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3. JAHRGANG - Nr. 2 SITTEN, DEN 1. DEZEMBEH 1958

• DER KOMP ASS Leitgedanken für den M onat Dezem ber

STILLE

UND WEIHNACHTEN

Es fiillt nicht leicht, Wert und Wesen der Stille zu ·e rgründen. Wir müssen sie erleben. In der Einsamkeit der Zelle und des Krankenzimmers.

In der Weihe de's kirchlichen Raumes und im Schweigen der niichtlichen Ruhe. Sie erobern, dem ge8chiift-igen Alltag abtrotzen für die Sammlung des betrachtenden Cebetes, die Einkehr der Exerzitien. Sie verkosten wie ein feines Buch, wie auserlesene Musik. Sie verkosten an der Wiege des schlummernden Kindes, in der Niihe des heiligen Cottes. Nicht aIs ob der Herr ein Cott der triigen Ruhe wiire. Cott ist hochste Tiitigkeit, intensivstes Leben. Er ist aber ebensosehr ein Cott der 'R uhe, des Friedens, der Stille und liebt es, in der Stille zur Seele zu s prechen.

Stille muss von aussen und vor allem von innen fliessen. Sie rollt jedoch nicht ohne eigenes BemÜJhen wie ein goldgelber Apfel in unsern Schoss. Wir müssen die Stille schaffen . .iiusserlich, indem wir ab und zu vom Trubel der 'Ceschiifte uns freimachen und Bindungen Qin die Ceschopfe lOsen. Loslosung von den Geschopfen macht nicht arm. lm Cegenteil! «Sooft ich unter Menschen war, kehrt ,i ch aIs ein geringwertige'l" zurück» (Seneca) . Unsere Seele darf darum nicht wie ein grosses Warenhaus sein, in dem geschwiitzige Menschen liirmend ein- und aus gehen.

Wir soZZten uns vielmehr oft und oft finden zur innern Stille. Sie quillt aus der Harmonie zwischen Leib und Seele, aus der richtigen Ordnung zwischen Cott und M ensch. Die Stille ist eine Oase, in der die Seele ausruht und die Reichtümer des innern Le-

bens sammelt. Die StiZZe ist ein trautes H eiligtum in der See,zenmitte, in das die Seele zuweilen eintritt, sich sammelt, auf das leise Flüstern einer hohern Stimme hinhorcht, um dann wieder mit geballten Kriiften, dem klm'en Ziel, der reinen Absicht zurückzukehren 'zu den M enschen, zu ihren Aufgaben, zu ihrem Cemeinschaftsdienst. Die Stille >Ïst kostbar wie eine edle Perle, die zu erwerben ein Kaufmann ~u.sgegangen ist (Mt 13,45). Wer die Stille gefunden ha t, in ihr und von ihr lebt, ist voU der Freude wie der Mann, der den verborgenen Schatz im Acker gefunden hat. (Mt 13,44).

W il' brauchen die Stille, wir soUten nach ihr dürsten und hungern wie der Cefangene nach der Freiheit.

Die Stille niihrt die Seele und beschwingt sie zu grossen Taten im Dienste der Mitmenschen : « W el' viel'es einst zu künden hat, [schweigt viel li n sich hinein: Wer einst den Blitz zu zünden hat, [muss lange Wolke sein ». (Nietzsche «Niemand steht sicher in der offentlichkeit, ausser der Freund der Verborgenheit. Nie'm and redet sicher, ausser wer gerne schweigt ». (Nachfolge Christi).

Scheuen wir keine Mühe, die Perle der Stille zu erwerben ! W 0 konnten wir sie mit grosserer Sicherheit finden aIs an der Weihnachtskrippe, über der die Worte der Schrift leuchten : « Tiefstes Schweigen hielt alles umfangen: die Nacht hatte in ihrem Lauf die Mitte ihres Weges erreicht : da kam, 0 Herr, aus dem Himmel vom [(onigsthrone herab Dein aZZmiichtiges W ort ? » 66-

AVENT Abbé Maurice ZUNDEL

Der Advent fiingt die ganze Geschichte der alttestamentlichen 'W (!lIt wieder ein, jene Welt, die hinspannt auf Christus wie aile Zeiten sich ausrichten nach der Ewigkeit. Aber der Advent ist nicht nul' der Torschlüssel zum Vel'gangenen, sondent auch zum Zukiinftigen, weil ja jede Zeitenfolgesich aufs neue der Hoffnung auf Erlosung verschreiben nwss. Auch Unterricht und Erziehung sind Hoffnungen, sind Samen, die ,d er Ernte entgegenharren ; sind Erwartung jener 'Gnade, die unser Miihen befruchtet im Hewte, das nichts anderes ist aIs Weihnachten.

Avent veut dire Arrivée. Récapituler toute l'histoire du monde sous le nom d 'Avent, comme le fait l'Eglise, suppose que toute l'histoire est tendue vers la ven'ue du Christ et trouve en e llE! son unité. Cela signifie d'unie part, q ue la Présence du Christ envelolp pe, d'une certaine manière, les temps qui précèdenl' Sa naissance et, d'autre part, que tout le passé du monde demeure en quelque sorte ouvert à .un Evénement où il devait trouvelr son a ccomplissement.

Toute l'histoire apparaît ainsi sous le signe de l''a 't tente et de l'Espérance, comme le temps s'appuie sur l'Eternité.

Deux ma1nières d'exprimer la même chose.

Le geste d'un prêtre qui récitait naguère un acte de contrition dans le,s lie ux de plaisirs pétrifiés par la lave, à Pompéi, nous rend sensible ce survol du temps par ,l 'Amour qui l'unifie da ns son étreinte. Ce chrétien admirable se sentait responsable des pécheurs surpris, il y a quelque deux -

mille ans, par l'éruption qui les ensevelit. Et il croyait, avec raison, qu'il pOluvait les joindre dans le Cœur du Seigneur. Il entrait ain~i pleinement dans l'Esprit de l'Avent, qui dessine dans le temps la perspective de l'Eternité.

On imagine quel intérêt passionnant prendraient, sous un tel jour, l'étude et l'ense'ignement de l'histoire. Tous les personnages qu'elle évoque, au lieu d'être figés dans la mort, red'e viendraient nos contemporains et notre prière s'efforcerait de les atteindre, tandis que les foules anonymes, dont elle a perdu le souvenir, se rassembleraient, vivantes et ennoblies, dans la communion des Saints.

Ma·is l'Avent n'est pas seulement la clef du passé. Il est tout autant celle de l'avenir, car le Christ embrasse les siècles qui viennent après lui, comme ceux qui le précèdent, dans la Présence universelle qu'II est. Demain, avec tout son inconnu, se profile sur la grande Espérance dont ·Ia Croix est la source et le symbole.

67-

• Tel qui est un bandit aujourd'hui, sera peut-être, demain, un saint comme le bon larron ou comme la pécheresse qui devait construire, sur s~s ' fautes pardonnées au banquet , pharisien, la plus haute cathédrale de son amour et de sa con't emplation.

Et voilà le plus précieux message de l'Avent pour des enseignants. Instruire des enfanh c'est, en effet, faire crédit à l'avenir, en attendant ,la moisson du grain qu'on sème. C"est surtout faire crédit à la grâce qui guette chacun à l'heure opportune, en confiant à l'éternité de Dieu les efforts qui

peuvent sembler vains aujo:urd'hui.

Adhére';' à sa Présence, aussi bien, c'est deven'ir présent à l'enfant dans le mystère, inconnu de lui, où il s'éternise en s'enracinant dans l'Amour qui est 5Qn berceau.

Par là, notre meilleur labeur devient lui-même un Avent, une perpétuelle attente du Seigneur, dont le Jour se lèvera par no'us dans ces âmes confiées à notre sollicitude, pourvu qu'il fasse jour en nous et que rien ne s'oppose, dans notre vie, à la Lumière qui appe.JIe tout homme à la joie de Noël: aujourd'hui. .:.1

Die Aufmerksamkeit, ' Triebfeder des Unterrichtes K. GRIBLING Le monde bigarré, la vie int,ense de tous les jours ,à l'é'cole et en deho'rs des, heures de , classe sollicitent l'attention spo"ntanée, joyeuse et parfois soute;we des jeunes. Mais au éotÎ,:s' dés leçons, il faut faire abstraction des multiplès impressions qui surviennent au hasard pour diriger les énergies de l'âme vers Wl domaine nettement déterminé, objet du travail scolaire. C'est ici que commencent les difficultés. ' , " ';,. _.

La jeunesse actuelle a plus de peine à se concentrer parce que son esprit est, littéralement envahi par les impressions i,nnombrables et pœrfois violentes ' de la vie 'moderne'. De' plus, l'accé· lération notable de la maturité pubertai're et le retard. sensible de la maturité intellectueLle accentuent ce déséquvlibre 'qu'a,g gravent encore le sexualis~e diffus de la vie publique et la mollesse fréquente de l'éducation familiale. Enfin la vie scolaire elle·même ' prête 'parfoù ' le flanc à la dispersion par un usage exagéré et maladroi.t de moyens didaotiques modernes .e t par la préférence accordée à l'accessoire.

1. lm Leben und in der Schule.'WiÏ.r ha/ben heute wirk[i'c h aufnllel'l('Sa'm e JU'l1gen. Wer dial'an zweif~lt, braiUlCJht nrur ein WeJIl~g Auss'Cll:mu ~u hahen. Da spieilt elÎ.ll1e Gl'upp'e -g,anz in den WetrtslVTe'ÎJt 'VeJrs1Uinken, w:i!e we[ltfremd für da'S, was im , Umk.ll~eiÏ.s ge-

Is ohieht. Weder der , kriltÏlslo he ,B[ick ,des zuS'chaueridie'l1 ElrwaCJhs'e nen nodh das Krtaottelm ü'gend -eines F'a'hr,ze'll'ges kanll1 sie :ahllenrken. Miit ,ausS'e r,s ter Anstrengung der Sinne ,und ,alUge,n b,l iokJ~dlleJr . Herei1lsdhafit der, MuskeJn verfl()llgit j'eider ,der J ungen eine hailihe odm68-

eine ganze SifJuncle lang das fessel'l1de Zi·el.

Und ell'st im IGil1:o? ,M:an hat mittJe'l s der Dunkelphot-ogliaphie nilOhtsahnende Killlderœihe'l1 VŒ,' ,del11 BHldschÏ1r,m aruf genommen und f eststelhlen konnen, wie die kleinen Zuschauer mit hochstel' E.rœgba.r keit die Augeu auf daiS Laufbild hpfteten und gelrelll miterlehten, was ihnen deT Film's treif en ' vorführte; ges'pannt, hezaubert. entrüekt bliebpn sie minntenlang. SIe t panern mli t clem verstossenen Schneew iiI:JtJoh en , haS'sen die g'raIUSH.m e stolze Konigin und atmen edeiühtJerlt auf, al-s da:s 'lÏehe IGnd endilich gereUet iSiI:.

M'an moge die IB uben bei Stt)rals senkrèuzungen in den Ze'Îten des 'r egsten V'e rkehr-s heo'b aClhten: e1in Blick l,i nks, œduts, ,norn; husch, im Nu sind sie clrülheJIl, sohneHer 'u nd sicherer aIs die Gros's en.

Da wendet ein KoUege ein: Aher im Schulzimmer! Auch da passen sie auf. Oder glauhst du, c1ass ihnen etwas am Gestrengen entgeht? Hut, Kleid, Schuhe, Ha,a rschnitt, Haltung, aIles konnten -sic vie1 ühnJ.ichcr aIs lillseœineT élIbkontel1f'eiÏen : «'Vie el' ~jch ra-uspert und wie er spuckt. , Das -hahen sie ih'l11 glÜick[ich ahgeguckt.»

Auch die W~uerungen der Lell.'l·er~ seele l~l1Itgehen den J ungen nildllt: heute ist el' gut gelaunt: da darf man si1ch ein SchnÏJpp chen 1 ei-sten. A-h'el' gestern Wlar IFohnweltltJer; ,da hiess e·s aufpassen! Ob _che Lehre'l,im.J1Ien gnad,iger Idavoll ,kommen, 'g~laube idl lmum, In der hifliters1Je'l1 Bank trarum'e n Hans u'llld Leonie in derselben -

zel'streuten VlBrs'UiIl'I(ienn.ei1 wie eh~­ l11JaJs AI chlimedes VOT seinen g.eomlé.\ tliscihen Figuren und bJelih'en clem fr'a~ g'elnden M1agist'er eihenlSo die" AntWlOrt schuJ.dig wie der g,ri'es'chiische Ge~eJ1l"· te dem fein'd!lidl'en SI()J.:dalten, a(lJleTdiIIigs ohl1'e ein trag:is!ches Ende ZIU elrleben.

Augenblicksbilder aus dem Lelb en und aus der 6dluilé, eli n V'eil'-SUŒens'e in in auss-el'ie E-rlehniss'e ode!r in Zauber. Aber Ul1!S SchuUeulben i-st es unl 'etWas E:rnslter:es zn tun, um den Unten,ichtshetri'eb, de'r s~ch geiWiÏlSs am?Jh ius pu[saerenlde Lehen hineinsoha[tet, j'e-d'Oich gHnz aml'eTS a[s daIS Ha-stJen und bunifJe Tœlilhen aru/f dei' Strasse und ,i m phanitJa1sÏ'ere'l1:den Kopfe. Da heils st es gewohnillich: W1eg mlÎ.t dem schwlÏra:'e rrden Schwalml -du'licheinander wirheh1ider BiIl,d er, hlinalUS ans dem Tll'omme!lfleU'er dle r nel'V'enz'ell'-rü1:Jt:eJIlden P1101)lalganc1a !

Um Abschied zu nehm'e n vIOn a[[ den berü:ükendell1 B'illidern, betauhenden Larmll11'alc hern und he:stliÏ~ck,enden Phant.asien, hrau!Cl1it leiS einen enltsdüedeueJIl Ruck, einen rorafltilg en Wœ}lllensak·t . Die ilm St'r om ,dle r Rffizübm'ifllUtung JuirtJgerissene Se-Blle ml]lss élIUS den tause'l1derJei ISrinl1'e:s'einJdTüoken emp'ortaUidhen und ia uf das trol~kene ,La'I)ld der Schu:lwi1rkiliohk,ei.t gtefüihrrt wel,den, in eill1'e eng be:g11enzttJe und schal,fulnl1isseIl1'e Wil,kl}.iJdhkeit.

Auch die entls dhi'e:derusten Anhangel' Id er Arb:eIÎ.'tsschu~e, LehefilS'g1ohu1le, GegeIlwa'rllss'oh'llll e unJd wie sie aIle hei's sen, k011'l1'en ni'd ht urnhin, die junge S:ohar i.hrer ZO'glinge aus dp,n Hu1euclen W1eilil'e n he~élIUlsztweis's'en, Ulll sie auf einem zuvor gewahlrten Ge69-

hiet zu samnl'elln, zu konzentr.iercn ; clenn BesinnllUl1!g ist nul' dOl1t moglich, wo der Gei,s t lSich auf eJÏnen hergroiilllmrt begrenZIten IS toff be'Schranikt. Ers i'St phySiiolo~j"sdl urnmogooClh, daIS Auge zug,l 'eiJoh auf meh11ere Pœnkte odeT 80gal' laurf eine ganz'e Gegend einzU'srteil.lie n; nur ein PlUnkt kann auf reinrrrm[ S'charf heoha:chtett well'den. Aehn1lich steht es im se€lJi.sdl'en Bel'ei'o h.

Augenblick tin d~e Schrar d~r flatterhafiten JIU'llgen hinein: «Oi,b alchlt !

«P:aiSIS la uf! Schau heœ!» Der übedegene Lehrer t11aohteit; darnach, durcI, seine Unterâohtsal11t ~uge, Ohr und DenkkrM,t seiner Sch ü'l'e r 'OIhne jene lasttÏgen Zwi:Slchenl1uf'e zu fesse.Jn. Um die Glmndbedingung des erfoJgœa.ohen Untelil,ichtJes zu el'füJ.len, S'oUen wir eine genaue Einsicht in clie

Da fiingt nun unsere liebe Not an: W ie erreiche ich Aufmerksamkeit für den vorgesehenen Lehrstoff? Wie

Aufmerksamkeùsfiihigkeit und -moglichkeit gewinnen. Da müssen wü Erz~ehe}' Z'llffi~'Î unsel~er eigenen AL-

steigel'e œch notJwendigel'weise d~e Aufmerksla mkci.t ZUT Konzentl'ation?

Vorlauf'i g kon'l1'en mol' mirt drem VO'l'wiss-ensch a frt!HJch en Spl~a' dhgeihr aruClh des Begl'li1Ues «ArufmeTksamkei,t » auskommen. Jeder weis's, d1ass uns nUir solche Ge:genrstande und Ged'a nken verweilend beschaft~gen, die runs etwals Neues zu bileten -vel'lmogen. E1b enso wis'Sen W~'l', dalSs es manClhe Stufen der All'fm1erksamkleit gibt: Yom fJüchtigen HiTIJbilli1ck und· von der hlolSsen Kenntnisnahme de'S ID as'eins über ein · kürzeres oder langel'es Veœweilen heim GegenstanJd miit R1an.dbewusstsein ,der Umgebung his zum tiefen Versunkensein in unseT'e Gedanken bei vol'l iger UnbewulSstheirt aiNes Uebrigen.

lenkharkeit inne wel~den, mm dIe dieshezügHohen 6chwœel'!Î.gk:eiten der .J ungen zu verstehen. Oder ist eii llicht sa, d~ss wir uns inmiuen einel' fesselnden .AJrheJÏlt yom Ial'lll1enden Fan eines Lineall es, von einem ratternden Motor oder einer vO'rbciziehend ~ .1 Blcchl11Usik entfesse,l n las S'en ? No~h schHmn1Je:l' irs-t es, Wienn wir das rcehte Auge vel'weileIl!d aUlf die Zei.t ung, einen schuilfremc1en Gegtenstand, jel sogal' auf eine Nehenhesohaftigung verirren las'Se!Il, wahrend die Klasse vielleicht reihenwers'e liest oder auf~agt. Was k,ann clra aIlll dÜil'ren Holz de.t nnentwicroelten Kinder geschehen?

Die alters- und entwicklungs,bedinrgten Schwierigkeiten der jungen S'e'elen haben ml' an 'Uns selber er,fahl'en, vœeIll eicht auch vel'gessen. Besinnen WiT uns d-ann seThst! Unsere heutigen Schüler haben es aber no ch

Wir erfassen hier den piidagogischen Kern unseres Tuns: «1st doch schon geradezu behauptet worden, dass der Grad der Aufmerksamkeit; den Grad des Wertes einer Schule b" , zeichne, weil die Unaufmerksamkeii: den Zweck der unterrichtlichen Beeinflussung voMstiindig vereitle.» (II. Hoffmann) .

Der un:silchere LeI~rer ruÎt jeden -

schwieriger, sich zu sammein und ihre geistigen Kriifte anzuspannen aIs meine Zo'g;Iinge vonan'l1'O 1904, 1912 odeT S'ogaœ 1920. Wa'r um? Weil schwerwiegende Hindernisls e dazugekomrnen sind, zei,t bedingre ElÎ.n1flüsse, die sich seirt einem Mens'c henleben 70-

'}TIli,t einer gewisS'en Lahmung dies WHlens. Die Personlichkeit vieler Kinder

lawinenartig alUBgehauft hab en. lm leibli,chen und seeHS'ohen Blicklfe1d tunllIll'ellrn sich W1ahTnehm'llngen, Vorstellungen und im angemeinen Bewusstsem.sinhaiftte 'o ft mit einel' ElementaligewaiJt, so dass s'i'e ,den gei'8tigEm HOlii'Z'onrt beherl~S'crhen.

ist schon früh in ihrem Kern geu'offen.

Es b11alU'cnt keine ~'angwieTigen El'hehungen, um zu erkennen, dass sich das Gefühl und clas Interesse der heuliigen Jlll'gend unnatür[œdh, 'UlJ.llgeSlUnd enrtwÎ'ck'e lt. Das ;fruchtJhatre [n1:er·e sse lel1!t's'fJeihrt von iunen naoh aCUSS'eIl und hat Freu;de am N atuT:gesehehcn; ,dta:gegen beans.prud1t heutzutage das T echnische zu ausschliessli'c h die Teilnahme vieler JugendHchen.

Viom Kino, Rundfunk und Ferll'Sehen so1).,1 nrur fo~gendes e'l"Wahnt werd'e n: Auch bei der Annahme, dass

Man hat dieses Ueberwuchern Reiz· überflutung genanIllt. Es handelt sicl! da um eine kinJdIliche und j'llg-endIidw Notlage; sie hestehrt in der Hauptsache in ei.ner teohniS'chen U eherreiz. ung, der aU!oh di,e Erwa1chserren ansgeS'etzt ,s ind und hau.f~lg unterliegen, die sich aber im empfangtl,i chen j Ll ·· g·e ndlichen vieJ. g.ewahsameT ausl\vhkt.

W 0 es sich um ,die AIllfmerksamkedt handeltt, ist eIDe genauere E.insicht. il; diese ETscherinung notwendi.g.

Vie rgegenwamigen Wlir un;; 110s5

cler Inhalt cler Sertclungen für lugendliche nicht ZlL beanstanden wiire, so müssten Id ennoch die E'r ûeh'Ungbeauftrag,t en clafür sorgen, dass keine Reli.zÜlhermutlU!l1g s1JattJflÎ.nde. Die's e U ebelrmiulungsvelif,alhren Tegen die Pihantasie 'auf eine kümt[iche We:ise an und las's1en dile p'e'lisonliche El'l'egbelikeit und die ISichoplfel1krafrt hra!Clh liegen.

H 'emmu'll!gslos, wililen'Silos ]st die unrelife Seele zwangmas'Sig den Bilderll unld Ttexrt!en alUlSgelief:eIl'It. V om FHmsohirm fiLiessen urnarusgeseltzt Motive [ns rUntel,bewusstsein, erzeugen d.a ei. ne lU'l1'aJU!s!loschJJ..iIc:he Slpur und bestimmen au,f weite Sioht, alU!f Vliele JlahTe zum VloralUS d'ais menlS'ohlllÏdhe DaseÏn.

Bei der Behand:lul1!g der Au.fmerksalII1Jkeit muss der EntwicklungswandeI der heutigen lugend hell'uoksidh1:lÏ.1gt werden, namlidh die leiibiliohe, geschlelch!t!1Î!che Fl'ühreife ,miJt entsprechenlder gelÏ'SltÎ!ger Spiitreife. Oihne 'a uf die auffla1l1enld e IE rs,clheinurnrg naher eirnz'llJgehen, son daIran erii nnert

clas heu tige Leben in einer Klcinstaclt.

OhsCJhon das Kind S'ozusagen in die Technik hineingehoren ilSll:, wirkt si~h diese zwalr vel,deokt ,o der getal'nl, jeclOlch tie!f aus. E's freut sich amlcheinend am Rhythmus und Afte:fllehen der Mas:6hinen, a.m ExpJosiofiischa. l'alkter cler M'o,t Joren; ers hüsst aber dtahei ·d ie Fani.g keit innerer und zal'~ tell' ·F -reuden ei'l1.

Mit der Natul' ist ein stetes organisches Wachsen verbunden, wiihl'end clie Technik eine Erschütterung el'zeugt, von der da,s Kind nie meln' ganz losko,m mt. F'Oll ge dieser seeli·, sohen wie leibHchen Stosse ist die Ver.minderung der Fahigkeit, gut zuzuhoi'en, genau zu sehen, richtig ZIU sdhartzen. Das IGnd hatte ein übermass von Eindl'ücken und Vo<rstell!lungen zu verarbeiten. Da entsteht wi'e eine V'e rz·e rliung der j'Ulll'~en Psyche -

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w,e llden, Id ass si'oh hier eine seeH.s:c he EinhrUJchstel.l!le aufrut. gs k'O(ffimt VOl', dass die leiMidl!e Kinld heit im 12. acler 1'3. Jaihr he-reitts beenclet iSit, wahrenld drie see'lische KiJlldhelÏt srich b:irs li ns 15. und 16. Lebenslj anl' vorsclliteht. Wie ist clies Z'U deuteill? lEs soheint, eitlle Bedringull1g der geslUnden, reitlletll J ugeI1ich:ie~flUng zu sein, dass sidl LeHJilic'hes und See[risches in hannonilSohem Gl:eichschr1tJt entt·wickeln. Dem ist jettztt lll'eist n:ùcht m'ehr so. Heutle lclaftflt ein he:deurt'encler A.!bsta'llld ,~wi:S'Clhe'll den H'e izen einer f rÜlh eirnsetz'e nlden GesdlleClht'Sreife und einer wro't na'ohhinkenci'en Seelenre~fle. Der JU.filge hat e'S vieil schWiÏel,iger, :die mit der Ur'gewah der s'e)""ll:eJllten Triebha,ftigkeit a1us dem innern aJUfstei'g enden EIl11Jplfin!dlU'ngen und GeJfüh'l e zn bewM.ti'g en. Damit ist eine geringere Aufmerksamkeitsfiihigkeit verbunclen.

Es dal,f ührÏlgens nilc ht vers'c h wiegell1 . wel~den, cIta's8 Ulnahh,alllgig von diesel' zeiitibe:dringtetll iEoowicklungskrise d~'e Reizüberflutung geschlechtlicher Art tie:f in Idire kiind[iche IUl1Jd jugenctliche Psyche eitllchingt, wei[ sie geheimnis'VoŒle See:len'bieiCen ailllf"wühlh und oft Versta.fild, Gefühil UŒ:l W.iil!lle gef,angen ha1h , so ,dass für das AruJfll1erken weniJg übrig ,b~roht. W'ars man P,runsexuailii's mus UllId Erotoisiel'ulIlig ,d es oU'enttJi.ohen Lebens genanll1it hM, i,s t ein tiefer Krebsschaden, weun ni'o ht der Üefsl'e, für di'e E>rziehiung. Hrie:r I,iegt ein Quehlgr:u'lllc1 von ju.gend~icher Siidh1:Jigkeit Vlel1ho'l'gen. lDie Ges'chlÏClhteerzallll't , clarss c1em junlg en Thmna8

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von Aquin nach bestlauc1ene'rn Ka!lnpf für die Reinheit eine beson'Clers t~efe Einsicht in dite hO'hen Wlahrrheiten zutei,l wUl,cle. Bas Gegentei[ er,faJll~ der auf dieS'eall Ge,biert gesil:-ranàe,t e Junge.

Die sexuelle Not r,aJUlbtt eigentlli'C'h der M'e llschhffit den ullIer,setziLichen Sochaltz UinschuhHger Kinder ullid seelis'c h gesUlllc~er JugenMicher.

Schliesslli'c h ieistet ,cl,j e Fmnri1iè a,l[zu of,t eine sdrleohte VO'l'larhelit,' und zwar durch eine weichliche Erziehung: KJindeT, deIletll heinahe aHe Wii-n:S!che gewa,h rt welden, luanchm'M nach Trotzszenen, halh eu wenig Lust und Leilc htigkelÎt, die ungesil:Üimen Reize zugunsven wenig anzicll'enlClter Gedtankenarbeitt 'aJllszuschaJlten. Man ,d enke an die Zer,srtrerurthelit vie~e'l' tSchüiler a!l11 ,M'0IJ:l.tagmO'l1g}en. Wâl' konnen clie heut:Ji:ge psydl,()ilo'g}iscne Not},a'g e der S'ohuil'jrurgel1Jd mi,t foigerrden Sch1lagltichtern heiLeuldht'en : VlerkoTpedilc hung = En1:Jgei stlgu'l1ig. DaIS e'l:leb11fi,sii:heli sa'1:Jt'Ï'glJe IGnd i's t 190 'stJa'l'k an d~e ZeTspl!:Lt,tm1ung seiner Intel'e'Ssen gelWohnlt ull1ld Is ron Aufm'e l'ken iSit S'O S'dhrwe,~fenld, dalSs es ~e[tfadl IdlÏ.e 'V,on der Sdhule gefiorcler1:Je Konzenitraition ITicht mel11' 1ersten lŒ'lln. «J edm' Sil:arreiz, je/deT Nehen'eindIUlck, jeicle zuf3iHige Regulllg 'Oder Vorste[ll ung vermogen ungehemmt 'U'nd ungehtirrdelit die Autf'm 'e rksamkeit von ihrem Bezugsgeg,enstallid au~ullenken.» Z'U.\Sla:m mle nf'assen Ias:s t Is idh ,s'a gen: Rei züib m'filutung und ElilebnilSübersatttiglUll1<g erzeugen eine A.!hs1:Jll'l11lpfung der AuJfmersamk'ffit'sfunkl1Jion.

(IF'O'l1tsertzung flollg}t) l

72-

Pi~ié pour les enfants!

Réflexions sur les devoirs à domicile.

