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E2000 - Septembre 1995
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ÉDUCATION
2000
INFO
Nol
Editorial
Trois obiectifs pour la formation Fondement du proiet
Le projet Education 2000 tend à réaliser trois objectifs: - optimiser la formation dans notre canton, maximiser l'organisation de cette formation, - circonscrire les coûts liés aux tâches éducatives.
Qualité de vie des apprenants 2 Aménagement du temps scolaire Qualité des responsables et formateurs 3 Formation, charges, statuts, traitement des resp. et ens.
Qualité des structures et des filières de formation 5 scolaires
Ces objets doivent être appréhendés globalement, et ils ne peuvent être réalisés que de manière simultanée. Tout le monde est en effet convaincu de la nécessité d'améliorer constamment la qualité de la formation, pour favoriser l'épanouissement individuel et relever les défis qu' affrontent aujourd'hui les pays occidentaux. Mais chacun comprend aussi que l'on ne peut accepter l'inflation des coûts de formation sous peine de graves déséquilibres des finances pu-
Qualité des formations des apprenants 1
formations
6 Public / Privé Qualité du fonctionnement des écoles
Qualité des dépenses dans le domaine éducatif 4 Dépenses et Coûts de formation
. 7
Ecoles et environnements
E 2000 - Septembre 1995
bliques. C'est pourquoi nous devons nous attacher à améliorer constamment le fonctionnement de l' école. Education 2000 se réalisera selon une méthode participative. La démarche permettra à tous les partenaires de la formation de faire valoir leurs connaissances, leurs expériences, mais aussi leur imagination. Aussi nous espérons un engagement vigoureux et constructif de tous les milieux concernés. La phase d'études va démarrer à la rentrée. Elle doit déboucher dans une dizaine de mois sur des propositions qui seront mises en œuvre de manière progressive et systématique. Le projet Education 2000 s'inscrit dans celui plus vaste de l'analyse
des fonctions du service public valaisan. Cette analyse touche les différents secteurs par les programmes suivants: Adminish'ation 2000, Justice 2000, Institutions 2000. Le Conseil d ' Etat fonde beaucoup d'espoirs sur ces démarches qui doivent améliorer sensiblement l'efficacité du service public tout en maîtrisant ses coûts. Nous vous demandons instamment de mettre votre énergie et votre créativité au service d' Education 2000. L'avenir de notre société dépendra dans une large mesure du système de formation que nous aurons élaboré et mis en œuvre au tournant du siècle et du millénaire.
LE CHEF DU DEPARTEMENT DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE Serge Sierra
Définition du programme
Une entreprise qui a besoin
Education 2000 se propose d'examiner attentivement l'école valaisanne, en vue d'améliorer son fonctionnement et, si nécessaire, de . modifier certaines de ses structures. Ce travail de rénovation se réalisera progressivement avec le concours de tous les partenaires de l'école et, plus largement, du système valaisan de formation. Education 2000 considérera l'école dans son contexte général et prendra notamment en compte: - les aspirations des partenaires de l'école: apprenants et maîtres, parents et autorités - l'insertion régionale, cantonale, intercantonale et fédérale du système éducatif valaisan - la dynamique de l'école dans une société en mouvement Il s'agit donc essentiellement de réexaminer le fonctionnement de l'école, de lever les éventuelles rigidités du système actuel, de mettre en place des dispositifs fluides et dynamiques. Education 2000 se distingue des grandes réformes scolaires menées ici ou là, par sa volonté d'agir concrètement, simplement, en évitant des procédures juridiques ou administratives complexes, mais aussi des affrontements idéologiques stériles. Des personnalités suisses qui ont acquis de grandes compétences dans le domaine de la formation seront associées de façon étroite aux travaux d'Education 2000. On attend d'elles qu'elles portent sur notre système éducatif un regard neuf et impartial, qu'elles fassent profiter nos experts de leurs connaissances particulières dans le domaine de la pédagogie, de l'organisation scolaire et de l'économie de l'éducation.
de votre concours Le système valaisan de formation a une excellente réputation en Suisse. Il mérite sans aucun doute cette opinion favorable. Les milieux professionnels et l'opinion publique sont d'autant plus inquiets des répercussions que pourraient avoir sur l'enseignement les difficultés financières que rencontrent actuellement les collectivités publiques. La question qui se pose à nous avec acuité est de savoir si l'on peut maintenir, ou même améliorer, notre système de formation tout en contenant les dépenses qu'il occasionne. Cela paraît possible. Education 2000 devrait le démontrer en dégageant des solutions originales pour améliorer le fonctionnement de l'école - l'école comprise dans un sens extensif. Mais un tel projet ne peut aboutir qu'avec le concours de toutes les personnes concernées de manière directe ou indirecte pal' la formation: directeurs d'établissement, personnel enseignant, associations de maîtres ou de parents, élèves, milieux économiques et culturels. Nous aurons besoin, pour mener cette entreprise à bon port, de la participation de tous. Le défi qui nous est posé est d'importance; son enjeu est primordial. Nous comptons donc sur votre engagement.
