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SIT'J1EN, !DEN 1. JANUAR 1959
ORI ENT A T ION
Der Redaktor wünscht der Leserschaft der WALLISER SCHULE ein frohes und gnadenreiches Neues lahr, wobei dieser Wunsch nicht nur ausgesprochen sei, weil man das, wie aligemein üblich, zum Neuen lahre tut; el' ist vielmehr der Ausdruck herzlicher, aufrichtiger Gesinnung. Wir sind ja in der 1cw'zen Zeit des Bestehens unserer Zeitschrift immer mehr zu einer Gemeinschaft geworden, die miteinander lebt, fühlt und denkt. Das Bewusstsein um dieses geistige Verbundensein soli uns Mut und Freude ins Neue lahr mitgeben, damit wir uns wieder tapfer unserer edlen Erzieheraufgabe widmen und zuversichtlich weiter- und hinarbeiten auf unser christliches Erzieherideal. Mit diesem Wunsch woUen wir den guten Willen zu gegenseitigem Verstiindnis verbinden, das für erspriessliche ZLMammenarbeit unbedingte V oraLMsetzung ~st, und auch die Bitte, der gottliche Kinderfreund moge wvser gemeinsames Bemühen huldvoli segnen.
E. Sch.
8 0 rati~ns ge tJœ~~x à la minute .. Quand nous envoyons nos cartes de vœux, l'ampleur de ce courrier de fin d'année exige que nous fassions un effort sans cesse renouvelé pour sentir, à chaque adresse que nous écrivons, le souhait particulier que nous des binons à chacun, au-delà et au travers de la formule stéréotypée qui en est le symbole. C'est la seule façon de donner un sens, une valeur humaine, et donc un intérêt, à cette pratique traditionnelle. Le rédaoteur est pr,i vé de ce plaisir. Il connaît mal ses .lecteurs anonymes dont il ignore le visage _ intérieur et extérieur - , les préoccupatio11JS, les Ip eines et les joies. Ses vœux seront, malgré lui, nécessairement très vagues. .Jl sera même contraint de les confier à la rotative qui les distribuera en rations bien me-s urées, avec la froide rég-u larité d'une bonne machine. Que cette banale opposition entre la machine et l'homme serve au moins, en ce début d'année, à rajeunir en nouS cette conscience de notre valeur unique, c011JSta;mment renouvelée au gré des rencontres et des circonstances; qu'elle nous invite à développer toujours mieux, en nous et en ceux qui nous sont confiés, la vie de l'esprit, si gravement menacée par notre civilisation de robots. Quels que soient les é'vénements, cette garantie de notre vie intérieure fera la réLMsite de cette nouvelle année.
M. V.
UN LANGAGE MUET Au début de janvier, les auteurs de méditations nous pro posent souvent pour modèle la Sainte Famille de Nazareth. Ils nous disent qu'elle vivait unie, «sans histoires », discrètement charitable parmi les autres habitants de la bourgade. M ais ce silence extérieur, cette discrétion et cette paix .procédaient, n'en doutons pas, du silence qui baignait -l'âme de chacun. Il est certain qu'un tel état de sérénité dépend de la nature de chacun, car tous ne sentent pas également la valeur et l'importance de cette paix intérieure. Elle devrait pourtant se cultiver, moins par théories que par expérience vécue. La condition indispensable est une ambiance de sérénité, un climat de silence et de tranquillité. Il ne s'agit pas, certes, d'un silence purement négatif, d'une simple absence de préoccupations. Il s'agit d'un climat positif, actif, dans lequel les échanges entre les personnes humaines se font plus directement que par le truchement d'un langage précis. Voilà bien une des expériences primordiales que la famille, première cellule sociale, devrait procurer à ses
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membres, car l' ambiance agitée dans laquelle nous «vivons» favorise peu ce climat de silence. Seule la famille peut échap pel', du moins pŒrtiellement, à cette marée du bruit. Cela suppose une attention particulière, une recherche consciente de cette source de vie : savoir interrom, pre les flots de la radio, ce « robinet à musique» dont parle un de nos collaborateurs ; éviter les bruits inutiles, les portes claquées, les cris superflus: essayer même, si les exigences intérieures de chacun le perl1tettent, de ménager dans l'existence quotidienne des moments de silence, le matin ou le soir. Et l'on sera swpris de constater combien cette privation apparente des échanges entre les personnes renforce au contraire leur union et les rapproche dans leur commun effort vers une vie plus intense. A condition, bien sûr, ici comme ailleurs, de ne pas oublier que cette éducation du silence n'est pas un but en soi, mais un moyen indispensable à l'unité intérieure de la personne, une source d'enrichissement pour chacun, un gage de stabilité pour la farnille elle-même. JtJ. V.
Erziehung zur Sparsamkeit Johann BLOETZER, Pfarr-Rektor
L'économie est une vertu morale qui veille à !a jwste con~servation. e~ à l'us~ge m?~éré d~s biens de ce monde, ces biens subordonnés à l homme et a sa destuwe denuere. ~ eC01!Omte est un résultat de la culture morale et la base de la vie économique et du progres SOCLa.I .. J~ ce titre, elle est un des buts de l'éducation et l'école doit en prendre sa part de res']Jo~lsabl!lte. Bien organiser son budget, se montrer économe en toutes choses, est u~te conduIte. dLgne d'un être humain. Les enfants et les jeunes gens doivent partout. et touJo~Lrs receVOLr une éducation qui puisse développer cette vertu en eux. L'école cultwe, c?nsctemme:",t et CL'vet méthode, ce qui a été commencé dans la famille, grâce à l'exemple du maLtre et de l ed~Lc.ate,-!,~·, et encore grâce à la vie communautaire de la classe. La langue maternell~, le calcu~, l hL~toLl e offrent de fréquentes occasions d'introduire ce thème. Nous devons d'aûleurs. tenu' presente cette idée d'une juste économie dans toutes le's branches du programme. ~L nous demandons à nos jeunes comment, où et quand nous pmwons nmLS montr:1: econome~, nous serons étonnés des trouvailles de leur imagination et de leurs proposltwns concretes.
Man spricht zu Recht vom Geiz ais scheusslichem laster und von der Sparsamkeit ais sittlicher Tugend. Z'War speichert auch der Sparsame wirtschaftliche Güter auf durch Unterlassung ihres gegenwéirtigen Gebrauchs, éihnlich wiel der Geizige. Aber er tut es massvoller und aus ganz anderer Einsicht und Voroussicht. Er sieht den rechten Werl der éiussern Güter, die er ab Gaben Gottes schéitzt, und zwar in rechter Ordnung : nicht zu sehr und nicht zu wenig. Unci er spart nicht aus Begierde nach Besitz, sondern weil er für spéiter eine bessere Verwendungsinoglichke'it sieht. Gewo'hnheitsméissige Sparsamkeit ist also eine wahre sittliche Tu-
gend, die mithilft, den Menschen in rechte Ordnung zum Besitz zu stellen und diesen si ch und seiner ,ses,timmung unterzuordnen. Sparsarnrkeit kann auch für den Reichen eine Tugend sein, weil sie ihn vor nutzloser Verschwendungssucht und sündhaftem luxus, aber auch vor Müssiggang bewahrt. VVahre Sparsamkeit kann nur Ergebnis hoher, sinlicher Kultur sein. Sie ist aber ouch Grundlage aller wirtsc-haftlichen Kultur und des sozialen tortschrittes. Daher auch e:in überaus wichtiges Ziel der Erziehung, die schon in früher Jugend einsetzen muss, damit sie zur guten Gewohnheit und zur Tugend werde. Dafür ist auch die
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Schule mitverantwortlich, und wir wollen nun versuchen, mit praktische:n Béispielen und Vorschlëigen zu erldéiren, wie die Schule sich in Erziehung zur Sparsamkeit - gleichsinnig mit der Familie - einschalten kann. Von ieher haben ia die Menschen gespart, gehorte.t und Nahrungsmittel für den Winter in ihren Hohlen zusammengetragen : Von den Indianern wird erzêihlt, dass sie das Fleisc:h erlegter Tiere übers Feuer hëingten, um es durch den Rauch ht1ltbar zu machen. Die Eskimos sollen heufe noch ihre Vorréite in Schnee und Eis vergraben, und die Wüsten-Beduinen trocknen die Datteln. So haben Menschen a uch schon frühzeitig, ais die Geldmünze erfunden war, diese sicher anzulegen versuc'ht. Durch Ausgrabungen in Kleinas,ien hat man Kenntnis von den schon verziert'en Sparhüchsen der Assyrer, 'also schon tausend Jahre vor Chris,tus ! Spéiter stosst man in der Geschichte auf Spartopfe, ouf Geldtruhen, auf Sparstrümpfe, die unter dem Strohsack sorgsam a,ufbewahrt wurden. Wéihrend des Mittelalters gab es schon recht tüchtige Finanzleu'te und seit zweihundert Jahren kennen wir nun ,die sog. Sparkassen. Diese geschichtliche Erwahnung beweist die Gültigkeit des Wortes von Bundespréisident Heuss, da ~ er in seiner Rede zum Welts,p artag 1952 aUSa sprach : « Sparsam sein ist eine mens chi i che Haltung !» Das heisst gena uer und ausführlicher: Sparsam sein ist nkht in erster Unie eine volkswirtsc haftlich~ Funldion, die Kapital bildet, grosse Unternehmui1Jgen ermoglicht, Investierungen gestattet und Zinsen -121 -
bringt. Sparsam sein ist mehr: Sparsam ist ein Kind nicht nur, wenn es Zehner um Zehner in die Sparbüchse wirft, wenn der Schüler Sparmarken klebt oder wenn wir Erwachsene mit dem Sparbuch zur Sparkasse gehen, sparsam sind wir vielmehr und im ursprün'glichen Sinn des Wortes, wenn wir mit Wéische, Kleidern und Schuhen, mit Einrichtungen des privaien Haushalts und der Offentlichkeit a c h t sam u m 9 e h e n, wenn wir nichts, vor allem auch an Nahrungsund Genussmitteln, wegwerfen oder verrkommen lassen. S'parsam sind wir ebenso, wenn wir mit unsern Kréiften und Fëihigkeiten haushalten, wenn wir uns und unsem Mitmenschen alles nicht unbedingt Notwendige an Kummer und :t(rger, Sorgeund leid, Storungen und Geréiuschen bei lag und Nacht ers par en. Sparsam sind wir, wenn wir unsere ganze' tebensführung in einem unsern personlichen Verhéiltnissen, unserm Volk und unserer Zeit geméissen Rahmen halten. Sparsam sind wir, wenn wir Personenund Sachgüter recht verwalten aIs Treuhéinder dessen, der sie in unsere Héinde legte, wenn wir den sachgeméissen ,Gebrauch davon machen, wenn wir immer und überall den richtigen Massstab anlegen und 'hauszuhalten verstehen. Richtig wirtsc,haften lin allem und überall heisst sparsam sein ais eine dem Menschen gemëisse Halltung. Eine « dem Menschen geméisse Haltung» rnruss erzoge!n werden. Und weil richtig wirtschaften, - sparsam sein - gerade in seiner Wirkung auf den Menschen eine der stéirksten er-
zieherischen Méichte darstellt, ist die Sparsamkeit für sich, für die Familie und für die A-Ilgemeinheit eines der vordringlichsten Teilziele der Erziehung. Wie kann dies in der Schule geschehen? Sicher aile sind der Ansicht, dass man duroh Darstellung von Bildungsgütern in den einzelnen Unterrichtsféichern einen Menschen formen kann. Schon ausserhalb der Schule kommt das einzelne Menschenkind in Berührung mit Dingen, Personen, Gemeinschaften, mit Vorgéingen und Verhéiltnissen, die infolge starker Wechselwirkung von Ich- und Umwelt zu formenden Geschehen manoherlei Art führen. Dieses formende Geschehen bewusst zu kultivieren, gehort zu den wesentlichen Aufgaben der Schule. Die B.erührungsmoglichkeiten mit dem leb~n sind: die bildende Wirkung durch den Unterricht, ,die Formung durch die Qualitéiten der Erzieher- und lehrerpersonlichkeit und drittens die Angleichung an das Ethos der Schülergemeinsch.aft und ihrer formenden Wirkung: lm Alltag des Schullebens. Durch Arbeitspflichten un,d Aufgab~n wird . in einer Klasse aus den viele.n « Ich» das « Wir » • . Schüler sprechen oft mit Hochachtung von i h r e r Klasse. Alles, was in i'hr geschieht, hat formend~ Wirkung au·f den Einzelnen, die wieder zurückstrahlt in die G~ meinschaft. Eine Klasse, die sich verantwortlich fühlt, wird z. B. mit allen Gegenstanden und Einrichtungen i h r e s 1<lassenzimmers achtsam um-
gehen. Wenn der lehrer oder ,die lehrerin es dazu noch versteht, das « Wir» zu pflegen und, zu 'kultivieren, dànn wird ieder einzelne Schüler stolz sein auf « unser Klassenzimmer », auf die Ausschmückung des Klasse.nraumes, damit eine wirkliche Wohnstube daraus wird. Der tehrer unterstützt sehr das Gemeinschaftsgefühl, wenn er betont, die 9 a n z e KI a s s e schreibt schoner; ich kann uns e re Klasse auch einmal fünf Minuten aUein lassen; w i r helfen einander usw. ln einer solchen Atmosphéire wird dann auch auf Kle'ines und Kleinstes geachtet, wird behutsam und sparsam mit- der Tinte, mit der Tafelkreide, mit den Fensterscheiben, mit den le·hrmitteln, mit den von ,d er Ge'meinde zur VerFügung gestellten Unterrichtsbüchern umgegangen. Brot- und Obstüberreste füllen nic,ht den Papierkorb. Aus sol cher Lebensgemeinschaft gehen sicher wirksamste Impulse aus, und solches Verhalten wird sicher durch die -Héiufigkeit des Tuns, durc,h eine gute Motivierung noch. unterstrichen und verstéindlich gemacht, zu einer Gewohnheit. lm Deutsch-Unterricht : ln den einze,lnen Unterrichtsfachern soli eine formende Wirkung von dem dargestellten und d'a rgebotenen lehrgut ausgehen. Der Deutsch-Unterrioht bietet in allen Schulgattungen und in all~n Alterstufen eine besonc;lers gute Gelegenheit, zu echtem Wirtschaften und Sparen zu erziehen.
lm mutters.prachlichen Unterricht ko nnen Wortfamilien zusammengestellt werden wie sparen, Sparmarken, Ersparnisse, Spargeld, absparen, spéirlich usw. Das Wortfeld wird immer wieder erweitert : sparen, haushalten, a nlegen, verzinsen, achtsam sein schonen, sammeln, horten, aber auch ihr Gegenteil : verschwenden, vergeuden, verkommen lassen. Spéiter kcmn die Wortetymologie manche Anregung geben, ebenso sprachgeschichtliche Exkurs,ionen, Sammeln von Sprüchen im Volksmund, von Beispielen aus der iliteratur usw. Und warum sollte nicht a·uch einmal beim Diktat der Stoff aus dem Gebiet des Sparens genommen werden ? lm Rechen-Unterricht: Wirtschaften und Sparen haben engste Beziehungen zu Zahlen. Sparen léisst sich ia wesentlich 'a n Zahlen beleuchten. Bereits auf der Unterstu·fe sind die Kleinen empféinglich für den Umgang mit Geld. Wie heben wir unser Geld gut auf ? Wie konnen wir es vermehren ? Wenn du wochentlich zehn oder fünfzig Rappen in die Sparbüchse wirfst, dann ergibt das bis Weihnachten, bis Ostern, bis zu den SommerFerien ? Wie ist zu erreicheh, dass ich zu einem bestimmten Datum über einen bestimmten Betrag verfügen kann ? Auf der Oberstufe kommt die Zeit für die Zinsrechnungen oder für die Themen : « Spargeld wéichst », «Ein Franken wandert» und «Spargeld in der Wirtschaft ». lm wirl'scha,fts- und sozialkundlichen Unterricht : Die Unterrichtsfëcher konnen ia an dem Problem des Wirtschaftens und -123 -
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Sparens nicht vorbeigehen. Hier werden der J'ugend die Entwicklung und die Prinzipien der Wirtschaft im !deinen bis zur Wirtscheift in der Gemeinde, im Kanton und ,im ganzen land deutlich vor Augen geführt. Notwendig ist nur, dass so allgemeine Grundsatze an Gegebenheiten . des Alltags oder an anschaulich gemachten Vorgéingen in Geschichte und im Ausland wirklich veranschaulioht und zum Erlebnis gebracht werden. Je mehr iunge leute spüren, dass es sich ihre ureigenste Angelegenheit, um i h r leben um i h re Existenz, i h re n Kredit, i h; Berufs- und lebensziel handelt, um so mehr werden sie interessiert aufhorchen und wirklich bei der Sache sein. Einige T,hemen seien nur angedeutet: der Familienhaushalt, der kommunale Haushalt, das Sozialprodukt, lohn und Preis, Kreislauf des Geldes ' Wahrungsfragen usw. ln übrigen Féichern des Unterrichts: Niemand wird daran denken, aus der Erziehung zur Sparsamkeit ein eigenes Unterrichtsfach zu machen. Sie scheint nur hin und wieder bei sachliohen Gelegenheiten etwas durch. Hier nur ain ,paar ganz kurze H'inweise. lm heimatlichen Unterricht liegen die Beziehungen auf der Hand: wie die Kirche, das Schu,lhaus usw. gebaut wurden, wie ihre Finanzierung zustan,de kam. lm Biologie-Unterricht reiz.t die Behandlung der Biéne, des Hamste.rs, des Eichhornchens und anderer vorsorgender Tiere besonders zu Analogien.
ln der Men'schenkunde wird man bei der Behandlung des lebensrhythmus, der Vorsorge und der menschlichen Kraft leicht die Brücke schlagen konnen zu unserm Thema. ln hauswirtschafHichen Stunden wird der sparsame Einkauf, d,ie richtige Verwendu'ng, das Haushalten bis zur Resteverwertung immer wieder besprochen werden konnen. lm Physik- und Chemie-Un~erricht kommt ohne weiteres die Sprache auf Energieersparnis, Zeitersparnis, restlose Verwertung und Auswertung. Nicht zuletzt werden die lebenskundliche Stunde, die Ausspra'chestunde oder auch die Vo'rlesestunde am Samstag für gutes 'Arbeiten der Klasse wëihrend der Woche besonders geeignet sein, unser Thema auch einmal vorzuschlagen. Des Interesses darf man bei der Jugend sicher se'in. Sehr aufschlussreich ist noch, wenn wir abschliessend erfahren, was Schü1er selber über das Sparen denken. Dies hat ein Schülerwettbewerb gezeigt, der 1955 durchgeführt wurde und dessen Aufgabe lautete: «Wo haben wir noc,h Moglichl<eiten zum Sparen ?}) Eine kleine Auswa,hl der Aritworten aus dem umfangreic,hen Stoff soli, nach bestimmten leitgedanken geordnet, folgen : Fremdes Eigen~um: Hëiuser nicht bemalen. Keine Fenster einwerfen. Nicht über eingesëite . ~cker laufen. Obstbéiume in Ruhe lassen ... Offentliches Eigenfum: Strassenlampen nichl einwerfen. Post, Eisenba,hn usw. nicht beschëidigen. Keinen Wald-124 -
frevel begehen. Waldbrande verhüten ... Die Sc'hule : Die Bücher in Ordnung halten und schonen. Stühle und Bëinke nicht verschmieren und zerkratzen. BiIder nicht zerreissen. Bleistifte nicht fallen lassen, damit die Minen nichi abbrechen. Die Tinte verschliessen, damit sie nicht eintrocknet und nic,ht verschmutzt. Nicht zu weit auseinanderschreiben, um Raum zu sparen in den Heften. Kre.idereste verbrauchen. ln der Pause Brot essen, staft" Süssigkeiten. Kein Brot, kein Obst wegwerfen ... Energien im Ha'u shalt: Radio nicht so lange laufen lassen. Keine zu starken Birnen verwenden. Wasser nicht unnotig laufen lassen ... . Schonung von KI'eidungsstücken: Zum Fussballspielen Fussballschuhe anziehen. Nach der Schule umzie,hen, ëiltere Kleider anziehen. Mit den Schuhen nicht Steine stossen. Keine Nëigel in die Tasche stecken. Seife nicht im Wasser liegen lassen ... Lebensmittel und Küche : Kein Brot wegwerfen. Ke·ine dicken Kartoffeloder Obstschalen machen. Kein frisches Brot essen ... Vorsor9'e treffen: Zëihne putzen, damit man nicht so früh zum Zahnarzt gehen muss. Sie nicht durch Süssi[keiten verderben. Sch'uhe pflegen, damit das leder nioht brüchtig wird. Türen nicht zuschlagen, das schadet der Türe und dem Verputz ... Weitere überlegungen wurden noch gemacht betreffs Auswahl der Geschëiftslëiden, Umgang mit Bargeld, Vergnügungen und kulturellen Bedürfnissen, betreffs Eigenleistungen usw.
Man muss wirklich staunen über die Erfindungsgabe, die gute Be.o bachtu ng und die zeitnahen Vorschlëige, die diese Jugend von heute bes'itzt. Kommen wir diesem zutiefst menschlichem Drang nach Sparsamkeit nach, und si-
La joie
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cher wird richtige Erziehung iJhd Gewohnung an Sparsamsein zu einem HerzsfÜck der Personlichkeits- und Gemeinschafiserziehung und den Ein zelnen und das Volk innerlich und ëiusserlich wahrhaft frei machen.
l'école par le disque
J'o'c ques DUBOSSON, profe'sseur, ' Genève
Die Schallplatte wird in den Schulen immer lnehr Verwendung finden. Fonnung der Personlichkeit, notwendige Erziehung zu guter Horaufmerksmnkeit im Zeitalter der « Gerihvschkulissen ». die leichte Verwendbarkeit elektrischer Tongêriite in der Schule und nicht mehr so hohe Anschaffungspreise verlocken .je liinger desto mehr zur Einführung der Schallplatte in den Schulraum. Die Schallplatte hat dem Radio manches voraus : man ist nicht so gebunden an Sendezeit und Stoff ; man kann selber wiihlen. Sodann werden heute zu den Sc1uû-Schallplatten Kommentare ausgearbeitet, die dem Le/u'er die V orbereitung des Untel" richtes mit Schallplatten sehr erleichtem. Besonders gute Dielvste kann die SchÇl.llplatte für die musikalbsche Bildung des Schulkindes leisten. Aber auch die rhythmischen Übungen kann sie fordent. Eine «vorbildliche» Lernhilfe ist sie für die sonst so stiefmütterlich behandelte V ortrags- und Sprecherziehung in der Schule. Aber auch die andern Schulfiichl}r, z. B. die n,aturwissenschaftlichen, sind auf die sem Wege manchmal leichter Z ll behan.deln.
Et voi,l à ! (les rtl,oils ,dernie1's n'lOts de Inon titre In'ülllt If'Mt 'p erche, assuceux, l'émient, 'qlllelqu1es le:cteurs parr eXieuupiLe, qui ~enseifllt qruë 'l 'écoie est un endroit s'é âeux. Ou ,ceux 'P our lesquels ie ,disque ne Ir ep'rés'enlt'e qu'rune oocasion 'S'l1'pplénren1Jai11e Ic~e ,cHsp'ersio~ ou, rtJoUlt au plus, une a:Îin:l'able f anrIJaisie pour (}e:s tt!lûiJnl~S j\O'1lJl"S d'éoQlle 'alVlanJt ~es Vla'o ances! - . Eif pOUIlitant, j"au'11ais ia,ilIné . cOillVlainGre heaUlÇloup de: !J.llI~ 'c ollègues . que Je di,s que est un m'el1veilliJJeux ilIlstlmlIll'ent -
ete tr,a!V,a,i l, ,soJUJp[e et ,dÎlv:er,s, souvent fiait sur mesure 'pOUir VlallOiriser une aJOOiiViifé; instrurment qu'd.rl n"est ni ut O'pŒ qll'e , ni 'lnêlne difficiJlre ,d'introduilr e I(lan:s la dasse. Sans pll,ét:endre, en ces queil:ques p-ages, t14aitteJr à fond le pTohilème pèd,agogiqœe et did.a'cit'ique de reim plloi de ee moy,e n d'enselÏgnement, je m'laif1Ja'C!hm·,ai bl'e n p~'lltô1:, paT J'a préS'entt:aJtion de qll'e~C[lUes ar~um;ents et S'lllitJo~it par ,des e~tm1lp~e:s :r ~l,atlartllt des exrp"é1,ie;nces Ipilrus ou moins ,r éussie:s, 125---:.
à Ip'l'ÛU'\"ill' lque (lie ,d i's que a .drüit à une 'p l,a'a e légi't ime à J'écooe. ViOlÏJci tüUlt Id 'Ia hülid d-es largunnents psytohOilügtiques : La lDusique est , e~S!en:tilell!emel1!t une expr11BsS'rÜn et un Jrangage. Eilille s'adresse à nütre inteiUiglEm'ce !et ,à nütre sensibhlité, lIll!ails peut-êltl~e p~us tenCüre à no1Jre 'aJffe:otilVité. 01', ,depu:ÏJs ullle généa.~atiün enviI~ün, J'école la tendance à se p:l1éoocuper ,de l':ilntégl~a1tiün affective de ~'leIllIf,ant Id aus le g'l 'üupe, à acoorder iLa p~'imauté de Is ün effoo:t à dia fü~'matiün de ~a pel'lSünnal1ité de l"enfla nt le t là l'éprunüuisseJ.mIe!Ilt de s'es pOUJVüirs, sans pü'Ul' 10eJla négligeJl' l'acqui:s itiün Id e lSalVüirs, d'une incüntestable utilité. Pour :parvenir à sün brut, l'école, et tüultJe la péld'a:gogie cüillItem.povaine Ie([l fiailt foi, coonplte et s"alppme ,de p~us en plus S'ill' tl'a psyohülügie .de l' entf ant. On peut di[l'e que l'emplüi ' du disque IdMIS 1es te-chniques d'enseignement BS!t le prülüngement nartuœil. de ['Iappl,i oaüün des m&thüdles ll'ÜUiVlelUes. Alutre largument: depuis plus d'un qua1'lt Id e sièole, lia 11.1a1diü la ,p énétré, et même, à certJains é~ards, eD!vaihi nOitre exi,ste.nJce quotJ~dienne - en aittJecn:dianlt [le t'OUJr de la télévisiün. Avec la 1IIadiû, lia mUSÏJqwe s'est emp'rurée de 11Iüs viles. JIl f,auldl,a'Îlt même dire «les mu~ÎJqwBS» si ~'ûn veut bien admettl'le qu'hl y ,a la musique qui nûus ,réCtrée 'Ou qui -enrichit nOllJre vie intértieuœ, et l'a musique... qulÎ est destinée alVanIt roUIt à épooUIVeT lia soJidirté de nütre système nerveux! En urn quart de siècle ulJl:e élduloartiûn des atUdilt'eurs d-ev11ait s'êtlie f,aillte. J'éorti.s « dew'ait » par:ce que, à en juger parr
les échos que l'éJcoile reCJUei1il.e de ['écoute Il'aJ~'OpihülIlique au fûyer, :hl f,aut bien adm'elttl~e qu'<iiL ~œsrte encüre des pl'ogrès là 'l'éailis'el', s'jiLg tp:etUvent l'être. Or, [e diS'qtœ pieU/t êltlre un excellelllrt 'antti:dotte. IE n effet, intdligemment emJp~0Y'é à l'Ié oüle, ilI. peurt, ûutre sa Vlertu éldU!0at1 Vie eIt ouhureJl!1Je, assumer urn :l'ÔIle sodall : Il'èap'p1''enldre à l'enf'a nt à écouter, là ,c ümpœt'er, donc à flO:ral1!er lSon jlUgement eIt à ,o ümbattre ~e tl'ülbtiJ1let à \lllJuS'ÏJque qu'est dey,BIlIUIe, tl'Oip 'Süuvent héll,as, !la rald iü f,amiE!ale. Et \cehle"lci ,cesS'el'a ,d'êtve un ,f1léau püur redievtenir une magie", TI11oi's ième a11gument: là .J'lUsine, tau bur:eau, à la ferme, des lTIlaJchilIlielS ingénieuses Is ont venues IcümpLérteT ou talchltirtel' l"actiiV'Ïrté de l'honune. Pourqu'üi ~'électTûpihüne, voire même le maJgnétJOplh üne ,d ünt il fiarrudr,a bien présle nter urne fois Il es 'alVan1Jages qu'il a;ppOl:te là son It our en :cilJrus'sle, ne viendroit-il pas a~derI' [e maîtll1e à l'endTe une leçolIl Ip[U\S WV ante , plus cümpllè'tJe, plus laJotUlellile? Nüs élèves, mêtme jeUllles, süm 'l'econnaiss!anl1Js et fiea."s dev,ant ~leUors ,camaI1ade.s d'autt'l"es clla'sse:s de ,pta'l,ler dres enregùstl~em'enrts entendUlS, an ail ysés, güûrtélS. iIlls S'etllftJent le Tooe de liraisün ,que [e tolUrl'!lle~diStqule r,epil"œenrr:e symbüll:Ï!quemenrt le ntre ie mi:Heu ,de['école et 'c elui de [la flamiJlle, ent'11e l'éduoartœün 00 1 eur iÏnwHilg ence et cei1.ile de \LeUT sens:iJbiil.ité esthétique que !tente J'écoil:e. Quatrièm'e la'l'gume1llt, pb éoünomilq ue et soci,aJl : TI paraît légitime, -après les il'aÎsüns psychülügiques, de discuter le prüblème de l'équipement et ses incideuoos finanoièa."eB puisque c'est ~à un Id es
a11g111rnenrts 'Séllreux utill'ilsés par ~es ad'Vle'11sai,r es Id.e fremlpJtO'Ï. du disque. Je r,épo:nd11ai d'lalhOll,d que ce n'le st pas un vélitJatblLe arguml'enlt, mais qu'il est mllancé püur oalmüUifWm' lI a quiétude prO'fe:s siünnel,l e, ou Jla c11aiUltJe du n'Ouveau. De plus ce n'est pas un prüblème !très i.m'p'Ol1'tanrt. Si ~'ün me demandait CümllneIllt P11üc&del', Je rbpündl~al is Iqu'H y a miliJre et lUne m la nières de f'aire . D'ahOI'd ~,a pll us simpJ.e : ün urtiJise sün prüpœappaœil si l'ün habite Ja mla~sün Id'écoile. S'hl .fla ut lacheter un éleCttJrOlphûne, ün peuIl, au .drébutt, IlüiliS'er lIe hautpal'leur du pO'ste Idte :l,a;ditO 6t là eUlCüTe la Idépense 'est ,d e peu d'impüli1;tance : une Iseptan1Jaiille Id e f!l'runcs IpûUlr un bün apprar-eill. Si ['tOn !tient ,à püsséder deux aplp arehls Id i's tinots, il faut o()([l];p.ter de Idleux à trüis 'c ents :fil'alJ1cs. (J "ai mê'm e vu Técenlrment IUn nouvel apprarei~ d!e qlUJaHté pOfUJr mûins ,de dieux oents d'Il',a n0s). Ohaque f ûi's que j'ai cru néoessair,e Id"aJcquéluT un moyen éducartif qui me pa:1JaissaÏt de VlaJleIWr pOUir la dasse (muilttioOlpieu.l', Ï'illprimlell'ie scOl1aire, é.q u~lpmIl'ent pûlUr ~eIS tl'avaux manu'ell:s, magnétOlphülIle pmr e:x;mnplLe) j'la i 'c herché aViec mes éIlèvles à ra:ssffiIl!hler ,envÎlrün la mûitié du montant de la f.aoture à 'VlenÏJI' ; nülUrS la'Vlûns rtrüU!vé de f al'gen'l: p la r urn milIl!aSsalg e 'd e paJpÎler, par dia ré'dlaotlÎlü n d'un Ipetirt IjüUil.'!llM, par t}a Icünfie'ctilOn d'lübj1eitls Iffil cartün, en l1aphia, en osier, pal' l''O,rganiISiartJ~on d'une il:ütel\i:e, par la 'JtOloat'Ïün Idles Ib r,a:s [es p 'l us 1'0'bUlSiIles - ceux du maÎ1:I1:e y 'c ûmplüs - ,c hez un paysan coonpTélh:ensif; d'iaultres ftOis eIllICüre pair 1''O'l1g.anÏJstarti'OlIl
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d'une matinée scoiLaire : prüdu'o tiüns œes entan.ts, 'o u ,chanrts a.ccümpagnant un d'ill m l'ü,uré là lLa Oent11all e .d1U film à Beu.'[1le et ohaque floos rrrüfUiS aVIons reÇIU ~'ra1p'P'ui financier relt m0I1al d:es plarents et prat!: vüie de cünséqu'en!ce omui des laurtrolutés munilcÎlparl.es et scolaires. Reste l1e 'p roblème de ['laJdhat des clirsques. ,L à enOü11e, la ,dépense ne s'e mlb\le pas oüns~dé11able püUlr une cOJlTIImune préü'ooulp ée du bien des enflants, Si j',a'V1aÎlS à fixel' un chiHre, cent fl'a.Jl1OS Ip ar la n m 'e semhlel'aile nt déjlà très Întére:ssaJIllts. li ne faUJt p las ouhHeu.' que .}',inflUJence béné.fique de l' é:dlUlo atiÜ'lldu ,s ens Id u beau se pro.longe hürs IdlU c'aclre de la classe. P'Ourquüi ne pa,s Ip révüir l'eluploi d'un éIlectrülJnüne au ser:vÎ'ce :des jeunes pendant leurs loosm',s ? li existe bien un peu partüut une ,b i,bliO!thèqu:e cü'lumlU'Ilale üu parûissila le. Une autre S'OIlultiün mél'ime'l'ait une étude a1:Jtentirve : Au lieu d'Iarcheter tüus [es ,dàS'qu~s, ne püuTl'ait-ûn enrvilS'ager ILa 'Ol·éartiün d'urrre discüthèque entre pJusierurs dasses 'Ou écOl1es? III eXIÎste bien un musée S'oülLaiœ üÙ r ün peut se Pil·Ücurel' , dilaipüs~rtiv.es, trabil.'eJaux murlaJUx; une cent'l1alle !du f<iiLm ÜÙ l' ûn p 'e ut lüUle!r Id e,s fill m's. P'Üurquüi p!alS une dis oothèque arec ,s enni'ce ,cIre prêt? li lc101Îtt 'ê t'r.e püssible, en HailS'ün avec h \d irectiün oanrtüna[e Idle 'l"ens'e ignement, de 'oréeT une cüOipél'arbive püUl' é'1luJdier ce 'I n1oblème. Reste mminlten,a nt à Icliscute{l' Il'e Ip rüMème pé:dlagü'gi'q ue !prüprement .dit. Je pense qure d'eS éléments les pilJus inttéress'anJfJs à discuter sont les suiVlaJIlrts :
T'Out d',a bord les av-antages du disque, ses possihillités d'utilisraJtÎ'On; pU\Îs la di:cbctlÎ.'Cfue à élarb orer p'Our que~ <JUles ty'p es .de ,disques ; il flaJU:ch'a par.r1er encore du choix des disques à taJÏ:r e entendTe ·a ux en~alJ1i'ts sui vi de qUeJlques exe(JJ:lIp~e:s que j'espère Slti:rnJUiliants 'e t enfin nlppeler, en c'Onclusi'On, Joa va~eu:r édUJoartiv-e et ouiltul'elle du disque à 1 'ée'Ole.
