SOMMAIRE Marcel Gross
INHALT
Au seuil d'une nouvelle année scolaire Aul der Schwelle eines neuen Sclwljahres
Dr. Gallus Jud C. Gribling
Jacques Dubosson
Die Lehrpersonlichkeit der Frau . Ihr Stand in der Welt .
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~édaction
:
MICHEL VEUTHEY Nous, éducateurs chrétiens, au milieu de la contradiction du monde moderne Pouvoirs et limites de la psychologie scolaire
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L ECOLE VALAISANNE
Office de l'enseignement SION
REVUE PEDAGOGIQUE POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE
Partie pratique : Antoine Maistre
Paul Pignat
PARAIT CHAQUE MOIS
L'amour humain
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La nuit
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Incursion dans le domaine des sciences.
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Un peu de gymnastique
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Praktischer Teil : Dr. Hugo Wyss
Del' Lehrer lührt zur Berulsreile
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Sr. Loyola Zumtaugwald
Der Leseunterricht aul der Unterstule
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Communications -
Mitteilungen
.
SION, LE 1er DECEMBRE 1957
2ème ' ANNEE - N° 2
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RENSEIGNEMENTS - HINWEISE « L'Ecole valaisanne» paraît à Sion au début de chaque mois. Die «Walliser Schule» erscheint in Sitten zu Beginn jedes Monats Edition et administration Herausgeber und Verwaltung Impression et expédition Druck und Versand Publicité Inseratenannahme
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Délai de rédaction Reda.k.tionsschlusl!
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Sclmlins pehtol'
BRIC
WALLISER
SCHULE
ZEITSCHRIFT FüR JUGENDBILDUNG IN SCHULE UND ELTERNHAUS ERSCHEINT lVIONATLICH
'{ Cpte de chèques II c 12 (Etat du Valais. Sion)
le 15 de chaque tnois am 15. dce Monats
-
Prof. ERNST SCHMIDT
Tel. (028) 31516
Page de couverture: Um~chlag$eite :
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2. JAHRGANG - Nr. 2
SITTEN, DEN .1. DEZEMBER 1957
EDuCATION FAMILIALE
JESUS PERDU AU TEMPLE SIMPLES REFLEXIONS POUR LA FETE DE LA SAINTE-FAMILLE ABBE DENYS THEURILLAT Die meisten Mütter empfinden es oft sehr schmerzlich, wenn mit fünfzehn, sechzehn Jahren ein [(ind seine bisherige kindliche Anhiinglichkeit mit einer gewissen lieblosen Abwendung ver· tauscht, die zur Hinwendung zu einem andem lie ben Wesen wird. Diesen mütterlichen Schmerz kann der Hinblick auf die Gottesmutter lindem, auf ihr Erlebnis mit dem zwolfjiihrigen Jesus im Tempel. Welch schmerzvolle Besorgnis liegt in ihrer Frage beschlossen: «Kind, warum hast DU uns das getan?» Die Antwort Jesu versteht sie zwar nicht, wie manche Mutter das merkwürdige Benehmen ihres grosser gewordenen Kindes nicht begreift, aber si,e schweigt und vertraut. «Sie bewahrte alle diese Dinge in ihrem Herzen ». Sie liebt Jesus nun nicht mehJ' für sich selbst, sondem viel mehr im Hinblick auf SEINE Mission für die andern, weil Er ja 4: in dem sein muss, was SEINES Vat ers ist ~.
Il es.t douloureux pour une maman le iour où elle s'aperçoit que son grand garçon de 15 ans se dérobe insensiblement à son affection ..• Hier encore, son « petit» se montrait spontané, ouvert, confiant. Il lui prodiguait les marques de l'affection la plus enthousiaste. 'A uiourd'hui, son adolescent s'entoure de réserve. Il se ferme. Facilement, il se montre réticent, méfiant. Que se passe-t-i1? Derrière le masque , de dureté dont s'affuble l'adolescent, des forces nouvelles bouillonnent. Les transformations organiques qui s'opèrent en lui le préparent à assumer un iour les responsabilités d'un foyer. Pour être à même de remplir sa mission, son cœur devra être libre de toute autre attache, si légitime soit-elle. Et ceci explique l'évolution profonde qui s'opère dans son amour filial d'adolescent. Bébé, puis enfant, il aimait sa mère d'un amour instinctif, mais tout extérieur. Devenu homme, il l'aimera
d'un amour profond et viril. En attendant, il vit en pleine période d'anarchie affective. Devant la dureté apparente de son «grand», le cœur d'une maman saigne: son « petit» n'est plus, qu'elle pouvait caioler et aimer avec exubérance.... , il n'est pas encore cet homme dont elle dira avec fierté: «C'est mon fils». La froide indifférence de l'adolescent exaspère très inconsciemment - la sensibilité féminine d'une mère. Par intuition, elle sait que son enfant lui échappe. Elle « sent» qu'une autre, une femme étrangère, à laquelle il ne · doit rien et à laquelle il se livrera tout entier, va prendre sa place dans la vie de son fils. ,P our une mère, l'adolescence est l'heure tragique où s'ébauche l'inévitable séparation. En son angoisse, une maman chrétienne se tourne vers cette autre maman : Marie, Mère de Jésus. Elle a vécu~ elle aussi, cette heure douloureuse. Dans l'évangile du dimanche
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,de la Sainte-Famille, l'Eglise nous invite à méditer sur cette angoisse de Marie séparée de son Jésus, pour la première !ois. Jésus perdu au Temple à l'âge de 12 ans ... Scène évangélique trop connue par tous les chrétiens pour qu'il soiÎ' nécessaire de la décrire en ses détails. Lorsque l'événement se déroula, Jésus avait '12 ans. A cet êlge, le jeune israélite était considéré par la Loi comme un adolescent. Jésus désormais devait prendre ses responsabilités. Il les prit. Au premier abord, la conduite étrange de Jésus-Adolescent ne laisse pas de surprendre. Et pourtanl'! que de sagesse dans son comportement. En prenant l'initiative de rester à Jérusalem pour s'occuper des « affaires de son Père », Jésus multiplie pour nous ses enseignements. Il rappelle aux pal'ents qu'ils ne doivent pas être un obstacle à la réalisation de la mission de leurs enfants. Aux adolescents, Jésus montre l'exemple du courage. Du courage! le jeune homme en aura besoin, car pour se lancer dans son « beau métier d'homme », il lui faudra bousculer plus d'une sacroasainte commodité. Pour Jésus aussi, il eût été si simple de rentrer à la maison .... , de faire comme tout le monde ... A ces ' leçons, Jé:3US en ajoute d'a'utres. «II descendit avec eux à Nazareth. Il leur était soumis ». La déférence respectueuse de Jésus comporte un message: l'adolescent, très fier de la jeune personnalité qui s'affirme en lui, oublie trop souvent que l'heure de l'autonomie et de J'engagement définitif n'a pas encore sonné pour lui. En attendant ce moment, le cadre familial et la soumis-
sion à l'autorité des parents constituen~' le milieu où il doit conquérir sa liberté d'homme de demain, le milieu où il doit grandir «en taille et en sagesse devant Dieu et devant les hommes» comme Jésus le lui enseigne. Le portrait moral de la Vierge, esquissé par Saint Luc, en cette page d'Evangile, est admirable de simplicité. La réaction de Marie devant la conduii'e de Jésus est bien celle d'une maman inquiète et décontenancée devant la brusque évolution de son adolescent : « Mon enfant! pourquoi nous as-tu fait cela? Vois, ton Père et moi, fort en peine, nous te cherchions ». Pas plus que Joseph, elle ne comprit le sens de la réponse donnée par Jésus. Il est plus d'un foyer où un tel incident se serait soldé par une scène de famille: menaces, reproches acerbes, paroles violentes, sanctions ... Par le silence respectueux de Marie, JésusAdolescent sut que sa Mère lui faisait confiance. Combien de mamans gagneraient, devant' les premières manifestations - souvent si maladroiies de ICl personnalité de ' leur grand garçon, à imiter le silence de la Vierge! Ce silence de compréhension et de sympathie leur ouvrirait le cœur et la confiance d'un être cher entre tous. Poursuivant son récit, l'Evangéliste a soin d'ajouter: « Et sa Mère observait toutes ces choses dans son cœur». Désormais, la Vierge s'efface. Dans ses méditations, elle comprend peu à peu que s·on amour ma·~ernel ne doit ni accaparer son fils, ni l'entraver dans la réalisation de sa mission. Effacement qui d'emblée porte son amour maternel à la perfection: son Jésus, 67-
elle l'aime non plus pour elle, mais pour Lui, pour les autres. Elle l'aime, son Jésus, non plus afin de le garder égoïstement pour elle, mais pour Le donner aux hommes ... Malgré sa sobriété, le texte évangélique contient non seuiemen1 l'essentiel du drame familial qui à l'âge de l'adolescence assombrit trop souvent
les foyers; mais il renferme encore toutes les données nécessaires pour le dénouer. A tous les parents, à tous les adolescents qui souffrent, parce que engagés dans le combat de l'adolescence, puisse Notre-Dame, Reine des foyers, apporter la lumière et la force de son exemple! 1
Die Jugend hat es heute besser, aber schwieriger aIs früher Prof. K. GRI BLlN G, Marti gny L'évolution de l'humanité moderne a influencé profondément celle de la jeunesse qui re flète assez fidèlement l'esprit du tem,ps. Lorsque nous comparons les conditions d'existenc,e. de '~os élèves avec le régime de vi.e d'il y a quelque soixante ans, In ous constatons une amel/.Orat/.OTL très sensible : une Ir/.Ortalité infantile fo rtement réduite, une prophylaxie efficace contre les maladies de l'enfance, une hygiène plus rationnelle et mieux comprise dans les classes populaires, une culture physique plus assidue, enfin dans le 'domaine scolaire l'emploi de méthodes d'enseignement plus différenciées et des installations perfe~tionnées. .., Malgré ces progrès incontestables, la jeunesse actuelle doL! compter avec des d~ff~cultes autrefois plus supportables ou mêm,e inconnues. . " . Le développement des enfants et des adolescents a sub~ une accelerat/.On corporelle remarquable. La croissance accuse une augmentation de taille, qui peut alle r jusqu'à 11 cm chez des jeunes de 17 anS. De plus, l'apparition de la puberté manifeste une avance qui va j,!squ'à, deux ans chez les garç01~s et trois ans chez les filles. Par contre le développement psyclnque ne: pas suivi le rythme corporel accéléré et a subi par suite nn retard relatif. Il en résulte une d~scor dance désavantageuse entre l'éiat de l'âme et celui du corps, ce qui est une SOllrce de troubles de comportement dont souffrent bien des jeunes.
Seit meiner Jugencl ha1 die Technik schon zweimalumwiilzende N eu.erungen erfahren : sie ist mu die }aIuhuncler,t wencle zur elektrischen Beleuchtung und Heizung und im aIlgemeinen zum elektrischen Betrieb übergegangen, und nun erlebe ich den Anf,a'Og cles AtO'mz-eitahers. Die We1t meiner ~(indheit glich melu dem Mi1elaIter aIs cler Mitte des 20. J ahrhunclerts.
Alllgesiohts der Umwertung deT technisch.'e n und wirtschafdichen Bereiche denken manche Geister claran,
eine iihnliche tiefe Umgestaltung im sittlichen und religiosen Leben anzunehmen: was vO'r zwei Menschenaltern noch Geltung hatJte, sei nun überhoIt; überha'l.lpt seien die überlebenclen des 19. lahrhunderts unfaihig, cler Gegenwa11t gerecht zu werclen, da ein ganz neues Geschlecht aufgewachsen sei.
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Tl1O't~dem will ich versuchen ein mog1lichs,t getreues Bild vO'n der heurigen Jugend zu entwerfen, wie es fül' uns Erzieher und ErZÏ'eherinnen eine Berufspflicht ist ; denn UlU die Schü1er gerecht zu beurteilen, muss man ni ch t blO'ss clen einzelnen, sO'ndel'n auch die J ugenclweh kennen ; dabei darf man sich weder mit LO'breden eirner bequemen Anpassungskunst begnügen, noch griesgdimig uncl misstrauisch clas Neue ahurteilen. Zwdem ist diese KenntJnis unerliissHch, um jeden nach Gebühr zu behandeln : wecl'e r z'u streng und rücksichrt:slO's, nO'ch zu' nachgiebig und schwachlich. M,an ist heut~urtJage versucht, den Jungeu den Ernst des sirttlichen Lebens zn verzuckern.
sO'rgebedürftige und VerwahdO'ste haupt,s achlich, sO'ndern alle sollen
unsere Aufmerksamkeit beanspruchen; clem1. «Wir ",verden cler NO't cler entwurzelten Jugend nicht HelT, ,venn wir mit TheO'rien an die Arbeit gehen, die aus E'l"f ahrungen an VerwahrlO'sten abgeleitet wO'rclen sind, an Minus,~al'ianten cles ordentlichen Bürrgers ». (Busemann, GebO'rgenheiot uncl Entwur~el'l.lng cles jungen Menschen).
Bei einer piidagO'gischen W 0' che in Donauworth im verg,angenen Juli hin ich O'hne V orhehalt dafür eingetreten, dass ml' bei den Kindern
Warum die gesa'lute Jugend getrO'ffen ist, rühl't daher, class die Kinder in einer Umwelt aufwachsen und ihre el'sten und tief,s ten Eindrücke vO'n Pm",s onen empf,angen, clie selber bis ins Innerste au,f geri1tte1t sincl. «Der M ensch selbst », sagt derselbe Gewiihrsm,a nn, « ist dieses Mal geu'offen und bis in die Tiefe ». SO' ist die im reissenden ZeitstliO'm mirtgeschwemmte J ugencl aHen Gefiihrnissen u'Oserer Gegenwal1: ausgesetzt.
das Verantwortungsgefühl und das Schuldbewu.sstsein p f.legen sO'nen als
lVIlancher Leser hat die Frage auf cler Zunge: 1st die heutige Jugend
unentbehrliche RlÏchtlinie im sitrtlichen I~ampfe, selbstvers1ancllicih O'hne nngesunde Helnmungen zu erzeugen O'der die vertrauensvoIle Selbstiiusserung i'l1'S g·efahrliche Unterbewusstsein zu vel'clrang,e n. Es hatte namlich der y.O'l~tragencle in psychO'ana1Iyrti,s cher BeJfangenheit clas SchulclbeWUi,s stsein arg mitgenO'l1'1men.
besser oder schlechtel' aIs fl'ühel'? Die Beurteilung des siulich rellÎgiOs€m W el~tes ist eine SO' schwierige Angelegenhei,t , dass wir sie Demjenigen übedals sen, cler «Niel"en und Herz'e n durohfO'rscht ». Wir anerkennen, dass sie aufgesch'lO'ssener uncl aufrichtiger ist, wei;t;er blickt, ihre Geclanken unverhO'hlener ausspricht um:l leichter die Hand ans Werk legt. A.t1lerclings gebarld et si'e sich auch l'llck'si'chtslO'ser und hart den geschlchrtlichen Sinn 'verlO'ren. Sie hat clas V el~sagen der menschlichen Geseilschaft edahren, sucht neue Wege, graht anclere FUl'chen uncl halt nach hessern Sicherungen Ausschau. Die
Wenn man von cler Lage der Kincler uncl J ugerrcllichen spl'Îchrt, geht man O'ft vO'n Statis1iken ans, die Au,snahmefalle er~a'Ssen : AnO'riIlla,l e, Verwahl,loste U.S.w. Es ware O'ffenbar ein Fehlsci1.luss, sO'l che Grenzfalle aIs Untet,lage zur Beur1tei'l ung der gesamten Jugencl zu wa'h len. Nicht Fil.'r-
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überras'Clhencle Zukunft steUt sie oft an den Sch:ej,deweg. In der J ugendbewegung regen sich neue Krafte, die wuchtiger ail s in frühern J ugendvei. einen wü,ken. Neben diesen pTachtigen JUJl1gen gibrt es leitder viele geS'~ranclete Exi's tenzen und die M·asse cler Schwankenden. Dass es die Kinder besser haben aIs ihre Grosseltern oder sogar ihre Eltern, lieg't auf der HaIl!cl. Die Siiuglings's terblichkeit ist seIn zurückge.@angen. Die gesundheitliche P,fJege . der l~leinkinder i'St gesicher·t ;er; so werden Kinderkr.ankheirt:en erfolgreioh bekampft. Die J ugendliohen geniessen melu Schonung ihrer KOTpeduafte und weliden spéiter in den "\virtschaftlichen Daseinskampf eingespannrt. S'p ort, Fel'ienJager lUld sonstige gesundheitliche Mtassnahmen konlmen ihnen zugute. Ob sie a'llch kraftiger und widerstall1dsfahiger sind, ist eine Frage ; denn deI' Sportgeist ist 'weit in Rekor,c lsucht, Schaulust und Gewinnstrehen ahgerutscht. Leutchen nût den heiden S'Clhneebl'ettern lassen sich mit Rad und Sesscli hinaufhefordern und er,s paren sich clas MüheVioUe, verpasS'en ,aher auch das W el,tvo~tle und Starkende. V om ecUen SpOl'tgeist mit den entsagung8vollen V orühungen UJnd der rauch- und raU'sch~osen Leherrshahung ist oft wenig mehr vorhanden. Schw:aohe Eltern oder auch manchulla'l l.Jehrer oder Sportfiihrer ralunen allzu leicht die Schwiel,igkeiten ans dem Wege, s~aifJt dass sich die J ungen daran eInporhehen. Heute wel,den vie:} mehr Jünglingen die Vto rteHe des Studitmls und der
Bel1ufsbildung zuteil. Die Schurl einrichtungen und der Unrterrichtshetrieh haben manche Erleichterungen gehracht. Viell'e icht modhten manche Erwachsene wied el' von vorne anfangen, UlU dieselhen V orteill e zu geniessen. Würden sie aher die Kehrseite diesel' Lage naher hetl'achten, so enrtsagen sie ihrem Wunsche gern und stenten eine ernrste Gewissensforschung an ; denn diese beworzugten und oft sogar verhatschelten Jungen haben es auch schwieriger aIs wir. Auf dem jungen Geschlecht lasten drei sclnvere Gewicht'e : 1. c1as he'S 'chletmigte W'a 'ohstums- und Entwickhmg,s tempo;
2. die mang-el'lllde Gehorgenheit und Sicherheit in der Fa'lllilie ; 3. die Gefal11.>dung in der OffentJ.id1.keit. Oh ne die genaue Kenntnis diesel' drei Storungsur,s achen hleiht das Bad der IGnder und J ugencUichen untreu.
J. BESCHLEUNJGTE LUNG (Akzeler,a1!ion)
ENTWJCK-
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Mlan l{lann leicht fes>tstellel1, dass viele Jugendliche ilu'en Eltern im w011tlichen Sinne üher den Kopf gewaohsen sind. W ir haben da eine ErS'cheinung, die seit etwa l '50 Jahren eingèsetzt und sich im letzten halhen J ahrhundert ausserordentlich st'a rk aJusgedrückt hait. Die heutigen Schweizer Theklrurt-en sind bedeurtend grosser ail s diejenigen von 1888. Der 70-
NJi.tteleuro paer ist in den letzten sechs M enschenaltel'n etwa wn 11 cm grosser geworden. Die Zunahme trifft aUe AMeŒ'Stufen, ,am aufHilligst-en die Zehn- bis Siehzehnjahrigen. Die Entwicklungsveranc1erungen treten deutlich im Knochengerüst zubage, s'Owie im f'r ühel'n Dll'rchbruch des zweilten Gehi.'sses. Wichtiger noch ist die Vorverlegung der geschlechtlichen Entwicklung. «Die erste Regel, die hei den lVIa,dchen 1905 noch etw'a im 1:5. LebensJahr beohachtet wurde, tl'itt schon im 12., Il. und sogar 9. Jahre ein, also 3 J ahre VOl' dem gesetzlichen Heira:tsalter (mit 16 Jahren). VlÎerzchnjahllige Madohen konnen hen'te aUissehen wie achrtzehnjahtrige ». (Dr A. Viethen). Eine ahnJiche V onnerlegung der Geschlechtsreife finden wir bei den Huben. Hier hetragt die Beschleunigung etwa 2 lahre, und zwa.r sind diese Erscheinuugen am starksten in. den Gl'ossta,d ttm, geringer in den IGeinstiildten und am sohwa:chsten auf dem Lande. Es ware von VorteiJ, die Ur.sachen der besohleunigten Entwicklung und des gest-ei-gerten Langenwachstums zu kennen. AIs wahrscheinliche Teilursachen nimm.t man folgencle an: Umstimmung des innersek'r etorischen Syste.m s durch eine fleisch- und feUreiohe Nahrung, die angehauflten Grosstadtl'eize, die Scha,d en der unnatür1ichen Lehenshahung in der Stadt und in den indU'striellen Gegenden. Leider hiiit die seelische Entwicklung nicht Schritt mit der leiblichen, sondern hinkt merkEch nach, d. h. -
dass der Geschlechtstrieh zu jener Zeit erwacht, da die geils tigen K'r afte weniger a'u sgebild:et sind. Mlan h 'a t von einer Früherotisierung der Kinder gesprochen, hesonders in den Sta1dten, wo die Menschen schnehler, l~eiz-empf,indlicher und gen'llsshungrigel' leben. Die Storung des leiblichen und geistigen G1eichgewichtes übt auf die Jugend einen so nachhaltigen Einfluss aus, dass E-rzieh~mg und Unterricht die wichtigsten F olgerungen diesel' neuzeLtLgen Entwicklungserscheinnng berück'SÎchtigen müssen. Nach Dr A. Viethen sind die-se FoJgerungen kurz angeführt : 'a ) Am ernstesten zu hewel't-en ist die T'atsache, dass die frühe Reife eine Verkürzung der lngendzeit um 2 his 3 J aIne bedeutet. Die Jugend wird all,so um 3 J ahre ihrer Spiel- und Le,r nzei t ü ber g a n g en; dami t scl1l1ll'lnpft das FundalIl1<ent allen produkt.iven Erwachsenenlebens - die IGndheit. h) nie Zusammenclr~ingung cler frühes1:Jen Lebensphasen, eliese Ungeolidnetheit bedeutet für den Jugendlichen eine biologi,s che Mehrlei'S'bung oeler besser gesagt, eine biologische NI ehrbelastnng. c) Die Lebensnot der Beschleunigten ist im allg'e meinen grosser, die see1:i's chen Spannungen sinel hesonders bei den Madchen starker. Diese JU!l1gen zeigen oft gesteigerte Anfalligkeit für seelische Gleichgewichtsstorungen. el) Bei SchnetHreifenden kommt es oft zu einem ers·t aunlichen SexuaJverhalten. Denn das vorzeitig~ Auf71
treten sinnlicher Empfindungen hegünstigt f rühzeiti'g die N eigung zu sexualen Verjehlungen. Sicher ist, dass untel' den Schnellreifenden in Erur.opa ei'l1e sexuelle VenvahdO''Sung f estzu.stellen ist. Wlas inshesO'ndere die Schulleistungen anhelangt, h,at m ,a n folgende T,atsachen festgeS"bellt: die Srtadtschulen sind 111ehrschichtoig in hezug auf die geistoige Reif e, h esO'nders wenn n1!an nO'ch bedenkt, dass manche Land- und Bergkinder in die Stadt v,e rsetzt werden. Die Frühreifen sind den Spatreifen im aUgelll1einen vO'raus; jedO'ch hO'len diese Hll'e heschleunigten I~amerarden ein, sO' dass ein verfrüh,tes U rteH zu vermeiden ist. Eine verjrühte Auslese, z. B. schO'n im 12. Jahr, kann lei'c ht zu Fehlentscheidungen führen. Der langsam reifende Mensch dü-r fte meist das wertvO'llel'e E,l ement darstellen. -Man darf die Frage srtellen, O'h die leihliche Beschle'llnigung mit entsprechender Verspatung der seeHschen Reife nicht eher eine VerfaUserscheinung ail s einen FO'rtschritt hedeu"bet.
