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AVIS L.e·s ip ersonnes à qui l'Ecole p'rinl,aù'e serait adress-ée 'Pal' erreu.r nous · rendr,a ient service ,en ,r envoy,a nt le journal .avec la lm ention « Refusé ».
L'instituteur, après le dur labeur de la journée·, sera heureux de jouir des plaisirs de la famille et de se délasser dans des
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Traitement du personnel 'en seignant
CllFÉS
De diver,s n1iHeux, nous parviennent d~ demandes de ren.~~i~ements .quant ~HlX mOldafi.ités de v~r.ser Iles u"3:itements fon,. oés sur 1e l1'ouvœu décret. Pour que :cihaoun 'Soit Ib ien a.u clair et ,puisse ,f aire Jes contrôles voullùs, il nous QYaraît utile de donner Iles indications suivantes: 1
c
. Rappel du traitement du ' 1er janvier à la fin du 1954/55
COU1's
scolaire
'L'article 22 fixe l'entrée en vigueur du décret au le.r
jamrvier 1955.
-
74-
- 75!
'
Dès 'l ors, }e Ir~ppel de traitement a été caJcul~ sur 'la base d,e s moi,s effectifs de classe. Airud'l un , ,i:nstttu ~eU;r" -e;n~i'gn,a.nt peDiQJa,nt 42 lsemaines ou 9lj2 mo1s et' ~y.ant a:~tëf~t Il e m~-xlmllm des tarintées de service a'V,ait droit ,a:u rappel p~l~(l'al?-t 5~/2 ,mois, c'e&t-à..,dire du 1er Janvier la'll: }5 d_u~,~ '1955. , -
Rehohérissemént ,lSpéciaQ: 'de, !6 %' ,:r.': ri:(,sl'F r. ,s,583,.tb) ','" - '''' ''' . " ,_;, Ano cati on , de délplace~ent ,'- , ,' (chaque ca,s traité individtieHement)
", . " Yo~ci, à titre d'indi.cation, qUellques exemples :
Traitmnent v't 'ut
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1) Institute~t1', _ 'maxirn'Um de pTimes d'âge, '/naTi,éJ 1 enfœn.tl Classe 9,5 nioîs (42 semain-es), soît dùle?n selJte'iltb'l'e-l;5 ' juin.
Traitem'e nt Ipour 5.,5 mois (1.1-15. ,6. 1955) (8800,~:
:, 9.5 , x 5.5) - (idéer,e t ·.19'5 5,) A~location de rmén~g,e ,_" (480.- : 9.5 x J?5) . :" l':rŒitement cotisCltnt POU?' la ccâsse de retrnite Allooations ;p.our ;e n:fants (3GO.- : 9.-5 x 5.5) Rencihérï.ssEml,e nt "s.p:éc1aQ ide 6'96 (,si 5,372.45 208.45 = 5,5'80.90) AUoooïions de dêprla:cement '" ',' <. "haJq ue ,c as tl"la-i té indi v id u em'em·enrt ) Traitem·e nt brut A déd~tire: Traitement brut ver,sé Ip ar l'Etat ou la COm.111Une "s'elon tdéé.ret de 1948 ' : ' C750 30 -f- 30 Q% ) " 858.60 X 5.5' = Solde trait-ement brut Retenues: Ratplpel ,A VIS ,2 % (2 % du ,m o.ntant [fitg.ur'atnt :sI Itl~aitement brut (5,915.75) nloÎ1lS petenues .déjà O(pérées) R aipJpel ,c otisation cais'se Ide l~etl'aite ,', (7 % du tradü~m'ent cotisant, moins ·r etenues· déj:à Qpél"lées év,en:t. 59 96, :qe 1',ang.ment~t-lon si tprim'e d'âg.e = 46.30) Solde ·e n votr'e fav,e ur (ra1ppel :n et) ft Ye~ser .s oi,t par il'E'~at, soit par:)a , comrnUil1~.
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. ' 3) lnstitut'rice, l1iat'iée, maxin~urrî de. p'times Classe de 7 'mois, soit d'lt 15 octobre au, 15 mat. 1~r.aitem,ent pour 4.5 moi,s (1. 1.-15. 5. 1955) , ' 3,764.55 , (5,856.-: 7 x 4.5) -.AHoootion de ménage
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b'l"ut
Déductions: (voir ·exemlPle Cllasse de 9.5 luois). ' 10 .pT'lm . les rl'aA:'l~ . . 4) 1nstttut1~ce, ce'l'b t atat1"e, . u~, fi 'mois, soit du lM" novemb'l4e-30 avnl.
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1'1"aitement brut Déduction.s : (voir ,exen1!p:le c:lasse de 9.5 moîs). II
1,0.93.75
Dispositions pour l'avenir
: ',Oj
,
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'75.75
2) InstituteU'r, aélibf#tcdre, ' 3 pr~1nai?4es cl' âge .1·.Clas~~ ~di} 8 'mois, soit du ie?' ~ctobre a~t 31 , 'Inai. 'fraitement ipou.r ,5 Im o'i s' (1.1-31. 5. 1955) (5733,-;-- .. = 8 _x 5) . __ . 3J 5~3.10 Trait;éIrEmt ' côti~antf pOUl: ,la , caiss·~ ,de r~tr:aite ' , 3,583.J~ ~
Déductions: (voir exem})le CIlasse de 9.5 nlois)
~r1'aite'lnent
5,915.7~
"3,798.10.
En c:e qui concerne les pwiements. futUl"lS, ,l e tproj~t ~e rêg.lement (portant aVlPlioaUon d:u décret '!prévoyait .c e -qUI sUit: ' Dans 1es ·cJ1a;sses de 39 et 42 s'emaines, le ' traitemen,t est
réparti ,s ur 12 ,moi:s.
·
,
'
« Dans Il es classes de 39 et 42 semaines, !le ,t raitement est le tria:itemenr:~st ,r éparti sur le nombre de mois dt éool~' augmenté d'une unité.» ,
Le décI'~t fixant ,le ,t raitement· pour la ,- d~u'\ée de l'el1:&'ag:ment du. \perno~'l1~, c'e~t..Jà-dire" Ip our 1'a·nn~e sOOllaü~è,· ,i'"a sys,t~.e cœ1!f>lsta1nt 'a ~epMhr le tr'~l~ment s?r .12 mois a p-ro:v~ qwe !de Vlv'es opposlh011JS et dB sel"lleuses dlff-lCU1tés. . . C'est ,p ourquoi, après avoi,r sérieusement réex.aminé Cf; problèlne 'et avo.ir !pri,s Ic ontact I3Nee l,es associations -du pel'Bonnell, Ile Départem:ent a 'résdlu d'abandonner 'c ette mo:dalité pOUl' la rempllacer par un ,gytStème unique oomettamt pour tou,.c:; le~ il1JStituteurs ,l a .répartition du traitement de l'année !s colaire ~ur ,l es mois ,effectiIf,s de classe augmentés d'une unit-é . . Ce 0h~ng'eme1i.t entraînera !pour quelques-uns un.e modifi.: cation ,d u ,b ordereau. Cellle4Ci interviendra au moi..s de dé~ cemibre 1955 et nous es.pérons qu'eHe donnera s'atisfaC-tion il chacun, . Sion, le 15 'novembre 1955. Le Chef de Serviée du, DépaTtenW1'/,t de
l'Instruction publique .: IVI. EVEQUOZ.
Des trésors sont menacés ,... ....et IeuT Iconse.rv~-tion Ip ose .de ,gr.aNes probJlèm'es. Une solu-' tion originrule !8, été trouvée Idepuis 10 lans; :rup,r ès les fruit.s de l'aIU!ton1ne, les ECUS d'OR rpour :1e viJSa.-ge aimé de -la ·Patrie se mettent ·à rouler. Que d'œuvr,e s Ibe11es 'e t 'u tiles ont -été I~éaHséetS I3:ve~ ,le Ibénéf.ice Ides neuf v,e ntes passées, Sjpécï.a'lème:nt én Va,l ais! ·Le ,pa'lai:s de StockalpeT :à Brigue est Ig ravé sur la méda'ÏUe de .c ette .am:née : ,FT. 50,000.- ide J,a .re'c ette ISeront réservés pOUr' ]a restauration de ce ·m onument. .. Le Ohef du D~partem.ent de Il 'Instruetion ,puhlique -fait ,ap,p el if. la ,co11alboration du pensonnel enseignant et espère que celui-ei apportera son :oonWUliS :le .p~us iWcti.f à ù'ol·ga·nisa-tion de ·,la v,e nte, lq ui 2!ura Œieu Ues Q6j27 '11ovemblie, d~s ECUS d'OR afin qu'elle ,p uisse a.tteindre tous 'les villages ,e t toutes .lès .cités d~ notre camton. Le Chef du DépCl/rternent de l']rl,.stru-etion.' publif.r;"f -:
JI. Gt-(!..~
Pro Juventute et nos familles de Iq.. mçHitQ.g ne
.
D'n e des lp lus ,intéTles&aiIl·t~ aèrtiVités ·,Clè la Fohdation Pro: Juventute est . ,g~n~ conteste Il 'Aide de ·!Stagiaires · 'a ux : familles · dans 1<3. détr,esse. Dans toutes Jes ,régio~,s de notre. lp ays il est .qes fami!J.iles Iq ui .,n e peuvent -enga'~e.r ull1e .iWide 'Pay~; Qui -donc reprendl'la lIa -tâche ide cette .p aysanne va:}.ai's a,nne . ayant 12 enfants 'e t soutfIfranrt de vari.ces ouvertes ? Qui viendra ~n ·a ide à c~tte mèr,e 'gtr,ison:p;e :dont ~e m·a·r i est Idécédé ·~m 'i-ails sant i> enùlints ·à élever? Qui r'e m;placer-a quelques sema!Ïnes ~a femme d'un o-uvrier que ,s a 's anté cont~ai-nt à faire un ,s éjour de con·vaJlescence ? Qui exerœ11a '00 patience et sa sympathie chez une mère de famille nomhreuse, devenue inldiff:ér,e nte à force de fatig";Ule s et dont :le ménage est négHgé ? Tout .c ela c'·e st Ile tr,a vail des :stagiaires ·'qüe Pro Jùventute vro-cure à c.es famtlles dans 'la détr,esse. Vous y -penserez qu.anlt nn vous of,fri,r a 'les timbres et :les cartes :de Pro Juv,e ntllte et vous vous diil'ez que 'c·e n'est là qu'une Ides activités de 1a Fond,ation qui est ·s ur la ib1~èche depui,s 43 ans. Le Ip ersonnel enseigna·n t val1a isan ~so11ici~è ,po'l1r .ç ette action en faveur d.e notr,e jeunesse la chaque année -collaboré ·a:ctivement ,à cette v,e nte Pro Juventute. Nous ip rofitoIis de -c-et,fu occasion pour - remercier clha'l eureusement instituteuf.s· et institu:.: trÏües qui ,s e idévouent lSa'n s 'c ompter. Nous ,f aisons à nouveau a.p_: pel 2. lIeur bienveil1anoe pour qu'en décemibr.e 1>'r ochain ils mettent toute J.eUJr bonne vo1onté ,et tout a€ur ·s avoir-f:a ireau sel·-· vice d'une œuvre .q ui .t'rava1~~e :pouù" la jle unesse d.e .chez noLl·s.:, .~~Jfp~~tf.~~
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G TJ&JIINASTlIQUE .
