L'Ecole valaisanne, février 1958

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INHALT

SOMMAIRE P. fi ell t Ambonl Ca ndid e

H o ss i ~ ..

T..elrrer

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128

P ricste r .

En vue d e rétablir

133

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K. Griblill g

11. MUlIgell1de 'Geborgcllheit uud Sic"p,./ic;" ;/1 der Familie

Ernst Schm id t

V OI1J, d eUL$c/u!II Spmclll/lllcrrich t .

140

Jn ctt ues [)nh OSIH>1l

Procédés pOlir l'a pprentissage et le cO llrrôl.e tIe /.(/ lecture .

144

]36

Rédaction:

MICHEL VEUTHEY Ollice de ,l 'ense ignement.

SION

L'ECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE POUR L'ECOLE ET LA FAMILLE

Partie pratique: L 'o11l,our

A lltHill ~ Mlii sll'c

PARAIT CHAQUE MOIS

156

11l11llllÎlI

162

Sr Marie·Eti enne

Prakli scher Teil : Der Lehrcr fiilu t

Sr . Lo)'uln Zumluu gwuld

DCls Lesell (lu! cler Milw!· lIud Obf'.rSlllje

:;U T

170

fl erlllsl"ci/c .

Dr . Hugo W)'l'S

172 176

CO llllllUlli cutÎons - Mi tl eilul1 gcll

2èmc ANNEE . N0 4

SIO " LE 1er FEVRIER 1958

RENSEIGNEMENTS - HINWEISE .: L1Ecole valaisanne ') paraît à Sion au debur d e chaque moi s. Di e e WaLüsor SchulelJo CrsCh6ÎUt in S i llen zn Begiull j ed es Mona ls Départem en t de l'Iustl"Uction publique, Sion Erziehungsdcpul'tement, Si tten

Erlition e l adminisn'ation [lorullsgeh cl' und Vel'wnllung Impres8ion et expédition Oru ck und Vers:md

Publi cité Ins&utena nnalnue

Page de couverture: U m sehltrgseite :

Page ordinaire: Gewohnliche Sei ~ "

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2. JAIIRGANG . N,·. 4

SITTEN, DEN 1. FEBRUAR 1958


ont révolté cette païenne; et son cri

MEDITATION DE CAREME

BONJOUR, 0 MA JOIE! Chanoine Marce l MICHELET

Eiue gewisse, 1t!odeme Püdagogi/.. sicht dus Heil des [(;IId. cs IIW' mehr jn der Irciell EnlJ(lltuIIS killdl.icllcil Fiilligk.eil,ell. 4: {(cù, Pro151"Omm, kej" Zw(mg, sOllden, IIW' me/!,. fl'cie. pero sOlllic/l e Elltschlie.~ s [f llg des IGlldes ! Das {G"el soU Ire/'U/lWfl Ch scli diirlen /Vie eiu Gebiisch. Und su ctwas lIe/UIL /lUiIi riunu En:. ielwlI g dl/rel, Frcude. Sichel' is r. di e Secle al/ ch ZUT ,,'rel/de gesellallell. Aber u;(U'um Wu/l dewI diese 11IodtlJ'lIC Piidagogil~ a/l/ dcn mcluncho li$c1l-leercn A/I/'u/ ::. c ill er VO l! l'iclel1 vcr g üucn clI Françoise Sago/l /,illa l/ s: « nOnjOl/T, t r;.~ tesse ! » ? W eil filaI! die ,.'rel/de IIcrwccllSclt mir. W olilbcllflgcn, V ergniigell IIl1d soforûger, I)CTsiilllicher B ejriedigllll g. WC/lir e FrCl/de oUc ,. i.~L al1spl"ll ch.~ I ·oll , weil sic :;;um n ereich tle$ G(!Î .~Les gdliirt. Sic /ordert e iu Obc,.sicilil ülflll.~g(!llfm , sie ü, Allsill/s5 d pr NiichM.elllielJC u nd nic/it <les Eigen· nul.zes. We il Il lIlir d er I rii/le n l, 0/ ' iiln:!rlr i c b en cn StrclI ge Quch nic/Il lIfu:h LrUU Cr/l l,l'OUe n, ,~o miissell /.Vir " oeil m iL Dcdauerll s(fgen , da ss "HtII Jum t,e clem. [(i" de d ie Erziellllllg zutn O,Jle/'s iml , zw' Selbstlo$igkeit tlllel Sclb stii benvilldullg zu sehr tlorelllll/ïlL. So muss ju (fllch Iwch dem EVIIII-gclium eÎ/le Hebe bf:!schnÎlteJl werdell. we ml sie reidle Früch w lruge/I soU. Die !Ieste l'üda gQgik , die dem. Kinde die wahn! Fl'clIll e bringell II'fI/HI , "II/.~S das Kiml lIldJedi/l gt da ::;., er::;ie" ell . sic" selb.~t ::H iibe n villclen , lIul die Ilieclent V pr g llii g PII : 11 l'crzicll1.CII III/cl l iir (II/cler e Mell schen. /Jesomlers abcr liir GOLL Z Il lel)f!f1 und :;1/ wirl~(,II ,

seirlt?r

Un buisson épanoui peut avoir sa beauté et p"oduire quelques baies éclatantes. il ne donn e pas de vrais fruits. Une certaine pédagogie - qui est tout autre chose qu'une pédagogie certaine - se décl a re contente lorsqu'elle a fait de nas enlanfs de beaux buissons bien touffus. Elle admet comme principe secret que tout est bon et tout est permis. L'enfant, c'est la vie pleine, montante, vigoureuse. gardez-vous de modél'er ou de modifier son élan! L'expérience du maître est fellement moins sûre que l'instine! du premier âge! Laissez l'enfant trouver sa voie i conduisez-le aux pâturages et mettez-lui la bride sur le cou. comme à un jeune poulain. Plus de programme, plus de contrainte. mais l'ini-

tlatlve personnelle, l'instruction sans larmes et la science par la joie. J'ignore les résultats pédagogiques d'un e telle éducation. mais je me demande quels principes ont abouti à celle fleur monstrueuse qui s'appelle Bon jou r tristesse. Une adolescente émancipée, dans l'ivresse de sa liberté et de toutes les satisfactions possibles, chante au nom de sa génération un cantique de délivrance qui tient en deu x mots: Bonjour, tristesse! pa rce qu'il n'y a plus que la tristesse à qui dire bonjour. Ce n'est pas le frein qui a rendu sa bouche amère, ce n'est pas l'aiguillon qui lui a laboul'é les flancs, ce n'est pas le harnais qui lui a blessé la nuque, à cette cavale sauvage. Ce ne sont pas les rigueurs d'une éducation calviniste qui 190 -

Comment donc une éducation par la joie peut-elle aboutir à la tristesse? Nous voici devant un tragique malentendu, devant une confusion qui peut compromettre des destinées humaines. On confond la fleur et le fruit, le plaisir et la joie. On commet la maladresse du vigneron qui ne demande que la pluie et le soleil et ne sacrifie aucune branche gourmande. aucune feuille, aucune foison de verdure. qui ne soumet sa vigne à aucun traitement et s'étonne de voir une récolte diminuée. Qu'est-ce que le plaisir? Le sentiment de bien-être passager qui accompagne une fonction biologique: la satisfaction naturelle de manger, de boire, de dormir et de tout ce qui s'y rapporte, sans parler des satisfactions que l'habitude crée à l'accomplissement des instincts pervers. Le plaisir peut aider la nature à accomplir son œuvre. il peut également souligner les pires décompositions. Le plaisir doit être réglé, modéré et dirigé vers sa fin, et sacrifié à la joie. Qu'est-ce que la joie? Elle est un épanouissement plus élevé, elle est du domaine de l'esprit, elle est la patrie de Dieu. Elle est possession du bien le plus parfait et, à ce titre, elle n'appartient qu'à la Sainte Trinité. Dans les créatures raisonnables, la joie est le fruit de la charité et la tristesse est le fruit de l'amour-propre. La chair convoite contre l'esprit et en prenant sa pôture elle prive l'esprit de sa joie. « Deux amours se sont bâti une cité: l'amour de soi jusqu'à la haine de Dieu et l'amour de Dieu jusqu'à la haine de soi ».

n'est même plus celui d'André Gide : cc Commandements de Dieu, vous avez endolori mon âme!)} Elle a même trop pe u connu la règle pour connaître la révolte; dans la révolte, il y aurait encore de l'espoir comme quand on lulle ; il n'y a plus ici qu'une mélancolie sans remède; non même une mélancolie. car elle suppose un bien perdu et un e nostalgie; c'est de tous côtés la nuit infinie d'un univers sans soleil; c'est chaque matin le glacial baiser du néant: Bonjour, tris~ fesse! Triste sse non dénuée d'une certaine plé nitude à l'ebours, con:iolation damn ée et vide où se trouve toute une jeunesse partie en quête du rêve le plus beau. Que s'est-il passé? Il est bien vrai que l'âme ne se trom pe pas. qu'elle se sait faite pour la vie. donc pour la joie. C'est le sens profond de la vocation humaine qui retie nt les éd ucateurs modernes sur la pente cie la sévérité. Bien comprise. c'est tout de même une véril'é que Jean-Jacques Rousseau apportait à un monde encore janséniste: le droit de tous les enfants à la joie. Et ils sont deven us rares, Dieu merci, les maîtres qui voudraient de gaîté de cœur causer de la peine à un enfant. Croyant se réclamer de Jean-Jacques Rousseau, ils se trouvent dans la ligne et l'esprit de l'Evangile où Jésus luimême accueille et embrasse les enfants et morigène les pharisiens qui voudl'aie nt les écarter: « Laissez venir à moi les petits enfants et ne les empêchez point; le royaume des cieux est à e ux et à ceux qui leur ressembien!» . -

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Ainsi, sur la terre, joie et facilité s'excluent, il n'y a pas de joie qui ne soit conquête, conquête su r soi. Or souvent, l'éducation enseigne non à se surmonter pour aller à Dieu, mais à utiliser au mieux les facilités que l'enfant porte en soi. Il y a là· dessus, dans la Sainte Ecriture même, des paro les si fortes qu'on n'ose plus les citer aujourd'hui, tant elles sont contraires à la mode du jour. Je les citerai.

Qui ménage la verge hait son fils; Qui l'aime bien le châtie de bonne [heure. La sottise adhère au cœur de l'enfa nt : la ve rge de la discipline l'éloignera de [lui. A l'enfant, ne ménage pas la correc[tian; si tu le frappes de la verge, il ne [mourra point. En le frappant de la verge, tu sauveras sa vie du séiour des morts, Que tout cela est dépassé dans nos elasses bleues et roses où se joue le soleil! Oui, tout cela est dépassé, non seulement selon la lenre, ce qui ne serait pas un mal, mais selon l'esprit. C'est.à.dire que non seulement nous éloignons de nos enfants les châtiments corporels, mais nous éloi· gnons de leurs âmes le sens du sacrifice, Nous leur enseignons à dépasser

leurs camarades, surtout dans les Corn. pétitions sportives, nous ne leur ensei. gnons guère à se dépasser eux-mêmes.

Die Jugend hat es heute besser,

Le sacrifice est pourtant une loi de vie, une condition de la ioie. Pas de moisson sans sueur, pas de vendanges sans la pioche, les sécateurs et les pénibles traitements. De cela, n'en cher· chez point nouvelle dans Jean·Jacques Rousseau mais dans l'Evangile.

aber schwieriger aIs früher

Vous êtes la vig ne, mon Père est le [vigneron.

Prof. K. GRIBlING, Martigny

(r.f. N,·. 2, 3)

III, Die Gefahrdung ln der tlffentlichkeit

Toute vigne en moi qui porte du fruit,

mon Père l'émo nde, afin qu'elle en [porte davantage. Il faut expliquer à nos enfants cette comparaison facile et aimable. Ils comprendront, à leur âge déjà, que si le maître exige et corrige, ce n'est nullement pour son plaisir mais pour leur bien. Plus tard, hélas, ils sauront que leur ennemi, ce n'est pas le maître dont la discipline les avait quelquefois fait pleurer, mais celui qui pour être populaire leur passait tous les capri· ces. Je ne crois pas qu'un homme puisse rien donner de meilleur à un enfant que l'habitude de se vaincre et, sacri· fiant les plaisirs inférieurs, d'accéder à une joie toujours plus haute, à sa joie d'enfant de Dieu.

-192 -

Lu vie publi(Jue clwuhit très tôt l'existence de l'en/cmt. Elle lui impose Umt d'excitations par· foi$ jl"l"éûsl.ible.~ (lu e S(.I1I rn)'ehi.'mlc C il e,~t emmhi. Les t,echflicJll e,~ de di/lll,sifm (rudio , cinéma, /..-iosl/ues) le mettent én lace d e ,<i;l!fatÎOII$ (Ju'i l lui est im.po.çûble de maîtriser avec ses seules reS.5lJurces, Il laut comprendre que IlL propagande désasll'euse du capitalisme et des industries de jO/lissallec exercela sur les jel/lles âmes !lne violence eu f(tce de Il/fIuelle beaucoup se trou, l'Cllt s(uu df~felts(', Ceue situation de détresse morale inrmél'itûe Il'e!.!t pw; seulement celle de ql/eh,ues sujets wrés, mais (jl/ccle l'cn/tillee et lu jeune,<i,W'l d(I1I,~ le"r ensemble. Ceue détresse ltoUS imlJOse le dello;r de IlL protection qui incombe cn premicr lieu aux pères et III/X éducateur,ç, mais aussi li l'Erat dont la missio/l pl'Ïl11ordilllc est lu protection des lai,bles, Il fOllllruit Clussi cluns c!W(Juc purvisse comme ulte gunle morllie et culturelle de h, jeunesse exposée ù é/l'c exploitée l'ur les puissances de l'cu-gelll_. La cOlldiÛOlt e.~stmtidle d'ulle pl'otectioll ellicc/ce de la jeHllesse, c'est de reve/tir à /lite v ie RllStère, cOllforme (/lI X ex.igences irruILu(lbles de l'El}(lII gile et de la vie chrétienne, ce qui ;mIJOSe /IItX cldultes l'obligaûoll de prêcher d'e:t:emple,

Bisber 11aben wir [lie E-ntwicklungsbedingl1ngen der Kiudcr unit Jugendlichen in ihren Beziehun gen zn anderll Personen helrachtet : E Itern, Geschwistern, Bel'llfs- und FreizeÎtgcuossen, E s gibt aber andcl'c auf· bauencle und zel's Lol'cnd e Macb te, die wie Kl'aftfclder a usslrahlen und 50zusagen cin e Seelenluft und ein Geistesklima erzeugen lmd aUl Schicksal unsel'er Jungen sehT wil'klIalll und leidcl' nul' zu ofll verhlinguisvoll beteiligt sind; delill die offent. lichkeit triu !teute schOll sehr fl'üh in das E rZeben des jugcndlichen lIIenschen. Mit der begi nnendcn Puhertiit -193 -

aber wh'd er hesonders anfallig gegenüLer der grüs5ern U mwelt und ilue!'

Kultul'. BetraC'hteIJ wir einen lOjahrigen Buben ciner un serer KJeinstlidte, der 8m Lehen und Troihen .der Leute mit der seine III Alter eigenen Neugierde tcilnimmt. Vom E1teTnhaus bis zur Schnltüre drangen sovieZe und man,· ni,g/altigc Reize in sein lnnel'es, cla5s seine Vo rstelhlng bereits VOl' deJn UIl1.erri('ht von allerlei, manchmal t.iefen Ei lldrücken b eanspl'ucht w-ird, 50 dass cine hesonclel'e wiUentlich e E inkehranstrcngung notwendig wird, um den Zallher des Erlehten zn übel'-


windcn. Del' Jllnge ist eill cr Reizüberflullln g ausgesetzt, di e ihn in eine T raUlnwelt trciht. Rci=e si.nd ltIumtbehrliche Anregun gen des S eelcnlebens. Del' E l'zieh er >soU clarül' sO J'gen , da ss deul Kinde l'ci chli ch Ig enug wCl'lvollc, starke, hestÎul1nte Reize gehoten wenI en, UlU d en p sychologiscLen VOl'güngen den notwen rligcll Al'heitsstoH zu liefcl'll. Da der Schulraum au ch bei d e n h esten Lehrb edin gungen zn b eg renzt ist, mUS8 ,d u s wei te offene Lchcn seineu B eit.l'ag l ei sten. Ah el' die el'Iebten Ucize miissen im natül'lichen seeIiBchen Entwicklnngsve.l'lauf nUGh veral'beitet werden, um den gdstigen B es'ÎLz zn herei chern, I sl das ni ch1 ,d er Fall, so win) allmiihlich die p sychisch e Entwickluug geslürL, indem die R eizc aIs Kcime seelisch er Tatigkeit sozusagen ahSLel'ben und keine Frucht Lrilgen, Wieclerhol en si ch solche geistige !:;'e]llgeJJlll'ten gewohnh eitsmiissi g, so kommt es zn ein.em Ühermass von h]ossen Reizen. Die untüchLig gewo11tlene Seel e hegnügt sieh mit d ec Ollston Phase des El'leLens, den R eizen , verlangt immer m ehr 'u nd jèillt IW de nt. Reizhu.nger, der R eizgicr (lI1.!teim. ; s ie ist s ii ehtig geworden, siich1ig yom Zuy,i cl , abgeseh en V0111 sittlich en Wert der Theize, FIiûlCl' 'ging dus Su chtproblenl meist nul' Erwachscne an; J)nun sp rach yo n Tl'llllksucht, Tabaksucht, Spielsu cht, PU1zsucht., Geltungssucht tl.S .W, N nn hahen ,cliese Plagen 'auch viele Jugen(Hiche e11fass t: Schleek-, Schau-, Tabak., Sport- wu1 feid"c"l' aueh Geschleeh.tssucht h edl'ohen Kin· cler und Hn]hwÎ.lchsige in hesorgniser-194 -

n :gendem NIasse. A nch Jl'linderjèih.rige 1.-c nll e" lich on cli,p Flu t:hl ;'1 d en. Ge. tlllSS. « Die quantitative Wn ch1 (1er Sclll'iI~ t-, Bilcl- LUu1 Toneinwil'kung (Film, Funk, Il1ustl'ÎcJ'te nsw.) sLellt allein .sChOll ein P1'ohle m (1 er P.gycho. h ygiene, dcs seelisch en GCSll ndheits_ schutzcs clar. , . Der SChULZ 'VOl' Reiziiberjlutung ist ein clrin.gendcs E r/or. clel'nis des }t1,ge1td,o;dw.tz(!S im, S i/HIe einer soûalell p ,o;)'chnh ygie.n e », (Briilltrup ) Mali bedenkt zn wenig, da ss h~nter

den alJ cl'mcisten Vel'gllii gLUlg~Vel"an8taltnngell uud G enu sSmiU f'J ll die Gelldgier gewlnnsü chtigel' Profiljager laucrt. Die Ju.gent! ;_'iI, vO lJ,seiten des Kapiwlis1J"w s dos Opte,. sp.elischer Ve rgewa.l tigu.ng, « Die Vel'gnilguugsindustri e w eekt kiillstliehe B cdii.rrnisse, dic den ETfonl enlÎssen de r leibl ichen und secllschen Gesu ndhcit lncht nul' nidll e nts precltcn, sondent si e gefahrd en und seh licligcn. Der Sexualn(;ligun g ·e nt-s pr1C'ht eine Ge· nu ssDütigung, de rell wirtscltaftlicllcr M achti gkei-t sich sagat· die Finanzminlstericn beugen müssell , Die LuxlIJ'ierung des macl el'ncn Mcnsch en , srun « Wetthauf na oh clem Wohllchen» (H enri Bel'gson ) ist cine notwenc.1ige l:i'ol ge j enes na eh l'eillen Produktions- und Gewinnlnteressen clhigierten ,,"' il'tschartsmanagerLnllls», (Bl'iintl'UI' )

Es handelt si eh a150 nicht h]oss Hill die Fl'uge, ob gut oele r sehl echt, Schmt die 0 be r/ iiuerung mit soge· nall.nten g LLLen S chri.ften, Filmen., Var· .'it ellungell, Spnrttvettkiùnpjen ist von Obel. Dahei vediert die Se.l e ibre \V,iclerstandskl'aft, geht des ge"istigen

Selhstand es vcrlustig und i8t wehl']os dem A llSSeJ'n preisgcgeJJen , Sogar un manch en Envachsenen , ja an P Cl"sonen, di e das innere LeIJen besoncle rs pflegen soUtcn, kann Jnan di csen ZerraH beohaehten. Dicse U'/ehrlo$igkeit wi,.la sic /" auf dem $chicks((lsvollen Ge bi.ct d er reimm. jngf!lldJ'eije verhiingnhiVo li aus, iJ eso ndel'S wenll ,d ic z-ersetzenden Umwelte inClUsse ·d er Ueizüberf'Jutung dureh di e Sehlcchti gk eit de r E inw.lrkun gcn u och ,IJetriiehtli ch ycrstark1 \Verden. « Diesel' Anstunll von liialschhild ern tâigt dc n C1Ji.l1'akter eine r seelisch eu Epidemie, und wlr 'cHil'fen woh 1 annelunen , class dj e seellsch e GesUll(Ul ell des modcrn e n Mellsch en znliofst becll'oht isl ». lBriintrup) Obcl'si,cht Die Jwutige J ugclld hal es sidu :: r sclnvieri gel' aIs wil' eh ema.]s, Rillter zahliosen K.lnderaugcn und n o ch melu .1 i.in glings- und Madcll engesÎcht C1' 1l verhirgt sicb eille grosse, eine lUlgcheure Sccl ennol. leh crrate di e FUl'cht so mand~ el' Elternh erzen , di e ihren Sohn oder ihrc Toehtet' HUS dem verhiiltnisnüissig trantell Heim in d ic fl'emd e Wel,t cn1lassen müssen, weil das 'Liig1iche Brot, Stucliengclcgenhciten und B e rufshiIdull g eine Trennung ve r1allgen. WÜ' be ton.en : es handelt sich u.rn ei.n.e allgem.eine Notlage, «Nicht Hungell s110t Doeh Natul'l<l8tastrophcn, Boch Mlkroben nnd E rdb eben, sondern der Mf",.Ilsch ist dem Mensehen di e grosste Gef.ahr, weil es k einen genügenden SchurLZ gibt gegen di e p sychisch en Epidc· mi en , di e unglei ch v61'heel'encler wirken ». (e. G . Jun g) -

UNSERE UN ABWEISBARE PFLICH'f Mit R echt kampfell wir gegen die Beschrankuug llnserer po]itlschell Freiheit durcit Ausnaluncart.i kel, Aber /toc]" wichl,iger ist de r [(am,pj fiir die innere, die duistliche Freih e ;t, ll.llll all erwi chti gsten der sehoI1lwgslose Kampf rür elas ReelJt dcr J ngenel, si ch gesund, l'Cll1, zllkunftsf;l'oh zn cntwickeln. We r damn zweit'eh, soB ern s1 sein Gcwissell errOl'Beh en, Z u.erst sallen 111; r Uli S ller J u.genllnOL "ccht Înn ig mut z u.tie/st l)(~wu.'lst 'Wcruen. An Ort 'l1l1d Sl-elle is t clie Lage zu untersu ch cn , mit oHeneln A nge 'Und tellllchmelldem Herzcn, llIU di e No t konkl'el und l ebensnah zu seh en und zn e mpfind en, Wir dül'fen lins k cinen Sand hl die Augen st.re uen Jassen und gJ.aubell, class clic ErrungcllscLaftc n ùer Teehnik, die whLschaftJich e Ucssel'ste11ung, cleT \Vohlstand und cle r hoh e l'e Lcben sstandard, sowie tl ie gewiss allerkcn· nenswerten FOl·tschritrte hu Schu]wesen di esel' J u ge ndn ot steUe111: « Was hiHt es ,dem Menschell, ,~enn Cl' die gallze W elt gewii nn e~ abel' an seIner See]c Schadcn litte ? » DUlln 1U.llSS die Fmnilie wiecle,. ... c1w,tz jiihig wen[en.. EÙl gu ter Anfang lst lJereÎts gelllacht. Die Ehebe· ratung und die e rnste V01'beteitung (1er Brautleute is·1 aIs cin wirksamel' Bcitl'ag Z llm Juge ndschutz a nf wei te Sicht z'u deu1en, Die hcste h enden z.erstreuten J uge nd8chutzgesctze und .massnahme:n soHten Ol\ganisoh erganzt und z q cin.er 195-


