Rédaction : MICHEL VEUTHEY
LJECOLE VALAISANNE
Office de l'enseignement
LA BANQUE CANTONALE DU VALAIS
REVUE PEDAGOGIQUE POUR t'ECOLE ET LA FAMILLE
SION
PARAIT CHAQUE MOIS
vous propose pour vos dépôts
ses carnets 'd'épargne au pOl'teur et ses bons de dépôt à 3 % L'a rg ent qu e vou s lui con f iez travaille d
Ci
n s le canton et pou r le can t on
SEC URI TE:: DIS CRE T ION 1re ANNEE
- N° 3
SION, LE 1er JANyIER 1957
Garant ie de l'Etat pour tous les dépôts
Das Zenlrum der gulen Einkaufe im Zenlrum
Red(tktion : Prof. ERNST SCHMIDT
des Wallis
SchlLlinspekto r BRIC
WALLIS ER SC
HU~LE
ZEITSCHRIFT FüR JUGENDBILDUNG IN SCHULE UND ELTERNHAUS
Tel. (028) 3 1516 ERSCHEINT MONATLICH
SITTEN Tél. (027) 229 51 1. JAHRGANG - Nr. 3
SITTEN, DEN 1. JANUAR 1957
ZUM NEUEN JAHRE WEI SUNG
LAUSCHE NACH INNEN deine Quellen, sie rinnen, bezeugen im Stillen gottlichen W illen. Stromen vom Herzen, zweigen zum Sinn ; tragen Gewinn. Lausche nach innen zu jedem Beginnen. Molar
Ce troisième numéro de «l'Ecole va.laisanne» 'v ous parviendra sans doute au milieu d'une collection de petites cartes blanches ornées de vœux en lettres d'or. Nous nous joignons à vos amis, chers lecteurs, pour vous souhaiter une excellente santé, le succès dans votre tâche, la ] oie qui il:wninera votre âme. Santé! non pas, ou non seulement les deux syllabes dont les harmoniques sont à nos oreilles le choc de deux verres, mais encore le mot dans toute son ampleur, avec cette plénitude physique et morale sans laquelle notre travail devient si lourd. Succès ! non pas la réussite extérieure, la poudre aux yeux des autres, mais le sentiment profond d'avoir ·ser·vi à quelque chose, que d'autre.s autour de nous sont devenus un peu plus hommes, l'humble certitude d'avoir été un instrument docile entre les mains de Dieu. ] oie! non pas le grand rire éclatant, mœis la paix de l'âme qui sait qu'elle est orientée vers la Source, la ] oie qui épanouit nos vies, qui illumine tout notre entourage et qui est le signe des saints. Avouons que souvent l'on ne croit pas beaucoup à l'efficacité de ces formules nées sur le bord des lèvres. Et pourtant, pOUl' que tout s'accomplisse, il suffit de les prononcer en les confiant à Celui qui peut les réaJiser, qui a même promis de le faire si nous le lJui demandons. C'est donc une prière, chers lecteurs connus ou inconnus, que nous ferons à votre intention en ce début d'année. Un souhait, en langage chrétien, ne signifie-t-il pas une prière, puisque Dieu est la source de toute grâce ? Michel Veuthey
V Ol' ein paal' ]ahrzehnten beglückwünschten wir Oberwalliser einander am Neujahrstag noch mit dem alt-ehrwürdigen Spruch : «lch wünsche Euch ein recht glückhaftes Neues ]ahr, Gottes Segen, gute Gesundheit, ein Langes Leben und aUes, was lhr braucht an Leib und Gut !» Mit diesen W orten mochte auch ich aUen Lesern der «WaUiser Schule» meinen Neujahrswunsch entbieten. Moge der liebe Gott aUe Erzieher und die ihnen anvertraute Jugend mit Seinem reichen Segen beglücken! Ohne diese Gnade von oben gibt es ja auéh mitten im geschmackvollsten und ausgesuchtesten [(mnfort kein wahres, dauerhaftes Glück in unserm Herzen, von dem aus wir es wied el' hineinstrahlen sollen in die Herzen der [(inder. Und ich wünsche, dass allen Erziehern eine grosse, christliche Liebe zur ]ugend ins Herz gegeben werde: denn nul' aus liebendent W ohlwollen heraus el'spüren wir in uns se1lbst auch die Unvollkommenheit unseres Beispiels, das es zu bessern gilt und die Begrenztheit unseres Wïssens mit der Einsicht eines Sokrates : «lch weiss, dass ich nichts weiss ». Gerade dieses W ort moge uns Lehrenden immer wieder unruhiger Antrieb sein, jede Gelegenheit ZUT Weiterbildung zu suchen und zu nutzen ! . .. .1ch wünsche sodann allen eine gute Gesundheit ! Auch sie ist ein sehr kostbares Gut, das WiT erst dann gebührend schiitzen lernen, wenn wir es vennissen müssen. Vergessen wir darwn im Neuen ]ahre nicht, auch für diese Gnade dem Schopfer besonders dadurch zu danken, dass wir [hm zur Ehre und lhm zulieb alle uns geschenkten Kriifte wecken, erkennen und nutzen, in Teiner, selbstloser Absicht für die ]ugelld, die wir nach Seinem Bilde fonnen dür!en. Und allen moge beschieden sein, was sie brauchen an Leib und Cut ! lch mochte darunter besonders jene günstigen Lebens· und Arbeitsbedingungen verstehen, die da.s erzieherische Wirken .fordern und jenen idea.len Frohsinn wecken und wahren, der ein goIdener Schlüssel zum Herzen der ]ugend ist. Trachten wir darwn im Neuen ]ahre überall, daheim und in den Schulstuben, zu beweisen, was au! einer Spruchkarte geschrieben steht : «Unser Leben wird glücklicher, wenn wir einander ein frohliches Gesicht zeigen ! » Schmidt Ernst
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c e MARCEL MICHELET
Petite méditation de l'instituteur pour la nouvelle année
Seigneur je veux être avec vous quelques minutes au début de cette année ; . je vous. avoue que je n'en ai guère l' habitude. Le dimanche à la messe, j'ai devant moi soixante enfants qui bougent, qui parlent, qui tournent la tête, dérangent leurs voisins, se passent des boutons et des billes pour les jeter à la quête. V l'aiment je ne prie pas, j'ai assez à faire de les surveiller, heureux encore quand je n'ai pas besoin de tirer l'oreille au terrible Jean-Jean ou de mettre Doudou à genoux dans l'allée. NIais ce soir je suis seul avec V ou s, Seigneur, j'ai laissé mes livres et mes cahiers, je nw suis réfugié chez vous, tout étonné moimême, sans autre souci que de vous écouter et de vous entendre; - de vous interroger aussi; de vous poser bien des questions dont la somme ne fait qu'une question, celle même de la vie. V oilà vingt ans que j'ai mon brevet; ce fut un beau jour parce que j'y croyais, parce que toute mon enfance et ma jeunesse y tendaient ; je me voyais à la tête d'une classe -
d'enfants sages ou de petits monstres dont je ferais des hommes et des femmes ; mieux, des chrétiens et des chrétiennes ; il n'existait pas de plus belle vocation sur la terre; ivre de joie, je brandissais mon brevet en m'écriant : «Maintenant, je suis i,nstituteur ! » Instituteur ! Celui qui construit, qui édifie; celui dont chaque instant sera occupé à ce chef-d'œuvre incom pal'able: bâtir par le dedans la cité future, la société de demain en éduquant les sensibilités, les imaginations, les cœurs, les intelligences; ouvrant ces jeunes esprits à toute la bonté et la beauté de. la vie; apprenant aux hommes et aux· femmes à mieux se connaître et mieux s'aimer afin que la terre soit plus habitable et que le ciel soit ouvert. Il me plaisait aussi de m'appeler simplement le régent, comme on l'appelle au village : celui qui régit, qui dirige, qui gouverne un petit peuple incivil pour le rendre poli, civilisé, respectueux. Je voyais en pensée le vieux régent et la vieille régente de ma commune, que tout le monde . ai92:....... ·
mait et vénérait ; la vieille école aux cartes surannées, aux bancs de sapin entaillés à coups de couteaux et tachés d'encre, et qui était pour tous comme une église où vous avez la première place, où par le maître vous rayonnez, vous le NI aître des maîtres. Et voici que nous avons des écoles nouvelles qui sont comme des palais, des parquets luisants, des meubles polis qu'une chaude lumière ~claire, Mais cette école n'est plus le centre; mais les grandes personnes ont tellement couru le monde qu'elles méprisent cette maison où l'on enseigne des choses si humbles. Et les bruits du monde nous arrivent si forts par la radio ou les illustrés, que les enfants ne tiennent plus en place et n'attendent que le moment de s'envole~'. Quelques années et ils regardent de très haut le régent, comme s'ils disaient : « Vous voyez, nous n'avons pas besoin ,de vous ! Nous volons de nos pro pres ailes» - Je pense à mon terrible Jean-Etienne, devenu aviateur, ayant vu tant de pays, tal"tt de gens, tant d'idées, que je suis pour lui comme le poteau du ré· verbère immobile, dont la pâle lumière tremble toujours sur la même fontaine. Et me voici le soir devant la même pile· de cahiers, les mêmes maladresses, les mêmes fautes, avec ma vieille plume et mon flacon d'encre rouge, et mes propres enfants autour de moi, dont j'ai à peine le temps de m'occuper. Voilà, c'en était trop, je me suis enfui, j'ai eu la tentation d'entrer
au café, mais j'ai vu l'église ouverte et votre lampe solitaire ; je suis entré et je suis devant vous quelqu'un qui ne sait plus que faire ni que dire ; je vous apporte ma lassitude; j'allais · dire mon dégoût , Faites-en ce que vous voulez, je vous les donne. -NIon enfant, c'est moi qui t'appelais! Pour le plaisir de t'appeler mon enfant, toi qui as tant d'enfants qui ne t'appellent pas ton père. Tu as besoin, toi aussi, de venir à l'Ecole, et ne ·suis-je pas ton école? Tu m'appelles NI aître et je le suis, moi le Verbe Eternel, moi la Parole de Dieu devenue visible et tangible pour toi. Qu'apprendras-tu? Ferme les yeux et tu verras; prête l'oreille et tu entendras. Je suis le Maître d'Ecole dont tous les enfants ne sont pas toujours sages et n'obéissent pas toujours à la cloche. Et je ne leur fais pas de grandes scènes; simplement je suis là et j'attends en aimable patience; je me fais tout petit pour leur sourire et jouer avec eux. Amène quelquefois tes enfants devant la crèche;, ensei. gne-leur iL faire silence; aide· les à comprendre le seul vrai enseignement qui importe et qui dure: que je suis doux et humble de cœur. Amène-les au temple où j'enseigne les docteurs. Donne.leur le respect et l'amour du catéchisme et de l'His· toire Sainte. Que ces heures ne soient pas comme les autres mais baignées de silence et de prière. N'explique pas trop : c'est moi qui leur enseigne dans le cœur , Ne te laisse pas trop conter par les apôtres de l'Ecole dite «moderne », qui méprise la mé . .
moire de l'entant et ne leur fait rien apprendre qui ne soit compris. Qui comprend? NIais exige du catéchisme une récitation pro pre, par- faite, sans bavure. Que toute sa vie le chrétien trouve la mémoire de son Dieu, qu'il récite les actes de foi, d'espérance et de charité. Ne crois-tu pas que je suis dans leur cœur à tous les tournants de la vie pour leur donner de ces mêmes formules une explication meilleure que toutes celles que tu essaies de leur faire? Voilà ce que te dit le vitrail où tu me vois représenté au milieu des docteurs. Tu es le seul au village qui se laisse entourer d'enfants, et les hommes importants qui sont dans la politique ou les affaires sourient de toi quand tu joues comme l'un d'eux, quand l'un t'envoie la balle qui laisse un rond de boue sur tes habits, quand plusieurs· autres viennent te tacher de leurs mainS sales. J'ai fait cela avant toi et mes disciples voulaient écarter de moi la troupe bruyante ; et je les 'ai presque grondés. «Laissez venir à moi les petits enfants et ne les~ empêchez pas; le royaume des cieux est à eux et à ceux qui leur ressemblent ». Tu vois que je fais, à vous, maîtres, une place de choix dans ma maison! En vérité, nulle tâche ici-bas n'est aussi belle que la tienne! Quand tu ne vois pas bien l'aboutissement _de t-es efforts, quand tu serais tenté de penser que tu fais peu de chose en un siècle où tout est compté au poids, au prix, au mouvement et à la puissance, viens alors me parler comme tu le fq,i§ .ce soir, ~t apprendre que I
nous sommes deux à cette œuvre sublime: rendre l'enfant docile à cet ange qui le gardait et qui sans cesse contemple la face de mon Père. Regarde le tabernacle où je suis le pain. Sans faire de sermons comme le prêtre, enseigne aux enfants à avoir faim de moi. Apprends-leur à me voir et me trouver dans toute la création; dans le soleil et le brin d' herbe, dans l'océan et la goutte de rosée, dans les chefs-d'œuvre de l'art et dans une humble page de belle écriture. A p prends-leur à aimer ce qu'ils font, à ne jamais se contenter de la médiocrité; apprends-leur que je les habite et qu'ils m' honorent chaque fois qu'ils mettent toùt leur cœur au travail. à la recherche de la vérité et de la beauté. Conduis-les sur le chemin de Betphagé où ils jonchent mon chemin de branches vertes et me chantent de toute leur voix. Tu sais que la louange des enfants m'est la plus agréable et je veux que tu leur apprennes à me louer en tous tem ps, par leur tenue, leur conduite, leur travail, leur prière ; et qUJe toute leur tâche présente est de devenir Moi. Pense que j'ai les yeux sur eux mais que c'est par toi qu'ils me découvrent. Lis dans leurs yeux le reflet de moi-même; vois si je n'ai pas mis dans quelques regards une fleur qui s'épanouit en vocation . .. Tu ne dis rien. Tu penses que demain tu seras à ton pupitre avec le même poids sur les bras et la même vie sans éclat . .. Patience! Tu vois que je suis
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patient et que j'attends sans me lasser depuis le commencement du monde ...· Mais c'est à la fin d'une existence et à la fin du monde que s'inscrit le total d'une destinée. Apprends à . ne pas voir immédiatement le résultat de tes efforts. C'est quand le grain a passé l'hiver sous la terre qu'il se lève et donne une moisson. C'est sous les mottes gelées que se pré par,e nt les floraisons. Et moi ton Maître, je te dis que tu as le métier le plus beau, celui de la vie et de la sève, celui qui fait fleurir et mûrir.
- Maître, tes paroles sont bonnes, elles sont faites pour moi. Je l:eviendrai à tes leçons, j'écouterai, j'entendrai ta voix. Puisses-tu me rendre transparent, afin qu'à travers moi mes élèves te découvrent et te suivent. Et la récompense qui me vient ce soir, la jo~e, le bonheur de ma vocation, j'y crois maintenant, fais que je me tienne près de toi pour m'en rendre toujours plus digne. Oui, Maître, je reviendrai chez Toi.
