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Sie rufen Ma ria zu sich
A L'ÉCOLE DE LA NATURE Dans son dernier billet, le rédacteur de la partie aUemande de l'Ecole lecteurs à cultiver en eux le respect de la nature. Nous espéro11JS que auront dominé leur paresse .linguistique pour lire cette beUe page; néanmoins, d'y revenir en ceUe saison printanière où toute la nature les merveilles qu'elle nous offre.
Nous avons déjà souligné ici la néce·s sité de résister au courant matérialiste et utilitaire qui emporte presque tous nos contemporains, pour cueillir les joies 's upérieures, spirituelles ou artistiques, qui «ne paient pas », sans doute, mai·s sans ~esquelles l'homme ne saurait être un homme complet. La sensibilité à la beauté de la nature, cette sensibilité que l'époque romantique avait cultivée avec un tel zèle, et que no'tre siècle technique méprise trop, fait partie de ces valeurs tonifiantes qui donnent à ,la vie humaine sa densùé et sa plérvitude. Savoir ouvrir ses yeux aux jeux de l'ombre et de la lumière, aux formes et aux couleurs, aux détails des êtres minuscules comme aux lfspaces infinis, savoir prê.ter une oreille attentive e't pleine de sympathie aux bruits multiples de la nature, aux chants des oiseaux, aux bruits des ruisseaux et des feuilles, au silence de la nuit. Savair ouvrir son cœur à Jla vie qui palpite en chaque être, savoir assumer, dans le chant d'action de grâces de l'esprit humain, la louange inconsciente que toute la nature proclame à la gloire de son Créateur. Il s'agit là d'une véritable culture du sens esthétique, analogue à celle qu'opère le contact avec les œuvr,es d'art. Il s'agit en outre d'une ouverture d'esprit, d'une meilleure rp rise de conscience de la mission de l'homme parmi les autres créatures. Mais cette expérience est en outre riche d'enseignementJs. Elle apprend à retrouver le rythme de la nature, ce rythme fœit de patience, de persévérance, d'espoir soutenu, rythme oublié dans nos horaires ·e t nos programmes de vie. Et 'pourtant, l'éducateur ne devrait-il pas, mieux que tout autre, vivre dans ce climat de longue espérance, puisque l'enfant, ob jet de son action, exige de nombreuses années de patients progrès, de développements constants mais presque insensibles? Sachons, comme la nature, resrpecter les étapes de la formation, sachons attendre l'âge de la maturité pour ,c ueillir le·s fruits qwi seront notre discrète et tardive récompense. Cette intimité avec la nature nous apprend en outre le silence, ce silence qui fut le thème de ces billets merosuels, et que nous risquons si souvent d'oublier aujourd'hui. Comme la nature, sachons doser le silence et la musique, le repos et l'activité. Cet équilibre de notre vie constitue une véritable sagesse que nous n'acquerrons ~U1z,s doute qu'avec l'âge. Mais il est certain que le fait d'être sensible au rythme narurel des êwes favorise cette maturation de notre art de vivre, sans toutefois que cet art soit un produit sec de notre intelligence. La nature apprend à :s'elnl1ir les créatures, par une sorte d'intuition que le français est inhabile à traduire. Cette faculté du contact direc.t avec lf!is êtres est extrêmement précieuse à un éducateur, eUe le dispense d'ltlte foule de notions abstraites dont certains Se prévalent pour masquer la pauvreté de leur 'Psychologie et de leurs rapports humains. Enfin, le contact ' familier avec la création nous jette dans le grand jeu de l'Amour divin qui crée routes choses, en qui .t ous les êtres trouvent leur onigine et leur fin. On est loin du panthéisme reffrayant et contradictoire, et ~'on plonge directement dans l'unité de l'universelle louange à la gloire du Créateur.