Nueil, eiitem gut ' ausgefüllten Sc1wltag sollten die Schiiler die Moglickeit z~u' notigen Entspan· Itung huben. Oft :werden übermiissige Hausaufgaben verlangt, beson~ers m K~assen, ~o ~er Anzahl der Lehrlcriiffe die Anza'hl der Aufgaben und Le~,ti01~en entspncht. --:- Dw V erha~tnLsse daheim sÏ1id fiir gei~tige Arbeit manchmal recht ungunst~g. ---:- Auch dLe Gesundhe "~ der h(~ranWa' 0hsenden }ugend ist zu beriicksichtigen und nicht zuletzt len~ NeJ:venspannun?, dLe dZS moderne Leben bald iiberall mit sich bringt. Eine ang'eme6~'ene Ar?eLtSZeL~ muss auf. led.en Fa l eingehalten werden. Deshalb ist in Kla~sen mit mehre,ren ~ehrkraften eme Koordmatwn ~er HausarbeiLen cLltzustreben. P. Faure, DU'ektor der ZeLtschnft PEDAGOGr~, behandelt .d~ese aktuellen Fragen in einem seiner neuesten Werke . Darin fordert el', ~~ss d,~e Ha~ptarbeLt ~e}' Schule zukOlnme. Hausaufgaben müssten sich beschriinken auf GedachtnLsarbeaen, Lekture oder Freiallfgaben.

Lorsque les ' enfants som rentrés à la mai's on, après une journée passée en classe, assis .presque toujouTS, en sill ence, à éoouter .Je maître, à f'arire des exerci'ces de toutes sortes, i,l s'emb'l erait ,q u'ils ,aient droit ,à une détenil:e de lI eurs 'm uscles et à un re}JOS de leur esptl"ilt,' ,L e hon sens l'e)Oige. M1ais, hélas, en dépit de Desoal,tes, le bon sens n"est ,paiS lLachose du monde l-a mtierux pal~tagée. Et que vo~t-on ? Laissons de côté Il es élèves des classes supérieures ,de l"enseignem'e nt secondaÏTe. Nous p'e nsons 'aux jeunes de 7 à 15 ans. A quoi ne sont-âls 'pa's ' 'astreints? Pages d'écrirture, 'r és'O[ution dè nombreux IprO'blème\S d'iarithmétique, réd.a'c tions, dessins ,à exécuter dans leur cahier de géog}l'a'phie ou de oatéchisme, sans com'pt'e r les leçons à aprprenldl'e.

A peine ont-Hs eu le :temps de prendre leur ,goûter, que les voilà assis à Weu'l' rtable pendam ,d eux heures et plus. lil faut pa'lf'Oi'S Il es en tir,er pour le repas du soir. Ett si le tr1a'v ai'l n'est pas achevé (et cella al'l'ive souvent) -

on l'ecommence après le souper jusque tard dans la nuit. Nous ne voulons 'pas affirmer qu'i,l en est partout ainsi. n y a heureusement beaucoup de maîtres T,aisO'nnabiles. lVI,ai,s il y a encO're trop d'exceptions. Nous pourrions apporter bien des exemples de cette manière inhum,a ine de traiter les écoliers.

Nous nous ,deluandons parfois si certains n1'aîtres, 's'a ns ,d oute bien inte~tionnés, se rellident bi'e n comrpte du tr,av,ail qu'ih ÏInposent. C"est f,acill e de fixer un deVloh·. M,a,i s ,a-t-'on compté, en le fixant, le temps qu'i~ exiger,a ?

A-t-on pensé, là spéJcia~ement où, à côté du martre pr,i no1pal, a y a des prof'e sseurs de br,arnches, que si chacun impose une rtâche, m-ême l',aisonnatble, eUes s"additionnent et l'ensemble ne ["e'st plus?

S'est-on dem'a ndé aussi si cer,t:Jains enfants trouvent à h maison une atmosphè,r e f,avor.abl'e et même des condiûons m'atérie:lles, .de place et d'éolairage, pour s"acquitter normalement ,d e 1eur tâche ? ï3-

Surtout, a-t .. on 'c omp'ras qu'un enfla nt, en âge de croiss,ance, ra'p rès 6 heuœs ,d e dla'sse, et .f atbigué p,alr Je bruit perpétue'! des 'a vions, 'c am,i ons, autos, une f roos rentré 'c hez lui, ne trouve 'p as encore Il e call me hienf ai'S'ant? De m~lhle fla çons , ~e bruit le p'QUlisu~t par 1,OIU;t!es les f'Ormes des inven1:liol1's sonOires.

Beaucoup de médecins 'e t Id e :pédagogues n'ont pas hésiifJé là indiquer d'une ,m anière pI'édse le temps de t<l1Rvail que l''On peut l~a' ilSonnablement exi'g er aux ,différents âges. Nous en avons 'c onsu'h é un certain nO'Illhre.

S'il y a qUellques divergences entre eux, et c'est inévitabll:e, clans l'ense!mhIe, ils 's "acoOldent sur les ,données sui v,antes :

Les conditions Ide ·v ie ont changé: les nerfs de nos 'e nf'a nts sont mis, s'a ns mème qu'Us en ,aierut conscience à ' , rude epreuve. rU faut qu''Ün ,e n tienne com'p te et qu'on n'Iajoute pas ,à J'a fart::igue du jour, lia fatigue du soir.

Nous prions Il es maîtres qui nous liront de réCdéchir à ce probJème et de s'examiner 's érieusement sur leur aûtitucle à l"égaliCl des tâtches à domicHe. N ons savons qu'i'l n' est pas fa,cill e de tout conc:iJlrier. Il y ,a Il e !programme avec ses exigences, ,Jes 'c onsignes ~.'m­ posées pa'r les autorÏrtés scolaires, ['es l'éda-m~tions ,de ,certains pralr ents qui s~ plaIgnent lorsque J.eur-s enflanrts n ont pas a'ssez là ,f'ali re, pàrce que, selon eux, le Itr,availl à J.a maison, c'est le meirltleur moyen de ,l es tenir tranquines!

T'o utes ces r,a isons, etd"autres qu'on pourrai,t invoquer, ne ·d'Üivent pa-s f'a ire oubŒier que Jes enf'a nts en âge de croissance n'ont pas Ja résistance d'un a'd u/h e, et 'q ue c'est un de'Vl()Ïr:r de pl~oportionner les 'Ühligations scohil'es à leurs forces.

Ce pûncipe est inatEtaquarhl'e, 'si l"aJpplioation n~est pas touj'Our-s aisée.

Pellit-'on ,descendre dans Il e ,détaill, et fixer quelques n011mes ?

-

1. Pas de tr.a vaill écdt l·a 'p re,m ière et nrême l a Ideu:x.ième année d'éc'Ole pI'im'aire: on se contentel~a d'im'p 'osel' un petit exer.cice de mémo'r isation, qui ne devra pas dépasser la demi-heure.

2. A partir de 8 ou 9 'a ns, on exigera un peu plus.

3. De 10 à 12 ,a ns, tl'availl écrit et leçons à ,a;pprendre ne ,devron~ p'as dem,ander 'p lus d'une hreu,r e.

4. Enfin, de 1'2 à 15 'a ns, on pourl~a exiger au m,aximum, ,p our le tout, une heure et ,d emie.

Oes <chiffres ne sont donnés qu'à titre indicatif. M,ais ,cIre toute f.açon, en estimant Il e temps, on pensel'a, non aux élèves ,l es mieux d'Üués, mais à ceux qrui le sont moins.

Si l'on fixe un exercice, on Il e cho,isira très court, mais on exigera un soin parfait, une récrituœ lJ.isi,b Je, une propreté sans déf.aut.

Prour rester d.ans ces normes ~à où H y a un 'm ,aÎt'r e unique, ;'est f acHe : il est ,seUil à dose.r ~a besogne de cha'q ue soir.

Dans Iles cJllasses où il y a des m'aÎtres de ,b ranches, à côté ·d u maÎ,t,re princip:a l, c'est' à celui-ci, ou à la direction de l'éoOlle, qu'il a'pp'a rtiern de réglementer le tl'ava.iJ à ~'Omi'Ci1e, 74-

scion J'importance des br.anches. ,lVI,a is on fera en _sO~l1te ;que~ cha'qUre soir," . en principe, l'élève n"ait· qu'un exerci'c e éClüt à rédiger.

Nous ,a,v ions achevé ces lignes, lorsque n'Ous est tombé clans les mains l'excellent livœe du R. P. Faure S. J. intitulé « Au siècle d.è l'enfant » par~ chez Marne en 1957. Le R. P. Faure est direoteur de Ja reVIUe «Péclagog,i e», diTeoteuT ide l'Institut sup éri'e ur de Pélel-agogile là 1"Instirtut catholique de ParÏ'f•. C 'e st une autori,t é indiscutée.

Or, voici. ce que nous avons 'e u le pI.aisir ,de hre, à 'l a -p'a ge 153 de l''Ouvrage en questiron, et que nous oroyons utile ,d e reproduiœ ici,en d·e:m,a ru1ant à ceux qui le liront ,d 'y réfléchir, de ne pas se contenter de l'approuver, mais ,d'essayer !loyalement d'y conformer 'leur a'ctiron. La santé des 'enf.ants l'exige, et aussi le succès de l'e urs études. « Des soirées et un sommeil calmes ». « Le sommeill régulier, pas tro:p tar~ dif, ' est un ,f'aoteur irrempJ'a çahle de santé et d'équirlihre ner'v eux. Or; on sait ce qu'ill ' devient. Des startisltiqUJes seraient une révélati'On. Les réunions de p:arents témoignent d',i nconsciences de Im 'a Îtres et :d e familles qui 'p assent l'illl'aginabie. De n'Ürilbreüx enfar(lIts;après hruit heures de trav,ail soolaire, rentrent chez eux avec du « travaill », un trav,aill écrirt, 'tout aussi platement scolaire que cehii el-e la Journée. IC'est un fait fréquent. Il faut y ajout·e r les leçons et, avec cél'lt:aJins professeurs, les t'r av.aux libres sup'p Jémootarires, les cahiers à mettre au p'rO'pre, les devoirs .d'étu-, des à recOlpier, les caor.tes à achever.

Les p.alre~ts, les eIllf,anrt,~; subissent.

Q:uand ,'c e ':, iIl'e'~ ~,ont p'as' '~~s enfants qui font subir aux parents de vraies séances, toute h cOTIlédie énervante des «merts4:oi au tr.alV'aiJl », «récite », « termine» et cdr}es des «expliquemroi », « montre-moi », « j'e ne sais p'as le fraire ». Le «va. te coucher» ne weI1Jt que tard, trop taT,d et chaque soi'l' voit se renouveler le speetaCJle. , Dans' Il es écoles élémentarÏ'r es publiques, le IniIliÏ:stœ ,de l'Educ'a tÎon natironall e a interdit st'l,j'otement les « de~ voirs à J'a maison >~. ,M'e sure sa'l uta.ire, devenue nécess,a ire et peu appliquée !

C'le st cepeTiidanten , 'Classe et à l'école ,que l'enfant ,d oit accomplir son devoi,r d'écolier. Il y a d.anger, si on ne l'y obQige, là 'c e qu'.il perde à l'éoole une rpar,tJie de' :son temps, en escomprtJant se rattralp er à Œ 'a maison.

A la m,aison, il suffi mit .,d es leçons à confier à la ,m émoh'e 'avant de s'endOI'mir: beaux textes à remâcher, vooahUilaire à répéter, règl'es en petit nombre. Le l'este Id u temps" si temps rI l'este après Il es a'cüvÏrtés . f,ami~rÏ,ales, les: jeux et la oonvers atti on, ne devrait-il p;as être réservé aux lectures Hbres, ,à la ,d ocumentation f,a'cuhartive, aux- questions à poser SUT les sujets abol,dés ·e n ,cl a'sse, le tOUIt d,a ns. le ca~me et la dét'e nlte? Le propre de l'esprit est de .n'êt'l"e j.amai's au repos, celui de la culture 'd ie n'l-être jamla:is achevée. ·,Mrais que ces occrupattions ne se ,présentent pas dans le cadre f'a m,i1ial com'm e la corVJée llllÏ.nutée et obli'g atoire. L'enf!ant y perdll,ait le goût au tralVail que spontanément ,aurarent 'Idû faire naÎ!t'l"e 's a curiosüé naturelle et J.a dasse bien faite ».

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Freude am Aufsatz Alfred ZURFLUH S. M.

ZWleJÏ. SitimmullJgsbiiJlder Teilnaihmslos 's itzen vtiele IGnI<l;er in Îlhlien ,B anlœn und roaJU1ena'm FleJdte~­ ha1lter. Eifdg wÏlid ,b all d na-ch link,s, haitd nach J.·eoolts gesohiieh, um eintige brauchb alie I Ged,anklell'sp~itter zu erhaschen. Man «soNte» ja mnen Arulfsatz ,S!ohr:e iben. Das Tlhema wurde zw,ar be'Slp'r oohen, abel' es vel~mo'ChtJe dJi'e IS chülle r k'e ineswegs mI begeÏste'lill.

Fiast hHHos si,t zen d'Île KindJer ,da u'Illd biLicken :Ï,m mer wieder auf ,die tiklœnde Uhr. Ein Lehrer sirtzt missmutJig hinter eine,r hohen Bmge Aufsatzheftl:le. Die unangenehme Arheirt des Vle rhessel'ns lasSit sich nun nioht Illlehr langer ,a uf· schiehen. Morgen 'soilil ja ein n~uer ÂufsaJtz eingesohrieben werden. J€ldJes Reft, dais 'S'O'l1gfaJti g d'U~ch~ngen ' WlÎl'Ù, bringt neUJe EnttauSicoongen.

Die Satze si'Illd ungehob:eh, die AusdJrücke OIft nJ:Î!ohtSSla'g end 'Oider Isoga'l' ullipa'Ssend, an 'Fléhilern rfclillit es 'alUJch ni,cht, U'l1Id s€llhst die Schrift h€lfriedig,t lœinesw.egs.

Hand aUI~s Rerz, 'l ieher Leser, sind dile se Bcispiele aus ,der Luft gegriffen ?

Uns lLehrern ist ,der AUlflsatzunltJer· l1Î.cht oflt eine ,sch-wel'e Last und mne u'll:alI1Jgeneihme A'l·hei't. Für wele SCJhü· 1er 'z ahlen drÎle AllllflsatZ'stJrun,den zu den langweil'i gsten des Tlages. Und ~zu­ oft stJehen die 'E 'l'f'Ollge in keinem Verhahni's zu der a'UlftgewandifJen Zeit.

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Muss d~ so sein ? Silc her nioht ! lm folgenden mochtle v:el1Sucht werden, an kurzer Form auf ein~g'e w,:Î!ch· tige Punkte hinmIwe~s'en,dile d~m Âufls atmInterrÏ'oht 'auf ,d er Mirtlt.leil.- und Oberstwfe dienen kon~ten. iDaheâ. dal,f aher nichrt Vlel'gessen wffi~den, dtas'S es J<,mne «Ulnfehilhal'en Rezepte» giht, denn ,die Mle thorcle i,s t laJlzurseh~' ~it der PersOnJ1i chkeit des ,Leil u'ers verbUllIden.

Die Wahl des Stoffes. mt .es U!I1S n~aht ,s chon of~eliS ~fge­ f,a'llen, dals'S 'Slioh Idas IGnd ganz für eine Sache ,einsetZ't, wen,n es daran Interesse findert. 60 kann cler Schü1er VOl' atlil em dann @efol,dert weliden, werm le'!' :sÏ.ch zum Stoffe h~ngez'Ügen fühilt. F'r eudig Wlil1d ,dlÏ:e AJufgabe ange· packt, und die Hegeisterung hiMit üher vi'e le !SCJhwÎJelngkeÏJtlen hinweg. lm IGnid muss ein MlÏ.t1:/eliluiIlJgs:be. dürfnis Ig.esohalffen we'l-den, darm it, es s~oh gedralfl.gt fühlt, seine Gedankell1 mitzuteiJI'e n. Wie}cher Erwalcihs~ene SCJhl~eübt s chon einen Bl1Î.tef, wenn el' niohts zu betÏJcht:en hait? Glm'ohZ'eitJig 'm'UISS el' nO'oh üherZ'oogtl: ,sein, das'S el' mit seinen IZelÏllien Int'ere!ss:e we'c kt. Wie Ig el'll'e 'el~zahilen wi'r doch S€llhsterleibItes oder Elùlauschve:s, d:as andJere 'IlO!ch m,chrt wi's sen., Es i's1; ,uns ja hekannt, w~e ge'lill'e und wi:e :awsfüilll'l,i ch ,die Kindter belnlc hten, werm. sie ,etWi~S Sp:auIl'endes :e:ril:ebt oder gehort hahen.

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Bemü1h en wir U!I1S desha~b, ,d ie ElÙ'€IbnrilSwellt dies Kindes Z'U el1flilfsS en , um, im RJahmen des Mogl1Ïohen, die Arufsatzvhem'e n ,aus der Umwellt des IGndes zu waihŒen. Dazu hllaUlcihlen wir nul' ein wem'g Id ie Kinder .zu he· bus ohen , w:enn ,s ie i'm Sicnuilll'Of, aurf der Strasse o:der auf ,dem tS,pielJplatz m'ÏJreinander pJ'a'Uldern ode'l' stllelirten.

Wli r v:ernehmen ,da, wÏ:e si'o h die Kinder r:iJhrer TatJen rühmen, wi.le sie über die V orkommimsse dies tagllidnm iLe· hens l~eden, WlÏ'e sie stl'eÎ.ItJen, wie sie VIon iihr:en KJleidJern hetl'icJhten und a'Ulf ,aHe K,J'e\ÏnlÏgkleirtJen ilir:er Krinder· we1t eingehen. na :Î!st leJS ni'oht Dot· wendig, Id,i e IGndJer zum Spl'echen auf~U!munrtel1n. De'shallib konntJe foJ· gende FOil'del1UnggesteIIllt werd/e n : nie Thiemen sillid, s'Oweit dies mo· glJi,cih lÎ'St, der IE rlebni'sweJh: d:es Kindes zu en1Jnehmen !

Wli r müssen f eliIlie'l: hedenken, das'S das Intel,esrse, eÎ!was zu erzahl:en sCJhwindret, sohallid Wli'r v:erneJhmen, darSis die S1(lJohe he,r eits ,beroaTIll1rt ist.

Um~e:kehrlt eTzahilen Wlir d'a nn am Hebsten, wenn kmIlier Ider Rorer etJWlas von der SaCJhe weiss. So· mit er,g ibt siloh eine wmtJere F'oliderung: La!s sen wir die IGnder, wenn Illlog· Hch, ilber per.gonilJ~ohe E,rJ,ehllii'sse be· 'l1~chifJen, die den MirtsCJhiillelill nocih nilo ht heroannt ISÏnd !

W'e nn ml' daiS Kind allihallten, über ein Thema zu schl1eiJben, für das es sich n~cht intel1."!eJssiel~, so wü,a das AU'sd'l'uclŒVel'mogen des Kincl:es nul' weni1g gefO'l1delit. E,s .sch11elÏ.ben d,ann led/i,g lioh jene Schiller mn «he:sseres» Au fs artZ'ch:en , die vi,eil 'lle sen, d. h. sie

schlimhen das niedel', was in ihn~m Gedachtnris harf,t'e t, ohne 'Si,ch welÏter um d,i e AUlsdl1ucJ<,sgestaiLtung zn ,b e· mühen. ner Au.f.saJtz Wlil1d zur GedaCJhtnilSal'beit, zur blos'Sen Spl"iaJchÜ'hung.

Es wir,cl alUoh die AnSliJchrt V1el'tTelten, die NaoherzalhJl.ullJg sm, 1V0r aHem 'aJUf der Oberstufe, J<,eirne hl'auchhalr e ÂluJf. satzflOlim .mehr. DalsS'ellihe ~ilt VlOIIl den sogenarm1:en Al~hei't'sbel;ichten', die im AnsCJhluss an die Realliengteschniehen weliclen. Bei Idiesen Arheiten kommt es VOl' allem auf ,den Jogischen Aufbau, auf 'cHe v.o:1Jlstandi'gktelit und die gena'Ue Aru'sdTUlCks1'Viei:se an. Es hallid'eJlt ,s ich hier n~ClhJt mehr Ulm ein;elIl Auf'Satz im eigentil,i chen Simle, s()'l]jdern um eine sehr wel1Jvolle Spraohühung, die ,gileÏlcih~eiti.g d.alr · übeT Arufschlillss ert'e~lt, ob ,der IS toff wirkli:oh velistaJlliden Wilid.

Schaffe illll Kincl ein ,A uiSldl1Ucksbe· dÜl1fni:s !

Wenn wir unseTe Sahüll er ftllargen, welohes UntJeTl1ichtsf a,oo ilh nen am m'm's ten zusage, so wel~den nul' we'Illige den AUJfls'a tz erwahnen. ,E s feh'l t NN1'en a'm Ausdn-l'crosbedürfniiS. DÎle éitgemtJliohe ,ArulfsraJtrzral1betit dürf1e auf deI' Mli ttel:stufe begiuuen.

VOl1gangi'g ,soN aber das freie ETzahlen aUlsgÏ:ebig geüht Wlelliclen. Mit RiMe des Spliachib1liohes s'oJilien di,e element'al'en ,gl1almmatikaJlisClhen und oo'thogl1aphisCJhien .Erroenll!tJnilSse el'· wOl,ben werden, die da-nn den AufSlatzuntJer'liichrt unrterstütren. lVIiolllatiLich solH ten etwla '2 .Anlif,siilt'z'e (NaJoherziilhlungen, Hedc!hte und Ge· soha,f.tsbl'iefe nichrt IÎ.nhegl,iffen) rge· sohrtiehen we.l'den. Für j,e'den Au,fs'attz

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1

sind etwa 4 Stunden erf'orcler}iich, dfi e Vor- und Nafd hiheœirung rruitinbe:grid'fen. Di'e V ol,hm'leittung sei kurz, diallTIit das IGncl llIi,chrt i,m VODans an eine ~'.chaihlo11'e gelhJeftet wercle.

Bile Vel,hessel,uTIlg des AufsaItJzës irsrt für fLeihrer und KJi,u d eine · müih.s-a~1.e Arbcit,' ,èLi'e glfeilOl1.Z'ei1JiJg die besit'e V.orhel'eimng fÜT den f'ol1~nden Auflsartz hedeut'et. Die Miihie wü,d d'a dul'ch beloh:nJt, da.ss vri,eJl'e IGuder mit gtl'orsser Fnmde in orginel1er W'ei'Se S'chrei,h en, wellin man ihnen eiue gewisse Ftl'ciheirt Hisst.

Die f,e'stgestJelllten FeJMer gehen praktÏ\sche Hinweci.,s e für dli e flOlgen~ den Stprachühungen. Da'Ss im freien AUJfsatz die or,thrograJphlÎ.'Slchren Fe~~rer zafh he,i'dher sind la1s ifm gutvorbereci.teten, WiÏ'l,d tdaid ul'ICh auJf gewogen, œass die IGnd·el' <Ï.hre AUlSdrudkrsmoglieihkeirtlen enrtf'aMen konnen unld ,die .AJwfsatzle vieil persomri,e her wÏTken.

Leider wel.,den n'ÎJdh,t s:ellten recht gute Auf'satztsolu.eilh er dla dur'd h e'llltlnu'bifg t, ,das'S die V1erbesserungstlintre aiJlzu ' reid:l1li,oh fli<esst. Um die:S'er ErSiohreiuung hegegnen ml konnen, ~lalSS!e ioh meine Sohiller 'derr OherSlt1l1fe v'Ün Zeit zu Zeit ein 'AruJf's atzdmn led1i:gHch entWeI fien, ohne id,ass es eingeschriehen wü,d. Der IS ehüJler d'a-rf flIun serlne AJ1:·h eit der I~las'Se vorllesen und eI'lhah dafür eine Note, d~e desha:}h hes'Ser ausfail.lt, weil nul' der « S1JÏIl» hewerrtet Wil,d. .Auf dies:e Weise komnl.'en a1l1ch Jene zum Zug,

die zwar o,r dentJlioh setzen, atber an den Kliplp 'en der Rechm'c hrei,bulJllg z'e .rbrechen.

lm Aa:uf's a't z sohl ja nicht in ersteÏ' Lime-' die Redhtsolll'ei'h mrg zu Wo'r te kOl111lTIen, sondrern Vi~elmehr dIDe Auschuck'SgesttaJttung. DaJIl1:irt u1.o:chte kelÎ.ne'swegs . gesagt sein, Id ie Hrec:htsclweibUll'g s'eli von nebens>ruchlÏleher ' Hedeutung. Wi.r 'müssen aher hedeIÙ(e:n, class schon das SetJzen 'a n uln d frür si'd h auc:h ,a uf der Ohel~stUifle nOich Mühe heI'eritet. .

Die _ erste, vorhel'l~itende Aru..fgahe des 'L ehrers he:steht aiso c1a'liin, im IG,n de c1as Ausdr.UJok's·helcmh:fll1is . zn w~oken. Dies kann Id adu11C1h gescihehen,. œa'p'S der Le~œr cine ~'Um TbJen'ta pa's'S'ende Ges<:hr~ohte mogHchst a[l1I~chaJuililoh, p .aICkend UIllel w.ahr erzahlt. Di1e Kind'e r hrarhen r:t'Un_ ·a:h~lr nicnt 'd<Ï.ese GeS'c:htilç hte nachzwb,:iJJd'e n, sondrern cin eiÏgel1.eJS, 'e'l:m:;spl"ecihenldes Er1e'hll.~'S z'U el·zahlell..

Sellhstv'ell'standlÏtoh sind nun auch die Ühel'schl~fif!en ViOri 1(ril1Jd zu Krinld versohieo:ell. DieS'e wel,den etrstt 'l1Jaoh Beendigung dlœ AUlf's atz'es g,e schl'iehen. E:i,neÜbel~S'chrif1 sei paIckend und 111'ache den Leser neugiiffi·,ÏJg. Sie darf nilc ht zu lailig sein unId ' nie den 1nharIt des ·Aru.flS,atZ'es verraten.

1st d.er .AUlffSlatz felitiggiesteiJlt, wird. el' nodl.·m als ,aufIneliksMTI duœhgeJlesen. Seien "ViiI' bei der K'OIITeMl1.lr m \cht klleinJ~'ch, ' sonst ze-rstol~ wir im Kil1lde die FreUide alm .Auf's etzen ! '

Der Erzieh'er sei ganz Auge, um wie ein Vater das Betragen Zu überwachen~ Er sei ganz Herz, um das seelische und leibliche 'W ohl derer zu fordern, die . ihm von der V orseh~ng anvertraut sind.

Don BQsco

, Pensées d'un vétéran sur ·le CInema i

L'auteur de cet atticle est' âgé de 88 ans. Combien de nos collaborateurs resteront-ils si longtemps fidèles à leur plume?... Les nombreux lecteUl's de l'« Ecole valaisanne» qui ont connu

M. Julier seront heureux de voir, comme il le précise lui-même dans une lettre

Obwohl fast 90 jiihrig, ist Herr Prof. A. Julier fii.r moderne ' Erziehungsprobleme ' noch sehr interessiert und aufrreschlossen. Er weisl, im Folgenden hin Q,uf die ras che Entwicklung ,des Filmwesens das ein~HU'),ptunterltaltLtngsmittel unserer Zeitgenossen ist, Damit ist zugleich die Frage nach' den moralischen V or- und Nachteilen des Filmes gestellt. El' ist wie ein zweischneidiges Schwert. Der Film scltafft enorme Vel'dienstmoglichkekiten für viele, el' kann ein vorzügliches Bildungsmittel sein. Aber auch seine moralischen Schattenseiten sind derart, dœss alle El'zieher dieser ·einflussl'eichen Macht mit grosstel' Wachsamkeit begegnen müssen. Das ist auch der Wunsch unsel.'el' geistlichen Oberhir.ten.

L'homm,e a besoin ,d·e ld is't rac,tJÎ.lOns. Qui ne ,connaît l'lal1.'ecdo1Je de saint J'ean et du dmls seur? Les Romarins aViaient ~es jeux du. cirq'l1'e ;' les Grecs le d'Iéâtœ. Aujlo!U'r1cl'rh.'lli, bon lJronihre de :preuprles ont ·aJUS'si leurs joox fraViOl1i,s. L e,s ErSlp:agnols se plLaiS'ent1 au speotaJde de l,a OO'lTliclra ; [es Heil;ges aiment ~es combats de 00qS ; l,es Suisses l1e rtJir et la lutte ; Il es VaŒHlÎ.sJallS les ,comb.aJts de reines, etc. Miai'~ om p1eutdi.œ ·qu'·au XX:e ,s iècle, ~a driSt'11aJCtion par ,excéhlence, p'l~es'qrue urnrivel'sel1e, c'est le oinéma. "C 'e st lSur J'écr,a n que notre 's iède porte ses -regards. En eff.et; 0'11 estim~ le noul'hre elles sar1lœ de· 'c iném.a, d,ans 118 monde, à p~us .de 60000,ühiHre qui ,augmeme I(}':anuée en ',ann-ée~ e.t. l e :montant ,d-es 'a H,a iœs de: . cette in~us~rie à près de 15 milli~Uid8 _de ' fl· . .'pa:r:~.an,.· ce .·qUii Ja -;-. pl~ee immediate'Inènf' a'prèsle . h1é : lelt . iLe

chal·bon. .,:...../'..:

. \.