«Die heute üblich gewordenen sportlichen Anjorderungen sind gerade jür die Akzelerierten gejahrvoll, da diese ojt untel' vasomotorischen Stol'ungen leiden ». (Dr A. Viethen). ZUll1 Sohluss diesel' Fl'age über die W élIchst!Ull1sbeschleunigung, die geschlecht!liche Frühreife und die seelisohe Verspatung sei nO'ch einmal
auj die Not diesel' [(inder hingewiesen: «Für den Erzieher hesteht die
Gef~ahr, dass el' dass wad1.stumsheschleunigte Kind nicht mel1.l' richtig beurteilen roann, weil el' sich durch die üppig aufgehaute Leihesfassade über den wirkl,i chen Entwick,l ungsstand wegtal1'schen lasst. SO' kann es geschehen, dass der junge Mensch entweder üherfO'rdert wi'r d O'der aber zu kurz kO'mmt. Das letztere ist namentJlid1. der Flan, wenn Ehern und andere Erzieher ' vergessen, dass sioh hinter dem hO'chauf gewad1.'s enen Korpel' das alùehnungsbedürftige, schutzsuchende und lieheshungrige Kind verbirgt ». (Dr. Hermann-JO'sef Kreutz). Die leiblichen Beschleunigungserscheinl1'ngen mit entsprechend versp ateter, seelischer Entwicklung, s'Owie clas auffallende Grossenwaohsrtum dürfrten sich erblich festsetzen, sO'dass ",nir das bisherige NlensohenhHd der Kindheit und deI' Jugendzeirt nicht unwesentlich berichtigen müssen. Zu den O'hen besprO"chenen Enrtwicklungsstorungen tritt das Gefühl der Schutzlosigkeirt, di'e das seeli'Sche Spiegelbild des a'U'ssern Ungeschütztseins ist, das wir mit aUen1. grnst ins Auge f assen müssen. U m aillf diesem Gebiet I<:1'a rheirt zu vel'Schaff en, müssen wir zwei HauptnO'tstande untel~s cheiden :
1. Das Versagen der ursprünglichen Schultzmaohte, die früher in der Fla milie tatig waren. 2. Der übermÜ!chtige Einfluss der bffentlichkeit, dem der J ugendliche allzu früh ausgesetzt O'der g,ar ausgdiefert ist. FO'rtsetzung f'Olgt.
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.Psychologie et apprentissage de la lecture JACQUES DUBOSSON
Professeur à l'Institut des sciences de l'éducation, Genève (Cf, Eco'le va1laisanne, No 1)
Das Lesen ist nicht nul' ein rein technischer V organg, den man in der Schule erlernt, sondent Ausdrucksweise, Sprache, die schon in der Kinderstube ihrer Pflege bedarf aIs V orbereitu,ng lür das Lesen, Das Lesenlernen ist niimlich sehr abhiingig von einer gewissen neurologischen und intelleklllellen Reile, Diese sollte das Kind erreichen konnen in 2 sog. Vorbereitungsjahren, die mit dem 5, und 6, Lebensjahre zusammfallen sollten. Diese V orbereitu,ng konnte manche]' Leseschwierigkeit im Sclwlalter vorbellgen. Sie sollte ergiinzt wc l'den durch eine Art Reile- oder Intelligenzpriilung der Erstjiihrigen durch einen guten Schulpsychologen beim Schulbeginn. Die Feststellung der Lesereife oder Leseunreife sowie gewisser krankhafter Zustiinde psychischer und physischer Art durch zustiindige Fachleute konnten der Schule, d. h. LeTtrer und Kind gerade liir den Leseuntel'I'icht beste Dienste leisten,
. Dans l'·article précédent, j'ai parlé de la cO'llaboratiO'n du psychO'lO'gue à l'éoO'le. Dans celui-ci, je vO'udrais mO'ntrer, à titre d'exemple, ce que la recherche en psychO'lO'gie peut appO'r.t er à l'éducatiO'n. Je chO'isirai un enseignelnent impO'rtant: celui de l'ap'p rentissage de la lecture. COlnment peut-O'n, par le labO'I'atO'ire, amener une améliO'ratiO'n de l'enseignement de la lecture? RappelO'ns un cert-ain nO'mhre de faits, de pO'int,s de départ qui appuierO'nt nO'tre argumentatiO'n ultérieure. 11 faut se sO'uvenir que la lecture est un langage et une fO'rme de l'expressiO'n de l'individu. Les éducateurs O'nt tendance à crO'ire que c'est la technique de la lecture qui cO'mpte, mais la lecture n'est pas seulement une technique - elle est un lang'a ge et impO'se la cO'mpréhensiO'n de ce langage. ChO'se ÏlnpO'rtante à relever, il y a une cinquantaine d'années O'n - 73 -
cO'nsidérait cet apprentissage cO'mme quelque chO'se de scO'laire avant tout : c'était à l'écO'le qu'O'n apprenait à lire; nl!aintenant, grâce aux tl'avaux des psyoho1O'gues et des pédagogues expérimentaux, O'n a cO'mpris que cet apprentissage se relie, se réunit d'une manièl'e très intime, tl-ès apprO'fO'ndie, avec la première éducatiO'n de l'enfant, la première éduca.tiO'n familiale. Ce sO'nt les études des neurO'lO'gues et des psychO'lO'gues qui O'nt mO'ntré, avec netteté, l'évidence de ces faits. On a pu prO'uver entre autres que l'apprentissage de la lecture dépendait étrO'itement d'une certaine maturatiO'n neurO'lO'gique et de certaines pO'ssibilités intellectuelles. Pal' exemple, O'n a trO'uvé que pour pO'uvO'ir dévelO'pper cO'mplètement la maturatiO'n perceptive et la maturatiO'n intelleotuelle, il était p'référ,a ble et même sO'uhaitable que la préparation de l'apprentissage de lecture s'étende
sur deux années. Par conséquent. il serait préférable de faire entrer l'enfant à l'école à cinq ou six ans déjà pour qu"i1. bénéfioie de cette transition que représente, entre le milieu fanülial et le mi,l ieu scolaire, cette école au nom si évocateur: l'école maternelle. On a ég,alement constaté que l'intehligence de l'enf,ant se développe plus harmonieusement si on peut lui f:aci'liter cette intégration à l'école et l'étalI er sur une période de deux ans plutôt que de la limiter à une seule année. En cP autres ternles, si l'on plonge simultanément l'enfant clans l'apprentÏ<ssage de la lecture et l'apprentissage de son métier d'écoli'e r, on a moins de chances de s'en sortir aisément que si on lui permet un premier conbact plus étendu, plus libre dans la classe préparatoire, en entl'eprenant l'apprentissage de la lecture en fin d'année seulelnent. On sait par ailleurs que le langage, en tant qu'expression verbale cette fois, apparaît entre douze et quinze mois pour les Pl'emiers mots, au nlOment où l'enfant commence à avoir une vie affective; on a prouvé la dépendance de la vie affective et de l'expression par le langage. Il se produit, chose importante à souligner, une concordance renllarquable : l'enfant commence à parler au moment où il apprend à marcher; par conséquent, il y a toute une mla turation neurologique qui se produit à ce moment-là et qu~ a une import'ance considérable pour l'enf,ant. C'est à cette même époque que l'enfant comprend, «prend avec lui» une image -
simple, et que commence à s'installer chez lui la notion de l'objet. Les ph'11ases, en tant que phr,ases exprimant une idée, apparaissent quelques 111.ois plus tard, entre vingt et vingthuit mois en moyenne. Des études précises ont montré que l'écart entr-e les mots isolés: papa, maman, pOlnme, etc., et l'apparition des phrases à structure plus ou moins conecte grammaticalement, ne devla it pas dépasser un an si l'on a affaire à u~ enf ant au développement psychologIque normal, c'est-à-dire qu'il ne doit pas y avoir plus d'un an d'écart entre le moment où l'enfant comnlence à prononcer les premiers mots et celui où il commence à s'exprimer par des phrases. Il faut natureltl ement faire une réserve pour les cas de malformation physiologique de la ca'vité buccale ou de malfomnation auditive par exemple; ces phénomènes peuvent retarder l'apparition du langage, sans pour cela toucher le développement intellectuel de l'enfant. Autre fai,t important à. rappeler encore : entre brois et cinq ans, v'o ire même jusqu'à sept ans, se développe la période perceptive où l'enf,ant entre en contact avec l'objet et où il apprend de cet objet quantité d'é161nents qui lui permettront de connaître le monde familier et d'agir sur lui. C'est la période décisive pour l'apprentissage de la lecture et c'eS't une période qu'on ne pourra pas l~~ trouver ultérieurement en cas d echec. Il est donc faux de vouloir être héroïque et de vouloir à ,~ou~ prix « débrouiller» un enfant sIl n a pas acquis les conduites intellectuelles 74-
et perceptives de base qui lui permettront de faire cet apprentissage. Dans un tel cas, il faut confier cet enfant à quelqu'un qui a une form'a tion supplémentaire à celle de maître d'école, parce que, si l'on perd ce temps période non réversible - , on ne peut pas le « récupérel' ». On est alors en f'ace de cette situation extrêmement grave et que per,s onne ne désire voir apparaître : des enfants qu'on garde dans la première classe primaire jusqu'à huit ou neuf ans et qui ne savent pas enoore lire après ce' temps. Ces enfants devront alors hénéficier d'une rééducation de la perception et d'un nouvel apprent!issage de la lecture, si bien qu'au moment où ils seront équipés techniquement comme des enf ants de huit ans, ils auront alors neuf ans et demi, dix ans, onze ans selon les cas. A ce moment, des problèmes de comportement apparaîtront et on ne peut plus placer un enfant de onze ans a'v ec des enfants de huit ou même sept ans. On est .presque obligé de laisser cheminer l'enf'a nt « récupéré» à côté, en dehors de la scolarité normale, alors que si l'on a,"ai,t fait ce repérage au bon moment, si l'on avait pu convaincre les parent,s, les éducateurs à temps et collaborer en un nl0t avec tous, on aurait pu placer monlen1lanément l'enf ant en classe spécila le et le réinscrire ensuite dans la classe primaire, ulie foils la rééducation a'c hevée. Si l'on veut donc pouvoir faire une éducation et un apprentissage de lecture' correct avec l'enf'a nt, il faut chercher s'i1 est apte à. f.aÏ-re cet apprentissage au momeIit où on l'entre-
prend. On sait que l'enfant capable d'apprendre à Ure possède un bag,a ge intellectuel que l'on peut définir; il est formé par un noyau ment ail oonstitué essentiellement par les éléments suivants : r,aisonnement intuitif, notions d'espace, de temps, des rel'atilOns entre l'objet, l'image et le Inot et, couvrant le tout comnle une chape, le pouvoir graphique, la possibi,l ité de traduire la compréhension inten~otuelle pa,r le graphisme. Certains enfants sont handicapés pal' l'expression gr.aphique ; ils ourt de l'imagination m·ai,s ne S'avent pas réaliser graphiquement leur conception. Dans l'apprentissage de la lecture on observe parfois un hiatus pénible pour de tels enf.ants. On les désigne dans la clinique par un terme précis: les dysgraphiques. Ce sont des enf'a nts qui écrivent mal, qui pèsent beaucoup trop en crisp'a nt leur main et qui sont souvent incapabJ.es de s'exprimer par des traits coordonnés. Oes difficultés peuvent ~e vérifier spectaculairement dans le dessin. On peut faire l'inventaire du bagage mental indispensable pour l'apprentissage de la lecture. Cela del11'ande un certain temps mais c'est un temps minime par rapport à celui perdu par l'enfant 1011squ'il est en f ace de difficultés momentanément insurmontables. Pour donner un ol'dre de gl~andeu'r, je dirai que l'examen psychollo gique se réalise en deux ou trois heures dans les cas sÏlnples et peut demander cinq heures dans les cas plus complexes. A cda il faut ajouter le temps de l'eXiamen du médecin, du pédago75 -
gue, le travaÏ'l de l'assistante sociale. Mais on achnettl'a avec moi que quelques heures au début de la scolarité de l'enfant ne sont rien en reg>a rd de ces heures d'effort, de transpiration communes à l'enfant et il sa maîtresse, à l'enfla nt et à ses parents. Qui n'a entendu une fois ou l'autre des parents avouer des heures dérai1s onnables d'efforts pour «apprendre une page» et cela sans résultats? P lar conséquent, on doit pouvoit!" consacrer le temps nécessaire aux examens psy.chologiques et j'ir>a i plus loin : je pense que si nous n'avions p'as un peu trop peur de l'expérimentation rai's onnahle (<<Dans notl'e pays, nous av,ons peur de l'expérimentation », A. Descœudres), nous pourrions réduire encore le temps nécessaire à ces examens. Grâce à un labol,atoire de recherches psycho-pédago~ giques, nous pourrions mettre au point un cel'ltain nombre d'instruments qui pel'mettl1aient de gagner du temps, d'aider les éduoateurs, et par là - et c'est pour nous l'essentiel - de rendre nos enfants plus heureux, beaucoup plus heureux à l'école. Il convient de ne pas oublier que l'échec intellectuel est presque tou· jours accompagné d'un retentissement affeotif déf.avorable pour l'enfant. Or, on n'a pas le droit de lai5ser un en· f.ant s'enferrer dans les difficultés de lecture parce que cela modifie involonta~rement mais certainement son comportement affectif. De plus, il faut souligner que nous s~mmes souvent aux prises avec le problème du bilinguisme qui ne fait
que compliquer la situation. Il f'a uchai,t arriver à faire comprendre aux parent.s l,a nécessité d'abandonner, au n'loins au début, l'usage des deux langues au foyer. Puisque l'enfant parle }e français à l'école, il faut qu'i!l parle le français à la maison. Le ll'1aître ne doit pas avoi,r peur d'aider les pallents qui disent: «Je voudrais bien t11availler avec mon enfant, mais je ne peux pas parce que je ne pallIe pas assez bien le français ». faut leur montrer, leur expliquer, les faire a's sister aux leçons de lecture pour qu'ils voient comment se f'a it le travail, pOUir qu'ils puissent le prolonger de l,a même façon à l'a maison afin que l'enfant soit traité des deux côtés de la mê·m e manière. Je voudrais rappeler également un aspect de la santé physique de l'enf ant que l'on ouhlie trop volontiers à l'école: le Pl'oblème de l'audition et de la vision. De légères insuffisances auditives ou visuelles n'appal-aissent pas toujours à l'éducarteur ou aux parents car elles sont disorètes. Dans le cas de l'audition, elles sont oamouflées par des gestes; dans le cas de la vision, elles sont oamoufilées pal' une espèce d'entraînement, de ressassage que fait l'enfant; on lui répète, on lui présente les signes à de nombreuses reprises, si bien que pour finir il les assimile, mais avec beaucoup plus de peine que si on lui avait corrigé son léger défaut de vi-
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sion. Je v:ouLlrais encore évoquer ICI un autre point : certains enfants ont de la peine à apprendre à lire parce qu'ils éprouvent des difficultés caté-
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gorielles. L'enfant n'arrive pas à se rendre compte de ce qu'est un nom, un verbe, un adjectif. Mlais, dira-t-on, on n'enseigne pas ces notions en première année! Certes, on ne les enseigne pas d'une manière formeUe, mais on les utilise pratiquement dans le langage quotidien. L' enf ant connaît la valeur et le sens des mots ; il sait intuitiVlement toute la richesse, touve l'inf,l uence d'un verbe; il pressent toutes les possibilités, toute la précision qui sont contenues dans un nom. En résumé, Falpprentissage de la lecture est chose importante, souvent difficile, et sera f,acilité si nous nous souvenons qu'il est inutile de commencer un apprentissage de la lecture trop tôt, c'est-à-dire au moment où l'enfant n'est pas en possession du bagage défini précédemment: niveau, temps, espace, mot, image, langage. Cette conclusion peut amener certaines difficultés sur le plan pratique des réalisations. Enes disparaîtront pourtant f.aciielnent: il suffit pour cela de grouper les enfànts selon leur développement psychologique. S'il existe deux ou pJusieurs classes de première . ou de deuxième année, il n'est pas diffici,l e d'organiser un examen psycholog,i que au départ et de connaître les enf.aIl!ts qui, momentanément, sont en av'a nce sur leur.s camarades, et « démarre~: » tout de suite avec eux pour l'apprentiss'a ge de la lecture ; tandis que les atüres aUen(h'arient deux, trois mois ou un semestre en faisant des exer,cices perceptifs nombreux pour amener cette maturation psychologique permettant un départ aisé.
Si un enfant est mûr au point de vue psychologique, il est tourt à fait possible à un éducateur qualifié de lui apprendre à lire en deux mois en traVlaillant une heure pa'r jour seuleInent. Pour une olasse ou un groupe d'enf'ants, il faut neuf mois au maxiraum. On cloit arriver à apprendre à li'r e à des enfants en neuf mois (dans la classe, ct tous les enfants), alors que la nOl1l11e hahituelle est presque toujours fixée à deux ans. Si l'on veut procéder inteHigemmenrt, on ne doit donc pas commencer un apprentissage au nom d'un règlement scol,a ire, même très bien fait, mais au nom d'une connaissance précise des pouvoirs de l'enfant. Cette connaissance, l'éducateur ne peut pas r.avoir immédiate, totale; le psycho'l ogue non plus, mais, de la collaboration entre le psychologue et l'éducateur, peut naître une connaissance suffisammenrt précise pour permettre à l'enflant de f,aire un départ sans difficultés. :n est nécessaire d'insister sur un point. Lorsqu"on parle de dé'l.la is de l'apprentirssage de la lecture, il fla ut f aire une réserve : nous ne pouvons p.as apprendre à lire à tous les enf,ants. On ne peut pas apprendre à lire à un enfant qui ne nous intéresse pas vivement, ni à un enfant qui n"a pas pour le maître une amitié profonde, un dévouement totat 11 faut - et là le rôle de l'éducateur au clépa,r t est immense - que l'enfant vienne à nous comme à celui dont il at:tend tout, celui qui va l'initJier, lui donner l'élan vrai ver·s lia connai,ssance. Et c'est un point auquel il faut prendre garde à l'occasion. Il
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y a d es enfant s qni « accroc h en t » pIns fa cilemen t avec cer tains éduca-
teurs qu'avcc d 'autres. Pourquoi att cmh e qlle l es difficultés ap paraisuent au lieu de faire tout de suile sou s la co nduite rlu D irecteur, de l'I"ns p ccteur ou du Présirl en t rle la Com mission scolaire, de toute au't ol'ité lJÎc nveillan le, l es quelqnes trans- . rerls rpli pe rmettrai ent un d épart h ea u cou p plus harmoni eu x e t plus facile clans la vi e scolahe ? Dans un e classe unique ~ dans un village pal' exemple ~ en face d ' un e telle difficulté , un camHrade plu s âgé pounait rlonner cet indis pensable appui affectif. Que faire maintenant e n cas d e cli ffi oult és ? Distin gu ons d eu x t ypes de difficn]tés :
Premier gronp e.' les clifficuhés si mples; c' es t-à .dire celles qui provien n en t d' ull lnan rJu e de 11latun.l'tion neurologir{u e ou de s itu ati 011S affectives particulières. - Les prem ières se con:igeront par le travail éducatif dans l e co ura nl ùe l'année: j eu x éduca tifs, j eu x p erce ptifs, et par les co n seils technlqnes précis donnés à dn ca tem' ou à la f.amille en signalall't les partic ularités de l'enfant. - Les secoüdcs par un e connai ssance plus précise du cas.
ré-
Il y a d es ellfa nts qui refu sen t d e t l13vailler pal"Ce rru' ils onl un petil f'r èl'e qui n e sait pas en core li re et ils ne veulen t pas être autrement llue l e petil frère. ]]5 onl nnc telle a ffe ction pour leur cade t rIu' ils vculent r este.!' à son nive au. Ce tte si mpl e diffi culté affec ti ve les gên e cu nsjrlérablemenl, mais se réduit par un e ffOl·t d'adaptaLion rIe l'édncateur.
Deuxième gro npe: l es difficultés gr aves, complexe:;, SO llvent liées à un reta rd m ental léger , à certaines insuffisa nces de la parole on, dans certains cas, à d es difficultés affec tives. Dans ces cas, la r éédu cat ion inteHectuelle, li ng ui stique o u affecti ve est très impOl'tante. C'est don c dire qu 'oellc l'equlert souveht la collahoralioll du psychopédagogue, d e l'orthophoniste ou du logopédiste, ou en cor e du p sychot]l ér ape ut e. L'éducateur conviendl'·a avec nous qu'envisagée S OliS cet angle, la r el'herche en p sych ologie scolaire p e ut l'aider, d ' un e manière so u vent d écisive, dan s so n immense t.âche. Dans lin dernier articl e, nous t en terons d e montrel' l'influen.ce d e la psychologie clans les stru ctures m êm es de la didu otiqu e de l'apprentissage rIe la le.ctnre. (A suivre )
DAS HEIMELIGE SCHULZIMMER von A .~ M.