LE DIRECTEUR DU PROJET Roger Sauthier
Peut-on améliorer notre système de formation tout en contenant les dépenses? E2000 devrait répondre à cette question. E2000 - Septembre 1995
Education 2000 répond au souhait du Parlement qui attend de l'école qu'elle remplisse toujours mieux
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sa mission, tout en se montrant économe des deniers publics. Ce projet, qui est engagé dans un contexte économique et financier difficile, et qui doit donc prendre en compte le réel souci d'économies de l'Etat, devrait cependant permettre d'atteindre une optimisation de notre système éducatif. Il y parviendra en dégageant des solutions originales, particulièrement en utilisant au mieux les ressources humaines, les infrastructures et les moyens financiers disponibles. Education 2000 proposera un catalogue de mesures à mettre en
œuvre . Il reviendra à l'Autorité compétente d'introduire les réformes de manière échelonnée, dès 1996. L'enfant et l'adolescent, apprenti ou étudiant, sont au coeur de la réflexion qui va être engagée, étant entendu que l'école a pour mission de leur fournir les meilleures chances possibles d'épanouissement personnel et de préparation au monde du travail. Le Département de l'instruction publique veillera au respect de ces objectifs. La rénovation de l'école valaisanne doit être profitable aux jeunes Valaisans.
Conditions-cadre Les conditions-cadre d'Education 2000 sont les suivantes: 1. Le projet E 2000 fait partie des projets de réforme du secteur public
valaisan et devra appliquer, dans la mesure du possible, les principes fondamentaux de la nouvelle gestion publique. 2. La qualité du système éducatif actuel doit être maintenue dans tous les secteurs de l'enseignement, et améliorée dans tous les domaines où cela s'avérera possible. 3. Le système éducatif doit prendre en compte les besoins de l'ensemble de la population et proposer à tous les jeunes Valaisans un enseignement de très bon niveau. 4. Education 2000 proposera d'une part des aménagements du système éducatif dans le cadre des dispositions légales et réglementaires actuelles. E 2000 exposera d'autre part les modifications légales à envisager pour améliorer, soit les structures scolaires, soit la maîtrise de l'évolution des coûts. 5. «E 2000» concrétisera, sur un plan général, certaines mesures arrêtées par les Lignes directrices de la politique gouvernementale (1995-1998) et, de manière plus spécifique, les objectifs et mesures relevant du DIP selon ces mêmes Lignes directrices. Dans ce contexte, il incorporera dans ses propositions une double perspective de rationalité pédagogique et économique. 6. Education 2000 respectera les garanties explicitées par le Conseil d'Etat concernant l'emploi et la participation active des enseignants au projet (DCE du 8 février 1995). Tous les partenaires de l'école seront associés à ses travaux.
initiale et continue pour mieux répondre aux exigences de qualité des formations?
Obieclifs
Proposer les composantes d'un statut modulable d'enseignant pour les divers ordres d'enseignement fondées sur le temps de présence à l'école, les exigences des diverses écoles, les diverses disciplines d'enseignement, les responsabilités pédagogiques et administratives, la formation continue et les procédures de sélection (au niveau cantonal et communal) et d'évaluation.
"EDUCATION 2000 VALAIS" OBJECTIFS
PosllIlar
La qualité du système éducatif doit être maintenue, voire améliorée. Améliorer la maîtrise de l'évolution du système scolaire dans la double perspective de rationalité pédagogique et économique. E 2000 proposera toutes les transformations utiles du système éducatif valaisan et de ses composantes dans le but d'optimaliser l'enseignement.
Objectif général
Modulel
Qualité des formations dispensées par le système scolaire Déterminer et expliciter les indicateurs de qualité de chaque formation. Fournir les instruments de maîtrise de la qualité.
Module 2
Module 3
Module 4
ModuleS
Module 6
Aménagement du tempsélève
Formations - statuts charges - traitements des enseignants et responsables scolaires
Coûts et financements
Structures et filières
Ecoles publiques - écoles privées
Rationaliser l'utilisation du temps-élève en fonction des objectifs fondamentaux de chaque niveau ou type de formation.
Améliorer les formations, Introduire de nouvelles meaffiner les statuts et charges sures améliorant la maîtrise (droits et devoirs) pour une des coûts. meilleure action pédagogique individuelle et collective.
Module 7
(
Adapter l'organisation, ajuster les structures et les filières de formation en fonction des attentes individuelles, sociales et économiques.
Proposer des domaines de collaboration offrant une alternative ou une complémentarité à l'école publique.
L'école et ses environnements
)
. ~ ------~
Responsabiliser les acteurs dans leur engagement individuel et collectif pour améliorer l'organisa. tion, la marche et la gestion de chaque école. Améliorer le fonctionnement des écoles par une collaboration efficace entre les acteurs, les partenaires et les environnements.
Elaborer les cahiers de charges correspondant aux divers statuts reformulés et aux responsabilités pédagogiques individuelles et collectives ainsi qu'aux tâches administratives inhérentes à la fonction. Proposer une échelle cohérente de traitements répondant aux exigences de formation, des nouveaux statuts et des définitions renouvelées des charges.
