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Bulletin mensuel du personnel enseignant du Valais romand
Janvier 1984 XXVllle année
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No
L'ÉCOLE VALAISAN N E
paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.
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M. Jean-François Lovey.
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Le 25 de chaque mois. (Documents photographiques en noir et blanc).
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Sommaire
ÉDITORIAL Jean-François Lovey ÉDUCATION ET SOCIÉTÉ Jocelyne Gagliardi Police cantonale Franz Auf der Maur Pierre Pradervand Anna T. Veuthey Marguerite Stœckli ASA Unicef
ACTUALITÉ PÉDAGOGIQUE AVE Pierre Taramarcaz Chantal Fumeaux-Rausis EV Jean-François Lovey P.Oemont RTVE VIE CORPORATIVE Jean-François Lovey SPVal AEPSVR ACM / SPVal
NOUVELLES ACQUISITIONS OOIS CFPS INFORMATIONS GÉNÉRALES Helvetas OOIS EV
La cité lassitude
«II est faux de dire.: je suis né. Faux de dire: je mourrai un jour. Seul convient de dire: je brûle. Ou mieux encore: de cela qui brûle, je suis le feu». *
La cité lassitude
La nécessité d'une bonne information .... . ............ La prévention routière au service de la jeunesse valaisanne Bouleversement climatique par l'homme ............... Un viol légal . . . ............. . ............ . . . .. . ..... L'homme quotidien .. . ... . .... . .... .. ...... . . . .. . '. . . . . Progression constante de l'activité médico-sociale en Valais .......... . ........................... . .......... Action: une journée de vacances pour un handicapé. . . . La situation des enfants dans le monde . . . . . . . . . . . . . . . . La récession et les enfants . ....... .. ........ . . . . . ....
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ge concours littéraire à l'intention des étudiants valaisans Animateur en connaissance de l'environnement .... .. .. Français 1 P - 2P; rencontres facultatives. . . . . . . . . . . . . . . Connaissance de l'environnement; permanence ........ Des drames en blanc ... . .. . ............ . ............ Le mini-volley à l'école .... . .. . ........... . .. .. . .. . .. . Information 1984 .-. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Rencontre OIP - spvàl . .. .................. . ... .. .... Sem brancher, novembre 1983; discours de la présidente Cours de natation .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tournoi de hockey sur glace .......................... Programme d'activités 1984 ................... . ......
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Avec, dans les regards, une flamme, irradiante, solidaire, extasiée. Souvent les yeux sont éteints que l'on croise aujourd'hui. Ils sont plus enfants de la cassure que de l'espérance, plus témoins de la cendre que du défi. J'ai vu des visages las tantôt, jeunes pourtant, mais ternes déjà et j'ai cru lire sur cette fin de siècle la grande menace des horizons rétrécis, des nuages trop tôt amoncelés, une infinie tolérance pour la grisaille et l'inéluctable comme si l'avenir n'avait plus d'ourlets ni de rayons. J'ai souvenance de ma jeunesse, de tous les poèmes qui restaient alors à écrire et de ce monde dans lequel on se promettait d'entrer avec effraction, sans patience car la vie est si brève, mais avec une légitime ferveur. Il y avait un équateur à séduire. Faut-il que déjà je m'en souvienne?
Liste des récentes acquisitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bulletin d'information ........... . .. . ........... . .... . .
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Un nouveau montage audio-visuel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Catalogue en vente à Sion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exposition de photos ........... . ........ _. . . . . . . . . . . . Oidacta 1984 . . . ............. . .............. . .. . . . . . .
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Photo de couverture: Oswald Ruppen
Enseignant, dessine-nous des sourires! Fais que tes élèves puissent imaginer aussi des aurores ardentes!
Jean-François Lovey
* Pierre Emmanuel.
La nécessité d'une bonne information
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Des bistrots, au petit matin, émane une clandestine volupté qu'apprivoisent les arabesques rondes des fumées, rarôme légèrement poivré du café et surtout, les nouvelles du jour étalées sur tous les quotidiens. Escale entre la nuit et la journée, c'est le moment privilégié que seul peut troubler celui qui respecte le rite.' posséder son propre journal et ne pas dépasser, par la parole, les salutations d'usage. Ainsi, enfermés avec délectation dans une sphère bouclière, à mi-chemin entre notre propre vie et celle des autres, nous consacrons une parcelle de la journée à l'attention des fracas du monde qui nous parviennent alors comme des bruissements.' catastrophes naturelles et quelquefois artificielles - mais ces dernières ont droit à une sourdine - sport et loi, militantisme et cinéma, guerres et trèves, compterendus de congrès souvent inutiles, les nouvelles s'amalgament avec la légèreté des tableaux de Chagall.
Midi et soir, ce sont les présentateurs de la radio et de la télévision qui nous accordent la faveur des informations avec la voix aseptisée de ceux qui ont renié un monde désespérément quotidien pour poursuivre dans l'ombre leur tenace observation de destins percés, parfois de l'éclat d'un obus. Rien de nouveau sous le soleil: comme hier, une grande partie de la planéte c rèVe de faim, une autre baisse la tête sous les bombes tandis que la troisième baigne mollement dans une lénifiante opulence. La vie a de ces contrefaçons! Mais au-delà de ces bribes inconsistantes véhiculées dans les conversations quand elles présentent les avatars d'un soufflé, existe une autre information, mieux charpentée, plus détaillée et dont l'ardente intelligence, la perspicace analyse ainsi que la richesse de références font appel à toutes ces facultés volontiers mises en veilleuse: la réflexion, le
discernement, la compréhension, le jugement. Lire et écouter les dithyrambes sur l'ordinateur et croire à une nouvelle assurance-bonheur pour demain c'est évidemment faire preuve d'optimisme, mais fouiner du côté des papes du computer et les entendre développer pourquoi et comment apparaît un nouveau mal scolaire, l'analphabétisme informatique, c'est témoigner peut-être de lucidité. De même on sait que la vie en Russie est intolérable à des données telles que la queue devant les magasins pour le moindre morceau de pain, l'absence de libre opinion, la non-accession à la propriété privée, mais il est infiniment plus important de comprendre comment se fabrique ce Russe nouveau, indigne d'un Dostoïevski ou d'un Soljenitsine et dont Zinoviev dit qu'il est «un mannequin sans volonté, ignorant, xénophobe, passif et finalement presque satisfait ou, du 5
moins, ignorant que la vie puisse être différente de ce qu 'il connaît ». L'exemple suivant démontre bien de quelle dangereuse manière une certaine presse stéréotypée peut s'emparer de l'esprit de ses lecteurs: dans une récente interview, on demandait à Hersant, le grand manitou de la presse française, si cela ne le gênait pas de «matraquer ». Il a eu l'innocente hardiesse de répondre: le journalisme c'est aussi «convaincre ». Il ignore sûrement, Monsieur Hersant, que des convictions peuvent naître sans passer sous le joug du matraquage : la lecture d'articles de fond, de par l'effort de réflexion qu'elle exige , nous permet de comprendre certains mécanismes , d'établir des relations, de garder les faits en mémoire, de nous faire RÉAGIR . Et c'est le fait de réagir qui va nous pousser à nous impliquer, à participer, à AGIR dans ce qui est à notre portée.
Des écrits, dans le domaine artistique , littéraire ou philosophique , ont le fabuleux pouvoir de provoquer une soif de connaissances nouvelles : il n'est pas possible de lire l'article de Milan Kundera sur les thèmes existentiels à travers quatre siècles de roman, sans avoir envie de se précipiter sur Cervantès, Thomas Mann ou Hermann Broch . De même lorsque Georges Duby, analysant la rosace du transept de Notre-Dame-deParis, fait un lien entre la rose, la roue, la rotation centrifuge qui répand le souffle divin, il nous met en appétance de savoir décrypter ces formes qui avaient pour mission d'expliquer les Saintes Ecritures aux illettrés. Par là, d'ailleurs se trouve infirmée la phrase de Victor Hugo dans Notre-Dame-de-Paris: «Ceci tuera cela» (le livre tuera l'architecture), puisque l'écriture, dans le cas présent, renvoie à l'architecture.
Voilà, on peut se donner l'im. pression de connaître le mon. de en lisant des banalités mais on peut aussi se servir de la richesse des informations, de l'intelligence de certains jour. nalistes pour nous construire «cette colonne vertébrale droi. te et ce cerveau souple» don! Michel Foucault dit qu'ils SOn! les caractéristiques d'un intel. lectuel. Moi je dirai d'un être humain, tout simplement. Jocelyne Gagliardi
La prévention routière de la police cantonale valaisanne au service de la jeunesse Chaque année dans notre canton une dizaine d'enfants perde~t la vie dans un accident de circulation. Des centaines d'autres sont blessés et l'on ne compte pas ceux qui en sont quittes pour la peur. Les accidents ne se produisent pas tout simplement; ils ont des causes et sont le plus souvent la conséquence d'erreurs de comportement qui peuvent être évitées.
Photo Claude Vouilloz
Consciente de cette situation et soucieuse de protéger notre jeunesse, la police cantonale valaisanne veut accentuer ses efforts dans le domaine de la prévention des accidents. L'expérience faite au cou rs des dernières années, nous montre que seul un travail persévérant d'éducation routière peut aboutir, à la longue, à un résultat positif. Cette éducation doit s'adresser principalement à la jeunesse scolaire, là où les perspectives de succès sont sans doute les meilleures, puisqu'il s'agit de former la nouvelle génération, compréhensive et ouverte aux problèmes de la circulation moderne. En étroite collaboration avec les polices municipales, les agents affectés à cet enseignement concentrent aujourd'hui leurs efforts au niveau des classes enfantines et primaires. Des leçons appropriées sont dispensées à tous les degrés. Pour actualiser leurs exposés, les moniteurs d'éducation routière disposent d'un matériel didactique diversifié. Cette formation théorique est très souvent complétée par des exercices pratiques.
Pour la période scolaire 1982 1983, les agents des polices municipales et cantonale ont visité 1034 classes sur les 1183 que comptait le canton. Des 27 200 enfants provenant des classes enfantines et primaires, 24 552, soit le 90,26 % ont reçu une leçon d'éducation routière d'environ 1 heure .
L'analyse de ces chiffres nous montre qu'un effort supplémentaire doit être accompli dans ce domaine. Les responsables de la prévention routière de la police cantonale souhaitent visiter toutes les classes du canton pendant la période scolaire 1983 - 1984.
Bouleversement climatique par l'homme Notre planète piégée par l' effet de serre du gaz carbon ique
Une tâche si lourde de responsabilités ne peut. se réaliser que par une collaboration étroite entre les différents partenaires . La police cantonale valaisanne entend donc poursuivre et renforcer encore cette fructueuse collaboration avec le Département de l'instruction publique, les inspecteurs scolaires, le personnel enseignant, les pa. rents, les diverses associations de prévention routière ainsi que les polices municipales. Ainsi pourra être atteint le but visé, soit la diminution du nombre d'accidents sur nos routes et dans les agglomérations dont, trop souvent, les enfants sont les victimes.
La prévention routière de la police cantonale
Commission nationale suisse pour l'UNESCO Société helvétique des sciences naturelles
Faisons-nous une serre de notre planète
Le dépérissement de la forêt est sans aucun doute pour nous autres Suisses le problème d'environnement le plus préoccupant. Mais il est un autre danger à l'arrière-plan qui menace à longue échéance toute la population terrestre : une catastrophe climatique mondiale, déclenchée par le dioxyde de carbone libéré au cours de la combustion. Ce gaz, invisible et non toxique, sort de tous les pots d'échappement de voiture et de toutes les cheminées; il s'accumule dans l'atmosphère et a pour effet d'emprisonner une partie de l'énergie solaire émise . Il en résulte une augmentation de la température et, par voie de Conséquence, un bouleversement général des conditions .climatiques.
On sait depuis longtemps comment le dioxyde de carbone agit dans l'atmosphère; il laisse les rayons solaires à ondes courtes parvenir assez peu affaiblis jusqu 'à la surface de la terre, mais retient la part des rayons à ondes longues que la terre renvoie. De ce fait, notre atmosphère se réchauffe d'autant plus fortement qu'elle contient davantage de dioxyde de carbone. C'est pourquoi les spécialistes de la recherche climatique parlent d'un effet de serre. Chaque fois que nous brûlons un litre d'essence ou de mazout, nous libérons trois kilos de dioxyde de carbone. La quantité annuelle de dioxyde produite par la population mondiale a passé de 0,5 milliard de tonnes en 1860 à au moins 20 milliards de tonnes aujourd'hui. En quelques décennies, nous brûlons les réserves d'énergie que la
nature a mis des millions d'années à accumuler, au détriment de notre environnement. Les faibles traces de soufre et d'azote qu'on trouve dans le pétrole sont la cause de la «pluie acide» et du dépérissement de la forêt - et la part incomparablement plus grande de dioxyde de carbone qui se forme lors de la combustion nous mène à une catastrophe climatique redoutée des savants. L'air se réchauffe -
et alors?
L'information selon laquelle l'effet de serre du dioxyde de carbone réchauffe la terre ne nous inquiète guère , nous autres habitants du centre de l'Europe. La chaleur nous plaît par principe: nous aimons l'été, le soleil, le Sud. Une plage avec des palmiers sur les bords du Léman? Merveilleux, non! Mais ily a un cheveu.
Sans parler du préjudice qu'on Secrétariat peut en attendre pour les de la Commission nationale sports d'hiver -la Suisse n'est suisse pour l'UNESCO pas une île et un réchauffe- Eigerstrasse 71 3003 BERNE. ment universel de l'atmosphère amènerait plus de boulever- Un long « chemin de freinage» sements que le programme de Le parallélisme entre le problèculture de jardiniers amateurs. . me de l'effet de serre du dioxyEn effet, le fonctionnement de de de carbone et celui du déla «machine météorologique» périssement de la forêt qui mondiale dépend de la réparti- échauffe actuellement les estion de la température dans prits est surprenant: dans les l'atmosphère. Un léger ré- deux cas, la cause est avant chauffement suffirait déjà à tout l'usage immodéré des bouleverser tout l'équilibre des combustibles fossiles et dans précipitations. Des régions fer- les deux cas, il se passe un tiles pourraient devenir des dé- certain temps avant que les serts, tandis qu'ailleurs des dommages ne se manifestent pays de cultures seraient presque d'un coup. «Quand la noyés par un vrai déluge. La patience de la nature est épuiceinture céréalière de l'Améri- sée, elle répond par des catasque du nord paraît particulière- trophes», écrivait le romancier ment menacée, de l'avis des américain Jack London il y a spécialistes: si, là où il y a 80 ans. La citation ne pourrait aujourd'hui des céréales en être plus actuelle. excédent permettant de nourrir des millions d'êtres humains, En ce qui concerne nos forêts, la pluie cessait de tomber, on le point critique est manifesteenregistrerait des famines ment atteint, voire dépassé d'une ampleur inconnue jus- combien s'écoulera-t-il encore qu'à présent. Des ébranle- de temps jusqu'à ce que le ments politiques graves en se- climat «bascule»? L'augmenraient inévitablement la consé- tation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère peut se mequence. surer. Elle est alarmante: au. Pourquoi l'UNESCO jourd'hui, la teneur en dioxyde s'occupe-t-elle du climat? En tant qu'organisation spécia- de carbone atteint un bon seple de l'ONU pour l'éducation, la tième de plus qu'au début de science et la culture, l'UNES- l'ère industrielle il y a 120 ans. CO, dont la Suisse est mem- Et cette augmentation va s'acbre, s'occupe aussi des réper- célérant. Elle est encore accussions que peuvent avoir centuée par le déboisement les changements climatiques croissant des forêts tropicales, mondiaux. Le problème de l'ef- en particulier. En brûlant cette fet de serre est certes connu riche végétation, on produit des savants, mais le grand pu- également du dioxyde de carblic n'en a pas encore cons- bone; d'autre part, le déboise' cience. C'est pourquoi la sec- ment active la destruction du tion sciences exactes et natu- sol, ce qui a aussi des réperrelles de la Commission natio- cussions négatives sur le clinale suisse pour l'UNESCO a mat. Ce qui est particulièreélaboré une brochure à la por- ment sournois, c'est le «long tée de tous; la Société helvéti- chemin de freinage» : jusqu'à que des sciences naturelles en ce que les contre-mesures est coéditrice. Cette brochure limitations de la consommation de 30 pages s'intitule « Boule- de carburant, protection des portent climatique par forêts tropicales versement l'homme» et peut être obtenue leurs fruits, l'effet de serre gratuitement (les écoles et les pourrait prendre une telle amorganisations peuvent en re- pleur que les modifications clicevoir un certain nombre matiques seraient inévitables. Si rien ne se fait (et on ne peut d'e~emplaires) auprès du 10
attendre ici de miracles), les températures à la surface de la terre augmenteront en moYen~ ne de 2 à 3 degrés d'ici l'an deux mille. Que pouvons-nous faire?
De tels changements dans un laps de temps aussi court SOnt révolutionnaires quand on Son. ge à la lente évolution de la géologie. Avec d'autres pro. blèmes humains tels que la surpopulation et la pollution, la situation pourrait aussi devenir très inconfortable pour les Etats industriels en particulier. Les régions polaires sont me. nacées par un grand danger: on estime q~'en raison de l'air sec, le réchauffement dû à l'ef· fet de serre y serait de 8 de· grés. Ce qui en résultera saute aux yeux: de volumineuses masses de glace fondront, le niveau des océans s'élèvera de quelques mètres et ils sub· mergeront toutes les régions côtières - précisément les zoo nes les plus fertiles et les plus peuplées de la terre! Que peut-on faire contre cette me· nace de catastrophe climati· que? Les recettes sont éviden· tes, mais difficiles à appliquer: «économiser l'énergie et remplacer autant que possible les combustibles fossiles par d'autres sources d'énergie; en même temps, mettre un terme au déboisement massif des régions tropicales en particulier», conseille la brochure de l'UNESCO. A ce propos, on cite le professeur Hans Oeschger, de l'Institut de physique de l'Université de Berne, spécialiste de la climatologie (<< L'humanité reste-t-elle myope»): «On ne voit pas encore aujourd'hui notre action s'orienter en fonction d'une planification à long terme. Jusqu'ici, la société, n'a jamais réagi aux crises qu'au moment où elles sont devenues evidentes. Mais dans le cas du réchauffement causé par le dioxyde de carb~ ne, il est nécessaire d'agir avant que la crise ne s'amorce». Franz Auf der Maur
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Un viol légal Revue du livre CONSOMMATEURS... SI VOUS SAVIEZ, de Jean-Claude Allanic, Alain Moreau, Paris, 1982
Jean-Claude Allanic
consommateurs... si vous saviez ~~ (:~ /' (
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Dans les années soixante, à la fin de mes études, j'ai fait des publi-reportages pour une des plus grandes chaÎnes de supermarchés suisses. Dans un des cantons, le responsable de la formation des apprentis-vendeurs, un ancien professeur de sciences naturelles, me remit le cours qu'il donnait aux jeunes qu'il était chargé de former. Je n'en crus pas mes yeux: tout un chapitre était intitulé «L'exploitation des sept péchés capitaux» et décrivait, sans détours, la meilleure façon d 'utiliser l'orgueil, la paresse, l'avarice, la luxure, etc. pour vendre autant que possible.