Quelques avantages du disque. L'empl'Oi du disque eSit multiple et permet une .grande s'Oup[esse, une
g'l 'ande adaprtartÏJ'On. P la'l"lnÎ ses qualités, J.'elev'Ons sa disp'Onibilité : au m'Ornent et ·dra ns les conditi'Ons particuiJ.!i.ères lies plus pll'Ü'fÎll:Ja.b~e;s, il est P'l'êrt à l'empil'Oi. li pe'l'1n~ les l'épétit!Ï.'Ons s'Oit p'Oill1' Il e 'pilails ir d'écourtreT, s'Oit p'OUir les néoessités Id e l'enseignement. Il esrt fti,dèle 'e n 'c e sens que J'éduoateur sait ce 'qu'il ,c'Onrtient et pe'Ult c'OU'lpter SUl' la partie qui ~'intéresse 'Ou SUIl' ilra t'Otalité de ~'enregi,st.'rement. III c'OrnpIète et iSuppiLanrte même l'a J.1aclio. Sans v,'O~'O·j,r juger le t crilti'q uer ~es émiÎssi'Onrs l'adi'O-scoiLaiTes, en eiI.il:esmê:rll'es s'Olu vent intéress'aIlltes, i~ est b:eaU!c'OlU!p pJus s'Oi(]tp~'e. !La ll.',a,di'O fixe son he!ll'œ, mênle Is i le :plX>'gl'anlffie s'ooo,ai,r edemande un déiJ.·ari. Elle donne ~'éiIniiSSiiÜ'n une foisp'Our !t'Outes, s·ans p'Ossibilité de s'Ia!l'J,'êltelr , de discuter, ,de 'l.'eprenJdI,e, de Q'èenrtendre. Le disque ne remrpl1ace J.'Ïen ni peTs'Onne, mais il 'aprportJe un Mément rinf'O'l~la:teur 'Clans le dotmaine s'On'Ore d'Ont le l'Me est û'OmpaT,able ,à celui de riiJ.1lage dans Je dOllliaine visuet li est juste de pail"ler ·aiUSsi ,des Hmites du disque. Le premier p'Oint qu'il -
flaUit dis.cu1:'ea.' par,aît êtJre l' 'ObjelCJtJion f'Ond,a:m enltla le qu'IOn enrtlend al,ticull:er par les 'advBllisaÎlies du disque: ce nl!'Oyen Id 'en:se:ÎJgnement n'est pas utilli8'ah~e à l'éc'Ole srpéci'all ement plU~oSqu'rÎ.[ supiplime le c'Ontact de r exé'cutant alViec l'/audi'tJeur. Je 'p ense que cet rurguIm ent p'Ose Sitlllrpilement un {'a ux PT'Ob'l ème : le Ir empJacemenrt de l'exécutanrt pral' Je Id isque. Mais je cr 'Ois que, flaute de m'Oyens 'c'Ompaetrs te/liS que 1''01ioh'esrtre 'Ou 11"aJl~ilslte qualirfli é, le cl!isque permet toute de même un contact bénéfique arvec des œuv,r es inc'Omprwl'a'b les et que, vu S'OUS cet an gll e, le rôile du ld isque est légirtime v'Oi,r:e même Ïl~l'ern.pi1aç, able. Pral' le disque, il' édUJcarteul' est à mê'm e de préparea.', d'une mamèTe l·ema;rquable (en p.aT1t'ÏJculier p'ail' ,des écoutes sucCiessiVIeS prép,aTèes il11inl\lJtieusement), }',aJUJdliti'On qUlÎ S'e l)a d'Onnée plaa.' 1''0[1.'ohestre 'Ou le s'O'lÏste réeil.s. P lat' le disqu.:e, je puis f'OmneJ.' ,l e g'Oût, le jugemenrt de ~'aUiditeU'r, 'ÜréeT en (Lui une attitUide (l.~éceptive infinlÎlm ent sup'él"ieure ,à Ic'eliLe quri c'Onsiste~:-a à éc'Outer une œuvre de brut le n blanc, alU millielll d'une f'Oull e p'Our le moiÎ!lls hétér'Ogène. Si 1"'On veut cl'Onc bien v'Oir -en 'l ui ce qq':hl. est IréeiliJ.telnent: un eXlceJileIl!t ins,t l,ulmenrt de Ic ulwre, pili'Oi du disque n1:e 'pial~aîrt itJ'Ourt à fiaillt légitime. 1!l est lUne autl'e Jimite, tecihni'qu:e celle . .là : si d'UJne f'aç'On génér,alle, la q'uaŒité des enregistrementts est touj,'Our.s h'Onne, 'Voil~e Il1lême e:x:cellente suiVlalllt Œes écliiteu11s, les Ip rogrès techn~, ques qui se 'l'éa1Ï'senrt enc'Oll:e de nos j'Our,s (ne pa'rile-rt-'On pas ,d éjà, au staçle e:x:p éTimenttal,d'-enregisrl:Jl'emenrfls stJé-
rem.-
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réoph'OnlÎques ?) fer'Ont -q u'un jOil.liJ..', n'O's clisqUies n"aur'Ont plus, ·à n'Os yeux, qu'une Vla1leur Ide ttém'Oins d\me techniqUie 'Ou d'une ép'Oque, M:ais p'Our l'ester ·dans le d'01uaine Id e il' éc'O(le, IIl'OS manueil.ls ne 'Û'Ourent-ill s Ip'as le mênlle !rÎs'q ue ? Et 'p'Ou1l,tant ' On ,distribue cles livres 'à nos éc'01iers ! Autre difHouŒté: c'Omme du ~:este 1a ,m 'a nilpuilafti''On Ic l'un épildiJasc'Ope 'Ou d'un film, Il e mtalllie~nenrt d'ull1 cHsque est un peu délicla t, il! sup'p'Ose '~lne bTève f'O:rmati'On. r]j} e's t Iparf'Ois diirflÎciJe d'isoilel' une pa::t,tJie d'enreg'i s·t rement si ~'éditeur m'a pas nlléntagé lme phge ,de r·epélrage. Jre signale ·ces fiairts comme mise re n gal,de SUl'tou1:, p'Our étvirte<r ,a udébutJanrt cles a'Cdden1ls parrfa~tement inultÎll'es. Et .ceUe ll~eIll'arque ln'Ia mène là pal'1er d'une limli't)e p~us séTieus:e : 'On ne p:eUJt, dlaiJ.1's plusieurs cas, p 'a s enc'Ore plal''lel' de C''OUe'ctti'Ons d'e di;S'ques pensé·s len fUllIctJÎon des hes'Oins 1clle [,éc'OJe. EnC'011e f>élud::t1a-lt-'Ïtl s'·e ntendl'e sur lia flO1l1m'e à d'Onner à ces -enregi.stTements. p l'Our ,m'On IC)'O-i nlpte, je pense que ces di's ques devi''Ont êtJre c'Onçus 'e n f'Oncti'On d'un empll 'Oi s'colaÎTe, mais en bralIl!IlJissant de l"en'l'eJg;Îst[l.'ementt t'Out c'OmmentaÏ're quri œste à rua chau:ge de Il ' é'clulcail:'e ur. En eff'e t, si le dis'q ue n'appoJ.1:e pias et ne pel'ffiet pas au maître rt'Out comme à [''élève une appréhensi''On et une réfrlrexi'On persoolneJUres, le dilsqure n'a que faÎTe en cItasse.
Ses possibilités d'emploi, En me tlimirtant aux expé'l'iences réa1Ji,sée'S 'et en s'Ongeant spéd:ailement à l'éc'a le rprÎlll'aire, 'On 'P'e1ltt: admettJ:re -129 -
que les p'OssibHités d'emp~'Oi du disque s'Ont nombreuses 'eit variées; j'en signale ici quelque's-iUnes: t'Out cl',ahOl,d la musique, 'pU!is Ih rydlmirque; les textes littéTaires 'eit (Ires Ic.ontes; enfin un ,als p'e ct d'Ü'c umentJah'e, 'p'Our les leç'Ons de sciences 'Ou de gé'O:g11aphie. Aj'Out'Ons quelqures Ic'OmmentJalÎ::t·res à cette énumél,atti'On Id e secti'Ons. La mll'siqU'e : lI a milrsiqure, à !l'ée'OJe p11i'maÎTe 'spédail:emenrt, d'Oit êtœ envisagée avant rt;''Out ,connue un stimltllrant libératertl'l'. Sa vel,tu CJaJl'dlÎJlIaJe n'esteUe pas une atoti'Ün Is ur l'âme Cl'é'atrice de il'en~ant? On peut éc'Outer de Jla muls ique le n Id'Onnant un bref commentaire intr'O:d1l!Cltif SJÏtuant ['œuv·r e ou ,s ignalant ses oal'arotér.ilStiqtlle:S, mati,s on Ip eut tt:out aussi bi'e n, :d"apTès les n'Om!hreux 'es'Sia is f,airts ,dlall1s ce senlS, f'alÎre éc'Outer sla ns d'Onnel'de c'OrnmentaÎJ.'e et même s'a ns ,d'Oll!l1er rinlÎtialem'e nt de titre. C~te technruque, '01U1Î-r e s'On acti'On SUT l'âme, sUrr la vie intérieure, ,arflf:inte rauditi'On Id e !l'enfla nt, sa sensi:billÎrté, S'a maniè11e Id ' éC'OlUfteJ.', CiU~ üve Sla mém'OtÏJre, ~',aJlllèll'e mênl'B à êtiJ.'e oap/ahle de 'c'Omp arer de:s enregistremle nts, à ISe flalÎll·e ,d'Onlc u.ne op~ll1i'Ol[l. Je ·m e s'OufVlÎren:s enC'OTe la'VIe!C ét'Onnement de l'a justJesse de:s c'OmmeIlltahes d'enfrants de dix ans m'!explioqurant p'Ollll1qUlO1Î irIs p'r éfé11a:Ï.!e nt ~'jnte'l'lprétJa Ü'On ,de W1a[tlJffi' IG'Oehr à ,ce~,le d'IAndi:t,é K'OstJeiLanetz 'a vec Il e comm·e ntaire padé de ClrauJde Da'l]pih~n pour le « ,Calln'wVlal des Animla ux» de S'a intSaens'eJt aes nuances qu'Hs sentaient enif'J1:e l'intte1'p.r étati'On pluis «ldétaiHée» d'Igoll: Mm'kervitch et cene de W. Goehr «uu rpeu 'p!l us rapild e»et d'uill même élan 'P'Our Je mêmte · m'Or,(~ea'U.
Iii. .faut se garder ,d'ourhllielr que ilJes enf'amts o.nt une sensi,b ill ilté rdiftférente de b nôtTe : là ilJa f'Ois p~ulS v!ÏiV'e et p ilus bil·ève. Iils o.nt leur imt81'pilié\l:Ja't ion de ce qnti les to.uche sur le plalll de il!a sellS'Î,b ilité et leurs !image,s, leur COlnp'rélhensiom so.nt Iditf érerntes de:s nôtres. Je me r wppeHe à ce pro.po'S l'alttitUld'e s!Ïnguilièrement 'attJ:tentive · des enflall1ts à il'écoute de rpattitiro.ns o.U de pra'l~ies de c:eililes-ci p[us «llllod'eJ.illes» teiJ/}es ceililes de J'« Oi.'S'e au ,de .fe.u » de Stl'aiWinsky ou de «PO'l'gy and Bess», o.U enCo.Te de la «Rh,ap,so.dy in B~ue» de Gershwin. On P'o.JUTl1arÏ!t IdN'e qu'ils so.nt mo.ins SUII 'Plis p·ar Iles disso.nances que no.us et qu'iUs s o.nt s'éduÎt!s p a r la musique ,conJtempol1aine. J'avairS déj à eu l'ocoasion de faü'e la même r{~ln:arqU'e lo.r.sque j',aViailS été amené à traViailler et à Œuém01,iselr 1a sét'ire des très beJaux No.ëls ,dru co.mpo.SlÏ't eur genevo.is Andlié ..FI,anço.is Mla,r esco.tti. A la deço.n .de rrythmique, le disque e.st U'Il co.mpll:ém'e nt bienvenu. fi peTIllet une mémorisatio.n pl'éci:se, ~l co.nm.·/irbrue à la 'd ilscirpiline de tl,a'VlaM, (il do.!ÏJt être obéi ,à la seco.lllde), à l'éducati'On :d e la vOl1o.nté et ,de l"aUen'bÏ:o.n. n amooe Id e Il a 'Viariété - 100 Ill' est pla.,s to.ujo.urs le pl"o.,fe'Sseull' qui j'Oue et p'ffi'illet à l'enseignement un meille.ur co.nrtl'ôle de l'aloquis. ' Dans l'enseignement du fl1anç'alÏ-s, citto.ns lLe 'r ôle intéressant dru disque à J'a ~eço.n de diction. Il pelunet uille in~tiatio.n intél'e,sS'ante. Lo.lÏn ,de m'Oi l'riJdée qu'id rempwace la pTép,a l,arti'On et J'ex:pilicatio.n du po.ème (p al' le m ,aÎtre. M,a~s il 'aIppo.l1te une vo.ix eXIpriTIlJant to'utes les 'lliUanCeS du rteXitle, S'achalnt do.sel' s es eUets, pm'Iue'lltJant à -
Fenf ant de ,s ais:i:r lia mUsÎ>que et Ira Vialleur ,ill1!oan1ialtJo.i,r e etu m'o.rt. Le texte dit 'Oo.mrnle Imo.:dèle d',int:e:rpré1:Jatio.n, pe'vmet un tra'ViariJl en 'p l'OIfo.ndeur, n'Om po.ur o.btenir une imitatio.n p 'l us o.U m'o ins rp'élll1f,ailtte de J'.artiste ((HailS pOUll.' pell'mettre ·à l'ie nf'anrt de 'co.nfro.nter sa sensibilité à une sensibillité évo.luée. So.uJlrignol1!s aus'Si >son avantage psychoJo.giqu:e avec .d es lenfra nts dès ll'euf~ dix ans; il év.i,tJe Id es po.lLarr iSiatio.ns, des 'tOppo.s~tio.ns iIlco.ns'c ientes dOtl1t les racines S'o.nt ,s'OuveTIJt ilJ.llprévrues et éto.nnantes; de plus, en mertta:rut à la di's po.siti:o.n ele la ,c lasse ,des vo.ii.x différentes, m'asouHn:eiS o.U f'ém~nirnes, juvéniles o.U en pleine ma,tulïÏlté de leur talent, ill f'adlite ,l a m'artl.wati'On de la sensibiJité e-sthértique ·d e J'elllf'a nt. Lys 'co.urtes enregistrés so.nt lt'Orulj'Orun.; hi'e-n;s a'c cueililis pal' les enf'a nts ; ceiJ.la ne veut pas diTequ 'ill s l'e'llil' p1,a isent to.us ; là enco.re leur se,n;s,jrbdlité jo.ue et sélectio.nne en f o.noÜo.n d·e crÏrtères que no.us n"a,mi.v'OIls pas t:o.uj\o.urs à co.mpJ:end[re, rn/M'g ré les ,eXlpHCJatJÏ'Ons spo.ntanées do.nnées pral' les enf,ants; du res,ile Hs 'So.nt bien 1!.i,bTes de cho.isil', de rbagir !.. Les .dr:i.,s ques qud plail'o.nlt seTont rlio.'l1jo.ul1S 'Ceux qui o.nlt été ôn11egi'S,tré;s a'v ec 1]?!1 ai's ir /P al' IlleJg interp.rètes, eXla<otement co.m'm e no.us s'Omme'S to.Uj'OUTS as's'l1ll·é'S d'une éco.utte atltentÎrV1e l'Ors'q ue no.us co.ntlOns no.usmêmes, à co.nd.it1'On de nrous ~a,issB'r pren:clre aIU jeu lo.rs ,d e la pl'épair 'aJtio.n. Là encore le d~s q'l1e-'co.I1Jlle se ju's tifie s'il fia it alg ir ,l 'enfant, s'il. JUli appoa,'II:e ulll'e «n:o.lllJ:l1.·it>l.u'e» Înltéderure po.ur 8o.n im'agi'lIatio.m, s,a >sensibilité, >So.n po.ruvOiÏlr d'expressio.n par le rtex,t:e ou pair l
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le de:ss,i n. Avec des enfants jeunes, ill f aud.r a ip'l'endll'e g.artde d',arvoiT rune Jlisto.ire ,à 'peu.',go.nnageJS :J.imii~éJS en nom:b re qulÏ s'expl·j,ment d'une manière vliV/ante ett t'yp<Î.JqUJe. La' mus11que et les « hruitages» devro.nt êttr:e discl'ets, p'l~ésenrts aJViant ,t o.ut IpOlur ftaciliteT l'a co.mp1réhens:ion .dru. t'eXtte. On deV'J.'a prendve rgart'/dre, à Il'éco.~e enfla ntine spéCli,a'l em:e :nt,à loe que J·e oo.nte ne so.it ni tro.p ,Co.urt (Is es V'elrtus ffila giques n',arurai:entt pas 'l e temps de se manife-ster) ni rtrop long (il la.s'SeJ.'ait ma'l'@ré Ito.ut ['ierJ.f'ant). Si l'~drUc'ateur a en mains un loo.nle t,ro.lp lo.(lJ.lg pro.UT ê,t re éoo.uté ,d'une s'e u!l e ,a:u diti'o.m, ill p'e ut f'Ü'l1t Ibiern, av,e:c quelques rp:réCJautÎlo.ns, en 'p résenter cres divers épisodes en ·deux 'OIU tl'ois séances pais trop esparoées les unes des lautl'ie.s. 'L 'éco.ute Ides .co.lllrtJes p !o se un p :robtlèlne intéressant : f 'aut-ciJI utiliser des ard.a.ptllltio.ns OiU n"alc cepte.r 'q u'e l'e tex1:e originall ? étlant hien enttendu que cette l~em·arque w:se e:sls ent,ÏJeUem'e nt le p'a dé (,b ien qu'à la rémexilOn on trouve clans le co.mrneTice des rverrsi'Orns dites Ide Co.nce'l't qurl. rS'OTIJt des so.Ttes d':a,d'arp:tJaJtÏ.o.ns mtUlSÏJcallelS ,d e l' œuv.re) . ùa Il'épo.ns'e se:mbl1e f o.UliIlie pal' il:a pr:llltÎ'que l'adiOiphonirque: to.uites les f,oi's qu''On peut rutili1s er l'intégl1a1, on le f,a it. 'Jrl y a des textes qui ne peuvent être mo.ldrifriés. .on sUpipotrte1'1ait mal une 'V1eTsi'On lalbl1égée d'un Ip'Oème o.u du petit chef..: d'ooUJV'1.1e ,d e P laru ATène : «IL es har.iJcOOJs ,d,e PitaJugue», o.U encore .de «:L':éliXti'l" Id u Révérend Pèl'e .Gaucher» 10 0 ho.lll Daudet; on
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ent:erJ.dl1alÎlt s ans pll ails ilr rune «IS uite trançari1s e» ,de Hadh 'Sans so.n meTIll1'et. M,ais il taut hien ,a rdmettre qure le disqu'e a ",a t:eohnruque, Ises exigences qui SOlU'V1eII1t rédame:rut uille écli.tuTe ireno.UVlelée ; oe 'qurÎ impose de [,a part de l'la,dlaptJantt Id es 'q ulalHtés 'l'all'ieJment réunies ,e n U'Ile mêmJe perso.nne : cuiL'tIUre ~itt.tél'a.ire, mU's]caiLe et 'a'lit'Îls1JÏJque, connaissanoe .d e l',e.nf,ant, Ido.n 'd 'expressi'On. :Sll'i'v,ant l'âge le t la rouJlture de l'enflant, o.n l]?o.UI'I'a [ui faire entendre o.U no.n Œœ deux versio.ns : litt'tJél,aiÏre et du I(lisque, et lui ,f,aiil.'e l~em,aTqu'er ou recheroher J'es ·d~Uérences. ,L 'essern-viel, à mon avrilS, est que la p 'e nsée de J'autleUJr s'a tt Iscl"11lpur1euS'ement r.es'P'edIJée. }:e .suis par exemp~:e OIppo.'Sé à tUne te.dhnilq ue , que rai vu prartiquer: supprirmer ·cel'1IJains épiso.des o.U ,1a fin ,du disqu.e ,S'o.UIS préJtexte qu'i1lls ne sero.nt pas co.mprl.'fi s des enfla nts 'Ou qu'i~rS rÏrsq:uenif: d'ê1n.~e tmaumartÎ'Slantrs po.ur certains d'ent.re eJUX. Je Cl1o.1S :que 'Si l'e d~rSque est biern présenté et [e co.mmentla~.re ·d e l'édUJoarfJeu,r biJEm adarpté la u ni'V'ealU' ae l'enf am, la versio.n entière est facilement alCICerptée pla r C'e~Uli-oi. M ,i n de ne rp.as aUo.mgeT ces co.mlJ.uernt·a ires, lajouto.ns sim!pleme:nt que, ,dans Œes [lreçons de soÎ'e nces ou de géogr,aphi.e, :le ,disque sel'a to.u j o.urs utile si l'éduoateUil' la pu s'assUJrer de sa vaJIe:ur Ido.cumentlaire r(rchants Id~'Oi seaux, rmusique falkllodque o.U lang,a'g e .par exemple). (A suivre)
131-
Das Lehrerserninar ln Sitten (Gesèhichtlicher Werdegang, 2. Fortsetzung)
R. .LOIRET AN S. M.
L'Ecole Normale a ouvert ses portes au début de janvier 1876. Après les grandes difficultés qui ont précédé sa fondation, son histoire ne connaît, dans la suite, rien de sensationnel. On peut, par contre, constater un développement con,6nu et 'tranquille, mais d'autant plus fructueu x . Sous le directorat de Monsieur Georges Hopfner (1876·1899), l'Ecole Normale et le Collège s'établisseia dans le bâtiment con'stnLÏt pour· eux en 1892, au Nord de la P,lar/!w. Sous le directorat. de Monsieur Antoine Mura (1900·1908) , la dLlirée de l'Ecole Normetle est portée à 3 ans (1903) , disposition qui devient définitive par son introduction dans la loi scolaire de 1907. . .
, .k Uer Anf,au g is,t ·s~hwer. Dies giJlt auoh fur ,das IJehr.erseanrilJllén.. Ms naoh bugen u n d O'ft fast ausweglO's scheinenden · S ohwi,migkeitten ,d ie gesertz1Ïche Gl~unehlage geL~gt und el.as Leh'l'ersemi'nia'r selher eroHhet "Vial'; lmunte diteJses h'UIl smillen Gail1lg .dU11ch. die Gesohridhte la ntrelt en, einen IG ang, der, ebs sei zulIn 'VIO'i'nih:e11eiÏn V1enmerk,t , nie ho'h e WieLlen schtlug. Das win ni'c h,t h'msse n, ebss Idie NO'l'l1l!all'S'oh'llI'e Ï<I11 Lauf'e ,cleT ardht D ezennien ihries Bestlehens nicht ,das Âuf UIlllcl Ab jecler mensohlitohen Ein ri ohtung geJI(jan'l1t ha,t te. .W enn wir in ihr.er Gesch10hte rumwalzencle Erei'g ni'S'Se V'el'lllli's sen, sO' Hisstsi.ch daJfür · eine stet e, Nthige, ainer nm ,gO' Œl1Uchtba'œre WeiJtetentwiokilung beO'ha:c;htJen. Wie wir - bereitsges'e hen h a,b en, wal' d.as Hans cle T'0111'enté, in ohem maJll claiS neue Lelll1el'serninall' untergeil n'ialOl),t hJattJe, a'IlJfmg~, i'c:h noch zum grossen Te il 'V O'n Miet~eurten beset z't . N aohclem Id iese irn La'llIf e cles foilgenden Jaihr es a.usgez'O'gen waren, edebten Pl'ofreS'sO'ren und Schü~er
wru-
mne 'al'g·e EnHall'schung: clie freigeworclenen Raume wUl1Clen ni'cht der N orma'l schul'e zur Viel,EüglID1g gesteliLt, sO'11Jdern 'elas Haus l11usste aUich dem K!0'11e'giul11 Unterkunft Ig ewaJuen. Für den Augenbl,i,c k mochte cllas aIligehen, cleun dire beircl<en SohuJ1en zah!lif:ren vel,hahn~smaiSsig wenig ZÜ'gltÏnge. Das M!i'ssil1Ï'c he fur Id as Leihrerseaninar hes,t'a nd ha'lllp ltls adhilidl il11 Umst and , clla sls ehe iIG'a S's'e n des KO'Megiurms die beiden 'l11itrleren 6 tlO'ckwe'1'ke ibesertzten, wal1l'encl es .selhe,r mit den oiber's ten und untle11s1:en GeschO"S'sen 'V!Olrlile'b nte'h men musste: KÜ1che und E's.sa:le waren j'm K'eilJlrel'g~s'chO"ss, d ie I(!}-als.senzimmer i'm zwe~ten Sto:ck, eHe Sch.\l'af.s ~ae für ,PrO'fessO'ren u n d 'S ohü1er irn .DaJchbo:den. Becleutsame - Erei~nisse tr'a,t en in clen .el'sten }aihren keine eÏn. . 18082 wUil~ele der zweimO'natige Wieàerholungslnlilis fur dtÏJe JU!I1gileih l'el', clen cliese wiilhl'eIlid der M'O'naitle Septel11ber urnd OktO'her im Lehrerseminar aUjahrHoh zn ab's olw'e ren hatten, aufgehohen, /Uncl ,d as SchulJahr
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konnt e VlO'n nun an i~11 Mon alt Sep temher beginnen, statif. wie bis ,an hin erst nach Aililerheiligen. IIl!dessen "",U!chs dri'e Z'a hl del' Schü1er eles I(,O"Hegiœms und des Lehrersel11rina'Œ vO'n Jahr zu Jahr, uncl da<s Be:dJürfni's nalo h geraumigeren Blc hu[l O'È:!a'Len für he:iJde Institutt1O'nen lnaohte s10h ammer mehr geJ1te ncl. D er Staalt entsohlO'ss siloh daher, i,m NO'rd en der P.l'él'Il!ta einen weitùauflÏ!gen Bau zu el1lÜJchten, deI}: aJJeJn AnfO'rdel'ungen gereoht ~u wel'elen verS'pT,élfCh . Al'clütekt JÛ'S'eph die Ka'Lber111latJteu ,e ntwla l,f die P 'l ane. Baild erl'e~te eine Bauste!ltLe vO'n ' .VJailuIDaJfrt mO'numenrtalen Ausmassen die Neugiel~d'e der Be'Vo,l k'erung. Da's neue GebauJde, dessen IMaU/eru ûem,},ich rasoh in di'e Rohe W'lllc hS'en, sO'Ute d ,aB iK'O[loegrium, cl,as rLelhrmo;s emina r, die I(,antousbiblÏ!O'thek WI1Jd das kan1!O'lllla'loe A11dhi'V beherbe'l'gen. Dem darn,a ligen Ze,i,tlgetist entspl'echend WaIr es eilll Relp ra s'entJati'V1hau, dessen gew,atltiges mi1:tJler,e s 6 titeg,enhaU's Ko:1Jle:giUlm uncl N O'r.lnal sClhul e vO'neinander trennrte. Der Bau, mit Id em mlan im Fliiihj:ail:u: Ji8'911 hegonnen hatrte, wtUJl',de im Herhst 1892 fea:üg erstéLlt, uncl . daB LehrersemtÏnar be2iO'g IJlIIwerzügWicih clie neuen Rauml'ilc hk. eiÏJten. i))er DirekrtJoT, Heu Hopf UN', hattJe IS cJh'On Z11Ill vO'raJUs heim. Sttaalt die notilg en SlcJhrittJe untel'nmtl1lmen, 'allif ,class rihm deu: ost'lilc he Tei'l ides Geba.ude:s zwgewiesen we:tde. Ü:ÏJeser 'fieH waJr namHch ,dem Stl'aiSsenilamm weniger UJUSgesertzt (111892, Wa'S wÜ'l'ide nllan e r s,t heUJ1!e iSrugen !), lalg naher Ih eim GaTten rund schien rüherharurptt tfür O r:del1'sl eute 'w e'l lgeelÏg'lleter lalLs Ider westJRohe, 1
der Bahnihofis,t I'asse zugekcllTt'e Teit Zwar el,hO'b àer Pl'aJekt Icles KIO'1JlegiU1l11'S EirrspTaJohe gegen die Ansprüohe ,d es ID irekrtO'l'S, Ido.ch cler hO'he Sl1aalts l~a<t haue hereits zu Gunsten des l}ertZtill1l1 entschrioe:den. E s 's<;dJlrte Her'lin HO'pfner nichtt l an ge V'eligonnt 's ein, im nenen SemiIl!ar 'z n wa,l,t en. AIn 6. Dezember 1899 versohi'e cl e l' lan den 'FO'lgen eines kreth Stall:,tigen HallsgeschwÜtres, na,ohd em el' trast ein Vrierteljahrhunldert die Laat Id es Üil'ektOirates Ig etragen hiatte. Der hO'chtbegabte, ti effrO''lIllllle ManJl1 'Vlel,hancl ImtÏ,t e iner grO'ssen K lugh eit einen ausgesplljO'chen PT,a ktlis.chen Sin n ; Is eine 'eisell:'l1e Entei,gie p alalite sioh m~t wa,h11er Herzensgi1te. D er Ch ronist oduTf'1!e darUJlll auah il11it Fug ullid <Rech t 'V O'n tillIl1, dem Eil'sasser, s,agen, el' vel,bind,e in einer ~luck Hohen und seltenen Misd:lung die h'esven V O'rziige Icles FaianzO'sen '111it den wel'Ï'VoHsten E'Ï lgensohaften des Gemn auen. Ohne g'rO'sse 'S chwierigkteit en h 'aUe silCll Hel'r RO'ipfrrer die vO'Llte Syn1Jp:atJhie unjcl Id as lIDeling~ sohra lù~te Ve11traUel1 ,cler Behoilden ul1Jd ,cl es ganz·e n Landes 'erwO'rben. Der D irek t O'T ,des IL ehrerseminars "",al' niloht nul' in 'alIr}en F11agen Icler Ermehung u nd ,de~ Unrtel1l'ichlt es sehr 'b ewanclell1, el' war 'a uch ein Spe2iia'list für Obst- unJcl W1eÏnbau.. ET sprlach nildh1t nul' i n J8O'zu,g'a gen laillen Versammllu ngen icle:s IL ehrpm'.s ona,}s 'Odel' der Soh uLiuS'pektO'l'oo, 'sO'nc1ern hie1t 2iahlilO'se VO'l'tl'ag e 'ViO'r clm' Bauern salue uncl Ig a,b (p 'rakrtisohe DenlO'nst11atiO'lllen im ,P frOlpfen 'vO'n Obstbaumen uncl ,itm Verecleln cler Rehstocke. Seine Beeldriogu ng, Iclie auf ,den 8. n
Dezember, IdalS IF est ,d er Unbef[.eckiten EmJpfangnis, ,fli.leJl, gestallrtJete siIcih Z'U emeœ grosS'en Tl1aUe:likulllldg,ehuIl!g. über hundert Lehrer Watl~en troltz der U nbiU Id er J ahresZ'e'ÏJt und ungesoh'e ut des weilten Weges - sie roamen, W1Ïe der Ghflon1's t herv'Ûlihebrt, vom Genf ersee his zur ,F lurka, ans dem. Grrund und ans ,den hintersten S'mteIl!tMern - 'el1Schienoo, ulm ihl'em 'V'ersrt'otl.'beIl!en Di'l"ektor Id en letztetn GI'WSS zu entbierten. M.ït iihlHen nahJmen die Bel1ol,den, ganz 6ittoo rund eine zahlœiche Moo'ge ,a us ,der umiliegoordoo Landschatft 'a n ,der Heer d~guIl!g teitl. Hen' Hopfner hatte ,dJiese EJuung w<:l\bl 'v er di eIl!t. Er haltte ,dem Lande s'r oue ,besrten Krafte geschenkt UTIld sich ein ,bJmhende:s Vel,dienBt an dess'e n geistigem und will"ts'chaftllliohem Flortsohrivt m'Worben. Herr Hopfnel" halHe in Iden fla st 2:5 J,a hren lSeines Direktol"a,t els idem. Lehrersemti:naT reine soHde Gr:ulllld[,age g.egeben, ·auf .der seine Na.chf'o lger ruhig und s1.tcJhier Wleitel~bauen kon!Ilten. Zu seinem iNarohfoiger wUflde HeJrr Alnton MUfia S. M. he:strimmt. AruJdh el' war ein E!l sa,sser. Ms eihemalHger SchU!lcHrekrtor v'o n BI'IÏ.g kiannte el' sioh in ld en WaihliseT S:clhulverhaltnissoo SCJhon zi'e mlildh .g urtarus. ·E r soi1lte die Geschicke .des Semin'an; 8 J,ahre ~ang ~eitre!Il. ObwoM ihm nriJoht der DYlllamismus seines VOfigaiIllgers zn cigen Wall", führ.te er das Wel~ mi,t Ulllls~cht und El1folg. Wahrend smnes Dil"ektolr ates flarnden übrigerns einige einSichnei,d ende Anderun'geill in der Schulgesetz'g ebung S'taU, und tes wall" 8'eÏIll V'efldierrst, IdalS L~hrel~sermilIlar
den neuen Vel,hiilrtni'Ssoo aIl!gep'a sst zu halb en. Am 2'1. NOVIember 1903 -edi-ess der Grosse Rat ~ne Vel,fügung, laut d'BI" die Dauer ,der N ormallsahuile auf 'clrei }ahl"e el,hoht 'W1H1de. 'I!m Ans'c hluss an ,d iese V'edan'gelurng InUISste auJCJl1 das StUld1enprograrmm geandel"t werd'e n. Die zweite ,Danldesspfla:che, dile Naturwi'ssenschtalften und !die Naturgeschild1t'e W1uliden zu obtl~-ga1;ol'IÏ.,schen Faloh'etl."Il erklaTt. Ln jerren J,ahren rerWatl'tet'e man im WiaJlJ1œs mit ,eO.ue!' 'g ewissen Sp aiJJ11lUlJl!g die Ergebnisse ,der ,al ljMu;1i!chen ,R e' krutenprü.fungoo. Dange Z-eit hindUI1Üh ihla tte siJah Ider K.anton 'gJewohnlid1 mit :elÏ.nem der ~-etz>t!en 'PJattz-e hesoheirden nlÜ'ss'e n. NUJIl larher hatlte er sÏJch anm'ahl~c;h vom 24. his zum Il. 'OdeT 1.0., jla mnmlall sogar bis ZIlUTI 6. Ralllig !V Wigea;libeitett. ,1907 ging Domherr ,de Cooa'tll,ix den UI1S'adhen clieses For't schrittes narch, und lel" stehrt !Ilid1t an, ,das 'Vet;diensrt Id aroh in ers ter Lini'e der Nonma'l's'ohule zUlzuS'chreihoo, ,d ie es 'V'erstanden ihta1b e, den Bi1lldungs'sltJanld :des Jj~hr,pers'ona[,s und ,dami,t auch dlas Niv>reau !des Untel'I,ÏJdlwes UIl!d mJi thin das der aMgemeinen Volksbi'Ldung zu heben. Das J ahr 19.07 hed'elUJtete übTilgern.s für Id ie Entwidclung -des k;anto!llla1'e!Il SchuJl'w esens ,e inen nenen S:Chl'IÏ.tt 1V10~r wair ts. Herr IStJaaltl'M .B:urgener, der 1904 Vi()rs't~hJer des E'l"zÏtlmungsdepart!eI1I1entes gelw ol,den war, iha,tJte !die No,tweIlldtigkeÏtt teines neuen, ;den 'gealI1lde!l1ten Zeirum·stanJden Ib es:sm" Igel'eCJh!t we:rdenden SdhUiLgesetZ'es er~an'Illt. 1907 legte er Id en Geset'z'esootWrUI,{ 'd em Gr'o's sen iRJat !Vor, der dlalS
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I
albschliedete. Es tl,at (llo,c h im 'gdeiohen ] ahre in Krarft. Die AIl"tJÎk'~l I1 11,1112'5 hefi.llIden über die N'Ûnmal1sd.1ule. A'l"t. 1112 'v el'ankert die Vle l,flÜgUlIlg von 1903, wonach die Baruer Idet" Nor,m a,lIs chull e 3 J ahre :betragt. 'Gileidhzeirtig settzt el' Hegmn und IE nde Ides ,S chu[j,ahres lauf ,elie MOJllate Selptelll1he.r un:d Jruni fest. Letzrteres war de facto hereits srot 18'82 deT FarN. Art. 1!1,3 erk~art elie zwmlt e IL a Il!de·ssp rad1e und die nraturkundHd1en tF aoher, die sdhon ,v ier Ja:hr,e ZlU'Vor eingefüJll~t wOII,den Watl'eIIl, aIs 'Ûib~igatoriB'ch. VO!Il eirn:em Musikuntem."ild ht ist ,a hèr no.ch ilnl])ler nilc ht die Reel:e. Dod1 J,ass'e n g,e wisse Andeultungen in den Annall oo ,des ILehrefiseminrwrs d'a rlaUlf sohtliessen, 'dass 'd ie'ses F:adl SIP a'Vesrtens serit den Neunzlgel'jtahren des 'voritge<.n J ahl1hunderts wahliSoheiniLi:ch in Forrm em'es Freifaohes regelma'ssig unterrr,j,chtet W1U.lde. 500 wil11d von einem B:lu'd er 'b erilc htet, der oUJlll [di es es ZelÏ.t von SiUen Hatoh F'reâs'ta<clt in OesrterlieiCJh versetzt wUlide und deI" hiei" Î'm ILehl'et"s:emina,r u. a. a'Ulè:h Mu's ikunterrich:t (Halimoriium und Vlio~ine) er:tei[t haltte. 1903 hatte der SrtJa1ats!rat, arn:lalssli.ch der erwahntlen Utmrgestal't ung des Lehlipl."O'gr,am:mes, einen hesontdel"n Krerditt für die AJlIs,cha:flfung verschiedener 'MU'sikinstl1Umente gewathl't. - Die herdeuttendste Neuet"Uug bflingt jerdoJh Art. 1114, der d,i e SCJhJaffrung !Von zwei Übungshlas,s en vOIrsieht, muer wrusohen und einer delllltS'ohlen, damit in ,ihne<.n die Lehramrtskanditaten ,i n Id ie Kunst Ides Unterrichttens eingefühl~t Welden kO!Il!Il'eill. . Auoh das :so'Z'Ï,ar1e Moonoo.t kommt im neuen Gesleltz wÏe/der zur Spl~a!che. -135 -
nerue 6:chulgesetz atm 1. J uni Vlel"500 lautet ,AT,tikeil. ,1117 : «Die S:ohwe'l', die zum Lehl'erS'etlninar zuge~,assen w:el,den, e l,h ad 'tien VlOim Stia at cine Untel'stJÜJtzung, di'e v'Ûn erinem Driuel bis zu 2/wei Drlt1:!eJ! elles KosltJgeldes gehen kann. Die Hohe diesel' 'S ubvention rilc htet si:ch nach de!Il Ergebnissen der Aufnahme- und Schlus'Srpriifung im Zus'amm:enihang mit deIi Jahres!Iloten. Der M,angel la n zei,tili.ohen Gütern kalllll ehenflail~s in Betr.a'c nt gezlo-gen wel1den ». Es wi'l~d ab eT, wie dlies Bohon ~Im f:t:i.i!heren Gels etz Ider ,F aU wa'l", d~e ,B erdingung gesteHt, da'ss [die tSchüller, welche ein'e s1Ja.atJliche Umerstützung 'e11hailte!Il, mindes'terrs ,a oht }ralne hindur.ch ilm I(:anton ZlU untten<Ïlchten haiboo. (IA rt. 1211 ). Di'e 'i m G.esetz vOI'ge:seihenen Üburngslcla'8S'en W1U'r den arm '213. Oktoh'er 1907 eroffnet. Die ft'anzosische IGasse zi:ühlte 113 Sohüler, Id ie deutsche 8. Ms Übungslerl1l1er amtetoo Id ie he'Îlden J.\1jalrienhrüder J u1ier ullId .Anll~n. Bi'e AnJdenlJIllgen irm neuen Schu[geS'etz be:c1illlgten dne Erhoihung der Soh i.i!l'erzahil und eiifl'e Verrnehrru'I1g der · SchuLlstunœen. Die der N ol'rma[schule zugewie:senoo Haumli1chlœ!Ï:tern, die 'anlfangrlirch hinlangHch Pll ,a tz boIt!en, el'!Wiesffll sirch nun at}·s zu Mein und aJ's zu weni'g ~ahh~roch. Mia n m:us's te auf die 'a ngrenzen1den Sa~e Ütbergreifen, ,die hisner dem namlwis-' SlenscihalftJLid1!en M'll'seurm, der' [(Jantonsbiblliiorth-ek und Id em kantonalen ' A!l1Chiiv gedient hauen. Ti'otz dies'e r .Annexion befla nd man sich f'Ûr,t an aber immer in der Enge.