WEITBLICK UND MUT! MARTINUS
Ein Symptom Linserer Tage sind die zahlreichen «Erfolgsbücher», die wie Pilze aus dem Boden schiessen. In mannigfahiger Abwandlung und unter Hinweis auf eine Fülle unkontrollier'barer «Zeugnisse» wird darin angepriesen, wie der Kaufmann und der Handwerker, der lehrer und der Arzt, wie der Beamte und der einfache Arbeiter zu umfassender Bildung, zu kraftvoller leistung und Uberlegenheit, zu Vermogen und gehobenem lebensstand kommen kann. Dabei wird in diesen « ErFolgsmethoden» so getan, ais ob Schulbildung und héiusliche Erziehung verblassen müsstÊm gegenüber der Gotterdéimmerung der Bildung und der Wohlerzogenheit, die -95 -
jetzt oh ne grosse Mühe. anheben wird. Ganz abgesehen von einem unnatürlichen und geradezu abstossenden Leistungskrampf, der hier mitunter bewusst oder unbewusst verkündet wird und der nicht selte'n zum gesundheitlichen Zusammenbruch und zu einem bankrotten Heidentum führen kann, dréingt sich darin eine gerade für uns Eltern, lehrer und lehrerinnen ganz entscheidende Frage auf. Es ist si cher unbestritten, dass kein Mensch auf die Dauer ohne Erfolg und oh ne Anerkennung seiner leistung 18ben kann. Und die Hoffnung, dass alles Mühen und aile Arbeit die «ausgleichende Gerechtigkeit» findet, dass alles Gute, auch dCls ungenannt~
und ungekannte beim lebendigen, gütigen Gott erkannt und anerkcmnt wird, gehort zum gesunden, christlichen Menschenleben. Erfolg und Echo, Lohn und Anerkennung stellen notwendige Teilwerte ' ul1seres Glückes und Glücksstrebens dar. Wir dürfen nach Erfolg streben und wir sollen danach streben ! Nun aber die Frage .: Ist der Erfolg, zumal der èiussere, greifbare, anerkannte, sich~bare Erfolg der eigentliche Gradmesser der Leistung, der geistigen Grosse, des char~kterlichen Wertes, des wirklichen Konnens? Sind wir selbst nic~t in Gefahr, dem Kult des Erfolgsmenschentums zu verfallen dort, wo wir uns mit anderen l!nd andere mit uns vergleichen und , bewerten mit iener müdemachenden, unruhigen, verwirrenden Einseitigkeit, die unsere Persanlichkeit, unsere Aufgabe und ' unsere Arbeit in eine enge, verzerrte . Perspektive stellt? Ob wir uns an der Schwelle des neuen Jahres und im Angesichte der grossen Ause,inandersetzungen unserer Tage nicht wieder mehr ·darauf besinnen sollten, dass der innerste Zustand des Erziehers es ist, von dem der Wert, die Kraft und die Erfolgswirkung seines Tuns abhangt? Mehr Weitblick Von Chesterton kennen wir das Wort: «Der Erzieher muss von Standes wegen «Mystiker» sein, denn el' bedarf 'des Wissens um die grossen Zusammenhëinge hinter ,der sichtbaren Welt. Er arbeitet falsch und zum Unglück für sich selbst, wenn er nicht arbeitet ",.,.. 9,6 -
wie vor den Augen seines grossen Auftraggebers ». Der ri ch tige Blick für die uns Anvertrauten, die weise Griffsicherheit in der Methode, die kraftvolle Einwirkung auf Geist und Herz der Jugend setzt bei uns die weite und weitsichtige Blickrichtung auf den voraus, in dessen Sendung wir stehen und von dem wir uns bewegen lassen. Diese Haltung bedeutet keineswegs etwa eine Verweiblichung und Verweichlichung des Geistes oder den schlaffen Verzicht auf ein kraftvolles Eingreifen in . das leben - so wenig, wie es im Widerspruch zur Mëinnlichkeit steht, Schüler zu sein und sich einem Meister zu offnen, ehe man selbsttêitig wird. Ünsere zentrale Erf~lgsübung mag deshalb mehr ais bisher ' eine Obung in der Ergriffenheit von unserer Sendung sein. Diese übung ist weit davon entfernt, nul' ein «frommer Augenaufschlag» zu sein. Vielmehr leuchtet darin eine zweifache Wirklichkeit auf( die unser ganzes Wesen und Wirket11 neu zu ' formen, zu befruchten und' ais wirkliches Gegel1mittel gegen den Ungeist und « Widersacher des Geistes» zu weihen vermag. 1. Unsere Tatigkeil' gründet auf einem Bündnis. Die ganze Welt- · und Gesellschaftsordnung ist aufgebaut auf dos Gesetz der Zweit-Ursachen. Gott lenkt und leitet, Gott dient und sorgt, Gott lehrt und schenkt seinen Rat dui'ch Menschen ais Zweitursachen. Wieviel Menschen nahm el' nur schon heute ·in · seinen Dienst, um Dir und mir zu dienen ! Wieviel Zweit-Ursachen werden gerufen, bis ein Mensch selbsttèitig. und selbstèindig seiner ihm
von Gott gegebenen B ~rufs- und Le bensaufgabe gewachsen ist ! Hinter de m, was wir so leichi'hin «soziale Verkettung» nennen, sieht eine Grosstat Gottes und ein Vertrauenserweis des Schopfers zum Geschapf, des Meisters zum Schüler, des Vaters zu seinem Kinde, die uns selbst in den bitteren Stunden des Misserfolges aufjubeln lassen sollten. Dass un~er den « Zweitursachen» manche sind, die versagen oder stumpf sind, o.der es solche gibt, die sich nul' dilettantisch in Dienst ste lien lassen oder solche, die es nicht leiden kannen, dass andere a uch Zweitursachen Gottes sind - a il das ist «Tragik» des grossen Herrn urld Meisters. Was tufs, es bleib.t dabei : Wir stehen aus natürlicher und übernatürlicher Berufung in eine m schicksalhaften Werk- .und Wirkbündnis mit Gott. Darum wollen wi r keinen Teg beginnen und nie vor unsere Kinder trelen, bevor wir nicht dieses schon naturhaft begründete Bünd nis durch einen freien Entscheid erne uert und besiegelt haben. Aus freier Tat heute wieder bündnishaft in Dienst genommen, dos soli die Ouve rtüre sein. Wir. werden uns geloster und freier, .regsamer im Geiste und mobiler im Wissen und Erkennen f ü hi e n. Bündnisbewus~tsein! Das rechte Krëifteverhëiltnis zwischen Sollen und Vollbringen, zwischen Wollen und Kannen wird gesichert, die Gedu ld mit sich und mit den and~,ren lèisst sich leichter bewahren, Unlust und Trèigheitsallüren werden schnel,ler überbrückt. Wir kannen R. M. Rillees Wort a uf uns beziehen : «Wie klein ist das, womit wir ringen - Was mit
uns ringt, wie Îst das' gro~s !» Ferner : Hier liegt a uch der Schlüssel, um mit den eigenen ' Grenzen fertig z.u werden. Misserfolg, Unvermogen, hartes Los, Brotsorgen, schwèic.hliche Gesundheit, unerfreuliche Umge~ung, Tadel, Missachtung, persanlich verschuldete Fehl~r, Vergesslichkeite~, ungezügelier Zorn, menschenfürchtige Nachgiebigkeit - wie vi~les V9n diesel') Dingen liegt off wie unverdauter Satz in uns! Aber auch nichis schade.t so sehr unserer korperlichen und geistigen Spannkraft, gefèihrdel so den Frieden, nichts macht speziell auch den Mann so verkrampft, steif und lèicherlich unreif wie des inner. lich unv~rarbeitete .Material ail dieser Erlebnisse, deren Spannungsmomente siche,r die Ursache eines grossen Teils aller Neurosen sind. Aus Weitsichtigkeit heraus wollen wir darum auch allabendlich in der Bündnis-Erneuerung mit Gott den innel'en Ausgleich und das Gleichmass des Herzens suchen! 2. Unsere Tatigkeit gründet auf einem Bekenntn is. Bei der B~trachtung der 10 Gebote Gottes ist Ihnen sicher schon wiederholt aufgefallen, dass zwar weniger der 'Zahl nach wobl aber inhaltlich das 4. Gebot wie ein Mahnzeichen und ragender Wegweisel' zwischen den Geboten der Golfesverehrung und der Ehrfurcht VOl' den Mitmenschen steht. Nun wèire aber der tiefe, gattliche Sinn dieses Gebotes bei weitem nicht gcmz erfasst, wollte man darin nur die gattliche Sanktion menschlicher Gehorsamspflicht sehen. Kann dos im Ernst die Vi/eise Absicht gottlicher Führung der
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Menschen durch Menschen sein, unter Berufung auf dieses Gebot den Willen der Kinder und Untergebenen gefügig zu maellen? Sie nehmen mir das harte Wort nicht übel, aber wenn ich Menschen anireHe, die cus offenkundiger Ohnmacht und Hilflosigkeit geradezu leichtfertig rasch sich auf das 4. Gebot berufen, um ihren WiIlen wenigstens dem Scheine nach durchzudrücken, dann kommt mir jenes Wort in den , Sinn «Mit dem S~cmdreeht kann jeder Esel regieren ! » Sie versiehen mich richtig. Das 4. Geboi c.;nd seine Verheisst.mg schüizt in gottlicher Hoheit Stellung und Aufgobe der Eltern und Erzieher und moge uns Gott die Kraft und den Mut im 'neuen Jahre schenken, es wieder wirklich ais Unterpfand einer Verheissung bei unseren Kindern und bei deI' heranwClchsenden Jugend ohne ieden Abstrich auf den Schild zu erheben, Aber e~ geht um mehr. Nidrr ais Bedingung für den Gehorsamsakt, wohl aber ais ganz entscheidendes Hilfsmittel, dazu braucht zumal der Wille des heranwachsenden Menschen das ehrfurchtgebieTende Moment der inneren Autoritat des Vaters, der Mutter, des Erziehers. Gehorsam ist nicht Aufgabe des Willens sondern Hingabe desselben an den Willen des anderen. Unfergang des Willens ais Übergang in den grosseren Willen. Jedem kindlichen Gehorsam muss bewtJsst oder unbewusst dos verehrende, das anbetende, das sich bergende Moment innewohnen konnen, der Durchblick yom eigenen kleinen, unfertigen, unwissenden, unerfahrenen Ich zum -
grossen, kraftvollen, wissenden, erprob'~en, schützenden Du. Hier liegi unsere Aufgabe, hier gründet im 4. Gebot unser Bel<enntnis, dem ,so entscheidungsreichen Willensleben unserer Kiilder nicht weichlich, wohl aber weitsichtig zu dienen. Gott stellte unsere Autoritêit zwischen die Würde der Mitmenschen und seine eigene, anbetungswürdige Grosse, weil ouf unserem Antlitz die Würde und Weisheit, die Grosse und Umsicht, Weitsicht und Einsicht Gottes ihren Widersehein finden und ais Abglanz des Unsichtbaren dem I<inde sichtbar gemacht werden solI. Per visibilia ad invisibile ! Lasst uns weniger die bewundern, die geistreichen oder wortreichen Larm machen um die Problematik der Jugend, Jasst uns ,vielmehr prophetische Erzieher sein, Mêinner und Frauen, die yom heiligen Berge kommen wie einstmab Moses. Denn dann wird auch ail das, was wir von den Kindern fordern und fordern müssen, viel mehr Gewichf, mehr bewegende Kraft und energieforderndes Motiv erhalten. lm Angesichte des Antwerpener Domes soli ein Dichter ausgerufen haben : « Jene Zeiten hatten Dogmen, wir haben nur Meinungen. Mit Meinungen aber bout man keine Dome ». Wir begreifen sofort die Aktualitêit und die Tragweite dieses Wortes, wenn wir uns daran erinnern, wieviel und wievielerlei mitunter an unsere I<inder hingeredet wird. Wieviel davon nur Meinungen und dazu schlecht überdacht, unbeherrscht vorgebracht oder selbst kaum ernstgenommen! Wir bekennen uns zu einer kraftvollen, weil weitsichtigen 98-
Bildu ng des Willens un:.;erer I<inder, um der Verheis~ung zu dienen, die dem gehol'samen Kinde geschenkt ist. Mehr Mut Wo Aufgaben gestellt sind von so weittragender Bedeutung wie die der Erzieher, da hait Gott auch seine Ga ben bereit. Wir zCihlten bereits Gr ünde genug ouf, die uns cine überzeugte luversicht und ein hochgemutes Vertrouen zu schenken vermogen. Es liegt nur an uns, sicl1 immer wieder für die Gaben bereit zu machen, dem «toten Punkt» in unserem Berufe nicht zu lange nachzuhëingen - und mutig zu sein. Die grosste Versuchung in unseren I{reisen liegt he ute in der Vers uchung zur Mutlosigkeit. 7Xusserlich wird dieser' Gefahr du rch zwei Faktoren Vorschub geleistet, die noch kurz erwéihnt sein m0gen. Wir wolien zuviel auf einma l und zu rasch, lm Zeitalter der Automation fehlt uns mitunter der Sin n für ail das, was der Gesetzmassigkeit des Wachsens und Reifens innewohnt, der Sinn dafür, dass bleibende Wert'e Zeit braudlen, das5 ' grosse Aufgaben nur in kleinen TeilAufgaben gelast werden konnen, dass Dienst am L~ben, zumal des jungen Menschen, zwar die konstcmte Sorge un d hellsichtige Wachsamkeit eines Hi rten, aber ouch die Geduld eines Eilgels brcwcht. Wir Erzieher scheinen viel zu rosch weise und klug, unfehlba r und wissend, ans~êindig und reif geworden zu sein, sodass wir den MClsstClb für den Begriff der leit ver!oren !laben, da auch wir einmal '-
unmündig waren wie ein Kind und dachten Y'fie ein Kin d und schwer von Begriff waren wie ein Kind. So kommt es, dass wir die Schwierigkeiten vielfa ch überschêitzen und vor den bei jeder Erzieheraufgabe gestellten Geduldsproben Ideinmütig zu kapituliel'en versucht sind. Wollen wir nicht wieder melu daran den ken, dass unser Beruf einen « langen Atem» braucht und dass wir so der langmut Gottes nahe verwcmdt sind! Die andere Gefahr für unsern Mut liegt darin, dass wir uns gegenseit,ig unsere Aufgabe erschweren I«->nnten. Wir brauchen hier keine Einzelheit~n zu nennen. Sie kennen diese Dinge selber am besten. Aber auf einen Umstand wollen wir cloch den Finger besonders legen: «Vergess~n wir vielleicht nicht doch dann und wann, dass guie, aufrichtig strebende und feinnervige Menschen - und wer von uns gehort nicht zu diesen, trotz einer vielleicht rauhen Schale - unsere Hilfe, unsere Anerkennung, unperen Schu2z und besonderen Taki bei Tadel und I(ritik erforderlich machen ? «Mut des Schwt1chen, Milde des Starken beide verehrungswürdig,». Mehr ais iallen andern mag für uns ' dos Wort Pius XII. hier wegleitend sein: « Für aile guten Mensehen, für aile, die um die Geschicke der Welt besorgt sind, ist die leit gekommen, einander zu erkennen 'und die Rèihen zu schliessen. Es ist die gon ze Welt, die von Grund auf aufgebaut werden muss, die vom Mil den zum Men s chi i che n, vom Menschlichen zum Got t 1i che n umgestaltet werden muss' !» 99-
LA COMMISSION SCOLAIRE DIE SCHULI(OMMISSION MICHEL VEUTHEY - ERNST SCHMIDT
Le renouvellement des autorités municipales va provoquer dans chacune de nos communes la nomination de la commission scolaire. Il est sans doute opportun de choisir ce début d'activité pour situer le rôle que doit jouer cette commission dans nos communautés scolaires.
N achdem vor kurzem 'die Gemeinderatswahlen stattgefunden haben, werden nun allenthalben die Schulkommissionen neu bestellt. Es dürfte daher nützlich sein, zu Beginn ihrer Amtsüitigkeit dem Auf gabenkreis dieser Kommissionen innedlalb unserer Schulgemeinden eine kUI'ze Betrachtung zu widmen.
teilen konnen. Daraus ergeben sich die Eigenschaften, die den Mitgliedern der Kommission eignen müssen: zunachst die Fahigkeit, sich Rechenschaft zu geben, ob der Lehrer das Kind achtet, ob er es liebt; sodann die Fahigkeit z:u entscheiden, ob das Lehrpersonal von echtem Pflichtbewusstsein beseelt ist ode! nicht ; die Fahigkeit auch, in gerechter Weise Lob und Tadel zuzuerkelmen; und endlich die Fahigkeit: · der offensichtliche Wille, dem Lehrpersonal beizustehen, indem man sich ihm gegenüber aIs aufrichtiger Freund und, soviel aIs moglich, aIs uneigennützer Ratgeber erweist, mit einem W orte: der Wille zur Mitarbeit.
les qualités exigées des personnes qui en font partie: aptitude à constater si le maître respecte 1"enfant, s'il l'aime; aptitude à constater chez le personnel enseignant l'existence ou la non-existence du sens de ses r esponsabilités; aptitude à décerner justement l'éloge ou le blâme; volonté bien Inarquée de seconder les m aîtres en étant pour eux des amis sincères et, autant que possible, des conseillers désintéressés; autrement dit, volonté de collaboration.
Wer soli Mitglied der Schulkommission sein ?
Qui doit en faire partie? Le sens de sa mission
Zweck der
La comlUlSSlon scolaire veille à l'harmonie dans l'enseignement ; eiIe' tâche de v~ir si l'école remplit sa mission qui est de préparer les enfants à réaliser pleinement leur destinée hUlllaine; elle contrôle l'instruction donnée par les écoles, mais plus ellcore l'éducation que les élèves y reçoivent.
Pour éduquer, le maître doit avoir une intelligence droite et la bonté du cœur. La technique ~colaire ne suffit pas: il faut que le luaÎtre soit un guide sûr. La commission scolaire est appelée à apprécier le travail du personnel enseignant. On voit par là -100 -
Schulkommis~ion
Die Schulkommission wacht darüber, 'd ass die einzelnen SchulHicher angemessen berücksichtigt werden; sie versichert sich, ob die Schule ihrer Auf gabe, die Kinder zu vollwertigen Menschen heranzubilde~ gerecht wÎI'd; sie solI endlich die durch die Schule vermittehe Bildung, vor alleln aber d~e Erzie.hung, welche die Schüler daselbst erhalten, üherprüfen. Um erziehen zu konnen, braucht der Lehrer gesunden Verstand und wahre Hel'zensgüte. Unterrichtstechnik allein genügt nicht: der Lehrer muss ein sicherer Führer sein. Die Schulkommission nun solI Fahigkeit ~d Leistung des Le}upersona]s beur-
Le devoir du conseil communal est donc de repérer les personnes susceptibles de répondre à ces exigences. On peut donner à ce sujet quelques indications particulières. Il est clair que le conseill doit être représenté au sein de la commission. Mais nous avons peut-être trop l'habitude de choisir presque exclusivement des membres du conseil . communal. Même si nous plaçons en nos autorités une grande confiance, nous devons pourtant penser que, presque dans chaque commune, il y a aussi hors du conseil des gens qui possèdent les qualités exigées par cette fonction particulière, des gens ·moins
Es ist somit Aufgabe des Gemeinderates, jene Pers onen ausfindig zu machen, die Hihig sind, den gestellten Anf orderungen gerecht zu werden. Diesbezüglich mochten wir tms einige Hinweise gestatten. Es ist selbstverstandlich, dass der Gemeinderat in der Schulkommission vertteten ist. Vielleicht ist es aber zu sehr Brauch geworden, dass die Mitglieder der Schulkommissionen fast ausschliesslich dem Gemeinderat angehoren. Wenn wir auch ' grosses Vertrauen in unsere Behorden setzen, 80 ist es dennoch denkbar, dass fast in jeder Gemeinde auch ausserhalb des Gemeinderates Pers onen zu fin den SInd, die für dieses Am't ausgezeich.
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hahiles peut-être pour les questions adminis~ratives, mais qui comprennent le~ problèmes scolaires et s'y intéressent, des gens qui ont aussi le temps nécessaire et surtout assez d'indépendance pour prendre position dans eles questions , sc.o laÏl'es d'ordre général ou personnel. J] est clair que la commission sco-
laire doit veiller non seulement à l'organisation extérieure de l'école et aux connaissances acquises par les élèves, mais SUI'tOut à l'éducation qu'on leur donne. Sous plusieurs rapports, tille femme possède pour l'éducation des aptitudes bien supél"Îeures à celles , d'un homme. O:r;t saIuet'ait donc avec joie des présences féminines dans nos commissions scolaües, en particulier des mères de famille ; plusieurs communes ont déjà réalisé cette idée, qui est d'ailleurs une exigence de la loi à peine tempérée par les mots « dans la règle». Nous devons essayer, che~ nous ' aussi, de ne pas nous attacher fermement à une tradition et chercher à considérer avant tout le bien de notre école. Nous aurons fait un ' hon pas en avant si nous choisissons pour nos commissions scolaires des gens qui possèdent Jes qualités particulières exigées par cette fonction.
Notons encore que le Curé de la paroisse -. . 01) un autre desservant
nete Eignung besitzen. Sie hab en vieUeicht weniger Geschick für Verwaltungsauf gaben, weniger Organisationstalent, aher viel Verstandnis, Interesse und Zeit fûr die Belange der Schule tilld VOl' allem melu Unablüingigkeit in iluer Stellungnahme zu allgemeinen und personlichen Anliegen des Schulwesens. N achdem die Schulkommission nicht nul' d[lrüber zu wachen hat, wie es mit der aussern Gestaltung des Schulwesens und dem schulischen Wissen der Kinder steht, sondern ehensosehr darüber, wie es um die Erziehung in der Schule bestellt ist, ware es sicher sehr zu begrüssen, wenn auch Frauen, vor allem erzielllillgserfahrene Mütter, der Schulkommission angehorten. Mehrere Gemeinden haben diesen Gedanken bereits vel'wirklicht, cler übrigens eine im Gesetz verankerte Forderung ist, die kaum durch die W orte «in der Regel» gemildert wird. In mehr aIs einer Hinsicht besi~zt die Frau erzieherische Eige,n schaften, die ' jene des Mannes ühertreffen. Es ist daher nUl' hillig, wenn au ch das frauliche Element innerhalb der Schulkommission vertreten ist. Statt unhedingt an einer Tradition festzuhalten, die unleughar gewisse Mangel aufweist, . sol~ten wir darum ·auch bei uns versuche~, vor allem dem Fortschritt der Schule zu dienen, und demzuf olg.e in unsere Schulkommissionen nul' Leute hestellen, welche für die Erfüllung dieses wichtigen Amtes Freude und vorzügliche Eignung besitzen. Fügen wir noch hinzu, dass der Pfal'l'er oder ein anderer von ihm
bezeichneter Geistlicher von Rechts wegen Mitglied der Schulkommission ist. Diese Gegenwal't des Priesters ist aber bei uns melu aIs nul' eine Forderung des Gesetzes : sie ist eine glückliche Tradition. Meistens ist es übrigens der Pfal'l'er selhst, der die Kommission prasidiert.
désigné par lui - fait partie de la commission. Cette présence du prêtre est chez nous plus qu'une exigence légale: c'est une heureuse tradition. Souvent même, c'est le Curé de la paroisse qui préside la commission.
Besondere Obliegenheiten der Schull<ommission
Ses obligations particulières La commission scolaire a deux obligations principales qu'il est bon de rappeler: visiter régulièrement les classes et f aÏl'e subir chaque année un examen aux élèves.