T1U' meinen N al11cll llidlt n cnnen ! \Vas isLd a zn tUl1 ? Ahnlich stclll es m.it. allerlei Sch(m."iIellllll gen. Kiirzli ch kam ich wie znfallig in eine KunSlallssteUung, wo dn h esonders ansLüsslges Bild hing, A1s dcr Leitel' 'Oder Aufseher, dCl11 ich mich vOl'gestel1t hatte, iJllerkte, welch es m ein Anlicgcn sei, kehrte el.' mir d en Rüeken . Zum Gliick fancl ieh heim Generalc1il'ektor (1er VeNll1sLaltung, dem j ch di e Sache mitgete ilt batlte, luchr VCl'standnls, Sein dieshe~ zilglichcl' Bl'ief entJlalt ro1 gendc Worle (ich iibe r-setz e) : « Lassen Sie 1nich Zllll1 Schlnsse müteilen, class Sie untel' clen zahlreiùbell Besuchcrll uuserer Ausslellllng di e einzige Person sind, (lie sich di e Mühc gegehcn hat, uns dieshezü gljcll zu sc:hrcihen ». 'Varum sind so viele Leute, unter d enen sich gewiss munche Familieuvater, Erziebel', Geislliche, Richter u sw, heranden, tlatenlos an dieseul Bilde und an unzahligen iiJl1llicllell Anlassen vorh eigegangell ? Gestch en Wil' es offcn : Wi,. Envachsenen tl'agen eine sclttvel'e NI itsc!t.ulcl an der grosscn ] ugendnol, Hi!" di e wir vielleicln in selbstgerechtel' Entüislung VOl' allcm clie Entglcisten und Gesllnkenen verantwortlic::h machen. li'ür jec1en Vater, für jede l\111tter ist JugcnclscTtutz auch Selbstschutz. Das Kind ist ja organisch innigst miL seinen E l tern verbunden, vorab (hu'ch Ehrftll~cht lU\cl Liebe, ~r,as winl aus diesell hegliickenden Gesinmmgen, wenn (1er SolIn oder die l'ochter irregeht? Vielleicht stl'ufen VerachLung und Hass (lie nachHissigen Viiter und Mülter.

z lveclr 111 éissi gen ] ugcnd. . ch ul.zgcsctzgebl.lng allsgchallt werden, Die bedrolllidlC M.Deht des Geullsskapitalismus und cler VergnilgungsindllSLl'ien i8t SO stark angeschwollen, dass sie Dur clic noch gl'ossere Machl des Staatcs, desscn U1'pflicht tl cr Schutz der Schwachen ist, cingedammt werden kann. Seit balc:1 eincm Jtù hrlumdert hat man eingesclten, dass zum. Schutz der offentl ichkeit gegen Irlie Volkskl'anklleit des Alkoholismus gcsetzliche Einschdinknngell notwendig warcn; denn die siuliche Freiheit steht iiber d er Handelsfreiheit, Die gewissenhafte DUl'chfühnmg diesel' Sclmtzgesetzgehnng hüue nooh vjel mehr Obel verhiilen solIen, Eine tihnliche Massnahme bl'uuchcn wir anl den wichtigsten Gebieten des V olks[cbens, clessen enlschcidender Fakto1' die .lngcndcl'zi.ehung ist, Abel' aneh jedc1' einzelne .'mU zur ltbweh1'enden Wa/ jc grei.fen, uln die Jugenll Îm allgemeinen und dieseR oder jcnes bcdroh1.e Ki nd zn scllützen, E's antworte keiner in wegwerfendeul oder sogar h el'ausfol'del'ndem Tone : « Bin ich d enn der Hüter ,m eines Bruders? » Leider wi.rcl die lugencl i.n Not aur d en versd1iedensten Gehieten sogar von h erl1fener Seit e im Stiche geInssen. Wir hahen z. B. einen Artikel136 des eidgenossischen SGB, der clie Kinder bis zum 16. Altersjahr VOl' cler Gerahl' J,el'auschenc1er Getl'iinkc schÏLtzen 8011; aher diese Schutzbestinunungen stellen b10ss auf dem Papier. Ein Bekannter liess mir VOl' J ahl'en cine IOage ZnkOllllllen über zwei krasse Fiille, fiigte jecloch hinzn: -

196 -

Es so11 zngcgcbell werden , rlass dru' einzeJne Vater manchmal maclillos iSl, Dantl solle: n Viiteruereini.gulI.gcn , et\\' 3S wie CÙt siu.Iich e ,. Ortssehulz, 118Ch d em Ree.hten sehen. Wo in ciner pfl1J'1'ei, z.B. in ciner Kleinstadt, eini ~ ge Dntzend 1\Hinn el' ejnsichtig und kIng Hlltcinii.udel' die gl'oben Gefahren aus d em 'Veg rler Jugent! l'aUlIlell, wirc1 sich sehIiesslidt die Untcrn eh · muugslust del' A'lls beutel' jugendlich e.n Leichtsinnes und kindlichel' U11erfahrcnheit kiihlen müssen . Die Valel' konnen mutig ,auftreten, weil sie ihr ureige nstes Cut verleidigen . \Vil'ksame1' Jugendsehutz gre'ift noch ti efer ln das IL ehen der Envachseneu und auch der Kinder cin. Oben wl.ude mil Nachdrnck darauf hin ge~ wiesen, r1nss j ed e R e.izüberfJuLung ZUl' Sikh Ligkeit füh1't. Um diesel' Gefahr zu elltgehcn, hleiht nidlts anderes ühl'i g aIs Ei,nsch,.ünkung. Ent~wgllng. Ent/tall.ung, kl1l'Z 'Und gut: Askcsc. Dass di e Envach sencn und insheso nclere tHe E ltern mit {lem Beispiel vOl'angelten mi'ls!ien, darf gal' n icht vel'schwiegcn werden, ln vielen lr.atholi.'iclten. !(reLsen. hlingen. die.'te JP' orte wie jerne Erinnel'ungcll. an eine nun cndgültig el'lecligte Welt, Wi ehtiger aIs politiseh e Machtkiimpfe isl deI' ~all1pf für di e FL'eilteit und Gesnnrlheit des Innel'n, «gegen lUe Musohin el'ie .der Reklalllc, gegen die Flut der Sensationen, gegcn d en La'rm in al1en FOl'men, wie si.e von allen Seiten h er ·a uf 1h11 eindl'ingen . , , Slrasse, Verkehr, Zeitung, Selbstel'ziehung, ja der elementaxsten SelhsLverleieligllng, die weiÙün nÎcht einmal gea hnt, geschweige clennklal'-197 -

ge!' tellt und jn An gl'iff genonunen sind », (Gl1a rrlini, Die J\1acht) Wil' müssen wi cd er Entsagull g lernen. ' Vas denkell eigentli ch Ullseœ gcis Llich en Fii.111.'cr zn di esel' Lage? VOl' m ehl' als 60 Julll'en hahcn clic schwejzel'ischen Bisehofe in einem MalInwOl'l an die Gliiubigen 'i hrer Diozesen gesclll'ieben: « Wenn wir dos evan~ gelische Gesetz der Selbstverleugnung ols Masstab an die sittlichen luslOnde

der Gegenwort anlegen, wo finden wir dann se lbst in katholischen Krei sen noch den Geist und die Obung der Selbstverleugnung ? Es mag Ausnahmen geben, und Gatt gebe, dass

ihrer vie le seien, aber der allgemeine lug der leit verhalt sich zur Se lbst-

verleugnung wie dos Nein zum Ja. Der Ernst christlicher lucht ist aus der

Erziehung gewichen, sie ist in den weitesten Kreisen zur Verzërtelung und Verweichlichung des jungen Ge-

schlechtes geworden ». " ras milssten uns dieselhen Oherhirten h eute woh1 sagen ? Ich h ahe hier lüe ausscl'C und innet'e Schutzlosigkeit der jungen :Menschen dargestell t. Die « Walliser Sehu.l e », Zeitschrift nir Jn gendbildung in Schlùe und E ht>.l'uhaus, wird l'ieh mil al len Kraft en den leiblicll cil und seeHscLen GesUlulheitsschllt z ah einer Leben sallfgal)e unsel'es Volkes ZUl' Verfil.gung sten en. VOl' Goll ist j ede1' 'v on uns Id er Hii·seines sch wn chen Brudc1's, seinm' sohü chtel'nen rS chwester, eingedenk der ''(Iorle des Heilancles : «W as illl' ejnem di eser meiner gcrin gs ten Brüdel's gelan 11aLl, das haht i11l' mil' getan!» 1er


Or c'esl la femme qui fait la solidité de la liaison.

GARDIENNE DU FOYER « Que toutes les maisons du pays soient solides et le pays, lui aw,si, .~ er(t

solide » (Ramuz ) . Abbé G . CRETTOl, Reele ur de l'Ecole d·ogriculture

Die Frau ist cs, welche dem Dallcirn Bestalld verlei"t. Das ist «ber auch illre T-Iuuptrolle, die sic in der mensclllichcIl GcsellscllUft zu erfiillcll hat, ttla l,rend der Mann drausseu < irn leind. licil CIL lchen :t wirkcn musli. Diese Au/gabe der Frau ist bestimntt clIg umralunt und aue" verborgcn, aber CIls Erzieherin der Killder voIl/üllrL sic, um mît Jo se ph d e Maistre zu sJ1re· chen , c da s grQSSLe Meistenverk :t . Sie is' die Lehrerill im Eltern/lOus. die giitige Herrin der Küdw. 100 sic m it Sorg/alt und Liebe schaltet und rvaltet und di e Fwnilie bei den Mahlze;LclI um den Tisch venCt1um elt. Sie i.~L die HClfl,smuttcr. welche durch Ordtlurrg, Saubcrkeil. und ihr ganzes. müuerliches We,~ e/l da,~ JTlolmllaus zu ei,.em liebell , heimeligen ZullUûse macht, ,,rir kiilmen dawm die grosse Bedeut-ung d er /JDll5 wirt.schaftlichcll Ausbiltlu/lg ei/ler T ochter /lie gellug untenl treich ell, weil sic vorbereitet aul eille wo.flre und erhaluwc Mission, 'welche die Hal/sluw j"" Dct!l e;m i/ner Fmn.ilie ;;;u erlii.llen hat,

Le rooa ctelll' de cette 8 Y'll1patb~que revu e p édagogique m'a lJrié d e bien v:ouloir, dans un article, souligner l'importance de l a f01.' mation ménagère pour l es j eunes filles elles111êmes, pour l es foyers rJU'elies fonde ront Trlus lal.1<l 'et , par conséquent, pour Je paya tout enlier . OeUe importance, Rauluz l'a magnifiquement e..x primée quand il a fl3.Îl dire à un vieux vigneron de Lavaux:

« Tn te sou.viens, ma, fe nune. ou qnoi? Tou.s ce.'t soucis, tOlLS ces tracas; seulem ent tu as été là. Olt est Testé fidè le l'w~ à l'autTe. Et ainsi j'ai pu -

m'appuyer sm' toi, et toi lu t'Clppu)'a.i.s su.r m.oi, On a en de la chance d'être en.~em.ble, on. s'cd mis tous les d eu.x à la tâch e, on, a dw'é, on, a tenu le coup. Le v rai amour n'est pas ce qu'on pense. Le v rai am.our n'est pas d'un jour, mais de toujours. C'est d e s'aider. de se comprendre. Et peu à p e u. on 'voit que tout s'a.rrange. Les enfants sont (levenus grands, ils Oltt bien tourné, On leu"r avait donné l'exem.ple. On a consolidé les assises de la maison. Que toutes les m.aisons du pays soient solides et le pays. lui aussi, sera solide ! » 198-

La pl'cuve la ,p lus convaincante et aussi l a plus évidente, ..ta voici : tant que la fe.mme es t \111, lI a famille contioue de subsisler. Mêm'e Il e iluavÎ 11101't, ln famille continue autour de la maman. Mais enlevez l'a femme, c'est un foyer qui meurt. La famihle se disloque. Les enfants sont Il'ecueil· lis il gauche 'C t à droite. L 'hollllne n e peut gut>..1·e 'c ontinuer la falnille, à moins qu'il ne se remal'ie ou possède Wle grande j eune fille qui renlplace la mmn an - ce lfui est souvent une so1uLÎon boiteuse ! Gardienne du foyer, tel est le rôle que ]a Providence la pcnsé pOlU' la fenune. « La fClU1ue défendra la société en demeurant assise aux sources de la vie sociale (fUi 'Sont la fanlille. la luaison. le doml.line, le lieu, la cité, note très justem ent GO llz.aglle de Reynold. Voi)à ]e trésor (lui es t confié à la felllme. Lu femme est ~,a gardienne de l',autel où sont l es pénates, du tombeau où sont les morts, du berceau où la vie COlluu cn cc, du foyer clont elle ne doit jama is laisser s'é teindre le feu ». L'homme est à l'usine" aux chamllS et aux vignes, à l'atelier, au 1Jlll'eau. fi voyage pOUl.' ses affaires. Il cst absorbé pal' l a vie professionnelle, politique, sociale, militaire. Il s'adonn e aux compétitions spol'tives de tout genre. TI est l'animateur d e CC11t et Unc sociétés diverses depuis la petite sociét é de m.usique de son village jusqU'là !la grande société pO'1itique clu'esl SOlI pays.

La fcmBle vigilante, clle, est a u foy er, se consacre tout entière à son foy el', cal' elle sent d'instinct que c'est là qu'elle peut produ:ire ]e chefd 'œuvre de sa vie. Josep h de Maistl'e, spirituel et sa VOllre u.\: écriv.ain, répondant à sa fille quelque peu inlpat.iente d'être enfel',m ée enll'e les (fUatre murs de sa mai. son et vouée « aux 'travaux ennuyeux et faciles du m énage », lui a finement Jl10ntré (.ruelle était au fond sa chancc: «Voltaire a dit, à ce que tu m'écris, que ~cs femmes sont capables de faire tout ce que font l es hommes. C'est un compliment qu'il 'a fait à quelque jolie femm e ou bien c'est mIe d es cent mille sottises qu'il a dites dans sa vi e ... « La vérité est justem"ellt l e con· lraire. Les fmmnes n'ont fait 'a u cun chef-d'œuvre dans aucun genre .. . E lles n'ont inventé ni <l' algèbl~e, ni l e télescope, ni les lunettes achromatiqucs, ni ]a pomp"e à feu, ni l e m étier à w

bas . .•

« .l\1:ais elles font quelque chose d e plus grand que tout cela: c'est. s ur l eu rs genoux qu e se form e oc qu'il y a de plus excellent dans le nlond e : un honnê te homme, lme honnêle feuunc. Si une delllOisellc s'est l aissé bien él ever, si clle est docile, modeste e t pie use, elle élève des enf anls qui lui ressemblent. ET C'EST LE PLUS GR A N n CHEF-n'OEUVRE MONDE .. . »

nu

Ces hrèves considérations et citations d,isent suffismllment l'excellence d e Ja mission cie ]a femme et situent bien l e lieu où ICelle-ci la r elnplit 1101'/99 -


malem ent : Je foy er, la maiso n fa mt-

liale. Il ne m'incombe pas, dans l e oadre d e cet 'article, de détaillet- l es quaHté.'i m01,ales que doit revêtir la femm e pour arriver à produire « ]e plus grand chef-d'œuvl'e du m onde », J'ai à dire ses « vertus lnénagè res »_ J e n'en dirai que d eux, car cela suffit Ip our démontre.r qu'au cune j e un e fille ne d evrait se lancer d lUls la vie saus une bonne formation ménagèl-e. Que doit savoir une honne m é nagère? Une honne m énagère est tout d' ahord une l'cine d e la cuisine: ell e trône deva nt l es casserol es_ N'est pas bonne cuisinière qui vent. Il faut tout d'abord sa voir fail'e un e bonne cuisine courante, qui sach e allie r la variété à la saveUT, sans s urm encr 1110rte]Jement Ile p O'r te-moTlnaie, On prétend qu e l es de ux ustensiles d e cuisine l es plus utilisés par certaines femmes amél'ioaines sont _, l e tél éphone et l'ouvre-boite: une cuisine de conserves! Je n e dis au cun m al des conserves ni d' autres produits tout prêts qui se trouvent clans l e commerce et r end ent de préoieux serV'ices à l'occasion _ os m énagèr es doivent être d' autres cordons bleus, Elles doivent so rtit' Ides 6 ou 8 recettcs qui sont tout le bagage culinai re d e certaines p ersonn es. Et'ahlir un menu, s avoir utiliser les restes, savoir com m ent « arranger » un 'rôtj passahlemenlt hrûlé, 'e t mille autres p'e tits trucs allssi ingénj eux que simples IJn ais qu"j,1 faut co nnaître conlJue ,l e truc de l'œuf d e Colomb , , et que l'on n e p e ut connaître que si -

011 l'a appris!, _, ,'oilà un art pas si l'épandu! Un e bonne ménagèl-c sait aussi (laire d es extrns, d epuis les « merveil_ les» appréciées ,l ors d es tOlH'nécs de cave jusfJu',anx gâ lealLx a ux fruits, si faciles il préparer quand 'On produit Soi-lllême farin e et fruits l On ne saurait assez insiste r sur l'importance de l'art culinaÎl'e ! La l'éfectioll1Jh ysique est indispensahle pour travailler et pour lutter_ Le r epas es t r éconfortant pOUl' le ph ysi que et tont a ullant pour l e moral. S)il esl Lieu apprêté, servi à temps, bien présenté, il est uu puissant agent de paix familial e, Que de m énages sont en diffi culté, parce que la cuisine est expédiée à l a « va-t-en vile » et a u « vite asscz bon » ! Quc de ménages res te nt unis, en accord, pal' l'influen ce d 'un e table agréa ble et IJien mise, disposant à ia honnc humeur, à Ja détente, à l a confirl en ce ! Le r e pas n'est pas qu ' un e ingurgitati on d' aliments _" il est ct il doit ê tre ml act-e social (fui ré unit les nlcHlbrcR d'un e même f,amille et ,l cur <IOlme Il 'occasion de parler , d e se comprendre e t de s'aimer_ Pour cela, il faut qu'il s oit hon, qu'il soit bien présenté, il fault aussi qu e l es dépe nses qu' il occasionne soient réduites l e plus possihle. NIais 1'hOJllll1e _" et la femme " , n'est pus seulem ent un estoma c qui pense, comme dirait Je philosop h e, A cô t.é de ,l u cuisine, il y a la c!tamlJl'e, il y a l es ch8111hre.; ! Le prcmier h u.e, c'est une grande pl'opreté. Trop de femmes, encon200 -

UI1 ch ez ~e ux qui l e ur plaît parce qu'une femme l'a rendu confol'ta.hIe et « confortan t » !

ragées par trop d'hommes, n 'aiment pas tenir l eur intérie ur_ Faire n'unporte quoi, y compris de gros travau x agri col es, mais, au nom du ciel, n e pas être oh1igécs d e l-ester li la maison ! Ulle lJOnne ménagère aime so n intérieur, son petit ro ya mue. On p'arle bea ucoup d e sport aujourd'hui, de camping, de footing, de sport féminin , ,. D'accord. Tout cela est rol't bien, Mais n e trou vez-vous p"as que le premier sport f éminin, et combien utile, c'est le « balaying » e l ]e « frotting»? Propreté journalière et n ettoya ges il fond à '] 'occ3sion, ct l-égulièrement, ct le m o l r ég ulièrement n' a pas le sens astronomique de chaflu e année bissextile ! La patine des ans ne doit pus ê tre confondue avec la cr asse, e t la Ipl'OtecLÏon des lanimanx, qui est un sentiment louable, n 'autorise pas la ménagère à tl'ansform el' sa dem eure en distri ct franc pour araignées et autres bestioles ! Si un intéri eur n égligé, 'Sal e, malodorant fait fuir ses h abitants, un int é~ rieur plein d 'agrém ent les retient et exel'ce une influence profonde sur la mentalité et mêm e ,l a moralité d'une famill e_ L'h omme se 1Jlait dans un apparLement plaisant; rles enfants s'y attachent; la m ère est mie ux aimée et p eut plus fa cilement remplir son rôle. lncalmùable es t l'influen ce de l"apparlem ent, rIe la Dl.aison , du j ardin, des alentours sur l'lnuneur, ,l e courage, la vie d 'un homme e t des enfants ! Ce <lui l eur donne des forces c' est ce lieu où Hs sont chez eux, -

lV[ais comment

~'a

femme sera-t-elle

il la hauteur de t outes ses tâ ch es ménagères, si elle n 'a pas eu soin d e se mlllur, au dé part, '{l' une bonne formation m énagère?

AujOlll'd'hui ila vogue est aux é tud es comme rciales, classiques e t même universitai res pour bea ucoup de nos jeunes fill es. Tout cela est fort bien _,_ à conditioll qu'on ne néglige 1)as l'essent.i el: lI eur fonuation de ga11(Uenne du foyer, <l'épouse, de m èrc, de ména~ gè re_

A quoi bon, dans lm m énage, une f OllUlle céréhrale qui bat des records d e sténographie, qui I(liSSel'te avcc éloqucn ce SUl' Camus e t Berl1a~ nos, qui connaît l es secr ets des arts et d es langues, re t qui est incapable de cuire qne:lqu es l égumes convenablem ent, de soigner un enfant, d e mettre de 1'Ol'drc et de la propreté? Oui, j e m e demande, à quoi bon ? P\onvre mari, p auVl-es en fants e t triste maiso n! En un co nte symbolique de ses Histoires comme ça, [l'écrivain anglais Kipling n ous ,présente Il es animaux dom estiqu es encore à l'état sa uva ge, aux temps de la préhistoire : «Na turellement, l'Homme était sauvage aussi. 11 était sa uvage que c'en é tait a ffreux, H n e commença I.Î s'apprivoiser que du jour où il rencontra la Femme, et elle 'l ui dit (Ju'elle n'aimait pas la sauvagerie de 201 -


ses malllCI"es. ElHe s'anangea, pour y cou oh er, un e jolie ca verne sèch e au lieu d'un 'tas de feuilles hLUllides ; elle IJoudra Je sol (l e sabl e clair et cne fit nu ]JOI1 fe u de bois au fond de ]a caverne; puis elle fp enc1it une p ea u de cheval, la queue en ]Jns, d evant rentrée dc l a cave rne, et dit : «- E ssuie tes pieds, mon am i,

quand tu rentres: nous allons no'US Illettre en ménage », S'essuyer les pieds, dit Mgr D évauc1, c'est une des premièr es conquêtes de la civilisation! La civilisa tion COlll1l1en oe à la mai. son, e t ,l a civilisatri ce par ex cellen ce c'est la ga rdi enne de ]a m.aison : la femm e.

