Un déplacement! Une sortie !
* * ** * * *
Un voyage!
Service concessionnaire:
SIONHÉRÉMENCEDIXENCE
SIONLES COLLONSTHYON 2000
VOYAGES EN AUTOCARS
1950 SION - Avenue des Mayennets 3 - Tél. (027) 22 18 01 - Télex 38 646
(f~\\
· iel ~\"".y)
;f.e 1eall
le ...~\e;allf
.11
pOli' ~
rSt~ H,\\llt
[iJ ~
~
Itll~I~I~N
Meubleset Machines de bureau Papeterie Atelier de réparations
02624344
MARTIGNY Place de la Poste SION Place du Midi 48 MONTHEY Place de l'Hôtel de Ville
FÉVRIER 1985 1#'6
Bulletin mensuel du personnel enseignant du Valais romand Février 1985 XXlxe année
L'ÉCOLE VALAISANNE
paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.
RÉDACTEUR
M. Jean-François Lovey.
DÉLAI DE RÉDACTION
Le 25 de chaque mois. (Documents photographiques en noir et blanc).
ÉDITION, ADMINISTRATION, RÉDACTION
ODIS, Gravelone 5, 1950 Sion, téléphone (027) 21 6286.
IMPRESSION, EXPÉDITION
Imprimerie Valprint SA, Sion.
ABONNEMENT ANNUEL
Fr. 25.-, CCP 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le personnel enseignant, l'abonnement est retenu sur le traitement).
TARIF DE PUBLICITÉ
Couverture: 4e page avec une couleur (minimum 10 fois) mais avec changement de texte possible
2 e et 3e pages avec une couleur (minimum 10 fois) mais avec changement de texte possible
111 112 114 118
111 112 114 118
C'est bonnard d'avoir un livret
d'~-Jeunesse
la la lianque cantonale.
~
BANQUE CANTONALE DU VALAIS ~ WALLISER KANTONAL BANK
,
PLANÈTES DES COULEUR Pour la lecture suivie en 3 e _4 e
Ph. Ra usis et A. Banderet
Deux caméléons, Kam et Léon, invitent le lecteur
page page page page
Fr. 3500.Fr. 1800.Fr. 1000.Fr. 600.-
page page page page
Fr. 3200.Fr. 1650.Fr. 900.Fr. 500.-
à entreprendre un voyage magique dans le royaum e Pages intérieures:
des couleurs
111 112 113 114 118
Un livre qui a sa place dans le « coin bibliothèque» et qui contribue à: développer le goût des enfants par la beauté des illustrations favoriser la pédagogie de l'imaginaire introduire l'enfant dans le monde de la littérature enrichir son vocabulaire par les nombreuses explorations lexicales possibles
48 p.
• •• , ••-• • • • • • • • • • • • • • • yy • • • • • • • • • • • • • , ••• w.Wy •••• , . " , , , ; • Iii 1 • t 1 • • 1 1
Fr. 300.Fr. 160.Fr. 120.Fr. 90.Fr. 50 .-
Rabais pour ordres fermes: 5 fois: 5 %, 10 fois: 10 %.
DONNÉES TECHNIQUES
Délai des annonces: le 1 er de chaque mois. Surface de la composition: 155 x 230 mm. Impression :offset.
RÉGIE DES ANNONCES
Publicitas SA, Sion, téléphone (027) 21 2111 et ses agences de Brigue, Martigny, Monthey.
ENCART
Les encarts sont acceptés. Prière de se renseigner de cas en cas auprès de Publicitas SA.
Fr. 15.60
Editions L.E.P - Loisirs et Pédagogie SA, 7, /rue Saint-Martin Case postale 3211, 1002 Lausanne, téléphone (021) 224527
page page page page page
.y.y.~ •••• W.y9 •• Wy •• l 1
•
1
1 1 • ,
o
Sommaire
ÉDITORIAL Jean-François Lovey ÉDUCATION ET SOCIÉTÉ Jocelyne Gagliardi Pierre Pradervand EV Service cantonal de la santé publique Anna T. Veuthey
Elles et eux
3
Fadeur des jours . . . . . . . Les tristes baroudeurs de l'inutile Graine d 'arbre et graine d'homme
5
Education à la santé; prévention des problèmes liés aux drogues . . .. . . L'homme quotidien . . .. ... . . ... . . . .. .
Le stress et l'école Réunion de parents Ecole et informatique Cours sur le terrain Informations . . . . . . . . Une collection de pierres à l'école enfantine GRAP : pour plus de clarté Information 85 .... ..... . . La course autour de chez soi . . . . .. . . . A vous la chanson Je n'aime pas lire ... Je ne sais pas quoi lire ... Oeuvre suisse des lectures pour la jeunesse
VIE CORPORATIVE FMEF SPVal AEPSVR
Information . . . .. Le CC informe Tournoi de mini-volleyball
NOUVELLES ACQUISITIONS OOIS CFPS
7
11 12 13
On les choisit pour l'excellence de leur travail, pour leur sens de l'initiative et des responsabilités, pour leur facilité de contact, pour leur affabilité et leur ouverture d'esprit, pour l'expérience qu'ils ont accumulée, pour leur rayonnement, pour leur maÎtrise, pour leur conscience professionnelle. On ajoute une étoile dans leur ciel. Puis on les sort partiellement de leurs classes afin d'aider les autres à y mieux rester. On les décharge d'une partie de leur horaire pour les mieux charger d'horizons nouveaux.
ACTUALITÉ PÉDAGOGIQUE Alex Willa et Annick Lathion François Mathis Claude Vouilloz CE CE Chantal Mayoraz Charly Oayer RTVE éducative TV éducative Henri Métrailler Jacqueline Tornay Michel Pellaud
INFORMATIONS OFFICIELLES OIP Le Conseil d'Etat OIP
Elles et eux
17 19
20 21 21 22 24
29 41
43 44
46
On les familiarise avec une terminologie, des attitudes et des exigences. On les forme. On leur donne des mandats, des objectifs, des délais. On les regroupe pour leur donner confiance et assurance, tant il est réconfortant d'être plusieurs sur des landes inconnues. On les veut missionnaires ou pionniers. On leur apprend la patience et l'audace.
49 49 51
Cours de perfectionnement 1985 . . . . . . . . . . . . ~écision du 21 novembre 1984 . . . . . . . . . . . .. Elaboration des méthodologies et moyens d'enseignement de l'environnement . . . . . . . . .... .... .. .
53 56
Liste des récentes acquisitions Bulletin d'information
61 67
57
ELLES sont ANIMATRICES ILS sont ANIMATEURS. Il leur arrive de douter, d'avoir peur, d'être irrités, d'être las. Leurs rêves sont souvent peuplés de pourquoi et de comment et pour s'apaiser, ils comptent les regards fraternels de leurs collègues. On attend beaucoup d'elles et d'eux, ils le savent, et leur tâche en est d'autant plus difficile. Puissent ces fleurs sans épines ni éclat, leur dire notre gratitude.
Jean-François Lovey Photo de couverture : Raoul Chédel
c
Fadeur des jours «L'individu qui pense, contre la société qui dort, voilà l'histoire éternelle; et le printemps a toujours le même hiver à vaincre.» Alain Pas possible, il doit y avoir un filtre efficace et discret aux frontières de ce pays pour que les bruits du monde nous parviennent aussi aseptisés. Le visage de la planète, en ce temps-ci, a des rides sanglantes et des regards glacés d'injustice: les pauvres, Popielusko, le Sahel, Bophal, les chômeurs, les immigrés... Bien sûr, le monde va mal, ce sont des évidences, mais ces évidences nous les tolérons et nous avons, pour y répondre d'helvétiques silences. Il est vrai que l'année nous confronte nous aussi à un problème unique et d'importance, le froid. Mais peut-être est-ce à l'âme que nous avons froid .. . Pourtant nous clamons tous les jours, dans notre pieux canton, à travers des porte-paroles choisis et convaincus, le respect de la vie. Et curieusement, cette noble expression devient embarrassée, fourbe, porteuse de jugements illicites et de choix politiques informulés dès qu'elle est transférée au champ de l'âge adulte ou à celui des «autres», ces rastaquouères qui viennent nicher chez nous quand le soleil de leur pays se fait inclément.
Photo Raoul Chédel
Les préoccupations plus généles exigences de reuses, conscience sont à chercher pardelà les montagnes, dans la lecture et la relecture, par exemple, de ces paroles du merveilleux et désespéré Abbé Pierre:
((Les premiers violents, les provocateurs de toute violence, c'est vous. Et quand le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants avec votre bonne
Jy.y.y"., •••• yy • • • • ,"y •• ,", ••• w•• "w ••• ,.y,.,~".,' """...... •.
,~
Il.ltt~~III,
1
• • • • • • • • ,111
1
L
conscience, au regard de Dieu vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscients que n'en aura jamais le désespéré qui prend les armes pour essayer de sortir de son désespoir.» Bénis soient ces êtres-là qui, à travers une parole, font appel à notre jugement moral et réveillent ce savoir que l'âme perte en elle . Dans le confort terne où nous nous enlisons, les prophètes qui répercutent des messages de générosité sur les parois de ce siècle nous sont nécessaires car ils nous ouvrent des lucarnes sur les mondes oubliés de la détresse . Ceci ne serait finalement rien d'autre qu'une petite réflexion personnelle à dérouler chacun selon sa fibre si nous n'avions charge d'éduquer ces enfants qui nous sont confiés et qui n'imaginent sûrement pas que leurs aînés frôlent le monde avec autant de négligence . Une éducation morale peut-elle s'enseigner? Certains d'entre nous savent de toujours que le plus grand bien qu'on puisse faire aux enfants découle de la communication qu'on a avec eux, du regard qu'on leur porte et de la qualité de l'image humaine qu'on leur offre. Ceux-là tentent, sans chercher à supprimer ce que l'éducation comporte de risque, d'aider les enfants à devenir capables de discernement quand bien même ils ne choisiront jamais à leur place. Ils contribuent à les rendre courageux, maîtres de leurs désirs et de leurs colères sans jamais nier
-YW.y •••• ' .1111
1
Les tristes baroudeurs de l'inutile
• Depuis quelques années, en janvier, certains journaux n'ont plus qu 'une chose en tête: le Paris-Dakar, ral/ye automobile devenu célèbre en quelques années. Les médias en ont fait une quasi épopée, médias qui, de plus en plus, offrent le spectaculaire, le sensationnel, /'insolite ou le scandaleux en pâture à leurs lecteurs, à la place d 'une information qui permettrait de mieux comprendre un monde de plus en plus complexe. 1/ était temps de réagir contre cette forme moderne de panem et circenses. L'Ecole valaisanne a demandé au responsable du Service Ecole Tiers Monde de le faire. Il Y a trois mois, ,j'ai passé quatre jours avec des paysansanimateurs, responsable d'une étonnante organisation de «selfhelp» villageoise, décrite dans le numéro de décembre de l'Ecole valaisanne. Mustapha Dembele, le responsable de la région de Mopti (Mali) nous racontait comment, dans sa région , les paysans affamés avaient dû manger plus de 400 bœufs de labour sur 419 qu'ils venaient de recevoir et qu'ils devaient payer. Mamadou Sissoko du Sénégal nous rapportait que dans sa région les paysans avaient vendu leurs charrettes et même leurs charrues pour acheter un peu de mil pour survivre . Mais peut-être est-ce à l'âme que nous avons froid .. .
la liberté qui est en eux et qui est le fondement de toute morale. Ces pédagogues-là éviteront peut-être à leurs élèves de connaître la même situation qu'un personnage de Platon dans le mythe d'Er: programmé pour la vertu, un individu perd
tout jugement face à une situation nouvelle. Ainsi, dans l'audelà où chaque homme choisit sa part avant de se réincarner sur la terre, notre homme choisit le lot d 'un tyran, lot qui comporte des conduites abominables comme manger ses propres enfants:
«Pourtant cet homme était de ceux qui venaient du ciel, après avoir vécu dans une cité bien ordonnée,' mais il avait contracté sa vertu par habitude et sans philosophie. »
Jocelyne Gagliardi
••••••••••••••••• • ..•••••• "y ••••••••••••• "" ••••••••• ,.",. .
I~~t.~'
Et c'est à ces pays ravagés par la famine que l'on offre le spectacle grotesque de gros bolides qui traversent en trombe les villages africains, monstrueuse fanfare de l'inutile qui fauche sur son passage d'innocents Africains (en 1982, un jeune Malien mortellement blessé dans son village, en 1984 au Burkina-Faso , une jeune mère tuée et son enfant grièvement blessé). Gageons que personne n'a été poursuivi en justice. Pourtant on s'imagine sans peine nos propres réactions si un riche Africain avait fauché à 100 à l'heure une vieille paysanne d'Evolène.
Photo Oswald Ruppen
'
••• tt
types ayant coû'té des sommes astronomiques qui s'éparpillent dans le désert dans des pays où le revenu moyen par tête n'est parfois guère plus de 250 à 300 francs suisses! Qelle image du «développement» présente-t-on à ces pays où la voiture est déjà devenue le symbole du statut social par excellence, et où le petit fonctionnaire privera sa famille de nourriture pour payer l'essence de la voiture?
Avant Noël, beaucoup, beaucoup d 'encre a coulé chez nous autour d'un certain film Emmanuelle jugé choquant, offensant pour la moralité, obscène même. Pourtant, la véritable obscénité, n ' est-ce pas cette cavalcade de véhicules pétaradants dénommée Paris-Dakar traversant des pays frappés d'une dramatique famine, cavalcade qui représente l'essence du gaspillage le plus absurde qu'on puisse imaginer pour la seule gloire de fabricants de voitures, de vedettes en mal de publicité (Caroline de Monaco conduisant un 10 tonnes!) sans bien sûr oublier les caisses de la Thierry Sabine Organisation, qui s'emplissent de pièces sonnantes et trébuchantes : les seuls droits d'inscription ont augmenté de 26 % en 1985 et s'élèvent à 12500 francs français pour une moto, 24 500 francs français pour une voiture, 30500 francs français pour un camion . A condition d'avoir un véhicule à sa disposition , il en coûte 150000 francs français à un amateur pour participer.
3 janvier 1985.
Quelle image de gaspillage stupide en effet que ces litres d'essence brûlés pour rien dans des pays où souvent les ambulances ne peuvent circuler par manque de carburant, ces files de proto-
Mais laissons parler le grand maître du spectacle, Thierry Sabine, qui déclarait à la fin du rallye 1982 (qui, rappelons-le, fit trois morts), «L'épreuve a été
Même le très respectable Le Monde de Paris stigmatisait cette entreprise dans des termes inhabituellement vigoureux:
«1/ y a donc lieu de crier son indignation à l 'idée qu 'une caravane de bolides assourdissants puisse étaler une certaine idée du «progrès» aux yeux de populations qui, souvent, n'ont même pas de quoi survivre, 1/ s 'agit là, il serait temps de s'en apercevoir, d'une pratique sadique de «conquérants» de l'inutile, qui considèrent la terre africaine comme un champ d 'exercice et ses peuples comme de simples figurants dont on ne respecte ni la sécurité, ni la tranquillité, ni l 'identité. Comment qualifier ce déferlement des baroudeurs des pistes et autres nostalgiques des équipées coloniales dans des pays dont on piétine al/ègrement les gens, la faune et la flore? 1/ faut l'appeler par son nom: saccage gratuitl»,
7
1
~.,"""""~ Il'~.~,
•••••••• ,", •• •••• ~
11~,j'l
..
démente. C'était chouette ... Je voulais frapper un grand coup, cela a été au-delà de mes espérances .» «Chouette» M. Sabine, le jeune Malien fauché dans son village? Thierry Sabine: «L'apport technologique est énorme, La première année, les véhicules de pointe roulaient à 120 km/h; cette année, à 220 km/h .. . En 1978, le vainqueur est une Range Rover, en 1984, la deuxième place est encore occupée par une Range . Mais elle pèse 500 kilos de moins, elle a 200 chevaux de plus et une fiabilité extraordinaire. C'est cela le progrès!» Quel progrès représente-t-il, M. Sabine, que ce soit pour nous qui vivons dans des pays où la vitesse de pointe excède rarement 120-140 km/h, ou pour des paysans qui ont dû vendre leurs charrettes (10 km/h de vitesse en moyenne) pour manger, et dont le plus grand rêve est d'avoir un vélo? M. Sabine écarte les critiques qui l'accusent d'apporter aux pays africains un aspect contestable de notre civilisation avec le bref commentaire «Ces critiques sont des réactions mondaines, des discussions de salon sans intérêt». On reste pantois devant une telle incapacité à faire preuve du minimum d'objectivité et de bon sens . Thierry Sabine: «Si le ParisDakar traverse l'Afrique, c'est qu'on veut bien de lui; les pays nous aceeptent en connaissance de cause et savent ce qu'ils en retirent sur les plans économique et promotionnel, sans
8
~
•• , 1
•••••• , 1
•
w·· •• ".,.~.,.' •• 9"""
Les Touaregs sans bétail se suicident Le Paris-Dakar lui fait vroom vroom • • • • yy • •
-~
~~ • •
! , 1 ~ l
parler du matériel qui reste sur place et qui n'est pas perdu pour tous.» Qui est ce «on» anonyme? Quelque fonctionnaire auquel on a peut-être promis quelque avantage matériel pour faciliter la décision? En tout cas pas les habitants des villages (comme cette jeune mère burkinabé tuée), les premiers intéressés. Quant aux bénéfices économiques qu'en retirent les pays, un journal romand ironisait en écrivant, «sans doute Thierry Sabine pense-t-il aux hôtels qui se remplissent et aux bars qui se vident lors des étapes» et de rappeler dans une caricature représentant un Noir affamé devant une voiture au pneu plat, «Dans ce pays, on crève facilement»! Plutôt du côté des habitants que des organisateurs. Face à ce vide intellectuel total dont font preuve les responsables du rallye, dans Le Monde, Jean-Marie Brohen et Michel Caillat, coauteurs de l'ouvrage «Les Dessous de l'olympisme» (La Découverte, Paris, 1984), soulignent avec raison que «Le Paris-Dakar, qu'on le veuille ou non, est l'expression concentrée, caricaturale parfois, des rapports qui existent entre le Nord et le Sud: exploitation, oppression, domination.1I est donc temps de dénoncer cette escapade de négriers des temps modernes.})
3 janvier 1985. Les Tiers Mondes commencent à en avoir assez de ces Européens fatigués en mal d'exotisme et de dépaysement, surtout quand ils doivent en faire les frais. Mais M. Sabine, qui parlait
d'«un certain état d'esprit moyenâgeux qui me pousse et me permet de réaliser des choses à contre courant» et lançait avéc mépris à l'égard de ces critiques, «Les chiens aboient, la caravane passe» , n'est finalement que lui-même le jouet d'institutions et de médias dont la finalité objective semble trop souvent être de détourner les gens des vrais problèmes pour les plonger dans la pseudo euphorie de notre société de surconsommation. Dans ce système, le spectacle sportif devient souvent le «panem et circenses» par excellence de sociétés à la recherche de frissons et de succédanés à l'aventure personnelle vécue, la vraie. Mais il est encore trop facile de pointer un doigt accusateur vers certaines institutions ou les médias. Car comme le disait un des premiers anti-esclavagistes, le Quaker anglais William Wilberforce, «A le droit de critiquer qui veut bien aider» (<<He as the right to criticize who has a heart to help»). Que faisons-nous, qui sommes responsables de la formation des générations montantes? «Celui qui veut faire quelque chose trouve un moyen. Celui qui ne veut rien faire trouve une excuse» dit un proverbe arabe. Que l'on soit professeur de français, d'instruction civique, d'histoire, responsable de catéchèse, que sais-je, nous pouvons initier nos élèves, dès l'école primaire, à aborder l'information - que ce soit celle des médias ou celle que nous dispensons dans nos propres cours, - de façon critique . De plus en plus, nous devons apprendre à trier, rechercher, éva-
9
Crédit Claude Nages
,
l
·w ••••••••••••••••• ,
~
•
1 • 1
t
l
,
~~~rr~[ ~' OO@~~[
luer, hiérarchiser l'information c'est devenu réellement une question de survie pour nous comme pour nos élèves. - «Comment?» direz-vous, «Où commencer?»