A l '(;cole, I.es e/I /(I/I /,s doi,vent se sClair ch ez el/x. JJOUI' cc/a, il fa llt que règllcn /., comme ù lu maisoll, I.e sell,~ de l'ordre (" de l'autorité, le gOLÎt da/ls l'orn ementMio/i. Po l le soill dall.~ l'entre. tien dfl /1Ifltétiel. Ma i .~ III ,wurce véri table de ce cl.inwt illdispellsuhle ci IIIl~ n!tHsi.t.e . ,colai.re totale se trou Ile dalls le dOit clu flwi/re fi ses élèves, dan.'; l'mlwll r (/IL'il leur porle. DéuelQP'
IJQWI lIuSsi. en e u x le sens de /a petite CtHrlllllllllwté humain e qn'ils forment. Ca/' c'est l'otmo$' phère illtéric/1re de symputhie qui engendrera le respect des personnes et cle!; choses . E n hive/', /WltS è prO/l.llOlU ltll lJl:"win Illus int e nse de el/(/l eur et rie lum.ièrc, dmls la lJie ordil/oire commc da/t.~ la vie sp il'iwelle qlle /lOIIS clic/mit l'Avent e t le leml)!; de Noël. l'rQ f itolls·en pOU l' créer cel.le intù"ité en llOS classes, Si les ell/anl,~ lmigllcllt dans celle (({/1losphère , ils Ile lIHJIICj uel'Olll pas de l'apportcr dan s Jew' fmnille cl. parlollL mi les cOl/df/ ira leur acû t,Î.té fl/tw'c.
llem erkun g d er RcdaklÎoll: Eine Frau (/lIS dem. '[ (auton Ziil'ich, die da s ObenlJuliis sehr gut kellnt, ;11 mallche Sc/III /..sw be li/Isere,. BeJ'gdij/'fer suit und m it t!I~e len jUligell und ii/lem Lel/ten gephwdcrt. !w t, bericlltet l/lIS: of Au/ me;ne Fmge, ob I;'S ;11 illren Sc/misti/ben /Ille }, Iwimelig :"ei. rUl I.u;urlelen die mets/,ell ·venlCillcllcl. l ch /ülllte mich n ich t berechtigt zn /l'llglm, Inwwu dem sn sei . Aher v ielleichl kW!n ic h den l.ieben WaUi,w.!rkiliderll, eillelL kleinCII Dienst cl'weisen, welllt ich ill der rfI ALLISER SCl1U l ,E erziilde, wiinmt wir I/IlS seincrzeit. in La/ldsclwlstllbe d erart /wimisçh, fii,hlten, class ieTl heute /l Oc/l, nadl etlichel1 }ohrzclllltell. mit Fl'eude u/l d Heim weh ml s l~e zLtr iid.~ delll.'e - we il es in ihr so heilll elig war ). .
e;Il P..1'
« ' v'as ist clo ch au das heime:lig ? ' s jst artigs \Vort J 's mnss op pis G uets z'bi düte ha ; m e 5eits vo li ehe Lütc ja, vo man gem hiibsch e Ort, vo mangem hiih sch e O rt. (]hurzum , wo's Herz ün Lyh d el' selt: w ie tnsigs woltl bin ig J \'\'o d 'wie deheime wohnc wa gsl llllrl Slls t n a k eine Giietre fra gst , tla isch es h ein~cli g, da isch cs h eime·
das Glii ck, es hei eincm Lehrer z n lern en, deI' ehen sel ber W ert darauf 1egte , da ss wil" a n ch in der Schule diescs H e imel1gsejn e rleben dllrftell , und es i5t ni cht VOn ungefah r , wenn mil' d ieses Lied bis heutc in E l'inuerung gehli e bcn isl. Schon aIs Schulkindel' schiitz en wil- die h eirnelige AI,nwsphiil"e, llie jene r L ehrer zn schaffe n wu sstc und h eu te, da idl ..illch vel'stand es mn ssig zu sclla,tzen vel'mag, was el' UliS ausser d 2 111 Schulwissen gel'a d e dl ll"ch cliesen Fa ktol" mit a uf deI) Lebensweg gcgchen hat, l.IÎn ich ihm üh er das G rab hinaus von Herzen dankhar dafi:ir. Wlrk]ich , anch in der Se hu l e Honte es h eimelig sein, d. h. die Schille r soUen sjcl l « dah eim », a]so wohl fühlen. iVr an ven vcch sl e di es aller-
50 Il e s
lig ». von J.'crcl . fluber 1791 ·1 863. 4: Heim , Il , Gd., Summ,lullg vuu JI olks. gesiil1gen l>. Verlag der Ziil'clwriscllell Lieder· Imcl!a/lstalt,
Aus
QlIltnd j'étaü jeune. j e rêvais qu.e la vi.e éw il joi e ; }p.. m.~évei llai et, j e sus ql.l.(~ let 'vie n'étoi.t qu.e devoir;
A lors j'ai agi et j'ai. connn qu.e le devoir étaÜ joie. Rl1binclran,Clth T ftgor e
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«Was ist rloch au das Heimelig ?»... das Lied ist gewiss dem \,r a11i5er Lelll'personal- und ich hoffe es seh!" - au ch d en \Vallise)' Schül ern und Schiiierilln cll hekannt. ""ir hatten -
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dill gS lli cht e twa mit Disziplinlosigk eit u. a. , das ware Cill grosses Missve."stiindnis" \Vohl und Zlùlau se fühlL man sich ja llicht d o rt, wo kcinc On1nung h c rrscht, k cinc A utol"lüit is t, sondern dOl"l, wo VOl"er st di e K illder ihren Platz haben, ehcnsosehr abcl" auch di e vel'schicdellen G erale und Dinge, dic llla'll tag tii glich ))l"aucht , dort, wo Ordnung is t und die alltiig~i chen A rb citen und Handlungcll auS L iebe und Hingnbe zu G ott und Zll-
ehumd er gctan wc rd en " Aus hingebender Lic h e entst eht nClles Leh c l1. Hingeh ende, hüh ere Lie be d es Lehrp crsonals zum Kind muss in diesem ehellsolch es Le bcn wccken , ' V ürnlc sp enden und entfachen , die schliesslich dic Kind er h erzen und d en ga nzen SchuhallJJl crflillt und h eseelt. ' Verden dic Schnlkinder VOI11 L ehl'pe r sonal nLit Licbe gehegt und gepflegL, pflegen dicse mit deI" gl eiche Hingahe clie BIumen am F en stel", sorgcn d af ür, dass die Bild er an d en W iüHlen nicht ver s taubt und ve r gilbt si nd, sondern dem frohe n, abwechlsungsreichen R h ylhmus illl'es Kind el"- K irch en - und Schull e bclls an gepasst sind" - ' 'Vil" hatle n z, B , nnt er d em h er eits cr· w abn len Lehrer an unserer SchulS tube t1 erm assen F reudc, da ss ein \Ve lleifcr unter d en Schülern au sgehro ch cn war, we." cli c schonst e und saubcr stc S chnlbank h csit7.e ; es wurd e mit Stahlwolle, ~l i chse, Wollappen (cli c man von zuhau se mitschle ppte) j ed em TinLcn- und sonstl gcn F l ecken zuleib e gel"üekt, und wir lH'a chtcll alle sam t und sou d ers im \Vintcr fr eiwilH g selbstangcfe r li gte
I--' antoffelJl mit, d amit d er Fllsshoden nicht zn seln d emjeni gcn gewissc r o ffentli ch er Siil e lZ, B" W artsin c d er SBB ) in A usseh en und Geru ch gl eich kam" E in e sChlllutz.ÏgC T afel, cill ch ellsoi ch eI' Sehwamm, T afcl-R c inigUll gslappc ll, unsauher e VodüillgC Ml den 11'ellstern, :Pnlt und H andtu ch des Lehrers usw ", ein ni cht regelmiissig gut gelüfteter S chnhaum wa ren für 1111SCre von ltnS geli ebte «Sc1uùSLuhe» «Sch anclflecken » gewesen" Genau 8 0 ab er biitten si ch clie Knahell gesehiimt in schmutzigcn H emelc n oder IIosen zu e rsch ein en , wic ale M iidch en mit schlllutzigen Sehürzell u sw . (cs ,va r ein e gemischte Schllle) , NI an denke daLci 11Ull .l a nicht, es w al'en aUe Schü1er ans wohlgcor due ten Verh 1iltni ssen gekOJlllU en" Aher ger ade cli c, welche zuhause cin e wohl1ucndc, h cime1i gc A tlllosphare, cine soIch c d er lichevollen E r zi ehun g VCl"· m.issen nl usstell, IHauchte n sie er st rech t in der SC'hlilstuhe. I cb stalwe no ch h c uLe d ariiher , wi c d e r Lehrcr es zustand e hrachte, uns zn c iner sl ('h gut vCl"Stehenden Ge meinsdwIL ztt erzieh ell, die ge l'ade nit" Arme und weniger Begabte }~ntgegenkom m e n zcig t.e. I mmer waren gelliigen d K am cra tlen da, di e den P1 a tz in OnlI\ llug hi elLen , di e Blmnen h egossen und « Àmtch en » überna]nnen für j cn c, di e ~ "B" eine n selu weiten Schlllweg ha1ten ; IVHiclch en, die m ehr für lIandarbeit h egabt ware n aIs HUH echnnn gsaufg abell, dl1rften au ch zwisch etùünein eimna] Buhe n aus zahh:cicher F mlliIie usw" ein en Pulli stri cken oder fli cken , sodass w i.- an s eigen cr Ansc.hannng ICl'llten, wie j e·
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" cles im Gem c ilischaftsl e hc ll seine A ufga hc am bes ten erfiillen k ann, und keines si ch gcgcnühcr d em a nden. aIs Gli e d tlCI" G em e inschaft mi nd el"we rtl g vorkomm en HlusstC. Heillle.lig i 81 es namli ch nUl" dann , welln sieh all(~ wohl und vom Geistc gegenseitiger l,l c be getra gen fül11 ell kOll11cn, D ieser l .ie be und des Erlebnisscs des Dalteim- lurd Geh Ol"genseins in d er Sch ll l c lJ cdarf a be r mit dop p clte." N otwend igkeit au ch clus K inc1 a lls wcni gcl' gl ückli ch en F amilicllverhiiltni8sen. U nd wohl :tumnte ist cs auch d om g u tcn Kincl c mu dOl"t, wo es !teine sogcn. Parte ilichke.it d es Leh rcr.s ode." d eI' Leluerin h eoLachlen mU 8S, sond enl dort, wo wenigcr Beg~l bt.e, clie mi t d en Schulaufgaben uncl iHl U nterri eht ohn chin J11e111" « geplag t » sin d , ni cht stiindi g « an den P ranger » geslellt werd en " Au ch d as gllte Kind lieh t viclm ehr das H el l'en, und es ist gliicklichel.", wenn ihm cli c Fre u de aus dem Dien en f iir di e an dern zllkolllmt, aIs wcnu cs bevor zug L u u d in n.ich t ge ~und em Ehrgeiz llnterstlitzt winl, «~r as isch cl och 0 du s h eimcli g 'h> ,"" ja, vie1mc1 11" aIs m an nn r 80 ob cnhin gl a u hen wiinlc, N .ich t allcin mit bunten V orhiin gell, B ilde.'11 an d cr W and und BIumcll win1 es geschaffen ; dies . ùl es siutl s(~h o n ni cht :tH vC l"gcssende, /l.otwendi,ge Di nge, clic ah er ni e ihrell
ÇfM.fi~, c;rnaderrw.rY11~ G~
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vonen E influss und ihl"e voIle ' Virkun g an süben künll cn , we nn n iclH ein e innerste. lu~ imelige A unosphiirc das Ganze h eleb t und st andi g n eu gesta1l'et und lllllgestultet. H eimeJi g solli e unsere «: SehaIStuh e» hesond er s aber auch in der Vor wcihnachts- IU1cl W eihnachtsze it sein, Es Îst n icht von ungefah r, class ",ir ulle, gross und klein, in den WinLcrmonaten , V Ol" a,]l clll im N o vember , Dezemhc r u nd Ja nu arr, ei n fas t über· h e lollLes Vel'lan gen d a.'na ch hab en , UIl S irgenrl wo aufzuhalten, wo es heilueIig is L E s sind clie M ona te, wo nn s dl" all ssen we ni ger gemiitli ch ist, und die Sonne von Ullssen h e1' fehh. Da isL all gem eil1 Hun gcr vorhanden n ach \"X/ arm e und L icht, di e wir iu Verbindung a u ch aIl tlcr Wl.1llCl er barcn r eli giosen l\10tivc in d er Sclllùslllbe nützen wollen , inclem wil" selb cl' Wiirme von innen hineintragen u nd a nch d en natürlicb en Hunger Ilad. Li eht in cler A d velli szeit (lm:ch d en sehün en B ran ch d es A dventskm n zcs, s pii tcr d es LidlLes d e.' Weihna chtsk e rzen, . . L i chtmess usw-, nützen u n d so Ul1 ser c K indel" ~lll eiue h cimelige At.m osphicire, an h eimeli ges Ges l"alten gewoh nen, dam it sie cs j ctzt und s p ii tcr ci lllllal in ihre ci gen en F~Il11ili en h in eill Ll" agen , in die Schll'lstnhen , J uge nd gr llPpen, soga t" B üros und Gl'ossh e trÎeb e,
WeMrnadUerTIJ aewrv
efdwNUmdeJ?/n, j Die Reda kt ion -
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An die Schwachen von. einem. IlnbcJ,:unnten RalbstclI'kClL
Weil ih,. schtvach seill, lutbt ih,. lUI S Balb,,,'.nr/w genall/a, und damit 'IJ€ l'dammt ilr.r cin e Ge1l.f' raLÎol1 , an d er ihr ges iùuligl. lurbl" weil ih,. schwach se.id. Wir gabe,." en eh zwei }ahl'zehnle Zeit, uns stark zu "wchen, sl.ark in der Liebe und stark im gu/.en Wi.llen, abe,- ihr habt u.ns hulbs/,ark genwcht, weil i ILl' .'\c1uvlt-ch scid. Ihr 'wbl. u.ns k einen W eg getuie.'sen. der Sinn hat, weil ih,. selbe,. (len Weg n. id"t kennt und versau.mt Jw.b4 i.hn z u. slLch en , weil ihr sch wa.ch scid. Euer brüchiges « Ncin » stand windschicf vor den verbotenen Dingen. wi,. brauchten ltW' e l was z u. schreien, (lann na/unt ih,. dns « Nein » weg und sagtet « la », um. cure schwachen Nerven zu sch onen. lUul da s nanntet ihr « Liebe» ! ffl'e il ih,. schwach seicl, Jwbt ihr eu eh von UltS Ruhe erkauft, solange tO;.r klein tOaJ'en, mh Kinogeld und Eis, nicht uns IUl.bt ihl' dam.it gcdi.ent, sondent eLU;h llnd e u.rer R equentlichl.:eit, wci.l ih,. sch'wach scid : schtuach in der Li.cbe, schwach in der Gc(l"ld, schwach in der HOffltlUlg u.nd sdtwach im Glau.ben !
Steel" die Pistole weg. H e,.r lflac htm.eister, uml su.g lins, tuas sich Z II t.un lolml. ! Liebsl d " wirklich d ie Ordnllng, der (In hier dien st, od(~ r liebst d", d ein R ccht lLUI Cc/wh w ul P e n.l iion? Zeig, ob dl,L stark bi."t im Nlensch sein, H err M inistcT. wicvicl gILte Taten begehst du im vcrborgen en cd ,,, Christ? Sind wi,. nich r. Zerrbildcr curer verlogenen Exis lell.z. ? 117;,. mach cn olfenen Liirnt und randaliercrr.., ihr abcr kiùnplr. gnadenlos im vCl'borgcnen, cine r gegen de n anelenl.. Ihr dre/u eueh geschiiftlich elen Hals Hm, inll'igiert ur1l. besser beza hlt,e Posten. Zci.gt uns 1iil' jcden 'von uns, cler Liirm ma.ch", einen von c lLch , der int stillen. gUl ist ! Lasst. altsla.Lt mit Guntmikniippeln Z lI dro/um. , Il!liinner cmf uns los, die lins zeigen, wo cler Weg i.st; nicht m.iJ.. WOTten , sondern mit ihrem L eben., (I.lu~ ,. ihr seicl ... ch:wuch , die SU/.rken.. ge hen j,n den Urwll id und machen Nege1' gesund, wei.l sie eu ch vera.chten w i p wi r. Denn il,.,· .licid schwach., uncl wir sind /wl1Mtllrk ! Jllutte r. versuch z n betcn ; d c.nn die Sehwiichlinge h uben Pi.5toZen !
D iese erscilii u erlltle Allklage ersclliell ;" der Zeiuchrift c Bild am SOIl"tag :t, Hmnbllrg. War um wir dies€m Schrei, eilles jUlige/! Me/uc1wn llfl .~ der Grosslaflt hier Rmuu gewiihren, k i:hmtc/t I//l sere '_Alser Imgc". If/il' wolle/l de" scharlclt Kluger,,! /lie'" (/ilS d elltell, sondent [/1lserc Leser Iliw!/I, ilm St,l i; liir Sa I.];. e hrlich II/ld mulig :;1/. ii/Jenle/lJ.:e/l , Viel/eiellt. ·wird ep' A"ll/sS zu cill er Gewissensel'lol',~c1I/1/1 g II/Id t.riflt da!Jei u[/('!J HIIS , so oder cwders, Ulld machl UlIS sliirker liir dic Z uku/llt, Die Redalctio/l .
W i,. ,liind halbslark, und lInsere See len sinel/wlb so (lIt. tvie tui,., w;,r mach en Radau, weil -tuil' nicht wei,nel1 lOoUe,." Iwch all den Dingen ,
die ihr u.n,1i nicht gelehrt ha.bt.. IV iT künu en rech nen lUld lcscn . und man wics uns an, die Sr.a,nbgeliis.lie von Buschwindroschen zn ziihlen, tuir wissen , wie Fiichsc leben lUteZ k e nllen den Hwt vo n).. Ackersdw cht.elhalm.. W ir haben cmeh gelel·nt.. stillzlt.'.itzen und den Fingel' zu. !teben, aber in d er Stadt. gi bt e,Ii k ein e Buschwirulroschen luteZ keine Fiich se, und w ie mun d e nt Lcben begegnet, habt iltr uns ni.chl geleh rt ! fr/ il'
mochten. sogur
lU t
Cou glcmben, (In einen utlcmllich swrken., d cr alles ver·
Stl~/tl
!Lnd der wal, tlass lOi.,. gu. t sind. Abcl' ihr 'Utbt uns /ccin en NLe nsch en gezeigt, cler gnt j.st , weil el' an Gatt glcmbt, ihr ha.bt. mit Anclltcht CeZll veuli_cnt u.nd TOI.oergelm.i sse 'w ie Ge bete gel1uLnnelt ! -
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Oh, cl ie Mcnschcn wisscll ni cht, wie sdlon es eigcntHch in Kindcl'hcrzcn 811ssieht in denen di e Lithe aufhhiht ; sie wisscn aber all ch ni chl. wie zart di ese PfJanze i5t in ihren; Friihling, uncl \l'ie I f' it~ht e in Fl'OSl sie Hihml oder tolc!. Mil f' isigrl' Hand , rl'osti g flUl'ch lIltfl dmch, wiihl en di e lll cisle n Mell sr,hclI in den KilHl el'hen:cn, und unler HU'en T-HindclI erstarrt d eI' 5chiine Friihlin g; dic Pf,liin zchen d e.r Liehe cr stcrb c.ll . und kiihlc, IŒItC, scIJJstsiichtigc MCllschhc1t nistel sich ciu aI s IUlIsend""mi ges UllknHlt in dt'I' Li ehe "erocie lclU Gal'leu, und da, wo mun der sii ssen Liehe !S iisse Fl'Î.icht c hülle prlüdtt'Il Id) lln ell, Hlld ct mUIl nul' di e hitlt-'rn GalHipfel des Ne idcs, dCI' Eng herzigkeil , der Gemci nh ci l. Jeremia s Gou heH.
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PRAKTISCH E R LEBENDIC3 E
TEl L
SCHULE
De r lehre r führt zur Berufsreife Dr. HUGO WY SS, I/kt/d ,> mi$c1w 11,·mlsbe/"f/ l/ lII g.
LU Z ! ' I'II
Il Das Beobachten ln der Berufswahlvo rbereitung nUlS nHhel i l :g{' lI(ls h~ Mille!, c incll M cnsch cn k eullcll zn lernen, Îsl di e Deohuchtuug. Sie isl 50 lIt:lbstvCI'!'tlilldlil'h , cl uss ",i .. ihrer Vorzïl ge gal" ni c· ht inllc wenJ en . Am schlilUlll-
nlwl' i s l 1I1lSCI't Brille! Ich m e inc di e Art und \Vcü;t:, wie ", i.. Mellsche n ulld Dingt! bClntchtcll . Einel' sicht All es rosarol, d er Hndt' re ScllWaI'7, ; j ~ ll t'r - \V ic cs seilw l' scclischen G.' undbcfindli chk "j t e nts(Jl"Îch l . Oll'1.U lWlllmt cl er Onlllg der taglichcn Pflicllten und Gesch iift c, !loc.h schlimm er vorgefass lc Meillllu gcn , Ko Uc kti vurle ile. Ein raffillÎ cl'le r scc li tici lCr l\1cch anÎsmus, man ne nni ihll Pl'oj(·kti on, lll'În g L cs ferti g, (la ~s wir Î1u Iieh en Nachbarll j c n e!l H nsscllswcrt c wiH ern , tiR S ail S 1l11sC' rl-'r c i gellen IGiehc StHll1llll. Oms h t' issl ulso : DeoblJchll.1n g ~e lzt Selb slerkenntllis "o m us . B eoba chllln g muss h eWu 58t sein ; der heohlleh tende Lehrcl' ist s ich k l o!" 50 bin ich, ich wiit-d e 50 und 5 0 rcng iel't' n 50 ist 1llei n Sehi.ilcr. Selhsh rer stiinlliidi ist cs uml1og1ich, stiin· di g h ew lIsli l zu h eob ochten . Immcrhin soL. len b esolld cre od er uuHull e nde Et'f'jgni sse Ilo tiert und sli r:h worta l"li g ou sgewe.l·le t wer · li en. am h eSle n s ur einem Beobaehlun g5' b ogen , d er l!ipiiter <lf' 1l1 Re ruhbuotcr wert· ,'oll e Di cllsle leiste l. We il es 1I1l111ügli ch iSI. liinger e Ze it gesJHlIlll1 nuf e ine Klasse 7.\1 schulIe l1, se ine Schiil er tluuel"lld bcwlIss! zn h eobo chten , nilllmt Iii ch d e r Leluel" VOl': heule und di cse \Vo ch e will ir:h Iwsond er s dj c~e n Schiil cr b eohuchlr.n. \Vir clc llken viel zu wcni g über unser c Kil1d c l' unù Schiih',l" nach, So man ch e ZO ge heben sieh hervor. wenn IUSIl sich e ini ge Ze it in Gedankcn mit t: in em M ensch cn b esch ëfti gt !