Muttersprache • ln der Haushaltungsschule Mathilde ZINNER1 Houshaltungs- Lehrerin

H'8 usha'l ten i5t Berursal'beit. Um einen Haushalt zu fiûu'en, l)l'aucht es gründliehe Fachkenntnisse. Jedes jnnge Madchen hat heute Gelegenheit, sich 501che anzuelgnen, sei es im !luültel']ichen Haushalt oder in cler hauswirtschaftlichen Fortbildnngssclull e, Die Haushaltungsschule alJer is t nicht rein Fachsclllrle, son· dern sie sol] 8ich in den Dienst der Allgemeinbildllog stellen . Thr Zie! ist uicht nur, praktisoh e Fertigkeiten zn vermitteln, sondern sie soU aIle Kenntnisse, dlÎe die Primal'schule ver.. mitteIt hat, erweitern und erganzen. Die Allgemeinhilclung wird vor aHem dnTch den UntJerricht in cle r Mutter8prache gefi:h'del't. Leider wird der Deutschunterricht in unsel'en Haushahungsschllien oft aIs Nehenfach angesehen, wohl Ideshalh, weil ihm hn Lehrplan nul' 2 Stunclen einge-

diumt sind. Die Le]uerin sollte aber l1icht lllll' di ese 2 S tunden moglichst auswer-ten, son:del'n alle and ern Facher in den Dienst der Muttersprache ste]Jen. MlltterSpl'ache kaun ais Untel'richtszweig auf 4 Al'tcn in der Sclllùe angewanclt werden :

1. im üben des scho11en, ri chti gen Lesens ; 2. in der Pflege cles schriftlichen Ausdrllck s im Aufsatz und Briefuntel'o ri cht ; 3. im Nieclerschreiben cles Gehorten und Geübten, wohei besondeI's auC die Rechtschreibnng zu achten ist und a uf den zllt:reffel1den Aus(1ruck ; 4. im ricJltigen Spl'echen und z\\Iar in> gep flegten Gehrauch der Schriftsprache. 202-

Es clürf.te angehracht sein, in dicselll Znsam.l11enhan g ein pa al' Hinweise au!' di e Beziehllng zwischen Mundart und SehriftspTach e 'in LUl.''ieren Ha ushaltllngsschulen zn gelJen. Wie jeLles Kn1tlll'volk ]lcsitzen auch ,,,il' zwei Sprach cn : rdie M'llndart und di e Scht·j ftsptach e, Letztcre ist in den Werken unserer DichteT und iDcnker ni edc rgelcgt und {lient ni cht 1111l' aIs Milte1 zum schrH't'l ich e n, sondern ehensoseh-r, wenll glei ch in mehl" lokkel'er 'Fol'Jll, auch zllIn mündlich en Gednnkenaus tausch, Die IVIunc1arL, d er Dialekt, ist die UJl1gangsspI1ache d es Volkes, Mund-art ist 50 aIt wie das Volk. « D er Dialekt ist eigellvlich das Element, in dem die See!e ihren Atem schopft. » (Gœth e) 01me Kenntnis d er Mundal't l'St ein Verstehen des Volkscharaktel's und der Volkskultur ni cht gllt moglicb. Nie dal'f die Lelll'kraf<t <cl anull mil Geringsclüilzung von der Mundart l'erl en. ~renden cl ie ISchül er.innen 1.1nhewusst einen lllwul-artlich en Auschuck nu, 50 l uch c mau sic ni cht -aus, sonst ve'l'schliesst sich ihnen nicht nur clel' Mund, sondrern tallch .clas Hel'z. Einen 'e twas nach'teiHgen Einfluss iiht llnsere Munclal·t daduroh aus, d 8SS sie zn Spl'achfehlern verleitet. Haufig wird in '.Îhr d er dritte F'all verwcchselt, den zweiten FaU erk ennt man bei ihr kaum, Diese Spre-chweise iibert-ragen die 'K illder sehr leichl anf di e Schriftsprach e. Es ist 111111 wiehtig, das Sprachgefiûll zmn Spr.achb ewnsstsein allszubHden . Das Ziel des Sprachunœrrichtcs bes teht nicht in t:ler Einpdigung eines grammatisch cu System s. nie Hauptsache -

lst die Vermitùung der Spl'achfel'tigkcit, unterhaut vonl notigen SpraclIgefiihl und Sprac]n'eTstandnls. SoN d er D.eutschll.ntel'l1icht die erhofftcn Fl'i.ichte zeit,jgen , 50 muss die Lehrel'in ein zweifaches beachten : crstens sie beJd impfc die dU l'Ch die M undal't hedingten Fehlel' planl11ii s~ sig und heh arrli ch ; zweitens sic prage j cn e Formcll ein , die den K.indern jnfO'lge d es hish eri gen Gehrauchs der M,mdart noch fehIen. W·i e steht es mit dei' Pflege der Schl.'Îftspl'ach e in unscrn H.ausllal· tungsscJullen? In den m clll' pl'aktisch en Fiicllel'n (IH . ausw,i rtschaftHandarbeitMKochen) sind wh vie}· l eicht zn oft geneigt, in der Munclart zu unterri ch ten. !Die 'Schiilerirmen g.ind wohl h erecltel' im Dialekt ! rst cldes ein VorteiI, der grosse!" ist aIs rue achteile der -M,mdart ? - Nem! Die Unterrichtsnicher gehen uns genügend Moglichkeüen, ail ,d as GehÜl'te 'Und Gele!"llte in der IS chrift· sp1'Rch e wiederz ugeben, sei cs dlll'ch di e Erziihlnng, den B.ericht in schrif,t~ lichel· und mündlich er Form. Die Auschucksfiihigkeit, die Ausspvache und da s Recll'tscl1'l'eihen miissen ge· fOl'cl e l't werden, J e de Erziehel'in ist sich b ewllsst, da ss ihr Beispiel auf clie Schülerinnen einwirkt, in Sache cler Schriftsprache nicht 'mU wenig st en. Die Lehrerin gelte aIs Vorbild des l a utd chtig schon en Sprechens. An dieses si ch Zll gewohnen, wird den SchUlerinnen um 50 Jeichter werden, je melu di e Lehrel'in ihren Ausdruck der D enk- 'Und Sp rechweise cler hetreffendcn Schü:Ierinnen anJ.lass~. l)i~ M

203-


Ans diesem kurz Allsgefiihrten i Sl ersiohtlich, dass clic l'ichtigc Pflcgc d er Schrjft~<;pra che' grosscn WeI't hat. Die LellTerin halte sich i11uner vor An gcn, dass ihr Beispjel Einf]uss ausiibt auJ die SChü]Cl'innen , class es G-erhùd unrl Ausdauer brancht, die Sehillerinnell .zUll1 ,r ichtig schünen Sprechen heranzubildell, cloch vergessen wir n1 c11t : ü bnng macht d en Mdster !

miincl1iche Spra cltpflcge b-ildet den KernpUl,kl cles ges'a mten Untel:rieh~ res. Sind die SchiûeI'iuncn durch fleissiges Üben im richtigen S prcche n (Schriftsprache) soweiL gekonuncn , dass sic gelallf'ig, hcmmungslos er~ zahlen, d'a llli hat die tL ehrcrin "icI en·eicht. Die 'g llte Rechtschreibung, cler schriftl.ich e 'prazise Allsdruck, dus sinrl dic E rfoIge,

PRAKTISCHER LEBENDIGE

TE 1 L

SCH U LE

Der Lehrer führt zur Berufsreife DI', HUGO WYSS. akadcmische Hel'ufsbcrawn g, Ll/,zem

IV

Wïr spra chen so lcichthin VOll del' lI'i>cltt:nt· lichen Vortra gs· und Di sku ss iO'll sstund e in den Ahfidllus.sldll sseu. Dagegl' n "ollll en mit R ec ht sachlich und psycholo gisch begriin· d e te B cd enkell vorgebra('ht wCI'(!cn, Sachli ch und stofflich gesehell, set'a di ese wüchcnt· li ch e Düskussioll sstundc nicht Illir ein e ~1 chrhela S lllJl g vo raus. "ie verlnll gt auch die b eruCskundlich e Schulun g des Lchrcrs. Die Gr,undla gen :lUI' Berllfskundc miiss le n SChOll im Scmillflr gelegt wenlen; diese Eill' fühnm g im Rahme ll d es ·stnats!Jü.rgcr' li ch en Untt'.rrichts Ibesüind c eigentli ch lIUl' in der Kliirtm g und El'keuntnis d es Bcgriffes « Beruf » und in in einer kurzcll DarlegulI g, w ie der Lchrcr sieh me thodischwissenschur.tlich im Laufe ,l et' Zeit bernfs· kundlich weitedJildcn und dokllmêntierell (A usschnittc flU S Fnchzcitschriftcll . Zcitnngell, B emfsbild er ) künnte, ZUt' el's te n und

-

gl'ltndlt!gend c ll Dokunlt'utatioll riir l1Ue Leh·

r el' d er Abschlll ss.ldassen gehorell die « Be· t'u f.s kundJi eh en Med{bliitter l-. " B e. l'uf~ hil, (1er:. und « B Cl' uf.smol1o g raphi~l1 l> d es Sdl\\tei· 7.cl'i sc h en Verhandcs (iir B e.I·ufs lu'm tulI g und LchrlingsHiI'so l' ge um! die Ze itschrift « Zur B ~ruCs wllhl )o (Aufldiit'ungiilichrift nil' tli~ Sc hiil eL' d er 2. und .1, SekulHlurklaljsen mu] iihrige n A h schlu~ sklasscJ1 ), die von der Stiidtiscl lcn llC1'l1fsb enHUJlg Ziil'i,'h h el'atls' gcgehclI wird, Am Schlusse der Al'tiln-l, l'cihe folgt cinc au sfïlhdi clt el'c Litenltlll" lUl gabc.. Dureh di csc obj ekti\' c Bctruehtullg 11er D ~ l'ufe !!oUte ve.rmicd cll wcnlell, dass gcwissc Dt"rufe ,>nt \\'cll er untel" OlI er iib er· schiitZl wcrdcn, Eher psycllOlogiseh ist Il c r Einwund, di e Bcrufsh cra tung mi',sse ,' on e il1 cr ncutralcll S tclle ausgeiiht wel'd en, ers tcl1 S wcil der Lehrcr Gcfahr laufe, dic kiin stliche Scltul·

20-1-

, silU ut ion d cs Kiudùs IIlId sein e schnlischeu Lci stungell 7,11 vCl'llb sollitien!ll, z.we itens weil el' leicllt gewisse Scltüler genau 50 wie e in-

h en ·liche. Del' Schiiler kallll al so negutiv oùer 'llO siti v h eeinflusst wenl en, Wcr g l'O S· sen Errolg hat in seinem Bcruf. der riihmt, \l'cr un ghickli eh iSI, d cr schmiilit -seincn Bentr. .Bei d er AlIswultl clet, Bernfsleute ist also cine gew isse Vors ichr gdJO ten , obwohl d cr Bcfl'ttger dic eigclltlidlf: CeCahr Z Ulll grOljsen TeH umgehe n kan n, \Vcnn el' denl BerufsmUlIII fi a c hI i c la e Fragen ,'orleg l. Man {rage ihn also nicht: Gefallt es Ihnell in lIu'cm Ecruf? Sind Sie gliicklich ? Verdi cnen S ie viel Gelcl usw.? SOlldcru d er Schill el' frage ZUtH Beispiel: An WIlS IllllS S man F r cudc habcll (Neigungcn). was muss man gul konnen (Ei gnungen ), wClln mnu di escn lle.ruC nlÎlt Erfol g ausiiben will? W el ch es sind die hauptsachli chstell Fertig. k citeu und Arbeiten (Funktionen ) in di csem Bernf? Welche kOlIImen tüglich VOl' ? WeI· dl cs sind clic ArLeits instr umcn tc, ,d ie Werkstoffe. die geistigeu Voraussetzun geu? Mit wclchcll Menschcll hrillgl dicser Deruf K on- . takt? I st man viel ,alle.iu od er arbeÜet Illan mit ulHl cl'!l 7.IIS3mme.n? \Velch es j.st di e tYlli sche Arbcitsatmosphare in t1i cselll B e· ruf? Gibt cs Berufskrallkhciten ? \V ic slcht der Beruf hcnte im Wirtsehaftslehell ? Welches ûnd die verwnndten B ernfe? Wie ist dfls VCl'hiiltnis zn e.inander? Zeichncll sich llelle Tend{~nz e n, Entwiclùllllgen, Spc· zialisicrungel\ ab ? So gibl cs viele Frugen, die vorher in d er Scllule Ilt'sprochcll und aliC e.inem Fragcbogcn noti e rt wenlcn,

zolne B erufe unt el" odCl' iibcl'schiitzc, Es gibL nu c!! L eh l'Cl', die sich gegen die Mehl'· helastllll g dm'ch di e Beruf:swuhlvOI'bel'e ituug 7.111' \Velu setzcn und and ere, die mil einelll gewjsljen Rcchl bohauprcn, Bcrufsbcratung st!Î lIUdl rli e AlICgahc der Schul e und d es Lclare l's , Sidl cr ist cs S 'H:hc ries Leluers, die Schülcj' l1uf ihre Fahigkeiten auflllerk· sam z u Illa chcn Uild ilue Neigllllg ahzukliiren, Dm! dazu gcl101:t 1I1 s .cines d cr Mit· tel der BCl'ufswuhlvorhcreitung di e wochentli ch e Disku ss iollsstul1dc. Dellli \Vas will di e llcru{swahl"orlJel'eitull :; ? Sie will das BcrufshiId des JlIgcndli c..hcll obj c.ktiver gcstalten, es von falschell VOl's telluugen und lllusiollen illi ch Moglichkeit bdre.iell, GlltlZ gel illgt .(Iies ni chl, weil da s Kim! dazlI nci gl, ans 1111l SCl'll \Vol'tcn das zn horen, was es in .sciner Ticfe wiillsçht. Ueshalb sol1 d er L ehrer 11l(iglichst k·lal' und eimlclItig di e Demfe e rklarcn (VorbildulIg. Ausbiltlung. Welterhildun g; Funktionen, Sachgebietc, . Aufsricgsmoglic.hkeiten usw. des Berllfos).

Zu!' Vorbcr,e itung vou A<lIfsatz und R eferat des SchüJcl's di enen Übl·.igcns nehen d el' IJt'l'uf"kumllicllcll Literatur auch Illtel'views vou Bel'urR.leuten, DR S Interview reg t di e akli ve Betciligung ·dt's Selliilc!'s au, Es bleiht linter U msland ell die einzige Vorbcn!ihlll g. weil /loch keine b el'ufsklmdJi chcn Schriften \'orlmllden .sim!. Umso griindJidler 1lI1iSS es in Il el' Sc hul~ hesrtrodl ell wcrden, In cino fa cht!n Wortel! sagt lIIan den Schiilcl'I1, üher jet.l cl1 Bertlf gebe cs gallZ pcrso nli ch e (sub. jel{tivc) Ulal gallz sachliche (objek üve) Auskiill ~te, De .. Menscll trage ~ ll sich «sein ;) BCl'uf.sbild, obwohl Cl' d en Beruf in der von T.raclition und Gcsc.l1 schaft geregeJten ulld vorgeschrieben en Form ausiibe. Das Int erview vedol ge Ili cht rIas Ziel. die p ersiinli chcn Ansichtcn über cinen Beruf zu vcrnchmcn, das hc,isst zu horen , wie e in er über se.inen \1: schlecJ.ten» Beruf schilllpfe und alle davoa: wame (mull chmal stcckt auch KonkulT.cnzaugs t dahinter). wie cin ande· l'roI' seinen "guten » Berue i.iber all es ver-

-

Und HUll kOlllm en wil' wiede,' zur Di skussion ùel' Kut'ueremte und Aufsatze, ll ie die SchiHer 1I11ch ihrer Lcktiirc und iluer B e· gegnung mit ve l'~H'hiérl el1en Dernfsleutell (Ciir c in cn Dcr uf lIIiisscn doch wenigstcns 3 vCI'schiedclle Berllf.s lculc inter vi e.wl weI" den ) gehaltcll oder gesehri ch cn habcn, Diese A'I.1seinalldersetzllng gehort IInbestrinell in die Schll.l stuhc. Wil' kOll/l en s ie <t beruCs· ethi sche Gesprachc l- IlCllnCn, Einl eitem] eno:ahle d er Lclmcr vo n e incm MClIschen, der trotz B egahul1 g und Ei gnung in Lchcn und Bcruf vel'-sa gt, weil el' nicht di c richLige Eill.~telllll1g zur Arbcit und zum Lehen hat ; weil el' nicht sclnllutzig, llicht llIiid e werden, weil Cl' in crslcr Linie viel Ce,l d vCl'diencn wilJ, Es is-t ihm nie Illugegan gen , dass im

205 -


B e nl(shcgr.iff auch eill geschlossen ist dic Verpfli chtulig dei' GcsoJ1schltft gege niihel', der Di enst am iiehstcn. Dus bel'u(scthi sche Gespriich h eg illile au ch mil dcn Ih:gdfCen c Bel'u( , und c Benl(ull g , . N ichl VOII un ge· rahr -sei in diesen B egriHell tli e R cd e von < Rufen , und < Bel'ufe n , . Eiu Hinwcis, doss Iloch j emund da i51, de r ruit und bcruit. E s i5 1 Je tztursüchli ch Gatt, der l'lift, vorclcr. griindi g : das Gew isse n, di e inn el'c S timme, ein c1 hi schcs Gesclz, di e mensehli chc Vel'an· lagung (psychologisdler S landpunkl ) ; m ehr aussere Gegebenhe itell konncn rufe ll : cine 1ll01'UIi 5 c1lt~ Verpflic.htung rIel' Famili c gegcnübcr, die wil'tschufùi chc und Itll.ll·klpolitiselle Lage, Wichtig iSl, da5s mltn dicse Be)'ufuil g crkcll nl und - wenn sie gc.l'eehlfe l" ligl iSI - bejuhl. DaHir iSI nebst dem ElteJ'lIhaus die Schule du, dass die Erkc nnlni s l'c i· ( c n und im richti gen Augenblick wr E nlschcidung f.iihl'cn kaull, \Vi e ullI'ci( isr j ener Jugendlichc, der noe.h irnm cr dic r oman· Lischen B el'llrswiinscll e Mntl'o sc. Fliegc.r, rl~iel'bülldigel"t Gl'o sswildja ger, Zirkuskün sUel'

pflcgt ! E s ist ihm Ilo ch ni chl uul gegnngc ll, was der B eruf Hi.- ,d eu Eill Z clll~1l Il n cl di e Gesdlschaft bcdculel. R e l i g i 0 s h etl'oehl et: dureh seillell Dicnsi im B er uf Gott und d en Mensehcn zn ,Iit" ben , 50 i SI d er B eruf Di en si a n dei' Fami lic, Uni Dorf, an dcr T abchafl, alll Volk. Ocr BeruC ist deshulb au eh cinc s In 0 I .s b ii l' g c ri i c h e Fruge. Di e AI'bcit steilung durch die vel'schiedeuen Bcrure. soli ZII 'C iner Al'ljeÎl's· und 5chi cksnlsge llIe insehaft fiihr en, Der Mell sch nützt dem Volksgallzcu am h es l'cn, weUH el' dcn B el'u( seillcr Neigun g ausübt, weil el' dallll fl'o h und crfolgrcich arheüet und sloh 1S1 auf seine Leislun g, die den an dcl'll niit zl. COIIZ ahgeseh cn d nvo n, dass el' sieh im .ri chti gcn B eNlf an Lc ib und Seclc am giinsli gs len enlwiekelt, Schliessli ch i sl d ~ r Beruf c in e C I' 7. i e· Il e r i li c h e F i'age. Sclhsl d er gel ie hte B c. l'uf v.erlall gl Oplel', As7.cse, Ausdau er . ZUI' l'i chti gcn tE insteIJuu g gehol't auch d er Mut zn eillcm Demf, der nichl oUe Sidle.rhei tell VCI'SIH'ichl,

Dos liebe Schulkreuz

Dos Rechtschreiben

Sr. LOYOLA ZUMTAUGWALD

Dic RedllSchrc.ibmetilOd ik kH 1I1I sich auf kein e LRlIlll'ClIC stülzcn und vermag auch ujclll mit e in em R egcllle tz aUc Fülle c in zu(aug e ll . 13cdcutc lldc MClh odjJcCl' aUcr Juhl'l.ehnte ha· beu 'lj jch mit dcm Reehtsclll'eibproble m befa ss l, Es ist ,intcress!tlll, ihre vCl'schicd enen Ansichten und Folgcl'llllgell zu vcrfolgell, SchOll Di ~s t erweg unt! BOl'maull kampftcn nUl di e AIlSichl, oh Olu- od el' Auge VOl'herl'seilell -soU. Di es terwcg beJlau pte t : C III dcl' lebend en, LOn elld en Spl'a che isl das Hauplwerk ze ug das Oh .. , . \Venll dics wahl' ll'iil'e, Jlattcll unscl'C Sdmlcll Erfolg .in der Rechtschrcihun g; deun cs winl sehl' viel Di klat gescl u·id)ell. WUI'tlIl1 bJ eibt d el' Et,. Colg aus? BOmUE11l 1l wei sl auf die EinprfigUlI g d er Worlph}'siollomi e hill und b etont die \Vichti gkcil Il es Abschreibcll s. Lay ht glekhcr Allsicht in sein cm c Fülu'er t1ul'eh den Hechtscht'cibulltel'l'ichl ' (1896). Er hebl ab er onch noch di e B ecl eulllug der motoriscll cu SI}l'ccllb ewegungS\'orslcllul lgen bervor. Ahsclll'eih ell mit leiscm Spl'eehell Jic· ferl dit-" lIiedl'igstc Feblcrzuhl. Er verlangl < Einübun g der hii u(igs ten, geln'ii ll chliehsten und daller llolwenrli gs ten Wort(ol'Illen , und vcrl cilt e ine u Grlllldstoclc \'on Slollllllwort ern Jllanmiissig a uf d us ü bulI g.sfeld d ei' VCI'schi ede ucll Sehui julll'c. Meum alln >5 lel1l nl s Grundpfciler der R ec htsclll'cihulI g ouf:

1. die LaulauaJ }'sc (.tls M ille1 hi efzu den hi Il cl e Il

1. Sch wÎerigkeiten:

fi i e g e n

VOl' JuhrcJI Will' bd unI) cin Mi llsionur AUS China auf Besuch und scltiJt! erle un s untcr andcl'Ul dic Schwicl'i gkeit de l- SIl ruch e. Er sJlra ch v_ier WOl'tel', in d ell cn j edesmal cill amleres i klang. I eh konsta lÏel'le aber sei lher, dnss allcll IÎn unser el' Spl'3dlC der Lllnlhes lancl eiue solche Vdclflllt zei ti gl, dass wir vicJ m ehr Zcichen ZUl' VcrfiigulIg haben müsstell, a4 8i-e .(hl s herkolllmU chc Abiszet aufwei st. W eder das phon etischc Prin zip (Schreibe, wie du tSlll'iehst !) !loch das hi slo· (abstamlllulla gsu'eue risc.h-e tymol ogiscl1 e Sclnveibwei se) kann die gcgenwal'lige R echtsehl'cilmng genügend kl iil'en. N c lunen wil' ais BdsTlicJ dic vier \Vol'tehen :

-

Li c h vie 1

t

= =

abslammullgs· und lauttreu, UechtliehreiLung folgl d er Ety· mologie und ic gilt Ells D oppeJ· la ul. Schdfrhild e lymolo gisch fnJ sch (li ehl ). Sclu-e ihwe isc e lymolo gisch faisch ("il) anch d eckt skh d<l s ScJll\ifthild mil deT l1 euhochd eui sellcn A usspl'aehe nicht, ic winI ai s Dehnungszcichen genolllllle n !

Die Unterschi cd e VOII v und f, d lu nd l, b und Il 'usw., wer hat unter illl'er hüu[i· gen Verwechslun g ni chl sehou geseufzt ?