Inventez votre propre répon ~ se. Il n'y a pas d'écoles ou de dogmes dans ce domaine si neuf. Alors pourquoi n'inventeriez-vous pas une réponse originale à cette question?
Il Y a deux ans, en Autriche, un collègue responsable d'un centre d'information sur les Tiers Mondes me dit qu'un groupe de collégiens étaient venus le trouver en lui disant, «Monsieur, nos profs ne savent rien sur le Tiers Monde. Nous voulons les informer»! Et pendant des semaines ils sont venus à plusieurs tous les jours de congé compulser des documents, puis ils ont rédigé un document d'information sérieux pour leurs professeurs. Si des élèves peuvent informer leurs propres enseignants sur un domaine que ces mêmes élèves connaissent mal, sans doute pouvons-nous créer des approches originales et innovatrices pour aborder l'initiation aux médias avec nos élèves. Alors, rangeons le Paris-Dakar aux oubliettes. C'est le seul endroit qu'il mérite. Et commençons à nous occuper de choses sérieuses. «Celui qui veut faire quelque chose , trouve un moyen ... »
Pierre Pradervand
.................... .. • •
• • •• Lorsqu'en
1952 le démogra• phe-économiste français Alfred Sauvy inventa le terme • Tiers Monde (par analogie • avec le Tiers Etat et son rôle • dans la Révolution française), les pays dits en voie de déve• loppement avaient encore des • caractéristiques relativement similaires, surtout ceux qui • étaient encore colonisés. En • trente ans, cette relative simili• tude des niveaux et modes de développement a totalement • disparu. Entre un pays comme • Haïti, qui représente avec un ou deux aures l'extrême arriè• re-garde des pays dits «moins • avancés», et un pays comme • la Corée du Sud, aujourd'hui industrialisée, dont les multi• nationales sillonnent le globe • et qui ravira sans doute bientôt au Japon le titre de premier • constructeur naval du monde, • il n'y a pratiquement plus au• cune commune mesure. Quelques NPI (nouveaux pays in• dustrialisés) ont même '. dépassé des pays occiden• taux dans certains domaines (taux de scolarisation universi-
"\\"1
Ce spectacle s'adresse à des enfants dès 5 ans. Les spectateurs sont disposés de part et dJautre de l'espace de jeu (au sol , bancs de gym, chaises) . pour un maximum de 100 spectateurs . Espace total indispensable: 10 m sur 8 m.
• • • taire plus élevé, taux de morta-. lité' nettement plus bas, etc.). •
•
Un mot doit aider à cerner une certaine réalité, non à la ren-· dre plus obscure. Continuer à. parler du Tiers Monde comme. d'une entité homogène, c'est dans le meilleur des cas se re-. fuser à reconnaître l'extraordi-. naire diversification intervenue sur la scène mondiale depuis· une génération, dans le pire. des cas un oreiller de pares-. se.
,Itt".,
.
••
Electricité: 380 v, 10 A. Temps de montage : 1 h 30. Durée de la représentation : 50 minutes . Prix de la représentation , transport compris : 400 francs. Disposition de la salle :
•
Nous préférons ne pas nous y • reposer, et, à l'instar de. l'excellent dossier pédagogi-. que de Christian Defebvre Les Tiers Mondes (Editions. du Centurion, 1984), que nous. présenterons prochainement aux lecteurs de l'Ecole valai- • sanne, nous utiliserons doré-. navant le pl.uriel (même si la. dénomination de notre service, pour des raisons indépen-· dantes de notre volonté, reste. encore pour quelque temps au • singulier).
• • • • • • • ••••••••••••••••••• lt ••
i'
mu fJ1l®~~ lliK IIJ®~ , \1fi[ ~~rr M~[ [[~~gŒ . ~ffil W@~\j' U\i' m!l [;!]@)\fro~,
FICHE TECHNIQUE
Le ou les Tiers Monde(s) ?
,."y,.,." •••••••• ",.""" •• ,.,.""","""f.' 10
~ ~ro
~' ffiV1l®~~, ®~ n~m~~.
~J.PREV[Rt
Une production du Théâtre du Levant avec Olivier Stéphane Pascal Dayer Décors Christine Aymon Danièle Demierre Jean Lorétan Masque Moreno Ferracini
Î '----r--jL! ) ~1 ~.:
=:. .::. ~ - -
Musique Pierre Vaucher Réalisation Pascal Dayer Renseignements
: : :: ~ : =- : :
~:----_ _ _ _ AO"" ....----~)
***************
~~~~~~~:~~~ 1018 Lausanne
. Téléphone (021) 376938.
Photo Bernard Oubuis
• • • • • • • •• 1
.•
11
~y ••••••••• yyy, ••••• , J,I~ •• ~
ÉDUCATION A LA SANTÉ
L'homme quotidien
Prévention des problèmes liés aux drogues
*
Lancement de l'action «Médiateur» dans notre canton Dans le cadre des mesures préventives au niveau de l'école et comme suite à un postulat déposé au Grand Conseil à la session de printemps 1984, le chef des Départements de la santé et de l'instruction publique a chargé un Groupe Action Médiateur (GAM)de concrétiser sa réponse au Grand Conseil par la désignation, la formation et le soutien d 'enseignants médiateurs.
De quoi s 'agit -il? A la base de cette entreprise se situe le désir d'offrir au niveau de l'école et plus précisément des cycles d'orientation , des collèges et des écoles professionnelles, un lieu d'accueil d'écoute et de conseils ouvert chaque jeune qui souhaiterait exposer un problème personnel et obtenir une réponse d'adulte aux questions qui le touchent, dont celles de la drogue et des toxicoman ies.
demande, permettre un échange entre les enseignants , les élèves et les parents concernés.
Formation La formation des candidats médiateurs s'étendra de février à mai 1985. Elle sera à la fois théorique et pratique, puisque la réflexion pourra porter sur des cas concrets vécus par les participants. Le temps de formation sera suivi d'un appui des médiateurs dans la mise en pratique du programme . L'expérimentation pourra débuter dèsl'automne 1985 dans les écoles désignées. Les enseignants médiateurs nommés pourront obtenir une décharge d'heures d 'enseignement (1 à 2 heures selon les centres).
à
Qui est le médiateur? L'enseignant médiateur est le répondant de l'institution qui l'emploie. Il est motivé, disponible et formé pour accueillir l'élève consultant qu'il pourra, si nécessaire, diriger vers d'autres instances ou services spécialisés. Un climat de confiance est à la base de son action. Il est accepté par ses collègues et tient à disposition des élèves une documentation sur des thèmes d'éducation à la santé, ainsi que sur des ressources d'aide et de consultation. Il peut, à la
Service cantonal de la santé publique
** ****
Comment procède l 'alpiniste désireux de parvenir au sommet d 'une montagne et d 'en redescendre par la suite?
I! se prépare physiquement par l 'exercice qu'il accorde à son corps pouf le développer, par l'apprentissage de l'escalade, par une saine hygiène de vie. I! se prépare aussi «moralement», étudiant la montagne sous toutes ses faces, apprenant à découvrir et comprendre chacun des aspects de la route à emprunter, les signes que lui révèle le ciel (conditions météorologiques). Il doit aussi étudier le matériel que proposent les diverses firmes, les avantages et les inconvénients des vêtements qu 'offre le marché, des divers aliments présentés par la diététique. Il se tient au courant des troubles que son organisme pourrait enregistrer et des manières tant de les prévenir que de les soulager.
Il entraîne autant son corps que son esprit à reconnaître pour les dépasser chaque difficulté , chaque souffrance, chaque peur, Il chaque découragement. s'exerce à canaliser ses enthousiasmes. Enfin, il doit apprendre à progresser et vivre en équipe, solidaire en toutes circonstances de ses compagnons qu 'il lui faut donc découvrir pour s'adapter à eux. Apprenant de cette manière à toujours mieux la connaître avec ses beautés , ses dangers, ses grandeurs, le guide aime cette montagne qui contribue directement et indirectement à faire de lui un homme . Il l'aime et la connaît si bien qu 'il en devient capable de guider d'autres hommes vers les sommets, leur conseillant ou leur déconseillant les courses suivant tant les aptitudes physiques et morales des clients se présentant que suivant les cond itions météorologiques.
Certains l'écoutent; d 'autres passent outre, ne voyant que le sommet qu'ils désirent atteindre, minimisant difficultés, écueils, dangers . Qu 'importent les éléments? Ils sont hommes! , solides, intelligents , sûrs d'euxmêmes, capables de maîtrise! Qu'importent les détails? Leur intellect ne doit-il pas contribuer à dominer les forces aveugles? Pour eux compte avant tout le but, la direction, la conception globale: si l'orientation générale (la globalité) est bonne, les détails se règleront d'eux-mêmes! Peut-être lors d'une course de vitesse, sur les pistes où presque tout dépend du seul savoirfaire , basé, lui , sur le souci de l'exploit et donc sur la force, la technique : sur la capacité humaine mise au service de la performance. Là oui, les détails autres que ceux de la technique mis à part quelques piquets de slalom importent peu : le but seul et unique est la rapidité , et la piste , elle, est tracée et balisée.
o Si en dehors des pistes , la vie du skieur se déroule à l'exemple de celles de beaucoup d'autres , sans occasions habituelles d'humanisation, le regard du vainqueur ne sera que celui d'un conquérant. Celui de nombre d'autres concurrents, lui, cachera mal leur déception ... Au terme de la compétition , personne ne sera devenu plus humain .
Ainsi, le promeneur en montagne demeurera promeneur, et c 'est bien ainsi. Avec ceux qui l'accompagneront dans sa promenade, il pourra parler tant de la montagne que de sa vie, de sa famille, de ses affaires . Le promeneur aimera la montagne à sa façon ; il en connaîtra quelques aspects . Sa connaissance , suffisante pour lui , demeurera, toutefois , très partielle et, la plupart du temps, superficielle .
Les effets du courage de l'entraînement subsisteront, bien sûr, mais seront-ils transposables et... transposés à d'autres domaines de la vie? Il nous faut l'espérer.
Peut-être dispose-t-il d 'autres connaissances dans d'autres domaines ; d 'autres, aussi exigeantes que celles du guide : sa vie est, alors, réellement humanisante .
Le regard du montagnard , lui , amoureux de sa montagne , ayant appris à la regarder pour la connaître ; le regard du guide sensible à la météorologie et à tant de manifestations de la nature humaine est, lui , tout différent. En lui est contenue une grande partie de la sagesse du monde, du monde et donc de l'homme.
La connaissance du vrai guide , elle, est complète. Capable d'atteindre les sommets, il est aussi capable de flâner et autant d' admirer. Sa montagne, il l'aime, illa sent, illa respecte: il tient compte de sa réalité . Il fait corps avec elle aussi pour la découvrir jusqu'au sommet.
Il connaît la grandeur, la force des idées, des désirs vastes et élevés; son regard se porte et se pose loin . Il monte haut et il englobe .
Le montagnard sent aussi les êtres humains: de sa connais sance dépend sa survie; il capte le détail de leurs réactions .
Il connaît aussi l'importance du moindre détail et du sol et du roc et des éléments, et du regard, et du geste et du matériau ... Il sait que sans la perfection du détail, sans l'attention à ce que révèle l'instant, il n'est pas d 'aboutissement possible. Il sait aussi que l'ascension propose, au départ, des périodes et des lieux relativement aisés, des périodes et des lieux de relatif repos, des périodes et des lieux permettant la restauration des forces et l'évocation du sommet; que, par la suite, la montagne présente aussi ses parois rudes, abruptes, mobilisant toutes les ressources de l'homme, du matériel où s'abolit au profit de l'avance à travers et à l'aide du détail, la pensée du but toujours' présent et stimulant mais inatteignable si chaque détail n'est pas dépassé dans le sens complet de ce terme.
Le montagnard se connaît, enfin, lui-même dans une infinité de réactions qu'il apprend à reconnaître, à accepter, à utiliser pour les dépasser lorsque cela est nécessaire. Après un long et vaste apprentissage, il peut guider d'autres êtres sur la voie de l'ascension .. Le promeneur, lui, peut aussi, à sa manière plus modeste, dévoiler les beautés d'autres aspects de la montagne . Il peut en découvrir les richesses, les trésors de ressourcement ; et cela est heureux. Le promeneur peut faire cela. Le guide, lui, peut goûter à ces joies plus accessibles et atteindre celles des sommets . Sa connaissance est plus complète .
Y •••
~Y.Y • • • • • • • • Y•• YYY ••• Y••• ' 1
•
~
•
,
•
,
1
l,
1
Mais, globalité, admiration élans, idées ne suffisent pas! ' Pour réal iser une ascension, qu'il s'agisse de celle d'une montagne ou de celle de la vie, au grand élan . à la grande idée, à l'idée générale il faut adjoindre tous les éléments, tous les détails indispensables à la réalisation, à la matérialisation, à l'incarnation du projet. Il faut l'effort soutenu , adapté, attentif à tous les éléments que nécessite la réalisation. Il faut la reconnaissance , l'acceptation l'utilisation de chaque détail, dé: tail de la matière, détail du temps, détail de l'espace , détail de l'homme . Détail révélé par soi-même, détail émanant de la situation de la cordée . L'idée générale, lorsque étudiée, cultivée , entretenue, favorise l'éclosion du désir de l'exécution. Si le désir est suffisant, il amorce l'effort que soutiennent tant l'idée générale que les progressives et modestes découvertes et réalisations de détails en cours d 'exécution, qui permettent d'avancer pas à pas vers le but et de féconder cette progression. Ainsi, pour toute réalisation dans la vie, pas plus l'idée générale, la fameuse globalité, que l'attention aux détails ne sont à négliger et ni l'une ni l'autre ne peuvent se suffire à ellesmêmes. Sans idée générale présentant le but qUI sert de moteur, pas d'idée de réalisation , mais, sans l'élaboration de la route (de montagne ou de vie) à travers les détails, pas de matérialisation de l'idée non plus. Ainsi, l'idée générale a besoin de détails pour vivre et se matérialiser, pour s'incarner et, sans les détails , elle reste stérile et le
".'.YYY'.' ••"" "",,y, .. Ph
14
1Y • •
Elle est faite d 'amour global d 'admiration, de grands élans' de grandes idées, et cela est né: cessaire . Sans cet amour, sans ces élans , quel moteur propulse_ rait l'homme vers les hauteurs?
•••
1 1 • 1 •
4
,~
,
l'
j
••••• t
15
y •••• ~~
•
~
•
l ' \
1
1
1
•
détail, pour s'organiser et servir bien sûr et à l'évidence, nécesà une autre fin que lui-même, a saires et nous devons les élabobesoin de l'idée . rer. Là encore, pas d'opposition MAIS, cette globalité, cette mais complémentarité et fécon- conception d'ensemble, pour vidation mutuelle, l'idée fécondant vre et porter des fruits, doivent le détail de sa conception per- s'incarner. Elles s'incarnent à sonnelle, le détail fécondant travers les détails qui nous révèl'idée par les indications, les lent la route dans sa réalité possibilités et les limites qu'il lui concrète et les moyens très présente. concrets à employer, moyens matériels et moyens personnels . - Sans détails , pas de réalisation possible; l'idée reste idée et Ce sont eux qui révèlent les cao' pacités réelles d'incarnation de demeure stérile ; - sans idée générale, pas d 'exé- la personne. Ce sont eux qui cution non plus puisque pas mettent à nu la solidité et la profondeur de son idée générale plus de moteur que de but; - avec des détails mal exécutés : et de sa force d'amour. réalisation bancale ; Le détail réussi est réussite. - avec des détails seuls et donc d'élé- Le détail manqué est révélateur juxtaposés: création ments partiels, souvent vala- d'une carence, d'une faiblesse bles mais ne pouvant être orga- et devient invitation tant au pronisés et donc fécondés qu'à grès qu 'à la reconnaissance de l'aide d'une idée générale orga- sa faiblesse - qui est déjà un nisant le tout et, pour cela, te- progrès! - pour éviter le renouvellement de l'erreur. nant compte des détails . La globalité, l'idée générale tout Quel que soit le domaine, celui de nos vies surtout, si nous dési- comme le détail sont, dans la vie, dans tout apprentissage, rons parvenir à une réalisation, la conception globale toujours à d'égale importance. améliorer, à compléter est in- A nous de les utiliser judicieusedispensable. ment dans nos vies personnelles pour, en ayant reconnu tant l'imMAIS, pour son incarnation, sa réalisation portance que la valeur, devenir c'est-à-dire concrète, matérielle, le détail et aptes à servir de guides compél'attention aux détails sont tout tents et aimants à d 'autres . aussi nécessaires , car, c'est à Afin que croisse la conscience travers eux, avec leur aide que de l'organisation de notre monl'idée générale s'incarne. de: son organisation générale Le détail vaudra ce que vaut du déroulement de détail qui en l'idée et la réalisation de l'idée permet la progression vers les vaudra ce que vaut le détail fé- plus hauts sommets. condé par elle tandis qu'il l'ajusEn nous souvenant que, plus te dans le détail. nous visons haut, plus doivent Pour mener à bien nos vies, nos s'affiner nos sentiments et nos la «globalité», la perceptions, car plus étroite et progrès, conception d'ensemble sont, plus inconnue devient la voie. 16
Sur la voie de l'amour, quelle exigence d'attention au moindre détail, d'affinement de nos sensibilités pour féconder la réflexion, source de la globalité et soutien de l'incarnation dans chacun des détails de nos vies!
Dans un précédent article, nous avons fait état de la préoccupation des enseignants face au stress que subissent les écoliers. Afin de tenter de cerner le problème, la Commission pédagogique de l'AVPES Il a recherché la collaboration des associations de parents ainsi que de psychologues.
Mais, quel domaine de nos vies mérite-t-il plus grande attention?