M. V. -
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Wir nehmen Maria zu uns
valaisanne invitait ses nos lecteurs romands il nous semble utile, nous engage à goûter
Le poète protestant M. Jungnickel écrivait avec une secrète nostalgie: «lI nous manque une Mère, Marie. NoUJs devons la retrouver ». Pour nous, catholiques, le culte marial fait partie de notre foi. Dans cette perspective, nous devrions considérer l'Eglise comme une grande famille: Dieu le Pèt'e dans le ciel, notre rF ,rère commun Jésus, et notre Mèo.1e commune, Marie. La sainte Ecriture nous peint d'elle une image merveilleuse. Nous l'y voyons towt d'abord comme la Mère de l'Amour céleste. Elle est en effet la materneUe et fidèle compagne du Sauveur, de la crèche au tombeau. Suivant l'Evangile, nous pouvorvs aussi honorer Marie comme la Mère du Verbe éternel, qui prit chair en son sein. Marie appœraît encore comme la Mère de la table divine, aux noces de Cana. Marie y manifeste la m .i ssion du Seigneur dans le monde, qu'il épouse comme une fiancée, dans l'aUiance d'amour conolue avec son Eglise, en qui la table divine reçoit la céleste nourriture de son Corps et de son Sang. Enfin, Marie est la Mère de l'Eglise triomphante, car elle triomphe du dragon. Nous pVeŒlOllllS Maûe chez l1'O'U'S, comme le ifit l'Apôtre s. Jean. Sans elle nous ne saurions vivre. Sans doute Marie n'est-elle pas imitable par une simple grâce, mais en allant un peu dans le sens de sa fidélité, de son amour, ·d e sa persévérance. C'est ainsi que nous parvenons au Christ par Marie. Comme éducateurs, nous devons aussi ouvrir cette voie aux enfants qui nous sont confiés. Aussi devons-nous prendre Marie dans nos classes comme Mère du bon Conseil et de .la Sagesse, sagesse qui ne consiste pas seulement en savoir, mais avant tout dans la force de l'amour.
1. SI'E RUFEN MARIA ZU SICH :
Vor eiinigen Jahren schrieb der 'protestantische Dichter M. J'ungnidkel: «Was fe'hlt der evangelischen Kirche ? Die evangelische Kirche is,t kalt. Und was mac·ht sie warm ? Wir müssen die Mutter MAR 1A wieder holen ! Und dann wollen wir die kleinen, armen Marienlieder wieder singen, die so schon sind, ais waren sie mit Mondstra,hlen niedergeschrieben, ais haHe sie der Tau ins land getraufelt. Und dann wollen wir Heimsuchung feiern. Und wir wolle'n zu ihr beten und zu ihr singen 'und ihre Himmelsreinheit wol-
len wir mit in den Katechismus flechten. Uns fehlt die MuHer Maria. Wir müssen sie zurückholen! Wie eine Rose wird sie aufblühen ' aus den kalten Steinen runserer Kirche ». 50 ëffnet sÎ'ch das B'Ï'ld
ln diesem Won -eines 'Protestanten kommt die heimliche Sehnsucht nach Maria in schoner Weise zum Aus-druck. Doch ist die katholische Marienverehrung mehr ais nur Poesie, sie ist unumganglicher Glaube duroh das Geheimnis der Menschwerdung des EWIGEN WORTES aus dem gebene339-
deiten Schoss Unserer Ueben Frau. lm Marianischen Jahr veroffentlichte der protestantische Propst von Hamburg, Asmussen, ein Buch über Maria. Das bedeutete ein Ereignis. Wenn er auch nicht a'uf allen Wegstrecken mit unserem katholisc,hen Marienglauben einiggeht, so ist ,doch dieser Ansatz allein schon beldeutungsvoll. Wir harben in der HI. Schrift viele Bilder, die uns die Wirklic'hkeit des Geheimnisses der Kirc'he deutlich machen. Wir lieben es, heute vor allem von der Kirche ais dem «mystichen Leib Christi» zu sprechen. Das alles ist in Ordnung. Doch, warum sollten wir die Kirche nicht auch einmal ols eine grosse Familiengemeinschaft -betrachten ; wir leben ja im «Jahrhundert der Familie », und Papst Pius XII. unterliess es nie, immer wieder a'uf die «Starkung der ,Familienfront» hinzuweisen, inmitten einer Zeit, in der so vielfaltige Fronten quer durch aile Lander und Geister ziehen. Nun denn, die Kirche ist