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~>ikJ' .:Pi-
.Programme d'activité de notre Association pou r 1955/56 L'association des -ll"liaÎtr-es de gy;m1nastique d u Valais Romand prévoit pour la sai.son 195'5j56 ;le pro·g ramme d'activité. suivant: 1. · Un cou~~s de perfootionnem-ent ,réservB allx · Cihef~ ,de cours régionaux. . . 2. ·<:· rHx::"hulrt ooui.~s d-e gymnastique ol'iwanisés ,à ,l'Îl1tention ·du personnel enseignant du OMlton. . .3. Un cOlll"S qe. ski ,m~xte Ide 3 jours qui aura .l ieu !p:rob"tlblè)ffiEmt ·,à Vercorin les 26, ·27, 28 décembre 1955.
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4,.,; '>: 'U n -coû;r:s d~ 'ski 'd''un J'ou-r rése-r vé âÙ* r-;"Jj' -gl'e-uses e",t" au,,,, >...., .__ ~
institutr.ioos. 6'. ·'. tJ,~ !C9'u~s _d e patin (mixte).- , 7. ' Ci.mÎ jours de perf~c-tion(l1~men-t .sa1Je). 8. ActiiV,irté 1d~l1!S iles sÛlqs""'~tions : ces g.roupements d'im~ti -tutt:ices et d'i'nstituteur·s se réuniront réguHèrement pour
-(en
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G?'ône, Vo'Uv'ry, Sa,xon, Ayent, Sierre, Sion . Remett'que: Les cours ooront !puihliés en temps opportun dans il'Ecole 1yrimaire avec -les ,r-enseLg:nements :s 'y rapportant. .Le ûhef te.o onique de 'l'AM GVR, Elie Bovier.
COURS RBGIONAUX DE GYM,N ASTIQUE -L':8J8S()ciation des maî,tr-es de :gym-o ostique du Vala:is Ro-
mand organise, à 1':1nrtentirOn :du :personl11el enseignant du canton, l,e s COUfiS régionaux dé ig ymnastique ISuiv.ants : Lieu du cours
Direction
Lieu du cours
Leyt'fon, G. Del~loye Isé1'ables, G. De~-aloy-e Pont de la Morge, P. Bourban Sçwièse, A. Fournier Grône, V. Duss:ex Saxon, G. IM oret Venthône, -G. Théoduiloz Ve1·nayaz, S. Dela:loye Troistorrents, M. IC outaz
Direction
Fully
G. Moret R. lFrossard A. Fournier A. Fournier G. lVIo.ret R. Monnet S. Delaloye S. Delaloye P. Pignat
Nendaz Vex St-Ma-rtin Bagnes Anniv.i€lr,s Or,s ières Ayent Vouvry
Remarques: - 1. Tous les COU'lJS puibH-és auront Heu durant -le mois de novembre. Le lPers:onllietl ensei,g na,nt ,s era convoqué Idir-e cteme-nt pair 1es di'recteurs de cours,. - 2. ,C haque ,i nstituteur ,et insti,t utrice se fera !un devoir oette année d',aJssi.ster à Ù'Urll de ,c es :c ours où i:l trouvera d'utiles .r en-
seigmemenrts !pour .enseigner Œa gytmn8lstique dans sa classe. -. 3. Les frais d~ voy'a gè seront ·s upportés ·p'a r les partlci-
~nts.
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,Le chef toohnique : Elle Bovie·r.
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.trarvailUer ensem!b.le des :l eçons du 1er, 2ème et, .3ème degré .fi,LIes re t g~ç-{}ns en Ville de .l'~nseignement de Jagymnastique à l' écqle. Voici la jU ste de !los :sous-sections auxquel'les chaque memhre du pefisonnel enseilg nant -est !i nvité à adhé-
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--'DfSO~&,
-Notre 'cours -de deSsin rénOOntre urne tel1é favéurr qu'll n'a :pas -été -possibfe _de -r-eteni-r" toutes .les- ,i'n scriptioù.:s :r:eçu~s -p.our -partici!per à ,la ipr-emiète .journ-é e du ;6 nov-e~bre. Les l(}er~hlCrs iüscdts, plus d~une trentaine, ont dû oêtre décommandés; : faute de tplaces dis!pondlbaes. Ils ,seront les :premieI'ls ·e n Hls·t e pour la seconde journée -de tr~vaiJ - q:ui aur,a l ieu là :8i{)n Ile 4 décembre. ~l ·est tro.p tôt pour rflai.re -ll,e- poipt -e t vouloir -a1,l·g urer des - possfbillit-é s ,et de l'intérêt _-en Ip ulls's anoe dans. ,ce , c~urs de ~es sin, m'ai-s après lI a journée :du 6 nov;embr-e, lqUl au dl,re, U11arl1;ne dies Ip a-r ticip-a nts, a été une ,r éussite, an peut 's ans pr,e somptIon en espér,e r -beaùcou,p . LI est d',a il'leurrs réconrforlamt de rCO'l1stater l'em,pressement que 'm et UDie :gmnrde 'p artie du pel"lSOnneJ en-se'Î1g nant à Ip rof,i ter d'un -enriohis's'emenrt qui 'le m-et. ,e n mesure de r.endr-e rSon -e nseignement .pll us -a dalp té ·a ux ex:ig,énces actuelles et dOlnc jplu.s ,Ieffichmt. . _ _ . _ , __ _ , ~ayonnem'erllrt de )'alrtiste complète Iqü'est MUe ..Ri~ tr~,l~' s-: iotlm e -les -heur-ès tde tr-ava-i:l en une Idétente idominica'le pleine ,de cha-r m-e et !l es parlicip-wnts ;so.lH-cités ,a vec !rÜn ,s e·n s psy,cholog-ÏlClue av'e rti ,o nt 'r éporndu la:vec ullle -~pontaméité quoi per.m et tous .les espoiil"s ! . -" . Nous -c royons urHle -d é r3!ppeler qu'il rs '-a-g'-Ï·t d'un vrai COU1'[; de dessin .c',e st-à-dir,e de leçons iprogr,els-s-ives -e t -suivies. Le dé", placement du ' C01~-r.S. 'a lternativ,e ment le ntre Ma-rtigny ·e t Sion ü'a été envisagé 'q ue ;pour équilibrer ;les rfrais de déplaœlnent entme Il es 'p-a rticiiPants des -régions -e xtrêm-es. On est :prié de s~ munir du -néces·s aire pour .des's iuer. -
- Le
Pl'ogramme du ' cours du 4 décembre
Local : Ecol,e ,m é l1Jagère. Ouverture du cours : 10 heul'-es. Pa;use : ide 12 ,à 14 heur,es. Repris·€! du travail : 14 à 16 ,h. J
Inscriptions :
s ont insCJ'i:i)s d'o.ffic~ ,pour !-e -c otlrs du 4.décembre : , - . __ ~) les ,col'lègues dont . les._ ins,c riptions tard-i ves. it'qnt :··pas ., ié tê r:etenues pour --Il e rours du 6 nov,embre; b) les collègues qui -s e sont -inscrits dwns les l istes en CÜ·-· c~ll~tion 1)endrant I~e cO~·1"S . de ,Martilg ny.
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J?~iDAGO~~[QU1E . : i
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Supplément cl' âme
***
LA PAGE DES POEMES .
Les jeunes à la limite de deux mondes
Pour 'r êpondre 'a u désir de ,n ombreuses colllègues, rEcole.
Pi'Î1naire rpubHer,a des ·textes à mémoi"iser 'Ou qui ,p euvent ser-
vir à une é1Jude. Le poisson rouge Le ,pet~t ipo~SOOIIl irouge danse Dans 'l 'eau clai~e de son bocal Et met de,s écJair:s de ·m étal Dans ,la fragtle tr'a nspairenc.e,
Qui saura ja·m ais ce qu'il pense Puisque 'S011 mutisme ·e st total? Le petit poisson :roug'e danse Dans l'eau cla\Ï.<r.e de son bocal. A-t-il gar,d é las.oU!venance De so.n heau l.ac oI'lientall ? De :fiuir sa prison de Cl.'isital À-t-i1 ,conservé l'espérance? Le pe.tit pois.son r{mg.e danse. Madeleine MOll'dacq . Toile ' d'araignée Daîi~i l'aube, pendue au cytise, Lui.gait une si ün€ .t,oHe Tissée ,p ar une a.raJÏ.gnée grise Que la nuit qui , s'y était priS(" y !avait ) aissé des &ile.~ Maurice Cm<èrn.e
Escargots TtÜut de ·g.o de go vont Les · e.s.cal'gots le fanal en tête et le sac .a u dos. Mauirice Fomlbeure.