Une première constatation s'est. imposée: une multitude de facteurs en jeu (exigences de l'école et des parents , exigences personnelles, inquiétudes face à l'avenir, difficultés dans le milieu familial , manqUe de dialogue, etc.) et la complexité de leurs interactions rendent l'analyse délicate . La charge de travail scolaire n'est donc pas seule responsable de la fatigue et du malaise des jeunes .-
Certes, dans le quotidien de nos vies, nous ne pouvons nous arrêter, dans le sens bien concret de ce terme, à chaque détail! Mais, plus nous nous sommes entraînés et plus nous prenons la peine de nous entraîner à nous rendre attentifs à eux pour les traiter de la manière la meilleure possible, plus s'affinent et s'accroissent tant notre sensibilité à eux que notre capacité à leur répondre de manière adaptée .
J
j
1
•
,
:
Notre analyse, dans un second temps, a porté sur les besoins et les motivations des jeunes à poursuivre des études secondaires.
Aller à l'école: un besoin?
Cette optique, cette attention, cette habituelle manière d'être et les progrès en humanisation qu'elles engendrent dépendent en premier lieu de l'optique habituelle et générale que nous avons de la vie, de la célèbre «globalité» donc, tout comme de sa mise à l'œuvre, de son incarnation à travers le détail.
1. L'école doit offrir les connaissances de base donnant accès à la vie professionnelle future. Ce besoin «professionnel» ne semble être la motivation essentielle que d'une minorité de jeunes, l'adéquation des programmes scolaires aux exigences d'une vie professionnelle leur échappant souvent. A cette inadéquation apparente, quelquefois réelle , il faut ajouter les difficultés à trouver des débouchés , problème lié à la conjoncture socio-économique actuelle. On' constate que certains jeunes ne sont plus suffisamment motivés pour leurs études , alors que logiquement, leur inquiétude face à leur avenir devrait les inciter à acquérir de soli-
Anna T. Veuthey
.""""" ••• "."""", ••••••••••• , •••••••• " •• w"" ~
Le stress à l'école
~
i
.
1
des connaissances de base. Nous sommes là en présence d'un paradoxe qui , loin d 'être le cas général, devient de plus en plus fréquent jusque dans les classes terminales des collèges. 2. Notre réflexion nous a placés face à un autre besoin, un besoin intern e, qui est la recherche d 'une satisfaction. Le plaisir d'étudier, la curiosité naturelle des jeunes, l'intérêt qu'ils portent à une matière, voilà probablement les conditions premières à toute acquisition .
Le rôle des adultes Les besoins de l'enfant sont souvent noyés par ceux des adultes. En effet , il est fréquent que des parents, par souci légitime de vouloir le meilleur pour leur enfant, le poussent à s'engager sur la voie qu'ils ont euxmêmes suivie ou au contraire dans un domaine où ils n'ont pas pu se réaliser. Ces ambitions ne sont malheureusement pas toujours conformes aux goûts ni surtout aux aptitudes de l'enfant. En classe, le «besoin» de l'enfant doit souvent se profiler sur celui de son professeur. Voilà deux premiers facteurs susceptibles d'entraver l'épanouissement de l'enfant, et donc générateurs de stress . Ces deux points seront repris dans un prochain article, consacré à l'as-
.y •••••• y ••••••• , •••• ' \ 4 l 4 , ~ t , '.
Réunion de parents
ment le plus fort parmi la population des 13 - 16 ans et générateur d 'ennui scolaire: les enfants sont gavés d'informa_ tions séduisantes par leur forme et qui les rendent totalement inappétents. Ainsi, sans parler du problème de fatigue physiologique qu'entraînent les nombreuses heures passées devant les écrans de la TV, dans les stades de sport, dans les discothèques, etc. il ya une réelle suralimentation visuelle et auditive. Ces signaux fort séduisants, faciles, sont reçus au détriment du développement des fantasmes et de l'imagination. Or l'imagination, avant tout, alimente la curiosité de l'enfant. L'image impose des modèles rigides . L'enfant s'identifie facilement à ses idoles de la.chanson, du cinéma et du football , qui lui sont présentés comme des gens de réussite. Alors qu'étudier .. . !
Photo Oswald Ruppen
pect relationnel, affectif de l'enseignement. Ajoutons cepen dant que l'enfant, qui possède une fantastique plasticité, est tout à fait capable de se satisfaire de ce genre de moteurs, dans la mesure où l'adulte stimulant se montre honnête et convaincu, et qu'il éprouve un réel plaisir à ce qu'il fait.
sée. Actuellement , nous déplorons vivement que les trop grands effectifs des classes ne permettent pas à l'enseignant de s'imposer comme «modèle» et ne lui ,donnent pas la possibilité d'être suffisamment disponible pour une relation individuelle nécessaire avec chaque étudiant.
Des causes non négligeables de stress apparaissent également au sein de la classe: les jeunes souvent timides ont peur de s'affirmer et de montrer leur plaisr d'apprendre dans des groupes où règnent l'indifférence et l'ennui cultivés par des camarades dominants. De même, si un professeur dispense son enseignement sans passion, l'intérêt des élèves s'émoussera et la classe deviendra vite passive, désabu-
Nous devons nous rendre à l'évidence que le rôle de l' enseignant n'est plus le même qu'autrefois: en plus de servir de «maître», il doit souvent compléter des relations humaines comme personne de référence.
Le rôle des médias Enfin, mentionnons dans la multitude des facteurs , un phénomène de société probable-
Sans être des détracteurs de TV, cinéma et sport, nous constatons simplement une overdose d'informations répondant à des questions que l'enfant souvent ne se pose pas! Seul face à ces nombreux messages, le jeune, tout comme l'adulte, a plus que jamais besoin de la réa lité des contacts humains, conflits con Ipris .
Pour conclure A ce rapide constat ajoutons que parents et enseignants eux aussi vivent cette situation comme stressante, qu'ils cherchent activement les moyens de résoudre ces problèmes d 'éducation, et ceci avant d'en arriver à la grave crise qui secoue l'enseignement dans certains pays voisins du nôtre: en France, par exemple , l'école est devenue un grand amour déçu dont on a trop attendu .. . Commission pédagog ique de l'AVPES Il Alex Willa Fédération valaisanne des associations de parents Annick Lathion
""""",y"",y""""""""""""""".,,'",l, ~'~.I~lfj,
.~~tt •• tt~}{I!I~i~II"'.'llf~I~I\; ,l~,
e ee eeeee
Au cours de l'année dernière, l'IRDP, sous la plume de Martine Wirthner, publiait un document intitulé: «Comment ont-ils été informés?», une enquête auprès des autorités scolaires cantonales romandes sur la diffusion de l'information relative au renouvellement de l'enseignement du français . De son côté, la «Fédération des associations de parents du Valais romand» s'est livrée au même type d'enquête, auprès des parents, cette fois-ci, et a pu analyser plus de 500 réponses concernant ce problème de l'information. De ces deux documents, il ressort une constatation commune, le rôle primordial du contact direct entre les parents et l'école, dans le cadre de la réunion de parents. A la question «Quel type d'information vous paraît le plus utile pour suivre votre enfant!» les parents placent en tête et sans hésitation : la réunion de parents. A ce propos, ~? insistent sur la nécessité de multiplier ces contacts privilégiés au cours de l'année: rencontres individuelles avec l'enseignant, classe ouverte (dans les premiers degrés), voire même réunion trimestrielle des parents de la classe, etc ... Le rapport de M. Wirthner insiste également sur cet aspect de l'information considéré comme un moyen particulièrement efficace. Il suggère notamment «d'associer les parents qui le désirent à la diffusion de l'information par le biais des séances de parents ou l'ouverture de la classe aux parents, voire aux députés, à la presse, ·etc .. .»
~
Ce même rapport met en évidence le rôle primordial de l'enseignant dans ce processus: «Les enseignants, d'abord euxmêmes informés, deviennent à leur tour, très souvent, des informateurs, et leur rôle, à ce titre, n'est pas négligeable; en animant des réunions de parents, ou en ouvrant leur classe au public, ils offrent une information généralement appréciée.» Sans vouloir faire porter l'entière responsabilité de l'information par les maîtres, reconnaissons que le fait d'aller, une fois, frapper à la porte de la classe pour s'entretenir, ne serait-ce que quelques instants, de questions pratiques et concrètes à propos du travail scolaire de son propre enfant, peut remplacer avantageusement de longues et fastidieuses conférences. C'est un principe pédagogique élémentaire, valable aussi pour l'adulte: celui qui trouve l'occasion de découvrir par lui-même des renseignements qu'il recherche profitera bien davantage de l'information obtenue. Encore faut-il qu'il accepte d'accomplir cet effort au départ! ... Et puis , n'est-ce pas l'occasion rêvée de démontrer, une fois de plus, que la langue est justement un moyen privilégié de communication?
François Mathis
eeeeeeee 19
•••• y.yyy.y.yy.y., 1
1~ltt'l't~ftt
. eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee e • e • e e e • e • On a souvent dit que Gutenberg avait modifié la civilisation en augmentant la diffusion de l'écrit. On répète sans cesse que l'ordinateur, lui aussi , prépare une nouvelle civilisation. Mais comment? Certainement par plusieurs méthodes, cependant un premier point est certain : ce sera en passant par l'enseignement.
Photo Oswald Ruppen
L'informatique traverse une phase de mode qui semble faire trembler toutes les couches de la population. Celui qui ne connaît pas quelques rudiments techniques sur le sujet apparaît aujourd'hui comme le dernier des imbéciles face aux médias . Il est vrai que les ordinateurs n'ont aucun précédent dans la vie quotidienne et ils exigent une attitude complètement neuve . C'est pour cette raison qu 'en face d'eux, beaucoup de gens se sentent perdus et sans ressources. Ce qu'il faut savoir:
l'ordinateur est une machine interactive ; elle fera tout ce que vous lui apprendrez à fa ire , mais cela prendra du temps : le vôtre. Et surtout n'attendez pas trop d'un ordinateur, ce n'est qu'une machine. Il est vrai aussi que maîtriser l'informatique est , à coup spr, un des objectifs qu'il faut atteindre à terme. Mais l'apprentissage de l'informatique n'est pas une question de langage que l'on enseignerait comme une langue étrangère. C 'est bien plus une nouvelle manière de penser, de raisonner et de travailler qu'il faut acquérir par un usage du micro-ordinateur et c'est bien en tant qu'outil pédagogique que
nous intégrerons un jour l'ordinateur dans nos classes. La Société pédagogique romande s'est inquiétée dès 1982 de l'essor de la micro-informatique et de son application possible dans la scolarité obligatoire . A cet effet , elle a créé une commission composée de un ou de deux représentants par canton romand . A part les problèmes d 'ordre pédagogique, elle essaie de réaliser une synthèse de la situation informatique à l'école primaire en Suisse romande . Il est probable (pour ne pas dire certain) que dans notre canton se créera une commission cantonale «Ecole et informatique», car si on est de plus en plus convaincu que l'informatique n'est plus seulement un phénomène de mode, elle rentre un peu trop vite par la grande porte . Il faut la domestiquer et la soumettre à nos services et non pas l'inverse. C'est à vous maintenant de nous faire connaître vos expériences, vos soucis et vos souhaits afin que cette rubrique corresponde à un besoin d'information et aussi, afin que cette rubrique joue un rôle de catalyseur pour que nous, enseignants , nous puissions maîtriser cette nouvelle technologie et empêcher une quelconque «imposition» extérieure de méthode ou de contenu .
Claude Voui//oz
**** * *
e
•
Connaissance de l'environnement: Informations OOIS DE SAINT-MAURICE La permanence environnement de 1'00lS de Saint-Maurice est actuellement en restructuration. Les enseignants qui souhaiteraient certains livres non encore équipés, peuvent les obtenir auprès de 1'00lS de Sion en remplissant une fiche prévue à cet effet à l'OOIS de Saint-Maurice.
Aux maÎtresses enfantines
PROFESSEUR: SUJET: LIEU: DEGRÉS: DATE : INSCRIPTIONS :
MAURICE PARVEX LE MUSÉE MILITAIRE SAINT -MAURICE ENFANTINES A 6P MERCREDI 6 MARS A 14 H 00 ODIS DE SION (027) 21 62 86
Les maîtresses des classes enfantines qui souhaiteraient un échange sur la connaissance de l'environnement à l'école enfantine pourront se retrouver le:
mardi 5 mars, à 17 h 00 à l'ODIS de Sion. La rencontre sera animée par Madame Catherine Favre.
e e e
•e
• • •
••
e • e e • •••••••• e.e •••• e.e.e ••
Une collection de pierres à l'école enfantine
Au cours d'une sortie, les enfants récoltent un objet qui les intéresse particulièrement. La plupart d'entre eux ont ramassé des pierres. Nous décidons de les collectionner. Chaque jour, les enfants en amènent de nouvelles .
Notre collection de pierres s'agrandit chaque jour. Maintenant nous leur mettons , une étiquette avec le lieu de la récolte et la date, Nous devons aussi en éliminer quelques-unes car nous en avons trop . Nous décidons d'en garder une seule de chaque sorte.
On voit comme des montagnes et des vallées
Nous les observons et les décrivons, d'abord à l'œil nu:
Chantal Mayoraz
- la mienne est rugueuse; - elle a des cristaux; - elle a du gris, du blanc même des petits points oranges; - elle est bossue; - elle a beaucoup de trous;
-
elle a des pointes qui sortent; le blanc brille; on pourrait en faire une bague; elle est violette; le bord est orange; elle a aussi un peu de bleu.
A la grosse loupe, les observations se précisent :
-
- elle a des «écailles»; - je vois des grains de sable; - on voit des montagnes et des vallées; - elle a de petits morceaux de bois; - ... de la poussière; - elle est montagneuse.
Les enfants sont particulièrement frappés par les pointes car la plupart des dessins font apparaître les pointes sous la forme de petits triangles.
LES PIERRES
NOS DÉCOUVERTES
des statues, des statuettes, des bijoux.
1
1
~
•
•
~
1
•
Pierres et minéraux, Delachaux
& Niestlé. * Découvrons la Fernand Nathan.
minéralogie,
* Particulièrement utile avec les petits degrés.
Matériel: du verre, du carton, du papier, des pierres, du plastic.
COMMENT CLASSER LES ROCHES
NOS DÉCOUVERTES
En cherchant bien sur tes échantillons les caractères particuliers de chaque type de roche , tu essaieras de les classer dans l'un des groupes suivants . Une loupe te sera bien utile.
,.
•
•
- Roche faisant un bouillonnement lorsque l'on verse quelques gouttes de vinaigre dessus lai ...... ~
La roche a un aspect de "pâte feuilletée"
La roche ne contient pas de fossiles et n'a pas un aspect feuilleté Nous rendons visite à un collectionneur
.
't " I t
c'est un calcaire
~~
La roche contient souvent des fossiles
Matériel: des balances , des pierres.
"~"~J"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~"~'"~ 1
Faisons des collections, collection Bornancin, Nathan.
2. Le groupe qui pèse.
22
\
Guide des roches et minéraux, Delachaux & Niestlé.
- On a mis beaucoup de pierres, l'eau est montée ,' - elles sont lourdes, elles vont sous l'eau,' les pierres changent de couleur dans l'eau, elles deviennent foncées ,' - l 'eau est devenue sale, il y a de la poussière,' - quand on les trempe dans l'eau, elles brillent.
des murs, des routes, des barrages, des maisons,,,.
Un jour, Linda nous amène une pierre violette et brillante. -Elle est sûrement précieuse et tellement belle que nous avons tous envie de la dessiner.
~
* Petit guide panoramique des roches, Delachaux & Niestlé.
- Les pierres raient le carton, le verre, le plastic, la règle, les autres pierres, mais il faut qu 'el/es soient pointues autrement ça ne va pas.
1. le groupe de l'eau.
Nous cherchons ensemble ce qu'on peut faire avec des pierres:
Nous en choisissons une, nous la dessinons, nous la décrivons:
- 1/ Y a des pierres lourdes et des pierres pas lourdes " - les grosses sont lourdes, les petites sont moins lourdes,' - je dois mettre plusieurs petites pour faire une grosse ,' - si on les tape sur la table, il y a de la poussière qui sort,' - el/es peuvent se casser,' les minces se cassent en deux.
EXPÉRIENCES
Nous retrouvons presque la même pierre dans deux livres qui parlent de pierres précieuses: c'est une améthyste .
mais aussi des choses moins utiles:
BIBLIOGRAPHIE Roches et minéraux, la nature en couleurs, Delachaux & Niestlé.
3. Le groupe qui écrit.
Un après-midi, nous faisons des expériences; nous nous divisons en trois groupes:
Matériel: un aquarium rempli d'eau jusqu'à la moitié des pierres.
Nous effectuons différents classements d'après les critères suivants : aspect brillant ou terne; uni ou bigarré; lisse ou rugueux; - forme longue ou ronde; épaisse ou mince; bosselée ou plate .
Guide des minéraux, Hatier.
NOS DÉCOUVERTES
EXPLOITATION D'UNE SORTIE
elle a du brun, du gris,du jaune, quand on la touche, on sent des bosses, elle sent la terre.
1
•
l
@~3
- Roche sans cristaux visibles. formée de minuscules grains de sable solidement collés: raie le verre .. .. ...... .... .. .... ..
c'est un grès
- Roche tendre (on la raie avec l'ongle) : absorbe une goutte d'eau qu'on verse à sa surface .... .. ....... .. ...... .. ............
c'est une argile
-
Roche terne .. .... .... .. ....... .... ...
c'est un schistll, une ardoislI
-
Roche brillante (on voit des micas)
c'est un micaschiste
- Roche formée de nombreux cristaux, raie le verre Ibl .......... .............. ...
c'est un gneiSS
- Roche formée de nombreux cristaux, granuleux, alJx grains bien imbriqués (on reconnaît souvent du quartz et des micas): raie le verre .. .... ..... ........ ..
c'est un granltll
- Roche dense, de couleur foncée, aspect de pâte sans cristaux .. .... ......
c'est un baultll
Remarque: C'est dans ce groupe qu'on classe toutes les laves solidifiées.
•••
23
yyy •• ~y.,,~,~
! 1 ~ t • e
••••
1
•
Pour plus de clarté
f\-
0-
1
Cl.I..D
E
o c o a. 1 II)
~
a. :l o
"
bI)
La deuxième phase du plan de travail du Groupe romand d'aménagement des programmes (le GRAP) est terminée en ce qui concerne le français, les mathématiques et l'allemand. Cela signifie qu'un premier projet du document destiné à remplacer les feuilles blanches de l'actuel plan d'études (classeur vert , CIRCE 1 et classeur rouge CIRCE Il) revient en consultation dans chaque groupe de référence cantonal pour mise au point. Si fort souvent, au niveau des discours , le fossé entre les divers partenaires de la coordination romande semble très large, ce dernier se comble lorsque des praticiens, pas trop aveuglés de modernisme, s'assoient à la même table. Chacun sait défendre sa position et, si l'enfant demeure le centre de gravité, réflexions et argumentations amènent à -un consensus sans compromissions . Les travaux relatifs à l'élaboration de ces premiers documents se déroulent ainsi dans une ambiance sereine et nous l'espérons constructive.
Projet de programmes L'exercice auquel se livre le GRAP consiste à dégager l'essentiel de l'accessoire dans chaque discipline. Pour ce faire , le programme est écrit dans des tableaux à double entrée, avec différents domaines de progression et différentes phases d 'acquisition, soit: sensibilisation (S) , fundamentum (F) et développements(D).