SLf'1l
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Man kÜlIllt c sich vors lcll en , dass in Zu· 5lHllll1 t:.llnrbc ÎI mit dt n kUlllonul en B crufsht'1"alull gs~ t d l e n und d CII1 S eln'c lar iat d es Schwcizcrisc hcn Vcrband cs fUI' Berursb em· tUllg !lnd Lehrlin gsHi rso l'gt> (d er ein e grosse A uswa hl cl e r i n der Sch weiz "cr wend eten llcm fswl1 hl bogt> 11 und 11 11 i.ihl11i eh en Fonnu· lal't'Il b esit zt) e ill kalllu llnles F urtllula r aIl s· gCl.ll"hc ilet wUrdc, Ocr Lchrer d e r A bsehluss. ' klasscn b co lHII:ht e lfl d a nll im Verlaur d es J uhrcs d er Rei h e 1H1 c.h fli e ein zelncll SchliIc I' I1l1tl tl'ti ge di e NO li zc ll cin , Wi ehti g ist, so ba hl wie l11 êiglich se ine NOli zen zn ma· 1"111': 11, we il IlHIIl son st v icies lIn(! " or ulJ em das SpezHi sch c Vt'rgcssen wiirde. Sobald wir IItl ~C l" Ul'leil sdwifllil"h niedcrlegell, IlIti ~sc n ", il" griindli c.hn iibcd egcn , Di~sc E int ruJ; lIll gell wl~ rcl cll mit tlem Sehi.il el' bes proch cll , h evol" cr 7. lIlII B erlifsbeJ"uler geht ; el' soli ni clll l'ins Cefühl haben, es ~cj f' n d a «Ceh f' im akte ll Jo iihcl' ihn gesam · m e.1t und hinter sein em Ri.iclu m d em B e· mft! benltel" geHl\ lldl word cll , Ilie ihm h ei ~e ill"I' Bel"l1 fswllhl :wm Ve rh a n gnis wel'dt"1l kÜllltlen , Di e lndiskre lion d e l' P s)'cholo gen h a t di e G r pl\zt" 1l d ps Tragbarc n lan gs l ti hel·· sclll"illen , N uit woll en ", il' lIur di c Uf' obll c.hllln g noeh niiher e in geh en , Crulld sa l7.lich gilt: sie mu st! posîtil'. objekr.i1' und lIJo hlwolielld se in. Pos ili \'. inti clll wil' imlller zuer st das G ute unfl Bl'ull chharc Itufzci gen ; objekti \', ind em wh, \'ersut' Iu:.n, frci von Abneiglllll!: und Zune Îgull g zn llrteHcll ; wohlwollend. i lld elll wil' Uli S fr ei muell ell von Cedank en d er Vcr geltllu g und d es Misstruut'lIs, W' e r e iucn Schiil el' ri ehli g erra ssen will,
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III II SS :l u t'h se ine FClmilic k ClIll en , Abcr AI'h IUIl.g, dass eS unS nich l eq ;ehl wie d l' I" Titn ni r ' -Hl' <l em E islll,-'I'g ! Dr . Sd1l1yd el' ,"011 \V8l'tcllsee liug tt' einmal: wie lIlan VOI11 Eisl,{' rg nm' cinc n Scc h ~ tcl seh e d ie nnd eru fiinf Scd llslel lagen LlIlter dCIll Wos· sI' I"!; I'Î('gc1 vcl"ilO q;en - so k ennen w ir e ine ll !\1cllschc n und !win c Familie I1lU' ohe r, flill· llli c.h, Ons, w a ~ w ÎI" vom Me llSc.h clI ni e!.t l~c ll lle lJ . isl die U rsuch e d er M isliveni lüml I\i sse, w ie es di e Uni!ldlf~ d e~ ZUSall1l11 c ll' I"'ull s d er Titanic mil dCIll Eisb er !; wm', V er. f; uch clI lI' i.. al ~ o tie fcr ZII drin gen, wenn ", i,' d i,} Familie b ctntcht en , WCIIII UIl S dnher di e KC lllltllis ,ICI" von der b e lreffeml eJl Fumili e und illl'CII Ven vulltlten ulisge iibtcn B ent fe uit'hls hesond er cs ,.elTa t, schOll a ll e in d es· ha lb, we il hlst till e an s geogmphisch e n GriilHl cll (Bel1;gt' gt'IHl en ) die gleichcll aus, lihe l1 , duull sugl uns di e Frage m ehl": ,vie II nd lII i l wcl c.ht' 11l F.rrol g wl"nl en sie II I1Sgl' i'l h t ? Sind h esondere M crklllale, Ei gcnh e i, IC Il, B'·gu blln gc ll. Kl"anJ... h eitell in del' Ve r. wlln dlsrh url Il llrri.illi g? De Îlu Beohac' hlf' 11 d es Ju gendJi ch cn sf' lbcl' ist cs wichti g, di e Moti ve seines Handclns, Lem en s, di e UrSacllt'1l st'iner F ehllul.IIdlulI' gen 01.1 ('1" sc illc r ErfHl ge in d f' r S r,hule und lj(' j (h' ll K rtm eradclI zn e!"kcnn cll, " 7a 1"1l1ll Î::' I c in cr li le ts (' in P cdwogel, Ilel' und ~ I' c eill Glïll'k spilz ? W unlln sim! Selbstzwe irel b c ill1 Cill CI1 !lnd c in gcsund cs Sclbsthewu 5s llicin Ilt'im a lld em mll Wc rk ? Di e M.othe dl"s Schii len; zu erfassen , g ilt cs ni r "t 11111' in der Sehule, sond eru bf' im S lIi e!, he i 1I t'1' Fl'e izeilllt'schiirti gun g, M nn head lle inshesoml f' re charnktel"is li sch e E r cig!lisse: IUl crw8rtt" tc Erfolgc, aber ol1 ch iillf'lT rtsc ll ell,l es V ersugen , Stl"t'iter eien , F t>hl ·
ha l1dluugell (Stchl e n, Lii gen, Sexu ell cs), Fa; oh sind sie d cr Sehliisscl zur ti" ft' I'e n Erkc lllllni s c illes K indes, A uf(al , Jplld e Ziigc komm en olnwhin 50 od er so :WI1l Vorscll cin ; .. ie k ii lln en wegwl'isend se in (ti!' di e B Cnlfst'ichtun g oder fiil' eln CI1 b eslimm · If: 11 B erllf. Der Lehrer rra gt' ~ i r h weiler : welt:h es Is! Il iCl I H~RCllld ere Stiù-k c od er die h e~ oncl e l'e Scllwêiche cincs Sc.hiil ers? Auch d er !etz le S('hii lc.r ha t ~e jllt~ S liirk e, Er isl s iehe r von 1I1l"r:wld:itlcl'ü ch c r Lllll gnml, l'in Bild d ei' Ruhe und Gedllld , ein li elJf!l" K er!, mit d el1l nll e gel'l1 c sllide ll W OIl CIl, we il el' so fri cd · li e lltmd und wcni g c hrgeizig iSl, N ichl llll wcscntli ch ist di e Fro ge I}ol'. h cle u 1"ieb1ill s4iich e1'll , VOl' all elll abe r kommt es nuf di e Arbe itsweise. den Arbeitsc1wral,te r, an , Ein wlItH.lt"r Punkt h eu le, ah er im Wallis v ie ll t! icht clo ch ni cht 50 selU", Aher in d er S tAd!. W ie solI c in Jun ge oder ein M ad "h e n se ille ll Adlt~ itseh :lI"ukt e r k ennen. wissen, w i ~ ~ i e il rh pilel1 und w icv iel sie erh'a gcn, ob sil' d e n A nford el"llll gen cjn es Bcrures gewac.hsc n !'i nd, wenn sie ni e arbeiten miissen u ll ci ihl"f' KdHle nic111 m essen I(iillnen? Ein f1lld er cr, h eutc no ch " e rna ehlii 5s i ~ t e l', iSI d ei' s0 7. iolog illl'h e Gesic.htl'unkt : welche St(! llllll g nimllll d er Schii!cl- in !let' KlassengCllloin schrlrl c in ? I st Ct· führ enrl, hesch e i· d ell. c in Mit1üttfel", akti " od e.r 1)lI s~ i v ? Findc l CI ' le icht KOl1lakl, ist C I' geselli g od er e ill M rt tl prhliim ch en ? Fiir d en Aufm el'ksum en Leh rer wli re es 5 e1l1' aufschluss reieh , Soz io , grmnm f' iihf' I' di e Zu samm enSf' tzlIllg, dic Verii nd el"llll g, di e H-j Ct'ol"chie. die Ri"nl ilüten ' l1lcl C d olgSl'harte n in de n ein zel nen Cru))· ;It' 11 illll erha ib d er Klasscn gem e in sch a rt nufztlste lle n , llliJi c l1 crc i g lli ~se
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Da,~ 1'ufclschellHl sleh" lee,- (//1 deI' 1'a/cI, 1. rr/ i,. ,,'ugen die ZIIl>U IlIIIWlIgt'st'I7,lell 'Vortcl'
Weihnachtsvorbereitungen s'-
I,OYOLA ZUMl'AIlGJfI ALD ;; liillll e l'li \l S\\', 3, \Vh' Ïlhen dus Tl'el1llcn dal'illl, miindli ch lIIul ficlll'irtlir.h, 4, l'il) h c il!s t das 'VOI'I , we llll nul' ein DiJlg
Spnu; hliche Ziclt! : 1. lias ZllslIllllll c n gcse lzle Dingworl . 2. rlns Zahlwol'I gj· iibl. 3. Di e vc r !w hi ~dt'ILC II FOl'lu e n del! Tiiligkcils-
da is i. 5, 50 sagl llIall hei vielcl1 Oingl'Il. 6, Die konllen IIl11:h e twil s IUlI ; Die Zeieh, II\l11 g kall" crfl'c uen, DCI' SChCl'Cllscllllill 1..111111 '1.c l'l'I· issell, Ons Kel'zCllslHII' dedi kllllU umCullcn u sw,
worl e;;:.
1. Verschiedene
Moglichkeiten, sich
\'01' -
7.ubcl'eilCII :
Ei/ljii/lrflll l5 : Jcd enl1l1111l )wj"t' ÎtCI sich auf di e Weihnllcht
\'01'. Oheral! winl h el'nlcll , iihf' r1eg l, gche im get:m. Di e Mcnsclwl1 wolleu pinander be gliicltt"L AtH'IL ", i .. wollen bcglücken , aller nit-hl dun:h gnHise Gcsc1H.' nkc, sondenl durch klein c. lit'he Oherrusdlllllgeli. Vorschliigc: IllIreh ZI"Î(·hnungell, Scllcren5chllilte. Bmilt' I· Mal, Nfi h· oder Siri cka d,t!i11'11, durch Gc.lirhl c und Lietler, durcil nnfsh crei lschufl U1ld liel le\'olles BCilchmen. A rue.it wn TCI/elbild : Tnrclhild : Teh hel'cite Illi ch aur di e Weihnncllt \'01' ; dlll'ch AnfCl'(j gen von Zeic:hnllll' gcn, S,'h crenschllÎ lie n, Kerzcl15tilndcrli, KOl'bch ell, Slcl'llch cn, Tischknl'Ich ell, Scrvic t. Hm, Nii h· olicr SII'Îc!tO L'bci ICll, c1mch Lel'llen von Gcdiehle n uml Liedf'l.'lI, dure'h lJiHs· bf"l'!' itsch"h und li e ht\\'I1 I1 ~" BenchmclI,
Mittelsfufe : \Vil' hild cll di e Eim:lllll ulld Mehr:cdd, mil ùicsc n Wi.il'Icrn, Allc~ zlI somme /l gesCI1.te Wol'lel' z, B, Zt'ichlllln gen = Ze ichnlln gshla tt RlcÎs tiftze ichnun g S,' hel'cll iw hnitt = SchniLtlnusler KCI'zt'll stiind el'li -::: S land cl'fu ss Kürlwlle ll =- Weihnncht!ikiirhchen usw, Sind die IIiibsch! Ons i!it e ille feille Ze il:hllun g ! Wclch zarler S ch c-I'~nsc hnitl ! WcI('h lIiedIiches KOl'bchen! W it"dcrholung () f>S Ausl'ufesRt1,es und des E.igcnscllllhwlll'tcs, Ausfi.ih,'ul1g mündlich !llId
fj('hl'iftlirh,
Obersfufe ; Eimahl· und Melmmhlbildllng gleich d er l\fillclsluft', Zu sllll1mc l1sctzling ebcnful1s, Dus Bes Linunungs- und Gl'undWOrl EIILwicklung un d cl' Tafe!. TafellJild :
Unferstufe : 1. Lcsciihullg obi g~ I ' \Viil'h:~ l' bis ZUl' Ge· laufigkc it. 2, Ahsehrirt : Wil' kOllllCI\ unfcl'Ii ge n : Zeiehllllll gen , S,'h el'ensrhnille, K crzen· Zl1sanune ng, Dingw ,
BeslimUlungs\\',
Gnmd worl
Kerzells ti.ind el' Weihllllcht ssterli Weihnnchtskol'bche n Tischkol'I ch en Pnpicl'scrviellen W e ihllt\chtszc ichnuug Sch ercllsclillitte Weihnuchtsliedcl' Wcillllilchtsgedi cht e NiihAI')ICiICII Stl'iekflt'hcilt'Il
Kerzen WeihllClchts Weihnnchui
stânder stern kôrbchen kërtchen servietten zeich nung schnitte lieder gedichte arbeiten orbeiten
Tisât PClpier Wci7"lfIchts ScherelL Weifmuchl.s rf/ eillll(lc/i t,'i
Nii1t· St.rÎclt.:-
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c i .. , 2, If/il' lr/'IlIl CII thll'ch zwci IGnd cl' und sc L7,I' n di c \Vjil'It!I' gt:h't'lHlI in ci lle Ruill'ik, aber S O, t)uss mali t! I'kelllll, dus.s sic z,lISDmtlWn gehiil'lt'll , 3, Trli /' Sc/IULU.! /i uns d en 2, Teil tles \Vor les IIll : s tii .. dedi , - ,.. Lt"I'II, - kiil'bdlCJI US"\\" Dit'st! WOI'I(' I' sage ll , \\'ni\ wil' hahc n, h eSÏlZCIl, Wh' llClln('n d e~halb d e n 2, Teil des zu s omIllCJlge ~e l 7. ltm Wol'les immCl' rias G1' 111lt1w01'1 (G l'lllldwol't ans('hn,~ ib e ll), 4, D(j,~ /!rstc /Ii'V"l beslim-mt, \\'as fiiL' cin l<crzc.h cl1, S iii ml en:he n J(jjrltl:h cn wir IHllien, E s bCSljlllllll und h ciss l llc.stim. mungswHl'1 (F:i llll'ugt.'11 ! ) 5, IP i,. allde/'Il IIltl1 un diesell ZUSfllltllt cn ge· tw l7.I CII Oiligwijl'lCl'lI er s L e.ÎlLllIal das Gl'lllld wU l't, dunll dOlS lle;; llmlllull gSwo,'t , z, B, s lnlt Kt'I'7,r.n slüllI le .-li - K Cl'zcnli cht - nJulU cnsliincl crl i, Da!; winl mtînd1i ch tille! s"ltl'iftlic.h au sgcfiilut. 6, l ch diklif'rl! Gl'tll1dwürtn, es muss das Dt'slimlllulIgsw ol't dazu gcgcbcn \Vcrdell und ulllgekc-lll'l, 7, We,. be fièh/t? \Vil' gcbcn den ZLl ;;tllll' IlIt·ll gcsc lzle n Wi.irlel'll (Jas GesrJ.Jecht um) kOull'C111icI'Cll, ob das Gcschlcchl \'OIU G nnul· ud,')' vom Bcstillllllungs\\'ol't ge· 1I011lltl Cn wÎnl.
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Du ,~ ZlIsall ll.ll cll gcscl zle WOl't hes tchl (lUS tl t' tlI Dl'5 tilnIll1lIlgS' uml d em Gnllldwo J'1. Dus t'l'Sil' i SI lIas Bc, slÏllIlllun gswOl'l , das Z\\'cÎlc das Gl'lllld· worl. Di ese.s g ih t dus Geschl cdll an,
2, Kerzenstéinderli für Weihnochfen : Eill/üllrullg,' [(CI'Zellst8ndt'I' kalll) IlHUI gUI !Odhcl' fl nfc-l'li gcn, l eh m ochtc VOl'schliigc! FijI' dCII Kf>I'7.t'J1 :> tündel', dt'II kh mil d cl' K la s~ c cl'lube ilCll lI1iit'IIIf", ist das Matcriul lIufgcS I'hl'idwlI : Ta/èlbild . J, 100 cm 2 Kal'IOII 2, cinc Scltel'c 3, dncn Pill sd 4, % dl \\7a ssel'glns
5, c ine S le l'n{O I'lIl 6, k lcin c N ussschal cH oll ~r l ..iirchcll7.<lpfell Î, l' in Me.s~c l' 8, ct\\'us Muos 9, c twas Glinllll cl' JO , Siull dt-l' S It'l'nfOI'lIl Auc.h tl<ls Mnss hnnd, A _lfsrvel'l/lll g "
l , \Vir lcsc.n dlll'l,ll !
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Di e Mittels tur,· sl'ltrt"ihl sic auf, di e Obel'slufe schl'eibl sic aus wemlig, 2, \Vi l' sdll't·ihe n dus l\ialcriul anf tlU !:I UnSCl'e Kla sse braucht, Obct's Lllfe ': dus v"I'schicd(' nc KJa;;sc ll brfiuchcll, M(fl e rj(fllj:~ l e me;/U'I'
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,1. Vt'q!;leidt 41,·1.' 2 Li Slf'Jl mit. bt's timmten und ullbcS lilllllllCl1 Zahlt"n,
Das I{erzenstënderli elltsteht: ]0
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im QlIudml.
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Oiese srllllt'ill.-t (' 1':,1 (lie Slcl'IIfurm IIII"h gc. lHHl cn An guhell , J etlt!s cl,hii!t t-' in Iwktogl'uphil'I'ies BlIlII mil IHtcllfolgt"ndl'n Angu bell ,
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Arbcil lIusgdührt. Glcich hCgC.gllCll wir lIem r echnerischen Probl cm Kreisumfan g. Diescs Mom ent packl man, zut rcchnerischell Bc· gl'ifrsbildung und .kliirung. Wenn die Kin· d e.r d cu Radiusbegrirr und Kreisumfang kClln ell, win1 weitcl·genrbeitcI. Da s Messen ka llil ais Diktat alu'H' aueh in Stillheschiihi· gun g nusgl!fiihl·t wenl ell. Eine giin stigc Gl'OS' sc i Sl : Rndius 5 cm.
Wir schneiden den fünbackigen Stern! Für den Hinhackigen Stern geh t man erst yom Kreis aus. Je illich riel' gewünsehtcll Grosse wird der Radiu s bClS timmt und dcr ]üeÎs gezeic.hnct. Nu n wil'd dCI' Umfüng uercchn ct und durch 5 geleilt.
2. SPltA CHLICHIl AUSWEHTUNG: Der Stem j,st fertig J \Vie dns zuging, wollell wir nocllllluls he· schreibcil. Ausfiihl'ung in Vergangcnheil. Ais HiHe kllllll dus hekt ogruphierte Blalt dienen, Bespiel ; Fill' lien ftillfzackigen Stem gingcn wil' erst "0111 Krci s uus usw.
Dus erhnltene Mass ist HinJ mal auf den Umfüng abzutragell und mit eillem Punkt zu bezeic!mcll. Jeder üussere Punkl wird mit dem Mittelpunkl dm'ch cine gerade Linie vedJUlld en. Von der Mille au!! winl die Strahlenbreite wieder mil eincm l'un kt hezcichnct. (Je nüh er der Mitle die!:icr Punkt 8tcht, UIll SO schmiiler winl die Slel'llzaeke). Dureil gCl'nde Linien wird diesel' Punkt mit den iiu sscl'll Punk te ll \'cl'lHlnd en. Nachher werden die Kreisteile ausse rhulb des Sternes weggcsehllitten. Wir haben einc fünfzaekige Slernfonn . Legellde: A = Miue11mnkt n Radius oder gerade Lillie zum MinelJlUnkt C sussere Punkte D Punkt Hir die Strohlenbreitc E = Linie der Strnhlenbrei tc F = Krcistel B emerkLwg : Hicr findet sieh cli c. reine Gclcgcnheit den Krcis durchzuzunehmcll. Das Pl'oblelll ist gcgeben ! 1. ARBEIT AM TEXT : Der Texl wird mehrmuls durchgclesen und dnnn durchbespl'ochcn. Naehher wird die
-
3. EIN ANDERMAL WIEDER SO! Vertiefullg der Zukunh. Bcispicl : Für den fünfza ckigen Ste.l·n werd en n'il' erst \'0111 Kreis nusgchell. Bei gllten Klussen konncn diese Ausführun· gen olme HiUsblotl \'erlnngt wel·den. 4. DIE LEGENDE knnn in d ei' SChOllschrift "envendet. Miln Hihrt sie in Ziel'scbrift in ve rschicdeucJl Gl'ossen nus !
Millel.lu!. : Alles
1IIUSS
GegelliiberstellulIg : Hin gt'lIchi,.ht (' tw n~ -
Dus sind di e zwei Fnrmcn Tiitigkeit- und Leid f"(onn . Vertiefung : Eine Allzahi Tiitigkeiten werden IlUn in di e Tiitigkeit. unll Leideform gese lzt . Noch zwe; Formen:
(Iort tut mali l'Iwas.
Die Tiitigkcitcn werden hloss genallllt NCIIUfOl'lI1 \Vil' su chen aIle Tiiligkeitcn Zll sammen, dClie n wil' diese Tage begegnet, z.B. brauolltm zerbrechcn probiel'e.n _ rühren u sw.
'l'a/elbild. :
1 Di. Tatigk.i'.n "of,hlcn = Il , r. hl,fonn!
\Vil' hefchl cn mil diescll Wortem Z. B. brlluchE" ! zel'hl'ich ! ~ )lrobit:rc! riihl'>C !
El'SI werdell dit' Tstigk~itswort e l' ZUS81U· mengesucht . Nüchher wird der 1. MedUl8tz entwickeh und g~l)ragt. DalUl \Verden clie Tiitigkeitswortcr in die Defehlsform gese tzt und wiedcl' d ~1' Mcrksatz hel'ausgearheitet und eingese tzt. Hel'llllch miindlicbt geübt!
VcrtiefulifI : Die Nellu, und Bcfehlsfol'm wird noch nu viclen nnt/erll Tiiligkcitswortern mündliçh und schriftlich geübl.
bereit sein!
Del' 1<8rt0I1 wird zmecht geschllitten . Die Nu ssschl:llen werden gesa ubert. Das 1\1oos wil'd :lUsgd escn und in Büschelchen geform t. Das Wussel'gills wird gckauft. Del' Gl inunel' wh'd gcholt . Ocr Pinsel wird nngefe uchtet. Die Schel'e wird hereitgeJ egt. Das Messer wird nusprobiel't. Die Gcdank cll werden ZUSllmm en gchalten. Die Hiilltlc werd en gerührl. Diesel' T cxt wil'lI im fl'ciell Gcsprüch Zllsnmm ell getl'ugen. Allswertu/lg : Mit ail dcn Snchen gcsehicht etwas. LlIstig ist, duss aber ail dicse Sa chen auch was tun kOunen. Zwe.i Kindel' an den Tufeln ! EI'SleS KÎnd li cKt ; Der Kurlon wil'd znrecht-
88-
gcschnitten. Das zweitc so li mlll schl'cihell, was dcr Kurlon selhel' lut. Df'r Kartoll zero bricht. \Vi l' ('rarIJl'it(,1l miteinundf'l' di c 2. Grup))c der Siitz{'.