La l'onde ' des fruits, l'TOis ·petits bonshommes IVI'ont dit leur histoal'e. Le pT·e nüer SUSiUll're : « Je suis M'onsieur Poire. ,} Le second mUll'illUre: « Je ,suis l11.onsd,e ur Pomme". ' Le tr.o'Ïsièml€ :assure « Je suis monsieur Prune . ,; Au clair de lune, POl11J.11.€, Prune .e,t Poire J Du m.atin av. soi'l', PoiTe, Prune ,et Pomme. «
Le 'l 'ouet de velTt"
Devinette A vt"~ des halos de .dentelle Enrtr·e · les herbes iri.sé.es, Qui tisse vite son ombrelle Où viendra rire ,Î.a rosée? Alain
Deb:r(l ;~~
Le chamois J'lai Vu fuiT .le chamois légel~ Qui n'a pas d.e laisse Et pas de berger. Ah! queUe ,tr.iJStesse, Chamois des rocher.g, Chamois de la nei'g e, De n'avoir pu rtoueher Ton dos noi.r ,e t !lustré Bt ta ÎOUn:'1llre beige!. .. Mad.eleine Ley _
Les ,p lus anoiens d'·e ntre nous ,plongent· encore leurs ;."8·cines profondément dans .le 1ge isièele. A,l ors le Val,a is .€twit une teiT€ Ù laqueM.e 'l es 'ge.ns donnaient tous ;leur,g efforts. fallait vi\7'rc :des pTodui,t s du pro.pre 3Dl et 's e surffire de peu. La, Q)opu}atioill .é tait à Il'avena;nt; i~éq.uestrée dans 'un pay 8 aux accès 'rfares et dirff.icil.es, ·e lle tétait de nature plutôt réservée et ne 'co.ur~üt ipals après les 'llouv'eau:tés. L'agriculture fami ·Uale, le m.é Uer 100011 et Œe ~omrmerce régional devaient apporter ~e g,a in indis'peIllsaJblle. On acc€Q)tait alors une .oertaine prédominance de clas"e, et le Ir·é gent du v.illa,;g e fai.sai.t fdgure d'homn1e presque ip ri,v.i1égié. ,L a ,,,ie nor·m ale ,e t 1"eliigi1eus'e 's uivait fidè'lem81nt l a voie de l,a traditio.n et de J,a c()utume. Ddlie 'q ue .les ' âmes olb éissaient dava,ntaKe .aux s'uggestions du «tirnor Domini» qu'aux élans d'une foi ,l umineuse et d'une croyance entho.usiastè~ ,c 'est constarter . J·a mentailité d'une -époque dont ,l a ,s olidité est un l1'1.érHe non néglige3Jble. Le ,coUJrant puissant créé par de.s ·SlÎèc1es d'une eXlstence moulée ·s ur 'l 'exemple des 'a ncêtres tr,a nsportait avec s,es flOt 3 1e bon et Ile moins bon indis·t inctement. Pendant que ,l'Drganis,aüo.n de Il 'existence va;laisa:nne s·e transcforme, il se ~)roduit au sein ·de la Is ociété des ,c hangements destructure de plus en plus visib'l,es : Les cadres du foyer, · ·du \,i1lag€ et du 'canton Is ont brisés Ip our faire p.lace aux .sY'lldicat ~" aux ,g roupes 'Siportifs et aUSISi d"action reli,g ieuse et sociale: Et voici Iq ue le tou'r nant du 208 ;siècle annonce une irl'up-. tion de j,e unes forces dans Ile « vieux ,pays» : d'aoor.d à peine percepüb.le ,a u début, 'Puis fDrtement accentuée 'p endant la -premièl~e guerre mondiale, .a!près très 'a ccélérée et maintenant 111\pétueuse. LI n'·e st :p as néee.s.saire :d'exposeil' ,lon.guement en quoi le 1TIonde nlOderne a pénétré dans la vie valaisanne avec l'in1pé·· tuosité irrésirstilb le du Iprogrès technique. Les grande,s industries c.himiqt"1e: .~~, €lectrique se sOnt créé des centres dmportants et <mt ,a ttiré dans leurE-: ·'e ntre.prises ·.des· :mnlîel~s de bra s ' '(j111e'vé:::
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à ia' ,culture dü
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~sol ou réduits ,à lun .cJbônmg.e partiel ~ou ,à l'é,plÏ-
gration. L'·a griculture appelle ,a u Is ecours Iles méthodes moder,h'és et tend ,à deveni,r à IS011 t.our 'Une v-aste :entrepri(s e inc1uF.trie1'1e ou .c ommercial'e. L'industriie hôteHèr,e (tel">lne bien curieux ·pOUT dé8Ï'g;n er l'e ,s ervice des hôtes) ,a mène da.ns .}e pays un' élément 'e xtérieur -de' lly1us 'en plus nombr·eux. La jeunes,s e ·entrant dans ·c ette soc-iété .staJbil,e, ordonnée «-'LI rythme 'des g1énérations comme à ,c elui des saisons, e,m bo'itait pas ides ,a nc-Îe-nssans .hésitation. Même ceux ,qui voulaiènt af.{i'r mer -leur ' eSlpr~t :nOVlateur n'oujb:liaie-n:t p.as qu'il f.a'l lait com})ter .a'v ec .la -puisance de la cQutmrne. Au lieu ,d'être la vablée olose d',a ntan, Iles bords rd u Rhône forment un corrirl~r au courant ini-nte~rompu. Quelles -l"iépercuS!sions iCe Im.ol!~·e nouv-eau ' a-~-il p:l"odui-tes . sur J.es ,h éritier,s du monde tr,a ditlOunel? 'Ques·tnon vlRste, ,et. diffkile. Chaque observateur ,e st ·exposé 'à y !répondre de son poillllt de v,ue. . ' Il y :3, une dis.cordance -évident~entr.e Il a figure de ce rnond e llo'u veau ,e t 'la pe,r~si.s:tance de tllombr' ~us~s habitutd.es: an?estralè3. Ge phénomène n"est certes pas ;partIcu1œr ·au Vala:ls; 1,1 ·s e pro-duit pa.rtout où l'h~i,stoir,e est ,à un tournant; , malS .c'est lI.on ~ qui avons à gér,er 'n os propres a.ffaires :et à 's>cruter 'l 'état de In. population, ·en .p remier ,Heu cehH de la J8unegSe. On a dit que ,le dév,e loppement économique a été -tr0p n~ pide. Il est l,à , et !~l faut ,é ompter av.ec -le.: fa'Ïts exi~tan~s, c'e.s tà-dir,e .avec une inardaptation, ,semblablle ·a ceUe. qUI a. hey. chez, le j.eune à l'époque Ide lIa puberté .. Le terme de C1"'l,Se ~e c1·O'l,SSa~o.e
le
collective sembl,e désigne?' CLssëz exactement cet etat de desequilibre 'ent1'e le développe?nent . écO??,,~m.i9;te et, social d"nne I)CL1°t, le .cléveloppe?nent édu?ati,t et ?noral cl Œut1"e part. Il y la là un éta.t .de !souftf[ranœ dO.~1t ;I,e s ,~nci,e.~s tpeuv~~~ avoirune .conscieilce 'p~lus nette qu,e la .gene~,,;~b{}~ ,nee. ,a u 'lnTheu . de cette' évo.lutiori. On ·constate u·n v,I de -ct ame, ,1 rubs·ence de subs~ . tànœ .spiritu.~lle ·quidev.l~~üt . 'péné~rer -les r.éalités économiques, politiques, .gnci~l'e:s ,et cultur,ell-es. '. " . '. .Les j'e unes n'-ont pas encore exi:)è.rime:1té ce vid~; ,mai~ Ip-ul' particiJpation à. Il.;;t v.ie ',moderne l~s Imp,r.egne des Idees Ine Wl'nées ,dans i·e Slpec-iacle de tous .les .1 ours. . '. . ,QueÜ~\S lsont ces ;idtées impHcites? . N oas empruntOns . ft lrl, ·Q..· de .-Gh.a stonay -une Ilong'ue citation très ·r-évéla.tri0e ·: ;'., '«' Ge qui 'So'e:mble ca-ractér.fser Il à :m e.rit-a:lité du . Valais COl1tèmp{)~àin, é'es.t- d~a\bO'rd. 'un g.~,is· sen:ent eonsidérabl~ v~rs l'EconomIe pure dont Il es .Sl'gIl1~ .ludubltaJbles ,s e trou~-ent .
dans une recherche .du pJ.'ofit Ilégi'tÏirne, m'a i,s trop squ v.e ut alliée à un .1lTI'a niqure d'e conscience rprOff·ess:ionllle'He, ..où ..mêlrte' d.e conscience tout Qourl qui sé répMl'd de (p lus ,e n pans :dans ' tous les &e~teurs; . dans 'l '.indiffévence -à l'égard Id es idéologies matéI'ialiste~ :qui C-Oilduils,ent .à aic.cerpter In'-i'm1po,r;te quell:le solution, sari,s souci des inconv.énients d'olidre ;m oral Iqu'eUe lpou-rrait 'présen~r; claus une ce.l~ta.ine 'r udess e ,qui se .fait sentir de ',p lus 'en. plus à rneSUI',e q;ue l:e Valais, par .s on e~ SÜfr .éconon1Îoque et ,comm-ei'.'cial, doit entretenir -des re:l,atio!l1s plus ·é tro.ites .avec 's'es voisins, et qui lui font con1mettre . de.s erreurs de comportement naïves ,e t gros's-ièr.es, s.ains méchanceté Is ans' ,doute, mais pl'é·judici~bles ·t oujours; ·' d.ans une insouciance ou néglig1enc-e ,p i'ofessionnelle- trn}J fréquente -dans tou:s les mi.lieux, paysans, artisanaux ·e t Iném e dans ·le8 prof,e ssions iliibér!a.les ; .d.ans un manque ide ,m esur,e, un manque ·d'objectivité dans 1a critique ,à Il'-égand de's !h ommes, 's urtout Ides magistrats, et il ~'égard :des li'l1istitutiohiS dû, !salns dou.te, à un ternpéramènt bouil1ant, m.ais trop peu 'contrô,l é ; . . d,ans un g·e'll'timent d'·envi,e ,et ,de j,idousie, un esp.r it Ip arti:' san soigneusen1ent .cuJ,ti'V,é ,q ui ne Is u.pportent pais 1'ascènsio11 du voisin, préfèr,e'n t ,l a m·é.diocrité de tous, et entretiennent. le~ r ivalités ITI1esquin-è3 et stériles des per,s onneset des dans. » <
Il nous p araît utirl-e :cl·e
'PeStÙ~
,c es tparoù;e s .d'u11 homme qUI
a. 'PU ·ohs·e rvler :d,e (près l,es hommes ·e t · .les choses ,e t nous '
clit
clairement, du moins en p~rti'e, ISOUS .queUes l'11f,l uen'c es la jeu:· nasse respire, ;bien qu'à 8(}illŒns'U. . II' f.aut ,certes gagnel:' le p.ain qiuotidien; mais Je divin l\IIaÎtr·e qui :nous fait .d emande.r ce !pain quotidien, nous av·e rtit de ne ;p,a s nous l.ai.Ïss,er :a bsorber par ces :soucis Ilégirbimes.