Die Schulkommission hat zwei Hauptaufgaben zu erfüllen, an die immer wieder erinnert werden muss: regelmassig die Schulen zu hesuchen und jahrlich die Schüler einer Prüfung zu unterziehen. Artilœl III des Schulgesetzes bestimmt noch eine Reihe weiterer Obliegenheiten. Vor Beginn des neuen Schuljahres muss die Schulkommission ein genaues Vel'zeichnis al'1el' schulpflichtigen Kinder erstel~ len; sodann hat sie darüber zn wachen, dass die Vorschriften bezüglich der Absenzen und Urlaube genau ein il gehalten werden. Es ist ihre PflicJ:,lll. 'fen, welln gewlsse . Sch '4.. ,des elnzugrel - sehr zu Unrecht ' - glauben ~ym konnten sich von der FortbilJllaffen sdmle oder vom Besuch der /re Er. .. ,ide sittrasse elgenmac1 R aus h a 1tungsIl . d penSleren; wenn an ere ahme der Abschluss des achten Schu"'s Lehrers
L'article III de la loi détermine encore un certain nombre d'obligations particulières. -Avant l'ouverture de l'année scolaÏl'e, la commission doit établir la liste des élèves astreints à fréquenter l'école et contrôler ensnite l'application des règles concernant les absences et les congés. Il est de son devoir d'intervenir en particulier quand certains élèves croient à tort pouvoir se dispenser des cours complémentaires ou de la deuxième année d'école ménagère. Les textes sont assez clairs. Les autorités scolaires doivent faire observer la loi. Sinon, il faut la modifier.
einer landwirtschaftliche'n .lhlung ihrer schreiben lassen, um ersichtlich lassungspl'üfung zu '1ission zudiesbezüglichen VOl' 'och solIklar genug. Die Schu' ufgahe dem Gesetz N achac ' /J.eder der fen. Wenn nicht, . . . en nicht erwerden. Schule Eindruck ~
103
On oublie trop souvent que la commission scolaire doit . accompagner l'inspecteur dans ses visites. Il est au nl0ins de son devoir de discuter avec lui toutes les questions qui intéressent l'école. La commission donne en outre son préavis au conseil communal pour - la nomination du personnel enseignant. Ce contact indispensahle sera facilité par la présence d'lm conseiller au sein de ]a commission scolaire.
Peut-être faudrait-il sou ha i ter qu'un contact plus étroit s'établisse entre les commissions scolahes · et le setvice médico-pédagogique appelé à s'occuper des enfants présentant des troubles nerveux ou mentaux. Qui d"autrè part poutrait mieux se rendre compte de la nécessité d'ouvrir des· classes pour enfants al'l'iérés ? Sur un autre plan, la COl1unÎssion doit exercer la slll'veillance du compOI·tem-e nt général du personnel enseignant, Elle doit ensuite le soute· nir dans la surveillance des enfants en dehors de la classe. En cas d'insubordination ou d'indiscipline, elle prononce les pénalités prévues par la loi. Notons toutefois que c'est l'inspecteur qui .est appelé à juger · les cas d'une certaine gravité. Mais, pour ce . qui concerne la commission scolaire, souhaitons que son président ne soit pas seul à prendre ces sortes de décisions ; il doit pouvoir compter s.ur l'appui de ses collègues.
Man vergisst of t, dass die Schulkommission den Schulinspektor bei seinen Sehulbesuchen zu begleiten hat. In ihrem Pflichtenheft steht ferner, dass sie mit ihm aIle jene Fragen besprechen solI, die die Schule besonders angehel1. Die Schulkommission hat für die Ernennung des Lehrpersonals dem Gemeinderat ihre VorschHige zu unterbreiten. Der unentbehrliche Kontakt zwischen die-: sen beiden Behorden wird natürlich durch die Gegenwart von Ratsmit~ gliedern im Schosse der Kommission sehr erleichtert. Ein enger Kontakt zwischen der SchulkOlmnission und dem heilpadagogischen Dienst ware sehr zu wünschen, da sich gerade letzterer VOl' allem jener Kinder annimmt, die irgendwelche nervose oder geistige Storungen aufweisen. Die Schulkommission darf ferner die alIgemeine Aufführung des Lehrpersonals nicht aus den Augen verlieren. Sie solI aber auch die Lehrkrafte in der Überwachung der Kinder ausserhalb der Schule tatkraftig unterstützel1. In Fallen von Unbotmassigkeit und Vergehen gegen die Disziplin hat sie die im Gesetze VOl'gesehenen Bussen zu verhangen. · Es sei alIerClings beigefügt, dass fü~ besonders sc.h were Disziplinarfalle der Inspektor zustandig ist. Was jedoch die Schulkommission anbetrifft, wünsehen Wil', dass ihr Prasident nicht allein sei, wenn es gilt, solch unpopuHire Massnahmen zu ergreifen, son· dern dass el' sich hierin stets auf die Unterstützung seiner Ratskollegen vevlassen kann.
- J04 -,.
Avant tout, que les membres de la commission aussi bien que le personnel enseignant songent à l'in· fluence de leur exemple! Les enfants sont des observateurs perspicaces: ils n'ont pas besoin de longues analyses pour porter un jugement sur autrui. Rappelons-nous nos années d'enfance et songeons au prestige qu'avaient à nos yeux ces Messieurs qui venaient visiter la classe !
Mochten sich vol' allem die Mitglieder der Kommission wie auch die Lehrpersonen des Einflusses bewusst sein, den sie durch ihr Beispiel aus .. üben ! Die Kinder sind ausserst f eine Beobachter: sie bedürfen keiner spitzfindigen Untersuchungen, um über jemanden treffend zu urteilen. Wenn wir an unsere eigene Kindheit zurückdenken, erinnern wir uns ohne weiteres an das Ansehen, das jene Herren genossen, die da von Zeit zu Zeit der Schule einen Besuch ab· statteten.
Le rôle qu'elle doif jouer
Schulkommission zu erfüllen hat
Toute inspection, souligne la recommandation votée en juillet der· nier par la dix-neuvième Conférence internationale de l'instruction publique, «doit tout mettre en œuvre pour créer autour de la personne du maître, parmi les parents d'élèves et dans la collectivité tout entière, l'atmosphère de compréhension, de sympathie et d'estime sans laquelle il n'est pas d'·œ uvre éducative ni de participation mOl'ale et Inatérielle de la collectivité à l'action du maître ».
Die im vergangenen Juli von der 19. internationalen Konferenz für den offentlichen Unterricht angenommene Empfehlung unterstreicht, dass die Schulbehorden «alles unternehInen sollen, damit zwischen den Lehrern einerseits und den Eltern der Schüler und der ganzen Gemeinde anderseits eine Atmosphare des gegenseitigell Verstehens, der Sympathie und der Achtung geschaffell werde, ohne die weder wahre Erziehung noch fruchtbri~gende sittliche und materielle Teilnahme der GeIneinde am Werke des Lehrers moglich sind ». Wie aus der Aufzahlung ihrer wichtigsten Befugnisse ersichtlich wurde, ist die Schulkommission znnachst ein Kontrollorgan. Doch solIten wir uns hüten, diese Auf gabe f alsch zu deuten. Die Mitglieder der Schulkonllnission werden nicht el''' nannt, um in der Schule Eindruck
Die Aufgabe, die die
Comme l'énumération de ses principales attributions a pu le faire voir, la commission scolaire est d'abord un organe de contrôle. M:üs gardonsnous de mal comprendre cette fonction. Les membres de la conllnission ne sont pas nommés pour venir plastronner à l'école et impressionner les -105 -
institutrices timides ou leurs élèves trop , émotifs. La commission scolaire est surtout un organe de contact. Elle représente à l'école l'autorité COIn;munale, elle représente aussi la population, si. elle est judicieusement composé,~. Elle doit pader avec le pel'Sonnel , enseignant, le conseiller quand elle peut le faire, mais surtout l'appuyer et .recueillir ses désirs et ses suggestions ,visant à, améliorer l'enseignenlent. Elle doit intervenir auprès des communes pour l'obtention du matériel nécessaire et pour toute initiative devant être un enrichissement pOl~~" les élèves.
Mais la tâche de la commission, on l'a vu, ne se limite pas strictement, aux classes. Elle -doit veiller à , ce que le climat local ne nuise en ,rien au développement heureux des enfants. En outre, qui est mieux placé qu'elle .pour établir le contact entrè la famille et l'école ? Pourquoi ne prendrait-elle pas l'initiative dé l"éunions de discussion où les parents pourraient être tenus au courant de tout ,ce qui se passe à l'école, où les maîtres pouuaient leur expliquer les nouvelles méthodes envers lesquelles tant de parents se montrent méfiants, par manque d'information. Des expériences faites dans quelques communes ont montré l'intérêt de la population pour ces réunions.
zu machen, Ull1 schüchterne Lehrerinnen oder deren übe'r empfindliche Schüler in Angst und Schrecken zu versetzen. Die Schulkommission ist aber wesentlich ein Kontaktorgan. Sie vertritt in der Schule - wenn sie geschickt zusammengesetzt ist die Gemeindebehorde" ja die gesamte Bevolkerung. Sie solI mit den Lehrpersonen Rücksprache n e 'h men, ihnen, wo immer es angeht, mit Rat und Tat zur Seite st eh en ; besonders aber solI sie die Lehrer unterstützen und ihre berechtigten Wünsche und VorschHige, die auf die Hebung und Verbesserung des Unterrichtes zielell, wohlwollend entgegennehmen. Sie m1.1SS in der Gemeinde vorstellig weI'den, wenn die Anschaffung von unentbehdichem Schulmaterial oder die Durchführung einer Massnahme zu Gunsten der Schuljugend dies notwendig machen. Doch darf si ch der Auf gabenkreis der Schulkommission, wie wir bereits dargelegt haben, nicht auf die Schulstube beschranken. Sie hat drüber zu wachen, dass ' das lokale Klima in nichts der gesunden Entwicklung der Jugénd schade. Wer ist übl'igens befahigteI" aIs sie, um den Kontakt zwischen Elternhaus und Schule herzustellen ? Auf ihr Betreiben solltell jene Aussprachen veranstaltet werden, wo die Eltern auf dem Laufenden gehalten werdell über die Arbeit der' Schule, wo die Lehrer ein aufkHirendes W ort redèn konnen über die neuern Methodeil, denen gegenüber sich die Eltern nur zu oft infolge iluer Unkenntnis so misstrauisch zeigen. Die in manchen Gemeinden
-106 -
gemachten Eifahrungen haben offensichtlich das Interesse der Bevolkerung für diese Versamlnlungen an den Tag gelegt. La commission scolaire peut également exercer une précieuse influence en aidant le personnel enseignant dans l' ol'ientation des élèves vers les études ou les divers apprentissages, en insistant sur la nécessité actuelle de compléter après 15 ans la formation élémentaire reçue à l'école.
lndem die Schulkommission dem Lehrpersonal bei der beruflichen Orientierung der Schüler helfend zur Seite steht, kann sie ebenfalls einen sehr glückllchen Einfluss ausüben, vol' allen indem sie auf die Bedeutung von Ausbildung durch Schule und Beruf aufmerksam macht.
La commission scolaire peut jouer lill rôle éminemment constructif, si ses membres assument leur tâche au plus près de leur conscience. Etre melllbre d'une conllTIission scolaire, ce n'est ni un agréable passe-temps ni une activité lucrative. Pour certains, c'est peut-être un insigne honneur. Pour tous, c'est une mission importante. N'oublions pas que ce qui touche l'école contribue à former la population de demain.
Die Schulkommission kann nur dann wirkliche Aufbauarbeit leistell, wenn aIle Mitglieder ihre Aufgabe mit der grossten Gewissenhaftigkeit erfüllen. Die Mitgliedschaft einer Schulkommission ist weder ein angenehmer Zeitvertreib noch eine gewinnbringende Tatigkeit. Für manche mag sie vielleicht eine grosse Ehre bedeuten. Für aIle aber ist sie eine wichtige Auf gabe. Vergessen wir nie, dass alles, was die Schule betrifft" mithilft, das Volk von mOl'gen zu bilden.
En félicitant d'avance les membres des nouvelles commissions scolaires pour leur nominatio~, nous nous permettons simplement de leur suggérer en terminant de méditer de temps en telnps sur leur mission. On ne leur demande pas d'accomplir, comme on le croit trop souvent, tille formalité traditionnelle. Ils doivent prendre conscience que, en de nombreux cas, ils peuvent eXerCel" une précieuse influence en collaborant étroitement avec l'inspecteur et le personnel enseignant.
lndem wir ZUlll vOI'nherein die Mitglieder der neuen Schulkonmlissionen zu ihrer Wahl beglückwünschen, erlauben wir uns am Schluss, sie in aller Einfachheit zu bitten, von Zeit zu Zeit über ihre hohe Aufgabe nachzudellkell. Man vedangt von ihnen nicht nur, wie man dies vielfach glaubt, traditionelle FormaliHiten zu erfüllen. Sie mogen im Gegenteil nie vergessen, dass sie einen seIn wirksamen Einfluss auszuüben imstande sind, wenn sie mit Schu'linspektor und Lehrpersonal vertrauensvoll zusalnmenarbei ten.
-107 -
PRAKTISCHER LEBE I\J DIGE
TEIL
SCHULE
tcrri ch t. E i n Fach stand im Mittelpullkt,
Elementargegenstande in einen einzigen zu-
um dieses gruppierte sich der andere Untel'-
sammenwerfen und das nicilt auf der Un ter-
ri cht. Dies ist die erste nachweisbare Form
stufe, so ndel'l1 durch aIle Stufen hindurch ,
des
so würde di e Wirkung auf die Totalkraft
Gesam'tunterri chtes.
Comenius
(1592-
1670) schuf d en « Orbis pictus », ein Bilder-
des Schülers gewiss gross sein . .. » Denzel
werk, an dem n eben sachlicher Belehrung
hat den Gesamtunterricht in seiner Tiefe und Breite erfasst und ihn dtu'ch theo re-
Mitteilung der Redafdion
aIs wichtigstes Hauptfach an ersle r SteIle
auch LautgewiJmung, L eseühung und Zeich-
Die Walliser Schule will und soIl rucht
Beachtun g verdient, und in dem b ei uns
nen durchgeführt' wurd e. Wieder eine Art
tischen und praktischen Einsatz
manches lloch zu verbessern ist. Sodann
Gesam tunterricht.
festgelegt.
sollen
Rousseau
etwa
nul'
Fragen
handeln, sondern andern Doch
der auch
Schulgattun gen kann
di es nicht
Primarschul e
he-
die
der
Belange
auf
h erücksichtigen . alles
mit
einem
Schlage geschehen. Die Verpflichtwl g ein es
diese Arbeiten vorbel'eiten
die
Forthildungskurse
im
h elfen
nachsten
in der
(1762)
ford erte eine Lehrweise,
gallzheitliches
Erleben
d er
Welt
clauernd
Dm die Jahrhundertwende wurd e di e von Denzel mit N achdruck betonte Fonn des
Sommer, deren Haupttraktan dum, wie man
Grundlage für fru chtbares Wissen werden
Gesamtnnterrichtes mit dem Anschauungs-
uns
soll te.
unterricht aIs führendem Fach erlleut l e-
sagte,
gerade
cler
ll1uttersprachlich e
Unterricht sein wird.
Basedow (1774) setzt das Spiel aIs Konzen-
bendig. So schreibt Karl Richte r (188 7) :
b r aucht viel Arheit und Zeit. Wir hitt en
Wir laden das Leh rp ersonal freundlichst
tra ti onsmittelpunkt.
«Die mit dem Anschaunngsunterricht in
g u t e n,
zuverlassigen
M itarheiterstah es
darum aIle jene Leser Ul n Verstandnis, die
ei n, l'echt cifrig und gründlich mitzuarbei-
Erns t Christian Trapp
(1780) verlangt in
engster Beziehung stehenden Zweige der
bi slang noch zn wenig auf ihre Rechnullg
ten. TeHen Sie uns bitte mit, was fül' eine
seinem «Versuch ein er Padagogik » ganz
Sinueu-, Sprach-, R eal- und sittlich-religiosen
gekomm en sind. Mit der fort schl-eitenden
Frage Sie auf diesem weitlaufigen Gebiete
ul1 zweideutig
.6ildtulg sind ihm ein- und . W1tergeordnet ... »
Zunahme der Mitarbeiterzahl werden wir
hehandeln
VOl'
all em
den
Praktischen T eil uns ere r
gern e
ll1ochten !
einen
Auftrag,
Wir wenn
den ' Gesamtunterricht.
geben
Ih nen
Ro chow (1773) schliesst seine Spr echühlUl-
Fritz (1903) sagt treffend: Wir hahen es
IlU'
T h ema
gen an den Sachunterricht WIel die Realien
also b ei111 ersten Schulunterricht zunachst
Monatsschrift weiter ausbauen u'nd damit
passend ist. Denken Sie daran, elass Sie
an den L eseunterricht.
üherhimpt nul' mit
j edesmal Fragen m ehrerer Schuls tufen he-
clnrch Hue Mitarb.e it nicht nUl' der Forcle-
Du rch Pestalozzi wurde die Idee des Gesamt-
fach zu tun , dem Sachunte rricht, zu dem
handeln konn en. Mit der Fehruar-Num m e r
rGng unseres WaIliser Schulw esens ei nen
un terrichtes in die Schule eingehaut aIs
sich aIle andern nul' verh alten wie die Teile
b eginnen wir eine Reil~ e vo n Abha ndlungen
Dienst
so gen annte
für den Illuttersprachlichen Unterricht, de r
am meisten Nntzen ziehen !
cl'wei en,
so ndern
daraus
selber
«Anschauungslehre ».
Seine
zum Ganzen ». V on Sallwürk gab diesel' Feststellung noch
Bei J. Baptist Grase tritt, mm de r Gesamt-
eine
5
n erricht
senen Lehenskr eis auf. Arbeitskreise, Famili e, Gemeinde, Staat bilden die L eb ensge-
SR. LOYO LA ZUMTAUGWALD
padagogisch
dung:
un terricht ZlUn erst enmal in ein em gesclùos-
âo
Unterrichts-
Schüler klurten und erlauterten diese Idee (1 766) .
Gesamt- und Konze tr
ei n e m
«Del'
psychologisch e
erste
Unterricht
Begründarf
sich
auch nicht in Facher zersplittern, el' muss einheltlich bleihen, weil el' sonst an Stelle der innern Freiheit des kindlichen Wesens
meinschaft en, an die el' d en gesamten Untel'-
Zel'streuung setzt, die an kein em Ort ein
richt anlmüpft. Das ModeIl eines W ohn-
l'echtes Interesse aufkommen lusst! »
. Wiederholt wurde di e Redaktion der Walli-
«Nichts tritt im Intell ekt auf, was ni chl zu-
hauses hildet z. B. d en Mittelpunkt für di e
sel' Schule gebeten zu Gesamt- und Konzen-
VOl' in den Sinn en war ! » Dal11it betonte el'
Ans chauungs-, Denk-, Sprech- und R eihen-
Berchthold
trationsunte rricht sich klarend zn aussel'l1.
di e Veranschaulichung, und diese hildet den
üblUlgen.
