16 . ogrè~ retardés, leur , ue placés trop enfants Valent leu~s pr arce éd,ucation c~~pr<?rll~~ritendeIJ qu'une pa~tie 10111 du malhe't I s bénéHcient qu'impadaltet de ses leçons e ~e enselgnemen . , d d ment de son éritent toute la solliCltU ,e e Ces enfants m l"nstitutrice qui clOlvent l'instituteur ou de I t de leur~ élèves en teprocéder au classegle~~mpte de leurs -iacultés na ut le plus gr~~ visuelles et audlhves.
P arIons moins, faisons parler davant,af!e.
. t' dé la :il oble, mais ceux Qui sont .u~ves lS. ion de l'enseidélicate et ?en1~le ~~~:es et maîtress~s gner. Nos devouesb~ en retou.r conhd'école voudron~ ~eleuif sympathie e~ nuer leur appUI e mander et d'acchs'eHorçan~ de reco~~ntage le -' eune Çamat~r- tou~ourl da:Ht monde des écoHers thollque da~s e p ' écialement. pour auqUlel., il s adresse :âe du beau et du les gUIder dans ,la 0'11':- le devoir de la ' a'to w" noUS av ,, b len, conduite, h ' our l'inss voyez caque } , l1JC
l
't • onOlUlser sur es Peut-être pourraI -on 'seu'cme•s copiés et con· , " t sur les re l devOlrs . ecn l s,de temps 'l'enseignement a , ara sacrer P us, 't-à-dire aux causenes, a~~ propr~ment dl~" c es l li tont véritablement l eentretiens !amlherts, IC Ce n'est pas ' que le ducation mtellec ue e. ssez c'est le plus soumaître ~e parle tas. ail en'seigne, il expose, il vent qu'Il parr r~p. pratiquer la méthode de discourt, au leu e lle si féconde en résulont trop rares avant, découverte person~e tats. Les interr~gabo~: son; les élèves rest~nt pendant et apres la l ~u maître. Et dest ampassifs sous lIa parol:borieusement préparées, si que des, eçons ent même intéressantes, bien exposees, souv arce ue les ~lèves n'y manque,nt leur .b!1 t!. Pun eiercice, quel qu'il ont pomt pa~IClpe. Haborer les élèves avec soit, gui ne tiaIt P::e~cice manqué au point de le mattre, es un vue intellectuel.
Mes eniants, vou , f 't-il? Il enseigne a tituteur en classe. Qu ~ al t'ts'. il donne d~s lire, à écr~re ,aux tou ér: ~aphie, de gra~· leçons d'hlstOlre, de g ,g auX plus grands; . l 1 de desS111 maIre, de ca cu " , ne portion de son sa, tou<; il distnbue u t '1 a , 't tâche laCI e. • voir. Ce n es, pas r il a longtemps et:lpour la ble~ remp Ir, le matin le SOlr, , • t l qlle Jour encore, ' dIe e, c ~a , droit de se reposer, con~alors qu'Il aurait le, 'falte il se fah, "t , . sa Journee me tout ouvr~eI, f d'entretenir et de engue sur les h~res ,a 111 îin de 'préparer les dre ses connalssa~ceS, a leçons du lende,ma111. 't 'nsuiîisant. Il faut au l l't's De l'exL e savoir lUi seraI d'autres qua le. maître beaucoup d fants de la douc:.eur périence, l'~mour N esv~~s ête~-vous pas ~p~r et de la patience: ~ t d dl're il le repete e ce ,qu'il SOl't sur -~ çus que ce qu '11 ,vlen' u'à deux fois, trOls f~)1S'J~~~z_vous jamais remarsecret de l'enseif!nement e$t d'avoir été comp~ls? Ta e bruyant, étourdi o~ Le ([rand tt 'la portée des enfants qué que ~'ors~u un ~ e;n e au momel~t où ,11 de se me r~ a rouver son propre malintentIon ne , le der g colère? Apres aVOlr Enseigner n es~ pas p lormule qui l'adapte parle, il ne se glet f,:I~Ve: en faute, il reprend savoir, c'est cherc er .une. 1 se' c'est trouver rappelé à l'or re uvaise humeur. peu oe gens à l'inten~g~nce ,à petree l:c ~cie~ce au niveau , ' sa leçon sans ma d'une telle vertu. e et vacillant; c'est se un procede q"l1, ' seraient capables 1 ment vous instrUire, 11 d'un jugement 111 orme b 'sser pour prendre Il ne veut pas seu e , meilleurs taire de taire humble; c'est se ~l veut aussi vous ren:l,~, ns d'ho~nête?- citoces tout petits par la malll. , vous tous de bons c {~~e îi~ie lorsque, souune 01 'l~i il pense enYens . La classesongez P us a , , , tt vent , ,vous ne il se fa tIgue ' e t s'épUise a ce e s La tâche~ de l'Iostltate.ar core a V0!1 , 'laisse aucun repos, " tâche moins pel1lbl~ . 