Et voilà not1'e g'rande tâche éducative dans notre situatio'n 1 empZii' Ze vide spirituel, amener ,les jeunes âmes à, s'élever au-de.8sus de le'w' ouv'rage tout en l'accorrvplissant, · leu?" P1'OCUTe-;" le 8Upp lé?1~ent indispensable pou?" faire œ1.tv're d' homme . p~dagogique ' actuelle, à la 'limite entre deux mondes,'
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Il y -en 'a. :q ui ·t raitent d'utopies et de rêve,r ies .le.s préoccup ations de ce genre. Sans -le ·s avoir, ils tSont le's dupes du .1naté· TiaJilsme historique d'après lequel ,l e cour·s de 'l a vie des peu.ples -est fatale,m·ent ,déterminé ,par -des facteuTs :économiques et en général ·n1atérie!ls. S'il .en était ainsi., H faudrait supprimer les kdles et .les remplacer par des 'a't eliers où Uille [p rogéniture anQnylne . est enrôloé€ de force 'd ans le mécanis'm e d~ la production industriel.1e. ,
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Il jnut de notweau p1"'end1'e une consc'ience plus clai1'e r
ph{,~ 'iJaste . et T>ius vivan,te des fOTees divines, q1.â doivenf 'f~ph~
let . vie 1JeTSOnnelle et sociale pO'w' leu1' cOnfeTe?' toute l e!j1f:et-
cité de 1·enouvelle11tent. Encor,e une fois, il ,n e s'a,g it 'n ullement de déserter le .champ des activ.ités civi'les; i:l faut les élev,e r au plan humain et divin. «Ora et J,rubor'a !» Un viticulteur Is édunoi,s lav,a it placé cette devise à .la Ip orte de s'a guérite, et après avoir 'a ssisté à la messe .la plus ·m .atinaJl,e, i,l tg'en :atllait à Olavoz pour son htbeu·r assidu. C'est un !s'Y,m bole. ,E duoateur.s de ,t out degré, ,nous ne né·glcÏgërons mi :l'organi's ation marbéri€l1'1e de lIa classe, n~ .les qUBStions de méthode ni les indiœtiOTIls Iprécieuses de ,l a pSYCJhologie. Nous -ferons Id e ,l a culture, mais de J:a .,c ulture .chrétienne. . '. A quoi 's ert l'école la mieux laCJhaJ~an~dée, :1; 1P-e:-'1sonn~! .le.· ,m ieux diplômé, 'l'organisation la ' pltlis tchfferenclee, '81 Iles ames l'estent vides de Di,e u ? Comment ,a'SSll'r,e r à ,l a j ell'nesse de .cette. époque .de 0rise '18, culture ôhrétienne ',c omme :illJdis.pensruble supplément d'â'lue ? (j e ,d evr,a it être l'obJet des réflexions, des recherches et des nlooitations de 'c haque 'éduc.a,t eur chrétien. C. G?"ibling . . Re1'1u~1"q'Ue : Nous rétrublis·s ons ile sens d'une ,phra,se ,d e notre précédent 'a rtiCle: « Nous palr:lons de 10œJités g 'l'oltpées autouT de ,l'é~lis e ,Pa,roissialle et n'oUlblions pas que cette 'm esse sur semaIne nest ··petS de Ip récepte. »
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ltécote primaire valaisanne à un tournant.·... L'éCole vru1aisanne à un toul''lllant ... On Il'a déjà dit et l'edit
et c'est IH"esque un l!Ïeu ,cOllumUll d'en 'pader. M'a is rbant Llue là so'lrution :s ouhlaitée n'a ipas étlé obtenue, on n'en par~erà ja1nais assez, coaT ,il 's'ag;it d'une qUIe'stioon de haute inlportance. Tout dernièrement, nous avons rencontré un pèr,e de famine venant d'un ide ce.s vi1l:ages 'a rrêtés à mi-ohemin ,e ntre la plaine 'e t l'a :m onta:gne, et nous 'Utvons padé de ,prO!blèmes scolaires. C'est ce qui nous a a'm ené ,à coucher 's ur le ~)Uipier les quelques ,réfllexioms qui :suivenrt. Si quelqu,'8{ois on ·es1t surpris -.: enCOir e trop souvent héla:s ! - de constater à quel point :les iprohlèmes scolaires \Sont n~l 'Compri,s, il arriv'e 'au&si 'q ue l'on l3.ut d'oa-gl'éaJbles :s urprises, Nous · avons :le souei .de rappûr,t er ,f idèlement 1es par'oles qu\~ voioi «Si ,l'éco1e va'l aisanne est mai'l1'ten:ant à 'un tout'nantt dangereux, .c"est que beaucoup de parents n'ont 'p as cO'lnpri ~ qù'Hs étaient J,à pou?" 1es enfants et non 'P'as les enfants pour eux. Tout 'l e prlQlb'lème est ~à. lVlall heureus,e ment, il se fait encore une ,e xploitation des 'enfants ... Il ,s erailt fa.cile, ;aVrec un peu d,e bonne volonté de 's"a-s'socÎ.er pour la gar de des tToupeaux en autnmne, par exemp'le ... Les l)arents n';a uraient p1us J,e ur b,a-ditionnel'le excuse ... Comment ,v oulez-vous pader de réforme de programmes scol!aires 's ans commencer paT lIa base qui est la prollong'ation de la sco,}arité? Com,m,e nt vou.}ez-voUrs 'exiger des maîtres qu'ils vivent totalelnent pour l'enseignen1'Emt. ta.nt que celu.i ~ci ne sem Ip as devenu une péelle profession? J ~ suis Inêm-e petsuad€ qu'.~l se fruit quelquefo;is une sorte dé sélection à rebour.g Idu fait que de ·b ons .lTI'aîtres quittent l'enseignement, ne pouvant se .contenter ·,d'une demi-professi.on ... » . Vo~là ides ;paro1e,s d,e bon 'Sens, rapportées teUes qu'elles .ont -été dites par que,lqu'ml1 'q ui 'a 'c Olupris les oprolJllèn'1es devant lesquels :~oU!s nous trouvons. . Nous SOirl1:mes à un tournant.. Ceux quj, pal'l,a nt de ques·tions scolaÎl"es, osent enCOl~ urûHiser ce vieux reÎraioil :;~ De notre temps ... » Is ont de plus ,e n \plus rares ,e t ont de moins en moins Id "a'll'dience. C',e st 'la 'lJr,e uve que Il es rtBlmPS ne sont plus les mêmes. S'ils, ch'ang.ent. .t{)ujoür.s~·. les transfûr,m·a tians .s ont cependant 'l?'lus l'apides. en certa1ines Ijénio.d es ,q ue -dans d autres. ', ' 1
Notre canton
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barl'ag:~~ .q ut,s:'él~v~~t 'Par~pl:lt .on~ ,p osé. de 1l1{}l)1J~reux,' :p.r~blè· mes. L'lndustrna'hsa,t ion .,8" cf'a it · Ides pas Importants. L'a.gl'lCul-
SION
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tur,e demaiDde .de m'Oins ,e n moins de
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par suite
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de la ,mOOalüsa,t ion ,e t taussi hélas! à 'c ause d-e la crise Qu'eLle troverse, ' , _, '." ." .. à· ' la mont~gnB . ' - surtout." .',:. , ·T,O'uls ,ces': faits· 'Iqu'üh ', ~€ pèut·' nièr '~:'~ll't ·,des ·repefOlts·sions su.r ,l es :problèmes .s'Colaires .. L'indüstrd'e·', quoique · :{c~1à ·· puisse paraître p'arad,o~l, :f'avor,i,ser~ :}.e ,r.etou·}" là la terr~. La terre co:p.tinùel"la .à êtr,e !b :avlai'Tlée ,e t oela . ·est bi·en nécessaire.,:, Une s()Ude for:m ation ·a .g ricole ne pourra êtr,e donnée ,à nos jeurH!s que ,s i a'a hase .elile-illlême, oe11'e l'~cole pl,imaü~e Bst so1id,e. N'Os ' jèunes ~en.s ~ '-paJ."lce ,q ue nüus ne voulI ons pas en f.aire un peupl-e' de l'i1·anœuvres - cihoisiront éga'1 ement ün8 deuxième voi'e .': celle des ·a ipprentiss.a;g.es. Nous :s·a vons qu'~ot~l:eUement, beauooup de -nOB ,aprprenti.s 'n e sont 'p as 'suffisammènt p;rép:~ré~ intel'lectuetllement. De 'p lus, tro'p '.p eu', d"entre eux sont âp'~:es : à, s'él,e v:e.r aux échelons s~péri-el~r, s: ' ,. . Il y ,a Ibien SÛJ', ',l'a , rvo[,e des €tudes.Là encore, on, pourrait f.a:jr'e de ·n ombreuses .· i~enuwq,ues. DisOl1lS el) ip'as's ant que faute de temps, .nous nous ap,pliquons trop <Süuvent à donner des con.o.< n.a issances Isans faire de J1a vrai-e instrucrtion et moins encore de 'la Ic u:lture. ',î
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l'éoonOll11ie VIMifl.i.sanne. 1'1 se d:ait du bon tt'aNail 'chez nous. Ma.is il ,p eut ,s reil -faiI'le beaucoup iplus. ., : Nos la utorités 's av·e nt bien ,q u'il ne foot paIS -en ,rester là. ' qu'fI ' est néoessaire d"augm·e nter le minimum de bagage intelt]eCim,e'l trop -s ouv.ent ~insuff;isa.nt. On s'efforoo, de :réformel: les x>r~gra:qùl1es sOdlai!es, ,e t à , r·a.isol1. On: veut r>empla.c er des, mal).uels ipaTce qu'on s·aiÎt Ip~rtineml1l'ent que quelques-uns d'entre ' eux devraient prendre l)naCe dans l,a corbeil'le à -pai)iei.-, Tout cela 'est très bien. M'ais i i} reste le gr~nfd "pa:s à faire, celui qu''il : fa.l1Jdrait ·!pouvoi-r ac.eolffiiP.}i.r len ptl'lemielr lieü pa'r<~e qu'il permentrlait de so'IutiÛ'nner de nombreux autr·es 'p:i~oblèlnes : le prü.}ongement .g énérwlisé de J'a durée de ,l a scolarité. Parler'· d.e ' r.éform€s de:, progra'mm-es dans des class'e s de 6 ·mois~ par exemple, c'est 'un fP'e u m,ettre la char-r ue devant -l es bœufs Ol]' faire des « replâtr·a ges» ,q ui ne dur·e ront ipas. Comment ,p arvenir ,à fr,a,nCJhtirce 'PfrS ? Le p€u de faveur dont .sembU·e Jouir Il 'instruction ' Ides enf.amts dans certaJins mi~ l~j.eux provitent pOUT une bonne part de l!a , méconnaisS'ance pl"es-,, que comp:lète della vwleur de 'l 'in.struction ~tdes problèmes ~col81i.:res: Il dmporte donc de Œtes tf aif'e .co.nnaîtr,e~ · ,L e pay·s an ,le' inieux ~i ,nte-l'\tionntê ne ':p eut .pas lS!avoÎl~ ip,a r lui-même quelle~ ·sont ]es bl~anchês a'.études' 'q ui :sont nécesS'aires, ,n i le. temps qu'on doit' pouV'Oir a'c corder à 'Clh,a,c une .d'elles., Mé~Ol1:nais8ance àusSli de ' ù"~hf'a'l1Jt à ' 'ÎnstruiTe~ des ·lnoyel1S de tl'ins1{i'uire, des' cXligenCies -péd aigogiques,, de La ,p~é:para tion néc'e s,sair,e·' au . èombat qe 1~ . v.,ile. :'E t i0e~la IS,e,. ~{)tp1prel]~ bi,en r(t3!cHement, parce que l'a p'édag.ogie, cé n',est pas ,l e p.ain. ~quotiIdien de tout .le mon.de.l Qu'il} nous soit "pe.1'tmitS Ide dire ,e n' ·Ipas'sant !q u'on 'a :imerait, rellc;on'trer uri ·ipeu ipŒtls de ,coln:pr-éhen,sÎop dans ,J'e s ,c ommissions' ,s colaires elles-mêm,ets. Leur 'a ,t titudè ' pla r.aît quelquefois une preùve ':'·;de ,l'à méconnafsSiance' .dü Ibién ' mêfué 'd~e rthstr.uction , , et 'en délflinitive du hi,e n :de l',elliLant. . ,: , ." , ;;" . " 1
: Nous ,a vons ·eu .l'ocoasion Ihéilas '! . (:l'·entendre !de ~a bouche' de gens :ap,pàr:~rnmé~1t i'~'l?iéh.':' hitentiorinés, des 'a rguments' qui àvaien1; ; }.e,u~ v'::;tleur ,1'1 y ·a ·.c inqua·n tè alis,- mais qui 'mii llintènant sont totaJ.ement démodés.
