photocopies) • Remise gratuite du Manuel des bourses et d'informations utiles
sas
Les prestations de la Promotion des Etudes
sas s'adressent aux personnes de 20 à 30
sas
-----------1
Le plaisir d'écrire à bon compte
D D D
La Promotion des Etudes m'intéresse: veuillez m'envoyer votre documentation. Veuillez me faire parvenir gratuitement le «Manuel des bourses». Veuillez m'appeler entre_
h et _
ho
1
1 1
1
1
Rue/No NPA/Lieu
1
Date de naissance
Tél:
---------------------
1
Talon à envoyer à
1
Rue de Lausanne 8 - 1950 Sion Tél. (027) 22 17 33 - 22 01 96 Fax (027) 22 98 97
Aarau: 064/21 7293 Bâle: 061/202895 Berne: 031/662418 Bienne: 032/2182 21 La Chaux-de-Fonds: 039/275111 Coire: 081/21 51 51 Fribourg: 037/218314 Genève: 022/37 6160 Lausanne: 021/219627, dès le 12.5.89: 021/319 2627 Lugano: 091/216503 Lucerne: 041/263283 Neuchâ/el: 038/224241 S/-Gall: 0711202366 Schaffhouse: 053/83 72 54 Sion: 027/293131 Win/er/hour: 052/825212 Zurich: 01/2232802
1
Nom/Prénom
RUDAZIELSIG & CIE
ans qui suivent un cycle de formation de deux ans au moins. Pour tout savoir à son sujet, veuillez vous adresser à J'un de nos points de contact ciaprès ou nous renvoyer le talon ci-dessous la ou encore vous rendre à la succursale plus proche.
SOCIETE DE BANQUE SUISSE WE-DG Case postale 4002 Bâle
~ Société de Banque Suisse
~<t>"5),
1
1
Une :.:idée d'avance ...:.::•.:.• ;:::::::::::::::::;~:::;K:::
:<.:.:~.:.:~<.,: :;:~;::::::~:::::::::~ ::::::::::::;:::::;:~;:;:::;':':':" ".'
- - - - - --
ÉVEIL À LA F O I - - - - - - -
~ ;
EN FAMILLE ... UNE CHANCE A SAISIR
ECOLE DE LANGUES
..... "'.e__"e__, _ _ _ _
PIANOS • •
Vente • Accordage Réparation • Location
~
<Zbeyt~z
~
Facteur et accordeur de pianos
~
~
~
~ musi'1ue ..sierre ~
"-
~
Avenue du Marché 18 Tél. 027/55 21 51
~
~ .
~ Plus de 40 pianos en exposition ~ .~------.~-----La fa mille est le lieu des premières éclosions pour l'enfant. l'espace de . Le Centre de catéchèse propose à tous les parents d'enfants de 0 à ses premiers pas dans la vie. Et pour les parents chrétiens qui ont 6 ans un service «Eveil à la Foj", pom' les aider dans cette démarche choisi de baptiser leur enfant, la famille est le creuset oll se mêlent ses auprès de leurs enfants. Des rencontres permettent à tous ceux qui premières expériences d'ouverture à lui-même, au monde qui J'entoure désirent partager les expériences vécues avec leurs plus jeunes enfants, et à la vie de Dieu qui l'habite. Il est donc naturel que les parents, d'approfondir divers thèmes de réflexion et d'y apPOiter quelques éléporteurs du désir de partager leur foi avec leur enfant, en soient les ments de réponse qui prennent racine dans leur foi. Afin de favoriser premiers témoins, les premiers «éveilleurs» et ceci, au moment oll le l'éveil à la foi en famille, il offre des moyens pédagogiques concrets, tout-petit vit une période de développement tous azimuts unique dans (contes, jeux, activités manuelles), réalisables entre parents et enfants, sa vie. et permettant le dialogue et la collaboration. C'est par cet échange que pourra surgir, petit à petit, une première expression qui parviendra à un véritable langage de la foi. Tout le monde reconnaît l'impOitance capitale de la petite enfance (0-7 ans), où les structures biologiques. psychologiques et mentales s'organisent. C'est l'âge des racines, l'âge où, tandis