Unterstufe : Thcum : St. N iklau s war da. Erlebn;sberichte : \Vie SI, Niklaus kalll und wns er brac.hlc. In rre ien Gcspriich wird alles hCl'nusgcholt. J. Vbung:
Die Sachen. die er UIl S bradlle, wollcn wir uns verm trkcn. AlIfsl'lln.- iben, Jesc lI, ahschreihf'1I ! 2. Vbuug :
El' hal ulle" elwus ge lulI: gê{)o chl, ge. sprochell, g"mahnt, getadelt, gelohl usw. OLuIIg in d t:r Vergungenheit : Er lohte, ttl,dt:lte USW. Obung in der Zukunft: El' wird wiedel' loLen, wird tadeln, Wil'd mahnell, wil'd wal'n('11 USW.
- m-
Oüs wird miindlich IIml schriftlkh geüht jt: mlch Bedarf und Zeit. 3. ObulIg: Die Kinder haben sich \'crsteekl. Eines kl'ocb unter den Ti$ch. Ein andel'es lief hinter die Muner. Gl'et i licf zur THr hinaus. Knl'i wolltc lIuters Bett . Honsi sill'aug in ei ll è Ecke u sw.
4. V bung : St. Nildaus fragl. \Vo Îst Vreni ? \VO ist Greti ? Bi st du hrav? W8rst du fl eissig ?
5. Oblm g: St. Niklaills hefi chlt! Komlll hCl'sus? fIi el'll el' ! Bcssere dich ! Das 1I11I !fS hcsser werden ! H il l\'. 6. VbulIg : W'ohin St. Niklalls wo hl geht ? Er gch t zu deu A .. me.ll, den Flei s1j jgen, ri en Reichcu, den Zufriedellcn II SW. 7. ObulIg: Schau mal diese Worlcllen an untl vcrzauln'e sie!
Aus klein wird gross ! ,/,(Ifelbilcl : kl eill, gro s~ hoch, lid, lichneIJ, IInn, rein, li eh, zurt, laul, bra v, fn:lIlldlieh . ZD.uht:l'Slübc : de .. , die, das : Ausfiihrawg: dei' Kleine, der Cl"o!:ise, der Hohe, die Hohe, die Th·fe us\\'. erst miindlicll, tlKnll scht'iftlich.
8. ObI/fig:
o je!
Dt'r Text winl durchgelcsell und gcfeih . EiJl7.eJ ne WOI' le r h e rall sgesc- hri e ben. Nachher wil'd cl er T cx t Hil' dit' Miuc1stuft' Rhi OÎktnt·
Erldiirul1g dts Tafelbild es : Die Zaubcl"' 6tübc hube n kcillC WiI'kun g IIIclw, wei l
das Dingwol·t du ist ! Der - SlIck. clel' - Stuh. die - Mütze, die - S timllI e. d e r - Sc.hriu, das Kl e id lI SW.
iilHlng g,·braucht.
Obersfufe : Wil' liprt'eh t' II tien T cx t der' Tafel in der L. 2. \lnd 3. P e l'son' Eillzuhl und Mc.hrzahl. Nuch her winl die sc:hrHtliche Al'lJeit untel' Cnllll)e n vl"rtl! ih , IIlId jecle C ruppe mh!'t ei ll c Pcrson I\U S. LESEN,
9. V bung :
Herta berichtet ;
dil', - wllr lln. Er brachte Ull S - . Das gnb eÎnell Krach ah cr. - Unscre H erz lei n. - St. Nildau s wllSS le allcrlei üher. - Er mahllic. - \'Vil' wal'Cn froh.
DClllc
-
Oberstufe : De r ,';run sc'hrill g S. 223. Dt'r urm e Musilumt und se in Koll egc S. 79 1V. ScI~ ulb . \Veihnllc!hts· Tt'llushogell.
J et?:t.
Di e 3. Klassc kUllll slaU d e r Ein sc lzü lmn g fr eic Arhe il lei SICIi . Manche Ohllngen kiinncll Ruch zum Diktie ren "t!rwcm le t wCI·den.
Mittelsfufe : Eine Galle, tli e niehts Iwstel und doch sehr \;icl we l·t ist. S. 43. Dus fr elluJ e Kind S. 46, nI. Schulhll ch.
Oberstufe und Mittelstufe : Das K erzellstiindel'li wird fe rlig : 1. Bcsprec1lUlIg der Auslii.lll'lwg.
Unterstufe : 1. Der hl. NikluUiS, S. 30 5. VOIll Christldml, S. 31. 6. C hri sthallm und Kl'ipl'e S. 32 4. Di e vergold eten N i.issc. S. 128 2. Ons he tende Kil1d, S. 135 3. Das gnte Kind , S. J 37. ZWIII' sind diese Leseswffc I1lt:ht uJlmitl él· bar in VCl'hinclulig mit dl'Ill Arbeitsthcllla, "bcr sitl g~ h ell di e l\{üglirhkeit. sich ein· IUllIc n zu lasi'it'I1 .
2. Wir sLelleli uns die Reillenfolgc d er Ar· beÎ le li in Stichwortern ZlisammCIi. Das Mal el'iul ist bete il. 1. ein eu Stern ne hlll eli. 2. NlislIschalc und Muo s auflc imell. (dus Mous kaun untel' die Nusssc.hal e odcJ' in die Nussschul e gcsdlOIJen wenl eu, je nadJ Heli eben). 3. mit Wilsserglus all es tllustreic.bcu 4. mit ClillllUc.r bestl'euell 5. tto ckll t n 1assen. Di ese Hinf PUllkle \l'enleu ftuswcnd i g gcJer nt. Nnch h cl' wird die Al'beit nusgeCi.ihrt.
RE1M UND llHYTHMUS , Obersfufe und Mittelstufe : Sprecllc!wI'Slltz: « Licht IInd DUlIkcl ;) "o11 Josef Mal'iu Heint:ll . Es i;,t k cill Dunkt'I gnnz o lmt: Licht. Du sieh s l es, Hrud el', oh HUI' nichl. Es ist k ein Schm el'7. olmi' allc Freud . Ve!'sleckt sieh nul' hinter d einClll L~id. Es ist kcinc WeillURcltt ohnc GO tl. Du sic!.st ihn !lUI' nidH in lleiller Not.
AlIswerlUlIg :
Der Arbe itsvor gun g muss schriftli ch he· richte t werd~n. Einer diesel' Arb ei tsbcl'i chte "el'wcml e iC'h aI s Tafclhild . Vre ni bcrichtet
H. Et"t 7.eich ne ten wir ùen Stern und schni t· hm ihn aus. Nftchh cr nuhmtu ",il, eine kreille Nussschai c llIId le imten :sie auf. N UIl gabell wir et"'t\s Mao,.; zwi~d lc n Stern und Sehal e (in di e Schu le) . Jetzi sll'Îchen ",il' alles mÎI Wa sser glas un. Sofo l'l streuten wir 110ch G limlli c r uuf. \Vil' leg lclI lias hüblSc:h e Stiinderli l.u m Tt'o(:knen hin. Ben· lich fr c ule n \l'il' UliS iihel' lIn 8cr ldci n es KUllst\Verk .
7..
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DHuu tu ~li e H crze uslIlIgc n fl uf und ri chte sit: ZU IlI Li cht'llinuli s Uud s idl de n COti im klein en Kind, das'S cl eiùc Sec\e die Wt-;i\jna ehl fi;ul' ! . 1. 'Erfassen ll11d Ef:WhI'cll 'd es GeiÙch tes''-:: ' 2. V e rslI ch des gemeinsam c n A'usdl·ucks . .
90 -
'3. Enlrhei tung sclHn-ft:l' Anikulation. ..J. Ht' ic'Iwt \Vechse l VOII crcse. und d cserese. /. je"l
;11
deu HülwlI.
\ ' 011
Jas. 1\'1. IIeincll
Di t! Schopfung steht s till , di e Enl e erbe hct Licht - Lieht in ri e n Hohen, cial> wchet ulld lehel. Gu ll wunl cin K ind, lIer Il er!' ull~J' Z e iLclI ! ZC1'sehlii gt es dlls \Vcl.tnll , ze.rsll"engt es die Wdten ? JIU S ta il is t es s till. Ein Killd lcill - da s wcinet. Ein MUllcrmulld Irü Slet cin Lidlilcili mil' 8ch cinc l. \\10 En geL dn s TUII ihres Colles "erwi!' l'I e, du Jmie t 311 der KriPI)C \'u ll CI~l1bcn ein Birtt' .
C lc ich IHlC'!œ ll wit- ,lie Sal'he n a us clit' du un s hnldll esl in di escs Haus. S t. Nikohlll S, wi l' frou e n uns ::10, w il' dunke n dir uml s ind 5 0 ftoh ! « Weilt/lfu.:"lSlVfI1l lSCh )o \'011 Josef M. Heillt!1I
Du s Kil1d hllt in hcilgc r Nacht uns a ll cll tien Fl'Îedcn gebmdll. Oi e Ze it Îsl so wirr mul so lant, der Weg scheint 7.lIlIl Frieden vcdnml. Und do c.h wit'd die 'Vcihmu:ht stets Heu sa duukel di e Enle um :.h sei. Du s Dunkcl vCl'll'il're c uch nicht. \Vil' wiinschell eueh }'rieclen und Li chl.
Kleill es
IfIci" ,U/chl.~gedjcht
von FI'nI17. Bmu·
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Liehes gutes Christkind Illei n
Millelstuf. Brellll, !..ichtlc;lI, brellll! " on Aun ellla.-i c
Kmp». nrellll, Li chtl cill, brclllI, <lamit kh e rl,enn, thl/j.S ch.lI1kel ste Nnch t Uli S Erio sulIg gcbl'acht. Klill g, ClOclddn, Iding ! Sin», Kincl(·he n sing ! D!lss jeder es
in c1e.l1l Krippl cil1 hi el', ml' d en Christbulll1l "ch on und fcin, hel'zli ch c1l1llk c ll wir ! Christkintl, hOI' die Kinderbittc : Hulte he i uns Rus l.
Bleib in 1I1l SCl'el' Li tlben M ine ais ein teurer Gast! 1'11 ~Iie Eltern lUit bcllütcn, ~eg ll e U1l5er Haus ; Lich IInd Eintrachl, Gliick und FI'iedcn gitlilse in UIl S HU S.
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COli uns h ~::Ichc l·t. Fall , F1ückleill, fall ! Schll ee übemll ! Di e \Veit ist b e reit im festlir.hen Kleid. \\' II S
SI NGEN, Geltol'scllUlulig :
Spiil', es H cl'z, s piir \lml üffnc d ie Tiït ! DallIl e rs t, jn daHU bricht \Vcihll3chtCll 8n.
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Unterstufe :
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Erwei lerul1 g ~Ier TonIc ite r durch das Re. ni ese Inter valle ers l dm'ch H8ndzeic.hen c1ann an sclu:e.iben. Ocr \'e rsc:h'iccl en e No\cll\vel't .: .
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Wi~der ausgehen 'den KrcÎslein mil Ilelien \Vit Silbcniihungen ausfiihre n z: B. Ers t mit den Si l ben li, ni, ti , s i Wil: ,~e t:z e ll
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\V il' schreihen nUll ~Ii e Melodie. in· verschi e· d e n clll Nn tellwcl·t urltcl'cjlHm'(l ~I:: .
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Faltschniltengclchen ebenfalls ais Tiseh · schmuck. Er kamI aueh in Goldpapier ausgefiihrt werden.
Dczimalen, ftllschlicssend Rabatt und Skonto. Man kallll vom Wllsserglas, dus wir kau(en müssen, ausgehen . l dl kostet 30 Rp, 17,5 dl
Unterstufe :
Zur StilJ1mbildung I1 chmen wir den Maslœnldan g Ji ni ti si - It' Il e 1(' sc
Illustration : Nikolous Ieert seinen Sack au!>. Fü .. Weihnachten. : Faltschniu - Tannenbiiumchen, die au ch aurges tdlt werden !tonnen, Sie werden mit Buntpapicr geschmückt. Tannenhiiumchen siellf": obcn .
Lieder :
Gesamtklasse : Aus dem neuen Walliser· Iiederbuch cines cler Weihnachtslieder S. 63· 68 und Wiederholung des vorhandenen Lied· schatzes fiir Weihn8chten.
RECHNEN,
Eiu ganz hiibs('.hes Wl' die Unter.stufe iat fol gendes :
Oberstufe :
sien übe.rnommen).
ZEICHNEN ,
dl dl
5,5 1 u sw.
W ieviel Geld habe ich zuwenig ? Wieviel dl erhalte ich für 3 Fr" 5 Fr. usw. 100 gr, Glimmer koslen 1.85, Hier wieder obigc Ohungen. Anschliesse nd konnle man Rabatt und Skonto einHihren. E~
Oberstufe :
Mittelsfufe :
Zur Obung und Vertiefung zeichneJl, schnei· den und malcn wir llochmaI s die 5 zacldgen
Hier c,'gabcn sich zwei Moglichkcitcn: 1. Ohung der vi cr Operatiollcn in den
92 -
5 25
Ich kaufe 17 dl und gebe ein 5 Fr" 10 Fr" 20 Fr. u sw , Wieviel erhalte ich zurück ?
Das S temschneiden führt ullmittelbar zum Probl em der Kreisumfangberechnung, Die belO te Lernsittlutioll ist gegcben. Danun winl in dicscr Z eil di e Krcisb erechllung eingchend durch gcllommen ,
Ein Brieflein will ich schreibel1 (A us Sf:hle-
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Sterne und verschen sic rückwarts mit einem kleincn Karlonstreifen, so dass sie aIs Tischkartchen vcrwendet werden konnen.
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Ch,i.lHincl\ei n
1. Yn 4. bi t
Bei jedem dictH.:r Krcisc ûihlen wir 4. Di e zweite Linie sicht gellllu gleich Rtl S. NUl" hat jeder Krei s einen Strich. der be· dchtct, Cl' sei nUl" dic HiiIfte 80 laug wie die oben. Also ziihlcn wir 2. Au sführen ! Die 3. Linie hat keine Kreise, sondcl'Il nUi' · Kopfc, cs ist die sogenannte Schritlnote. Man ûihlt nur l. Oben und ûihlen! Benennung hin setzcll ! Auch im Geben 8usführen.
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ZweischriUllutc = Bulbe Note!
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liesse sich au ch der einfllche Dre i.satz beredmc n , 1. Zweisa tz : l dl lwstet 30 Rp 17 dl
2. St'hu lj ahr : Al,fd, N iisse "Hd Lchkuc.hcn scht'nk en \lnd eSsell ! BdHlndlnll g der 3er und 6" .. Ht'i he im 1 x ] und Ollt'ra li on.
2. Zwl'i snlz : 25 dl. kO SlI'1I 7,5 Fr. l dl :t 3. E infu c1u'r Orcisn lz: 25 cl 1. kO$len 7,S Fr. 3S dl. :t
3, Srhu ljuhr : De handluil g fl cl' 30e r und 60er
PARTI E
PRAT I QUE
1
n cilw . 2, 3, Sdlllljnhr : Einfiilmlllg in dl lIIul J. Nikolaus slcigt 'l'n'ppcn. - Die Sac hcn wer· d e n "t ~rl c ill. Es gib l tla vici e Mogli clrkciten. an l'illc Wirldirhkt'il ilnzuschli esse n urld dU1i1I di e Ohtlll gcn einzllhnucn,
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Unferstufe : S t. N iknlAlHi bnH'ht e rcin e Sachcli ;
1. S,· hllljuh r : Zn hliihu •• l:W LI 111 1 dicsc m Silch· gcbiel. lm Zuhl f'lIl"ll\lIl1 bi s 20 1- 1
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9-1 -
j'ollcupiscence,
L' mllour de 'Jiefwe; llllllce se manifes tc : a) pal' lit joi c (I"e J'on <-prou\'e l1u hOiI ' hc ur cl,· l'ê lre aimé; on pn:Jld pUI"l il S~8 succès, on cO lllpatit à ses peilles, LCli ju s lel'i ~ onl plu s heureux de 1., gloi !'f' d c DiC'u fllI C dc lem' propre héatitlld e ;
Radios Disques
flEFI NITION fYuJ,ri-s le clietioIllHlil'l' , J'amour (·~ t le l't' nlinwnt par IC<jU cl le cœlll' St! l,orl e ,'el"~ tOC CJui lui 1,l:tÎI rorlelllt'Ilt, Dans (~e scns, on dirlL: I\ nn om' du jeu, l'alllo;u' de Iii Illusi· tlUt', l' ulllonr de ln monla gne, mênw l'mll o ul' fic ln pnlt'je. C' t!:> 1 UII Sl'i i le lH~ II t' 1 1l\1I1 d e la nature: l'Illllou r fit' III ramille, l'amour ma· It' rl1t"I , l'amour nUaI. 0 .. oj)Jlf' lI e ull sl:i i (lmQu r le petlCIiEHlI qui Itllirc l' hol1l1111-' "crs la femme, le jcunc homo Ulf' \'t'rll la jcune ,fille , cl l'écipnH)ut"lIIf'nt. C'cst Iwét' isém enl cette rOJ'me de l'amour 'I"e nOliS nUon s é lud ier. No us nOliS e rrorceron s d e d istin guer l'a· mour vl'a i, e l ('c '-lui n'est 11111' pur égoïsllu'; de reconnAître l'amour honné le e t légitime, c t d e nous détourllcr de la corruption . Dès l'nhonl, rt' llHlrquon5 {l u' iI }' a Ull slllour dc bi en" cillallee el un amour eTe
S ION
h) pnr le d és i,' d 'augmenter Ic bonh elJl' t't lcs p e rfcctions de l'objt'I aimé;
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el plU' le zè le il son service, par les Ira· \ 'Ultx. It'!; l'f' ill cs. les sacrifices tlue l'on s' impose pour l'éa li scl' SOli bOllh e lll', ses s uc cè~,
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IIt"rfe(,tionnem ent.
L'lili/ lU,,' cie cUIIf'u.!,;sccuce n'etH }las le "él'iluhlc UII1(lu .. ; il est imparrait, égoïste . 011 ui .ll t-' <!uc lqu'ull, non l}Qur Iui·m i'; me, mai s il cause des l"'an lages qu'oll CJI peul lircr. it citll se des l'i ervic'es '1u 'il peul IlOl!.') rend n ', des plai s irs qu'il p eul nOlis proCUl'er" " un pcu comme la chè\'J'e rccon·
mtÎl tHI putronne qUillld t"lle lui "l'porle d cs fc uliles de choux avec un I)eu de sel. Ce u'cs t pns l's lIlOllr. c'est de l'égoïsmc ; c' cst du ca lcul cl'i!goïsle, qut:! llue(oi s incOllli1'if' l1l, souve nl pré médilé,
QUALITES DE L'AMOUR le vm i - consis te dHIlS le don tl e s oi-m ~m e pO lll" le bonhem' d'autrui. 11 es t génércux : iJ donnc largem ent, dans la mcsurc de SéS I)ossibililés. JI t-st désintél'essé: il donne sans calcul clt , l'êc' ipro cÎl ê. Il es t constllnl : ('lit"z lui , c't'st la volon té hi cl1 IIlTél';t: (] 'i: II'e bon, no n un caprice du L'nmollr -
momenl. .
11 CS I fidè le: les n'verS Il e l'ê tre a im é ne fonl Ijllt: re,louhl er ses altcnlÎolHi el ses teu· drt!slws.
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II donne sa libert é : il est soumis.
ORlGINE DE L'AMOUR, DIE U CREATEUR
JI dOllne sa grand eur : il naît dans l'obscurité i il !je prél)art> dans le sile nc:e, le re· ('ueill enle nt, le travai l.
Dieu le Fil s procède du Pè l'e etcrncl ; le Saint-Esprit est l'umour (lui unit le P èr e e t le Fils. Dieu ft créé le mond e pour le bonheur
Il donne la vérité : la société d e son temps en était si privée. 11 instl'Uit les ignorants, r ectiFie les erreurs, morigène l'hypoçri sic d es pha risiens. Aux humhles, aux esclaves,
tics êll'es . ChU(IU e ê tre Cli l hem'eux à sa manière: l'animal repu se lèch e de sltti sInClion ; 1ft ch èvr e (ait ses cahriol es au rctour du
il décoU\'r e le ciel. Il guérit, il sou lo ge les malad es c t les inFinnes. Il console, absout e t co nvertit les pécheurs. EnFin, il donne !I ll vit' pour notre réd e.mpti on : il souffre d' une ll1anièl'c atroce, il donnc SOli sun g jusqu'à la d ernière goutte.
I)Îlll1rugc ;
l'agneau bOl\cHt auprèK cie sa mère cntre deux tétéc5 i les Ulouch es dausent leur IInIl c l salis fin aux rayo ns (lu soleil ou, le soir, il l'an gle des
toi ts. L' homm e 1'(;1.15e: il poursuit nne idét! intéressa nte. L'écoli el' es t sati sfait d e tI'ou vel' la solution d' un Ilroblème, de réali ser lIll trava il pas trop mal r éuss i. Ln maîtresse de lUaison est contcnte d e voir 5011 ménage c n b OIl ord re, d' y accue illi r sn fumille o u ses ami s. Tout le m onde jouit de la traO(luilli1é et de la paix dans l'ordre, en Famille, au village, dans l' Etat. Cc honh eur ulliv~r s f'l sc réalise duits l'onl!"!! rI e Il, Créa lioll, où toul a été. Pl'évll,
Mais il cst Dieu . Il l·CS6 USC"itf'. II Pl'ouve la \'érac.it é de ses parolt"s. Il achève d'organi ser l'Eglise pour sauver les âmes de tous les pays c t de tous les siècles.
Il es t viva nt au cit'!.
Il es t (la ns l' Euchal'Îsti l' : il auin' il .lui les .1 I11es. Pal' le prêtre, il instruit, il éclaire, il pardonne, il ouvre le ciel. Il d écouvre sou Cœur sacré pour mieux a uirer à lui.
11 Cl'. t lu hUili ère, lit
\' ~l'ité, la vif'.
Sil vic divine, III IUllliël'e de la grâce, noll'e règl e de cond uite nous so nt COIJulll1niql1ées dans son corps mystique, l'Eglise.
organisé . Chacun à sa placc met S Oli intelli gence, sa vo lonté, 80n trava il, au service du prochain, dan s le plan divin; il enrichit la !Société d e son labeur: il donne. Cha cun donne, selo n sa charge cl ses
A son école, à son exemple, apprenons la loi de l'amour, du véritable amour.
LA VOCATION A L'AMOUR
moyens. Si l' ouvri er donne, le trava il avance. Si Je patron donne, to ut est bien organisé, il n'y a pas de déchets dans l'en trepri se, point d e gasp ill age de temps ni de ma té riaux . Si tou s donnent, la vas te entreprise humaine Ile dévelo ppe, s'épanouit dans la plus h e ureUlje harmo ni e.
LE CHRIST, PERSONN IFI CATION DE L'AMOUR Son intention est pure et dés intéres.~ée : la gloil'e de Dieu, le salut du genr e humain .
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Dans la Cr éation, rien n'est laissé au hasard: chaque chose a sa place, son but, sa rOllclÎOIl. Les éléments: cau, chaleur, air, lumière, :;el'vent à la vie de tous les êtres \,jvanls ; le sol fournit aux plnntes leur nourriture; les l)lantes nourri sscnt les hommes c t les animaux; les allÎmau" procurent à l'homme des aliment!;, des vêtements ; ils l'aident dans ses tI'ava ux ; l'intelli gence e t le travail de l'homme tirent des trois règnes d e la nature les éléments d'une vie bi en confortahle.