Il., ll-~ _ ..s':a:~it..,'pai, td"~,UI~ent~r l~ nJv·~u:, ;il1t~I'I~Çt~ll~l ~pOUl:.' Il he s~~g~,t: :''P'~~ . ~ullemënt) Iq,~ ,peJÎ'sel' ·a u Ibut utili.tu.il'e:: et. indiVTiduel, mais ,e n <ltéfinHJÎ'v.e, C'Bst ~'épanouis'8ement le plus": complet ,poss,i1blle- de ,l 'homme qui 'e st ·reCiherehé, <le cet hom'l11(~ ;
!~:u,i"'m.êm·e. ·
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qui, ipa.ree iCJ:u'vn ,a ,o uv.ert son e&pl,it · .aux sour·c es du savoir et de ' la v€rÏli;é-, 'pOUrl"'l8. mi,e ux ·s ervir Dieu, ,s a-.f,a m'Hù.e, son pl~ocha ·in et 'Son pays. ' . . _ . . E.n un temps .où .la ifwmi,ll e ,e .(il'éco],e n'ont l)lus -leur uniql1 intime d ,e j.adi,s ,p at' s'w ,t e de préoccupations nouvelles, le moment est v,e nu de rappeler la'Ux 'Pal~ents leurs responsabilités. Que ront-Hs is ouvent? Ils ,culrtJiv,ent des :ûletms, tant bien que mal et lor,g.qu',e'l'les sont sur le lPOint de s'é.panouir, ils les délai,s sent. Si ,l,es par,e nts n,e sont plus capwbl€s de consentir à des .8'acdfic,e s pour l'Bducation ,et !l'linstru·ction de leurs enfants - et celui qui est Tattaché ..à la prolong,a tion ·de ;la scolal'lté n'est pas hOf,S du dom'a ine du possitb'l,e - nous -avons à · ce moment-l1à ,des r,aiS'ons -sénieuses de nous :alarm·e r. Pa l"foi s, les 'patfe:nts ne ,p ensent mêm·e pas à ces choses: Il faut 'le leur T,a ppeler, ,a ussi soÜivent qu'j.} est nécessaire. C'.e~t leur rendre service et pendre s'e rvice -aux f-anülles de. demain, Notre ,s y's tème ,a ctuel .a te.ndan0e à f'avo.ri.selJ.~ d'une part la rouibin-e du ·m aître et d'i3.utre part la formatiO'n incom!=>lète des élèves. Nous n'·a vons f,a it, en V'allai.s, qu'une partie de notre devoir en, matière ' d'enseignem,e nt. D'ailleurs, c'est un dOlnaiüe où on ne s'arr-ête jam·ai'S. Nous n'avons -p-as le droit de nous décla-r,e,r ,s atisflalÎ'ts .' j'usqu"à ce que -:le iJ)as' !p rincipal ait été accompli, -ce pas qui -ser.a la !preuve de 'la cœnpréhension, ' de la reconnai,s-sance des vraiBS valeurs, du bon sens de notre peÙI)!e.
Gand'ide 'NI où:.
Confection dames ~ Confection . messieurs ~ Tissus ~ Mercerie ~ Blanc ~ Literie . Couvertures ~ Bonneterie ~ Lingerie ~ Bas - Gants Maroquineri e · Papeterie· Articles de toilette ' Parfumerie • Articles de ménage· Alimen. tation ~ Confiserie ~ Verrerie - Porcelaine· Appareils ménagers· Ameublement ~ Tapis · linos· Articles de voyage et de SPOl't • Jouets· Disques· Chaussures
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PART][E PRATJ[QUJE
Exploitation complète d'un texte de lecture avec aboutissement logique à la rédaction Nous . -donnons ci..,a,près une sui,t e d"exercices montrant ,ce que l'on 'P"e ut tirer d'un texte de lecture. En 'C€! 'q ui concerne J.es TésUilUés., :nous ,avons pds deux chapitres plUEi .longs, -of.fu-ant 'p ar cela même de plus g·randes dilOOtcultés. Ces exemples suffisent à démontrer, qu'enire les ,m'ains de maîtr es .compétents, ,],8 manuel -de ,l ecture IPourra'it ,aisément constituer le livre undque de ifnançaiJs. 01. .B. Le marchand de marrons (L. L. No 19)
1. P1"épal"cdion ,à ,l a maison, .ou, à ù-a rJÏogu-eur, ,e n classe' lpen .. dant· que ,l 'on lS'occu\pe 'des :a utres divisions si .ron a tous les degrés. Les -élèves devront. 'Savoir: 1'o.,éonte1'· dans 's es ,g r·a ndes 'lignes ~e ,r é.cit; savoÏ'i' 1Ja1' cœwt le 1er paragra'p he, ·-afin de pouvoir .l'-écril"e S'ans faute id'Ol'thogra'Phe; conlllaître -le sens des 1nots qu'ils peuv.ent .,t rouver au dictionnair,e; ,c hercher tous ,l es ve1"bes qui i'nc1iquent l'c{,ction de t'OÙ' 'e t 'les éc-rire. 2. Gont1~ôle en classe Ip ar le l11aître. 3. Lect~"Te en classe, par le ,m aître, pOUY la diction; p'Ui2 pal' qUel1ques élèves. 4. Analyse du mOl'Cea7." ou questio,n s. Si 'l'on avait alf faire il ·un texte J.i,t béraire, 18.,v'e c Il es gl1alJ1!ds on pourra.it ·e n faire 'u ne -analyse 'littér.aire : la uteur, but, p!l an, idées, etc ... De qui lPar.le-t~on '{ .de qui ,encoy,e ? .où se 'passe Ja ,s>cène ? A quelle !s aison .a -t-eJle :lieu? Le ciel 'é tait-il ,o lair? Que faisaient les passants? Pour:quoi étaient-i'l,s ,s i lpl~essés ? Qu'est-ce qUl les fai,sait s'ar,r êter? voix, odeur, 'etc. Que voyait-01ll là It ra;ver.s ll·e broui1larcl ? Quand on Idéc'l.,it, on dit ce que l'on v.oit, ce que l'on entend, -ce 'q ue Il'on sent. Alors, 'q ue VOl/aU-on ? Le ma.rchand, 1 es ·p assants, ùes deux garçons~ 1e brouiNar-d, la fumée, 'le feu~ Ile fournewu, ·les n.UH~ rons, etc. "
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. ...... Qu~.entend(Lit . . on? Les . voix,confuses, ·Claires, etc., le pé-· tj)len18,n t d,u feu" Je hl'uit sourd des 'm-al"lrons qui éc1atent, -le .t in,té~ent IlTIéta.Jlique d,es ,sous da,n s !l'-assiette, etc. . . . . Que sentait-on? L'odeur ap,pétissante d'es fl1arr·ons; l'odeul'~ âcre de ·la fum'ée; 'le -brouiLlard ttr.oid et humide qui vous transperçait; la chaleur bienfaisante du feu, etc. Cherohez tous les verbe.s qui indiq.uent .l'action de 'V 01? ',; d'Bntend1'e, de sentir. Résmné en quelques lignes. '!~ Morwle. 5. Crée1' la vision. Lisez encore une [ois à voix basse; puis la tête dans ,les 'm ains, -c réez la vis,i.on du 111archand près du f9~~rneau et du ,p eUt -g .arçon ,q ui T€!g,a rde. , 6. Vocabulaü'e : a) analogique: ou par -a ssociation d'idées:. . les marrons nous :font penser aux If .ruits. .. ,C'est pourquoi, par lUne .hahiLe chasse ·a ux mots nous ferons trou~ver quel:ques fruits du pay,s, du midi, -e xotiques. Nous dési,g nerons 'a ussi ,l'-enveloppe du fruif: pelu·re, 'coqu11le,brou, hogue, z'e ste, éco,r·ce, etc... ; l'i,u térieul" : cJhair, pu.}pe, -pépill,s, amande, ,noyaux, etc. Nous ferons trouver Ile ~goût : ,suc~é, lamer, acide.~ .. ,b) hOlTIOnym'e8, -synonymes, antony-m es : cO~Ute, coq, -ooke. chair, eh ère, Clhwilr e, IcJhe.r, .'la poêle, le .p oêle. c) Famitles de mot: place, placement, pJacer, déplacer, r emplaoer, etc .... d) VocrubUtl'aü~e descriptif : .an voit une chose, 'Une IP Cl,,;sonne; m·ai, ~ on p·e ut 1 'entrevoir, la distinguer, la deviner, :l'apercevoir ... regarder tattentiv,e ment, c'est oihs'e rve'r , exa,m iner, surveÎlllel', épier, inspecte,r, con:bern[>'l er; quand une. -o hose -n ous i:nté'l"les's e spéciwlement, nous ·la dévorons des yeux, nous ne la quittons pas .du r,eg,arid; on fouiU,e, on : sCl:ute, parfoi,s -o.nktnce un . COlllP d'œil 'dist.r ait, . furtif, on éc·ar.qul1rle les yeux pour mieux vok, etc. . -. 7. G1'Ci111/maire " .o,n :peut tÎl,,;er toute ,l a gr3JIl)!m·a ire, pour .les gr·a nds et pOUT ,les Ip etits, d'un texye ·,de lecture. 1'1 n'y a rien dec tel pour t'aire u~, e l~ép'étition 'g énér,aJle de grammaitre : . Ainsi. que d:e ,règl.es nous l~lppell, e )ce. simple ,morceau de ,le~ture. '. ,', H O1nonY'mes, synonymes, fCi'milles de ';nats . (.voir 'SOUS '.:voq ll;>u'laiI:'e ). ,Emp.loi de l~ négation ..: av€c on : on .é ta-i t, on' n'était p~ê; qn voyait, XIQU:g voylons, ·,e tc ..;.on · voyait .brillER; c'était le mal'cha;nd ; c'éUiient les anarron·s ; c'était Il e ·m archand et SDn f ourneau (,règ,le du verhe être préc:édé de ,c e); Je marc,h .a nd "il.e