que l'enfant tisse ses liens De nombreux enseignants et quelques catéchistes des premiers degrés avec d'autres personnes, il prend possession de lui-même. Comme dans scolaires (enfantines, j -2P), séduits pal' ces moyens pédagogiques très toute éducation, éveiller son enfant à la foi suppose donc une attention concrets, choisissent de trava iller en classe les thèmes proposés par le au rythme de son devenir propre. un accueil de tout ce qu'il vit dans service Eveil à la foi, mais sans intégrer les parents dans leur démarle quotidien, afin de le faire entrer progressivement dans une relation che. Comprendront-ils qu'il est important de ne pas priver les parents du matériel précieux dont ils peuvent profiter en famille? Je les invite personnelle et consciente avec Dieu. donc à respecter ce «privilège» des parents, ce désir légitime qu'ils ont de vivre, dans le cadre familial, la première initiation à la vie En partageant la vie des enfants, les parents découvrent que les petits spirituelle de leurs enfants. sont confrontés aux mêmes interrogations vitales que les adultes. Leurs questions, dites peut-être d'une manière malhabile, leurs réflexions, leurs interventions, ne sont jamais «infantiles», mais rejoignent les ÉVEIL À LA FOL. grandes questions de l'Homme, fondamentales et «sérieuses .. ! Comment UNE CHANCE À SAISIR, UN PRIVILÈGE À PROTÉGER! alors donner des réponses, respectueuses de l'enfant, sans s'interroge>' Bl'igitte Doggwilel' profondément sur sa propre foi d'adulte? L'éveil à la foi des tout-petits est donc aussi le chemin d'un véritable réveil (Oll d'un approfondissement) de la foi des adultes.
Rue du Léman 3b 1920 Martigny Tél. (026) 22 77 37
Privé La Tourelle 1933 Sem brancher Tél. (026) 851312
Cours en mini-groupes ·
Renseignements et inscriptions: 8 h ·12h.14 h - 20h le monde des langues·
(f inl '·"'Lif d."n~
nd •
écol.
(027) 23 35 35 Avenue des Mayennets 5, 1950 SION
Venez nombreux visiter l'exposition intitulée
«PRÉCIEUX DÉCHETS» qui sera présentée
du 26 septembre au 18 octobre 1990 à La .Maison de la Nature à Montorge ouverte tous les jours de 14 à 19 heures, sauf le lundi.
Exposition creee grâce à un effort commun associant le Centre d'Information Nature de Champ-Pittet (Ligue suisse pour la protection de la nature), la Fédération Romande des Consommatrices (FRC), la Société pour la Protection de l'Environnement (SPE), Compost Diffusion et le Service des eaux et de la Protection de l'Environnement Vaudois (DTP). Pour tous renseignements complémentaires, veuillez contacter directement la Ligue valaisanne pour la protection de la nature, rue de la Cotzette 4 - 1950 Sion tél. (027) 22 94 28, secrétariat ouvert entre 9 et 11 heures du lundi au vendredi.
SPÉCIALISTE INSTRUMENTS RÉSONANCES · SEPl'EMBRE 19!IQ
Cours en journée ou en soirée
Preparation aux examens internationaux
RÉSONANCES · SEPl'EMBRE 19!IQ
Abonnez-vous à
RÉSONANCES Mensuel de ['école valaisanne.
LIBRAIRIE CATHOLIQUE
Yakari le mensuel des enfants.
R. Troil let - 1920 MARTIGNY
Edition, administration, rédaction Département de l'instruction publique (DI P) Office de recherche et de documentation pédagogiques (ORDP)
Fournitures scolaires Papeterie Librairi e générale
Diredeur Jean·Pierre Salamin Gravelone 5 1950 SION 11Héphone (027) 21 6285. Redactrice de «RÉSONANCES» Marie-France Vouilloz.