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Le cours décrivait le «supermarché idéal» où le consommateur serait «totalement conditionné» de l'entrée à la sortie, de sorte qu'on réussirait à lui vendre ce qu'on voulait en fonction ... de son bonheur? de ses besoins réels? Vous n'y êtes pas: en fonction des arrivages des marchandises! Ces mêmes jeunes, le dimanche, s'entendaient dire la nécessité absolue de lutter contre ces sept vices. Et il se trouve encore des gens, chez nous, pour se demander pourquoi la plupart des jeunes d'aujourd'hui sont si désorientés! Rassurez-vous, on a fait de grands progrès dans la manipulation du consommateur depuis les années soixante, comme nous le montre le passionnant ouvrage de Jean-Claude Allanic qui pourrait aussi s'intituler «Tout ce que vous devriez savoir sur la manipulation du consommateur et qu'on n'a pas osé (voulu) vous dire». Spécialiste des problèmes de consommation de la rédaction d'Antenne 2, l'auteur est un des responsables de l'émission «C'est la vie».
Son livre se lit d'un trait, comme un bon policier, avec cette différence que le lecteur réalise qu'il est la victime ... qui doil se transformer en son propre détective. Si vous aviez gardé encore quelques illusions sur la nature du système économique qui engendre les traquenards de vente, les aliments trafiqués, les produits dangereux décrits ici, vous les aurez certainement perdues avanl d'arriver à la fin de l'ouvrage. Un premier chapitre «Les supercheries d'un supermarché» vous révèlent comment, dans les grandes surfaces, tout est étudié scientifiquement pour nous vendre envers et contre notre gré. Absolument rien n'est laissé au hasard. «En fonction de nos habitudes. el de nos réflexes, l'implantation de chaque rayon a été minutieusement étudiée. Ainsi, puisque nous sommes t?US automobilistes... les entrees doivent se situer à droite el tout est organisé dans les rayons en fonction de notre conduite sur la route ». On a mesuré dans des supermarchés les battements des paupières des femmes à l'aide
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de cam éras cachées . Alors que ce dernier est normalement de 30 batte~ents par minute, il descend a 20 pendant les ach ats. Vingt battements minute , c'est le premier stade de l'hypnose. L'ouïe a bien sûr un rôle important. Une revue commerciale spécialisée citée par Allanic remarque qu'une bonne sonorisation « permet de "téléguider" (sic) la clientèle à l'intérieur des rayons ». Plus scandaleuse est l'utilisation d'ultrasons, contre lesquels le consommateur moyen est sans défense. «Le but est ici carrément de créer un état hypnotique», écrit Allanic, qui cite Edouard Leclerc qui disait qu'avec ce système le consommateur «se sent bien , très bien. Il achète tout. On l'opère sans douleur» . C'est le pape des grandes surfaces américaines, Bernard Trujillo, qui rappelle «Faites du cirque en permanence: plus le consommateur est gai et l'esprit léger, plus le porte-feuille s'ouvre rapidement» . L'emplacement d'un produit est fondamental: les ventes d'une conserve déplacée du haut vers le bas chutent de 40 %, mais «remontée» vers le haut, la même conserve retrouve la faveur de la clientèle et sa vente peut augmenter de 70 %. D'où l'importance des emballages, vu que le consommateur qui circule dans un rayonnage de grande surface reçoit entre 60 et 70 sollicitations visuelles par seconde. Ainsi on n'est pas surpris (mais espérons que vous serez quand même un tout petit peu choqués) d'apprendre qu'aux Etats-Unis, pour un quart des produits alimentaires vendus, le coût de l'emballage est supérieure à la valeur de l'aliment e.mballé (ce dernier chiffre proVient d'une autre source). Allanic conclut le chapitre par des suggestions pratiques, à laquelle nous ajouterions celle de ne pas «bondir» sur un produit quand vous voyez la
mention «Action»: il arrive que certains commerçants augmentent le prix du produit. .. et nombre de consommateurs tombent dans le panneau. Un deuxième chapitre traite de l'électroménager et de l'ameublement. Nous n'en parlerons pas ici, si ce n'est pour rapporter ce que nous disait un membre de la Commission fédérale sur les cartels, à savoir que les fabriquants européens de l'électroménager finançaient leurs campagnes publicitaires en Europe grâce aux prix surfaits auxquels les Suisses étaient prêts à payer leurs produits. Le chapitre intitulé «Le Festin empoisonné» traite entre autres de la manipulation chimique dont est l'objet notre alimentation. Ce sujet préoccupe, et avec raison, le consommateur d'aujourd'hui, tant sont innombrables les produits chimiques dont sont truffés nos aliments. La plupart n'ont jamais fait l'objet d'études sur leur impact à long terme . Des additifs autorisés dans certains pays sont formellement interdits dans d'autres. Le professeur Jean-Claude Etter, pharmacologue à la Faculté de Médecine de Lausanne, disait que «dans la science, la vérité d'aujourd'hui est l'erreur de demain ». Un consommateur intelligent en conclut nécessairement qu'il importe d'éviter de plus en plus l'alimentation industrielle. Allanic montre aussi dans ce chapitre comment les fabriquants trompent sciemment le consommateur en jonglant sur les pourcentages de matières grasses, et donne de nombreux exemples de l'abus d'utilisation du sucre. (En France, l'industrie pharmaceutique utilise 35 000 000 de kg de sucre par an uniquement pour «sucrer» les médicaments, et on trouve des .. . pâtes dentifrices contenant du sucre - qui, rappelons-le, est, sous sa forme raffinée, une drogue au même titre que l'alcool ou le tabac).
«Dans une étude publiée par 50 millions de consommateurs, l'enquêtrice, Josette Barbiéri, donne un exemple qui ne manque pas de sel à propos des potages au poulet Knorr. Dans un premier temps, Knorr vendait une crème de volaille veloutée (l'emballage représentait une cuisse de poulet). Comme il faut bien, pour conquérir le marché des consommateurs, faire preuve d'imagination, Knorr décidait de lancer une deuxième version de ce potage. Sans doute pour faire plus riche ce potage était baptisé «double poule» (cette fois-ci, c'est un ,poulet entier qui figurait sur le sachet). Or, à l'analyse en laboratoire, on s'aperçut que le premier sachet contenait 7 ,5 % de viande de poulet alors que le «double poule» n'en comportait plus que .. . 2,1 %. Pour compenser, le fabricant avait forcé sur le renforçateur de goût, en l'occurence du glutamate.» Un tableau des colorants autorisés conclut le chapitre. Petite notice pour les institutrices: les bonbons Smarties adorés de nos enfants contiennent les colorants E 104, E110, E124, E127, E141, E 142, E 161 dont trois sont susceptibles de produire des allergies. La place nous manque pour même effleurer les autres chapitres de ce passionnant ouvrage: celui sur les produits dangereux, où on apprend qu'en France, chaque année, 5000 consommateurs sont tués et 250 000 autres blessés à la suite de la mauvaise utilisation ou de la déficience d'un appareil ou d'un produit de consommation d'usage courant; où il est question des médicaments qui tuent, et notamment le fameux clioquinol vendu entre autres par CibaGeigy, et dont la nocivité prouvée a fait selon Allanic plus de 1000 morts et 30 000 grands invalides. Notons aussi en passant que nombre de
médicaments dangereux retirés de la vente en Occident continuent à être vendus sans ordonnance dans le Tiers Monde. D'autres chapitres traitent des problèmes automobiles et de la publicité mensongère ou à la limite du mensonge. Que dire en effet de cette publicité faite il y a quelques années par Nestlé en Côte d'Ivoire et qui affirmait que le «Nescafé rend les hommes plus forts, les femmes plus joyeuses et les enfants plus intelligents ». Un dernier chapitre soulève le problème fondamental de la défense et de l'organisation des consommateurs. L'organisation des consommateurs est sans doute le seul moyen d'arriver à limiter, et un jour supprimer les abus effarants qui s'égrènent au fil des pages du livre d'Allanic. Mais pour organiser il faut d'abord informer. L'école a ici un rôle fondamental à jouer. Or le Plan d'études pour les classes de 5e - 6 e de la Suisse romande, dans le cadre de la connaissance de l'environnement,
contient une section sur les centres commerciaux qui est une occasion idéale pour aborder en classe les problèmes soulevés par Allanic. Dans cette optique le numéro de l'Educateur de décembre 1982 (pages 25 - 26) contient d'excellentes suggestions pratiques tournant autour du thème consommation / publicité dont un enseignant averti saura tirer grand profit. Le livre de Jean-Claude Allanic soulève des problèmes fondamentaux: comment une société qui se prétend libérale et grand défenseur des droits de l'homme peut-elle autoriser de telles manipulations qui vident ses beaux discours de toute substance? Pourquoi acceptons-nous de nous laisser manipuler? Et avant tout, quelle est cette société du désir exacerbé que nous encourageon~ ne serait-ce qu'en ne faisant rien activement pour la modifier? Une ex-présidente de la Fédération des femmes voltaïques, enseignante dans son pays, me disait que si un paysan de son village voyait un de nos
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supermarchés, la variété et l'ampleur de l'offre le rendrait fou.
L'homme quotidien
De plus en plus , je me deman_ de si les fous, ce ne sont Pas nous, qui acceptons d'être les zombies d'un système qui, au niveau économique, ne semble pas avoir d'autre finalité dans les faits (faisons abstrac_ tion des beaux discours du premier août) que consommer ' «Oh, là, là, Madame! Vous toujours consommer. Proust ~ noUS parlez ordre; vous nous merveilleusement décrit cette parlez désordre; vous nous société en une formule lapidaiparlez attention; vous nous re, «Plus le désir avance, plus parlez compréhension! A vous la possession véritable s'éloiécouter, nous deviendrions gne». tauS fous! Croyez-vous que Vivre autrement, plus simplenous disposions de temps ment. C'est possible, même pour un tel programme? Nous dans notre société. Et à ceux avons, Madame, d'autres proqui prétendent que l'immensité grammes autrement impordes problèmes les dépasse tants et déjà bien chargés!» nous rappellerons la phrase d~ Eh, oui, je le sais. C'est la raiphilosophe anglais Burke, le· son pour laquelle je trouve le quel disait, «Nul ne commit de mien d'autant plus important, plus grande erreur que celui car permettant de suivre et apqui ne fit rien en prétextant qu'il pliquer les autres de manières en pouvait faire qu'un petit beaucoup plus satisfaisante peu». car beaucoup plus humanisanPierre Pradervand te. Non, Mesdames et Messieurs! Photo Oswald Ruppen Il ne s'agit pas de devenir fous, bien au contraire! Il s'agit de devenir de plus en plus vrais, de plus en plus conscients, de plus en plus nous-mêmes. De nous sentir toujours plus à l'aise avec nos jeunes, avec nos élèves et ... avec tous les autres car toujours plus conformes à ce que nous sommes vraiment, à ce que nous sommes intérieurement, au lieu de chercher à nous éreinter à donner une image différente de la réalité. !I s'agit aussi d'accepter les Jeunes tels qu'ils sont afin de faire, avec eux, tels qu'ils sont et... tels que nous sommes, un petit bout sur le chemin de la vie, et par là même quelques progrès adaptés aux situations telles qu'elles se présentent et non nous user à vouloir obtenir des résultats conformes à ceux décidés un jour dans nos petites têtes, d'après nos pro-
pres idées mais peu adaptés aux besoins réels des jeunes tels que nous les indiquent les diverses situations dans lesquelles, avec eux nous nous trouvons. Si nous apprenons à avoir une vue d'ensemble de notre classe selon les modalités d'après lesquelles elle s'offre à nous au cours de l'année, avec ses lu':' mières et ses ombres, nous apprendrons, au fil des situations, à dégager plus de lumière et à avancer dans la concertation au fil des semaines.
en eux. De cette manière, ils .ne pourront guère apprendre à devenir des hommes. Tandis que là où se pratiquent l'attention, la comprèhension, l'amitié naît aussi, et grandit l'intérêt pour les. hommes, pour le monde, pour les choses. Les cœurs s'ouvrent et des cœurs qui s'ouvrent dé,sirent toujours plus savoir, découvrir, et ils s'émerveillent. Ils découvrent à l'aide de leur professeur qui montre, dévoile, stimule. Ils découvrent à travers les questions et les apports des autres, et de cette manière ils enrichissent et leurs intellects et leurs cœurs.
Si nous nous trouvons face à un genre de classe et que notre objectif, clairement défini pour l'année, soit de parvenir à En ce qui pénètre dans les un résultat précis, nous risintellects à l'aide et du cœur et quons bien de garder les yeux de l'intellect y demeure . Augfixés sur lui au lieu de discer- mente ainsi le désir de savoir. ner les chances de progrès qui D'un savoir qui enrichit toute la s'offrent aussi à nous à chaque personne. instant précis d'une situation Les enseignants parvenant à «donnée»... Ainsi, tendus vers ce type de relation n'éprouvent notre objectif le plus louable, guère une impression de perte nous demeurerons isolés par lui , de temps lorsqu'ils en consaet fermés aux réalités telles crent à faire connaissance qu'elles se présentent. avec leurs élèves, à découvrir De telles fermetures ne favori- en eux-mêmes leurs propres sent ni le contact, ni le dialo- difficultés, les aspects de leur gue, ni les progrès réels en sensibilité qui restent à revoir, à consolider. éducation. Puisque nous enseignons, nos élèves finiront, certes, par emmagasiner des connaissances. Ils ne développeront, hélas, aucun goût, pour l'étude, aucun amour pour les choses, le monde, pour le savoir et les découvertes merveilleuses qu'il permet. Aucune capacité de dialogue, de réflexion réelle, profonde ne pourra croître
Même si nombre de découvertes peuvent leur paraître douloureuses, ils savent bien que chacune leur est offerte comme occasion de progrès et que ce progrès améliorera encore leur ouverture, leur disponibilité face à la classe et que tout le travail en bénéficiera. Non, ils ne deviennent pas fous! Ils deviennent de plus en plus eux-mêmes, de plus en
Progression constante de l'activité médico-sociale en Valais Situation actuelle L'ann ée 1983 a été marquée par une extension réjouissante de l'activité extrahospitalière dans notre canton. En effet, de 109 communes reconnues par le gouvernement dans le domaine médico-social au 1er janvier 1983, le Valais en comptait 134 à fin 1983. Les 29 communes non encore homologuées par le Conseil d'Etat, devront l'être au 1er janvier 1985, conformément à la législation canto nale en vigueur. Actuellement, les centres médico-sociaux sont ainsi répartis dans le canton:
Activités médico-sociales Est-il nécessaire de rappeler ici ce que recouvre le concept «médico-social»? D'aucuns diront qu'il s'agit tout simplement des soins à domicile exécutés par du personnel infirmier de bonne volonté, plus ou moins qualifié, bénévole ou non; d'autres y voient au contraire une organisation plus précise exigeant l'intervention de professionnels qualifiés.
Centres médico-sociaux Régionaux
Haut-Valais Valais central Bas-Valais
Subrégionaux
Locaux
2
5
-
1 1
3
2
5
-
4
13
2
Total
7 6 6 19
Géographiquement, ces centres englobent les territoires mar-qués dans le tableau ci-après: Développement de l'activité médico-sociale en Valais
Photo Oswald Ruppen
plus conscients, de plus en plus proches de ceux qui leur sont confiés. Les comprenant mieux, ils leur parlent mieux, leur répondent mieux, les conseillent mieux. Et découvrent, à nouveau et de manière positive, leurs lacunes, leurs besoins, leurs difficultés de compréhension. Au lieu d'ensemencer un terrain si souvent et peu et mal préparé, ils en repèrent les forces, les carences, les difficultés et savent, par expérience, de mieux en mieux leur porter remède. Tandis que les autres déclarant: «cela devrait être ainsi», «ils devraient savoir cela», «il faut... », continuent à ensemen-
cer un terrain inapte à faire germer le grain . Car, au lieu de parler à une réalité, ils parlent à ce qu'ils voudraient qui soit et qui n'est pas... C'est la raison principale de tant et tant d'échecs, de tant et tant de dégoûts. De si peu de goût, de si peu d'intérêt pour tant de richesses qu'offre le monde. Tant de folies, tant de drogue, tant de paumés, tant de ratés , tant d'apathiques, tant de dégoûtés ... Non! Attention, compréhension, amour, même si difficiles à réaliser ne conduisent pas à la folie: bien au contraire !...
Situation au 1er janvier 1984
Ce sont les fautes d'attention, de compréhension, d'amour qui avortent tant et tant de vies ... Nombre d'écoles... scientifiques, nombre de lois ... scientifiques, nombre de théories ... scientifiques entretiennent nombre d'aberrations. Elles oublient simplement que l'homme issu de l'amour est fait pour l'amour, pour créer de l'amour et que toute pensée, tout acte contraires à cet amour retardent d'autant et souvent tragiquement la loi essentielle d'humanisation de no' tre monde.
Anna T. Veuthey
III
~:rn~~e~:;~:f~;~f~iaux
~
Centres médico-sociaux en constitution
o
Régions
a constituer
reconnus
A plusieurs reprises il a été question , dans ces colonnes, de la structuration médico-sociale valaisanne. Sans vouloir lasser les lectrices et les lecteurs de l'Ecole valaisanne, nous voudrions brièvement rappeler l'essence de l'activité médico-sociale telle que conçue pour notre canton. Des équipes pluridisciplinaires qualifiées (infirmières spécialisées en santé publique, aides familiales et assistants sociaux diplômés) assurent à la population des différentes régions du Valais les services ci-dessous au niveau de la prévention primaire, secondaire et tertiaire: - consultation pour nourissons, du nouveau-né à l'âge de 12 mois (avec le concours de pédiatres dans certaines parties du canton); - consultations à l'âge préscolaire englobant les enfants âgés de 1 à 4 ans; - contrôles médico-scolaires pour les élèves de 4 à 16 ans, assurés par les médecins et les infirmières scolaires' - pré'sence auprès d'enfants en leur prodiguant les soins infirmiers nécessaires; - aide et soins dispensés tant au domicile des patients que dans les locaux des centres médico-sociaux, en étroite collaboration avec le corps médical, les hôpitaux et les nombreuses institutions spécialisées; - encadrement des personnes isolées, âgées, handicapées, en vue de favoriser leur indépendance; - prise de mesures éducatives (éducation à la santé des adultes) et préventives à tous âges en vue d'assurer une meilleure qualité de vie; - conseils accueil, aide en cas de problèmes d'ordre personnel, familial, économique ou autres; - démarches sociales, administratives, etc.