4. Introduire de nouvelles mesures améliorant la maîtrise des coûts
Dans quels domaines et par quelles mesures peut-on mieux maîtriser les dépenses (cursus, organisation, finances, infrastructures ... )? Comment et par quels instrumentations:
Les questions du proiet E 2000 établira la transparence sur les activités des écoles pour augmenter leur efficacité par une plus grande autonomie. Elles seront examinées sous sept angles d'observation (modules):
individuelle, aux besoins sociaux ou économiques? Les programmes actuels correspondent-ils aux objectifs des diverses écoles? L'enseignement est-il conforme aux exigences des programmes?
1. Déterminer et expliciter les in-
dicateurs de qualité de chaque formation; fournir les instruments de maîtrise de la qualité
Les objectifs des écoles correspondent-ils aux besoins de formation
2. Rationaliser l'utilisation du temps-élève en fonction des objectifs fondamentaux de chaque niveau ou type de formation
Par quelle organisation du tempsélève peut-on optimiser les rythmes et les contenus d'apprentissage et atteindre les objectifs des formations? 3. Améliorer les formations, affiner les statuts et charges (droits et devoirs) pour une meilleure action pédagogique individuelle et collective
Comment améliorer aux divers niveaux les processus de formation
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- Mesurer l'évolution de l'effort global consenti par les pouvoirs publics valaisans en faveur de l'éducation, la répartition de cet effort par niveau d'enseignement et par financeur public (canton, communes et Confédération) ? - Déterminer une première approximation du coat par élève à travers le calcul de dépenses publiques de fonctionnement, par élève et pal' niveau d'enseignement (école enfantine, primaire, cycle d'orientation .. .)? - Formuler des propositions (procédures de recueil des données comptables, d'aménagement du système comptable), permettant, à terme, de
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calculer des coûts de formation (par niveau d'enseignement, pm' établissement par diplôme, par matière, .. .)? - Envisager des moyens pour estimer les financements privés de l'éducation en Valais (sources existantes, dispositif d'enquêtes, .. .)? 5. Adapter l'organisation, ajuster les structures et les filières de formation en fonction des attentes individuelles, sociales et économiques
Dans quels domaines, selon quelles modalités d'organisation, par quels moyens et infrastructures peut-on atteindre l'objectif?
6. Proposer des domaines de collaborations offrant une alternative ou une complémentarité à l'école publique
Dans quels domaines et comment peut-on optimiser les rapports actuels entre les écoles et les institutions et services privés? Dans quels autres domaines conviendrait-il de proposer des complémentarités et alternatives entre les écoles et le privé? A quelles conditions et par quelles modalités?
7. Responsabiliser les acteurs dans leur engagement individuel et collectif pour améliorer l'organisation, la marche et la gestion de chaque école; améliorer le fonctionnement des écoles par une collaboration efficace entre les acteurs, les partenaires et les environnements
Comment accorder plus d'autonomie et de responsabilités aux écoles, à tous niveaux pour améliorer leur qualité? Dans quels domaines est-ce possible? Dans quelles limites?
Comment redéfinir les rôles des acteurs et des partenaires de l'école, dans cette perspective? Quelles seraient les stratégies et les étapes de mise en œuvre?
Les objectifs et les questions à traiter définissent le projet E 2000 dans les limites des conditionscadre. De plus, E 2000 doit prendre en compte un certain nombre de problèmes concrets que le Département de l'instruction publique doit résoudre dans les prochaines années. Un inventaire en a été dressé: le tableau des pages suivantes présente les thèmes qui ne doivent pas échapper à la réflexion des groupes de travail à des degrés divers (ce qui est indiqué par les tramés et les croix) . Ce projet E 2000 n'atteindrait pas entièrement son but si les thèmes prioritaires ne trouvaient pas de solutions de réalisation.
Inventaire des thèmes· à traiter Code
Module 7 Ecolee/ses
Thèmes
environnemenlS
EE - CO - 2D Opportunités des orfres de formation et filières : Ecole enfantine, CO niveaux! sections, ESC/EDD/EPPI
* priorités: écriture
foncée
G EE P SP
: tous les ordres d'enseignement : Ecole enfantine : Ecole primaire : Enseignement spécialisé ru : Cycle d'orientation 2D : Ecole du 2e degré/collèges ESC : Ecole supérieure de commerce EDD : Ecole de degré diplôme EPP : Ecole préprofessionnelle FP : Formation professionnelle EN : Ecole normale T : Ecole de niveau tertiaire / formation prof. sup.
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E2000 - Septembre 1995
Direction du projet
Assure la responsabilité scientifique, méthodologique, technique et administrative du projet. Supervise et coordonne les travaux. Assure toutes les coordinations nécessaires, l'information et la formation pal' les groupes ad hoc.
Conseiller externe
Agit sur mandat du Conseil d'Etat et de la Délégation du projet dans le cadre du mandat général confié (au conseiller externe).
Consultantes pour les questions d'égalité
Examinent les aspects spécifiques liés aux questions d'égalité.
Experts scientifiques externes
Assurent la qualité scientifique et dirigent, en principe, les groupes.
Répondants du DIP
Collaborent étroitement avec l'expert scientifique externe.