·Darns notre V'alais, qu ''On ' dit encore pauvre ' du point d'e VfUle maté,nieJ, on 1 encontre actU'eihlement 'Un .ciném·a dans la phlip'a rt des i'O'daH.t-és impo:1:tant'e3 de lia plai.ne; quelLques-unés en ont ulêlme 'prlusi'eul"s, où p:hl's d'une f'Ois par semaine, sul'to'Ut !les dimanches le t les jO'1.ll~S de fête, s'engouffrent des cenlt'alÎ.nes de gens 'aVliJdes de cUI~io­ sittés; pa'l'l11.ices cUI,ieux on compte en grand nomhl~e ,des jeunes gren~ audeslSous de ViÏmgt-cÏlllq amiS. On prét1end ' que puur l'iernsemblle des cinémas du 111'0nde enti'e r, la Jeunesse fOQ'm'e le 60 % d'e l,a 01~entè;le. lil f,aut donc poser ,La question: le cinéma le st-il utli~e 'Ou nui~:irhle? La réJpons'e à donner nous fait pens'e r au· song,e ,de Gut'enhel"lg, lors die l'inventiQn ' ,de l'i1l11JIHimeI~ire . . On dillt qu'i[ vit· d'un: ,côté[e .·hien . immen's e :que.: pOJV v'ait 'l'éarliisel' son ,a,c1mü'a1hlle inventio,!,!-.; d'un '~Hltre. _côté .l' Ç\llll.Ja<s,j-J;lic.l:Qy.'able..-et, 79 · ~,

-78 -

accompagl~ant

sort article, qu'« il' vit 'encore et qu'il -n'a pas oublié entièrement ~on passé ». N~us aj~uter01is qu'.il reste aussi f.idèle il son présent, puisqu'il choisit pour theme Wt probleme St actuel.

eHl,ayant d"en'eu11s, de maHaŒIS·a noes, de orimes et d'immoralités rérpandu~ à foirson. Il hésita un mo'm ent à divuiLguer ,S'a dbcou'Ver:tJe; m 'atis il déda.ra f~nai1ement qU'le/He étJa~t un bienfait d'e Dieu dont :hl f,alhl'aiÏt 'proflÏ<1Jer; ,t:ant plÏ.s pOUl' ceux <fUIi en abusel·aient.

On peut aflflÏl"m'e r qu',afUjjolUrd'hui où ron n'la p ,as é1J~hllÏ de mresures de sécurité do'ctr:ÏIlIall e OIU moraile comme au Id ébut de l'imp'r ime11i'e, ILe CJÏnéma faJit infrini'menrt ,pikl!s ,d e mal que de hien, qu'~,l est une arme à ,deux tranohants d'Ont l'un est d'une efficaJcité l'edoutJalhle. S. Pie X di's'a it, en eUet, qu'hl n'y a aotureiLlement p ;as de moyen pllus ·p uissant 'p our eXe'l'cer une inf1lueillce sur les mass'eIS. GonsiJdéro'llls brièvement. quels sont d'un côté les aJv,an<1Ja'ges et de l"aurtre Les rincon'VénientlS de ce1:Ite iillldus:tJrie, p01U mieux oompre11ldre Jes devoi'l's quIÏ, dans ce rdomalÏne, irnoom1b ent aux éduoateurs de Œa jeunesse, c'est-'à~dlÏre aux parents et aux 'm aÎtres d'é:ooJe. ' Le cinèm'a , qui 'OCJoupe un des premiers T'ang'S piaJmnlÏ les inldusrtri:e:s, f'OUTmt ulIle oocu'P'artlion rémunératrilc e à des miillliel's et des mirlilr.i.eliS de pe'l's'Onnes, et Je chôm,age n'y esrt guère à ,cva,inéÎ.l'e. Ainsi J,a ViirlJle de Los Angeles, en Amémque, avec un peu pJus d'un million d~ha,bhants, vit presqu.e entière·m ent du tva'V:ail du oinémJa. EnsulÏlte i,l permet ,de ,d onne,r des leç'o ns intuitiVies très instvurctÏ-ves et intélres'sanrtes ' Sll(l' l'hi s'tJoire , lia ,g éographie, l'es s·c i'ôlllc:e:s naltureUes, l'industrie, le transit des 'm 'archrandri'sers ; l'enseignement ooltÎJgieux et illlo1,all'utiiltise ég.ailJein..:enJt 'alV1ec pl,oflÏt. Aussi très nombreuses sont 'a1.1j'ou'l'1d'hu,i Il es &'0-

le s munies d'rupp,ameill'8 crÏnéma,t ogr,a- ' phiq.ues. Les a'l'1s, .é:gaJemle nt, rU'O,urvent dans le cinéma un oonc:ourrs important. Un fill m exigJe ·dles connaislS'a nces musi'e a'l es, théâtr.ales, la teohnlÏque conoernant ~Ia diotion, l'é:1éJg.a nce des gest'es, .I.e décor de la S'cène, etc. V'OlÎlLà pOUfl'quoi on p le ut di'l'e que tout ooJa oonttl1Î.bue à taire du cinéJma le Be art oomplet, dont le's studios sont les tempJ-es. Et cella suplpoS'e lia VlOl'Onté, le courage quri ne veeurlent deViant auoun ohst.aJc;le. Aussi pOUlr Iles uns Je cinérna c''eISlt d 'lIerohel', crODrlllaÎt11e, ren(1re sel'V~cre; pour Iles autl:res joui'r , s'e n1!housi'a's mer, &tre magnétisé.

MaJlrheurreu'S'enlient, à côté ,d e ces aJVan<1Jages se plaJeent les inoonvéD'i'e nt'S . Le oinéma est autant, !}J'e utêtre plus que l'imlprimleflie, un instrumenti: dont SraltJan s'eiSit emp are p'Our étendTe son em'p i,r e SUT l'e monde.

Les RomalÏns avec leurs themnes, lleur-s f1e'S'tJÏns, leurs jeux ne SOllJt j amalÏs t'Ombés ·si has . On peut dlÏve que œs stl:udios où se toufillent certains fiJm's ont une influence p lu'8 corrosive que j,adis Syha11i's, C1all' au moins I.à, si le v~oe étai,t chose aJdm,i's e, on ne le présentait paIS 'S'Ous un jour mensongel', avec l'-ap'p ât du bonheur. On divait qu'un cer,t ain publriJc veuille réa[lÏ-ser les vers de FrancrilS'qure Savcey : J'la i le besoin pr-ofond d'avi.H:r ce [que j'laim1e ; J"ai hesoin de i1Ja~deur eJt de 'V1U~­ [tg·a'r itê.

Ah ! pesant es't J'larlTIaur des cœurs [tirOip vm'il:ueux.

C'est Là que prennent flaèÏdrement naissanoe le dégoût ae la f'a mi'lie et des die voirs qu'elle impose, l'excuse

aisé-e du vol et de l'.aiS's a'S:slÎnat, l'ahandon des Ip rati'ques l'elJi~Î'eUrS'e<s, !La perte de la foi.

Voici ce qu'e n 1936 Da,m'ell Pa'r:ker ~ffh,m'ait dans une br:adhu.re pubWiée ruux Editions-France à IP l'Op'OS de fO.l1 ms p,a ss.és en France. On y reile'VlalÏt: 311 0 eX'emp,l es Id e 'li1euvt'r'es - il 04· de vols à main armée - 64'2 c-a'S de filLoutJel~i'e ,182 de f,aux ,t émoignages -'-5'4 ,délboul''Ilem'ents de mlÎneUl'-s - 406 aJdu1lttèves. Au 11:!0taJ : 193'3 cl1Î.mes ou

déJl:it!S. Or ,s ur les trorilS mr:iJlll ions de specrtJatrmll'<S hlebdümaidaiTes, il y ,a v,a it urn mriililion d"enf'aJllts et ,d',a1dolJes'cen:t.& pOlUr h~sque:l,s l'écl~an, IC':eSit la vé rilbé et la vie.

Arux iIllconvénients moraJUx et som1auxpeuvenrt s"a1joUiter Il es domul!ages mat:él'ticls, -ca'r ni lJJa santé des sp'elClt,ateu'Œ, ni ~,eUl' p011te-crnronnali e y tl'OUv·e nt leur compte.

De .c;e court 'a perçu aes inoonvéIlIÎ1ents du . oinéma résulte p'OU'l' les éldllll~ateurs de la jelNIes'S'e, pal'ients et lTIlaÎrt'l"-es d'écoŒe, 1'olb Hgattion S'é-r!Î!euIS1e, di'sü!I1S pJutôt tTès gflave, de m1ettre leuliS 'eJnfiantJs, p'e tits ou gvanldrs, en gJa:1.'Ic1e ,contre lia fréque'l1taltion aJbursire d.es oin.éJmas. On ne sauvait d'.alÏHeuTs par\ler ,du lÛinéma en éducl3.tion sans 11'eIl'V ory m' à ,n enseiJgnement des derniers papes.

Il s'arg·irt bien du salut des âmes.

QUELQUES PENSEES POUR NOEL Dans sa ville ou son village, dans le quartier qu'on habite, on trouvera to.u jo~rs sans trop de peine des malheureux vers qui lU; ~ain pourra se t~ndre dLscretement. Aux enfants privilég.iés qui peuvent choLsLr dans les magasLns les cadeaux qu'ils préfèrent, nous demandons qu'ils songent à ·tous ces, ll!utr;s enfants, l~urs frères, qui se contentent, grelottant sur le trot~oir, l~ nez e;rase cont,re la vLtre, de regarder avec une secrète et doulou.reu~e ]alousLe les etalages. Le bonheur qù'on' 11J€ partage pas ne. peu,t pas être un vraL bonheur.

Ne nous déshonoro~s pas en laïcisant Noël. Nous voulons un Noël chrétien pour atti~er les bénédictions divines sur nos familles et sur ~otre pays, et nous plaignons les écervelés qlÛ, sans y prendre garde, rendent vLdes et pauvres les pius belles fêtes, en les dépouillant de ce qui seul peut leur donner du charme et de la valeur.

Ayons le bon sens de renoncer aux niaiseries que le monde semble vowloir introduire même dans nos milieux catholiques. Il n'y a pas de père Chal·land~, il n'y fi p~s de bonhomme Noël. Il y ~. l'Enfan~-Jésus, il y a Di~u devenu p'etlt enfant pour nous sauver. C'~st ' cel.a .qu Li fau~;!1Lre a.u~, ~nfants, c est cela qUI. est vrai, c'est celaq-wi donne 'a la ]OLe de Noel son ventable sens.

Mg." Bess.on ,

PRA ·K T 1'S CHE R LE.BEN ,DIGE

TEl L

a) W ortwahlübungen :

SOHULE

a) GegenwM'l>sfO'lIDl : Er waohtst, grüult, hlühtt 'llISW.

An ,d'et" T'a fel steht fO!lg'ender Tex1t: Du IŒnnslt re;c},en, albe,,: aurch iS'p nechen, schwa'tz en, sohr,eien, ml/feu, e!',z ahlen, f!l'agen, 'a l1'two rten, sagen, al1JUJ.'iI1l eJn , f.lüsh~rn, s'tottern, raten, vel1l11luren, rauuen. Di'ese Wo,rter we'lJden gleJ~en, gesproahen, in Satz'en vel'wend,e r \Und dal1'n in ein ,g'a'o ng.anzes 'ei,l1tge:setzt. z. B. :

Aù.f satz ÇI~f der Mittelstufe Sr.

l~uchten, {Jl'ûmmelm, ~l,itz'ern, l1ra igen, lo:clœ.n, be.l ohn'e n, erf.re:uen, mahnen, begt1i1dœn.

2. Grundlegende Erziehung zur Treffsi· cherheit im Ausdruck.

Loyola' ZUMTAUGWAolD

b) Wir bhldell Sa1tzc:hen. D.el' Weih· nadlts:bruum wii!ohst im Wlald. E'r grünt SonllIl1'er und Winter usw. c) Beleben der Dinge durch Vergleiche:

Auf dent Geschenktisch.

Die Apf,ru Is>Îlrd süss wTÎe Zucker. Der MarrûJpan ist hart ·wi·e Stein. D~ Schoko[ade ~'s t w.eiloh \\l'Île Buttea". Die Orangen sind l'und wie e>Îlle Kugeà.

Die ,Pel'Ilen J.euchten wi'e Go!lrl. Der Baum i<Sit ,~rün wi'e d.a,s Gra~, Die Kâppe rj,git schon wie ein Wunder.

Miuagspause : ALLGEMEINES :

Ul~s er Zj.~l Ü;l Aufsa1z i's·t: ein sa oW,i:C1her, eÜlf,a'c her, eluilIi,oher Still i~ ISIPrachH.ch:en ull~d soluiill1l,i chen Ausdl1l1'ck. Del:' SohülIel' muss befahigt lvel,den, ISij,ch münd,Litch und schrilhl,iICh zu aUissel Il ull'cl mitz'Ute~l'eJI·1.

SOOo11 auf der UnteIl'stuf'e wmide e'l.',z,a h[,t und bet'Î>onret. Auf Ider MÏitt:>e1l's.tufe wirtd dta.s wei'tergefühl't. Dazu kommt nun, d'aslS der Schüler bewLtsst ISlpr'alchilioh geführt l.L11d geschult wll'd, so, Idtas,s el' ;s tan:dig wachs,t i!l., W'or.tJs0hatz und Ausd'l1UCk in W'Ortwah~ " und Still. Die ""ier A'li's,dl'ulcltlsfo'l.~mel1 weiJ.1den eingehend, einz'e ln unJd ~ell1iilsch:t behal1Jd.el1t.

SO'l,rohl Id,el" .gehundeIle, ails ' auch d,e r {rci,e Au,f,s atz ' 'r,inldè't "seÎal'e Hel1echtÎ>gunlg' uucl ' -i.yit':d ~ur Spl'aohgestahung ,h e·! heiÎJ~eZ'ogen.

Rahn und Geffea't 'vel'Langen ' einen wo'hJ. geglliBder,tJeJIl . LehiJ.1g.ang für ,die Ausch'll.lCkssooUilung. Sié EO'l.'d.!el'n, 'Idtals.s· Id ie T.exte naoh d,en Ge;s,ilohtispiUllkven der IG'l1:del'tüml,i chk'eit del' innern Lehel1d~gkeilt und der .Wdrld,i'C1h: Jœitsna'he ausgew'ah1t wBl~den. Die · d'e h.en- ' ~Î1ge.. E~.zahlung, · 'a'b er auch der nüoht>~'ne, " I(Jlà'r.e , Sa' chb~IÛloht, mltsS'en im. GeJi's t des IGnd.e~ . ~liundl,~,g, end en;twicil::elt unld gefol1dert W'el1d'e n. D.a:ou !führen d~'e einZ'eIll1'en Ülbungen, die ail s W or,tsoha tz und StoffsamLln!lrung ei~1~e3 etzt wel cle.n.

sein. ,nie dm',f man nk.ht vor-aussetJzen. 80 faUt eine rkhtige AillIfis'atZ'sch~lung ei'gentMoh in dl'ei Etarppen. .

1. Das

Eli~'ebl1is oder der Dl'a~]og :oum . B.eri~t

mu.Sls da sein.

2. F,ol'malle SohWlÎer.igkei:ten müs's en cluroh spl1a,chJiohe Übungen heseittigt wlel1den.

GesltM'1Jl1l1gsmo·~hchkeÎ1ten f,i.niCl,e n w\Î.r d,a in Hüil!l'e Ul1id 'Fül1e ,i n den vel'schi:edeneJIl WoOr.t- und Sattzfo,rm:en, in den AusdruckseJlemenlten, in d.en FOlimen d,es HaupifTa'tigk~it- mtd EÎlgen's:ohaJfitiswor,œs. Das erzie1lt Iden WortS'oha.tz, der Is ehr wi'c:h.tJig iSit.

Der

3. El1St .d'llirin folg,t der ,Ertl:ehrrilszuS'ammen-

hal1'g, d, h. Idlie chronalo·g.ische Satz,foilg'e.

GRUNDLEGENDE

AUSDRUCKSPFLEGE

1. Grundlegende Erziehung zu stand licher Ausdrucksweise.

W ~ihnacht ist nahe .'

gegen-

nie .. Mens'o hen sohenlœn. o,i.e Mutte:r haJoklt. Die Sohw<els1ter naht ' und Sl1rÎick,t.

He'l' Bl'Uider baste'lt. ner V alt~, h~Œlt daIS Baillllll'ohieil un/d die Krip.pe. Die KinideT ft'euen tsich. nile Herz'e n po'o hen.

Arbeitsübung : a) Ahsohl'ift

:AUFBAU DES AUFSATZES :

Wo,~i'en Wll' Aufls atz sol~,rèiben il'aosseri, mus,s ll'ehen dem 'Slto'H l.ilohen Dl'aug ZUIl11 Atus'Cl!J.~ucll:: · au ch ·,· d'Î,~_ .. :.4.1.lIS'd~riy.éksmo gLichk,eit vel'ha'l1diBn

Nach ,dem Essen - Mutter zu Vreni, sie soJl1e nooh s'chnehl KohllBIl holen.

Drm.l>s's'e n 1m Gang - sie Kal~ e<twas zu. Fritz I\lIlld 'Gerda - zugleJ'oh, was es d.a Geheinmilsvoliles ge:be. V,l1el1i et'.y,as und 'e ilt dav,o n. Kad. - , dass Vatel' un:d MUitter dl'innen miteinander und ein W.eihna'o htsg'eJspraoh fühl'en. A,IUe dil'eJi - unJd - und nun miteill'an:d'e r. PJo'tzlich ,g eht d~le Tür.e auf. Vea'dutzt - ,d ie dl'ei S'ohwatzer etw,a's und Vier.sohwùn'den in der Küche, , um ab:vurruumen.

b)Fragef'Oll"ln; z. B. Sohenlœll die

smen? c) GegènWla!J.'t uniCl ZUk'llillf.t. d) Gegenw.all't und V'el'gall'g,elllheit.

M:eill-

Weihnachtsbaum.·

Aufgaben: Drüoken will' Œl'S kürz1er a.us! Die A'pfe'! sinid :ouclœrsüss usw.

WlÎr 'lluterstreÎcJlTen und tr'e nnen d,i e zU1s'a rmmengesetzten Ei'genschiaf,t6wocl.·tel'.

d) Kennzeichnung der Dinge dUl'ch Eigenschaftsworter : WialS kh nûchtt aJlLeJS a'l1lf ·d em Weri.hnaohtstilSOh .f,i nde !

K'Leine tlGndea'sd1lUhe, g'l'olsse HerrensclltUhe, Û'erd..iche FI'aJUell'sohuhe, weri.· che Haussohuhe, schW'el'e -Ber.~s'Olruhe, Leiohte Tunrsohuh:e, hünsche Tanzschuhe, p,lllIDlpe Hol}zschuhe.

(Spl'alChbuoh

Bayern) Die K'eliz'en - . Di,e Lichl'er - . D~e Gla's lmgron - . Di'e Silh'ea,,fal(l'en - .

Die GOILdtsterne - . nie Eliszapf:en - .

Die ZweÎoge - . Die Apfd. -. Die Nadtful - .

Übungen:

a) Setze in c\ie Lüclœill d.i e naohst,e,h enden WOI,ter riohtig ei'l1: brennen, dUlf'ten, fi1imm.e·l~n, flU1ùœln, schauke~n, gllanzen, ,gtHtz'e rn, schwanlœ,n, sll1rah~en.

1. tSatzhHdung: Wle r tralg t si,e ? nas IGnd tdigt Id,e n lcl'e~IlTen IGnder· ~;,ohuhe usw.

b) E'l'ziihtle und sclu",e ihe 'aiUch so : Die IG'J1Id,e'r freue.n sioh, welm die K 'erzen bl'elll1en, W'eUIl ,d ie Liohter 'stl'ahilen, w'e nn ....

Ist das schon!

2. Wh" tœnnen MIe Haul)lt- ml,d EigenlS,chafi1'swor,ter.

Wals mi.r g.eifillt ist g,ewohnJl.ich I8Ohon.

Es gabe alJ.tdei-e WOlr ter : hübsoo, f,ein, :oiel'lHoh, ni'ediltich, pra:chtvoU, prachtig, hetil;}ich, r.eirend, ~e. haglich, gemütlich, f'e soh, ge.s~hnHlck· voU, ,gefii!l:Hg, nett, :s.pa'lln en.c1, un terhaltend.

b) Beleben der Dinge dur ch Tiitigkeiten: \\'7 as ,so ein ' W:eilhnachtsb:aulJ.ll lücht aN'es kamI! Er Im~U1 Wladlsen, grünen, blühen, 's tehen, sioh ·s treclœn,

-

83-

r Awsführung :

helÎs'st e's : Uns:er ElsslJisch, Grofssvatm',s vehn· Di'e Mi~dh tUsrt geronu<en. D!Î,e SomMe· rung -a'1s IGelg,e nsatz der E11zaMung, i8lt für UlliS'ere IGnIder eJi'genlIlilc h S'chwrie11j.g. DarS Neben'e:in an'der fOI"dleN Igrolss'm'e Geld-anJl.<elrktla'r · he'Ît ail s d,ais Nra:Ciheü)la'nldle r. Da giÏht :es of.t cin Durcheinan:drer. IFül' den Anfang mülSsen d'a-lull1 la uch drÎle SdllÏl1del1Un:gen aills eiiuel11 Et"Jebn~sk:reis enll'll'Ommen werlden, da'Ss s·ie für den Sohül'e r IN1:t'e'l'el'3lS'ege\l:;lul1(lren sind . Se1JhS'l!ve'l-standrl,i'oh wlel-d:en -aruc;h aillf der MitteJlrs:tulfle Bl'Î'e.fe 'ge-sclwieben, aber das wird no'c h eigens b ehra'll'd rut.

a) Was IÎlst hühsClh, f:e in ThS'w. b) W~e S'œg'en wir bei W retrer, AulS' s'lCJht, Gelgen:d, Ge,schiCJhte, Schrift, Buch, Ausspl'aohe, KilelÏJd, Hande, Augen, &10 usw.

1

AUFSATZFORMEN : Die .wichtigSll!en ,Foll'men sind: Die Erzah· luug, dei!' Ber.iCJht, ,d ie Beschlieibtung IllIlJd die SohioLderung. BrlÎelf,e Illnd Mitte'i ilungen sillid aillfs Prak.tis,che g,el'ÏJchtel'e A'usWlertungen dle r vier Harurp1'al-ten. Erza,hlllllng und Henicht fiOtl'men ,dws NaCJhcinanid'e r, iBelsc:hr,eirhung und Sohilde11mllg ida,s Nehell'e1üllande'r .

Die Erza:hllllmg mU'S's <v.oll~'eg.enld IEt'lielhll1lÎs, el1zarhlhu1g 's'{~in U/Ird 11'Î1oht Na'chell',zahillllnrg.

Diese ist eig'el1tiH.loh nul' V.orühung. indem man cine kurze Il1!ha'llvsangarb:e f.ol'd,e11t oder Bine dürf'l'i'g e VOl'ilage ails Aa.'belÎI!S!g'liUl1ld~age benützt. An diesel' 'sohwLt ,dell' Schüle1l' k.lanll AusdrlUcll;Jsgest!aJhung unid T11eHsÎlchel'heit.

D:Î!e Erle'bnlÎserzahlul1lg ils t rgegie nübel' d,e m Bel,ÎlClht pmisonll:i:oh, 'g,efÜ,h!lSbel1:'ollt mand1illlaJ spl'ullig'haIDt 'Und f:r ei ,ln <der !AJusW'ahrl der Gedanken. ni:e Et'l1eJbn'Îls,errZaohlluu'g helhan!d:e~t immer elÎn bresO'ud'er.es Erh:~hnisl11'omlent 'lll1d hri'u gt die. s'es ausftÜh&ich zur Spl'lache. Ülhen 'wlÎr mlÎt den IGndern di'e rEigens'chaiften deI' gutelll Erza,hLung, die d'a heJirsrs'e n : die HaUipltsaJche, Bip'allnend, ilelbend,i g ! nais 'Er.1ebnis WlÏiid erz.ah:lJt, BeOlbra:chte'tel'3 hm'icrhtet. ID er Belii:chlt Î1Sit im Gegensa1tz Zlll'l' El'ziilhlungsaoMiCJh, Mar, nü:chtoern, lüclœn. [o:s lruuf UIl's'a'o he un:d Wi'rk'Uug eitllg~s'tellJlt. Wiahd1eit, I<:I'arheÏ:t unid ,GenallloÎgI\.leit '\Tre'r . pfi1icihJten Illnd fOll,d.el'rl1 SP1'a:Clh!lJiIc-hte Zu.cht.

BelschœiIbung ul1'd ScMMel1Ul1Ig verhatten s~ch ahl1l1id1 zUrein,aruder wlÎ'e Bel,i,c!ln unid Erl1e>bnilS. DlÎe Be:sCJhr.elÎlhung vedlanglt gel1'a'll'e BeolYachll'llng 'Ull:d waMlt ihll'e11 Stoff aulS d:e~ P.l,~,kti,sd1en un:d Nüt211i:chen, wahroend die Scbillidlel1Unlg personll'~oh 'arUiswah1en:d p'o e. tils ch 1'eÙ\~ohl, delr Phan'tla'slÎ'e oUen s~ht.

DtiJe BeIS'd heeioong drÎlent uns ~ur Behlandllung von H~M'ern· IUnId Ge:genisliiilld'e n, ab:el' man VleJrhÜite J.eJhIlo's gllei'chg,iiJlJlii'~e Themen wtire : der Tisoh, der StJulhIl, die Mii1oh, beS'~el'

-

GRUNDLEGENDE MEN:

AUSDRUCKSFOR·

De'r gute NiJ.co!1aurs ist ein tmuer Helfrea.· d-es ChrilSlt k,iol1Jdres. El' bereJÏ1te't den We:g. l,uf,t ld ie IGl1Id.er auf. Er malh nt unJd wa'l'nt sÎle. El' for,d erft das B1'ravse~n. Et· verila~]gt gu'tle Noten. Er stra{.t d,e n Ung'ehol'lS'am.

Er vel"tSrpriÏcht die Gaben des Ohl'ilSt. kfÎndle's.

2. Geol<dnetres AneÎl1and·en'eihen vou Satzen 'Unite!' 1eIÎ~1!em ILeit~ed'auk,en. Der Vatel' s,teJlh IdlÎe K'l1ip,p e auf. Der V-atel' hol1t daiS BalUmchen li.m WarLd Illnd dfÎ.e KIJ.1Îtp:pe fÎm Elstrich. Nun hangt el' di'e Poelilen lan d,ie Âlste. Hemfa'c h steck·t e·r d 'e n St,a mm in einen Stander und st,e Ht d'e n Baum auf. SOl',g,fiirLti'g h0.1t dle r Vatel' di'e Figu· ,r ,e u Ihel'ih'eÎ. Untel' d.ell1 Baum kommt daiS lerel'e Krippffiein. Dann ·s etzt el' d~e l~el'zen auf. Er giht eine na,c h der an. ·(l-ero11 :ÎrI!S WrelÎlClhe Mons. Dei' Bo:den dre,s I(,l'1irprplei'l'l!s wlÎrà mÎlt 'Mo'Os heldeck,t. Unser Kripplffin i's t heœit. Ohen wh'd nooh ein St>ern heJfest>i'gt.

Daos ffiUSS d·ooh ,d er RieJihe na,oh kommen.

Wli r Orl1dnel1 '1llün:d1ich und 6chriftlich.

Wir

schreiben einen

El'Ile,bl1'i:s se und

Wuns,chzettel:

WlÎtr tl1a,g en 7!Us'a mmlel1, walS man s,i ch alles

84-

Aufgaben: a) ,W lenn i'ch dod1 cine Knippe hekarne ! b) Ob lÎtoh wOlhJI le ine Kr.ilp pe bek'Omme? c) KJlcin EdlÎ wün~i'Cht sioh nOlClh anrl:e res.

Er wiins.c ht s-Loh IeJÎln Auto unid nicht eine Eisenlbraohn. Et, wünscht si'c h Schuhe und !l1IÏlCJlllt Ban·toff.e:l.

4. KnaJPp l"Îohlle:

1. LO'ses Aneinanderreihen von Siitzen unter einem Leitgedanken, z. B. Ein treuer Hel· fer des Christkindes.

3. FOll'luung 'g'eIll1IciiJ1lSlamel' Beorhachtlungen :

wÜl1lschen k,a nn : Es eIl'.girb.t s!Ïch fo,l g,e ndes Tla/fellibi1h l : Kil'Îlpp:e, B:aull11 , Bll!U/l11'S.ohmuck P'll1PP'e, P)anitJolffleJ, S:clrl'Ï!tlten, RoMer I<J1cid'el', Malpip'e, Fa,r bls tilf,lie, Elils oohaJm K'alppe usw.