Perspectives
En une phase ultérieure, c'està-dire dès que toutes les communes du canton auront adhéré à un centre médico-social , les efforts seront redoublés en vue de la consolidation des équipes sur le terrain et une meilleure qualification du personnel paramédical. Des carences sont, en effet, constatées dans le nombre et la for-
mation des infirmières qUalifiées en santé publique, notamment dans le Haut-Valais (qui en est quasiment déPour_ vu), où manquent également des aides fam iliales diplô_ mées. Service cantonal de la santé pUblique Section médico- sociale et paramédicale Marguerite Stœckli
Association suisse d'aide aux handicapés mentaux Section Valais , case postale 206 1952 Sion
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Action: /,1r(\~ une journée de vacances pour un hand icapé
Fin octobre, l'ASA Valais lançait un appel de fonds par la distribution de bulletins verts dans tous les ménages du Valais romand.
Sans être tout rose (il nous manque encore quelques dizaines de milliers de francs), il s'annonce bien.
Il s'agit pour nous de récolter de l'argent pour pouvoir offrir aux handicapés mentaux et physiques un lieu de loisirs à la fois sympathique et d'un prix abordable pour tous. Quelques centaines de versements nous sont parvenus totalisant un montant de 16000 francs en chiffre rond.
Les diverses commissions s'activent : un responsable de maison sera engagé ces prochains jours.
A ceci viennent s'ajouter un don important de la Loterie romande ainsi que divers dons de grandes entreprises telles Nestlé, Ciba-Geigy, Giovanola et des subventions des pouvoirs publics. Dans l'impossibilité de pouvoir remercier chacun en particulier, nous prions tous ceux qui ont participé à cette action de trouver ici l'expression de notre gratitude. Et alors? L'avenir?
La construction avance malgré quelques surprises d'ordre technique: nous pensons ouvrir début 1984.
Les demandes commencent à nous parvenir : les mois de juillet et août sont déjà réservés par l'Association des parents de handicapés mentaux. Il vous est encore loisible d'apporter votre contribution en versant un don au CCP 19 - 1190 de Assoèiation suisse d'aide aux handicapés mentaux Section Valais «Chalet Verc'o rin» Sion. Merci de tout cœur à to.us . T Colla rd, secrétaire G. Lamon, président
UNICEF Fonds des Nations Unies pour l'enfance
La situation des enfants dans le monde 1984 Une révolution au profit des enfants Au cours des derniers douze mois, l'équivalent de la totalité. du nombre d 'enfants de moins de cinq ans vivant aux Etats-Unis a été réduite à néant. A l'échelle européenne, nous informe le rapport pour 1984 de l'UNICEF, intitulé «La situation des enfa~ts dans le monde», ce nombre équivaut à tous les enfants de mOins de cinq ans vivant en Espagne, en France, en Grande-Bretagne, en Italie et en République fédérale d'Allemagne. Après ce sombre rappel des faits, le rapport «La situation des enfan ts dans le monde» nouS apporte des nouvelles plus optimistes . S'appuyant sur des exe mples provenant de vingt différents pays, il nous Photo Michel Eggs
documente au sujet de quatre approches nouvelles d'un coût modéré qui, selon ses dires, pourraient engendrer une «révolution au profit des enfants» et sauver la vie de la moitié de ceux qui meurent aujourd'hui .
Des villages du Guatémala, du Honduras , de l'Egypte, de l'Inde et du Bangladesh ont réduit le nombre des décès d'enfants de moitié grâce à une technique très simple: la thérapeutique de réhydratation par voie orale. La maladie meurtrière la plus terrible qui frappe les enfants de nos jours est la déshydratation provoquée par une simple diarrhée qui ne pouvait être traitée jusqu'ici que par thérapie intraveineuse . Désormais, cette déshydratation peut être prévenue et guérie grâce à une solution de sel, de sucre et d'eau administrée à l'enfant par ses parents . Selon l'UNICEF, la plupart des cinq millions de décès d'enfants constatés chaque année pourraient être évités si toutes les mères savaient comment et à quel moment utiliser cette méthode de réhydratation, qui a été décrite par The Lancet, la plus prestigieuse revue médicale britannique, comme étant «potentiellement le progrès
médical le plus important du siècle». Au moins 34 pays se sont déjà lancés dans la production industrielle des sels de réhydratation par voie orale qui atteint actuellement 80 millions de sachets par an - un chiffre bien inférieur au milliard de sachets qu'il faudrait s'ils devaient être mis à la portée de tous les enfants en danger de déshydratation. L'UNICEF signale cependant que «l'insuffisance de sels en sachets ne devrait pas empêcher une rapide extension du traitement. Car lorsque les parents savent doser correctement un simple mélange de sucre, de sel et d'eau, ils peuvent obtenir la réhydratation de leur enfant sans avoir à éloigner celui-ci du foyer familial». La surveillance de la croissance La deuxième approche nouvelle: l'utilisation de simples fi ches de croissance à dix cents pièce pour surveiller les gains de poids de l'enfant. L'UNICEF pense que grâce à ces fiches utilisées dans le cadre de pesées régulières et complétées par les conseils des agents de santé, les parents seraient en mesure de prévenir près de la moitié des cas de malnutrition qui sont à l'origine de la mort de plusieurs millions d'enfants chaque année et du développement insuffisant de plusieurs millions d'autres. «La plupart des cas de malnu trition chez l'enfant ne sont pas visibles - même pour la mère », affirme le rapport, «et c'est ce caractère d'invisibilité qui rend la prévention et la thérapeutique si difficiles. Plus de la moitié des cas se manifestent dans des foyers disposant d'une quantité de nourriture insuffisante». Selon l'UNICEF, la pesée mensuelle régulière de l'enfant et l'enregistrement régulier de son poids sur une fiche de croissance permettent aux parents de déceler la malnutrition, en leur indiquant le 20 .
moment où l'enfant a besoin d'un complément alimentaire, de repas plus fréquents ou de soins médicaux. L'allaitement maternel Il se peu très bien que plu sieurs millions de jeunes enfants risquent chaque année d'être atteints de malnutrition du fait de la tendance actuelle, dans les pays pauvres, à adopter l'alimentation au biberon. Bien que l'allaitement au sein soit plus hygiénique et plus nutritif et qu'en outre il «immunise» les jeunes enfants contre les infections courantes, des millions de femmes choi sissent d'utiliser les substituts artificiels du lait maternel plus «modernes» qu'elles n'ont pas les moyens d'acheter, dont elles n'ont pas besoin, et qu'elles ne savent pas employer correctement. Souvent dépourvues d'eau potable, de matériel de stérilisation ou de combustible, manquant du temps nécessaire pour bouillir l'eau, ou à court d'argent pour acheter une quantité suffisante de lait en poudre, ces mères qui choisissent l'alimentation au biberon mettent en danger, sans s'en rendre compte, la vie et la santé de leurs nourissons. A la suite d'une compilation de 33 études comparatives provenant de diverses parties du monde, la London School of Hygiene and Tropical Medecine a récemment conclu que les risques de décès au cours des douze premiers mois étaient cinq fois plus élevés chez les nourissons alimentés au biberon que chez les nourissons allaités au sein. Le troisième impératif de la «révolution au profit des enfants» est donc, affirme l'UN 1CEF, la rapide diffusion des connaissances actuelles. sur les avantages de l'allaitement maternel et les dangers de l'alimentation au biberon. Déjà plus de cent pays ont lancé des campagnes en faveur de
l'allaitement maternel et de la restriction de la commerciali. sation des substituts de lait maternel, et onze pays ont to. talement interdit toute publicité en faveur des aliments artifi. ciels pour nourissons. La vaccination La quatrième approche, égale. ment d'un coût modéré, est la vaccination de tous les enfants contre les «six grands» des maladies infantiles transmissi. bles: la rougeole, la coquelu. che, le tétanos, la diphtérie, la tuberculose et la poliomYélite. A elles seules, elles tuent envi. ron cinq millions d'enfants par an et en frappent d'incapacité cinq millions. Le coût total de la vaccination d'un enfant contre ces six maladies est de cinq dollars, et pourtant moins de 20% des enfants du monde en développement sont vaccinés chaque année. En dehors des problèmes financiers et de gestion, le principal obstacle à la vaccination universelle des enfants vienl de ce que, très souvent, les parents ne réalisent pas à quel point il est important de compléter une série de deux ou trois injections. Il est fréquent, selon le rapport de l'UNICEF, que la moitié seulement des enfants se présente pour une deuxième injection et que la moitié seulement se présente à nouveau pour la troisième inoculation . La récession Il est peu probable, toujours selon l'UNICEF, que nous assistions d'ici la fin des années 80 à un accroissement notable des ressources réellement mises à notre disposition en vue d'améliorer le bien-être et la protection des enfants; le niveau du progrès en faveur des enfants ne -pourra donc être maintenu que si nous tirons mieux parti des ressource.s disponibles. Les quatre techniques citées dans le rapport La situation des enfants dans le
monde permettraient de rationaliser les actions menées en vue d'améliorer les conditions de vie des enfants et ainsi de favoriser le progrés en dépit des vents contraires de la récession. Le rapport de l'UNICEF affirme que, si l'on intégrait aujourd'hui ces techniques et ces connaissances nouvelles dans une action globale, elles contribueraient bientôt à sauver quotidiennement la vie de 20 000 enfants, à empêcher que 20 000 autres enfants soient frappés d'incapacité, et à assurer un développement sain à des millions d 'autres. Pour apaiser les craintes de ceux qui s'imaginent qu'une réduction massive des décès d'enfants donnerait un nouvel essor à «l'explosion démographique», le rapport La situation des enfants dans le monde signale que les régions du monde en développement qui ont mené les actions les plus énergiques en vue d'une diminution de la mortalité juvéno-infantile sont également celles où les taux de natalité ont subi la plus forte baisse. Et l'UNICEF soutient que plus les parents acquièrent la conviction que leurs enfants survivront, plus ils sont disposés à envisager la planification familiale. La potentialité d'une révolution au profit des enfants a été accueillie avec satisfaction par le Secrétaire général des Nations Unies ainsi que par les présidents et les premiers ministres de la Bolivie, du Canada, de la Colombie, des Etats-Unis, de la France, de la Grande-Bretagne, d'Haïti, de l'Inde, du Pakistan, des Philippines, de SriLanka, de la Suède, de la Tanzanie et de la Thaïlande. A Rome, le Saint-Siège a annoncé que «l'ensemble des organismes catholiques d'assistance à travers le monde favorisera autant qu'il le pourra la mise en œuvre de ces propositions simples mais importantes des22 '
tinées à améliorer la santé de centaines de millions d'enfants». Mais aux dires de l'UNICEF, un potentiel ne suffit pas et le défi auquel nous devons maintenant répondre est de transformer les réussites locales qui attestent qu'une révolution dans le domaine de la santé des enfants est possible en campagnes nationales intensives qui feront de cette révolution une réalité. Dans de nombreux pays en développement, les services de santé publique n'atteignent pas plus d'un quart de la population et parvenir à faire bénéficier la majorité des enfants de ces techniques n'est faisable, selon l'UNICEF, que dans la mesure où les services de santé mettront leurs compétences au service de campagnes d'une bien plus grande envergure en s'appuyant sur le concours du plus large éventail possible d'organisations: «autorités locales et agents de développement communautaire, enseignants et écoles, églises et clergé, mosquées et imams, syndicats, fédérations patronales, politiciens et fonctionnaires, juristes et médias, organisations bénévoles et organisme d'aide , associations de femmes et groupement de protection de l'environnement, associations de planification familiale et mouvement de jeunesse, milieux commerciaux et marchands. » La mobilisation à cette échelle d'une telle diversité d'éléments plus l'engagement politique des dirigeants d'une nation constituent les moyens de concrétiser la potentialité d'une révolution au profit des enfants et de mettre celle-ci au service de la population. «Ce défi est désormais plus une affaire politique qu'une question technique ou financière », conclut le rapport de l'UNICEF. «II est aujourd'hui hors de doute que des techni-' ques peu coûteuses existent
?ui peuvent servir de tremplin a ce grand bond en avant au profit de tous les enfants, sans exception. Tout gouvernement qui déciderait aujourd'hui même de s'engager fermement a sauver la vie et à protéger la santé et la croissance de ses enfants, a désormais les moyens d'agir en vue d'attein_ dre cet objectif. Et tout gOUver_ nement, tout organisme Ou tout individu appartenant au monde industriel qui souhaite_ rait contribuer à cette action a désormais, de toute évidence la possibilité de le faire.» ' «Le monde dispose actuellement des moyens nécessaires pour mener des actions concrètes produisant des résultats tangibles à un coût financier et politique relativement peu élevé, des actions auxquelles nous sommmes presque tous en mesure de participer. Pendant combien de temps encore allons-nous demander aux enfants d'attendre?»
UNICEF
Fonds des Nations Unies pour l'enfance
La récession et les enfants
Selon une nouvelle étude du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), la récession économique commence à avoir des répercussions sur la vie des enfants. Des informations en provenance de régions les plus pauvres de la Zambie, dans le nord du pays, signale une diminution de la taille des enfants par rapport à la normale. A Sao Paolo, la proportion des nouveaux-nés accusant une insuffisance pondérale s'accroÎt. Au Costa Rica, le nombre d'enfants en traitement pour malnutrition avancée a doublé entre 1981 et 1982. On note depuis un certain temps une hausse des taux de mortalité infantile en URSS ainsi que dans certaines régions des EtatsUnis particulièrement durement touchées par la récession comme /'Alabama et le Michigan. Du fait que les pauvres consacrent la plus grande part de leur argent à leurs besoins essentiels, souligne l'étude de l'UNICEF, toute diminution du revenu inflige inévitablement ses plus graves conséquences aux groupes les plus pauvres. Et lorsque les familles pauvres sont obligées de rogner sur l'indispensable comme la nourriture, le combustible et les soins médicaux, c'est le développement mental et physique de leurs jeunes enfants qui en souffre le plus . Selon l'UNICEF, la plupart des mécanismes économiques qui lient les com munautés pauvres au système économique mondial ont, eux aussi, tendance à amplifier les contrecoups de la récession économique. On estime, par exemple, qu'une baisse de 1 % du taux de croissance des pays industrialisés provoque en moyenne une baisse de 1,5 % du taux de croissance des pays en développement. Parallèlement, une baisse de 2 % ou de 3 % de la moyenne du revenu à l'intérieur même des pays en
développement se traduit pour les pauvres par une chute de 10 % ou de 15 % de leur propre revenu. L'UNICEF ajoute que même au sein des communautés pauvres, ce sont souvent les plus faibles (les femmes et les enfants) qui doivent se priver. «Si nous tenons compte des effets conjugués de ces multiplicateurs», souligne l'étude; «il est aisé de comprendre que pour un enfant pauvre issu d'une famille dépourvue de terres et travaillant dans le secteur orienté vers les exportations d'une économie de faible revenu, une baisse de deux ou trois points seulement du taux de croissance des pays industrialisés risque fort d'entraîner une détérioration de 50 % ou plus du revenu.» C'est donc à travers une diminution du revenu familial que les effets de la récession se font sentir dans la vie des enfants. Et pour la première fois depuis bien des années, la moyenne des revenus a amorcé une baisse dans de nombreuses parties du monde .
L'Afrique est le continent le plus durement touché: une fois les chiffres pour 1982 confirmés, on prévoit que le PNB par habitant des pays au sud du Sahara aura, une fois encore, diminué de 2 %. Dans un pays comme la Zambie, largement tributaire des cours du cuivre qui atteignent aujourd'hui le niveau le plus bas jamais enregistré au cours des cinquante dernières années, le revenu moyen des ménages a chuté de près de 50 %. En Amérique latine, les revenus se sont égaIement détériorés tout au long des deux dernières années, et au Costa Rica les revenus réels se sont dégradés au point de diminuer de un tiers. «Dans la plupart des pays ayant fait l'objet d'une étude de cas et pour lesquels nous sommes en possession de données », conclut l'étude, «le nombre d'habitants et d'enfants vivant en-deçà du seuil de pauvreté a tendance à s'accroître. » L'autre élément qui contribue grandement à ce que la récession touche les enfants se situe au niveau de la réduction des dépenses gouvernementales à l'égard des services en faveur des enfants tels que les dispensaires, les écoles, les programmes de compléments alimentaires et les campagnes de vaccination. Du fait qu'ils ne bénéficient généralement que rarement de la protection de groupes d'intérêt influents et qu'ils sont souvent considérés comme un luxe, les programmes de protection sociale de ce type subissent dans l'ensemble rapidement et de façon disproportionnée les restrictions gouvernementales. En Tanzanie, par exemple, l'impact de la récession a fait passer la part des dépenses du gouvernement réservée aux programmes couvrant les besoins essentiels de 26 % à 20 %. Le même phénomène s'est produit en Zambie où la part des services sociaux dans
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le total des dépenses du gouvernement est passée de 30 % en 1977 à 20 % en 1980. L'Inde elle-même a réduit les dépenses qu'elle consacrait aux services en faveur des enfants, les faisant passer de 15 % à 12 % du total des dépenses du gouvernement inscrites au budget de son cinquième plan quinquennal.
ge concours littéraire à l'i ntention des étud iants valaisans
«Dans la plupart des pays», conclut l'étude, «il semble que l'on ait systématiquement sacrifié le secteur «social» au profit du secteur «économique», sous le prétexte erroné que «social» est synonyme de «non rentable». En fait, quels que soient les critères de jugement - calculs économiques irréfutables ou principes élémentaires du bien-être de l'humanité - investir dans la santé, les capacités et la protection des enfants, c'est réaliser le meilleur de tous les investissements.» Dans sa recherche d'interventions susceptibles de protéger les enfants contre les effets les plus nocifs de la récession, l'UNICEF soutient que le rapport entre la situation économique d'un pays et le bien-être de ses enfants est plus une affaire de politique et de priorités qu'une affaire de ratios rigides. Des pays comme le Sri Lanka, par exemple, ont atteint des niveaux sur le plan de la santé et de l'éducation de l'enfant qui sont très supérieurs à ceux que l'on constate dans de nombreux pays trois ou même quatre fois plus riches . L'UNICEF soutient également qu'au niveau national, les services en faveur des enfants devraient être les derniers et non les premiers à subir des restrictions. Et cela pourrait impliquer, souligne son étude, que le choc économique de la récession soit absorbé par les désirs des riches et non par les besoins des pauvres. Sur le plan international, il est possible" de venir en aide aux familles pauvres grâce à une
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L'Association valaisanne des écrivains (AVE) invite les étudiants à participer au 98 concours littéraire organisé de la manière suivante: 1. Qui peut participer?