Réponse à une question souvent posée au Département
L'école et le sport P'a ul CURDY, inSipeoteur cantonln l de gymna'stique
Dem Sport wird heute eine aussergewohnliche Bedeutung beigemessen, besonders von seiten der oft «fanatischen Beifallstürmer ». Der Sport an sich ist sicher gut und empfehlenswert, vor allem im Zeitalter des Motors, wo man die physische Betiifjjgung immer mehr verdriingt. Doch, wie auf andem Gebieten, nimmt auch beim Sport die Spezialisierw1Jg immer mehr überhand, macht ihn einseitig und mft beim lugendlichen schon nach entJsprechend ein·s eitiger V orbereitung. Diesel' liisst sich leider zu sehr beeinflussen vom ganzen Propagandarwnmel, der auf dem Weg über alle technischen Mittel auch ans Kind herandringt, das selber auch moglichst bald eine gefeierte Sportsgrosse we,r den mochte. - Leider gibt es auch wlter den Erziehern zwei Extreme : ganz gegen oder ganz für den Sport. Und leider begegnen wir auch breit aufgezogenen Pressemeldungen, welche ResuLtate der Sportwettkiimpfe von Schulkindern verkünden. Erzieher und Kinder sollten den Sport aIs das werten, was el' wirklich ist: ein Rilfsmittel für die harmonische Entfaltung des jungen Menschen. Das kann (tber auch ohne offentliche Wettkiimpfe und Presseberichte geschehen. Der Sport darf nicht ein LebenlSzentrum werden, um das alles (tndere zu kreisen hat.
Le sp'Ûrt ! L'un -des 1,ois du monde ml(}id elne ! La foule dies spOlititfs s'alcCl10Îft sans ,c esse, mailS S1U'l'tOUJt iLa lforu[e des «sUJpportoors», de ceux qui dis:crutent, 'COlIl!Ine:nte:nt, conseiNlenrt. Comhien 'de mlÎNions .de <<Johel"s amis sportUs» recens'ffi-ait un j'Ouruailli slte en m 'a l de IstatlÎ'StilqU'e ? ·L e mouVlem.ent SpOTtif 'a P1iÎ..S une tell il e 'ampllie ur qu'hl nous paraît utile de mous a'l'rêiter un Ïnsrtant - nous, les res'p onsables de la jeunesse, maîrtres et malltreS'ses, ,autorités soolaires ·à rtous l,e s échelons - pOUl' oonsild érer du 'p oint Id e vue de l'éJduoalteul' lles pTolb~ème:s qu'.iŒ nous p'Ose. Pour l'enflamt, le jeuIl'e (homme, le SpOT,t est mn e~ce!Uent moyen Id e dév·e10ip,pe:r ses ,aptittU:des 'physiqrU'es; 'C'est
en même temps une helle éco[e de oal'actère, r o'ooasion de 'conllba1tlh'e ses instinots, ses ,co'm p'l exes, de .g'·atfflÏl"mer dans la Œut1Je. Pour l"alduilrte, dom la vie 'Pli().f'Bssi~nnelle l~édui1t ,toUjiOllH.'S daViaTIta'ge l'Ia otivité phys~que, c'est Ulle pl'écireuse passihhliité Ide mainteniLr sOIn :c or.p s en fOl~me, Id e 're"IJarder ['âge du 'vie]]lHsseluent des lal'\tères et des artimù,aÜons clans un ·conl1Jact sail.utailre avec Ja nature. Et SU1,t'OUt, pOUl' tous, ct Il ' étynwlO'gie mème du mot SpO'l.1: l'li ndique, c'Ie st un bain de JO:llM vence, ra,f'l.'aîchiss·ant, ,pUlu.tfriant, un mervelÏ~leux ld élassement, 1''b\T\aStÏon ll-êvée, la honne s01uÜon au p'liO'bllème des loisirs. Le sp0111 est - affillrait être - um
r gIianJcl bienf ailtJeur ,de l'homme. En estill tOUj01WS ainsi ? Nous vivons rune èl'le de progl'ès ext11a'OrdlÎna'Ïtres dans ItouS ,l es dom,a:Îues, Oes prog,r ès 'al1l'a,Ï'ent pu améllÎOl'er p'l us cOllisilcléra1b lement le 80.11: de l'h01l1!me, en f,aire plus 'q ue Jama'Î.'s le rOii ,de ta nattJurle. Matis ,en réall ité, la teohIl!ique Isolllvenlt ·dépa'sse l'ho,m me, et finit pal' l'asservir, Le S'pOl'lt n'éoha:p:pe pas Ml ry<l:il1ll11!e eHréné du P 'l'OgTès. Nous pensoIl'S, bien entenldiU, au ls porrt ,de l a fp'resse et de lia 1~a:dio, au SpOl11t de speotraloJ.e, à cellui que chacun connait et suit, même à son oorps dé.f.end'anrt. Dans le SPO'l't ·c omme dams les autres don1iaine's, la technique est de plus fe n p1U1s p'e rf,ectionnée, à rteJ pOlint que seuil l'e spéciall,i ste pe:rut encore prétend'l'e y jouer un râle. Voyez par exellnple l'e ski : ·i l n'y a pas si longtemps, um skie~' de .com·p étition concolwait d,ans qtIlartl-e Idis'CÏpliues : fond, s,a ut, des"centte et sla!loi111. De'V1MlJt les pl'OgTès de la technique, il flallult se spéciatLiser: concours ,d e ski noll.'diqule , fond et S'alut; COlll'c ours de ski ai1p,i n, Idesoente et stlaJom. Et se spéoia'mselr 'e ncore ,dans ohacune ae ces oatégories : llte ühatm p'ion 'd e ·s aut ser·a rareo.llent 'ohallupion Id e fond, et vlÏ:c'e v,elisa. On ·tl'louve même le spéci.a.Jiste du sJ'alLom géant et le spéci.a1i:ste du slalom sp écial ! Progrès ,de ~,a techniqu'e ! OeJtte IspécitatH'Sation poussée à outl'ance pemnet ,évriJd'e mm'e nt une amélioration spectalc ulaire des pel'f'OirInances, une chuttJe des Il'ecoli ds SUl' tons les phns, D'autl~es facteurs conc:oU/l.·ent ,d 'aiill eurs à cette a'll1éllÏo'l~a-
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ti'o n des résruil. t:Jats. Citons en p\assant le pel,fectionnement de .J'équipeiment. Par e xelnp'le, les pisCÏ<rre:s couvel1tes, les P1artinoires la 'ltlfioiehles pemnettent un 'entraÎneJl1lent Ip~US régulier 'et de phllS Jongu'e durée. AutJl'e exemp\Le : n'Ia -t"'on pas 'p u lire lrêce:mm·el1t qu'un C1haJillpiün cyclriste SUT pis·t e gonfl}.ait les 'b oyaux de Bon véJlo ave'c un gaz p~us légeT que l"aiT ... Un ·arutre faeteuT clétm'fJlli'l1'ant .d.ans l'laméli'Ol'latiron dleJS per,fornllan!ces, 'c'esif: l'entl,aÎne:me:nt du chaulipion pou'Ssé au maximiU'J.n pai'le p,l'ofessionnaHsm.e , 'a voué 'Ou ritd~'c!U!le mentcamlOllifilé. P,ar rtousces rnJo J1e:n8 , aJVlec l'Ia i'die d'fllne Pl101pa,gande ,sa'V1aJJ.llJll1'e nt ordhest11ée, r on est ,p al'V'e IlU à hi'Ss'eil' ~e sport si haut qu'i'l dépasse ~a taille de l'homme nomDlall . Ici -aussi, souvent, om 'alss1ste -au ,renJV1el'sement ·d~s Vlalie urs, et c'est Œ'homme ·q ui devient le serviteur du 1'00 Spo.rlt. D'où lI a néoesS'ÏJté de reeoulir parfois - trop iS'o.UiVIent au doping pour ma1in'tenlT le 8pÜ'l'ltÏf au niveau voull u! Oui, même dhez nous! D',où la nécess1,t é aussi, p'Olll' les di1l.,Ï'g·earnts ,dru Spol~t, de Il."e'~.ruteil' ItoujOflllrs .p 'IUis jeunes ~es fulturs champlÏrons, afin de leUJ.' pell'lmetrtre d'IassimiJer plus profondément lia tedmigrue à r âge p[,as.ti.qu:e d:e r enf,a nce. Alba,i'S'ser ~'âg'e Id'es «'e spoirs», éJl alJ.'igi!1.' ' en 'm ème temps ~·es hases du i"e'ill"1ltem·e nt : autœmie nt 'd it, prerndre ptied il réco\l.'e. C'est ·l à un impé1,artlif nO(limlal pour les di,rÎgeanlts cOll'sc~enlts de leuvs resp'o nsa,biHrtés vi.s..là-'VIÎ'S 'd e ieur sp'o rt. Qui songeJ'lait là le leur l·ep::J.1o'ch~Jl' ? Oette IÎntl\oldfUio1lÎton du S'pan à l'é·cole e's t ,d'autant p[us aisée que l'en-
r faillit, ruu jUlgernenlt insuffisamment fûrmé, est hien ïp~us ,que 1'Ialduilte v.uiI.nél'ablle à Ic ette savante rp:rûp,agancle que nous é'Voqurions plus ihawt, Son besoin de mÜUiV'enl'entt, ,de lutte, sûn enthousiasme jlU!vé'niHre le poussent irrésistibŒleane:rut 'Vers le sp o.rt , Iil. veurt imJÏ.teT les cbarmpi'O:DIs que lui pll'és:entent ,}ta rpresse, !La l1a1dio, le fiihn, lil veut être chrarmpi'û n, Et ~!e spoo.~ deVlient rS'ourvent Jie ce'nJtre de ses l~lV'eS, la rs eule O!CCUlpa1io!Il vaJalbrle pûur ses lûisirs. Queililie est 1'Ia tti,tUlde des éduoateurs à l'éga'l,d ,de ce müuVlelInen1? Born nomhl1e ont p'l<tÏ's 'CÛ'lllS'ci:eIlce de rC'erlJaines eXalgél,at~'oflls du rsporlit, des ,dang'ers ,q u'eJl.es pTésenrten1 pûur le COl'PS ~ l'esprit de l'enfiant. Estimant que les jeunes ftQn!t ,déjà ,a ssez die sip'orit sanlS eux, i:l s 'Ont Ialdopté une artrtitude nég,ative, irnteld:isaTIlt loe sip'Ort à l'éoole, le ,f il'einant p.ar t'OUIS les mûyens durant les Il oisirs, aMant m 'êm:e, ipt3.1~fûis, jusqu'rà engloher Ila 'gymnaSttilq ue S'colaÏTe danlS ,C'et o'str.aicisme: ,M ra;Ï,s la pûsition die ,ces per..sonnes n'la pour Il.~é\sulltat que de les Is~pra\l'ier de lia jeunersse ,q ui, 'ma~gré erUes, s:ans 'e lle's, s'en Vla verrs Il e 'S,POltt et éiohaiplp e il [eru r infiluence. D',autr88, p raT conJtl~e, s'Ont l1é's'o lument po'Siti,flS. Parr gOllrt p ier..sûnnerl, ou bien céi&anrt là la p.rtessi'On des éJlèves elt des m:it1ieux 'SIportifs, iJs Ol'igian1sent pûur les enf'ants -des tournû!Îs, ohampiûnnats régionaux, COUCûllU,'S intt:er,s'oohllilrets, mettant ainsi [eur prestige lau seI'vi'ce du sp'ovt. Oertains ne ,cl1airg nent p :as de faire appel ,à rl a IpreSlse ,p 'o'llr Id onrner p[rus d"effioaJcilté à leur actÏron. iN OlUrs iJJi:si'On!S l'hiver p 'a s's é dans un journall J.o:call le compte- '
,renicltu ,d 'un .cûncûucrs de ski. pour enfanltis - 'o l'gani<..sé nûn pair urn cl1uib, m'ais p a,r l'éoole ! - où l''O!Il puh(]jj:aJÏJt 18\5 noms et les résull1la'1:Js Id es jeunelS C'OIDOUlTeIlltJs. Elt ce n\~ist 'p as là un fraJÏrt uni'qrUe. tPlaUer lain'Si Il 'amlû ur-lpropre de l'eiliflant, n'e(srt-ce rp as eXfagél'er enoûre ri'lIlIp'Ol't'a:IlIce déJj à ttrOip Jgl~al1!de qru'itl aH/alohe au SP'Ol,t ? N\~st..(ce pas le jeter préma1Jur,é anent ,dans [e tûurrbirH ûn de h oom pé1JÏition, cOIurir le lis' que de le vûir atl'lii'Ver trûp tôt sur le Mlal~ché 'aux Ve'Clett:te:s ? QUeil doit dOnlc être le rô[e de l''&co1e ? ,P o'Siüf, cer:te's. QUJe nous le voulions 'Ou non, nOlUs devûns tenir comlpte du Sp'O'l1Ï ,clans TIOIlli8 trt3.v,a il s'cûf1aire, dans l''Ol'g:an'Î.'Sati'On des l'Oisirs, Une atrtitUJcle négathre n'est pas diJgne de J'édwcalt'eur; 'C"88t la làche pûHtique ,de l"arut'r ulcJhe. MlaitS S'û'll'VeIJlO'IlS-IJlûU'S bi.en que nûtre rôle n'est 'PaiS Icle pous's er à ,c ette !l'DUe qu~ toulne ,d éjà hi!en vite. N orltre l'Me n'els t p.a.s ,de dbteCilJer ,de jeurres «espÛ~l'S», de spélc'ÎlaŒrisel' nûs ,éIlèves, en 'lNl mût, cIte s'e rvir la oause du spm.iI:. Nûus devûns nous servir du spûrt comme Id 'un (mû yen d'la:c cûmpHT nlOtr'e tâ:che. Ut::Hri:s'er ,eet ratltl,aJÏJt Id e lia 'comp'éti'tJion p'OUl' ,ftarill'e jouer, ,fa'Ï'r e ilJl,avraÏtl1er, et par là IdérVleŒopper nos élèves, mais tûlUS no's élève:s , les faJilb~es plus enco:œ que [lies fÛl't'S. ID év'eJloipper tûUs les spûrts, m,ais seuJleInleIl1t dJalllS lia mesure 'ûù i,Js sont s'llsoeprtribiles de oorn1ll,ibue'l' à la fOl'imatJÏ.ûn ·de l'enfla nt - et nûn pa'S exclusivement le seul sp'Orlt que ,l 'ie nfraJnt 'cûll1!I1,a Ît et prartique clams tous S'es lûisj.l~. PI,açons au centre de nos p,r éo:c:cupla tions l'éduJcalJÎûn 'Stpor,tiVie. ol"g:a ni-
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paJl'vient si ,fra.cHelment à exasrp'é'l'el' un chaurvtil1'Ï:sme stwpiJde, c'e'St bien en palitie pal,c'e 'q ue l"écoiJ.e n'a pas su r,empHr sa m li ssiün. En 'pll-élpar:a'l1't ,aJinsi de vrais Slpû:rtilfls, équiHhrés 'p ihysi'quement et mol~a~elnenrt, UOIUIS ,éllooompiLi'l."On8 nûtre de:Vlû.ir envers l'élève et Ila sO'ciété. Illidirectement, ]))OUS aurons lau:ssi l'en,du ser'v ice aJU monde sportif plutS justt:eil11tenJt peurt-êltll.·e qu;en ûbériss,ant aux 'v œux d ie Ic ertalÎns diri'g eants SpÛl'flifs qui, ne ,r ûuhHonlS p'as, n''Ont ni les mêmes re:s ponsalhillités, ni la mêm:e mission que nûUlS,
sons des tou'l"l1ûis, ,d es 'concûul"s, ceT-
tes, mai'S à ['écJhe\Lle de ['enfant, drans son cel"cle 'l'lestreint, salllS puibŒlÎc ni prl'e'sS'e; et tâ,dhons pIaT iLà de f ahe de IlIOS élèves de "'l'lais sp'ortifs, 'arimla nt l'efiftol't, jOUiant pÛu!r le seul p['aisiÏr de jouer, ,av'etc un eSlpl,it ,üheVlaleresque, reSlpe:citlant les rèrgleis du jeu, i"e\Spe:ctJan1 le pral'tenai1"e, l'ad vell'sa ire, l'ra'r bitœ, sa'c hant sie m raÎtriser en rlJûiutes Ciil·'COIl1'S,talJ1Jc:eJS. Et sur,t ûut - et lava'Illt tûut - aidûns nos élè'Ves ,à l'aJi's ser toujours l'e SpOTt ,à sa juste p~lace, 'ceJhle d'un délassement, ,d'une ,déJtJente. Si le S'pO'l.it
PARTIE
PRATIQUE
COURS CO!MPILEMENT<AIRES CENTRALISES
d) Les 1I.1bsiJdtUls .cl. ',arha,lllial!;le rd 'Ia nimaux ,(cl époruirl1e, lPorillls, elle.)
. TRO'ISIEMtE ,PARTIE
e) Les tfioo,il1e1s IJJl'OJ.it:es pa:J.1semées rd'a ns 'l 'es aho11d:s cielS irmmelUtblh~s
HYGI,ENE D,ANS L'ETUDE DU SOIL ET DES ,ENGRAIS
f) La 'nei'~e (J.1a1cl1ée.
Leçon 1
m~11eur ,a bsol'hanlt de ce's dé.chets leJSt ila Itom.-he).
(N. B. - Le
1. Les composts favorisent l'hygiène de nos ménages.
lJ1s pel1meUe'l1lt ,d',élianinen.· : a) Les ,dléche.ts d 'e loui'si11Je (O's, pel1uœ, déchells idti'VICll's) b) Les oendr,es de ho'Ï:s ,c) Les hailaY1lll1eS Id'es COU.liS, des arlIl,é.es, les rdédhel1S Idu 'j'a:pdiÜl po'~ager 'e t d'<a'~l,é· luenl1s
-139 -
2. Précautions à prendre lors de l'épandage des engrais et plus s,pécialement de la cyanamide: a) Avant Id'e Isenner, ,s 'elllduh,e [e's mains d'un Ip'eu :d'hrui1e b) Ne 'PalS ,semer [o~l.',sctu''Ûn ,a des piliaoies
O'l.lV'CIl·,IJeS
c ) Se iproté~er les )'IBUX (ilun:ettes ) d ) P011ter des vêtBments 'et ,d'e's [chaus&u-
Leçon 2
l'es se f el'll1ant bien e ) Ne 'p~s fumer ni COl}'SOmmer d,e-s boissons aJlcoo'l iques f) Epand<J.-e par temps oalme .
les engrais minéraux et l'alimentation humaine. 1. Les : 'englJ.· aii:s am éJHolieIJ.1 t [et
a ) Ne, pas pénétl er dml s une fo'Sse q ui vient d'êli1.'e vidlUllgée ([ad d e Ic a,r iboni1
que e t <atllil1es Ipro clUtits ,g'aze ux)
humali n . (Ca. P ,h .
b) AérBr ,as's ez [ on g'u ement
1R e . Si. S. Mg. )
d liminue ~ ·l e nombre des malaidri.'es os seu se s (d[éJoalldf'ioation des os, ra0Mti-sme, e tc.) -
s'éteinlt, r em onl!er rimm édiMem ent à l,a
4. Les sol1s 'luches e n magnéSlÏe offre nt une p:1us ~1a1'Lde Il'éstÏ!stanoe au dév-eilopip'erment du 'c anceIJ.· 5. L'IBmpll oi 1d<e'S 'eng11alÏJs minéraux n'a aucun:e 'action c arllcél1i:gèn:e .
,s urface.
4. Précautions dans l'emploi des engrais de vidanges (WC ) : a ) C es engra is contiennent d es gellllnes pathogènes pour Il '[homJ11le (Tib c, oholér,a, tyiphus, etc.) b) Ne pas vid anger 'p a r temp s chaud (a cid e lSullfh ydriqUle ) c ) Ne pas les u liillÎ[ser 'e n c ouverture (,touj OlU1S enf ouir) d ) Ne j'aluais a,es [em ployer pour ,l es MglUm es, flJ.·,aises '8ft a s:p ell·,ges e ) L es (m ettre le n 'co:J.TlJpO's:t inc011po:J.· é d~ lIoUl·he 'e t r e couvllÎr dte Ite11re. N. B. 11 f,au t s ouha<~teIJ.· Ja dispU'l,1Îtion là ibl'ef d élai Id 'e tons l 'es W [C à vidan ge. En cas Id',bpid[émiJe !ÎIl[S sont un v,é1'il'aMe Id anger Ip uibltic .
Emploi des engrais a'vec excès . 1. L'atholldal1lce ;d'e 1',azo1Je 'l'errd les l1égumes e t l es fi'lults molÏins 'savoltmerux et p[iJ.lS s:en lSihl8ls à 'l a pOUtlll'ÏJlJU1'e ('conseIJ.·iV'at>ÏoI1 diIff~cill e tant le n
oav'e qu"en vaSe dos.)
2. La po.tass e [ut1Ïllilsée avec leXlcès donne aux légumB's deJs Ipl'Oplwél'éJs eX'a'gél'lément ['a xaIli,nes (,dti'al'i'héJe) ne ce fai[t : a) eLle nJllÎ't à Il,a fOll1mation d leJs
;tJÏiS'S:US
os-
qui P'e11Jt d'ev;ellli'l' Ïlmpropf'e: 1. à 1 "a11imental'ion des bébés 2. à ~'a ,fa:b l'rcafÏ'on du fromage (gont11emernt SOIUlS press.e).
Les engrais minéraux et le cancer.
d 'hahûta'tÎol1. h) L es 'enl!asser réglUilièremBl}Jt, Il es (r ecou-
On
e nlJend ,somnent l,épéter
que ['inquié-
tante ,au~m'ellltarl'Îlon ,d,eJs nnclad·Île's oanobroolSes est ,due ,à 1l'lUitÏJlisa'tion cd"engil-alÎlS minéraux
vrir d e ,tertre c) Le pUll1in ne [do'Îlt 'p as ·s'[écoU!l[Br d la nIS
clans l"agt11outLtm·e. AUOllfl1!e preuve n'a pu paul' l'lÏl1stant êt>œ IalppOil ~ée .
l es rUBS d) Les leaux d'e IpiluiJe 'e t d"écO!Uil el11ent ne 'dO'i[v ent pas f Olïll'er d ,es H~ques (1l<ÏJe.ux
propi oes à l a p uiHu il'M ion dies m ou ch es Bt mousliiqu 8Is. AiJ.'r ê:lié du ConseiJ (1'Eta t).
Des
'O'b serva-
les
plUIS
impOl'taTL~e,s
61ed'a!ÏeI1lt
1. Le tOanceIJ.·
éta~1It
une malhrdl~e dtegtenlS
â~és, J·a ,prOipOilition d 'e.s mO'l1lJs D'al' l'e can0 811'
Leçon 3 La nature du sol influence l'hygiène des habitations. 1. Le lS'OJ let l'holll1!l}1le Is ont [i ntÎlmemle11lt J,i és 2. Le [SOlI iÎnlfJfuence Ja Isallwbnilt!é de iLa nm,is on d 'habilla,rion
3. Le BOl} J é ger, peIJ.'méable ipe'l'llTIet aux eaux d'éoOtUtleme11it (d e d'Î'spa'l'al'lJre 'm pid'8fm e nt. Alh0l1ds p1u:s saüllS le t Ipl~o:pr,81S, r1a f 'eI'llTIlelJ.lItation miClO'OO'ffl1:n:e s:e f,ruit Itrè's d~H:iciJ18fI11lent 4 . 'Le soJ lU'dITe en maltièJt1es org.aniqUies peut absOlIDer une gmn:clIe [qtUanlJité d ;leruil. iDangBr d'e lfeIJ.'merlll'al!ion m lÎlcl101b:ÎJe.n ne in.lJens'e (ptl1ésffl'we Ide ,pathOlgèl~eJS : l1bc, typhus, téitaU()ls, Id'ilphlJél'ile , oha'l.mol1, s'rung d 'e !lUte, pn eum'oJlIire)
l e:s 'S lUivantes :
',S'(8)st a00l1u e en mêIne t'ell11lpS que l'a
,l011Ig,èvu.té.
5. L es 'S oilis cOll11l)Jacli'S o flf:r ent de g,r and'es d,~f,fiioU'Ltés ·auxinflÎlllil·,ai:ions {l'[e au,
1'aV<llges [dte J,a ItJUheI'OUllo'Se, maIDs Le ICOillifo:l"tt, l'e manque d'!eXlercÎJoe Il:,éd'Ulis'e nt l'oxylgJé11!ation 'p al: un:e Idœrnlinu,tion de b resip[.},·,a tÎ'ou p.rofonde. L~s rtJÎJssus I~ J'[oll',g anisme 1S0nt ainsi préd'is,posé~ taU o léVlelo:prpemerut 00'11céI'eux . ~t de plus 'Bn plus n1lauVla,ilS e, à me\5ure que Is '[éJève le nQ'Veruu
3. L'hygiène anmentaiœ
a) 'excès a.Iimemail'e, faJti~'e du f'oie, d~f fiou1tés dre Jla oi['oUllati:on dlU lS'an,g
O'f,flJ.~eni Id ieJE (l'ang,eI1S (tproipr,eté dlÎ ff~'ClÎJe, fThalqtUles ,d" eau Istagnan~e, hOUle, rel1l'[e ~M6 -
sanllie)
6. Oh oilsill' IP0IlÎll- oons.tru.ire iUn 7: IMserVier une
à dels tB111D'él'alJUl'8IS ·tJw,p syut11lét,iques
éJe:vées IOall'Oél1Îgè11les
dans le s hUÎJles, ~l'aJisses, 'cO'J1lSeI'Ves, confi's:er1es, gbCles, hO'j,ss'Ous , l'ouglels
à l'èVl11es,
e1!c.
4. Ahus Ide Ila fumée ,d'e ,tabae (acliitOn ooncélugènedu gOIUJ(h'on, tOaI1hU11e)
5. La f.al!i'gue 11leIJ.1VeUSe c{[réqUienil!e à notIre
l'IaIUX. La S'Illi's s e ,qui He CO'J1lS0TIlme 'en m'Oyenne que 2,2 IQg ,d,e po'ta's se à Il 'ha de terl1t~JS oUillti'V'é8lS,
6. 1I1Ï'~t!a,lii:on pro~o.ngê'e, ICOUp, ,lé\5IÎlOIliS o~~gan~
~o:qUJe
Ide mécanilSll1'e
cFt1es peti,vent lS'e 'tl~am~fo'l'Jnm' 'en canlCer.
-141 -
lpal~lJie
du
ISO~ pour wmél1a-
g el' un Jardin d'agl1éJ11lBnt (f,raÎtcheur, 'tr.anqui1li'té, mo~ ns ~:1<e pouslSière, d1alrme rhah~1!al!ion)
N. B. - Autl1e ,suj'et à u';ali'lJer : la v~e miorobi'81I111'e ;du !S'oil [elJ.l 'colJ.'l,éilation avee la bactélii010'gie e n gél1Jér,~.
·QU'ATRiEME PARTIE
gendrant d ies car endes c) oOllls'ommJatiolJ1 1d"allÎJme11l1is ;dle IJllIa:uvarÎs e qUial1itJé · [corilJena'11Jt 'd l8ls 'g'l·a.ÛS1S8IS pOllitées
so~ 's a<ÏJn, assé-
ché, Jég èJpe ip Bnte
h) aJl~meJ1ltaliÎon i'J1Isuf.fd,S'ammBnIt 'VaiJ.·.jée en-
d) collol'llIllllis
pro-
tè~Bllt ~'[hahilJartÎon ~ol1ltre Iles 1ÎlJ1fHltl'<at,i ons
d "e:au ,d,e f O'sses -cl 'la isa'llCi8ls ,du volÎlsinarg[e,
2. L'Jl'Ygièl1'e ,géné.l'aiLe ,a flalitt {l,ûmiufUe r [es
tiOJ1lS farites à de jour sont pJutôt en f/a voo,r de l'ulti,J,ilsalli'on il'alti'onn'e Jle Id 'e!S 'elJ1!grarils miné-
a une 1l10rlla[,i:té D'al' oan oer de 173 p'O!Ur
140 -
Si le oonOBr s "est pl~olpU'g,é ,à no,tl1"e époque, .le:s loaUS 8IS
d'e vi'e:
seux b) eHe m 'Œ:JriJfri'e lI a ICOIIupositl1ion du lalÏJt
5. L es fumassières ne doivent pas nuire à l'hygiène du village: a) L BS ,étahlIDr ISIŒr rune fo sse ,à pm',i n, étanch e, 'à [l 'ombr e, à ['écatit Id 81S mad1s'Ons
-
K.
3. L'[ap/p ort de:s piho!spha,lJe's 'e t de la chaux
c) S'a1ssU!l'er à Ul1!e c01'fde e t tlJen~r dev ant ,s oi rullie b o:u g[Î'e rall1umée d ) Si [a rtil amme Vlaoillile hruyamment OiU
'sl'a gn[an tes Ipr èJs Id es tfumiièl1e s
équi1lihl'lenlt
la valeUil' il'l1égul~èl1e Id e nOls sollS et ailrimentent e n Ph, BI1 K ,et len .ca Les ~égtUlIDe6 et flJ:uhs l11éces,salÎl'es à ['ho'l11J11le 2. Us apportBlllt Il es ,éMJlIl1Bnlli'S m runéi',a ux néc~sS'ad'l1e~ à ila conSltri,tultio'l1 IdiU s'qill'e\lelvre
3. Précautions à prendre lors d es v idanges de fosses à purin :
10.000 hahitants. La BeJ'glÎqu e qu~ con omme 61 k.g de pOltass'e à l'ha, lU une IlllOl·,taJÜJé p arr IOaJlIeer ' de 117 p~. 10 000 h ,a ibitants., En F'l1ance, iJ.e s ~'égliol1!S Iles iplLus la lttetÎlntes ip'a[' !Le eanoe,r , ,S'0111t ilels, r :é gionfs ,du 'Oootne elt dlU Oenlil'e-Es t, pail' cOlIl1séqwel1Jt 'p'llIl'l11Ii 'oeale;; qui C(}l1'somment !lie 1lll0ŒIlI~ die po,lialSise et même d"engl'a'i s dte tOlUltes s'O[·,te.s. Les mineal11s d ie potalSS'e, ta11lt e n F[',anoe qU'len Allilerma gne , ne Ip l'éSBl1Jtent Ip 'a s 'Ull p(}'U'J:oen[talgJe d ie canCiér,eux S'~péDi[ ell'l" aux 'aUltJr,elS rtr,alVla,iill~em1S, !aJlOl'S m ême 'qu',~Ls ~lJÎVle11lt ,Bn COIJ1l{1a!ct laJVe c J[a pou ssièœ d e s ISel1S rpo.ta[SMCj1Ue s.
FRANÇÀIS Lettres en ra'p port avec l'étude du sol et des, engrais . . 1. Vous laVl5Z lpil1éili81vé .des éohallltiilllo'Il'S dans un 'l!eI1min d l6S!liÎlJ1,é il la [QwllJUre d!e ~a vÎJgn:e. D lelJ.naJ')id,ez [à l1a Sl'aliÏon f[&)!é1'ailie d'lB.Ssruirs ./et de !Ol1lÎmÎle Ifl:g rioo'l'e à La~sal1Il1e d<e hi'e n vowo,i,r arraJ1ysBr lliBS <l'el1l-e;s enVOY.éBS Ip'a r ,co!làls lSé.pal1és et d ie ViO'llIS 'l'Bns:ei,gner BIll1' Je pOIl·te-gl'e:flf,e leit le oépa:g e les l~IÎIBux adaptés à iLa nature d ie ce sol. 2. VtOfUIS d ,ésiÎll'ez cLMonceIJ.· il iLa pe1ilie mécani:que <lil l'el'IJ.~arin leIl piLaiI1!e (ou en cOlte'au) ,de
2500 m 2 ,
D Bm~n:d' e z
à
l' BntJ~eipll,ise
Bal'ms, <il GrangJe.s, Ide '\T,OUS [lalhl.'e des offlVes pOfur '1"eX!éoulIi'Ou ,die ·ce Itravait Donne.z Les l~tmlS!eign:en1!eIl'''s ~1!(~c;ess'aü:e.s afin que 1'elllu'e'pl1Ï.<s·e IpIUIÏ!s's e fla'Î1œ ,d'es o{fJ.'es sains équi'voques. 3. ,L "enh',e plûse Id'e ,d,éf,o-l1Jcement A. Ban-as 'VOfUS i 1bpond. E~Le ViOUS donne Je:s condiliions 'e t Ja dalle à [J'a.rlik ,d'e .1aqll'e[~e eNle peut leffectuer le Idéfoll1'CJeluent. 4, VOIUS pos~é.d,ez un telT,ailll s,aWp'éiti1etUx. Diemand'e z à M. Widi11l1er, Ing. A'g:t'o1l01ll1.e à Châteaulleuf, 'c e qu',i J but lfahl.'e p 'o ur l'eméd,joer à '1"étJM de ,ce !SOlI. 5. V.OIUS possédez :une gralldle Is ulîfla ce à définicher, ,très 1Ï11réguHèr.e, d,écollpée {l'e bals{,OIl1d,S et Id,e 1ll1011!liiiOuilies. nelll1andlBZ au <Géomètre OaIÏ111'M1d, ,à .A!l,dün, de prO'(}éde!l.' au -piquetage le n 'vue d'\Ul1 'l1lÏ'VieN'emel1lt 3IU tJrax. 6. P,a&Sffl' rtlue ,cOi111!l1land'e d'lBng11alÎ!s. 7. Deman:dm' Id leViÏ!s pou.r tD~1.S:pOil:t d ie il'efl.'l'e, de fumier, d'engra:Ïls. 8. Demand,er <il EOS ÎJ1(l,emnité pour dbfonoement là la pellJ1e mécan:1qwe SOUIS Lignes à hruute-:ten&Îon, 9. Mem 'a ux PTT ()lU aux SerVii,ces IndUlSl'riels pour détourne.r les Lignes. 10. Demand,efl.' un conf,él1enmiefl.' pour unie assemblée agdcoJe ('e ug'mis, illJss'ainiS's'e me.n1t). nemall1d,er d.e l ,a ,dooUlIllentation t'>'ll!l' Jes ellg,r ais tà ,l a FillJhdque des pro,d uitls azotés ,à Mal,lIigJny 'ou tà rla Lonza il VliègJe. 12. Demand'e r prix d,e ,tuyaux d ie dlm inage à Matruwaux de Construction, S. A., Sion.
n.