-
En sensibilisation figurent
les connaissances abordées en classe à titre de première approche. Aucune maîtrise n'est encore exigée des élèves .
24
- Le fundamentum correspond aux notions essentielles qui doivent être maîtrisées par l'ensemble de la classe.
associations pédagogiques ou par les DIP. Les avis émis aideront le GRAP pour l'élaboration d'un projet définitif qui sera remis à la conférence des chefs de service de l'enseignement primaire en mai 1985.
- Les développements seront nécessairement ouverts, au choix de l'enseignant, selon les possibilités et les intérêts de la classe. Ce sont des activités qui permettent l'exploitation ou l'approfondissement des notions essentielles, dans une perspective de trans - ou - interdisciplinarité .
c
1 ~ :l.o
...
1
,~
~
C
C
2
...."0 ...." II)
....
-
Ul
~ ~ro<.....
Ul
. ,-4
~ ~ .~ .j.J
' Q)
"0 1
~
;~
0 X
0
~
"
tlj)
:l "0
'" >
C
.j.J
11)
' ..,
...o
0
~
C "0
'a.x" '" ~
1
~ a.
~~
II)
'"
~
" .r< > .c a..j.J
1
Ces documents qui présentent la répartition des programmes de 1P à 6P se veulent pratiques pour le travail quotidien du maÎtre et garants pour lui d 'une autonomie dans la démarche. Affinés encore par les différents groupes cantonaux de référence , j'espère qu'ils deviennent l'outil indispensable que nous, les praticiens , attendons depuis longtemps. .
Contenus des tableaux En retenant cette manière de rédiger les contenus des tableaux (à savoir, une énumération de notions plutôt qu'une définition d 'objectifs de maîtrise), le GRAP s 'efforce de rendre le nouveau plan d 'études peu volumineux et écrit en termes clairs. De plus, ce choix permet de dégager les notions de toute contingence méthodologique et permet l'emploi de moyens d'enseignement fort divers pour atteindre l'objectif visé. J'ajouterai ici que ce n'est point un «recul» par rapport à certaines décisions antérieures , car la pédagogie active n 'est nullement mise en cause. Et chacun sait que chacun interprète un programme ou qu'édicter telle ou telle méthodologie ne chasse pas nécessairement toute scolastique de la classe. Le maître est et doit demeurer l'enseignant; laissons-lui ce rôle.
Ch. Oayer, membre du GRAP
u.
Consultation Dès cette mi-février, et dans chaque canton romand, ces projets sont soumis à examen critique auprès des enseignantes ou enseignants délégués par les
$
$
@
~ ~
@
1'$
~
~ •
NOIJ,vHOJ.:>OHJ.S 30 S3J.IJ\IJ.:>V
Cl
o 1" " " . " , . - -
~énagement
des programmes 1 -
~
.
g rap
math ematlque
6
Projet 1 décembre 84
,,,,,,,--Objecu fs / Uni tés d'apprentissage Activités Domaines de progression
~----------------------r---------------------~---
lE
4E
2E
utiliser les signe s =1=, < , >
coder des nombres en diverses bases ( groupemen t de 1ère espèce)
décomposer des nombres jusqu'à 100
décol1l~oser de~ ~ nOmbres jusqu a
coder et décoder des nombres en diverses bases ( groupemen t de 2ème espèce)
coder 'e t décoder des ncrnbres en di verseS bases ( group emen t de 3ème espèce)
1000
comparer et ordonner des codes fractionnaires
coder et décoder des nombres en diverses bases
c.oUe.~
UoYl.6 d'ob je.t6 au
moye.n. d'un.e ~oItltU teltme a tetune. U)
mCÛlJLiheJL la.
,6,{.tiatt de!.> nombltu
la dé~ompo dv., n.o mbJtv.,
Ulte., n.ommelt e.t éc.JLUz.e • ~, n.omme.lt et -tv., n.ombltv., j U6qu' à. é~Jzilte -tu n.omblte.f., 20 e.n. bMe. dix. jMqU.' à. 100 e.n. bMe. dix
H Q)
•.-1
+.J ~ Q)
,
m~elt
-ta dé~ompo ~ilion. addit-tve. e.t muLtd-pU~ati ve. dv., Homb/LU jU6qu' à. 1000
•
~,
jU6qu'à 100
jMqU'à. 20
pon.dan.~e.
dé~ompo
mai~elt ~ilio n.
• tiJz.e, Ylomme.1t et é~JU.. 'I.e. le!.> nonDJte6 j U6 qu'à. 1000 etl ba.6e. dix.
n.ommelt eX é~JziIt.e. , ÜJte, n.ommeA eX éc.JUJte -tv., n.ombltv., jU6qu'à. -tv., n.omb!te.!.> jU6qu'à. 100 000 e.n. bcue. dix la 000 en. bMe. dix.
U)
~e.1t ~oltlte.ae.me.n.t
Q)
H
~-tgn.e. ~ompalteA
-te.
~o z
-tu
~-tgn.v.,
=, :1,
>, <
-tv., dizMn.v., eX lv., UVltLtu daM un. n.omb!te. don.n.é
e •
sensibilisation
F
fundamentwn
(he.Ultv."
~ éflieA
du n.ombltv., jU6qu'à. 100
• UIte., n.omme.1t eX é~ -tu n.ombJte6 jU6qu'au m<.lUon. eX ~ éflie.Jt dv., n.ombltv., Ite.-tatifl->
~ompa.Jte.1t
de.ux te.mp~ nU.n.utv."
~e.~on.dv.,)
dv., c..aJr..din.aux. 1te.~0n.n.aitJte.
5
~ompalteA
~eA ~oltlte.ae.me.n.t
"=" pOM
F
F
f.
F
F
dv.,
comparer des nombres décimaux dont le code COw?orte jusqu'à trois chiffres après la virgule
comparer et ordonner des entiers relatifs
Numération ~ompa.Jte.1t
rechercher la correspondance entre code à virgule et code fractionnaire d'un même nombre
utiliser les nombrEs relatifs comme étaŒ (température, coordonnée, altitudes)
décomposer des nombres d'après les puissances successives de dix
sérier des nombres jusqu'à 20
F
5E
s
s
s
s
s
s
5E
3E_-----+------------------------;-----------------------T-----------------~
" Jte.COYlruû.tJte. lu ~e.n.7 taine1l, .te6 dizain.e;...
e.t le-o , urU.tu
da~
nombJte. donné -6él!ieJt du nomblte.6 jU6qu'd 1000
l~
• !te. ~o n.n.aitJte. -tv., tnLUi.elt6, ~entMn.v."
dizaA..n.v., e.t wU;tu daYl.6 un. n.omblte. don.n.é ~ éflielt
du n.ombltu jU6qu'à. la 000
6 éJu_e.1t
dv., n.ombltv., jU6qu'à. 100 000
•
~ éflieA
dv., n.omblte.f., déumaux. do nt -te. ~ de. ~ompoJtte. jU6qu'à. deux. ~M661te.f., apJtè6 -ta v-tJr.gule
• l1l
"
o
C ..-;
o
. .... Cl) .j..)..,
o ..-;
0."-; fil Cl)
C <Il
" .j..)
1
E "
0 .....
1 ::J
Cl)
()
C
o ()
Cl)
-
C C
o
"
;~ t" ...., fil
Cl)
51
.:5
~
1
c o Cl)
0.
.., " 6 ~
(/)
co c co
(.).
..,
~
C
o
fJl
,."
fil .j..)
o. .....
~
E
o
0. 0.
()
Cl
()
'01)
"
-
«J'ai rencontré un paquet de frites congelées, i 'a raconté toute s histoire. »
Cl) ::J
Cl)
..,
0-
>< ....,
c...
N
::J'Cl) Cl) 0
....., 0. fil
C
....."
....,
E
l1l
0
Cl)'Cl)
"" 0. ()
1
c
1-
iL
~ III III
~
0'
2
0. CIl
1Il'tl '41 III .., -4
~.:: o.L
xu
W'Q)
C
1=::::=::
.., 6 U
c o (f) (f)Q)
CIl
> ..... ..... ., 0
<0
Cl
r-~~~----------------------------------------
Â
SffilaI~\l!:)NV'l
______________________________~~~O
S3.!,I" l .LJIf
Cenfant, l'élève, qui nous ferait cette déclaration, sentirait bien vite peser sur lui notre regard réprobateur. Et pourtant, heureux l'enfant qui saurait d'où viennent les produits surgelés et comment ils sont fabriqués! Stimulant l'élève qui voudrait en savoir plus, et qui, partant du congélateur familial, s'interrogerait sur l'histoire de la conservation des aliments par le froid. Certes, on ne peut attendre qu'il tire ces connaissances d'une rencontre fortuit e avec un paque t de frites bavard! A moins que nous ne croyions encore aux contes de fées? Il est par contre certain qu'on peut aider l'enfant à se forger ses propres in strum ents d'investigation; favoriser ainsi sa perception et sa compréhensio n de l'environn ement quotidien . En éve illant sa curiosité et en
lui donnant les moyens de la satisfaire . C'est le but de la série que nous vous proposons dès la mi-mars 85, sous le
titre : « Un coup d'œil sur... des images du froid». Le thème du froid et de la conservation par le froid n'est qu'un prétexte, quand bien même il constituera un apport de connaissances évident. Le but principal de cette série de trois émissions est d'aider les classes (maîtres et élèves) à utiliser, plus et mieux, les images et les sons dans l'ap proche de l'environnement quotidien. On aura compris, sans qu 'i l soit nécessaire de donner de plus longues explications, qu'un des objectifs de cette série est aussi de contribuer à l'application des programmes rénovés de plusieurs disciplines, notamment pour les degrés 4, 5 et 6. Cette première expérience devrait rencontrer un large écho, tant il est vrai que les demandes de moyens d'enseignement sont nombreuses. Alors ne manquez sous aucun prétexte ces émissions et pratiquez avec vos élèves les activités qu 'elles proposent, ces activités s'inscrivant parfaitement dans les programmes scolaires. Nous attendons vos critiques.
Gilbert Brodard
29
28
' •• , •••• , •• " ••••••••••••••••••••••••••••• " " " " " " " ' " 1
t ~ i
•••••• y ••••••• ~ 1
1
~
t ,
1
• Télévision éducative
Documentaire
Les vidéo-clips
TV-Scopie
«Les clefs du regard II: des yeux pour regarder» ll./ëvriel; vers 17 h. 15 12 ./ëvriel; vers 14 h. 20 (( Irrésistiblement nous sommes entraÎnés de la civilisation du livre à celle de l'image.» René Huygue. « 1/ nous a semblé essentiel de nous pencher sur le problème de l'image et, ell quelque sorte, de son langage.»
Ainsi s'exprimaient en 1969, il y a quinze ans, les auteurs de ce qui
14 janviel; vers 17 h. 15 15 janviel; vers 14 h. 20 aurait dû être une grande série de l'ancienne Télévision scolaire. En fait, deux émissions virent le jour... Afin de marquer le sixième anniversaire de la nouvelle Télévision éducative et pour rendre hommage à ces pionniers de l'éducation aux médias, nous rediffusons la seconde émission de cette série. Son thème: « Deux réalisateurs confrontent leurs points de vue lors d'un tournage aux Ateliers mécaniques de Vevey». Deux films, deux conceptions: 1. Prodigieuse industrie 2. La liberté perdue . Une occasion de s'interroger sur l'évolution de la notion d'éducation aux médias.
« Les chansons désormais s'écoutent avec les yeux.» «Rêve éveillé.» « Imprégnation visuelle de la musique.» « Intoxication par l'image. » Ce sont différentes définitions du vidéo-clip, une mode qui consiste à plaquer des images sur une chanson. Une mode qui a surpris et qui a pris. Phénomène controversé, historique contesté, le vidéo-clip provoque des remous . Faut-il l'assimiler à un simple spot publicitaire ou à un nouveau mode d'expression audiovisuelle? Que vous soyez «fanas» ou détracteurs, pour en savoir plus, regardez le TV-Scopie sur les vidéo-clips.
25 mars, vers 17 h. 15 26 mars, vers 14 h. 20 Lancée en automne 1984, cette opération invitait les écoliers de toute la Suisse à communiquer entre eux pardelà les frontières linguistiques et les
8 janviel; vers 14 h. 20 On n'a pas tous les jours du homard! Et pour cause. Le homard devient rare, de plus en plus petit et de plus en plus cher. , . . . Aussi une equlpe de biOlogistes a créé, en Bretagne, une écloserie de homards, véritable pouponnière où l'on élève des larves . Les petits homards sont destinés à la consommation, mais une grande part de ces crustacés sont ré-immergés pour repeupler les fonds marins. Ce document nous offre de superbes images: il serait difficile d'assister à la naissance des larves en milieu naturel, bien que l'accouchement dure ... 8 jours .
Physique appliquée
Telactualité
Opération rencontre Operazione incontro Operation Begegnung
pour que vivent les homards
différences culturelles. Dans chacune des quatre régions linguistiques, des enfants, des groupes, des classes ont réalisé des reportages et des communications audio-visuelles diverses, destinés à des correspondants des autres régions. L'émission prévue à fin mars permettra de montrer ces réalisations. Si elle n'y suffisait pas, l'émission Telactualité des 25 et 26 février pourrait présenter les premiers travaux reçus.
22 janviel; vers 14 h. 20 La production de l'électricité 2. A la suite des trois premières émissions de cette série, diffusées en automne 84, la seconde émission consacrée à la production de l'électricité nous présente d'abord le fonctionnement d' une centrale nucléaire, comparé à celui de la centrale thermique à charbon. Elle se termine par quelques aspects du transport de l'électricité.
19 mars, vers 14 h. 20
La radioactivité Après la présentation des différentes sources de radioactivité, ses principes fondamentaux sont exposés au moyen d'expériences simples. Enfin, le fonctionnement d'un réacteur nucléaire expérimental permet d'aborder d'autres aspects.
La course autour de chez soi
La ville et le masque 19 jévriel; vers 14 h. 20 Le carnaval est une tradition fortement ancrée dans l'esprit bâlois . A partir d'images de la ville en situation normale, la caméra s'introduit dans les cours intérieures, les ateliers: c'est là que la fête se prépare. Huit mois de travail en coulisses pour trois jours de folie pendant lesquels la transformation doit être parfaite. La confection du masque revêt une importance toute particulière puisque le port de celui-ci pendant le carnaval permet aux gens de s'exprimer, de se libérer et d'être profondément eux-mêmes.
accepte dès .cette année vos reportages en vidéo. Les films en super-8 restent les bienvenus et sont même conseillés. Les meilleurs travaux seront diffusés à J'antenne lors d'une émission du mois de juin 1985.
Attention! Nouvelle répartition sur l'année scolaire. Délai pour l'envoi des reportages: 31 mai 1985. Consultez les conditions de participation ci-jointes.
"""""",.""" •• ,.""""""""""""", ,
1
l
1
1
l
,
1
•
•
•
t • , • ,
Il
'
,
-9".W ••• 'YY.~Y•• ~ ••• ' "
1 1
1 »1• ~ ( 1 ~ t
• Promotion
A vous la chanson! par Bertrand Jayet
(Emissions des programmes généraux de la RTSR qui peuvent présenter un intérêt pour l'école)
Emissions Magazine Musique Il serait fastidieux de citer ici toutes les dates et titres des concerts de l'émission Cadences; qu'il nous suffise de signaler qu'elle est présente à l'antenne tous les quinze jours, à partir du dimanche 6 janvier en soirée. Premier concert: William Naboréjoue Brahms. Jusqu'à fin avril, une dizaine de concerts sont ainsi offerts aux mélomanes.
Une liste de tous les documentaires diffusés par la Télévision suisse romande durant le premier trimestre ' 85, peut être consultée ou obtenue auprès des centres cantonaux de Radio et Télévision éducatives. D'autre part, le département des Emissions Magazine attire l'attention sur la nouvelle émission « Défi». Première diffusion de cette émission, qui verra une personnalité controversée défendre ses opinions et prises de position, mercredi 6 février, en soirée.
Jeux : «De A jusqu'à Z » Dès le 7 janvier, vers 18 h. 35, un tournoi intercollège verra s'affronter des équipes de deux joueurs, élèves de 13 à 14 ans fréquentant des écoles suisses. Les gains réalisés par les compétiteurs serviront à toute la classe en tant que participation à un voyage d'étude ou une course d'école.
Radio éducative
Afin de proposer aux ~
~
Initiation musicale
u
~
,~ ~
«Ma première chanson» II Mercredi 9 janvier Deuxième concours Le concours international de textes de chansons lancé au profit de la Croix-Rouge française s'est terminé par un disque où les écoliers suisses faisaient excellente figure avec des Charlebois, Henri Dès, Ricet Barrier, Roland Magdane! Une fois de plus, la Radio éducative invite les classes à écrire des textes susceptibles d'être mis en musique. Le thème: Chlorophylle et béton. Comment les enfants voient-ils le monde dans lequel ils vivent? Quels sont leurs constatations, leurs espoirs, leurs regrets, leurs critiques aussi .. . Selon une tradition bien établie et après avoir mis les travaux en évidence dans ses propres émissions, la Radio éducative soumettra parallèlement tous les textes à l'attention du j.ury du concours international « Ma première chanson». Les écoliers de Suisse romande auront ainsi une double chance de voir leur texte sélectionné et mis en musique. Les chansons sélectionnées par le jury de « Ma premi ère chanson» illustreront un conte de
20 février Michel Tournier sur disque au profit de la Croix-Rouge Jeunesse Suisse.
Nous attendons vos textes jusqu'au 15 février à: Radio éducative Maison de la Radio 1211 Genève 8
Musique en poncho: La Bolivie 25 janvier Voulez-vous partir pour l'Amérique du Sud. Attrapez alors le train d'Alfredo Dominguez et de ses musiciens. Avec son orchestre, il vous entraînera au cœur de la Bolivie. D'un instrument à l'autre, vous apprenez à connaître l' histoire de ce pays, ses coutumes, son originalité. C'est à Bertrand Jayet que nous devons ce rendez-vous avec le folklore bolivien.
Chante avec nous
Thème, objectif pour ces deux émissions: être attentif à ce qui se vit et à ce qui se chante ailleurs . Ecoute ... est une collection de disques qui existent dans le commerce et présentent, dans leur contexte, des musiques fort différentes : tels le jazz et la musique orientale (trimestre passé). Pour la fin de J'hiver, cap sur les Antilles: pays de soleil, d'exubérance, de sonorités colorées qui nous aideront à attendre le printemps sans impatience. A l'opposé, dans notre voyage folklorique en montgolfière, nous abo~de rons les pays nordiques. Pour « Chante avec nous» , le Danemark, la Finlande, la Suède, la Norvège .. . Prière de bien s'emmitoufler et de se référer aux livres, disques, cassettes produits par l'Unicef.
".1
,,~,
•••
,t'~.I~I! ••
Merci de joindre à votre envoi une enveloppe (format A4) dûment remplie et affranchie.
1.
4.
C'est un' blague à tabac, 1 . Blague à tabac, biS Où y'a plus rien dedans, Plus rien dedans, bis Où y'a plus le plus petit brin de tabac. 2. C'était mon grand-papa, Mon grand-papa, bis Qui me l'avait donnée, Cavait donnée, Un cadeau pour quand il ne serait plus 1à.