Groupe de réflexion
Constitué selon les nécessités par le Chef du DIP, propose des solutions aux divers problèmes posés au cours des travaux. Composé des experts externes, des Chefs de service DIP et de la Direction E 2000.
Délégation des commissions permanentes du Gd Conseil
Le président ou un membre de la commission des finances, de la commission de gestion. Information au Parlement.
*Délégation des autorités scolaires communales et régionales
Représentants de l'Association des villes valaisannes, du Groupement des populations de montagne.
*Délégation des associations du personnel enseignant et FMEF
Représentants de la FMEF et des associations d'enseignants.
*Délégation des associations de parents
Représentant des associations.
Conseillers inte/ï1es
Collaborateurs du DIP et d'autres Départements (Finances notamment), engagés au projet selon les besoins.
Responsables des groupes de travail
Assurent la coordination des travaux et propositions des divers modules en collaboration avec la Direction E 2000.
Organigramme général Education 2000
ORGANIGRAMME
CONSEll.. D'ETAT CHEF DU DIP Délégation des commissions permanentes du Gd Conseil
Conseiller externe
Délégation du projet
Délégation des Associations du personnel enseignant et FMEF
Groupe de réflexion
Secrétariats dir./scient.
Délégation des autorités scolaires communales et régionales
f - - - - - ----l
Direction du projet
Délégation des Associations de parents
Conseillers internes
Commentaire de l'organigramme général Conseil d'Etat
Assume la responsabilité générale. Approuve le concept. Décide des mesures à réaliser. Propose au G.Cles décisions législatives.
Délégation du projet
Présidée par le Chef du DIP. Préavise les nominations effectuées par le Chef du DIP. Arrête le concept. Accompagne le projet. Adopte les mesures proposées par la Direction pour la réalisation des analyses. Donne son préavis sur les mesures à soumettre pour décision au CE. ou au G.C
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* Ces partenaires sont informés et consultés; ils participent aux 7 groupes de travail.
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Organigramme de fonctionnement
Franz Konig
Elisabeth Sola
Directeur adjoint
Directrice adjointe Diplômée en pédagogie curative, enseignante et médiatrice scolaire au CO de Sainte Jeanne-Antide à Martigny, Elisabeth Sola-Giroud a également collaboré au journal «Construire» pendant une dizaine d' années et est actuellement rédactrice de la revue Suisse romande de pédagogie et d'éducation l' «Educateur».
Direction du projet : Roger Sauthier Directeur Directrice adj : Elisabeth Sola-Giroud Directeur adj: Franz Konig
(
)
Répondant DIP Gilbert Fournier
Responsable de la planification et de la coordination Jean Clivaz
1 1 1 1
/
.. ----------------- -
Responsables scientifiques
Secrétariat
Jean-Pierre Salamin Kurt Grünwald Gilbert Fournier
:
/
l
'\
l
/
'\
l
/
/
1
11
'\
Module 1
Module 2
Module 3
Module 4
Module 5
Module 6
Module 7
Exp. exl.
Exp. exl.
Exp. exl.
Exp. exl.
Exp. exl.
Exp. exl.
Exp. exl.
Rép. DIP
Rép. DIP
Rép. DIP
Rép. DIP
Rép. DIP
\.. Rép. DIP
Rép. DIP
1
Analyses de prestations
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experts
1
Resp. scientifiques
Roger Mathieu
Direction el
Autres analyses
Roger Sauthier Directeur du projet
•••• ••••••• • • •••
-,
l
l
rence suisse des directeurs cantonaux de l'instruction publique et délégué suisse au projet du Conseil de l'Europe «Un enseignement secondaire pour l'Europe».
Roger Sauthier fut responsable de l'enseignement des mathématiques dans le Valais romand de 1970 à 1980 .
Franz Konig est licencié en sciences économiques et politiques et docteur en finances publiques. Entre 1969 et 1975, M. Konig a travaillé dans une entreprise privée de planification et de conseil de gestion; en 1975, le Conseil d'Etat le nommait Délégué aux questions financières du Canton; de 1980 à 1984, il a dirigé l'Administration Cantonale des Finances avant d'être nommé Chef de l'Inspection Cantonale des Finances. Depuis le premier juillet 1995 il dirige le Centre de Management Public, chargé de coordonner et d'accompagner les différents projets de réforme dans notre canton.
••
Jean Clivaz Responsable de la planification et de l'organisation
Parallèlement à son activité professionnelle, il a assumé les charges de président et vice-président de commune, de président de commission scolaire. Il a été le premier secrétaire de la SPVal. Sa fonction d'inspecteur scolaire et son activité au sein des commissions des examens, d' évaluation des travaux des élèves, de formation continue, du bilinguisme, des programmés du CO, des moyens d ' enseignement.. . l'ont mis en contact avec tous les ordres d' enseignement.
•
••
De 1980 à 1994, il dirigea le LycéeCollège cantonal de la Planta à Sion. Jean Clivaz, inspecteur scolaire de l' enseignement primaire et préscolaire (4ème arrondissement), a enseigné, pendant 13 ans, dans des classes primaires à un degré et à degrés multiples. Après une formation complémentaire, il a exercé la profession de conseiller en orientation durant 15 ans.