marrons, le l11archand de vin, 'm ais de vins fins; le ln. d~ l;>lé ; on entendait; tout chà'lld-s; Il es Ipla ssarits !s'arrêtaient, je4ie~~... f.ou,r.raient (m,ettre au :pastS~ 'c omp.o sé . ,e t rfaire -accol"ldèl~ ùes ,p.ar,~, ticipes); leur ipoches Ole .leurs 'p o0hes; ' se -sauvaient; les d ."oquant; se tient un peit it · garçon Unv); queUe, qu"eHe, etc.! etc . Nous ne ·s omm,e s Iq u'-a u début dü texte ,e t -n ous au.r ions pu re'le ver Dieu ,s ait combien -de 'r ègl,es -e ncore! A 'l a fi·n de il'.a.nnée on peut évidemment :lIes pa's s-e r t outes ,e n l'leyue; mais :cl ura;n..t \le cours scolaire, ~l s'agit de faire ,l,e ,choix ,s uivant le progranmle que 'l 'on ,a :déjà. pa-r.eour,u. Analyse logique: il y en a Ipour les Is avants et 'p our '18S dé.. butants. .Phra's e .si~p:1e : Les 'p.as'saoJ1-t s ·s ',arrêtaient ... Phrase da.ns lwque'lle on trouve -plusieur-s -s ortes de propositions : p.ar. 4.... puis ·VI revi,e nt tout doucem·e nt et ... (fah"è trouver Yéquivo.que ,c ontenue dW11JS Icette phras·e). Oher.chez toutes les pl'-oposi,t ions ,sl'liptioques ,de .ce texte ;. i,l y en a ,plusli eurs; o8n composer. Ex. ,COIffibien t'le kg. de m ar ~ rons ? Deux :francs. Donnez 'm '·en :une. -l ivre. Voici. 'Merêi, . Analyse gr a?nmaticazë ,' Anal'y sez tous les élémtmts de cette :p hr.ase : Les pas's ants ts '·ar,rêtaient... 8. OrthogTaphe,' Attir-e r ,l "attention .SUT leur poche quelle - .on 'entendait. . F'a ir,e réci,t er par' éC'rit, ·s ans 'le leur dicter, le 1,er par agraphe qui a dû être .a ppri.s pa·r cœur. 9. Conjugaison: Conj uguez à tous 'les temps r édamés Ip ar 1e sens ces deux venhes : crier .e t ·s 'arrêter. ..M-a intenRlnt .},e ·m a'r.c.hand ... il,e s jp·ass-ants ... ; chaque fois' que .le ... Soudain .l1e marchand ... ; tout à ,l 'heure ~le ... ; d·a ns 'u n instant le .mJar,ohand... (ind., cond., llmp., ,suJbj. Conjugue.z J.es V'eribe~ tenù' et voi1' au -sulbj. prés~nt. Penmutation de temps ,e t de nombre . . E-mp1oi des for:m es :arffh~matives, négatives, in'beN'Oga tives •.
etc. 10. La. phrase patTon. SU?" la place, à t1Yf/vers le lYI'o'willŒ'I"â épais et l'roid, on voyait 'b1'iller le feu. Ana'l y,s ons d'laJboTld .cette phrase : Elle commence par deux complém~nts ci.rconstanciels; ,l e -deuxième est suivi de deux adj. quaI.; !puis ,v ient Il e 's ujet, enfin ,le verne et un compl.ément dil'. FOl"lnOnS .q uelques phrases -s ur ce modèle: Su/)" le t'N>ttoi!y Cr. tra,ve?'/3 [-CL foule dense et pressée, on entenda,i't cri er' le 'i"ft.a ;y,-
chand.,.
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. ..._ . :-J,
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11. LŒ ph1'C(;se pm" 1Jé1"iocles successives. On la fOrnl€ e11 :répondant ,a ux q u:esti ons qui, ,quli 'est-ûe ,q ui'? où? quand ? .comment ? poul'quoi ? etc. Ai'n si le verbe regewde que n-ous ha:biUerons ,par ce procédé: N ons au.rons peut-être: AS'Slis ;p rès du fourneau, un pauvre peti.t ga-rçon regarde avec des yeux d'env.i,e les marrons appétissants. 12. Ph1'aséologie : Exercices divens de phraséologie: l1nite-r ln ph1'ase suivante: Qu'üs sont beœux les nU(;1TOnS ! En par.J.ant de devoï.rs, d'erufants, :de f.ruits, ·employez les mots pénlbl~s; difrfidil,e s, heureux; UiPlp étissants. Devant le fourneau se tient... ; Dans le 'CÏ:e;1 paJSse ... Employez à la fÛtrme 'n égative, interrogative, négative-iut. la phrase is uiva'n te : Les 'Passants s'/a rrêt.aient, jetaient... etc.,. etc. 13. DevoiTS d'application à f.aire faire à la ,m aison: 1 e1" devoiT : ,Fa.'Îrtes des phrases la'V',ec les mots :du vocabulaire descri ptif. 2nw devoi''J' : Exerci.ce d',a plJ'lication avec 1es. verbes qui indiquent ,l',action de voir. (Devoir d',é lève). Sur Il a place .uri voit bri.ller du feu, tandi,s qu'à travers le bro~ùUa;rd on devine .l!a Isill houette du InlaJ.'0hal1'd d€m.arrons. Le petit garçon euintù'e la chair .a:p pétissant.e des beaux marrons qu'H dévore des yeux. Les ,p assants pressés ,iettent un coup rl' œil ?'a,pide et se ,h âtent là Jeur travail Lorsqu·e les 'm arrons éclatent O'n ent1'cvoit par la ,f ente U11e chair ,dorée Iq ui fait venir r:=>au à ola houche.Oha,r ,les 'SlUfvient de l'école; il exa,1?ûne l'expref~ SIon de son calTI:a'l"aàe ,e t observe son regard c:hal"igé de cOllvoitise. Si le Inarchand ne surveillait 'Pas attentive,m 'ent la cuis's on, le'" nlar.,r-ons brûler·a ient. Le -petit J nIes ad'fnire ces fruits qui lui pàraiss8'nt délideux et il écarqtâUe les yeux ;pour mieux Ile.s voir. Je scrute l'horizon, ·n lais j,e ne parviens pais à distingu'e r .l'avion .ctont j'enteillds le v,r omb-issement. 3me clevoi1' .' Rédaction: Le 1ncwcha,nd de ·mŒ1Tons. (Vous insli sterez .s urtout ,s ur ce que vous vôyez .et sur ce que vomI entendez). (Devo.ir.ct' élève) . C'est 'a ujourd'hui jour .de Joir,e. A travers ,le brouhaha, on entend ces :m ots: «Ghàud,s .les m·a rrons!» Assis au bord du -trottoir, Il e mar.cha:nd 6'urv€tHe ,l a .cuisson. A travers 'la fUl11·ée dense, on Idevi,n€ 'Sa silhouette IPIlutôt qu'on ne 1a distingue. Approchons..;nous pOUT mieu~ voiœ. En ,c e mOUlent le mal';chand attise 'le feu lq ui pétil'le et !fla.mbe; aussi }J'ar il a· porte du fourneau on -aperçoit la f 'lan.nme ,c laire ,e t briHa~te qui rép.and
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une douce chaleur aux alen'tour.s. L'·h omme ,tourne et retourne les be·a.ux fruJts luisants qui éclatent 'av'ec 'un bruit ,sour:d et lnat et laiss-ent .entn;voir une 0haü:' blanche lé.gèrent.ent dorée. Une odeur aJ.léehante f'e-mplit la rLl·e ·a ttira.nt les passants qui s'approchent ,du Ifourneau : « COlubien ces 'm arrons? demande l\m d'eux. 1 fI'. 20 'l a livr,e, ce n'est pas ,c her; voy·ez d',a illeurs comme ils sont beaux! Donnez m'en 1 kg. s.v.p. Voici ! .cela crait 2 fI'. 40. 'l~el1ez ! lVI,e r,c i M.onsi'e ur ! Au .revoir .! » - La m-ême Is.cèl'1e contiillu.e 'p endant tout.:e la journée pour le ,p'lus grand profit du Ina,rchand dont la caisse se remplit à vue d'œil. Quelques enfants démunis d'al"lg'ent doivent 8'e 'contenter do mangeï~ les marrons des yeux. Pauvres petit! FICHE DE LECTUiRE SILENOIIE USE (en vue du français)
Le mal'chand de marrons (L. de lecture No Hf)
1. Lis [deux foi,s atte.ntivement ce texte. 2. A quelle époque de l'anilée :se passe cette scène ? 'P ou f - · quoi a"lor-s? 3. Où le mal'cha-nd avait-il l)la·cé son fourneau? PourqLlGi 1à
?
4. Qu'a voulu préciser fauteur par c€s deux verbes i et œien t 1eu.r 'sou et se 8auvaient. 5. Quels devaient être ,l es sentiments du petit garçon . qui se chauffait et regardait. ~---------r:~ ' ~ - ---- - - -- -
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Les cahiers d'esquisses
GA Y-CROSIER.f JONNERET pour l'étude de la Suisse et de allègent enseignement et étude.
l'Europ :~
Renseignements et commandes auprès de Ln~on.~Ion!în Paul, instituteur à Ridfles • .