Un tout petit pinson, 1 Petit pinson, bis eayant trouvée pratique, Trouvée pratique, S'y est installé pour faire sa maison.
1
1
bis
5.
1
1
bis
C'est une blague à tabac, 1 bis Blague à tabac, Où y'a quelqu'un dedans, Quelqu'un dedans, Ça lui plairait si grand-papa savait ça.
1
bis
3.
Comme je n' veux pas fumer, Veux pas fumer, bis Je l'ai pendue là-haut, Pendue là-haut, Sur la plus haute branche d'un cerisier. 1
«Sing mit uns», Edifions Mélodine, Zurich .
t.~~.·
« A vous la chanson!» Emission de radio éducative Radio suisse romande La Sallaz JOJO Lausanne
Paroles et musique: Henri Dès
R~l
""""""""""""""""""""""""f' t.t •• t ••
un grand nombre de chansons et d'accompagnements orchestraux, nous avons supprimé la traditionnelle « partie-étude» dans deux émissions du trimestre (Henri Dès et Ginette Girardier) . Qu'en pensez-vous? Merci de nous le faire savoir! Vous pouvez, entre autres, obtenir gracieusement les do~ siers complémentaires comprenant les partitions des
La blague à tabac
27 mars
32
l''.''~'t,
.~
Ecoute ... les Antilles
chansons (mélodies, accords de guitare et paroles) l'adresse suivante:
enfants
.
(Publié avec l'aimable autorisation des Productions Mary-Josée.) 1
bis
Remarque: La partition de la chanson «La blague à tabac)) a été publiée dans le recueil « Lafête aux chansons» édité par le Service des fournitures scolaires du canton de Vaud.
33
."~"",.,Y ." •.•
~II
••""",.,,,y, , ~1~tt.'I,"I~'
u
Il neige dans mon jardin
Dessin fou
Le marchand de sable
par Henri Dès
Paroles et musique : Henri Dès
Paroles et musique: Henri Dès
1.
Refrain: Marchand marchand De sable qui passe Marchand marchand De sable est passé
C'est un dessin fou fou fou Quelle salade x2 Un dessin lalaïtou 1 Quelle rigolade x2 Ha ha ha ... Hé hé hé .. . Hi hi hi .. . Ho ho ho .. . Mm Eléphant par devant Dromadaire par derrière A l'endroit ou à l'envers Dromadaire par derrière Eléphant par devant Marche arrière ou marche avant 1
2. C'est un dessin dérangé Quelle salade
I~~ ~'~gjjJ al/en _ fIon
les
/2.5 - J es
Refrain: Il neige dans mon jardin Y'en a plein sur mon sapin Le p'tit lac est tout gelé, Tout gelé, tout gelé. Sûr'ment que demain matin Je chausserai mes patins Et je mettrai mon bonnet Pour aller patiner. 1. Faudra qu'je fasse attention De pas buter sur les glaçons bis Quand la couche est bien épaisse Attention les fesses. Refrain: Il neige dans mon jardin ... 2. Faudra que je me méfie De pas tomber devant les filles bis Elles vont se moquer de moi Et moi j'aim' pas ça. Refrain: Il neige dans mon jardin .. . 3.
J'irai p't être avec pépé C'est là qu'on va se bidonner y patin' comme un crapaud Qui Prait du vélo Refrain: Il neige dans mon jardin ...
bis
(Publié avec l'aimable autorisation des Editions Mmy-Josée.) Remarque: La chanson « 1/ neige dans 111 on jardin» a été publiée dans le recueil « La .fête aux chansons », édité par le Service des fournitures scolaires du canton de Vaud.
1
x2
Un dessin tout mélangé 1 QueiIe rigolade x2 Ha ha ha .. . Hé hé hé .. . Hi hi hi ... Ho ho ho .. . Mm Pélican par devant Lampadaire par derrière A l'endroit ou à l'envers Lampadaire par derrière Pélican par devant Marche arrière ou marche avant
1. Ferme ferme les volets Les yeux ferment les volets Quand on tire les rideaux C'est l'heure du dodo Refrain: Marchand marchand ... 2. Ferme ferme les volets Les yeux ferment les volets Quand on éteint le soleil C'est l'heure du sommeil Refrain: Marchand marchand ... 3. Ferme ferme les volets Les yeux ferment les volets Fini c'est fini la fête ~ C'est l'heure de la ronflette -t:: Refrain: ~ ,~ Marchand marchand ... ~
"1::s
,~
(Publié avec l'aimable autorisalion des Editions Mmy-Josée. )
Tu-te croises les crayons 1 Quelle salade x2 Tu mélanges les bidons 1 Quelle rigolade x2 Ha ha ha ... Hé hé hé .. . Hi hi hi ... Ho ho ho .. . Mm Mohican par devant Militaire par derrière A l'endroit ou à l'envers Militaire par derrière Mohican par devant Marche arrière ou marche avant 4. C'est un dessin fou fou fou Quelle salade Un dessin lalaïtou Quelle rigolade x2 Ha ha ha ... Hé hé hé .. . Hi hi hi ... Ho ho ho .. . Mm. 1
(Publié avec l'aimable autorisatiol/ des Editions MG/y-Josée.)
Le lapin de Pâques par Ginette Girardier Ginette Girardier présentera et chantera 6 chansons. Elle nous invitera à les interpréter avec l'accompagnement de son orchestre (arrangements: Daniel Favez). :])a'
JoL
J'ai
\ FI J3
r
VI.{
,ia/
!(tJ..
vu
mi,.,
10- p/(7
le
~
:10'
de
SoL
r
l'ô. r;ues, .5oL
,f't:,
(-=t=:I~ ; M/"
li JI
1.
0
hl
le lo-pro fOS-Se/" .
)01 Vu
10"''1
1(
ft:.l..-.
i
.50t..
b1+B
-vo) LI/? glaJ ;0 · nie/, dor'..J so lolle bien !&-- me~.
~(' çJ f) f
MI
J;
r
IQ"'l
RE~
1; JJZ~ 11
SOL
J
d!. hUJu.( o~ co - /0 -ris . J'ai vu,j'ai vu Le lapin de Pâques, J'ai vu, j'ai vu Le lapin passer. 1.
~escargot
3.
(6-8 ans)
Paroles et musique: Ginette Girardier 1. Petit père l'escargot Que portes-tu sur ton dos? «Je porte une maisonnette Qui est toute rondelette». 2. Petit père l'escargot Comment s'appelle ta maison? «Elle s'appelle coquille Ma maisonnette jolie». 3. Petit père l'escargot Que fais-tu dans ta maison? «Dans ma maison je m'endors Quand il fait trop froid dehors ». Refrain: J'aime bien ta maison Colimaçon J'aime bien ta maison Tout en rond. (Publié avec l 'aimable autorisation de Ginerre Girardier).
Il avait un gros panier, Dans sa patte bien fermée. Un panier tout décoré Plein de beaux œufs colorés. 2. Soudain il a disparu En sautant sur la barrière J'ai couru mais je n'ai vu Qu'un petit coin de son derrière. 3.
Il courait dans tous les coins Les deux oreilles dressées Il reniflait avec soin Il avait l'air très pressé. 4.
J'ai regardé dans les coins Et j'ai trouvé dans la mousse Des œufs posés avec soin Je les ai ramassé tous. 5. Toutes les cloches sonnaient Dans le clocher de l'église Le matin de Pâques chantait Le lapin lui le savait. (Publié avec l 'aimable autorisation de l 'auteur.)
35
34
"""""""""""""""""""""""""" \'. ·~I."f
1
~1 • • • I . l l '
9,.,'~.~ ,
•••"WYYYY".' ~1~t,.~1111
c Le poulailler
4. Cot, eot, eot, eot, eot J'ai bien travaillé Dit la poule au coq Dans le poulailler bis
Paroles et musique: Ginette Girardier
Anthologie 23 janvier
1
1. Dans le poulailler La poule a couvé I..:œuf bien réchauffé Vient de se casser
Cot, eot, co t, eot, eot Je t'ai bien aidé Lui répond le coq 1 Dans le poulailler bis
1
bis
2.
Dans le poulailler La poule a chanté Un poussin tout neuf 1 . Vient de se montrer bis
Des tableaux à histoires .. . ou des histoires de tableaux. Deux émissions qui allient le son et l'image et ouvrent, dans une démarche active, liée à l'enseignement du français, une lucarne sur les beaux-arts . Le mode d'emploi est simple. Après avoir enjambé le cadre, on entre dans le tableau et tout se met à vivre, les personnages, les décors, les couleurs et les formes, tout est prétexte à raconter une histoire. Avec Syla de Rawsky, animatrice d'un cours de théâtre au Musée d'art et d'histoire de Genève, nous découvrirons ce trimestre deux peintres contemporains. Dans un souci de rapprochement avec d'autres régions de Suisse, nous aborderons l'œuvre du peintre tes sinois Augusto Giacometti, à ne pas confondre avec Alberto Giacometti (voir émission du 8 février 1985). A partir d'éléments sonores, musique, bruitages, descriptions, les enfants laissent courir leur imagination et inventent des histoires. Les travaux peuvent être envoyés à l'adresse habituelle:
(Publié avec l'aimable autorisation de Gin ette Girardier.)
3.
1,2,3,4,5 5, 6, 7, 8, 9 Les jolis poussins Sont sortis de l'œuf
Les tableaux à histoires
5.
Discographie : Toute~ les chansons d(fJusées ont été enregistrées sur le disque: « Malïna au pays des chansons» de Ginette Girardier - VDE
30386. NB. Les partitions des chansons (avec accords de guitare) sont publiées sur la pochette du disque.
1
bis
Les tableaux à histoires
Radio éducative Maison de la Radio 1211 Genève 8 Délai d'envoi: Giacometti, 15 février 1985/diffusion 20 mars 1985
N.B. La reproduction de l'œuvre paraÎtra dans le Radio TV Je vois tout la semaine ' précédant l'émission. Se référer également à la presse locale. Vous pouvez obtenir une reproductio~ en couleurs, gratuite, de chaque œuvre, en écrivant à la Radio éducative ou à votre centre cantonal des moyens audiovisuels. Prix pou'r JO cartes, Fr. 3.- . Editeur res ponsabl e : Radio-Télévis ion éducative romande SOu s-commi ss ion de production Déce mbre 1984 Conception graphiqu e et illu stration s: Philipp e Aquoise. Lau sa nn e
La Boule de Verre.
36
"""""""""""""""""""""""", .
,
~~,
1~1* •• f ; I · \
'
I,"I.'~\"
'
Spécial fantastique
Radio éducative Spécial Fantastique Maison de la Radio 1211 Genève 8
II et 25 janvier
Avis aux retardataires: dernier délai, 20 février 1985.
Amoureux du fantastique à vos marques! La dernière ligne droite est en vue . La plume à la main, vous êtes certainement en train d'expérimenter cet art subtil qui endort les défenses du lecteur puis de l'auditeur, qui biaise avec ses certitudes, qui introduit progressivement le doute dans l'esprit, l'art du fantastique . Envoyez-nous vos histoires, vos contes, vos nouvelles jusqu'à fin janvier à:
Pour vous remettre en selle à la rentrée, Thomas Sertilanges vous a ménagé un rendez-vous avec Dracula, vampire oblige! Et, pour terminer en beauté, le Horta de Guy de Maupassant. Avec un art consommé, le narrateur s'interroge sur les effets de l'illusion. Dans la plus pure tradition fantastique, Maupassant ne matérialise jamais la cause du mystère mais simplement en montre les traces, les manifestations. Pierre Ruegg, dans une · mise en ondes de Jean Chollet, prête sa voix au héros de ce classique du genre fantastique.
37
•••• •••••••""",l
~.,.w,."", "II l"~
1'1~~l.'~'ti
c Chemin faisant
rRaIID!mn.~_
Mercredi 16janvier - 20 mars
Walt Disney et Mickey Mouse
A la découverte ... d'autres images
S/évrier - 29 mars (10-16 ans)
Après Richard Wagper et la mUSIque, nous partirons sur les traces d'un poète et d'un
Walt Disney! Un label plus qu'un nom. Un' univers dans lequel les enfants baignent dès le berceau. Mais qui est le père de Mickey, cette drôle de souris, née il y a plus de 50 ans? Vous l'apprendrez en écoutant l'émission de Thomas Sertilanges. Une sorte de jeu de piste musical où vous vous amuserez à débusquer les ftIms et les personnages du célèbre auteur de BD!
000
Ecouter, regarder d'un autre œil l'environnement quotidien, apprendré la technique du reportage autant que la préparation d'un synopsis d'émission, tel est l'objectif de la série « A la découverte ... » Découvrir micro en main sa rue, sa ville, son quartier est une chose. Pratiquer le même exercice dans une autre langue tient du défi. C'est ce défi que nous vous proposons de relever, vous qui apprenez l'allemand depuis deux ou trois ans déjà, en collaboration avec la Fondation pour la collaboration confédérale « Echange de jeunes en Suisse». Les classes intéressées par la réalisation d'un reportage bilingue, chez eux et quelque part en Suisse alémanique peuvent nous écrire à: Radio éducative A la découverte ... d'autres images Maison de la Radio 1211 Genève 8
Evénements d'hier et d'aujourd'hui
sculpteur: Rainer Maria Rilke (lettre à un jeune poète) et Alberto Giacometti (les statues ftIiformes) , seront nOS guides. Profitant de ces pérégrinations helvétiques et culturelles, nous découvrirons une nouvelle capitale cantonale: Coire nous révélera ses vestiges néolithiques et romains et, parcourant la cité médiévale, nous revivrons les étapes les plus marquantes des vallées rhétiques avant d'esquisser la réalité contemporaine de la petite ville grisonne.
~affaire
La Sorcière de la Rue Mouffetard
6 mars
Introduction à la vie civique pour les 9-11 ans
fII-----a.. ___
Allô l'anneau! ou les avatars d'un mille-pattes . Récit imaginé racontant les mésaventures de la tête et de la queue avec l'anneau 9, et les avatars de deux mille-pattes en panne. Derrière le récit, introduction à la n?tion de division du travail, d'interdependance des partenaires sociaux. Facile à suivre, facile à exploiter concrètement dans le cadre de la classe.
.,
.
Raconter les Droits de l'homme aux enfants, à travers des histoires de leur âge. La Case de l'Oncle Tom, Mowgli, Fanfan la Tulipe ... , offrent des situations privil.égiées, p~ermettant d'expliquer, de faIre connaltre ces droits trop souvent oubliés ... Plutôt qu'une énumération fasti?ieuse,. une. explication simple grâce a des sItuatIOns imagées.
38
., •• " " " " 1
h
.,
Dreyfus
8 mars De 1894 à 1906, une affaire politico- ~H~~~~l''''' .~~.... judiciaire va déchirer la France en deux camps irrémédiablement oppo- 1""""" 1.·B::i_"" sés. La radio éducative vous propose de redécouvrir cette affaire, au tra13 février vers d'une fiction: ce que vous auriez entendu à la radio, lorsque Zola publie son fameux J'accuse ... en 1898. Au travers d'un journal radiophoni- u\\('Jo<"L:r1nti que fictif, c'est toute une époque à 1\ III L.II~,f-n~ et autres contes de la rue Broca. ,découvrir que vous propose Damien "1~.u:m Rudin . Courbe, étroite, tortueuse et encaissée, la rue Broca existe bel et bien à Paris. Elle constitue comme un petit village qui a ceci de particulier que ses habitants, d'origines très diverses, aiment les histoires. C'est avec les enfants du quartier que Pierre Gripari a improvisé ces contes modernes. Un exercice que l'on peut sans nul doute également faire en classe avec bonheur. Dans les contes de la rue Broca, géants et sorcières surgis d'un vieux patrimoine légendaire, s'animent 30 janvie,~ 15 févrie,~ 27 février d'une vitalité nouvelle. Narquois, Un jeune poète, Philippe Morand, Pierre Gripari s'amuse à bouleverser une grande chanteuse, Catherine l'ordre du Merveilleux. Il donne ses Sauvage, feront le lien entre la musipropres clefs et sourit de l'enchanteque et les mots pour servir la poésie . ment qu'il provoque.
Initiation
à la poésie
Catherine Sauvage chante Desnos et Prévert Précieux butin que celui engrangé
par la Radio éducative. Catherine Sauvage, entre deux tournées en Amérique latine, au Canada et au Japon, a enregistré spécialement un florilège de chansons-poèmes écrits par Desnos et Prévert.
La.., .......G:i"iD........-c~,
It...::-"'......, .
39
•••• , ••• , . " . " " , ••• " . " " " " " " , . " " " " , t • 1 . ~ 1 _ • • f • • 1 r' 1 1. r
" I r '
1
"
1
-.yyy • • • • • , • • • , ••• • ~ ( t • • , \ \ 1 \ 1
DE
RfP .Radio Telévision Educative ROOlande. @ Programme de janvi er à mars 1985
.-- --
eee
••••
M - M ercredi IJ h. JO (6·10 ansl RSR Il V - Vendredi 9 h. JO (10·16 ans) RSR Il
Ma première chanson Chlorophylle et béton Spécial rantastique Dracula et l'Epouva nt e Chemin faisant Walt Disney et Mickey Mouse A VOUS la chanson Musiqu e en poncho : folklore de Bo· livi e
Anthologie Des tabl cauxù histoires : AugusloGia· comelti Spécial fantastique Le /lor/a de Guyde Maupa ssant Initiationàlapoésic Catherine Sauvage cha nt e.: Desnos ct Prévert
Portes ouvertes sur l'éco le
Février
Mars
V
Les oiseaux migrateurs 6 A ,'ous la chanson Il neige dans Illon jardin. par lI enri Dès V 8 E\'énements d'hier et d'aujourd'hui Su r ies lraces de Giacomelti M 13 Conte La so rciè re de la rue Mouffetard el aut res co nt es de la ru e Broca. par Pierre Gripari V IS Initialion à la poésie Cathe rin e Sauvage . . hanlc Desnos el Prévert M20 Initialionmusicale Eroute les An till es V 22 Actualité Un [1t1}'s . 26 caritaks : Coire M27 Initialionàlapoésic L..:s Ill ots magÎquL's Il
A la décoUl'erte Em'ironncment Allo!'anneau' Mille·palteset compa· gnie ... V 8 En'nements d'hier et d'aujourd'hui L'affaire Dreyfus MI3 A,-ouslachanson Le lap in de Pâques V IS Actualité lI éros ,"ia une: Im age des droi ts de l' homme M20 Chemin faisant Le monde de Walt Disney (s uit el V 22 A "ous la chanson Le Bonheur. de Paul Fon et M. 1I0s· leltler M2? Folklore, rondes ct comptines Chant e avec nous l ' 29 E"énemcnts d'hier et d'aujourd'hui Sur les Iraces de Rilke
Portes ouvertes sur l'école
Port es ouvertes sur l'école
1 Chemin faisant:
"d
Lundi Radio sui sse romande Il ?