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C'est Di eu (lui lui a procuré tous ces éléments d e bonhe ur, avec l'intelligence de s'eu servir co mme il co nvie nt à la nature de (' homme. Ingrat serait-il s'il oubliait uu si riche et si génél'eux don ateur. A plus Forte raison serait-il souveraine· ment indigne, s'il se servait des bi enfai ts de Di eu pour l'outrager . Da ns la société, chacun doit apporter sa contribution au bonheur de tou s : les sa· vants étudi ent: ils me Uent leurs invention s, leurs d écouvertes au service de l'humanité: bateaux à vapeur, chemins de fer, électrici té, chimi e, microbiologie, désintégration atomique ; les mi ssionnaires ouvrent un hori. za n d'espérance et d e joie aux païens ignorants e t mi sérabl es; les prêll'es répandent dan s les â mes les Fruits de la Héd emption el, dans la vje soci a le, la douee loi de la chal'ité; la famille perpétue ]a vie dans ]a société. Vou s voyez que tout est orienté au service de la vie, par la loi de l'amour. Mais, ta ndis qu e les élém ents sui vent invariuhlement les lois physiques (gravitation céles te; nutriti on, croissance et reprodu ction des ê tres organisés ), tandis que leI) nninu.lUX se diri ge nt d 'apl'ès leur instinct (trnvail d e l'abe.ille, construction des nids, perpétuatioll des espèces ),
l' Homme a été créé libre. La faculté lui es t donnée de fair e ou de d éfaire son propre bonheur, d'enr ichir ou de ruiner la vie de ses Frères. Pour se diri ger, il a reçu le rIambeau de la raison: il a une con science. Il lui est loisibl e d'user ou d 'abuser de sa liberté. Mai s il ne saurait le Faire impunément: compte lui est demandé de l' usage qu'il Fait de ses racult és et d e S8 liberté. Comme un dieu, il 8 reçu une (Iamme d e vie qui ne s'éte int point. Il est prédestiné, après l es joies de la terre d'un ordre sup érieur à cel ui dont jouissent les autrcs créatures, à un bonheur suns fin dans le sein de Dieu. L'homm e, qui anime et soumet par son inte.Jligence les forces brUies de la nature, ne s'est pas créé tout seul. II est responsable
des a ctcfi de sa vic à l'Autem' mê me de la vic. Ses actes ijont soumi s il UII C sanction : réco lllpe llst" ou chihiment, selo n (Iu'il s'est ronro nn é 011 nUIl a ll x loi s de sa nutun" d ' homm t>., lois inscriles dans sa conscience, Jois expliquées dans le Décalogue. L'a mour de Dieu pOUl' l' homm e lui a dOlln é l'être, l'a réhabilité par la R édemp. ti on dans sn dignité d 'cnFant adoptif d e Dieu, lui assure les moye ns d'obtenir le honhellr étemel du ciel, 11 tout IH'époré d ans la Création pour subvenir à ses besoin s. L' homme doit répondre n ce l alllOlir par un e adhésion généreuse IIUX loi s divin es, cu ccs lois Favorisent le librc ct compl et êpanouisseme nt d e sa natUl'e ; elles tend en t à r éali ser la fin pour laquelle il existe: - ser v.ir la vie dans la Société, à l'exemple du Père é tern el, - m e ttre son bonheur à Faire la volont é du P ère, - mériter l'é temelle récompe nse_
COMMENT REPONDRE ? Pui squ'il a plu au Créateur d e Faire d e moi uu 11011une, - non un caillou, un quelconque a nimal, - d e me donner une intel· lige nce pOUl' comprcndl'e, un cœur pOlir ai · mer, des facultés à mettre au serv ice de ln vie, quell e place dois-j e occuper, <lue} rôle dois-je remplir dans cette vaste entrepri se qu'est 111 société humaine? Doi s·je plonger mes regard s dans leli p erFections divines, me dépouiller, pour ainsi dire, de l'enveloppe d e Illon corps pour m'occuper essentiellemen t des choses d e Dj eu comme Font les religieux dans les ordres contemplatifs ? Doi s-je devenir père spirituel des âmes, e n les faisant naitre à la vic surnaturelle, e n les nourrissant des vérités de l'Evangile c t du paill eucharisliqu e, comme prêtre ou rni s6 ionnaire? Dans l'un et l'autre cas, il me faut rej e ter les jouissances de la terre, vivre dans le renoncement, pour m'attacher au salut e t il la sanctification des âmes_ Si Dieu vous appelle à cctte haute dignité, r épon dez généreusement: < Présent J )
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la for ce (Ic l'e mplir l'''t'l' cn llsc ic nce ct amour 110tn' devoir IHIX dll\l'gcS qui nou s sont ('oll fiées, A ce t cHd : a) tOIl S leI') jour1> 1I11~' prii' rc )lour d CllllllHl cr la gdi ct' d ~ la VOClltÎOll ; h } to ujours en é tat de gdi.t,,, aril1' tic pou voir en felldn! l'a pp,'1 d c Di " u j c) le \'OO llr lib/'{· to uj01ll' H d e Ioul e IIwu'h e, tl ésO"tlol1n é~, atï " d 'rno oir le cOUl'age de ré!JolHh-e g ~ lI én~ lI se m c nt à l'appel dh'in ; , d ) Je fi oHl' i de ~t' pn! pan' I' par l'étud e e t Ir tru\'a il , st'l on fiCS nplilml es ; t') priè re plus prcssanl t\ rq)rès la cOllltllunion, ct ullc!l tc n\'CI; confi a nce de l'eHe t de la
Doi s.j f' m' en gage r dUIIs 11111"' autre voi e, ('t)JltiJlll I' r III li gll t:c (I.Imiliul c d e m es IIl1 cé· IreS, dunne r à lu IH'lri c Jt' :! cito re lls d e VII' Il' 111' l' l, H\'('(' l'uitl (' ,lu prêtre, Ill".uplt't' If> e il'I .l'mlt' ( ' oll ~ t e l1ali o n d'élus? Dan!> ce ca s, qu cll t" c.'<1 la compa g ne qui lIl'a id era à (01111 .,r .. 1 à é len~ r ili a (umiJl e '? Pui s.j e. par lll es lu'opres fon :t:fi., p f' rccr l'a" .. nir, Il'ou \'er la solution just!' à ('cUe énigm e? Irai·j e con sulte" les tirell l'l; tl c carIes, les nSlmlogu cs, les c hil'oman c:i l'Il.'<, le!'! donneu rs d' horoscopes ? Non ! Di cu seul snil l'n\'t'nil', voit la plrH'C lIu' iI m'u ass i gn ée, p e ul Ille d écoU\jl' ir le p oste Ol! il lI)'aPl,cll e ; Oll jr IHllllTlii If' mi cu x ser vir e l assurel' m on sa int, p eut m e .l o tl ner lu
gr1lre. Cf" trc grûee peut ê tre: Ull(> lum ière d ivi" e (fui iu s/)ir e,
vo catio ll . Vocation sigllifi e : appel ti c Oit'u ,
1111 ('Olwom· ... tl c cÎrcolI sUw ce.s ([ui se mble nl
Il ictl'" lu rl écis ion à prendre, Il l's t l'arrois utile de d Clllamli' l' co nseil il d f's p c\'so nll f>5 !Sages c t fl é!Silllérf's1iécs, Ne )lU S 11I'.· ndre d e d é,'i sion hmt qu e le cœu r ct r ('Sll l'il sonl ,hUI S le tro ubl t' e t II ( UI S
DEMAN DONS A D] );U LA GRACE DE LA VO CATIO N le don d e t:ollnAÎh'e la place e l le rô le qu' il nou s a assi gll és dAUS sa mai son; la gnÎCe .le nOli s prél)arcr u(; 11 d t' r é pondrt' d'ull t:lan gén érf> lI x uu moment dt, son appel ;
Ecrire. //mcÛolI
Fa ire pli er l (c uill e en 4, Même qu es tion, Faire pJi n ] ff'uill e Cil 8, M êm e tlU es tion. DécollJlI'r Il '!. 1/ 4, Il s, · Faire ex prim er Cil l'Olllbi cli d e mor ceaux le!! feuill cs ont ilt ';' partagées, i\folltl' cr le tabl cau 011 1'011 tllIra d ess in é pr'éa lub lr m cnt les f i}E;ures t' i·d cssous. F'lIin:l eX1J1'irnt'r t; tt combien de morceaux l'entier a é tb parta gé, cc qll c l'ept'éSenle ch acun e d e:os pllnics Iru(' lturé.t!s, Fa ire écril'e cn lettres, Apprendre il éeril' c les rrn CTiOli S.
1111 Inbl en u
T,îdlt'r Il., fair e !l'o u ver'
!lU X
élèw s le
IlI Ot / ul GLioli.
Lit /rm:.tÎ(m e st mw
J
purti e de l' enti er.
c. omllle nt SO IlI les 2 pa r tie. ? (;gales. Ecrire
1 parties
~glll l!s
1 ail 11Ihicall ,
Tnw nil id entique n\'ec 4 parti es 8 p ttl,tit:s l'e rd es I)OlllllleS Insister slIr l'égalit é d es P IU· ti CS L eij 4 IHU'ttel'l so nt égole,'l, Les 8 pllrücK sont (:g(J l es. R éJlétition rapid e : Connlle nt SOIlI les p u rticlIi ? ég(/le,~. Qu'a·t,oll IHlrtngé? entier, Comm ent apIH:Jle+on les morccu lIx '? 11'/./.(;'
Ih
tiutl $
Lu fra ction est
!lH r.
)Jurtie d e l'elltÎ p./·,
E n'irc
Ce l e n t iel' a é té partagé en pa r tie . égales,
l'a ll xiét6. 0,1 se d écide dall s lé calm e et séré"ité, (A SH i lire)
'II
DEUXIEME LEÇON
Matériel : 4- fcuillt'!! par éiè·\'t', ciSeaux ('(l.;ehu{'~ l,o mm eS Cl quelqu es cerc1~s ~(t\1 r le lllaÎ: ~: trt').
tablenu ,
1
d é no)lÜnuteu n~
1
L t' cléll Olllillatcw ' intli(IUe le /l QIn de ln (,'aclioll el ell ,:otll!ti en de parties (;glflp,.<; J'Cil lier a é té (li\, is~.
!t'llIrc/'e d e 1« lf!(,;OIl : Faire "li er 1 reuill e C il 2, Comlllent s' u,,· }lC' lI c UIl (' d l' CCS p:lI': it's 'f
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Insister sur cette noti on de ' l'enlier 'a-vel' les pOIlUUes e t les eercle ~; l'li nge -ct décollpagt' d' tlllC (cnill e l· tnlcll:-:,,: ! Q U'II\'CZ.'\,O,lI 50:' =!c
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IHf/,.dl e de /(1 leçon: . ':' Di slr ihlltion d es (euill es au x élt:\'es . Qu'avez.vous? - Des rcuÜ) e~ ·_ .' 4 (cuil;,
PREMIERE LEÇON But : DOllucr la notion de la fradioll f.
B
Compl étcl' le mot lIom éel'ÏI nu tabl eau n " t:~' t1 ' Ulttt'CS (' oul eurs
Maté,.iel : 4 feuill es d e papi t't; l'''J" élève; c i,waux,
INTROJJUCTTON
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Pui s(IUC ct's ('hiUres cxpdmenl lc tl o m. d es fnll:tÎoIlS, on les uPl' ell e d es
UUL : DOI1lIt'1' ln t1otioll du {/JII ~"l/. in :: "! I Ir.
Combien d e m aîtres ne- ~e sonl p as plaints du Ill{\nqu e d e bu scs en ar ithmétique! e lloit'Oll pas sou vent altribut'I' cette lacune aux instituteurs eux·m ë.mes ? En e rre t, (Iall ~ c.e doma in e, comm e dam; beau coup d \1Ulres• . nOli S alloll s trop vile! Pour ·l',e m édier ir êe ' mal, arrê tons·nous le lelllJls voulu SUI' cha· que. Ilotion nou\·elle.. Voi eÎ, pal" exempl e; ·une mê lhode COllcrè te ' d' introduire les fracLion s ordinaires, «.ni COll' duit rac il c lllent les élèw s '" l'ahstra ctiolt . ('t qui Leur permet d 'a ,~s i",ile r cette unl.Lii'rc ,.: t,' d' ulle 'f açon tlul'I\hl c,
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Pou r qu oi ces chi(fn~ 2 , I~ . 3 . 8? Puree CJII ' OI! n parla gé CH 2 - 4· 3 · 8, Qu 'a·t·on purtngé '( EnTi er , Com ment :osOIlI les ptll'tÎ es? E gal es, Qn' indiqu cnt ces ehir(n's 2, I~ ? En COin' l,i el! d e p:ll,ties on Il partag é, C omnll'nt n omm c;;:'\'ons l morce au '! I/!, ' /~, Il !!, Il. d cmj , lIuart ,., Quel dlirrrc indiqu e le /lom? 2, 4, 3, 6.
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montage facilc, rt:ulisa blc dès dix-
O1lze AllS, cl' un pdx modique et d'un erret sÎlI'.
Fmtrll itures : une hoÎtc d e fromage j llll Cü1T é d e papier rouge 120 x 120 mm (Schuhi ger, pus te l 4423) ; un rectangle de papier vert épais ]20 x 320 mlH (Schubi ger 7522) ; UIi C band e de carton so uple 30 x 220 mm (c'orlon nlain 110 8) ;
un déc' het d e C'lI l'ltm bhmc sAtiné d ' lIl1 cô té 45 x 55 mm ; une bande de carton ondulé blanc ou rouge I}OUl' l'oratoire 30 x 180 mm ; une hande de curlon ondulé vert pour tour de boîte 25 x 310 mm i une image d e Noël (Blanchart lN 201) ; une étoile ù e co rlon doré 110 37 ; deux étoiles de papier doré gommé nO 38 ou 39 ; une demi·bougie de Noël ou une petite bougie d'Ilnniversai re i 4·5 agrafes parisiennes; I:olle Cemcnlil. On pourra trouve r ce matériel chez le !iOllssigné au prix d e 3S centimes par mou· tage. On est instamment prié de comman· der, non par téléphone, mais par écrit. et suffi sammen t à l'avance pour laisser un délai de quel<lues jours uvant l'expédition, surtout cn une fin de trimes tre particu· lièremen t chargée.
MaTche du travail : 1. Recou\'rjr ln fnce sUllérieure de la boîte d'uli rond tl tl l)upicr ronge de m;'me clin, IUtll:e que la boite. 2. Inciser e t plier ]a bande de carton gris souple de façon il réaliser une ogi\'e, selon (igures 1 el 2. On (a cilitera la bonne courbure en étirant le carton QutOUl' d'un corps rond: angle 81'1'OlHLi d'une tahle, manche la balai, etc.
1'~~;c.t~~~ ~a.u....cÂ4~
3, F,j xer l'ogive SUl' la boîte (agru(es) et la reCOUVl'Jl' d'une bEUlde de carton ondulé blanc ou rouge (colle). 4. Dessiner e t découper le s(lpin dans le rectangle de papier vert préalablement plié en deux (fig. 3). Coller l'un sur l'antre les d eux onglets en AB et ~ixer le sapin SUI' la boite (agrares ou colle). Un peu dtl Cementit sur l'arête de l'ogive rera sc maintenir le sap in bien droit, S, Préparer JI!- petit socle qui. servira de support ù l'image (Fjg. 4), Faire en sorte qu'il s'adapte bien à l'ouverture de l'ogive (,longueur e nviron 50 il 53 mm). 6. Fixer le carton ondulé vert autour de la boîte (agrafe), Dans l' une des ondulations passe l'épill!;le (tête cn bas) sur laquelle sont nxées l'étoile et III bougie (Fig. 5). Autres étoil es au sommet du sapin. RemuTque : Si l'on a aSSez de morceaux de (~ nrtoll ondulé ordinaire, on peut les faire peindre en classe pUI' les enfants (couleurs en )loudre des peintre!! en bâtiment).
E. Claret
•... -- .... .... ; .~...,.,_~J....~
el JcJl1euse
qêle »e rrlcJël A TOUS NOS LECTEURS!
Professeur à l'Ecole Normale
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111111 Lc ht'cr n Rl'h Bri g cÎlI7.lIh"It,·n , sOlUl c rn hoschdinkl t' !i Îrh " ie lm e hr auf Ver lrc lungclI f!t ' I' \'er!'f'hi ed cnen LUllcl estcilc, Bczirke und ScllIIl sturt'l1 . Du.'! in Brig ,'crsammdte Lehr. »cl'sonlll \'erktirpcl'lc altl'r tl'olzd em in b es rcl' We i!' r, 1I11 SCrC Volkssdmle (Gcsrunr· und cin' klnss ige Schul en; Knabe n· und Miid chen, Idllssr l1 , 1I111t' l'srhicdlichc Sehnldauf'I' ; Ver· iSchi ed c llUl'tigkeit ilueh bczliglich dcr Um' we lt, d es Mili eus, in dc m di e Sdml e Ilrltt'i, tell, wil'ke ll mu ss : Luntlwirtsrltnft, Indu stl'it:·,
Cours de ski L' AMGVR ol'g8ni se un COIII'S Ih· ski du sa· nl edi j~ nu lundi 6 jam' iel' 1958 all x M!ln~, cflll t'..s , Les Înst:ripliolU; SOnt à cm 'oyer jus. <Iu' nll 15 d écembre 1957 à M , Samuel Dela, laye, Ill11Îtt' e d e gy lllnaslitillf' à MonllH')' , ']'OIIS les re llse igllt'IIlf'IlIS lIt'ccsi;Rircs !i't!I'olll cOlllllluniqu és pltl' circulaire II US: collèg ucs in scrit s pOUl' le co m 'S.
COMMUNICATIONS - MITTEILUNGEN ANZEIGE
AVIS
\V il' crÎnll Cl'1I L ehrcl' uml Lchl'crÎIUlCJl
Nou s l'appelons flU X in slilllleur" et ins tituuvif> cnntrnirc tif It'ur puri, nu lie u t1 ' cns pη
gllc.m e nl. Or, <lu elques ubollll és nou ~ lin!
écrit pour
IltHI S
sigl1ulcr qu e l' Ull ou l' autre
num éro ne leur é ta it Ille nt.
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Vil coutrMc 11 POUI' IUItI révélé qll e
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lIdrt!ssécs
du,
l'an , du ~s illllCII dil~ c Walli scl' Schul t! :t -
trices qu e ln revu e leur cs l ndn.!sséc, sauf
aux
tlh'ers bu reau x d t' (losie ull e sc mllÎne a\"unl ln parution du no 1. Au li e u d'écl"Îre directement nu se rvie!:: chllrgé d c l'expédition (Imprim eri e Fi orillu el P ell et, Sion ), le:::; éve ntuell eti "i ctimc.'i fI ' une IlHllI vui sc distribution sont dOli C pri ées d e s' annon cer d'abord HU Imrtltlu de I,oste, en pn'!ciStlnl I,ien s i lu
revu e doit le m être remi se il l'éc.ule ou uillcllt'S,
ollll e gegelll eili gclI B el'i cht ihrerscits - an ,I ell SchulorL 7.lI geslclit wil'(1. NUII aber h erichtt' ICIl Uli S oili cht' AhollHcnlcn, duss ihncll di c e ill t! otl t!r und er e TlIiHlll cr nil:hl 7. u gt' I(O IlUIl CII st' i, Eille gC ll uu c Konlroll c er ga b j edo ch, lIA SS ihr JUill e au f de m Adrc15' se n ve n;cichnÎ l'i uufgcführt wu r, das cine \Voche ,'o r d em ~I's('hei llcl\ V OIl N I', 1 der Zcitschrîfl d CI1I l'uslbiil'o 7, U g !'S lcJlt wunIc, WeI' ,lie Zei tschl'ifl ul so l1ichl r egelmü ssig f' rh iilt, solli e sÎl'. h ZU Cl's l eillmal an das bCll'cffe ml " Posthi'tl'o wCllIl cn, anstatl an di " Stcll c, di e mit d el1l Vel'sund fI er ,, \Val· liser Sdwle :t " c ll'aul iSI (Bu l:hdrll ck Cl'ei l'in r inu & P ell!'I, SiIlCJ1) und dUl'nuf hiHwei· 5 1' 11, d nss ihn e n di e Ze irsehL'ift enlw ell el' am Sl'hlll, od l'r IIlll WOhllllr( zugl·h e n soli. Uil' V<,rwultllll g ,,1"1' " Wallisel' Schul e»
L'lIdminis ll'lIliOIl de l'Ecol e vnhli sltlllH',
ASSOCIATION DES MAITRES DE GYMNASTIQUE DU VALAIS ROMAND
,0
Le comil é Ile l' AMGVR, dun ri séa lwe cOllstituli,'e, s'cst réplll'li les lû ch es d e la fa çon sui vantc : P,'és idt'nt : P aul Pi gnal, VOU" .. )'. Vi,'r .prés ide nt : Marcel COUtu1., S I·Mrlllri ce , Cui ss ie r: SUIllUl,I Dt>laloyt', Monlhr )', Secrétairc (cones)lollclatlcc): Hllymolldt' Ga y· Crosicr, MUl'li gn y, S,'cré tail't' (proto col clI): MUlhullc MUlh,ld t' Hey, A)'e nt. MI'm!Jrcs : Paul CUI'lIy, Poul Gla ssey, Sion, Pour lu !Ionie Icc1l1l.iquc, Paul Gla sst'y t'st chef d e s COUI'S r ég iolluux CI des Ilutrci' cours sp éc iau x. Marcel Coutuz s' Ol;t:upcra des sous·seclitlll s (pl'o gt'lllnme d e travuil, contrôl es, e tc .),
-
Nous ll\'n ll S !'t'l..:lI Il· s li s lèl" tl t's partici , 1)<11115 U lI~ ,'O I1l'S d c gY lllll ô:> li{!ue organisés dmanl l'é té 1957 pal' la Société suisse des maitres de gymnasliqu e. l ous )' voyons il" "l ' l" plus grnnd pla i!'o ir qu e 38 ÎnsLÎnl'
c l iIlSlitlllri t:t' S du Vulai s ont pl'orité ,lc ces C'OII1'~, St' lIl, le clI nlon de Berne d é· pa fiSt' , 't' I1 l1 l11 bn', Si 11 0 ll S )' ujoulon s les 1 7 l:IIUègu es qui onl paJ'ti tilt~ au cours de dUlIll, dt' ssin ~ t gY lUnastique or gani sé pur le D é pul'teulI'l1l ti c l' Ill Slnll'tiOil puhliqllc cn auÎlt , 1I01l l> alTi"OIll'i il \III loral C IICOI' (' jn, mai s nll cillt. N nu s réli ciluH5 chùlclll'eu se· 111t'111 ces IHllnbrt!ltx l:oIl èg ucs d'qvoil' si bien profil é des o<'casio ns de pcrfectionn emcnt 11Ii s c~ il I r ut' disl'ositi ctIl ,
!cUI'S
D cl' 21. No\'cmbcl' diente lIicht der Dis·
VOIll 3, Jall, nllends bi s zum 6, Jun, ahellll s find cn in SI. lod crnh c im in Vi sp Exe l'7.ilien fül' L ehrerÎlln en Illller dei' Lcitung V OI1 H, IL Pat cr Bent AmbOl'd stail. Der Ze itpuukt filr den Exerzîlicnkurs isl aussf' l'ol'f1 enllicll gi.insti g, Wil' crwarten li es, halll e.i ne gl'osse T e iln elullcrzahl. Anlll chJungc ll crfolgcn bi s zum 20, Dcz, an llic Dil'eklion ti cs SI. Jo tlernheim cs. Anf d CII 3, J nn, <lbe nd s iSI au ch cin e kUl'zc Vf'rcinsversa nllulurl g vorgeschen, Niihcl'e AlI gahen erfol gcn in e inem spalcren Runcl· Der Vorstallll. sclll1e ihe n,
Im ssinn ühel' da s n cue Lehrprogramm, Di e Mii gli chke it (IHZU halte au ch nichl be· stnuci cll, tl ~ nn di e Teilnehnll'r hatten jn noch nil-ht ge nügentl Gelcge,nhcil gchabt , (Ien ihnen kul'z \porhe l' iibelTei c.htcn Ent, wurf zu pl'iife ll , Der Sinn der Tagung he· sland "i e lm clll' dar'in, sie mil den Gl'und· snl zen und Ohed egllugen VCl'traul zu ma· c h c n , IlilCh ll cueu das n ell e Progrnmm aus, ge81,he ite l wordcn wal' : Enùastun g "on e i· Ill'Ill Zudcl lin Uliterrichtsstoff; genau e FOl'lllttli cnl11 g d es Lehrzidcs in jedcm c in zcln en Fnth c i BildulIg d er Idndli chcll Anlu l.lcll und Krühe nn stntt l'cine Wi sseu!:i' vel'lniuluug, 50 wichtig dicsc illich sfdn mag; resllegulIg dessen , Wli S das IGnd mit Rück sic.ht auf se ine geistigen und korpe r· li chen Anlagen und Kdifte aufnelnnen und lerne ll kH1l1l und uicht 1I1lhedingL dessen, was es le nlcn soli; enlsprechcnde m elho' ,li sehe Hinwe ise Hi!' das Lehl'pcrsonal.