Tous les étudiants(es) et apprentis(es) domiciliés en Valais. Sont exclus les élèves des classes primaires et les étudiants universitaires. Les participants seront partagés en deux catégories: 1re catégorie classe d'âge 1968 et plus jeunes; 2e catégorie classe d'âge 1967 et plus âgés.
Photo Michel Eggs
diminution des taux d'intérêt et à une réduction des obstacles aux échanges commerciaux accompagnées d'un accroissement de l'aide au développement et de modifications sur le plan des transactions financières. Ces actions conjuguées permettrait d'éviter que la part la plus lourde du fardeau de la récession ne retom be sur ceux qui sont le moins aptes à la supporter. Toujours selon l'UNICEF, compte tenu du fait qu'il faut un certain temps pour que tous
les effets de la récession se manifestent pleinement, la situation actuelle doit d'ores et déjà être interprétée comme un signal d'alarme indiquant que, en ce qui concerne les enfants, le pire doit encore arriver. «Au cours de la présente décennie», déclare l'UNICEF, «la première directive à suivre pour contribuer au progrès sera de tirer meilleur parti de ce qui est disponible, et de modifier le rapport entre les ressources existantes et les résultats à obtenir.»
•
2. Genres littéraires
Les œuvres devront appartenir à l'un des deux genres suivants: - la nouvelle ou le conte; - la poésie .
3. Modalités pratiques
a) Les œuvres inédites doivent être dactylographiées (format A4) en 3 exemplaires, sans nom d'auteur, signées d'un pseudonyme; b) leur envoi sera accompagné d'une enveloppe fermée avec le pseudonyme et contenant: 1. l'adresse complète du concurrent; 2. son année de naissance; 3. le nom et le lieu de son école et l'indication de sa classe; 4. la phrase «Je déclare que mon travail est entièrement personnel» suivie de la signature; c) pour la poésie, il est conseillé de présenter une œuvre ou un groupe d'œuvres représentant entre 100 et 200 vers; d) le même concurrent peut participer aux deux concours 1. nouvelle ou conte; " 2. poésie, mais chaque envoi se fera sous enveloppe séparée; e) récompenses Quatre séries de prix de Fr. 200.-, Fr. 150.-, Fr. 100.récompenseront les meilleures œuvres. Ces prix sont répartis comme suit: 1. nouvelle et conte, classe d'âge 1968 et plus jeunes 3 prix de Fr. 200.-, Fr. 150.-, Fr. 100.- ; 2. poésie, classe d'âge 1968 et plus jeunes 3 prix de Fr. 200.-, Fr. 150.-, Fr. 100.-; 3. et 4. Idem pour les classes 1967 et plus âgées . Les œuvres ayant obteu un premier prix seront publiées dans des journaux ou des revues. (Délai de publication selon les possibilités).
Les manuscrits ne sont pas rendus; f) jury Il 8St composé de trois membres: MM. Jean Follonier, JeanMarc Malbois et Danny Revaz. Ses décisions sont sans appel. Il se réserve la possibilité de ne pas attribuer tous les prix en cas d'envois insuffisants par le nombre ou la qualité; g) délai les envois devront être expédiés jusqu'au 31 mai 1984 au plus tard; h) adresse M. Jean Follonier, président de l'AVE, 1961 Euseigne VS. Le comité de l'AVE prie instamment les professeurs de faire connaître les présentes dispositions à tous les étudiants valai. sans et de les afficher dans leur classe et dans l'école dès réception et jusqu'au 31 mai 1984. Les prix seront distribués en novembre 1984. Le comité de l'AVE
Association valaisanne des écrivains
Concours littéraire 1. L'Association valaisanne des ecnvains (AVE) organise son concours littéraire 1984. Il est ouvert à tout le monde, à l'exception des membres du jury. 2. Ce concours est réservé à des œuvres inédites: roman, nouvelle, poésie, théâtre et jeu scénique. 3. Le prix est de Fr. 2000.-. Il est divisible et peut ne pas être attribué. 4. Les œuvres doivent être présentées en 3 exemplaires dactylographiés, signées d'un pseudonyme et contenant l'adresse exacte de l'auteur. 5. Le jury est composé de Madame Anne Troillet-Boven, femme de lettres, Henri Maître, professeur, Jacques Darbellay, écrivain. Il est présidé par M. Jean Follonier, président de l'AVE. Ses décisions sont sans appel. 6.' Le même auteur peut envoyer des œuvres consacrées aux divers genres, mais sous pli séparé. 7. Les travaux doivent parvenir pour le 31 mai 1984 à M. Jean Follonier, président de l'AVE, 1961 Euseigne. Ils ne seront pas retournés à leurs auteurs. 8. Les résultats seront annoncés dans la presse et les prix décernés en automne 1984. 9. Renseignements éventuels: M. Jean Follonier, Euseigne.
Animateur en connaissance de
l'environnement Animateur: une fonction relativement récen~e d~n,s l'en~eigne ment. Cette jeunesse explique peut être la dlverslte des I~age~ ue le terme suscite. Nombreux sont en effet les sens qu on lUi Qrête, diverses les tâches qu'on lui apparente . Pour les uns, r.anim ateur c'est quelqu'un qui n'est pas souvent en classe, occupé par «l'Etat» pour réaliser d'obscurs travaux ou <: donner des cours»; pour les autres, il est celui qui a la lourde tache de mener à bien un recyclage . Entre deux, combien d'idées enc~re? Voici en quelques lignes des renseignements sur les fonctions des animateurs en connaissance de l'environnement.
Présente r un cahier des charges cl air et précis quand ~es tâches à réaliser sont en pnse directe avec la vie et doivent être nourries par un va et vient continu entre un idéal théorique et la réalité quotidienne, est un e gageure . En plus, qui peut vraiment imaginer avant de lan cer une innovation, tout ce qu'elle va susciter de réactions , soulever d'exigences, révéler de besoins? Dans cet ordre d'idées, le cahier des charg es pourrait être: «tout mettre en œuvre pour mener à bien l'introduction de la connaissance de l'environnement selon l'esprit du Plan d'études roman d ». Cahier des charges très ouvert et qui est celui auquel chaque animateur souscrit en ne comptant ni son temps , ni sa peine. Cepen dant, de l'ensemble des activités du groupe «Connaissance de l'environnement» se dégagent 4 fonctions principales:
1 . Administration
Il faut planifier des cours, organiser des rencontres, établir des calendriers, commander, distribuer, entretenir du matériel, etc ...
2. Expérimentation Les animateurs sont appelés à expérimenter dans leur classe les propositions du plan d'études. Ils devront se pencher avec sérieux sur les réactions des enfants, leurs intérêts, leurs motivations, leur niveau de compréhension.
3 . Production Au niveau romand, très peu de choses existent pour la connaissance de l'environnement: il n'y a ni méthodologie, ni ouvrages pour les élèves. Ici, la coordination porte sur l'esprit, la démarche. Les moyens doivent être adaptés aux conditions locales. Les animateurs seront donc appelés à élaborer
des moyens d'enseignement tels que: ouvrages ou documentations, diagrammes, tableaux, tests pour leurs élèves, méthodologies pour leurs collègues. Le groupe «Connaissance de l'environnement» s'assure ici la collaboration de scientifiques avec lesquels il noue des relations suivies (connaissances actuelles en archéologie, histoire, géologie, géographie, botanique, zoologie) .
4. Formation d'adultes dans le cadre des recyclages
La plus grande partie du temps de décharge est consacrée à l'animation des cours de recyclage et des séances d'appui. Cela, selon le principe des trois fonctions que nous attribuons au recyclage. Ces trois fonctions ont été présentées dans ces lignes le mois précédent. Le rôle des animateurs ne sera pas tant ici de donner des cours à des professionnels de l'enseignement que d'animer des rencontres, favoriser des échanges entre collègues , mettre en valeur les essais, les tentatives et les connaissances de chacun. Assumer toutes ces tâches demande une formation personnelle conséquente. Le groupe «Connaissance de l'environnement» regrette de ne pas avoir encore plus de temps à consacrer à cet important aspect. Pierre Taramarcaz
, Francais , en 1P et en 2P
Vous Vous Vous Vous Vous
désirez désirez désirez désirez désirez
recontrer des collégues du même degré? un appui? réfléchir en groupe? échanger idées et réalisations? approfondir un domaine particulier?
Le min i-volley à l'école
Pour ~épond~e ~ ces d~sirs des .rencontres facultatives serOnt
or.g~~lsees, a Sion ou a St-Maurice (OOIS) le mercredi après_
midi a 14 h 30 (cf. tableau ci-dessous). To~tes ~ugges t ions et propositions pour l'organisation et la
preparation de c~s .rencontres seront les bienvenues à la permanence de français a Sion (OOIS).
Rencontres facultatives
Aujourd'hui, le volleyball est l'un des sports les plus pratiqués dans le monde. Si ce n'est pas encore le cas en Suisse, et en Valais en particulier, il y a progressé de manière réjouissante ces dernières années. Mais l'apprentissage du volleyball est difficile ce qui a freiné, jusqu'ici, son développement au niveau scolaire.
Selon votre degré, vous avez le choix entre ces dates:
1P
2P
OOIS Sion
OOIS St-Maurice
8 14 2 30
février mars mai mai
15 21 9 6
février mars mai juin
25 22 28 16
janvier février mars mai
1 29 4 23
février février avril mai
Les atouts du volleyball Et pourtant, c'est un jeu qui a tout pour plaire aux éducateurs . En effet, l'attrait du ballon décupl e l'intérêt des éléves. Le . trop plein d'agressivité ne rejaillit pas douloureusement sur l'advers aire, puisqu'il n'y a pas de contact. Par la richesse de ses actions de jeu, le volleyball permet une éducation motrice et ludique globale. L'enfant apprend à maîtriser son corps et améliore différentes aptitudes motrices telles que vitesse, agilité et force. Le jeu incite à la coll aboration au sein d'une équipe. Et en confiant la direction du jeu aux éléves, on les familiarise avec l'arbitrage. Ils apprennent ainsi à respecter les décisions de l'arbitre. En outre, le volleyball peut être pratiqué comme sport de loisir jusqu'à un âge avancé.
Chantal Fumeaux-Rausis
Des drames en blanc Si l'hiver est la saison des plaisirs retrouvés, il est également hélas la période des accidents dûs au ski et aux avalanches. Depuis quelque temps, la Commission cantonale de secours en montagne s'est chargée de la prévention de ces accidents. Car la prévention est un reméde à l'efficacité reconnue. Ladite commission a réalisé un montage audio-visuel, d'une durée de 30 à 40 minutes, à l'intention du personnel enseignant et des élèves de primaire et du secondaire. La version française initiale est due à la section Monte-Rosa du Club alpin et la version allemande à la section de Zermatt.
Connaissance de l'environnement Permanence: St-Maurice: mercredi 15 15 14 16
Pourquoi le mini-volley
Les OOIS de Brigue (tél. 028/ 23 42 23), de Saint-Maurice (tél. 025 /65 11 80) et de Sion (tél. 027 / 21 62 86) tiendront, dés janvier, à la disposition cie ceux qui le désirent une mallette comprenant: un appareil de projection et un lecteur de cassettes combiné, une cassette-son et une série de diapositives. Ce matériel est en prêt.
janvier février mars mai
Sion: tous les mercredis.
Un tel appui pédagogique et didactique prend tout son sens avant les grandes sorties à ski. De nombreux aëcidents pourront ainsi être évités et les jeunes sensibilisés aux imprudences qu'ils seraient tentés de commettre. Que les enseignants, éducateurs ou éléves intéressés - et nous les espérons nombreux - se le disent! Jean-François Lovey
,
Dans un match régulier à six joueu rs contre six, le nombre de fois que chaque éléve tou che le ballon ne suffit pas à son développement rapide. Le degré d'habileté n'est pas assez él evé pour assurer la poursuite des échanges. Les joueurs deviennent statiques, les échanges sont vite terminés et les éléves s'ennuient. En outre , en utilisant du matériel adapté à des joueurs adultes et ch evronnés (filet trop haut, ballon trop lourd, terrain trop
grand), on décourage les faibles qui craignent déjà de se faire du mal . D'autre part, lorsqu'on joue à six contre six à
l'école, il est prat iquement impossible d'occuper le reste des él éves car le terrain remplit presque toute la salle . Consciente de ses difficultés, la Fédération internationale de volleyball et plus récemment la Fédération suisse ont créé des commissions chargées d'étudier ce probléme. Ces études ont abouti à la création du mini-volley. Qu'est-ce que le mini-volley?
C'est un jeu dérivé du volleybail avec des régies simplifiées: - nombre restreint de joueurs (1 - 3);
- terrain plus petit; - ballon plus petit et plus léger ;
- hauteur du filet adaptée; - règles simplifiées. Mais, c'est avant tout, pour nous enseignants, un moyen éducatif utilisé pour améliorer et affiner les capacités motrices, pour développer le sens de la collaboration entre équipiers et le respect de l'arbitre. Il ne s'agit pas de fabriquer les champions de demain. A quel âge faut-il commencer?
Le mini-volley a été créé pour des enfants de 10 à 14 ans. Mais, si l'on se réfère au manuel officiel «Education physique à l'école », N0 3, le volleybail ne figure au programme qu'à partir de la 8e année scolaire et seulement pour les filles! Par contre, selon le Plan d'études pour les classes de 5e et 6e année de Suisse romande, le volleyball devrait être introduit en 6e année. Cette dernière proposition est certainement la plus réaliste. Et c'est sur cette hypothèse que le programme suivant a été établi.
riences motrices. Il ne faut pas se hâter de soumettre l'enfant à l'apprentissage méthodique des savoir-faire de l'adulte. C'est le seul moyen d'éviter les stéréotypes et de préserver les facultés d'adaptation de l'élève. Se référer à l'excellent livre de Jacqueline Marsenach et Francis Druenne (cf. Bibliographie). Jeux: - ballon par-dessus la corde; - balle brûlée; - bataille des balles. Réf. livre «Ed. phys. à l'école» No 2.
co - 1re année Buts: apprentissage de la passe haute, déplacement et placement sous le ballon. Jeu 3 contre 3 en passe. Cheminement - Etude de la passe, jeu contre 1 ; - étude de la passe avec orientation, jeu 2 contre 2; - étude de la passe de construction et de la passe d'attaque, jeu 3 contre 3.
But: initiation.
CO - 2e année Buts: apprentissage de la manchette et du service. Révision de la passe. Jeu 3 contre 3 avec service - réception.
Forme: créer des situations par lesquelles l'enfant pourra vivre le plus grand nombre d'~xpé-
Cheminement - Etude de la manchette; - étude du service;
Bibliographie
- DÜRRWÂCHTER, G. - Le volleyball: apprendre et s'exercer en jouant, Ed. Vigot, 1978.
Programme 6 e année
- Mini-volley, peut être commandé auprès de: Fédération Suisse de volleyball Minivolley 6052 Hergiswil ou Association Suisse d'éducation physique à l'école ETH-Zentrum 8092 Zürich - MARSENACH, J. et DRUENNE, F. L'enfant et l'activité physique et 'sportive: volleyball, Ed. Armand Colin, Bourrelier, 1974.
- GOTSCH, W. - Praxis Sport: Minivolleyball, Verlag Bartels + Wernitz KG, Berlin 1980. - BAAKE, H. - Mini-volleyball: Einführung in das Volleyballspiel für Kinder, DSVB, Leipzig, 1975. - PAGANO, B. - Dai giochi con la palla al minivolley, Società Stampa Sportiva, Roma, 1980. --.: GaRI, M. - La grammatica deI gioco della pallavolo, Società Stampa Sportiva, Roma, 1981 .
- liaison service - manchette de réception; - liaison manchette de récep_ tion - passe de construction - passe d'attaque; - jeu 3 contre 3.
Tournoi de mini-volleyball (Pour les élèves des cycles d'orientation)
CO - 3 e année
Buts: révision de la matière 1re et 2e années. Apprentissage du smash et du contre. Cheminement - Etude du smash; - étude du contre; - liaison smash - contre; - liaison passe de construction - smash; - jeu 3 contre 3.
L'AEPSVR organise à l'intention des élèves des cycles d'orientation du Valais romand son premier tournoi de mini-volley. Lieu
Sion, salle Omnisports du Lycée-Collège des Creusets.
Date
Mercredi 28 mars 1984.
Heure
De 13 h 30 à 18 h.
Catégories
Six catégories A. B. C. D. E. F.
Remarque
Ce programme a été choisi de manière à ce que les élèves puissent jouer avec plaisir dès les premières leçons. Ainsi, tous les fondamentaux sont étudiés et entraînés avant que les enfants ne quittent l'école obligatoire, ce qui ne veut pas dire que ces différents éléments sont stabilisés. En créant des groupes à niveaux, chaque élève aura ainsi la possibilité de progresser à son rythme.
P. Demant
Equipes
Les équipes sont formées de 3 joueurs + 1 remplaçant issus de la même classe.
Arbitrage
Assuré par les élèves eux-mêmes. Un arbitre +' 1 marqueur qui comptabilise les points.
Tenue
Si possible uniforme. Pas de chaussures à semelles noires.
A ccompagnan ts Minimum 1 par centre. Terrain 6 m x 12 m. Hauteur du filet
Filles: 2 m 15 - Garçons: 2 m 30.
Ballon
Mini-volley ou No 4.
Remarque
Ce tournoi se veut l'aboutissement d'un travail effectué pendant les heures d'éducation physique à l'école. C'est la raison pour laquelle nous n'acceptons que des équipes formées d'élèves de la même classe. Comme support à l'apprentissage du mini-volley, chaque maître devrait organiser pendant ses heures de petits tournois internes. Chaque centre mettrait ensuite sur pied des tournois inter-classes en fonction des catégories mentionnées cidessus. Les meilleures équipes ou les plus «fair-play» peuvent ensuite être inscrites au tournoi intercycles.
Inscriptions
Jusqu'au mercredi 14 mars 1984 à l'aide du talon ci-après. Après cette date aucun désistement ne sera possible.
La trilogie suivante produite par la Fédération Italienne de volleyball peul être commandée à l'EFGS, service des films, 2532 Macolin:
- La pallaverde: 16 mm, sonore, couleur, 22 min ., N0 commande F.713.7
- La pallagiovane: idem N0 commande F.713.10
année; année; année; 1re année; 2e année; 3e année.
Chaque centre ne peut inscrire qu'une équipe par catégorie.
Films
- La pallagioco: idem N0 commande F.713 .9
Filles, 1re Filles, 2e Filles, 3e Garçons, Garçons, Garçons,
Informations complémentaires: Pierre Demont, (027) 23 38 18.