eine grosse Familiengemeinscha,ft, in der wir einen gemeinsamen Vater haben : Gott im Himmel; einen gemeinsamen 8ruder besitzen : Christus Jesus, unseren Herrn, den Erstgeborenen der Schopfung, den Ersterstandenen von den Toten, von dem Thomas von Aquin in einer seiner grandiosen, hymnischen Synthesen sagt: «Ais Mensch wollf' er uns Bruder sein, Ais Speis'im Abendmahl sich weih 'n, zum Opfer auf dem Kreuzaltar, zum Lohn , im H'immel immerdar »; und wir haben eine gemeinsame Mutter in der grossen Familiengemeinschaft der Kirche : M'ari'a. Nur so ist diese FAMillE vollendet : Vater,
Mutter, Sohn; wir sind die nachgeborenen, angenommen Sohne, Brüder und Schwestern des Herrn. Die Mutter gehort also zur Kirche, ganz wesentlich, weil Gott es so wollte. lm Geheimnis des Glaubens bestimmt alles der Wille Gottes. Unsere Aufgabe ist es, weiten, offenen Herzens den Willen Gottes zu erfahren, aufzune'hmen, zu vollbringen. Mutter der himrmrl'ischen Liebe Maria und Jesus wandern sel bander durch die HI. .schrift. Maria wird in der Bibel neunzelhnmal genannt, doch immer in Heilsbeziehung zu ihrem Sohne, dem WORT Gottes, damit stets auch in bezug auf uns. Denn um unsretwillen kam dos WORT ais Mensch aus Maria. So steht Maria in der HI. Schrift nie ais Selbstzweck da. Dienstbereitschaft vielmehr ist das Geprage ihres inneren Antlitzes. Der herrliche Marienbogen, der sich in der HI. Schrift friedensverkünden d wolbt, umfasst die grossen Weiten der langen Zeiten yom ersten bis zum letzten Buch der Bibel. Es ist das erbarmungsvoHe Verheissungsgesprach Gottes, in dessen Mitte Maria steht, - das «WEIB» - : «Feindschaft will ich setzen - so spricht Gotf vernichtend zur Schlange und aufrichtend zum Menschengeschlecht - zwischen dir (Satan) und dem 'W eibe (Maria), zwischen deinem Sarnen (dem Bosen) und ihrem Sarnen (Christus) ; er, (Christus) wi ~d die (Sa,tan) den ,Kopf zertreten ; du wirst seiner Ferse nachstellem ». Dieser grossartige Text - WORT GOTTES SELBST - im ersten Buch der Bibel enthalt wie im Keime - wie
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der Same die ~hre - wie der Kern den Ba um - unser gesamtes Glaubensgeheimnis bis 'hinein in das Mysterium de r Kirche, in ,d er wie in leiner dreifaltigen Schale Wort, Gnaide, Weg des ch ristlichen Lebens beschlossen sind. Das Leuchten der Immaculata strahlt empor, doch in ihrer Zielsetzung hin zur Mufterschaft des Ewigen Wortes, zu ihrem Ende hin auch schon, der Assumpta. So wandert Maria an der Seite i'hres Sohnes durch die HI. Schrift in der jungfraulichen Zartheit des Unbefleckten, des Müfte..,liohen, des Leidverklarten, des Lebensgekronten : der himmlischen liebe. Mutt~r
der Tisch reich gedeckt ist mit der himmlischen Nahrung seines Leibe.s und Blutes, mit dem Brot und dem Wein der Ewigkeit. In diese Liebessendung ist Maria hineinberufen ols die Muftter der grossen Tafel Gottes. Doch sollte erst noeh die Stunde des goftmenschlichen Keltertreters kontmen, da sie erneut das erhabene Wort aus dem Munde des Ewigen Wortes yom Kreuze herab horen sollte: «WEIB (erneut klingt es so aus Jesu Mund), sieh~ da deinen Sohn» ! So wanderte sie ais die liebende Sachwalterin des Herrn still und stumm neben ihm einher: jungfraulioh rein, mütterlich treu, leidvoll stark, unersohüttert glaubjg, bis «SEINE STUNDE» - am Kreuze - kam, da er Satan den Kopf zertrat. Die Mutter der Verheissung ist auch die Mutt"er der Erfüllung.
des Ewigen Wortes
ln den Fülle der Zeiten, auf dem Zenit des biblischen Marienbogens, sehen wir sie im erlosenden Glanz ihres Jaworts zum Plane Gottes, der dos WORT GOTTES SELBER ist, das Fleischannahm ' aus ihrem Schoss: Maria, « Sitz der Weisheit » ,durch ihre Reinheit aus dem Wort, durch ihre Einheit mit Idem Wort, durch ihre Freiheit für das Wort.