Uil11gren~te

Er,z a,} ]lung.en 'I.11l1d Be·

Aus Tannenbiiumchens Lebensge'Schichte (Spra:CJhbuch Bal)'lelill) Ein lcl.eÎnes Tann'en!hiiJumd1en sband dl'arUJss'en am Walhles11al1id. <Es trug ein dunkelgrül1'es Nad'e1MeM. Dj,e Sonne gah i,h m LilCht wtd WÎÎI11ffi'e. Der Regel1 brachte ihm ZIll Itrtinken. Hel).' Wlinid spiel,~ mit lS'einen w,ci.gle n. Schim'ette'l" linge Ullld 'B i:enen hesuchten es. Dri'e Vogel sangen IÏJhm ILireder VOl'. So wUClhs dras BaUimchen he11an.

Sommer Illm Sommer 'VeIl1g'ing. Da kam an einem Imrhen WlÎlllterotag ein Mann in den Wail-d. Mit eIDer Axt faUte el' das ·s ohone Baumd1'm1. Er l'egrte es auf eJÏnen s(jhon'e n Sch~lif~oon IUnd fnihr es nach Hause.

Aufgaben: a) in d.e r GegenwaIl.'t h) ErzahJle \VIaIS mit dem ·Barurnlc hen wei· tell' geschÎleht.

Mutter will die Weihnachtstorte backell.

Er~t IholIt <sie ~m Lalden MelhJ, Zuolœ'l.', BadcPllllver, Rosi'l1!en, Soholmladreip'U!lvrer.

H~rna; ch VlellLangt \'3IÎIe, ,d ass will' ihr Elier, Mi'loh, ,Butter und Ralhm aUiS dffill Kerl· '1er bl,ingen . .AJus Idrem Sc:hl~an:k nlÎmmt Slie

no.ch etwaos Honig IUItd Swlz. Nun geht es lo:s. Mutter schrHigtt jedes Ei in eine T,a sse, soh'ffidet EigeJb Uilld Ei""eiÏ,ss Ill1td g,i ht d'as Ei'gellrb -in die Teig,s'c hüs's'el. M'i t Butter und Zudœr wlÎ.r:d ,BS schalU/ll1ig g'e· rührt. AHmalhJ1ioh ,Sltre'Ut Mutlter das M1ehl hinein, g,ie:ss't MÎlch 'Und Rahm d·a,zu und 'VIemll'bei,te:t Idel1 TerÎlg g,am; tiÏClh1Ji,g.

Es kom~11'en .alllch nO'oh Swlz mtd etwas Ronig hrinein. Mit Sohokooadle!pulv.er wirid die l1eÏtgllnrasse geJfarht, mit d-elU Back· pull v'e r unrd dleau zu SClhnee g'e!S,c hla'glenen Eiwreisr.s V'el'IJU'eIlllg:t und nun in drire Form ge'st-l'i'o hen. Jtetzt i,s t Ider KJU:chen back· bell·leit.

DoiBser l1ext wrÎli dgeineil1isam eral'heitet, mehl'l11a,ls dthl'chg'e\lresoen, aus'ge'lo'S.oht, und noohnmlŒ Z'llS'a mm1eng,etragen.

BESCHREIBUNG : Unsere Weihl1achtskrippe Ga'l1z lin:k1S :z;ieht sÎlClh an d'el' Rückwanrl ein Imlg'geSltœdc,ter, naoh V01'11 ahflatLlenider Hüge:l hin. Er tÎoSt mit dÜ1'l'.em Gms be· wad1!s'e n. DlreIÎ HlIlS,che 1l!l1d dl'ei Gel11sen weidren ,a uf d'ffill Hügru. Elin HrÎll.'it trcib:t das VlÏleh ,dren Hüg.eJ hel,untler 1.lind bla'St d'aheri eil1'e Flote. Am ·FlU's~e id,es Hügell.s Lieg,t an einer Seiil'e, mfÎt Fell.<s-s:~ejnen IllmlSaumt, cin See, aillf dem zwei Schwane schwilmmen.

Nalc h reoh~s dehnt sirch ehlle weitle MO!O:l'fila'c he ta us, ,arw d'el' V~eh stenil. Ein ge· krÜmlI1l1t!er We;g ,dUl'chrS'chne:id'ett si·e. Er führt an einOO1 Sl'al1 vmibei, VOl' dem dlici ffi'r,ten ~UJm Rimmel la'll'fblirclœn. Eiu EngeJ s:chweht v,o m HfÎmmel 'a uf si'e hera1b.

Aufgaben :Wlilr lesen tdoiesen T,e xt und ""enden ihn im Vel'gleich aIllf rUl1'S'el'e IÜ'1vrp'e an. Naohher S'chilldren1 Wlil' genau unsere Krirppe.

Erst münd'1i:ch, Id,a nn 'Schl1Î,f!lI1ic~.

Das waren Wlieder eini~e Am'eguugen.

DIESER NUMMER LlEGT EIN TEltNEHMERSCHE,IN PUR EINEN AUFSATZWETTBEWERB BEI. -85 -

F 50

IlJitedlichen Blumenvals chen?

(A,b b.

2)

Ein altes -Schulzimmer wird heimelig

Das schmnt eine sohwdJe'l:lÏ!g,e A'llfgalbe zu sein, be;sollld:elis in d 'e n m'eÎlslteŒl Sûhrulziml11'ffi'l1 unS'el',el' IHeq~do'l'.f,er: sd1ÛJelf.e Wan-de, unebeJll.e Bo:d'e n, k,l'e ine S.chranJ~e, Vlel'gWlbte HuMer, [ein s'taUlbÎlger, mit velifa'liht,en Patpier~ rQ's en ,geschmücl~l'er HeIJ."gQ'fllswlÎ'lÙ\.teJl. Was SQU dahei blQ'8's au's pl'eohend sein? n.~ese F.rag'e ve'l1l<ang't kte ine AntwOl',t, Sool~en w'Ü' UlIlISOOer tf'QII gend,e: W'ats kOllUIte dia muge:Sltahet w 'e r <cl te n? Dann vel'scJhwinnen l,al1.gtstam dite vel'giilJblten Billdel', der SClhralù\. WSlt plotzliJoh gera'lllUlig-er, der Hffl:gQttswink'e l s1JUmmt uns runda chti:g, und selbst die Wand'e 6cheinen ger8ld:e IlInd der Bodten gal' nioht melU' 50. hQilip'e rig zu sein.

0, dùse nicht;ssagenden, kitschigen Bildel' !

BÎlld'e r, di'e uns 'S'tol'en, die keinen 1J1efern Sinn hab en, Qder ,"Qn den S'ohuJ.klÎnd,e1.'11 nicht mehr he'aichl'eJt ,vel1d,e n, veQ'SQir 'g en wli'r in den Estr9.:oo. W'a uum nid1lt d'e n Rahmen zurüokJbeJhaJlt)eŒl, flÜIS'ch Slt'l-eichen Qder ~ack-iel'oo, dtats OJaiS waschen und eÏn l-ehrlieiCJhes Billid hineinJlegten ? Zu dlÎffl'e m Zweck eignen ISli'c h aU'ch gross'ere Q:œer Meine'r e Wechisrurahm'c hen, z. B. VQn «Uns'e re Führel'in». Für Idie OberslJU!fe dürfen wir alUClh W'el,lœ g,rQ1SS'ffi' Meistel' waMen: Eine MadQnnell-DtalJ:Sl'eJl!l'llug VQn R:aJflf'a'eil, MUl-i~,IQ, BQttIÏJoem, Lo'ohl1'er, DÜr.el., MicheJ1ang.elQ Qd'e r Wade-re.

Zur Abwe!chslung leg'e n w1r mn StiJlJlte'b en, Bine Lan'd,s'ohaft, Q:d,e r ein'e fal~~g'e FotQgmf'i e ' ein. Die Sohütl'e l,inuen .fi-nden manchuml 'lleJ~lie, b'l'auchbalre Sa'c hen, dlenn si'e SlUchen mlÎlt FII.'eudte.

Na-oh ,und nach 'mohaJl'ten wu: aUls ZeÏJtiS:chri.;ften, W:andlmlendern, UhIls'tDi'e r,llen UlSiW. eine· l1.'ach J:athl'e1Sze!i'l'en Q:d.er Sa'c hg,ehi'e1Jen g'e-

-

ol}dnete, wel,tvoil:le ·SammliUug. Seilibslt "",eun '\vLr k,ei'l1 'p 'alss'mtdes Bdt1d f,ind'e n, steht UIliS nQch le in W1eg QU,en. Anf weÏ'ss'eau Q'd ,er fal'hitg.eau 'P 'aipier schl'eibtm "",il' m~t duel' Zi'ffiiSohrÏlf't eÏIIien s<imwoilll'e n Sp'l'iU'oh, ein SClhliÏfltWQ'l1t Qlder ein Zi1!at. W<er 11a1lent ZIIlIlU Zei'ohn-en ul1!d M!alen beSlitz,t, wir-d drus Geschl'~ehel1'e enlJsl)JJ.'echenn il!lustr,ier,en. Oft gIDlt ,e's auch hegahl'e IGn:d:er, d,i,e f!reudlig schl'e~hen, zeÎlchnen und mrul1en.

Kal-r.le Wiinde.

Nette Wm-l:dheJha·J11g'e konnen wir milt HillJf,e Ul1.seœr Miidchen un,d Hwhen hel1S,reilJlen.

W~r hrau-chen : zwei Reagenzglas'c hen, et\-V'as f'al'bigen Bast. lY.Htt dem Bast umwid\.eiln wiir ,die GIiiJschen 1lJ.l1ld V-elmilliden sie miteina11!der. I-n j'e d'e:s «VaséJhen» s,tecken wir ein grünes ZWelÏJglein. (Abh. 1)

Abb,'l. ,

Alll-s forlg'e nd'e m Mat-el'iiatl la'&s,t 's i,c h eill Q,r ig'ineller W'a ndsohmillck anf1er,tigen: cine d-icke mte Kerze, ein Igleichfarbiger Y Qghm t-Becher, 'etwas Aluminium-., Lad\.- o.d er Olfa:r he, eiu schmiedeiserner K 'erzenha:l!ter, der sich 'a n Jdtei: Wand be:fes-tÏJg,en [as'st.

K'erze und Becher bemrulen wir, ind'eŒll. wwr für belÎcl'edass'eThe MOlliv wahl'e n.

In ,den obe,r n Rand d,es Bechens W'e1l1d,e n dtrtl-i kleine LÔ'chel' gebQ<lll't. DUl'ch ddese werden dr-ei p'aJss'encl-e Schnürchen ,gl~Q:gten und am I<Jerz.ell'hail-ter befteslJigt. nel' Bechm' dLeJ11t uns ails rBlument()(pf, da el' '5ich ails V'a se nicht gut teign!& . .(AbJb_ 3)

~~

"\~

~if r.~ . ~~~~B~~ ':\O)X~ :; ~~ .'lb\:> ~

\

Der arme Stundenplan !

Und nQ;ch ehWl'S hastcln wir se,lhel'o Wir belloltigen: mnen ,s ohmite:d,e!isel'nen Ha,l œn, ein Wkhseglats, scnwa'r zes P-er'lgarn. Mit dte m Pel{llg.arn hiiJke:ln w,1r eUI Ne.tz, gtenaiU der Gro'Sse d.es Glases ange!JJ'astSlt. Da-s Gilias wÏJr~ ins Nte:tz hineil1!g,estel11t. Mit zwei gehakellten Schnül'chen lmüpfte n wir · dd:etse,s an den Halœn. W1e'l' freult 's i,ch Ilicht an einem

86-

Uùser Stundenplan is't dauel,nd dem Staub und ~ft der SQnne ausgesetzt. Wir schültz'e n d'el1!S,eiltben dm'ch leinen farbigen Pla's tik,einband. SQ si'eht ,el' bis zum letzten Schul1ag ~la'lÏ<her und 'ol,denillich a\l's.

Immer zu wenig Platz ! . ]3Q,che.r,· ll.eÜ~_...itncl :Z~i-l'sdU'iflten • .die

Und die dunklen Z immerecken ?

Auch da helf'e n uns ,die Sclmlldnder. Au.s starIœm ZWil'l1 knüpf'e n wir ein weitmlaJschiges NeJtz U11l1d sp-ann1en es VQr die be,treffende Ecke. An dtiesem Netz befes~gen wh- die s:c ihonsten Zeichnungen d,el' Kindel'. (Es g'i bt neuesl'ens w1inzige Miniatur-Wascheklammei:ohen).

M,anche zi-ehen eine alldere Lots ung VQr. S1e sl'eilllen e,Ï-ne stark rankende Pfl.anze in tllÎle Eclœ. Allrs Hilfe spannen sie za:rte Scl1l1üœ, oond1en die Zweige daran aulf und cla'e Ecke wird nach und naoh « Ileb-en:dritg ».

Auch die Vorhiinge fehlen !

I~~

~

Q'der hinter d,el' W,and-taf-el erl'Ï-chten w·h· -ein Büchergetslleill. Die liJII~ern Kirtd,er hM'e n mit. Wir henotü.g~n einige IBl1e/trer, d~e dler S.ohI1ein!er zuscJlmeiœet und hQh-ek Das Nargeln, Beizen und Ladd-er.en hesQrg:en wh' S'ellier. Aus pa'S'senden R'esten llahen wir ein'e n VQrh<ang. BeJliebt sil1!d die ' lus tigen bunten PJ:alstJikstQflf-e.

Stehen uns keline Bl'etl'er z~r Verfügung, treihen wir irgendwQ eine Ki-ste auf und bauen T-ablare ein. Wieder i-st Platz geschaffen für eine Anzahl Bücher.

wN·

-aüfbewahren - wQ:11e~i .. und: ans's er,s t s'~~N~n bl'~u:chen, . ,v erp'a'clœp' wh' · :in . éine . Kal1ton~<;h.aol1!.~l, ,pi'~s'e l~Qmlll1t ~uf Iden 'Dachbod'e n. lil .. ·'~' n~r·~- F~nSJlernische, :hÏJn't~l'. _ :cl'eiJf .~4[J

Gewiss gestalten VQrhange an den Fenst-ern unser Schulzimmer wQhnl]Ji,cheir. Wah\l:en ""il' Z. B. leichten, wmts sen StQff. _ Beim Nahen werden uns die Mii'dohen heilfen. -(Eine feine Übung für IUll'ser.e sechste KI'a sse).

Den Qhern R:and der VQrhang,e b-el}.e:hen will' mit einem 1'0.1'00, geLboo Q'd·er l)l,a,uen Zi,ers-tich. Dazu tleistet uns dJj'e Elna- Q,d.er Bernina-Nahma,s.chine g-ute Dienste. . Wle.r VQn Hand ·stiok't, w1Ïmd UlmsQmehr F:t"OOde haben und we11tvoilleIJ.'e VOlhange b:es!Ïltzen.

Wir binden dite VQllohange runten sei,t111Î'c h zus'a mmen. Da:für eignen sich am De's't,e n Band'c hen in der F1atr he ,des Ziel1stiches.

Was wollen wir erreichen ?

Es ,irst 'eine wirohtj,ge Auftg abe d,el' Lehl'perSQnen, die Kind'e r :b'ei der Einrichtqng d'es Sohu)l~ümmel's 'l'üchtig anz'l.Il}e~~n. &'è 'lUÜss'.etn lern'e n, d.ass· dtas Schlli.ehlle, EIÏtn.fta.:c;he meist da,s ScholTste ist. SiesQiUen epl-ethe~l" ",ie man n'lit etwas Phantasie und .e.inf'a chen Mi t tel. Il eill. . Zimmer .geschm'a;ck'V'oU- ·ge-. statlt.en'JÇll.iJ11,

-=. 87 -=

F Griff in den Alltag Allihin FRINGELI, Be.z Ï>rksl:ehrer 1

Streithaœ deU:lische SClhuilimanner hrub'e n schon V 0'1' m .ehre11en J.ahl'ztehnten heJhaUiptet, der AulflS,~tz /s'ei dn «V1e11krumter SClhunrlliterialt », ner R'elf,011llllIer H, Scban.1elm'a un ver~d'tt die MeÏnuulg : «Ein dleIDJts'Clher Aufsatz iun Schuil'Slil11111e i:st ,eÏn KU1I1:stwerk an Phra'Se, Lang,weilli/g,lœlit url!d Pleù;ante'l~i'e», Haben dtiJeJse Hert'en ni,o ht wea:t übea.'s Zie'l hil1aJl)1s'gesC!lw's's en? Hia,b en sie i'e;cht? MU'ss uns niohit ein Gelfüh'l Idlel' UI1l8lÎ.cherheh hesClhleichen, wenn wir Id,al?lU 'vea.ur,~eri.1t sinrl, ullJs,e.J.1en ZOlg l,ingen Âufsatzunterricht zn ertciJten? lm ers·tlen Augenb~~ck konnlien uns d,i e harten UrtleÏt1e, die schon IS'O oot ühe'l' d.en A'1lIf1S'atzull't.eniicht gefiilllt wortd'e n sind, vl(')rwi'r œn, Wir mo'chtoo die Geftahr.en umgehen", und :wir gemten v;iell1cicht no.oh a'l"ge r ins DidCiicht d,el' ileer,oo 'B hmse !

Zwinigen wil" ufils zur Besc,heÏldienh~Îlt, zul' EhdilchlCicit! Sohald ,der j'lInge Menls'Clh S'Ïich Mar - vors'lJeJl'len lmnn, über walS el' zu hel'icJh'ten bat, ist schon 'VIi'e l Ig,ewoIDmn, WIÏ:r woM,en iihm zeig.en, wÎle ,dlLe Schl~i!fIl!ste'lilier elÎnoo IGe~niStand hesch11eÏ,b en, abea.' nie SOIU de'r Schül'ei' VleraIl'l'aS'srt wet.dle n, das fremde V'OrMLd ge:d,anlœnilos Il'a:ch?luahmen, lm Ge~tleia, d.aIS gute i8<eilsipiel mO'g1e Hm anreg.en, .se1her IÏn den Ahlil'ag hinciTIlZ'Ugr:eàf,e n, Ange~ernte Re.dewen'dungen 1,i'ecbJe.n hahl ei'llLtllaJ na,ch Unwahrhe!it. MaClhen . wir u:nlS da'h er 2lum Gl'iUnlds'a tz, so zu 's'c hrcihen, wie 'wdll' in einer glUten Strilnde leÏnlBllll iliÎlebien Mens'o hen erzah!J:e.n w<iÏ'l'1œoo. nie Üh'erltrlli~Ul1ig BUS d:el' MUl1d'a!r t ins SohrÏlftdellJ.tschiC wir'd f'l1éilliioh e'Îll'i'ge Heschwe:t1d'e n lV,enIlJ.'lS'aOhiCn, Die W1or,liS'cha'tzÜ!bun:gen, dli'e w'ï.r IÎn d~ Spmchlehrr:stullllde duoobgel1ommell baben, el'ilielÏlc htern ooer Idl:Î-eS'e mehr te ch nrÏJs'Clhe ~r.hei!t, Lm JLes~huch achiten wir d'a rauf, wie de'r Schrif,tstell1 er mit d,e n Wo:rvel'll UIl11geht.

Er vel'mei/d'eft es, imm'e'r idielseI'beql Ans-

-

dIl'üdœ zu vtenwenœen. Wagen wil' einma,l alb , in:d:ea.n wÎlr men Satz an d'Île Wamllhlfleil sohl,eilben, wdclhe's Wort uns am eh<eSften ru befrueotigen Vlermoge : «mie KLinid.er (,eIillen-'Sh'omell-gehen-la'Ulf,en-Slpl1ingen~sohlhm­

de'l'n-'spa.zim'en) na'c h Ha/ll/S'e ».

W'e nn l\VIii!.' in eil1lem SClhüiler.aulfls·a tz lelS<en, d,i e Rose s'e i eÎI1Ie pl'a,chti:g eZiler.p flanze, dann mulJoo uns so~che Siillize unlcil11k:Hli,c h an.

Sie iSJind augelernt, V:iieJl o'l'IÏJg;irrreffiler ist jener a'lthekianntJe Satz: «Hile Kuh hat vier Beine, an jleldet, Ecke einles ».

SiCJhea.' Îlslt es n lÎlClht g.ar le1i'c ht, in jeldleim Faili d ,a,[ür zu sorg'e n, d'a ss dier Schüler und d'Îe Schii:terin eine a:eibieJIl'd,i'g e BezlÎehung zu ihvem Aufsa'tzth'ea'na hah'en. «~1Ïff in den Aillltag i » Wi'l' erlieg'eI~ nm: zu 1ci'c ht Idle r Gelfaihl', ein A'Ulfisatz1the:.na zu aihlgea.nimn zu faIsslen.

«FreU'de im~ Hla/UIs» malg uns gut el'lS'c hcinen.

F'l',a gen wlÏr uns abler, wO'l"in dlÏ'e se Frlffillde (o:d.et' auch . da's IJeid) belSJl'eht, d'a nn weràen wlÎ'!' lVeranilasst, d,ÏJe Auf'g ahe enger zu UIlllschmi'b en. Die SchJ"eilb:el,in gr.eilf.t niClht mehr inlS Lee11e, sie sile ht ,cin Bild VOl' sifoh, sie bewegt sich in ihrem Anschauungs- und Ed~ahrung,skreis. Wie waœ es~ wenn wÏ<r Un'S eill'lllaii an praZ'i'S'e Aufgabell heranwagJen würden? E'twa 's o: Die Mu'tter Iha'c:klt Zoptfe - Ein IGnd wird getauflt Der St. Nil~Jaus komnJit - OSlJerfes't - Die Mut~·r 'Ï's,t kl1ank - Heimweh - Die Feùlel'we.hr mus'slle Immmen Di'e Wa'sser'l,eIÏ,tun:g lÏ's t g'efrof!."en HetMi ha't ,s i oh v~laufen Wa's's er im I('e Her - n,ër Bruder hat SlÎch v,e rhriannlt Miilus'e .im HaUise Eine schrw:etre A.rIb!eJit. Bei 'soa'Chell1 Aufgahen denken wh- nicht Moss an d'Î'e s'Pralc Mi'o he SolmLun·g. Es hiletert sich :d,ab~ei hin und wied.er dli'e wflilkoolll1llene Ge1legenheit, auf ,Mite SÏtlXm und Bral\ldl~ h fi nzuweilsie n, o le n W,ellt d'et· T'raldi.

88-

tion zu betonen, d,ie SCJhiiJ.el1Ïnnen zu erwM'men für da,s bo'd'e nlstand,i ge Erihguft.

WJ,e aaa'lge muss ,ein AU!f's'a'tz s'e illl? Eine S:eIi tIC? Z'w'e i SeÏlllen? Nooh mehr? Wenn ",lÎr d.en SohÜlLer'll IdlÏe ErIllsoneidung übed:assen, ist e.s moghl'd h, Id la s's sich dei' F,alUlle dile A'l'be!it a1hlzulleJÏicht macht. Er nüli~t die W 'eitherû'g'k .e it se,i n'els V:ol'ge'setzten aws. Wir SlÎnd wie:d.erum in ehller ZWli:ckmühtle! SobaIld wir einen Schrei,b er zw:in'g en, eine heSI~ÏIlllmte Anza.Iù von Seitlen zu füHen, dJann VleranJla'8'S~ell w:ir ilin, Dinge zu schœihen, die ihm nÏJc:hit am Her~en li:eg-en. Er wü'd sich mit hohaell W'eIlldJull'glen und Lügen üihel' die SchwlÏel'ligl{!e'Itell ,m.rnV1e~he1f:en. Maohen wir unseren Zo:~lill!goo .a1so Mut zmn S clweib en, ind!eJl1l wi-r ihnJen gelelg,elltihl,c h eine Auflgrube lS:teilJlen, mit Idler Hemerkuug: « J e kür~er, d'eSlto heSiser ! » Dier Inn.allt soB a'1s'Ü auf weni~e Zdlen z\llsal11lmeng'e.d'ra11lgt Wlelden ; W,o on eine 'soll,che Kurzgels~chlÏ,C!hte ~elbe11Jd,ig wdrlœn soilll, dann gilt es in e'l'Slter Linie, ,(l:iJe Tatiglœits'Wo,Dl1er Mug zu wiihlen.

W,a'11llllll ri,i'c ht elÎlnmall cinen nettten Wlitz sohrif'tlich f.elstha1tell? Man witid es haJJcl Spünen, wie sCJhwer 'e s iSlt, mit weuigle n Wort'e n d'ÏJe Neugienle ?lU f\oV1ecken und selÏl1l'en HOl'e.J.' mit einer P 'o jnte zu ühel'1.·~sohen. Abe'!' seien wir getrorslt : wir hahen j'a gulle VorhilM er. lch denlœ 'VOl' al1em 'a n }lohann Pete!r Helbell.

A~,s VOJ.ihel',e itung 'aJUf eine AuflS·a'tz's!JU[}\de konnll'e man z, ·B . eine kleine hci:lier.e GeS'c:hi'c hte a'llls Hehell,s Schatzkas,tleilll (I~u's der Sam1lITJJlung der «wten Schl'i:fIlen » ) erûihlen. Doi:e Schülel,irnren 'schrr.-elÏben da", Geho'l"1ie l1Iieder. Die kUl'z'e GestJhiJCJhte wÏi1~d nkht gal' vieil ,zcit in AnsipJ.',uch nehmen. Nun folLgt erls:t dlÎIe Ifl11.lch~ha'liS:te tAxihcilt: Wi,r Vlerl~lekhen ! Wlie hat Heb:e!l dle n Wti:tz erza,h llt? W.eJche Mel,}{mal e fa;'lj~en uns aJU!f, Wlenn wh' di'e Schopfun~en .d'e s gemüdœchheilliooen VolkS'didhters VJel'gleli,c;h!en m;i,t den P.ro:dlUktoo, di'e dn d,el' ISc;hu!LslJUlb.e entJstan-

her l1'iedlel'ls'chl"cib:en. H~er darf 'SIÎIch der Sohüler lelilauben, g:emütJich zu hel-œchte'll; e'l' bmucht ,s ich ni'c ht sOSll!ark zu konz~n­ tl'ieren wie beim Wi~z. Hile A'Itel!Jdo.te dari aher nicnt zu l'<eld\SeIli'g weooeu, sonst verlier't s'Île :8n Spannung.

In s:ein!er « KlllU8't d ,e s Schr,eti,b ens» le,g t Bro:d'er-Ohl'Î!slJÏ:an1'Sen iVÏie!l 'Gewicht auf dtie Fabel. Er nimmt ISlÎ:e zu Hi,l fe, um di'e Lernendle n stÏlI,ilst<ils ch ru S'chulen. Er dlClfinJÏJelit: «Bine F'ahell Ï'st eillle Meline GeJschichtJe, d'i e eiu Stück Lehenswlei'shelit Ü!be11llll1Î,ft1eln wi:IJI, ahe1' es ühe'l'mivreJll mU in lder anschalUÎliiCihs'lien Gestalt: d,al1Um ver,m ei,det si'e Um60hweif ll'IJId Zi'ea.'at un.d Is uoht dlÎe SichmlU:ck~o.se SClhonhei:t d,e r ~d,ellischli,ch't!en Spl1ach-

detl sind?

Na'türl.ïch bl'aJUch!t ·es ,s i ch hei sOlllChen Stil1:xiJldungsüblUngelll l1Iidtt unhed,i ngt um W,it'Ze ~u haJ1lddn. Bs IŒun ,u niS auoh ein wlÏrkJ'iohel' Vor,f.aJ~1 'al1s G.:t.1lHJ!dl agie IdÏienell. Wi:r el'ûiblen e!inè Anekdo'te und la'ss:e n siienrçroh-

.- ' 89 -

fOl'm ».

Wieder bile tet s,i üh die Ge!l'e g,enhelÎlt, mit den Diohte'l'11 in cinle n « Wle ttk'almiPf» zu h'e.ten ! Wir 1esen ,e inre F,ahe!l, m .eillletw·egen v.on Aesolp oder Lessing, na'd hher hemühen Wli~ uns, sie ~vol'tI",ortlioh JÜelderzuscih.l'elib:e;n. l'Sit es UIllS ge1ung,e n, di'e Gels.chûch te eb:en's'O klUrz und prazÏ:s zu ea.,ziihlen? W ci'teTe Aufga'!be : Erfi'll'd e eine ,F,abell !

Auch hei der F:aJheJ. hallde:lt es si'ch nlÎlcht bllolS'S um tdie s:pr,achiliiche Schu'1 ung. Welitvoffil ist IUns ~uch ,der GehaJ1t die.seiJ.' KurzgeschidttJen, der unll1lerk!1i.ch e>ill1en B 'eÎ'trag rur SiuenJelu-.e hildet.

EÎlIl k.J.ehles IReisp.i!el mag die Vi'ell'S'e ü.igkeit der Fi8bell beweIÎIS'en. Oflt '\\1Ii'l1d s'Î1e in der Geg,enwa'r t erziihll t. Hin ulld wied'e'l' Hnden wi,l' elÎn ZWliegeSiprach (Sa'tzzelÎlchen !), In unse11em He~s.pie!l steht die Erzah!Lu'llg in d'el' Verganig enheilt :

Die Gans.