EINFUHRUNG IN DAS NEUE LEHRPRO· GRAMM DER PRIMARSCHULEN Da s IŒ ntonal e Erziehungsclepal'lemcnl haue an! D0l1n C1'6111g, df'n 21. Novcmbcl', cine An zahl Lchrpersoncn zu Einer Einfühnmg in dLis HCUC Lchrprogramm der Primllr. scind e in clas In!s lilul St, Ursula Ilach Drig eingclad cn, Seil Iluh ezu zwci Jahren arheilet cine: Kom· mi ssion tibed egt und mil grosser Hingabc an tli esem Prog'l'Umm, Es gehüren ihl' Vel" h'elel' und VerLretel'linnen der versehiedenen Schul stuCen a.n, Sie hal auC den verg'angenCIl Mona t Septe mbCl' das vorliiufige Ergebnis ihrer Arbe iten vorgelegt: es ist ein l1ahezu vOllslAlldi gcr Vorentwurf zn einem Lehrpro· gl'allllH mil genal1el" Angabe des jewe iligen Unlerl'i chlszi eles und dctailliertcn melho· tlisc.hcn Hinweisen, Ein bereinigter El1twnrf wil'c1 j edo ch er st aur den Beginn des Schul. jahl'cs 1958,59 vOI'gelegl werdcn künn en, · DIll'lul'I vcrzichle le d enll aneh das Erzie, hun gsd cpnrlCl1lcnt (hu'anf, aile Lchl'crÎlIllCIl
/02 -
Gc wt'l'llt~ ,
OBERWALLISER LEHRERINNENVEREIN
SI', Loyola ZUllltallgwald. Lelu'erin an der OIH1n gsschul c des Seminars, dc.r das Zli stan' dcl(omm en des bereits crwiihnten Entwurfes zum all el'grossten T eile zu "erdanken ist, hot eine vorlrerrliche und zuglei ch tempera' mc nlvoUe EinHihrung, lhre Dnrlegllngen halte n aber mehr aI s nul' orielltierend en Chal'aktel' i s ie warfe n zugleich cine Füll e hed eutsnm er Frage n :luf, dcren niihcre Ab· Idih'ung ftir un acre Sc.hule unerlüsslich ist : Sc.hulreHc und Schuleintrittsaltel' ; Zahl der woch e ntli ch en Schul slundcll; neue Lese· melhod c ; Glietle1'l1l1g nach Un leI'·, Mittel· 1I11d Ohcrstufe; G'c staltung der Abschlu sti· kla sse; Hel'Rusgabe ne uer LehrmitteJ i Zu· .~ U1nlll e lHlI'h eil mil d CII Konkol'datskanton cll
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b ~zii g li c h Lcll1-p l'ogrulIllll und Lehnnilte.l n _
Dic am 21. Novembm- in firi g tlnweseml en Lchrluüfl e wt' rclc lI 111111 d ie ihnen zugeslclllell Ulll c.-l OlgCIl griind lit-h prü(e n _ Um ihncn t1 ic.se A rbc i l und die SlellulI gllallln e zu ~l- Ic ichlCl"ll, sull im Lau fe c.I ~ Will lers ein aus· fiihrli chcr Frngt'hogen vcr sundt wcrcl en _ lm Juli undl StCIl JRIII't"s wi rd di e ztl sliim!i gc KO lllmis6 ioll ihre Arbe ilen wieder auf· lldun en u nd bi H Z lItll Bcginn des SelHtljahl"C8 1958.59 50 11 cill b c.r cini glc l' Entwul'f vodi egcn, d ei' dU1I1I d clU gesamtcn Lehrpersollul der OherwB lli s~ J' PriIl1 Rl'Sc.hul ell 7.ugestelll wcrden kRlln, Dus Ile u c Lc hrprogram m i sl ulso auf g llt ~ n \Vegt' Il , - y
BIBLIOGRAPHIE ;) BÜCHER A PROPOS DE LA METHODE CUISENAIRE L'arlid e du pr oft' ssc u r Gn ltegno )l<lm dans lc pl'cnli er num éro tle l' Ecole vabisann e (<< l'E tud c dc l'Adthm éliqu e ù l'aid e dc la co ul c ur nssoc iée :1 III lon gu eur )o 1ère annëe, ]ll\ gt' 20 , nnus in ci tn te nl er l ' exp~ rj c n ce avee un pelit gar l,;Ol1, mai s oui , de qna·
tre lin s ! NOli S Illi II pportions dou ro, il y a qu e lques semain es, t 0 1l1 un assortimen t d e r~g l e tte s re présc ntant, p RI' lu longueur c t la coule ur, les nombres dc j il 10, Nou s lui Ilvons cl'abo rd sl1 ggel'é de trier ces pièces, d'opl'ès lem' cou lem', cc qu i l'amuHI beaucoup_ Qu elqu cs jou rs plu s tard, il C OIn· parait d éjà la Jo nguem d e chaqu e régle ltc !I\'CC lu l'égle ll c « unité )o ct, cn troi s sc· llIuili es d c jeu, notrc llli\thél1lut icien en h erbe nous lIlolltrait suns aucun e h ésitation les régle ll es cO I-resllOlidanl Î1 chac un des nom· bres de ] il 10, n joue ll1aint cIHlll t Î1 d isilusel- le tahleau de chuqu t' l'églettc ju squ'à 10, scloll l'exempl e su iva nl [lOUl' lu \'églelle cinq:
5 - 1 + 5 = 2 + 5=3+ 5 - 3 + 5
~
4
+
1 + \ + 1 + 1 2 + 1 1 + 1 2 1 -
N'esH :e pas magnifiqu c, t:OInpte lCIIU d(' l'fige d e !lotre ex périlllt' niatcur '! Alors quc p OUl' nOliS, lon gtemps aIn-ès le~ premit!l'cs anners tf' êcolr prima ire, Ics 110111bt'cS n' éta ien t '1u' une slH'cess ion ahstl'aite de chiffres apl}I-ise fa stidi cusement, cc son l I)Qur lui dcs valeurs C'o lH'l'èleS comparées et Rcqui ses cn jo uanl, >t JnS(IU' ici, écl'it le profeilscllr Ga llegno, no s ëlèves ont é lt, pal'ulYllél' pal' notre c.onct' p· lion lo gique de ln llI tl lh l~ lIla l iqll c ct n ou ~ lili,lItes, m édusp.s (JIll' Jes exigences d e ri· gUCll\- d eli lIlullt éllla ti citm s, 1l 01l!\ nvons vou lu exige r d e no!; élèvcs, avulll l't'xpt!l'i cilce ma· th ~ muti«\1 e, su co dification_ Si nou S lai ssons l' intui tion jo ucr son J'i, le, !Ii nous Il e t1 CIlHlIldo ns po s li e nos enfa nts d 'fo tre prélogilJ ucs dans le domaine logiqu l', mois Fi nou S lt' lIr pcrmc ttons d'organiser lell!' expét-iellf'c pro J)l'e sui vllnt les ct"Ît èl't'5 d nnt il" sOnt capables à l' int éri e ur d'ellse mbl es qu'ils p euven l do· miner, le r ésultai resse mhlera il ce qu'offl"l' le IlHl th émntici c ti tian s !'on doma ill(' l'réa· tf' lil', » 01 1 Il C sa l1!'ait mi eux dire, T enl cz J'expériencc, l ' h cr~ co ll ègu es, vou s VO li S piqu erez uu jell, M_ H_ NO lis SO llllll es h eureux de foire co nnuÎtre cr Ue t'x pé l'icnce Ù 110S lec te urs, e t nOliS ell l' rof il On,,, pUll!" signaler [\ lem int'elltioll le:(Ie us. p et its \·O!UIIl CS que Yit'11IH.'n l d'éditcr MI\'1, Dehu;hau x Cl N iestl é, il Neu chÎltel : Arithm é tique qlHllitRli\' e, les nomhres d c 1 à 10, A rilhmé tiqu e qURlihlli \"f', les Ilfllllbl'CS de 1
li 100, Cc!'; d eus. Ii\TCS so nl les lll'emiers dl' la s;;.J'Î c c L'uritlll1uiûl/l/(! UIJec lps nom bres cn cOll lew 's >. que Il' prof, Gattcgllo va con sa, ('l'c r il l'e lll!>loi dll nta lédel Cui senai ,-e, r;." J>pelons par la m ême occasion le livre du maÎtrc c Les I\ombr es en couleurs », paru clli'z Irs mêmes êd it f" urs t' II 1955, et dans le· quel MM , C Ui SClHlil'C ct Ga u egn o eXI,osenl tom- à tnlll" les nspf>c ts math ëmatiques et prati{!U C5 dl! CI' 1I01l\' C,1I1 Jlrocédé {!lIi pa ssionn e tous œ u s. qui l'utilhll' Ilt les maÎln's a uttlnl qu e les élèvcs ! • Ces o uvrages, ninsi qu e toul le matériel cO !"l'csponlllllll, I)!'tl\'enl ê h'e consultés l"es.pnsi tioll de Ululél-iel sco laire,
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DER MENSCH ALS ENTWURF JulUllill es M ichu cl Holl enha ch S _J_ Seinsg"lIliisse Erz ic hun g in teehni sierter Wt'It, 500 Sr itcn, Ln , DM 17_50, Vr rlag J osef Kned ll, CR l"olusdrllcker ci, Ft'ü nkfurt am Main, Ei n Bu eh, das det' wi sscllschafùich iIlICI'C!:i' sicl' te und fOl'1sclu-ittl ich gesillilte El'z ic h e r un!Jed in gt d UI'C'harlJeÏlen solltc; denn f' S ze igl II Cll e \lIld Ru ch gutc Jliidagogische Weg" a uf. E s hült lins an, den j llllgC Il Mcnsch cn nic.hl nUI" all gcm ein ai s c in e Ge· gch('nlt eit zu sehen und zu hehand C' IIl , so nd e rn ihn zu I.egl"e ife n von sein Cl' ihm c i· gencn Exi .'J ten z und Situation her_ De" VCI'· fa ss~ l' sic ht ti en jungen ]\'[ell schcn in d e I" h euli gclI Z c il, IIie sit'h gar schl- untersch cid et \'on j ell l! r, in d"l- jctzigc Erwac.h se ne jung WIU'CII_ Und t1al"lllll diirfen ,Ii ese nichl d cn dOllla ls vicll e iehl seill' zlitreffclld" l1 Mas.'Jtllll auch heut e lIo ch in d c r Er:7.i ehung uls \'0 11 gü lti g be tnwhl en und ullwend ell_ Di e h eu· tigc J tl gcnd w8chst illl Zci ta ltcr der T echnik I\uf, weI .. di c Umwehhetl ingungen rl er El" 7. ichun g \'crn n Jul und bei m heranwachsenden Mensch cll korpcrüche und seelisch e UlIIlH'ngUng hedin gt, Di esc muss nicht uubc· d ingl nls eille Vl!l'schlechleruli g angesch ell wenlen, wcnn wil- El'zichungsnorm en ni cht uls un\'cl"ii ntl crli ch werten, - Oas Kim! winl hent e Opfc r vun Id een tuai Erfahrungen, di e gUlI1. ullkincllich sind und es begegnet cine!' wueht ig wirk end en \Vel' twèlt, di e ihm Zllt' vCl'hiingui svoll e ll Enniiusdmng werden kami_ Es gi lt dah cl' neb en den Folgt'1l c1 f l' Techni sienlil g au ch ande.re IlTtiim er auf· zlIfl eckcn und 7. lI I.ehebcn , - H olle nbach weist auch hi .. auf clie grosse B edcu tun g des Spjeles für das Kind, RUC d em vielleic ht das gunze Verhii ltni s von K il1(l und Erzie· het' be l"lIht. H e ule w inl aber das Kind aHf Kostcll des Spi elcs, des Miirehens muT der Idncl liehen Abenteuer IIul'ch das materiali· 6ti sche Vel'h a lten der Erwachsenen leider ga l' zn fl"ii h hin e in gcri sse n in d en c e r· ni.i chtet'te n Die..~se ils r e ali s m\l s »_ Damit ver· kCllnt rli esc. sog , Erzi chun g die Kdifte uncl Wiill sch e des Kincles und wil'd ihm ZUIEnttiiu,<;chun g, Danm ist eine weiter c Trllgik gcbuild en : sei n dementsPI'ech end es Ver· hiiltni s zn GOIt, ein \'erzerrtes GO llesbild
und cill e fnlgwii rd ip;t' IIingabc an Gutl. \Vcselllli,-h Hi!' nll e Erzic hung isl di e Ida,'" El"kelln lnis der geisti gt' n Grlllull eid enst:haf. 1('11 und G"IIIHltri t' he im Kiml, di e ge rnlJe ill scin cl' ullm ii lilid\ell Selbsh 'cl'wi rkli chulIg, i .. st'i ne r A III}I\SSllllg an d ie Umwdt und in seinem Hang !lach pet-so nli chel- Eigen .. r t, sowie in df'I' Slcllun gnahmc zlim Mi l· mc nsC'hcli und in del' Hin gu bc ail Gotl so wich tig sind, fii .. dessen EbcnlJildli chkeit dcl' Mense" ja « c llt ll'orfcn l> ist, Hollcnbudl we ist dallli sehl' khll' hin Ullf die Un tcl" ttt:hi ed e cl er sittlich en Reifes tufl!n, in ihl'cl' VCl'schi edt'l1lwit be i Bubell und Miidth CI1 \lnd wi ll Uli S damil b cwa l,,-cn, aus d CIll ~thi s dl jungen, kl e in en Mensc.h en cincn « gl'osseu ., d , h _ e iH Zei'l"bild zu machen, - Hull t'Il IHII- hs Buch ist keillc 3nspl"lIchslosf' Lek li.irc, es ford el't nn sel' Denkell h e1'8US, a ber di e Miihe 10hlll f;i d l st'hr, Ernst Schmidt_
,,!!
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HAUSBUCH DER GESCHICHTEN Zu sammenges toJ.lI vo n Oltili e l\{osshulll el', G rosS rOl'lllut, 470 Seite n, L eine ll 14,RO DM, Vel'1ug n erd er, Nach CillCIll llII strell gend c lI Schultag und oft lI oeh ullerhlllld KOl'rcklUreli hat 1II1Hl ge· lI'o hllli r ll e.ill gl-osses E nt'<;Jlannlln gsh edi.il'fnis ulld mocht e so gn nz na dl W Ull sch und LUtllle e ill e ne ttc EI':7.ii hlullg Iesen, Oder in der Schul c s oUle ma n oh clwas Ansprechelld es \'o l'1 esc n oder au ch in de,- eigt'nen Famili e, WCllll !! ie IIhen ds od e t- SOlllltags um cle n Ti sl' h ,'c rsa mll1c1t iSI_ Nu n ha t Ollili e Moss· h alli er e ill ellt spl'echen des Buch znSOllllllcn· gestellt. du s c Hausbuch der G csch i chle n ~ , das mi l seinen fa st 100 Geschichten cin e gr osse Auswaltl ermogli cht. Es ist e in fe in es Bu ch fiir di e Familie d a b eilll. für d en UntelTi eltt in dcr Sclmlfamili e und au ch ftir Gruppenahend c bC!l trll s geeigne l. Di e Ausll'lt hl ist rlul'eh e in Reg is t,e r Ic icht gemacht , U ill el' jedem Titel Îsl in ci ner km'ze ll Ze il e cin Hinweis auf de n lnhult gegcben , Di escs Bu ch würc aueh cille wel'I· voil e BCl'cidlel'Ung lIn Serer Pfan-ei· und St' hulhihli o thck cll _ Ernst Schmidt ,
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FREIHEIT IN ERZIEHUNG H erau ligcgc h en \'0 111 Buml k a tholil;f,h cr El":lichel'. Hcrd cr.V el'lag. Grnssoktuv, 224 Sei· te ll,
I-Ial hlci nw3nd 9.80 DM.
Diesc Schrift e ntlla l! gr undsa tzli ch e Ourle1111(1 Dokllm e ntatioll p.11 b ckannt~t· Piidagogcn. Ihr Sinll i st C~. NO lwendigkcir, Weg ulld Ziel ZlH" Er:l.i{'j mng in Freiheit uurzlIzcigen. Sic will die PI'oblclllC diskuti crt'II, die sich Hi!' (lic El'ziehun g aus d cr im Gnllldl'ccht vcrhiir gten Freiheit des Gewisscn s er~c1 J C Il , cli c IIllcin di e Entfnltun g der Pc.rsonlidlkeil ganmli er L Intercsscntcn : Katholische Püdagogcll , Lch· l'cr, TIc imh' iter , Ju ge nrl sc cl sor gcr.
g Ull gt. ll
Collection ({ Petite Planète» SUISSE
Vol. 9,
far cies de citat io ns Jlroh [l nlt~S pui sées bOlln es so urceS. Le maître y b'OHve l'lt dcs up et'!;us or iginau x SUl' notre Hi stoin~ , notre n e utralité notre ci vism e, notrc cultUI'(! (s i le 1Il0~ Il 'CS t pas trop préten t ieu x 1) qui ilhl'S l n:;ront, complèt erllllt et I}arfoi s contrediront les donné'es l'r ad i ti o llll e·lI es de noS lIIanmds scu laire.!! e t p :ulI-scolnires, Gageons qn e vous finin~ z cc li vl'e ll'un trait et que VIl I1 S le recommanderez à cellX d e vos amis qui ont lissez d e la rgeur tl' cspI' it ponr échappe r fi f' e parti pl'Î s d' alhlliflatiun b éa te qui es t si fa ci lemont le nôlre dès qu'i'l s'agil de noll'C pays ct de no s institutions. Mais je lirais avec non moinS de pla'isir Ull volume d e ladi!'e coll ectio n dans J ~'{(ue1 la France n oUS se rait présentée avec ce lte ri goureu se sagacilé. E. Claret.
AGENDA DE POCHE SUISSE Les éditions dn Scui'] (27 l'li e Jaco!', Paris VI) ont lall cé, il y a 2 an S, un e col'lcc lioll o ri gi nale inlilUlée 4: Petite Planè te 1>. Ce sont d es mono gra phies d e 200 pages e nvi ron , consac.rées à l'étu'd e d'ull pli)'!!. Dl' prix modique, ces vo'l mues o nl IIlI e intention bi en plus large qu'uue sinrp'l c info rma. tion tOIll'i stique. Il s porl ent ]a m ention : « Le monde pOUr t out le 1ll0l1'de > et co n sti tu ent en fait une pe'tite en c.yclop bd ie d ~ poche précieuse à tous égards . Dan s l e volJ.um e 9, Dominique FABRE p,ré, sente la Suisse au mOll'de. Cc pc tit vo'hnn e m' a singulièrement pI1l1 par la l~ l cidit é rosse qu'~l me t à fouaill e r nos défallt-s nationaux et cantonaux, nos prétcntion s à la ,'crtn, !l'OS airs fau ssement p ~da gogu es, tOlites les qualités t y·piqncmenl suisses d' onh-c, de précision , d'or ganisation dont n ou s nous pré\calons devant l'étran ger. On pourra n'êt l'e pas d'a ccot'cl avee certains jugcm euls ; on n e ] e's trouvera jamais banals ni absohlment gratuits. J'ai rarement v u l e bl'ave citoyen sui sse, qu'il soit Genc.vois ou Z\1ricll0~ 'S, ~ el'eé il jour avec une rigueur aussi cruelle. Peut-être est- ce un parti pris, un e atritude géné ra,l e de la eoll eeli o n. ( Le \'ollum e Espagne, par exemple, llI ' a paru t'e ndanc1clIx e t n e pJa'Îra pa's à to'Us les ESpagno~ g). Mais Il e IOul e f.açon , il y a b ea u coup à gagner à la lecture d e ce;;; pages toujOUl"S souri'antcs,
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Commc d'habitude, ee t agenda es t édi té !)L' lolI deux fonnulcs Jiffbl'cntes : la variante < gran d f() n\lU t":~ (Jl ,H x 15,7), il. la foi s porteft' uill e, aide·mellwirc et agenda, sC' pn';...sente twt!t: une souple cou vertllre de plas tic noir. La sCl!o nd e éllitioll (8,S x 11,5), plus )tartiI:ulièrcm ent destinée aux dames, est lin él égant ea m e l d e similieuil' rouge. Ces d eu x agt!l1da~, d ' un e conce pti on très pratiqu e, so nt cn "cnte dans toutes l es lihmiri es ('1 papeteries, ou a u" Editions Biichlcl' ct
'I!!S el sc d éveloppa. Aujourd ' hui e'cl; t IlII e "uste usso ei atiOIl qui a li vr é plu s d e 1] millions 500000 hrodllu·cS. Voici queltilles chiffres: 1953 . 71.1 985 bl'o ch . ven tlues llont ]lI H96 C il Sui sse rOilluml e.. 754798 hl'odl. vcndues dont 100120 1954 ('II Sui s:,;t' rOlllundl'. BlI 835 Ill'ocl!. \,t'lulut's (10111 lI6396 1955 Cil S ui sse rOlUande . 829 142 h1'o c h. vendues dont !lO l n 1956 en Sui sse l'OIlHIIHIt!_ pOlir l e Valais, la ventt! ~'es l él e,'!!e e ll 1955 il. 1 732 h rochurcs, c n 1956 à "382.