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6. f.our quelLes rai~ns, cro~.,s-tu, ,Chal'l}.es avait l'a,i r ,ga,i ? 7 . . QUe pellises-tu de :J'aotion .ae ,Chanles ? . 8. ,Cherche . da~ts .t~n c1ièpionnaire tous Il es m~ts ' 'q ùe '. t~ 11.e c(~IInprel1Jds . !pM;; .e,mplolÏ-e-11e s ·oCiha'c un dailS ,une phr.~: 9. ·L orsqu'on .décrit 'Un,:Olbjet; un tab1eau, .une ,s cène, on dit tout r;e que Ir on voit, Ice ,q ue l'on enteitd, ce '<lUte 'l'on sent. S:i tu avais été Ilà; ,q u'aurais-tu vu, entendu, senti? (4 'Ou '5 verbes . pour chaque action). . . ' , . 10~ La. ffg~lt~e. ouverte; ?'iu;tnge1' des yeux; seSftUVeT à toutes :1C!m?es :' DItS c-eJa . .a,ütrem,e nt. ' Em,ploi-e chacune de ,c e·s expr~senûns daill·s une iphr,a se. . ' ' : ': 11. Ecri.s trois exemples où quel ,s"emploi€ aNec une apbstrij~ phe, ,e t 3 sans aŒjostràphe. . 12 ..Li.s 'ei1Jéor~ une foi.s ,attenib ivement :1e text-e; ferme ton lIvre pUls"efforce-toj :Jnaintenant de VOiT comme sur un érJran : a) le mar,dIan!d pTès du fourneau; . b) -le petit Jù}es -qui 'f€g.arde ,les marrons' c) le :p etit 'Charl,es, son arrivée, ,s on ,g.es~,' Je d.épart,
1:' QueUe
.. . .'12. Quelle 'e st .l'~){jPQsition de cette ,comill1unè ? , 13. Où .ra ,n eige 1Y~rtira-t-ell,e donc ,plus vite ,à 'l a même altlt~lde, aux Mayens ou dans œtte commune? . 14. P,ar 'c onséqu:fmt ,l es cul1)ul~es ne seront 'pa's les ~mêni.es ). en quoi différeront-e,blres d.onc ? ' . 15.· On -par.lle de -la v,er:doyante montagne des M'a yens. Pour-t},uoi ne Ip~)tllJrra.i,t-on !pas dir,e de mêm'e de ,l a rive gauClhe ? 16. Cite 4 communes sur lesquelles s',étendent ,les Mayens.
de Sioo. 17. En 100nsu.1tant attentivement
gUi'
cett-e
carte. 3. Dans iqueUe chaîne d~s Alpes Il es M,a yens sont-ils situés ~ 4. Sont-Hs sur 'l,a J',ive droite ,ou 's ur .la riv,e gauche .'d u ,Rhône 15. Sont-'i,l s ,au nord ou .au !Sud 'de Sion ? 6. Us .sont ,s1tués entre ' deux vallées latérales ; lesquelles· ? 7. QueUes riV'ièr,es arrosent ces deux vallœs ? 8. Uir-e con1duite tfoooée traV'er$e les lVla;'eps et a'm ène l',e au à une. graml(}.e usine é'lectriquè située !près :de Sion, queUe est c:ette USIne ? '. . 9. Oette conduite ,f orcée e's t aUmentée pat quel hassin d '.HCculuulatioll ·? ..10. Les Mayens de Si()n sont-ils expos' é~ {lU n~i~d ûiu Ml '
J. Lis attentivement ·ce · texte; 'puis regarde la gravure; l",e:présente ·c ette ·s cène ? 2. Cherche sur ta oorte Payerne : c~nton, valh~e; cite quelqUles loca;H1Jés de cette va'llée. 3. Comment 'l'·église a:bbatlaJe de p.ayerne rappell.e-t-elle ]H, l"'eine Berthe ? 4. E:n 1:isant ' attentivôement le texte tu pou-rras sans ~out€ Cit 81' quelques qualités de c-ette 'reirne : lesquelles? ' 5. De quel 'l'oy'aume Berthe était-e.llie ,l a reÎ'ne ? 'L e Va'lai~ était-il ISOUS 's a domination? .' 6.Q:lf.Ï était son pèl"ie, ·sÛ'n~ époux, ' 8011 1fi1s .? "Consulfe ton manuel d'histoire. c, . ' • " ...... 7. Son fils a -déoorra,ssé notr,e . paY'8 '-de .deux 'peu piles Villards; lesquels? ,d'où vlenajent l'un et l'autre. ? _ . .... 8. S·aur,ai.s~t~· Ir ,atconter en 'q uelques mots l'histoire du ' rùva~i" me de Berthe ? ,s inon iconsulte ,t on manuel . " . . Il " ' ,' .' . . " . . .' , . 9. Berthe a pl~épa;ré 'l 'affranCihis·s em.e nt des ,. vi'Hages~ .dit:-, on; qu'(mte,n d-on par :là? _ . , ' . " ", ' .-'ü: · lO ..·Exp1rque 00 ,q u'est :uri€ franchise ';',- que 'conHentdOJ1C. la elharte qui mentionne œtte franohlÏlge ? ,.. ,,~;..'. QU'8
1. Lis a,t tentiv-eme·n t ce texte. '
" .,.,:... ".,
(en vue de l'histoire) La, reine Berthe (No 132 Livre de lecture)
Les Mayens de Sion
sud?
FIOHE DE LECTURE SILENCIEUSE
· ~ILENCIEl.T.SE
(en vue dc la géogr3,phie) .
2. P,rends la car·te du Va.lais; situee les lVlayens
' t~
carle tu pourras .11le dire si, la 'p.en-OO sur .l,aqu~ne . ·s ont étaJgés les Mayens est plus forye que 'ceUe qu.ï. monte sur Je ver,sa;nt OPPOS€. Comment le. re ... ('o.nnais-tu ? . Nota: On f.era des ·f iches ,s:e mblahles ·a vec : Le Cervin, lepla,tea~~ :de Sallenf~, ,le Glacie~· . d'll Rhône, etc.
Nota : F1iches rsemb'Iabl18s se rapportant aux Nos 52-56-5759-65-68-70, etc. : . FICHE DE LECTURE
oot la' gi"aDJde ,oornrnune SJituée, sur ·.lè . CO~Ju:' face'
,aux Mayens, S'ur J'au~re rive .(}11 Rhône ?'
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-9611. Trois m.otif,s -di.frfél'lents incitaient -le ,s eigneur ,à accorder des franchises; 'q ue:1s rnl{)tifis? (voir chapitre: ûl1'Îgine ~ "la démocr~tie). 12 . .Lequel de ·ces troi,s motifs 'a ura poussé Berthe à ·a ccorder des 'franchises ? ,13. L"auteur de ·'ce texte est un Vaudois; comment expliques ...tu donc qu',i [ parle de la 8avoi~, de la domÏ11ation bernoiRe, des Il'évolutions ? . 14. U'n Bas-Valla'i.san a'ura.-it pu ,s'eXiprimer de façon identique, màûs ·e n remp1,açant Il a daminati.o n b~rnoise ,pa.r une a'utra : l'aque'lle ? ' , ': _: 15. De quand, jusqu'à lqua1'1Ù 'la domination bernoise s'est(;'.llen apip esanti,e sur VaJU~ ? 16. Quel eSft 'le gl"and événement quj a 'im'is fin à cette domination? Nota: Etablir des fi0hes sembl~b:1es pour ,Jes cha;pitres [s e l'apportant à Mathieu SchÏ'llner, à Sempach, à Nii colas de F'lue. Les députés id e Ja Gemmi. RBSUME DE ,LECTURE Le pont du Dia.ble
Parfois qu:and il s'agit d'un texte un peu 'long, :co'mme c'est .Je cas 'Pour Il,e ,s ui via nt, on ·s e borneTla là aher,c her les idées généra.J.es. Ce ,n 'est Ip as 'Sli f3!ci'l e; c',e st pourquoi, au début du moins, on ,le .f ,e1l"a sous 'f o,r me Id'exercice co'l1ectif dœit on éCl1ira le ré·sulta-t 3!U twblelau. Le ,m aître fera ffi,ên1e hi,e n de Tréciser ainsi : « Cherchez l'idée princi'Pa~e renfer,m ée dans tel paragraphe, ou, de te'lle ligne là t'eUe l igne ».
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6. Fu'r ieux d'avoir été joué, le diable essaya de dét!'uil"e son œuvre ;mais le pont ~.en.ait d'être bénri, ;a ùssi ,s es ,effets fuoont vai.ns. 7. Satan se vengea sur urne pauvre vache qui n'en 1P0uvait , rien et ,s ur le bailli ,qtÙ trouva des charbons dans Is on escarbelle. Passage du Grand-St-Bernard (Livre de iectul'e No 78) Résumé
1. Afin ,d'.érviter ,1es ewalanches, l'.rurmée 'Se 1nit en 1na'/'chc entre m~nu.jt 'e t '2 heures du 'm atin. 2. Mlalgré les fatigues et les dangers, Iles soldats montèrentpleins d'ardeur là !l';hoS!pice. a. Pour ~1es cavroliers 'la montée -était phlJS clangeTe'use que pour les {cw"to. ,ssins, car les 'm ontures risquaie,n t de les entra~ner-dans ,les ,précipices. . 4. Réconfortées ,à J'hospice .p ar les reUgieux, Iles t1'oupes ar't'ivè'rent à St-Rémy sans événe11tent fâcheux. 5. Le tran~port du 1natériel fut dirf·f :ic'ile, ,e t H f'allait surtout prendre ,s oin des canons; pour ne V'~s ,les enù0:n:m.a.ger, on ,les plaÇa dans des troncs d'arlb re 'évidés que 1 '011 fIt hrer pal' des mul.ets conduits var des 'P'&ysa:ns Ide ,l a région . . _ 6. Les conducteU1"S ayant ,d isparu on eut recours ,a ux solclats qui aocon1'p'l irellt cette tâ'c he avec ,e nthousiasme. 7. Bonapewte Ip artit le der:l1Iier, conduit par un 1n1ûet:ie?' qui lui ,r aconta .les Idliffkultés .de ,s a vie. . 8. M~ügré Jes soucis de l'exlJédition, Napoléon Il 'écouta avec bienveiU~nce et 'lui donna les 1noyens de Técûiser ses rêves. Cl. B é1'anl.
Le pont du Diable (Livre de lecture No 19)
1. Pour r€!li,e r il eurs deux Ip ays, tes haib itwnts d'Uri et ceux des GI'1isons n'a'V:aient jama'i s Téussi ,à construire un pont C~l)8·-: ble de rés1ster plus d'un :an ,a ux kléments déchaînés. 2. ,E n désespoir de cause, ils fir.e nt ·a we1 à Satan qui parut assitôt, singuNèrement accoutré. 3. Après un 'e rutretien dans leque'l ,le diabl~ montra qu'il n'attachait aucune ilffiJPortance il. :l'or, .on :stipula un pacte. 4. Satan promit de construire un pont ~ui .d~lrerai.~ 50? ans en échange de quoi il ,a urait l'âme du 1er 11l1dlVldu qm utIliserait cet ouvrage. 5. Le lendemain le (pont ·é tait cons·t ruit ·e t Ile baill1i en ap": porta lie prix: un chie~ qui vint se jete.r dans Jes jam1)8i?. de :s a·t an.
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99 -.