CINQUIEME PARTIE ARITHMETIQUE (7 sérœes) 'en ralpp0ll.,t aVietC l'éJtfUde du soo. et eles el1!grais.
Etude du s'ol qU~IJ1l1aJ die bonne l'efl.'i'e compl.'em 60 kg ,de sable, 14 kg d"a'l.'gÏJle e!t 18 k,g de oa1cail'e . .Le soild,e 'e st formé pa!l.' l'hrumUis. QUl61 lest i1e poids die l'humus conit!enu danlS b l1e'rr.e Ifle rtile d'une .seril'e de 4 m de long, 1,20 m rd'e [arg'e le t 0,40 m de 'p rofiond, 'si rl!e m 3 de Item'e pès'e 1620 kg. ? 2. P.our amélioil1el' un j lall.'din l irop humÏJdle vous av,ez amené J.O 'o amionrs Ide lSalh[te.
1. Un
-142 -
Le pont du oalluiOill Ime&11ll~i,t 2,10 (1.11 sur 4,50 m elt 0,30 111 ,die pimfollld'e ur. Que VOIUS a ICOÛl~é 'oell~e 'almérl,jooration ISli we &ahle n~Itdu 'SIUI.' placeeslt '~aCitUl'lé 15 fr. rIe m 3 et ISIÏ !},'éJpand'a~e ,a l1éCieS&il'é 2 h. ,de .fr'clX à ,f:J.'. 24 ,l 'heure? 3. L"anaJyS'e die Il 'a 'l'el'l1e Id e 'VO'tœ Viigne donne 40 °/0 Idle ,oaloaire, 4/12 d 'e s'a Mie, 1/0 de ['ar'g ill e et Je so1d<e leiSt C'ons,ti'tIué p 'lU' rd'e rl'huanus. QUe/lie tes.t en [tl'actiolJ1 la qwantité Id 'hfUU1!US 'qUie CO'lltÏ!en!t certre teI'l'e? 4. POlUr tCll'alrgeI' une w 'g,llle Id e 630 m 2 die 1'0ohes \S'chis,tewse5 sur Ui11'eépalÏs's e.w: de 0,30 1111, m la ['ail!1u ICOlnhien de oan1Î:01l'S de 3 tilla?
Quel est 1re pO'Îlds ,d,e ~"eau d:a ns Il m 3 de f'UIl11i'e r 'p'~sant 700 'k ,g ? 2. Quru est I.e IpoÏJdls ,de il'Iazo,~e 'cuntenru dans 9 oamions Id e 5 m 3 Id e f.UIl11l1er? (Poœds d'e 1 m 3 de ffUmier ,f!l,ais 600 kg. Trem.eu'l· en azo'te 0,5 0/0) 3. 3300 ,k g de Ip mùn oonlliiffill1Jent 23,.1 l~g die ,P'OIIJa'5'S'e. TrouVier ILe 0/0. 4. On cOll11lpte 'qu'm1e itêl!e Id,e gro>s bétalill ,f iourrn't 1 m 3 Ide Ifrumlile r f:J.1a'Ï!s pail.' mo'Î's. Quel !VoJrume de tflUim'i er décO!l11pols é produlÏt un t!I."o'llpeaud,e 12 bêl'eis pelldrun't 2 !atns 'e,t Idemâ, Is,i ~'e fUimier IBn se d,é:oompo,sal1!t Id ilmillUle du 1/4 d,e 's on v.o[um'e ?
2ème série 1. -A comhien 'l',eViient tIre m 3 de compost
Amélioration du sol
1. Vous ,R,"eZ
compo's,é d:e
,aJahte~é
rune pliO!pl,Lévé d ie 65 m de long '&11'1' 62 1111 Id e [~"gle ,à fr. 1.40 !!Je m 2 • Vous payez Ip our ItI'a"naJUX de défoiJllce'lllIent à la peliLe 111lécani'q ue 37 h. là fr. 27 1'heul'e ,e,t pOUl' Le 1l'iv,eiliJtement 40 h. d'ouvl1Îer là fI'. 2.50 'l'hoo11e. A 'conwli,en ViOUSl'eViiellllt 'oe'lIte pr,o:plûétté ? 2. Vous Ipl,éJpal'ez -cebte Ipropl,iété !pOUl' j&'din. fruitile r et vous I3Ippol're,z le.s am.end 'ffiuentJs et 'engJI'la1s ISUiViautS : 40 boues d.etoU!l.'be à fr. 9.15. 200 kg ,de suWfraltte 'd 'la mlmol1lÏlaqrure à f,r.32.50 '~es
100 kg. 200 kg Id e 's'ru de pOitaS's'e 58 Ofo il fi'. 25.50 300 kg d 'e 'S'llIpel1Ph.o's!phtare 18 Ofo à fil.'. 24.10 kg d ,e bOIJ:,ax là fil'. 63.- rl:es 100 k!g. A ,oomhien !Vous revlÏenlllent üe\S fumiUtres s'iJl VOI\IIS ,eslt laCicordé un 1l.1aibaiÎls de 1,5 °/o? 3. ,Collu:bien VOfUl'l 'a coûté la fumure d 'e l m 2 (réipons.e là 1 mi,U ième) ? 4,. Pour 'p ay'e r 'toUiS les 'a chats lCÎ"dessus vous avez obtenu un prêt h,yrpotJhéoair,e. Que.11e anllui1té {l,evez'VoUis ip'a')'ier ffi la banque ViOfllS d,emande 3 01o d'amol',bIssemeIlit et 4,'50 Ofo d'!Ïlllllérêl!s ?
Engrais naturels
1ère série 1. Ulllle tonne Id 'e !bon fUJlUier oontient 3
l~g
d'!aJoid'e rpllO'sphor1que, 5 kg. d'azoilJe et 6 l~g de POlt'aJs's e :et 170 kg de mattIières oiliga'l1!ÏJqu'BS. Le 'sOl1de est d ie ,l 'eau.,
102 'bottJeis 'd e :tom,he de 9.50 \La JJ'O!lJte ;
1/3
de m 3 à f'r .
12 oamions Id e mall.'c de ImslÎns de 7 m 3 à fI'. 5.- 1e m 3 ; 14 m 3 de J'umier à ,fI'. 25.- ilte m 3 ; 500 k'g Id,e cya'namlird,e à fil'. 38.- Je'S 100 kg ipOUll' flaJ0ÎlN:t'e r il!a ,d,éoompulslÎ.:Iii'o n? La main d' œtU'ViI.'e pOUl' L1.a mœs'e en taiS a nécessité 30 h. il fI'. 2.50 /l'ihem1e. 2. Une f'oll'te fUiI11!m'e d ie f ulJnilei' demande 60 000 kg à ~'ha. Oomhien de m 3 ,sont néceJssah'es Iporur fUI11lle!l.· lVIoltne 3aridlin die 60 m de ,long sur 4·5 m id 'e 'lall:ge, sli J'e m 3 !pèse 700 kg ? 3. ,L a tourhe ahsoll'be e'll'vümn 9 fois son poid.s ,d'Ieau. Oomhi,en pès'e r,0l1lt 23 hO,t111es d'e 63 kg complèl'ement Is ratwiées d'eau? 4. P 'OjUr 14750 m 2 ril. a tflruLIu 32450 k'g de colz.a IseméJs porur teng'11a'Î's ve'l't. Oomh'Îe:n a-tom [Iarltlu Id e kg Id 'e col'z'a pO!U!l' semer 100 m 2 ?
l'a ch a,t de 'c elt lengrad.:s ,pOtUI.' une ft-aiSB11aie die 3450 1111 2 I&i Il es 100 kg cOÛlœnt 30,50 fI'. ? 3. Un ha ,die bilé 'pl,éllèVie au ,soJ 100 kg d'azo>lIe pur. OOllllbÎlell deViez-Viows bpandœ de kg Id e l1Ii,tmlie ,de 'Clhaux là 18 Ofo ? 4. La ViÏgne la'h solm'e 'annue:lJlemelllt 120 kg de N. Ip ar ha. QueM'e est La quantité de N. aosolbée pail.' IUJll'e vigne de 85 m. d~ long sm: 42,50 m d ie ~a~'ge ?
Emploi de la potasse (K) 1. Les ,mill1es Ide
1
p'Ol~a5's'e
lîlVl'ent au 'c omm.eroe' -d es sels lœe pOI~russ:e dosant 40 Ofo leit 58 oh de K pUll',e. GomblÎle n f.ault.ruI alchell1efl.' de sels die po.tass,e à 40 Ofo et il 58 Ofo pour: fournir ,à un sol 360 ,k ;g ,d,e pOfl!alSs'e pUi'le ?
2. Un ha {l,e ,fmi's er,rui'e demande 350 kg de &U1Lfla te de po'ta:ss'e 4,8 0/0. tA comMen ir e,,,i'ent J',aohat ldie cet engtl',a~s ip'Om: une fraÏ>ser.a,i e d'e '3450 m 2 si ~'es 100 kg se, paÏ!ent 34 fI.'. ? 3. Un ha d 'e Mé ,p l,MèVie ,au so~ 92 k 'g de potas:s:e pUlie. Com:bien dtevez~vous tbpandlie d'e kg d :e ISru de pOitals's'e OtoiSanlt 58 0/0? 4. La pomme de IJem',e a,b sorhe ,1 80 mg die P'Otasse pU!l."e pm' ha. QUeJl1e :eM la 'q ll'anbÏtlé de Kaib!SOrlhée par Ull'e pllil.1oerlJ~e :d e '85 m d'e long 'Sur 42,50 m de ,1:al'gJe ?
Emploi du phosphate (Ph) 1. NolUIs ldiS!po's ons 's ur ilie ma11c.hé des eng,r ais phoSlpha.lié's dosant 18 % ,l es surperpholSphal'es ,et ,dosant 4,0 °/0 les S'llIpe11t!1.'iples. Com~ bile n f.ault.JJ1 adl,eller de Jeg. de superphosphate e!t ,de supe!l.,tripLe pour fournÏlr à un soi 360 d~g Idle ip llO'spha:te ,p ur?
Emploi de l'azote (N)
2. Un ha ,de 'tabalc demanlde 30 l\Jg d ie Ph p!Ul~ A comthile u 'l'e,~ient l'.achat de SIUip'e rphosphate 18 Ofo Ip our Ull ùhamlp de taibac de 3450 m 2 si I~es 10 mg cOÛltent 24. fr. ?
1. Les uslÏnes d"e!l.1!gr,ais ilii,v r,ent deJS engil.'ruÎ's
3. Uu ha ,die rfromle nt pl,MèVie 50 kg de iPh.
Engrais chimiques
aw'lIés Id 'o s'a nlt 18,5 °/0 :e:t 21,6 °/0 d \ l.Z'o,t!e pur. ,Gomlhli'ell tf,aut·âJ! la che'ter d'le ng,r ,a:iJs de 18,5 % 'e t de 21,5 Ofo pour f.ourlllir 360 k,g :d'IaJ7.Me pur là IUln l'SolI? 2. Un hra 'die [l'ai!sèralÏ!e demrandle 300 l~g de nlÎll'aille 'd',ammornli aque. A Icombien l'ewent
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pur. GOllllWe!l.l devez-'VoIUIs k'g ,de sup'ertrliiplle 40 Ofo ?
cépan:dll'e
d ie
4·. La Viigne atbsOlme allnueJLe!l.nô ut 145 kg' ,de Ph pal' ha. Quelle ,est ,l a quantité d~ PlI ,a'h solibée pa,r 'll!ll'e Vii'gue d'e 85 m de 1i:mg sur 42,50 die !la~'gJe ? (A '5 utivil.',e)
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144. -
Les lacs où se réfléchissent les monts imma'oU'lés et un ciel d'azur font so'uvent la beauté· d'un paysage. C'est surtout le ca·s de nos la'cs alpestres, qu'ils soient enoadrés de forê~s ou que leU'rs eaux baignent les blocs erratiques épars dans les pâturag,es. Les lacs de Tanay, de Champex, de Mon,t ana ne sont pas le moindre agrément de ces s,tations d'étrangers. Les touristes qui explorent la région de. Zermatt connaissent le tac Noir où se mire le majes'tueux Cervin. Le lac de Matfmark se blottit au fond de la y'a'llée de Salas. Formé par une moraine du glacier d.'Aletslch, le laç 'de Marjelen a maintes fois rompu ses digues. Après avo,ir ~ranohi la Gemmi on atteint le Daubensee. Le lac du Grand St-Bernard a vu 'défiler la foulle des conqué~ants, des pèlerins et de~ ma~chands. Les lalcs de Ferret, le lac d~s Vaux pr~s du Mçmt Gelé, le lac de Lona ne sont que de petits l'aos alpe,s~res. Les lacs de Barberine et de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de la Lienne ont embelli les sites où une place leulr a été assignée par le génie des hommes. Pour les besoins de l'industrie, les ingénieurs ont suréle,vé le nivelau des eaux de l'IIIsee et du loc de Fully. Celui de Derborence est le plus jeune des lalcs suisses oréé.s par la natuTe. 6n hiver, Sédunois et Sierrois s'ébattent sur le's lacs de Montorge et de Géronde.
Forces hydrauliques Le Valais est certa,inement un des cantons les mieux ~avorisés au point de vue hydraulique. Il produira. bientôt 9 milliards de kWh. (Suisse 20 millia'rds). En été, la neige accumulée sur les hauteurs se dév'erse en torrents abondants jusque ,dans I·a pldine. . Mdhe'U'reusement, il n'en ya de même en hiver; ,alors l'e débit des co'urs d'e'au ·est minime. C'est pourquoi, dans le but d'assu'rer une 'rés,erve sluffisante pour cette saison, on a 'construit des barrages et créé des bassins d'accumulation. t 'es l'a'cs de Barberine, de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de Salanfe, de la Ue'nne, de Fully, de l'IIIsee aHmentent les usines de Châtelard 'e t de Vernayaz, de Chandolineprès de Sion, de Chippis, de St-Léonard, de Riddes, de Fionnay, de Fully, d'Oberems et de Tourtemagne. On envis'age enco're l'a construction d'a'utres bas.sins. A l'entrée de toutes les va'llées ont été édifiées des us'ines électriques qui fourni·ssent la force nécessai're aux fabrique,s de Chippis, de V'iège, de Gampel, de Martigny-Bourg et de Martigny-Gare, de Monthey, de Vernayaz et de VouvrYi elles produisent aussi l,a l'umière et la force uti'lisées dans nos viHes et nos villa'ges. Une partie de l'électricité produite en Valais est con'sommée dans le reste de la Suisse. Il y ·a ,e ncore bien Ides concessions à ·a'ccorder et toutes osll'es qU1i l'ont été ne sont pas exploitées. -145 -
QUESTIONS
Mines et carrières
la carte hydrographique des·sine tous les lacs cités. . Cite des la'cs créés ou surélevés par l'homme. Pourqu'oi a-t-on fait ces travaux? Cite un ,l'a c près d~ Ze<r1ma,tt i un au,tre dans la vallée de Saas. Monte a l,a Gemmi, quel l'a c vois-tu? Où se dévers:ent s'es e'aux ? Que:1 I,ac a .c?'usé de g.rands. dégâts par la rupture de ses digues? Que.lle 1,00oa'llte de la plaIne qUittes-tu Ipour monter à Tanay? . Monte a Ohampex par une route et reviens par une autre. Tu as fa,it le tour de que,He montagne? De que'l village d'Hérens pars-tu po'ur te rendre à Lona ? Comment. le loc de DerbO'rence s'est-il fO'rmé ? de quel viHage t'y rendras-tu? on longe ses riVes pour monter à quell cO'I ? . . De Ve'rbier m~nte au l'a lc des Vaux et descends en plaine i tu passes par que'l vl,IIage haut perche? . Calcu'l'e le tem~'s, que tu mettras a1pproxima,tivement depuis l'a g,a re la plus proche ou une !'oc?lllte connue po'ur 'atteindre quelquels l'a 'cs cités. Consul·te bien ta ~al'~he, cherche 1altitude et rappelle-tO'i que l'on s'élève en moyenne de 350 mètres a eure. Organ ise une coursé à Tanay, à Champ,ex i consulte l'hora:ire i établis l'itinérai're.
On dit que le Valais est riche en mines pauvres. En effet on y trouve presque tous les minéraux, mais en quantité si pe·tite que leur extraction n'est pas rentable, d'autant plus que l'exploitation en est coûteuse et difficile: les filons, peu impo'rtants, cessent brusquement à cause des bouleversements qu'ont subis les couches géologiques lors de l,a formation des montagnes. Pen'dant la guerre on a cependant explo·ité avec profit les mines d'anthracite de Chandoline, de Grône, de Dorénaz, de Ferden, de Nendaz, etc. Saillon a livré pendant longtemps un marbre ayant les plus belles cOllorations i celui de Co./lombey présente un grain moins fin i quant à ce,lui de Chemin, on le concasse pour en faire du simili. Les carrières de Collombey, de Granges, de Gampel fournissent des matériaux appréciés dans l'industrie chimique . Vollèges, Saxon, Sembrancher fou·rnissent des dalles, 'Ravoire du granit, Leytron, Hrigue, Zeneggen, Orsières, D-orénaz, Sallvlan, etc., ont des ardoisières. Le gypse est extrait à Granges, à Fing,es, à Charrat, et près de Brigue. Chemin a du fer d'excellente qua·lité. La pi.e rre ollaire de Bagne's est appréciée pour la fabrication des fourneaux. Les mines d'or de Gondo, celles d'argent de Bruson et des Trappistes près de Sembrancher ont eu leur période de prospérité. Les mines de plomb de St-Martin, de cuivre à Grimentz, sont aU'jourd'hui ahandonnées.
QUESTIONS
La grande industrie
Pourquoi le :.'alais est-il riche en forces hydraulique's ? A quelle. saison !e ~~bit des rivi~res 7st-il le plu.s consi~érabrle et pou'rquoi ? . PourquoI a-t-on cree des ~asslns d a'ccumu'l-ahon? Cites-en que,lques-uns. ~es ,eaux du lac de Barbenne sont utilisées 2 fois. Où? Ce·lles de l'illsee aussI i ou ? Celles de la Dranse aussi i où ? Combi' e~ '~e ~<Wh le Val'a·is produlira-t-il dans quelques anné,es ? Et la Suisse? .~O'urquoi 1uS"lne du Rh~ne à Chippis donne-t-elle plus de force que celle de la Nlavlz.?nce au meme endro'lt, alors qu'e la 1ère a 50 mèkes de chute et la seconde 550 rmetres ? D'après cela gu'~st-lce qui déte'rmine l'a puissance d'une chute? .Indlque les pnnclpalles .usines électriques dru Vallais. Viè9~e:quelles donnent le courant aux fabriques d:e C~ippis, de Martigny, èJe
l'solé, privé de matiè're's premières, n'ayant ni fer, ni houille en quantité appréciable, le Va,l'ais pa'raiss'ait fermé à la grande industrie. Pourtant, aujo'urd'hui, grâce à la force prodigieuse qui des'cend des glaciers et que le génie de l'ho'mme a transformée, des usines électriques ont été construites à l'entrée de toutes les vallées. Parfois la force est utilisée sur pl'ace, mais souvent le courant fourni par plusieurs centrales est concentré en un s'eul point. C'est le cas de Chippis en particulier où ont été construites les g'randes fabriques d'aluminium qU'i ont produit jusqu'à 60 tonnes de méta'l par jour. Près de Sierre ce métd est transrO'rmé en fil, en barres, 'en tôles, en tubes, etc. Viège es,t aussi un centre industriel qui livre outre les engrais, les produits chimiques les plus divers. Gampel fabrique le carbure~ Martigny fournit aussi des engra'is azotés, de l'aluminium, du magnésium. A Monthey, les usines de la Ciba de Bâle jettent sur le ma'rché les produits ohimiques les plus variés. Dans cette locallité on fabrique des pierres scientifiques pour l'horlogerie; il y a ·auss,i des ateliers mécaniques impo'rtants comme à Sierre d ~ ailleurs. A Gampel on fabrique de puissants explosifs. St-Maurice et Vouvry ont de grandes fabriques de ciment. Ainsi de nombreux ouvriers trouvent à l'usine un gagne-pain assuré et l'aisance pénètre dans les foyers. M'Olheuf'eusement il y a aussi le re~ers de la médaille.
S~'r
Pour combien de temps les conce'ssions sont-elles accordées? Qu,i a'ccorde celles du Rhône, celles. des rivières? A qui les redevances sont-elle:s payées? De que~le'S concess'lOns nouvelles as-tu entendu ' parler? Collectionne des gravu:res r~pr~sentant les usines électriques du canton. Sur la .oarte hydrog'raphl'que, Indique les oentrales ·électriques. . . Co~b.len de che~aux defO'rce consomme le moteur du forgeron, du scieur, du menuIsier de ton village? -146 -
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QUESTIONS
PRAKTISCHER Pourquoi peut-on dire avec raison que le Va,lais est riche en mines pauvres? Pour quelles ra'isons' l'exfraCtion du min'e'rai n'est-ellre 'pas rentable? Renseigne-to,i 'et cite toutes les ~in~s et carrière"s ayant été exploitées dans ta région. Fais une collection des minéraux de ta région. Dessine la aarte ~inièr~ du Valais. , Dans quels districts pl,aces-tu Vollèges; Saxon, Sembrancher, Zenegg'e n? Sur quell'e rive du Rhône se trouve Collonges? La pierre ollaire n'est plus guère exploitée i pourquoi? Où a·-t-on exploité l'or, l'argent? Où y a . .t-ir1 des carriè're's de marbre, de dalles, d'ardoises, de gron'it, de gypse? Quelles mines surtout ont été exploitées pendant la guerre ' i pourquoi? A queHe commune appartient Bruson ? Dans quels districts pl,aces-tu St-M-artin, Grimentz ?
QUESTIONS
Qu'en~end-on
par matières premières? LaquetHé appe,lée pain de l'indust.rie manque en Va,lais ? P,a r quoi la houille est-elle remplacée chez nous? Quelle est l'industrie florissante ~n Va'iais ? Pourquoi cette industrie s'est-elle implantée chez nous plutôt quiailleurs? Le Va,la'i,s a la plus grande fabrique d'aluminium de Suisse i où est-eHe ? Cite deux fabriques d'engr'ais azotés, . D'où ces fahriques tirent-elles l'azote? Où y a-t-ii une fabrique de magnésium? d'explosifs? de ciment? Où se trouvent les deux plus grrandes f'ahriques de produits chimiques du V'alais ? Quels aylan~ag'es la grande industrie a-t-elle apportés au Vall ais? ·et que,ls inconvén ients ? Etabli~' la carte des industries en Valais. Consulte ton atlos.
LEBENDIGE
TEl L
SOHULE
Aufsatz ouf der Oberstufe
ALLGEME/INES :
über ,e ine sCJhdl~tJstJeJhleris.ohe A'l'1heit: «WIa.>s der .hier in Sciten sag't, Vet'l111a g rich in ein para'l' Sa,tzell rall1!s2'ludlJ.'ü:clœn », In wen!Î.gen W OJ.',ten Vii el sag.en, d'a s soililte Pal'O'['e des Spl'a'ohunil'el'richl'es S'mil. Treffre ndle Tii:tig. k ei tswor,ter, chara:kltel,isf~s c,hre Beifügungen zum gegeb:en:en Ha1lJp,twO'lJ.it, g,efasst tÏ!n krurze lclalie Siitze, dmin J,i'e glt S'a!f.t un:d Kl"aifit U'll!s'e r:er Sprl'aohe, D-aiS müS'sen will' ühen, SchuilIung ffu1S ,LeJhen rÎ,s t gea.ia:de heurte, tÎm Z eiJta!l ter d,et, HO':chkonjulIlk'lJnr, d 'a\'> .Gege· bene. Diie Sprache e'l1l11ogr1ioh t d,en Harrdrell und Vierlœlh i', ,s i'e Is'l1eht aberaUich im DlÎ'en's te d'el' ,l'elÏ.n jp.e lisonJ.icben Biilidunrg. SohO'll dm'ch IdÎ'e W:ahil der Themen g'lieif,e n WN' I:i.n d'Le Denlm'11t und in den Interessen· l(Jl,eis des Schiiileris un:d V'er&U!chen I\lil11ZU' fOll.1lTI'en, zu iJrenl~len ultd Idrahrin zn steuern, WO' für mIS Id ie Wle11te ilri.egen, 1
DraiS Zi'eJ des AUfs-atzes ist schO'n geJP~rag,t wO'l'IŒen, la bel' r{!iS Isohte:il1lt m lÏ!r SO' wichti,g, d,aslS .irch milJ.' ,einJe WIie<d'ea.'llOJlu ng gesll1artlte. Wir stœhell in uJ1iser·n. .AJu1isa.tz'srtun:d!en an : einell ,saichlliichen, einjf'aCihen, ehlùic:hen StÏll im mündll lÎ:<.·Jhien und sclll'iltliohen AusdlJ.'rUck, Aurf ,d'el' Ohel'stufe mo:chl'en WIN' gtC11aldie d1l[oh d'e n Alllifis'atzUlnltleI111Î1oht -d,ire jungen Mrerrsdlen IaIl ,e in 11l1alre's, bestJÏ1l11ml!es o,en· k1en, Spl'eohen und SolllielÏrben gewohnen, Ers muss iJ.ab'eIÏ clen v,el1Schlied,e nsllen Au{· galh'en dleJ.s Lebel1!s, IselÏen 'Slie IIH~l'So:niHohel1 oder .ge.schiitf,tlrichen 'I nhralts, 'g edrient sein, Zu seIn sind ""il' nO"ch ,d er An\'>Î:oht vterhaJf1tet, AUif,s'aiIiZ sei l1iur ,dla's, was man ühei' ir,g~ntd eÎ:n Tihean:a ·sohrl,Mb'e, DaiS is:t M'c ht liÏ'o htig , NlÏlcht nUIl' ,d la s geJ.sohni,o oene W'O:r lt hat seiÎfnen W;elit, un:d - gel,ad'e nridht :d i'e s'eJs. Wie d le r Mel1ls'c h spl'Iichlt, SO' schreilit er! DalJ.'um sO'()Jltle ,41 1U11Isea.m Solruilten besO'ndlel'!S l3.uoh der mün:d!l.iohe tAm!drlllok Ig,epf1legrt w,elxl~n. rBli t'lIe, Miohit der mündlliirOlle A'Il's·dlJ.'1l.1Jok Id 'ffi' lJehrklJ.'aJft, sO'n:Œelm Id 'e r d ie s SchUlrel;s, nais gespr.o:ohene W'O'r.t s:teht an 'ers'tler Sl1ellle, d,aiS gesohlJ."j,Bb~ne Ï!slt diiJe ·sicihtibaœ Pl'ag:wng. In doer A'lliSdrrucklS. schu.iJ.ung ihaihen l Vlir dem ges'P1'O':dhenen W O'1',t ge~enüher vi,eJl dtiJe gross:elie tMoglli.tchk,eJit, Hiier kO'lli1Jen W'N' 2'lum kilaœn Arusd'l1llCk 2'lwÏ!ng en und Ifollidern ISO' ldal~es, heSl'irfilllllttes D-e;n}œn IUIltd SohœÏ!b'en, W~IJ.' hekampflen aruoh Wullst und Ul1wahrhreri.t, lm ver,gan· glenen Sommer hOlll'e ich einiJl1'ail d-as Ur.teiil l
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WAHL DES STOFFES : Man waMt ,dteshra[b StO'f.fkrlieùs'e und Th.e· aus c]rem ElllleJhMis'berelÏJoh die r Sohü:ler Ullld suoht rd iese ans2'lulV'ei,ten und zn fO',r · men, dralsis ,dile SohÜil'e r Id'œda.U1ch hineinlV'ach· sen in das Denk'el.1, SplieJohten und Tun des Eln\~alchisel1'ell. D,1e Be'O'tbruohlUll'g und Sohillde· liImg eirufta'ohet, VO'l1gange, Haltdiliunglen, Ge· sprrii'ch'e und Elil,elbn'i:sls e IsolJ.rlte auch auf der OheliSliUfle den S~O'U 'bÏreten, 'lNll S'ÎIch ge· d\anJdl~Clh,s:preohllechntÏJsoh und im sC1hrif.rli· oh en Ni1ed'etischl1ag zn i'ttben, Dite Anrf<e11t!Î.gUUg 11l11.<alpper, auoh scJhlagwO'r,tal'tlÎger .AJufz.e:ioh· mô n
Ilungen 'aus Ge1esenem und Geho·r.tetm J'e'lmt den Schül'el', W les'e ntliches von Unwes'e n'tIHCh'B111 2'1U 'llIlltlersoln!Jidle n, genau zu denJ.l:,en . Dell." Haup'takz ent 'setz,t Id ie Ohe11stuf e ahell.' auf6 Bl,ieflsclweiben, das nooh 'eigel1!s heha'l1:dletlt 1\W:~il"CI.e1l1 s'On. P,e11sonMche und g,esch8lfltlliche Brief'e mil,ss'en au:s~e;führ.f, Fm:l11u1lal1e von Po st und Bahn ,aiUlsg.efüUt Well.·d'e n. DaJs IÎst 'PlialClüsche Sohulul1'g fürs Lehen. 1
AUFSATZARTEN : Dile's'e lass'etl sÎ'oh in d11eHach'er Sicht ein-
~eilen. Del11 1ll'haJlt nach unte'r ,s oheiden war:
EdeJhllitS-, neohaol1tungs- und Phanf1aSiieaufsa'tze, B-es'dhreihull'gen und 1nbaJl ts'an!g,a h en. Charaktell.'ist!ik'en und Ahhan'd[lll1l!gtffil gehol'en Il!ioht ,i n 'd ile 'Pl'ill11'arsclliUIlen. Zl\v,ing,e.n wrur d'e n Bohüler nioht zu IUlltei1en !Und' ,z u beurt!e~l'en, wenn 'Sein GeÎlSit iJ.lo:o h ntic;ht '1:eÎlf i Sit. Die Bayler,i sche Metho'dik kleillll1t in ihrer AUts:drucklspftl'egie nul' die iEr,ûihlul1!g, dIie BesdhI1eihull!g, d,ie Schitlch~lllng und den Hel'Ï'dht, w,ie 1Î'0h j'a 'SOhOIl 'daJq~eJl'e:~t ,h ahe. 10h finde tdliese '1nhaJ~ts-EinteiJl'llrng Mail' und nüchltel'n lwrrd Id!e:sha[h gut. Uniter ,den El1lehnisauf's,atz f.aUen vor aJl1el11 d'Le Arhe,i,t!sheI1ic.hte. Mit d'e n Beohaohtungsauflgalben 2'1us'alIlll11'en, soilJlJen Is:Î.le tin d:ffl' Àrusru1ll01(lS'schu1lung dO'mil1!iel~en. ,GeI1a1d'e dIie tBeohaohttu'llgsauf,g'a hen ISÏn:d wel~wol1Jlst'e sp,l1a,ohHeihe SchruIlung. IS ie 2'1Wlmgen dern SchüII'e r, seJine Sinne IZ'U offnen und Id a's, wa,s el' waru:n~n1J1llit, Isp14alcJhiliÎlch Il'kht1Î1g 'zn Ifo!rmru:1i'ell.'en. Eine Bildh:ett;arohtung k 'a nn lein:em heil.f1en, drus s-pmchllIiche W 'achsel1 zu kOll!Sl1atJÏeren. Man. la S!se le l'st da,s IB ilM heschreiben, o:lUl'e vorherig,e Be:spl'eohung. Hen1:aoh beat·heri,te man es 'Sys,ttel11'Mis'ch mit Idler Klals'Se und verlan,ge nO'chl11al1s e'Î.ne BeS'c:ht<eihtmg. Anl:ian:~s- und Sc;h1uS'sheS'ohI4eih:ung 'V'er~liCJhen, spl;ecJhen e:in d'eu:~lÏJcheis W011t. Ber FOl1l11 nach s'pDÎ'dht man ehenfla:}jls von 'e i,n er :BelîÏJchts- und IB e:schl"eihung.sfmm, von Ta~eb:U'ch, PersonÎlf'i kaJtion, Gespraoh und Bl'ÏeJf. Eine 'wge11'e FOlll11 1-st 's,i cher auch nO'oh der GeschM,tlsaufls atz. Bile notwendiglSte und ge,b rauchiHohs'te is,t die er,s,fle. Dais T 'ageJbuch ka11tn ails eig'elleJs K,1a1SiSenheft gefülUit wBlidlen. iOtie Bffl'sonLfil~altion muss s;clLtell Is ein. W~,r wo:1l.en aJuf der Obei~SItlufle das Will'ktltiohe Ulxd ni'd ht dlals iPhalJltals,i oomals-
S'1ge betol1!en. Das GeS'prach dient d 'e r Vie rti:ef,ul1g der ~vO'l1111ilchange.führten Rede, Bell" BrÏJef kommt ,ein Hnd'ermall 2'1ur Spr;alohre. An den Bi'i'e f s'ch!l,ie:s's t s~cJh Id'e r Ge:S'ohiirfts'a uJls:albz, dler 'a us dlen Gegebenhreiten des MJ,tag,s heraJUlSlwiid1Jst. Der mell!ho:dtÎlScJhell Behm1!dll ung na'ch spdoht m'an von StJilüblUllgJen, Ailllf,s chredbübungen, Vion Id.em hailhfreiJen und ei~ent licll'e n Au,fs'a tz. ner ,ei,genrlIi,c;he Aufls'a tz i'Sit c1JÏJe Fl1ulo ht 'V'ieter Sip'l"laicMiJc;her Benn<ühungeill. SoN er Ialls wli'l"k'1itell k l 'e ine's, 'eri1~el1es Werk dastehen, Ih11auohtes :eil1 DOiJ.)lpeiltes : 1. 'es lUUS'S enVias vOlnan:den IS'e'ÎlI1, wOl1üher 111lan ISipa.1e;ohen u 'n d schœwhen kann. DlÎ.le Eefia,lUiu11'g un!d d'aJs Bedül1f'll1lÎ1s, sicJl nl)Î,tz'uteil'e n, :muss da S'ein. 2. FOll1mall e Schl\V1i.ell:igk'e ihm müss'e n duœh VorühlUng,en heJslei'l'ÏJgt ,V1ffl,dle n. Gesba1tJung.gmoglrÎ'chklelÏllJeill rflηrl1dleill w.i,r 'g lenü{;'ellldill clen ve11s'cJhÎled!enen W 'o'rtschaillz- l}Il1!d 8611, ühlUllgen. Bile ,AUiflS'chr,{~ibühung werden in dle n untern Klassen geanleJis~el1t. Aruif der Ohe.I.1S1t1Utfe b eig,etgnen ~Vlir V:OIl' a!l1e'm dem haillbh,eiite n un:d eûg.entilichen Awfls'aJtz. Halhfr,oi ,ÎlSit d'Î'e heste FOIl"illl. UIl's'e œ 5chÜller müss'en aJucJh im Auf,s·atz eliSit angeœ,glt u!l1d g:eJleillkt w el'den. Die Lehrlm'alf,t Mlfrt hei Id 'e r Stolffwruù, 1Î,l11 'AU'Sldruck und in d,el' Ge:cl.arnlœno'lidnullig. 80 ffll,~Sltel1ll: rue BerelÎ'tscJhatflt 'zur Nri'eiœen'sohl'i,f,t. lDrem ge!genüheil: sreht l1un d'e r Alulfs·a~z, in 'cl,em ,dler SchüI.e1.· ganz UtnheJeô.nftUtsSit sei11!e Gedanlœn üher e:illl von ihm gewahIrtes Theana aruts. drü'c kt. Dri'e f.rill.chthaDe AIl'be1t 1,iegt hier in der gellll'ei'l1.Is'aJJ.lllen Kon1ekltur, in cler g,ef,e11t, ge' al1del1t, geMa1.·,t wlÎ'l,d. Pll1ofle sso'r Ad(rffl1l11anl1 , neti 1aug,t in s'eÎne!!: M:eltJho:c1Jik, d'aJS's ,der LeJhœr T,aklt, EinlfüMungs{;'ah;e und VerSitaI1ldl1lÎls hahen 'll1üs:se, wollllie et' dli e 5chüI.er ge11adle im eigentiLiohen Aufts'altz wirklich ford.ern.