«Eine Gans war stJolz auf ihr her,tJWch WleÂ<SlSeJS Gef,Î1edler und nahm d'a'raJUfhin d'aIS Gehar.en ,elÎnes SohwalJ1'es an . . SÎ'e gaJb .s,i,ch allil e el'aenk~khe Mühe, i'hr,e n steH,e n Hw1s 2lU Itnagen wie mu Schwan. Aher d'a's einzüge, w,as SlÎe err.eiohte, iWlar Lachel'[lÎ.chltlei't ».

Erza,hJle, mit R~d'e und ,Geg}eTI1ield'e !

W'a'S sidh alU/s dem tile fen Qulel11 des Sprichwortes fül' den AufsatZ'lll1iternicht ber·aiUlSho· len lasst, wie wdr Briefe 'schreihen und V\1IÎ1e dre hauswirtschaftZichen Fiicher d'e m Sprach tmter,d cl1t d'ÏJefil&thar ,g,e macht We'lxlelll konnen, solI spa't'et' g'e~eil~t W'~dien.

PA RTl E

PRATIQUE

Engrais:

Effets:

PhO's'p haté : PO"t'assique:

végétatiO'n Heur, fllmlÏt amidO'n, 'suore, maturité, CO'-

M·agl1'ésium:

10''l'Î's, savoor cO'n stituant d e

R. A,RIB'ELtA Y, directe'ur de's Cours complé mentaire,s cent./'ia,lisés, Sierre

mentaires Ic entl1a1ü's és . La ' 1ère pal'tie, l'e n-

bl'O'ohures ŒlLuslt'l'ées g.m1]dJes loWJt:u'r eiS e t

pO'Ull' ~a fumu'!.· e en arhO'rÎioulltru.re.

P~EMIERE

PARTIE

AGRICULTURE

Chrup. -IV 'et V Id u Manuel !d"ag'r.ÎJcuQllJul'e Etude ,du s'O'll , p. 43 (2 LeçO'ns) Etud,e Id les engr.a,i:s, p. 55 (2 leçO'HoS )

Géographie économique: 3 leçons : Rildhe:ss'e du ~l'Ou s-sO'I sui's s'e Le soo swÏls's e Ex:pl'O'tÏtatÏ!O'n ,du ,sO'I suÏJs,s e (nO'oumentati~n: ca'lJaJO',gUle du CO'mptoir, Lausanne)

En terre trO'lp humwe O'U tl"O'p sèohe: tO'Ul'he cO'ill1p0'6.t é'e

'

L'h)"giène et l,e:s engrois

En' terre oO'illIpacte : ruptpO'!l·t de gt'aviers ,

Les engl'<ais minél'ruux 'et le OOl1JCer La 'll'atJwre d.u ISoIl; œI1lfilltlence; l'ha·b itation

Français : 12 leçons : 10 û'bj re t6 divel<s Arithmédque: 7 leçons : AmtélHoratlÎO'l1 du (l s él'i'e) , Engl'ais --l'lRtureilts (2 s édes ) Eng'l'a'i6 chin;i€jùes "-(3- 's érj,es ) "

1.

2.

3.

4.

- -=- ·9a.--

ChO'in:d'ez e t d e Fll'll:ms 1)JIl,00dlt1lÎs'en.t dre la fO'nte f,abriqUtée av,e:c Jdles mille1liaÏls suisses . pal' la

%

d ie ses besO'ins

'r éCltlIJ.) él~aJtiO'n.

Anthracite: V,aJl ruÏls : ChaudO'[i ilte, Grônle, DO'l'énaz, eltJc. L eJs ceatd<l'{~.s tIl'O',p ,élle v.éeJs (30 %) 11end,ent 'l a ven rt'e die ce cO'rl1!hus t.ihle trèls difofi,ci1e m êm e en ,teanps Id,e gUeIl"l.1e. Actuell ement aucuflIe explO'itatiO'n en actiovÏllJé.

Tt~aver6 : , expJO',itoa-

tiO'n très an oi enn e .

Or : MO'nt Oa1and a, GO'nd'O' .

Plomb argentifère, zinc, cuivre:

'

g~lsemen1Js

très paruv,r es .

Pétrole (Naphte ). Re Clh eI1C1hes aobu e{Ues : TelSsin, V-au!d , Su1~se oea1Jtl'llllle.

GEOGRAPHIE ECONOMIQUE Leçon l

girs'emeJ1o~s

tcliSllO'iqubs et irréguliers rend,ent

tO'ut'e ex;tralotion de rentabili,té très aléatO'ü'e.

La qurrul<ité de nO'!s min.erais' laisse à dés-irer.

L'e~ploittat,iO'n Id e nO's minera,i s a été intense l'épO"que

mO'oyenageurse

PIERRES Granit, gneiss: Saint-GO'thal'd, Tesirin, GI'i-

Richesse du sous-sol suisse. « La SU1'&s:e e:st Il'iche en ' min es pauvres ». Lei'>

au

XIe

siècle.

de nO'mbre.u ses petites ÎI1(lus-

' Fumier: la meiHeull'e 'fumure

Elit e atlimenltatit brÏle:s·.

CO'mpO'oS't d e m rurc de raÎlsil1's, etc.

PO'udrette, d éch e ts d ie gadoue

VeJl'S Le ~nr~Ueu du si è de d.e'l,ntÎler l es trallSpOll:,ts pail' ohemins de fel' eJt par ba~eaux ' S Ul'

Engrais vert: cO'lz.a, V'elsoe, mO'uta,r d'e, aVO'lne 5. TO'urhe cO'mpO'stée " 0 ..... MàlJièl..e,s, d'e {J.êfé cat:iO'lY

d'O'i.v.e nt ê tr,e e xpO'll 'tés en

pa'l't,i e pO'ur ê tr e tl'amsrrO'rmés, nO'us re'c;ev O'ns en r e tO'ur du f.er brUtt et d'e ,l'acie~· .

Hel1hidd'es , div'N's Cyaorra mil(} e

DEUXIEME PARTIE

de

3. Bonne fumure organique:

mO'nt).

NO's minera,is

Un bO'n sarclage (<< vaut deux arrO' sag es » )

Leçon 6

2. Amendements: En teJl',r e 'ac1de : ca1cairr e

es ~imé à 50 miililiO'lJ1<S d 'e 1i00nn es (Fricktrul, MO'nIt: GO'l1oZen, RO'nde z Deil:é-

Fer: Gi sen1Jent

d e Trême, e ~c.) l11a11saz.

8. Luite contre les mauvaises herbes:

Les facteurs de réussite dans la pr-éparation du sol 1. Analyse du sol : L"aIllaJlyse ,du s O'd l'e:SI~e à ].a ba,g:e de tO'ute am bliO'r.a,ÙO'n die la terre prO'ductive

Meaux i<liLustllié:s ) ('leçO'n 6)

d le rnièrelS

M INER A IS

Asphalte-Bitume: V rul ld e

Ger'taÎn:e5 mo~si ssures

d'oa.gll'rCltllbure

deux

Tourbe : PQlalte:au elt J,ura (',,"al T Il'<aV'eJliS, T'Our

DO'ryphO're

leçons l à 5 of. Manud

La fumUlt'e en I~l~anrle 'culbuœ, arhO'rÎ<CiuJtJUil'e (DO'.oumenWaJt'i'Ol1 : 2 'b l'O'chUl'eJs ~Jhl'lls ­ ~l'be's) ([eçO'n 5) Les faoteurs Id es am·éliO'l'aÙO'11<s ,d u sO'J (ta-

soo

FO'ul'llTI'ÏJs V e,l~S : hlanc, gris, fil de f er

en

Agriculture: 6 leçons :

Etudie du 8'00 (l série)

7. Lutte cOlitre les parasites du sol 'et d es plantes:

el!c.

numer·es reJpl,irenfl: les

L'indus'tâ,e cO'uVore le ,25

Les pJantes O'nt besO'in d'ai'!.' cO'mm e tO'ut ê tr.e v,i'Vant Maintien de la capilla'l-ité

Pr.O'pri.bté, oS O'U'S"S 0'1, leruux, s ources, d,r a1ina<gtes, Iclô,tur,es, fO'ui,Ue:s, eXip'r'OplrlÎ.atiO'ns,

d upant

Oetpendant IleiS fO'ltlllis ,élle olirique'S de Bex,

6. Aération périodique du sol:

4 cO'mtpltes ·e t 5 .c].O':CiumenlJs oompll'abJes

Ce 'ce!11tl'e d'intJéI'êt grO'up'e :

Hygiène: 3 leçons:

cœur de la betterave

Droit usuel : 2 leçon·s :

CUl~bul1e (,chrup. IV 'ett V), 'cO'mtp}'é té par d.eux

chlO'rO'-

Les [abO'urs d ' autO'mne oS O'nt les m eilleurs

Comptabilité: 4 leçons:

s et~gnell1.ll e ntt agrÎlcO'll e p'rO'prreJlll'el~lt dit, n',e st pas r'eip:rO''duilte 'Ï:Ci. Se l'éftél~er au Mlan.uell d'a,g.ri-

la

5. Un bon labour, évent. défoncement:

CENTItE D'INTERET

acÜvi,té

guetr'l'es .

phyHe cO'ntre le liège d es fruits, défO'rmatiO'ns, ma'lad~'e du

BO'rax :

Ce centr·e Id'~l1Jtlérêt, e nseirgoné par 4 m ,a Îrt res, elS,t dlestiné aux j eunle s 'g'e ns de 16 ans. PrO'graornme ~:le 1ère ,an11Jé e d eJS CO'Ul\,; cO'mpJ,é~

l e ur

AzO',té:

COURS COMPLEMENTAIRES CENTRAUSES

eX'p'IO'i,tal~iO'ns

QUJe<lques

4. Fumure minérale rationnelle:

le Rhin O'nt p'eml1'is ,1'ÛtmtpO'rta<tiO'n d elS min el'a,is étl'lan<gers meillille urs e;t bon marohé. L es ent:r.epllÏ1se:s minières ne purent lItes cO'nüUl'r encel' ·e t.,:dl.ll'81101::,.ahaùaO'nnér leUi~ activH~. :,

sO'ns, Vall'ais UI1i feJt .Atlpes heJl"1l'Oi-ses.

Le

gnei,ss es t la m eiJ:leJl1il'e pierre de 1!aidJe .

Marbres: ca,l icaü-es qui peuv,ent pr,enlClr.e un he·a u pO'ili, d'e CO'~O'IlU,S d,i'Vlel'lS. Saint-TripI10'n (nO'N'), Al'Vlel (gl'Îls.ovelit"l'O'se), SadJ100n (gr.ÏIS-V'el't-nO'ior), <D0'11énaz (vert,ros'e ), ArzO' (rO'uge). Le mal,bre bil'all1'c wrent d e Oarrare (ltaIU e) O'U Atpunia. (aujO'ItlIl'd',huri r emplacée pail' ~e h é tO'n) .&Ul;tO'Utt su'!.' le PQlattieau, n ie I1bstifSite

Molasse:

pa's assez là d'laIc.t,iO'n tclu ,~eJI 'e t d ie l'hrumidi,lJé.

Tuf: détpôts 'd e , SO'Uil'CeiS (jaJlcaÎres. UJlJjMls é SUI tO'ut pO'ur ég1Ïs'eis 'et châteaux. V'a ud, FribO'iUrg, ValllatiJs elt T ieJSl&in (ThiJ.le Idu ruf

à SaxOn): '-

' " , "."

p fi lad-' le Tnllslt Gyps-Union (siège à Olt!en). Bex, Granges, A~rolo (Tt'aité pa,r fow's élledl,j,ques).

Chaux et ciments: OIbtenus pail' cal1C1inatiou de cBrta.ilns eallcaÎ.rIeJs. NomhœlUsBs fl!llbl,iqU1e'S. V'a ud (Ro'che-BaJUllmes), Vla lailS ('VIOUvry.St-Maurice, la IPWS mo!de'rl1'e, Ho·M erbank, W ,i Meg,g, ,L aUifon, 'e lbc.).

Engrais minéraux: lia Suisse n'a pas d'engmi.s minréraJUx ,die pOlrass.e ~t de pno:sphare. Dé'courv,ett'e '11écenlie, <il S·tle-Oroix, de minerai;s pholSiphatéJs.

Sel gemme: lia COThS0'l11Jl11 a1!Ïon suisse est r

pommes de tel'lne) et' ia1Jte11di,t ItOUte:S celillCIS I1IéJ6BsIsitant Il 'Ie mpd'o i IdtelS macMI11:es. (Ex.cept.{,on: l,~ V'igne d ,a ns les 's'ol'8 Jui convenant).

La ,CIU!lltüre hel1bagère reste Ja plus facile.

Leçon 2

Gyps: expiloil\Jé

Le sol suisse.

1. Répartition du sol en Suisse.

La propOtrtion Ides lierres tÏJmpJ.·o'(luctiv~s est consiJd,éraihle: 22,5 %. Si l'oün ajol\ltle ~e<s forêts (24 %), fi rClSlre un ,p en pLu'S du 50 % du 'SOlI -oulirivablle, d011Jt une pa·r b'e de maigre\S pâ:twl'agles.

En Vrulali s, Gl~is'011ls ,et SUlls se pil'imitiv,e, ce chiffll.'e eM d ie 10 %.

Dans le PlalteaJU, iIl est de 50 à 70 Dans le Jura, de 20 à 40 %.

%.

COl\lrve11te p'a'l' !1:es mines Id u ,paylS. Ce n"btaJit pais [,e oa's la vant la déClouvell'il1e d ·e's s'allt.i.l1cS du Rhin. La F:J.1all1Jce n'OIU'S Hrvraoilt du sel en éoha'l1lge die 'lll'e11cenlaia·Ie<S. (StockaJ,p er à Brigue). ,L e '~ell est un monopole tlJCIS cantons.

Le 40

%

elt ICionsortrugies. Le pays'a n su~'sse est SUlîtOlUt un petit prOip'1"i'étaÎl1e.'

l'in'dus,n ,i'e.

Etat des exploitations Les ,p etits p'roipl'lÎléra-ia'es uliiJli'Sent l'a ffila~n­ d'ooll'vl.'e pl'e!sque uniquement fanuilialJe. lJe'l1r end'ett:e'Jnenit es't éileVlé.

Les ,gil.~and'e,s prop11iérés empilo~el1li beJaucoup de ma:Ïn-d'œuv,r e non f.amül,ila le. On .chea:1cJhe die piLms en plLu,s à la l'empila'c er par dei~ m~­ amnles.

ExpJoit,ants : 1. SaJI~ne'8 'die Hex dès 1554 (13 % dlU ltoraJ) 2. So~ ci, été des S'allines .suisses' dlU Rh~n dès 18,30 (87 % 100 ,r IYtal): Schweiz'CIl'haJJe, Kai.g,e1'oal\llgslt, Rhe,i nfelden.

N. B. Le seJ de ouÎlsine ,est 'Mgèll.·,ement iodé arliifici,eJI,leme11't.

Répartition du sol en Suisse SOURCES: Eaux minérales : a) b) c) d) e)

Swlfm'eUlS'eB : Yvea1doll, Balden, Stahio Aoide carbonique: St-Mol[li~, 8.clw!lis .AJlJcaJinelS : Tamsp, P 'as's ug Sall,inoes: Bex, Rrheinf,ei1d'e n, Sdhw.ei2:erhaJJ'e ,ferl'll,gineu'sle's: M,ol"~irvs Les sources ;"'inéool'e s de Saxon sont iod,ées.

Eaux minérales de ' table: Roml8.neJI, y /VIerdon, 'Henuiez, Montrœux, EgJ,k'lau, Apl'Ioz, Eptingen.

Eaux thermales et minérœles, DolÎvent avoor pilÛ.s de 18 dle g.rés Larvey 52 degréJs Loèche.j}ffl-Hail1s 48/52 de:g,r és Bald'en 47 d ,eg,rés Pfiiff,erG-R'algrutz, Schinzn'a ch, ~Ilc.

Btilg"Bl'bafd (in'stia,Na'tl io'ns ilo'uv'eUes)

Exploitation du sol ~n Suisse.

La Suiss'e est cara:ctéJrils ée p'a1' le régo'e d ie la pelJilie propriéJllé et .pilws pail.i lJilC'Udièl"cmC1nll: de ValaÏJs. 240 000 exp]:o.'ÎlIla<t'Î'01l1S se I.',ép'all' ti,S's ent iLe l'>'O[ sui,sse. La 's up'el,cÎlcœe moyel1lne eSit de 6 Ih a. 13.

1 mlÎJllion Id e Ipe11S0l1l11e!S rpel\l'VIenit êltre nour!l.'ie:s par an. IL e sOI1dJe est ,garanti !par il"Îlmportation. lJes !pIlus Ig ran:d'e s prOipriétéls a1p/p'ar,tileI1IJ1'tmt aux élJa,W,IÎlssemJell'ts 'p énitenti'a ires, aUX C'Ol'l{>Ora'tions (pâlJur3Igtes), faln~ÎlqueiS d ,e COIl1Sel'V'elS

die da pwduc'tion eISt ut1ÎJlisé par

furent le!s prCl1111Î1er,s 'cenllres ,dlU t0U1iiJS1Ue,

Leçon 3 '

La mtéc'à ni's ation d'a ns l'agri,ooihure es>! une EUe 'e xig'e d,e gtrarrdelS surfaJces.

(En V 'alaioS, méc.a11lÎis'a l!ion ~xcessive pal' rapP'O Irt à ta surf,al0e die s peltilles extp loillJatirolllS). ~elS\SÎ'té.

2. Nature du sol.

La oOimpolsiliion du ,soJ s>ui'ss'e CIS't très val~a,h'le ~t 60UVCI11t 'Peu favoJ,abJe aux glrand.es cuilituDes. Les cw1t1\lre6 sont sur· oowt dLl'i,gté es en vue d,e :l"é/Levage du bétail.

Ge n"est que dans les z'orres des co'l Jines, 1~ bondiS des iLa'os (Léman, NeuchâteJ., Bi.enne, Zuil.'Îlch), !}la WlI11ée dlU Eohône et ile Te1s\Sin, régiol1s al\l ClHmat plus doux, que Ja v.i~ne est ,cuLlii'VIée. .

La (')Ul1tul'e die s ch8lIllps a ~UiI.'tOrUt de l'im-

R.endement du sol suisse (en

mitlJJ.~ons de fr.)

Oéréa!les PommlBs de t.e,rre AI,boo,i,cul ture

88 76 142 V i r~cuJ tu'l'e 60 Lb~u~l1es 152 Autl'CIS OUJ1tu!J.'<BS 32 Chevaux 6 Lait 927 BO/VIin ·d e ho.uc:he'lwe 442 Poros 4H VolaÏIUe 1412 Alutt.1e h étali l 40 (Faire ,d,es comprul'llIisons de !I.1el1ld'em,ent entre l,e's dirv'el'ses .pr.o:OO,cti'ûllls (vO'laJiillle e.t a'l,bol'lÎ(')U1]Jtll're, et,c.).

Renrd~emel1lt ~otall (pour 1956) : 2518 mi(l]Li'Ons de fI'.

Dép~nses {Isan's compitm' l'a m'a,in-rl'œlUvil.·e f.amiililaJie): 1417 milliLi'011Is de liil'.

L',eXipl'Oohaüon dlU solI a~l'i'col1e d ie 118. Suirsse niéce's:si:te .aiCtuelllm11le1lt IUn engta~erin: de 13,7 millllLal'ds 'd e cwpi,taux 'ao1J1fs.

Répartition des travailleu·rs du sol Pens:onnCls 'a'otives 355 427 * Persolllnes n011 actives 479258 'TIotllll 834 685 pe.rsonnes * (,dOlnt 325 000 hommes, plus d'e 30000 fC1l11m~s)

Les 'aul'r,es br,a nohes économiques o.coup.ent 3 880 307 ipm·s'011J111C1S. (A sU~Vl'e)

LE COIN DES EXPERIIENCES

P'aul PIGNAT

portance Is ur le P il 'a l'eau. (Viaud, Berne, A tl.'lgovie).

La cwltuil'e fll'u~tiffl're s',é/tend ,a ujourd'hui

'Un 'Peu swr lIowt l'e PJ.ait~au, malis S1pé'oialemenlt dans la vlaJlJlé'e dl\l Rhône.

La for~e d'écHv:i'té de . l1'OI111hl'etUx 'terralin8 ~'en:d .oel'tlaines oulltutes Id ibficit'ah'fe)S (blé,

Rorinio,t rC11U'arque: «To:u;lieis Les criÏJtÏiqru'e'S que l'on f'0Tl11lll1e 18.'11 ISUjl~t d'e s insuffisances en . orthog'l'1aiphe dels écoiLi.ens d'laujOiUl'1d'nui, éliaJi'enit f orinrllll,éels i,l y a oÎl11qual1Jl'e ans ou vingt ;ans: avelC ~a !Jl1êJme illlSlÏJs1tance ; i:l n'y a r.len dle olWillgé is'oUS le s'o!lieil!!»

-

Pil'enne, d'a ns 1S0ll illltl1tY.d,wc1li!on 3IU «Pil"Ogl1aml11le Id'oT~holg'raphe ,d'l\.lJsagte pOlUr l.e;s écoles p'r imair,Cls », rutltl1Îlb ue Cletlte COlI1Sil1an'ce dans l'e m 'a l à 1I110 jrS 'Cal\.lISa<! pl'i'11JcJÎlPailes: a) .,a u oa,r aotèl'e 'l'l'ès rp'eu pih'onétlÏique d'e 1'0-1't

:tho'gl~alPllle f'1'a"'19alis~,

93-

b) à la psychologie de l'enf·ant, c") à

l'absenoe ,complète d'un programme ad'apllé et d'une métJhode 'aIppro·prÏJée.

qCl' tainement, ae derl1lier poinrt surtout V,OUlS ruur,a , comme à moi, Idonné du fil à l'CtOl1dr,e. Comment, en 'efflet, cI,éer Cie vocahu: laire aCJlJif qui con.s.iSite à fai'r ,e apprend.r e ~x enfants 1}'i().r'tJhog,r aphe des mOitis qu'iLs aUl'ont à u:tiliS!e.l' da'll.lS J:eJs ,aonJd.iJtiolllS ordiI1!a~lr,es d·e lla vU. e ? Sur ,queUes halses P 'a'J.'iti'l' ?

QUeJlle p'art donner au vo'Oa,lmil'a lilJ.'e des enfanlls et à oolui o ies adultes? Dans ce d om<alÏne, <la m b'tlho'd ;e d' Allber,t Pi'l'ell1ne ' esrt app'ruéie à 'l,el1!dre d':rupPI1éidahles serv,LcC\5. En albten:danlt de ~'appliqUier et d'en ti'r er l'elS con dl'11si OJ1!S p:elilJÎ!nentes, que seme autoriSe.l'a rune longue .p ralti'q.ue, css,i yons de fai'l';e

au mi'e ux, VO'ici CO'll1ment j,e procèd'e .. , d,epnI!ÎJs bruen 10 ng,t1e.ll1lpS , Au début d'e l"année 5colalÏ.re, je ,qllJSll'r.i1bue à chaque éJlèv,e un cahier « Siténo» qu',m p'ar,taJgJe a'ill!s,i : 4 feuillll e,t1S sont l,éiserv,bs aux noms, deux aux aidje'C'tifl5, deux aux vle rbes, d 'e ux arux mo'lls invariah~es (advel,be, pl1~os~.JtÏ'on, conjOl1Citi:on, IÎ1nterj'ecl'ion à Dal~son d'une ip'ag,e pour rchraiCJUn d'eux).

L'aultre mmi!tié, soit d,ix fle1UillLets, re'œ v,r-a lelS 'dtéfin'i'tÎloltS, Tottl's il!e;s moJ1Js Mf:filo iles, qu·a,n t au 's.ens OIU à J':O'J."thographe, l'enconl'l"és au COlU11S d 'es dÎlClJées, d,es l'e çom; ou deJs d'evO'Ï'l1S, fdgul1eronlt p'ecit à p'eltit en bOilU1e pialo e et cons.tillU'eloll1lt un modlelsltte dicltiionl1!aire per,sonneJI que il'éooil,i'er utJill i'se1'a sanlS oeJsse et av,ec profit.

P.l~enons un ,exemple. ] ,e ViLens de donner une dlÎ!c'lJée iJ.1lt,ÏJruJoée : Visilte &l oimetière. A1près ["alvO'ir cor,d~ée, je renJd,s les cahi'e!l1S aux éJlèv,es êt lSoelo!l1 une m 'étlho:d'e ... de nouveau 'S'péoiale, je fails ~e'1e:r oha'q ue mOit ettl'aisonner sur cha'que 'CalS . .AJu fu.r et à mesure, je l,fflève l5ur l'e tableau les diiftfli:cuJllibs.

oette phl'as'e : Là-bas, à l'ombre rigide d'un cyprès, une forme noire se tassait, écr.oulée. J'.éC'r~s ~ là-bas (.a:dv,erbe), .rigide . (aJdjelctif), _'le cyprès (nOIlU), éc.r.o ulel' (verh'e)_ Sur Iles mOits do-l1Jt ~a ,d'éfinitJion me pall,aÎtt opipoll1rune, je h'a'oe une pert;ilte oroix: ~'igide~_ : 1e..:'.cJ'p:rès;_. écnml.er ; . ruutoma,tiqru:emBnt, un élève d,e .- la-....)JJ:emièl'e .. division lIbmoin

COl1lSiulte le dictionnair.e i('jt ll1eilèVle le sen!S ·d 'e chacun d'<ei\lx. Fidèloement, l,a l{l~CItéie termlÎlllée, to'u t cela eSit repl'o:dui1t sur l'e oah.Î!er de v.ocaJb'1.l'1aire. Ainsi, oe d'ernlÏe'l', de jOUfl' en j.our, s'efl1Il':Î'Ol11Ï,t du IPI1éci'BUX appOl',t de tO'U'tes les d'ils ciplines et, à ,la ,Clin' de l'année,

iIl ne contÎoe:nd'm pas moi'J1Js

d,~

1000

mOi~s et

dte tro.1s cents définÎ!lJions nouveHes. Cha'que IS'email11e, le mel1Credi matin, je fa1œ une dLc,tée d,e' c0111t,rô,lle ip'Otl.'ta11lt sur une qual'an1tanne de mots et une di~aine la e d'mlÎnliti'O'l11S. La prép'M'altJion &CI'1Ile d.e IClette éprelUve consl'illU·e le Id ,evoill' de ila veiJl:1e. Quant aux d.éfinitions, .cil.il'BIS SOl1lt l',oIbjelt aussi rd'une interr.ogatio-n oralle. Vo'ilci en quoi éHe consli s·te. L'é!lève épeJ11e fe mot d,emam:J.é, en dOlllue Ile sens, pui,s 'nenCJadre dta ns d'e ux phmses de son cru.

Il va de soi que j'e cOl'lThgJe l,é,guildèremelllt le caMer de ohaque enf.ant. La pél'liodre scolah'e termilllé'e, j'opère un tri dans Les moills ou défini'liions ofir,ant encore œntaines difflÎ'cultés pour l,es remethe à l~érude l'.année suivante. P.at1ai1lèiement, un oahier d' étym 01 o'gJie au prog'l',amI11Ie l,éipllll',lii SUl' Ih'o.i's ans, séjour m'Oyen d'un enf'a nt dans la gl1and,e da.s's e, m"e',s t .(l'un gr,al1d secoœ's.

Oe p'l'o'o éd,é s'wt 'Uivéré fr'llcrueux et prbsente queJ.ques m érrites : a) i:l

ofhe au maÎhie une méJthode dans l'leiI1s'eiÏJgIl1emenrt h'op sOl1lv.ent ,r udlÏmentoail',e et OccalslÎ'onn-eil Idu 'Vo.oa~:)Ulll(li,re.

b) ,jJ lui ipel~met .I,e nOmlbreux exe.l'c-Î<oC\5 ae tOlUS gJenres Ie<t fa'oiJlÎ!te une I5!briieulS'e prépanatiou à la comp·O\s,iJtion. c) il opffl1e, d'oemhlée, lUJ1Ie oer:taime cl-a,ss-if,iC'a'llion pour J'la nallyse gmmma,tiÎ.'caJe. d) il cOl1s1JÏJ1Jue' un ins't,rum!ent appTféClilalMe aUlSsi pO/Ur l',élève. e) Is a répél~Ïltion con~inue, s'a ns d,eVleniÏr !l'Sso:mma'l1J~e, œ ,r elHe oomporte It'Oujours d,es étbments ' nouveaux, favol'iS'e une lell1Jte Rssimi,l'ation et, pr.eJsqUie à s'On insu, l'elI1. fant s'e~ pé.nèh'e.

DO'is-je l~ermlÎneJ.r ces qudquCiS mots pa'r ·.la fOl1illule c1a'&siQill'e qui ol&.t la démon'Strati:ol1. d'un théol'ème de gJéomé-tl'ie: CQFD? A VQUS... chers . .Callè~\l'~s; pOl-.tunité ...' .