Gesamtunterricht
lm Folgenden soU diese Art des Untel'-
Kernpnnkt des Gesamtunterrichtes. Die ei-
Bernhard Gottlied Denzel (1827), ein be-
über alle acht Schuljahre. Er pragte den
·richtes in etwa kurz darg elegt we rden.
ge lltli che Idee des Gesamtunterrichtes lass t
sanders lebhafter Verfechter des Gesamt-
Namen
Keineswegs ist diesel' Unterricht eine n e u-
sich verfolgen bis zurück auf Ratke (1612),
unterrichtes, schreibt untel' and'e rm: «SolI
hat sich di e Idee d es Gesamtunterrichtes
Otto
führte 1905 ein und
Gesamtuntel'l'icht.
In D eutschland
zeitliche Erfindung auf dem G.ebiete cler
de r
Stundenplan
in einen Lehrplan Einheit lUld Zusammen-
wenigstens
hatte. In dieses Lesen baute el' kurze sach-
han g kommen, so müssen die G~ genslalldc
durchgesetzt.
aufstellen, dass schon Aristoteles ein Weghe-
l ich e Besprechun gen ein und hielt so einen
ineinan dergreifen, einander vorhereiten, be-
In der SchweÎz leÎsteten hesonders Dr. h. c.
reiter \Var, \Venu el' die Auffassung vertrat:
gelegentlichen, wenn au ch vel'balen Sachun-
gl'üu den, unterstützen ... KOllJ1te man di e
Eduard Oertli und Emilie SchappÎ Pionier-
-
108 -
Lesen
auf
seinem
-
109 -
die
ihn
padagogik. Fast mochte ich di e Behauptung
nul'
für
den fr eien
el'streckte
Unterstufe
endgültig
arbeit für die Idee des Gesamtunterrichtes.
Arbeitsrhythmus und gerat ganz ' ins Arbeits-
eine Einheit. Nul' ein Teil der Facher wird
Sie fan den
thema hinein.
vom Einheitsgedanken
die
eigentlich schweizerische
erfasst;
z. B.
die
zelltrechnen,
Sprache:
Yom
Laut-
zum
Satz usw.
Fonn des Gesamtunterrichtes im Sinne des
2. Das Arbeitsthema ist del' Erlebniswelt
Sprachfacher, Geschichte und Sprache -
Del'
Arbeitsprinzips. Emilie Schappi führt uns
des Kindes entnommen und spricht darum .
Rechnen und Sprache.
kann
ganz Idar . in den Gesamtunterricht ein mit
seinen kleinen Geist und sein Herz an,
Ein Fach kann sogar langere Zeit hindurch
wenn eine einheitliche Bildungsidee, eine
den Worten: «Unter Gesamtunterricht ver-
darf sogar lustbetont sein.
der Mittelpunkt des Un terri ch tes sein. Die
verantwortungsbewusste
Sein Zweck ist :
andern werden nach Moglichkeit eingebaut.
sowie bewusst gepflegte KOllzentration die
Dies ist der sogenannte Epochalunterricht.
notigen Voraussetzungell bieten.
stehen wir
das Unterrichtsverfahren,
das
den Unterricht in allen oder den meisten Fachern mn einen gemeinsamen Interessen-
1. Del- Gesamtunterricht will das Kind in seiner Gallzheit erfassen und ihm da-
punkt vereinigt, zu in si ch abgeschlossenen
dm'ch zu seiner vollen Selbstelltwicklung
Unterrichtsgebieten. Er kal1n von einem einzelnen
Gegenstand
ausgehen
(Fahnchen,
Bail, Blume, Tier), von einem zusaml11engesetzten Tier)
Interessenkreis
helfen. 2. El' will die gesamte Klasse in heimatlichel' Verwurzelullg und weltoffener selb-
(Hausbau, Dorf,
oder von einer Erzahlung
standiger Lebensgestaltung fordern.
(unser
Hanni . " Robinson). Er solI Erlebnis- und
3. Er will den Stoff sammeln und zusam-
gesamte
Unterricht
ganzheitlich
der Volksschule w~rden,
ausgerichtet
Lehrpe~sonlichkeit
lm Konzentrationsunterricht haben wir es
Das Ideal ware: Auf der Unterstufe Ge-
mit überfachlichen Einheiten zu tun wie :
samtunterricht, auf der Mittelstufe die Hei-
Verkehr, Entwicklung der Verkehrsmittel,
matkunde
Verkehrswege meiner Heimat, Rücksicht im
Oberstufe Konzentrationsunterricht mit
aIs
Stammunterricht,
Verkehr usw. Es lassen sich hier herrliche
gebauten
brauchen unsere Facher eine Systematik und
Querschnitt ausfÜh-
Übungen.
der ~in
Bildungseinheiten
im
systemalischen
auf
Sicher
ren z. B. Der Verkehr in unserm Dorf, in
die darf auf keinem FaU ausseracht ge-
unserm
lassen werden, aber sie k~nn sehr haufig
Land,
in
unserer
Heimat,
der
Arbeitsunterricht sein. Oft ist er Gelegen-
menfassen und so eine g~schlossene Bil-
Verkehr mit dem Ausland -
Moglichkei-
eingebaut werden. Natürlich fordert diese
heitsunterricht
dungswirkung erzielen.
ten, Vorteile, Nachteile für die Wirtschaft,
Art UnterrÏcht einen vollen Arbeitseinsatz,
(Dorffest, W'e ihnacht, VOl'-
f aU in der Schule, auf einer Wanderung).
4. Er will die Lehrkraft aIs gesamte, hin-
Die formale BHdung in der sprachlichell,
gebende Persolllichkeit in den Unterricht
rechnerischell,
stellen. Diese erzieht, bildet und erfasst
kunde: Rund mn den Vierwaidstattersee.
«Was wir sind, ist nichts ; was wir suchen,
das Kind allseitig.
Rein- und Rhonetal usw. Rechnen: Pro-
ist aUes ».
gesanglichen,
korperlichen
Entwicklullg ruft bald besondern Übungs-
verspricht aber auch Erfolg.
für die Kultur. Fachliche Einheiten
sind
z. B.
aus
Erd-
Mit Holderlin woUen auch wir sprechen :
zeiten; so wachst der Fachunterricht ans Der Gesamtunterricht hat auf der Untel'-
dem Gesal11twlterricht heraus ».
stufe seine voIle Berechtigung und entspricht
lm Mittelpwlkt des Gesal11tnnterrichtes steht also
eine
kindesgemasse
Sacheinheit.
In
diese gliedern sich die verschiedenen Facher sowie alles Erarbeiten, Verarbeiten und Anwenden
zwanglos
ein.
AIs
Auswahl
des
Unterrichtsgutes berücksichtigt der Gesamtunterricht,
die
natürliche
Ganzheit
ganz der psychischen Ei genart des Killdes. Aber auch schon hier haben wir neben dem
Gesamtunterricht
Übungsstunden;
denn
unsere die
eigenen
Schulung
im
Konnen fordert das, und der Gesamtunter-
Auf der Oberstufe kann der Gesamtunter-
überschaubare
richt niemals in der Wei se durchgeführt
und in sich geschlossene AusschniUe heraus.
werden, wie auf der Unterstufe, aber ein
Diese werden im Sachunterricht erfasst und
ganzheitlich
stofflich ausgebaut. So finden unsere Unter-
auch hier moglich. Hier begegnen wir nun
ausgerichteter
Unterricht
ist
richtsziele wertvolle Arbeitsgrundlage. Zwei
dem sogenalUlten Konzentratiollsunterricht.
wesentliche Merkll1ale des Gesamtlmterrich-
Man arbeitet in überfachlichen oder orga-
tes sind:
nischen Bildungseinheiten z. B. Yom Ver-
1. Der Unterricht ist nicht mehr streng
kehr -
gefachert. Man liest, rechnet, spricht, zeich-
lm
net, singt in
iich nicht mehr die gesamten Facher um
einem
JOSEF IMHOF
richt wird dadurch uicht beeintrachtigt.
hebt
bestimll1te, leicht
in der Gewerbe- und Fortbildungsschule
des
Lebens. Aus dem Erlebniskreis des Kindes es
Vom muttersprachlichen Unterricht
abwechslungsreichen
-110 -
Zu wenig und zu viel Wasser.
Konzentrationsunterricht
gruppieren
Fragen wil" uns zuerst: «Welches ist der Sinn und die Bedeutung der Sprache überhaupt? Ist ihr Sinn die blosse Verstandigung, so wird das Lehrziel sich auf die verschiedenen Notwendigkeiten der Verstandigung beschranken konnen: z. B. den persolùichen und kaufmannischen Briefwechsel ». Das Lehrziel ware also mit der Ausbildung in der Fahigkeit, seine Belange andern mitzuteilen, sie zu vertreten und zu verteidigen im grossen und ganzen erschopft. Nun ist aber das Ziel eÎn hoheres.. -
Aus der Tier- und Pflanzenwelt wissen wir, dass es zur blossen Verstandigung der Sprache nicht bedarf. Die Verstandigung hat genügend sinnfallige Mittel zur Verfügung, um sich durchzusetzen. Dies beweist uns auch der Tauhstumme, der sich durch Zeichen verstandIich macht. Die Sprache ist die Kraft, mit der wir auszusagen vermogen, was unsern Geist, unser Herz, unser Gemüt bewegt. Die Sprache ist aiso bedingt durch den Geist des Menschen. Sie ist sein eigentliches Organ. Sie hat ihn auszusagen, zn vcnnitteln, sie erschliesst ilun. die Mij,
glichkeit, die Aussage des Geistes anderer aufzunehmen . Aus diesem Wechsel von Aufnahme und Mitteilung gesprochener, geschriebener und gc:?rucktel' Sprache entsteht das Leben des Geistes: die unaufhorliche Wandlung und Verwandlung, Bereicherung, Verarbeitung der vielfaltigen Eindl'ücke des Geistes und ihre Wiedergabe alles Vorgange, die ohne die Sprache, in der wir ja nicht nul' sprechen, schreiben und lesen sOl1dern VOl' allem del1ken, nicht moglich waren . Wenn aber der Sinn der Spra'che ist, dem Geist zu dienen, aIs Mittel zu seiner VerstandiglUlg, so kann die Zielsetzung im Sprachunterricht llicht mit der unwesentlichen Aufgabe der Verstalldigung sich zufrieden geben. Dalln muss det- SprachunterrÏcht aIs hochstes Ziel haben : Die Erziehung zur Moglichkeit und zur Fühigkeit geistigen Lebens und damit geistigen AlLStausches. Dann wird der muttersprachliche Unterricht Unterweisung sein, das Leben des Geistes auszudrücken. Das setzt aber voraus, dass der Geist Eindrücke empfangt, sich diesel' Eindrücke bewusst wird, diese Eindrücke dur ch die Sprache miueilen und dur ch diese Mitteilung selbst wÎ'eder zu gestalten lernt. J ede Schulung geistiger Kraft ist nur moglich durch das Mittel det' Sprache. Alle Bildungsarbeit geht immer umso rascher und fruchtbarer VOl' sich, je sorgfaltiger lUld zielhewusster die sprachliche Ausbildung gefordert wit'd. Der muttersprachliche Unterricht ist Herzstück tUld Lebensnerv allen Unterrichtes, nicht nul' auf der Primarschule, sondern auch auf der Fortbildungs- und Gewerbeschulstufe. Welchen allgemeinen Zielen h~t der Sprachunterricht zu dienen ? Er soU die Schüler zum Verstandnis tUld richtigen Gebrauch der Muttersprache anleiten. Der Schüler muss die Sprache lUld ihre Begriffswelt verstehen lernen, mu sie nachher in personlicher Pragmlg wieder zu gebrau'c hen, d. h. seine Gedanken-, Vor.s tellungs- und Gefühlswelt in natürlichet', personlicher !lIlQ treffellder Weise miindlich
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und schriftlich zum Ausdruck zu bringen. Darüber hillUUS faIlt dem Deutschunterricht die schone Aufgabe zu, dem SchÛle·r Zugang zu den geistigen Schatzen der Lite· ratur zu verschaffen, damit el' daraus zur eigenen, inllern Bereicherung zu schopfen vennag. Dieses Ziel schreiben auch die verschiedenen Lehrplane der Primal'schule vor, SOl z. B. der des Kantons Bern : «Die Sprache ist wei taus das wichtigste Ausdrucks- und Verstandigungsmittel. Die menschliche Ge. danken- und Gefühlswelt teilt sich VOl' allem dm'ch Sprechen und Schreiben mit. Horend und lesend erfahren wit' die geistige Welt des Andern und entwickeln damit unsere eigene Innenwelt ». Der Lehrplan des Kantons Solothurn ver, langt yom Sprachunterricht, dass el' den Schüler befahige, seine eigenen Gedanken in Rede und Schrift verstandlich, fliessend lU1d richtig auszudl'ücken lUld die in Rede und Schrift liiedergelegten ' Gedanken der Mitmenschen zu verstehen und zu verwet-tell . Seine Auf gabe sei a]so Sprachfertigkeit (Sprechen lUld Schreiben) und Sprachverstaùdnis (Horen und Lesen) zu erzielen. Nachdem die meisten Lehrer an Fortbildungsschulen bereits in der Primarschule unterrichtet haben, wollen wir uns zurückerinnern, welche Anstrengungen wir unternommen haben, angefangen mit Sprechübungen im Anschauungsunterricht, yom ersten Tag an mit Lesen, Abschreiben, Sprachaufgaben, Diktat und Stilübungen, Briefen, Aufsatzell aller Art. Wie suchten wir nach Moglichkeit jede Unterrichtsstunde zu einer Sprachstunde zu gestalt en ! Und der Erfolg ? Gerne legen Schulkritiker einem Lehrer gelegentlich Müsterchen von Briefen VOl' mld weisen darauf hin, wie man's zu ihrer Zeit besser gekonnt hat. Unsere Hen'en Kollegen in den Sekundarund Mittelschlùen klagen über ungenügende VorbildlUlg, über mangelhaftes Sprachverstandnis, . über Sprachverwilderung. Die durchschlùttlichen LeistlUlgen in den padagogischen Rekrutenprüfungen sind untel' "T""
zn gelten hat ein ~7 el'trauel1.svolles Verhaltnis zwisch en Schüler und Lehl'er ? For· derun g staU H emmung? Begeisternng staU Z wallg ? Sind wir überzeugt von der unUl11ganglichen Notwendigkeit, schal'f beobachten zu lernen auch - aui der Stufe der Forthildnng. und Gewel'beschule ?
dem Mittel. W i r selLer i n der Forth ild ull gsu nd Gewerbeschul e l1loch ten of t d ie H an d e ü ber dcm Kop f zusammenschl agen un d fragen: « I st das lllog1ich ? Ist das d e r Erfolg jahrelan ge n Sch affe ns?» Ma n ve rstehe mi ch recht : Jch mo chte k eine Stei lle werfen und F orde runge n au fstellcll wie Gewerb eleh rer Dr. Meier in sei neI1l We rk: Gnmdzüge des gewe rblich en Unte rrichtes, wenn el' sagt: «Unseres Eraeh te ns wü r de der Gewe rb eschule d ie Pflicht zukomm en, an di e Volksschule d ie F orderu ng zu stellen, dem Sprachun terri cht ei n ganz ande res Gewicht zn geb en und ihm mit ganz an dere r Grün dlichkeit zu obliegen aIs bish er. E s soIlte d er V olksschule m oglich sein, in acht J ah l'en di e Schüle r his zu derj eni gen spraehlichen Fe rti gkei t zn fo r dern, di e für den allta glich en Gebrau ch genü gt und auf die di e A nschluss kla ssen den ih rcn Bedürfllissen e ntsprech e n de n U n te rricht un gehind ert aufbau en ».
W enn ich in der Gewissenserforschung weitel'geh e, mUss ich auch die Frage stellen nach d et· Korrektur det' SCIll'iftlichen Aufgaben. I st es für uns nicht oft eine dOl'nenvoIle Aufgabe, eine niederdrückende Last, sich abends VOl' einen Stoss von Heften hinzusetzen und stundenlang zu verbessern, . zu streichen, einzufügen mld bei jedel' Arb eit abzuwagen: «Verdient der Schülel' Lob oder Tadel? » Müssen wir nicht oft fast ve rzw eifeln ob des sinnfiilligen Missel'fol ges nach des Tages Müh und Hingabe ? U nd trifft es nicht OCters bei jedem von un s zu, dass wir uns die Al'beit erleichtern, di e lastigen Verbesserungen vom Halse sc.haffen, indem wil' den Schülern schl'iftli ch e A l'beit en ersparen, oder dass wir Arb eiten gal' 11l1verbessel't und lU1besprochen zlU"ückgeben ?
Woh er kOl11mt dieses Ungenü gen in d er Mu ttersprache ? E s ist hier ni cht der Or t, um nah er auf diese Frage eill zu geh en. A ber eine lnuze Gewissenserfo rschun g wird un s anf F chlerqu elle n hinw eise n, die wir in de r Primarschule un d viell eicht auch h eute noch in der Fortbildun gs- und Gewerbe· schule zu we ni g b eachten. SolI m an di e Schule oder d cn Lehr er ' für den Misserfol g ve rantw ortlieh ma ch e n? Geh e n w ir nach ein er falschen Metho de vor? Sin d u n sere Sclntlhüch e r un geeignet, nicht lll ehr zeitgem ass ? I st un se r U n terri cht zu we ni g gründlich , zn wenig anschauli ch? Legt man zu weni g Gewicht au f eine einwa nd· fr eie Aussprach e, auf laut- und sinnrichtiges Lesen? Paukt man (im Sprachlehrmlterl'icht) allzusehr nul' leere R egeln ein und m acht damit den Gl'ammatikunterricht zmn Selhstzweck, den K indel'11 zur QuaI? D a doch die Spl'achl'egeln, yom Erlebnis au s· gehend, aus seinem inhaltlichen Zusamm en. hang heraus el'fasst und b egriffen werd en un d dm'ch passen d e Übung stat! durch geis ttotendell D r ill mUl1d gerecht, lie b und wert el'scheineJ).
Wie steht es mit der VOl'bereitung apf den mutte rsprachlichen Unterricht? Nehmen wir es in andern Fachel'l1, z. B . in der \Virtschaftslmnde nicht emster, weil die Sch ül e r m erken, wenn wir einen «Senf » e rzahl e n, wahrentl sie irgelld eine Übung im m u tte rsprachlichell Unterricht gelassen und oime Slcepsis allS lauter Gewohnheit stillschweigend hinn ehmen ? U nd zum Schluss : Fehlt nicht uns Lehl'ern selbst oft die Freude und der Anreiz ZlUl1 sprachlichen Schaffen und zur sprachlichen Weiterbildung? Verhaltnismassig gering ist die Zahl jenel' von uns, die sich schriftstelIel'isch betatigen, und ware es auch nul' dm'ch einen gelegentlichen Beitra g an Zeitungen und Zeitschriften. H ab e n wir nicht selhst Mühe, wenn wil' un s in d er Schriftsprache staU in der Umgangsspl'ache ausdrücken sollen? Kommen wir ob aIl uns ern Verpflichtungen dazu, uns mit dell Werken der DichtkuJ1st zu befassen, oder geht es uns wie jenem Kollegen, de~
Sind wir uns b ewu sst, da ss aIs V Ol'bed ingu ng eines fruchthar en Aufsatzschl'eibens
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offen gestehr, seit Jahren kein Buch mehr
so dass wir wenigstens Wegbereiter sein
gelesen zu haben? Sollten wir darum so
dürfen.
wenig
Die Tatsache, dass Burschen in der Gewerbe- und Fortbildungsschule nicht selten von einem J ahr zum andern sprunghafte Fortschritte machen, erhiirtet diese Ansicht und gibt uns Mut zum Weiterarbeiten, denn sonst müssten wir in fatalem Defaitismus bekennen : «W enn es unsern KoIlegen aus der Primarsc1uùe in 8 J ahren nicht gelungen ist, den Schülern eine gewisse Sicherheit beizubringen, wie wollen wir dieses Ziel in den paal' zur Verfügung stehenden Stunden.