Nous espérons que vous répondrez nombreux à notre invitation. Avec nos salutations sportives.
s
A nouvelle année, nouvelle émission! Après deux ans de compagnonnage avec l'émission «Sur un plateau», la Télévision éducative retrouvera les lundis, tous les quinze jours, une case de trente minutes qui lui est exclusivement réservée. A partir de janvier 1984, les émissions seront donc diffusées une première fois le lundi entre 17 h. 15 et 17 h. 45 et une seconde fois le lendemain, mardi de 14 h. 15 à 14 h. 45. Les autres mardis, en alternance, une case de 30 à 45 minutes (de 14 h. 15 à 14 h. 45 ou 15 heures) permettra la diffusion de compléments (aux émissions Telactualité principalement) ou de documentaires. Nouvelle émission aussi par sa forme! En effet les émissions TV -Scopie et Telactualité conserveront leur durée habituelle qui sont respectivement de 20 et 10 à 15 minutes. Ces productions, directement utilisables en classe, seront enchâssées dans une émission de trente minutes qui nous 1germettra de recevoir en studio des invités: enseignants, élève~, parents ...
32
Ces invités auront l'occasion de nous faire part de leurs activités en relation avec les objectifs de la Télévision éducative; de plus ils seront les premiers
spectateurs de nos émissions et pourront nous faire partager leurs points de vue. Cette nouvelle formule devrait resserrer les liens avec nos fidèles téléspectateurs et favoriser aussi la communication entre les utilisateurs de la Télévision éducative. Ne manquez donc pas ce rendezvous, tous les quinze jours sur l'antenne de la Télévision suisse romande de 17 h. 15 à 17 h. 45, à partir du 16 janvier 1984; ni ceux du mardi 1 Post-scriptum A la fin de 1983 de nouvelles fiches présentant un découpage des principales émissions de la Radio et de la Télévision éducative, diffusées de septembre à décembre, sont à disposition des enseignants qui emploient les enregistrements de ces émissions. Ces fiches ne sont plus envoyées massivement à tous les enseignants; ceux qui désirent les recevoir sont donc priés de donner leur adresse au Centre de Radio et Télévision éducative de leur canton. Des fiches récapitulatives de ces émissions sont encartées dans celte feuille; découpées, elles peuvent prendre place dans le classeur de la RTVE.
Gilbert Brodard
«Anatomie d'un fait divers » 12 et 13 mars Mardi Il octobre 1983, Mme M... ouvre son quotidien préféré, en première page elle découvre une photo pour le moins étonnante, on y voit sept à huit policiers «s'acharnant» sur une masse sombre dont la forme évoque un homme. En dessous, un titre évocateur: «Une arrestation musclée à Lausanne.» Mme M ... réagit subjectivement à cette information, elle réagit selon ses propres convictions! Mais a-t-elle été informée «objectivement»? Notre émission s'attache à recueillir les divers témoignages rendant compte des différents points de vue des acteurs ou témoins de ce fait divers. Tour à tour l'automobiliste, les policiers, le photographe, les journalistes disent leur version des faits selon leurs critères. Il ne s'agit pas tellement de savoir qui a raison ... mais plutôt de montrer les limites de la notion abstraite d'objectivité!
16 et 17 janvier Depuis quelques années la radio change de visage, unique et quasi officielle d'abord, elle éclate aujourd'hui en de multiples radios nouvelles. Phénomène relativement récent en Europe, des radios libres proposent des styles nouveaux à des auditoires plus limités ou mieux «ciblés»: notamment les jeunes. En Suisse, février 1982 voit la naissance de «Couleur 3 »; dans le même temps, à peu de chose près, les radios libres françaises installées à nos frontières: «ThollonLes Mémises», «KTFM», etc., abreuvent les auditeurs romands. Le virus de «à chacun sa radio» a également gagné une école à Fribourg où une classe inaugurait «Radio Azur », avec des moyens des plus modestes. Que signifient ces organisations nouvelles? Comment fonctionnent-elles? Et avec qui? Autant de questions auxquelles ce reportage tente d'apporter des réponses.
«Image par Image» 9 et 10 avril
«Quelle presse pour les jeunes? » 13 et 14 février Qui fait les journaux pour les adolescents, et selon quelles «recettes)), sources d'inspiration ou volonté de conquérir le marché sont-ils conçus? A partir des deux principales publications diffusées en Suisse romande, les auteurs de l'émission ont cherché à analyser les thèmes -et les mythes développés dans les textes et images de ces journaux. Ils ont voulu aussi recueillir les avis des différentes personnes attachées à la rédaction de ces magazines. Une occasion donc de s'intéresser avec un regard critique, à cette presse qui en 1977 déjà, en France, offrait une trentaine de titres et avait un tirage global de plus de 5 millions d'exemplaires.
Trois cinéastes romands d'animation ont réalisé l'automne dernier une série de 12 petits films destinés aux jeunes enfants. Cette série Ouvre grand tes yeux sera diffusée ce printemps par la Télévision romande dans ses émissions destinées à la jeunesse. Il nous a semblé particulièrement opportun de demander à ses auteurs: Robi Engler, Ernest Ansorge et Jean Perrin, de
achetés à d'autres organismes de télévision, qui constitueront un complément au thème de l'émission Telactualité. Il s'agira pour l'essentiel d'émissions à caractère documentaire qui peuvent servir à la fois à l'approfondissement du thème d'actualité et à l'enrichissement d'une discipline d'enseignement en rapport avec ledit thème.
nous montrer et de nous expliquer le comment et le pourq~oi de leur c~é_a tion. Ainsi, dans le meme temps ou Ils pourront voir. ces 1~ films,. à la fois récréatifs et educatlfs, les Jeunes et moins jeunes enfants téléspectateurs pourront savoir comment ils ont été conçus et réalisés.
« La
course autour de chez soi» A ce jour, 100 films nous ont été
Documentaires et documents «Balade à travers la musique populaire»
envoyés pour cette opération d'information, réalisés par les élèves euxmêmes au moyen du cinéma super 8. C'est un encouragement à poursuivre notre effort et à engager cette année encore les enfants en âge de scolarité obligatoire à se lancer dans la réalisation de courts reportages sur des thèmes d'actualité de leur choix. Plutôt que de réaliser une seule émission de lancement, nous avons choisi cette année de présenter durant les cinq premières émissions de la Télévision éducative, un film de la «Course autour de chez soi 83» et d'inviter, à chaque émission, les auteurs de ces films à venir nous parler des conditions de réalisation. Nous espérons par là convaincre un plus grand nombre d'enfants mais aussi d'enseignants à participer cette année avec leur classe.
«La course» est d'ores et déjà lancée pour tous ceux que cela intéresse. Le délai pour l'envoi des films estfixé àfin septembre 1984.
24 janvier et 20 mars
.
Cette dernière émission (2 parties) de l'excellente série «La Suissq au fil du temps» est consacrée aux «idiophones) (instrument à percussion). La première partie nous présente les différentes castagnettes; les claquettes; la ronde des écus d'Appenzell; la scie musicale; le fouet d'alpage; les crécelles; etc. La seconde partie montre les carilIons; les clochettes de vache et toupins; le triangle; les grelots et la guimbarde. Un coffret de deux disques, complété par une plaquette explicative, a été édité par les Editions Claves et la SSR (réf. Claves D 8012/13).
Telactualité « L'événement du mois» 30 et 31 janvier; 27 et 28février; 26 et 27 mars Trois occasions de vous « brancher») ce prochain trimestre sur un thème d'actualité avec vos élèves. Le thème de l'émission programmée les lundi et mardi, aux dates ci-dessus indiquées, sera prolongé par un complément diffusé les mardis suivants, soit les 21 février, 6 mars et 3 avril.
Documents 21 février, 6 mars et 3 avril Seront diffusés sous ce titre des émissions, des archives de la R TSR ou éventuellement des émissions ou films
Environnement
Radio éducative
(18 janvier et 29 février 1984)
Le goût Goût, goûter, gustatif, papilles, langue et j'en passe. La salive, j'espère, vous monte à la bouche ... Tel est l'objectif de cette émission de Gilbert Jolliet qui tentera par le son, périlleuse aventure, de nous aider à situer où, comment et pourquoi nous avons du goût et les sensations que cela engendre.
A la découverte ... (21 septembre et 7 décembre 1983)
Généralités Suite de la série qui pourrait tout aussi bien s'intituler « A vous la radio», puisqu'elle offre la possi?ilité aux classes de réaliser elles-memes une émission de 20-25 minutes. Le choix des sujets, la présentation, l'organisation du planning et du travail, l'enregistrement sont du res,sort des reporters en herbe. La Radio educative se contente de mettre à disposition le personnel et le matériel technique nécessaires. Les classes intéressées par l'expérience peuvent s'adresser à la
Les surprises de l'étang Comme la forêt, qui vous a été présentée en novembre 1983 par MarieJosé Auderset, l'étang est un système écologique bien défini. Le réseau de vie qu'on y trouve répond à des lois très strictes d'occupation de l'espace. Les surprises que nous réserve l'étang sont donc multiples puisqu'on y trouve des organismes vivant à la surface, sous la surface ou en pleine eau, ou encore sur le sol du fond, ou carrément dans la vase. Savez-vous que la notion du temps est également très importante quand on s'intéresse à la vie de l'étang puisqu'il est occupé par des êtres différents selon les périodes de l'année? Un étang, comme tous les systèmes vivants, naît, vit et meurt. Pour vous en parler: le professeur G61dlin, directeur du Musée cantonal de zoologie de Lausanne, et un regard: celui de Jacques Rime, peintre animalier, qui nous transmettra, avec sa sensibilité d'artiste, le vécu de ses attentes au bord de l'étang.
Radio éducative «A la découverte ... » Maison de la Radio 1010 Lausanne
Folklore, rondes et comptines (J 1 janvier et 11 avril 198 4)
Mini zoo Jouer avec les habitants du mini zoo de Sophie Makhno, c'est offrir une partie de plaisir qui alliera la joie de chanter à celle de découvrir des textes coquins et poétiques. Jeux phonologiques, expression gestuelle d'identification de l'environnement ethnique par des thèmes musicaux et des instrumentations ad hoc prolongent activement l'écoute de cette émission.
Chanson pour mieux vivre M arie-A ntoinette B assieux et Jean Humery Un titre qui ne trompe pas: les chansons se situent dans les préoccupations de l'époque et proposent avec humour aux enfants de prendre le temps de vivre. Sur une toile de fond d'écologie et d'amitié, une récréation morale centrée sur la nature et l'attention aux autres.
,
Conte A la découverte ... des cadeaux
(25 janvier et 7 mars 1984) (8février et 4 avril 1984)
(J3janvier 1984)
Délai d'envoi des épilogues,' 17 février,' ils passeront à l'antenne le 7 mars.
Juste après les fêtes de fin d'année, un groupe d'enfants de 8 à 12 ans s'interrogent sur le sens du mot « cadeau» dans notre vie quotidienne. En un jour, micro en main à l'occasion d'une journée d'animation, du Centre social protestant, à Lausanne, ils vont, avec l' aide de la Radio éducative et au travers d'un sujet qui les touche de près, apprendre eux-mêmes à «faire» de la radio.
Le traditionnel conte inachevé sera diffusé le 25 janvier.
La faim dans le monde est un problème si crucial que l'école ne peut éviter d'en parler. Pour les enfants, <d'information à travers une histoire» est un moyen d'appréhender la réalité par le biais de la fiction. « Etre enfant, avoir faim», 8 février. Sujet beaucoup plus ailé avec Eluar~ et l'histoire de cette petite fille qUi voulait absolument voler et qui s'en est mordu ... les ailes! (4 avril).
A vous la chanson! par Bertrand Jayet
Mercredi 15 février 1984 (6-8 ans)
Au pays magique du bon roi Pan-Pan ... ... avec Patouf-Balou, Caracole et Fifi-Ia-Grenouille par Noël Delmat
Noël Delmat fait équipe avec son compère et ami, le contrebassiste Claude Julien, instituteur comme lui pour l'enfance inadaptée. Ses animations font entrer en jeu une histoire créée ou à créer, des marottes, des percussions, du chant, du mime, du dialogue. Son domaine d'inspiration pour les enfants se développe dans l'imaginaire et le merveilleux. On y rencontre des farfadets , des magiciens, des enfants qui se mêlent à des animaux, des éléments naturels, des objets dotés de pouvoirs magiques.
Contenu de J'émission: La présente émission est composée d'un conte, de sept chansons et de trois accompagnements instrumentaux. P'tit Doudou et Clémentine, les enfants du vent, remarquent un matin que le soleil a disparu. Ils vont enquêter dans la Jorêt et dans le pays magique du roi Pan-Pan. Ils y rencontrent Galopin, le petit Jaon rêveur, Patouf-Balou, Pirouli, le petit rat, Caracole, Fm-la-Grenouille. Accompagnements instrumentaux Au cours de l'histoire, les auditeurs seront invités à chanter trois chansons avec l'orchestre. 1. Patouf-Balou. 2. Caracole. 3. Fifi-la-Grenouille. N. B. Les partitions de ces chansons peuvent être obtenues gratuitement à l'adresse suivante: uA vous la chanson!!! Emission de radio éducative Radio suisse romande La Sallaz JOJO Lausanne
Merci de joindre une enveloppe dûment remplie et affranchie.
P atouf-Balou
(Publié avec l'aimable autorisatù..Jn de l'auteur.)
Texte et musique: Noël Delmat
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par Jacques Yvart
Jacques Yvart, né dans
les brumes des rivages du Nord, issu d'une lignée de marins, navigue aux vents qui lui soufflent dans la tête, et dans ses chansons l'amour et la mer se confondent. «Il a la mer dans le sang comme les chanteurs par chez nous ont les verts pâturages, la vigne et les montagnes dans les tripes!» Jacques Yvart est accompagné par Nono Muller.
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Ces deux compagnons présenteront, chanteront et joueront les accompagnements instrumentaux de trois chansons traditionnelles.
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Vendredi 24 février 1984 (10-16 ans)
Chantons pour passer le temps
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C'est la gourmandise Qui le fait bouger Sans les friandises Il serait couché.
Il s'en va tranquille De son petit pas , Cueillir des myrtilles Ou des fraises des bois.
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Refrain
Patouf-Balou aime le miel, Il n'a pas peur des abeilles. P atouf-B alou aime le miel, Même quand elles piquent ses oreilles.
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1. Chanson de Pico. N. B. Cette chanson a déjà/ait l'objet d'une précédente émission uA vous la chanson» (septembre 1983).
Fifi -la-Grenouille
2. Chantons pour passer le temps. 3. La chaloupe à l'eau.
Texte et musique: Noël Delmat 1.
Partitions:
La ligne mélodique avec les accords de guitare et le texte des chansons diffusées peuvent être obtenus gratuitement à l'adresse suivante:
Sur un nénuphar Ell' habite une maison Au bout de la mare Derrièr' la touffe de joncs
«A vous la chanson!» Emission de radio éducative Radio suisse romande La Sallaz JOJO Lausanne
Refrain
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Fifi-Ia-Grenouille Ne connaît qu'une chanson Quand ça pleut ça mouille Ell' fait un plongeon Et plouf!
Caracole Texte et musique: Noël Delmat
3.
Moi, Caracole, le grand cheval blanc Du château du ciel Je frapp' le sol, je fil' comme le vent Autour du soleil 1.
Je suis l'ami de tous les enfants Et je les emmène Dans le jardin du bon roi Pan-Pan Voir les arbres Zan 2.
J'ai un trésor caché dans les champs D'une étoile naine La Voie lactée me tisse un turban Pour le Nouvel-An 3.
Dans mon palais d'or et de diamant Quand je me promène Je fais jaillir des fleurs en frappant Mes sabots d'argent
Chantons pour passer le temps
2.
Un p'tit farfadet Lui a donné le pouvoir De se transformer Et de ne pas se fair' voir
Refrain
Merci de joindre à votre envoi une enveloppe-retour dûment remplie et affranchie.
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«Monsieur, vous vous moquez de moi, Vous me badinez, vous me faites rire, Monsieur, vous vous moquez de moi: Je suis embarqué au port de Lorient; Je suis né à la Martinique, Et même je suis enfant unique; Et c'est un navir' hollandais Qui m'a débarqué au port de Boulogne, Et c'est un navir' hollandais Qui m'a débarqué au port de Calais.)) 4.
Ils ont ainsi vécu sept ans Sur le mêm' bateau sans se reconnaître, Ils ont ainsi vécu sept ans, Se sont reconnus au débarquement. - «Puisqu'enfin l'Amour nous rassemble, Nous allons nous marier ensemble; L'argent que nous avons gagné, Il nous servira dans notre ménage, L'argent que nous avons gagné, Il nous servira pour nous marier.)) 5.
C'ti là qu'a fait cette chanson C'est l' nommé Camus, gabier de misaine, C'ti là qu'a fait cette chanson, C'est l' nommé Camus, gabier d'artimon, Matelots, faut carguer l'grand voile, Au cabestan, faut qu' tout l' mond' y soye, Et vir', et vire, vire donc, Sans ça t'auras rien dedans ta gamelle, Et vir', et vire, vire donc, Sans ça t'auras rien dedans ton bidon.
Mélodie populaire (chanson à virer au cabestan)
Elle s'est transformée, En un étrange animal Qu'il faut attraper, Pour être heureux, c'est normal ;/:.
3.
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1
Chantons pour passer le temps Les amours jolies d'une belle fille, Chantons pour passer le temps Les amours jolies d'un' fill' de quinz'ans. Aussitôt qu'elle fut promise, Aussitôt elle changea de mise Et prit l'habit de matelot Pour s'embarquer à bord du navire, Et prit l'habit de matelot Pour s'embarquer à bord du vaisseau. 2.
Le capitain' du bâtiment Etait enchanté d'un si beau jeun' homme, Le capitain' du bâtiment Le fit appeler su' l' gaillard d'avant: «Tes beaux yeux, ton joli visage, Ta tournur' et ton joli corsage Me font toujours me rappeler Z'a une beauté que j'ai tant aimée, Me font toujours me rappeler Z'a une beauté que j'ai tant aimée.»
La chaloupe à l'eau Mélodie populaire 1.
Mettez la chaloupe à l'eau [bis] Matelot tomba dans l'eau Refrain
M'entendis-vous Et si toi ti moque de moi Moi ji mi moque de vous 2.
Matelot cassa sa bras [bis] Chirurgien qui était là (Refrain) 3.
Li vouli qu'on li coupa [bis] Matelot li vouli pas (Refrain) 4.
A la foire il s'en alla [bis] Et c'est là qu'il y acheta (Refrain)
5.
Refrain:
Une pipe et du tabac [bis] Et mon histoire finit là.
Il est un peu mon ami Et j'ai pris le temps de l'apprivoiser Jusqu'à la fin de sa vie Je n'ai pas le droit de l'abandonner
(Refrain)
2.
Mercredi 14 mars 1984 (8-10 ans)
Il y a du brouhaha dans le potager par Jo Akepsimas Refrain:
IL Y A DU BROUHAHA DANS LE POTAGER, OHÉ IL y A DU BROUHAHA DANS LE POTAGER. 1.