..d"eu

apipréojl~r -l~'Q!P'

FICHES DE GEOGRAPHIE (suite)

Les routes La route du Simplon, construite par Napoléon, longe tou,te la plaline du Rhône et débouche en Italie. Un admir,a ble réseau routier qui relie la pl'a ine à la montagne vient s'y greffer. .

De Monthey, des ca,rs montent à Champéryet à Morgins d'où ils descendent en Savoie. Martigny est un centre ' d'où l'on peut gagner Sdvan par le pont de Gueuroz; Trient et Chamonix par la Forclaz; l'Entremont par la route du GrandSt-Bernard dont le,s divers embr-anchements vont à Champex, au val Ferret, au Via'1 de Ba'gnes et de là au Levron, à Verbier, à Fionnay, à Vens, à Cihemin. Un tunnel routier passe sous le St-Bernard.

De Sion, par le val d'Hérens, en paissant à Vex on 'atteint Evolène, Hérémenae et les Mayens de Sion. Une autre route par Bramois conduit à St-Martin. Sion est aus'si le pOlint de départ pour Nendaz, Savièse, Conthey et la Lizerne, Ayent et le lac de la Lienne (Rawyl), Arbaz.

De Sierre, une route pénètre au Vall d'Anniviers, et une autre atteint Montana.

De Gampell on monte dans le Lotschental, et de Viège, à Sta'lden;. de là dans la vallée de Salas. On peut aussi atteindre Torbel, Visperterminen ou Bürchen, Unterbach et Zeneggen.

De Loèche on monte à Loèche-Ies-Bains (Gemmi) aprè:s avoi'r franchi la Da,la.

Brigue fut longtemps un entrepôt su'r la route du Simplon. De cefte localité part dans la Viallée de Conches la route qui s'élève à la Fu'rk'a e.t au Grimsel!. D'autres routes encore t'incitent au voydge. Pars donc, et découvre ton pays.

Les 'cols En remontant les vallées on arrive aux cols. Or, le Rhône, la Reus's, l'Aar, le Tes.sin et même lé Rhin prennent leur source a'ux confins du Valais. Noke canton est donc un lieu de grands pass'a g'es.

D'ailleurs, les Alpes n'ont pas empêché les Bernois de venir promen~r le fer et le teu chez nous; ils ont emprunté le Grimsel, le lotschenpass, la Gemmi, le Rawyl, le Sanetsch. P.ar le Sane,tsch et le Pa's dé Cheville, Berne est venu au secou1rs des Patriotes à la bataille de la Planta. Des colons V'al'a isans ont pas1sé la Furka pour alle,r s'établir dans les Grisons; d'autres par le Nufenen et le Gries se rendire:lt (lU Tessin et se fixèrent à Bosco. Pta lr l'Albrun et le RiHer le's soldats de Schinner partirent à la conquête de l'Ossol'a et du Mi'lanais, tandis qu'e par les ·cols du Moro, du Théo-dule, .du Collon, de Fenêtre et de Ferret, Va'laisans et Italiens entretinrent des relations suivies. Les Romains transfo'rmèrent le Grand St-Bernard en une route de grand transit. Napo,léon fit du Simplon l'artère la plus importante des Alpes .

La route ,de la Forclaz, qui se continue par la Tête Noire et le co,l de's Montets est Id plus belle route to'uristique du Valais; Monthey et la Savoie fa'isaient autrefo'is des échanges suivis par les cols de Morgins, de Cou, de Chésery et le pa-s de Verna. Le's cols de ' Susanfe, d'Etablon, de Riedmatten, de Lona, de Torrent, de Meiden, de l'Augstbord relient entre elles les vallées latérales. Tunnels rout-iers du St-B-ernard et bientôt du Rawyl ! ~

95-

QUESTIONS

Les chemins de fer

Par quels signe's représente-t-on les routes principal'e's, les rou'tes secondaires, les ·ohemins ? Cons'ulte la lég'e nde de ta carte.

D'après cela cherche sur ta carte les routes, les chemins.

Qu'est-ce qu'une route international'e ? Cite les routes intern'a tiona,les du Valais.

De que,lles galres des CFF pad-on pour Chamipex, pour Morgiri's, pour Salvan, pou'r Trient, pour Champéry, pour Tanay, pour Ev'O'lène, pou'r Ayent, pour Nendaz, pour Vercorin, pour St-Luc, pour loèohe-Ies-Hains, pour Bürchen, pour Béris'a 'i ?

Quelle's localités renconf1res-tu sur la route du St-Bernard?

Détermine la longueur de la rOUTe de Martigny à Ridldes ? Quel temps met-on pour franchir cette distance à pied, à bicyclette? en auto?

Qud est le point de départ des routes de Morgins, de Verbie'r, de Champex, . d'Hérémence, de Têkbel, de Chemin?

Quel est le plus haut pont d'Europe? Que·lles gorges franchit-i,I ?

Lia route de Sierre à Montana mesure 15 km. i quelle en est la pente?

Dessine la carte routière du Vala,is.

Collectionne des grav,ures représ'e ntant des routes.

Qu'ell,e est la longueur de la route de Sta,lden à T6rbe,I, pente 7 % ?

Bénis'sons Stephenson, grâce à qui nous pouvons voyager rapidement et à peu de frais. Il n'en était pa's de même autrefois.

Longtemps isolé, le Valais est relié auX autres pays par la ligne internationale du Simplon qui, pa'r le tunnel du même nom, le plus long du monde, conduit en Ita·lie. Une ligne hardie, à voie norm'a ,le ~ravers'e les A'lpels bernoi'ses par le Lœtschberg et atte,int Brigue, véritahle carrefour ferroiVia'i're; de là par le BrigueFurka à voie étroite qui remonte toute l,a va'lIée de Conches. Cette ligne qu'emprunte l'express des glaciers, relie Zermatt à l'Oberland des Grisons.

Plusieurs lignes alpestres 'sont à c'rémaillère sur certains pa'rcoursi par exmple celle de Loèche-Ies-Bains, Gelle du Gornergrat, qui monte à 3133 mètres d'altitude, celle du Martigny-Châtelard, celle du Viège-Zermatt, celle du Monthey-Champéry.

De Martigny un chemin de fer à voie norma,le condui,t à OrS'ièlres et au Châble. Les téléfériques d'Isérables, de Planachaux, de Verbier, de Champex, du St-Bernard, de Riederalp, d'Eischoll, de Staldenried, etc., et les funiculaires de Montana et de Barberine transportent aussi la foule des touris,tes.

Le chemin de fer de la Jungfra1u aboutit au Jungfraujoch en Valais à 3457 mètres d'altitude. C'est la plus haute station d'6uro,pe.

QUESTIONS Pourquoi le Valais a-t-il été un lieu de grands pass'a ges ?

Par que,ls cols les Bernois sont-ils venus attaquer les Valais'ans et par où sont-'ils venus à leu'r se·cours ?

Pair quels cols te rends-tu de Salvan à Champéry i de Loè'che à Kanders'teg ? d'Ardon à Bex, de Conthey à Gsteig ?

Pars de Loèche-Ies-Bains à 7 heures i à quelle heure seras-tu à la Gemmi si tu t'élèves de 350 mètr.es 'à l'heure?

Même exercice de Gletsch à I~ Fu,rka ; de Gletsch au Grim~el ; de Martigny (472 mètres) à la Forclaz; de la Cantine au St-B'e'rna!rd.

Pa'r qu'els cols te rends-tu des vallées de la Binn, de Saos, de St-Nicolas, d'Hérens, de Bagnes, de Ferret, en Italie?

Et ma'intenant voici un problème compliqué. Pars de Sion, ma,rdi à 5 heures du matin i pas,se à Vex! au. val des Dix, au col de Ried'matten, à AlroUa, à Evolène, au col de Torrent, à Vlssole, à St-Luc, .au Me+den, à l'Au'gstbord, à St-Nicolas. ,De là le trO'in te conduit en une demi-heure à Zermatt. Combien d'heure,s de marche exig'e ra cette course; aux de,s'centes tu vas deux fois plus vite qu'aux montées.

Quand a1rriveras-tu à Zermatt. Déduis le temps des ha1ltes. Et·abli'S l'hora,i're. Où passes-tu la nuit? (T,u t'élèVies de 350 m. à l'heure et tu va's deux fois plus 'vif1e qux . descentes). Etablis ton itinéraire comme le ferait qu,elqu'un , qui aime la natu're.

-

96-

Les cours d'eau Le Vallais doit au Rhône sa forme; né au glacier du même nom, après quelques ébaTS capricieux le fleuve parcourt la vallée de Conches à l'entrée de laquelle il reçoit les apports de la Binn e,t de la FiesC'hwasser. Son lit se creuse; mais après Grengiols, le voici plus do'cile. Près de Naters la Massa lui apporte les eaux du glacier d'Aletsch, tandis qu'à l'opposé, la Saltine descend du col du Simplon.

C'est maintenant un fle,uve de plaine, endigué. Après la Gamsen, vo,ici l'a Viège, to'rrent impétueux qui doubl'e le débit du fleuve. La Lonza, la Daia, la Tourtemagne et surtou,t la Raspille influencent moins son cours. Il n'en est pas de même de la Navizence et de la Borgne, dont le's eaux captées fourn issent une force imlportante.

La Lienne, la S'ionne, la Morge, la >Lizerne, la Printze, la Lozence et la Fare ne sont plus que des torren:ts qui se fâchent pa'rfois. Mais voi'ci la Dranse asservie, dont les frqsques ont occasionné de terribles cata'strophes, puis le Trient avec ses gorges impressionnantes, la Pissevache qui sO'ute dans la pla'ine, le St-Barthélemy qu'i fait des siennes et enfin la Vièze qui parcourt l'agreste vçl'I d'illiez. Quant ô la Morge de St-Gingo,lph, elle se jette dans le bleu Léman où le Rhône vient se débarbouiller après avoir donné son empreinte au Val,ais.

En créant des bassins d'a'ccumulation, l'homme a modifié le c01urs et le débit de maintes rivières.

~97-

QUESTIONS Qu'est-ce qu'une ligne internationale? une ligne à voie normale? à voie étroite? un téléférique? un funiculaire? Quand -emploie-t-on la crémaillère?

Cile les lignes à voie normale i celles à voie étroite, les téléfériques, les funiculaires.

Tu charges un wagon à Brigue i ' peux-tu l'expédier sans transborder à GQp'penstein, à Zermatt, à Lax, à Orsières, à Vouvry, à Salvan ? y a-t-il un seul tunnel du Simplon? Quelle est la longueur?

Compare le Simplon au Lotschberg i fais part de tes remarques.

Etablis l'horaire d'une course à Chamipéry, à Zermatt. Où changes-tu de train?

Cite deux stations de chemin de fer à pl.us de 3000 mètres d'altitude.

A ' quelle gore descends-tu pour 'te rendre à Verbier, à Champex, au St-Bernard, à Morgins, à Evolène, à St-Luc, à Bérisd ?

Que veulent dire ces abréviations: C.F.F. i V-Z i M.C. i M-O i B.L.S. ?

D'où partent les téléfériques pour Isérables, pour Riederalp, pour Pla~êl'chaux ?

Cite toutes les gares de "Brigue à St-Ma'urice. .

Collectionne des gravures représentant les chemins dé fer.

COMMUNICATI.ONS

ASSOC 1ATI 0NS - VER E1NE SOCIETE DES INSTITUTRICES DU VALAI,S ROMAND Notre retraite ElUe am.1a llÎJoo Idu 29 rau 31 d ,éJcembre, à BonAlccu'e Î'I,' :et' 'se11a prêdhée p 'a,î' !Le Ré-v. Père Reyo{Mm1met. Départ He ,l a 'g,are ' de S~'on le 29, à 9 · h. 30. P 'luèl1e d ie s',ilJ1scr~re di'reJe<rement à Bon.,AiooUieil. La ~'e't-rarill1e eJSlt 11é-sel'V1é<e alllx mfflI1l) n'les alO~ft3 'de l'Ass'O,ctiaJtl1on.

Le Oorn!Îlté.

ASSOCI,AnON DES MAITR'ES D,E GYMNASTIQUE DU VALAIS ROMANO QUESTIONS Cite deux rivières, l'une dans le Bas, l'autre dans le Haut qui n'appartiennent pas au bass1in du Rhône.

Dessine la .carte hydrographique du Valais.

Indique la source et l'embouchure de toutes les rivières . .

Nomme les localités au confluent des rivière's.

Nomme les localités de la plaine sises sur la rive droite du fleuve i sur la rive gauche.

Charpat est-il s'ur la rive droite du fleuve? Et A'r don ?

Cite sur la Dranse les communes en amont de Bovernier. ' Nomme les localités 'sur la Vièze en aval de Champéry. ,Indique des cascades et des gorges connues.

Pou'rquoi dit-on que la Dranse est asse.rvie ?

Qui accorde les concessions du Rhône? Des rivières?

Qu'entend-o"n par l'étiage d'un cours d'eau?

A quelle saison la Yiège a-t-elle le plus d'eau?

Dans quelle direction coule la Dal,a ? la To.urtemagne ?

Quelles sont les rivières qui forment le Lotschental? les vals d'Hérens? d'Entremont? d'Anniviers ? d'illiez ?

Cite des cours d'eau dont les eaux sont captées i indique l'endroit où s.e trouve l'usine électrique, si possible le barrage.

Une partie des eaux de la Dranse et de la Viège se jettent . dans le Rhône à Ri-ddes i comment cela?

Activité 1958/59 Cours r,é gionaux: rpr,em:ièl1e q'll'inz'wine d'e n:olV~hte.

Cours .. de gymnastique fille~ Ile degré: Sion 14 'délce!l11Ibre, <S'alH e du Sac11é-Cœur, 14.00 h.

Saxon 21 décembre, S'aille Id ,e gymnas~l qU'e, à 14.00 h.

Programme: Une leçon

H'a'v.a!Î:hlrée p'a r ensemhle. ·

Inscriptions: jUisqu'.au 10 ,déoembre a'l.lJprè de M. Paul G1a'Sisey, 24, alV'ellUe de l'a gare, Sion.

Cours de ski: Nend'a z 1'es 4; 5, 6 j-anvlÎ1er 1959 . .

Entrée le 3 ·aprèJs-màJdi. Coût fil'. 55.- 'tOlUlt comrp:Ns s-iège).

C'Oût puur non rnrem}n'e: fil'. 65.~ Il1'd,em11'itJé: l,embol1.H1SOO1eJ1t des fra.Î.is die vOY'age.

Insoripttions jusqu'rau . vel's'a nlt J:e montant d'e

10 F Il.'.

98 -

décembre

en

55.- au oompte

de 'c hèque II 'c 838. Le pr<og'l",amme déta,iJJ.é 's era cou1Jlnu11IÎ.!qué aux pai;tJicipanvs.

Cours 'de patinage : Les memhres {d'lI p'e l1S01m1.ell ellls,eiglJ1'alit quJ

..', s~>Î.n:tréi~eJSS'ent. ,à'...ruli. .ieL c'<Y.tlr.s',(!S'anve;qj. : s'O<Îil" 1

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(hô11ei ..té!M-

MITTEILUNGEN e t dim'a llch e) vOUidront m 'en s',a,drelsrs'e'l' jusqu'la n 10 Id léloffinhlie à M. P ,aul GIaSls'e y, 24, avenue d'e la gare, Sion. Si leJs inscripti011s sont 's'Ulflf.ÎiSlaiJ1tes, Le cours sera p l'bvl1..l.' en j.a.l1iV~ e/r.

Cours régionaux de printen'/Jps .: Ces rCom.'iS s'e["ont puhlliés dans !Le . no de .ma:t's de l'Eooll~ valalÎ.s'alJ1ne.

Le c()lJ111~té tlecl1lli'g'l1.,e Ide l'AiMGVR

DES LECTURE,S ET DES. LO'IS,IRS POUR ·NOS JEUNES Nos leot'ewr,s se ' iUllJ.J!p,ehlle nt ~'aI1S doul1Je l'artoi:ole piuMi,é d'a nis Œl.o'tre l1umé!r'O 11-12 pair M. GabnieJ. A,li1Je.ttaz. L',aulteIl.H· y -11eltaitaJÎ't divers elS expéa~ileln:oe/s tentées pa,r un groupe de routÎJers de Ma,r ,üg:ny- ;j,l y a que11ques année:s" Nous avons repi~Î;s contact av.ec ces j'eune.s, qu~ Isont [mê'tsà mettl'e à la d'l s,p osition de MM. l eJS Curés e1I: du p'fflisOJ1Jl1e11 ellise/ignant ilieuiiS irdé'eJS, !leur d.yn~nÎlsme et 'lIn aboI1ldant m taltléa,iel ICOndJa!Jl111lé actweil<l'f finent à UUIe œg11eitltable inUittilLi'té.

LI ,s'el'a<i.t dlOll'c pOls's,i,b:1e ,et ,s ouhlaitahJ·e d'olrg,an,j,s:er en cOIU albo/)'aitlion a'VIec oox Wl serv:ÏJce de pJ:êlts die livres le t Ide revue~ d'elSt,inés à l1lÛ'S enfan~s, des séal10es de cinéma e,t, é-Vlentuellement, d.e!s aJU:drÎltlÎons commen·té-els de disques.

En rem'erciant ~es lieJs:po'l1ls,a hles de ce mouVOO1ffi1.t Id,eSltiné ,à enr;Ï,cJhir les [oisi,r s de nOn"il jJeUJl1ess'e, nou's enrCOUl"ag-eoIl'S viVOO1'e nt nos le:ctel1.uî s ,à prof'Îl!e>r · d ie 0e't~e gé-llé-l'e>us'e inri. tti'a'tÏ-ve. Qu'iJ:s v,eudHeIJ1It d'Onc Men 's 'adreS'se'r dli,re!o1JOO1,ent à M. Gaibl'ied Ail"l~taz. à Marti.gny~Bo,"~·,g, en ind,ilq uant qued gelwe de sffl'V1i:ces ils vOUldra,i 'e11lt o,h'~oo~r.

EXPOSITION INTSRNATIONA:LE DE DESSINS D'ENFANTS Sous le patr,onarge du Mi'llIÎls'h'e d.e. la GQiliruiPe de Hon~de, Le " Comhé lla'l'i0 n<all hO'l1igt,o'ÎlS rd·e ~'UNESCO, l'In:s~Î1ttut dies i1.1e!latlÎ'ol11lS 00Jl'tu rel:le:s' el l'Asrso'dÎ-abion hong'roÏJse des BeauxA:);,ts; .',et clèls &1is. ·.'B1'l1PliqUiés .:oi'g,a!Jüslent. . pO'ùr

l'e mois d,e mali '1959 là Budia pes.t une E~po­ sition i,n'~erna!~ilQntalle, 'aViec 'CO'l1tCQlUl\S die dessiJns d'enlf.ants.

OBti~e manLf,eslliatio'll ,inrtJér,eS'S'el~ p 'o o.t-être oel;ta!Ï11JS die nolS d'eolioo'l's. P ,our d:e p,Lus ampl,es 1l1errs'c i'g ne'lue nIts , ills voU/d,l 'ont hien s'a" -cll'eis's'er dü'eiotlellllent 'à ~a IL ég,al\1ion de la Répubihque p0ipul]JaÜ"'e honl~r,o'Îlse, à Bierne.

MITTEUUNGEN AN OllE O'BERWAIlUS'ER LEHRERINNEN 1. Bekanl1Jtll'Lch wm,de .der Ohe'lwall'lilSer Lehl;er.i.11'nenViereiin im rv,el'gal1Jgell1en Jahr fiir finanûeUe Leùis tungen an d ·et" Saff'a 'h eanS!pl1uoht. Dies Ï!s.t eig,enltJl,i'c h der Glund, wa" 1'Œ11 wir UU'S ·a n ,dem dU!l:.ch dile ka'tJho:Litsohe Al'bei,tel's'Cbaft ider tSchweiz orgal1JiISiÎle'l·.œn Mils.siol1'shil1flSlw,erk, d'a s :u nte·r Id ·em· ,M ono «Hriick'e der Bl~d,erh~,Lf.e» ù·l"gan1is.iert wullù'e , nli'oht bei\1eili'g.en konll'ten.

Anla'Slsll,kh cler dii.esjahl'Î.ig,en nedegi,el,tenrversanumll ung dies lmth. Lehre11innenrveneil1ls der Sch'\veiz tÏJst auch unser Verein laIU,fglelflo rde1.'lt wor,d'e n, an der If ür Ida.g k 'OIl1llInen:d·e }ahl' gieipliall1ten Missi 0 nlsak·ti on teillzunehrnen. Dti'e V'ertretednnen Ull'Sel'ed" Ol'galüsation hahen dh~oS'elS An'SiÏJnnen m<Ït Id em Ril1lwei,s abgelehllt, dals,s wlÏr IU'l1Se'l1e IM:i'S'SoÏOUlshriJ1f'e über d.en uns allen bekam1ten und g.eschatzten MisISiiJ0Il16hi'sldhof, Msgr. Tscherri.g, nlalo h Boli'Vlien leitel1 wel1d'el1.

Wlh" hahen Ul1iS Idas Oplf'er 'S'O g.ecla<oh t, dl3'ss milt Begin ,des dileJsjahrrigeu 'S chuljahl'es Ms ~um SchlUJS:s d,clS'S'eJlben j·ed'e 'L ehr,erin l11'ind'estem, 1.- Fil". im Monat zu d'e m genanl1'ten Zweck ,an di;e Vle rein!slmlS's'e h'e·zah~le. Wh" wel'd'e n EUcJh beziig'llÏ!CJh dieser Miss·io'll'shHfle n()'0h eiIlg'e helld'e r ol'Ïle ntJieren und EUClh g,1ed.chzeitig cHe erif'011dle rl1iJchen Einzahiliung'ssche.ïne z,usteMel1.

Wir ho,f.flen gerne, daJss sioh aUe KOIUeginnen . Z'll idieJsem Id1einen Opf:er la'ls 'Ba'Uistein zur « Bl'iicke d·er Brud'e rhi1f,e » freltLdi'g entls'CJhlieiSsen I\veliden. Ve'l"g,e;ssen wir j'a nicht, da's!s wi:r im Überftlillss !lebel1, wahrend ein gl'o'~ser T'Bill Ullls'erer Zei tlgenQlssen in f.11em'den Land'e,r n dUl~ch Hu'l1g·er und Not g,ep'1algt wh-d.

2. ·Habell ""il' uns soholl ' Jau!;1S1t mit dem Ged~nken heJf'a's'5t, i1l1 VeJl'l-auf. des M'o na'ts ~, 100

Dezell11ber eiÏnen Einlœ!m:;tta'g zu o:t'ganisi'e'll"en.

Leide'l' kailin uns d'alS St. J odel'l1heim um diJese Zelit niClht aufnehmen. 80 sahen wir uns vel'andals'S,t , den EJinke!l:H:ta'g tll/Uf d'e n Monat Jmmar 1959 zu v.'erlLeg,en. Gleti,chzei,t1Ïg wilid ,dann auch di·e übili~ohe Herlh stkonferenz l1alc hgeJhoh. Nahet~e ,M ,i:l:'tetiiLung'en werden flo~g'eu.

In clessen wiin'schen wir EJuch segen6rCJiches Wiir k,en im Di:enste d'er SchUile ~l1/(i eillt hiet:en fll~oo.l1idlltioben Gt~us\S .

Der VOil"stand:

f

in d'as held1ewtJenidste I~1!dlU'SitJln'ewel'lc des Obell'wail:1i,s gebo·ten welid'eIl, unJd wil' slÏnd i~herZ'elUg!t, ·d.3'sS dli'ese Tia gung se'hr intereJssant und lehrrei,oh 'sein wü,d. Ge"vllis's wel,den d~l e TelÏ.J111lehmer an diese!l" HeMc;htigung nlMst peJ.1sonllÏlohel" Hel'eiloherul1lg manchen IHnweis na'l11e11'tI~ilch für ,dti'e lBel'Uf'Slh erarung un'Set'er J,wgel1'd nach HawS'e l1'ehmen. W,ill' zahlen deJshall b auf die T'e itlnahme aIU·et· Vere'Ïl1'smi:tJglie'dter. Auch wÜlide es uns sdn freuen, eùI1le al1'seJhrtlHohe ZwM Sc!hUlLfa:elUllde an unserer G. V. hegrüssen zu konnen.

Ber iAlc:tU'ar : D el' P.ras'~den t :

VEREIN KATHOillS'CHlEIR LEHRIER UND SCHULM~NNER OBe.RWAtLiS

lmhasly Peter

Die o rd·Clllt<l.i che Gener:a1v:el's·ammlung des SCihullj.ahreJs 1958/59 fin'd,et 'a m Donners tag, Iden 4. D.ezember 58 tin Vilsip staU.

Berichtigung

Programm: 9.00 Uhr : Geidalc htn'ismeJSse f,ijr clie lV'erstol'hene.:n VereiinsmÎJtglieder in der IBl1Udler-,I~LaJUIS KapeJle. 9.30 Uhr : Be!S'ÏlcJhtJigung der rvergrossertJen. P ,BarrlçÏ'1".ohe mit Id'e n GlasgemaJden 'Von P. Mo fi ni ·e r (Erldaol1Ul1:g IdlUr,c;h H. H. Lehner Fil".)

10.00 Uhr : Genel'alv'eI1S'3n1Jl11ilUl1!g im RaithalUs's'3ai1e.

Traktanden :

1. Begriis's ung 2. ErstetLluug der P 'r a'senzoHste 3. Protokodll d.er letlz1en Gen'er< a Jlversamm-

hmg 4. J alhl"c>sbel,ichlt des J>,ra,~~d'el1lten 5. K 'llIssa- und Rev'ÏJsorenhea.'Ï<c;h:t 6. f,e:s·tse'tZ'ung die s Jiahl'leSibei·tmge'S 7. A'llfna<hme nener Mitg1HeJd:er 8. Orient<Île l'Ung üb'er altltU'eJUe Sohu:lprobJeme 9. V.el"schi'edenes.

12.30 Dhr : ·GemeJinsame·s Miua.g·e ssen im R.estauI~ant mIr ahen PIO'Sit. 14.00 Dhr : Relf'e rat von Dil·. Sam. Ruosch, Vi~, iiher {die L011>2iawerlœ in V,Ï!S'P. Anschlies~ell!d 'g'l'uppenweÏ!s'e , Hes,ic;htiglUug clea.· Lonza'Werlœ. IDul1ch d,ie~'e' geführte.-. Bes-idbl1Îgung . S'011 . dielU Lclw{l'ersollai . 'EinMk:k

-...-

Stucky Auxilius

In der 1.e,tJ~tlen Nummer hat sich bei'l11 Thle ma <~Der AruIflS'a tz in der Sekul1dal1schu1e» Scite 28 tin der letzlien Z 'eil1e reoh:ts cin sinn's tor.end'el' Dl''llcMeMel' eiingeJsahliohen. nie ri.chüge ScIu-.eibweils e is·t 'd,i'e fo 'l!;1ende: «sehll" zur GleiobsetZ'ung : KunM echter AlUsihudc » .

WÜ" bitt.en ho'fl. um EntisohuMigung.

Die R ·ed·aktion.

=

Schulwandbilderausstellung a'l1ls Anlass d,el' Hel~au'Sg<aheder 100. T'a fe! des Sohweiz. Schu!lwanJdlbti'1dwerJœs.

Bi'e AillssteLlung des gan~en We'l'lces, mlÏt Origina,l entwiilife,n ~u einZ'eJlnen Them·a ta aIU'S den W'eJttJbeW'el1ben, BrilLdvel,gJeid1en und BiIldbit:iken, und P'l"esseIDührungen d'3ueI"·t noch bÏJs Ende }anu'3l" 1959 IUnd z,war im PEJSTlA·LOZZIANUM ·i n ZiirÎ:CJh, Be'Clc'el1hoflS,tr. 31-37.

COMPTES-RENDUS - BERICHTE JOURNIEES D'INFORMATION A L'UNIVE'RSITE D'E FRI·BOURG La jeunesse de notre temps Sous le ipaltr01l'ruge de l'Ills1JÏ.!tuJt Idle pérl:ag!Qg,i e CJUralti,,,,e Ide l' UnlÎlver si té, des jOllu"néJeJS d'tinfOI'ffilatio~l Isu.r la situation actuelle de la jeunesse ont été o'l'g,aulÎ'séeJs pail" l'&..so cÎ'alti 011 suis's'e 'dies Diispel1gail'(~ ' ant1ii~:Jic:o'O'Jiqu~s. ~

ùes prolM èmeis el1lvi:s'a gés éta:ÏJell!t I.e dang.e r des .a.bUls die bolÏJss ons, [':incondU!il~e s·e xuledJ.e eJt l'a nÎtcotlÏl1e. I:l se peut qu'on so<Ït étonné d'·a'Ppl'.endl'e que ces ques·~ions atÏle nt intéressé d,es p ·e·r s·Oa1!nes adonl1'éels à une tâohe s'Oci.ali le l8'PéaiiaJl.e, ilies Qiuei1que 250 hommes Clt f'e mm'eJs par'ticu1iè'11e.'lUent voués 'a u reJèVlement des m lalaJd,els a:lcoorr'iqf\lJeJs. EJt pourtant, rien 'qlle de JlJo~ilqlUle: ces Jspléciall'Ï'SI\1es s'e l'endrent mioox ,Colup:tle lq u'e quicol1lqu.e qüe ror.ig~.ne du mal gît trBs SOIUVJent dans des {'alUtes cOll1ll11is'e s pal' les par,euts et d'au;tl'~s é'duc:ateUll1s cl'all1S ·1e:s pl'emlière's la n00e5 d·e Il 'e nflfllwe le t que, pour Itlarir da sour·c:e de·s .f11éaJUX, .hl fralUt H'!;1ir 's ur le's âme:s encore .neuV:es e1: discipliner les instincts nlûssants po,ur en p'l'é;venir [a d~viatilOn. Nous citon'S i,oi Jes 'oonf.él'e'IIOeB d.e · M. Montalta et Id 'e Mlle Laure Dupraz, prof,esseurs de p :é:drugogÏJe là ['Université, et oel'le die M. le Dr A. Hunziker SUll' lI a rpllioit e:C:tJÏJon ele ilH jelUll'es's e.