Mutter der siegreichen Kirche Und wieder erhebt si ch - diesmal siegreich einzigartig - das Bild Mariens im letzten Buch der Bibel, da sie der Seher auf Patmos verkündet ais das «WEIB - erneut steht dieses Worte - mit der Sonne umkleidet, den Mond zu ihren Füssen, eine Krone von zwolf Sternen auf ihrem Haupt ». über all~s Bose erha,ben, das sie die Immaculat~ - mit Füssen trift; ganz in den Herrn gewandet - die Mater Dei -, der das «Licht der Welt» ist; in die letzte Vollendung aufgenommen - die Assumpta - im kronenden Sternenglanz der ewigen Liebe. Es ist, von uns noch Hierweilenden, indes sehnsüchtig Aufblickenden betrachtet, ais ob Gott selbst
Mutter der gottlichen Tafel Wieder taucht der geheimnisvolle Name «WEIB» auf, da der Herr es sprach zu Beginn seines offentlichen W'irkens bei der Hochzeit zu Kana. Hier erscheint Maria ais die glaubenserfüllte Bittstsllerin, die eine irdische Bitte stellt und eine ·himmlische Sendund nennt: Die Sendung des Herrn is" die Wandlung der Welt, die er si ch wie eine Braut zur Ehe nimmt im Bunde der Liebe seiner Kirche, in der -
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durch seinen begnadeten Seher Johannes an dieser Stelle noc,heinmal das Gespréich yom Anfang der OHenbarung, dem ersten Buch der Bibel, aufnehmen wollte. So schliesst sich der Kreis. Damais stand das « WEIB » der Schlange gegenüber. Hier steht ,d as « WEIB » dem Drachen gegenüber. Die offenbarende Verkündigung wandelt sich in einen Austausch der Geheimnisse: das «WEIB» ist die Kirche, und ebendieselbe Kirche bezeichnet dieses «WEIB» ais Maria. Seit der Menschwe,rdung des Ewigen WORT,ES aus dem Schosse Mariens sind MARIA und die KIRCHE der EINE GlEICHE QUElL, aus dem allein aile Fruchtbarkeit wahren lebens kommt.
So rundet sich das Bild So erschauen wir ihr viereiniges Bild; das Bild der Jungfrau-Mutter unbefleckt, der Jungfrau ..Mutter gnadenvoll, der Jungfrau-Mutter unverse'hrt, der Jungfrau-Mutter glorienreich. Und wir fragen : Was vermag ein solches Ideal uns zu bedeuten? Gewiss, Maria steht in einer grossen Sendung. Um dieser Herren-MutterSendung willen empfing sie diese hohen Gnaden. Darin ist sie nicht nachahmbar. Wohl aber in ihrem Glauben, in ihrer Treue, in i'hrem heiligen Durchhaltewillen. Wir aile sind
hineingenommen in ihr mütterliches Herz, um durch sie ,zum Sohne zu gelangen. «Wo Liebe zu Maria, da ist auC'h liebe zur Kirche; wo Hingabe an die Kirche, da ist auc,h Hingabe an Maria; das eine bedingt und fordert das andere» (Papst Pius XII. in der Ansprache an den X. Schweizer Katholikeil~ag yom 16. Mai 1954 in Fribourg).