Après 14 ans de rectorat, il a souhaité reprendre une charge d'enseignement de la physique et des mathématiques dans l'établissement qu'il a dirigé. Sur le plan suisse, Roger Sauthier est depuis 1988 président du «Groupe Gymnase» de la Confé10
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Les experts externes
Jean-Marie Boillat Maître secondaire scientifique (math. et sciences naturelles), 1964 Licencié en sciences de l'éducation (pédagogie expérimentale, éducation comparée),1970 Diplômé de l'Institut international de planification de l'éducation (administration, économie de l'éducation), 1971 Enseignant, 1964-1970 Chef de section «Etudes et prospectives», CESDOC-CDIP /CH, 1971-1979 Chargé de cours «Organisation et planification scolaires en Suisse», FAPSEGE,1976-1979
Jean-Pierre Salamin
Gil be rt -Fra nco is
Responsable scientifique
Fournier
Maturité classique A au collège de Sion. Licence en Sciences de l'éducation, diplôme en psychopédagogie et en pédagogie expérimentale de l'Université de Genève. Conseiller pédagogique du DIP de 1971 à 1987. Directeur de l'Office de recherche et de documentation pédagogique (ORDP) dès 1987. Ancien assistant à l'Institut des Sciences de l'Education de l'Université de Genève (1965-1970). Ancien collaborateur au Service de la recherche pédagogique du DIP de Genève (1966-1971). Co-directeur du projet SIPRI de la CDIP (1978-1986). Premier délégué de la Suisse à la Conférence des directeurs des Centres de recherche en éducation au Conseil de l'Europe et à l'OCDE. 12
'
Responsable scientifique et répondant du DIP
Maturité classique de type A au Collège de Sion.
Kurt Grünwald Responsable scientifique Maturité. Diplôme d'enseignement secondaire. Etudes en psychologie et pédagogie, doctorat. Formation en psychothérapie.
Licence en psychologie de l'Université de Genève. Doctorat en psychologie (UNIL 1993). Directeur de l'Office d'orientation du Valais romand. Ancien assistant aux Universités de Genève et Lausanne.
Formation de management. Directeur de l'Office de l'enseignement spécialisé et responsable de la recherche pédagogique du Haut-Valais (1985) . Conseiller pédagogique pour le Haut-Valais (50%) et Délégué aux questions universitaires pour le Haut-Valais (50%) dès 1988.
Ancien maître assistant et professeur suppléant à l'UNIL. Délégué aux questions universitaires dès 1988.
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Anton Strittmatter
Siegfried Hanhart
Né en 1948 à Zoug. Etudes de maître de gymnase et en sciences pédagogiques à l'Uni de Fribourg. 1973 doctorat et jusqu'en 1975, directeur du Centre de recherches sur les curricula à l'Uni de Fribourg. De 1975 à 1987, directeur du Bureau de consultation de Suisse centrale pour les questions scolaires à Lucerne (ZBS). De 1987 à 1993, rédacteur en chef du Journal suisse des enseignants (SLZ) . Depuis le 1.1.1994, premier directeur du Centre de coordination pédagogique de l'Association faîtière des enseignants et enseignantes suisses (ECH). Depuis 1972, activités dans le domaine du développement organisationnel de l'école, dans la formation des enseignants (chargé de cours aux Unis de Fribourg et Berne), dans la formation des formateurs d'adultes (AEB Lucerne), dans la formation continue des enseignants, dans des cours de cadres (p. ex . pour les directions scolaires) et dans des instances nationales et internationales s'occupant de développement organisationnel de l'école et de politique de l'éducation. Depuis 1990, il accompagne régulièrement des projets de développement scolaires locaux. Pendant 10 ans, il a été président de la Commission scolaire de son domicile Sempach (Lucerne) . Il a fait paraître environ 150 publications traitant de politique de formation, du développement de l'école et de la formation des enseignants.
Docteur es sciences économiques, mention gestion de l'entreprise, de l'Ecole des Hautes Etudes Commerciales de l'Université de Lausanne. Maître d' enseignement et de recherche en économie et en planification de l'éducation à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de l'Université de Genève.
E 2000 - Septembre 1995
Chef du service de l'enseignement (secrétaire général), Département de l'Education Jura, 1979-1994 Secrétaire général CDIP /SR/TI et délégué à la coordination scolaire, dès 1995.
Raymond Hutin Dr. Felix Oggenfuss Pédagogue Directeur du bureau de consultation de Suisse centrale pour les questions scolaires (ZBS, Ebikon) Chargé de cours en «Sociologie de l'éducation» à l'Université de Fribourg Membre du groupe d'experts du Programme national de recherche PNR33 «Efficacité de notre système éducatif» .