BO ITE
AUX
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L-ETTRES
!li
BRIEFKASTEN
Dans la mesure dl, possible, IlOU S répondrons sou s cette rubrique aux questions que le pel'· son llel enseignant voudra bien nous poser. Ces queStiorls doiv erzt êl!re envoyées avec le nom. et l'udresse de leur auteur. D'antre part, elles doiv ent évidem.ment sc rapporte r ri des problèmes entraut dans le cadre de la revue. ln die sel' Rubl'ik, die wir /ür u,nsere Leser bei/figen, wCl'den wir im Rafl11W11 des Moglichen
Fragen Ùetmlworten, di e aus dc:n [,eserkreis gestel!t werdcn. Diese Fragen miissen aber untel' Nemumg des Namens und der Adresse eingereicht wenle1l.. Anonymes wird mlter keinen Umsliin.deu beriic1,:sichtigt'. Femer dü,./en dies e Fmgen TIlU' piidagogische Belange bel,ref fen.
C ie, Bc.n1t~ 6.
UN BIENFAIT L'Oeuvre Sui sse ri es L ectures pOUl' la J eullt!sse f' él éllrail l ' an d erni cr scs vingtcinq ans d 'ex isttmee. A cc tle occ asion, d e nombreux l é iUoi~l1a ges de s ympathi e prou vèrent l ' importance de ce tte in stitution . Entre au Ires, Monsiem' l e Con seiller fédéral Ph. Elier affirma qu' eUe pom;ait être considén'ie, sans exagération, to mlTIf' un e institution d ' importan ce nationale. Il JI li 25 am, d es in s tituteurs, frupp és pm' l' illflu t!oll ee néfas te d e la lilléra tlll't! enfantine r elHtlHlu e Ù ~ plus en plu s à travers la Sui'!;;;e, ri:.'lolurent d 'offrir il la jeunesse un e Icelm'c saine. in s tru cti,'e e t récr éati ve. Leur entreprise rCIH'ontru d es honnes "01011 '
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IcI.. ....i)cl.te (lui' Wcil.... acl.ten eh. Piidagogiscl.es ,jexil~on a _luclla,D eli. W«s fii ,r eines e ...pfel.. ll!n. Sie mir?
[)icses !HlIl voll stiindi g vo di cgend e We.rk kaull ul s pii (Jag o g i s clH~ s En:igni s crs t.CIl Hanges bezeichn et wenlen. Z UIlI enHen Mule se.it lan gcn Jahrcn win] hier der Veuu~h Hllt ernOIllIll t!Il , d.i e E rgelmi S$c der piidagog i!'I:h ell Forsehllllg und Erraill'un g, d cl' Theo· rie und d CI' Praxis zlIsanullenfassellll durZlI s tc ll c n. Di esel' VCl'su c h sch ei nt ausgezeichlI~t gdllllg~ll, Di t: Zr-.-.ÏI- und GegenwartsproblclHc sind in mnfaugl'ci chclII Ma sse b t!· rii cksic hli g t und b esp l'o dl t! ll , 'l'as ga nz heslI lHl t!,"s allch \'0 111 Berll{sschu] wescn und d cr B crufscrz iehung gih. In l'Und 3600 Ar· rikc.Jn winl das El'7.iehllngs· nnd BUdllng.')Wt!St-'l l dt',r K ultllrli:iml t:r J er ga nzcll Welt daz·ges tell!. Es i st llicllt !HU Fuchlcxikon, sO lld ern illi ch prakti sdJ t:s \\7t!l'khuch , es jst Han cl buch und
Es gibt lII elu:cre grèhsere ulld kl ~ inere Pildago/o; isch e L ex ika, di e in l e t7:te1' Z ei t Hil' da i; tl eutsl·l! e Sprach gp bie t ~ l' schi e n en sind . Wei l Piilla gogik und Wellansehauullg zueilHlIHl er il! t'l1g s t CI' ul1d wichti gs ler Bezidlllllg Hehen, i!Ot fiil' e inc n IWlholi sdlen Lchrer sicher ei n Lexikoll 7:11 hcvo rzu gen , das durchwegi5 auf der E b en e kath. W dtullschauull g aufgebaut ist. W~ nn cs dn:t. lI ill all en nndern Bclallgcll vonii glil'h is t, kalln cs cr s t r ec ht BOeil empfo hl cn lI't-' nl t! ll. D Ul'ulll wt: isl' it:h Sit-' hill
"uf das LI<:XIKON
DER
PADAGOGIK
4 Biinde, GfJ/lzleincn il DM 56 = Fr. 61,60 1 Verlcl g H e"del'.
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S,. Ile,. Sie mir bitte, Il,i_e ieh das Ge' elJe li e am be~ien ..... 810er.era kalln!
Wli l'terhll ch zu gleich , Es cnlhiih ei n e grosse Zahl \ ' 0 11 um(usscnd h earbf' il ctcn Fragel1 am; Erzie.hung und Schule, au s d en Gebi e teJl J t'," lh cu ,"r lis('IIf'Il, syli temulisch cll Plidagogik und P s )'("h o logit' und dcn :n I)rakti sch e r Anwc ndulI g in Schul c und Erziehllug, Das !lütla gogi sch e LI'x iku lI knun daher dUl"Ch k eill nod, so lllUrasscnd es mal gui b earheit e" les ull gClll cincs L exikon cr~elzt wCl"d en" Das Lcl'ikon d er Piidngogik ist ein UIl Cllllu'"hr" Ikhe l' H e !frr flir alll', di e mil !'t"z;t'hc l"isc!wll A lIf~o hcJ1 llll ]u gcnd und Volk bdL"Aut sind : fiil' Ellc l"lI, L e hrel", Gcis tli chJce it und allt~ jen c Kntise. di c mil Ju gent! und Volk im cr" z ieh er ischc n Sinlltl in VCl"himlun g slch c ll flein ais Soziulht'al1lte OlI er Puhlizist(,11 zu Fra gtlll de r Erzi ehun g und dl'r Sdmle S kI" lun g
Z ll
Il chmel1 hllhcn "
Wo wÎl" dlls L exikuu Il urschlagell , lIa is t t'~" intc r c5S8 nt und 8 u fsc.hlUSIi I"cich . weil ail .. Frllgcn in V erhindung mit d em pruktisch e n Leben st~hen und dem LdJcn und d cr
Praxis di ene n woll cu " l ch grcirc woh llos ein paar Tite l h crullS so" 7., B. : Bild llwl Film· Mad c.h enbildun ; _ G'"Uppt." uuntcrri cht - Sclll"t'i bllnlc nic.hl - Ju" gcndhilfswerk - Jugtmdkrilllinalitüt • Jugcnd. st',elsorg c " J ed rr di escl' Bc griffe find et Iheo" retÎl;ch und pl"okti sch cine c in gchend c Dar" stellung und Wii rdi glln g" E in g all 7. hcso nd er er VOI"t c il !l es Lcxikom lieg t in der T !ll sach c, dass el; von katho li scb tm Autol"cn beü rbe ilct, in c illcm katho" lisch en Verla g crsch e int und damit Gewühr hi etet Cür d ue Bearh e ilUn g aBc," Fragen am> t:hris ùicb er Schnu , ulme nbeL" (Iah e i. cillsci tig zn sc in " Für den koth" Erzicher soli te daher wohl an erstcr SteUe dicscs l~iic1ago" giscb e Lex ikoll in Fragc kunune ll" Dabei ges ta tte kh mÎt" !loch den Ilinwei s : De " O b crwnlli sc r L ehrel" sollte he.i sokhen Anschurcllngen so solidal'i sch se in, dass C I" Zlier st dos Gcschiih seill cs Kollcgell in d er tmgc l"n H e ill1ul llerii cksichti gt. Erll st Schmidt.
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ZlIIll gut t'II, rrtH'htharCH L~:>t' II geho,"e n Ili cht IIl1r zwt'c1Ullüssig~s Vo rbt-réÎlt'll und g'~ ollH lllltc AU(lII c l"ksa lllkeÎ I wiihl"clId des L el'cns, sOlldr l"n uuch cli c rit"hti~ e Au swerllln g" Was is t tlar ullt er zu vers teh clt ? Au ch Hllmitlelbo r n ueh dcr LckHirc solltcn "" ir wie" d ei" iîhlllÎ ch~ Fragc ll s teHcn und 7.U b~allt" worleil l'lichen, wie wiL' sic fiir do s Vorberei" te ll lIt'!! L csen s elupfohicil habell" M erken Sie sich bcso lld cl"s (ol gclld c FragclI : « Wus wn r lUil" bc i d cm Gelesc n t:ll Heu ? - Was hat Illi ch gmw; h csoud eTs angespl"Ochcll ? Wus kanu idl \'on d CIll Gc.lcsenell am best clI praktis ('h VC I"WCl"le ll und wo ? - \\1clche A nl"egun gcn hat mir di c Lektiil"c \lerschaHt '! ~ I3ill ieh mit dcm Gc1 escllell iiberall cinverstand en oder huile ich in diese n od er jenen PUllkten and ere AIiSichtclI unt! wic b egriimle Îch sie? - ln wclch cm Vcrhiiltnis stehen lnhalt und Fo t"ln zu ei nuud cl"? WII S fiir Eigcnurten weist deL' Sta des Vc rra sscJ"s Huf '! - \V ie s tcll e ich mir d en Vcr· fa sser ou f G nlllli d es Gc lescnen vur ? Welch es kOllnt en scinc positi vcn und nega" ti ven Cluu"akt crcigellschaft cll sein? u sw" VergJ e ichcll wil" nUII di t', Antwortcn vor und Ila ch lituli L~SCIl, b egcg ll cll WÜ" l"echt of! mcrkwiinligclI Ergehni RSt' n " Prohi ercn Sic ~s nUI" ! Welln wir UIlS dieses Vo rgehe n '7. 1II" gulCI1 Gc\\' ohnhe il lII och cn , m e.rken w il" hald , wic go m. lInùt'rs da s Gt'Jcse llc in uuS ""i ,'kt, wÎc es lcbe ndi g wird und zu glei ch nnser ei gellcs Fiihlcll, Octlk cn mul \Vi ssell I~"elldiger macht. Das will IJed e uten, dass wir /lo ch Jem L esen er s t r echt selbsttali g wcnlen , Îlld em wil' Einwünd c su(:h en und mach e ll, Vergle ich e zichcn, Urleile Calle n . Alll'egll ngeli und PHinc in uns wach sell lassell , Dubci wird cs wer t\'n ll scin, s.ich zu rragen , wot\in tins Wescntli ch e d es BucJlcs OlIer d~1i Leses tii ckcs b es tehl ; welches Ciir mich die wichti gsten P roble m c sind, di e der Vt'rrUSSCl" E\Urgcw ol"fcll O(I\'r be.hulld elt hut ; 011 ich iihnli ch e Bi"lch el" oder Leses tiicke b ereits keul1c uuù in wcldu::m Vcrhiiltnis sic zueinund er sl,ch en ; wns k h selhcr an Ei" genc lIl h cfiigcn würdc, und wie i ch es wohl
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CCI"lig lJl"ii ch lC', .Jas Wichti gs tc \'0111 Ge lcscnc n
OIVERS
in ei ll IUIIII" klarclI Sii t7.en zu fmmmcnzlIfHssen, Auf d icsc Wt' ise sind wi r lIicht nu r wiilH"Clld, liOIUJCI"Il rhellso sehr nael! d elll LC8cn 8eh OI)' ff'.J"i sch tii li g und hl'liiti gell UIlS d ub l'j ni eht 11111" a ufn chm end , sOlld ern .sel be l" Neu es s('harrcnd , W ir m c hrc tl damit lIicht IIm" UII ~ c r WÎSliCll, sOIHlt!1"1l Ruch di e Ent(ultulI g und VCl"\lll ll ko llllllllll g un i'i erer Fiihi gke it f' lI" Vu.! min ll'oll tlll Sic s ich bille IIl crk en , lluss tillS Gt'sagtc :ltIl1 iic1u,i t Cür Sie nls Lchrpe1"So ll ,;ih, IIlu-l" intli'"bl<t II lU"!. (iir 1hre Sehulkind CI" ! Sic hill/en cl och b es timmt so "jel VerstiilllJni s und Ein(ühluJ1 gsvennii gtlll, mu '7.U wisscn, WII S \ ' 0 111 GeMltgteu h csond cr s Hil" Jl u"t' Schulju gc nd bl"llll chlJ ul" und vOrl t!ilha rt is t. Abel.' chcn ; w c rs t miisse n wir lins ull es dus scll wl" gl"iindli ch aneignclI, was wir linllcrn e..rlll gr l'i<,11 wc itcJ"gcb el l woUell "
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D'n utre pur t, l es vo)'ages d e Pâqut:'l!) il Pa ri s. B'lI1l t' ,'1 MlHlritl iont l'obj ct d'ull co ncou rs n!scrvé /lUX é lèves de tou t é lU" hlisscm c.llt d 'cn scigncIlI ClII. uim; i qu' nllx IIppl"eoti s. 11 s uffil d ' CIlVOYC1", tl ' ici au 20 d écclllhre 1957, un rallicr, avcc qu el tlll CS ph otographit's ou dessins et 2 à 3 pages d e lex te les COllllll cnlant, a yulit pour suje t : c Les Il S)II!d S d e la \'i c de Pal"i" qui VOli S iu t ér~sse llt purt Ît" uli èr t!ln ent » ( r cap , Rome, Mlltlru.l ), A partÎr des .. lasses secondaires ~e lim i ter s i possiJ)lc à ulle l'ie ul e époqu e: S ur les II"U VUlI X, n e. m entionnCI qu e III date d e naissn ncc" Sur une (cuill e volonte, indiqu cr : nOl1l , prénom, dn te tIc nais58Llce (ulresJ;e, é ta l, lissemenl et classe fr éq uentés ~ lll'éci sc r tga l,· tI'I ellt la j!rufclSsioll d es l'ilrents~ Li s tc des pdx, p o ur dln ClilI tI es VO)'fi"es : Prix d ' h ollllcm d c lit vill e d'al:cucil (d~pJô Ill e, (lluqu e tte 011 li vl"c d ' art) ; ICI" nu Se prix: IHllIl"l'i e d c Fr" 100"6c lIU I Se pl"il' : bourse d e Fr. 75"16e IlU 30e prix: hourse d e FI". 50 "Pour Mud.-itl , hotll"ses Illll.jorées d e 50 À .100 %, selon les dl"COI1SlmH:es , Les prix sont II ttribu és à tit re pel"SOllll el ; ils nc Ilcu vellt e n II It C litl CilS ê t,-c cédés il d cl'i ti l!rs" Les jurys sont prési ll és pHr les Attach ês culturels fHtJll"ès dcs ambassad es des pa yl'i intêI"t~!isés, En ronction du nombre e l d e J' illtér é t tl es travaux présen tés, l es jurys peuve nt déeidcr l e partngc, uu l' uugmcnta tion du n omhrc d cs pl"Î x" L cs rés ultats seront co m" I11l.111i l(u és II UX participants pm" cirru lail'{'" 11 n 'est (Jas olJligutoirc d 'ê tre I1Icmbl"C de l' associltt io tl pOUl" )lL"CI1(h"e l'art à ces con1;IIIII"lS , Les JUUI'éa ts dcvron t ccp elHlulIt udh ét"CI' eO IllIlH~ llI e lllbres S)'llll'uthi::m nts pour pou" vo ir b én Mificr d e leur bourse d e voyage" Le règlem ent d e d eu x ollll"eS concom".'I fJOU!" les VllcuncC-8 tl 'été sera envo yé s ur demulld e,
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Vie nt d e paraître :
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ACQUISITIONS RÉCENTES DE LA BIBLIOTHÈQ UE CA NTO NALe Les ouvrages signalés ci-dessous p CUVf!llt être obtenus g ruwiwm.cTI', Cil prêt.. Le$ cotes indiquées S011t ceUes de :/1 Biblio,h è(/IH! cllntonale.
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ZUWA CHSVERZEICHNIS DER W ALLlSER KA N7'ONSBIBUOTHEK Die naclutcl!clldc1l Werke konnen luumtgeltlich von cle,. KatttotisbibliotheA f'"tliehen lverden. Die SigTUlluren f BuchsUibcll und NumlIIertl) bezeichl1€l1 de.n Standort der Bitche,. ift der Ketnto/l.sbiblioth ek.
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COMBALU ZJEH, Charles. L 'c nfant ~ t;1I1. E ssai de psycho.pédagogi e. Pal'is, P . L::thi ell l'. l1x , (95 5) ; 8", 13H Jl . (Cenll·t' d 'é ludes Laënll cc.) PA 79ïl COll Il " i s s a 1\ c e du c:inéma, ]lUI' Claud c M'H'kt', 11': 1111 Mori en val, H enri Agel ' Pul'i s, Ed. FlcUl'us, [1950] j 811 , 110 p. (EX-h·. : EduCiltcurS. No. 26. ) PA 7980
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MOL1TOH, Andre . •L'eJ LseigIlOl1l cnt cl ln sociét é d'a uj ounJ 'llLIi . TO Lll'll ai, Pari s, D'IlAESE, Au scllllC, FI rè rt-l . Aux so urcl's ti c la pédu;.;ogic llIod erne. 2c· éd , Nnnm r, LII Prol'lIrtl., [cie., ctc.), 1956 ; 8", 366 p. fi g. TA 14.238
Castc nn an, 19::.6; go. 144 p.
'l'A 14.230
R c~h ct'ches sur la cumpl'éh cnsio ll d cs règ les algéhl'iqu es ch ez 1 e nfant . Neuchatel, Dt' Iüc:hau x & N it"s tl é, 1956 ; 8°, 24,2 Il. (Th èsc, P sycho!., Geni!\'e,) TA 14.150
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L' E li
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L' E li
N 518
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\1 C Il 1 i 0 Il.
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GAL,
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SOMMAIRE - INHALT Abbé D. Theurillal
Jésus perdu. au Temple
66
K. Griblillg
Die lu gend IUJt es !teute besser aber schwieriger als früller
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Jacque! Dubosson
Psychologie et apprentissage de la lecture
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von A.·M. D .
Das lleÎ1nelige Schulzimmer
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An die Schu:achen
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Dal·stclluu g. 25 . · TA 13.701
GRUENI NGE R, Chl'U stian]. Bcrufslnllld e fiil' Schmiede ... 10. Aufl. Sluttgart, HoUand & Jo senhlllls, 1954 ; go, 184 S. Ab\. . TA 13.692
Pl'aktiseher T eil : Dr. Hugo Wyss
Der Lehrer /ührt : : ur Beru/sreife
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Sr. Loyola Zumtaugwald
W cihnachtsvorbereitungen
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n ECENAUER, TIans. Fachkunde (iir ledcl'\'t"l'u rbeilendc Herne... Sluttgar t, R. Kohlhamme!', (1956) ; so, 154 S. Abh. TA .13.693 KERN. Joser. Dl\s Schl osfoierbuch . Fachkulldc rü r do s Sc.h\nsserhalldwerk. 3. " Aun . Wien.Heidelberg, R. Bo\unnnn, 1955; so, VIf1 + 318 S. Ahb. TA 13.696
Partie pratiqu e:
L'amour humain
Anto ine Maistre
E. Claret
Communications -
KNOESS, Co nrad und K81"1 O1ig. Del' Frise ur. Eill B and· und NachscM agehudl fi.ir OUIllCIl- und Ht'lTenfl'iscure, Haarfiirber, KOSIlH~ tikel' und pcri.icken· mneher. 5. " Au n . Giessen, Pfunll cber g, (l956 ) ; 4°, XV + 838 S. ALb. Taf.
« ~'Eco l e ~alaisalJne»
SCHARKUS, Eduan] ulId Fl'llllZ Find eisell . Der Ma schincnbnuer. Ein Lclll'hu ch Hir Lehr\inge, Gesel1 en und. Meisler. Lübeck, Ch . Co\em811, 1955; SO. 304 S. Ahb. '1'.1.. TA 13.698
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SC HNECK. AcloU G. Dits Polstermôhel. 3. · Auri. Stutt gar t, J. l:lorrmanll, (1951) ; 40, 120 S. Taf. Abh. (Das Môbcl aI s Gebra uchsgegen stalHl. 4.) TB 1321
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WIENKE, FnUlz. Das grosse Bauhueh . Sleinbuli. Bauen mit künstliche n Stcinen, BeLon, Stabl ... Braunschwei g, B erlin, HamhlU"g, (etc., etc.], (1953) ; 4°, 50S S. Abb. (Wes terl11allllS Fachhüebel" der Dauleehllik.) TB 1319
Mitteilungen
Die " Walhsel' Schule:. erseheint in Sitten
SCHENKER, E [l'1lst]. Di e Gebeimnisse ciel' Eisenbahn . Technik, Betl'ieb und Organisatio n dcr E isenbahnen . .. Hasel, Ver\. f. Wisst:usdlU fl , Teclmik u . Indu strie, (1955) ; 4", 112 S. Ahb. 'l'ab. TB ]311
THOELZ, W[ ill iJ. Da s Motol"rad. KOll strll)t tioll, Hau und Betrieh, Pflegc und lnstam1setzun g.. . 3. Ann. vollstsndi g Heu h earh ei têl V01l Jondlim FischCJ·. Bl'uunschweig, Berlin, R. C. Schmidt, 1953 j Sil, XVl1 + 908 S. ALb. Tall. TA 13.105
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RENSEIGNEMENTS - HINWEISE
TB 1318
RElNHAHDT, Rudolf. Die Elekll'olCchnik. Neu heurbeitel \'on Friedrich Weik· ken. lk . Aun. Leipzig. Fnehhuchverl., 1955 i BlI, XX + 631 S. Ahb. 'l'A 13.695
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Petit travail manueL
LAUBSCH, H elmut. Mit Pinsel und Fnrbe. Ei ne Fachkull4\e fO r M.uler. 'k Aun . 11 lll'Itunsdlwcig. Bel·lin, [etc.• etc.]. G. Westen1l81l1l, (1955) ; 8 , 168 S. 12 'far. Ahb. (Wcsh!rnlUnllS Fachbiichel' zn !' BcrufsulIsh i1clung.) TA 13.699
LAUE, Kurt Hml }\doH Winklcl·. Putz Sluck RubilZ. Handbu ch flh' da s Gewerbe. 5. Auri. SIHUglll·t, J. Hoffmann, (1955); 4°. 407 S. Ahh. TH 1322
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Arithmétique
5% 5 % Rnb. de 10 % = la % Rab. de
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Cp te de ch èqucs II e 12 (Elat du Valais - Sion)