14 21 211
u, maître est absent, Qui le remplace? L'écrit a-t-il encore un arenir? L'infomlatique l·t les micro-ordinateurs Actualité
V
M
.j
/lIh.-/Oh . 30 .j
Cinéma parall èle: l,'s j,' unes face aux films "idéo
Il
Il
Scnicernédico-péda~ogique:école-
lM
25
parl'nls, cntente slIciale? Actu alil é
25
Commenlintércssernosenfantsàla vi .., rh'iquc La scolarisation d'enfants de migrants Ladurél'd'unejllurnél'd'école : quaIit(· ou quantité ' Actualilé
\
41
c
((A vous la chanson! »... ". vous connaissez?
La RADIO ÉDUCATIVE réalise bien d'autres émissions à l'intention de tous les niveaux de l'école primaire . Elles permettent d'enrichir certains cours (environnement - éducation musicale activités cadres du français , etc.). Si cela vous intéresse de connaître mieux ces réalisations Marie-José Broggi déléguée pédagogique à la radio; Henri Métrailler délégué cantonal RTV éducative; Jean-François Lovey directeur de l'OOIS vous invitent à une
SÉANCE D'INFORMATION mercredi 20 mars 1985 OOIS, Gravelone 5 - Sion de 14 heures à 16 heures environ. Gaby Marchand participe à une émission de la Radio éducative
42
, •••••• , •••••••••• , ••••• ,." •••••••• ,."".ww., ••••• r
.
Photo Mandelmann
",t"~
r
i
t
-•••
43
y • • • w~y."
,
•••
Je n' aime pas lire .. . Je ne sais pas quoi lire .. .
••••••
Ces mots prononcés par l'enfant, combien de fois, parents, enseignants ou éducateurs que nous sommes les avons-nous entendus?
garde: le format, l'image de la couverture, le titre, la couleur, le glaçage sont autant de critères qui font que l'enfant désirera ou non ouvrir le livre.
Le non-lecteur, n'est-il pas celui qui connaît des difficultés d 'apprentissage de lecture ou celui qui ne rencontre dans ses lectures qu'ennui, n'ajoutant rien d'important, de précieux, à sa vie de lecteur?
La mise en page, la densité du texte, l'illustration feront que l'enfant aura envie ou non de «décoder» ces signes graphiques . Les mots qu'il assemble stimulent sa curiosité et lui donnent envie d'aller à la page suivante.
N'est-il pas celui qui a peur du livre, peur de l'effort à fournir, peur de devoir choisir un livre?
Un rien fait trébucher l'apprentilecteur ou décourager le nonlecteur : des mots en trop grand nombre, qui ne font pas partie de son vocabulaire, peuvent casser le rythme de lecture; de même, des personnages trop nombreux et mal définis, une illustration mal intégrée au texte, sont des causes probables de tant de lectures abandonnées.
Le non-lecteur demande secrètement à être guidé dans le choix de ses lectures , en fonction de ses goûts et de ses intérêts. Il souhaite mieux connaître les richesses actuelles de la littérature pour la jeunesse. Pour répondre à cette demande, nous devons rechercher les moyens de l'intéresser aux livres, et ainsi de l'amener à une véritable lecture-plaisir.
Un slogan diffusé au salon du livre en 1982 disait: «S'il n'y a pas de lecteurs enfants, il n'y aura pas de lecteurs adultes».
A l'école, prenons garde de ne pas utiliser le livre uniquement comme outil de travail en vue d'enrichir le vocabulaire de l'enfant ou de lui faire acquérir des connaissances grammaticales , syntaxiques, orthographiques ou autres ... De telles intentions risquent grandement de le démotiver, de le décourager, de le faire devenir «liseur» mais jamais un «lecteur» actif et autonome.
Et j'ajoute: «S'il n'y a pas de «bons» livres pour enfants, il n'y aura point de «bons» lecteurs adultes».
Jacqueline Tornay
Le premier contact entre l'enfant et le livre est avant tout «physique», car le livre se touche, se sent, se palpe autant qu'il se re-
••••• •
44
"""""""""""""""""""""""".",. 1
••
1
•
•
\
Collection J'AIME LIRE, Bayard Press -
La Planète rose,' Le Voilier de la nuit; Ou Houx dans les petits pois ; Porcelin; Une Nuit au grand magasin.
Collection FOLIO (poche), Gallimard . Folio Benjamin: offre des rééditions d'albums -
L'Enorme crocodile ; Bizardos; Le Monstre poilu; Mathilde et le fantôme.
Folio cadet: transition de l'album au roman - texte relativement court - à adapter selon le niveau de lecture de chaque élève -
Drôles de pirates ; Papa est un ogre; C'est le bouquet; Quelle frousse.
Collection ENFANTIMAGES, Gallimard - recherche artistique parfois textes trop littéraires, peu accessible aux lecteurs débutants - Le Doigt magique ; - Le Grand Livre vert; - Pierrot ou les secrets de la nuit.
«Le livre est une stimulation incessante, et laisse des impressions qui seront le point de départ de nouvelles curiosités.»
•
•
Quelques collections bien a daptées aux jeunes lecteurs
~
•
1 1 l ,
Collection JOIE DE LIRE, Ecole des loisirs - livres attrayant par leur format - recherche de qualité: illustration - typographie - papier - récits courts - auteurs connus dans le domaine du livre pour enfants
-
Hibou blanc et souris bleue,' Une paire d'amis; Pas de baiser pour maman; Les Rêves de Corbi/lo ; Minie Malakoff.
Collection LUTIN POCHE, Ecole des loisirs -
Le Magicien des couleurs ; Porculus; Valentine au grand magasin; Le Géant de Zéralda.
Collection ARC EN POCHE, Nathan - qualité littéraire : traductions et texte français pour bon débutant - Hodja et le tapis volant; - Charlotte Parlotte ; - Chère Mathilda. Collection PÈRE CASTOR, Flammarion - Ou poison pour les dragons; - Le jamais content; - Trésors d'olivier.
A signale r également collection L'ATELIER DE LECTURE (coffret), Ecole des loisirs - Objectif premier: valoriser le «vouloir lire» et développer le «savoir lire»; - auteurs classiques et contemporains. Ce coffret est composé de livrets, extrait de livres, proposant à l'élève une gamme d'exercices, mettant en œuvre la lecture silencieuse ou orale, individuelle ou collective et la compréhension, au moyen de fiches avec auto-correction .
45
·WW, •• , •••
··.yy••••••..• . . •
1
,
1
•
Oeuvre suisse des lectures pour la jeunesse
en Suisse romande OSL Dans son 52 e rapport annuel , le Conseil de fondation de l'OSL s'est penché tout particulièrement sur les points suivants : 1. Renouvellement
Parallèlement à la recherche de fonds , une économie sérieuse a é,té exercée dans différents domaines afin de présenter, dans la situation actuelle , un compte d'exploitation satisfaisant.
renouvellement des structures' , programme d'édition; distribution des brochures ; situation financière de l'OSL.
En plus des organismes de la fondation institués sur le plan suisse, il existe en Suisse romande un comité de l'OSL présidé par M. François Rostan , et au sein duquel tous les cantons sont représentés . Les problèmes de vente se posent chez nous avec beaucoup plus d'acuité puisque nous enregistrons depuis 1971 une régression alarmante (129 755 exemplaires en 1971 à 43 686 en 1982).
Approuvée par le Département fédéral de l'intérieur, la restructuration des organes de la Fondation a posé les bases d 'une efficace collaboration pour le présent et pour l'avenir. Considérant l'importance croissante du travail d'édition et des problèmes divers à résoudre, il était impératif de donner à chacun une responsabilité accrue. Le Conseil de fondation partiellement renouvelé fut réduit de 65 à 35 membres . Le Valais y est représenté par M. Vital Darbellay, conseiller national.
des structures
2. Le programme d'édition
Le tableau ci-dessous exprime en francs le produit de la vente en 1983 dans les différents cantons romands. Vaud Fribourg Neuchâtel Berne Genève Valais Jura
Durant l'année 1983, 50 nouveautés et réimpressions totalisant 354885 exemplaires ont été mis à la disposition de la jeunesse de notre pays. Outre la brochure (( Le Jeu des mots », qui est un divertissement sur le langage , deux brochures spécialisées (l 'une traitant de la publicité, l'autre du Gothard) furent éditées par la Commission de rédaction, ((Brochures documentaires » nouvellement créée .
3. La distribution
Conclusion
La vente des brochures OSL a sensiblement baissé ces dernières · années pour atteindre presque la cote d'alerte . Le tableau cidessous explicite en chiffres la gravité de la situation: en en en en
langue langue langue langue
allemande française italienne romanche
1983
1982
1981
561 200 45214 42512 5175
672369 43686 43331 5800
737238 53159 54301 6184
654101 765 186 850882 Pour l'avenir, un réexamen fondamental du système de distribution sera indispensable car il devient de plus en plus difficile de trouver du personnel enseignant compétent qu.i veuille s'engager.
En 1979, le capital propre s'élevait encore à quelque 554000 francs . Il diminua jusqu'en 1982 pour atteindre 131 000 francs . En 1983, grâce à des dons importants, l'hémorragie fut enrayée. 1982
1983
Vente de brochures Frais d'édition Déficit des éditions Subventions, dons, contributions
Fr. 896000.Fr. 1 225000 .- Fr. 329000.Fr.
412000.-
Fr.
246000.-
Total
+ Fr.
83000.-
- Fr.
281 000.-
Fr. 925000.Fr. 1 452000.- Fr. 527000.-
46
"""""""""""""""""""""""" l
,
j
\
I I I
fi.
~
a
27 559.45 6843.10 4481.80 3246.70 2850.65 2550.10 1 641 .95
Durant les décennies , la fondation de l'Oeuvre suisse de la lecture pour les jeunes a rempli sa mission en jetant un pont permanent entre le livre et l'enfant. Par le truchement d'une petite brochure bon marché diffusée par quelque 5000 collaborateurs quasi bénévoles, enseignants pour la plupart, elle a servi la cause de la jeunesse du pays. Destinées à arroser les régions du pays restées longtemps en marge des tendances et des courants littéraires que favorisent les librai ries et les bibliothèques publiques, les brochures ont été initialement conçues pour contrer l'influence des publications malsaines , nocives , bourrées de niaiseries, de violence gratuite, etc. Face aux techniques d 'édition nouvelles, beaucoup plus attractives, un bain de jouvence s'impose pour l'OSL.
Total
4. La situation financière
Fr. Fr. Fr. Fr. Fr. Fr. Fr.
Partiellement subventionnée par la Confédération , les cantons, un nombre respectable de communes, cette fondation reste néanmoins sans équivalent en Europe et mérite qu'on lui accorde un soutien permanent et efficace.
Le Valais
Les structures mises en place dans notre canton il y a plusieurs années sont désuètes. Peu motivés, mal encadrés, fatigués par un système administratif trop complexe, les distributeurs ont quitté le bateau qui n'a pas tardé à sombrer. Seuls deux collaborateurs alimentent encore timidement les régions de Sion et de Sierre. Dans cette action de renflouage, votre concours est indispensable . A l'heure où sévit la pléthore, je suis persuadé que des forces jeunes accepteront d'œuvrer pour cette fondation dans notre canton .
.y,.,.,.~
•• y •••• ,.y •• yyyW •••• ri.
r
1
•
Avec l'aide d'un représentant par district, nous pourrions conduire des actions permanentes et ponctuelles du style ci-dessous mentionné:
FMEF: INFORMATION
SPVal LE CC INFORME
La Fédération des magistrats, enseignants et fonctionnaires de l'Etat du Valais communique les renseignements suivants:
Lors de sa dernière réunion à Martigny, le jeudi 24 janvier, le comité cantonal a reçu le comité de la -section ACM/SPVal.
1. Indexation des salaires au
Après avoir tracé une rétrospective des activités 1984, Madame Beausire, présidente de la section ACM a fait part du programme mis sur pied pour le printemps 1985. La participation aux cours , aux visites commentées et autres activités ouverts aussi aux généralistes, varie selon les thèmes proposés, mais est généralement bien soutenue .
1. Auprès des enfants
- Exposition et ventes directes dans les cours d'école; - exposition-vente dans les CO; - etc.
2. Auprès des enseignants
- Publicité directe auprès des maîtres par voie de correspondances directes ; articles et publicité dans l'Ecole valaisanne; - exposition dans les réunions d'enseignants, cours de perfectionnement; - publicité pour les lectures suivies ; - intervention dans les assemblées de district.
1.1.1985 Au 1er janvier 1985, les salaires sont indexés à 105,1 points. Le renchérissement s'est ainsi élevé, pour 1984, à 2,9 %.
- Exposition-vente dans les supermarchés; - exposition-vente dans les foires commerciales (Comptoir de Martighy et Sion-Expo); - articles de presse; - affichage; - contact avec les bibliothécaires, les commissions scolaires.
Les tractations entre le Conseil d'Etat et la FMEF concernant l'abaissement de l'horaire hebdomadaire ont débouché sur les décisions que nous portons à votre connaissance: dans sa séance du 19 décembre 1984, le Conseil d'Etat du canton du Valais a décidé:
3. Auprès des parents
Ces suggestions - certes peu exhaustives - méritent qu'on s'y attarde dès l'heure où le groupe de travail aura été constitué . J'at-
tends vos «offres d'emploi» et vous remercie. Ainsi l'OSL poursuivra, en terre valaisanne en particulier, et sans relâche, son activité en faveur de la formation spirituelle de la jeunesse. L'influence exercée par le mot, l'image et la parole sur celle-ci est particulièrement forte. L'OSL souhaite avant tout d'être en mesure d'éveiller chez les jeunes le sens de la liberté, de la beauté et de la vérité. Il me tient donc à cœur de procurer de la joie à notre jeunesse par le truchement de l'Oeuvre suisse de la lecture.
«Le livre est, après la pensée, la chose la plus intime de la vie. C'est-à-dire ce qu'il y a de pire s'il ne vaut rien, ce qu'il y a de meilleur s'il est bon. )). P.J. Strahl
Michel Pellaud Inspecteur scolaire 1913 Saillon Membre du comité romand de l'OSL NB . .' L'OSL accorde aux distributeurs comme rémunération le 30 % du produit des ventes.
2. Abaissement de l'horaire hebdomadaire
1. d'envisager la réduction de l'horaire hebdomadaire de travail de 43 %à 42 heures applicable, comme pour la Confédération, à partir du 1er juin 1986; 2. de réduire l'horaire hebdomadaire de l'administration canton ale de 43 % à 43 heures dès le 1er juillet 1985; 3. de réserver la décision du Grand Conseil concernant l'octroi des crédits nécessaires, vu les incidences que pourra entraîner la réduction de l'horaire hebdomadaire sur les effectifs du personnel; 4. de prendre en compte, dans l'étude du dossier, le problème du personnel enseignant. Fédération des magistrats, enseignants et fonctionnaires de l'Etat du Valais
Le président : Roland Revaz
Le secrétaire fédératif : Erasme Pitteloud
Monsieur Jean-Pierre Rey, responsable des intérêts matériels, nous a fait part des problèmes rencontrés par les maîtresses qui ont vu une diminution de leur temps de travail au cours de l'année scolaire 1983/1984, problèmes d'obtention d'indemnités de la caisse de chômage. Les maîtresses qui n'ont pas perdu courage devant la montagne de formulaires à remplir, aidées avec beaucoup d 'opportunité par la Commission des intérêts matériels, ont vu leurs efforts récompensés.
ainsi aux communes de mettre au concours chaque poste dans des délais respectables. Avec ces dispositions prises assez tôt , les maîtres ACM qui perdraient des cours pourraient prendre les dispositions qui s'imposent. En fin de séance , Monsieur Hubert Grenon qui avait présidé l'assemblée en l'absence de Madame M.-J . Solioz, félicita le comité ACM pour le travail accompli et émit le souhait de rencontres régulières avec le dit . comité.
François-Ls Oécaillet
Nous n'avons abordé qu'en survol le problème de la mixité dans l'enseignement des ACM, attendant les conclusions de la commission «mixité» mise sur pied en automne 1984. En dernier lieu, les enseignants et enseignantes ACM revendiquèrent plus de rigueur dans les délais d'engagement. Pour cela, une répartition des cours devrait se faire immédiatement à la fin de l'année scolaire permettant
••••••••
•
- -r
Tournoi de mini-volleyball (Pour les élèves des cycles d'orientation)
L'AEPSVR organise à l'intention des élèves des cycles d'orientation du Valais romand son deuxième tournoi de mini-volley.
Lieu
Sion, salle Omnisports du Lycée-Collège des Creusets .
Date
Mercredi 13 mars 1985.
Heure
De 13 h 30 à 18 heures.
Catégories
Six catégories
A. Filles, 1re année ; B. C. D. E. F.
Filles , 2e Filles, 3e Garçons, Garçons, Garçons,
année; année ; 1re année; 2e année ; 3e année.
Chaque centre ne peut inscrire qu'une équipe par catégorie .
Equipes
Les équipes sont formées de trois joueurs + un remplaçant issus de la même classe.
Arbitrage
Assuré par les élèves eux-mêmes. Un arbitre + un marqueur qui comptabilise les points.
Tenue
Si possible uniforme. Pas de chaussures à semelles noires.
Accompagnants Minimum un par centre. Terrain
6 m x 12 m.
Hauteur du filet Filles: 2 m 15 - Garçons: 2 m 30. Ballon
Mini-volley ou N° 4.
Remarque
Ce tournoi se veut l'aboutissement d 'un travail effectué pendant les heures d'éducation physique à l'école. C'est la raison pour laquelle nous n'acceptons que des équipes formées d'élèves de la même classe . Comme support à l'apprentissage du mini-volley, chaque maître devrait organiser pendant ses heures de petits tournois internes . Chaque centre mettrait ensuite sur pied des tournois inter-classes en fonction des catégories mentionnées ci-dessus . Les meilleures équipes ou les plus «fair-play» peuvent ensuite être inscrites au tournoi inter-cycles.
Inscriptions
Jusqu 'au mercredi 6 mars 1985 à l'aide du talon ci-après. Après cette date aucun désistement ne sera possible .
Informations complémentaires: Pierre Demont, (027) 2338 18. Nous espérons que vous répondrez nombreux à notre invitation. Avec nos salutations sportives.
•
TALON-RÉPONSE
é&!r, A
•
•
Vtt
TOURNOI DE MINI-VOLLEY intercycles du 13 mars 1985. A envoyer à:
PIERRE DEMaNT Rue de la Treille 63 1950 SION.