Les topinambours ont fait danser dans la cour Les rutabagas qui passaient par là. Tous les salsifis en ont perdu l'appétit Et les haricots sont tombés dans l'eau. Les radis noirs ont le cafard Les giroflées ont mal aux pieds. 2.
Les pommes de terre ont avalé de travers Quelques doryphores qui dormaient dehors. Un gros potiron, l'œil en feu, le rouge au front, Disait au fraisier d'aller se coiffer. Les artichauts criaient tout haut Que les choux-fleurs n'ont pas de cœur! 3.
Quelques cornichons dans un carré d'estragon Faisaient le gros dos devant les poireaux. Et les petits pois bombardaient du bout des doigts Un plan de laitue, qui n'en pouvait plus. Le romarin a du chagrin, Le basilic est plein de tics! Paroles: Marie-Annick Rétif (Mannick) Musique: Jo Akepsimas (Publié avec l'aimable autorisation des Editions musicales Suyapa, 27, rue de l'Hermitage, 95300 Pontoise.) Discographie: chanson enregistrée sur le disque «La Danse des Prénoms», SM 30861, cassette SM K 57. Sous réserve, pour des questions de minutage..:
Il est 'un peu mon ami Paroles: Marie-Annick Rétif (Mannick) Musique: Jo Akepsimas 1.
COMME UN GUIGNOL UN PEU PATAUD À QUATRE PATTES ET SANS CHAPEAU MATHURIN, MON CHIEN, FAIT LE FOU DANS LE JARDIN!
Comme un pierrot tout en velours, Couleur de nuit, couleur du jour, Bamboula, mon chat, Caracole sur le toit! 3.
Comme un jongleur au ventre rond, Qui mangerait tous ses ballons, Mon lapin Perlin Vient grignoter dans ma main! (Publié avec l'aimable autorisation des auteurs et des Editions musicales Suyapa, 27, rue de l'Hermitage, 95300 Pontoise.) Discographie: chanson enregistrée sur le disque «Jo Akepsimas chante pour les enfants», n° 2, SM 3011.13, cassette SM K 152
Emissions «A vous la chanson», avec Mannick ou Jo Akepsimas 1. Mannick: Lune. 2. Mannick: Une fleur m'a dit: c'est Noël aujourd'hui. 3. Jo Akepsimas: Le cheval de bois et le petit éléphant. 4. Jo Akepsimas: Si tu pars en voyage et M.E.R.C.I. 5. Jo Akepsimas: Le clown. Ces émissions sont à disposition dans les centres cantonaux de documentation. Recueil Mannick - Jo Akepsimas «50 chansons pour les e!ifants harmonisées à 2 et 3 voix égales par Jo Akepsimas ».
Jo Akepsimas nous offre aujourd'hui un recueil à voix égales dont l'intérêt est avant tout dans le répertoire proposé. Vgici 50 chansons de notre époque, qui ont «l'air du temps », que l'on chante ou entend chanter depuis des années, qui sont donc inscrites, ou s'inscrivent dans les mémoires et apparaissent avec une nouvelle parure, celle du chœur, celle des voix qui cherchent à être ensemble pour une expression collective dans la rigueur d'un art vocal plus affirmé. Elles chanteront ainsi dans un jour nouveau tant la différence est grande entre une chanson interprétée par un soliste, et la même chanson confiée au chœur. L'art choral est celui de l'intelligence équilibrée entre les voix qui se rencontrent, et les sensibilités de chacun qui se cherchenl dans la musique. Autour · d'une partition on construit du bonheur. Ce bouquet de chansons chorales est fait de fleurs de ce bonheur. Marcel Corneloup N. B. Disponible aux Editions Suyapa, 27, rue de l'Hermitage, 93500 Pontoise (France).
Opération « Histoires policières» Cherchez le coupable III
Editeur respo nsa ble: Radio-Télévision éducative roma nde Sous-commission de production Décembre 19 83
et « Ma première chanson»
Conception graphiq~e et illustrations : Phil ippe Aquoise, Lausanne
(27 janvier 1984) Une troisième série d'épilogues imaginés par des élèves à l'enquête policière de Claude Depoisier. En bref, A nna et Lise, deux écolières curieuses, mènent l'enquête à propos du vol, au Musée municipal, du célèbre tableau «Les Baignoires de Reneuze». Inutile de préciser que cette aventure peut également faire l'objet des illustrations les plus délirantes!
Concours d'ill ustr ations
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«Ecouter, lire, illustref), une démarche que la Radio éducative vous propose de mettre en pratique en vous mettant dans la peau d'un éditeur de «polars ». Il s'agit d'imaginer:
soit une couverture de livre (Format A4) Techniques: libres
soit une affiche de promotion (Format A3) Techniques: libres à envoyer jusqu'au 15 mars 1984, avec titre, collection et nom d'auteur. Un impératif: donner envie de lire le livre. Cela d'autant plus que les meilleurs travaux illustreront la nouvelle collection de poche que les Editions Loisirs et Pédagogie lancent pour mettre en évidence les créations émanant des classes romandes et d'auteurs en herbe. Apprendre à regarder, c'est apprendre à communiquer. Alors, lancez-vous dans l'aventure des illustrations policières.
Délai d'envoi des travaux: 15 mars 1984 Adresse: Radio éducative Concours d'illustrations Maison de la Radio 1010 L ausanne.
N. B. Les textes peuvent être obtenus à la Radio; les cassettes du 29 juin et du 1er juillet 1983, ainsi que celles des 14 et 16 septembre 1983, sont à disposition dans les Centres cantonaux.,
Concours «A vous la chanson» ( rr et 3 février 1984)
Renouveler le répertoire des chansons enfan-
Dans la même perspective, par l'entremise de la Radio éducative et de l'opération «Bleu de Gênes», les enfants de Suisse romande avaient l'an dernier, participé à un concours international du même genre, dont les chansons primées seront également diffusées au cours de ces deux émissions. Plusieurs milliers de textes en provenance de France, de Belgique, du Québec et de Suisse ont fait l'objet d'une présélection par un jury de spécialistes internationaux de la pédagogie, de la chanson et des médias. Les 50 textes retenus ont été présentés à des compositeurs-interprètes de langue française. Chaque artiste a choisi un texte selon son cœur. Vous aurez donc, dans ces émissions, l'occasion d'entendre les plus grandes vedettes de la chanson française: entre autres Charlebois, Henri Dès, Roland Magdane, Ricet Barrier qui chantent ou disent des textes suisses.
Actualité La montée du fascisme (JO février 1984) Place de la Concorde, Paris. 6 février 1934. Manifestation monstre organisée par l'Action française de M. Maurras et divers groupes d'extrême droite. Elle réunit plus simplement tous les mécontents de France. Le prétexte: la mise à pied du préfet de Paris, Chiappe, dilns les relents de scandale de ce que l'on a appelé «l'affaire Stavisky». Cinquante ans après, Damien Rudin, à partir du descriptif de cet événement, évoquera l'ambiance politique française et européenne de l'époque et en analysera divers aspects caractéristiques: crise économique, - antiparlementarisme, - aspiration à de nouvelles valeurs qui conduiront l'Europe à la guerre.
tines grâce aux enfants, tel était l'objectif de ce concours lancé par la Radio éducative, parallèlement à 1'« Etoile d'or 84». Cette incitation à l'écriture a permis aux élèves de 6 à 15 ans de composer des textes, harmonisés ensuite par des musiciens de chez nous. A vec la complicité des auteurs et des . compositeurs qui avaient donné leur accord, sont nées ainsi des chansons aux thèmes divers qui, nous l'espérons, entreront dans le répertoire en(22 février 1984) fantin grâce aux jeunes. Dessiner la musique, l'attraper, la mé-
Initiation musicale L'oreille en colimaçon
langer à l' air, voilà ce que vous propose Picasson, ce petit personnage sautillant de 1'« Oreille en colimaçon» qui, avec son crayon sonore, dessine la musique dans le silence. A traits courts, longs, hauts ou bas, et parfois rigolos, Picasson, de son bras en mouvement, vous invite à «écouter» un dessin et à danser comme si la musique était dans l'espace.
R adiographie « L'animateur de radio a-t-il une âme?» (2 mars 1984) La radio, à l'instar des autres médias, transforme le réel en fonction des agents de la communication qu 'elle utilise. L'animateur de radio est un des personnages clés qui mérite d'être débusqué.
Il s'agit, dans cette émission, de faire prendre conscience à l'auditeur, en l'occurrence l'enfant, des trucs, des astuces de métier, des styles et autres contraintes qui conditionnent «le naturel» de l'animateur.
A partir des bruits de la vie quotidienne, Gilbert Brodard et Marie-José Broggi situeront les lieux, les ambiances de réception de l'émission matinale animée par Jean-Charles Simon entre 6 et 9 heures. Passant à l'univers sonore des petites cuillères, des brossages de dents et des rasoirs électriques au studio d'émission, nous humerons l'atmosphère dans laquelle officient Maître Simon et son compère le professeur Gnasso. Jean-Charles précisera son rôle entre 6 et 9, ce qu'il connaît du public et ce qu'il croit que l'auditeur attend de lui. Pour leur part, dans une série de courtes interviews, les auditeurs préciseront ce qu'ils attendent d'un animateur et comment et pourquoi ils écoutent la radio le matin.
Pédagogiquement, l'émission sera conçue de manière à pouvoir comparer le ton, le style, la manière, des animateurs à diverses époques, cela au moyen des archives de la radio. On pourra alors jouer à imiter en classe des animateurs-présentateurs type «Salut les copains» , Radio Boumboum, Radio culture ou Radio Londres comme nous le suggérera JeanCharles Simon par divers exemples.
Actualité Un test révélateur: Les réactions du public en cas d'accident. ..
(16 mars 1984) Ce document diffusé l'automne passé dans l'émission magazine «Samedireportage» nous interpelle à des titres aussi divers que celui de piéton, passant ou usager de n'importe quel moyen de locomotion, mais plus encore à celui d'homme, de femme ' d'être humain.
Georges Glatz, à son habitude, est pédagogue autant que journaliste. A partir de deux cas concrets simulés un homme s'écroule en pleine rue, un scootériste gît en rase campagne - et en collaboration avec la gendarmerie vaudoise, il montre, sans prendre parti, de cômportements, réactions, faux-fuyants, élans généreux. Rien que de l'humain ... Il nous interroge par l'entremise de ses interviews. Ses interlocuteurs? Cela aurait pu être moi, cela aurait pu être vous. Un document détonnant pour une leçon de vie!
Chemin faisant Un pays, 26 capitales: Stans et Sarnen
saint Nicolas et la pratique de la pêche et de la chasse dans notre pays, se poursuit. Avec Gil bert Jolliet, nous marcherons, le 17 février, sur les traces de Tell, au gré des musées, des statues dédiés au héros à l' arbalète.
des sons : « La journée de Victor»
(28 mars 1984)
(23 mars 1984) De son périple en Suisse centrale, Gilbert Jolliet nous rapporte un kaléido-
(J 7février et 6 avril 1984)
Sans entrer dans une querelle d'historien, nous essaierons, par le biais de la réalité tangible des manifestations et des monuments, de donner aux jeunes auditeurs les moyens de se faire une opinion entre légende et faits historiques . . Et le 6 avril, un autre aspect de la Suisse centrale: l'important nœud des communications qui l'innervent du nord au sud. Ce pays de cois, de montagnes, de forêts, essentiellement voué à l'agriculture, jadis déjà lieu de passage des marchands, est-il entamé par le tourisme? En quoi a-t-il changé? Autant de questions auxquelles Gilbert Jolliet répondra avec la complicité des gens du pays.
Cette série de six émissions, où l'on a appris, le 14 octobre 1983 , l'origine du mot «Suisse», celle du drapeau helvétique, où l'on a évoqué, le 25 novembre 1983, divers aspects de l'architecture traditionnelle, la légende de
Environnement A la découverte
scope d'images, de couleurs, de sonorités, d'interviews dont émerge une approche inédite des chefs-lieux des demi-cantons de Nidwald et d'Obwald. Rappelons que cette série, commencée par Schwytz le 30 septembre, se poursuivra, par région, au gré des pérégrinations du journaliste.
Voy age en Suisse centrale
Un grand nombre d'enseignants se plaignent en disant: « Les enfants n'écoutent plus.» A notre époque, l'enfant vit dans un climat d'excitation; il vit au milieu de bruits p~rmi lesquels il lui est impossible de faire un choix; tout lui est provocation: bruits de la rue, fond sonore dans le cercle familial, musique tonitruante des orchestres, fond sonore entretenu à l'école par le grand nombre d'enfants dans des locaux non insonorisés et aussi par le «bain de paroles» dans lequel le fait vivre l'enseignant. Les enfants sont noyés dans un flot de paroles; ils n'écoutent plus et, fait plus grave, « ce flot de langage, ils ne le comprennent pas» ils prennent l'habitude de ne pas comprendre, se coupant ainsi involontairement de toute comm unication. Il apparaît donc nécessaire d'aider les enfants à faire un choix et de solliciter, de leur part, une attention auditive plus sûre. Par le jeu et la fiction, dans l'itinéraire de la journée d'un enfant, Victor, nous entrerons dans l'univers des sons pour apprendre à écouter et à mieux entendre.
Rencontre DIP - SPVal Février
Mars Mardi 6
Mardi 3
la troisième émission.
Mardi 21
Document : Une émission des archives de la RTSR choisie en fo nction de « L'événement du mois)) des27et 28 fcvrier. LUI/di 12 et mardi 13 TV -Sco pie: « Anatomie d'un rait divers». Du faità saprèsent ationàla ( .un c)) d'un quotidien, quelle objecti vité? + Un fil m de " La course autour de chez soi 83» .
~~~~~I~~~~i:e ~,~'~o~~;~~:,o~ed<~~ ,~~~~i;-~Se~t· d~
diffu sio ns de l' a nn ée passee, premi ère partie de
Mardi 7: (Pas d'élllission en raison des Jeux olympiques) LilI/di 13 et mardi 14 TV -Scopie : «Quelle presse pour Icsjeunes? ». Qui conçoit et selon quels critères ces Ill agazines trop bien adaptés aux Illythesdel'adoleseence ? + Un film de «La course autour de chez soi 83 ».
Janvier LilI/di 16 et mardi 17 TV -Scopie: « les radios libres ». Les nouvelles radios pour l'audit oire jeune : comment fonctionnent-elles? Avec qui ? + Présentation des émissions -TV ·Scopie.
Mardi 24 Documentaire: «( Balade à
travers
la musique
populaire »: les idiophones (3). A la suite des
LilI/di 30 et mardi 31 Tclac tua lité : «l'événement du mois ». Un theme choisi en fonction de l'actualité. + Présentation des émissions Telac tualité et un film dc (c La course âutour de che z soi 83)),
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Document: Une émission des archives de la RTSR choisie en fonction de « L'événement du Illois » des 30et 31 janvier.
LUI/di 27 et mardi 28 Telac tualité : «L'événement du mois». Un themechoisi en fonction de l'actualité. + Un film de « La course autour de chez soi 83 ».
Mardi 20 Documentaire: «Balade à travers la musique populaire »: les idiophones (3). Deuxiéme par· tie de la tro isièmeemission.
Avril mOls» des 26et2 7 mars. LUI/di 9 et mardi 10
!i3~~~~,~d~~~~:~é:~r~ei~~~~»d';~i~:~~~ Pour plus de précision sur les titres et les contenus des émissions, se référer aux programmes radio et TV publiés dans les quotidiens et hebdomadaires.
Lundi 26 et mardi 27 Tel a ctualité: «l'événement du mois ». Un thème choisi en fonction de l'actu alité. + Un film de «La course autour de chez soi 83».
Diffu sions : lundi de 17 h. 15 à 17 h . 45 ; mardi de 14 h. 15 à 14 h. 45 (ou 15 heures).
Telévision Educative
Rien n'est plus préjudiciable à la bonne résolution des problèmes posés par l'école que l'incompréhension ou l'animosité régnant entre les partenaires qui en assument les principales responsabilités. C'est avec cette saine évidence en point de mire qu'œuvrent de concert les responsables du DIP et les enseignants regroupés au sein de la SPVal. Le 15 décembre dernier, le Service de l'enseignement primaire et des écoles normales et le comité de la SPVal se rencontraient à Sion, sous la présidence de M. Pannatier, afin de partager quelques réflexions communes et afin, surtout, de chercher ensemble des voies d'efficacité et d'harmonie. Assurance du personnel enseignant
Le premier point d'importance à l'ordre du jour traitait de l'assurance du personnel enseignant dans le cadre de la «Loi sur l'assurance accidents (LAA) », dont les dispositions nouvelles entrent en vigueur au 1er janvier de cette année. En ce qui concerne la couverture des accidents professionnels, il y a identité de vue entre la législation nouvelle et ce qui était admis jusqu'à aujourd'hui, à savoir: les communes assurent le personnel enseignant contre les accidents professionnels et les primes sont à leur charge.
Radio Educative Janvier M = Mercredi (6- 10 an s, 9 h. 30, RSR Il) V = Vendredi (10- 13 ans, 9 h. 30, RSR Il) . MI [ Folk[ore, rondes et comptines Mini·zoo avec Sophie Makhno V 13 A la découverte ... des cadeaux M 18 Environnement Après l'odorat, l'ouïe, apprecions le goût V 20 Anthologie l a Saga du rock: les années 70 Il M 25 Conte inachevé Delai d'envoi : 17fèvrier 1984 V 27 Opération «Histoires policières» «Cherchez le coupable » + nouveaux épilogues inventes parles élèves
Portes ouvertes sur l'école Lundi 10 h. 20 h. RSR II
10 h. 30 et 19 h. 30 -
9 Les jeux électroniques, un bien, un mal?
16 J'apprends à lire à mon bébé 23 Le sport de compétition et l'école 30 Ecole et orientation professionnelle
Février
Mars
MI" Concours « A vous la chanson» Retours + ( Ma première ch anson ) V 3 Concours« A vous la chanson» Retours + ccMa première ch anson » M 8 L'information à travers une histoire Etreenfant, avoir faim ... V [0 Actualité La montée du fascisme M 15 A vous la chanson «Au pays magique du bon roi Panpan ... avec Patouf-Balou, Caracole et Fifi -Ia-Grenouille V 17 Evénements d'hier et d'aujourd'hui Voyage en Suisse centrale III Sur les traces de Guill aume Tell M 22 Initiation musicale L'oreillé en colimaçon V 24 A vous la chanson «Chantons pour passer le temps» par Jacques Yvart M 29 Environnement « Les surprises de l'êtang))
V
2 Radiographie
M
7 -COlite inachevé
V
9 Anthologie
Portes ouvertes sur l'école 6 Quelle image les parents ont-ils de l'école? 13 Laboratoires de langues à l'école 20 La désertion des bibliothèques scolaires? 27 Sujet d'actualité ou les cours à optionrcvelateurs d'aptitudes?