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BEISPIELE AUS DER PRAXIS EINIGE STILMUSTER. Die Landstrasse lebt. (Lud'wig Thoma) Von untlen hlÎll.ù(rt di'e Land's tl'as's e, vffl,s'chwind'eJt hill)~elr ,den F,clJs:en, kl'ÏJeoht eiÏ.l1!eIl Hügle l hill1atU1f ,u nd laui1t clU14Cih elin olfif'e nes Tor in
dien WiaIld. Sie kommt von wîeÎ.t her und 'g,eht in di:e w.ei:te W IeJlrt: ll'iil.l'aJU's, Mer in deilll Bt!iJ1I'eill W,ink,el alb:ffl' l{1ann sile ge'l11a dhLioh 'tun m1!cl ' s'ÏJch über lrue BlÜ:\1en freu'e n, 'dre von d 'e n a!ll!eJn A:pi~eJ1hartlill1len in ÏhDen ScJho·ss fiaJ1lJen . Die RaJS:t mag ihr wolliltlUn, denn sie <Î!Slt aI1t und hait V1Î1~ g'elsehen in frühern Z'eliite.n, aJl:s 11'0'Oh gl,o:ss'e ' ,H effl;e ,auf ilh r hirl1.zoglen und Ge:scJhiitze und Wag,el1 den StaJUh 'aufowlÎrbe/hen. Te~t und he:spll"echen Iihn.. Es IÎ!s't cine P ,ensoTIlilflÎlm,tion. W'e l,c1he W Oll"t~a'lit kenn~eJiohnet dais? WIÎ!J: he~cJhten d 'e n Ühffl'gaJng von cl,er Geig:enwallit in ure Vlffl·,gan~eil1!heit. Die StIl'als:se IŒnll no'ch l11ehr ron: Sile 'Siteig,t, ra,lM, winJC1'elt sii'oh, S'chilarrgleJlt siCJh usw. Wli r S'uchen le:irre Anz'a hl so'1cher Â.'lllSldrücl(je 'l.md sohre.1!hen \5IÎ.le aurf. WIÎ.Il· ver,s uohen 1lllU11, ,N'ViaiS Xhnr1iohe's da!"zUiSirclJleIl mit ,eill1em Weg, elÎJnel11 Haoh, elill1ean Sdhilel1et1JSiliJ1ang, .e;inerm WtaiLd'l~an:d.
Aufgaben : WiÎll.: ILeiSeIl œen
Kleine Schilderung von Peter Rosegger ]jc;h INielte hinarus in Id'Île lJÏJohlllHlg. Eill ûlJl'e.rn-
d,er Luflllhauoh 11Îeselt mlÎlr ell'tgegen. H:eI11grij,I1es HeJidegebÜtsch oot den ro,lfen BlÜl'engllo:dk1chen dter Beeren Mer und dfUtnl~el'glan21end,e.s J>1l1eiÎ.1sel1h~eierkl'aJut, wie em 1U'ianz immerg'rül1en LOi"lheffl1s ranzUlschauen. üher dlÎeS'er dlllf1tenclten lF11ur e11hebt 181.oh cin sohwal:zieJr Stl1Unll:, l1lÏit dlean gehoh'eII1etl1. AIl1l11 sei'J.1'es l~al11en AslJeis 1rO't2'1Lg d'e:m HiJmmru dro'hend, weill dileJser dill'liCh 'e men na'ohtlli1chell lHùl!zstJ.',ahIl ihm d,as Hauipt ~eJs:p'aLten. Und es eliheht siloh d'o lit 'g r,a'Ues, zerMüfteltes OeJSiteim,
in d leSSel1 SpaJ:lJen sich di1e ,h ehell'de i')idechS'e 'bir'gt und ,d,i'e ,S'c:hIiIJ11Jmen1!de Na t'ter, ul1ld an d'e~S'en Fusse cHe hl<eit!en, ,dur,ohbrocl1!ooen Bla'tt'm' d er F a'nùuii'l1lter und d,ie b!laiU~n, aJ~HOlit g'rill'S's'sohwenkend'en Hül'c:hen der Enmra ne wnchenl. WLir sU'ohen che Eigenschafltis- und Mtittte1wo:rter h 'eraus iund sl!el1en 'S'i e dnall1d'ffl' ge'g,e nüb'er. Wler find'e t clats W'Ol)t, das wlÎ.le ei'l1 Mittmwort au's's,Le.ht und doch k eiÏlnes itst? WLi,r hrauchen di'e MitlieJlworter ~n and'ffl"ill Sii,tzen. 1
Tf/O ' WOFIIN - WOHER 1. W,ill' hi'ld'elll Sii,t1ze : 10h l11odlJt1e wÎJssen, wo ... Ldh 'S'uohe aillf d'e r Km'lie, wo ... Der W1egwetÏS'er Z'eÎ'g,t UNIl., 1v,0'h'Ïn Der B'l1Îelf.slien1Jp·eJl s'a gt mtir, woher 2. Wli r iLea.111'e n den SOh011JSlJen W'o-Sa'tz d:er de!uVschen S.prruohe aJusweilldig : Wo dit- Go,t!lles Sonll'e zUle11st ersohtileIl, wo chr IdlÎ,e S~erl1e d es HÎ'm~11'Clls zuerst l'euchl!etJen, wo ,j'eine BJ'Îttz:e dk zue14st seine Arl1m,ftcl1!t offtenlbrur,ten ullId s'e i'n e St!urmwitl1.d,e dil' mit heilligOO1 Sc1u:ecken dm'ch IM e Se'eJle hliaus'~en da ÏJst deJine ,L iebe d'a is:t deJin ViaJl!erilaJIlld ! (EtIIlSit M011i,tz A'ltrrd,t) Kall11l'st du etw,aJs Ah11l1iohes auf's'tellilen ? W 0 - '\\1'0 - WO ... ,da Il .iegt m 'cirn HelÎma'tol't. Bi.lde Sa:tz'e mM Wo - da, Z. B. Wo die RJholl'e ,einen schadien WilÙl:lell MM'e t, d'a lite/gt MaiJ.111Înach.
Der Aufsatz in der Haushaltungsschule A!llbin FRINGELI
Das Sprichwort in der Schulstube «Eir1ll11a[ Îlst kelÎull11all ». nas IÎtsit d'als veril.'Ûg'enS'l'e illilld sohilimrnStte UIlll!er aMen SPl'LC;hWOlitern, UlI1!cl w'er 'e s geIll'acl1ll: ha.t, der wall' ein 'SchLelchl!er RiI~CihnlUn~SimeJi,Sl'er oder elÎn hUSlhaf,ter. Eil1111'a[ i st wenlÎg's teIl'S ei'l1lluall , und dall'an [a.sst sich l1'ÏJohlIJS alh ma,rl(ll!en. W'ell'
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eimll'a[ ge<S'tohrlle n hat, dffl' k'a nn S'ein Lehen lang nlmmer 1:11'1t W 'ahrhelÎlt lUJJ.1'd mi,t fll'ohem Her,zen sagle n: « ,Gotillloh! ' ioh hahe mlÎch nie an fr:ell1lfden GUlt Vierg'n iffen ». Und weTIon der DJeb el;hatscht und gdlenkt wlÎ!J:d, a,l,s:dIffi1l1 ist eimnail nicht kei'll!maL Albe.r d,a.s its,t 110ch n.j,cht a:HoeJs, soncl.ern man IŒnn m:ei-
.;,tens mit W~hdleJiJt salg,en ,: Eitnmall ist z~hrn · ma,l und Ihll.ll1.d'e11t· und tTa'll<S'tmdJmlail. iOenn wer ,&a,s Bos e 'eirn.mail allg'e fang:en hatt, cler s'e:tzt 'e:s g,emein!i.g::Li.'c h auoh fort. W 'e r A ges'a gt hat, der s-aglt auoo g,ell1n B, und allsdlam1 ItJri,tt znille tzt e1Îm Iandlel~eIS Spl"Ï'ohwort e~n, dlass dler K'l1Ug ISO Langle zum BII.'UI1l1ien glehe, bis el' hr,Ïloht ». D~I~s'e ImTZe B'ehiadlllIUrug über ,e.in Sprioh. wort karnn nUl' von J o'hann p lelier Hehell stammen. Hat el' uns daml~t nùcht g,eze'Ï.g't, wlie w'IÎlJ.· eirn Spl"i.lc:hwol',t atls AIU'sg'a nlg\Sipunl{jt vu ei~1Jem Aufs'a tz V'erwen:d'en konnen ? Es ilst s'ellh:s'liVe'llSlta'l1idlli,ch, d-alS!s rWŒ'l' d Je:m SpniclnvÛ'llt in der Sohu'l e nlilchtt eiJ1!en aililzu h11ci:ten Rla um \C!i1l1ra'll!n1!en koml'en. Es wal'e aber verf'e hh, we'l1n wlÎ,r an diÏ'es'e r QueUe, an d,e:r «Wieishe~t d'e'r Glasse », achtlo:s vorüb:erge· hen wÙl.chm. Dass dais Spl'i'cihwor,t ni'Ciht nn· mer ins Sohw/a<rZJe tir,iJfft, heweilst schon d1a's oh en z,i tire,rt:e WOl' t: «Einmall ist keÎlnmoo ». WTir machen U1l!S in dler Re;g'eJl kcine VOl" s~eilJ1ung, wi,e reich ,d'el' Schatz an Sprich. wOlte'l'll heiÎ a/Hen Vo,lkern ilst. nais iJm lJetz,ten Jlalu",h ull'd,e'l",t ge;scha ffiell.1ie Spl'ilchwolI.ltllexlÜlc'Ol1 ' von W-a[<dle r 'tl!l11,flalS'S t fünf Ban<d'e miiil: .eJtw'a 300 000 N'l1!J11lIllet·n. W'Île hat Hehell dla s Spl'ÎchwOlit «Rom ist IlÏioht an elin:em T1age el'1)atut wori(h~Jl1» hear· bcil:'et? Er me.int: «DamlÎt enltsclruldli,g'e n sid1 vieJe f1ahr1la'sls:Îig,e und trage Mellsc:hen, w,e'l ohe ihr G elSIOhafrt ni'ol1!t tl1Bihen und voJ. l'end:en mogen 'lHtd ,s chon müd'e sim, ehe s,ie m~cllt anlf'a ng'en. Mit d'em Rom i9t e;s a1ber eig'ent1ri oh so ~ugeg,angen. Es hahen V'1eI1e fl<eilSls:i'ge Hande vielle T'a ge lang yom fl',ühIBn MO'llglel1 hvs zum ,s pa:tJen Ahend unverd'l'os, sen Jd'a ran g,ea'lIDciJtet und ruicht abgJeJ..aJsse'l1, Ms es f'el'ttig wa'r und dler Hahn a/uf dle m Kil'ohtll'rm stalld. So ist Rom erutstanidw. Wia's du zu ltun !ha's t, nmoh',s au'o h S'O ! » Hebed hat si.oh auoh no:ch dm,'oh and;ere Sprid1,wor,ter zn kUl'zen Autf<sa~z'en für s'elÏnen l(Ja1erIlIder am",egen 1aJSls'en. Dile zwei Blei· spie!le mog,eu U11!S den 'Wieg 'Weils'e n, dieu wii'l" geJle:g:enillilCli1 heschrci~en woffilleJl1. W'alS lieg,t nalml', ails d'U15'S ,,\"i'l" in der Ham,· hai1lIUngss dllUle einm.ail jelle Sp11ic:hwo'IJjer be· tl1ac:hltell, cU'e sioh mit Id er Kochkunst ble.f'a s· S'en? Es ist 'INloht no'tilg, clla'S<s wir alle urn:s:eœ
Hetl1aichlIUngen ni:e;dlel~schl~eIÎ,ben . Nehmen ~vtttl.· aher eines dl~eSler Spri<chwor,lJer ails Aufsatz.t~ted, daun w:el'd'e n wlÎ.iJ.· erf1athren, i\we vIBr· sohileid,en c1i'e Aufrga.bre I!)e!lo'st ~Vlet~den kam1. Phant<asi'eb:eJgab:te SchüJJerÏ<nnen" werden' elÎ.nce Geschichte el,fin~d'e'll, in d ,el' si'c:h die Wlahtl.·· heirt: - oder Unwalu,hciJt? - d leJS Spl~u:oh~ in anschlaJUllicher Ar,t 'e l'iweJi'Slt. And~re W\eIJ.'. den kurz und tIl·o.olœ~ dien Sinn zu erk~aren ",epS(UJchen. Üher <las «K:o'ohen i'111 SplwohwOlit» Elin· den wi,r j,m nelUtis'c.hen Splioinvol'tier\l.exiikorn (1870) foŒget'lde B'elÎrspi:eÎLe: «Gut g.elco'CJ1il: is't .gesilll'd. Man mUSs l~ooben, bevor man anri:chtJet. WIa!S dia' h'eJÎIln glelwoht wlÎl'id, Isolll aUlClh d'a'h 1elÎm gegeS\Sen Wlel~d, en. - WIaiS llÜt~t siteille:s Kochen, wenn man ,den Ti,s:ch nicht ,d'e olc't? - W1er nieht lwchien k'atlln, d'el' MeJihe aUlS's'e r dér Küche. - Sie ko'CIren in eiÎJlliem T'Orpf. Man kO'cht nO'Cih 'am Br'e i. M.an hat's 1anO" O'ekoohlt, halt'Is nul' nicJht kOl1Iuen anl1iiOl:te~. - Er lco:cht Ml aMen ' KfrCihel~ dUl"oh· Er IClo'Cht in . fflnller PIf,a nne einalllder. z\V'eitedei Brei. - W,o mU!n k lOChtt und hriilt, da raJUoht es Îmm'ei" ». Wir konnen aUJf I!)anz v,enrchJÏietlen:en WiC!~en an dlÎ.eJse SpllÎchwo'l·tel' he'11a'llü·e;ten. Wir ,kon,' nen zn e:in!etll Spl'ichwort ·eÎ'ne Geschlic}ltTe et1flÎltden, dite d'e n BeweilS e'l,h'l'ri ngt, das's d,el' S'innspruch heœohbig,t ÎJslt. B:ei 'ge;WIlis's en Spric;hwortle11n l~ei~t es vile:lleid1Jt den Auf· s'astz's olll'eiher daIl1ZJU'slteilllen, ,w,e das Sp'l1i1oh. WOl,t enrtstJand'ell1 ist: IIJ.' g'e nd ein Vorfailil brillgt IdlÎe heobac:hl'erul'e n MeIlIschen dla zu, dli:e FoJg.en einer Handllung in elÎnem kur· :oen Satz zIUSain~11'enZlUfa'S'S'en. net" Satz 1st so scharr und üb'eil".z'eJlligiend gle!}Jr,a'g,t, daiS'S el' v.on MUI1Id :ou MUllJd ,,,,eŒtler,g,eil:'l.1agle'l.1 wird, zum VoJllcB'gul wlü-d. Wj'l' kOll1uen achet· d:i e Arhe1i!t noch an:dtelis alltpadœn. Wh et·kJ.aren r,ein s'3'chJ:Li.Jch den lnil1ailit; v'On dierr D:eutml'g d,e s wor.tlichen Sinnes g:ehen wh" üher ~um übertragenen Sinn. ner V'erflats'ser dleJs Auf.saltZ'es ,w,r '<l dla nn im driUlel1 T e.iJl seiner A,Iihei,t se~ne eigene
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M einung Im~l.drtIun. Sreht uns ah et· zu wel1lilg Z'eillt zur V;etI.·· fügung, daI1ll 1al5'sen wir dla'S Spni.chwol·'t tl'O'tz·dem Iùcht noo'en d,elm W'e~e hl'e gen. Wrill'
'y-ünd'Cln uns in d~,eS!e111 Faililie mit eillelll 1(jUl'zauf'Slé\Il:z hegnügen. Wlertrv01ll ka'lln un'S d,i'Bse A~·be.iJt l1'iohrt MOiss aus sttiJ1iSitJischen Gründen seiÎ.n, sondern atUch alU6 N"zieheri· sohen . AbsiÎ.chven . Auf atlile FaUe werd'e n wir weni~sl;el'l!s mÜllldiliÎ.lch aas Spniohwor,t hehal1'delln: Wla'S v,et1stehen d,a1.1u11Jt!elJ."? We'ltche Bedeutiung, W~dm/l1lg, F0l1l11 U1l1cl wieJl.ohen Geha1lt ha,t ets? J)~le S:chü1erinnen sollilen üb:e11dTi,eJS iVler,a<nll'as~'t "\o\"erden, Sptl.lÎ'c h. wortTer ,zu IS'al1l11ll1'elln 'Und zu 011dnen. \v'er S.p.~Ü'Chwoliter sacrmll'eJ. t, dlcr wlÎ,r d ball d eJinmail ,fieJsi~\reiltll,?n, d ,aslS /SIilc h levl.i lohe Rediens· al'tJ.ell w.itd eriSpl1eohen. 'W ioher k 'o mmen dii'e:s'e ' Un~el'schlie,d'e? Nun, diJe M'eIl1!s'o hen s,i n:d 80 Vle_l'S'ome:d:en, d,atS's s,i e lle i'Clht in g'e1wissen Bil1lgell vel\'5'ch~ediener Mcin'Ul1ig selin ko!l1.· l).e'll. Det· eÏlte rat Ull'S : «Eile mlit W.ei!l!e ! » Èln DratUf'g anger ' aber n1!eint: «FIWsch ge· ~~~g,t- ÎlSt hatlb g,ewo~men ». Ein Sp'als'slVoge1l pf.l.iohrtiet heti : «Jla , frœsch glewa'g,t ist hrrulb ge· wonnen.. . und diJe Trelp lp e hilll.ahgestfu:~,t, ist ' a~ch enrt-l;o'll!nel1!» Er mahtnt: « Wer 1a'llI!)S'a'I~ tut, k0111~TIit auch ans Ziell ». Gehilldel'e, ellÎJnf'oohie Han:drwlel"l}clel' und BalU'ern hahen IUII~S die n gross:en Sohail:z d'el' Sprich. wortler l!)e'sohatHien. Sie hiilden ailJs'O di!ls &·,g eb. n~s e;in'~'l~ 'lml.geu Aa.'be~t. Es spllÎcht ans vtieiLen d~e si~~Li,Cihie Bi11's'vel1lung -des Merusohen, und wir begl,elÎifien, d:als,s sile von je11letl.· gtel"il.-re in d.en . P ,n edig'ten vel'iwerudiet wOlld1en s,i nd . Yor m~11l1.: ~'Î1s hunde~it J,am"en hat Bi~chof J.NI.
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Sailer eines Sffl11'er Büch'e'l' hetüeh: «Weris· h elil auf d er Ga,ss.e, od!e'r Sinll1 Ull.d Gci.st der Spl1Îchwoder, enl Lehtl.·hwch für uns De,U1ttS'che, nlÎ't:ul1Jter auch ,elÎne RUlhebank für G eJlehrte, dir e von ihl1en FO'l lschungien au,s· l1uhen mo'dhten ». l(Jal11 FauSltil11'an'l1 hat 1920 cine vOlI.'Züglioh g,eordn'eJt1e Spl'iohwor,tslamrn1Jrung unlle,r dlem T'ÎlteJ. «AiU's tlllef'e lll Brul1l1!en» het·~lUsgege· }Yen t(V1er.lag He11cler, ,Fœ1ilh lwg li. Br.)., In 1l1'al1'cl1Jem guten VoJJJ.ClSk.rulrendle r fin:den s<Î.ch ,eb:enrtialls SpllÎchworter la Is «RülJlrer ». WtÎ'r heg'egll1'e n Î'lmen Mn wnd wieder auf d:en Bla;tJtern d'el' Albl~elÎssIŒilender. lm 1eltzten Jahrhund.ert hat Hans Herzog hei Sauer· land,er in Aa11atU ein:e SpJ.·iÎchWOJ.·rt sammlung hel1Uusg'egehen. DtÎleise 1st jedoch V1er'g,r iffen. MogliClherwtei.lSe rist siÎ'e in B'Ïhl'i ollhelœn oder in Anttiqua'l1.i,attien nO'cJhruu,[zlUtIl"'elihen. Am nachs too LÏ'egen uns in d'el' Schulsfubc j,eIlie Sprü'c he, die s,i ch mÎlt clem hüuslidwll Lehen hesohaftigten. WtÜ· henoitJÏJgen ja nul' cine kileia'1e ' Sammlung, drue 1.l!l1'8 danu clen Stoff 'lÎ!efert zu Ull'Sle ren mÜl1:cUichen uur1 SChl,i.f,tlichert1 Bem,a(ch~ullgen. Der Erfo~g wil'ù von V'el,sohieidrenerl1 Pwnk1!en abhangilg S'Biu: WjohtJig ilS,t sohon die AlUswahl, danil die Alit d'el: BeJhandilung und hautpllsachllioh die Aa.lfge:scMolSlSen1reJ.ÏJt dier Schi11er. «EiJJe mit Wdle ?» NClin, dlitesma,l he1sfSlt es : «Frisch gewagt i's t hall b I!)ewonnelll ! »
Sprachgebrechlichkeit und Erziehung Allex BI,6LANDE,R, Log orpad Bemerkung der Redaktion : In vie'len Schu· 1en hegegl1'en 'Wli'l" ICtin:d le rll rnilt g,rÛ's's'e rn o'der klLeinern SpI~ach gebr,echen, hesond'e rs sol· <?hen, dii,e ,sto'tt1el111. Und man hat dle n Ein· d,i uck, d'as's manche V'O'l1gesellzten dem zn ' ,velüg B:eachrung schenken. Wi'l' s'Oilihen a<her daran -d,el1'lmn, da:S's diieiEle Kind'e r see· li!sch ,se'lll.· ·zn l1eJid'e n ih<ahen. Sie merken, das's Ehern und arnlde11e V o.I:,gJesetzite sÎ!dh vu wternig um sie Iillmmern und &i'e
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sehen e1n, da<ss ,e:in lSoll ohes Ge:b11e1ohen iihnen auch im sp~i-~et"n FontkOOlunelJ1 S'ehr rJlach~eiJi,g S'Clin IŒnn. narélJUls konnen Hem· mUll'gledl en'tsl1eJhen, di,e . n:eue Qualen Vier· ll'l'S"achen. 10h haib:e pel,sonillÎ1ch meJl'lèmalls gros' ere ICtinder 'u nd sog'a<r Gymllia:sialSlten ge· tr 0 fif,en , denen he1Îm Aufsagen VOl' lauter HemmlUug,en ,dler Schw1e1Ï,s's hel'Ull'~erra'l1!ll. Und wi'e o.fit sind ,dd,ese Klin:d'e r d'e m IGespo'tTt ~threa.· Mi~schület· awsgesetzt, ",i'clJLeJi'cht sog,a'r det· ~
Vorgesetz~en! Ve11SeJt7Jen wir uns eÏlml,aJ selher in die Lage sofcher Kind,e r ! Ers ist sicher eine Pfücht, auch in der Schu1e d,Ï!esen Gebrechlhohen im Rahmen des Mog:1ichen zu hel1f,en, den Sohwla'l.'z't dal'ruuf aillfmerlœmn zu n1'aohen, frull1s ,el' nicht m~t alleu IGnd.em spl~icht und Id ,i e Sprachgebredl'en ni cht f,es~5.l!el,len l\'ann und auch d~,e Eltern daran zu ,el'Ïlul'el'n, d'aS<s sile moglichst für eLne fiacharz,llhohe B e;han:dlung sOll cher Kind!el' sorgen 'so'11Iien. nie fo[genden Awsfriihrung,en konnen dem grescha,tzten Lelll~pers'O na,l Erinb:lrick hieten ,i n ,d as Debiert dtieses Spr<acth.gebœoh:ens, 'es ,beohach~en le;}1Jl~en f\l[)jd hin'WIeisen aurf die P ,f,l icht \liU he[rfen.
Da sich nun gel'iade h:eulie im mit11lens'ohl1âchen Kontatmt Mt ailil de'I.1 Erfol~a.el'I1lis5le>ll dres AUtag·s die Wiohtigrl(le;h dieJS rrichtti'g:en oSP1'aC!hlichen AUlSdl1uclœ mehr demI je er.g,ibit, soheint ~s uns ,atl1!gJ(~lJl1a1cht, l\!ul.'z das Wes'entIii ohe hervo<l'Z'urheben. Dabei wollen wir un-
sel' Augenmerk besonders au! das Stottern richten. Obwoh!l in Id'en iltet7Jten Jtalu',z'ehnl'ell in de'l.' ganZen W 81t aussea."ol1denlJ1ich Heirs!S!Ï.,g an der JiJrlf'oJ.'oSohung d'ÎleJs'e r sOhWe'l'ell1 wm haUlf~gen Spra'chlQmlll(lhci,t gleJal'heJil'et W1Ul~dle, ,i's,t IlTItan limrm er nO'ch 'wleJit von der eIidgüllIlÏlg,en El1l\!euutni,s ,e ntfle'l.'ill>t. DÎleJs'e Thts'a'C1he soilil uns aber 'nioht hilld1ern, fül.' dies'eJs Prob~e'I.ll g.ro:~s'ea.'les InJtrer~S's;e ~u z'e igen und dlalS GeJfundlene positiv zu vlerWle<l:llen. Das iM um;:el' AnllÏJeg:oo . Eis IÏ!st im Rahm'o o eine;s A'l'uikte.1s nichtJs m01g . 11-oh, auoh nul.' eilltigelll11'm~'S:en eine Überswht ühe'l.' tdlatS pJ.·o:Mem <~Spl,a;chgeJbl1"echiltiJch. lœlÏJt» zu g,eben. DeSlhailb enlllscJ1I1rœS'en wil' uns, eine ldein:e ÜberlS~IClht in FOII.1lll von San1!l11elhegdff'en liU rg,e;b:en. J)al'lunllet' fatltlen: 1. Zentrale EntwickLungshemmungen der Sprache (Ho l'tSitummhci t, Seeilien;l!alUbhieWt, Stammelln)
Hile FIl'ag,e, ob i'q~end,ein von d'el' N OTm abWieioh:encLer s:p,r aohilicher Ausdruok mü «GebI1e.ohen» zu bezeiohnen i's,t, wo!1JlJen w~'r hier nicht zur DtÏJskus:S'i on steililen. W ,j,r maohen nul' rd'~e Fle.s~s'liel11wlg, d'as!s trü:tz dle r vielen F 0!l1s,chw1!g'e n, d,e r neuen Erk'eŒl!lI.tJnlÎ.s's e un!d der vielen V'eroff'e nlihchungen aruf (Lem Se.l('tor «Spr,achgebr,e;chen» bzw. « Spra'ch'he;i!1padagogik », der vieJ.e;n Z'll'r Vledügung Slllehenden A'lliliu[la tOI i en, Son:d,e.rkMllderga'l·ten und InlsllÏ.tute, d er speziailiirsÎ'el'ten l(,rafte CA'l'lite, Logo,p ad'e n, Spmchh:e;i'l pad1ago:gen, IG'llc1elrgal'lll1e'1.ÛIl1ll11en) un.d d'el' gut 'enJllw.Îlokeilten ther,apeuti!s'chen A'lls'Sli ohœn auf E1I1fo[g, datsS tl'Otz 'all1dem die bffoentiliiohke:irt w.enig datvoll 'WIIDS'S wld 'sich a'l1ch nilcht besOnlde'l'-s d'a nNlI küm'l11ert. DtÎ.:e B:ed'eUitullig drer Spraohe für d1Îe seelllÎosohe EnllwlÎ'ckllwng kraIm he>1lil'e nidllt m:eh'l' unlier,s oha:tz't wier,d'e n. nÏJe FOlisohungse11gleJbn!Îls's"e der EntwlÎclcl.'IID!gspsycholl ogie und d'el' 'p adagogils chen P.sychotlogie hatben M ·al.' g,ezeti.g.t, d'ass für . rue geiSltÎtg'e Ell!hVlickILung n'eJben dem AUlfn~eJlmlen g1eJÏJstigel' Gütel' und Id em geJisl'igen Al"beitsprozeJSs ruuch d,rus Sich-AiUJssern von g,l eioher Wichtigl(le1t tÏ.'s't. VOl' 'a lil em hart td,ie He:i'1padagogik darau,{ hingewiesen, Id a's's drÏ'e :ÎiIIte:l1el\!lJueHe Entwrckilung zurü okb!leiht, Wienu die Âusdl~uclos fahtÎg,keit glestol'it Îst. « SpJ.'aohe i'Slt ein soûaWeJs Objektgehil1d'e , ein Ge;f>üge von nciohen hesl'Ï:I11Iluter Ar,t, von ar\tJikwlirer,l'en Latu!Js'YlInholle;n, œile il1lllelnatlJb einre r GemeilllSichaftt laJs V,el1Süind;igung.smi'l1tel cHenen»
2. Sprachstonmgen durch Gehorleiden 3. Storungen der Aussprache bei Veranderungen der peripheren Sprechorgane 4. Sprachstonmgen bei Himkrankheiten 5. Konstitutionelle Storungen der Rede. Oirese I\;Jleine AufiSotlei1Jlamg VleJ.',r a!t U!l1'8 d~te W'eii!t11a,wfoigkrBi,t die s Qelbh~Jt:e:s Spl':a chgleJbl'lechlilohlœit. Wi,l' wend/e n unIs de'l.' leitz\llen Gl'!U[>ipe - kon!slJÎ'lJution'eilJJe Stor,u ngen der Redle zu, unrter dri e d'aiS Stotter.n, faihll. 1
DAS STOTTERN Man kaun hezügJLich dlel' Mieinuugell1. über d'aiS Wes'en d·es Stottel1l'ls im aU'g'e'l.uleÎl1Jen zw:e,i R ,i ClhtJull1'gen Ull!tlel's,cheJi,d,en. Hi'e e1n'e f.aJsst das Le'ÏJden ailis OIl'g'a<IlÎIs'c h : bec1ingt ara f, die anJdeœ als funk.,tioneillÎ.. Bei<d'e lli:ohtungen verrleg,ell die Ur,salohe in dtas Zeln<tJ.m[nBl'v<elltSYIS tOOI, OÏJe Vre nf'echtJel' d'el' ,e'l.1s·llen Gl1Uppe sind 'a ber d'lU1cJhaJU!S nIÎ'o ilt einer Mci·. nung, "'Ienn es skh dm',Wffi !1atnœe[lt, dieU Sittz dre;s Sto~~erns genau:er zn }o!Cla!1irsÏJeren. H~er soiltlen besondel"S zWeJi Anlsilch1le'l.I hel'vorgeho'b en wel~den, ersllens jen'e, w,ellchle die 1
(Kainz). ~
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U11Satohe in ,den gl'anen Z'eiliLen des MillteJhil'ollls a~1tn.ehl11'en, cllÎ'e untel' d'em HBgriff « Sh'iatum-PlatL1.iJdUllll» h elmn:nt ,s'il1!d, rund eill'e zw.ei'te, weJlohe d,aiS St>ollitenn ailis Fo'1ge eine,r entzüncl[.itohen EdwanklUug d,elS Oehinl!s, lVlelllll aUCih meÎlSt 11!Ur I 'eÎohtoer Alli:, he1!l1a ch tell. In dlr eJs'elm ZUIs'a m,m enhang mlUlss e'I.'wahnt wel~dlen, das's h eziigJ.idl der FiJ.'age, ()lb aa,s Sto:ttel'J'e~den ~el1!lil1ail od'eJ.' p'el',ûplrel.' b edinlg t sei, hoote krarurn no'c h ZWJeiHietl thes'I!ehren konnle n. Es g,itlt heu'te IQeJinen Alll>tO'l.' von Rang, cler d,i:e Ansri cht vertt.,ûtt, am Sto,tJtern ,s eilen dù'e p el'Ïtphel"en S:pr,a cho'l',g,an<e schu'ld, etwa aie ZUinge, dle'l.' K'eJI1J1koipf o:d 'er d'aiS Gaumensegd. Es giht ab er immer no'Cll Leul!e, a\LI'e'r dings nul' IÎn LaJi'e'l.ùu.eÎlS'oo, d!Î.le geneig.t s!Î.nd, die p'el,iphteJl"en S:pmoho!l1g'a>n'e für d'aiS ZusltanJœek011l1l11'en d ie s Sl'o'tl!el'nlS V'eral1rtW<O'l'~lIÎ1Cih zn rnachen. Se;ÏJt Li!ebmallm g,e'WIÏImt d'Île AI1iSlÏd-rt, d:ass d;ats StOittern in ersl!el' LinlÎte seet1ÏJsd1.e Ursa'chen hraihe, immel' mel1ll' an B edeutmng. Da'5.s dra bei eine UI1!l11'enge Thre ol~ilen el1Jsta'l1!den, bl'a;wchrt nitoht e11s't Ie>r:wahl1't ~u 'VleJ.'id'e n.