Né en 1930, Raymond Hutin, après une maturité latine et des études pédagogiques, enseigne dans les écoles primaires genevoises durant une douzaine d'années. Il poursuit parallèlement des études de pédagogie et de psychologie à l'Université de Genève, puis s'initie à l'informatique et à la mathématique dite moderne. En 1974, il soutient une thèse consacrée à l'enseignement des mathématiques et obtient le grade de docteur es Sciences de l'Education. 13
Enseignement à Daviaz et St-Maurice (1950-1955) Licence en lettres, Université de Fribourg, 1959 Fonde avec René Gabioud l'école secondaire de la vallée d'Entremont à Orsières et enseigne dans cette école (1959-1968) Fonde l'école privée Maya-Joie à la Fouly; directeur de cette école durant 22 ans (1968-1990) Rédacteur de la revue Résonances (1991-1992) Membre du Conseil de la Culture et président de la commission LettresThéâtre (1981-1993) Appelé en 1965 au Service de la recherche pédagogique du Département de l'instruction publique genevois, il dirige ce service depuis 1970. Cette fonction l'amène à conduire des recherches dans différents domaines touchant notamment le développement cognitif des élèves et l'apprentissage de la lecture et de la mathématique, l'aide aux élèves en difficulté, le fonctionnement de l'enseignement primaire, l'utilisation de l'informatique comme moyen auxiliaire d'enseignement et d'apprentissage. Il prend également une part active aux travaux d'évaluation de l'enseignement du français et de la mathématique conduits dans le cadre de la coordination romande.
conception et à l'usage des moyens d'enseignement, ou encore à l'éducation musicale . Sa thèse de doctorat porte sur l'apprentissage de la numération.
Méthodologie
De 1991 à 1995, il a enseigné la psychologie à l'Ecole normale de Bienne.
Les réalités scolaires sont complexes. E 2000 doit procéder à certains découpages pour mieux établir la transparence sur ces réalités et apporter des mesures d'optimisation efficaces.
Chargé de cours à l'Université de Neuchâtel, il est aussi associé au Département de psychologie pour différentes études relatives notamment à la formation professionnelle et technique dans le cadre du programme national de recherche 33 sur l'efficacité des systèmes de formation .
Plusieurs méthodes seront donc utilisées: analyse de prestations - analyse de système - analyse des processus décisionnels - analyse de cas
Ces méthodes exigent la participation active des acteurs et des partenaires de l'école garantissant la con crétisation des mesures.
Actuellement écrivain, auteur d'une dizaine d'ouvrages.
L'information et la formation feront partie de la méthodologie E 2000 dès le début des travaux. E 2000 ne se limite pas à des analyses ni à un rapport d'experts. E 2000 introduit un processus de transfor mation de l'école valaisanne où l'élève est placé au centre de ses préoccupations.
Jean-François Perret
E 2000 s'articule autour de 7 modules, tels que définis par les objectifs principaux. Les travaux de E 2000 se dérouleront en phases successives selon les étapes décrites dans les deux do cu ments suivants:
MODE DE TRA VAIL DES GROUPES
- cadre général
* Mise à niveau des connaissances et introduction méthodologique - qualité de formation - économie de l'éducation - système et processus décisionnels
Heinz Gilomen Licencié en sociologie Etudes en sciences économiques et en sociologie aux universités de Berne et Lausanne.
Licencié en psychologie de l'Université de Genève et docteur de l'Université de Neuchâtel, Jean-François Perret a conduit des travaux en psychologie pédagogie, d'abord à la Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education de Genève, puis, de 1977 à 1991, au Service de la recherche de l'IRDP à Neuchâtel où il a notamment contribué à l'évaluation des programmes rénovés de mathématique .
Jacques Oarbellay Né à Orsières en 1931 . Diplôme de l'enseignement primaire, Sion, 1950
14
En collaboration avec des groupes d'enseignants, il a étudié différentes questions relatives à l'adaptation des programmes d'eçseignement, à l'évaluation du travail des élèves, à la
Actuellement vice-directeur de l'Office fédéral de la statistique, chef de la Division de la société et de la formation, répondant entre autres pour la statistique de la formation et des sciences, du coût global de la formation ainsi que des indicateurs de formation. Coordinateur national du projet INES (International Indicators of Educational Systems) de l'OCDE en Suisse . Membre du groupe d'experts du Programme national de recherche «L'efficacité de nos systèmes de formation » (PNR33) .
E 2000 - Septembre 1995
- analyse de prest ations
1. Transparence l.l
Observation descriptive "Comment fonctionne le système dans le domaine étudié ?" Décrire le système éducatif tel qu'il fonctionne dans le champ du module
1.2
:
Réflexion théorique "Comment fonctionnerait-il optimale~ent ?" Rechercher et proposer des concepts théoriques relatifs ail module Dégager des indicateurs de fonctionnement
2. Créativité "Comment concilier les données d'observation avec les données théoriques ?" Elaborer des mesures d'optimisation dans le domaine étudié
-
:
3. Faisabilité
1
Evaluer les mesures proposées en vue de leur application. "Comment réaliser les mesures d'optimisation ?" Déterminer le degré de réalisation des mesures proposées, en tenam compte des rationalités - pédagogiques - économiques, dans le contexte légal et po litique Définir les critères d'évaluation des mesures
E 2000 - Septembre 1995
15
Une liste de problèmes prioritaires à traiter a été établie pour chaque groupe.