206 -

Spl'cehbcwegllll gs" 0 r gUlI g), 2, dus Worl ges ichrbild (aIs Mi u el hier zli cl en Sohreihb ewcgungôvorgallg). 3. das Spruchvers tii ndllis (Worthed eulungsvO I'stellung). Die E inprngung d er Andcrsschl'eibllil g 5011 dut'dl fUl'bi ge Zci chen nntCl'stiirzt wcnl en, Weim cr (lccktc durclt se ine fehlcrk-undlichen Ad,e.il'e n «Psychologie cl el' Fehlel" , < Fehl el'beJHlIldlung ulld Fehlcrbewertullg , ) di e huuptsii chli ch ste ll Fehl erqll e.Jlell auf und lcistetc 50 c int u wer l,\,oll cll und pl'aktischen Bcill'!Ig 7.U1' Rechtschre ihmcthodik. Ais Haup larle ll untersehe id e l el' : GeHiufi g· kcitsfchl cr, VOI-' tllld NuchwirkulI g-sfchJ el', ÂIlIllichkeitdeh lel', Mischfehlcl' (Vcl',schm cl7.Ung). \VlÎr tliil'feu bei uns <luch no ch ei n e

-

and el'c F ehlcJ'Clu oll c su chen, niim1i ch di e VCl'llacllliissigung des \Vortbildes dureh Mange l iw Tafeln und folschcl' Eins l'eJlun g Zlllll WOl'lbild . B evol' dic lledcutung d es WOl'lLildes cl'ortc.l't "" il'<1 , wollcn wir uns übe r das eigcllili ch e Ziel des HecJllschrcihulllcrl'Î chles k lal' wer· d en.

2,

Z iel des Recht5chreilJIIllterl'ichles:

Wortbiltl und WOfltklang iSind die sinllfül1i · gen Gruncllagen für tlus R eehfsehreiben, Di ese wel'den unterslützt dUl'ch die motorisch en Beglci thandluu gen, (SprcchbcwcgllU g, SclLrcihb eweglUlg), 50 müs!:len wil' ciller dl'e ifaehcll Bcga'bulIg gel'ccht werden : 1. den visu elle Typen 2. d en akllslisehcn T Yl)ell 3, d en mOlorischcn 1'Yllcn. AUe Schiile r, 6 0 odel' so Legubt, ZlI e in eJ' Uechtsc/u'eilM;c/lcl'heit zu bl'Îllgen, das i 81 un ser Zi l>l. N un diir(en wil' aber nichr vel'gesseu, dass bis zn 7S °/0 der Meusehen vislIeli bcgaht sind. Dal'Ilus crCû lg t di e Bedelliun g des \'Îlorlbild es. 3,

BedeuLlmg d es

fflQrLb;lde~.

Das WorlLild ist di c notwcnd igc Vornlls. selzlIug fiir dic WOl'lbildvol'Stcllun g. Vom B csilz der Wortbildvors lellulI geli abel' hün gl cli e Rechlschl'cib sicherh eit .. b, Del' Untel'sclli ed zwischen WOl,tbilt! und Worlhild vol'.stelluug h cruht dill'in. dass dicse cin « Abbild , des ulIsdlauli chclI WOI'ICS ist. \V il' r eprodm,icl'clI geistig das \Vol'tbild . Di e WOl'lbildvol'sleUul1g kanu noch \l'ci ler abstrahiel't, c entsinuli c1tl ' wcnJel1. 50 dass wir VO H ein em \Vol'tbild schema spl'echen künn en. E s wird vorhalH] en se in. welln wil' aulomali sch, fa st mochte man sa geu, ge· dankcnlos richtig schrejj)cn, Je mehl' sol. e.h el' Schcllluta in umcnn Ceist vorhallden sind , d c!S lo leichler llnd sichcrcr ist der Schl·ciba bl our.

Wie entste!tcn die WQJ,tbildsc!temell? Ers t muss tl as WO I,tbild vo.-JLalld cll gewesen !Sei n, auch bei okustische n Vorslellun gsly· p en. Es wil'ù ais Gan7.efl und ni chl ols zn· sa mmengeselzle T cHe aufgefuss l.

207-


Durch c ine vcrschi ed cil grosse od er klci ll e An za hl vou An sch nuungsakte n gclingt cs uns, do s A ngesc.ha llte auch geistig VOl' uns hinzus tcll cn, nlso zn ci lle!" Vor stcl1ung wei" d en .zu lasscll. Bis ZlIIll S. Sclmljahr bnlucht d as K.!ind "j sucUe Ullt! selU'eihmotodsche Auflluhlll e d es WOl'lbild es, bis dieses :MIIH B esi tz wCl'd cn kllnn , A iso nul' oftcr cs Abschrcihen d Cl' WOl' tgel:ita lt cl't'c icht di e VOl" stcllullg, Nueil d em 5, Jahr geniigt di e viiJ lI ell e Aufuillune. DCgllbulIg und VOl'..s tcJ· Illn gstypen spiclen tlu cinc gmsse RoHe, Be i guler Ilc.gubung bl'llll cht cs 4 - 5 Schl'eibiibun· gen, bd schwuch cl' Bcgidlllllg 10 . 20 ode!' m ehl', UIIl di e A bs ll'aktiollss tnfc zu errei· chcn, ZusanulI enfüssend ist also der Weg des Worles "om If! ortbild, zur

WOI't.bild vorsLellulIg,

Will

Wortbildschemll. 4 , Der WeB zur Wortgestltlt, Dei dei' S)' lithese fiill ... d er Weg "om E lement über di~ Silbe ZUI' S ilbellzu sulIllllcnsetz ung. zut' BuchstahensulIllll e IInd 50 zur Wonge· stnll : di cl;c muss dllun e l'sl a is WOl' lbild vors Killcl tI'clen und his zlim Sc;h ema el'al'beite t wenl e l! , BciUl gU lizh eitli ehcn U llteL'J'icht geh el,l wir d cm Kincl e gleich di e WOl' tgestaLt und fiihl'cn es weÎler zur Vorstcllun g und Z ULII Sche mu,

5, Ril/en :zour LÜSU/lB der Rechtsclmûb· .~clllu;erjgkei tell,

W-e.nn l ch ein \Vort Ilicht schrciben kann. hubc ich 4 LüsullgSll1ogl1chke i,tcll ,

1. die visuelle LÜsulIgsm.et/!ode : wil' schrci· IJeu d as WOl'tbild lI uf. selll'ciben die mog· Ijchen nèbene illa nder unt! vergleichen , z, H. Ma luJ . Mati , 'l'a l . T.L111. Das Auge rat un s tin.

2. d ie lt'msLo·moLol'Îsc!re Losunlfsmethotle : wir s prcch cn UliS d as WOl't lun gsam vor.

Wo diese LôsungsHl cthode n Ilicht zum Zie! fiihrcn, In8ucht m an ,du s WÜl'tel'bu ch ,

A usclru ck fiÎl' Ausdru ck, d ,h, Wort· hlorke.

Ers t spieh die visucll e LehrlII e lhode cine ~Hlsg i e lJÎge Roll e. hes. im 1. ScLm lj ahr ; sie ist aller nusschlllggehcnd au ch rtir die ge· SA lIIle Schulzcit. Sie mhrl tl ie a naloge Lo, sungslll cthode c in, wdl sie WOl,tbild, Wort, hi!clvol':stelluli g und W Ol'lbildsch cma fünlerl. Die UIi OI. L,M. setzi oft c in. ohllo dass ilIOn sich d csseu h ewlIsst wil'd , A nalo gie. bildun g isl chcn hiiufi g LlllbewlISst pru, dult ti ves Sclmrrt! Il , (sross.gl'osser, sc.holl' !H:holl el', Fn~ jbul's·Fl'ciburgcl', Natiirli ch kallll die Analogie des ,f(,ind cs (luch fnlsch scin, wcnn sic z, U, ulle muntlarllichcll i in c i UIl1 Wlllltle lt: c FJi ss :. = Heiss, Flicss. hllltl = c F'I cissbl ulI ) . Diesc LOSUlIgSIllC' thod c lo ssl si ch nielll cl'zwill gcn,

l m 1. und 2, Schuljah l' 11lII' hl" kn nllle Texte! So gelangt m a li a lll Icichl estcll zum 'Vorl$chelll n, Di e CC}WÔ hllllll g an d eI! natiil'l iehe n SllI'lI Chl'hylhlll 1lS b el'ci tc l schon fl'i.ih (h s Vcrs tandni s dt!!, Sa tz· lehrc "01', z, B, B el'tn lie f . mit tl em !Col'll . auf den Mm'kt. Toni pfliic~t . fül' ihr M utti . fcill c Blu ·

Die akuslisch·motol'l schc LOSlJllgi;m ethod e spie lt'e bis hcute ei ne e ntschehlcllde Rolle. Ma n veq;uss oh, d uss nuch lInsere Spl'ilche und cr,'1 sesdll'iehcn, nls gC5111'Ocb cII wil'd, (w ir·d ir, Gl'cnze·Kl'an:tc, Laute. lIaute), Nur cin geri ngcl' Teil ti C!' Wo rt el' k ann lIuf die, seUl Wege t:!'fu:S/i 1 wel'd cll, fÏLl' di e 1111«:1" IIlClstCIl IIIU 5S die logisch c Losun gsllle lh ode uls Ilitfe ei llsetzell , und di csc ist l'elati v splil Ilmmwclld cll ; Mi l dCI' visucllen Losllu gslHcthot! e ÙI Vel'o bindullg gCLJ'lL cht k1lnn di e aku sli sch·molo' ri sche LiislIlL gsmc'lhod e wt!L\h'oll e Dienste J e i s l ~ Il, Sic se lzt darmll a uch schOll am Eude d es el's icil Sehulj uhrcs ei n , Sie setzt mil d CIII Gesta lllau ticl'c n e in (Inngsam es Auss]ll'e· chcn ), So wird dem Kindc h ewU5St. dass mnncJlI!$ aud el's gcschl'i eb en n' ird , ais m ll ll cs sJlri chl. E l'st nul d cl' Mi llel· und Ohe.rstllfe se lzl di e Jogische LiislIlI gslilethod c c in, d , h, die Losung ,hll'dl di e H egel.

6. Arbeit!i/or1llclI i/l1. R ecllt.schreiben, 0) Arbeit

ben e in WOl' t IW, weil wil' e ill ahnliches auch 50 'Schl'c ihcn. (Wahn . Zalm, Dumm

SlIracll gcfJI'Zf.'1t: S u ch e ll W if .!ll en Killd eJ'll gCl'e chl 7.U \Venl cl! ! An Al'beil sfol'tn en 'S ind Z ll nennc il :

• Grn mm),

l , Das A bsclmûbeu, Es dad nicht

3, die mwlogc LÜsullgsm.e.t.1wde : wil' scluci·

I~,

(/Ffi,

Die logiscll e LQsltllBsmctllOclc: wi" ru·

l' uckweise IIIcchanillch d, h , Luul

fell Uli S cilisprechende H cgelu ins Ge· t1 iichtni s.

nir Laut, ullsgcfiihrt \Verd en, 60n' d l!J'lI ers t \VOl,t fül' 'VOL)t. d a llll

-

208-

IIlCJl

1. Die Reifie : S ie is! dic An scJlali' ungsfol'III d ei' A nalo gie und iibt ulso glcich a l'Ii ge, glcicJhH:hc illend c Wo rlt~ I', z, B, WiÎt'ter m it 2 mm, mil Il, U mlaut a US\\" Hi l~r d e n Su ch· und Sa mme lcifel' d ei' KinIle l' IlII sniit zcll! Aucll in di cscn Obun gen d en S ioff den Sach ge. bi c lC.II , df'I' U m wclt o{lel' d en Lescstü ck cll elltllchm cn und ni cht wnhl· lo s sll chell la ssell ! z, B, Mehrzllh lhilduli g IIn sel'er Fl'iihlin gshlulIlell , NnchsrIlllll În (1er Kiichf! : \Vi !' su· chcn aUe VCl'doppelungen, z, B , K en!" Klammel', Kaffce, Tasse , Ons Gem ein sam e wird durch Un· ICl'stl'e.Îche n hel'vorgehob en, Anord· IIllII g in S plllten oder K ii:s tchcli ka llli ve rullscllllulichcll und ci no Jll'a gen.

!

2, Das A/I/sclll'c ibell = vf" J'vollk ollllll' Il eles A hsclll'cibclI, Di ~ K ilHl el' pl'ü gcn sich Sll lz lt· il c odc!' Sü tze gedachtni sma ssig eÙI , Di c Wortbi ld er miissen genau C.I'· fll!Ost werd e n, Danu w in l nus d er El'Îllll el'ull g gesdl l' ieb cll, K uue icdel'tdige aus dem Sachllntcl" l'icht r edlll e i m lill auell Zll Ili cscr

2,

FOl'll1 ,

3, Die N(lc " ~c1I1' i/t = D iklal.

"o rl lf"l'eitclcs

Oi e Bcze ichnllllg « Diktat )o konunt !loch VOI1 d er Vt!l'wendllll g ais Pl'ii· fun gsmill .. 1. Immel' wif'f1el' hegl'gUel! ",il, R echlSc hl'ei hfalle n, di e ihl'c i' Wich li gkci l UlU ) Gchl'anchs· h iiu figkci l wegen hesollll el'e PrJ ege ven li cll c lI . Tl'otzdclll solll'c li di esc N llchscill'iflCn aIs Sachga n zcs gege· hcn \l'enlen, wei l sie lias M.iler· lelHli s d es Ki nd es aufford cl'lI une1 auch d e n A nsdmck schul c n, Hauri g ed lle kllrze Nucllsc1ll'ift und dunn e inschla gigc Wot'h'cihe n an· gefügt, <las -sollte Ilnscr Obungsfcld sc in , A uf der U nterstufe moglich st liiglicJl ei ne Kurznachschl'ift! h ) A,.beÎt

(Un.

3, Va s Felel ist cine IJegl'Ïfflicll e Ein· h eit mit d en gchranchslti.illfi gsten Au sfil'ii cken. z, B, vcrsehi ed ene Gn ll ga l' Ie n : ge.hen, schl'e itell, 111111'schi er en, schlcnd ern usw, Allerlci ml' c -sagcn " : cntgcgne n, cl'wid c.l'J1. spJ'ec hell, 1ll11l'lnel n, sohl'eien, IllUt'· l'cn, flii stern usw. Ais ·Obu ngssto ffe wiihle man ni chl

di e sch wiel'i gs ten Wortel', sond ent di.e gebl'liu chU ch stell, D er Wort· scha tz mu5S im SclU'iflbild gefe· sti gt we rden. Oie U nlel'stufe gewinnt ihr \Vort· m a te rial aus dem Lesegut und dem Snchuntel'.l 'Îcht,

Worlschar,%.

Un tc.r d en FonnWOl'tCl'1l gehol'en Ztl d en se hr e ib schw~e l'i gs t cll: d:iese, bi s, hier, ihr, ilm, m eh!', schr, "ici, wi cd cr. solbsl. K ein e S u cht lla ch Sond el,riinel}! AllI' und Aas clare d Cl' Schiilcl' ruhi g IIll.chsehauen miissen. Bi chl abe r Saal, Saa l, S taat, Wallge. Paal'.

Rec.htsdll·e ibiilmngen, di e der Erar· Ilf'i lun g K liil'lIn g und ,Fcs tigull g b e· sli111111t er Falle dicncn hllben unc11 hcstimmte FOl'men, Diese ü bungc n sind ke in e SlIcll gllllzcn, man chmAI 11i cht !Uni Sii tze, Wil' ulltcrschcid en da:

-

Die GW[JfJC s tclll ùn Dicns te d er \V()f' llmnd e.. lImfa sst d ic gauzc Wor tsiflile in Dell gnng, Ab leitllll g, Zllsam mellsetz uII g, 50 enlsteh en di .. .soge nanntc ll Wortfamili en,

209-


c) Be!ionderf! Arren der Rcchl!iclln'!ÎbulI g 1. PrüCungsdiktatc: S ie werden un· vOI'ben!Îtel AlIsgeCührt. Daculll dorC nur Lcka llilter StoH verwcnd c t werden. Sic so llen seh en gcgebcn werden. 2, Blit7.diklate s ind c be llCalls unvorbereitct, gebcn abe!' <lU ch eÎll cn hekanllien Siorr und .s ind kurz (10 Minuten), Di e VOI'hcl'c itllll g der Diklule kllnn s ich aI s treHli che Sli1Iarheit gestalten, Di e Sdliilel' su chen und beheben R echt. sc,hl'eibschwiel'igkeitcll, indem sic selhcr den T ext na r h schwiel'igell Fiillcn rlUl'chsllflhen und die ihn ell schwierigsr.hcin en· den Wor tel' mehnnals Ciir sich schreiben . llaufig bcwusstes Scltl'eihen res tigl dm; so wertvolle WOl'lbiJd. 7,

e) Die Nachschrift so ll nui dei· Unter. sture sich gle.ich nn die VOl'bel'eitung anschlif'ssen. wiihn~-Ild man ouf d er Minci. und OberoS tu(e Zwischelll.eit ein schi c.1Jen darf. d ) Dos Dikûeren -soU mil Vel'stan(1 und llcrz, lltutrichti g und d endi ch aus· gcCi.ihl't werden , Man spl'Cche Sinn. inhllltc \'0 1', Die KilldCl' wiedel'holeu da s Vnrgcsfll'oçh elle. Del' Te.xt wil'd 1 bis 3 I11Al wjedcl'holt, Dikli ercn wil' ni ell! zn Inut. aber andl niehl zn l eiae ! e) Die VeJ'bcssenlllg: \Vir untel'sehei, den tÎne umnitt.cll)(/l'fJ, gleich naell d er Niedendu-ift und ci ne /lach. triigHch e, J ede Aufgahc 5011 am Schlus nochmals griilldli ch du rehge, scha nt wel·den. DaM kanJl sich "el" schieden gcstllltCIl. Die L ehrpel'soll lies t noclnnal !; "m', und die Kinder lesen IlLllblaut mit , oder j edcl' Schiiler li es t Cih' s ich Je.ise dm'ch . Der Texl wi rd mil d em Tafeltex t ,~ergli chen , Fchlerharte Woder werden unter· sll'ichen und am Schlllss "'iehli g ge' schl'i eben, Die Arbe.iten konnen dabci ausgewechseh wel'den, WIlS Abel' ·selten gesehehel1 so11te. Di e Ilnchtra glich e Verhesserung sei k e in liisliges Anhangsel, 60nd etn sel· h e)' cin Werkstiiclc Bei typischen Fehlcl'll kaun -s ic gemei nsil lll vor' gellolllmen we.rd en; sie b~sehriinkt sich au( ei nzcl nc Schwierigkciten, ni cht au( aIle: hei Lantfehlel'll ver· bessCl'c man das Wort, he i Fal!. und Ausdruc.kfehl erll den Ausdl'lIck. Ff'Jll,

Lektiollsgest.altulI g:

a) Arbeüsgflllg: Je nnc.h tl en Arbeits· Conncn gestaltel el' sidl vel'schicclcn, Massgebcucl (lil' al1c Formen sind sic.h er rolgende Punkte : l , Lesen odel' Su chen d es R echtscllre.i betexles, 2, Bespreehen und H el'llusholen cler Schwi erigkci tcn = LOslIllgsversu. chc gemcins,nn oder in Stillal'beit. 3, Vorhcl'eitllngs. oder Vel'lieCllngs· HI'heit. I(S til lbcschüCligun g), 4, eigentliche N achschri(t. S, Kon·eklur. b) Text vOI'bereitultg: Del' T extvorhel'ei· lung soU viel Sor g(ah gC8ch cnkt weI" den , Ein Beispiel : An der T afel slehl cill T ex t, cl er gut ge· lesen werden kann, Del' Text ist aueh schOll m ehrmals ahgesehriehen wor· den. Wol'l fül' Wort wiL-cl Ulm gem ein· sam hetraehtet. Worter, dic Sehwierigkei ten bicte n, werden nachgefahren, in der Luft gesehricben, mit gesehlos. senen Augen, evenlu ell aueh nuf die Bank gesehric.be n, Zuleh:1 werd en dic schwierigslen Worl'er nochmnls 8ngeschaut und na chgefahl'e n, dalln liest man den T E':x t Iloch eimual.

-

rOl'ln eu miissen s illllvoll vCl'besscrt wel'rlen, 7. , B. in 1.lnSC I'" Hor mit d el· F ragc : Wo ? in Ull8erm Hof, in UI\ ' scnll Hans, Heih cn- und Grnppenhil, dung sind fe.inc Vel'hesserungs(orllltoll, z, B. Rechtschl'eibfehler h eit7. t mit cler Hcihc heiz l, hci zt, reil. l u sw-, odt'I' di e Gl'llppe h e i7.I, h eizcn H eizun K, H ei7.er. Ve.l'piillt sei cla s m echanisr.he 10 x Sehl'cib en , Di e Vel'l}eSSCl'tlIIg muss Illteh gesclulut \Vercl e n. B esJ)cl' keine Vel'heSSel'llug aIs ei ll e sch111drige! Sind vicie F ehler gemac1lt worden, wahle l11un ei nen Teil herau s und 7.wal' l1a ch denl Gl'ul1dsul7. der GcI}l'auchshtiuCigkeil. Man wahle h cstinuntc Zciten (th' di e VCI'bcsscrung und ges luhe sie \'erschiedcn.

lm 2, Sdlt1ljahr : L-eiscs Mitsprecheu wührend d es LuCtsclll'eibells. Gut lJekanllle Wortel' hrau('h en nieht meh r geii bt zu we,l 'den. Hi er b eginnt auch <lllS Lal1liel'e n, Ers! hel'l'scht das Ge, sta hlal1li cren, danu ouch da s and el'e, Die visuelle LoslIngsmethod e wal' bis dllllÎn imm el' vorhen schend . In d en fol gend en Schuljnhren tril! aUmahli ch Auch die logi sche L . M. ein , Di e gl'ulUll egend e Arheit muss bis zllm S. Schllljlllll' gcleislet sein.

210 -

~.

Selbs t. Mit, DOIlPcl- und Ullilaul, Laut. hiiurun gen, ·Vcrel oppclungen, -Sehiirfun g !lnd Dehllllu g, üllldich klingendc Lallte, Di ese .O hlln gen hie tc ll weilgehcnd dell R ecllt.sclll'l~i b s to(f. lm 5, und 6, Sehul. jahl' dul'f ancll schOll jns S prachc1cn kc lI ein ge Hihl'l wcrden, ind em Illall 1(ul'Ze und lange Laute ulite r-schei det und bewllsst mu eht, da ss bd MitlaulhaurulIg de r SelhstJnut illlm er Iml'z Idingt, dass andel'se ita di c Dehl111ll g illlln el' Jllng ge. spl'ochen wird. dass man Auf die Sn lzstellulI g achlen nH ISS, Einzelne WOrlal'teu, wie Zahl., VOl" und Binrll:!wiirlcr lionn en Ull .so lchell Sto(f'ell ei llgehcnc1 gciibt und .so gefiih lsmassig b efes ti gl we rd en,

Di e ZeichelfsctztlJlg wJl'd auf der Mille1 . .stufe ni c.ht th co r e ti seh eillgeführt, so ndt'I'II an Be.ispielen pl'Ilktisc.h geiibt.

Unterrichtshilfeu:

1. das Würterbuch : Es IÏs t wohl Nach. sehlagbuch. ahel' an ch Qucll fiir Ma' tt'I'ial he i \'(lorlsc1latzlibulIgen,

Au( d ei' Ohel'stufe streht man eine ge. wisse S ichel'hcit in lIen Salzzeichen an, aber wieder rlurc.h OImng an Beispicl en. Hi cl' dürfell lIun UUcll aJlgemeine Recht. schl'eibl'egcln el'ul'bei tet 'werclen, Sie untel'baucu das S pl'ach gcfi:ihl , das uun docll .schon <in e twa ein geschuh se in soli le, Spraehl ehl'e ullcl R cehtsc.bl'e ib, unlf'lTi cht arheitc ll in einunder und un. ters tützen ich gegcnseitig.

2, di e [(urtei typi scher Fehlel' mil Vel" hesserun gsmatel'iaL Di ese kann von d en Schülel'.n .selbst ungelegt wcrden. Eignel ,s icll für die Oberslu(e!

3. Fehlerjüger, Vcrbessel'nngshiichlein, in dus nie Fehlcr geschriebcll werd en. Di ese Bli chJ ein bieten clen StofC fUr all crléi R echtscll l'eib, und Sprl.lch. iill1l11gen.

Sprncllgonze, in welche di e besondel'II RcchtschreiJJfiille ein ge baui sind, vel'. sprecllen den bessern Erfolg, weil da übed egt wel·de n muss.