Au heu de l,ésum:e'r 1'.enS'emh~e d,es confépe;nces, nous croyons pLus utiLe de no lUS al'rêtJel' ,à loeille du Dr W. Beck .d.e Ztl'l'ich 6!U'l" le nicotinisme : ùe ,or Beck paISse en r·evue ILes pl1ÏncÏip'ailJes substances tox,i ques IOOl1tenues Idla nls l,a fumée d.e Ic iJgaœtte : c"est un .cOll11lpllex.e de l'o.xyde de ,c3'l'boa1!e, de d"aJci.de rp,liU!ss·Ï.qlU!e, dieS pyr:idli'l1'eJs, e·t,c . .oeu."·t.alÏnJe s die <l'es SlUbts:tanoes sont oanoél'igèl1leis le t agissent surtout ISiur ILes olig.3!l1!e,s res.pil1atoh".es. Bar.rl1'i :l les .'trorulbiLes 1S'1gnaLés, cJitOlllS Iles 'i rr.éguJln'l'IiltJé:s ci.r'Dwlatoires t.ouohant ~Ie Icœur p'OIUJV'al1it ·ootl'aÎ" ner jus'q u'à l',angcÎ.,l1e die po:iItrine, 'l es troub/lles de m .funo·i œ et d,e rvollo'l1'té. Le g'r os fumeur devi·ent Vlite un êh"e au:tlomatJ~qlUJe. Le taha.c es,t ant:Ï!sooi,ml. 'La prlelll'ièœ Digla re1te amène ISOiuv,ent une into~icatJion aigiile.

Pourquoi Il e g·arçon (leJtaussi l'a j.ool1'e fœ1le!) devÎ'ent-:iJ IUn tfiumeul' mailg'l,é les .p r,eru!ières e~p'ér,jences \S'Î dléJS'agréaMes? Le Dr Be;ck a .eXlpo·sé len déJt>aiJ l,a rêpo'Jlls:e à cette qUelS·tion: id ya rLà desc;awses psy.ahQ'logiqu!eJs rpa'r tJicumèroment actJwes à un âêe où le Ig'a rçoll échajppe à la tuteiLle die l'<enfla'l1ce IpOlU.r se métan101l'phO'sel' en homm'e: Danls son ti,ndé'CiisÎon, 1;1 cherche un ,i déal, un type qui hû en imp·o·S'e. cl'o'it le H"o'U'v'el' pal';m i

n

101-

l~s

hommes qui luri pal,aiIssent pal1tJiClUhè1't~­ ment 'Sbduismll1S : le MOl1J9ieur a'v ec le cigtare ou Ilia Cligal'ett~, pal;,fo'Ïs avec lI a piIp'e, d,a ns une po'se d',éllégmlJQe 'llléglig'é'e, com,m e le mO'll'l1rent les 'affioh:e's. Ja1ma1is un aldolLelSoont n"a fumé rp'a~'oe que le t'abac lui s'w ililaÏt bon. Il 'Cl~rui,gl1'aÛIt Ile ve,r d,i ct d'e s'e s .camara,dres fUlm eul's et lleu'liS n1.oquel~i'es s"i,l ne fa,irsaÏ-t pas co'mrhe les gl'ands.

Les panneaux Id e réolame, les journau~, le oinfflTIla '{wopagent l',idré'e Id u If umeur à l''a!sipeot 'Pl'osphe et hmll'eux. D\l!prBS ·certains aulieu r..s , ,le ;oi'g,are ou la oiga'r ,ettie entJr.e lelS lèvre:s l'rupp,eW1er,a it instincri,v em'e nt la sUCle.tJte du bélbé. ' La puhel'té eSit l'âge où Il 'on fajlt l"es'sa:Ï de sa j'e u ne Iilllld,élpe11ld'a nce et où l'0~1 ép/roUNe l~n oet'I'arin Ip liaœsir à faire Il e contmil'e d.e ce que dbsirent les rpal'ents, les ,édlllcartelUns, 1e M:grisJ..a:te.ur. Enfin d y 'a le désü' avoué ou non ,d,e p'r ellldœ l'a 'p os'e 'delS aduilit'es.

La lSuooes:srion des mgm'ett6s créie 'eu peu die t,emlp s lunle hahilJU!de, un 11éHexe .oonrd'Ï \iÎ'Ou,nd q.u'i:l 'eISit dÎlf,fiClÎ '1e Id ,e co Ittr,ecarœr. Le narco1'ique a déjà 'tÎlSlsé tout un l'éseau de fi~s qu'une vo,l ontlé énBl'gliIque rpOUlT-ait encore bri:ser. Mails Il e jeune fumeur , a-t.,i:l 'c ette énergie? Tandri:s que les 'tl'aC!es de ~'aJ,co'O­ l1ilSmle ne pa11ali s!s'e nt 'gluèœ avant 30 'ans, bien d,es nicot'Îll1iques sont ·'l'eoonnaj.slSlabl,es à ~O ans 'et pIlus rôt, En pa'l',cill ,cas, ~'lin:t1el1di'c'\iÎon 'a pe.u ld'eflfetlS. Le me:ü1J.eUil· r,e mècle con9Î1S:tle à rem:p[wcer l'Vd,élal m:a1 choiSii pal' un Ïldérul 'l,éel. L'exempiLe d ie perIsO'llne<s 'esllÎ!l11'ées, qui ne fument pas, pèr,e, mraÎttie, 'c hef ,d'e groUip~e, cam'a'l'a'de'S pilws âgés, contl'1ihue à af,f'a ilb l'h' le pl~6Sitig,e, Un Igla rçnn qui l,bfJléohi.t finN'a par tt'olUV1er qu'e ,}',h arbitlld,e die fumer res't 'contre nalt'm:e et que' J'e non-fumeur a choisi le meillll'elUr pa,r ,lIi: OJl TétaMka~'t a'i m;i i"écheble des Va,leThl'S. LI fal\lJt l,établoir <la conceptiO.n CJhrétienll1e du OO'l'PS qui Idoit être l'esp,ectJé comme p'a'r ti'e i11ltégl'ante ,cIre la personne hUll11a1Îne.

B1us 'enc()1~e ,qUle ' le garçon, .la ' j'elU!ll.e ,fiUe dJeyr,a.;it. i'eS!s. er~tliri:, une ,,!l1épull's[0~1 _jl115JlliUictive poui' la 'cigm'e'tlte. POlUrquoi ,y 'e n a~t-a qui furmoot qua'l1'd .mênl'e ? D"albord par Ulle in:ditatioH '.serVli'l e du , jeune, homme. "111 pi-

goal-eHe ,BSiI: pOla' /ba ' jelUne filM'e un aoces's üiœ die [,a coqll'elltJeliiJe, lin li nstrument pOUll' p~'arii',e' et a't1tJi.rer s.u~· lelUe l'!rut!tJen:\iÎon, tin eJm'blè.me d'e 1'~allIClilp'at!10'l1. ElIle 111'0.:11 pl'lliS il'e vooomlÎ,t aiVIoir lIa l'épru:tatlÎ'on d',êtDe hien sage. PouSlSée [Io~n, l,a man,~e 'd.e la rcÏtgm'etJfe chez }ta }e.une filhlle est JUIll s<ï.grn'e d'e J,a d,échéance de sn fléminitlé , ChBZ les If'emmes, lle's ielffet's de la IlIüco iliille rhJahliitueJUe s'e tliaduils'e nt par des t,rofubiles proJol1!dlS 'd ans les o'r g,a nes .le la matel1ni1:,é et peJUlVent même aboul'ir à la SltJéri,lité.

Prof. C. Gribj il\~.

LES 25 ANS DE «LA RADIO A L'ECOtE» Une cér,émro'l1'i:e desllinée -à fê,ter l,e ' 25ème anlJ.1!Îvtel,sali re des émissionls l'-rudio'scoJ:aril'C1S roonaI1!dle6 s'le st d,érOllllée le 8 no'V'em,bl1e au théâ<tre municipal de Lausanne. Ouvei'lte par une aililo:outJi:oal d,e M, Ire Con:s\eill~eIl' d'E-t1at Pi,eril~e Ogllley, ohe:f du DépJa,r ,tell1rel1.t iVlauldo'Îs 'd ie J'~~l's'l1llUdtJio'l1 ,pulbrLique ert O'els <OU1h~s, ~a s,éal1lc'e cOTIliportarilt un concer,t de l'OroheStre de la SUI~Slse romaI1ld'e, dirigé et c(}.mmen;té p'M' M. Ernes,t Ans'eIl1l1l.et. GiJlh~ls et Urfer mi'rel1Jt lun 'g'a,i 'p oi'IlIt flÎnall à cette man!ÎlfleJs,talliion qui en:chanta les .nomhreux p-alr ,tJi'cWp a n l's.

En fléll'ÎlCÛit.ant et 'Bn l1eme'l ,ciant ~e~ r,espornsH, bil es ,de's émiJsIsi011ls r,alel'LOIs!CJoILail'els" nolUls te11'0nJs ,à l,appeilier l',e'S/p!l1Îlt d,e ,cdllrub01~tiQn dlans leq:u'el CeiS émissions ont éllé m1ééeJs. Om-,t!a~ns Id'e 110lS maÎl1l1e/s cl'aIÎ'gJ1lent q'll:~ cette utl1l'JUISilo n de ila radio nUl~s'e à l:uIniJté de iJiBUl' aotion. P'OIUr ~ffilr '11alpipeiller .belS pl1Îl1ICIÎIp'eIS 'e/SsenltiJrus d,e Clette he'llll'Buse inlÎilli'a1l!Î!v'e .de ta Sooi/éllé sULs<s'e .d,e Radiold/üfIfJUlsilOJl1, nouis oiterons un eXI1l'ait d'un rappOl,t puhJlÎlé à c~ lSrllj'e t Id,a ns l'Educate~r du 11 ~lanV!ÎJe:r 1958,' pal' M: Ernest Brigl1'enis : «La l'alCHo sco~ialire ne peUit olftfl'li~' qu'Uill ens'ffl lgnemell1t a'l1ld'ÎJtif. T'()IU:l'e sa méthodolo: g,iJe est bais ée sur cette servLtuJdle. En ou'tr,e, de 'p ar sa sllrurotu"-'e, lia 11adJo eM plus évocall1'.ÎJc'e qlle fOl'111'a lth',e. 'Oe seu'l oaradèl~e' d.émo:ntœ déjà qu'd1e 11Ie P,OIU!l'l'aÎ't ..se, suhs" 1liwler JIU maÎtrle, ,. et : qu',<eJlk· ne sera ' j,aan'alÎLS qU'Ull des moyens' mis ' à l,a d,iJslposition de ce _ dffl'n~et- pour l'enid,ne S'on 1eIlISie.i'gIl1lem.el1't pllus varM" .'pilitlS. :vIi~a'lllt',~t ,'pl'1l~, ·:l'!Ïche.Sa'ols

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lui, l'émi.s.srion scoJtarire 11iJsq,urel-alÎ,t die pe!l,ch'e to/u te raison d"exÏlsllea' ; eJlle Is erailt une simple o'Cica'S'ion de ,détenlIe, p'mlt-ê:tr,e un f'alCJteur d'Banni, sin:on d'e d,bS'or,d:rle.

Les érnÎlsSiions l'ad~'O:s'cooarÎ!l,elS romandiCJS revê.t,ent un caTlaCltè1J.'e pUl1fflUent 5JUlppJét!ü ; e b ,coJl1.lsllJitulel1't une IS'o:tLl~c'e Id 'ülf'O'l'll1tatÎ'ons BOUVleIll}.e et un slli111'U1I.ant pou.r ,l'e teavaoo iÎntdlecru,eIl. Oe mod,e ,d'Iefls'eiglnem'ent e~ige la pl'bse/ncl) du maÎtœ ,; il do,~t Desller l,e ohef de l'enseigll<em~n't prOlp11eJl11Ient 'Idril. N"e'Slt-,ce prus lui qrui ohoi:slÎlt l',émiJs'sion, qJU,i prépare s'e s éJèv,e s à l'écOlllte, et qwi, f,j,nruLBmen:t, dlÎl-,1ge la 'd'ÎlSlCU'SlSioll sur le suj,et ·enlien.du ? » Oe 'dla:ir l'aJPpro rsuffil1-;a s'a m dOlllte à dissiper cBrtainres ora'Îll1:telS ~n~u's1Iifriées ett à en~a~e'r ~l!OIS ;mlaÎI1l-,e:s à pliofirtle!l' d 'e ces émi'ssiÎons prur un choix judircieux et une bOl1ll1le pll·.bpal'a,\iÎÜ'l1.

LES 25 ANS DE «L'ENTRAIDE AUX JEUNES PAR LE TRAVAIL» Sous ' ce n()lm 'q'lllÏ. sonne comTne Ul1/e be11e deJvi's'e, s'Ie slt fondée 'e n 1933 une inst~liu:tri<011 qui se IsrpéClÎ'a !i,s a'Ît d.ans l',ald'aip'tJrution au 'u'avta;i[ des hand,i,capbs.

ELle cr,éa dla ns 'CIe Ihu.t l'illlSitiltut d"oüentlalIi'Oill professrionne~[e p~',a'lI~qU!e dlU Repuis à Grandson où furent d'arbor,d ~'eçus, à leur sOTt,iIe d'e ~"éco~e, pUÎ's rd ès 1946 pour leur dernière alnn,ée s'c'O~,ruj,œ dbJà, les jeunes

gens exclus de l'apprentissage habituel à cau'S1e d'un'e illifü1l11lÎ!té o~enC'e i'l1 l1eilileollU!e!He, ' carac:tère, Ida<; '&uli:1feiS mabd~e ou enfiÎn (l'e

phY1Siilque, d'une dléJ{jd'une diflflLclUlh é d.e d'un iruccOOie11t, d'lu ne t011t arutœ ohsta'cl1e.

La classe d'orientation professionnelle du Rrepui.s p el"::l et aU':lsi à d e rl us â'g'és d'e cornpJ.éter, selon lJe1ll13 ,d'é sil's, une illlSiU1Ucltioa1 C()llTllpl'or.1Î')e par la s'a n tlé ou tLes 'oi'r c'o nst'aJllCieJS. L'ori'e ntation proflBs9Îo'lllne11e pratique du ReJpuis 'o oflsiste à fa'Îr,e pr&C!éder ,l 'e ohoiÎx du métrer d'une Ipél'iode pilius ou mo:inlS longue oonSUlCliée en même tetUP-S à l'o'b sel1V1a1tJion ('p our rechercher les la p/llitUlde5 et J'eIU!l' me,j,}iLeJUJl' empil ai pro,fIBs'sÏloullIeU), là l"entraÎnement (pour l'éoup'brel' les force:s et les déVleJlop,per), et au pl~éruppl'enlriss'agte ('p our Ul1iJJiSffl' les

-103

ap~i1iud es

'e't les fŒrClelS d e N'avail d<3I1.s ["ac'l1Î.protfJessiol1nei1l,e COll!v,enarn,t Ile mlÎJeu~).

Oellte ol'ienltarti'orn se falit a\nBC l'la ,Îlde de:s s'Péoia'1ilSl~es I1'&c.e:sS'aN-es IdaIlls des artel,i,eliS s:péoiaux renant ,à Ilia f01s du laboratoiœ d'obs81'vatioll, de l"écoJl e prolf eSls'Î.oInleilile et de J'Ien t.œprise. v:~té

1

Quels sont les résultats? ne l'a fondation du Repui6 à nOls jours, ip'l us die 800 hand~­ oapéJs ont élté ol'ilentés et p~,éparés aux mél1i,el1S bes p:1urs c1iV'et1S. En 1957, par eXW1.pJe, 38 ,élèves ont éllé ori'e nt,és dans 23 profesSilOlliS diffél~en1res.

SUl' 100 aIliciens du R'Clpuils, 88 g,a gnent leur vie p'a r ~eur u',ruvalill. Ils ont lie trouvé la jOlie d'e vi'v,œ le t ne son.t plus à [a chwl1ge d'au't'l:u.Î.

L'EntralÎ,d'e aux J eunBS pla~' Ile T,ra,,~aiÎ;l a, à Lau.s'3lul'e, RLaceJl!te Gt',and St-J,earn l, son bul1e:au d'lor:Îlentation profests10nneJie charg,é de ~S'llœvr,e les élèv'Bs 'd u Rlepuis, d,e flaril~e rlBS e}Qamens d'rupt1twdBs pbrio'd,i'qures, le pIlaClem'ent, ~'e ,p alu'ol1'a'ge 'et 16s Ilie:che!l-ches d'oc.oals,ions !dle \!l'avaiIl. Ce bureau lSuJit, 'elIl OIllI1l'e, -a-ctuellllenllel1!t une oinquantaine 'd 'anoiICllllS élèvres :du Repuis.

JAHRESTAGUNG DES KATHOU,SCHEN LEHRERVIEREINS DER SCHWIEIZ IN LUZERN Am 5. Oktoher clUl,f1te der Zelllt,mlpriLs,i,dent dies l(,LVS Hien- Re~i'el1ull1lg,srM Josd MiiJl.~'er iÎIm Hiotel Rütli in Lu~ern eine belN'i:iJohMlÎlche Zal1i1 von Delegier,ten ull1d V'ertœtern hefrell111dt;ll1er Or ganils,atiol1Jen heg·rüs:s'en. AUloh eÎ'llle Dl~e.ierd,er1ega'tion o,BS O:s'tem.'e1i:Clh~S'chen I(,a.~ho­ t1iS'ohBn Lehr,el'VelleiIlls Wlai' eI.ISClhienen ü!l1ld wlUl1dle heso'n d,elîs h'~rz1Ï1ch 'wilLkoBlJlUen geihieiss'e n. Aus dell11 WaLlis wàœn aJllWBS'e nd: H.H. Prof. und SclIJUl1inspielkt.Oil' E. Schm~dlt, arts Vel1tœ:ter d,e s Jlo'ohwü'l1d'ÎglS'ten Land'e'slbis'Ohofs v:on ' Siue.n, H.H. Dr. LO'l',etan, Direktor der N~r.malsC'hule in SittBn, He'!',r A. Chals:tonay, Sekretar d'e1s Erz:Î<ehungsdrepM-t,emer)ll!es Uil'OCl H~rr Lehl'er A. Stucky, P'raS>id'enlt d:es Obel'Wlruhl,i ser Leh'l',e lwetrons.

Naoh einOOl kU'l':lJen aber t'l'iLf,en Er Otff'l1lUJl1gsW011t ,des Zenu'rulpl'as'1d'e nlten üher diÎe heutJi.~e piLdalgo'~Îis:dhe rntualliool U!l10 einem zÜl1Jdlenden AruflliUf zur ne5Jinnung aIllf die ~

grul1'dJleg,enld'e ll Lei,tg~drunken d,el' d1l1istl,iohen Erziehrung'Sllehœ fo:1g,te e1nJe Reihe s'el1l' bea'ontensw;el'tJe'r Kunzhel'~chte d,e,r kantonaJle n und l'egionrulen Sektionlsip ra,s'Îldtmf.eIll. Mer.kwürdigellW1~i'se wlll1d!e der Pra's ident des 0. bell',waHiser LeJn·,el'Ver.ruJ1ls n~c.ht zur Be'llÏ'chteJ.istalltung awflg,elu[len. Er hatlJe aillJS Ù'em ISO reg'e g~wolid'enell1 Schul- un:d Erzi,e hungslehen uns'e'r ·els Oberwallis für die rulld'erll1 dlo oh is icher aUich IntJere!s:sallitJeJs und BedieutsamelS zu s'agtelll g'ehaht. T'l'oltz de'r Vii'elfaLt ,v on SchwliV!erhaihnIÏls's'e n, &'zIÎJeh'IHllgsschw~lellÏg,IQeÎltJen und V,er,eil1J~taitiÎJgkeil!e~l im Schwie/ize'l'Ih ause ~eichn'ete si,d l e~n 'ruLlen GeO1IeinJs aJl1leS ab: Id:eal'ism'Uls und d 'e r feste ' W,iLle, ÎIln Dillens'lJe Id ,e'l' Jugend beJste, christ!l~­ ohe E1"7~iehun:gtS<a'l'heoit ,zou Ileillslten. lm Anls'cnLuslS 'an Id,iles'e Beriohte Wiur·de g.es'p ro,chen über die d'll'rchge'führ,te MissioIll'irukt.ion, -das Bih'elw!allldh~1dwe.rk, Jug'endSchl,if,temV1esen, über d'i e Une/s'c o, d!Île 80hta,fflUng eines Vle r,ronssek,r ,eItarj'a:tes, eine g.eplanlte BlindenakitJio'l1 Is owie über ,d,ie HeIJ.·aUîSgaheeinelr ka:thollÏJschen BuheuZ'eilJung. Nruoh di,eser fast paUisenlose/n Stpl'ech- und HOl1fOllg:e lUl1ld 'e1nem guten, wohI1V1el,d,ie'l1lten Nachitessen fand in leil1'eIlll hühschen SalMie dels Ho:tel Rütli noch e~ne nette A,b :el1:dul1IteJ.·halllJu'11'g mit mllsikall:ischen IUIl'Ld thealtl'alilS.chen Dal'hi'e tungten s'lJatJt. Auf den zweilten Tag war d~le Haup'tversamlJ.11irung ,a ng,e.setzt, die !luit d'el' F,eÎ'e r d,es Rl. Messolpf.el\~ ~md einer g,edilegenell A11'Spl'ache gebühœn:d el'OIffnlet ·W1l'Œ:lie. lm neuen ZentiJ.',ru1sohweiz,erÎ!schen Te'oh11Jilmm wlUJ.1cl'e eind,r üok,1i:ch VOl'geltl'<a~eIlI, wa:s in Ullserm SohwelÎ.z'eJ.1I,al1d im he'r umichen und technischen B,illdlU'l1Iglswe/sen Ms anMn vonbraûht Î!s't, und was noch aUels zu l1ei,s:fetn MeÎlht. Bes'o:n:d'errs aUJfs,chllUJssr,eJich Ulnd vÏJeIls'eÎtlig war de'l' V'o'l·,tr.aJg von Dr. los. Miild'e r, Lu~ern, über Fra'gen des te'chnilS!chJen NacltwiUohJses. W'o Mru:end (ür d'e n F'l'elUl1ld hlUm'anlils ti's!cher HiilidlUn:g wtirkte V.Qll.· a!1J.eIl11 seinre FlO'lilenmg, mit 'd ie r Pft1ege der belmfl100hen Bellange die allgemein menschliche Bildung ~u V1el,bil1ld,en. Hel1uvskell1Jllt'l1lÎ!sse mÜtslsen ~1lI.1a'g,e n ,s ein v.on P 'e r,SOlJ.ll Îlchk!elÎ.lieill und Chal'ak:ter uad dUl'chwil'klt von hervorragenld:e n menS'ch1ilo hen TlUgenld'e n. Dann sp'l'lach Ge-

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werbeJ.el11'er o.. Schiiltzl.e, 0,100n, über d.ie F11age d le r « R,{wÎ!siol1 dies BUTlld'e!s!gesre.tzes übeJ.· die IberuJliche AlUJshilM'Ulng ». In d~nk­ bal'e,r A'l1:eJ.'ken'l1JUug fü'l' rul1es hilSher c.e\1auJe SlteJJ1te el' die Ford,e mug ·a uf: «Der rBunil kJann und mUSE nlehr tun, wenn die Schwei~ d.en harten KOllkru'lTenzl~ampf mtit dJeIlll A'llISland auf Me Hallier beslJehen will1» .

Due unlls,ioht,ig vOJ:he,r eitete Jahresta,g ung wurde auf dem Wass'e11tJul'm mi.t ciner g'tlsc:hiol1ldkhen Füll'l1U'I1ig und einem ang'en'eihIUeill Danlœswort ,vül<d1ig ahge.sch10ssen.

APPEL·S - RUFE WELTMISSION UND LEHRPERS,ONAL

J. SCHWICK, Schul11inISpektor Der Al~tiklell in Ider MainUllTIme1: un!sel'er «W,aIlt1ise'r rSchu!le »oo'e r dla s Titell tJhema fand cl Ul'chw:eg:s ,e in Il)'O's-ÏltiV'es Echo 'Voaliscùten jener, dile Gellegenhei,t" lnteres's e odeIJ.· diÏ:e GediUllJd ha,l!tell, !Î,h n zou ~Ie'sen. Mog,1IÎ'o h, dla'Sls el' 11'0ch in Ihl'eIlI1 ,BüoheJ.1Schl'ank l,i egt; ,i.ch k'a nn :d 'eili InJ.l'a:lt :ailso übellg:ehel1. Da·s 'l1oiti.ge Vlerantwor,lJuJ.l:g'sbewiws:st'S'ehl 'll'l'td die Ber,eI.Ïltsûhaft, an d'er erkan'llten Auflg'ahe n1iiltzUiar.]yei!~en, ,f,eh1en d 'em Leh~1per,solla:l g'ew.Îlss 11lÎloht. ne11l1'O'ch scheÎllllt mil' die:!: fOilg<ende Nachtmg notwend,i g. Unid nützilii'o h ? l ,ch hoftfe.

Viidleioht lelJ.iinnerJl Si'e s~oh an die 80ge'l1'anul'e Brücke der Bruderhilfe hiuübeil: zu UllSeIJ.iII1 Lanldslmann, ,dellI1 hO'chwÜlidig'stJelJ.l l\Hss~onsbis.chof M sgr. Jlols é A1lifoilso Thoherr,ï.g in Boiivi,e n. Ro!lJlte nun auch d,el' vere:inhal~te Monats-Fr.ankell? Spal'l1ioh. Do'o h s'tauneu Wlil' vOl1laufig n~:cht üher tleJ.l anfangilillohdünnlen l11aJtellÏeihlJen ,E rfolg.

Dile Sommel'f,erÎeu und d,ie eliw,als k,rrapp'e n Aillgahen hinsichtfl,i'c h 'd,es Ei,n'~ugproblemlS b!illJcl'eill ve'liII1utJlioh den Gnmd. Hei d ij.'elSOO Zei,l en han:d,eJit 'els 's-Ïlo h 'd lemnach 1J1JU'l' mehr UIlU eÏ.'llen ,R iuweis, wLite d 'el' 'g,enaJl1nlJe Bei,tiJ.-ag dem guten W.iJ~len gemalss mlld d'e r meist entschuldha!J.ien V,el'g'els'SilJiohl~eit zum Til.·o'tz ptakti'S'ch 'e Ï.nzuzahien ,Ï!s.t.