1 leune Cathollque de œuvre qUi ~e lUi ~ Sous ce htre, e, hl" le petit artiRendez-lUi don..: , 1 sa votre d OCI'Il'te' , votre det tt Novemhre 191 ~ a pu c~rtainement t~it pal' votr~ a e~ 101, surtout par un ~u d'aide bIen talr~ et. z-le votre instituteur, de .s~ivant QUI0~~~t enseigll'ant, cn l!li sir ïedion. Oh! ?Ul, .,almen père. Aimez-le quand plaIsIr a11 persois de p1us que notre pe- comme vous almeuez u . tou'ours avec resprouvant, wn;ell,f t . s'effo~ce non-seule· il est triste et PMrOl~Ot nce~ apr~s celui de pè,te', « al bl' re » , tit recueIl '1 us re " 1 ' èunesle plus doux qu un d'instruire et ,de recreer a] l' pect ,ce t t1ler plus no e, h t ces , d . - un autre omme. men. die mieUiX 11'élever en Ul re, malS encoce d 't ' homme pUlsse onnet a
r
J
•••
f~SaJltt comprendre ,ce qu?elle
01 a
SION, 1er Ft1vrier 1918
L'EOOLE PRIMAIR.E ORGANE DE LA
SOCIETE VALAISAlillE D'EDUCA.'fIOll' Préell d'IDI't raction civique 1) BUT DE L'INSTRUCTION CIVIQUE
Comment aimerons-nous la patrie et remplirons--nous nos devoirs envers elle, si nous n'aimons pas notre compatriote ,et si nous ne r~mp1issons pas nos devoirs envers lui? Comment }}ratiquera-t'ol1 les vertus publiques si l'on dédaigne les vertus privées? Au contraire, ' si l'on aime réellement 'son prochain, onai~ mera également la réunion de ses' pro.. ches Qui forme la commune patrie, : Toute une portion et même la plus importante de l'instruction civique se confond avec l'instruction religieuse oU' n'en est Qu'un complément. __ . L'autre partie serait mieux définie sous le nom d'EI:éments de ÜroÜ public; car' elle traite de tout ce QU,Î se -rattache au dr,oit public, des constitutions, des I{)is, de l'administration ainsi que des droits et devoirs aœordés ou imposés aux citoyens, non point de manière à faire d'eux des iuris'consultes, mais' de telle sorte qu'ils conriaissent lèS bafies. de For2'anisation politique de leur ,~s et ses prindpaux rouages,
Les enf~l1ts doivent apprendre ce q!.L' ils devront faire étant hommes. L'activité de l'homme est multiple. Il doit exercer une profession, et, à cet, effet, il a besoin de force, d'a2'ilité, d'adresse manuelle, aussi bien que d'une' intelli· gence ouverte et développée, ' Il a des devoirs à remplir envers luimême, envers sa famille, envers sa: trie, envers Dieu, et pour cela il doit ~e préparer de bonne heu.re à devenir un citoyen utilé et un honnête homme. C'est pour apprendre à l'enfant çe Qu'il devra faire étant homm.e, qu'on développe &on corps p,a r la gymnastique et les exercices manuels, qu'on forme son intelligence p,a r des études diverses, Qu'on cherche à élever sa' raison et son ,cœur par 'l'enseignement de la religion, de la morale et de l'instruction civique ou du civisme. ' Le civism'e est :l'ensemble des, qua.iités Qui font le bon ,citoyen et qui sont; NECESSITE ,DU CIVISME L'amour de la patrie et de la liberté, le Dans un pays où chacun n'aurait qu' re&pect du droit et de la justice, le dévouement à sa famille et à ses concito- à suivre si1~cieusement la volonté du. yens, gouvernement, il serait deià utile à chaPour être di~ne ' du nom de citoyen, il 1 cun d'avoir des notions des lois g-énérà. les pour conformer 'sa conduite sur elfaut non ,seulement avoir le sentiment -les. ' et l'a volonté du bien public,' mais en~ Mais, dans 'un pays comme le nôtre, core connaître en quoi consiste Je bien public, ' où tout acte lég-islatif émane dire.ctemellt Le civisme touche à la religi~n Qui ou indirectement du peuple, H est indjsens~g-ne à l'homme d'a.imer son ' pro- pensable que ,chacun connaisse les lois . chaIn: Comment être bon -citoyen si 1'6n principales. CelUi qui néglige 'ce soin passe 'Sa vie ne SUlt pas ce divin précepte? SOus tutelle, ,car il permet qu'on ' donne (1) Etude comprenant une série d'articles, des ordres en son nom, soit au HOm du.
pa-