9, Rechtschreibstoffe.

Gebl'auehliche Frcmdworter sollien e in. gepl'iigt werden, aber mail überfordel'e da nicht, d enn das Wortel'buch wJl1 -auch einen Zweck haben. Sein Gehrauch will jedoeb gelel'nt sein .

Su chen wir au ch dm Rechtschre ibcn d en

Iltltürli eh en Ausdlluck zu pflegen, lm 1. Schuljahr erarbeiten wil' nehen den kleineu Siifzen hl055 die Ab'l eitung ehen und le in. On s 2. und 3. SchuljAhr arbeile i sehon an kl r~i nen WOl'iIscl18tzübungen IInd Wortzu samlllell setzung~n, (Zil11l1lerliir, Gartcntiir, Buustlir mw,). Eiben(ulls wen]en Punkt, Gl'ossschreihung und Tl'ennen c l'Ilrbeil e t. Auf d er Mittels lufe stl'ehen wir dic A'u sbildung des klaren Laulbewusslseius nus, Man 'tll1lerseheidet

-

No·ch eimllal mocllie ~ch h etollen : nicht die AnzahJ Diktate sichem das Recht. scllrei be n, sond e rn der Besi tz vie1er Wor'thildCl' oder Wortbildschemn s, Setzen wil' deshalh in unserm Unterricht d en Ak7.ellt auf sie und wil' werden uns den Erfolg sicllern.

211


tUiserer Ttlgcs //C/lrnlllg

Zll,~ammell .< elzung

5_

Für die Haushaltungsschule

HAUPTJ\fAHLZEIT MOr-gCIIC!!SCIl M itlügcssCIl Nac ht ess~ I1 , } ZWISCHENMAHLZEIT: ------è)~ Z'Niini Z'Yicri -

1. Ein/iihrung in die ErlliillTllIIgsle],re

Sr. « Di e meisten MClischcll l eben ich übcr esse mu zu lebel! )

A n1Jll/lliala

essen. (Soluutes), 1. Worum Emiilmm gslehre ? Erniihrungs. wissenschuf, ist e l's l elll'u 100 Jahrc ail. S ie is t heute wichtigel' gcwo l't1 en ais fr ühel', wcil clic Nnhl'llngsll1illel -s!tlrk \'cra nde.rt,

A,

do (',h vcrst chcll un sere Spcisèzc llel niihrstoH. und

verfcÎIl Cl't wCl'dclI L1nd tlOl!tCI1,

UlII Z li

", i l'

ulmrechsluu gsl'cidt zu snnllllCllzustcllcn ; u .Ld il li ch mil Fchler ZII venn cic1clI, die frühCl' und he ute noch gcmncht \Verden .

olme 3,

f Cl:it e

WOII01l

NlI hl'llllg _ _ _ ~

2·3 M inulcn 2·3 Tage bis 70 Tu:;c

AliSSCl'c Fnktol'cn : I{ilima - Jahreszeil Al'be:it - Lcbcllsweise (z, B, Schlafdall cl') Kleidung - IK iit'(lcl'gewiclll unll -grosse, Inn el'e IF nktol'ell: Altcl' Krankllt~it _ BestfUld ail Vitrunin 0 Reservcll - Tem)lCrament ol'gallische Vertmhiedenhei l Gemiitszusla nd - Gesehl echt

Niillrswl!e :

IH I,llIll,~ 1Je.ic"e.l.

BuuchsjJeichel,

Fe il und fe ttlosliche Vitamin e,

-

_

Kohl cnlr yd,-a le

Kohlcnhyclralc Fctte Eiweiss torre Mincr'ülsalzc ,,7I1SSC I'

Aufnahme cler 50 '1.erkleincl'ten und wassel' Iosli ch gemnc hten Nahrun gsbestandtc ile in s Blut : durch Diitindarmu,Yllrd : Kohlenhydrate, Eiwciss, FeU, VitRmine, M in eralstoHe,

Birch ennii csl i,

Flcisch

Gcmiise

Obst

Cellulose wird nic"t aufgenommen, sond cm dirckt uu s dem KOl'pet' ausgeschieden_ Man leb t ni cht von d em , was man iss t, S OIldel'Il "Oll clem WII S mUll verdaut.

1 Eiwei ss Feil

Vitamine

ItHhrcn im cn gel'cn Si ull t:!

_--+

niihren illl Wl!ilel'ell Si llnc_

V itamine (V ila ZclI slofr.

~

Ullii

Nibse

1 Mincn!.l storrc Wasscl'

--_~

Ergtitlztltlgulolle :

Lehel! !)

Die Nii flr stol!e Nii lu-s torr

Bedarf

Aufgllbc

Eiwciss

60-80 g r ,

Aufhuustoffc fiir- Bltlt-, Muskcl- und NCI'\'f'll7,cll en

Min c l'Ulsloff~

cu, 25 gr,

Aufbnustoffe zur Blutbilclullg und FCS'li guu g ÙCI' KlllJchen-Regullllnl'

Kolilenllycll'atc

450· 550 g". 50·70 gr.

VOl'I'atsstoff-lsolatol' Po h tCI'S I'o fr EIIt!l'gie- und Wii nn esllen. der

\Vassel'

1,2.2,5 h .

TrUIlSllOl't und LosclIl Îu t'1 T cmpcra turrcglel' QlIcllllngs510fr

klein5te BrllchteiLc \l, Gl'ammen

Regulatoren - Sc:hul'1.s toffe gegcll Infcktioncn

Vitamine

Zell slorr Suuersloff

Kalol'icnwe1' t Rllhn<'l' l'cr- Gnunm 4,1

E ncrgie und Wiil'lncspcnder

FClle

durch Dickclcmnwtl1ld : \Vussel'

212-

Kopfsalat

JI erCÙluuII gsstol!e :

Il ) Anl'eiz d es gesa lllten Vcrdauung~ · systems dlll'ch llltve rdanl ichc Nahnmgsbestandteile: Zellstofr.

e) Ausgllben: geleiste te Arhe'it Ausatmullg Korperaussch eidungcn,

-

a) Auflosen 111"1' 'l üslichcn NahrLilI gsbcstandtcile im Wnsser dcr Vcnlnuungs_ siirte (Mund spcichc1 , Mugensaft, Dannsaft) : Zucker, Millcralsloffe, eini ge Vit. Eiwf'Îss,

Dureil. GoUe, BmlclrsjJcic1l el, Durmsii/IC :

B,

4, VerdllUllltg: Zie! d er Verdauung: Nahl'un g 1ll11 SS dcm lll cnschlich en KOl"pcr ge. reclll gem8cht und in sein Blut iibcrgeführt werclen,

NiiIJrslo!fe :

Darnuii!te. : SllCisczu cker, SI3rk c, Pektinstoffe durch Magcll lilld Buuchspe.iche.l, Darlllsiifte : Eiwei ss

" tiltgt wlSe,'c Nu1ll'lmgsuu!nu1lmc

Verdauung

ricin, dass Ij ie wil sserlüsli ch wil'(l olier sonst in t'incr Wei sc dUl'ch fli e Dnrm_ WIIIlt! himlurc.hschliillfcn kunll_

dl/l'ch

ab?

a) BiDDlllimen: b) OrgQnl~ruus: Erniilll'ung V crarbeitung E inalmun g Reservcste llullg

Nallnmgsm.ittcl : _ _ _~ Mi1ch

e) Cbcmi sches Zed egclI a ller jener Nah l'lmgsbestalldt cile, di e fi.ir d en Kür,leI' c il le Umwltndllln g brau ohe n, bi s in dic Id e ill stcn Bunslei ne :

2.

RllgOlll

t

Nllhl'llllg so zCl'klei nern od er Ulllwall_

h) Zerkleincrn grober Nllhnlll gs!Jestandtcilc (Ziihne): a il e fcs ten Spcisehroclcen, bcso ndcl's dic Celluloseh alti gell_

Die HllusllltJtun gs lehrerill sIe11t mÎI der EL', uiihrun gsl ehre zwisch cn der Wisscnschaft und der prukli sch cll Arhc.it.

Lebeus/,edingungen: OhlH~ Lurt olme \Vassel'

Geric"te :

Bregy

Vcrdauun gsford crer Z;ülld stof( fül' jcdcll E ll ergie-\'orgung (FIer''1.schl iige und Muskelbcwcgullgcll),

-

213 -

!I(If,h

Tolal 300

2000 9,3

550


[(alurieu: Mieh diillkt di e Zahl lIl iilzli4'h , sofern die Schi.ll eri nn en in e ill er anclem Schul slllIId e duvon II Gre ll, (tlHm !connte 6ie evt, in di e R echnun gss tllnd e cinhulIcn) sonst wlirde lll a ll sic wohl 't!bCll60gut wcgla!i' seu , Niilzlicb bes. deshalb, weil sie anzeigt, dMs Fe tt 'viel bedeulcllll er isl nb R ,'serve. storr, nl s direk tc.r Energiespcnd el'. Eine gute verstiindlidl c Aufguhe filld c ll Sic ~ II Biiuiker S, 11 , Oi e Niillr-s torrl'abell en wiil'dc m an mil Vor-

leil lIuf MoltollwRnd Rufziehen z. B, nn ch TaheUen VO Il Wahlen. Fi.ir llllscre Schiil eriull t:u wil'cl wohl meiSl di e Anguhe d es Be(lurfs tl cr NalJ1'SIOffé cil\ Icerer Bégl'irr sei n, wei l sic Ill eist nil:ht wis. Sf' n, wo sie zu filld cn siml. Gehen wiL· also rasch iiher di ese Zahlell weg und ved egen wil' llH'hl' Zei! und SOl'gfalt uuC folgcnd e Angahen. Unser e Nuhrung is t r ichlig, WCIlIl sie. ULI S rIen 6 folgelHlen GI'1I11llCIl zusumlmm_ gt'_<; tclh ist.

PARTIE

PRATIQUE

c:J~IfTl2/ lfTlèbûCjIUR/ Sr MARIE·ETIENNE PREMIERE LEÇON: LE METR.E

Spc isen

Genesend e

Killd er

1

( P our en(nnts de 7, 8 et 9

Erwnchscnc

Mil ch 7 dl 6 dl. 1 5 dl. IGisc 10- 30 gr. 40· 80 gL 25- 80 gr, ------------- ~------~--+---------~----~------

AilS)

J.

2,

FJeisch oder Fi sch od cr Eiel' oder Hülscnfriiehtc (l "- in Ù , Woche)

3, Butl er

100·1 50 g,.. 100 ·150 g". 2 Stiick 80 ·100 g".

120·150 gr. 120·1 50 gr. 3 Stii ck BO·100 g".

30 ·100 g". 30 -l00 gr 2 St. pro Woc:hc 5 · l 5 gr.

]5 - 20 gr.

30 gl'.

1

+-___l_0~g_r.________c_.------ 2~ ------

___O __el_c_.F_e_"_c__________ 4.

Gemüse und Friichte und Safi Cri~c h und

Jeden Tag l - 2 l\iahlzeiten je naeh BcdÏlrrni li

l'oh

Gcmiise und Friichte gekocht

1I~;:-1

Je nn eh Appdit naehel em die viel' Gl'uppcn ohen vorhond ell sint! ,

Brot Getl'e:ide 6,

tes d' un mè tre, Ces li stes se Iro uvent fACi. lement duns lc.s muisoll s Cil construction. Si )' 011 d isilose d e plusie urs mèh'cs ainsi fabriqués, le but d e la leçon sera "Îte

2) Des fi celles où le mètre est signalé Ila r ulIll œ ud, ~ But

de h, leçon

Apl'ès quelques exercices durant une ou deux semain es, l'enfant tloit pouvoir évaluer app roximati vem ent le nombrc de 11l ~­ Ires co ntenu s dan s un e hauteur d e porte, IIn e largeur de <table, e1l:,

introduction à la leçon

Téléphone (027) 22951 Lo maison aux plus GRANDS CHOIX et ou l'lus GRAND ASSORTIMENT

RAB AIS 5 % aux membres du personnel enseignant su r présentation de leur corte, sauf sur crticles réclame

-

214 --

Faire décou vrir aux enfants qu' il faul un e protection à chaque extrémité du mètl'e pour lui conser ver sn vrai e longu eu r. A Illon mè. Ire j e de\'l'nis ajouter d cs ri vets.

Hncint.

Di e Mahlzciten er gii n zel1 durch Getriinke uud sli sse Speiscn,

A. la Porte-Neuve S. A.., Sion

Voilà une ba guette, scmhlnhl e il cdlt: (IOnl se serI ,la vendeuse. La mielln e est moins be lle, llloill5 Jj~se, mais elle me~ure Aussi l mètre. C'est donc Ull mè h'c.

J) A d éCRut (l ' un véritabl e mètre, fuhri<Juo ns, avec d es listes do bois, fi es ha guet-

Donncr à l'enfant 1(1 nOÛon de la lOl/guer/r du m ètre.

Grüne Gemiise nach \V,un sc.h

5. Kal'toffeln

20 gr, 30. 50 gr.

MM,rir iel

Avez-vous d éjà acco mpagn é vo tre maman dans un magasin? Faire nomm er lesqu els, Qu'êtes-vous a ll és acheter d ans un magasin d'étoffe? (Situer: par e..-x.: la Ville de Paris) . Qu e fait la vend euse (Iuand e ll e vous donn e de J'é toCfe ? (Ell e mes Ut'e) Avec quoi mesure-t-ell e? U n bâton ou bagu e tte de hoi s qu'on appelle un m è tre.

Le mètre

PI't!ndre en m a in un m p, lre ct s'en servir comm e tl' une canne afin de (aire trOllver

le

IlOIll

co mplet d e cc mètre.

L I', nom d écOllVCI"I, noir : le ,nèlre c(I1 l1J e .

l 'écri re

uu

table au

E:rercices qui permettent I.'acqu üüion de la /l Ot i Oll de latlGueur l) Mesurer la hautc m d e chaqu e enfant. 2) Mesurer la largeur sur los bras étendus, Faire plier de bras, là Oll ,Je m è tre s'al'rête ufin de posséd e r un point de repère, Chez le s e nfants le mètre arrive à la flexjon du coude o u du poignet.

carUle

Montrel' le mè tl'e canne ou la Ili ste d e boi s IH'épal'ée à s a pl ace, -- 215 --


3) l\'lclillrt'r mU" luhl p, 1:1 hantent· dn lilhl eau Iluir, d e la fc né!!"r, ! 4) E"a l1l l;"r il d is tun ce (I"clle es t la hautc1Ir d'une cn L'te, d'ulle porte, la longu e ur d ' une es trull e. 5) Chf' l'eher d nus la cla sse que.ll f' s sont l es hallteurs ou les lArgeurs plus grAnd es (lue le m ètre, 6) Pose r il lerre le mè tl'e l'ann e, con stater si j e pui s fair e un pll S d e 1 m è tL'e (l cs enfants fo nt 2 pas pour L111 m ètre). 7) T e nir al1l1ll1~ e une boug ie, eSsuyer tl c l'éteindre il la dis lllil ce d e 1 mètre. S) Poser un objet di stant de 1 mètre de mon corps , P uis·j e fUl Îsil' l;e.t ohje t e n tenllant la main ? 9) Si je pnde c n chuchotant, ma cOlupagn e ((ui est à l'autre hout du m è trc m'elltendra,t-ell e ? 10) &tim el' en mèh'cs la distall ce de votre place au Impilre du maÎtre_ ))) Dcssin er il " ue d'œil \Ine li gnc lon gue d'un mètre. Ccs exercÎces son l très importants ; il s ne sont pas tons " US clnlls ln m êm e l eço n , Plu s ta rd il s seron t r e pri s pour ]'aC{luÎsi tion d e notion s d'autres 10llgueurs. Pur co mIHu'u iso n 1'f'nfm1t obti cndrA un e grAnd I! fA cilité à é"Ahicl' APP I'Ox i111l1ti "elllCJlI les dis tan ces, Ct-!ci lui pcl'1lIelt .... Il'';"itcr de grosses Cl'r em's tlUII S ~ es cll lf'lli s.

"élofft: ? A quoi r("sse mhl ", le mè tre ca nu c ? CO llllll c nt est·jl p .. otég ~ contrc l' usure?

ft. q uoi seri le m èln·

ClII lIl C

'?

ÂIJplicCltiotl

Chaque enfan l, s' il n' II pas IIIle bague tt e ù liA disposition, l'usséd el'u LIll e ficelle oiJ le m è tre $f' ra signAlé pOlI" 1111 nœ ud , A la mai5011 , l'c nfant III CHu'e l'll ('c qui, il s a portée,

p cu t é lre suscep ti hle d'être m esuré, Signalon !l à nos t!lè,'es qu e papa ou llnunOlIl ne dni" clll llas inft'nClli l' t:n dh llnt par t' XI~ llIpl e l Ill. 40, 0 11'1 , 80, Si l'obj et ne l:onlie nt pus d es m t- Irl'S rOll tls, dire: « presqu e 2 Ill " lin P ('II plus d'ull mè tre, c I C", :' M eslll'ons : la rAmpe rl'esca li e r, le canapé, la longueur du ('m'rido l', la largt' uJ" ll'UIlt" étable, ln profondcur du bAss in, un tapis, une tnhle, uu hUIIC, c ie... Rmlw((jlle Nous n e donnons encore au cune définitjou rlu m è tre pour l' ins tAnt. D onnonS (wa nt lout h. 110liol1 cO IH'. I'è le de lon gueur ; cc tlc nolion IIc/lu ise st"rn som'ent eO lltrô lrt- pendant l'an· liée ISco lnire, AVlln l rie pa:ssel' à IIn l! nouve ll e leço n, lai sson s Le tcm!lS à la précédent e d't:h"C n s ~ imil ée, DLII IH 15 jours, nO LI S él:u" giron s n o ir e chullIP d e

Mesure·t,oll se ul e ment les ~ t orfes a vec le mè tre? Qu'avez-vous mcsuré cette semaine '? Le IllllçOn (lui travui ll e à la constru ct io n d e la maiso n X !HII'It'-t-ii un mè h'c CU llll e cn poche ? Qucl e nnui!

VO liS avc:t ~ fu'elllt"nr remurqué que da ll.~ le mèl re p li nlll, 10rslJ u' il est d épli é, i l y n 2 mètt,cs Ilj usti!s l' un SUL' rautre,

Duuble mi!tre Dépl ion s dau s le Sens d e la longueut' ou Cil form e d e t.l'iangle les 2 Illè " -e.s, No us 0"011,. lIlaintclIAllt 1111 do uble m è ll't',

p ll ll l'tll ll l le m ato n utilise ]e m è tre, Faire

trouve r nux I·nrnnls le HOIU dc ce IlIlè ll'C, Jlu is l'écl'ÏI-e ail tahleu lI , le mèt,re p/ÙWl,

MOlltrun s le lIl èlr~ plianl, jlla'.'ons-lc à cô té tlu lu ètl'e CH I1I\C, CO lls lntoll," qu' ils nnl la mêmc IOll gucnl'.

l'onnRi ~iW, JlC C S ,

Voc(lbuloirc

SY /lth èse

La \/endcu se du 1lI11 gnsill IItili 8(' Il'; m è tre (:UIIIlC, Lf' Ill e t ... , t'aUllc I,ossèdt" fl cu x ri vels il c h aque ex trélllitê. CCi! l'j vets préservent le m ètr e de Pusul'e. A"t:e le m ètre Çnl Ill C, je

D e quoi sc ser t la vend euse pour l:lCsurer

mesure,

DEUXIEME LEÇON, LES TROIS SORTES DE METRES

Votl't' IlliU llan utili s l~ lIus:; i 1111 mètre 100's. <tu ' clJ~ co nrecliollllC vos ' 'l'':.ICIllt"ll ts (Il! erll t;·

D époso n R Je double m ètre .J e u x fois s ur ~ e pillnellcr, Combif'tI avon s·noLiS de mètres? Mesurons tt'o is foi s uu e fi celle avec IIll douhl e mè ll'c, combi en avons-nous de tut- Ires ? J'a chète du fil dOl'é pour Iltlaeher des )lU(JU C I S de fête, on me vend 4, do uhl es mè tres, cOIllj,i en ni-je de m ÔIl'es de ficell e?

mètre, dil'olll It!s e nfan ts). MOlltron s cc lIlè h'C, sn rm'Ille qui 11011 5 fail penser il uu rubnll, auss i ~ ' o}Jpellcr:t-t-nn le mètre l'UIHlII, C0l11 r(llons SA lon gu e ur en le pla ça nt Pl'ès du mè tre êuunc, l'ui s du lUè,,·t' p lian!.

SYlI ,hèsc

<Pour enfants d e 7. S c t 9 Rn s )

Le demi·mèll'e

ECl'i,'oll s 1111 taltleall : 2) Co nnaissance du double mètre. du 1/: mè-

Matériel

Ire.

1 mèh'e canne

Rnppel du

] m è tre pliant 1 m èt r e l'lIhun, 011 1 d oubl e m è tre

Reprenons qu elqu es e xe rcices d'évaluation UP IH'oximati ,'e il di ~ t a n cc, pAr ex, de fi ecJl es tenues pal' d eu x e nfants (fig, 3), de ver ges, d t': l'ulta ns, lIli foulard , Il c b~l S d ' ull tahlier, e tc. Cou trôlon s ce! mesurcs évaluées il vue d'œil il l'aide d'un m è tre canllC, R epre nons la synlhèse de lu l eçon précé-

l'uhnn

m étriqu e

] d emi -mè.trc,

But, de [CI leçon ] ) CO llllnÎssunce nt emploi des 3 !'IOl'tes d e m è tres,

-

d e nte.

216 -

COIIIIU

]) Le m è tre cllIme

Ja ven deuse

2) Le 11I1",lre pliant

l' o u vri er la c,ouhll'ière

3)

Le

lIIi~ tl'e ruban

Posons le m e tre cu nne à te rre, d épo sons à côté 2 demi-mè tres. Qu'avo ns-nous fuit? (Pd s lu llIojli~ du m è tre), COlllh ie n d e moi. li és c1a ll s un mè tre rJ e ficelle? Coupons, Dons 2 m è tres co mbien dc dcmi-nlè trcs ? Coutl'ôlons LlI\ m hLlIl mé trique J e 1111. I/ :! d c longueur: co mbie n y a-I-il de l /~ mèires ? Si j e It: Jailli e 1 mè tre e t encorc 2 delll i. mè ll'cs, comhi cll UlIl'ftS-lu d e mè lrcs ri e ficel le? (Do nnt"r rée.ll elUcllt la (i cel le). Avcc mètres, tomh iell Jluis-je a vo ir d e lh,

Combi e n J e \1I èh'cS ('o IHHtisscz-vous? Qui ulili stl le lII t: tre call1l e? L e mètrc pHulll? Le mètre rulHIII ? Pourquoi l'ouvr icr II IU ise-l-i] le llI è tre plia ltt et 11 011 l e IlI è trc l'uba n ? (S'a .... ê l!·l" if'i uvec des enfaufs de 7 :lns),

-

217 -


If 1..(1 leçon prOpl'em enL diLe.

Vocab u/uire Je connAis :

mè tres? (Résoudre ,l e cas avec le matéûcl) . Si j'ai 2 m ètres e l ellc.ore un 1/2 mè tre, combien aurai-je de m èh'es ?