Erfolg
haben,
weil
wir
uns
zu
wenig Mühe nehmen, tiefer in das Leben der Sprache vorzudringen und in uns selbst Sprachgeist und Sprachfreude zu wecken und zu pflegen ? Neben den Fehlerquellen, die ich hier bei uns selbst aufgezeigt habe, gibt es bestimmt andere, für die man tU1S nicht verantwortlich machen kann, die aber entschieden schwerwiegender sind. Einmal dürfen wir nicht vergessen, dass unsere Schriftsprache für unsere SchüIer sozusagen eine Fremdsprache ist, die man wiihrend einiger Schulstunden pro Tag spricht, nicht aber daheim, in der Freizeit, am dem Arbeitsplatz . Den Hauptgrü~ld im Misserfolg sehe ich sodann in den heutigen Zeitumstiindel1. Wir leben in · einer seichten Zeit, die überaIl nul' an der Oberfliiche haften bleibt. Was wil' an der Breite des Wissens und Empfindens gewinnen, verlieren wir an Tiefe. Wir - und das gilt au ch für unsere Jungen - sind überschwemmt von den papiel'enen Fluten der Zeitungen, Illustrierten und Broschüren. Wir hasten im wilden Truhei des Telefons, Radios und vielleicht sogar des Fernsehens. Eine schreiende Reklame hiimmert schon auf die Jugend los. Vereine und Veranstaltungen werden zu Konkurrenten der Schule, die oft auch die Mithilfe des Elternhauses verul1moglichen. Der Kampf Ulns Dasein macht uns zeitgeizig, liisst uns nicht melu zu uns, noch viel weniger zu andern kommen. Oberfliichlichkeit, Vergesslichkeit ob aIl dû heranstürmen den Eindrücke sind die natürlichen Folgen und greifen auch auf die Sprache über. Sie verliert von ihrer Anmut, ihrem Klang, weil sie zut' blossen Zweckdienerin hel'abgemindert wird. Sollen wir uns da wundern, wenn die Schule untel' diesen Umstiinden es schwerer hat aIs früher, wenn anderseits die Anforderungen auf der ganzen Linie gesteigert werden ? Zu unserm Trost wollen wir nicht ausser acht lassen, dass die Saat, die wir mühsam ausstreuen, hege,J. tlIJd .pflegen, oft erst spa ter aufgeht,
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erreichen ? » Es kann nun im Unterricht bei den Fort-· bildwlgs-, und Gewerbeschulen nicht nul'· darum gehen, so wichtig und erstrebenswert es auch ist, dass der Schüler einen anstiindigen Privatbrief, spiiter aIs Landwirt, aIs Industrie- und Bauarbeiter, aIs Handwerker eine Offerte, eine Bestellung, eine Reklamation schreiben,ein Formular richtig ausfüllen, einen Rapport oder Bericht abfassen kann. Es genügt das nicht, so wichtig es für den Schüler aIs zukünftiges Vereinsmitglied oder aIs Bürger ist, wenn er fliessend lesen und gewandt reden katm. Dieses Konnen allein erscheint mir wie ein Gerippe ohne Seele. Unser Ziel hab en wir erst dann erreicht, wenn wir geistige Momente fordern, unsere Schutzbefohlenen zu gedankenvollem Lesen bringen, wenn sie aus Lust, at~s Liebe, aus innenn Drang zur guten Literatur greifen, wenn sie sich weiterbilden, nicht nul' beruflich, sondern auch geistig, charakterlich und religios. Ich weiss, dass unsere Gev,rerbetreibenden vielfach in der Gewerbeschule nul' einen Nützlichkeitsunterricht gelten lassen. Demgegenüber müssen wir immer wieder festhalten, dass unsere Arbeit vornelunlich 'E rzieherarbeit bleiben muss. Was solI in der Fortbildungsschule bezüglich Muttersprache gelehrt und gelernt werden? Wie solI der muttersprachliche Unterricht erteilt werden ? Hier mocht,e ich kurz erliiutern, wie wir in der Gewerbeschule vorzugehen pflegen. Nach der Wegleitung des Biga hat der ~
Sprachpflege zu dienen: der freie Aufsatz, das Lesen einfacher literarischer Stoffe und kurze Vortragsühungen. Das Besprechen ethischer und. sozialer Fragen ist ebenfalls in das Arbeitsprogramm einzubeziehen. Gerade die llehandlung dieser Fragen scheint mir ungemein wichtig; de:m einerseits ist die Lehre oft geisttotend und langweilig, anderseits sehen und horen unsere Lehrlinge und Fortbildungsschüler in der Werkstatt und auf dcm ArbeitspoJatze so manches, das mit einer gesunden Ethik und sozialen Auffassung so gal' nicht im Einklang steht, abgesehen davon, dass viele dieser jungen Burschen noch in der Puhertiit, im Endkampf yom Werden des Knaben zum Mann sich befinden. Da tut es doppelt not - ist aber eine dankbare Auf gabe - dass wir diesem Lebensalter, bis jetzt noch unreif, mm aber empfiinglich, ein Fenster Mfnen, an seine Ideale appeIlieren, immer wieder Wegweiser und Weichensteller sein konnen. Es nützt namlich wenig, gegen Ki no, Sport und Trunksucht zu wettern; offnen wir den Weg zum Geist, ZUl' wahren Schonheit, zu Gott ! Beim freien Aufsatz handelt es sich um kurze, inhaltlich abgegrenzte klare und logisch aufgebaute Darstellungen. Der Stoff soli dem Erfahrungskreise der Schüler aus dem personlichen und beruflichen Leben entnommen werden. Sehr oft liefern auch Staats- und Wirtschaftskunde, sowie Ereignisse des tiiglichen Lebens Aufsatzthemen. In den Mittelpunkt des KorrespondenzUnterrichtes steIlen wir private und Geschiiftsbriefe, wie sie das Leben vom Lehrling, Gesellen, Arheiter, Staatsbürger und im einfachsten Rahmen yom Meister verlangt. Die 'Erlauterung der rechtlichen und geschiiftslumdlichen Grundlagen des Briefes sind unerHisslich. Obwohl es allgemein verpont ist und aIs rückstiindig gilt, greife ich hin und wieder zu Diktaten, wahle hiezu ailerdings Stoffe ans, die im übrigen Unterricht, z. B. in Staats- und Wirtschaftskunde im Zusammenhang mit dem ' OR. oder ZGB schon be,
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handelt wurden und l1un aIs Zusammenfassung niedergeschrieben werden. Zu einem systematischen Grammatik-Untel'l'icht reicht - die Zeit nicht, wir müssen uns mit kurzen Hinweisen begnügen. Allgemein gehe ich im Aufsatz so vor: Durch Fragen und Hinweise suche ich die Schüler mit dem Thema in Verbindung zn bringen, zu interessieren ; sie soIlen ihr Urteil abgehen, gemachte Erfahrungen und Wahrnehmungen mitteilen, das Dafür und Dagegen abwiigen. Das Interesse wird geweckt, wenu der Lehrer sich tmwissend stellt und der Fragende ist, z. B. bei Ereignissen, bei Zeitungs- und Radiomeldungen, bei beso ndel'l1 Arbeiten, die der Schü1er im tiiglichen Leben ausführt. Die so gefundenen Punkte werden wahllos an die Wandtafel geschl'ieben und hernach geordnet. Allgemein hat man seine liehe Not, die Schüler in ganzen Siitzen reden zu lassen. Meist melden sich die gleichen Schülel" und andere betrachten sich stiindig aIs Passivmitglieder. Dem kann gesteuert werden, wenn jeder der Reihe nach aufgefordert wird, seinen Beitl'ag zu leisten. Wenn es mit der Schriftsprache happert, so lasse ich die Gedanken in der Umgangssprache ausdl'ücken. Schwiichel'e Klassen lasse ich die Al'beit, wie oben schon el'wiihnt, mündlich wiederholen. Bedeutend schwieriger ist . es für den Schüler, sobald el' einen Gedanken mit andern Wol'ten ausdrücken soU. Bei Briefen hat man oft El'folg, wenn man die Schüler aIs Absender und Empfiinger gegenüberstellt und die Arbeit mündlich in Rede und Gegenrede ausführen und erst dann niederschl'eiben liisst. In der Regel führen die .Schüler einen Entwurf aus. Alsdann lasse ich einige Arbeiten vorlesen und durch die Klasse korrigiel'en. Gelegentlich werden die Arbeiten zum Verbessern ausgewechselt, wobei bessere Schüler schwiichere Arbeiten erhalten und umgekehrt. Nachdem nochmals Gelegenheit zu Fragen geboten wird, beginnt das Einschreiben. In diesel' Zeit sehe ich bei schwiichern Schülern ihre Arbeit am Platze durch. Weil auch bei der Niederschrift un.gleich rasch gearbeitet wird, muss
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Teil deI' Schüler die Aufsatze zu Hause beendigen. Dies mag vom Standpullkt der Didaktik aus verwerflich sein. Auch die saubere Darstellung leidet darunter. Aus Gründen rIel' Disziplill und der Zeiter, sparnis kann ich darauf nicht verzichten. Nicht selten werden Elltwürfe daheim ein, geschriebell . Schwachere aber fleissige Schü, 1er ziehen dann lüiufig fl'emde Hilfe zu, Bei den Korrekturen scheide ich die besten und geringsten Arbeiten aus . Je nach der verfügbaren Zeit wird zuerst eine oder mehrere der gelungenen Arbeiten vorgelesen, danll. schwachere. Angemerkte Satzf ehlel' werden mündlich durch die I(Jasse oft vorkommende Schreibfehler durch eill.e~ Schüler richtig an die Tarel geschrieben. Die Bewertung sei liebevoll, nicht nul' negativ! Gelegentlich ein Bravo! am Rand und eine Aufmunterung am Schluss macht Freude. Allzu mangelhafte Arbeiten sind zu Hause nochmals auszuführen! Dabei lasse ich schwachere Schülel' fühlen, dasses sich nicht um eine Strafe oder Schikane handelt sondern, dass wir dm'ch Übung ausbessen: woUen. Cill
Gelegenthlich bringe man Humor in die Klasse, indem man Stilblüten aus Zeitullgen und Zeitschriften an die Tafel schreibt oder vervielfaltigt und verbessern las st. Hiefür benütze ich die angelegte-Sammlung: Schiim di! des Beohachters oder Beitdige aus dem Nebelspalter. AIs Regeln, die mir im Aufsatz und Kon'espondenz-Unterricht wichtig erscheinenübrigens Grundprinzipien auf der Primar-Stufe gelten folgende :
1. Schreibe einfach und natürlich: so wie du denkst, was man nicht sprechen kann, darf man auch nicht sclll'eiben ! 2. Schreibe wahl' : keine Phrasen, keinen Dingwortschwulst ! 3. Schreibe kurz und bündig: nichts mit 2 W C!rtell sagen, was man ebensogut mit einem ausdrückell kann ! Ein Wort noch zur Darstellung : Anfanglich liess ich die Aufgaben in ein Heft schreiben: Format A 4. Heute benutzen wir lose BHitter ; nicht nul' deshalb,
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weil der Lehrer weniger Papier für die Verbessel'ung heimschleppen muss, sondern um den Schüler mit dem ühlichen Schreihpapier, aber auch mit dem Einordnen vertraut zu machen. Aus Sparrücksichten darf auf jede leere Seite eine Arheit geschriehen werden. Für Aufsatztitel ist Zierschrift erwünscht. Auch das Bild im Aufsatz ist zu empfehlen, weil es zum Su chen und zum Lesen am'egt und den Sinn für geHilliges DarsteUen fordert . Auf eine sauhere Darstellung kann nicht genug Gewicht gelegt werden! Leider er, tappe ich mich immer wieder, wie ich aus Zeitnot, diesel., gel'.ade für unsern obel" flachlichen Walliser,Charakter so notwen, digen Fordel'ung, zu wenig Beachtung schenke. Kurz mochte ich noch auf das Lesen zu sprechen kommell . W i r werden wie in der Primarschule immel' wieder eine gute Aus, sprache fordern und auf die Notwelldigkeit eines fliessenden Lesens hinweisell für Muttersprache und Korrespondenz. In Ba, den empfahl uns die Leitung jede 2. Sprachstunde aIs Lesestunde zu benutzen, und Lesen nicht etwa zum AusfüUen der letzten 20 Minuten einzuschalten. Soviel. Zeit kann ich für das Lesen mit bestem Willell nicht einl'aumen. Hingegen beginne ich mit Lcsen, wenn der Unterricht einmal so recht harzt, und die Aufrl.1erksamkeit zu erlahmen droht oder aIs Belohnung nach einer fleissigen Arbeit. Die Schülel' lesen je einen ganzen Abschnitt. Nach jedem Abschnitt wird der Inhalt kurz repetiert und , wenu notig dm'ch Fragen und Erldal'ungen erganzt und vertieft. AIs Lesestoff wahle ich nicht aufdringlich belehl'ende, an die Denkfahigkeit und VOl'stellungsgabe zu hohe Ansprüche stellende Schriftstücke; denn damit würde die Fl'eude, die wil' wecken wollen, zum vornherein gehemmt. Bevorzugt werden Kul'z, geschichten, wie sie die schweiz . JSW, oder gekül'zte Werke, wie sie der Verein gutel' Schriften Ulld der Verein abstinenter Lehrer oder der Verlag Sauerlander mit der Reihe der Drachenbücbel' herausgibt.
Am meisten Erfolg und Interesse fand ich meiner Ansicht nach mit Lebensheschreibungen und zur Ahwechslung mit einer heiterll Novelle. Ich nenne hier : Dus Rote Iü'euz, von Susanne Oswald, Der Gezeich, nete, von Adolf Haller, Jakobs Wanderjahre, von 1. Gotthelf, Di~ Lawine, von Heinr. Inglin, Ringklùl-Narren, von A. Fux. Hill' gegen ziehen die Novellen von Ferd. M'e yer und Gottfried, Keller, die in stadtischen Gewerbeschulen sehr empfohlen werden, bei pns weniger. Lesebücher sind nicht sehr beliebt. Sie haben zwar den Vorteil, dass sie Lesestücke enthalten, die in },2 Stunden bearbeitet werden konnen. Es haftet ihnen aber vielleicht der Abgeschmack systematischer Lese, übungen an. Mitunter lasse ich die Büchlein von den Schülern anschaffen, und ich glauhe, man tut da ein gutes Werk, denn auf diese Weise kommt neben viel seichter
Warc auch eill anstandigcs Büchlein auf manchen Familientisch. Nach der Wcgleitung des Biga sind die Schüler zu kurzen Vortragsübungen anzuhalteu. Die Schüler sollten auf diese Weise zum Reden gebracht, sollen freier auftreten und in der anschliessenden Diskussion zur freien MeinungsausserUllg angeregt weI'den, Nun, ich pflege diese Form des Unterrichtes ebenfaUs und zwar mit mehr oder weniger Erfolg. 'E s besteht hier namlich die Gefahl', dass bessere Schület, sich hervortun wollen, sich mit fremden Federn schmücken, wahrend die Schüchternen sich üherhaupt nicht hervorwagel1. Danml beschranke ich diese Übungen auf hochst6ns 5 Minuten und nul' auf bessere Klassen, weil es mir scheint, dass mit schwachern Schülern die Zeit in anderer Weise hesser ausgenützt werden kann.
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COMMUNICATIONS
COMMUNICATIONS DU DÉPARTEMENT
MITTEILUNGEN
MITTEILUNGEN DES ERZIEHUNGSDEPARTEMENTES
BREVET DE CAPACITE
DEPOT DU MATERIEL
Les membres du corps enseignant qui ne sont pas encore en possession du brevet de capacité ont traité l'année dernière la première partie de l'ouvrage: «ENFANCE ET ADOLESCENCE» de F. Anselme - I. Dehase, directeur de la Nouvelle revue pédagogique helge. Cette année, ils analyseront la 2ème partie du même ouvrage, c'est-à-dire celle qui se rapporte à l'adolescence. Les travaux doivent être remis à l'inspecteur à la fin de l'année scolaire en cours. Nous rappelons aux maîtres et maîtresses intéressés que les examens en vue de l'obtention du brevet de capacité auront lieu au mois de juin 1957 et que l'admission est subordonnée à la présentation des cinq travaux sur les ouvrages suivants : 1. Les principes de l'éducation nouvelle F. Châtelain. ' 2. Vade mecum pour l'enseignement de la géographie, Oz ouf, directeur d'Ecole normale, Fernand Nathan, éditeur, Paris. 3. Méthodologie de l'histoire, E. Natalis, Dessaim, éditeur, Liège. 4. Enfance , 'e t adolescence, F. Anselme-!. Dehase, directeur de la Nouvelle revue pédagogique belge, La Procure, 14 Boulevard E. Mélot, Namur, la première partie : Enfance. 5. Enfance et adolescence, F. Anselme-l. De'hase, directeur de la Nouvelle revue pédagogique belge, La Procure, 14 Boulevard E. Mélot, Namur, la deuxième partie : Adolescence. Sion, le 19 décembre 1956.
Le Chef du Département de l'Instruction publique: M. Gross
SCOLAIRE Le Dépôt du matériel scolaire, à SION, tient à la disposition du per's onnel enseignant le matériel suivant:
1. Tableau mural pour l'enseignement du calcul par Reinhard, environ 1 m 2 , avec chiffres blancs sur fond noir, 'imprimé sur papyroline et pourvu de baguettes. Fr. 8.75 2. Exercices de numération par l'emploi du tableau Reinhard, par Sr Marie-Etienne. 36 p., 21 X 15. Fr. 0.50 3. Petit tableau (15 X 12) sur demi-carton destiné à l'é:ève pour les exercices en classe ou à domicile. Fr. 0.10 On peut encore trouver de très nombreux exercices et plus de 4000 solutions concernant les 4 opérations, dans un petit livret intitulé «Texte explicatif et so:utions du tableau de calcul Reinhard », chez A. Francl~e, éditeur, Berne.
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Au personnel enseignant du degré inférieur N OTIS rappelons aux maîtres et maîtresses du degré inférieur que le Dépôt du matériel scolaire à Sion tient à leur disposition:
1. Les feuilles de résultat pour l'enseignement individualisé du calcul, au moyen de fiches, avec autocorrection. Prix Fr. 2.- le cent. 2. Des pochettes protectrices en cellophane (50 mm X 250 mm) poUr les fiches de calcul éditées chez Fr. Schubiger à Winterthur. Prix Fr. 3.50 le cent. 3. Des pochettes protectrices en cellophane (73 mm X 73 mm) pour les images du P. Castor. Prix Fr. 2.50 le cent.