Els gli:bt Ul1Jter <d iellI1 Lehl'lperSona,1 man'c he, d,i.e mit dellll jahl.1llÎlchen Abzug der 12

Fro onken durch Id'e n Sl'a'at .si'oh einv'emiltalJlId'e n erJclarten 'Qnd .dlafmit aU'~h redmel!en. Auf di;es'en Modus aber, so ilciJoht r,eailislÎ,e rhar und erg,i ehi'g el' an sich ware, V'el'zichtet UlllSet1e Aktion ; el'stens, weil wir n1cht die Gewi's'she-Ït hahen, d!wss samtllÏ!ohes Lehl'pers on al cl:iesen wünscht o:der hinMmlll't; und zwei,tens, weJÏll wh- je:d'e n SchelÎn von Zwau:g veliII1eiden , woWLen. Al1{d.ere bruben e~nz'eJl ihlien v,oIl:1ell1 ObolllU's pet' Oheck abgegehen, Wlas dlankhar v'el'!lll'e'l'k,t whd. In eineil.· gro,s sern IG emronde 11lÎmant <sü:oh jemand d,i e Ml1he, bei del~ ,La~eukoHeg,iI1l1Jen ù'lld Kolilie.gen Jeden MOI1iat dlell1 ,Fil.'allkelll ein;~usaJl11llneiln UI.llld Wleilt~·z'uJl,eiten. Da,s ÏJS't ;wohl die geeilg netste Flol'm, Id~e Isi,ohea.'lSte ,lll1d ,eüllfa:chste. ·b,al'wnl m ltte ich das V'Cliehl,te LeJlulpel'lSOI1'a:l, ~Ülielseu W'.e.g zn wahll en. B:estÎ.!mrnt Hl1:det ',s.iJch übet'aH, w~ zWiei un:d . mehr Lehri 'r ahe rw~!J.iken, "ein~ 's'dLohe, Id ie d,eu re;gcl:'m assi'gelll Ûipfel'ga'l1g ,des A1molsenlS'ailllm~.el'S zllgul1lsten u!1lser~r Miissiol1'8'a kllJion nicht :s:oheut. W'el' aHein auf Posten S'teht, schliesse ~Slich dem NaJohbal' IMI ,o!del' !h:enütze ~eil!her ~den grünen Z'euel, ei'l1-, zW!eEoll'wtÙJioh, je l1lUoch der K'l'afrt 's'e ines GeJda'chnilSses, d,e m IÎ.n .'d iesem Bdang ,das gute Herz, Gl'osszügig'IQe~,t und Bd'e/LInnt die he/ste StÜitze hile ten. ,Sie wilssell, auoh das Lehrp ers ona[ des ·'o.herw.a'llhs wlUllde vom Ktathoillis'Ohen LCllu··el'. v,erei'l1 d,el' Schw.mz zur Mi'sS'ionJsh!ÎILfle am~gerwf'en UIld zwal' mi,t eil1!er FOliderung von :beid.eul:'end hOlh ern Beitriig,en. W.i.'r ha,b en 'ul1!seœ Mi!1!a'11beit Zllg,e's'a,gt, jeld'o oh v.oll'ge;_ZOlgtelll, sie der Brückle d'e'l" Brllde.r,h Jàfe WIJ.' V le rf.ügung zu ISte11en, die he:i uns bere,i,ts hes't~hl t, ti"llcl 'b m' W'e'lcheJ.' die An.1hei<te11sûha.ft, die Ge.werh1etreib.el1ld,en und -dra:s - Lehr,P!erso~nal dile HaJUiptplf'eliIler stel1len. Tt'a:ger der g'e:'S'rumten Aktion ilS't d,as ChllÏlsdoiche ~'l'belÏ.'l'er­ ihilflSwerk o.herwalUilS, ,cJle m rd ,e r UntJerzei'ClI-

~l1ete

MS Priis1dent und Vertœttel' der Lehr-lS'chalftt angeholit. \Lalsst daIS Mis'slÎolliswi1.'ken d'el' Ki'l'che aus·s,tIJ.·ahlen ' dm'\ch den Geilst rd ·eIJ.' «off'e nen ~HaI"t:d» und henutzt: ·Chd,s t,li>ohes Arbcù. te'l'hil1fsWlel'k o.beIJ.'w.a:l1IÎIs, Gatrnpel. No II c ~ 4695. V,enmerk auf Id ,e'l' RüclQseite : Hrwdel1:: hillfe, "V;el1gelù GOitt !

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VENTE ANNUELLE DE PRO JUVENTUTE La v'e nte Iil'8d:hioJ:lineilile deJs timbre/S, Cialltes porstrules et c:a,r ,tes ,de vœux Ide Pil'O JllVlellllJute déJbute le 1]Jl1emiea.· déooow:t1e . NoUis ai:m el'ions alltÎlret' l'atten!tion du pers'o11nel enseignant s'Ur cette œuvl1e et ~'IÎ!1Itél'.etsser à sa réussite.

P'e/llt-&tre ne saÏJsi't-.ol1 pa's ,as's ez kt portée de oel!~e insÜtWlJion en fruveUll: d'e :l',enfance et de la j,e unesse lSuilss'e. Il SlUff.i'r ait, pour s'en flai'rre une i,dée, Ide dire le ,compte-,r ,el1ldlU du trHV'ail r,brullÎsé en 1957-58. NO'l,lJS y VIOyŒ1!S la pJ.'odigÏJells'e ructivi'té d'éploy.ée ,d'a!1lsdi'VIe'l'lS aomailn es: a:ide à la mèœ et à J''tlll!fiU11Jt, tali de à l'&coiier, a'ÎJde à :l'Ia:doiles'cJent paIl' des hom'ses d'lalppl'enlJi<S1s'a ge, 'a~d'e alUx anOl'lIllIat1L"X, ru'llte CO~'}It'l1e h tUibellcllloSie, Il utte contre :tes rub'll's de J"a:lcool, encourag,emelllt d.'lÙ.n!e s aiiJ.1!e UitJ~ÎJS\a'lJiIÜlI ,d,es 10isÏJl1s, œUV'l"e d,es lecrul'e.5 et û()'Illbien d'autres SelCOUl1S IdislillÏlbué'S avec dilsc11é.tion là ICeuX qui sont da~~s l1e besoin.

Flavo.I.,is'eIl· P'l~O Juvel1Jtul~e, IC'lest ,a'ocol111p:1iI: une Um'V11e pa'~rÎolJi'que · et· ul1Ie œlUVor.e -d'e oha,r.Îl~é d1'l1étJienne, tant :ses Ib u'ts 1S0111t utilles au 'Pays et 'cool'l~espOndel1lt aux ellls'Ng,nem'eIllts de l'Evall1!giilie ! J,e d ,i'm i même 'que nous aittltrfeis V,a!1alÎ,6'an's 11'0'111S deVlr.ÏoI1ls noulS il1!télieJslS:eI;l'

à lI a vel1lt1e P ,ro JllV'en1lJute pal' ,a utOur pœ.1opil.:e bien pla'Cé. En 'eU/el t, d'M1S la HSl1e des oantons, !l'OIUS f,i'gurlÜll:s 1l1ég'l lliètiem'en't d.ans Iles rle~:­ nieIJ.1S rangs et ill y alUra:it IUn point d'honneur à ,gravir quellques ,échellons. AlÎ,ll's<Î, .a,1011s 'q u'.en 1957 Bâl,e-Oal11pagil1e l'éailitsaJÏt Ul1ie l11'oyJeIme -dIe 88,8 'd t. 'p ar hahitanJt, IqlU:e rLa moy.enne dléls oantons Is üilSISes 's 'lélieViait là 53,6 ot., oeihlJe d;u VarI ais aitte.Î!gnait tout jlUste 21,9.

P la,r ,ruilleu!J.·.s, le 1l1eV,enu net des ventes reste en Vlall'aÎ<s elt sel~t ,à aid'e r Ib ien Id'e s mÎ'sèliBS. Bt s,i pal'flOlÎ!s ûelUX ,qui ifa.'appent il J'a POII:'te- des seOl',éta11i,ats des ,di;stnilCi~s alÎm'erMelllt lliedf?vo_lÎ.ll· drav.aI1Itagle, il n:e tallt paIS oublld:er qwe [,a gél1!él'osüé d !e :l,a oai's se Id,é.pellid de Ja g,énélI.'o,sitfé Id ,es alcheJl'eUll~s. ~Les 's em1éil!al'ia1!s IdWs,p ;os'eIlit lUuicJ!U'eIlI1ellt dlU bén'éif,Ï!oe l:~rulis,é. p'a'r ilJe:s venl!e's Il le tÏIlllbll1es et 'c attes org.a'l1irs:éBs, SuIl' lelUl' tel'lThtoIÏ11'e .

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An die verehrten Lehrerinnen und 'lehrer des Oberwallîs W ,i'e SÎle ,d,er Mi1tooirlmng «Volksbibliotheken im Obe,r wallis» des RoItterll1mndres (Ohrnann: Hr. Dl'. A. Sal:bm'a'lln) tin lIallS'eJ.-ell: Oberwa,lHSe!1Pl'es'&e enllne.hmen 'k onnten, wutl~d'e der UnterzeJÎ'chnete b~Uthl'a'gt, lI11J~t der hochw.

-107 -

~~

BÛCHER

Geistlichkeit, den Gemeindebehorden urnd dre r Lehrerschaft in Viel'lhÎ1nJdUlng zu tl1e'tten, um ooes'e üher daiS W 'esen und die .A.llifJglalbe d'er Schweizer~sohen V011~sbitbl1Î10,thek aJUrf,zuI{]lm~en.

Ich hahe an d'~e'Siem Si:Il!I1e mefl.lJ1Je TallirgJlœ'Îlt llIm 15. Jmlluar d.1. aufrgenoilI1lI11re n. ScJh'On dtiese kUl"Ze Z'eÎlt hart mm· tgle z'etitgt, da5ls elS dtril1lge.nd nOltig tÏ'Slt, U/nse.r V'OJk, haJUiplJS·ii.'ChLich alber unrs e11e Ju~end mit ~eSlUnfder Leseko;st :bU he'Œi,etlJl:en, We11ll1 will.' ,l1J]oht wollllea1, dwss di'ese dlUnch Id la s Üherhandl1Jeihmen reiner 5'e~ch:ten, tel1iCl:enZ<Îosen Kyo,LpO'lltalge- u. IGo:skl~ter,a llur SI~ulitoh glefath11dreJt und seeili~s'ch gesdhli!di'gt "vit~d.

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RomanhleJfitJJein Ü'bel'~eJhen, Idlile eJs den Sohüledll\l1!en ahgenommen naltte. Oille Schüll eninll'en holten ,sÎloh Id.i'e se Helftlein j,eweriJlL<, 8Il1 dten KiOlslŒ und bezalhJLlien 50, 60 und 70 Rapp,etH fiir d:i'es~l SchuU'd, .d.ea.- in SJetÏnem l 'ns'el.'latente.iJ1 unv.erMümt Adressen fiil' seX'll'eJlle Aufl~lÎ:ill.'lull1g unJd hygii'el1liSloo'e Bedtal'fS'artilœl, Sp'eûaüti:i1JeJ.l illJll'S Frallùœe.iloo un.d ÜberseJe v,ermr~t'tJeLte. Mi't Mahnen UJru KdtlJisieœn, -seJlbStt StiMfen allilein Îtst es ni:c:ht g'el1an. Es muSts das Gur~e daIS Bose, das PtOsitÎIVe d,aiS Neg.alIirve verdranl~en, w~m unsel"te Boo1Îihungell fl',uclltbar serin sol1len. Vion d,i es'e r geStul1ide n Ühe~·-

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d,ie 'Bücher an di,e eünz1eJinle n L'e,ser. CrUippen ' voi1 3 hi,s 5 Les.e rn (Famil,1e!ll und HarUls'g,em:e'1 nschafitten) sind ZUlU BezUigvon Büdhrer,ei.'e n mÏ't 10 Bal1ldre.n here'ClttJigt. o,i,e L eJilu(,r i!S!t he.il:rag,t 1 - 6 Monaite, für 10 Bande hoohs'tell.1.s 3 MOlJ1ail'e.

Wlas 's agen Si,e daz'tl ? Hahen wir auf diese vorl'eilha::f,t,e Art des -Enltg,e.g'e nk'Ommle ns· seitens d'e r Sohweiz,erils'c hen VOll klsbiliJio thek nl~cht ein wirksames Mi'ttel .in der Hand, J'wg.eil'd und Vo!lk müt einer g,e.SlUn'Clen LektÜl'e, che III n:t,e11h alLtend , au,f,ba;uen unld ,l ehrl~Bli.ch wid(,t, zu dienen, und damit 'ClBIJl Damm giegle n dile Fil uit ul1's~ttJliClher Ko:Lportage-Literatur, che von alL1en SeittBIJl in III ns e.l' engeres unrd wlro,tet'es l,i:ebes HBlimatland ' elinhl,ioht, z<u 's'Ï'c hern hevo'l' ·es zu spa't sein wir,cl ?

V,ell',s'CIhiedene Kanlton:e Il,abor.ieren ,SChOB :seit Jahr:en an einffiTI VelibOllls'gleJs:etz ~elgleJll Sc1111.u1'd- und Sohmutz,Htet'a'tiur hre.l'um. WlBnn wi-r jlBldoch d,i'e Awf:lage al1 der Mals'S'enschrif,tJèn in ,dlen Ba,h nhoHdois lœn be'tlia:chtetl, mÜSSetl 1\"'11' laullIelhmen, clIalS!s lnan ühe'l' die V Ol'e ntw Ül1f,e no.oh llJicht .h erausg,eJmmmen i,s't. Und Tolstoi · hat S'i oher lieohit, lW!enn e.r schrieJih~ : « Der UntJel,s'o hied zwi'sche.n chemü;;:chen uud ~n~elJl.el{jtueL1en Gilfiten i5t Idelr, d,a'S's·· die · meis,ten dJ!elIDtS'chen GiftJe lei'l1en

intellektuellen Gif te in Form von schlechten Zeitungen und schlechten Bûchent zu meist anlockend sind, und zwar umso mehr, ·.je verdorbener der Geschmack ist ».

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Wahœnd dm' AJUshilldrungsz'e i,t fund ulU,oh S'pater lim B e·r ufSll eb en b emühell ,vi'r UIlS noch ziem1lich um d,i'e /D.ùdaktik. ner ang'eh en:de Lehr'~ r wi<lid ab et· zu wenilg aJUlf me.rk: sam gBIJllacht auf die Mel'ho'dik des Lernen s.

Eine einfla crhe Oberw.aJrlIi.se.l'in in MutlJenz/BrL, d,~~ von Id ,en B:e!su'ebull1g,en in Salohen V ollIŒh'i'hlJio,thek im «WlaIU~s;er-BO,l'e» ~e'l'eIS'ell hatte, Sollll'ielb in lihrelJ11 El1ll1lllntm,un.glsrs:alu'e'Ïh en u. a. aIU'oh de.ll Satz: « Es wiirde mich freuen, so sehr freuen, we~n unsere Dor!-

jugend, die ja spiiter die E'ltern diese~' Dorfer ' sind, zu einer guten und gediegenen Lektiire angehalten werden konnte.:.» Li'elg,t in 'dieS'em Ib elS'ClheirdenJeIJ1 Sal'z l1!~cht elin P ir.ogl'amm - und für ,UlUS d'i'e V;enpf1lilohtJtl1ng, ,d,ieses <lm Rahmen des Mo,~liohen Z<'I1 'VIerwh'klll~chen

?

E s würd'e m'i,oh d'a'h er freuen, w,e nn ioh au oh Sile in IcLieJs'er AnlgJeJlleJgenheil.t pet~so~lIlüch s prechen kO'UJ1Ite. Dal,f ich Sile bùtten, mir mitZlUl~Bli.Ien, wann Ihnen 'mein BeiSlUloh er·wü~]Islc1ht wa'l'le.

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11.

3. l1<llld 8. D ezemher: Knusper, knusper Kniiuschen. Musik 'aws Id'er ,M archenorper

L ehen.

und 117. ,Dez'e mher: V orbeugen ist leichter als heilen. Der K 'a'l11rpf ge:g'en d'i e I.nfdc,tlÏ:onsk'l'ankhffiten.

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Dans la mesure du possible, nous répondrons sous cette rubrique aux questions que le personnel enseignant voudra bien nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur: D'autre part, elles doivent évidemment se rapporter à des problèmes entrant dans le cadre de la revue. ln diesel' Rubrik, die wir für unsere Leser beifügen, werde nwir im Rahmen des Moglichen Fragen beantwol'ten, die nus dent Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber untel' Nel'L1tUng des Namens ulld der Adresse eingereicht werden. Anonymes wird untel' keinen Umstiinden berücksichtigt. FeTner dürfen diese Fragen nul' piidagogische Belange betreffen.

ln der Nove.nber.Nltmnler Ilaben Sie, H. H. Redaktor, ",it de", ersten Leit. a,·tikel in feiner Weise da.·gelegt, dass die Liebe ~l"n Schulkilld die Grundlage unserer gan~en Berufsund Er~iellunglfarbeit sein müsse. lcll mocllte nun, besonde,·s auf Weih. nachten Ilin, .neine Scllldkinder !:$U liebevolle.n Til" anhalten. Wie kann ich das erfolgreicll verwi,·klichell?

Ihl'e FI'age ist zu~e.iJch ieine f,eine A'l1l'(~gung: die Arllleàtung zu ~ieil)'tw.oillfflll Tu'll. ils t fü.r diLe IGnœel1: ,ei11le aJU,sg,ezeU:chrlietle Vlo rherte.iltTUJn!g ~uf W:eihu'achtel11, aher 'aU'ch für d:ru; Leh:en ühoohaupt. Darnlllll willJl ich aUich 'S'o'gLeich e1ne bestlmo'gli.dhe Antiw,olr t 'gehel11. - Zue'l.1Srt müsselll w~'I.- uns darÜ!ber k·hl!l' Welden, was für Mogll ilchke'Ï!l'en ,di,e 5 'Clhrwle bileJtlet, um d:ie Kinrl'e r zum Tun chrirs~liJchel' Liehe hinZlllfühl"len. na siI1!d eilllmal j'e ne Id es Untet'rÏJohte,s selher. lm P'I.'Ofanull:tJm'Ll.1ÏJClhrt rSÏIr1d es IVol'nehnJl.ich die Iso'g. Ge's innungsfa.c m', in denen We::,el1, BteideUltlLRlIg und 'F orrnlen det, mens'ch'liche,n LieJbe geil ehl't weliden konlIlien.

Wlenn wir z. B. ein Le's'e- oder GeJschi:chtsooch eoines gott110s r,eg,ÏJerten Landes aurf8'dhilag,(')n, sehen wir mit Entls'e't:zJen, wÏJe di'e Gesil1Jnung .d'es Ras's es Idi,e W;eilIt d ,es Mens'o hen hes.IJ.ianmen unld duœhrSie'tZien kann.

Ul11Isomehr sollJlten wi'l.' 'ails 'cJhrrisIIJJ,i.che EI;ziehrer rniJt alLer neurrJ,i,clhk,eiJt unse(r,er Jugerlid die aMes 'enltschciJd.eud,en IGro\S\Stallen dleil: gott~iJohen Liehe, dm' MenS'chwerdiUng und Er~olsnll1Jg GlmiJsllii (heSO'lldrBl1s jletzt !Ïm W,ehll-

-; 111 -

nachil1sf'estlcl:,eis) 'V00l" Arugen 'S'teUen. ViJeililieoohit gehen auch UlllSel'e dmi;s~li,c!hen Lehl'bü.oher el'wars zu 'SChWle'i'g,s'aul an diesell T,altfs'a'o hen vo'r hei. LSit z. B. nicht ·aUloh UlliS,m',e Schw,eiq:,et·~eschrichte wétihin nUir Kl1he.gsges'ClhiJchte, dlBl'ell Daiten, Dauel" UlIlid V!en1auf dile KindJell: mit alJ1en Einzieil!heiten ,a'll'swet1!dig 'lel'11'en müssen. Sa!;1en will' d.en" IGl1Jdlern da'hei <llJU'ch deUitlich g'e nug, Idrass Krrieg,e nÏJdhts anŒei'es siin:d a:ls K!lJl'a's tnoiphen d'e s Geirstes det, LiJelh'e?

Ich g)l<auhe, da's's auoh bei uns da's niel eines v,on Gott her bes1tÏ1mmtlen GesohÏJohts- und DeUtlS'chull'l'errÏJclht,e s l1O'c h ni'oht eIJ.1reicht ~st.

Und in det, HeimaitkiUIlIdre, lin d,el' Geoigl"arphie, in Id.'e r NaitUJI.'lmnlldle fand,en sich iiherall reiche Arrsaltzpunkte für die Hilllführu11ig zum Tun chrils,thchet, Li,eJb:e, Hie,r soilJlte irm111let' wied,et, hetolllt Wlmiden, daiS.S die W.elrt von Gott Ig,e sohalŒen un.d ,cleu M,enS'ohel11 geg,eben wurde, danû-t 'el' ,s ile nach d'el11 Pl!lJn Gotte·s vol1lenœe untel sirnllvo.Jrl gre;blJ.·aru,che.

Sinl1:V'o:I.l ·helÎ'ss-t a-h'er immer im Ge'ÎJslte der Li1ebe.· Die g'ro's'slte und Ibeste Mog,liClhlœit, d,t e Kin,d,el' in d.re Geheimnisse de,r goltltli0hen unrd mel11:schlicben Liehe einzuführ,e tl, bietet natür!üch der 'ReJh~ionsUl11ten,icht. Der Ne-we K'a tecllÎlsmus konnte Mer, We11l11 1er nIiobt nUl' aWS ItJro:cke11les l.Jeh~lb'l1!0h g,e.brl.'aU!crhrt WiIxI, eine b:edell'tJsame W'an~dliU,ng schaf,f'e n, weil er die l.Jehr'e von der gotJtlÏJchen und meu'SIChJichen Lüeb:e in den M~t!teilipunlClt d 1er lmtochet~S'cJhen UnterWieilsung <l'Ü!ckt untel an zahlreichen Steil!1en zum Tun der IL iehe amriUJflt und lan~eÜe't.

Ganz hesondens ,a her mO'chte idl el1te's hetO'l1'Bll: Die Schulle muls's .auch 's e1hst Bine Süiueder Liehe ,s'ein, in d er ,die L'i ehe nioht nul' g'eJllell'l't, .so'l1ld,ern all'Clh Ig,eJ,ebJt wilJ.~d. Bas gült in dreif'a dmr Hins·10ht. Zunachslt muss da-s Vlenhal1tnÏ's Lehrer-ScJüIILer in a11en Bezügen - per,s onl'üClher um} ,salC'hl,i~c;her A'N ",om Gei's te der Li,e;be g>e~l'agen sein. Dile Li'e1be zum IGn:d :i'St im padago:gi'S'Clh en und d üclakt,is'chen Hanlddn mas'sgtBhend und entS'dh eüden:ci. Nul' düese Li,ehe, ihr VOlnbüld Ullid Id ire vüeJlfiiJb~,ge G Bs·talh iIU1eJs Hallld lc lns kann delll1 IGudle iheM,en, s'eJl'hsrt elÏn t!Jieheul!d ~s W'Bsen zu wierclen. W,el1'n wir nüt Recht h ehaupt1en, da'ss 's ich daiS Erû,eh'llugsred1t d:es L'eI1IJ.'Bris vom ErZ'i'ehul1ig's l'echt d er Ehern ableitet, so w,i,hl das IJs,ychologci.ls·oh ~pa,chgo­ gilSoh heis'~len, tClalss d,el' Erziehung's autfh'ag d'e·s Lelu-eJ1's ehenflalllJs 'val~el1lirClhe und müHerlid-te ZÜtg'e ,an s10h ~l'agen mu'slS, WBnn el' in gO'~lg>ew:otl.lter W ,ûs'e lerf,ülllit we.IJ.',den SOJll. Banu aher so!11te di'e 'EinÜlht1l1lJg in ,d ler chrilS tHohen Li.ei!Je 'Vo'rn~ehml'üoh .i n ,der K ll aiSsenund Schll'lg.em eÏ1lisclmf.t -selbs,t geschehen.

Hier g'übt es MO'g1lichk:eiten g'enug, :ei.nall1ld'elr vu le11tra'glen, Zill He/ben llInid W,el'lke der Bann1h erzilgkeit zu ühen. DeJI.· luanke, S'chwa'c hheg'albbe, kOllP'ffillücJh behindel11te, "nerwahl,loste IM,i'ts'ohü<le1' 1J.·'11f,t nach Li eJbe rtmd Ge1'ecJh~lgkleit. De'l' Enviebler I11IU S'S alUch i<l11m 'el' wiedler damnhl ,h i'ilweilSen, iCl'a,ss ruuch d'aiS Lern en im Qei's'~e Id'Bl' Lile:he erfo'lg,en iS oilihe.

J,e\d:eJ1' Sc'hÜi}<eJ1' beil1eü~et Si'Cll j,a 'a uf eill'en Bel'uf ' VOir , ullld dües er BBlmf i:sr .eine he1

s till11mte A'Dt, den Mi1mensCJhen in dllelSem Beruf zu cH en en und . .sie auf d~'ese W e,j,s'e zu Ihehen.

Und Id1'i:ueJIl's so~llte zur Liehe;stat,ilg k'e ilt ih d m' IGasse di'e rLiehestaüglœit durch d:ile KlIasse komrmen: T'eüln'a hme an Sannml1u!llgen für kani,taitive W erke (tcloch sorH lUl!d dm'f luan lüch t, w.ie dais ,nieller.oIl'tJs ges:chiehlt, für a,Lle Sa'l11<1ulungen Illind Abzeiohenved\:a'll[le nur SchUllk.iItder he11umls'chüok'em). 'Els gib.t SaIl11111'lmLgen, ,w~Jlohe K'l11Jd!ffi' \S'e!libeJ1' or,g anisieren konnell, z. B. Br.ief,ma·rklen und Strumo'l , A~ltpapier u s·w. für cHe Mli's sionen.

Od:er: warum s'Ol lltBll Schtl'lkind'e r IUniter Füh.I1·lUng des L ehl'p e-l1s ol1'als J1Ï'oht alUlc h 'Illlal alten, .kranken od'er Vlelilas·s·.eIlllen M'ensc'hen ein Li e.dre r,s,tandchen bningen? Erziiehung Z'llIJ.' ohriS1'lichen Li'e'be i's t aUloh Ei"z·üe:hrung zur hofliJohen Rüc!\:'S']ol1!J.1nahl111e, z'llIm F'lieu'd le · mae hen dur oh krle]l1'e, aber f'eine AUJf· mlerksamlç,eil~en, zur BieJ1Jstfe'l'tÏJgk,eit IUSW . .

Nul', wenn wi,r in sOll cher· Albsioht ullId Einlstelb lung clenk,en, eni,ehen un1d "\Tod,eben, hait IclriJe Schuile riJluien 111'e11JS'cl1l1'ÏJohen und gOtlt: tLiloh en Auf,tl',a'g erfü!llt, iMrell'sc'hen, d. h.

LidJeu1.cle vu erzil~hen und 'zu hiJd'e n. Dann Bl1s,t ilS:t sie 'eine SohiuJ,e, d'] e H]cihrt Sellhstzwerck islt, Ison:d ern Schul1e · füm L'e b.en, li m na.tÜ:r~k;hen und ühenn'atüriJ.,i,chen Sinn. Soll che Erzüe:hung lilsit vu~leich fei,nste VI O'rhe<l'e!itl1'l~g wulf beg'l ückenid'e, 1 ie;bevo!lle W.eJil1l1Iachten, die üoh 'I hn:en unlcl IhrBll Sc:hlU'lkli n,dern von Hen'eIn wünsch e .

Nouvelle collection de manuels dJ'histoire 'pour renseignement secondaire Moins de batailles, mo,ins de problèmes dynastiques, mais davantage de faits de civilisation, de textes elt d'images mont~ant comment ont vécu les hommes; nouvea,u découpage de ,lia matière p~u-r faire place à l'histoire la plus récente ; op~ique moins européenne et plus universelle; intégration de l'histoire s·uisse dans l'his,t oire généra'le, lfeHes sonrt les principa,les innovarf.ions de cette collection, remarquable en outre par 'l'élégance de la présentation et la riches'se de l'illustration.

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W illst du, dass man dir gehorche, so mac he, dass du geliebt wirst, W ollt ihr geliebt werden? Wohlan, so müsst einen Schritt weiter gehen; ~ure Schüler müssen nicht nul' von euch geliebt werden, sondern das muss ihnen auch zum Bewusstsein kommen. Und wie soll das geschehen ? Dm'über sollt ihr euer Herz befragen ~ es weiss Bescheid.

Don Bosco

Aufrichtige Religi.on, die das Hancleln der Jugend beherrscht, Vernunft; die je ne heiligen Grundsiitze anwendet : das ist, in zwei W orten zusammengefasst, das von mir angewendete Erziehungssystem.

Don Bosco -1']2-

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SOMMAIRE

-

INHALT

An selm Zeuzünen

Stille- und Weihnachten

66

Abhé Maw-.t C'e Zund'ClI

Avent

67

K. Grihling

Die Aufmerk~ ((mkeit, Triebfeder des Unterrichtes

68

Pitié pour les enfants !

73

AMred Zurfluh S.M.

Freude am Aufsatz

76

Au gustc Juh cl'

Pensées d'tin vétéran sur le cinéma

79

CAISSE D'ÉPARGNE DU VALAIS Notre étClblissement traite toutes I-es opérations de banque. Il exerce son activité dans le canton depuis 1876.

Il ne poursuit pas de buts essentiellement luera,t ifs puisque ses bénéfices, après les prélèvements nécessaires à sa consolidation financière sont entièrement affectés à des œuvres humanitaires et sociales.

Prakü-s'chel' TeiJ. : Sr. Loyolla Zumtalu gwail d

Aufsatz aul der Mittelstufe

82

Ein altes Schulzimmer wird heimelig

86

Grill in den Alltag

88

R. Arb ellay

ELude du sol et des engrais

90

Paul Pignat

Un cahier de vocabulaire

93

Fiches de géographie ('suite)

95

Communioatiol1Js - Mitl'erilrung'e n

RENSEIGNEMENTS

-

99

HINWEISE

« L'Eco'1e vallais·arnne » pa,raîrt à Sion ,l e 1er de -c:harqu:e mois de nov.embrre à jruin. En été, numéros doubles le 15 juillet e t le 15 septembre.

Die «W aUiser Schule » erscheint in Sitten am 1. jedes Mouats. lm Sommer, Doppelnummern am 15. Juli und 15. September.

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