Enstehung: Gewohnlich entJS!l!eht dlars StOtbe'l.'il1 im drlÏitil!OO o.de'l.· v:i.etl.1 llen ,L 'eJbensj'a hr, oft a>uch in cIter Schu'le, g'ell eg:ent1ioh in rdle r PruJber'ta't und ' sôhen im spate'l.'en L eb:en. Ber ElÎm tllÎlllt fuI d~'e ungmvohnl!e Umwetll!: drer Schruile hedrelllJoot eben fÜT s0h eue ullid von GŒeidl'aJtriÎ'gen frühea.' ~er'llIgeJhailtene JGll'der ein el'he.blicheJS see.Hs'c hes Tl,aruma. (Diels'e Form n em1lt matn En twiclclulligs-s-to'Uerm). Nach ,eil1Jer Î1l1teress an~ell p'sy;ohollQ~i,s;oh en 11heo'l'.Îe (Johnson) enbSlt'eht d 'aiS StOtllllern dU110h di'e fal1sohe pii'dra-gogÏ!sche Behand[uug d'el' im I(,j,ndes'atIter phYlsiotlogils'o hell Lau,t-, Silhen- und Wor,tw.Ï!ederh01ungen und derle n BeZ'eÎchuen a,l s St'Ûl'te'l.·u. Wegen d,el' f eS'lien Koor.d~nartion samrtlicher am Spt'eJc-hen beN.}ill igten B eweglUugen von Alin1IT.lI1g, Sbimmg.eJhung, Lruu l'hûMumg, Mill1'Î!k und Gesllik @ud gJ1e.j~chzelÎltigle und gJ~eichar tige StoroUl1'~e'l1 a[ll er dlÎleser F,UIlIklliolle n ru sehen . Es ergiht sich d,a,h e,r dlile NotW'encl~g lœi1t, uns lmrz Ibei den SYlmpto'lll'en arwfz'l1hallten. Die Bia~l1to se fa'llt ja ll1'eÏlsllel1'S leJic.}lIt, wenn aals typ.Î!sCihe, je,cIte'l.·lll1'al111 belmlill'te 1
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Sto't.tern vodÏ!egt. Bei der Vi,e1ge.s~aiLlligkeit d es L eidens sù1d abe'l: bes oncltel~e V'BI:1aufsund Eps'ch:cin u'I1g'sf'Glil11'en nlÎcht 's81ten. Von d,en
drrei A:t.iten d'e s Sto:l'ten1lS, dem
Entwicklungs-Stottel'n, lœellu traumatischen und d em hystel'ischen Stottel'lL sol1l in d~ es.eun A11nike.l di'e erste h esp'lio ch:en ' Vle'l.',d,en, we:H uns 'g'erad'e die,s e Art im I(,Îlrc1es'aJl~er weÎltailts am haU'f,i~sten entgeg'e ntritt. Die elsten Anzeichen de;s Sto<Uernls Ilu!ll sioh 7Jumeist in Si1lb:euf\<\',i'e dlel1ho lul1!gen klUIlid. Bas IG'nd wiedre rhoirt eine Si,lhe 50 la11Jg1e, his ihm de'l.· W'eÎJteœ T.eX!t der H ede an den Sinn k'ommt. Dab ei ri,sot es sich der SpDach!stOiJ.1ung . üh edlarurpt noch nicht h'ewiU!sst, sellbs,t Wiell111 diese Symp1to'me g:ehü'l1f,t aruf.tJœllell. D~'e:s ist eÎ!n:e na,tüdruohe IEirscheinlUng, aJml1Îlch wÏJe die UngeJsohicldiohkci,t beüm Gehen!lerneul. W,enlll dmm ab er d'aiS Ki'lld gezwlunge'l.l WÜ1d, un vlel'mÏJtJte 1t zum Spr,echty,p überzugelmll, ' kOl11'111t es lüiuf1ig zu Enll'gJleÏJs'llillg,en in cler eilg.el1'eu Sp-mcJl'e. Es ve'l.1s'l1cht Id anu drire Stoliung,en mit Kl~af,t zu w)e'I.",V'i11'd:en, was dlll'liohaus der ldllldl.l khen Denk'l1ug.sw,ei\Se entspri cht. 1
lndem nlUn ger.ade lru'e Umw;eJllt dùe Aruf111Ierlœ aml('e it 7JU stta1,Jr la uf .dlÎiese Er.scheiI1Iungsf'Ûl1l11Bn leIù('t, Wiü,d aeJ.ll1 Kind drue F'eMlerha,f,ti.gk,e it h eWlllSslt gemad1Jt. Bas ZlÎieà, d,i e B ef! eiung dUl'dl die el,ho:htte AnlS<trengung, ,\'Vlir;d aber nicht le rr'e ioht, rÎ.!lu ,ceg'e n1.1eÏ'l, di'e Symptol11'e WieIiden nul' uoch auffallig.e'I.' und hal'tnackiger. Dillesres StadlÎ.!lull bed e:u1tJet den HohepUlùc.t t d'el' ausS'e,r en K 'eumzeichen. E s wirr 'd auch vom La,i 'en ails S1'O'ttern erk<almt, jeu'el5 L eidren, dars ,in Wi'tzhlütrern urrd aJUJf d'el' Bühne of,t zur Untel'halhung g'e mü1!sroher und b e;sohranl~tJerr Men~) c.hen venVlel1'dleJt wü',d. Nadh e,il1lÎ:g'er Z'eit h e~innt der Stotteœ'l' dœe ErgeJbnÎlstlOiS!Î'g k'eits'einer Ans lil1el1'gung en ein' zu~d');ell. Er suoht daher nach nooen Wegen . mnachst b e~illl1t el' d..ie übei trÏ!eh en:en M'ÎJth ewe.g ung,oo abz.wh'aUJell. Er hdlütlt lm!' solIohe bei, di'e WeI1Mg aruJf,fJaihl'en, ihm athea.' _ naoh seiner M1eJÎI1IU11Ig - do oh hef.f1en. Der Stotte11er baut nun di,e heùeÎlI1S ~ta rk r eduzi ertJen Mill'bewegungen 7JU ei11!eul1 Sytsllem atns, bLeitht ,abe,,: in eÎI1lellU llin'l os!ha1'en ,Abhang,iglœÎltsve"1hiilLtll'its von d'l esem. Ein leti.s"es
AIuflsl'ampfen od'e r Sohamen m.Ïtt dem F;uss, eine unauI,faJJ1igte Han:d lbeweg;ul1g, ,ein VIerlegerres KIJ.'latzen, ein Sl'l',e iohoo mj~ der Han:d übeJI.' den Mund odle l' andere verhail,tene Bew,egun:gen lei,tJen di'e Rle de e,i n, In ,dlÎ:esem S~a:c1if\l[}l itS!t d'ars vel"leg1ene W legMicken sehr Cha'l1a,ktJeD~stJÏtsch, na'llllÏ.i t sind aher diÎ,e HemmniÎs6'e nrnoht ühellwlunden, No,oh bilieib'en dIi'e «sClhwÙimiÎlgien» Laute und Worlter, d'Î'e irg'e n:dWiÏe U!l11!g'a ng,en werde.n mÜJsS'en, nalbei kommt diem Stoltter'e r d~'e Reidùlrul,tigkle it UI1>5e-l'er Spl1aJohe zu Hme, die es ,i,h m ermogt1icht, für dli'e meÏJSltJen WO'l:ter AuS'drüclœ von glhidJ'en unld ahniliiche'l' B:eld'e urung zn Vlm1wenden, d,ie die giefürC!htt>el'en LaJulJe nrnoht el1'tJhaJJten, A.11eIidiÎng's kommlt dtann eill1'e S'ehr gteWiul1!dene /Ulnd U!l11standllri:che SpreooWle'Îls'e zu s,tJande , NUl1'ul'eihr is,t aUich dli'e tÎnnere Spra.ohe gleJStOl't, und aIs wetÎ,t.ere Foil ge l'liÎln eiu,e «V'el1S'chiÎ'efung» der Log,i k e ill und es el1tJs~ehen gte,,"Ïts's e Verandm'ull'g:en der g't-'a~nrl11!lLti;solrell F'OlilU, Dtile se Smme dies Enltw.itcldung;sto'litel1ns wind ~UI'IueÏtst ruls sensOrÎ'soh-aphati:sohes S~acLioUJm hez,eiÎchuet, Bei a'llteren Sto11ter-e'l'n ill'e:hmel1 die s'og'el1lanntten Emholophrasi'e n eÎ!l1!en bre'Îlten R8IUII1l ein, z, B, «na ja, hm, ah », Bwsher sjnd so~usag,en nw: dre spr,aClhiltÛohen Sy1l11,ptome g.esohrilMer,t wOl1d le n, Han:d in Han,d InrÏ't dm' Vim,stih',I~UI'I1Ig dle r spr,aohillÎlCll1len Sympltlome ,g'ehit di,e abwlegige se'e11Ïts'o he Enltw.iddJul1g d'es StoltlleleI1S VOl' sÎlch ,
fœuJcle, Dj,es'e Ei'giel1l1sohaJflten fiÏin:den wÎr aher aUtoh SO]1IS't hei «nellVo's'e n» IGndel'11. Scllon bei <der el1.s<l'el1 StufJe des Soh\\Oel1sitoItten1ls erkennen ,WIJ.' aUSIgedlehllt1e und hedeuts'aJlue VlerM-rdtel11Ul1!g'e n in d'el' Seel1e dies I()indle s, DiÎ'e meÎlsll'en StotIJere.r sind unent!sohJO's'sel1 un:d ~el1flaJllien, die AIufIm 'erk9alIllI~eiJt i>St :lierf.aluien U1l1:d ,c he I(loll1z,Bnllit1aJtlion faJ11t schWier, AlJ.1heÏltsU!11ll'U's,t /Ulnd leiClhtles Ermüd ell ftml1en auf. Das s,i oh 's tandj,g Vlel\5talr' k,en:d'e Nalchidenlœin üher die eÏJgtene Sp'l1aJohe hewtirkt nehen ,d en aruflfiiili1:igen s'p ra'cihiliiohel1 Sy11111pl'omen Stoll1U1ng;en im SO'zœallen VeIl1hrult!eu, Die hiirufti,geu Schocl~Î'el'ungten und di'e Bla'm ngen VOl' d'el' Ul11Igehung füh11en ~ur AIbl~ehr von der Gemei]1IS!chaflt.
IG,]1Ider, dÎ'e ~um StJoUern neigen, weils en haufig seel]sche E1genlheiitell aui, die dlas Sto;ttern hegü:nJSiti g'eI1. Sile ls irrd laruiffaiJJl'en:d a l1gtS,t' Hoh, Is,i e zeigen Imue lÜh'er'tl1Îe'biene FUl"oht VOl' Tienen o:der geWlÏtsls.en P iel'S'o'l1Ien, s,ile halhen Angtst VOl' denl Al11einsein und VO'1' d'el' DUl1!k!e1heÎlt, 'sie flal1100 dUl1c:h Zm1sh'euth~,t, ,durch Uns'ell!b'S'tanœÎlglœi't be:i dlen ta-glhlohel11 Vien1Î1chmng,en lLuf, sÎle' weiol1len glJ.'osserell Sohw1itel\i'gk~t.en a/UlS und neÏtgten ru Ta'g,ltraumel1 wld Tal1cleJleien, DtieJse IGndJer zei'g,en aber auoh einen aUtflflaUendel11 Hang zur Zlllrückg·eZO'g,eIl1<lleit, si'e stind unsicher ~n ihœm Ben'eJmwn, s,i e ersclmecken le~chtt und daIS W'eiÎl1'el1 slÏJtzt b:ei iIll!1'fel11 10'ck;er, Darreben fÜlodet man ails KOImp'e11'S'altioiJl rühel1'tliÎleh'enen EJhrg,eiz, Eitfiet1S1ucht, ja sog;afJ: Ha<S's, hauf~'g au ch Ul1V1ellira,gtl'ÎchlœÎlt und Soha:clel11-
Die El;}('eniJ1!tt11lis, dlalS's .d,e r hlie1111'end'e WUil1!s'Oh l1'ach einer glUltel11lU!nd stol1Ungts.fl1eÎten Spl1U'che vm"gelblioh 'g ewlelS'en i Sit U'l'id dtalSIS aUe AUSln'le ngung·en mTllsonM wa rie n , f,ühlJ.1t Z'll einer tiefIen NIi·eldeJ.1gteschJl.agle nthei t. «!EJs g'e ht niÎ'Clht », ' sagt nun Id'e r SI'Ü'ltte11er 'i mmer ,wlÎled'e r 'V01·lS<ich. D~e AhneÎ'glUng ge.gen die ' Ges'eJHschaft, die jetZit ents'clllie.d'e ne Fol'men WlniÎ11l11JI1t, zieht nOllimendillgerw:eÏJse dli e Is'O:Ii'ffl'Ullg und diÎ\e f,einldl1iohe Ein!&tleJlJlung gtegenübe\l: d;er GemeÎ'nsch a,flt naoh sirlI, Damit heginnt abed: au oh die Z'erls'etm.mg d'e's Ioh, Elin tJi:efleJS Mi~n:denV1er,tigtk!ei'l!s;glefühil behm)11scht d:en S:totteller Ul))d bewlirkt ·eiùe votlili~g'e Vieran:delllmg des ChaDaklllers, Es kOl11ll11,t ~u ei11'er krankhaf\tJen Uang'estlall rung d·es Le;beJ1ls&tli!l,es. ner wei,tere Lebensweg ÎtS!t dU.l"oh SChwiffl,ste EntmfUJtJi~ung, dli e hits zn Sellhs,tmoa.~d,g;~dlankten fii.tlwen lmnn, gel~enn!zeich.n:et. nais Lcid'e n Will d ~u'l11 Hem'l11ls'ohiuh, NiCJht seiliten sllèW1t es sÎlClh htel'a/UlS, daJs's iilltleœ Leute, Me mtenSOhB11Ischeu, wO'l'tl~al'g ull:d vN,arossen sind, e;iulS·tmlall.s Sllo'toorm' :W1al1en, aib:er dank ilirer I~t, dars Le;id,en zu velb:eIigen, f.ast lœlÎJne Syllulp tome mehlJ.' zeig'eŒl. Die aUls's el'en I()eun~e~chen sinid nlilol1lt mehr feJst6,tdlbalr, ather d'Le see1Î's che Z el11Ü!litung Îlst g,eh'liÎeben. Er..st im ISipa,tet'el1 Ather v.erscnwindleJt - mirt AulSnahmell - da,s Sto'tl'el1n ganz , I
j'enes S)'il1l1pitO'l11 eNltl'ifrft ader nÎlClht, ist nLcht Vion primarer Hed'eAllbung, WlÏ!oh'tIig IÏlS<t, da,ss ""tir dÎle El1llIsthalf.tigkeit des StotJl!erns erkenn en, um joo'e n MeIllSohen, di,e Neigung zu driJesem lJe:iJdle n htahen o'elle r die d,etu L~d.'e!l1 scJhon 'V,el'f,aJJ1ell sind, mllt Vim',sltiindn'ÎJs un'el W'ohl1woH;oo ~u hegegtllen und nÎlClht mi,t l1ad,eJl und StmfIe, ,we d,i,es noch a!1lzu oflt der Frulll ils t. Dtie v'eJ.1sc!1JÎledlerl1'en AUisiClhten, d'Î'e 'sri oh ~uld.em duroh dlÎle vel1s'c hioolenen RlÎchtung'el11 in dm' Psy;ch 0['0 g,Île er'g'ehe.n, so;11oo niÎchit als A'l'gtull1iel1lt dafür benutQ;lt wlel1lden, zuel"iSt ahzuwar l'en, b:Îls Î!ln «cige!Jl'o o HaJUs» Ol,dnung .g.emtaoht Îtst, Es fii.:hœn a/Ulch hile r Vlel1s'cl1l~eldell'e W leg.e 11'ach Rom, b:ei d'em ei'llel1 hiMt dilese Tl1Iemptie me,h r, heiÎm andlern joel1e, WiÎle sifeht es nun m~t d.er Ptl'olgnolS'e ? Da die Ul'sache.n ver-sohiied·oo..ster Natur sron konnen El1Illdeck'UI'Ilgen d'elJ.' mo:d'e rll'en PIsydho!Lo'gÎle - mÜJs'S'oo zuer8it di'ese fJetsll'gteS,tleiÎllit '-vlel~d.en kOllln ell, S'O dals's zu BeglÎfnn d~'r Behan:dlLung j,edel1ll'e i V OI1:auS's,agle üh'er d:eren naUier und Erfo'l g unmogIDClh Îs't, Amoll d s-agt hierzu: «Ehel1lsowenug wlie ,e in s:eeJlJŒ;,ch gesUI'Ild le r, whlilenJsSotJarlœr Mensoh zu stotrern hBgtÎllmt, W1eIltn er untJer dem Einfhn;ls ciner vO'l'ooerl'gtehend'e n NeriVo's1ilta't herim r~:sohen Rled,oo sÎlch vel"tSlpliÎloht und Sillihoo eill1lÎ'g,emallie gep'l1esM w.Î'ed'erhoJlJt, so sohwer ifail:lt es dle m zum StottJe11l1 Gebo,renoo, aer eÎlnm.ra!l a'llsgeMLdlelten Nmu'ose ~u entgehen, AIllIf Gl'um zath:ll1eioher umf.aJl1g11e!Î1chter Sta:tli.lStliken und d'er Erfrahrung ' "et1SdMe'elIene'r Autonen dtad m'an s'a g'e n, :dals!s rein nr:Ï'l'tell der Pa·tIienltlen gteheilt U11'd ,ein nl1ÏJtJtiel glehe;s>s'e r't w1i,r rl. Der RJest hLeibit bis j'eltzt lle ider unhe:erinf'IDsrsbat}:, Wlas die aUlsser.e Er,s'cheiÏnuug dies s,to,tJt1ea.ns an g·eht , ImmerhÎn hes'tlehlt heute dri'e Mo'gIliiclhl~ei\t dUliC!h ther<aipeUltiilSOhe MassUiahmen we11Jig,sltens d,i'e se:elillsche Seite einigermatSlSen im posÏttlhnen Si!Jll11e ~u h'erourf[Ulss,e n,
D.i,es hi'er i Sit roue a'11g'em~ne HeschlieihU'l1Ig, die den VellllatUlf eines StlOIUerers an~uz.elligern Vier,su:cht. Daisis tdla hei wele Viru1ÎatJÎ'onen mo,gli'o h ,s ind, IÏSlt D'c i d :er IDynamik raUen SeelLenllBben!s le'uoht vleI1stiin:c1l.i;oh, Oh dieselS otd'e'r
Soulom,nl
Stottern ein schweres Leiden ist, wobei die Ursachen verschiedenster Natur sein konnen, na d'el' StaJl1d d,et1: For5ühUll1'g dtUls Prob[.em Sto'ltt'e.rn n lo'ch nicht Zll oeÎl1lel1' et1idlgtÜhlÎ'g,en ErkenntJt1ihs ftÜhreu konn'tle, mÜS'S'el1 wir VOIJ.'laufi'g uns miÎt dem Gegtehenen zuflJ.iÎle rlen stlelHen, DtÎe T'a'tts'aClhe, dalS>s ein gr'osIS'e r T'eill glehelÎl1t w,er,d en k'aJl1Il und d'e m al11deJ."IJ.1 TeWl die Thel'a'piÎe ~UJgu,te kommit UI'I1d herillJend. wirk,t, so[,l uns el"mUnltern, je~ne s'p eÛ'aillÎls>ierlien KrafJte fll'ii:h~eitJig aJULfzusuohen, W 0 dlÎles l1'i'cht mogllÏtch 1st, 80'111 V 'eI1s·tal1'dnlÎ.:s U111d W o:hllwoll!l.en vorhel'11schen, Bei der ang'e meÎlnen .A!uISlbl'eiÎ,rurng dlels FÜ1\5 0r~we:se]1ts c1üdlel1 wir hOifflen, d,a.s·s aJUch im W lalllŒs bailid eill le B e:hlLn:d '1U1'1l1gtssta'llion und v'eJ.1s:chied,ene Almhull'atol'lÎ'e n dlllJS frühzeÎllJige Enfals'sen dier SlpraJClhg dn'eoMud1!el11 K;ind,eJI.' 'm~I,aJUJb t, U!l11 heJ1.f,end wei'lieren &chiid'e n li n Idle r iEntwÎckll un.g dle r bettt',o'fifJenen IGndle r ~u VleJ.'hÜ'1JeIn o:dJer ~u nlÎlld'e rn, Soilatl1lgte d'~eIs'e InsttiltJutÎonen im Wlal~Lils nooh .ftehfLen, sind ,wr a.uf d,i:e HIÎJfe '~0J1 'auswiil'~S ang'Bwli.esen, Da ils t es am heSIiet11, ,,"enn man skh bei d'el' na,chS'l!en BürSOIl'~elSlteJlile or.Ï:e11JtlÏtelit, auoh d,Îte P ,r o Inf,ÎrmlÎ.s ]Œllll AuS'kuuft geben und hillt auch ftinan zi:elil mit, o:dleIJ.' man 'Vloodle s,i ch an dta8 InSllti,tJut fii..r HeJitlpaod-a'g ogili und angew, Psycho.log'ie elle r Unh',e rsiltrut Bl'iIburg, 8, rue St, M~ohU'ei1, W1ue ühea.1aJll, g,iht es ScharI.a'l!ane, d'i'e Me Umwssenlh ei,t der Leme ~u f.inanz-Î,erllem Gewlinn aJUsnÜit~en, Es sci hLe,r nad1driioki1~oh auf d,Ïtes'e Mog'Lichl(feut Vlel'w.ÏleiSen,
Fr. 255.- IXI~~~~
OFFICE MODERNE· SION Mme E. OLiVIER-ELSIG et MICHEL RUDAZ
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Zum SohlUlS's'e kOll11m end, sotl1en noch ein' mail kur,z die wichtig'Slten DarlJen f'e<st>g.eha!Lten ,,"enden, \Vü hahen auf che V'et'SchiÎle'el'e nen The o!J.1Îen v,erûoht-et und hahen in a.hlgemei110er Fo.rJu wÎ,chti,g'e F1eslls,ter11u'l1tgten maClhtoo konJ1len, W.a s fülJ.' dlÎ'e Erû'e hung von WlÎchtigkeil Ïtst, h'eruht ,ID la Br Tats'aohe, dass das
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MITTEILUNGEN
COMMUNICATIONS
Un succès international...
ENGAGEMENT A NEUCHATEL Contrai'rem'e nt aux rpr.évis,io11ls, ['e Canton de Neuchât~l engag,era, 'c hwant Il 'é.té 1959, un nonlb11e td 'ti ns'tÎtu't.eur,s ""all'ais.a'l1s etI'lcore sUJpél,i'NID.' à ce'r oi ,des ·années pr·éoéclentes. Toutes ih~JS oÎrrd,icatio!1Js '-u\1iles parvi'end:ro1'1t très prochainement 'a ux intére:ssés.
Département de l'Instruction publique
EXPOSITION INTERNATIONALE La Fond'a1tion Ernesta HeIS'SO, ·à Rom'e, 'cl orgmlÎtsé ces ,d'ernièl~es .anl1!ée'S pIDsi'em,s expositlÎons lil1JtenuliliiorJIatLes IS'e 'I:ap.p'OT·\1ant aux prohlèmelS de .p,éclucaltÏJon . La rprüchaill'e eXlpos,ition .s'el'a coalJsacrée .aux éCOlles ,r urta les. BIle ·dew·a COll'l'po'r ter 'e n grm1.d·e ~)al'tile des photo's te t, .si ,p os'sitblle, tdtes tnavaux d'a,rtlÎs-anat, de r,echeroh s ,sm: ['es ,a llIil11la ux, J!eoS sec-te;s, les ,p:1antes, etc. Les p'eIiSOlllH~S 'a yant la Ip o'ssiihi1iJté ,d 'e 11bpondre ,à ·cette .dem'arl!d<e formulée Ip ar lita ,F oud'a,tion Ernesta IB esso tsout instmnanent p11ilées d'mulOuoer leur corHarbol'aüon JUill DétlJla'l.' tememt de 'l 'instruotion rplllMlirq ue, ,à Si'O'l1.
an-
COURS DE PATINAGE Les T,éponses nombl~euses à nortre annonc.e d,e 'cotms Id u ,dernier numéro de l'Ecole valaisanne nous ·enco'lll'aigen't à m:ettr,e sur piced un ,COUDS d'e Ipaltinla ge r éser-vé ta ux m!e;mbnes du pel'soJm'BI ,enls'eignant. aurra Ilti,eu à la tp'a tinoli re de Sion, 'sa:mercli ISOIÎ'I.' 10 e't dimanohe ma/tin H j'al'llvi'e r 1959. Rendez-vollllS au Restaurant d ,e la ,p a'tinoh-e iLe 10 jtanvier 1959 ,à 19 h. 45. Olôtur,e ~e 11 j,a nvi'e r ,à !ll h. In:d'enmités : oaux memblies de l'A.M.G.V.R.: l'emhotll's:en1'ent des il,a1s de 'Vo)'ia'g e plus une inch~I1lJl1.i'l'é tel,e nU1i,t. In:scrwption : juscfU'a'll 8 jamniel' 1959 auprès de ;p.a,t ù C1lasse)', av. de Ja gar,e, S'ion, en spéôf~a\l't 's i l'or,gani.saf.Îon doi,t s'e cha'l'·g'e r du ,l ogement le \';'amed~ 's oir. Pour Je Comuté de l'A.M.G.V.R : P. Glas's ey
n
L'ENFANT APPRENANT UNE NOUVELLE MANIERE DE FIGURATION (Eldrirnb'llrtch & neJ1ling Newls, 6. 2. 1958) PthlS d'e la moi'tié ,dies lécoles pliÏJmati res d'Edri'l n'bourg (tEcosse) leXlp.loÏJtent illll1e nouv'elHe mlévhode ,d "ens elÎgrrrel11'ent d,e 1l"a'l ÎIthmtélltÏlque. Gelllte in,foruTa,tion 'e st lannoncée pair de l'appOTt du Comité p'Our le Ip rogrès de l'é'dtU!ootion ,a u Conseill Ide ,l a ,nillil e ,d'tEdlimboI1ll1g. La mbthoel'e : iJres Nomb~'es en Icouilieurs, Î!n,~entéJe rpall: ,Le tpéJdla'gogue C'llÏls:eulaiœ, OiiJ.1e:Cteul' ,ele 1l'lelllselÎgtI'JIeanent rel,e Thuin, HeIlgi.qU'e, l'évo~ ti 031'11'e fl'letl1!S'ei.gnlem ent 'el,e l',al,itthim ét,ique. Le 1I.',appoll:t ,eÀ"I})llÎJque qu'une ,eXip:élii'eu'C·ed,ém'ornstroa,t ion d'e ,cette m létho:de d'leTIlS:eÏlgnement de !l',all1Îtihmbti'q ue 'a ,été frlllil'e, el,arns tUnle écol1e pl'imair'e, Id'eV'anlt ,tous Jjes 'c hefls tel'écot1e, avôc d es lenl~anifs ,d éhull'ams. «Les ,col1lta,i s's'a nces ani1Jmnéliiqu1e's ele ûeJS enCra/nts 'OllJt fai.t :une in1ipll.'e·S!S!Îon teHemell1rt f'aJvOliaMe que 58 Idle 1l1'O~S 81 éCOOtes ont a'ocep,té laV'ec ,etI1itJhotU!slÎ'a'sllU'e d',em.pioyer ~a méth:ocle IdleJs Nonlb'l,es 'e n ·colul1eua'·s de Outbsenalill'e ,durant ~a tp'l.1 ésenite année s'coJ'atÎre ». P'al' . la métho:elte rGuisenalÎ lie, l'e s emilllIl'ts aJppl1el1l1teJnlt l'e s !r,ellJal'ioll1's enm~e les nomhœs au (moyen tdle 'I..,égilett~s \die 10 dimensiolJ1ls et couil'e;l1I'S Idli!f,f,éren.Jlieis . H -a été prouf\né que tOlUS lies enfUl'l1tts at,lIa~ent appll.ïÏ.,s, non s'BuJ'e· mNlIt Il es é'lélll'etI1itS d ,e ['Ia d'ditiolll et de ~a sotlS!tl'actlÎ'ÜB, !11l'alÎlS aussi (Les tatbiLes d,e mullltlÎtp!JÏ!oaüou heaIll!coutp plus l'lliplÎld'e ment qu'avec ,l es l11éthocl es oil.·:dtÎtI1'ail'eis. Ùa ·m étho:de Ouils'eJnail'e, POUIl'SWÎIt 1e rapport, pal'aît êtr,e olliP'aMe Id"amlen:e,r Iles enf'a'l1itoS à [',i:cl.ée de ,fr.actions tSimtp tl e's beaucoup tpllll'S ItÔlt qU'!ÎII n"eslt poss!Ï.b!l:e atV'ec ,les métih0'<1es tiradliltionneUes.
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1
n
'seml:>,1e cert>a!În Ique Jles Nombll.'-es en conleUl's cl e ,CUiSeIlatÎ:1.~e mo:dliflÎellllt de f.onJd en comMe 'l'es métho.dleJs eXlÎtSOOl1'tes. Mi's'e
doans l'e s mainls de beaucOlu,p d,e maÎltr,e s, ce~l!e l11btho'd e cond'll~t à un ch a ng'e mle nt ' oatpÜal rloans il'tapptl'o'o he de d"ensei'g nement die l'al'Îthmél1ique à tl'télco!1e. V'Ü'Îloi qute[ques ftte's\1s po!S.és dral1!S Jes é:colles d'EeltÏm'bollll'g à des ell'flanl's lelte 6-7 ans: 6 3; 8 5; 7 8; 17 - 9; 8 6-7 2/3 ,d'e 9; 4fa td'e ,10 - 1/2 die 6 3/4 d'e 16 5IG 'cIte 1,2
+
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13 - 7 3/S Idte 16; 4 X 4 2 X 0 (2/5 d 'e 15) X (2/3 telle 6) (3 X ?) = 18 2 X .(3/S de 16); 12 16 - 213 die (17 - 2) = 18 - ? 6 X '3 ; 18 : 9; 16 : 4; 20 : 5; 5 : 2; 10 : 3; 11 : 4; 13 : 5
+
Résultats obtenus
AJddl~lJi'Ot1']1s
A'Vec N. Sans N. en 'cou'1em.1s en couleurs 78 % 98 Ofo
Ofo
Ofo
Sow;lm,actions
94,
MU'1tÏtp~tioailions
FiiadÜons
Ofo 89 Ofo 90 Ofo
25
Ofo Ofo
Bmbllèmes
810f0
53
%
DtÎf\nisions
95
79
610f0 64
BIBLIOGRAPHIE ~) BÜCHER
Dr. Ail hel't Ruth
Die Entwicklung des Kindes im Volksschulalter, 152 S . DM 6.80 Vie r/h g Oatssila neum Donauwor,th.
Lud(\v,i g
lAuer/
D:er V,erf'als ser, lb'ekallu1Jtetl· ,P syoholotg e un!cl Honorat/professor für lang'ewnnd~e 'P ,syrcholog~le an der UnlÎlVlensitiit lMü·n ch'e n, glitb:t hier eiÎ'l le f.ein geglHe:detl,te Oalislte'l,l'llng von Ergd)ntbs's'e n lS'e illle r Il.angjiihrrigen, wiÎlss~oolScha/f;tllÎ ohen FOJJs.c1hlllng und œ'eohachtt.lrJ11g tÜbell.· die ko,npelllliche und tSetilis'o he Entwirck\lung de'S IGmdtes 'w Qhei el' orci IEntwiick!lul1gsphalSen untlel's,éh:eÏJdet : K!Înd.heit ,b is ZUl11 5. JJebensjahr; tKnatb'en- und Ma:dchena1lter Ms (l'Il ] 2 und die Jug·endz'e itt b:Î!s ,00 . 21./25 J:aIUie!ll hei JUl1'gen und 18 Ibei tMa:dohen. Oie Un'terts uohung,en rkhl1en srioh noach bio11'Ü'giso'hen, p!sych'O!Lo,gitstdlen Ilutd 'Soz,itaŒen Ers'c heinung,el1, -'\VIas VOl' ·einseiÎ,tiger lB.eU"Ia:C1htt'Ul1goSwei's e verschol1't. Dr. Hurh '\V,eits,t kur(l und l<Jlar 'alltoh hin la uf Id'Île rlti'e ishezüg['Îlchoo TheorÎten andeœr PSjnchollogletll. Oas lBuch !i's t mit eI1StffillliIllLi'Cll'e r Klalili:ei,t g,eschrieiben und enthiil,t ,au'! 'VerhiirLtni'smws.s.ig MeiÎnel11 Roaum ci,n e groslSe, wohtla'UlSg,ewiihl1tJe Stoffii1J.:e. WeI' wtÎrlclJiJc:h rplml1TIas,s ig Illnd vensitiin:clnÎlsvo~11 Ul1'tetl't).1Îoht1el1 und IBliziehoo /lv,ithl, flÎlncI.et in dtÏ'e:Setll1 Iwer,tvo[['e ll IB ueh 'erÎn vŒ'zügt1 khes Hill f,smi'ttel. Ernst Schmid t.
Papst Pius XII zum treuen Gedenken, Gerte M. Noetzel :
von P. B:e<at Amlbord.
Personlichkeit und Gemeinschaft. Besonders in den He'l·,z en :dIBr ErzlÏ·e:her WÛ'I;d P ,a pst Pius XII ,s'e'!. nooh [llil'JIg'e Ir on tI'eues, d 'ank!ha'fle's Geidenken fiindren. Manchet).' mO'c ht'e taus Idem :L 'eib.en ,d,j'e8le's gl',Ols'S'eal PlllJps.teJs und EnzrÎlehrel'ŒIJ.·eundies Nii-h'el'es und W'es:enttliches WiÏ!ssen, ohne eine UmflafligtI.'eiohe Biogrlliphire ~u l'e s'e n. D:ieJsem W'lll1lsche entlspl'Iicht nun tetÎ!n'e Schri.f1t, ,d'Le UI1ISer Mitalibei'tier und LaJJtdlSm'llillli, P. Hea't AmboM über P ,iws XlI 'VOl' kUl',z'e m ve'l'Oflfienclich1: hat. Si'e tb'e s'c hl,e;itbt 'I.1JI1'd d 'eUltet ~',e.in P'oll'tlÎftÎloa't untel' j'e nen GesiochJtspunk'l'oo, di'e ,d·ars Wes:e'l1 seiÎner Pte<I1Sonl,~obikJeit U!u:d lS'eiÎnes WIiIJ.'Ilœns MM: und ansip œch el1c1 b'e !leuohten. (tErhiill r1ich in lœ'th. B'tllcliliam:11.ungen zu Fr. 1.20). Ernsit Sc1nllliJd.,t,
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Die iÎlld'Î\>i.iduaJ'e und tSoûall le Ent"vûdd1U'l1'g des M'el1's'cheal. Erl1ls't RleÎlJ1'hal1d,t Ver:1alg, München/BaoS'ell. 232 SeJitlien. Ka lit. tF,r . :l t1 .-, LeiÎnen Fr. 13.-. Wie s~oh d:ie Person!1ichlc'eÏ't ,entw>iclœ:lt und in die Gemeinschaf,t hineinwiichst, i\vûrd IÏn dÎ'es'e m Buc:h Schl1Î,tIt fiir Sohdtt pSYichologilsoh aufgezeig't, K 'eJÎn IGnd kommt aiLs 'taburLa irra,s a (lUI' W'e lt oel'e r h~ht im einem VaJmum; es br:ingt sohonganz he:s'ttimmte, indl~viduOOlte, nUl' ihm zU'gehoDÎ'ge tAnordnUllgen vom tAnl,a gen und iBe'g ahungell mi,t, di'e nm' dur'c h sehr .fein:es psychologilSoh'e'S lund tpiid'a gogisehes Vtelistiindni's von Eltern und Erûehern
L'enseignement universitaire en Suisse ]lien.
Am
Hano l\Vi<ssen's'o hafltlicher ipsy,ohoiogllischel' T,a'lisachen und EX!penimenl'e wÜ':d erllaUl1ert, wne Idie Jler,a nwac:hsen:de P rel"lSonil,i,chkeÎlt 'Von der Umgebung le>inlSOhneidrerrd !he'einrflluisst und gle prag't wN,d, lS,i ch aber delU1:0ch ·z u einem f,r eien, vel'an'tw:ol,rungls- und ~ie1lh'e W'us'st>en Wlesen lentwickrelrn kann, clIars lS:ffinen eigeu'en Weg dn Id,er 'W reJlt fdn:det !Und s'e ine D.aseinlSarufg;ahe ,e rkennt und 'erfüHt. Gleichzcitig wN,den rahel' rauch aus allIren :plsy.chologischen ,ElIDsÏJchllen die nOI1JÏg.en FtOlgerungen für di'e Selhst- und rF !I:emderziehung gezogen. Das Bach, au.s Volkshochtschui.voil~tra\gen hel'vorgretg'a ngen und IÏm hetsten Sinn'e popular-wissenrsohafdich ge's cruieben, well'drert sioo nich't nUl' la n d'e n gebildre:ten Laien, lSondre rn wlÏlxI auch von Strud.ieren'dre n Id er PlSyoho1log,ie, Moedi:ûn, Padargügil(, Theologie und Sozio[ogie mit ·Gewr.Ïl1n ge!lesen weroen, zumal eine ausgezeichll'elie ,BiMdogJ.1aiphÏ.e zu 'weJÏ.t'erem Studium mu·egt.
Air, avions, fusées Nous avons 'd,bjà 'signaJ.é ,dams c:e'S ,co[onnes l'e lll'emder 'olUvrage publlié 'ÏJI y >a U!l'te année par 1a CoopéDa,~iv,e Id 'édd'toiol1's E-dico/pe, dans sa co:l!leclii'o n «L'h0111~l1e let 's on 'avrentupe ». Oe p'l'Ie mile r ruThum, «Feux et flammes », r,écit de 'I a conquête 'e t de l'utl,l,ils'a'trion du feu - , 'est ,a ujourd'huri lSuiViÎ. rd'un second, «Air, avions, fttsées », cOln8'acl1é à la con· eruêJ1.1e Id e l'el- pa,ce. lrl œ'tl'ace rdams un styile v'rv:an't tou~e l'histoir:e ,de lI a narV'ig,aliion a<él"i,enne, Id re pui's les pliécUl1S'eJUiDS jusqu'aux derrlÎiel's ,s a:vel1i,ves Id e 1958, len pa,s,s ant par ~~s Id,i,verses étrlllpeis tdre ["avi'a tli on. Si lI a coJ· leotion 6'.ardres'sre 'e n tpDintcipe 'a ux jeunets de 9 rà 14 al1!S, Id'e nombreux la:duI.t:es se 'pa6' sionneron1t pour Jes :gr,a nd,e:s la verutur,e s de l'rhumanité qu'dIre décl'it cl.alll's 'l1'l1 l5ty11e très v,h /larn't 'et Itrès 'claM:. Oet 'ouvra.ge d 'e 86 Ip agres, grand f'o mnat, est ll1'agndf,iqlUement iUUS'tl'ré cn noi.r 'et e n couleurs. Il coûte h. 16,50. (Edieope, P larLs. DrirffrUsioll Bn Sl1l~ s,se : M. F. Rregamey, EscaHeDs de Bi]lle;ls, 5, .Laus'a1'lne).
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(tbroohUrl'e Ide 32 pagres, tiJhlu.stl'l~,e, éditée par ,l 'OHi'oe Naltioll'al St]~sse rd u TOU1,i's~11'e, Zul,i'oh, ,eul frra nçarits, la nglairs le t ,Mrleunan1d). L'Of,fliC'e Nationail SuiS'se du TOIUl,i's me vient dre 'p ublier, sours rc e ,liÎtl'e, une nouV'eJ;le éid~· titon de ISH hrochul'e 'c onlsa.Ql,ée 'a ux hau:l'elS bClolLes Id,e notre pays. L e 'llombœ d ,es é,trud,i anllis ·é'u'ang1e11s quri sui· vent ['lel1Jseignement d'e nOis unr~ver,süés e/Slt d'Ia nnée re n 'a nnée Iplus bl'e vé. Sur 16 000 étud'Îrants régur1ièœ,menrt i'm mawicwbs, près de 5000 (os oi,t 30 % 'e nviron) sont éU1angeDs, l'elpl bsel1'tarn'bs Id e p'lus Id'e 40 nations dŒff.érentes. Oe failt doit n()IUJ3 'réjourÎt' car jJ OO1l1S'acre Id 'un.e part ,la hautle l1éputa'tion dont jouirSl3'ent, à l'értl'ang'er, nos insti'R1Jbs d'rerJ1ls'eη gnement ISlllpélii'e ur ,et, d'autre part, ,i'! con· tl'ibue au ,l'a y 0 Ilnement spirituel (lie llotl·,e pelli't pa)'lS ,dlan<s Il e monde. Oette brochure, 'ecuri ,,~itenlt ,donc à 60n heure, donne un lalperçu his,tonique Ide ohacunre de's runiv.ersités arÎIlISri 'q ue ,dies ,1~enlSei'gnennents sur le.s ,dioEfél'enltrel5 di,soiipMnes qui y S'ont erllls,e irg nées ·et rI es 1ilStes d.es 1nst>iwts, bhora· ,tOlil"es et coJl1e'C'liÎons qu'e,mrelS <comlpoll~I:'e\1it. Des 11enserignements pl'Rtriq,u es lSur [es ré'l'lld'es univrel'sita'Ïr,e s onl1: été r·éunis dla ns un oha· pirtre Is'péoiaJl Ip ermle ttœnt à ['ré,tœcliant réllil'an· gel' ,die Is e Ifra irl'e une IÎIdtée raussi exaclle (IU~ pO'ssiMe die s conditions de vile ~n SUiiSls'e. Ce't1!e nOill'\neHecontIÎhulii'Q.n de rOffdce Na· ttio1Hcl Suirss'e du TOIUll,i's me à rnotl',e 'pl-Olp~' gande cull tur.eHe s'elr a, sra ns 'a uoun doul:'e, bien accueiJhe drau<s tolUS ~'elS m.i.1ileux uni· V'el'Sil'ait-~ à i' éu,anger 'comm,e en Suisse.