«Regard sur le métier d'animateur radio» avec Jean-Charles Simon
EpÙogues des enfants
M 14 V 16 M 21 V 23 M 28 V 30
L. Sagadu rock : les annees 70[[[ A vous la chanson ,dl y a du brouhaha dans le potager » parJoAkepsimas Actualité Les réactions du public en cas d'acci· dent Initiation à la poésie Chemin faisant Un pays, 26 capitales: Stans et Sarnen Environnement A la décou verte des sons : La journée de Victor Initiation musicale La comédie musical~ a méricaine
Portes ouvertes sur l'école 5 Quelle histoire? 12 L'école gratuite est-elle vraiment gratuite? 19 Conjoncture économique . et budgets scolaires 26 Ecole, progrès et résistance aux changements
Avril M 4 Conte avec suggestions d'activités «Grain d'aile» de Paul Eluard
V
6 Evénements d'hier
et d'aujourd'hui Voyage en Suisse centrale IV . Image d'un pays : topographie et vOies de communications M II Folklore, rondes et comptines V 13 Initiation àla poésie chantée d'aujourd'hui
Portes ouvertes sur l'école 2 La 10' année scolaire «obligatoire» 9 Les leçons particulières
Pour ce qui a trait aux accidents non-professionnels, la situation est moins claire ou moins susceptible de donner immédiate satisfaction à tous, car certains points d'application demeurent encore controversés en leurs modalités. La prise en charge partielle des primes par les communes ou les associations de communes pose quelques problèmes administratifs et humains. Il semble, par exemple, que certai-
nes communes aient déjà assuré leur personnel enseignant en supportant la totalité des primes. D'autres ne sauraient l'envisager. Ainsi, sur le plan pratique, comment ne pas imaginer que la part de prime prise en charge par l'employeur risque de varier d'une commune à l'autre? Quel sera le travail possible des communes si les primes sont calculées en % des salaires et qu'elles ne disposent pas des éléments nécessaires à leur établissement comptable? Et si l'employeur paie les primes, acceptera-t-il que l'Etat récupère l'indemnité journalière? Ces questions, et bien d'autres encore, poussent à penser que les communes gagneraient à s'inspirer du même principe de répartition que l'Etat pour les fonctionnaires: 1/3 à la charge de l'assuré et 2/3 à la charge de l'employeur. La session de janvier du Grand Conseil aura probablement à en débattre encore, aussi faut-il s'attendre à une information officielle en la matière pour le début de l'année. La SPVal a 45
eu l'occasion, au cours de la séance, de rappeler son attachement à ce que tout le monde soit traité sur pied d'égalité et que l'on évite les disparités entre les communes . Les représentants du DIP, quoique respectueux de l'autonomie communale, ont pris bonne note des interventions faites sur ce théme.
Aménagement des programmes De tous côtés des voix s'élévent pour demander une plus grande précision dans les objectifs pédagogiques et une clarification de ce qui est essentiel dans les apprentissages. En réponse à ces requêtes et à ces inquiétudes, la Conférence des chefs de département de l'instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CDIP/SR + TI) , a décidé le 17 novembre 1983, ce qui suit : «Une démarche visant à préciser les notions essentielles à acquérir et les aptitudes à développer chez les élèves doit être entreprise en Suisse romande comme dans les cantons, et cela sur la base du plan d'études CIRCE. »Les organes romands, à travers la concertation, en particulier entre la CS 1 et la SPR, chercheront et proposeront dès que possible, à la CDIP / SR + TI la procèdure la plus adéquate d'ajustement et d'aménagement en la matière,
sans affaiblir ou diminuer les exigences des programmes .
Enseignement de la langue allemande
» ... Sous l'autorité de la CS 1, mandat est donné à l'IRDP d'élaborer un projet de propositions. Cette étude se fera en deux ètapes, l'une d'élaboration, l'autre d'observation ... »
Le rapport relatif à l'enseigne_ ment de la langue allemande occasion d'un examen de con~
L'objectif principal de cette étude attendue est de définir quelles sont les acquisitions essentielles dans les programmes de toutes les disciplines pour assurer un passage harmonieux d'un degré à l'autre et définir également à quel moment il convient de situer la maîtrise des principaux savoirs et savoir-faire. Pour ce faire, il sera désigné un groupe d'étude romand , composé de 17 ou 18 mem bres (7 délégués désignés par les départements, 7 désignés par la SPR , 1 ou 2 désignés par le CARESP, 1 représentant de l'IRDP et 1 représentant de SIPRI) et un groupe de référence cantonal qui comptera probablement en son sein les responsables de branches à l'échelle du canton ainsi que des enseignants délégués par la SPVal. Dans tous les milieux intéressés, on souhaite que ce travail prenne forme rapidement, aussi convient-il de se féliciter pour la diligence mise à faire aboutir ce projet. Dès le début février, en effet, ce travail pourra entrer en phase de concrétisation; il devra être achevé en 1989.
co mité cantonal
Rapport de la pre' 'dente
science et d'une réflexion bien- 1 SI venue , a été examiné avec beaucoup d'attention par les responsables de la langue" (Semb rancher, le 12 novembre 1983) ainsi que par les inspecteurs Les questions soulevées méri~ tant un prolongement et une CP ou à la CIM ou à un petit analyse plus détaillée encore ' Monsieur le conseiller d 'Etat, groupe au sein du comité, soit Monsieur le chef de service il a été décidé de créer un~ à la présidente soit encore par de l'enseignement primaire, commission mixte DIP - SPVal des rapports qui nous viennent Monsieur le président dans laquelle les deux parte~ de Romandie (SPR - IROP de la commune naires seraient équitablement etc.). de Sembrancher, représentés. Madam e la présidente ce qui concerne la commisEn Les commentaires suscités de l'assemblée, sion «Petite Enfance », j'ai le par ce rapport ont été l'occaMesdames, Messieurs plaisir de vous annoncer que sion pour M. Pannatier de resiles invités, les souhaits émis par la comtuer historiquement l'introducMesdames, Messieurs mission PE. ont été pris en tion de l'allemand dans son les délégués, compte et acceptés par le OIP contexte (intervention au Chers collègues, La commission PE. devient Grand Conseil en 1972), de une commission du OIP ce qui replacer l'aspect pédagogique C'est au nom du CC que je facilite le travail de ces collèdans son horizon romand et de vous adresse ces quelques gues (décharges - indemnités). resouligner à quel point, en mots et ces quelques comcette matière, comme en d'aumentaires du rapport d'activité tres, les contacts avec le cycle SPVal 1982 - 1983. Enquête sur le frança is d'orientation devraient être Ce rapport ayant été discuté étroits et fructueux. Cette enquête que la SPVal a dans chaque assemblée de organisée par le canal des disCe type de séance où des pardistricts, j'essaierai d'être brètricts a été faite dans le seul tenaires mettent en commun ve tout en précisant quelques but de donner la parole aux leurs visées, disent leurs exipoints. Tout d'abord, vous avez gences et se font un devoir toutes et tous lu les noms et enseignants car le CC a été assailli de tellement d'avis difd'être à l'écoute de l'autre, me adresses et numéro de téléférents que la seule façon de semblent d'un grand profit phone des membres du comisavoir ce que les enseignants pour l'école, sa gestion, sa té. Si cette liste a été publiée, avaient à dire c'était de le leur mission. L'Ecole valaisanne ce n'est pas par ostentation demander. s'efforcera de vous donner un mais pour permettre à tous les bref compte-rendu des deux Nous vous avons fait part des collègues de nous atteindre faprochaines, prévues pour le 13 principales remarques. Si cercilement s'ils ont un problème. avril et pour le 12 janvier. Je crois aussi utile de préciser tains d'entre vous souhaitent recevoir les chiffres de détail Jean-François Lovey comment travaille votre comité cantonal. Première remarque : de cette enquête, ils peuvent le comité assure de façon col- s'adresser au CC. légiale la marche de la SPVal L'introduction du français renouvelé est une opération délice qui ne veut pas dire que les avis ne diffèrent pas, mais cate sur laquelle nous devons tous nous pencher - demannous arrivons toujours à un der un temps de réflexion. Bien consensus et c 'est extrêmement rare qu'un vote doive insûr, nous ne sommes pas des tervenir pour trancher deux pophilosophes ni des linguistes sitions ... Le CC se réunit à peu mais nous sommes des pratiprès tous les quinze jours de ciens, nous savons ce qu'est 18 h à 22 h. Bien entendu nos une classe et je crois qu'à ce discussions fondamentales niveau bien des spécialistes sont préparées par des études devraient écouter plus les repréalables confiées soit à la marques des enseignants.
Certes, le clivage entre le spécialiste et le praticien ne date pas d 'aujourd'hui. Je ne résiste pas à l'envie de vous lire les lignes suivantes.' Entre théorie et pratique : un langage à trouver On peut se demander pourquoi la pédagogie constitue le lieu où se marque avec le plus d'insistance ce clivage. Tout se passe comme si l'enseignant ne pouvait se reconnaître dans les fondements qui l'habitent , comme si la théorie ne pouvait s'édifier que sur la négation de l'expérience et de la technique du praticien. Dès lors, rien ne devient plus suspect aux yeux du théoricien que la revendication du praticien, qui veut voir apparaître dans la parole du théoricien les traces de cette pratique particulière qu'est l'enseignement; a fortiori, bien sûr, rien ne devient plus suspect aux yeux du praticien que cette ingérence trop uniforme ou trop distancée de la «théorie du théoricien» dans la quotidienneté éducative! Bulletin de l'Educateur 1912.
Il n'est pas dans mon intention de minimiser l'action des spécialistes. Face à l'évolution des programmes des diverses disciplines (math., env. , français, etc.) il a bien fallu avoir recours aux animateurs, seulement voilà, certaines lacunes sont apparues, telle méthodologie a été presque érigée en dogme, certains moyens d'enseignement quand ils étaient mis à disposition étaient peu pratiques, voire inadéquats. Au début, les enseignants ont été ébranlés mais n 'ont rien osé dire ou presque, avec les années, ils ont pris du recul, ils souhaitent être mieux associés à l'élaboration, à la mise en place et surtout à l'évaluation des nouvelles méthodes. J'emprunte au président de la SPR la conclusion de ce chapitre et avec lui, je pense que la
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vérité est dans la classe, que les dimensions de notre profession sont riches de promesses si nous savons rester attachés à certaines valeurs qui ont pour nom: autonomie, curiosité, lucidité, équilibre et responsabilité. En ce qui concerne l'environnement, la SPVal souhaite une banque de tests mis à la disposition des enseignants. Ces tests doivent être disponibles quand un enseignant le souhaite et ceci tout au long de l'année, soit pour vérifier les connaissances de ses élèves, soit pour se rassurer quant à la qualité de son enseignement. Ces tests ne doivent en aucun cas devenir des examens de promotion. Loi scolaire: je vous propose de ne pas traiter maintenant ce chapitre puisque Monsieur le président du DIP vous la présentera tout à l'heure. Je pense qu'il vous donnera aussi des indications quant à /'information qui paraÎtra dans la presse. Nous reviendrons pour les questions après le discours de Monsieur Comby. Mi-temps: un arrêté a été décidé par le Conseil d'Etat et publiè dans nos journaux corporatifs, je n y reviens donc pas. Restructuration: je remercie toutes et tous les collègues des districts qui se sont rendus compte du travail que re-
présente la gestion d'une as- commissions permanentes qUi sociation telle que la nôtre. Je tous grâce à leur travail assu_ crois même que les assem- rent la bonne marche de notre blées de districts ont été plus association. J'associe à ces généreuses encore et qu'elles \remerciements les présidents proposent des décharges pour de districts, leur comité ainsi leurs présidents de districts. que tous les collègues qui s'inJe vous demanderai après la téressent et œuvrent à la discussion du rapport d 'activité SPVal. de voter spécialement sur le principe de la décharge des A vant d'ouvrir la discussion présidents de districts. J'ajoute permettez-moi de vous fair~ que le CC se rallie tout à fait à part d'un vœu d'un appel du ' CC. vous à cette proposition. SPR: je n'ouvrirai pas ce cha- Les changements dans le dopitre puisque nous avons le maine scolaire qui caractériprivilège d'avoir parmi nous le sent notre époque augmentent président de la SPR Monsieur considérablement la diversité Jean-Jacques Maspéro. Je des situations auxquelles chapense que vous lui poserez que enseignant est confronté. toutes vos questions concer- Cette évolution accélérée pronant la SPR et plus particuliè- voque chez des collègues un rement le déroulement du désarroi qui se traduit par un congrès. Je le remercie pour la repli sur soi et par un désintécompétence et l'élégance avec rêt, un désengagement des aslaquelle il préside les desti- sociations professionnelles. nées de la SPR. Alors que plus que jamais les FMEF: nous avons l'honneur organisations professionnelles d'avoir parmi nous Monsieur ont besoin d 'adhérents dynaRevaz, président de la FMEF et miques qui expriment leurs Monsieur Erasme Pitteloud, opinions, qui analysent les sisecrétaire permanent qui vous tuations et font part à leurs entretiendront des actions meassociations de leur point de nées et des problèmes qui vue. La vitalité des sections de n'ont pas manqué à notre fédédistricts et de la SPVal dépend ration durant l'année écoulée. de l'engagement et de la préIl me reste à remercier nos sence active de ces membres. autorités pour leur collabora- Aussi utilisez les canaux mis à tion et je veux exprimer mes votre disposition par vos assovifs sentiments de reconnais- ciations. Chers collègues, ensance à l'égard des membres gagez-vous et serrons-nous du CC, de la secrétaire, des les coudes. Je vous remercie.
Cours de natation
1
Tous les enseignants: les instituteurs, les professeurs de l'enseignement secondaire du premier et du deuxième degré, les maîtres d'éducation physique, sont invités à participer à un cours de natation ayant comme thème le «DAUPHIN» et qui aura lieu à la nouvelle piscine municipale de Saint-Maurice le samedi 18 février 1984 de 14 h à 17 h. Le but de ce cours est d'améliorer votre technique personnelle et de vous donner des indications méthodologiques qui vous aideront dans la pratique de votre profession. Les meilleurs films que possède la cinémathèque de Macolin vous seront présentés en complément. Les cours pratiques seront dirigés par des instructeurs suisses de natation. Laissez-vous tenter et renvoyez votre inscription à temps. Encouragez aussi vos collégues à participer.
,
TA LON-RÉPONSE
Cours de natation pour les enseignants, Saint-Maurice à envoyer à :
Nicolas Métrailler Aéroport 13 1950 SION
jusqu 'au vendredi 10 février 1984.
Nom: Prénom: Adresse: .. ...
Téléphone:
Tournoi de hockey sur glace
L'AEPSVR organise à nouveau cette année un tournoi de hockey sur glace pour les enseignants. Chaque centre scolaire ou groupe sportif est invité à y participer.
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TALON-RÉPONSE
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Tournoi de hockey sur glace du samedi 25 février 1984 à envoyer à: Nicolas Métrailler Aéroport 13 1950 SION
Délai: vendredi 17 février 1984 (joindre le récépissé du bulletin de versement).
Nom de l'équipe: ... ...... ... .... . Responsable de l'équipe Date
samedi 25 février 1984.
Lieu
patinoire de Martigny.
Horaire
de 14 heures jusqu'à la fermeture de la patinoire.
Nombre de joueurs 5 joueurs minimum.
de
champ
Nom:
et
un
le plus complet possible, mais au minimum: casque, coudières, jambières, gants, canne.
Mode de jeu
à déterminer selon le nombre d'èquipes, mais en principe les matches ont une durée fixe (temps non effectif).
Prix
Adresse:
gardien au
Equipement
Arbitrage
Prénom:
assuré par les organisateurs, selon les règles officielles.
challenge à l'occasion du 50e anniversaire de l'AEPSVR (attribution définitive à l'équipe qui le gagnera 3 fois en cinq ans). Information complémentaire (027) 2327 56 / (021) 2329 12. Inscription jusqu'au vendredi 17 février 1984 à l'aide du talon-réponse après avoir versé la somme d~ Fr. 20.- au CCP 19 - 838 AEPSVR - Sion. Indiquer au dos du coupon: Tournoi de hockey sur glace.
Téléphone: ... .. ... ..................... ............ .................................. ............. .
1
Section ACM / SPVal
Programme d'activités
Nouvelles acquisitions 0018
Décembre
Ouvrages de pédagogie et de psychologie
Possibilité d'assister à la pose des vitraux conçus par le peintre Decarli et réalisés par Michel Eltschinger, maître-verrier, pour l'église de Champsec. Explications et commentaires par les deux artistes.
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Janvier
Cours de patchwork Etude des techniques de base permettant de créer ' coussin, panneau, etc ... Centre scolaire du Sacré-Cœur, Sion, les mardis 10, 17, 24, 31 janvier, 7, 14, 21 et 28 février de 17 h 30 à 19 h 30. Professeur: Madame Ruth Jacques.
13 janvier Découverte du cheminement de Christine Aymon à travers ses tissages , broderies, peintures, dessins et photographies exposées au Foyer de la Fondation Gianadda. Visite commentée par l'artiste. Mars
Vacances de Carnaval (une journée) Visites de l'atelier du maîtrë-verrier Michel Eltschinger à Villarssur-Glâne et du Musée du vitrail à Romont. Cours d'arrangements floraux à l'école d'art floral à Martigny, les mardis 13, 20, 27 mars et 3 avril de 19 h 15 à 21 h 15. Professeur: Jean-Marie Leemann. Avril
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Poèmes et contes
Exposition organisée par la Section ACM/SPVal en collaboration avec l'ODIS. Thème: «Transformer».
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Comment stimuler la créativité? Conférence avec diapositives par Marcel Rutti. Un mercredi après-midi à Sion.
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Mai
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Cours sur le cuir Six soirées, à Sion. Professeur: Etienne Moret. Juin Visite commentée de l'exposition Rodin à la Fondation Gianadda.
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Tous les enseignants sont les bienvenus. Renseignements au (026) 2 34 23 ou (027) 86 32 47.