Dr. Beat IMHOF, Schulpsychologe
La profession enseignante court de mu.ltiples dangers, du~ à des cau~es intérieurl!'s à la PAersonr:e du maître ou à des conflits extérieurs nés de sa situatwn pro/esswnnelle. Une :nquete faae en Suisse alémanique il y a quelques années donne l'image suwante, avec 1050 reponses obtenues. Les causes extérieures sont le's plus fortes. 33 % voient un grand danger .dans la critique sans égcLrd et la jalousie ouverte des parents ou d'autres personnes. 15 ,% sI,~Uen! le danger dans l'excès d'occupations accessoires qui privent le maître d~t temps ,necessaLre a sa classe et à sa famille. 12 % voient la difficulté à l'école elle.m~me, qUI, t/!se. tellement ole m?,Ltre qu'il néglige ses propres enfants. Près de 10 % signalent la laSSLtude Iprofessw,!,nelle et le d~cou ragement par suite de l'absence de succès tangibles. Un autre 10 % se plaLnt. de la soLL.tud~ et de l'abandon où le laisse la coLlectivité, cette solitude étant surtou.t ressentLe pal' les UtStI,tutrices non mariées. ., . ComT:lte difficultés intérieures, on remarque entre autres une source d~ confIa d ordre 'SOCLa~. Les 75 % du personnel enseignant sont iSSt/!S d'tut milieu paysa~t .ou ot~Vr~el:- U peut '~onc !Y ~vOLr conflit entre le niveau acquis professionnellem'ent et le ~?llÜeU d,<?n~u~e .. I!e la procedent facilement une attitnde orgueillewse, suffisante, ou des sentl.ments d. u~fenonte et de~ contacts difficiles. Par le fait qu'il est très exposé, le ma,ît~'e est s?u,vent, fI,ge dans une atutude, peu naturelle et cOl'z,trainLe. Il peut encore être expose a des dLffI,cttltes morales, succ~m,ber a. des tentatio/1Js d'ordre sexuel. Enfin, on parle beaucoup de lui, mais rarement avec lm, ce qtU est souvent fatal à son activité. A
Il.
WIR NEHMEN SIE ZU UNS
Wir müssen ganz einfach M'a'ria zu uns nehmen, so wie der Apostel Johannes «sie zu si ch nahm », wie er selber schlicht berichtet. Sie muss uns ohne Aufheben, ganz einfach zur Selbstverstéindlichkeit werden, sosehr, dass wir oh ne sie nicht leben konnen. Sie ist das Portal des gottlichen lebens, aus dem es - dieses leben : Christus - zu uns kam, durch das es - dieses leben: Jesus - wieder heimkehrI'. Maria is)' dem lehrer die «Hohe, Ergabene Frau», die mütterlich sein Herz erfülh, mit dem Mantel ihrer Liebe ihn umhüllt, den 'innern Glanz dieser Marien-Christus-Kirchen-Néihe auss~rahlen lasst in das Reich der Schule, wo es immer um wachsendes leben, reifenden Geist, christliche Tiefe geht. D~nn Weisheit des le.bens ist nicht bloss Wissen, sondern zuerst die Kraft der Liebe.
«Der Erzieher wird weniger durch Vorschriften als durch das Beispiel erziehen. Andernfalls wird er mit seinem Werk, um mit dem heiligen Augustinus zu sprechen, ein Verkauf'er Vion W<orten, nicht ein Bildner der Seelen sein. Selbst die sittlichen Unterweisungen beriihren den Geist nur an der Oberfliiche., wenn "ie nicht durch Handlungen bestiitigt werden ». (Pius XII) -
Krisen und Gefahren lm Le h re rbe ruf
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Zu ,der 'e!l-stJen Gl1Uppe von Ul~S'achen waJlien j 'e ne GeJfaln.'1Clungen zu nennen, dlÎJe sioh reinstelllen, wenn ,der !Le:hre!l' sein eÎ;genes iS'e!ellisoh",,@ea.'s tige·s rNi'Vlela:u mit seiuerr hm~œn~chen 'UllId IsIO'Zl1ailen Stefhlung nrilohrt ID Eink1ang ZJU loo.1ingen verJTuarg, sei es, dals's ea.' S'eine mgenen [~riilhe Ü1her- roder unter-