1. ,le mè tre cann e 2, le mètre pliAnt 3, Je mètr e ruban 4 , .Je ,1ouhle,mètl'e 5. le d Clni-mètl'e La velldeu sc c mploi e le mè tre canne l'uur 111 05 lll'C1' les é toffe!!. Le m açon, l c charpcn· ti er c t h ctllu:OlllJ d'Oll\' I·Ïc.l·S sc serve nt du mèlrc pUant. LOl"/squ'cll e conrcctionne nos habits, la couturi ère .p orre le mètre ruhan autonr du COli. J e co nnai s aussi lu cane d e la vois iné qui barhot e clans 'l 'ca u ; c'es t la IlUIIlHUI des cane· 101111. (A sui vre )

Synthèse Comm e nt 8ppell e·t,01l unc baguette (11I1 Ill CsUre 2 mè tres? COlllment appclle-t-oll une ba gue ltc lilli , 'sut la moiti é d'lm ll1ètt·c ? Qui utilise le double m ètre? Qui ntilisc un l'lIho.n de ] 11ll . 1/2? Peut·nn ajouter dct! mè1.1'eS à des demi·m ètres 't Conù>icn faut-il dc lIt mè tre!> pOUl' fair e 1 mètrc ? Avcc 6 demi.mètres comhi en puis·je fuil'c de mè, tres '?

a)

Forma tion lin éai re tin nombre 24, de toutes les raçons poss ibl es 8\'ee les réglcttes, Vo ici l' une d e ces formations raite pur lIlt i!lève :

R.IO

R . 10 R. 6

R. R. 5

R.4 R. 10 R,9

R . 10 R,9

R.7 R.6

RB

R. 10

R8

R 10 Une leçon de calcul avec les

R.9

R.IO

NOMBRES EN COULEURS

R. 5

R.4

R.9

R 10

R. 6

H.9

LEON JORDAN, normalien etc ., , Le nUlll él'o 2 d e l'Ecole valaisanne nous Cai sa it pari dcs m agnifiques r ésultais obtenus, dans l'initiation au l'al cul Ù l' aid e des « Nombres e n coulcur.s >, avec UII cnCant ,le quatl'c ans, Voici le plan d'une Jeçoll de calcul avec la m éthod e Cllistuaire, Ce cours fut donné par M. Biollu'1, a ux élèves d e cleuxième unnée primaire de la dasse d'n11pli cntioll dc ,l 'Ecole nor· mal e, dan s Je cuclt'e des cours de pédagogie pratiqu c auxquels lIssistent les normaliens de tL'oi-

sièmc unn ée ,

Etude du nombre· produit 24 1 Âvtmt let leçon, Comme répétition des leç.ons précédentes, lcs ~Ièves font pur écrit Ilcs exen:iccs suivants :

+ 6 = +4 = +7 = +5= +8= 11-2 -6 - 9 -8 -7

= ... = = = =

8+5 + 6 + 9 + 0 + 2

4+5 = + 9 = +7= +8= + 6= 13 -

4= 6= 9= 10 = .. . 3= .. . (15

15 -

= = = = =

4

=

-

8 =

-

11 =

-

-

3 = 7 = ..

+ 9 = +3= +2= .. . + 8 = .. . + 6 = ... 19 -

13 =

-

2 = Il =

-

7 =

- l l~

11 - ( 3 + 4 ) = ... , 3) + ('/. de 10)

: (l /6 de 18)

Copi e d es cIIl euls in ventés.

d)

M utilllti o ll et recon stitution: LCfi e nrêmts retirent 1'1 chaque lign e la r églett e de droite. Les réglettes retirécs SOnt m élangées et rcmpla cées Il! plus vit e pOSSibl e.

e) Le!! régl e tte:s étant à nouvcau rangées, les é lèves (Ollt les exercices suivants inscrits au tableau Iloi."

24

24

7 9 " " 5

2 X 6 X

+ + + 8 + 10 + Il + "

=

3 X

14 +

+ 9 30 - "

= ."

Pour obt enir 24, <jlLe lIIanque-t.jl à 8, 10, 12, 15, il 3 X 6, 14 : 2, Y:i de 16,

U_4 + 2 _ 5 + 8 - 9 + 1-10 = LOl'sC{ue les élèves on t terminé ces calculs, l e maître Cait lu correc tion orale,

218-

c)

Exercices

('/. de 10) X ('/. de 20) = ...

-

Lec hu'c d es cIIJculs inven tés : chnque élève lit sa rormation ou celle de so n vo isin,

= .. .

(4 X 5)-(2 X 4) = .. . ('h de 12) + ('/. de 15) = ('/. de 12) + (1/. Je 4) = . .. (1/. de 12)

b)

QI'Oux

Que faut·il rc trnnch e..a' il 24

p O UL'

20, 16, 18,

X de 10, e tc, ?

avoir

la X de 12,

-

l e r; de 18,

219 -

2 X 7, etc, ?


Les diHércnlcs Corlll es d t! 24. POUt· Cait·c 24 il faui prendre: 3 " 6 8 12 Ain si, l'élève voit <[UC l'on COillpr cn J II1Ie :

foi s foi s Cois (oi s (ois

réglclle ? réglellc ? réglettc '! r égle ltl! r égle lle

la ln la la la

}HU"lag é 2'~ en 3, 4, 6, 8, 12 1)III·t8 égn les e l tout naturellcm ent

ft

l It! d c 24 c'es t. le Il, dc 2'1, c' es l

les %/3 d e 24 c'est .. , h:s ,'/, d e 24 c'est

le lIn d e 2 '~ c'cs l le I /H de 24 c'cst ... le lI t'! de 24 c'e!'; !

eh'.

c il'.

c i l',

e lc. cie,

e tc ,

c'cst «(ue ll c c'est (lU dIe c'est queUe c'est IJuf'lI c

partie partie llurLic IHU'lic

COURS COMPLEMENTAIRES

Ccntre d'i ntérê t dé,rc1OI)I)é aux Co urs l'o llllll ém e nlaircs c~ nlruli sé~ du distri ct dt' SietTe

---

54

44

24

2 1\. 10

3 R. 10

4

+ I[

IJ

B. 10

+

I~

5 R. JO

René AR BElLAY, d irecteur des Cours

+4 Préambule

R éc.u l)Î!ulalioll.

2 n'!glclt cs égales 3:t »

.

5. 6 .

10, 12, 8, 20 15, 18, 24 4, 6, 14

qui font

• > >

3 l'égle ttes in égal es 4 • > 5 >

.}

qui font 12, 10. 16, ]7, I!), 8, 11, H

puis lcs é lèves pren nent 2, 3, " l'ég leu e8 qudeonqucs c t di sellt eomlJien cela Cail ,

III Synthèlc. Afin qu e lc maît re pui sse sc t·endre eomille jUS<IU'à quel point la leçon a ét é assimilée, les élèves font sur un c Ceuille Ir.8 calculs sui vants écrits au tabl ea u noi r, 24 = 21' = 24 24 24 24 24 24 24

= ( 3 X = (4 X = (18 = ('/. de = ('/, de

= =

10 6 4) 5) 2) 15) 14)

L't' IISf' mhl e d e (,. Ci! disciplincs a é lê t'u se igué pal' 6 professeurs (2 ,·iticulte.urs, 3 in sti· tntellroS, l m éd ecin ). La ('o(J1"(liIlUlioli de l'en seigncm ent d ~ l'e C~Il­ Ire d' int él't; t fi é lé {léte l'lJlinée, lors d e ln I"t! partition d es di sci plines enlre les di"ers 1l111ÎlI'es, PU(' le direc tcur d es Cours. Les Jlugl~ s qui vo nt sui''I'e Ile so nl qu e le rel cvé des r ésum és d es l e~:cHl s ,100m écs Cl Il'UI1Scl·ite~ P:\(' cha <lue élè,'e dans SOli clusSt' III'. Ap rès avoir l'assembl é touleS ees pages C il IIIlC hrodlLl l'p, chaqu e Ileetcur pOlll'ra 1:011$tutCI' {fu e l'c nscmbl e du cenh'c d'inl ért-t gl'OUj>C UIl C Coule in cspérée de conllui sl>ances. clt' l' c n se i gn~ lIl e lll s. 11 est la résultante d l!s redu'l't'h es, des Îllilintives. d cs expérienccs, dc l'enthousiasme de 6 p erso nnes ayant œuvré chacun e dans Sll spéci alité mais "isu nt dHH'UIH' IUt mi' me bui . Ainsi chaqu e Illaill'e profite d('"s rcdll:rc'hes des au Ires maitrC'S ct ChB{Ju e élève prorit e de l'c n seigllement de lou s l e!) J1HlÎtI'CS ,

Ln m éthode t1 'ell !<;ei gn e m e nt e n us uge uux

Les t\lêvcs sont in vités à dounet" :

4

rudl ité t't lJI' l'u Îsan ee u"t' c lesqucllt's It's élè,rcs rél)011l1ai e nt a ux questions l'o;jées. Ln mé thod e Cu ist'lluirt: st'mb lc l" lrt' !Illl1eléc il faciliter gra ndem en t l'étud e d u calcul. NotA mme nt, cli c co ntribuera à élimin er c lcs grosses diHiI'lJltés (: .. ~écs pa l' la )} é da gogi~ t' Ill Jli l'ÎCJ u t!, En parti culi er, le pa ss ~l ge de la di zaine c t la m émori Sation de la labl e dc lllultiplicll lion : ('es dcux olJShW lcs Illaje urs CO llin: l ~s qllc1 s se m eurtri ssent tant d e j elln es int elli gences:t. (Natali s)

dc 2" '? de 24- '? de 24 ? Ile 24 ?

Fnnnal io n liné..'l irc des nomhres <lui rt'sscmhl cnl à 24.

----+ g)

lu 3/.1 de 24 c'cst . les "14 lIe 24· c'efl t

le

8, 6, 12, 16,

J)

('our H"oir cOl'I'i gé les tra va ux écr ils dc ces les nornHlli f' ns ont Jill sc. rt!nd.'e I:om pl e qu t! lu leçon avai t é té hit'Il ,·mnpri st'. Evitl ellun cll t, il fa udra en co rc d c 1I0 mb.'cuIiCS rél,étitions a fin Ilu e ces nu!ions soi e ll! parfuilelllent acqui ses. A vnir les t'l1funts tl-ava iU cL' avec ces r é· !; Ieltes, l' inili :lliol1 un ntlc:nl n 'est "hls auss i ardu c Il" 'UW'C lit méthode tradiliolllwllt' t' I Ics :IIIIOIIIUli!'lIlt's S'ac11Ilièl't!1l1 a"ec un e ra pidit é Il'ès gl"llllli e. Durant loul le cours d c celle lcc.: on , n ou s avon s é té étonn és rit' ln él ~\r e5,

+ + + + + + + +11 + (2 X 6)

21~

24 24 24 24 24 24 24 24

_ -

18 ( 2 ('/, ('/. ( 2 (16

- .. ,

10) 18) 20) 1) 2) (15 3) (1/, .l e 12) ('h de 18) X d. de X

,

= ... = ... = ... = = = = =

Un ruban .m esure 24 cm. J e le pli e en 3 1Hu·ties égal es. Clul<lue partie lIlesurt! Un jan)in ca n é mesure 24 m , d e contour, SOli côté m eSure " ,llI. Dans lIU vCl'gel' il y li 24 arbres, On cn ft !llnlHu le Y. , 11 r este, .. urhres, -

220-

5= ? 9 = ? 2= ? 15 .? rIa de de de

de de de de 24 2,1 24 de 24 de 2,1

=

'l, 'l, 'l, 'l,

, . , CIU,

15 18 18 20

=

CO\lrs eO lllll!émentaires ecntralisés 'eS I (;011 5 tl"lIitt' sur lc eell!t'e d'inléri' ! olt le plus Ile rli st'.Î plin es poss ibl e sont gl'ol.1pét' s UII' lom' de l'id':e-pivot. Les cenlres d'inl él';; ! dlOisb tÎ e11llC1I1 CCl III pte : fi) des IJeso in s régionaux; h) du 1IIili t' u dan s 1t'IIIII'1 " i\"l!nt It's jt'U1It~ii gens; r) dc la 1)I"Oression dan s laqucU c CI.'S jcu· Iles onl J1l'Î s cuntad a vec les l'éulit;'s tl e la \'ie, Lu 3è lll e tran ch e du programme pl"é\' oit cn lre nulrc la Viticulture, Les jeun es ge ns qui l'!O llt t"tl)Jlelés à étlld ie., celle hntllche so nt dans leur 18èm c année, Le.s disci plin t's qui onl é lé grnup éc~ sou s le thème « La vig lH' (' t le vin » sonl a u nomI1re de 12 : Viti cllhure th éo l'Î{(u C c l prutil[lI t', Puras itn' Jogi e. Méetlllisillioll. Droit l'mal. Org,IIIÎso, tioll s viti co les, Arithmétique. COIll)ltabili!é. Dess in . Géographi e él:onomilju e ... vt!c in ci. dlmce socinle, Edlu'ation Imliounl e, Corl'esPOlu) all cc. H ygiène.

-

1. B. _ Tout cs les valeUl\!> chiffrees cilées dans Jes di vcrs lravuux sont des releves de résultats uuthel1'titlues ou !Jasés sur les der-

nières s l1:lti s ti (Jue8 ,

221


Vic d e l(l vigil e La vigne U : 1. un e vic h ivcrnale (bll ente) ; 2. ulle "ie ncth·t! d e 6,7 Illo is. S tndes d e ln vie act ive d e la vi gllc : a} déhourrt'me nt Il ) feuill a ison c) rJ o rlii soll LI ) nouai son c) "tlr nison f) noû lt!nl cnt t1I'S huis g) m ntmit é du rai sin h ) chut c d es fcuiHes

Leçon 1

LES DIFFERENTS ORGANES DE LA VIGNE A.

R(fci ll ~

On di-s lingu t: SU I" Ln ra cin e: a ) lu coiff e (protec tion) h ) It's po il s ubsOI'hnlll!i (absorption d es ulilnenls ) Les rnei nes se rJnsscn 1 ; u) n~ c in es llrincipuli'..!s h ) rulli ccll cs e l t hcvelu Rille d e ln !"uc in e : fi ) fi xer la [lIante hl respirer c) ahsol'ber les matièr es nutritives d ) transporler la sève

fi. Tiges

2. Gamay du Beaujola is : bon ,·.in, a" ec~ Je Pinot noir, compose le "in d énolli' -:'"'"::1 m ~ Dôle. 3, Pin ot d e Wu(·dellswil. vin de hOllne {Ilralité et d e hon rend ement. Exige une honne maturité. 4. J...e rOl/ ge du, Pay~ : Vin de {IUalité s' il est cultivé Cil d ~ bonn es expos itions, T end fi di sparaître. Di vc rs mltrcs cépages '~ ont cncor~ cultiv és, mais sout en voi e de dispal"Ît1on: Muscut, Rèzc, Huma gnè, PIIÏ CIl,

LeI vigne cunéricaille

Le çon 2

LES CEPAGES ET PORTE·GREFFES

e L r omefHl X

Plante sa nnf: lltcltse ct rmnpante (gl"im pAnte) :

vrilles nœ ud s bourgeon pr in cipal fi lipulaire

C. Fe"iUe On di stin gue Juns la r~ uill e de vigne: a) p étiol e h) limbe (échnllcru."esosinus pétiolairc) Rôl e d es fcuill es ; Il ) élllhorer les aliment s (air-lmnièl"c) h ) transpirer cl respirer Obtenir des feuill es sain es, c'est gnranlÎl" une r écolt e saine, ho nn e mutm"ité, hon aOlHe mc llt du boi s.

L'espèct' hOllt llÎtlu C e m'olléenll c Vitis vin;,

Jert' ne r ésis tc pas au phylloxc ,'a . POUl' m a intenir cette cspèce, on a é té obli gé d'I\voi r r ecours l' la ,.igne américaine c t à st'~ h yh"id cs dont lcs hois sen 'cnl d e Ilot' Ie· g,-erfes. Nous di slin guons tlon c : Il ) ln ,'igue indi gène e t les di vers ct!(Hlges é tll fli és pOUl" Icul"s fruit s. b ) la vi!; ne Il m~l'Î c nill e éh,di éc pour son hois utili sé comm e (lorte·grcfft!s,

1./1 vigm.... indigi'n e S uhdi visioll :> :

A_ Cé pagt!.~

1. f'elldcJHL: Si Iloss iblc, obtenir le Fe.n· d unt lite sél ectioll_ d e. comm er('.e. fnai s, bO llqu cté, agr éa bl e. Raisin s de ta ble. LI! pl m cultivé rhez nous.

Vin

D. Pleurs R éuni t's cn gmpl>cs, petites, ,'crt ns, pal"fmu 'iiubtil. Flora ison eu juill Conditions d' une bonne Horai son . temps sec e t chaud Froid et humidit é favori sent la coulure. E. Fruit ou rais in Grain es port ées Iml' un e râfl e Composition d e la graine : a) pelli clllc r ecou "cl·te d e Jll"Uine b ) pulp e cont cnant jus, sune, acill es c) pépins contcnant huil e et tanin Les principes colurants dc.s vin s 50llt contenu s da ns lu IH~Ui c ul e .

-

bl(Hl c.~

2. Gro$ R'lin : Vin nl coolique., parfumé, vendu !lOUS le nom de Joh<llluisb e r g. 3, Cél}oges de $l1éci(dités e x..i geant d'ex· cell entes exposition s: Il) H crmitage h ) Arvill e c) AllIi gne B. Cépage

ro .~ c

Mal voisie ou Pinot gris. Vin de haute qu alité, fin , parfum é, le meilleur vin d e dessert, R end em ent il am~lior er,

C. Cépages rouges 1. PÎlIOL /loi,.: L c mcill eur vin rouge, précoce, E xige un e honne exposition,

222 -

felltilil é réguli èrc ; r és istance Ù lia coulure; ho nne r és istan ce au x maladi e:s ; hOIl aOlllem ent des IlOi~.

Résistalltc au phyllo xera, clIc est cultivée pOUl' SOlI boi s destiné li sel'vil' de port e· grcf((·s a ux divel's cépages iudi gènes, Les porte·greffes obtenus pal' h ybridation des divers cépuges américains (Exemple: Riparia X Hupestris ou Riparia X Bcrlan· diel"Î ) oujo urd' hui recommand és 60nt : R ipal'i a Rup es lris 3309 pour 'terre lêgèn !. men t calca ire; Ripurin B erlalldi cri 5BB pour terre très cal cni,'e ;

Lu honn e sélection des greffOIl!l es t la condition prin cipul c d e ,Ja reconstitution rlu vigil oh le. /JItIllUttiOIl

1. Défon ce ment minimmll : 0,60 cm, ct plus,

2. Nivcll clUcnl le plus réguliel' possible, lé· gèl'>C pente ilHli spemnblc. 3, Bief! é tudier Iles di stances entre le!:! lignes selon les machin es envisllgées : 1,10 Ill , fi 1,20 m. (}U ' UII minimum de 8 yen:\: nu 1Il 2 cs t n él' t'ssaire e n Valais pour un r cnd cment viabl e.

>1.. Se l'appe ler

S. Cc caleu} cst d é te rminnnt pour fix er la d is tun ce ~ ur la Jigne,

M(U1ière d e ,)ltUiLer 1. L'emplu celll ent du cel' est fixé en rayonIlant les ligui'!!1 dans le s en ~ d i'! la Ion· gueur e t d e la largeur.

2. L'empla cement es.t mnrqu é en plantant

SC po Ill' terre plu s lourd e,

l' échulu s.

Le t hoï x du porte·greffe est détermin é pal" la teneur e ll cal caire du terrain, L'analyse dcs tcn cs f'st inlli spensahle. P"él eve r d es éclllmtillons e t les adresser à : S tations féd érlll es d'essni s Chimie Ag ri cole MOl\tagihel't

3. Df' "nnt l'échala s on fait un tron ou plau· toi,'. ~"

La hurllll e a ·Ies racincs raccourcies, le SIlI'· Ill ent tni.lI é.

5. La barbuc est pIncée dnns le trOll, C il ' suite rempli de lerre fine mêlée il de la tourlJ'e horticole.

LUlI Stt nll C

6. Butter légèt'ement Je g,'eHon avec la tel're m êlée à d e la tourbe .

Leçon 3

LA MULTIPLICATION

leçon 4

ET LA PLANTATION La multiplication en Valais, vu la présem.'C pel'lnon ente du phylloxera, ne ,s e fait qu'au moyen d e plants greffés sur des porte·gre ffcs améri cain s r ésis tants .

Sélection_ des greffOlls, Faite nlijoul"d' hui plu s particulièr.elllcnt par les Stations féd é· l'nIes d'essui s à Vélroz et pal' des pépini éri s· tes qualifi és . Conditions : cépages r ccolluuand és ;

-

TAILLE DE LA VIGNE Ell e n été étudiée ~ n pratique sous la con· duite de 2 viticultem,s, maÎtres·vj gnero ns dans lc , 'ignohl e de Siet"l'c.

Lcs deux formations suivante s ont été d é· montrées : l , Tnille cn gobelets 2, Toill e Gl1YOt La ta ill c gohelet res te pour l'instant ln pluli fa vorahle aux cé(Ja ges blnll cs, Par contre la

223-


visites do "ignohles parti culièremcnt hien co nçus, )JI us spécialement à la visite dll DOIHllin e des EClissons à Châ teaunenF. Les suj ots sui vants onl été tmités par M. PCl'l'ftucJin, dirccteur, t> t M. Do(·huz, ehef de culturc d e lu Station féd él'8lc d'dsai s.

taill t' G u yo t Hrrr~ lie sé ri eux avantages pour cépages rouges e t s'ullaJtte plus aisément à la méca ni sA tion vili co le. POlW<llIOi cncoura ge-t,oll d c transformer la vigllc Cil taill e Guyul ? 1. Pcrmet en tout temps e t Kli maximum le I ~ii

tru,'ui! à la IIl lu:hine, 2. Diminue le t1'll"a il d e J'erre uillage et du levage. 3, Penn el d' utili ser au maximum la main· d'œuvr:e familial e. 4. Diminu e les J'isqu es clu ge l. 5. R égulul'Î se mitmx les récolte s. 6. Grunde fa eilité de l'eformel' un cep après UI1 grand gc l. 7. Meille\ll'e iusolat;elll e t aéra tion . Diminu· tion d t>s risqu es de ItOurrilure. 8. Faci lite les Il'u iIClll cnt>i anti(lara.s itair~s, fcuill e!! et raisins plu s accessibles, 9. Eeonomie duns les fl'ais d' installation.

1. Les porle-gl'efr e5 (3309, SDn. 5C). 2. Le choix des gl'eHons. 3. L es cé[Ju ges rouges et blancs en cuu· 'trôlt: et il l'essa i. 4, Rechcl'che d' un cépage pOUL' raisin de table. Le Chasselas 1921 .serait ,la révéla· tion .l e ces essaÎs. 5, Les diverses tuilles. 6. L es fOl'l1l es e·ulttll'nles. 7. Les ~ LlId e8 des écurtements dc planta· tion (tvec incÎllene:e sur le rendem ent et ln mécani sa tion . S. La toille Guyot a"ee incide nce d e rend e. ment SUl' les di vers cépages. 9. Les essa is d e ,tnille haute (Système Lans· moosel').

leçon 5 VISITE DES STATIONS D'ESSAIS VITICOLES A VETROZ Cclte <:.Ïllquième leçon a été réservée à des

10. La n~cessité d u rf>gro upcment des par· (A slli""l') celles.

Bientôt un siècle d'expérience, ctest une

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224 -

COMMUNICATIONS

BREVET DE CAPACITE

MITTEILUNGEN

A ,la même occasion !:itl fera le recrutenWl1t Iles cllndidates (lu i s~ destin ent à l'enseigne!lien t ména g.. r,

Lrs 1I1C'1Il1"'es du p e l'sollnel f' nseigmllli qni n'o l1t pl1 S e ncore le hrcvnl d e ca pacité rc ront Ct'Ile Année ,l'imal yse de l'ou vrage « Les étOIles sco laires:., plll'll dans la coll ec tion des Cuhi~r<s de pédaJ;ogie moJ e.I·ne uu x Editions BOUlTelier, à Pari s.