PANCHAUD, Georges. - Ces impossibles réformes scolaires. Lausanne, Editions Réalités sociales, 1983, 334 p. MEYLAN, Jean-Pierre. - Evaluation d'innovations dans l'école primaire. Genève, Paul Haupt, 1983. REHBEN, Hélène. - De l'oral à l'apprentissage de la lecture. Paris , Hachette, 1983, 157 p. (Classique). SKRZYPCZAK, Jean-François, BURLET, Roland. - 1 à 3 ans. Vers une personnalité autonome. Lyon, Chronique sociale, 1983, 56 p. (Eveil). PANTILLON, Claude. - Changer l'éducation. La thématique du changement dans le cadre de l'éducation permanente. Lausanne, Age de l'homme, 1983, 146 p. BRONCKART, Jean-Paul, KAIL, Michèle, NOIZET, Georges. Psycholinguistique de l'enfant. Recherches sur l'acquisition du langage. Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1983, 292 p. (Actualités pédagogiques et psychologiques). FITOURI, Chadly. - Biculturalisme, bilinguisme et éducation. Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1983, 300 p. (Actualités pédagogiques et psychologiques). MAGER, R.F. - Pour éveiller le désir d'apprendre. Paris, Bordas, 1978, 108 p. BESSE, Jean-Marie et FERRERO, Marc. - L'enfant et ses complexes. L 'œdipe, la castration, /'infériorité, les différences, la rivalité ... Bruxelles, Pierre Mardaga, 1983, 210 p. (Psychologie et sciences humaines). Le l:Jandicapé face aux loisirs. Journée d'étude du 7 mai 1983 organisée par le c9mité de l'ASA.
-
CHARPENTREAU, Jacques. - L'almanach de la poésie. Paris, Editions ouvriéres, 1983, 238 p. (Petite enfance heureuse). CHARPENTREAU, Jacques. - Mon premier livre de poème. Paris, Editions ouvrières, 1983, 176 p. (Petite enfance heureuse). Présence du merveilleux: poèmes, contes, mythes et légendes. Portrait et inédits d'Yves Martin. Poésie, N0 108, 109, 1983, 160 p . GEUS , Robert. - En faisant des galipoètes. Paris, Magnard, 1983, 96 p. (Anthologie de poche 2001). GEUS, Robert. - Poèmes à tu et à toi. Paris, Magnard, 1983, 96 p. (Anthologie de poche 2001). BOUDET, Alain . - Mots de saison. Paris, Magnard, 1983, 47 p. (Anthologie de poche 2001). Mon grand livre de Noël. Paris, Deux coqs d'or, 1982, 168 p. Il était une fois 1 et 2. - Contes de Grimm, Andersen, Perrault... , Paris , Grasset, 1983, 10 vol. (Collection Monsieur Chat).
Art
-
-
DEBECKER, Micheline et Luc. -II y a 40000 ans, la naissance de l'art. Pougnadoresse, Groupement pour la recherche l'étude et la diffusion de l'art pariétal, 16 p. ' Richesse des musées suisses. Lausanne, Editions 24 Heu~ res, 1981, 335 p. LUTHY, Hans A., HEUSSER, Habs-J6rg. - L'art en Suisse 1890-1980. Lausanne, Payot, 1983, 295 p.
Bulletin d'information de la Bibliothèque du centre de formation pédagogique et sociale
(CFPSJ N0 15, janvier 1984 Gravelone 5, 1950 SION, téléphone (027) 234004
Géographie
-
DAVENPOT, William Wyatt. - Athènes. Amsterdam, Time-Life 1982, 200 p. (Les grandes cités). ' TREICHLER, Hans Peter, STARCK, Georg. - Le Danube Lausanne, Editions Mondo, 1983, 160 p. .
Histoire
-
PICHARD, Alain. - Vingt Suisses à découvrir; portrait des cantons alémaniques, des Grisons et du Tessin. Lausanne Editions 24 Heures, 1975, 253 p. ' BENZ, Gérard. - Le percement du Simplon: 50 ans de négociations en faveur de l'Europe. Genève, Georg, 1983, 343 p. (Contact). BORY, Jean-René. - L'histoire suisse en bandes dessinées. la Confédération des dix-neuf cantons à nos jours. Neuchâtel, Delachaux et Niestlé, 1983, 48 p. in-quarto. BROSSE, Jacques. - Les tours du monde des explorateurs. Les grands voyages maritimes, 1764-1843. Paris, Bordas, 1983, 230 p. L'ordinateur. Utilisation dans la vie quotidienne. Paris, Editions de la Nouvelle Librairie, 1983, 64 p. (Encyclopédie intégrale de la vie pratique). BELLANGER, Gérard. - Le cinéma dans la classe. Données pratiques pour la création collective et l'analyse du langage cinématographique. Tournai, Casterman, 1977, 188 p. (Enfance, éducation, enseignement).
De
-
-
Cassette vidéo histoire
CVh
74
L'histoire en question: Pompéi
1 h 25'
Activités humaines
CV st
11
Téléscope: Japon, la course au bout du siècle. Le Japon des robots.
Diapositives géographie
G G
39 40
GA 46
34 dias Formation et types d'avalanches Moyens de protection, d'étude et de secours 34 dias (avalanches) 32 dias L'Iran
CHAUVIÈRE, Michel. - Enfance inadaptée: l'héritage de Vichy. Paris, Editions Economie et humanisme, les Editions ouvrières, 1980.283 p. (Politique sociale). 362 .7CHA
DELlON, André G. - l'èducation en France : problèmes et perspectives. Paris, la Documentation française, 1973.208 p. (Panorama de la France). 371 DEL
DUBOCHET, Michèle . - Les ergothérapeutes: problèmes des professions paramédicales. Vevey, Editions Qelta, 1979. 303 p. (Sociologie en Suisse) . 36.08DUB
DROUILLARD, Richard . - Vas-y. .. Débrouille-toi/!! Lausanne, Association romande des parents d'aveugles et d'amblyopes, 1981. 93 p. (Traduit de Move it). 376.32DRO
FOURNIER, Jacques. - Le pouvoir du social. 2e édition, Paris, PUF, 1981 . 288 p. (Economie en liberté). . 36.07:304FOU
FABRE, Jean-Marc. - Jugement et certitudes: recherche sur l'évaluation des connaissances. Berne; Francfort/M.: P. Lang, cap. 1980. 215 p. (Exploration . Recherches en sciences de l'éducation) . 371.26FAB
GIROD, Roger . - La politique sociale dans les pays occidentaux: diagnostics 1945-1980. Lausanne, Réalités sociales, 1982. 128 p. (Politique sociale) . 36GIR
1. Liste des acquisitions récentes
de la bibliothèque Politique HADI, Abdel. - Le public face à l'administration. Paris, Editions Berger-Levrault, 1978. 242 p. (L'administration nouvelle). 323 .2.HAD Economie politique BOIS, Philippe. - Emploi et politique sociale. Lausanne, Réalités sociales, 1982. 272 p. (Politique sociale). 331.636 .07BOI Droit - Jurisprudence GILBERT, Guy. - Des jeunes y entrent, des fauves en sortent. Paris, Stock, 1982. 277 p. (Stock/2). 343 .81 GIL
DEGOUMOIS, Valy. - Pensions alimentaires : aide au recouvrement et avances. Genève, Médecine et hygiène, 1982. 288 p. 347 .615DEG MOSER, Jean-Pierre. - La protection du patrimoine du mineur soumis à l'autorité parentale. Lausanne, Editions René Thonney-Dupraz, 1978. 354 p . 347.6MOS
KEMPE, Ruth S. - L'enfance torturée. Bruxelles, Mardaga, 1981 . 192 p. (Psychologie et sciences humaines; 97). 362.7KEM LAUBIER, Patrick de . - L'âge de la politique, sociale : acteurs, idéologies, réalisations dans les pays industrialisés depuis 1800. Paris, Editions techniques et économiques, 1978. 273 p. 36LAU SISMONDI. - Quatre études sur la politique sociale et le développement économique. Vevey, Editions Delta, 1981. 106 p. (Politique sociale). 36SIS STRAUS, Pierre . - L'enfant maltraité. 2e édition . Paris , Fleurus, 1982. 277 p. (Pédagogie psychosociale; 41). 362 .7STR Education - Enseignement Formation - Loisirs ALLAL, Linda. - L'évaluation formative dans un enseignement différencié : ac-
Prévoyance et assistance sociale
tes du colloque à l'Université de Genève, mars 1978. Berne; Francfort/M.: P. Lang, 1979-1981 . 223 p. (Exploration . Cours et contributions pour les scien371.26ALL ces de l'éducation) .
L'aide ... sociale ... à l'enfance? Interrogations. Paris, Editions ESF, 1980. 158 p. (La vie de l'enfant). 362.7AID
C.R.E.S.A.S. - L'échec scolaire n'est pas une fatalité. Paris, Editions ESF, 1981. 206 p. (Science de l'èducation). 371.212 .72CRE
~UBERT, Jean-François. - Exposé des Institutions politiques de la Suisse à
DE LANDSHEERE, Gilbert. - La formation des enseignements demain. Paris, Casterman, 1976. 297 p . (Orientations/E3: Enfance - Ed ucation - Enseignement) . 371 .13DEL
P~rtir de quelques affaires controver-
sees. Lausanne, Payot, 1978. 317 p. 36 .07AUB
FOURNIER, Gilbert-François. - Du lycée à l'université : contribution à l'orientation des bacheliers. Zürich; Sion : Valprint, ASOSP, 1982. 195 p. (Association suisse pour l'orientation scolaire et professionnelle - Zürich). 37 .048FOU FURTER, Pierre. - Les systèmes de formation dans leurs contextes. Berne; Francfort/M.: P. Lang, cap. 1980. 429 p. (Exploration. Cours et contributions pour les sciences de l'éducation) . 371 FUR HANNAM, Charles . -Avec les parents des enfants handicapés mentaux. Paris, Le Centurion, 1980. 150 p. (Psychoguides) . 376.4:392.3HAN JOHNSON, Vicki M. - Guide progressif des acquisitions chez l'enfant handicapé mental. Neuchâtel; Paris, Delachaux et Niestlé, 1980. 205 p. (Traduit de A Step-by-Step Learning Guide for Retarded Infants and Children) . 376.4 :159.953.5JOH KRISHNAMURTI, J. - Lettres aux ècoles. Paris, Association culturelle Krishnamurti, 1982. 111 p. (Traduit de Let- . ters ta the schools) . 37 .011 KRI SCHWARTZ, Bertrand . - Une autre école. Paris, Flammarion, 1977. 257 p. 371 SCH (La rose au poing). SCHWARTZ, Bertrand. - L'insertion professionnelle et sociale des jeunes : rapport au premier ministre. Paris, la Documentation française, 1981. 146 p. 37 .048SCH ZIV, Avner. - L'humour en éducation: approche psychologique. Paris, ESF, 1979. (Science de l'éducation). 37.02ZIV
Un nouveau montage aud io-visuel
2. Enregistrements vidéo Complément N0 2 au catalogue d'octobre 1983 Thème - No
Titre
Comportement - Conditionnement VHS C 11 Test de Milgram (1 comme Icare) Education VHS E
20
Les enfants et l'amour
Handicap physique VHS H 23 Le soleil de l'aube Médical VHS M VHS M Philosophie VHS PH
47 b 48 5
Le cancer - Le diabète Un malade, plusieurs diagnostics La place de l'homme dans l'univers
Psychiatrie - Handicapés mentaux VHS M 47 b Les maladies héréditaires VHS y 20 Geel et les malades mentaux
125' fiche 60' fiche 60' 2 x 55' fiche 70' fiche 75' fiche 55' fiche 90' fiche
Psychologie VHS P 17 VHS P 18
Psy-show 1 + débat Psy-show 2 "
Société VHS S VHS S
Racisme au quotidien (Agora) L'image de la femme dans les médias
180' fiche 65' fiche
J'ai tué mon fils + débat Pourquoi?
155' fiche 105' fiche
69 70
Toxicomanie VHS T 24 VHS T 25
2 x 60' fiche 60' fiche
Durée: 20 minutes, 100 dias, cassette et manuscrit, à la disposition des écoles, de groupes de travail et de toute personne intéressée. Prix de location: Fr. 18.-. Prière de réserver à temps. Son contenu: les contrastes, en matière de formation, entre les pays industrialisés et le Tiers Monde, où vivent environ 800 millions d'analphabètes. Grâce aux efforts des pays en voie de développement, le nombre des alphabétisés a augmenté par rapport à celui des analphabètes. Notre système scolaire date d'à peine 150 ans. Pestalozzi (1747 1827) a dû se battre en Suisse pour que le droit à l'instruction soit généralisé. Il ne faut donc pas se résigner devant cet état des choses dans le Tiers Monde. La format"ion fait partie des droits de l'homme; les pays en voie de développement doivent y accéder, avec notre aide. La formation est un besoin fondamental tout autant que la nourriture, l'eau, la santé; c'est une condition de survie. L'éducation des femmes et des mères facilite le contrôle des naissances et par là-même le recul de la croissance démographique. La formation des paysans et les conseils dont ils bénéficient encouragent l'emploi de meilleures méthodes agricoles et amènent une meilleure production. Des cours d'hygiène et sur l'origine des maladies
améliorent la prévention sanitaire et l'auto-assistance. Grâce à l'instruction des ouvriers, des paysans, des techniciens et des enseignants, l'agriculture, l'artisanat et l'industrie se développent et les pays du Tiers Monde peuvent se procurer ainsi l'argent nécessaire à généraliser la formation. Les pays en voie de développement n'ont pas à reprendre aveuglément notre système d'éducation, avec ses avantages, ses erreurs et ses impasses; ils doivent créer celui qui leur convient. Cependant nous devons les aider à atteindre ce but, comme nous aidons les affamés en leur fournissant de la nourriture. La formation, en effet est promesse d'avenir, pain pour demain. Ces montages audio-visuels durent de 14 à 23 minutes. La location d'un montage coûte 18 francs. Le manuscrit permet de passer les diapositives avec la précision qui convient. Pour sa présentation, n'importe quel projecteur à diapositives et appareil à cassettes suffisent. Ces montages sont particulièrement intéressants pour les écoles, les groupes de jeunes et peuvent alimenter les discussions dans les séances d'information des sociétés, clubs, partis politiques, etc. Prière de réserver à temps auprès de: Helvetas, avenue de la Gare 38, 1001 Lausanne, tél. 021/23 33 73.
• Dès janvier 1984, vous pourrez acheter à 1'0015 de Sion le catalogue du matériel pédagogique en prêt (à l'exclusion des livres)
Vous y trouverez: les diapositives les cassettes-son les cassettes-vidéo L'eau, c'est la vie
La santé est notre affaire
De l'importance vitale de l'eau potable chez nous et dans le Tiers Monde.
En cherchant à comprendre les «services sanitaires de base» au Bhoutan, les pays industrialisés peuvent en tirer des solutions utiles pour eux et encourager chez nous la prévention et l'auto-assistance. S'aider soi-même est en effet la meilleure thérapie.
La faim, fatalité ou injustice?
Excès et suralimentation chez nous - sous-alimentation dans le Tiers Monde, comment estce possible?
susceptibles de faciliter votre tâche et de la rendre plus attrayante Profitez!
La Direction
•
Le jour où les arbres disparaÎtront Les catastrophes écologiques qui nous toucheront demain touchent déjà le Tiers Monde. Bref portrait Helvetas
Présentation de la coopération au développement et des principes de travail Helvetas.
EXPOSITION
SUR LE THÈME DE VENISE
Ou 15 décembre au 30 janvier sont exposées aux cimaises de l'Office de documentation et d'information scolaires, d'admirables photos réalisées sur la ville flottante la plus célèbre d'Europe par MM. Serge Rappaz et Bruno Clivaz. Ne ratez pas cette occasion d 'un poétique dépaysement. La Direction
ODIS DE -SION
MATÉRIEL SCOLAIRE cc Papier,
art graphique, politique et culture»
Il est possible de se procurer jusqu'à épuisement, auprès de l'Atelier pour handicapés, Bertastrasse 50, 8003 Zurich, moyennant une participation de Fr. 3.- aux frais, par envoi, le matériel d'enseignement suivant (Prière de se servir de cette feuille comme bulletin de commande):
La Didacta 84
est le centre d'information de l'enseignement
..... . exp/. «L'histoire du papier», pour les maÎtres ... . exp/. «L'histoire du papier», pour les élèves .. exp/. «Les matières premières», pour les maÎtres ...... exp/. «Les matières premières», pour les élèves
La 20e Foire internationale du matériel didactique, Didacta 84, est le principal point mondial de rencontre pour tous ceux qui cherchent des informations et des offres dans le secteur de l'enseignement. Du 20 au 24 mars 1984, les halles de la Foire suisse d'échantillons de Bâle permettront aux visiteurs du monde entier de s'informer sur toute la gamme actuelle du matériel didactique présenté par groupes spécialisés. Jusqu'ici, quelque 500 exposants ont fait parvenir leur inscription définitive en réservant une surface nette de stands d'environ 15 000 m 2 . La Suisse arrive en tête avec 4400 m 2 , suivie de la République fédérale allemande avec 3800 m 2, de l'Italie avec 1200 m2 et de la Grande-Breta2 gne avec 1000 m . Les exposants viennent de 27 pays; à l'exception des états africains, tous les continents sont représentés. Pendant cinq jours, Bâle sera ainsi le centre scolaire le plus grand et le plus international du monde.
.. .. . exp/. «Ainsi naît le papier», pour les maÎtres Une multitude de présentations spéciales, congrès et autres manifestations annexes consacrées à des thèmes d'actualité viendront compléter la Didacta 84 qui saura certainement susciter de nouvelles idées en faveur d'un aménagement efficace et moderne de l'enseignement. Les diverses présentations spéciales traiteront notamment des thèmes «choix professionnel », «microélectronique» et «peinture inobjective ». Parmi les manifestations annexes, il convient avant tout de mentionner un congrès sur le thème «L'homme entre la communication et la microélectronique ». Il sera également organisé une «Semaine scolaire alémanique»; par ailleurs, l'Association internationale de lecture (International Reading Association , IRA) se présentera pour la première fois à la Didacta. Le ' large programme d'information sera enfin complété par d'autres manifestations consacrées à des thèmes d'actualité.
.. exp/. «Ainsi naît le papier», pour les élèves .. exp/. «Le papier et l'environnement», pour les maÎtres ... . exp/. «Le papier et l'environnement», pour les élèves .... exp/. du jeu de fournitures pour réaliser du papier en classe *
Mémentos pour les enseignants ...... exp/. «Le chemin du papier vers l'Europe» ... exp/. «Les événements politiques et culturels dans l'Europe du XIVe au XVIIie' siècle» ...... exp/. «L'extension de la fabrication du papier en Europe du XIIIe au XXe siècle» ... ... exp/. «L'art de la fabrication du papier en Suisse» .. exp/.
« Histoire
culturelle de la Suisse du XVe au XXe siècle»
* Contribution de Fr. 10.- au prix du matériel d'expérimentation comprenant notamment un tamis de bronze
A l'adresse de l'Atelier pour handicapés, Bertastrasse 50, 8003 Zurich: Nom: .... ... ... ..... .... .......... ...... .... .. . Adresse: ..... .............. ..... ...
Date: . .
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La participation aux frais est jointe à cette commande, en timbres-poste ( la livraison ( )"
); elle sera virée dès réception de
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