.La profession d'ingénieur-mécanicien et d'ingénieur-électricien A. lmhof, lÎ:ng. dilpil. A ',l a ISrui1'e Id es ,mprildes pro,~l'èIs die Œ la ,te!ch'll.uq'lle et rde son ,drévetlOipipemenlt cOl1ls,i dél,ab'le, tous les pays ont hesoin ,d'lUn grarnd nombre d',ingréll'ieur,s ; '}'ravenù: leu ,r equerra .eulcm·e d.avantag'e. IL e mbt1j,erd',in~énieur 'oulvt<e non S'eulement Id,e heUres p 'el'SipectJ1v,es ma1tél'ietl1lles, ~l prooure laussi à Creux qui [',eX'eroont d'ûn· tenses satils.fa'c.tions . MaiLS on 11~ ISe fait 60'uVient, à son suJet, que de.s i'd ées !Î'Il1'P'11é·
oÎlS'es . C're:Sit ,l a l~.j,son Ip our .Jaqu~Ue rl 'Associ,a· ~io,~ 'p atronale s uitsse des C0111S'h''Uclielms de maohines e't indurstl~ie!l1S len nliétaŒlurgri e, Il 'As· SO'oila vion ,d es anrcirel1s éllèv,es die l'EJP.F r{G.iE :P.) et rla SO'ciél1Jé Is uis'se Idres ingrérl!Îreru,l'oS et d'es 'li'chi,tec.l'eIS (S.LA.) ont pr'Îls il'lÎnüiat'Îve de puhl,ier une br'Ûchur·e 'd es'liill1ée à é'clalÎr.e'l: a,e grand ,pUihLic Is ur J.a ,pl'of.es,sli on d'itngénile ur. ·m écanic.i'e n ·et ,oClUe d'ingénlieur-lblectl·ioi:en . L'ra uteur en es't M . A. l111hotf, ing'éniIBlu' dans. l'âme et Idü'eoteur Id 'une ,~nh'epl'ÎlS'e !Îln. dustt,i'eHe. Fait sig'nitf,ilcatif, M. Imhof corn. mence par l'ele,ner [le s heautés du 'Il1é·tÎer d 'in g,éni:eur, IdlÜ!l1:t .[il f'a ut l'echrer,c:her ['ori. gline dans lIre Idlbsir d,e l'hU1nani,~é de ,S'QISsen:. v.Îl· [re s forces Id e -J.a nature. La .d ClSOl,1prtiOUl p11éClÎ'se ,et fort 6rug~es jlh',e drrls po'ssibj'lilibé!s profless-iomlelles qU'OU'Vl e une 'tetlIre ac,biv,i té oejHe qui se l'aJpporte aux drirffél-enlles fonc: tions qui ,incombent ,aux ingéllli,ellll1S, ·arrux
Stern, Prof. rDl'. El,ich :
Kind, Krankheit und Tod. 24,0 Se!Ïlten. Ern!st Re1rNla'r d,t Vedag, Münohen/illase1l. ,L einen H·. 12.~. In relli1e:sem Huohe wÎord dn zwei ilJ.1 si'Ch geschlos:s enen rAtbhtmrc11ungen 'l~eJ:ches Mat'e. 11Îral über daiS Thema <d:(Jind mrd K 'I)a!l1khm't» und «Kill'd und 'Lod» taJusg.ehrlmte't. Es iLieg:t zmüi.'chslt iWiirlclioh auss'e rlh arl b !drer 'atLltii!!ilüohen Er,z i'ehu:ng.spl"ohJreme und ErûehU:gszÏretle, die in Idritese'l11 'Buc.h behand,ellten BezoiJerhungenz'U :h eh1achlien und IÎn irg,end einer Fro.l'Illl tdrem Kürdre l l'ahezurhrri'l1gen. Und trotzdem Is ehen fS!Îch aililzu rvÏJ~le KlÎl1'de~: aIrler Allterss'lluten of,t 'Vollig unvo11heœ:itelt Urlld welll'los rd le r el1nrSjt ell Kl'1mùQheilt o'dler dem Tod ,g egreniirherr; die WJrkung kann fül's g'al1Z'e rLeben danet"n. Da lS'treht 1l1Un Id ie IFIl",age raillf : Wdle kann dem IGnrdte lSee!lri.'s ohe ffiJfe gle!l'ed'sillet ·weIl-den, iÎtn wetloher Art rUIld mM wetlchen prS}'lCJhorl olg,i . sohen EÎrnwil'lml1g;letl1 kalill doh dem I(dnde beistehen und ,den Weg zur El1t<SlpannrUng zeigoo 1Jll1'd f.ühr.en ? El'schütl!ernd Is ind vj.e~e ErleJbnilSls'e 'Von IGndem, drie im !ZWfeiÏJlieIJ1 T'eill besc.ru,ieben ilViellid'e n; h~s'on:derlS der kind,l àche Se'l hsr!imOl"d odell' Id'e r Mord ~n'es JuglendJri chen tarm I (ramer,a den sind aŒs Ta,œra. chen gesclülde11t, ,di'e ler~:eg,en konnen. Hra;t mau 11IUr leirne SlJlUlde IÎn rcltÎ'esem lBu.ch gellesen, ISO wJrd Id,i,e Erkenntni'S wœch, da:srs es mn Geho,t lS'eil1 muss, Id·aoS klianke i[Gn'd zu ifülll'en ul1:cl Id 'e m gesun'd:en KÎI-rd eiÎne ebenlS'o gelSuude tAruffas's ung und Ei1llSlteJJlrul1'g zum g,tel1hen Il',e'c htzeitig IZU v'e l1mdue1ln. Nun mogten El1ziehel' rUll'd Elltern 'S'e!1b rSlt Ul,teÎll en oh ~ie diese's :ens'te ll1l11f'assen:de W'e lk übe:' Kil1:d, Kra,)')IIcltei't und 'rod [es:en und !in ih11e S'chulritsohe IUnd f amÎlHal'e Arh'elÏt mi:t ' einheziehel1 lSorhlle n, bevor ein Unglück ge. schd.eht.
mathématiŒiens 'e t aux ph)~s ic,iens, l'évèl'en t au ~'eoteur un champ ,d'ra ction aux dritmle n. si'Ûrlls étollnanl'es. L es dO'll1'a lnes Vrai'i,érs draJ1ls ' lesqUJels Ip eut rs ',ex'ercer ,cene I)JlrrOreSlslÎon re. qurièl',e nt ,elre h part des i,n~énireurs Id.es d'Î1s, posoÎ'l1Îons m lurJ,bÎlp le1s; 'c"erst ,d,il1e que tOUl'ets les aip1litudes, ,toUiS Iles oa:r acltère\S et tempé. l'aments y troUW!.J1rt leur compte. L'ingéni·e'l.1r sera :c·ol1s'truoteur 'Ou rc a'loulateul', s 'adonnera à 'l a recherohe l.SCÎ'elllbi,f~q'Ue ou raux tra1\naux d',étude, tdirrig:era une ·entreprise, <s'intére.sseta aux prohlèl11les de vente, 'tm\S qu'1Ï1l s'Ie n pr&srente ,d.ans il'~,n:dl]lst,r,ie et pOUl' l es 'll!srirn'ets électriques, 'pa'!' 'e xemple, dépJo,i'era rune ac,tri. v,i'bé ,d'allis tLe lSeoteur ,des trauispol'ts, s'e spé. oialisera d .ans Ja q'll'es11JÎ01l dres h11evellS le't d'es H,oenoes, :ferra hrénéfi,CJÎ,er .les en:u·epl'ise..s pu. Miqureset l'a,dn'1Ïnristl1ation de ISles connalÎs. s'arnces, rp :°ê.lel'a ses Isel'v,ices en [quatIoité d'in. génieur-ooll'seil rÎlndép'e uld,a'l1t ou se vouel~ à l"enseÏJgnement. Oe'l'te h110chu'!'re ·r enseigne de ,f,aço'\1 Id. btar~lllée l!:'Ur [.a marche des èrud:es d',ingél1!ieur 'e t 's ur les arptriltudes que reqUriel~t Le m ,étier. Elle est ,r emli's e gmtJud·~errnreJ1t à lIOIUS les ..il1'llére8's'és. On 'Voudra hien [a cIre. mander (un'e rOa11te postarle ISrUff:i,t) à l'Asso. ciation 'pra:tronale suis'se (les COlls'tl'Uctem~ d'e machines e't indust11iels en métaJ:lu11~ir e, DrufoUl'stm8'Se l, ZurlÎch 8.
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OEUVRE SUISS,E DES LECTU,RES P,OUR LA JEUNESSE Cinq nouVletl1es tbroOhUl\e;s OSL, rdlelUX !I:éiUlJpl'essrioll1S et un vo~ume nili.é viel1!llient d'e sOIl'tilr 'cle lfH1esse. hl ,s"a~it .cl'hÎlstoiœ's <:apiliivantes qui feront lC'el,tarin'eIlTI'ent la joie d.e tom Les 'enfants. Les bll'oohUlies OSL sont en
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--- '- -_. .--~~-----------venlie aupr~s d'eJs Iclbpô'ts 'S'coJ1oore1S OSL lelt du seCl1éM'l'iat (;le Il'OCllIVJ' e ,su~s's'e d,es il'ecrture1s po,w' Ila j eunes's e (SeefèMst:r,ass'e 8, Ztmich 8), claus loes ~ih:J.a:ir.i'es et 'd ans ~'e1S kiosque:s .
Nouveautés No 629 «Pablito, le petit pêcheur catalan» pal' J eau LAubel't. Sél'~e : LiJttéliair,e. Ag'e : d,.,pUlÜS 10 ans. No 630 «Fleur d'Azur, petite Chinoise » pa,l' V. Nieilis'en-Soul'el'. Séri:e: Pour les petits. A~e : d<~Uiis 6 ans. No 631 «Le peloton de ficelle» par Anna Duc. Sét'Î'e : POUJ' des p 'elÙ!ts. Age : dlepulÎs 8 ans.
BOITE
AUX
No 632 «Barrage et électricité» pa'r ZihJm:ann/Mru1tJin. Sér.i'e : SOÏJen:ces. Ag'e : de.pUlÎIS 12 ans. No 633 « Geiger, pilote des glaciers », pal' G:eli'g er/Polchon. Série: Bioglr aphres. Ag;e : d'epurirs 12 ans.
Réimpressions No 222 «L'enfant de la roulotte» par MauliÎJce Zerma'tten. Sél'Ïe: Litl!éraiil"e, 2ème éd'itJi'o n. A'g!e : de!]Juis 10 ans. No 4,80 «Tartarin de Tarascon» pail' A[phou'Se Bauld 'e t. SérIÎJe: ' ,L ittéraire, ' 2ème éd~lrion. Alg'e : d:epUlis 10 al1ls.
L.ETTRES
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BRIEFKASTEN
Dans la mesure du possible, nous répondrons sous cette rubrique aux questions que le personnel enseignant voudra bien nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur. D'Qlhtl'e part, elles doivent évidemment se rapporter à des problèmes entrant dans le cadre de la revue. In diesel' Rubrik, die wir für unsere Leser beifügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten, die (LllS del/t Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber unter Nennung des Namens und der Adresse eingereicht werden. Anonymes wird untel' keinen Dmstiinden berücksicht,igt. Ferner dürfen diese Fragen nul' piidagogische Belange betreffen.
leI" lIlocl"te fii,,' die Elte,·", mei",er E,·stklüssle,· eine", Elternabend veraJlstalten. Was soU ici" da aIs Wiclrtigstes besp,·eche",? lm ,~ahm'en des «Bl1.iefl~as'l'en's» k1aIill IÎch lhnen d,j'esmoal kawm andlel~s 'MIS IÎn S'ti'olmyort,en Bescheid g'elb en, wenn Ikh ,auch nul' d 'a s « Wkhtigste» s-agen 'WHl. VtÏ1ell lerioht kOnn1eiJ.l lhnen le twa d~,e foodglenrd1en WlÎn[çe dlÎ;en:lioh sein:
1. ZuerlSlt wlüJ.'.dte ,jch IdlBll El1tern sllIgen, 'wtÏe si'e mith:eillhm kounen für telln 'g'Uil'eJS GeiLingen 'Von LErZ'Î elhullg und Un1tem,ioht ~h'lier KlI:eliuelI1. nahei IWalle zu melllœn : a. Gegenseitiges Vertrauen ist notig! Ein wal'l11'es, li mNg'es Vierhalh nlÏ!s ~wtÏJsdlen L'elme1
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l~in und Krin:d,el1Il w.hld ha'l d ges'ohaHielJ.l selin, ahe1' es g'eIJ.lügt n.ircht. ni'e Lelhrerin mochl!e dal'UIIU :d~'e Ell!eiJ.1l1 ~llerzlHch Mnen: « Sie haJbeiJ.l mir ihrle iKinfd,e r, Ihnen lWSltbm-.sten B:eisÏ!t:z ,gebl1l~ch't, hl ing:en Sie ,m ir IllUll OOIoh Lh1' Vertr,a uen! M,edue g'a nze Kl'alfit und Li'eb:e gelhOil~t Ilu',e n lGnd,m'n ! »
h. Verbindtmg und Fühlungnahme mit der Lehrerin halten! DÎle Sohwe be{l'ootet für dla's Kin:d roue Zi'elnll,rOO g'ross:e Ums'te'IJlJlmg. IGrn:d'er <sind zu1ull!se ofl!: and'el'lS ails in dler Sohull1e. Um ,d'e m KiIlJd hei S'c'hwierdlgl~ei'l!en heM,e n zu komTen, irst manohmM 'g'e gens'elÎt1ge Aus9pl,aohe no'llig. Mtirs'S<V'el~slta'l1!dnlÎ,ss'e müssen so l~a'sch taiLs mogilti'c h (beiseiJnigit Wlm"!clen! C. · Praktische W inke an die Eltern aus gemachten Erfahrungen. Es ,b r,auohelJ.l nIÎoht
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uooe'dingt l!me ,eigenen Elfahmngen zu s'eÏJll, lS'on:d'e rn tauch arl lgemein 'g'emach~e. (HeSOnc1el1S junge ,Lehrl~raf'l!e ,s olMen iSich hÜ:lie'll, zu oflt iVon der ,e'ig,en:en :EJrfahrwng zu spœohen). Vierilang,e n IS ie iVOll d,i'esen EMenn hesond1el's: Gewohnung der K.inde,. an OrdnUllg und Selbstiindigkeit. J)a'S IGnd 1l1JÎocbt sÏJch lS.elb!st ühellla'S'sen, la bel' <allOh nioht gang,eI111, Is ond'e! n ,an1eiten und Überi\V'Rochell! nÎ'e Eltern ,S'011J1e1J.l d.ars IGlll'd Ischon allhallJen, den GrlÏflf.el zu &p.Î'tZ'elJ1, Me T'afeJl 'SmID'eiJ.' zu w,i schen, IdrÎle :Schulltarsche û rohtig ei.nzurawuell, Ü!herhafllpt Idlals gaIne «W-edcio oug» für Idie Soh'llLe am A:hend !schon ~u üherprü,fle n. Eine 'l1'IIauiE,dlùnrglllÎlche KontroiHe soJlil j'e d'e n Tag IsJl1a'l'liflÏnden. Sagen rue ,den E)l.tm'~l, dass mta!ll!ohe :StollUngeiJ.l im Un1Jenichit, auch mang<elhaflte Lwstung<en, ihre UJ.1sacben li n mauge1haf,ter V011hereiru.ng dm' Schu~'S'aohen hahen. Um daiS Küid '11echliz.ei'lii'g tan Orielnlllng und 's dbstand'Îlgle s A'lllmi't,e n zu 'g'ewohnell, 'soihlte 'es s,i oh ,S't~lb:s't la u!k,1eiJd:en, .cHe Sohuhe hÜtd'ell, daiS 'l\asohentuch 'etin'SltJe;olœn usw. 1
Gewohnung der K.leinen an pünktlichkeit. Da,s Kind Isol~l!!e ,oa 5-10 ,l\Hnuten VOl' Untel'dchllsbeginn ru Id le r :Sc1:1JU'l'e .seli'I1. S-chuilanfanger Is ind rof,t ühereifll.'ig Illnd llJOm~l1'en vti'ell ,~u fll.'üh. 18't Id<ll'S IGnd leiÏnmM untpüllktl,icJh, Is'oli l !{!IS sœoh llliÏJcht ibJel1auIS !J.',e:cl:en wOllilen, sond,e rn heti Id'e r W,ahdl'eJlt MeihelJ.l. Die El!Je'r u ISOrl:lJeIJ.l a<h'er tauch kOII1,u'o:hlier,e n, .oh diRIs lGnd l'echtzei,tÎ'g h'eimkomm1t oder oh es k ,gen:dwo herll!Il1JtroI11t. Oeil' Unl!errr.ioot schlli'e sst in der Rleg'ell j,a pÜlùc,tilich.
d; ln Hinsicht aul den DnteroJ'Ïcht: nie Eltern Is d]lten .EJinlb tlidc thalb en in ,dli'e M'e1tJhod,e 'd es leil'S'tell ,Lesel1!s und HJechn:el1's, dra/mi,t si'e nlÎloht ,aus rfall s cJhem Ehl'g'ei,z fiai1sche HiLf,e 1eils~en . .DaiS galle ' Stof.f für le inen <etig'ene'll ELlJer:n:ahen.d. HaJUJplllpfl1ilc ht der ,E I,terlJ1 r1.1S'Ï, ;g ute VtQ.l·aUiS'sebz.ung'e n ({ÜI.' <Bine le rs:pl'u'els,s:Lilc he ScihruflalIDeûlt zu Is chaffle n Id ul'ch g<ulle Ord.il1!ung dabeim IÎn {l,el' LErniihmng 'Ull'd iKll:eiduug. HeUIiz,ullag,e 'sind die J('in:d-er oflt lVIÎ1el zu W'al'llu ang'ezog'en. - rDtÏJe EJrl1ern IsoJILell ·a uch g'eiJ.1JÜgelld HeWiegung tim IF IJ.1eien 'g estatten, mu einen AusglIreÏJoh 'z u ...,ooaiff'e n n:aoh dem ver-
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hiilltl1JÎlsmaslS,j,g ~'angen Si'tzlen .in œer Sohule. Auch mÜrs's'e n ldi'e K~ei'l1'en Igenüg'e nd 6chl'afen kOnneiJ.l, Isie dw,f:en d,a rum :n:i:oht zum ~u il'a ng'e n Auflb<leihen veiJ.l1el~te.t wer,d en. Haus'a u,[gahen LlNloht, wi'e ,da's lI11anoluual gesohi'e ht, 'g lekh 'IJlach d ler Schule l1'l!aohell llll's:sen und rd'a!llll le r,s't li n Idie fll:isohe Lufit gehell, Isoud,e rn 'llmgdœhrt. Ahe,r aui lœ!Ï.nen FaU ,d ie Auf g,arhen blÎls zum ~etz.~ell AugenMi:ck Vler,s ohi'ehen. Die ,E Jlternsoililten Alllte:Ï'l neruneiJ.l tan ,d'e n fnter,es:sen lund Sorgeu der KJLeiueiJ.l. IsÎ'e 'e rn:s't 'IJlelhmeiJ.l auch in Di!ngen, lille uurwichti'g lel's'ohein:en und IVOI' aJUem, LlNoht il<achen rübm' IUlÙJeho:lJf'e n'e Sclu'ew-. o'dle r Z'eichIllUugSiVer,s uohe. B esolltl'e'l's 's()(li1~en d ,i e EheiJ.'n iVerslucJhell, m!Ï.t diesen IGelill:en Geduil d zu ihaJbell. Joa nie s'agteu : «Du kannrsit nich<lls ! » Dalll1ü llehm~n sie Id em iKindle Murt und Freud'e. Die kinc1lriohe 'L eis'lJUng ,soU, wenn ,s i'e es verdient, aller~anin:t wrerden. ('aUich Wu ider Schule !) :Bi'e Ehern 'so!Lleu a,h er ja ni'o ht vOl'au1sJernren mÏJt den Kindern; .dtaIUli,t konnten \Sie of.t nul' Vlerw'Ï.r11l111g s chaHIOO. Dile EJhern ,sOJrllteiJ.l ferner dafJÜ.r Is orgle n, dalS'S d,re Hausaufgarbell re.g~l1ma\Ssig, 'S 'auber und rtÏJchrtig glemacht Iw.eliden. Sie td'w '[,en ,w ohl auf ,FeMer 31uf'l11erlŒam ll11aohen, ah'er n~cht d,i e Aufg,ah'ell LS'e 1her machel1, i'\vleid. es d,eJm KIÎtl'1d zm~ieJI is t. Auch um Unter,r.ilohts'Sotol·ung'en ;V;oil'zu'h'oo'g en, solH'lien die El,tern Il11li theJ1fiell. ntie [([Ieill'eu lnüs's'en gewohnt w.erden, 's chon zu ,H aus e und VOl' Ider Bohulle lautfls ,W C zu gehen. BeJso:nJd'e rs den IB uben 'solrLlie ,dti'e Mutiter ah und ,z u marI relie :SchUll'talscll'e ul1:d talU'ch dlie Hos'enrsaclœ <kont'l'Oll!1ùer,en. Auch dürf:en dire IGnd'e r J1Ii.chtt zu vieil ,Scihle'Ckerei~n mrÏ;t wn ,die Sohule nehmen. Zum SchrlU'Ss Id ünfen Sie lSag'e n, ({ras'ses ni.cht HUll' Zlls'a mmenarbel't zwiÏ.'5chen SohUile und Eherllhaus ,brau~ht, Is ondern aU'CJh m.it dem Seg:en GO\l!tlelS, O'hne ,dieu Wiir nilchlls VlermO'gen. Und Id ann hi tten S ie ,d i'e Ehel'!l1, in 1~ller Of,fenheJilt Fil'agen ,zu ISteil<len oder au:ch All'11egung'e n zu 'mtaohell. n,jes'e sind of,t 'W'el~livoililer raLs w',h- gl'auheiJ.l. Und nun wünsche li oh Buren und lcJ.en EJltm'n der Ideirren SchülizlÏIng,e tb:eJs,tien Erfoll g ! Ernst Schm:i:dt.
VEREIN KATHOLISCHER LEHRER UND
SCHULM~NNER
DES OBERWALLIS
Protokoll der ordentlichen GeneralveTSammlung vom 4. Dezember 1958.
DOII1'l:re11S1tag, d en 4. D ezember 1958 hieilt dler V,el'eilJ.l IŒ,tho~rirscher Lehœr und Soouilrrüill1' nier in Vi!&P sei~1Je or,denttiLiche Jahl1eJsiVIer· sammll ung pm 1958·59 ah. Ntadh einem von H . H . Sohu!lin!s:pektor J. M . SDIHV1ûc1c in der S'liimmtllIl!gsvolliI:en Bl'TUJd'e r· Kil!IiUJsen·Kialp 'eJ1le zle:leb11ûe'l~ten Gerliichtnri:s'gio t. tI~S'œilell's'lIe WlUrdle dlile l1!{mle priicihtigle PJiarr· kiiliClhe b esj'ohtIigt. H. H. ReI!JtOl' Lehiner er· liiu.tel1te den ganz'en Neulb au unld im he's on· œel'll die knnslIvolLlen, von Palllll M011lnie'r ge· soha,ftf e.l1'en GlaiSfte.ll's ter œe'l' IGœhe und die · j,eI1'Ï'g'e.n d:er dalillnte'lili:egetrrclen l(.ap'eJl11e. BllnlIQt 10 Uhr v:e11smnmelhe man sidl im g'e· riimni gen Ria thiauJs~'aailJe zu.r ErJJeJdigulJ1ig d:es ge:s'chiifrllÎ<~heIl Tea~es . In V le rltœ1JUng d'BS l,eri· der erkratnk!lIen Vim1etÎl1llSlpdisûdlen'llen SlIucky A'llXliMu'S , lB:etl'en, ileitet.e Vi,z epriiside nl H. H. SOhuiliil1lSip ekto:r J. M. SohwlÎlc k mit ViÏlel Ge/s chick un:d Sohll!eÎ!d dile V lerM'mml1ung, wielDhe œi:e folLg'eI1.d 'en T~:aIQlJantd'en zu be· han!dlelln hatte :
1. Be.grüS'sung 2. Elistel1Jlung der Prii,s'enZiliMe 3. P.rotokolhl dleJ' l e bz,ren Genleo.'ia,Iv:eliS'amm· lull'g 4. Jaihl~eshe111ohit dies PlI:iiJstiJd:enten 5. K larssa· un:d R eVlÏlsoreooedcht 6. .F1eSits·et;zung d es Jahr,eSihei,tr,ages 7. Aufnahme neum' Mri,tg1iJe'dle r 8. OJ.1i:enti'e rung iÜ.b'e r IaI!JtueJ'hle Sohullfrlagen (Lelu:pilml, liehI.ibü.c her) 9. V le r.schÎ'e d'eIlIeJs H . H. Sdhul1i')1!sp:ektor e.nliholt Gruiss und WIiiLlkommeIl dem sehr v.er,ooliten Henu Er· Zli'ehull'gtSDhef, Hel1l~n Sta<al1s'r.a't M'al'cell Gros's und seJÎIll'eII.ll Aldjunk'ten Hierrn .AldeITher,t Chalstonay, seinen wel'ten MithrüdleJJ."Jl den H . H er.t1e'l1. SdluuJM SlP'e ktol"en und llIl1idlel'l1 greisti1ichen Herr,e n, d'en vJle len LOO11e11l1 der SeinllIldar· und PIJÎIl11'al~schuilisltJUlfie sOiWlie dle n zaihL.·,ei·ch:en S chulLfll~U1lldlen, d,i e ans BeJ'g uni! Tall zn unB'elJ.1er KOl1!flel~eI1Z gep.hl~el)t
wa.l'en. Ein ~anz h~sOl}Jder,er Gnuss ga,Lt Her,r n Gemeillld!epriiJ&Ïldle nt und Gros sralt Acloilf Fux, ails V'e l'tœlter d er gro,s's en Indusll'ie.g emci:n:de VlÎlsp, d'em ~u hegegnell wohil j:eder Lelwer b'el'eli,ts GeIl:egenheli.lt halue, sei ,e:s iaIJ.111iilS/sJich unls:el~er F.or,~blil1Jdul1~skurse, s'e i es.in ein!e m Vlo,r tmge o:der HOlisQJÏJel o,dle r in OOI,e m s·edn'ell.· vlÎle11g1eJleseIl;en Biioheo.·. Lei:dler war H el·lI." Ge· m ei'1l:d!elwii;sÏldlel1't verl1!1ndle 11t, an dler lF'le'SIlIver· saImIl'h mg des NltchmitlJagies ,tetÎll zuneh'men. Mit ,s'e inem G11\llSS 'v erban:d Id el' ViQr!S~'tzenrle herz,m,che DaTlrl elswor~e an lthl'e, die zum Wohllie œer J.wgend a'rheWten, ob dter E'l'f'o lg sichJllb:ar zw~ag'e H',eten od'er MIÎ!S1.S'el,fIO~.g dlas E'l'z,Î!eheJrher'z bleidll1ückien mo~e. Dive auf.~elJJe.g.te Pr,ii's!e:nzr1Ï:we z'e'ÏJglte d're An· \V'e's enhei,t von m elu' ails 120 L ehl1el11l, 8 SekrUil1.d·al'11 ehrern und eirrem DwtZ'end ~ei,slili. oher U er.œn un:d aJlId'e re.r SohlUiIf.rreunJde . De r ,Bel,i,c ht über dile GeI1!Bl~allvter:samm!llU!ll,g v,()Im 27. 2. 58 1n der « Lindle » in Na'tlerlS wrUl1cle vom Scl1.l1i,f'l'fühl1er Vle111Je's:e.n und von d'eT V'eo.·,s'al11Jn1!lung ohn!e Bem'erJ,mng genle h. mtÎ!gt. D.er J.aJweSibellÏcl1lt œes verkÜ11z'llen Veœins · jaihll··e·s war von PriisiId'e nt Stuck~ schr,irfluLioh ahg:e>vasS/t 1.lJ1td yom Schœilhell1ld,e n V011g1eJlteJs'eo.l W1old :en . Bie BemrÜrhuil'lge'll d'es ViereUiJ.lJSvor· S'tande s gi11!glen im ahg,eJ1afUlfe'llelJl Jahre V.Ol· alU'em um dtÎle S.ohlUllv,e11Iiinge11ulI1g, U'IIl die Florthill!du11!glsIml's'e, um dile Gesl'aililIU!ng des neu:en 'L ehllpILarres, um die B e/s'CJ!']Ialfung alleJU'm' Lelul1niuell, um Idli:e RtevdlsilOn d ler tRuheg'ehat1!I1skHIS's'e ld'fSs Le/lu~pe11S'01l'1alls, um kJ.~e Er· hohlUllig d :er T'eueruug'sZ'1lI1a,gen US1W. ner VI011&tan:d '\'Ie'l'u',M d ,e n Vle rcein IÏn dlen lDe~e g~e11r~nversl arnuml1um.cg'en 'd le r Rl.lh:e'glelha\~l1skta'S's!e, œes Z'enrn·aJl,,'·m'brandes citers Sliaa<Vsp'ea\5onaiffi, dle/S IŒ,N:roiLilSClhren rLelmemneJ',eriru; Idle r 6'C1l1w,e iz UlS'W. lm Anlsd.-li1lllss an d en JIah!je~lherrol1lt d 'eJs Prii'S'.ÎJŒe.nten v,elilars ,œer Arktuar leJÏm!en BimThClh t über e.ine aUSis'erordlent~ÏJche "V:el'salnumlung d,es Z'ootmiliv,eJ'brall'des d ie s iim HielfllS'oo . d,es I(;aIl11Jons Waili1i1S ,&tehel1œen P rerîSO'l1!a!l!s vom
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30. Il. 1958 in Siltten, 'w o das rProb:\tem 'Cl'e'!" Sohwv erliingeru ng ll1'a:oh atUen Seiten h~!J.1 dl1lrchlel1l:chl1et u n:d Id lÎ.rslrulii:er't n;vunlle. tAillIS dliiC6:er Ilangml und Is du ' ll ebha f'l'en B~slpr e · c1rung tra't tcler ·eindeU l'ige WlÎ!hle zUl1age, Mittell un:d W.ege zu ' sUDh en , u m ,dUl'ch dâ'e stetiÏgen SohulVlel,liin g'eJ.'ungen in ,ab'Sehba'l"eJ],' Zerit auoh im W 'allis zur Jtahres·sohuiLe zu gel1ang:~n. lD.er Wle g Id 'a]1'Ïn n;VlÎlid w ohil. no ch eliWials ,don1'Ïg lund Ilang Is ein, 'do'oh wo e in W~lLe, rel a ein W 'e g ! I~a S'sii m', L el1l'er V o g,el, Ullterha cih , elis't,alttlel~e den Ka ssahe.l,i:dht 'Lutd g'a b b eklannt, das\3 Ulus eœ K ,asse 'mn'en rZuwach s von ,F l<anIŒn 1018.65 und Is om~'t ein V e111110 gle.n von lF'Œn· Iœ n 3852,60 zu 'v e.rz ei ohnen h alhe. L e!hr:<>r Ga.N'Ien J oS'ef, IBürdh en, h fSantra gte ,a!l!s Rte:oh · lliungisr evtÏsor m it L ehrer IB run n er Jwes, E1sohol l, Idlî;e OeI1Je:hmtÏgung Id er Jarln·es~ie:ch· ' nung un:d lErn'l1b stung lœeis VlOl1s1!a'l1d'e>s unter V le rc1a'l ùcung !Cler 'g'eiliei's'lierten A.rrh ei,t, w'alS einhelllitg 'Und ~ern g'ewiihr.t wIUl~d:e . D el; Jahr,esb eitr'a g wur d'e oIul'e G e g,en anrtl'ag m.if IFl'alù~en 12.bzw. 9.- w..i:e bi.sh er 1
hel~alss'en.