Les Aspil'lwts doive nt s' in serÎl·t! UII Dépar lelII ent d e l' Instruction puhli<IIlC puur le 22 féllrier 1958. Pour être uelmÎ s il l'Et:ole normole. le can · elielal doit atteindre l5 Rns au moin s dUII!>

« Les étape!) scoluires :. co mprenn en t Il'oi s cuhicrs: Cours p" ~ JlllrRtoir e COIII'S élém énhlirc Cours moyen 'et ,s upériem·. Cll ue lue ca ndidat Illialysera un seul ouvl·uge. Il Il ln liI. el·té de choisir ,l ' un des tl'oi s cahiers. C·CS I·à·dil'C celui qui correspond nu dcgré Oll il enseigne. Les tl'ava ux parviendron t annu ell ement au Di:llRl'tel1le nt, pal' l'intcrmédiaire de l'ins· Ilecteul' scol aire, pour le dé but du mois de JUÎn. Les examens d e 1958 aurollt lieu (tU Illoi s de juin. Pour y ê tre ad mi s. ~cs intél'essés tloh'e nt Ilvoi,· re mi s les cinq tl'IlVUUX pres· e:ril st il stl\'oir : POI1l' 1953/54 Vade·mecum 'pour l'ense i· gnem ent d e lu géographic, pOl' R. Ozouf. Pnur 1954/ 55 Les di sciplines d' idéatÎon, IHU EI'IIf'!:it Na tali s. Deuxième 'partie - Métho· dologie d e l' his toire, POLIr 1955/ 56 Enfance c t adolescence. pur F. Anselme (lère pal·ti e). Pour ]956/ 57 Enfan oe e t adol escence, pnr F. Anselme (2èm e parti e) . Puur 1957/58 Les étapes scolaiœs.

l'ullll ée d e l'admiss iun. TouLe delllund e d 'a dmiss ion doit ê tre accom· pa gnée dt's pi èces >suivantcs :

n) Il cte d c nai ssa nec b) li "!,"1 !:icolaire c) cCl'tHicat de honn e condu ite ct d'optitudes d élivré pUr le l)l'ésidcJlt de l a COl1lmis· sio n sco illil'c ou Le prés ide nt ci e La commun e .. 1 le directeur de l'établillsCIllCIlI où il ,,'es t pr ii plln~. J ) un certifiCAt Illédkal délivré pUI' le m éde· cin seolait·c. Ce cer tifi ca t cst établi s U!' un e for mul e s p ~· ciale foumie l'ur le Département. Le Chef dl/. DÛf1Mtemellt de "lnsl.ructiort Im.Mil/llt!. : M. Gruss

ENGAGEMENT A NEUCHATEL L e Cli nton (le Neuchûtel engagel'II, comme d'habitude, un t:ertain nombre de III1IÎ tres· ses c t de maitl'es va laisan s )lour un e partie ou pour Ja dnrée cntière de lelll's VltCall('es

1958. Voiei les ')lo ssib ilit ~ orrertes :

Le elle/ du Dépu,.tem ellt

1.

de l'Instructioll publi(jue : M. Gross

Conditions d'engagement: voir Eco le "a· lui sunnc du I cI' mars 1957, page 199.

EXAMENS D'ADMISSION AUX ECOLES NORMALES

2.

Les exo mens d'admi ss ion aux Ec.oles I1UI'· mul es auront lieu le Inw'di, 11 mar.~ 19,')8 ri. R h . .10, il MUI·tigny·Vme t eollège communul, pOIll' les j e une."i gens, ct ~. Sion, tI l'Eco Le nonnale des -institutrices, l)Olll' les jeunes nU es.

-

E"gagemell', d" 1er ma; au 31 octobre /958

Engagemellt pour III dl/rée du COl/rs de ,.ép étitio/l du 12 (év. 15) au 24 mai 1958. Conditio ll s d'('.lIgl1gt!I1Hmt: in stitute ur!! : 31 rI'. pUl' jour de classe; ills titutllices :

26 fI'. 11111' j011l' d e classe UlAn ch es lluyés.

225 -

l11U8

dcu x di.


3.

Etl gagem etl t d e J·emplClçants pour cause d e service m i/.itaire o u d'autres ra;-sons ( plm de 3 semCl i l1es). Conditions d'engagem ent : inst.Îlull!u r-5 : 31 fr ., ins lÎtull'Ï ces: 26 fr . (par j oUI· eff ectif d e classe, don c sans l es <limanf~h es, ma is Cil rcva nche avec payem cnt d' ull j our d e vaCance pour 3 jours de trava il e ffecti f) . PaL" 1Iill elll-S, dl cs l entendu (lue pOUL- les p ériod es de servi ce militaire d e 15 jour!; il 3 sCIlHtines nUIL"es qu e ce.lle du ]2 au 24 ma i, .Jt~s condition s d'engagement !Sont les m êmes qu e celles indiqu ées osous chiffre 2 ei-J eva llt . Les m embres du corps enscig nant qui d ésir ent profil er d e l 'o rrre du canton d e Ne uch ilLel, 'S o nt in vités à 5'i l1 5cl"Ïre au D épartement d e ]' I ns tnlctio n publique, à Sion, jusflu 'au 20 février 1958 e n indiqu ant le genre d e rempl acemcnt qu' Hs 's eraie nt disposés à effectu el·. En raison des h esoin s du Canton d e Neuchâtel, tou s ceux qui n'ont pas encore pris de di sp os iti ons P O lU- la p él"iod e d es va can· ces p eu vent s' inscrire, leur pos tulation ayant toutes l es cha nces d'être acceptée. DélHlrternent de l'll1 sh-uetio n pll..blique du clinton de N euchfttcl L ' IltSlleeIClll" du l 'el· llrrondisse luent

.e.

Mitteilung a n die Oberwalliser Lehre rin·

Récollection du 23 f'évrier 1958 Nou s avons pensé à to utes cell es q ui disent : < T r ois j o u rs cie retra ite c'cst iml)Ossi hle, Ol! les pl·elldr io us-1l 0 11 S? > Po ur elles p rincip a lem ent, p OUl" .:ell es qui voudrai ent venir m ais nc p eu ven t pas fallt e d e lemps, n o us aVOI15 provjsnirelllcnt r empla cé noire traditionnell e retrn ite '[l1I1· c.ett e j oum ée dc récollection dOllnée un .d imullchc ... Un d·imanchc, pom· que 110 us .soyo ns le IlJus nombreu ses IH)"l)sible Ù r elll e l1rc e ll ques ti o n la qu ête de c d tCssellli el (I" e Jes ex igences m atéri td lcs n ou s cach ent p n::stJUC lou jOlIl·S. U n dimanch e de d ébut d e ctu·élUe Ol! r ien ue sem en1l1l )'C U X ou simplemen t banal puisque ~ a p réd ica tion 5cra assurée par le Révér cnd Chanoine Via lte que b eaucoup d'entre nous

cOllllllisse nt déjà . Lu j ournée d ébutera par une }J remièrt: co nf érence à 8 h . 45 très exactem ent il. l'Ecole normale (lui a bi en voulu nou s r ecevo ir à cette occasioll. A fin de penn e ltre une pal"ti ciJ)ution à la communion, la S ainle M esse <sera cé léht·ée ft 11 h . 30 dans ln chapelle d e l'école. L'hot·a ire de III j o ul"Ilt!e sera affich é à la pOI·te d e ln sa lle mi se il disposition pour les co nférenccs.

C_ BOllll y Département de l'Instru ction publiqu e du ca nl on du Vala is Le C h ef d e -service

L e repas d e midi sem oSet·vi il. l'Ecol e uor· mule p OUl" cell es des p al·ti ci pant es qui 6'y inSCl'iron t directem ent ju squ ' a u 22 févI·ier

M . Evéquoz.

au malin .

Y. G.

MAITRES DE GYMNASTIQUE L'ussocia tj on des M aîtres de gymnasti<lue du Vala is ,r ollulIld orgnnise à l'intentio n d es illstitull,iees d cux co urs de gymnnstique e t d e rondes qui auront li eu ù Sion, l e 23 février dès 14 k , suIle ù e gymnastiqu e du Sucr é-Cœ ur. Cours 1er dcgr é; rond os . Martigny, Je 2 lIl ars d ès 14 h ., salle d e gy mnastique. Co urs 2èl11 e degré fill es ; rondes. Le po rt des espnt1rilles est obli gatoire. Le Ii·ninin g est r ecolUmand é. S' inscrire jusqu'au 15 fé\'ri er auprès de P a ul C lassey, 24 av. d e lu Gare, S io n .

LEHR ERINN ENVER EIN DES OBERWALLIS

SOCIETE DES INSTITUTRICES DU VALAIS ROMAND

Fiches de lecture Ce communiq u é co ncern e ·Ies fiches d e lecture lll"ésent ées lors de n o b-e JOUi-n ée du 17 novembre 1957.

-226 -

Par sllile dc pill sieurs d écolI\'e nu elS impré· visibles, ,le tinl gc de 1I 0 S liches de lecture a dû è lre re tard é. 11 s'eff ectue en cc moment et nous nssuroll s 1105 eo U ~gu es qui doivent l cs attend r e ~ mp a tj emll1 e nt qu'elles les l'eec\' rollt uu ssitôt que ccl important travail le Ilennc ttrn. Y. G.

Die d iesjiih dge W interkonfel·ellz winl a m 17. 11. 1958 im Institu t St. Ursula, Bri g, stallfi uden . Die 'fUg llll g heginnt mn 9 V hr mit ùer GeJIleill Sehnft5111essc in d er Klosterki r clle,

Der Heren m t d es T ages, H. H. T ibor Mèst oros, wiL·1l UIl S am Vonniuag iiber d eu Schuik ulllp f jll Un gam ori e..IlLÎerc li und nm Nuclun i ttag VO Il seill cn Erlebllisscn in Sihiri en endihl en. W,ir he issen h eute sch on aile Mit gli cdc.r he .-zli eh will ko lllm ell . Weilere Mitleilllll gell, di e die K onferellz be trdfen, werden demuiich st d ur ch R unJ scl u·eibell a n a ile Lehre l-illn en gelan gen. Der VOl--s tand.

Versa mmlung und Exerz itien des Obarwal· liser le hrerinnenvereins Am 3. J Ull u at· hieh d el- L eh rcrinn ell"er e in des O h el"Wlillis in V i sp cine kurze Vcr.sammlun g 11 11. Di e T ,·aktaude ll wUl-t1 e ll wie fol gl abgcwilc-

!tell : Beg ri.i s~ u llg

Vntiknnsende.t· in Rom, wieder in die SchwC' iz zurikkgek d u-t ist. E r war uns h ereil8 bek annt, d urch ~ e in e B eitriige in 1111sem Fitch zeisclmiften , c Sclnveizer Scllllle:t und < Wallisel· Schule >. So hatten wiL" aile Gcwa hr ci ne pa dagisch-psychologisch gebil cletc P ersü lll iehke it V Ol" uns zu hah en . Unsere E r wal'lulIgen w unl en ni chl e nttii usr.ht. Scine Bilclung \,'UL" so g ro ~!;, dass el: sclb s t d as Gr osste schli cht und einfach zn s ugen Wll sste_ D uzu kilm Il och das grosse P In s, fl asfi el· ein Wa lliser wal· und dcshalb ger ade 'llll Sel·C Prohle me 50 voU und ga llz kanltte. M ml spiirlt: dieti innn eL- wied er , und d as war r i.i ,· lins 50 wo hltllcnd .

Se ine VO l'lL"iige wa'·en e in gcgli edcr t in fo lgen dell Pl an : 1. Tag. T~g der Versenkung! Vel·scnkun g in d ie Grlllld wohrh eiten unseres Lehf>ns und llnscr es hl. Glauhells. 2, Tn:; . Tag dcr Degegnun g ! B egegnun g mit Chri slus llll sc r·1ll Vorbild 1Ilid BegcgIIl1ng mit d er cwi gell Ba rmhcni gke it im Bussnkrument. 3. Tag. Tu g d e.- V Cl"c inun g ! Ver einun g mit 11 t' 1Il sakl'mne ntal en Christus.

dmch di e Pra sitl entin.

Verlescll d e5 Proto ko ll s ale l- Ietzj ii lu-igell Winlel'ko ufel·e ll 7. \,o m 1. 1. 57. Kassabericht. Jalll"esl.el"i eht . Unsc!" geis tli ch er Beta ter, H . H. P fl". Werner , dnllk te <lem VOl"stant1 für seine fl o tte Adlt!Ît. Diesem Oank sch liessen w Ü· IlIlS a lle au . Auch I l. H. P fr . \Verne!· d ankcn wir fiit· seinc selbs ll ose und uneigenni.itzige Ad )eÎ l, im Dicns te 1IliSe reS Vereins.

Nach .Iem gemütli chell Nachtf'..5se n begallnen W iL· cl ie hl. Excr ziti en. '18 Teilnchm eI·jlli leu w(u e n h el"eit, sich Hia- d rci T age nus deI' Hu s! und Hetze des Alhu gs in di e Still e 1'.11 hegc.bcn . lm St. Jod cmb ci.m wiirc 7.wn r fU r 80 P lat7. gewesen , di cs nUl" Ilehf' nbei hemerkl. Fiil" die Exel"ziticn kOllllle lIer WalliserJelill il H . ll . P uter B. A ~.nbord gewonne n werd ell , dcr llnch 13j ahri ger T iili gke.i t am

Mi l d e m Segen in der Kupelle fic:..hl ofisen wi r diese Gnad entage. Tocf beeindruck t und bcgeistert nuhlllcil allc Teilnehmerin· !l en A hsehi ed . Mogell Bun di e Vor-satze und das Gehol·le lin die Tat um gesetzt werd en, d aml wi rd d us J uil l" 1958, das wi l" mit d iesen Gnll den lage.n begallncll, für uns mu] unsere I\rhe it im Di enstc lI e.r Ju gend, sich er ein segells reich es we.l·d en. llend iC'. h er Don k gehiih l·t au ch H . TI : No ti, dem ncucn D ircktor des St. J ndel-nheim s, der in .selhstloser und Idu ger llilfsbcrcÎtsch a ft viel dU7. U he itru g, U li S diese T age 50 all gen ehm zu gcs la lteu. W ir wiill sclten ihm auf di esem verantwortU llgs\' nllen P os tcn alles G ute. D nnk g·: hiihrt ull ch d en chrwiinli gen SCh ll'eti lcW, di e für lIlIsel" le ihli eh es Wohl aufs B c:ste sorgten.

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E ine Teilnchm erin .


VEREIN KATHOLISCHER LEHRER UND SCHULMlINNER YOnl,,:.eige

NI/ch/mg =11111 Bericltt iiber die Lelircd "IIII' jf!1'fW Z cles licûrlw$ ViS I' 1' 0111 12. 12, 195i. ZUIU n"rÎ,'!tt iilwl' cl ic obgt'lIilllntt' Konrcrenz se i III11:h beigcfügt, d asl'i I:lerr Sekundurl c.hrcr nnibcl' M. <l Is Vl' l'trelt'r di'S Sch weizt'l' Ju , gcnd schrift ell-Wed ,es illl Obel'wallis ci ne Re ille tIi f' sCI' Sclu' ift cn \,()l'fiihrte und (lie Gel egenhei t wah l'n allll1 , di e Kollegt'Il nuf di ese WC l'lvo llt'1l unt! hilligcn SJW-nt'rtc :m fill erkslllll zu ma chc n, die uls gec igncter LeAeRtoH fiil' die Scll\llell uml di e Schul, bi hlioth t: k en ulll"l1 Iles tclIs empfohl ell sticil.

ni ~ GCIl~l'a l ,,~ rsa ll1l11ll1n g llcs Vel'cins ka,IICJlisc.hcl' Lel u'cr 1Ilid Sehulm ünner w inl am DOllntll'S la g, den 27 . Fcbl'uar lllll )400 Uhr Îm Sual e ZUI" Linl! c in N ft 1 cr s s lattfintl c lI. Di e Vrl'su mmlun g winl Îm iihliclwn Ralllllt'Il tllll"ch gcfïlhri wercle n . AII ~ Lelin!., lIml Schul · rr e llnd ~ d es Oberwalü s scic ll scholl heutc fl'clIlUlli ch ?U l'lcl'sdlJcn cinge ladl'll und WCI'd cn gch e ttm, sirI! dielitm Tug 7.\1 r esen, je l'c ll. Niih cr e AngAbclI \Vcrde ll auf d CIlI Zirku!;II" wegc ful gcll. Rcfl'l"t'nt: H. B. Pfarrcr ArHoifl P eler, Miird . Thell1u: Ail s t1t'l" SC'lmlgcsclli chlt: 11 t'~'i Ltllld c!S Wulli s.

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BIBLIOGRAPHIE

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BÜCHER

Illlh llsl y P e let',

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li e d e la S ui ssc sa mi ss ion premièrc cst d e pro teger l'exisll' Il cc d es pOIHlJatiolls, leurs bi ens "t i1tmr1i c.ultures. Cc chaltih'e est l'lin d e ~ plus illlllOl'latlts c t il dUl lII e nu li vre till e grand e vn letlr,

Défense et Illustration de la forêt 1958. J. U. Ba viel' c l A. Bourlluin, LihraÎ"Ît' l'a}'OI, La ll5unne . Pd x fI'. 19.( par 10 exelll!}Jftircs f,·. H. 50). Celle puhli cn tioll, d élli ée lm peuple sui sse, Il pOUl' hui d e fair e eO nlltlÎ!re l' ulilité d e lu for ('.1 e t son importance da Ill! l'écollomi ~ gé n~rnl e dll (lU ys. Chnrg é (lUI' lu SO I·iét é Forcstièr-c Sni sse, M. l' In sp ec teur fOI'c sti c!' 1. B. Havier, de~ Grisons, ft publie c u 1949 LIli QU vnl gC intitul é; c: S cI,üucr Wu ld jn trclI cr Hanc! Jo . M. A . Bour<tuin, inspec tt!m' fQl'e-:H icl' il leu chiilel, e n ft eCl'it UII C cxcell ente ada pta tion frnll ça is{" (lui lui fai t gran d ement honn cu r. D epuis la puhli catioll t'1l ]914 Ilu li\TC c: La S ui sse FOI'estière Jo , UII réel b eiioin sc fui sait scn· tir d c tloter ln Romnndie d ' un 1I0uvei ou· vrage de sylv iculh1l'e. L e ,texte d e cet Oll\'ra ge Il lc gra nd avulltage Il 'être c1nir et fn cilement ctlllllll'éhen sibl c. Il offre a u lectcur un e vue d ' en semble c l J'orie nt e rapid e ment sur les multiples li S· p ecti'i d c la for é t. 11 la I~e nd vivante, la me t II la port ée d e tout le 1Ilol1lle. Une athmtion particulièrc es t vo uee Il SOli rôle protecteur, si imp ortun ! ~! IlOurfUlIt encore si m éconllu. Ce fai satlt, il comhle ulle Iucunt', caL' pOUL' le l)l'ofllue la for ê t d o it avnut tout produire du bois uJors qUi' dans la IJlus grand e par·

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L' aut cur lll:t:Hnle égult:IIIClIt au remlcm cnt des flll, ;' ts toute l' nllelltion qui lui l'c\'ient. JI ill s i s t ~ IWC.C fCI'lIl c lé sur le prin cipc du rcnd cmellt soutellu , prim:ipe qui , tnut Cil l'C''llll''thlilt lIUX fnrj·t s de l'cmplir 'illt~ g nt! ~1III"nt leur tÎlch e JH'Olcc tl'i ce, ~arantit aux propd étaircs 1111 r cw' l1u r é;J;lllier c t approvi· sion ne d ' ulI l! rlitOIl l'Ul1lÎlllI ~ Ics intlus tl'ies du hois. Un chapitrc SIJeCÎ al co mm ente la l cgislati o n fo rcstièrl.'. ((ui fUI Ic point de d é part de grund s prn grt:8 e n sylv icu ltm'e, L'auteur fuit ressortir les d cux bases fond amenta lt'S d e notre loi féd énlle, (Jui sont d ' un e pllrt le muinli cn d i' l'u ire fOl' cs ti èl'e t't d':mtr" IHII'! II"' ,'e ncl clltc lll soutcnu , principes fionl l'expérience a par hl suite pl einement con ' firm e la sages:lc.

L'l\uteur attir e uu s~ i J' aUentinn sur -les nom· hre ux tl'U VU UX qui i ncomhent HU service for estier pOUl' pl'ot êgcl' la vic ct les l.iclls d es 11II1.lill\lIt 5 co ntre lei! uvalundles, les tOI" n'III ~, les gli ssl' mt'llts d c terrain. TI relt:ve l'eHort accompli l)Our d esservir l'lltionn cUeIl\eut I t'~" rOl'?ts )lUI' Ilel; rout {~s e t des téJéfé, riqll c....