-Sujets de composition aux cours complémentaires ::Comme ici en Varlais les ~ours comp'lémentaires sont fré,. Quentés '&Ul'tou~ :p~œ ides jeunes g~n$ dB 1a Ca,ffipagne, nous donnons d-*l:près Ù11/e 1,i ste ae ',s ujets ",de ' domposition ':qui .se rapportent à un m.i1ieu 'a'gricoLe, à des cor,r espondances de campagnards dans le ·règlemertt' ~ de ' leu.rs ' aff.aires. Nous les indiquons en textes ,rubrégés et laissons aux maîtres des cours le soin ' d,e Iles (li0tel~ .en teriltl.'es plus :préds. ' Us 'pourrr,oilt RlŒSl tron,ver d,es !8uj ets ',i ln'··peu ,d ifférents, :lnai,g Idu :même' genre:. ., .' Voici donc la l.i,s te : L'e ttres ,ide dem!and'es, .lettres d'offres, lettr.es de n.é ciamations,. et. ensùite ,. qu€.ltques dis$ertation:f?' ,s,Q.r des Is uj ets agricoles. . ' . ~ .' v
Domest~,q.'~es
1) Demandes
de', ~ampalgne: ~ ' L~~a:tions Id'imme~lbles' 0Lde pièces :de bétait - Construction, répal~tion, agrandissement 6u transfo.r,1 nàtion d'immeutbl:es. ' ~ CoHaJboration1Wü'l' établissement, ',correction; entr, et~en' 'où ,réparation de bi,sses, de ;'}he':' lnins d',aceès, de, :6ha1ets d',âüp'a ge, d.e Ifo.ntai:nres ou ' d'-abrê.ûvoi'r~: _ Délais pD'u,r ' pa<Î,enl'e nts de dettes. ~ Emprunts -d'-tügent · ~ cautions - abaissements d'impôts - Rectifications de ,com:p tes ou de factures - Achais collectifls ou privés de 'machines agricoles, d'outils, 'etc. - P,Jaües de gar.de. - A.ppels Ide vétérinaires - Visites sanitaires, etc., etc. ,
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Offres : . ' ..
V'entes diver's es - Fournitures de denrées, de Ip roduits laiUers, de meUibles ou Id'outils, :etc. - Locations -:-. Jou rn ées cle travail. . 3)
Réclamations
Passages ahusi~s - ImpÔts - Taxations - Retards dans règlements ,de comptes, paiements ,d-e dettes - En'eurs de comptes ·o u ,d·e fa,c,tu're.'s - Exé.cution déf,ectu,Bus'e ' de travaùx -Dom,m3igles ,c a,us€s - RebaT-ds :dans les -èllvoi,s ,div'e rs ~ ' Emba.l lages ,défectueux ~ Objets oubliés ou égarés. 4)- Sujets .ag'l'.icoles -
l\1otifs des ' diverses 's ortes el'B ' ta'Î'He ' ~ Lutte ' co'ntre ,l es lnternpéries, ,1,es :m aladies d'animaux ou de végétaux ~ Çho îx d',ar~br, es rfruitiBI'S, de plants de vigné, de races de bétail. -- Protectioi1 ,de plantes utiles - Destn.-uctipn d.e 'Plantes 'll-uisibleR 8issdlem,e nts. ---'- :Conditi0:11Js hy~g·iéndq;uelS :des hahitwtions ,-le rhomme let des animaux. ' - (~uei11ette 'de-s fruits, "leul' .ernoa'lJ~ge, :1eur ·e xpédition et leur ,cons~rvation.. - Soins aux produits JaiHers. ~ Coopératives. - ,S alaires cle.s ouvrÎ-e,r.s dé ,c ampag'n e.: ._ Assurances diver&es. - Sociétés, :e tc., ' 'etc. . J. ' .
No 5
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jour agréable ,
Le jou~ où 'l'on ',s'amuse Je plus à Boun;d~do est I.e jeudi où chacun a '1a pemnission de ,f aire ce qui ,lui ip:laît. . " N'importe qui peut, ce jour-l,à, "manger -sa· ta,rtine en COln'm ençamt ipar .la COTI~fÏJture et ila mie, -e t 'l!aisser 'e nsuitè lès cl"oùtes . '. aux !poules. . Les bébés jouent 'avec une, c.uiUère dans ,l eur œu! ft la coque et 'Péu~ent -se baTbouiiller -les cheveux ·a vec I.e jaune.
. . , Les enfa'llits :peuve'llt jeter du Ig rain a>ux ,pou'Ies toute la Jopll"née ,e t 'ar~·~ser tant qu',~l:g veUJlent les fleurs et leurs ,pieds, chanter ~UA 'mIlIeu de 'la ,nUIt, plonger .les d.~igts dans .l eur pa~ nade et Ig outer !le dessert avant de goûter la salade. N.J 5
FICHE nE TRAv AIL
1. Li.s bi.en attentivement ton texte. R,e!li-s-le 3 foi-s.
2. ,C herche ·-et co.pi,e -la 'Phr~se qui C0111111enCe par iporte qui peut... '
Nïm-
3. Cberohe toutes les act'ions que 'les enÎants peuvent ' faire ·à BoumdOdo le jeudi. 4. Qu'a,-i,merais-tu faire si .tu étais à Boumdodo un jeudi? Q,ue ;préfères-tu dans ,l a tartine? Comment ta m~man fait...elle une tartine ? 5.. Des,s ine un 'p ain, une
taiti~e.
6. Reg,a!l"de bien comment on écrit: Les hébés jouent avec une cuiUère !dans leut!' œuf à lIa coque et ip€Iuvent -se baJ,~bouiUer 'les cheveux .avec le jaune. ' , . Pose ta fiche :sur 1~ 'p u'p itre et 'retourne écriTe cette par cœur dans ton ea.hler .
p;hras~
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100
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101-
BIBLIOGRAPHIE FlCHE DE LECTURE S1LENCIEUSE
BENJAMIN
Un jOur agréa.b le
Les bêtes e11es-n1ênles se mettent il suivr~ leurs fantais ies. Le oheval Mors-aux-dents se .r égale 1Cl€ ' beaux .é pis de blé a.u lieu ·d'B son -avoine, et Eilsa, -l'oie blanche, marche de travers e11 clégl1stant des vers ... D'.a:illeurs, 'les petits 'Bnfant s ·n e .souhaite~t pas, q;u.e ce ·s oit tous tles jou1'ls de :l a semaine que reVIenne le JOl~r O~l 11 lem' est p-ernlis de f.aire ce qui leur· plaît. I~e lende~aln, l~S .mang~n~ 1H crème après ,l€ gâ·t eau ·et ·1es ·c routes .de leur paIn, et bebe accepw ·aus.~i ·q u'on lui donne .son .œuf. Tous savent bien que si Ton fais ait toujours ce que l'o.n voulait on n'aul~ ai·t. iDas dans 'l e cœlu' et ·dans la bouche 'le g'oû f .,.e xquis 'de la gentiUe;se. Jeann e Ccupp c. No 6 FICHE DE TRAV AIL
1. Lis bien attentive1n€nt ton textB.
Relis-le 3 fois. 2. Oherohe ·e t .copie la phrase qui comme~ce 'p ar : Le lendemain ... 3. Relève tous les noms au pluri181 du pren1ier paragraphe.
4. Que font le chevwl Mors-aux-de'n ts ·e t :l'oie hlanohe; El~ ? EXiplique ce qu'on a voulu dire ·e n écrivant: le gOut exqtüs de la ge'l1tnless~ ... 5. Dessine un RI'l"osoir et des fleurs. G. Regar.de bi~n OOffi1nent on écrit : Taus - l&~vent · bi?l1 q,:e si l'on fabsait toujours ee q~e l'on voula!t, on a.ut oJlt. .pa~ dans :le ~œur et dans la bot1-Che .le gont exquIs de la gentHle.sse.
r:'
Pose .ta fiche sur I.e ,pupitre ~t r-etoUil"l~.e écrire cett.e ph nlJse 1),al' cœur dans ton c.\ahier.
Nous vous :r~ppe'lons le SYis tèlne ,concernant 130 v~nte au
numér<? de œt €xceIJent jom·na1. Une iOarte postale de votre 1)a·1.'t ou d'un .élève rpellm ettr·a ·a u ;SIerv,ice de IcHrffusion de «. Benj,amin ,» ~. 8, ·r ue de Bou,l'go, .La:u\Sl~ùlne, de vous faü"\e 'pal+venir ae nombre d'exemplai'l"e'S ,q ue vous 'pél1'sez IpoU'vo:Î'r éoou1e-r. Les exeluplaires invendus sont T>cpris et Je montant des exemplaires vendus ~gt à v-erlSer ·t ous Iles deux mois. Benjamin, vendu de cette façon, n e coûte que 50 'c ts (Ile ipll'ix ,d e Mickey!). Des ·exelnplaires spécimen 's ont .à vatre ,dilp{)S\i~ion.
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de "l'ËCOUER ROMAND" vont paraître . Comnle les numéros de Noël ont chaque année plus. dé succès, ~es .r édactrices de Cadet Roussel et de l'Ecolie?' Rmn((.nd -ant décidé :de les !Lake enoore plus cop.ieux CBtw année' et d'y ajouter un ·encaJ."ltagie ,qui 'perm1ettrn aux élèves de ,réali's'e r un m.agnict:ique hricola·g.e. C',e st là un gros eiffoI'1t, car tout cc qui tollchB oà Yimpression revient :très che.r. Vous comprendr ez donc Iq ue le Ip rix .de ,ces 11Iuméros Rit .é té fiXIé à 5 cts plus cher pour ,c ouvrir .une Ipartie des frais suppilén1!entaires. Sommaire <lu numéro. de Noël de « Cadet Roussel l) ,en .couleu r s (8 ,pages ·p lus un .enüéIDta.g e): une histoire en images à .colorier; ii Olémentine p.répare Noël », une rléllvis's ante histoire « Zoub();'U, l e petit âne .gris >l, .urne !poésie et, ,en .sUW1étneIllt, un encartage ,pe'1\lnettal1lt id e 'r éaliser un. petit orche·stre .d'~ges. Que ' ;voilà une j.o lie d ècoratiùn ·à .p lacer sous l'al'lbre .où sur la table de Noël! Prix du No: 3,5 -cts. SOfil.m ail'e du numéro. de Noël de « l'Ecolier R:O.illand)} (3.2 pa geS' plus .un ,encartage): « Ma maison pendant la semam.e de Noël ):. une maison en Q"eUet., éc.l airée, a'v ec des ~~~onnn.ages 'e n ombre s chtno.i!ses aux fenêtres - des boules et gl.lir1andes nouvelles il réaUser avec .des J)apiers métaUisés Ib rillàniJs - les hist.oires à lire et à r aconter; : « L€ bœu.f ·qtri mangeatt .des ét.oi1es » ·et « Le Noël rI'A,n tonio » - , les poésies et l e s jeux 'de Noël, oles bonnes recettes, une SUlipr ise IpoUl' les montagnards et les ·col1e.ctionneurs d'autog r aphe$' e t bien entendu lt outes Iles lI"nbrique.s 'a ctuelles.
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