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Am Il. November letzthin liess die Gemeinde Bürchen ihr schones neues Schulhaus einweihen. Der Bau macht der dortigen Venvaltung mit H. Lehrer und Grossrat Gatùen an det- Spitze - , der Bevolkerung, dem Architekten Felix Grünwald und den Handwerkem und Arbeitern - aIle aus Bürchen oder seiner nachsten Umgebung - grosse und verdiente Ehre, Det' hochwürdigste Gnadige Herr und zwei Staatsrate Erziehungschef und Baudirektor - unterstrichen durch ihre Gegenwart und ihre vortrefflichen Ansprachen die Bedeutung dieses Tages, der so wohlgelungen und ermutigend war, dass ihn Bürchen nicht ras ch vergessen wird. Das neue Schulhaus enthiilt 4 helle, freundliche Klassenzimmer; Arbeitsrawn, Küche und Waschküche für die Haushaltungsschule, die soeben eroffnet wurde; einen Trun- und Pausesaal; Lehrerwohnungen und ein Zimmer, das leicht zu einem Internat für auswartige Haushaltungsschülerinnen eingerichtet werden kann. Dazu kommen noch etliche Lokale, die nicht der Schule dienen und demzufolge auch nicht subventioniert werden. Ein paal' Gedanken drangten sich uns auf : Wie ware es, wenn dies~s neue Haus, das von Gemeinde wld Staat ein sehr bedeutendes finanzielles Opfer verlangte, nicht nur sechs sondern sieben oder acht Monate der Erziehung und dem Unterricht der Jugend dienen würde? Und weiter: Sollten nicht in jeder Gemeinde, die ein Schulhaus bauen muss, Anlage und Einrichtung desselben in erster Linie vom Standpwlkt des Kindes aus studiert werden? Bürchen hat sich darunl bemüht und seine Erfaluungen konnten für weitere Gemeinden nützlich sein. Ferner: Es ist gut und anerkennenswert, ein neues Schulhaus zu bauen; aber au ch notwendig und verdienstvoll, es in gutem Zustande zu erhalten. Der Walliser Grosse Rat befasste sich anlasslich der Beratung des Voranschlages für das Jahr 1957 auch mit etlichen Schulfragen. So wurde z. B. mit Nachdruck auf unsem sehr starlœn Mangel an technischem
Persona! aller Grade hingewiesen und der Bau eines kantonalen Teclmikums gefordert. H. Staatsrat Gross konnte anhand neuester Unterlagen darauf hinweisen, dass dieser Mangel ein allgemeiner ist, und dass bereits verschiedene Massnahmen ergriffen wurden, um ihn zu mildern und vielleicht nach und nach zu beheben: zinslose Darlehen an zukünftige Techniker und Ingenieure, Vorbereitungskurse auf technische Hoch- und Mittelschulen, Verbesserung der Programme uns e r e r Maturitatsschulen. DamÎt soU aber nicht ZlUll Ausdruck gebracht werden, dass die Errichtung eines kantollalen Technikums grundsatzlich und für aIle Zeiten aIs ansgeschlossen betrachtet wird. Man wird sich mit dieser Frage aber vieUeicht in nicht allzu ferner Zeit ernsùich befassen müssen und ware es vorderhand auch nur im Sillne der Schaffung eilles Technikwns mit einet· reduzierten Zahl von Abteilungen. Eine weitere Intervention erfolgte für eine Revision des Dekretes betr. die abgestufte Subvelltiollierullg in det' Absicht, wirklich finanzschwachen Gemeinden im Schulhausbau in vermehrtem Masse zu Hilfc kommen zu konnen. Diese Revision ist bereits seit etlicher Zeit im Gange; das ganze Problem jedoch sehr komplex, weshalb eine allseits befriedigende Losung wOlhrscheilllich nicht leicht zu erreichen sein wird . Schliesslich regte ein Abgeordneter noch an man mochte den Gemeillden die Freihei: lassen, die vom Staatsrat bestimmten Ferien selber anzusetzen. Auch dieser Vorschlag wurde zut· Prüfung entgegengenommen. lm Hinblick auf die dauerndell Bestrebungen für eine Verlangerung der Schulzeit gewinnt er an Bedeutung. A. CH.
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Bericht über den Orientierungs- und Fachkurs für die Lehrer der Fortbildungsschulen. Diesel' vom Erziehungsdepal'tement schon seit einiger Zeit vorgesehene und organisierte Kurs kam endgültig je am 22 . und 29. November in Visp zur Durchführung . Das Prograrnrn lUllfass te in der Hauptsache einerseits Darlegung und Diskussion zn den neuen Lehrprogrammen der Fortbildungssc1llùe und anderseits eine Reihe von Vortragen zu den verschiedenen SchulHichern. Herr Adalbert Chastonay, Sekretar des Erziehungsdepartementes, konnte zu Hegi nn der Arbeitstagung eine schone Anzahl Sehulmanner begrüssen und gab dann einen eingehenden und interessanten Überblick üb er das bisher El'reichte und die weiteren Plane lUld Bestrebungen des ErziehlUlgsdepal'tementes für Ullser Schulwesen im allgemeinen, insbesondere über die Primarschulen und über die Fortbildungsschulen im speziellen. Einmal mehr konnten wil' die Feststellung machen, dass unser Schul· wesen in den letzten J ahren in bedeutender Weise entwickelt und ausgebaut wurde und dass speziell auch im Oberwallis in dieser Hinsicht ein grosser Schritt vorwarts getan wurde, dank der loyalen und yerstandnisvollen Einstellung unseres verehrten Erziehungschefs, Herrn Staatsrat Gross und den tatkraftigen Bemühungen unseres Sekreta rs Chastonay. In einem fein abgewogenen und tief fundierten Vortrag sprach dann der hoehw. Herr Schu:inspektor Ernst Schmidt, Professo r am Kollegium Brig, üb e r das Thema: Die Psyche des jugendlichen Me71schen im Fortbi,ldungsschulalter, wob ei 'e r die wichti gste n Momel~te aufzeigte, welche die BildlUl g und 'E rziehung auf d er Altersstufe d er Fortbildungsschule so schwie rig, aber anderseits auch dankbar l~achen, wenn der Lehrer und Erzieh er es versteht, das Vertrauen des Schülers und Jungmanns zu gewinnen. In einem Zehn-Punkte-Programm steIlte der Referent we rtvolle Richtlinien auf, die beitragen konnen, unsere Arbeit in der Fortbildungssc1llùe erfolgreicher zu gestalten.
Am Nachmittag verbreitete sich Lehrer Franz lmhof, Bdg üb er d en Entwurf eines neuen Lehrprogramms für die allgemeine F ortbildungsschule. Es sind in diesem Programm sowohl neue Facher vorgesehen wie allgemeine Naturkunde, Naturlehre, franzosische Sprache und Handfertigkeitsunter. ri cht aIs auch die Erweiterung einzelnet' Facher nach Stoff und Stundenzal1l wie etwa beim Deutschunterdcht, beim Zeichnen, Gesang und Turnunterricht. ~ Leider reichte die Zeit knapp zur Darlegung des neuen Programms ohne dass die Moglichkeit bestand, die einzelnen, besonders die neuen Stoffgebiete nach ihrem Umfang und besonders nach iluer Berechtigung zu kommentieren. A nschliessend sprach Herr Direktor H. B :oetzer üher Stoff und Stoffverteilung in Naturkunde und Landwirtschaft, und er konnte aus seinem reichen, theoretischen Wissen und aus seiner langjahrigen Erfahrung den Lehrern wertvolle Hinw.eise üher die Gestaltung von Pl'ogramm und Unterricht erteilen. Der zweite Kurstag umfasste aIs . erstes Referat dasjenige von HerT1~ Gewerbelehrer Josef lmhof über den Deutschunterricht an den Fortbildungsschulen, wohei der Referent in der Hauptsache das Lehrprogramm entwickelte, das an den Gewerhesclllùen im Oberwallis zur Durchfühnmg kommt. Seine Ausführungen zeigten den erfalll'enen Praktiker, der weiss, wie sehr man sich sowohl in der Gewerheschule wie auch in der Fortbildungsschule nach der Imapp bemessenen Zeit und dem Bildungsstand der Schület- richten muss. Da der Berichterstatter ehenfalls wahrend 12 Jahl'en (1927-1939/40) an der Gewerheschule Brig den Deutschunterricht erteilte (damals no ch aIs einziger Lehrer für den Deutschunterricht), so haben ihn die Ausführungen des Referenten ganz besollders interessiert. lm Sinne der neuen Lehrpro. gramme an der Forthildlmgsschtùe sind allerdings Stoff und Ziel von Forthil· dungs- hzw: Gewerbeschule nicht mehr konfonn, indem die GewerbeschlÙe das Gewerbe, die . Fortbildungssch~le entwede~
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die Landwirts chaft oder im allgemeinen Progralllm den Gesichtspunkt und die Umwelt des Arheiters, des Angestellten, d es an gelel'l1ten Bau· od er Fabl'ikarheiters in den Mi ttelpunkt des Deutschunterrichtes zu stellen hat, tlnd in diesem Sinne ware es vielleicht wünschenswert gewesen, wenn das Thema noch von anderer Sejte auch nach dies en zwei Gesichtspunkten erlautert worden ware. Es folgte anschliessend das Referat von Herm, Landwirtschaftslehrer BeZ:wald von der landwirtschaftlichen Schule in Visp, der aIs Fachmann über den Gemüsehau im Oberwallis sprach und dabei betonte, dass hier im Gegensatz zum Unterwallis noch zu wenig Wert auf den Gemüsebau gelegt werde trotz den Bemühungen der landwirtschaftlichen Schule in Visp und d eren Propaganda und tl'otz Vortragen in allen Gelneinden d es Oberwallis. Der Referent setzt sich auch ganz besonders ein für eine vermehrte, hauswirtschaftliche Ausbildung unserer Tochter und verweist in diesel' Hinsicht auf die günstigen Verhaltnisse und Ausbildungsm oglichkei.te n in anderen Kantonell. Seinen interessanten Ausführungen schliesst sich das Referat von Hernt P. E. Burgener, Kantonsgerichtsschreiher, an, der auch an
der landwirtschaftlichen Schule in Visp den Rechtsunterricht erteilt. - Der sympathische Referent wuss.te in seiner ruhigen Art lUld aus seiner reichen Sachkenntnis die in Betl'acht fallel1den Rechtsfragel1 derart Idar und verstandlich darzulegel1, dass sich bald Frage um Frage und eine sehr nutzbringende Diskussion ergab. AIs letztes Referat folg te d asj enige von Frau Dionyse Mengis, Visp, Leiterin des Betreihungs- und K onk.ursamtes, welche mit grosser Sachkenntnis und in klarer, sympathisch er Weise die ausgedehllte Materie über das Betreibungs- und Konkurswesel1 darzulegen und abzuldaren wusste. Dass sich a;1 beiden Tagen ei ne grosse Anzahl Lehrer an der Diskussion lebhaft beteiligten, soweit die Zeit hiezu ausreichte sei hier nul' erwahnt, da es im Rahmel~ dieses Bedchtes nicht l110glich ware, auf die eil1zelnen Punk.te und Voten einzugeh en. Allen Teilnehmern, inshesondere auch den Referenten und Herm Sekretar Chastonay (für ihn und zullanden des Erziehungsdirektors) gehührt Dank für die Organisation und Durchführung des Kurses, der sich gauz sicher im günstigen Si11l1e auf die GestaltlUlg und die Entwicidung unserer Forthildungsschulen auswirken wird, Franz Ill1hof.
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LA DOYENNE
Itomiteesitzung des O .l.V.
DES .INSTITUTRICES SUISSES
vom 16. 12. 1956 in Brig
En cette année 1957, la doyenne des institutrices suisses, Mme Vve Catherine V œfCray, institutrice à la Crettaz, fêtera son quatre-vingtième anniversaire. Cette année marquera également la fin d'une longue carrière de 63 ans dans l'enseignement. Nous nous faisons un plaisir de reproduire ce qu'écrit à son sujet le bulletin romand , « Educateur », dans sa partie réservée au canton de Vaud, sous le titre: 63 ans d'enseignement! Cela ne se passe pas dans ~e canton de Vaud, mais bien chez nos amis Valaisans . Le « cas» est tellement exceptionnel que l'on pardonnera au soussigné s'il lui accorde une place dans cette chronique. Mme Veuve Catherine Vœffray, institutrice à la Crettaz, Val de Trient, a 80 ans et 63 ans d'enseignement. Elle est ,t ouj ours en fonctions et dorme aussi les Cours complémentaires aux futures recrues. A 17 ans, après une année d'études à l'Ecole normale de Sion, elle était nommée au Tl'étien. .. où el!e retrouvait ses anciennes camarades d'école ... et il fallait que ça marche! Personne n'avait voulu postuler ce nid d'aigle perché Sur les Gorges du Trient; alors, on l'a supp:iée d'y reSLer et elle a continué ainsi d'année en année. Mais, dès juin 1957, le villa.ge sera quasi abandonné, il n'y aura plus qu'une fa.mille avec deux enfants et «Mme Catherine » quittera bon gré, mal gré, sa «raison de vivre ». Que Mme Catherine veuil:e bien accepter l'hommage d'admiration et d'amitié de ses collègues vaudois. E. B.
Anwesend waren: Pras. Stucky Aux., Hochw, Herr Prof. E. Schmidt, Lehrer Arnold Louis, Lehrer Furrer Hermann, Lehrel· Imhasly Peter, sowie der Sekretar des Erz . Departementes, Herr Chastonay A. Der Vorstand des O.L.V. trat hauptsachlich zusammen, um einer Abordnung der pensioniel'ten Lehrel·, b estehend aus den Herren alt-Lehrern Biderbost Hermann, Imhof Auxilius und Gattlen CasaI', Gelegenheit zu bieten, einige Wünsche und Anregungen vorzutragen. Dass unsere pensionierten KoHegen fin anziell nicht auf Rosen gebettet sind, dürfte jedermann bekannt sein und es ist daher nicht verwunderlich, wenn sie an die aktiven Kollegen gelangen, sie in ihren Bestrebungen um Verbesserung iluer Lage zu unterstützen. Nach Ausführungen von Lehrer Biderbost Herm. und Sekretar Chast onay Adelbert und einer langern fruchtbaren Diskussion wurde einhellig beschlossen :
Ses collègues valaisans profitent de cette occasion pour redire aussi à Mme Vœffray leur reconnaissance pour le hel exemple de dévouement qu'elle continue de leur donner.
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1. Es soll eine Eingabe an den Staatsrat eingereicht werden um Erhohwlg der Teuerungszulagen an das pensionierte Lehrpersonal bezw. wu Ausrichtung einer solchen an das gesamte pensionierte Lehrpersonal und nicht nur an dasjenige, das vor 1954 in den Ruhestand getreten ist. Es soll ein Gesuch an den Vorstand der Ruhegehaltskasse gestellt werden, die Revision der Ruhegehaltskasse moglichst rasch voranzutreiben. Bei dieser Gelegenheit sollte auch die Frage geprüft werden, ob es nicht vorteilhalter ware, vom jetzt angew1\,ndten Kapitalisationssystem zum sogenannten Umlageverfahren umzustellen. Es ist zu hoffen, dass bei einer Revision der Ruhegehaltskasse namentlich für das altere Lehrpersonal einige Verbesserungen geschaffen werden konnten. 2.
2) Die Arbeiten dili·fen keinen Verfasser. namen tragen. Sie müssen mit- einem Kennwort versehen werden. In einem verschlossenen Briefumschlag sind qer Titel des Werkes und der Name des Verfassers anzugeben. Auf dem Briefumsclùag ist das Kennwort der eingereichten Arbeit zu wiederhoien. 3) Eine Jury, bestehend aus drei Vertretern des Oberwalliser Schrifttums und der Horspielgruppe sowie zwei Vertretern des Studios Beru prüft die eingereichten Arbeiten. Der Entscheid' der Jury wird den Beteiligten bis spatestens Ende Marz eroffnet. 4) Zur Pramierung guter und brauchbarer Vorschlage steht eine Preissumll1e von Fr. 500.~ zur Verfügung. 5) Die ausgezeichlleten Dispositionen konnen dur ch die Verfasser auf einen noch zu bestimll1enden Termin ausgearbeitet und dem Studio Radio Bern zut: Sendung eingereicht werden. Die Honorierung erfoigt dann im Rahmen der üblichen Vergütungen. , Radio Bern kann nicht , verpflichtet werden, eine pramiierte Arbeit un ter allen Umstaden zur Sendung zu bringen. 6) Der Entscheid der Jury ist endgültig U11d unanfechtbar. 7) Üb er den Wettbewerb \ werden keine , Korrespondenzen geführt.
Der Vorstand der O.L.V. ist fest entschlossen, die pensionierten Kollegen in ail en ihren Bemühungen um Verbesserung ihrer rnisslichen finanziellen Verhaltnisse volI und ganz zu unterstützen. lm weitern befasste sich der Vd. des O.L.V. mit dem Datum und der Organisation der Generalversammlung pro 1956/57, die in der ersten Halfte des Monats Februar 1957 abgehalten werden solI. Die Organisation derselben: wird Ullser Vize-Prasident Herr Prof. E. Schmidt in Verbindung mit dem Vorstand des OberwalIiser Lehrerinnenvereins naher besprechen. Der Aktuar.
Indeenwettbewerb Für Oberwalliser Horspiele Zur Erlangung neuer Horspiele in der Oberwalliser Mundart schreibt die Oberwalliser Horspielgruppe in Verbindung mit dem Studio Bern unter Wallisern einen IDEENWETTBEWERB aus. (Es konnen sich also auch auswarts wohnende Walliser beteiligen). Verlangt werden eine ausführliche Disposition des vorgesehenen Stoffes in der szenischen Anlage, -ein Personenverzeichnis und eine vollstündig ausgearbeitete Szene in Oberwalliser Mundart oder in Schriftsprache. (Eine spatere Übersetzung der schriftsprachlich ab gefassten Arbeiten bleibt ausdrücklich vorb ehalten) .
Lehrerexerzitien im Jodernheim in Visp Yom 8. bis 10. Dezember wurden ill1 St. Jodernheim in Visp Exerzitien für die Herren Lehrer des Oberwallis abgehalten. 32 Lehrer folgten der Einladung des Oberwalliser Lehrervereins und nahmen mit grossem inneru Gewilln an diesen drei Tagen der Einkehr und Besinnung teil. Der neue Exerzitienll1eister, H. H. Pater Truniger, verstand 'e s meisterhaft, uns die grossen und ewig wahren Heilslehren in formvollendeten und begeisternden Worten vol' Augen zu füIu'en und unsere zukünftige Erzieherarbeit nach den stets gültigen Grundsatzen des gottlichen Lehrmeisters auszurichten. Besonders wertvoll und unvergesslich werden uns die aus reicher Er-
Die Horspiele sollten eine Sendedauer von 60 Minuten nicht übersteigen und nicht mehr aIs zwolf Sprechrollen aufweisen. Erwünscht sind voruelunlich Stoffe aus der Gegenwart des Wallis. Der I deenwettbewerb wird U1lter folgenden BedingU1Igen ausgeschrieben: 1) Die ausführlichen Dispositionen sind in
Schreibmaschinenschrift in drei Exemplaren 'bis spatestens am 31. Januar 195 7 an Studio Radio Bern, Walliser Horspielwettbewerb, Schwarztorstr. 21 einzusenden.