Dernier déla i: 6 mars 1985. Nom du centre: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __
Catégorie Filles
D D D Catégorie Garçons D D D
1re année 2e année 3e année 1re année 2e année 3e année
Responsable des équipes Nom: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ___ Prénom: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ___ Adresse: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ___ N° de téléphone : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __
Aux enseignants des écoles primaires
du Valais romand Nous vous présentons, dans ce numéro de février de «l'Ecole valaisanne», le tableau synoptique des cours de perfectionnement de l'été' 1985. Après l'avoir consulté, vous aurez la possibilité d'opérer vos choix, de prendre vos décisions, ceci également en fonction du cours normal suisse dont nous vous rappelons qu'il se déroulera cet été dans le Haut-Valais. Comme à l'ordinaire, le programme des cours cantonaux a été élaboré par la Commission d'éducation permanente et approuvé ensuite par le Département de l'instruction publique. Particularité à signaler, le programme de l'été 1985 ne contient aucun cours de recyclage obligatoire, ce qui rend totale la liberté de choix des enseignants. Dans le numéro d 'avril prochairi de «l'Ecole valaisanne» paraîtront les indications définitives et détaillées relatives à ces cours ainsi que les bulletins d'inscription. Quelques changements de peu d'importance seront éventuellement apportés si les circonstances l'exigent. En ce qui concerne l'enseignement du français pour les maîtres de 5P et 6P, il n'y aura pas de cours obligatoire durant l'été 1985. Par contre deux journées de rencontre et de travai l sont à nouveau prévues cette année. Elles auront lieu les 27 et 28 août 1985 selon des indications de détail que nous donnerons plus tard. Les enseignantes et les enseignants qui s'annoncent pour des remplacements sont priés de s'inscrire, le moment venu, aux cours de formation continue, au même titre que les titulaires. Nous espérons que la richesse et la variété des cours proposés provoqueront l'intérêt des enseignants de l'école primaire ainsi que leur participation active et spontanée. DÉPARTEMENT DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE Le chef du Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales Anselme Pannatier
;ss
A. COURS DU 24 AU 28 JU 1 N1985
COURS DE PERFECTIONNEMENT 1985
C. COURS DU 19 AU 23 AOUT 1985
1. Di dacti gue
Le français à l'école enfantine (24-26 juin) Français 3-4 P Lecture récréative en milieu scolaire (26-28 juin) Mathémati que programme 1-4 P Ali emand, méthode IIPetHI/ ni veaux l, Il, III Connai ssance de l' envi ronnement, enfant. (24- 26 jui n) Connai ssance de l' envi ronnement, l, 2 P Botani Que . La classe au musée Re Il gi on : un nouveau manuel 5 P "Sil oél/ Educati on musi cal e enfant! ne Chant 1-4 P ('IIard+chansons) Rythmi Que et expressi on Expression corporelle et verbale 1 ACM l, 2 P ACM 3, 4 P Créati on sur textil es Patchwork Tapisserie Un regard s' arrête Pei nture murale Les cerfs-vo 1ants Dessl n 5-6 P Dess in et pei nture au travers des ACM
~
Martigny Sion Martigny Martigny Sion Sion Sion Martigny Sion Sion Martigny St-Mauri ce Martigny Sion Sion Sion Martigny Martigny Vérossaz Sion Gri mi suat Sion Sion Martigny
1. Di dacti gue
1 E2 E 1 P ZF 3F 4P X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X·
X X
X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X 'X X X X X X X X X X X X X X
X X
X
X
X
X X
X X X X X X X X X X X X
X X
X X X X X X X X X· X X
X X
X
X
X X X X 'X
X
X X X
X X X X X X X X
X X X X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X X X X
Français 1 P Français 2 P Français 3, 4 P Ecrire en classe (21-23 aoOt) Une 1ecture récréati Ve en mi Ji eu sco 1ai re Mathémati que : programme 6 P L' enseignement des sci ences 3-4 P Le Moyen Pays Catéchi stes effi.caces Educati on mus i ca 1e enfanti ne La fête aux chansons+ehansons pour 3-4 P RythlDi Que et expressi on Animation thé~trale Dessin 3, 4 P Peinture murale Puzzles à 2 et 3 dimensions Patchwork Techni ques d'impressi on Macramé Batik Créati ons avec 1a 1ai ne Art Floral Tapisserie Gravure sur verre (19-21 aoOt)
X
X X X X X X X X X
X X X X X X X
X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X X X X
X X
X
Sion Martigny Chemin Marti gny
X X X X
Sion Sion Sion Sion Marti gnY Sion Sion Martigny Sion
X X X X X X X X
Sion Sion
X X X X X X X X
X X X X
le
X X X X X X X
X X X X
X X X X
X' X X X
X X X X
X X X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X
X X X X X X
X
X X X X X X
X X X X X X. X X X
8. COURS DU 12 AU 14 AOUT 1985 Pour les enseignantes dipl8mées en 1985 Pour 1es ensei gnants di pl amés en 1985
X X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X.
X X
X X X X
X
X X
X
X X
X X
X X X X
X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X X X X X
X X X X X
X X X X X X X X X
X X X
X
X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X X X X
X X X
X X X X X X
Analyse transactionnelle 1 (21-23.8) Un autre regard sur l' enfant di ffi ci 1e (J 9-22.8) L'enfant,le maftre,l'éeole face au changement (3 jours) Ensei gnants effi caces (20-23 août) Sophrologie
X 'X X X
Sion Si on Sion Si on Sion
.X
X X
X X X X X
X X X X X X
X X X X X X X X
Sion Sion
X X
X X X X X X X X X X
X X
Sion Sion Sion Si on Si on Si on Si on Sion Sion Sion
X X X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X
X X X X X
X X X X X
X X
X X X X X
X. X X X X X X X X X
X X X X X X X X
X X
3. Moyens audi o-vi sue 1s
4. Cours généraux et culturels Le tourisme Genèse : se "ressourcer" en découvrant 1a Parole Educati on physi que: formati on personne1t~ 1ntroducti on à 1'1 nformati que Caradérol ogi e Techn! que de bureau Servi ces culturels de l'Etat Aujourd'hui vaincre la faim Prati que de 1a musi que et envi ronnement sonore
Sion Sion Sion Sion Sion Sion Sion Fri bourg Sion Sion Sion Sion Sion Sion Fully Sion Si on Sion Sion Martigny Sion Martigny Vérossaz Sion
2. Pédagogi e-psycho 1agi e
Sion Sion Sion Sion
3. Moyens audi a-vi sue1s Vidéo 1 Le 1abo-photo noi r/bl anc Photo l, à Chemi n sur Marti gny Photo Il parI er en images
1 E 2 E 1 P 2 F 3F 4 PSI 6 f ENS EOS A(]I CO PRO
5 6 F ENS EOS Alli CO PRO
2. Pédagogi e-psycho 1ogi e Le 1angage oral et écrit Les apprenti ssages Seo 1ai res Appréci ati on du travail des él èves Introduction à la sophrologie (24-27 jui n)
De9rés
FOR/MT! ON CONTI NUE
DeQrés
FORMATI ON CONTI NUE
X X X
X X X X
X X X X X X X
X X X X X
X X X X X X
X X X X X
X
Vidéo 1 Photographi e 1
X X X X X X
X X X X X X
4. Cours généraux et culturels
Mycologie La région et ses problèmes Les glaciers Ail emand : bai n li ngui sti que 1nHi ati on à l'i nfonnati Que les heures 1i Hérai res val ai sannes Catéchèse narratl ve, histoi re et témoignages Culture traditionnelle du Valais (21-23.8) Vivre autrement Secours auX blessés-
X X
X X X X
X X X X X X X X X X X X X X X X X X X
X X X X X
X X X X
,X X-
X X X X X X X X X X
X X X
X X X X X X
X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X X
X X X X X X X X X
X X X X X X
X X X X X X
X X X X X X
f' CHANCELLERIE D'ÉTAT DU CANTON DU VALAIS
Extrait du procès-verbal DES SÉANCES DU CONSEIL D'ÉTAT
Séance du 21 novembre 1984. LE CONSEIL D'ÉTAT, vu le rapport de l'Administration cantonale des finances proposant que l'allocation de naissance prévue à l'art. 22 du décret du 12 novembre 1982 fixant le traitement des fonctionnaires et employés de l'Etat du Valais soit également servie lors de l'accueil d'un enfant en vue de son adoption ;
Elaboration des méthodologies et des moyens d'enseignement de l'environnement Afin de rendre possible une bonne élaboration des méthodologies et des moyens d'enseignement de l'environnement, élaboration qui tienne compte à la fois du Plan d'études romand, des moyens existants, des instructions du Département de /'instruction publique, des avis des inspecteurs, du point de vue des responsables de l'environnement et de celui de la SPVal, les structures et la procédure suivantes sont instituées.
1. STRUCTURES
vu le préavis favorable de l'Office cantonal du personnel; 1. Groupe de référence 1.1 Composition
sur la proposition du Département des finances, décide : 1. L'article 22 du décret du 12 novembre 1982 fixant le traitement des fonctionnaires et employés de l'Etat du Valais doit être interprété dans le sens que l'allocation prévue à cet article peut également être servie pour tout enfant placé dans une famille en vue de son adoption lorsque les conditions suivantes sont remplies : 1. l'enfant accueilli ne doit pas être âgé de plus de dix ans ; 2. l'enfant ne doit pas être au bénéfice de rentes ; 3. les démarches entreprises en vue de l'adoption de l'enfant doivent avoir entraîné des frais au moins égaux à ceux de l'allocation prévue. 2. Cette allocation prend naissance : pour les enfants étrangers, dès leur entrée en Suisse; - pour les enfants suisses, dès la prise en charge en vue de l'adoption . 3. L'Administration cantonale des finances, d'entente avec l'Office cantonal du personnel, est chargée de l'application de la présente décision .
Pour copie conforme, LE CHANCELIER D'ÉTAT :
G. Moulin
Il est composé de sept personnes, à savoir: - un président désigné par le DIP, soit en principe un inspecteur ou une inspectrice ; - deux enseignants , animateurs ou autres , désignés par le Département de l'instruction publique; - deux enseignants désignés par la SPVal ; - le conseiller pédagogique du DIP ; - un spécialiste de la branche concernée (géographie, histoire ou sciences naturelles).
1.2 Mandat Le groupe de référence - effectue l'inventaire des nécessités en fonction des exigences du plan d'études et transmet aux auteurs les données recueillies; - coordonne le travail créatif des auteurs et le travail critique de la commission d'examen en apportant des solutions concrètes . A cet effet il - reçoit les projets des auteurs ; - reçoit les propositions de la comm ission d'examen et les transmet aux auteurs après examen; - suit les travaux d'élaboration; - établit et maintient le contact avec la commission d'examen ; - invite à ses séances les auteurs dont il entend les avis ; - invite les auteurs et collaborateurs lors des séances d'examen, pour permettre des échanges fructueux . 2. Les auteurs 2.1 Définition Les auteurs sont les responsables de l'environnement, à qui incombe la responsabilité de l'élaboration des méthodologies et des moyens .
56
•• "~""",yy.,."""""",,,,"""""""'.'" 1
1
1
~
1
1
~
,
f
~
2.2 Collaboration Les auteurs font appel au besoin à la collaboration des animateurs à qui des tâches spécifiques peuvent être confiées. 2.3 Mandat Les auteurs - définissent, sous la forme d'avants-projets , la conception générale des méthodologies et des moyens, sur la base des nécessités de l'école et des exigences du Plan d'études; . - élaborent, sous la forme de projets, puis de versions définitives les méthodologies et les moyens, compte tenu des remarques critiques et propositions du groupe de référence et de la commission d'examen. 3. Commission d'examen 3.1 Composition La commission d'examen est composée de sept personnes à savoir : - un président, désigné par le DIP , soit en principe un inspecteur ou une inspectrice; - trois enseignants désignés par le DIP, dont un à choisir au sein de la Commission des moyens d'enseignement ; - trois enseignants désignés par la SPVal dont un à choisir au sein de la Commission des moyens d'enseignement. 3.2 Mandat La commission d'examen - reçoi t · du groupe de référence les 'projets de méthodologie et de moyens au fur et à mesure de leur parution et les étudie ; - élabore les propositions de modifications éventuelles et les transmet au groupe de référence ; - reçoit en retour les proj.ets mis au point et les adresse avec un rapport au Département de l'instruction publique pour approbation.
57
·"." •• ", ••• , •• ",y•• W'W •• ' 1
1
•
i
1
• II PROCEOURE D'ELABORATION
Responsables
Etapes
Man i ère-Procédés
con ultation Groupe de référence
1. Recherche des nécessités de l ' enseignement
1j
..
ret ur information
inspecteurs enseignants animateurs responsables env.
~~~~~~o~~~~:~es
- - - - . - ~ -l Synthèse des necessltés 1
----r-- -
2. Elaboration d ' un âvant-projet, par définition des structur es, chapitres, contenus, points essentiels, buts de chaque partie
collaboration avec animateurs et autres
Auteurs
JI
1-
-
3. Présentation au Groupe de référence: étude, critique, propos itions modifi cations. Retour aux auteurs
-
-
-1-- --
_ 1
Groupe de référence
~
travail interne et/ou consultation de la cOlIITIission d'examen
5. Analyse, critique des projets au fur et à mesure de leur parution par le GR et le CE
l ,-------, Proj ets de chapitres 1I _ _ _ _ _
!__ _ _.J
1
6 . Apport des dern i ères amé1 iorations
7. Envoi au DIP
8. Examen, décision
,-
-
--;r:u;f: -
1_ _ -
-
_ _ _ _ _ __,
3. Interprétation, différends Les interprétations de détail à donner au besoin aux présentes directives relèvent du Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales. Tout différend pouvant surgir dans l'application des présentes dispositions est réglé par le chef du Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales.
Sion, le 11 janvier 1985.
Le chef du Département de l'instruction publique Bernard Comby
col laboration avec les animateurs etc.
Auteurs
Les personnes appelées à faire partie des groupe et commission précités et dont l'activité au sein de ces organes de travail n'est pas compris dans leur cahier des charges ont droit aux honoraires et indemnités officiels. En principe, leur travail au sein des organismes précités doit se faire en dehors des horaires de classe.
1
4. Elaboration, rédaction des projets de chapitres
1. Mise en place des mesures précitées Il appartient au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales de mettre en place les m~sures précitées, compte tenu des nécessités et après avoir pris les contacts nécessaires.
2. Indemnités et honoraires
,--------j, Avant-projet 1
III. DISPOSITIONS GÉNÉRALES
1-=='"
d',,,m,,
LINDON, Denis . - Le marketing. Paris, Fernand Nathan, 1981,
Economie
243 pages (connaître et pratiquer lagestion) .
-
-
-
-
-
""""""""""",•••••••••••",.,••• 60
,I:~I
Ph
t Oswald Ruppen
""""""t"~ ,ttl,'
1.
Cet ouvrage destiné aux étudiants et aux cadres d'entreprises, présente sous une forme pédagogique et pragmatique l'ensemble des outils nécessaires à la pratique du marketing. SAUVY, Alfred. - Le travail noir et l'économie de demain. Paris, Calmann-Levy, 1984, 304 pages. Clandestin par nature, le travail noir se prête mal à évaluation. Or, ces activités souterraines se sont étendues dans tous les types de société sous les formes les plus diverses . L'auteur montre les implications mondiales d'un sujet qui nous concerne tous. GALBRAITH, John Kenneth. - La voix des pauvres ou ce qu'ils ont à nous dire sur l'économie. Paris, Gallimard, 1983, 123 pages ((Idées»). L'auteur ne se contente pas de parler des pays pauvres; il retrace l'évolutibn des pays riches et industrialisés et montre ce que les pays du Tiers Monde peuvent apprendre de .leur histoire. ALBERTINI, J.-M. - Les rouages de l'économie nationale. Paris, Editions ouvrières, 1983, 316 pages . Manuel d'initiation économique traitant de la production, des circuits monétaires et de la maîtrise de l'économie. Les sept crises 1973 - 1983. Une enquête de l'Expansion. Paris, Hachette, 1984, 280 pages . ((Pluriel») . 1973 - 1983, dix ans de crises . L'Expansion en a isolé sept. Sept crises qui s'enchevêtrent en un formidable processus de réajustement sur lequel pèse la double menace d'un crach financier ou d'une guerre . ROSANVALLON, Pierre. - La crise de l'état-providence. Paris, Seuil , 1981 , 190 pages . ((Points politique»). La progression régulière des prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) met en péril la compétivité des entreprises et le dynamisme de l'économie. Cet essai apporte une contribution à la définition d'un nouvel espace, post-social-démocrate. Il propose de substituer une triple dynamique de la socialisation, de la décentralisation et de l'automatisation à la logique classique de l'étatisation du social. GALBRAITH, John Kenneth et SALINGER, Nicole. - Tout savoir ou presque sur l'économie. Paris, Seuil, 1978, 185 pages. ((Points économie»). Nicole Salinger pose ges questions insistantes et faussement naïves à John Kenneth Galbraith; ce dernier use d'un langage compréhensible, voire de l'humour qui lui est propre, pour initier ses interlocuteurs aux mystères de l'économie moderne. BEAUD, Michel. - Histoire du capitalisme de 1500 à nos jours. Paris, Seuil, 1981,357 pages. ((Points économie»). Le lecteur trouvera dans ce livre l'histoire du capitalisme avec l'industrialisation, la salarisation, le développement des villes, avec les conquêtes coloniales, les crises, les guerres, la décolonisation.
.••••
61
~yy.,y,.,., . ~I~f'~tl,
•
- Le Valais en chiffres. Sion, Office de statistique du canton du Valais, 1984, 103 pages. Cette publication contient des renseignements importants sur le canton du Valais, ses régions et ses communes. Il informe sur les données naturelles, la population, l'économie,le trafic, l'énergie, la formation, la santé, les finances publiques et la politique.
Environne m ent
- Les richesses naturelles du vallon de Réchy. Martigny, WWFj Valais, 1984, 126 pages ill. la diversité des roches et une hydrographie encore non modifiée par l'homme permettent le développement d'une flore extrêmement riche comprenant des espèces fort rares. la beauté sauvage du lieu, avec ses lacs et ses crêtes rocheuses, place le vallon de Réchy parmi les milieux naturels les plus précieux de Suisse. - BRICE, Raphaëlle et RIQUIER, Aline. - Le riz, ce grain si petit qui nourrit le monde. Paris, Gallimard, 1984, 34 pages ill. (Collection «Découverte benjamin»). LIMOUSIN, Odile et BRÜSCH, Béat. - L 'histoire de la feuille de papier. Paris, Gallimard, 1984,34 pages ill. (Collection «Découverte benjamin»). - SAIRIGNE , Catherine de et CRACKNEll, Alan . - Le chocolat, le thé et le café. Paris, Gallimard, 1984,34 pages ill. (Collection «Découverte benjamin»). - DUVIARD, Dominique et ROSS, Tony. - Le livre des marins. Paris, Gallimard, 1983,89 pages ill. (Collection «Découverte cadeh) .
Français
- GRAVEN, Jean . - La Symphonie valaisanne, volume 1: Pays en fleurs - Noble Contrée. Sion, la Matze, 1977, 243 pages ill. Poèmes. - SPIER, Peter. - Quatre milliards de visages. Paris , l'Ecole des loisirs, 1981, 45 pages ill. N'est-ce pas merveilleux un monde où personne ne ressemble à personne? - Quatre milliards de visages, dossier pédagogique 7-10 ans. Zurich / Lausanne, UNICEF / Déclaration de Berne / Service Ecole Tiers Monde, 1984. (Collection «Dis-moi comment ils vivent...» . - MICHEllOD, Marcel. - Toujours du soleil et du sang dans la montagne. Aoste, Industries Grafiche Editoriali Musumeci , 1984, 256 pages . Contes et récits du Haut-Pays valaisan et d'ailleurs . - Ecrivains valaisans d 'aujourd'hui. Sion, Association valaisanne des écrivains, 1984, 157 pages. Inventaire des écrivains valaisans contemporains et de leurs œuvres . - PINGUllLY, Yves et BELlEGUIE, André. - Il était une fois les mots .. . Paris, Messidor/La Farandole, 1981,65 pages ill. - JEAN, Georges . - Le plaisir des mots, dictionnaire poétique illustré. Pàris, Gallimard, 1982, 352 pages ill. (Collection .«Découverte cadeh) .