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C'est avec rai SO Il qu c les donllées Ma tis ticlues onl été limitées; les chiffre!; ne fnnl ' Ju 'u lourdir lin Iruité sans Ih-ei ll cr l'int éri~t du leclelll·. P ur cO ll tn; il n é té acconl é, CoUlIll C il sc lluit dalll; unc œu vre ri e \' 111. ga ri sal iol1 , une gnmd c pin ce <lUX illu stratiOIlS, Ce tte (luhlicatim, r enfe rill e c ncore biell d 'un, trCS t;hnpi!t·cs très intér essn nts, mai s If' hut dc ce r ésum é n'est pas d 'cllire r dUllii tOll S les d etllil s. SCill e un e llecture aUenti vf' p CI' lIItttru ci e so rcudl-C com pte d e l' aillpl eul' tll's ~ uj e t s truit és. « Défen se ct illilstnilioli Il,· hi fQl·j· t ~ est Ull oU\'rn ge ri e gra nd e \"aleur. Il établit un contacl vi\'An t CHire la taré t el l' homm c; il est IIppeIé il d e\'c uir 1111 manuel d ' usagc quotidi en. Now;; recommandons chaleureusem ent cc li· \Tr C IHI gnmd IlIlbU c, nux all iorité!; cnn tona lcs f't ronulIlIIHtl cs, un co Ill." en seignant ti cs écol es sup érieures el a grico les ct, tout sp;· ciall'lII cnt, au , 'Cr50 1ll1l'1 {o L'cs ü er u UIJIlc1 il I·e.ndrn jOl ll'llel lt'lIicn t se n -ice, Ch.·A. P erri !;,

Uber die Dummheit, V IIIl Dr. Illcd, ha!.i!. H. Geyer. Ursnch cn und WidwlIgcn der infdlelt tllt~ ll en Milld el'l eistlln ge.n des Men schen . 399. S. DM ]6,80. Wj sscJl'schaftl. Vcrlllg Mllstcl'schmidt, Güttingen 1954. Die DlIlIlIullf'it IllU SS il11 m c.nschlirh cn Lebcil ,loch e inc zieml ich gl'Ofi'Se Rolle spicl en, wellil ci ll Vcrfnsscr dariihf'!' ni cht wcn ign 1115 399 Se itcu zu sclu'ei bcn wei:;!;. Une! dtlbei will dns Bueil doch niclJl!; nml eres seiu ais c ill Essa~', d cr di eses «Vorkomm n is> \'on yel'sehj ed ellen G esiehtspunkten aus he. leu eh tet1, aber nicht etwa cr Schollfeml bc. hfllldeln wi U, Ons Buch erheht ke incn stren g wi sscn sch aft1iclwll Ansprueh, sond em es lIlochte eher c in e anregeml e, icI! miichtc noeh 'liNgcn, e in e Il'o s tiiehe Lf'ktiirc .'ici Il ,

Gustav Morf: Eilljiillrll1lg in die Psycholo. gie. Ernst Reinhard Verlag Miinch en / Ba· sel. 141 S. Le inen Fr, 8.95. Der V crfasset· gi ht in diescm Biichleill , <las in e inel' anregendclI, le icht fas sli ch en Sprnche geschd ehen 'i st, cinen Imapp cn Üher· hlicl;: iih e!' ,l en h elltigen Stand d er Jlsyc:ho. logischcn Fo\'schul1 g. Er 1iisst dahei die 011her gcbntchte Einteilung, wie wir sie von den p syehologischen Handhiichern her gewohnt sind, bciseit e und giL t e inen eigenen, origi-

Di c BegrifhlJcstillllllllll g dcr Dmmlllw,it wi n l dm'ch ll ll erhnnd pn\ktisch c Falle ventn. schüulicht, fUI!; d e.ncll er..sichtlieh wird, wif' Cl! <l em Dummcn VO l' allem an VCL'Stand

fehlt, !ln jener Fnhigkeit, Bach Ursuche und Wirkl1llg, Grund und Fol ge, B edin gllug lin.! Zweck zu d cnlc en \Incl zu nke nncn, Ferue .. :

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weuu cl,, !, Dl1nnll e au ch c ill Gelliiclllni s hal , i:i t es e inc!; ohllc Int elli gell'Z. D e l~ Dumme Itnun vom c: a ssoziati ven Jo Lenlen Hicht Zlnn d enkel lcl vcral'hcitcnd e n B cgreifen kOllllll cn. Er fiillt nuell tl Ur durch Wortarmut und Uil' Id nn- n, unJogisc.hf' 1I A usdru ck, Ooeh isl d n:J Gesn:; te lli cht ctll'n auf da s Kind b e;r:ogt'IJ. tIn s ja 1101'11 in der l eih-geistigen Enlwi ck. IUll g hcgriffen ,is', St.lIldern lIur d CIi Erwach. sen cu. 01'1' Verfassel' fiihl't dann als U1'5nchcn dcr DnrnmhcÎl die D cnk-, Geflihl s. und WiJl clIssrhwii ch c an. UllIl Cl' 1Ip.lmf VOl' nll eUl dl'ci GrUIJPCIl J\IIlllllCIl Vl.!rh,dlt-II S : 1. Infolgt\ 7. 11 nÎcdl'i gel' Intc1li genz. 2. Auch Ilc i Ilo ... nnl er Jntelli gc llZ. 3. Infolge zn ci" . sl"'i tigcr, WCIlIi alwl1 h ü hel'cr Intc lli ge n7. . Zur CI'S It'1I C I'lIppe gchiire l1 z, B , fli c D cbiltm, Tmbez ill e n "ml Idiotcli. neÎ dei' zwci tl"n G1'lI1)PC WCiSI d cr Verfasser hin a uf di e typiscltc l1 Omnmheitt"11 d er TOl'lual c.n. Dazu ge hül'e n u . u, ul1ch Killdel', dic in tl er Sclt ul e ull gelll cill sl·IIwl'l· Illitkolllnw n ; dalln die typischen DU llIllIhei ten der L ehensaltel' und Gf'sehl ecJlI er, z. B. deI' Vedicht"cn, d er Phi. lis tcr, d,· .. P ctluntcn, Spies.<;!tiîrgCl' IInd E wiggestl'i ge ll 11 511'. Fiir jcde Gl'lIppe fiihl't cr f'ine R. cih e von Heilmittelll an, H. Geyer hrill gt !'ci n E ssny danll nuch lin B eziehung zut' Par.Iu gogik. Am ElIde des Buch es h e. gcg l1 ell wi .. cilliW ka sii ich cn Sammlnug \ '1111 «: ApllOl'Î!i ll1cn ZUl' LcbclIslorh cit », Mit cinem !;ol,·h en Denksprueh Illo chte ich die Bes»l'ed lun g dieses lehrrciehen und e l'gotzli chen Huch es schli essen : c: DUlllm geboren !; in rl \V it' nlle ; cs kOlIImt nul' dnruuf ail, wie\,jd ",il' dUZI1Jerllcn konnte n - und wie. " ici \\'il' wieder W~I'gess(! n hahCJI :'. Erns t Schmid t

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nt..Jl en AuflJ ulI d cs Scelt' nl c bellil, d er es ihm e daulJl, " 0111 R"flrx c o. l ~ d er fnn ktiollcll en Gnllullo.ge, d es seeli schcll Gesche hens bis Zlir Gcis lscc1 e " orzustosscn. di e d cn M ensr.hc ll c nulikul vom Til:I' unrcrilcheide t , . ln d ('11 Knpitt> lrl c Cham ktel' und Person lich. k c il ' nllc! d its c U nheWUSil l"e > werd e n Fra· gl-II gcs lrc irt, cl ic den hou lige n MenschcJI h C50 nd t'rs UIISIII"Cc.h c ll. Ei ne zicmlidl tllll ' fa sst'ml e Litcralurun gu bc (lm Schluss "ines j edf'1l Knpilcls e rlnii ~li cht d cm L cser, allfiilli gc r"ugcn und Prohl eme in Fachbii ch ern wci tt'l' 7.11 vC l'li e rt:n . Fiir die das lland r.h cn uh ~ chli esse nd c Obcl'sichl über di e Gcschi chle d cl' Psy t'ho logie dnrf man d em VCl'fa ~scl' c igclI s tl ullk bllr sr ill , Da;; Biichl ei n isi nll crdin gs n ij'ht m ch r, nls (lei' Tilel ,'el',;pri ch t : ei ne Einführung in di c Psyc!wlogie, kcin eswcgs ci ne e l'sch aJl fen d e Out'ste llung, Ocr En.: icher wi rd ,brin he· sond crs d aR FehJcn eine3 Kapit cls iib cl' d ie l'syr.ho lo:;ische Ent'Widd nu g ti cs Kind t's n nd Ju gcnd1i chell "t't' nÜSi<c n, - "W' us 1I115 in Schol'fs knallpen A usfi'lhl'llll gCIl nm IllCistCIl fl'cule, ist tli e Riidd\:ch l' '",li e in el' Geisteshul. tllllg, di e lS ich aue ll, lllut Ati s mutandi s, "0111 lç(l lh oli sch en Stu nd)lllllkt lI U S "crtre ten Hi ss!. Dr, Lore tan ,

Katholisch e 8ibel für Jugend u nd VolI< Entwurr. " OI'gdt'gt "0 11 d l'J' Arheitss rell c fiir rcli giollspAda gog ische Hilfsmiue1, FlI'cihurg Oktn,-, 294 Sei te ll , I~ Se it cl1 Bildtafe.In und 4 Scile n Knrtf'll . Leinwnllli 3,50 DM , Vedug H erd er. Es h Al1delt sich hi e r um d en Ellt wurf zn e in er nCIl t' 11 Dihli seh clI Geschi chtc, dei' d ~-" t1ffenlli chkei t zn r Di sku rsion vo r geleg t wird , Di eser Entwllrf ver fo l gt di e glcidJe theolo· gisehe Lillie \Vie d er neue Katec.hismus, he sontl ers ouell hi mdclllli ch dCt, hel lsgeschic.h l.

lichcn Schou, Der Entwurf liSI, e),e nso wie del' neue Kal cehi slllus, "on Albert Blll'knri illllRlri ert, 1<;0 d nss nu eh vom Bild hcr die Einhc.it "011 Kntcchi smus und Bibel gewahrt wird , Di escl' Entwud Z lI ciner neuen Biblischen Geschichtc t>leht auf d e I: Linic d es neuen Kn tcchislllus. Oas Dur.h oist zn emllfehlen ({il' Katholi sc1 .e Lchrcr un el LchrerinneJl, Gf'jstlich e, Eltel'1l. Von

Alf~'ed

Sch wcnz,fegcl':

Alles über die Briefmarke Gl'ossoktav, HO Sciten Texr und 4 Tafelseilen (dnvon 2 " ic l' farbi g) inn erhalh d es TCJt, tes mit ca. 220 Bl'Î efnuII'lœ n <i lJu8l riert. HaUl' It'rincn, V", rl ng H erd t'I', Dits "orlicg('nd c Wel'k gibt dcm Anfiinger im BricflIHu'Iumsa mmeln einc genau e A nlei11iII g liber di e Eigclll>chnfte n d er Bricfmarke. Mllrlo:t'nbild, Pu pi er , Wasser zc icl!e n, Zah, Hung, GUllll11ierung, Dnlt'k,'erfallren, Abstem, p t:,lung u s\\'. sowi(' (' in e A nl ci lung iibcr dit: Sammdlll c lhoden, fel'Il cr ci ne grossel'c Dar, stcl hm g tiher di t' B cwcrtull gsgl'l1 ndlagcll der llrieflllurken, eille Einfiihrung in die Gesehirbte Il ,,., B.-icrmitdce und liber inlert:sSR nte Er.schc inun gen nm RAndc tl c r Phila, teli e (J\n eltdotclI iili el' hcriihmtc MUl'keu und beriihmle SammIe!'), Das WCl'k ist wt'gc n se in es Lebrchal'Rktcrs mil libcr 200 Bl'Îeflllarke ll illusII' ierl, danm, leI' zwe i Fnrbtafcln mit d en c:Sdtenen der Welt, EUl'opas und D eulsr.hland s:., d azu zwe i T ardll mil c Seltene.n Ahstempe.lun gen u nd Wnsscrzcichen J> , Ein a usfiihrliches Re' gish!r macht d lls Wcrk über tie n Zweck ei nes AnJe illlll gsbu che8 hinaus aucb fiir den ~ rfalll'ellen Samml er zu cÎn em wertvollen Nach srJl lagcwel'k , Fiir Ju gcndli chc ah 13 Ja lu'cn, -X·

Vente

Pianos

Location

Réparations

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Har",oniu",s

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L..ETTRES

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BRIEFKASTEN

Dafl$ la mesure du po!!sible, nOlU répondrons sous celte rubrique aux question!! qu e le per!onnez enseignam voudra bien nous poser. Ces questions doivent être enuoyées avec le n OIn el fadresse de leur auteur. D'autre part, elles doivent évidemment se rapporter à des problèmes Mtrant dans le cadre de la revue. ln dieser Rubrik, die wir /ür mz.sere Leser bei/ügeu, werden wir im Rall1nen des ltIoglichen Fragen beantworten, die aus dem Leserkrei!! gestel:t wcrden.. Diese Fragen mü sse 1~ aber ulfter Ne,mung des Namrms und der Adre!!se einge,.eicht werdcll. Anonymes wird unter kcinen Umstauden bcrücksichtigi. Ferner diir/en diese Fragen tlur piidagogische BeZan ge betreffen , Ici.. mlJclde n.elnen Scl,u-'k,illdern ab und su' mit einer BelollllURIl Frellde ,n«cllcn Il,,d llÎe lIU flei .. ige... , froI. en Sel,aifen a,.regen. Wie ka.nn ieh, da" - pU,'agog i sel.. gesell-en ~ a ·na be .d en tun P

diil'fCII auch ni,·l;t 70 11 oft ht'I(lhn t' Il , wci l w il' sonst zn vir lc uml z n Ichha ftc UNliirflii slilwrrk-"Il kÜllnlclI , dic d !l nll nichl IlIc hr iJHlll Cr I" i('hl cl'fiillhar SilHI, und dH1l1l hli f' hc aIs Wirkutl g hiidlste ns " el'IllChrlc Un zufl'ie, lclI' h t·i l Zltt'i.ick.

Ihre f'l'üge ist wichtigcr, aIs es zunachSI sc.h eincn mikhte ; denn ich ke nn e tFiill e, \\'0 in dct" Schule unl'idlliges Bclohnell, mit Gchl z, R, d cm Lehrer zum Verhiingnis und d en Schi.il em Antricb zur Unehrli chkeit wu l'd e, Doch, ich n ehme an, dass Sic mit lIu'cr F l'a gc nicht di e Gddbdohllllllg m ei11 1'11, SO llfl e l'll dass Sie c h el' all gemein piidn gogisch e, vO l't.e.iIlHlht! TTinwe ise e l'WRl'lCll, D a i5t vo rau szuschickcll, da ss wil' nalii nli che Vorz.ü ge l!Iul Erfiillung ·s elh stvel'stnlldlichel' Pfli cht cn l1icllt IJe lo llIIe n <Iürf.e n, - Sodanll dlll'f s ic nicht d cm Ehrgciz. dcr SeJbstsuc.hl uud d em Hochmul di ene.n. lSondel'll s ie soll erfl'cl1 cn, onsl'0 rn en und e in gesundes Elu-gefi.illl wecl~ clI , Dabe i nmss cine Delohnun g tl CIll Vf'I'c1 icns t w irkli c.h e ntslll"cchcH ; d enll s i ~ ist j a ei n Akl dei' Gcrcchti gkcit, e ine elu'li chc A nCl'kcnmmg des Cnlen, - Wh'

III der Schul e ,di.irftclI e twa folgelU lc Bdoh· II1l1lgCII in Fragc kommen und wirk sll lII sein : E h t'e nüm trhe n, EllI-en geschenke, dic Del,t' itun g 1II1sdutldige.... Id lldel' tiimli eh e t' Vrrglliige ll, U nd dH1l1l : ",ie wir ksalll ilol ge· 1'11(1 (' fiit' d,, ~ K.hul die Bdolmun g in Fo nll ut1 e l'k ~lIl1t:u d c r MicHell und Gchilr() en, welche di e Zufl'i cd cllh e it d cs VOl'gcset;zlcn hek·und clI ! 00(;11 tlarf da~ nit'hl t'in Tlwillcr, clwtl st'itl, sOlld e!'11 aUes cchl llIul wllhl' ; rl Cl1ll Kindcr baben c.in fe in cs Ocsplir Hil' sol ch e Oin gt·, Fern el' kommt es ull ch in d cr S dlUl e sein danmf an, wer belohnl ; j e un ' gesehe ncr d cl' El'zieher i ~ t, mIl so hii ltf'r WÜ'd dic Delohnun g ei ngeschiitzt, \Vil' kan· nen 81so mil kl(' inc n Din gclI ci !!,· grosse Freud e mac.hcH, w~nn \Vil' "o.-ziig lieh e P ei:' sÔ llli chke il ~ n sind , Ernst ~ . · h ! nitJI.

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Sie qastnad1,bstage

Ernst GRIESGRAM Ein Schulil1 s11 el~ tor fiihrt per Auto einem Dorre 7.U . mn dOL'. di e Pl'i.ifungcll in d en Vo lkssr.hul en nhzunchm cll. HlInd~r.t Meler vor (le. m Dod k lllllTt der Motot' nuf eiumal gnnz eigeruntig und setzt nus. D er Inspekrol' IIInliiuft d en Wngc n mit n Cl"\'oscr Hast, kmlzl sich hint Cl' den Ohren: «Was tun ? So ll ich di e kUl'ze S tl'ceke 7.ll Fuss gch cn und d en Wagen s l ellt~ 1I InssclI ? Doch , sa e twas ist zu e lltehrcnd ( \il' cincu SclnùinSllcktor. 50 dAd icb Ili cht \ ' 01" det' Sc11Ul. kOlllluiss ioll ersch cinen, di e Illich ho ch st fe iel'I ich \'or <l em Schulhaus Cl'warte l ! > Plolzlich sill'ingt cin Ol'eikiisellOeh nus {lem Gebi.isch. Hahert sich mît iiberl cgen mitlejdiger Mie ne - die BAnd e wu chti g in d en Hosentasch cn. - . 'Vas i SI ,l os ?.. f'dig t er grosso nrli g. - « Hm, cill e Panll e ! :. - Dcr Bub Hipfl die A utoh aube h oc.h und 0:[ inspiziert li . _ c: Versu chell Sie Ilo chmal s (lell Molor llnsprill gcll zn la ~s t ll ! > hcfiehlt cr üherle· gCIl . Del' In spcklol" gch ol"cht unt el'lanigst, O cr Motol" hus tc t und IHlfi i e t und - hleibt wiedcl' IS till. - « Ahn , Ikh sehe den F.ehle r ~, ruCt der Dub voU S tolz, « die Diise ist verstopft, Eine n SehrnuLell7.i ehel', bitte ! > Fast vcrs le in c.rt vor S tAllll cn gehon;.ht der Inspcktol· wiceler wic cjn braver Bub. Der Knabe streckl die Haml untc ,' die H uub c, schraub t di c DUse los, b]ast sic pustend nu s, schraubt sic wiedcl· c in, srhlii gt die Bauhe T. U, giht den SchrilU henzieh e l' zuriick, putzt sicll di c Band e fllI de n Hosenwanden und b emcrkt m it ii bcrl egenel' Gelassenheit: « All es wied cr in Ordnung, Sic kOlluen fahren ! > - U nd tatsüchlich, der Molor S)Jdngt fl'eudi g an und Iauft, Fast spra chlos VOl' B ewund erung tlankt der B en Jn speklor: c Das ha!>t du flolt ge· mach t, m cill JUll gc - 8 0 e twlls ist Intelli· geuz ! Abcr, wieso bisr Du j eb:-t llicht În dcl' Schlli e ? > - oC Der Lehrer bat mir freigcgeben ! > - c W ieso dellll? > «Weil h eure d c,' Schulin spclctor kOllunt, und da

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ha l mir d er L~III·el· gesa gt, .i ch salle licllcl' zn Hausc hl eibc.n, cr müchte den gross ten Dunullkol'f l:ieincl· K lassc di esem Gcdankcn. ausprcsser Ii ebe.' ni eht vOl,Ciihrcn :)_ (J ean Maison in det· cTribun e d e Lausanne:. )

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EHLwedcl' Glltclerasch oder Schlechedc ll Lsc1! . liber l~e ill D/lrch ei/lu/lder ! l eh ha die Urrüssig, dass j ed c,·, wo ocrenl· li ch c in e R ed e ha ltc n will , sich cntwcde.' für re in i Mundart ode,' r e ines Sduiftdeutsch e ntscheiden mu ss. Es isdll ci nCach sch euss. li ch zued ose, welch es Zwillcnl eutsch nam enrli eh vo Politik er nnlassli ch grosser Feslc oder Iwj Rndioinl e.r \' icws gschpl'O che winl .. ,. E, K. Bcnk en. Mi t Jlll'er n emcr ku ng üher di e Mischi g zwiitschgen Dilllckt und Hatu.:.hd cutsch, die wo nuli.i ssli g gewisscr Reden \'u n gewü ss· ni gen Lcut cn gcsp 1'ochen wird , und die wo t" in cm di c Schull e bci lehelldi gelll Lcibe am· ziehl, huhen sie oppen gal' nichl IIl1l"ccht. N ul' ischt d us ha it url ke.inc Fra gc ,"on <lem Woll e n, !>o nd ern llIchr \'on dem Kiinnen . Und da ischt es boklln nt, dass ullscr ei ns eh f'n j ed e Fremd sPI·ach e besst" " beherrscht ai s wie c1as Ho chd elltsr h, (Am Blitznbl t'i ter d er We1twoch e NI". 12, 12., 1951).

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A u s der Scluveizergeschichtc Wil helm TeLL zielte 7.we1mal , b evor el' los· driiekte, aber d allll nmsste Gt=sslt'r .selber sagcn : 'C Tell, das 'l'al' e in H exensclm ss ! > Al'Ilold W1nlœ ld cd waL" et n Stl'3 ssenarIJeil er ; de nn el" murht e de n Eidg cJlossen ei nc Gasse.

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IFillkelried war in der Schlucht hei St=l1lpa ch tot, abr I' ni eht gall z. Sein Geist lebt weiler im Schwcizel'volk o.]s Feldgeschrei und im Mi.inuer chOl', l eh habc ihn 'S ogar in der 8chu· le und am Kllllbensehi essen in Ziirich gchoJ't,

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Ein LeIn e.' ford e"1 di e Schülel· auf, ihm e inigc lliium e miilllll1che n Gcschlcchtes zu nellll CII. c: Ocr Ahol'll >, sagl e in Sch iiler . _ c D f"1' Ta nll enhaum >, wÎrft ein allde n!!' hill , Der k le inc Fritz aber r:uft clu zwisch eu : cD er PUI"7.elbuulll, B err L ehrCl· ! >

If! CllfI

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nicht lesC'lt Jernt. , ,

Adolf, del· nie l'eeht <1.e~e n ge.lernt hatte, sich aber tl'otzdern 'nach Amerika wagte, erhieJt e iJ1 i!1I Li e bes lJl1icf \' 011 Seillem Schalz aus det' HeÎmllt. Er hestellt ein en Freund, d er ilun t1 ~ n Brid Inul \'orle ~ cll solI. Dumit d er Freulld uher Ilichl hore, wus im Brief ge. schriebcn stehc ,hi eh Adolf ihm fe st di e Olu'en zn ,

Eil!

eLW{fS

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;;.erst,.euter Pro/essor ...

Wii lll'ellll tl el· Grippe 'gab es vici e Abwesenli chen i .. der Schule. Eines Tages sng l d el' Pl'o fessor \'011 Arger: « ImlJ1cr wicdcr seh e kh \' it'I c, cli e u iclu da sind! >. Und noch am glcÎchell Abcud lIlucht e cr eincn AlIschl ag flir c ine Vf'rStllllllllung, mit der beigefUg lell Bill ~: < J edcr soli znh.1.re.i eh ersch cinen ! ::.

EMISSIONS RADIO-SCOLAIRES SCH ULFUNI(SENDUNGEN 5 février: LAt vie (JuotidiclUrc d'auJrc/oi.s d'après les noms des rues de 1I0S v illes, Entretien par M, Puul·J.', Gcise.lld o,·f, IH'o fcsseut' à l' Uni,tersité de Genève, ru·· c.hivislc d 'Etat. 7 fé\'dcr: DI\1I5 le cadre d es émissions d e Ju CO llununaulé l'ud iophoniqu e d e langue française: L'imprimerie, 1, Lu fil' b,'jcatiol1 du papie,. au Cwwda, Docu· ments fo uruis pal· l'Ecole de Papeterie d e la provin ce de Québec (C.macla), E missio n é laborée par Radio· Canada. 2, L'imwimcrie Plantin ( Alwel'.'ô) célè· brc au XVIe siècle. Do cuments foumi s pUl' Je Musée Plulltin·Moretml Œelgi. lIlI e). ,E miss ion éla borée 'Pal' l'IlI slitul Natjo ll l\ l B elge d e Radiodiffusion,

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12 févri er : V8."mouI" dUll s lu mu ,~i(Ju e, C"userie·auditi on par M. Paul.André Ga illard . 14 févriel': Dans le cad re des émi ssions d e lu COUlIl1UnnUle rudiophoniqu e de lan. gue frun çai se: L'imlJrimerie. 3, La dy. nastie d es Dido t , imprimeurs françll is, uu XVlllc sièc' Ie. Emi ssion ~ Iabol' ée par les ser vices d ~ l'Edncation n:ttiollul c c l la Rudiodiffnsion-Télévisio n fran. çui se. 4. L'impression en couleurs , Do. C' Ulll ClllS fourni s pur H eliogmphia, Luu. sa nJ\ ~ (S uisse). Em issiun élaborée par lu Rndiodiffu siOil sui sse. 19 fév ri er: B ébé· lulle. Conte vrai scllIhluhlc vour les « p ctits :t pUl· Oncle Ma tuir.e . 26 fé,trier: ÙI 1I1-L1sicJue me pClr/C ( Ill). E mi ss ion·co ncours pal' M. Roger Vuutaz, 3, Fe!>r, : Musik fremder Volker. Or, Ernst Schlage ,', BaseJ. 5, FeJJl'. : Rolf. der Hinlersllsse. und am 7, Fehl', / 12. Fein',: Rolf sellaI/t's. Zwc Î .IJül"sl'iel e von Han s lludolf Huhl e.·, Bern . 6. Febr . / 14, FeIn·.: c1II er lVii1Ul es bit_zeli luschtig si. wiind Liedli, IViirsli ghore, .) Eine U nt er stufellsentlung von l }uul Wi n· klel', Zlideh, 10. Febr./19, Ft'.h.'. : Del' lIeilige Beuil/S, Ei ne K IUltate ([i .. Solostimm e, Char und 01'. ehestcl'; Text von Bugo von B er gen, Be lp; Musik \'on Hans Siud er, M uri. .1.1. F eb .. , / 21, FeI)l".: Tiere im E:rameu , Prof. DI'. H ci ni H ediger, Direktor d es ziirch cri scllen zooJogischell Ga ,·tCI1R. 13, Feh ,·, / 17. Fein. : Waterloo. Cha d es Pan', O",fol"(l,

VINS DU VALAIS

MARTIGNY-VILLE 233-


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