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fa!1~'::::'; i:~eilten Ratschlage für die Erziehung der Kinder bleiben. Es ist nul' , schade, dass nicht noch mehr Lehrer die Gelegenheit benutzten, sich für die schwere und verantwortungsvolle Berufsarbeit Starkung und Kraft zu holen. Ein herzliches «Vergelts Gott!» auch an diesel' Stelle dem hochw. Exerzitienmeister, der Direktion des St. Jodernheims sowie dem Oberwalliser Lehrerverein für die Dmchführung diesel' Exerzitien. Ein dankbarer Teilnehmer.
UN SERE TOTEN
élèves ces dernières années. Et elle avait bien raison d'en être fière. Quelle somme de dévouement représentent cinquante années passées au milieu de ce petit monde bruyant et étourdi! Toujours souriante, elle ne se plaignait jamais et elle ne comptait pas sa peine car elle aimait sa classe. Certains membres de la Commission scolaire se rappelleront encore avec quelle force elle défendait ses filles et leurs travaux lors des concours entre filles et garçons sagement organisés deux ou trois fois durant l'année scolaire. Mademoiselle Métrailler s'intéressait à tout et c'était agréable de lier conversation avec elle sur les grands événements qui bouleversaient le monde; elle les étudiait si bien et son cœur était tout ému quand tant de pauvres innocents en étaient les victimes. Elle a donné surtout l'exemple de la prière à ses élèves et à sa paroisse et si tant de mamans et de jeunes filles ont conservé une fervente pratique religieuse malgré la dispersion des villages et l'éloignement de l'église, elles le doivent à l~ur institutrice si profondément chrétienne. Dieu l'aura reçue là-haut et récompensée comme elle méritait.
NOS MORTS
Mademoiselle Catherine Métrailler Le 3 septembre dernier la mort a ravi à la population de Salins une personne qui lui était chère: son institutrice, Mademoiselle Catherine Métrailler. L'année dernière, encore alerte, à l'âge de 69 ans, elle dirigeait la classe des filles de sa commune, c'est dire que pendant près d'un demi-siècle des centaines de jeunes filles profitèrent de son riche en· seignement. J'ai déjà fait la classe à ta grand-maman, pouvait-elle dire à l'une ou l'autre de ses
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[ DI VERS
* VERSCHIEDENES 1. V. A.
c. '
Quelle est donc la signification de ces quatre lettres? International Visual Aids Center, En fran~ çais: Centre International d'auxiliaires visuels. ' Quel est le but poui'suivi par cet organisin e ? D'une manière générale, fournir aux corp's enseignants des divers pays du monde des moyens d"enseignement d'ordre visuel (cinéma, films fixes, diapositifs, etc.) D'une manière plus restreinte pour le moment', car il est inutile de courir plusieurs lièvres à la fois, fournir des cal'tes de géographie et d'histoire, dites cartes-dias. Ce sont des cartes géographiques, en couleurs, montées en diapositifs 5 x 5 que l'on projette à l'écran au ' moyen d'un appareil de projection habituel Mais pOUl'quoi donc de pareilles cartes? Parce qu'on a remarqué que , nos élèves ne retiren't pas tout le profit esco~pté des cartes murales ou des cartes' d'atlas. Il faut en effet Une longue pratique de ' la cartographie ,pour pouvoi'r déchiffrer correctemenÎ:une carte. Il convient d'Îlùti~r nos élèves, tant aux faits géographiques ou historiques pr!lprement dits qu~à leur représ'entation graphique. Or les cartes murales, comme les cartes d'atlas~ ne présentent jamais que des synthèses de connaissances, où textes et symboles se superposent, où trop de notions figurent à la ' fois ' avec des légerides cOhipliq~ées; ' Elles sont difficiles à lire et à comprendre. Les cartes-dias de 1'l.V.A.C .. ont pôur objet principal d'isoler les notions de telle façon que chacune "d'entre elles puisse être assimilée séparément et progressivement, jusqu'à la synthèse finale. Projetées à l'écran elles permettent ' de présenter, à très grand format d'une niariiè'r e précise et parlante, un seul ' fait géographique ou historique. Il n'est ain'si plus néc~ssairè de fouiller la ':carte pou~ repél;el' ce que , l'on', veut faÎl~evoir. ' ,
Les cartes-dias parlent aux élèves -et ceux·d les assimilent spontanément. On prépare ainsi nos élèves aux recherches sur CE\rtes classiques et à la compréhension des cartes murales. Disons tout simplement que les cartes-dias sont l'alphabet de la géographiè et que leur proJection permet aux élèves d'avoir sous les yeux: L des cartes d'Url très grand format. 2. des cartographies claires et parlantes. 3. des localisations précises de chaque fait particulier. Les éditions de l'I.V.A.C. s'o nt placées sous le contrôle du collège de Bruges. Ce centre a entrepris la constitution d'un «pool» mon· dial de documentation visuelle, collection d'une valeur exceptionnelle puisqu'elle est sélectionnée pour chaque pays, par un comité pédagogique du pays même. Actuellement 18 pays ont adhéré à l'IV AC; la diffusion mondiale de ces documents permet de les livrer à des, prix tout à fait intéres-: sants. Les premières séries' de cartes-dias ont paru: citons EUROPE l, EUROPE II, AMERIQUE DU NORD, AMERIQUE DU SUD, AFRIQUE, FRANCE, BELGIQUE. Elles se composent chacu;le d'environ une vingtaine de cartes traitant du relief, dé l'hydrographie, du climat, de la végétation, de l'industrie, de la population, etc. Le comité suisse de l'IVAC a été créé et' s'est mis promptement au travail. Il a réalisé une série de 24 cartes qui va être mise en vente très prochainement. Il a repris entre autres plusieurs idées des feuillets de documentation de l'UIC., édités I?ar)e, Gllid~, çle Documentation d~ la S.P.R. afin de ' rester dans la ligne générale de l'ens'ei.ghe~ent ,actueldë', la géographie. Voici, d'àiUeurs la liste des 24 cartes prévues: L 2. 3. 4.
Situation de la Suisse en Europe Les frontières naturelles de ia Suisse Les régions 'n aturelles Les bassins fluviaux 5. Les cours d"eau 6. LeS températures moyennes en hiver 7. Les températures moyennes en été :a-. ' Pluies et 'vents 9; Répa~titio'n des ~onfessions '
10. Répartition des langues Il. Population: comparaison entre les Gri. sons et Argovie 12. Utilisation du sol: carte 13. Utilisation du sol: schéma 14,. Industrie suisse 15. Importation 16. Exportation 17. Les lignes de chemins de fer 18. L'importance de nos tunnels 19. Le réseau routier 20. Le réseau du Gothard 21. Le tourisme 22. Les cantons 'suisses et leurs chefs·lieux 23 . Cartes schématiques de la Suisse 24. Carte muette (pour les travaux de con· trôle).
BOITE
AUX
Notre propos n'est pas de faire de la ré· clame, mais nous pensons qu'il est néces· saire de préciser ce, qu'est l'IV AC dont on commence à parier chez nous, nécessaire aussi , de mentionner cette innovation de cartes·dias qui rendront de grands services à ceux de plus en plus nombreux qui pos· sèdent un appareil de projection. Les appareils de projection atteignent actuel· lement un tel perfectionnement qu'il n'y a souvent même plus besoin d'un obscurcis· sement complet du local de classe. On ne peut plus passer à côté de ce moyen d'en· seignement sans s'y intéresser, sans en examiner la valeur. J ..J. DESSOULA VY, Professeur Genève
L..ETTAES
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BAIEFKASTEN
Dans la mesure du possible, nous répon. drons sous cette rubrique aux questions que le personnel enseignant voudra bien nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur. D'autre part, elles doivent évidem. ment se rapporter à des problèmes entrant dans le cadre de la revue, La Rédaction.
ln diesel' Rubrik, die wir von jetzt an für unsere Leser be,i fügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten, die aus dem Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber untel' Nennung des Namens und der Adresse eingel'eicht werden. Anonymes wird untel' keinen Um. standen berücksichtigt. Ferner dürfen diese Fragen nul' padagogische Belange betreffen. Die Redaktion.
Ein jungel: Lehrer fragt :
viel gestrichen ' und Neufassungen von sprachlichen Ausdrücken hineingeschrieben, dass Rot und Schwarz sich beinahe die Stange hielten. Sind derartige Verbesserun. gen wirklich vorzüglich, und entspricht der Erfolg einer solchen übereifrigen Viel. arheit? Ich glaube es nicht . Ein solches Morgenrot erweckt im Schüler derartiges Minderwertigkeitsgefühl und Unlustemp· finden, dass el' den Mut gal' nicht mehr aufbringt, den Unterschied zwischen seinem eigenen und dem verbesserten Ausdruck zu unterscheiden und sich entsprechend zu bes· sern. Ich bezweifle ferner, dass es bestimmt
«Wie konne!l schriftliche Korrekturen von Aufsatzenvorteilhaft ausgeführt werden? » Das W ort « vorteilhaft» giIt wahrschein. lich sowohl für den Lehrer aIs den Schüler. Vielleicht konnte man die Frage au ch so formulieren: «Wie kann ich bei diesen Korrekturen mit moglichst wenig Aufwand von Kraft und Zeit am meisten Erf olg er· zielen ? » - Ich erinnere mich, VOl' Jahren von jemanden gehort zu hab en, sein ehema· liger Deutschlehrer hatte die Aufsatze glanzend verbessert; deml der habe so
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man bei falscher Wortstellung dicsc dUl'ch Zahlen ber ichtigen,
vorteilhaft sei, wenn wir unser Bildungs· deutsch über dem vielleicht etwas unbe· holfenen, aber doch kindlich urspriiglichen und frischen Ausdruck hinschreibcn. Wir müssen daran denken, dass der Ausdruck des Kindes noch entwicklungsbedingt ist; dass wir darum auf diese sprachliche Ent. wi cklungsmoglichkeit Vertrauen setzen müs· sen und ab'w arten, wie dies'e mit der Zeit die j etzige Schwerfalligkeit überbrücken und ausmerzen wird. Vielleicht begehen wir auch beim Verbessern zu oft den F ehler, ' dass wir in den Kindern kleine Erwachsene sehen, von denen .wir schon «gebildete» Ausdrucksformen erwarten. Dabei ist, inso· fern wir au ch ein dem Kinde angepasstes Thema gesteIlt haben, der kindliche Aus· druck manchmal viel kostlicher und zutref· fender aIs der vom Erwachsenen aufge. pfropfte Stil, der sich darauf ausmachen mag ' wie ein «Siduplatz » auf Trilch.
yA S
Sodaun gibt es noch ein bewahrtes Hilfs· mittel, das die Korrekturarbeit leichter und angenehmel' macht. Wir sind nach der Schule, also clann, wenu wir korrigieren soIlten, meistens müde, vielleicht sogar gel'eizt und missgeIaunt und darum durch kleine Enttauschungen, die uns clie Hefte bringen konnen, für neue Aufregung mu so anfalligel', Um die kostbare Gemütsruhe zu bewahren und , damit um so bessere Arbeit zu leisten, kann folgende Methode vorzüglich wirkcn : 'Wir nehmen zuerst eine gute und dann eine schlechte Arbeit in clie Hand nach einiger Zeit werden wir clie Schüler für diese Unterscheiclung sicher genügend ken!:en - und dann lesen wir beicle dUl'ch, und wir merken gleich, was gesamthaft etwa zu erwarten ist. Dann erst gruppiereri wir die Hefte nach ihrer mut· masslichen Güte und machen uns zunachst
= Rechtschreibfehler ;
+ =
=
= = =
Sprachfehler (ev. F und Z = falsche Zeit) hier fehlen Wortel' unrichtiger Ausdnick fais ch gebauter Satz ist clas riehtig ?
falseher Fall
Satzzeichen soIlten innerhalb des Textes selber verbessert werden; ebenso soUte
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Satz
Anf diese Weise soIlte cler Sc!tülel' den Fehler in der betreffenden Zeile selber fin· den und er wird, wie bereits erwahnt, clabei zu genauem Beobachten und selbstandigem Denken erzogen. Dass dieses System aber nur für clie Oberstufe oder für Sekundar· schulen oder cliesen entsprechende Schul· stufen anwendbar ist, leuchtet wohl ein; clenn in der Mittel· oder Unterstufe ware cliesel' Anspruch sicher verfrüht und el" folgIos. Hier bleibt a1so niehts anderes übrig, aIs genügend «Rot » auf. oder untel'· zuIegen. Allgemein sei für Korrekturen noch folgen. des erwahnt. Weil das Verbessern meistens eine re,c ht unliebsame Arbcit ist, laufen wir gerne Gefahr, diese moglichst lange zu verschieben, oft bis zum letzten, dringen. den Moment. Es kann sogar vorkol11men, dass Lehrkrafte diese Arbeit in allerletzten Nachten VOl' der Schlussprüfullg nachhoIen müssen, wenn diese erst ganz kurz zuvor angemeldet wurde. Dass solche Korrekturen wertlos sind, liegt auf der Hand. Darum gelte aIs Grundregel : So rasch aIs moglich hinter die Arbeit! Auch hier sei dringend geraten: «W as clu heute tun kamlst, ver· schiebe nicht auf mOl'gen ,! »
Was ist also zu tun ? Nur das «brandmar· ken », was wirklich fehlerhaft ist, und zwar nur dann, wenn wir annehmen dürfen, dass der Schüler aus sich selbst heraus die richtige Form wahrscheinlich nicht fin den kann. - Aber, wie kann denn cler Schüler aufmerksam werden auf das, was er verbessern solI, wenn el' clas Mangel. hafte nicht unterstrichen sieht ? Es gibt da für den Lehrer ein sehr einfaches, prak. tisches, sog. Randzeichensystem, clas clt?m Verbessernden viel Arbei't und Zeit erspart, den Schüler aber - bei richtiger Anleitung _. zu eigenem Nachdenken und Arbeiten erzieht. Der Lehrer bringt also Randzei. chen an, clie aber nicht zu zahIreich sein dürfen. Es seien VOl' allem folgende empfoh. len, die ziemlich genügen dürften: 1
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l11utig und entschlossen an die schlechtesten Arbeiten h eran. So dürfen wir mit dem trostlichen Gefühl weiterfapren wie ehemals die Dampflokomotive ' der Furkabahn, die nach ' Überwindung einer steilen Strecke frohgemut puffte: « Jetz geits besser - jetz geits besser ! » Bei diesem VOl'gehen sind wir am Schlusse der gefürchteten Vel'besserungsarbeit gal' nicht so unglijcklich und werden um so froher und mutiger an die nachste Korrektur uns heranwagen: Notiel"s und probier's !
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Ernst Schmidt.
BIBLIOGRAPHIE -RSAUMES,
de
Marcel
·l:
,BÜCHER
Michelet.
Nos lecteurs ont lu sans doute avec recueillement la belle méditation que M. l e chanoine Marcel Michelet, iauréat de l'Académie franç~ise, a bien voulu écrire à leur intention. Ils ont pu voir combien la notion de méditation y rejoint celle de poésie. Pour un poète chrétien, la contemplation n'est-elle pas la source la plus pure ? Les «Psaumes » sont nés de cette source. Conduits par le fil vénérable de la poésie biblique, qui reste la substancè de l'office monastique, ils évoquent, chants dé pénitence ou de louange, les tourments ou la paix ' de l'âme. Beaucoup de nos lecteurs connaissent déjà les 'autres écrits de M. le chanoine Michelet~ en particulier ses plus récents ouvrages de ' spiritualité (La Prière du Seigneur, la traduction de l'Imitation). «Ici, écrit un commentateur, ni traductiol1, ni paraphrase; l'auteur revit tout simplement les psaumes dans leur jaillissement de désir, de crainte, d'angoisse, de tristesse et de joie tour à tour, sources toujours présentes au cœur et qui se décantent, paisibles, en un patient amour. Sous une forme classique, sévère d'apparence, mais qui n'est que solide et durable, on possèdera un recueil où poésie et prière' se rencontrènt ». Un, volume de 112 pages, 14 X 19 Cin, 'heau.
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HISTOIRE
UNIVERSELLE
ILLUSTREE
rédigée par les professeurs A. Mojonnier, G. Castella, F, von Tunk, A. Renner. - Editions Rencontre, Lausanne. (Stauffacher, Zürich). L'histoire de ces deux derniers siècles, duo, rant l esquels le devenir de l'Europe prit un cours si tumultueux et parfois, si cruel, a éveillé un intérêt grandissant pour le destin - proche ou lointain - des peuples et des nations. Les grands courants de ,l;histoire se ,_renouvellent périodiquement .e,t fournissent comparaisons et explications aux événements contemporains. Ce.tte «Histoire univ-erselle illustrée » espère répondre au besoin de plus en plus répandu de connaissances historiques, tout en aidant le lecteur à éviter les conclusions enonées tirées de considérations historiques hâtives. 3 volumes, plus de 1500 pages, dont 350 d'illustrations, au format 15,5 X 24 cm., helle reliure demi-cmr et toile fiiI'e , gaufrages 01'. Fr. 120.-.
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Wir machen immer Boch die Unterscheidung zwischen den sog. toten un.d lebenden Sprachen. Lebendige Sprachen machell die Wandhmgen und StromUllgen des menschlichen Lebens mit. Daher kommt es, dass ihr Wortschatz sich andert dur ch N eubildungen, d'u rch Übern.ahme von W ortel'n aus fremden Sprachell, wahrenddem manches Wort und manche Wendung als veraltet erl~scht. Ahnlichem Wandel ist auch die Aussprache und Sprechweise unterworfen. Auch unsere D eutsche Sprache andert Ulld wandelt sich entsprechend. Es ist daher notig, dass ' von Zeit zu Zeit die «Deutsche Rechtschreibung » dem n euesten Stand der Entwicklung Rechnung tdi,g t und hekal111t gibt, was aus dem W ortschatz ausgeschieden und was neu auf gellommen wurde, sodass die Rechtschreibung Schritt h~ten kann mit dem Wandel der lebelldigen Sprache. Eine solche «Deutsche Rechtschreib~ll1g » gibt es nun. Der Verlag Bel;t~lsmanll h~t die « Gesellscl~aft für deutsche Sprache » bewogen, ein 'e ntsprechendes Nachschlagebuch zu schaffen, das nicht nul' den Gelehrtell, son~ern auch dem Laien verstandlich sein würde.