Les phases du proiet Programme général 1
Etapes
Programme des 7 groupes
~Iaboration du projet E 2000
+ 1
(APprobation du concept par la délégation du projet
+ 1 (
Décision du Conseil d'Etat
-
Les mesures concrètes d'optimisation, proposées par les groupes, seront soumises pour décision aux autorités compétentes. Chaque mesure subira un examen rigoureux de son apport à la maîtrise de la qualité et des coûts ainsi que du respect des conditions-cadre. Les critères arrêtés sont les suivants: - les types de problèmes posés
Fomlation/lnforrnation
~
1
Démarche-type de travail de chaque module 1. Transparence 1.1 - observation 1.2 - recherche 2. Créativité 3. Faisabilité
1
Travail de groupe
1
1
1 2
111l l l 1 1
2
1 Mise
3
;'
;'
;'
4
5
6
- la variation des charges - les conditions de réalisation - les délais et les responsables de réalisation
7
en commun des travauxl ùe ch aque groupe
- la portée
3
Présentation et évaluation des mesures d'optimisation proposées par les groupes Au terme des travaux d'analyse, les propositions des groupes seront présentées sous forme de mesures concrètes. Ces mesures seront décrites d'une manière succincte sur deux forn1Ulaires-type. Chaque mesure sera accompagnée d'un rapport explicatif. Tous les groupes utiliseront les deux formulaires, soit: Le formulaire M 1 contenant la description résumée des mesures, ainsi que :
1.
- la maîtrise de la qualité - la maîtrise des coûts
Travail de groupe 1
1
4
1l 1l 1l l ;'
;'
1
2
3
4
5
;'
;'
6
7
5
Synthèse intergroupe 1
1
é écision de la délégation du projet
+
..... It---
1
rSy;hès;d~;di;ctio~d~ "-- _ _ _ ~o~t _ _ _ ..J
J
( Décision du Chef du DIP du Conseil d'Etat
(
Evaluation
)
Les groupes de travail des sept modules seront composés sur la base de critères de représentation précis: représentants des secteurs d'enseignement (DIP) - représentants des partenaires de l'école: . parents 16
- l'adéquation aux conditionscadre E 2000
. législatif: modifications législa-
· exécutif: décisions du niveau exécutif: Conseil d ' Etat, Chef du DIP, Communes
· système: modification du système scolaire impliquant plusieurs ordres d'enseignement
· structure:
modification de structures dans un ordre d'enseignement
· autre problématique: non com-
- les conditions de réalisation: F = crédits nécessaires H = aménagement du temps (HM / maître, HE / élève) Genre S = modifications des structures ou du système
la portée : instances dont relève la mesure proposée tant au ni-
M = cahier des charges des enseignants
1Mesures
Ml
d'optimisation
Responsable(s) : ........ , ............................................. .. Problématique
No
- la variation des charges: estimations financières pour l'ensemble d es sources de financement (à produire en annexe), + augmentation; = statut quo; - diminution
prise dans les quatre catégories ci-dessus
"Education 2000" Module d'analyse: """"""""""""""""""""" " "",
veau décisionnel qu' au niveau de la réalisation
Portée
Date: ........................ ..
Conditions
Réalisation
- l'amélioration de l'organisation ou du fonctionnement du système scolaire Mesuresconcrèles
( APPlication/concrétisation
+
- la compatibilité avec les objectifs et mesures de la politique gouvernementale et du DIP (19951998)
- les problématiques
- la valeur de concrétisation des principes du New Public Management (NPM)
+ 1
- l'adéquation aux objectifs des écoles v alaisannes
tives et! ou réglementaires dépendant du Grand-Conseil
· enseignants · autorités communales · milieux extérieurs à l'école - experts du monde de l'éducation
ri ~
~
~
~
' Q)
0
a..
Variation des charges Genre
Délai
Responsable
Les travaux à réaliser dans les écoles sont arrêtés par la direction E 2000, d ' entente avec la délégation du projet. Tous les instruments d'analyses, tous les échantillons d'enquêtes seront préalablement soumis à la direction du projet. Le DIP requiert l'accord des autorités communales avant toute intervention dans une école communale ou intercommunale.
- experts en analyse de prestations pour la phase de transparence
f 2000 - Septembre 1995
f 2000 - Septembre 1995
17
o
= organisation interne aux écoles ou au DIP
les délais de réalisation possibles ainsi que les responsables de la réalisation
2. Le formulaire M 2 évaluant les mesures proposées, en prenant en compte leur degré de : influence sur la maîtrise de la qualité de la formation (+ : augmentation, = : équivalente à la situation actuelle, - : diminution) sur la base des indicateurs proposés par les groupes. - influence sur la maîtrise des coûts (+ : augmentation, - . équivalente à la situation actuelle, - : diminution), sur la base des indicateurs proposés par les groupes.