Sion:
12, rue de Lausan ne Téléphone (027) 22 12 14
Téléphone (026) 222060
Sierre:
18, av. Genera l-Guisan Téléphone (027) 55 88 66
Conditions spéciales pour votre bibliothèque scolaire
Yakari ~~~
Photographe
ton journal pour:
Christine Anwnin.
• jouer seul ou entre amis, • lire des contes et des histoires , • faire des découpages et des bricolages , '~I ~ Il :"\' découvrir la nature et les animaux, .~...~~..... • cuisiner de bons petits plats,
Données techniques
, 1
Surface de composition : 175 x 245 mm.
Format de la revue: 210 x 280 mm. Impression en offset en noir et une teinte vive, photo· lithos fournies ou frais de reproduction facturés séparément pour documents fournis prêts à la reproduction.
~
1a
, -
a"M j~j~'~~I,,~P.~,,~:i , _~] • !il !J 1Jtl_~'i 'p '~---~.~:~i~~lllliIID~
,,,U:~~~Ii!~I,I~ \~ .... It 1a
Parution Le 15 de chaque mois sauf juillet et août. Délai de remise des textes et des annonces Le 20 du mois précédent.
1_1
.~~
,11 3
-
RÉGIE DES ANNONCES PUBLICITAS, 1951 Sion 11!léphone (027) 21 21 Il 11!léfax (027) 23 57 60.
.• ~,."
,) Ji'. 'la
ImpressiclO, expédition VALPRINT SA, 1951 Sion 11!léphone (027) 22 23 70 11!léfax 10271 22 0747.
~
~.
~ IJ" 1"
,
IIIa 1a I l
,
IJ"~J.It.~ ~:>.
• -
a
Des techniques audio-visuelles d'avant-garde sur 1850 m' d'exposition permanente.
indien Yakari! YAKARI , c'est un parti pris de gaieté, de joie de vivre, de poésie et de tendresse. YAKARI propose tous les mois 32 pages de création et de découvertes .
«Mes devinettes
EVIN SDEVINE SDEVINELE SDEVINELE EVINE
Le Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge vous fera vivre et partager l'extraordinaire aventure d'hommes et de femmes engagés depuis plus d'un siècle dans leur mission au service de l'humanité.
rire avec les devinettes, les aventures du petit
• et vivre
CONCOURS
''1.f.'' ••l.~r MUSÉE INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT ROUGE
.
pour Yakari» Tous les détails de ce concours sont publiés dans le numéro de septembre 1990, que tu peux obtenir gratuitement à l'aide du coupon ci-dessous ou en appelant au (021) 494606. Vite, abonne-toi et entre dans la grande tribu de Yakari!
-~ ---------------------------------------o Veuillez, s.v.p. , me faire parvenir un exemplaire gratuit de YAKARI (septembre 1990, jusqu 'à épuisement du stock). 1
Ouvert tous les jours de 10 à 17 h. Fermé le mardi. Entrée payante. Visites guidées sur demande Transports: bus 8 et F, à partir de la Gare de Cornavin,
Je désire souscrire un abonnement à YAKARI pour une durée de:
Auditorium, cafétéria, boutique, Location possible de tout ou partie du Musée pour séminaires, réunions, assemblées, soirées de sociétés.
Facture à:
Nom:
Nom:
0 1 an (12 numéros):
Fr. 53.-
Prénom:
Prénom :
0 6 mois (6 numéros):
Fr. 28.50
Rue, N°:
Rue, N°:
W postal:
N° postal:
Réservations: tél. (41 -22) 7345248,
RFSONANCFB SEl'I'l:MBRE 1990
Destinataire:
Pour le renouvellement d'un abonnement, prière de ne pas utiliser ce coupon, Localité: mais attendre le bulletin de versement o s en erro s à éch' n Reto r ez v'te
.
Localité: à YAKARI " . 930 1001 L ost. 1
...