EXERCICES DE NUMERATION PAR L'EMPLOI DU TABLEAU REINHARD. par Sr Mari e-Etiel~e, maîtresse , d'application à l'Ecole normale. Le personnel enseignant a pu prendre COllnaissance dans les numéros 8 , et 9 de «L'Ecole Primaire » de l'an dernier, des travaux de Sr Marie-Etienne pour l'adaptation du tableau de calcul Reinhard à l'enseignement de la numération. Nous sommes heureux de signaler à l'~tten tion de ceux et celles qui ont à enseigner les éléments du calcul, qu'un tirage à part a été fait de ce travail, suivi d'un chapitre sur les difficultés graduées pour l'étude de la m ultiplication. Ce travail complète très heUl'eusement le manuel de calcul actuellement en usage au cours inférieur et facilite singtùièrement l'apprentissage si délicat de la numération. P ar lme suite d'exercices très nombreux et gradués avec grand soin, l'enfan~ est fam iliarisé progressivement avec toutes les difficultés du calcul mental. Confiant dans la m éthode bien graduée, assuré du succès grâce au nombre considérable d'exercices, le m aître progresse lentement, sans hésitation, depuis la décomposition pes nombres, le p assage de la dizaine, jusqu'à l'acquisiti on parfaite des automatismes exigés par le p rogramme de Ire, de 2e et de 3e almée. Les maîtres qui ont la responsabilité de la fo rmation première de nos jeunes enfants SaUrOllt gré à Sr Marie-Etienne de son excellent travail. Elle met ainsi à la di sposition de notre école valaisanne les fruits combien précieux d'une longue 'e t fructueuse expérience. Nos remerciements bien sincères. Abbé ENARD, Inspecteur 'scolàire
Ein Ausschuss von altbewahrten Praktikern, wie Professoren, Lehrer und Korrektoren, hat diese Arbeit bewaltigt. Sie auch auf Unklarheiten der Gross- und Kleinschreibung, der Getrennt- und Zusammenschreibung lmd der Silbentrennung behoben und moglichst der heutigen Sprechweise angepasst. Das Buch enthalt über 100000 Stichworter, ferner ' ein Verzeichnis von 2100 Abkürzungen aus' allen Leb ensgebi eten. Sodanl1 ist ein kurzer, leichtfasslicher Regelteil angegliedert. Ein Vollsichtregister am Buchblock, Leitbuchstaben anl obern Seitemand und ins Auge fallende Schlagworter leiten den L eser rasch zu dem von ibm gesuchten W orto E. Sch.
DEUTSCHE RECHTSCHREIBUNG (Ein Nachschlagebuch für Büro, Schule und Haus. Herausgegeben im Auftrag der «Gesellschaft für deutsche Sprache » in Zusammenarbeit mit ihrem Arbeitskreis für Rech tschreibung von Professor Dr. Lutz Mackensen. 731 Seiten, C. Bertelsmann Verlag, Gütersloh· DM 9.80).
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Prof. Dr. Heinrich Hanselmann ': ELTERNL'EXIKON. Erste Hilfe in Erziehungssorgen und Schulnoten. Worterbuch vom Seelem.eben des'
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Fremdwortern) > die oft jahrhunder.tealte Einsicht und Erfahrung, aber auch manchen Bedeutungswandel zum Ausdruck bringt und so eine ganz ei'gene Leistung deL Buches darstellt ;
Kindes und ' des jugendlichen Menschen ca. 470 Seiten im Grossoktav.Format. In Leinen gebunden Fr. 25.90, geheftet Fr. 21.25. Rotapfel Verlag Zürich. Das seit J ahren vorberëitete neue ' Buch des internatîonal bekannten Verfassers und Tragers des Welt-Jugendhilfe-Preises der Weltstiftung Pestalozzi ist in verschiedener Beziehung ein eigenùiches Lebenswerk. Vermittelt es doch einen im Verlauf von Jahrzehnten gesammelten und durchdachten, in seiner reichen (praktischen und wissenschaftlichen) Vielseitigkeit heute vielleicht einzigartigen Erfahrungsschatz und ist der getreue Spiegel jenes Hel f e rwill e n s, d'e r Hanselmanns Tun und Denken wahrend eines Lebens und auf den verschiedensten Wirkungsgebieten gekenllzeichnet hat. DanÎuf beruht schon die ganze Anlage des Werkes, Wer im Erziehungsalltag mitten drin steht, steht immer VOl' einem EinzelfaIl, vor einer Einzelfrage. Diese Not des Erziehers bildet in diesem Buch den Ausgangspunkt. Darum ist in seiner Anlage das Sachworterverzeichnis zum Hauptteil, statt zum blossen Anhang gemacht worden. Es wurde zudem ein Teil jener Fremdwortel' aufgenommen, denen der heutige Erzieher in der Tagespresse und in Fachschriften standig begegnet, die ihm aber sinngemass nicht immer verstandlieh sind, Die Auswahl der alphabetisch angeordneten - Stichworte ist in einer mehr aIs vierzigjahrigen Tatigkeit aIs Erziehungsbel'atel' und Heimleitel' gesammelt worden. Sie ist umfassend und wesentlich, bringt das zu tatigem Gebrauch und zuverlassiger Orientierung Notwendige und BedeutungsvoIle und zeigt in diesel' überlege\len, wirklichkeitsnahen Grenzziehung, sowie in der Formulierung und im systematischen Aufhau der Stichworte, die Meisterhand. Letz. terer hietet dem Benützer und Leser - das mit Warme und Lebendigkeit geschrieben~ Buch la dt immer wieder zu vertiefter Lektüre eill besondere Vorteile. Es waren, soweit moglich und notwendig, fot. gende Gesichtspunkte für die Behandlung der einzelnen Stichworte massgebend:
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Zweitens, eine pyschologisch~ Dal'~tellung und Deutung des Tatbestandes ; Drittens, eine zusamlnenfassende piidagogische Betrachtung, die - weit entferntvon jeder rechthaberischen Rezeptverschreibung den neuartigen, ganz dem Leben verpflichteten, von wanner Personlichkeit erfüllten Charakter dies es ' Lexikons weitgehend mitbestimmt ; Viertens, wesentliche und bis zur 'n.euesten Zeit führende Literaturangaben zu allfallig weiterer Vel'tiefung ;
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Fünftens, Hinweise auf vel'wandte Stich· WOl'te und damit innere Zusammenhange und Beziehungen. - Was einen ganz besonderen Vorzug des Buches bildet und die Moglichkeit verschafft, sich über einen ganzen Pl'oblemkl'eis l'asch und von hoher Warte aus zu orientieren. lm Zei taIter einer yom Erziehungstatigen kaul11 mehr zu be, waltigenden Literaturflut liegt geiade auch in diesel' Beziehung ein besonderes Bedürfnis VOl'. So geht das Buch zwar vom Erziehungsalltag aus, führt aber zugleich über ihn hinaus und steUt den Umgang mit Kindern in die grosseren Lebenszusammenhange hinein. Auch bieiet es weit mehr aIs die - eben· falls enthaltene Begriffserklarung und Wissensvermittlung: Es ist ein Werk der grossen Hiife und steten Anregung, Zeugnis ' auch 'einer au~~erordentlichen, wahrhaft menschlichen und geschlossenen Persolùlchkeit, deren anerkannte Zustandigkeit überall die sichere Grundlage bildet. - Auch für cin weiteres Hauptanliegen des Verfassers, . namlich die Verbindung wissenschaftlichen Ernstes mit klarer, allgemeinverstandlicheJ Sprache, ist das Werk beispielhaft, eir ideales Hand· und Hausbuch VOl' allem für weite Eltern- und Lehrerkreise_ (aller Schulstufen), Fürsorger, Kinder. und Jugen dbetreuer.
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für die franzüsische Sprache gute Gelegenheit zur Weiterbildung. Eintritt Frühjahr und Herbst.
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CRESSOT, Hoseph] et V. Dubu. L'école à classe unique et récole à deux clas· ses. Organisation pédagogique. Paris, Bourrelier, 1952 ; 8°, 345 p. (Cahiers de pédagogie modeme pour renseignement du premier degré.) TA 13.755
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DEBESSE, Maurice. Psychologie de l'enfant de la naissance à l'adolescence ... Paris, Ed. Bourrelier, 1956; 80, 267 p. (Cahiers de pédagogie moder~e.) TA 13.904 DECROLY, O[ vide]. Quelques notions générales sur révolution affective chez l'enfant. Bruxelles, M. Lamertin, 1927 ; 80, 76 p. (Documents pédotechni· ques. Année 6, 1927, No. 2.) PA 6929 DOTTRENS, Robert. Nos enfants à l'école. 'Essai d'éducation radiophonique. Neuchâtel, Paris, Delachaux & Niestlé, (1954); 8°, i96 p. (Actualités pédagogiques et psychologiques.) TA 13.752 DUMAS, Louis. Au pied . du mm·... Propos sur la pratique de l'éducation. Paris, Bourrelier, 1953; 8°, 217 p. (Camets de pédagogie pratique.) TA 13.748 F ADEL, A [deI]. Contribution à l'étude du caractère et de ses troubles chez l'enfant. Etude théorique et pratique de psychologie. Genève, Impr. du Commerce, 1944; 80,175 p. (Thèse, Lettres, Neuchâtel.) TA 13.780
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PEDAGOGIE - P'SYCHOLOGIE FERRE, André. Les tests à l'école. Paris, Bourrelier, 1954; 8 D, 191 p. fig. TA 13.747
PADAGOGIK - PSYCHOLOGIE AGEL, Henri et Geneviève Agel. Précis d'initiation au cinéma. Classes de 3e, 2e, Ire et classes supérieures. Paris, Ed. de l'Ecole, (1956) ; 80, 373 p. ·fig : TA 13.735 ANSELME, F[rère ' =] J(oseph) D'haese. Enfance et adolescence. Psydhologie. Bruxelles, Namur, La Procure, 1955 ; 80, XV+294 p. TA 13.765 Pour e!1seigner mieux .. Méthodologie. 80, 306 p.
Nal~ur; Br~eUes, La ProJ~u·re; 19g.4 ; . TA 12.825
BOVARD, René. La connaissance du caractère et ses .a pplicaÙons . pédagogiques. Paris, Bourrelier, 1955 ; 80, 102 p. fig. (Camets de pédagogie pratiq~e.) PA 7485 CARNOlS, All~ert. Le drame de l'infériorité chez l'enfant. Lyon, Paris, E. Vitte, 1955 ; 80, 421 p. (Animus et Anima.) TA 13.741 Le Cou r s élémentaire ... Paris, Bourrelier, 1955 ; 8°, 173 p. (Les Etapes sco· laires. :......... Cahiers de pédagogie modeme pour l'enseignel1?-en.t du premier degré.) '. ' . TA 13.756 1
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COURTOIS, G[aston]. L'art d'être chef. 5e * éd. Paris, Ed. Fleurus, 1953; 80, 215 p. (Coll. «Psychologie et. Education ».) TA 13.743 Pour «réussir» auprès des enfants. Quelques .conseils de pédagogie pra· tique. 13e éd. Paris, Ed. Fleurus, (1938) ; 8°, 150 p. (Coll. «Psychologie et éducation ».) TA 12.829 L'école des Chefs. 2e éd. Paris, Ed. Fleurus, [1951] ; 8°, 124. p. (Coll. «Psychologie ~t Education. 2.) TA 13.744
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Les disciplines d'idéation. Partie 2: Méthodologie de l'histoire. 2e éd. Liège, D. Dessain, 1955 ; 80, 211 p. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 3,2.) TA 13.757/ 3,2
BRENDL, Maria Thoma. Methodik des Hauswirtschaftlichen Unterrichts. Für ·Schulen aller Gattungen. München, Kcise!, (1954) ; 8°, 155 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 7.) N 576/7
Les disciplines d'idéation. Partie 3 : Méthodologie de l'histoire n1l:turelle. Liège, H. Dessain, 1951 ; 80, 241 p. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 3,3.) TA 13.757/3,3
DENZEL, Fel~dinand. Methodik des Erstunterrichts. Grundlegung und Praxis, München, Kosel, (1953); 8°, 327 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 6,) N 576/6
De l'empirisme au raisonnement logique. Méthodologie du calcul. 3e éd. Liège, H. Dessain, 1953; 8°, XII +295 p. fig. (Méthodologie de l'enseignement primaü·e. 2.) TA 13.757/2
DUHR, Joseph. Erziehen eine Kunst. Handbu'ch der praktischen Erziehungslehre. Hrg. von Josef Esterhues. Aus dem Franz. übertragen von Elisabeth Zylkn. Paderboql, F. Schoningh, 1955 ; 8°, 399 S. TA 13S84
Du lan gage spontané à la langue cultivée. Méthodologie de la langue maternelle. 3e éd. Liège, H. Dessain, 1953 ; 8°, XII +257 P. (Méthodologie de l'enseignement primaire. 1.) T~ 13.757/1
EGGERSDORFER, Franz Xaver. Jugendbildung. Allgemeine Theorie des Schulunterrichts. (6. Aufi.) München, Kosel·VerI., (1956) ; 8°, 459 S. TA 13.985
PLAN CHARD, Emile. La pédagogie scolaire contemporaine. Tournai, Paris, Casterman, 1948; 8°, IX+368 p. TA 13.828
ESTERHUES, Josef. Didaktik. Wesen, Aufgaben, Grundzüge und Formen des Unterrichts. 6.* AufI. Paderborn, F. Schoningh, (1953) ; 80, 95 S. PA 7750
PRADEL, H enri. Pour les parents et pour les maîtres. Fontaines-sur-Saône, E. Rob ert, (1941) ; 80, 170 p. TA 13.746
FETTW'Eis, Ewald. Anleitung zum Unterricht in der Raumlehre . .. 2. AufI. Paderborn, F. Schoningh, 1951 ; 8°, 240 S. Abb. TA 13.976
PRADINES, Maurice. Traité de psychologie générale. 2e * éd. Paris, Presses Univ; de France, 1946; 8°, 3 vol. TA 13.543
HAMMER, Anton. Methodik des Naturlehreunterrichts. Physik und Chemie. München, Kosel, (1953) ; 8°, 127 S. Abb. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 5.) N 576/5
SIRONVAL, Alfred. Enseignement religieux au degré primaire. Du vivant concret à la connaissance ... Tournai, Paris, Casterman, 1955 ; 8°, 158 p. TA 13.753 SORRE, Max. Les activités dirigées ... 4e éd. Paris, Bourrelier, (1948) ; 8°, 155 p. TA 13.754 fig. (Cahiers de Pédagogie moderne.) SPENCER, Herbert. L'éducation intellectuelle, morale .e t physique. Trad. de l'an glais par Marcel Guymiot. Paris, Schleicher, 1908 ; 8°, 265 P. (Bibl. de philosophie pratique.) TA 13.413 XIROTIRIS, Elie. Les écoles expérimentales et les progrès de l'éducation. Athènes, Impr. N. Alikiotis, 1956; 80, 299 ' p. (Thèse, Sc. de l'Education, Genève.) TA 13.997 VERINE, [Olga). L'amour des autres. Education de la fraternité. [Paris], Bloud & Gay, (1954) ; 8°, 222 p . (L'Education familiale nouvelle. 9.) TA 13.739 WOLTER, Emile. Analyse expérimentale du travail des écoliers. La psychopédagogie d'Ernest Meumann. Lo~vain, E. Nauwel~erts, Paris, J. Vrin, 1955 ; 8°, 214 p. portr. (Etudes et recherches de pédagogie expérimentale.) TA 13.738
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ABB, Edmund. Lehrbuch der allgemeinen Erziehungs· und Bildungslehrè. Durchgesehen und neu hrg. von Theodor Schwerdt. 2. Aufl. Paderborn, F. Schoningh, (1952) ; 8°, 271 S. TA 13.980
HANSELMANN, H [einrich]. Schwererziehbare. 8°, 56 S. (Unsere Sorgenkinder. 1.)
Glarus, R. Tschudy, 1930; PA 7465
HILLEBRAND, Max Josef. Kind und Sprache. Teil 1 : Grundschulalter. Psycholog'i sche Voraussetzungen des Deutschunterrichtes in der Volksschule. München, Kosel-Verl., (1955) ; 8°, 122 S. (Psychologie der UnterrichtsN 575/4 fa ?her der Volksschule. 4.) KOPP, Ferdinand. Heimatkunde'- München, Kosel, (1952) dungsarbeit der Volksschule. 4.)
8°, 157 S. ' (Die BilN 576/4
KRETSCHMER, Ernst. Korperbau und Charakter. Untersuchungen zum Konstitutionsproblem tilld zur Lehre von den Temperamenten. 20.* Aufl: Berlin, Gottingen, Heidelberg, Springer-Verl., 1951 ; 8°, ' XI +349 S. Abb. Graph. , TA 13.951 Schweizerische L e h r e r z e i t 11, n g. Organ des 101Zürich, 1956 ; 4°.
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Lehrervereins. J g. NB 495
'LOHMUELLER, Johannes. Schule und Berufsberatung. Trier, Paulinus-Verl., PA 7749 (1954) ; 8°, 60 S. (padagogische Nachrichten. 1954, H 1.) LUSSER" Kll.rl E[manuel]. Oeffentliche oder private Erziehung? Radio-Vortrag gehalten ... den 31. Marz 1932 ... (4. AufI.) (St. GalIen, Institut auf dem Rosenberg, 1939) ; 8°, 15 S. PA 7187
ADELMANN, Josef. Methodik des Erdkundeunterrichts. München, Kosel, (1955); 8°, 191 S. (Die Bildungsarbeit der Volksschule. 8.) N 576/ 8
PETER, Rudolf. Grundlegender Unterricht. Zugle-ich eine Einführung in didaktisches Denken überhaupt. Bad Heilbrunn OBB., Klinkhardt, 1954; 8°, 300 S. TA 13.946
ANSCHUETZ, Georg. Psychologie. Grundlagen, Ergebnisse und Probleme der Forschung. Hamburg, R. Meiner, (1953) ; 8°, 586 S. TA 13.960
PETZELT, Alfred. Grundlegung der Erziehung. Freiburg i. Br., Lambertus-Verl., . 1954 ; 8°, 253 s. TA 13.982
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Kindheit - Jugend - Reifezeit. Grulldriss der Phasen psychischer Ent· wicklung. 2. Aufi. Freiburg i. Br., Lambertus.VerI., 1955; 8°, 271 S. TA 13.983
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BLA~CHET, André. Le prêtre dans le , ~oma~ d'aujomd'hui. [Bruges], Desclée de ,Brouwer, (1955) ; 8°, 106 p. (présence chrétienne.)
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STUECKRATH, Fritz. Kind und Raum. ' Psychologische Voraussetzungen der Raumlehre in der Volksschule. München, Kosel-Verl., (1955) 8°, 114 S, Abb. (PsychoI. cler Uriterrichtsfiicher der Volksschule. 1.) ' N 575/1 VON DEN DRI'ESCH, Johannes und Josef Esterhues. Geschichte der Erzi~hung und Bildung. 3. AufI. Paderborn, F. Schoningh, 1953-(1954) ; 8°, 2 Bde. "TA 13.981 WAGNER, Hugo. Piidagogik und Methodik in der Leibeserziehung. F. Schoningh, 1954-1955 ; 8°, 2 Bde, Abb.
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8°, 407 p. TA 13.792
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~ü:hel,
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LA ROCHEFOUCAULD, Edmée de. Paul Valéry; Paris, Ed. Universitaires, N 535/13 (1954) ; 8°, 160 p. portr. (Classiques du 20e siècle. 13.)
WINDISCHER, Hans. Geist und Bildung. Jugendprobleme der Gegenwart. Inn~bruck-Wien-München, Tyrolia-VerI., (1953) ; 8°, 259 S. TA 13.948
LE GENTIL, Georges. Camoëns. L'œuvre épique et lyrique, 'paris, Hatier-Boivin, (1954) ; 8°, 199 p. (Connaissance des Lettres. 39.) ' N 426/39
ZURFLUEH, Hans. Bilder sprechen zu dir. Eine Wegleitung zu künstlerischem Gestalten. Bern, P. Haupt, (1?52) ; 8°, 60 S. Taf. (Hochwiichter-Büch~r,~i. Bd 5.) PA 6967
MARIE, Aristide. Gérard de Nerval, le poète et. l'homme. D'après des manuscrits et nocuments inédits. [PadsJ, Hachette, 1955 ; 8°, XXIV +436 p. pl. portr. . TA 13.570
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