- correspondance avec les objectifs des écoles valaisannes (oui non) - conformité / compatibilité avec les objectifs et mesures de la politique gouvernementale 19951998 (indiquer le code) - conformité / compatibilité avec les objectifs et mesures prévues pour le DIP 1995-1998 (indiquer le code) - adéquation aux conditionscadre du projet «Education 2000» (indiquer le code)
matière de gestion du système scolaire (indiquer le code) - appréciation de la mesure quant · au temps (T) (document annexé) · à l'optimisation (V)
.au risque (R)
- appréciation globale de la mesure
2. Tâches La direction du projet soumettra à la délégation du projet l'information préparée par le groupe «Information», à chaque étape de E 2000.
IMesures d'optimisation Responsable(s : ...................................... .
Dale: .......................... Apprecotlon nlobole
Maitrise de la qualité
Maitrise des coûts
oui 1 nOD
Concordance avec les objectifs et les mesures de la politique gouvernementale YS 19951998 DO
de code
Concordance avec les objectifs et les mesures spécifiques du DIP 1995·1998
Respect des conditionscadre de E 2000
Concrétisation des principes
no de code
oui 1 Don
no de code
NPM
Amélioration de l'organisation (0) ou du fonctionnement (F) du système scolaire
T
V
R
Le DIP informera régulièrement le Conseil d'Etat sur le déroulement des travaux. Le DIP informera également les commissions permanentes du Grand-Conseil et les partenaires sociaux.
4. Supports Les supports principaux sont: a) des conférences de presse du DIP, organisées selon les besoins
b) des publications régulières du DIP par: - Résonances - Mitteilungsblatt - Des publications ad hoc c) la diffusion de circulaires aux divers publics concernés communes, régions, autorités scolaires - organisations d'enseignants - associations de parents - personnes soumises à analyse etc ... d) des séances d' information spécialisées selon les nécessités.
G
01 !'
Concept de formation E 2000 est soutenu par des mesures spécifiques d'information d' une part, et de formation d'autre part, qui font partie intégrante du programme. Le concept de formation dynamise E 2000 en tant que processus de transformation: les acteurs et partenaires, principaux agents de transformation doivent être formés dans la perspective de nouveaux modèles d'organisation et de fonctionnement de l'école (comme «Schulentwicklung» / «Développement organisationnel des écoles» / «Teilautonome Schulen», etc). Le programme commence par deux journées de formation, introduisant les principales notions à développer.
18
3. Information du Conseil d'Etat et des partenaires sociaux
/
M2
No
Concordance avec les objectifs des écoles
1. Compétence L'information est de la compétence du Chef du DIP.
- valeur de concrétisation des principes du NPM (nouvelle gestion des services publics) en
Module d'analyse : ................................................ .
Le projet E 2000 impose des principes stricts en matière d'information des divers partenaires.
· (G)
- amélioration de l'organisation (0) ou des fonctionnements (F) du système scolaire, sur la base des indicateurs proposés par les groupes.
"Education 2000"
Concept d'information
t 2000 . Septembre 1995
t 2000 . Septembre 1995
Le programme de formation à court, moyen et long terme implique, à des degrés variables, tous les acteurs et partenaires de l'école. L'organisation des cours, leur durée et les objectifs spécifiques varient en fonction des contenus et destinataires.
TEXTES J.-P. Salamin, G. Fournier, K. GrÜllwald PHOTOS P. 1 - 2 - 20: J. Dussex DESSINS F. Maret
19
!i66l Jaqwaldas - 0002
Sur le terrain, les travaux commenceront en fin août 1995 par des journées d'introduction qui s'adressent aux membres des différents modules, à ceux du groupe d'analyse des prestations ainsi qu'aux membres des organes du projet. Les membres des différents modules participeront ensuite à deux jours de séminaires fermés. La première synthèse réunissant les bureaux de chaque module et la délé-
gation du projet aura lieu au début décembre 1995. La deuxième phase débutera en janvier 96 et s'achèvera par la seconde journée de synthèse fixée au 20 mars. On adoptera ce jour-là les premières mesures retenues qui pourraient être appliquées dès la rentrée de septembre 96. Le dernier volet commencera en mai 1996 pour s'achever en janvier 1997. Travail en module durant l'été et le début de l'automne et dépôt des propositions concrètes en novembre précéderont la dernière journée de synthèse fixée en début décembre 96.
:OOOZ La fin des travaux des modules ainsi que la dernière campagne d'information sont agendées en janvier 1997. Débutera ensuite la phase de réalisation des propositions retenues par les autorités scolaires (DIP, Conseil d'Etat, Grand Conseil). Une phase de réalisation qui s'étalera sur une longue période, Education 2000 se voulant une réflexion permanente sur le fonctionnement de l'Ecole valaisanne.
E 2000 exigeant la partici-
pation de tous les partenaires de l'école, la direction du projet reçoit volontiers toutes les suggestions, remarques ou propositions allant dans la perspective décrite cidevant à l'adresse suivante: Bureau «E 2000» 6, rue de Lausanne 1950 Sion
E2000: une réflexion permanente sur le fondionnement de l'école valaisanne. 20
01:
·ualoq)S Jas!llDM alP Jaq" ualjuapq)DN sa6Ipu~.saq ula
Planification des travaux Les travau:,,: d'Education 2000 sont divisés en quatre phases de réflexion, assorties de campagnes d'information et de formation.
3
E2000 • Septembre 1995
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