62
- NATH, Nathalie et FÉLIX, MOF"l ique . - Lou: le déménagement. Paris, Grasset, 1983, 30 pages ill. (Collection «Monsieur Chah). - TURIN, Adela et BOSNIA, Nella. - Rose Bombonne. Paris , Editions des Femmes, 1975,32 pages ill. (Collection «Du Côté des petites filles»). - LÉON, Pierre et GUERY, Catherine. - Grepotame ... et 250 drôles d'animaux croisés. Paris, Nathan, 1980,30 pages ill. - ALEXANDER, Martha. - Tant pis pour ma vilaine maman, Anthracite. Paris/Gembloux, Duculot, 1981, 30 pages ill. (Série «Antoine et Anthracite»). - lEWIN, Hugh et KOPPER, Lisa. - Le père de Jafta. Paris, Centurion Jeunesse, 1982, 24 pages ill. - ERIKSSON, Eva. - Dans une petite semaine. Paris , Centurion Jeunesse, 1982, 27 pages ill. (Série «Victor et Rosalie»). - POMMAUX, Yvan. - Un livre palpitant. Paris , Editions du Sorbier, 1983, 24 pages ill. (Série «lola») . - POMMAUX, Yvan. - Mon oncle Alberto Campagnollo. Paris, Editions du Sorbier, 1981,31 pages ill. (Série «lola»). - STEINER, Claude, PEF. - Le conte chaud et doux des chaudoudoux. Paris, Interéditions, 1984, 28 pages ill. - lOBEl, Arnold. - Le magicien des couleurs. Paris , l'Ecole des loisirs, 1971, 30 pages ill. - lOBEl, Arnold. - Porculus. Paris , l'Ecole des loisirs, 1971,62 pages ill. - lOBEl, Arnold. - Hulul. Paris , l'Ecole des loisirs, 1976,64 pages ill. - lOBEl, Arnold. - Sept histoires de souris. Paris, l'Ecole des loisirs, 1978, 62 pages ill. (Collection «Renard poche»). - MALINEAU, J.-H et lE CŒUR, l. - Trois histoires pour aller dormir. Paris, l 'Ecole des loisirs, 1980, 45 pages ill. (Collection «Renard poche»). - VINCENT, Gabrielle. - Noël chez Ernest et Célestine. Paris, l'Ecole des loisirs, 1983, 33 pages ill. (Collection «lutin poche»). KEllOG, Steven . - Le têtard mystérieux. Paris, l'Ecole des loisirs, 1982,32 pages ill. (Collection «lutin poche»). - FISCHER, Hans. - L'anniversaire. Paris, l'Ecole des loisirs, 1980, 37 pages ill. (Collection «lutin poche») . - KEllOG, Steven. - Bien plus grand que Martin. Paris, l 'Ecole des loisirs, 1983,32 pages ill. (Collection «lutin poche»). - SENDAK, Maurice. - Pierre, un conte trés moral. Paris, l'Ecole des loisirs, 1974,48 pages ill. (Collection «lutin poche»).
Art
- BELTRANDO-PATIER, Marie-Claire. - Histoire de la musique. La musique occidentale du Moyen Age à nos jours. Paris, Bordas, 1982, 631 pages . DÉFAGO, Anne et Jean-Pierre. - Fanfares et harmonies valaisannes. Savièse, Valmedia, 1984, 253 pages ill. Reproduction photographique des fanfares et harmonies, district 63
"""""""""""""""""""""""".""", '"
Contes
·~II.tr
r!'II"I,
1
~.WW.Y ••r"~ Y9.99Y.'.' •• l r ' ( l
•
par l'homme: langage des animaux, propagation du son, fonctionnement des instruments de musique, principes de l'électronique moderne. - La lumière, les couleurs. Paris, Larousse, 1984, 64 pages ill. Cet ouvrage révèle l'importance de la couleur dans la nature, avant d'aborder la technique de la photographie, les lasers, les fibres optiques et l'énergie solaire . Il montre comment travaille l'œil et .de quelle manière il peut être abusé, comment fonctionnent les objectifs d'un microscope et d'un téléscope . - Les ressources, les énergies. Paris, Larousse, 1984, 64 pages ill. Ce volume traite de toutes les ressources dont l'homme peut disposer. Il pose le problème de l'utilisation rationnelle de l'énergie et de l'équilibre à maintenir entre les ressources et la consommation qu'on en fait. Il soulève également les grandes questions de la pollution et de l'exploitation de l'énergie nucléaire .
par district et un aperçu des moments marquants de l'histoire de chacune d'entre elles. - MEKHITARIAN, Arpag. - La peinture égyptienne. Gen.ève, Skira' 1978, 165 pages ill. ((La peinture») . ' Cet ouvrage présente des témoignages d'un art qui couvre plus de trois mille ans d'histoire. Les documents les plus anciens étant les plus rares ou les moins bien conservés, on trouvera ici, surtout des peintures du Nouvel Empire. - ROBERTSON, Martin. - La peinture grecque. Genève, Skira 1978, 193 pages ill. ((La peinture»). '
Pédagogie - Psychologie - Sociologie - Philosophie Histoire
Géographie
Sciences
- MAURY, Liliane. - Piaget et l'enfant. Paris, PUF, 1984, 128 pages. RYNIKER, Jean et RAUSSER, Fernand. - Notre Confédération. Un subtil fonctionnement. Lausanne, Mondo, 1984, 190 pages ill. L'auteur a imaginé sa rencontre, parmi les visiteurs du Palais fédérai, avec un jeune Suisse, qui va lui tenir compagnie tout au long de l'ouvrage; par des expériences «vécues», par des questions posées à diverses personnalités, il va faciliter l'approche du sujet. Une centaine de photographies de Fernand Rausser font découvrir aux lecteurs les multiples activités assumées par les autorités fédérales. - SCHENKER, Martine, CLAVIEN, Jean-Pierre et IMSAND, Marcel. Des métiers qui s'en vont. Genève, Editions J.-P. Clavien et Musée d'ethnographie de Genève, 1984, 150 pages. Portraits de cinq artisans diffusés au printemps 1984 par la Télévision suisse romande dans la série «La Suisse au fil du temps».
Audiovisuel
- BOUSSINOT, Roger. - L'encyclopédie du cinéma. Paris, Bordas, 1980, 1332 pages ill. tome 1 et 2. - IMSAND , Marcel . - La fête des enfants. Lausanne, Editions de la Tour, 1984, 77 pages ill. Photographies d'enfants déguisés, avec un choix de comptines populaires. - Portraits d'agences de publicité suisses. Zürich, Bertschi Annoncen AG, 760 pages ill. Portraits d'agences sur double page classés géographiquement par ordre alphabétique . Liste d'adresses complètes de toutes les agences de publicité reconnues .
Textes et documents
-
Bibliothèque de travail
- BT
958
- BT
959
- BTJ
255
MORAES, Dom et DARBEY, Bruno. - Bombay. Amsterdam, Time Life, 1979, 200 pages ill. (Collection «Les Grandes Cités»). Le Canada. Paris. Larousse, 1984, 84 pages ill. ((Des pays et des hommes»). - La nouvelle encyclopédie Larousse «Sciences et techniques d'aujourd'hui» est destiné aux élèves de 10 à 14 ans ' elle s'articule en huit volumes dont les quatre premiers viennent 'de paraître:
- L'espace, la matière. Paris, Larousse, 1984, 64 pages ill. A l'aide d'articles sur le soleil, la lune, les planètes, les étoiles, les nébuleuses et les galaxies, ce premier album montre comment le téléscope puis l'exploration spatiale ont révélé des mondes inconnus; il décrit ensuite les éléments, les corps simples et compos~s, traite des matériaux créés par l'homme et de l'énergie nucléaire. - Les techniques de communication. Paris, Larousse, 1984, 64 pages ill . Le deuxième titre présente les moyens de communication depuis les sources du langage jusqu'aux dernières techniques inventées
Articles de revues
-
366 367 368 369
Victor Hugo et les droits de l'homme. Les robots. Voies maritimes et routes romaines . Diderot et l'encyclopédie. Ce que nous mangeons La pêche aux éponges Soldat en Algérie. Les' personnes handicapées Le basket Les animaux des Galapagos. Un artisan bijoutier Plus jamais la guerre La confiture de citrouille.
Vers l'éducation nouvel/e, N° 387, novembre 1984 : Le sport est-il un jeu naturel, universel et supérieur, P. Parlebas, Pages 5-15. - Dossier: Une ludothèque, pourquoi pas, C. Cherouvrier, 1. Coudrier, T. Lainé, pages 17-27.
;st Bulletin d 'information de la bibliothèque du Centre de formation pédagogique et sociale (CFPS) ND 22, fé vrier 1985 Gravelone 5, 1950 SION , téléphone (027) 234004 SOMMAIRE : 1. Liste des acquisitions récentes de la bibliothèque ; 2. Liste des enreg istrements vidéo.
Agir dans l'école: Des enfants et des lettres ou le scrabble en jeu, J.-C. Girard, pages 35-43 . Le développement de l'intelligence de 0 à 3 ans et l'émergence de la fonction symbolique, M. Rasse, pages 45-50. «Enseigner ou éveiller?» dans Psychologie de l 'enfant et pédagogie expérimentale. N° 1, 1985.
Liste des acquisitions récentes de la bibliothèque du CFPS Méthodologie générale DARTOIS , Claude . - Comment prendre des notes ou la mémoire de papier. Paris , Edi tions du Centurion , 1984, 63 pages. 001 .8 DAR
psychologie. Psychanalyse
DIAPOSITIVES Art
Géographie de la Suisse
AR
33
AG AG
79 80
GS GS
36 37
GS GS
CASSETTES VIDÉO
38 39
Peinture italienne du XVie : Guiseppe Arcimboldo (1527-1593) Rodin: sculptures La main dans la sculpture de Rodin Moyen-Pays: agriculture Moyen-Pays: industrie : les câbleries de Cossonay Moyen-Pays: roches - fossiles Erosion: l'eau, la pluie
16 dias 16 dias 12 dias 18 dias 12 dias 14 dias 8 dias
CVfr 41 L'enfant et la lecture : 1. Le Goût de lire 45' Cette émission présente une rencontre différente des enfants avec les livres . Elle peut être très utile aux maîtres et aux parents pour animer une réunion et amener une discussion sur la lecture.
TÉLÉVISION ÉDUCATIVE - CVe
74
Documentaire: Pour que vivent les homards
3D'
MASLOW, Abraham H. - Vers une psychologie de l'être. Paris , Fayard, 1983, 267 pages . 159.9 MAS GOODMAN , Susan . - Le livre guide de votre enfant de la naissance à l'adolescence. Paris, R. Laffont, 1980, 224 pages . 159.922.7 GOO WIDMER, Christiane . - Les modes de communication du bébé. Neuchâtel, Delachaux & Niestlé, 1981, 171 pages . 159.922.7 WID CHAVIN , Rémy. - L 'éthologie: histoire e naturelle des mœurs. 2 édition , Paris, PUF , 1983, 236 pages ill. 159.929 CHA RUWET, Jean-Claude . - L'éthologie : biologie du comportement. 3e éd ition , Bruxelles, P. Mardaga, 1978, 221 pages ill. 159.929 RUW TINBERGEN, Nikolaas. - La vie sociale des animaux. Paris, Payot, 1979, 186 pages ill. 159.929 TIN MORRIS, Desmond . - La clé des gestes. Paris, B. Grasset , 1978, 320 pages ill. 159.943 MOR Drogue CASTE NADA, Carlos. - L 'herbe du diable et la petite fumée. Paris , Ed . du Soleil, 1984, 316 pages (10/18 , 1113). 178.8 CAS
ECHANOVE-PERRON, Jacqueline. - Mères chefs de familles . Genève , Editions lES, 1984, 89 pages ill. 301 .151 : 392.3 ECH DURAND , Jacques , - Les formes de la communication. Paris, Dunod ; 1981 , 215 pages (Interférences) . 301.153.2 DUR GLARDON, Marie-Jo. - Les pauvres dans la ville : à la recherche des familles sous-prolétariennes à Genève. Lausanne , Editions d 'En Bas , 1984, 275 pages .
. 301.174 GLA GROUPEMENT PROFESSIONNEL DES DIRECTEURS DE CREAI (1980, Goutelas-en-Forez). - La vie hors travail des personnes handicapées : désirs et réalités . Lyon , CREAI Rhône-Alpes , 1981 , 145 pages ill. 301 .174 GRO LEONHART, Martine. - Oserons-nous le dire? Polyhandicapées : deux éducatrices racontent. Bischwiller, Sonnenhof, 1983, 124 pages ili. 301 .174 LEO ZUCMAN, Elisabeth . - Famille et handicap dans le monde. Paris , CTNERHI, 1982,181 pages. 301 .174 : 392.3 ZUC GIRARD , Jean-Christophe. - La régIer;nentation du placement des mineurs dans le nouveau droit suisse de la filiation. Neuchâtel , Editions Ides et Calendes , 1983, 173 pages . 347.63 GIR
Trava il social La supervision : son usage en travail social/sous la direction de Claude Julier. Genève, Editions lES, 1984, 206 pages . 36.081 SUP
COLLOQUE NATIONAL SUR L'ALCOOLISME (4, 1983, Lausanne) . - L'Etat face à l'alcool et aux drogues / éd. par Walter Weiss. Lausanne, Institut suisse de prophylaxie de l'alcoolisme, 1984, 103 pages. 178.8 COL VONTOBEl, Jacques. - Mon enfant aussi.. . ?: les questions des parents sur la toxicomanie et les drogues. Zurich , Ed . Pro Juventute, 1984, 48 pages ill. Sociologie . 178.8 VON
Anthropologie VHS A 7
Psychologie sociale
Médical
DOllE, Marie-Paule. - Les Tsiganes Manouches. Sand, chez l'auteur, 1980, 227 pages ill. 30 DOL TODD , Emmanuel. - La troisième planète. Paris , Editions du Seuil, 1983, 251 pages - Empreintes. 30 : 392.3 TODD SALOME, Jacques.' - Relation d'aide et formation à l'entretien. Lille, formation Continue, 1981, 115 pages . 301 .151 : 001 .8 SAl
VHS
ALLAFORT, Michel. - Rééduquer aujourd 'hui... et demain ? Lyon , CREAI RhôneAlpes , 1983, 144 pages . 362.7 : 343.9 ALL
Education . Education spéCialisée DE LANDSHEERE , Gilbert. - La recherche expérimentale en éducation. Paris, UNESCO, 1982, 115 pages . 37.012 DEL FREIRE , Paulo . - Pédagogie des opprimés, suivi de Conscientisation et révolution . Paris , Maspéro, 1983, 202 pages . 37 .013 FRE l'éducateur et l'approche systémique. 2e édition, Paris, UNESCO, 1984, 228 pages . 37 .015.3 EDU
Biologie BAULARD , Liliane . - Biologie humaine. Paris, Dunod , 237 pages ill. 57 BAU Génétique clinique et psychopathologie : hérédité psychique et hérédité biologique / P. Félida ... Villeurbanne , SIMEP, 1983, 190 pages . 575.1 : 616.89 GEN JACOB, François . - La logique du vivant: une histoire de l'hérédité. Paris, Gall imard, 1983,354 pages . 576.1 JAC KOESTLER , Arthu r. - L 'étreinte du crapaud. Paris, Cal mann-Lévy, 1972, 268 pages ill. 576.1 KOE MISHARA, Brian . - Le vieillissement. Paris , PUF, 1984, 268 pages ill. 577.1 MIS
Psychothérapie HAYDEN, Torey L. - Kevin le révolté. Paris , Balland , 1983, 392 pages . 616.89-053 .7 HAY
Enregistrements vidéo Complément N° 9 au catalogue d'octobre 1983
Thème / ND
Institution VHS 21 a et b 1
Titre
Durée
Face à la mort : La Suisse au fil du temps
3 x 55 '
Prise en charge de l'adolescent délinquant : conférence du Docteur Zeiller
Fiche
Le guérisseur
75 '
Fiche
PSYChologie VHS P 26 VHS P 27 VHS P 28
Psy-show 8: Francine et Christian Un sommeil de rêves Le marché du mal-être
60' 30' 75'
Fiche Fiche Fiche
Toxicomanie VHS T 30
le garçon qui buvait trop
100'
Fiche
75'
Fiche
M
59
Parapsychologie Un temps pour tout : voyante ... VHS Z 9
67
66
1"""""""""""""""""""""""""'"'" 1
" " ,
;III,~J
~~'.ttl·
Fiche
~9.Y •• ~Y~ •••••• 9 •• 9~ l'
l'!~I~I
'
• La banque régionale valaisanne
FI
1 E JEIIIEII
CEV LIBRAIRIE CATHOLIQUE
LE FONDS JEUNESSE DE LA CEV
R. Troillet-1920 MARTIGNY
créé à l'occasion de son Centenaire récompense des performances particulièrement méritoires de jeunes valaisannes et valaisans de toutes professions
Fournitures scolaires Papeterie Librairie générale
Demandez des renseignements complémentaires à nos guichets
Téléphone (026) 22060 A votre disposition pour votre bIbliothèque seo/aire
CAISSE D'EPARGNE DU VALAIS
-· -·--~ ~D LIBRAIRIE-PAPETERIE M.VERNAV Avenue de la Gare 32 1950 SION
Littérature générale - Livres scolaires - Choix spécialisé dans la littérature catholique - Images et art religieux - Achat et vente de livres d'occasion
DORTOIRS Douches, chauffant, pour vos classes de skis, courses d'écoles, séjours à la montagne 1/2 pension, pension complète
AVIS AU PERSONNEL ENSEIGNANT Matériel gratuit à votre disposition
REX ROTARY K 40 Le nouveau rétroprojecteur
POUR TOUS RENSEIGNEMENTS s'adresser à:
Le met gratuitement à votre disposition un important matériel d'éducation et d'information routière (cahiers à colorier, concours, brochures, jeux, affiches, films, diapositives, matériel didactique, etc.
BALSIGER - 1831 FLENDRUZ (029) 48157
Pensez à la séc.u rité de vos élèves! A VOTRE SERVICE: SION 027 231321
Fournitures en gros Librairie scolaire
Téléphone (026) 2 21 58
Vaste assortiment pour le DESSIN technique et artistique
1920 MARTIGNY
Notre spécialité: les bibliothèques scolaires
Demandez une démonstration
Service de vente et d'entretien
SION Av. Pratifori (027) 23 34 10
SIERRE A. Gén.-Guisan (027) 55 17 34
MONTHEY 025 715517
5t.1 c
BRIGUE 028 232819
16503000 m.
*
Altitude 2200 m. Située à l'arrivée supérieure du télésiège, 25 lits. Possibilité de cuisiner, dortoirs, douches, WC. Arrangements pour groupes.
Téléphone (027) 5525 33 (privé) 65 13 60