in Id en V'e'l'ein lau~g'enommen W'ur.d en s o",~ile H . H . J8ch Uil li nsiJ):ektor Emil 1mb o'd en, Sta1ldle n IUn:d Hem' P ,r ofeISlS olr Jos'etf Ritz, Bûg. Dile übI~iche Toten1ehrung g'ah unsrer:m unver g'e's'sI1icl:ren grols's en P ,ai}JMe Rin.1JS XII, Iclem leJis t kÜ.l,~1i oh 'verstorhel11en B'Un~de.sr,at M arkllliS iFleilidm an n u n d 'Ul1!serm Fœu!l1'Clund Ko~'l egen L'e hl"e.r Johann Schm rd von B elHw.alcl, Id ,er 'au sserhaJb U'llls'e rer K ,an· tOll'sgl<enze vom Schll'Ï1tter To:d aus ·d er SchUilSItUib e gel1ufen wurde. R I rP ! NBU
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Jltmgl~ ehœr
Hel~r Cha-s,tonay k d'ellhert rfülU1lle in sedn e~' Ol'ientieJl'Ull!g üh er 'arktueŒle S dhu'l proMeme ·aU's, dalSs 'vor aUem dci'e OrganÎ!s·a.tion d'e r FlOrl'hiJMungiskUl'se ,eÏll'e grüncH~lohe Üher· prüflUngerf.ah'l·eIl tS oll1te. EJs m U/Sis ,l eœder f est· ge:s'te~lt w eI den, Id laisS namenltlich Œm Ober· w,a lilr~s lein:e gro's's'el<e ZaM von IL ehr.per,s onen duech iihre S Ollllm o rhe'sohafllJigul1!g Id el"mrals, sen ,gehtllIlcl en sind, da s's ihnen .d i'e TeH· llalllue ·an F,ol1lJhiJ1du n gslcu11sen h e.i'l1'aJhe un· mO gilli oh licS,t. Ers ·mü.s's en dcaher MiHe:l und \Veg'e ·gesu cht w'eliœen , um au chd.ieJsen Ko~· l egen und K ol~leginnen d'Ï'e Vor\1eill e v on F O'rlJhi\ld!un~skiUr'sen z,u e 1111lo gliirchen. M tan
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t'rug,t si0h m i t dem G ed'aillken, etÏUetn KIUi'cS an èli ner Rteihe v,o n scl1!UIlfœtÎ'e n H al1brta,geIJl Wa hl~el1ld d,es Schlull j alhr,es z,u organilsiereIJ1. B rese K Ul'se ,S'oH en d en lieI1l1p eli S'OUeJll dŒe'je· !lIigen Ive.nl1 tnilS's'e i n P'sydho~ogi'e, M eltho:clik, IVIUllJter·s'pr-ach e U/sw. verrnütte'l n, zu Idleren E r1an ~un g , valllieI1.d d er AUlsh~,lchmg im Seminar zu ,,,,enJig Z'ei,t z,ur V'e rfügul1!g st'and. Au lS 'cHesem Gl'U11!d i's t an ZulcuTlf,t eine en geœ Fühl1 ungnalhm·e zWlischen der Kurs1eirung und Id'em :lJe:hrlers'elJllinar vor· geseh en . Es ,j,Sit alllch die F.lia'ge zu prüfen, ob uns'e r·er Sa'cJhe l1!id1t Ih essrm' gedilel1!t wiil~e, incl'em 'm an HUIS ,d en 'eitglenen R eiheII be· fahi ~te L ehrlp 'e11SOJl'en lalLs Kllmsi1e/iteJ' .au!sMI· d eII würde, IMe mit U11!SerU Vlei'hiiJltlnli,s's en v:et'UialUlt 's~ll'd illlld ,cl'e.m'enlisp11eJDheIl,d die KrlU1se ge's-t1a11tJen w,lll'den. 'stl~e'ilfltJe htie1.·auf Ben OhatS'tonuy d'en n eu ern Ilie'h1J.1p 'lan, der im VO'11entwurf VOl" 'e iuetn Jahr,e ,e.iner -g,r o s· seru AnZ'ahll von L ehl'p erl5 onall z,ur Prüfun.~ zuges telh 'Word el1 war. D er j~tzt vonli:e.gende V Ol'entwud steiLLt ein Gemei11lschaftswerk dla r v on ,i nl'er,e:ss'Ï'e11ten Kl,eri,s en aiUls d 'e m Oben v;atl,1i,s und Idem UnterwatHis. Bei cIes'ien AUJsadJ eamng wUl,de VOl' ,œllem die F~'agc gesrtelHt: « Solhl Isi ch Id'e r n ~ue Lehrplan an d~:e 'V'orhan clen en 'L e.hrmiHel anpassen o.de r iSotlil e.l1 ,die IL ehll1l111i,ttd d'em n e uen Lehr· plan 'an gepa's's t n;ve11cl en? » Die Frage stel· l en, hie.ilSist ,si'e ,a ucih g'l'e ich he,antwol' ten, da es j ed ermann einleuDhteIl wü,d, lc1ass die L ehrmitte.l d em L ehl'plan .anzupassen sein werclen ,u nd l1!~dht u ,m g;ek'e lwt. Der neue Lehepllm1 'wlÎllid li n ·d,e n ·niidls·~en Tagen <lem L ehep er sona,l ~ug'eJs lleH.t WerdeIl, 1,,·elches Hm gründli ch ·auf 's eine V erwendhal'keit prüfen moge. A11s ,deitten IP uuk,t seiner Ausführungen ,s·treifte illerr .Ghaistonay d·en lielu-·erIJUlall'gel im Oberwa1llh s. Tiliotzdem ·seit Frühj'a hr 1958 c1IIl'SeilibS,t nioht wenigler !ails ,17 \LBhrp~emonJen d en Sd1llulJd.i-enM Vleda:ss'e n und in der glei. ch en Z,ei.t 52 We dh s'ell 'Sl!atttgef.unden hab en, kamI man mit ,cenugtuung fesl'Sitell~ll, dass nUIl der HohepulJ.lk,t ,dies Lehrermangels
In k'urZ'eI1. Wlo r,lJen
üb et'schrœtten i Sit, und Ida-ss li n 'd en nachs,tell Jahliell dank s,tal,ker Serruinarkla,s sen diesem Übe,] atbgleho'l f'en sein wÎIld . Tro'tzd'.!111 .aher
w'e rld'e n laU!ch 'LU Zukunfit 'glewisse Gemein· den mth k'lu'z'er ScJhUJldmller und ungünstigen to:pog'l~pl1ÏJsc:hen o,d'e r 's chu:1 Lschen V crhült· nils sen Mü.he hahen, ~ür ihre Schulen tiich· ti,mes und Itl'eJU'e;s Lehll'pCIl's'ol1fal :bU rekrutie· 1':'1. Ber Hank Id,es BeJpa1~liem'entes gilt dahcr heson1d'eI\5 ;denj'enligen Mllern ,Lehl'lClln, 'clli e d,m 'ch dli e Btetl'eUJU'Ilg junge'l' Leh11er, d,ie·se un'se1'm Lancle 'Und IÎllu'eJl11 .B:CIlmfe zu 'el'. hailiren 'wIUJS's,lien.lD.i'e neh'ellUug junger Leh1~ell' d'lll1ch altel'e Kolli1egen ,sol] l li n Zl1l!krunflt noch eng,er g.e!sta,1 tet .Wle1,d,en. AhscMi'ess.e!l1Jd '8tl'efÎlfrte Herr -Chastonay di'e Bemühungen mu 's oûall 'e BelslS'CIl~slrell,lrunlg des LeJ1l'Ipersoll'ails "Ivi'e Id ri:e AIl1[HUS'SUllg ,der Ge· hiiltCll' an !dri e ':Deru.·el1UI1g ,ah 1. 1. 58, dri'e Er.hohung ,der rSo'z<Ïia~:bUllalg,en u<nJd d:~e Mehr· l'eirs tungen ,der Ruhegtehalhsimls'Se . Mi,t drem Danlœ .an Id:en Vm'Sita'nd cl.e's Leh~'erV'ererine:s filr Idas vers,tiindnrusvlOill1e Zusiammen.arbreritell1 mi,t Id'e m D erpa1' temente sehilties'slt el' seinc inter.ess'a nlten A'llis~ühr.ulJ1lgten. Untel' Trak!l'andullU «Vlerschi:ed'e n,es» gibt der VOl,sitzendJe eÏ.!niÎgte ,E n<tlschuldligungen hekannt, ,so d1ie von HO'CJhw. Hea.·l'n PrO[le'S· sor ,E rnS:t SchmÏJd't, iBrn ig, rd'e r rel'!S1 am NaiOlull'irt'liag anweS'elld Is:mn ,k onll'lie; Rorcihw. Herrn ScIh'lll!i,ns<p'ek,t'Ol' W lerilSSien, Reok1ill'gle n; Herm Na,llionarl mt nr. Leo Stoffel, V~Sip; Herm Nallionah1a1t Hlené J.acqUlod, SLt~en; Herm OrO'SS11a't J ols.elf Bli'tlteil, VIÎISIp; iHemill Dr. Atlex. Theille r, Protf':eJssoll" SirVten; Re.r,r n Uehœr 6U1p'er,s'a xo Otto, Sa:ars ~y.e:e. D~ iI1Ï'em'anJd Id,i'e nisrkfUlSrs iou ,·",eJJt,er 1<U !he· nütZ'en fWiÜI1fsoht, 'S'ch1ies'St H. H. SCJhrtI1rinsp'ek. l'or Sclmllid\: den gteschatf'lliJ.i,ohen T ,e il unse11Cll' GV mit {Lem tHiimVlrols , die Brücke der
Brwdlel"hiJ1f.e il11 ',,,e1,meth,1~ten1 M!aslS'e zu llillrer· stùtzen u:n:d tllÏ'e I:bug,esa'lldrten g,rüJlIen Ze1!Wl l~echjt f~eilssirg !:bU iheruiitzen.
He'i delm 'Vorzügt1ioh 'S'elwtÏ'e r,l1en Mi.tiliage<S'sen
im 1« R 'e staurant ~ur ail'l'en PO'Sit» k'a m dem Vor:sitzeIlld!oo d lÎle Elme 0ute.ill , Her·r n Staa'!iSl'at Mm'·oeil G110SS, d 'e n Chef d res E1'Ziie· hlUll.gtS'd'e par,temeJultels, (Me JOJreklliion ldiCll' Lon· zawed\::e Visp tin Idle ll Herœu Dr. Si'C1brer will 11l!g'eJIl.iÏ'eiUl' IB ürM, Id en Tage1s11efe11enllen He'l'l~n Br. D'a mlU'elJ RJU.ols dh ,So.WIi.e eiJlle 'gl'osrs'el"e Za:}lil Belhor'd :emi,tlglire'dea.', SCJhulmnii'l1ill'e r und L'ehr,er zu hegrüs'S'e n. IM;:ÏJt Idires'e r B-e.glmslSfll!ll'g 'VIer· baIlid Hel'.!' SohU'liuISip'e ktor J,M. SohwickdJe;l1 her2'JliicJhs·ten Dank :au ldlÏJe IA 'd:r 'ess'e der Dil'ek. tiro n ,d,el' LOll.zruw1e.11ke, d,ile s<Ï'cth ~p'olJ.1t,an hel'eilt e1il&iirte, uns eine Wlelikhe~ichü~mllg rlU organiJsi re l'en m1!d übeliCl<Ï:es ihœ Syunp'allMe der iLem,el,schaf,t ge,genüb'e r I(htdurtch an d'e n '.Dag Ilelgite, rd ass ,s ile uns die Tl'lankrs:a me helim Mrirttalgtes,s'e n rspen:diÎJer,t e. Aru.ch drie G:e· meJin:d'e Vrisp 'zeÎ!glte 18ioh IÎhJJe'S 'Be:inamJeIlis [l'ObH~s» WÜ11d ri g, IÎnd'em lSie unis gW:.SishCll'ûg d 'e n J(Jaf:fee I()IHerÜJelite. Ehlie soi}·
« V lelspia
seIn 'VIer,elwte Herr E1'û ,ei!llUlllgrs'chef IhJe.rzll<i!che W Ol'te deT _~il1'el,kremliulllg und Id,er Au,fimJUn. telmng an ,a lll 'e , 'dli:e an Ider lEr-:z;;i:ehung und HiJ1dung Ull!seœr W,alliH,ser JUfg'e nd Jal,hei,tlen. Er zeigrte f\llnS ILe'hrenn urrd ,E rû'e hern allif, 'Vias für lei'll'e hohe uud re rhah'e'll'e tAufgab-e wtir !lU ~l'fÜllllen harhel1, iUJlll di'e UI1fS 13.nrl'e r'e b:enet~d,en konnten. In dem ta~1fS'dhJ1riiels: s' enden IRre flel'a,t ,eathot iHertr Dr. Samuell RIU'OSdh ,Ql111ISrS unJd WlÎlll1ko:rmnen vml. !S ei'tell Id le r LOll]zaldri r,eJk l'iol11 und .el,kllal~fe, ' dra s's ,d.:i;e ILo:nz-a mlÎlt IF.reJuld'e m]Set~n Wunrs ch ent~egrennahm, luns leÎ'i1!lll'all le iIlen EinJb:Iii!ok tin d'a s Geltriebe reJinlers Ig110lsrS'e n ([:nrluJstnire.W1erkre;s
zu 'grewahœn I\lill'd uns d.aidur:c:h 'eIÎnen IlJdben. dri'g'e n Alns:c:halUl\lill'gtslMlterridl!t ,z ,u 'e tiretiJle n . Herr 0,1'. IRruo'ScJh malc:hJl1e UllIS kfUl'Z rbeI\:!3JJ.1!nt mit Id'e m \Baiu flIIl1/d der En tWtÏJoldunrg Id re r LonZ'awerrlœ NU w,athl:its m lld 'e rMar,re (in WOl,t und Hill d die <Enl~&te!h\llng un:d Ver. w:en:drung Id er 'Wricllltiigs,tlCiIl Lonzarpro'd!Uk'l1e. Di'e tinttel1e.s's:aIllfien A'UI~füihl"unlg,en id es iH·el'J.~n Relf.e1~en1ten mrd Idli e Id :ar,a uffrolg,enlde He.silc'h.
lIi'gUI1!g Idre s W re rk'ers Vli,sp Ib:l'.a/c h'te !Unrs IdrBUltJlirc h HewUlsls ts'eJin, ""ÙJe wichtilg und \Uot. \'Wmfoog der 'te'chn.'i s·c;hre iNadhwulchs [Üt' relire Elihallr~U!nlg fUn'd JdJi'e Wirolter,ell'twlid\!lrum.g relre r ZUIl1l
I.nJcl.wstri:e lim W ral.liliÎls ti'Slt Illillld WlaiS tf'ür MO'glilOhkleirtJen Is!Îfch IdOl;t Ull'se.œr jun~en Gene11atrioill tbtilelten.
Mi t gross'em Ill'tCll'eJ&.s'e ili'elss:en sirch Idli.e LeJu',er, in Idei'lle1ie Gr'UJ}JIlJIen rallfge.tI~illt, :vion erinri:gen JrunJdtÏg'e n HCIl11'en dJCIl' Lonza rcluœh d'en ·grols·StiBn T ,eril Id es W 'erll.:leIS fÛlIl1ien un:d mi,t ;den OeheiilJllulÎ'SIS'ffi1 ronCll' 'chrelmri sc:hen F1albritk li n Henü'lmrnllg bl,ingen. IMlalJ1lclhea." ùehlJel' wÎlid hei fslÎlc h 'S'e!IJb~t :g'eda-ch1t htarb:ea.1: «Haltl~e lÎ'oh ~nlIer 8'0 lklufm'e11k's'amre 8.chiiller, wÏle les rdri eLclmer heuve W~lr<e'll, so kon:nte il6 h mit d'Olp,p'e!ltCll' H:eude 1llfei.Ïn:en ihethren Lehre.1metuf .ausühen ». Det, s'B hr ,ge'eh1~tren Lon~adir,ektiio!l1 ·sleJi la n ,m lels'e r Sl'e~lle für ihr ft~eJUnldllÎdhets Entlgegffiù<':01llllJllffi1 mn iher,zM. ' cITes D.an!lmswo.r t aUSig,eS:iprOlCJhen!
lmhash Peter
obem Tun! Hen Slla'alflsrat M. GW!SS Ühel1h11acJbt!e in sei· n'el' ,s:taalismannÎ's,c:hell. A'llISipnl'C'he d'i e Gl~ÜlSiS'C d:eT tRe~i:el1U1ng an ai'e Oher.waŒlris'er iLehrer Ul1'd Lehœl.urerllillidle , r uher l3.u:ch !Un Id i'e allllfs111~eJhell'de Gem'e'Ï.:n:d'e un:d PfJal'l".eri Vtisp, dlile m1t IdleJl11 wfü,t,S'cha:f,tllichen A rufschrwutng IUIllId
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FIOl"tslCJlll'itt 'alUch d 1em Oelb tiete d'es Schull· w!ese'l1fS SC·h1'itit zu hatlten h 'eJs'h'ebt iÏst. Au[ dle!lll GeblÎreitJe des Seklundla'l's'clhulmVleS!ellS wm' VlÎJs.p ge11rud'Ct:bu bahl11b11ecJhellid lilll1 Wl3.ilil1is. Neben le iner [~u1'zen Rüok· ll'n~d iV.oJ.,S'olmu aruf das 6.chulhVles'e n IÎm WallH,s tand. der
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l
Gebet Pius XII Gott, mache aus mir ein Werkzeug des Friedens, Gib, dass da, wo der JIass wohnt, ich das ,V erzeihen br,inge, wo die Zwietracht trennl, ich zur Eintracht binde, wo der Irrtum herrscht, ich die Wahrheit künde, wo der Zweifel umgeht, ich den Glauben wecke, wo die .verzweiflung liihmt, ich die Hoffnung belebe, wo die Trauer niederdrückt, ich die Freude hervorhebe. Herr, gib mir die Gnade, dass ich nicht suche, von andern getrostet zu werden, sondern sie troste, dass ich nicht suche, verstanden zu werden, sondern mich mühe, die andern ru verstehen, dass ich nicht suche, geliebt zu werden, sondern von Herzen die andern lie-be. Denn, indem wir geben, empfangen wir, indem wir uns vergessen, finden wir uns, indem wir verzeihen, wird uns verziehen, indem wil' gottergeben stel'ben, ziehen wir ein in das ewige selige Leben mü Dir, Amen. -167 -
les Cahiers d'exercices de la
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Aux E ditions Pro Schol a ~ La u sa nn e " Terreaux 29
1.
LANGUES ET LITTERATURES SPRACHE UND LITERATUR
BET,Z, Maurice. Rhlke in Fl'ankreich. Eril]1nel1Un~en, Br.iJefe, Dokumente. (Am; dem F'l'anz. über.set2lt von W~1li R eioh.) WI~en, -Le.ûpzilg, Zürioh, H. RJe~ohITer, (1938) ; 8°, 290 S. TA 14.'565
AVI Concerne les ca rtes de rabais accordées
BOOR, Helmut dIe und Ro:swibha W:iJsl1!i,e wski. Mitte!l.ho Cihd'eutsch~ Gr am ma'l1i k. BBl'lin, W. de Gl'U'Y,lJel', 1956; 8°, 141 S. (Samm~lUng GO'S'che~. 1l03,,) N 567/ 1108 BORGAL, OI.éme11't. AILa irn-Foul'l1iel'. P·ari's, Ed. uuhnersi1'a,ÏlI.1e's, (1955) ; 30, 124 p. pOl~tr. (ŒaoSsiques ,d u XXe sièo1e. 22.) N 535/22 1
1.
Aux Cafetiers-Restaurateurs
2. Aux membres du personnel enseignant 3.
Aux couturières-lingères
BROCH, He1il11'ann. Brief·e von 1929 bis 1951. (Hrg. und , eingeleiJtet von Roberrt P~clc) Zü,r ioh, Rhein-V,erl., (1957) ; 8°, 457 S. (Oes. Wiel,ke: 8.) TA 12.281/8
N'o us informons notre aimable c·lientèle que les cartes en circulation ont été annulées au 31 décembre 1958.
CALVET, J[ ean]. Histoire de La :liIttél1ature fr,ançaoise, lPubl. sous ila diœ'c tÏon de J' C'. P.ar,is, dleJ. Duoa de Gigor,d , (955)TA 14.472
Les nouve-Iles cartes seront délivrées sur demande et s'ur présenta'tion d'une pièce de légtimation.
CRAIGNE, Louis. La 1ittératur,e oatho'lique à il"élirang'er. AnJtJllO'l'ogi,e pool. souoS la direction de L'Oh'. Pallû.,s, A:1sailJi'a, (1947) ; 8°, 227 p. TA 91167
Direction d es Grands Magasins
L_'_---A--L-A- PO-R-T-E-.N-E...:.U..--V-E- -S-I-O-N---' -168 -
DELAY, Jean. La jeul1Jesse d'André .Gide 1869-1895. EPm-is], NRF Ga!lilimarcl, 1956-1957 ; 8°, 2 val. (Vo'caJtJions . 3+7.) TA 14.735 GUILLERMAZ, P,allliicia. La poés,i e ohinoise. (A11J'tho~ogi:e d'es ori'g.ines à nos . jorn's.) [P>a;rÏ1s], ,E d. Segher,s, (1957) ; 8°, 289 p. TA 14.376
-
169- ,
HAME,L IN, Jeanne. Le théâtre olN1éti'en. Paris, A. Oe 'sa,ils . Je oro~s. 129.)
Fayta'l~d,
(1957); 8°, 122 p. N 579/[29
II.
HISTOIRE - BIOGRAPH.lJES GESCHICHTE - BIOGRAPHIEN
HIEBEL, FniedrÏJoh. Ohris:ti'a n MOil'genSitern. W'ell'de und Auflb ruch unS~l',es Jahrhunderts. Hern, Fmncke V'elll., (1957) ; 8°, 241 S. PlOl~til:. TA 14.572
AUBRY, P,a ul V. Monge, le s'avalllt ami de Napoil:éon ,Bonapulit>e 1746.1818. Paris, GautJh!ier·V,iL1ars, 1954; 8°, X +364 p, pl. portr. TA 14.900
KRAHE, Hall'S. Gel'manis,che Sprachwissenlscnaft, 3. * AufI. B'elJ.i1in, W. de Gruyter, 1956-1957 ; 8°, ,2 Bde, (Sammlung Goschen. 238+780,) N 567/238+780
AUCLAIR, Ma11ceJ11e. BernarlelltJe tl858-1958). (Baris, Bloud et Gay, 1957); 80, 283 p. f.ig. pil. . TA 14.921
LE HARDOUIN, Maria. Col},e tte. P,al'Îs, Ed. univershair.es, {11.956) ; 8°, 129 p. por,til:. (Œas's,i q,ue:s Idu XXe .siècle. ,24.) N 535/24 MUSIL, Rolhert. T,agehiiohelJ.', Apho,r ,i's men, Ess-ays nud Rle den. Hrg. von Ado'l f FrrÎ'sé. HamhUl1g, Rowo.M:t Viel,],., (1955); 8°, 962 S. (Ges. Werkre. 2.) TA 12.408/2 PüPE-HENNESSY, Una. Cha'l,}.es Dick·eus . Der Mensch . D:er Diohter - Seine Zei't. (Aus d-em Ellgl. Ü'hertJ.1a'~en v,o n Sir Ga'l,a had und ]jlse Lei'si-Gugler.) (Züri'c h), Maness'e Verll., (1951) ; 80, 537 S. Porh'. TA 14.563 PORZIG, WtlÙtel'. Das Wundel' delJ.' Spl'atche. ProM'eme, Methoden tUIld Er'g,ebl1lisse der mo:del'nen Spl.'llichw.i:s'seu:sdhafrt. 2. Aurfl. Hel1l1, Fl'anclœ, (1957) ; 8° 424 S. (Sa'll1mlung nalp.) N 528/71, a QUEANT, Gilles, Erédéric Towam.jJdd et Aline 'E lmayan. Encyldloipéd.ie du théâlire conltempomill. Vo.l. 1 : 1850-1914. CPa.rÏ!s, LeIS PublicllitiOJ1'S de Fi·,a nce, 1957); 4°, 207 p. VI. frig o pOl'tr. TB 1459 SALACROU, Armand. Théâtl1e. [Ed. d!Î:verses]. [lPadsJ, Gahlimal:d, (1943-1957) ; TA 14.933 8°, 7 vol. SIMON, PÏJe11re·Henil'Î. La 'lilitél'a1tlLne rdu ,péchéet d'e Ja ,grâce. Essai ISur ~a cons· ütUJtÏon d'une littérature 'OlmétielUle d.epuis 1880. P,al1Îs, A. FaY'a,r d, (1957); 8°, 119 p. (Je 'salÎ,s . ]te :crois. l'20.) N 579/120 HÏJstoir,e d'e lira JiUélia'tUr.e f'l:,all1çai\Se au 20e \S,iè:c'l.e 1900-1950. 2e éd. Pa'rtÎs, A. COlllÎtn, 1957 ; 8°, 2 vo:l. (CoU. A . .cOlM . 3:13·314.) N 481/313-3,14
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Politiers, 1958NB 51,2
CALLOT, EmHe. rL'ihris'toiœ 'e t ila rg éogr,a phie au po,ifl1't de iVlU'e s·oûollog,rque. Paris, Ed. Bèl ger-Le'Vl'ault, 1957; 8°, X +285 p. TA 14.360 CA'l1HERINE II, ,l mpératrioe de Russi,e. Mémoires éCI1Ï'ts pail' -eUe-même ... Texte élla'bli let 'p résenté Ip ar nomirr üque Mal',oger. ,[lPa'l1Î's J, Ha'chreltite, (19-53) ; 80, 302 p. TA 14.905 CERAM, C. W. [PlSoo:d. von Kw,t W. IMa11ek]. GOtter, Ol'a1h er und Oelehi,te. R'o man der A~:,chaollog.j-e. HambUl'g, Rowoh'h, (1958) ; 80, 494 S. Abh. Ta!. Kallten. TA 14.930 CHASTENET, J,acques. ElI,is'aibett1h 1ère. ,Ba nÏls , A. Fayapd, (953); 80, 404 p. TA [1.4.358
STREHLE, Herirnal1n. Yom .oetheimni.s delJ.' Sprruohe. SpJ. aohiliohe Au~d'11ucl~Sllehr,e. Sprachp'sylohologie. MündlIoo/Ba's'el, E. ReÏJnhart1dt, 1956; 8°, 201 S. TA 14.851 i
VERKAUF, Willy. Dada. Monograpn of -a movement. Monogmphi'e elÎnelJ.' Bewe· gung. Monogrophre d'un mouv'e ment. Ed. by W' V'. Teufen, A. Ni,gg'1i, (1957); 4°, 188 S. Tiaf . .Atbh. TB 1470 VOGEL, Tmugott. V,atelllmlcl und Muttel·spra:CJhe. Ein W 0'1.'11: zurn Pi'.eiiSe d.er PA 8364 Mund'ailit. ZÜ<l~ich, Artemis-Velll., (1944); 8°, 30 S. n. g~z. Aibb.
-170 -
OOSSARn, Itailo. Hi,stoŒl1e 'elt g, éogq~phie de ;l,a va'hlée rd'ArO'ste. P.eti:t manuell PA 7739 i1lu5't,ré. 3e ,éd. (A'o,ste, Impr. E. Duc,) 1955 ; 80, 128 p. f,ig. DESAI, M-adhuri. Begegnung mi,t Gandhi. Des Mahatma !Lehen und lJehre, naoh seinen Gesprachen und Som'i,fIJen dargeste'LLt. (Ueberh1ag:en von Hans ,Z,billden.) ,Be.l'll, H. Lang, (1949) ; 8°, 14,2 S. Taf. Por,tr. TA 14.684 DURANT, WHI. Dus ,lJehen Grle'chen1ands. IE ine Kullturges'chilOllte Gûecoonll1ailld,s und VIQ.ldel;asiens ... (Deutsoh: El''lJlSlt Schnmder.) Bern, Francke, (1957); 8°, 672 S. Taf. (K'UilJttu.'glesch. td:el' Menschheit. Bd. 2.) TA 14..I[4/Q
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GENICOT, LéOlpoild. Les lignes d'e faîte du moyen âge. 2'e Castelllnalln, (1952) ; 8°, XIV +432 p.
éd. Tournai, Pari,s, TA 14.912
Das MiUell'aiher. Geschkhte IUlnd VeriI1üi.chtnis. (las Deutsohe ühertragen ;von SOIPhme Buclllluay,e r.) Gl'az, W'i en, Kol1n, V,elll. Styria, (1957) ; 4°, 4,67 S. TB 14051
LOT, :erdüral~d ett Rob ert Fawtier. Hi's toire des Institutions fl'ançaises au moyen age. Pans, Presses Univ. de France, (1957-1958) ; 8°,2 vol. 'fA 14.190 LUC HAIRE, Julien. Les ,sooiétés oitali enJlH~s du 13e au 14e siècle. 2e éd . Paris, A. CoJil1, 1954 ; 8°, 214 p. ,oartes. (,Coll. A. Col,in. 157.) N 481/157
G 'e 'S chi ch It e Asiens, von E'r ns't W'alldschmidt, Ludwig A'lsdor.f... und Oskar Kl1essJler. München, F. IB ruckmann, (1950) ; 8° VIII +767 S. (W,eJ.tgesch. in Einzelcloal'steltlung,en. 3.) TA 11.292/3
LUDWI~, Emil. C~éopâtre. Histoire d'une reine. Tl1ad. d,e tl'aHem. par AlexandlJ.·e
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MATT, ,L eonard von [ml'cl] Francis Trochu. HernadeHe Soubi,r ous. ZÜl'ich, NZN BuchV1erl., (1956) ; 81l , 273 S. 183 Taf. TA 14.785
GRUNER, Eri'ch rund BdualJ:.d Sieber. Welltgeschrchtte des 20. Jahrhrund:e,rrs. Edenhach ..zürich rund St,Ul1tgal't, E. R entsch, (1957); 8°, 332 S. Tlaf. TA 14.514 GUYOT, Raymond. Le Direotoire et lIa paix Id e tl'Europe, des ,t mités de Bâtle à t1a Idle'uxième Icoa:htion <1795-1799) . Pa~'is, F. Alcan, 1911; 8°, 956 p. TA 14.468 HALLER, Johannes. Von den Karoilinge,r n zu ,d en Staufern. nie lallotdeut'sohe Ka,i,s erzeit <900~1250 ). 4. * Auf:l. von Heimi'Cll Dmmenhauer. Bel'lin, W. de Gruyter, 1958 ; 80, 142 S. Kal'ten. (Sammhmg GOschen. 1065.) N 567/1065 HAYW.AJRD, F'N'nan.d, Un prupe méc01Um : Benoî,t XV. Tournai, P,air is, Casiterman, ]955 ; 80, 187 p. TA 13.804 HOHLENSTE,I N, Wal1ther ab. Ursohweizer BUlldesbrief 1291. Ulltersl,lchllugen zur il11Jlllall1enten Bestimmuug seines Zeugnisses. St-Galllen, Staatsarchiv, 1956 ; 80, VIII+575 S. Gl'aph. TA 14.569 HUERLItMANN, Ma'r tin, Gero:ld El'll1a,tinge'l' und E'rnst Wink,l er. Gros'se Schw:eizer. 110 Bhldnisse ~Ul' eidg. Gesohichte un.d K'llihur. Zürich, A1ilantÏts Verl., (1938) ; 40, 768 S. Taf. TB 1435 JUST, IUeo. Han.dbuoh ,deIJ.· deU!~schen Geschioht,e. Begründ'e t VOIJ.1 Otto ,B randt.. . Neu hl'g. von L' J'. KOl1'stanz, A. Ha ohfdd , (1956)TB 1452 LACOUR.JGAYET, Robert. La 'Vie quo'tidiellne aux E~ats-Un]s, à !oa "eitlle de l.a guerre de Séoeossion 1830-.1860. (pat'is), Hachette, (1957) ; 8°, 295 p. capte. TA 6133 LIETZMANN, Hall's. ZeÎ'tœdlnrung der J.'omisohen Kaiserzeit, d'es MüteJ!aILters und der NeuzeÏtt ,f ür ,d,i e Jahœ 1-2000 naoh Christus. 3. :;: Aufll. von Kur,t Ailan:d. BellUn, W. Idle Gruyte.r, 1956 ; 8°, 130 S. Tab. (Sarmmlung Gosohen. 1085). N 567/1085 LISSNER, IIVar. So nabot -ïhr g, ede~)t. nie gl'O'ssen Kruil!liuren der Menschheit. (4. Aufll ., 33. bis 45. Taus.) Olten ulld Fr,eihtwg i. Br., W·alte'l'-VeaL, (1958) ; 80, 458' S. Tai. I\!aDt'en. TA 14.833 -172 -
V.lalatte. Pans, Le 'C lub du Livre du mois, (1948) ; 8°, 262 p.
TA 14.503
MATT, Leoouar.d von [wId] M[ade] H. Vicaire. DominikU's. Zürioh, NZN Buchvelil., (1957) ; 8°, 234 S. Taf. Karte. TA 14.786 MATT, Leomu'd von [und] Wla'lte.r Hauser. F,rallz VOl1 A'SS':l·S·I·. Zoouricl, 1 NZN Buohvel1l.. , (1952) ; 8°, 310 S. Taf. TA 14.787 MATT, Leona'r d 'Von [und] Hugo RahneIJ.'. Igl1'a~ius von Loyola. Züri'oh, NZN Buchverl., (1955) ; 8°, 321 S.+226 Taf. TA 14.784 Mit t eJ. aIt el'. Hohes und spates M'. Von Otto Bnll1l1er, Gustav E. von Gruneba~m .... Herb ert Hunger... Bern,F'r ancke, (1958); 80, 644 S. KHIJ.'lten. (Hlstona Mundi. 6.) N 527/6 RANDA, All exander. Hanclhuoh der W,~ltgeschichte. Hd 1Br., 1954-
OJten und tBreiohurg i. SL K 351
ROSTOVTZEFF, Mrc.ha'el. Geschiohte ,der Ahen Weil. Deutsoh von Hans HeilH'ioh Schaeder. Bd 1 : Der Orient und GrieohenJand. Bd 2 : Rom. Bremen C Schünemann , [1956] " . 80 c 2 B] e. 'T\ . ' . ~ Iaf . 1:( J: ,arten. (S amm1un:g Dleterich. 72-73.) TA 14..467 ROUSSET, P'a uil. Histoire des Croisades. ParÎ's, Payot, 1957 " 8 thèque hislt orique.) 0, 304 p. (IBibrlioTA 14..524 SAVARY, Léon. Le fonds Ides reslsU'scités . Me"llo' • l·'l',e,s. T. 1. [L au'SaUl1'e ], Jade Roi11an éd., .(1956) ; 8°, 204 p. TA 14.760 1 TALLEYtRAND, (,Chaa·les-l\~auDicede). Mémoires 1754-1815. Intro-uUC,' ·i on, notes , bl' et e.~a ' l'ssem'ent du texte Ip ar Paul-Louis CoU'ohoud e.t Jean-Paurl Couchoud. Parl's, Plon, (1957) ; 8°, 2 vol}. pl. Ip ortr. TA 14.766
TOYNBEE, ArnotJcl J. Der Gang der Weltgeschichte. Aufsti:eg und VerJ"aU der Kulturen. 4. Auf\!. Uebers. von Jürgen vou Kempsk.i. Zürioh-Wien Europa Verl., (1954,-1958); 8°, 2 Bde. T~ 13.522 VICAIRE, M[arÏe]-H['ll111bert] , O. P . Histoire de saint Dominique. Pa'r is Ed cl Cerf, 1957 ; 80, 2 vol . ' 14.526 . u TA
-173 -
III.
BEAUX-ARTS - KUNST
BASCI-lET, Roger. La peinture européerme . Ses ,éooles 'oOlffi'p'l émentair es. Pa,l'.Ïs, Ed. de l'Lllustration, (1957) ; rin-fo'l io, 120 p . pil. en Icoull eurs. TC 141 BAUMGART, Fdtz. GeschiCJh'te <dle r ahendtland,ÏJschen iPllalstik 'Von den A:nfangen bis ZlU' GBgenW'alit. Schauherg, M. Dumont, (1957) ; 8°, 387 S. Taf. TB 907
SEUPH0.R, MidH~ll. Knaurs Lexilcon abst-rak,ter MœLerei. iMit 'e,i n er ausfühl'lichen Darstel'l ung ,d e-r Geschichte id'er abrstl'akten Malerei. München, Zür.ioh, Th. Knanr, (1957) ; 8°, 323 S. Abb. TA 14.465 V,kLLENTIN, AllIton:Îrna. P'a blo Picasso. P'U'ris, A. Michel, (1957) ; 8°, 4·50 'p. pL poo.'tr. TA 14-.7 67
CARLI, Enzo. Les pdmitifls siennois. Paris, Braun, (1957) ; 4°, 79 p. 137 pL TB 1447
Le Vi ,t ,r a i ,l français. Sous Ila haute dü·,e.cl1ion du Musée dies Ar'~s déoor,aliifs de Panis. Ma'l'cell Aubert, And'r é IChas·te~, Louis Grod'eckL. EParis], Ed. Mondes, TB i469 (1958) ; 4.°, 336 p. ip~. ,en ,cou/l'eur,s.
COEUROY, And:r é . La musique et ses fm.'mes. Par,is, Ed. Denoël, (1951) ; 8°, 238 p. TA 14.743
VUILLERMOZ, Emi'l e. maulde DeJbussy. Genèv.e, R IGster, 0.957) ; 8°, 159 p. pl. portr. mus. (Les g'r and,s compolsÏ'teurs du 2(}e siècJI,e. 1.) TA 14.385
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SCIENCES NATURELLES - TECHNIQUE NATURWISSENSCHAFTEN - TECHNIK
BECHEHT, Ka'l'1l und -Ohrisliian Gelth'sen. Atomphysik. Bd 1-2: ALlg'e111'eine Grund~,ag,en. 3. * Ann. Be.lil,i u, W. ,d e Gruyter, 1955 ; 8°, 2 Bde. Abh. (SammJrung GÜsohen.1009+1033.) N 567/1009+1033 BR0.CKMANN-JEROSCH, H['eilll,Îloh]. n.ie V;e~etation der Schweiz. Zürich, Leipz'Îlg und Sl'ulitgiM"t, ~alS'Ciher, 1925-(1929); 8°,499 S. Abb. T1ab. (HeJiltdige z. g<eohotan. Land,e saufnahme. 1,2.) TA 13.016
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JOLY, André. DictiÏonllaJÏ,il:e de mathématiques. (Pta.ris), Hachette, (1956) ; 8°, 252 p. TA 14.199
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LEBIUNOE.IHNGUET, tLOU1~S. D.es atomes et des hommes. P,a'r,i s, A. Paryard, (1958) ; 8°, 183 'P. (Les Mées .et la vie.) TA 14.915
LINIGER, Hans. Vom Bau der Al1pen. Gemeinversüi'ltcll'i che histOi'lis'o he Geolog,i e von lVLitte'leul'Op'a. Münlo hen, Thun, Ott Vteltl., (1958) ; 8°, 236 S. ~ef. Taf. Pl~Of. Abb . TA 14.884
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INHALT
U TL langage muet
119
Johann Blo'e tz:er
Erziehung zur Sparswnkeit
120
J,a cque'S Dulbosson
La joie à l'école par le disque
125
R.
Lon~'tan
S.M.
Paul Curdy
Das Lehrerseminar in Sitten
132
L'école et le sport
136
CAISSE D'ÉPARGNE DU VALAIS Notre établis,s ement tra,ite to'utes le'S opéra,t ions de banque. Il exerce son activité dans le canton depu'i>s 1876. Il ne povrs'uit pas de buts essenrtierlil'e ment lucratifs puisque ses bénéfices, aprè's les prélèvements nécessaires à sa consoHdation financière s'onrt entièrement affectés à des œu'Vre's humanitaires et socia,les.
Pa'r ti'e pra'tique :
Etude du sol et des engrais (sui'te)
139
Fiches de géographie (.suite)
14,5
CAHIERS VALAIS
Praküscher T eil :
Aufsatz aul der Oberstufe
149
Albin 'F:r i'llgdi
Der A ufsatz i,n der Haushaltungsschule
15,1
At1ex BieJlandler
Sprachgebrechlichkeit und Er ziehung
154
CAHIERS
CRAYONS
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ENCRES
« L'Ecole valaisanne» paraît à Sion le 1er de chaque mois de nov,emb:re à juin. En été, numéros doubles le 15 juillet e t le 15 septembre.
t J IF il CC ([J) ~
Die «Walliser Schule» er scheint in Sitten am 1. jedes MOllats. lm Sommer, Doppelnummern am 15. JuH und 15. September. '
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