alllgepasst'es BetartlÎlgungsifieWd ZIU flÎnclen, 'WIaJS zu Heruflsühel,dlliulSS u'l1Id MuttJlosigkeit füh11en will 'd. ·Hiell~hel' gehoren 'elhenso jene IKil..jJsen iU!I1Id GefaJh'l1en, die Iclrohe.n, wenn Idi'e GeSlÎ.nnun:g,sl:iJc:htulllg des ILeJhl1e'l's '.dlelIl Isivt1iclh-unO'r,alLi'Schen Ailif 0Il1d'e rrungen seines Berules lll~oht ZlU enrtlSp'l·,erchte n '\"elrlUaJg, WaJS heü \i.hm nach .aussen 'Oift eine uneohte Sclheinhaltwnrg unld na'ch inilien h1iIuflig 'e m Schwin!clen ,dIer IITlO11all isohen Festigrocit zur Fo'l ge hatt. Zur zweJÎ;ten Gl~Ulppe 'v on Ursa1chen ge:haren jle ne IKr,~sensit:rualtJi'ÜTIlern, ,dJi'e sidl aUiS Idler a1liLzu '8lt;al~ken b:erutf~lÎcJlHm
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Um rd ie beruHiche Gefahlidung des Lehliell~s mOg1lichst wirkHcJhkeciJtS'ent_ spreohend zu 'ea.,f,arss'e n 'UJl1Jd Ida'l'S'te1ilen zu kann en , hab:en wir hci eineT sohrÏJft:Jl~'clhe<ll UUllfrage, ' ,die wr.iJr 'VIOl' eltlwars Im enr ails le inem J ahr Ih m 'd er PœœmaJr- und Sekundalr}le hrereohaf.t , deutsch'spraJch~lgen Sohwmz d'el' dUl'ohgelfüihrt haben und 'a n ,der si'oh 1 050 Lehl~eT und ,L ehrerÏ!nnen dUll~C'h BeantwOll'tJung ,c ines Fl'agehogiens heteiHglten u, 'a, alUlch :die F!l"age 19'esrte'1ll't: «Wiel1ohen I(jl1isen und Gelflaillll:e:n jlsrl: der iLed1ll~er Iha.'er 'M'elinU!l1g na'oh dU!l'oh die Au:siilhung seilUBS Heruf,es ausg:eS'etzt ? » Die AnaJyrse der hierzu mirtgeteilten Antwo11ten zeigt, dass die aussel'en Ur,saJcJhren übel'Wiieg-Em. N aJcJh der Meinung von 33 % der Befiva'giten laU/ft der Lehl~ea." oft Gef,ahr, ,der dilSlVanmos'e n Kritik und dem un verhohlelfien N eid mancher unrversta'IlidigiefJ.' Elrtern aUlsgelHef,elif: ru S'mn. nrie'S'e Anisidl1 komnnrt Œn f olg:enden AUlSseVU<llgien 'V00l :L ehrern und L ehœl'Ïnnen d-eut!1i'c h zum AusdlilFck : «Wie Isel:ten cin .Hm1u,f ·biertert der Lehrerbel'uf der Of.fientHohk:eit di'e MoglÏJchk'eUt deJ." Kon!tJrollll e IUJnd K l 'titik bis in Idi,e Beso'1 dungsfiraJgen lhdn'ein ». - « Der ILehl'lffi" ~ooht dUIK~lh ,d'ars, 'Wlas dile S ohüile!1.' zuihlause 'a us cler lS:ch'lll1e erûilhilen und ,dulJ.~oh Id ie E'in:siohlt der Ell'waohrsenen in dile ISchru!lfürh!1.ung melhr IÏm H11ennpunkt deu: Dils kussiünen 'Und Kr:itik 'ails lailldea:e Berufstati'g e », - « Eis wiLl"-d seJl.ten tib.er jle manden -m ehr und d~azu oMentlHoh mnclleild.elr ,aU/ch vor den Kirndern - kritisiel't, aI'S Id en ,L ehrrer ». - Die Bevolkel~ulllg vemfollgt daiS ganze Tun
wea.'
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und La-ssen ,des L ehrel's. El' sitzt i m GlashaU/s und wivd von aHen beohacht>et ». Der Lehl\~lr larlS 'VIerkorpeœung .der unpea<somilC'hen Maroht des IStlala tes Wi~l~d nidllt n ur Vion Id'e n IGndrern un d d eren E1,t ern ,für -arJ1e unl1iehsalm en F lol1de11ungen dle r SchUille gel''l1 Ip erson1lwoh veral1 twOl~I1l.Îlch gemacht, kriMSliea: t und h eschul'digt, s'OIIlIclern la'Uoh seiner Sveltlung, 's emer Be:sollidung 'll!l1Jd sm'Il!er IF el,ien weg-e n beneidet. Ferien, F'm,ea~tage und Idm" «hothe Gehah », sowie Idea" -a nsru:reinen:d « frooe Fetiera,h encl » w'e l,den dem Lehl'elr loft; m ,i'Ssgonnt. E'l" whl,d n1cht sehen ail s Fa ulenz'e r, « F1erirenrt:echn iker» und Hall btJalgsarrbei't>er 'V'eIliSohrr.ÏJen. BIea.~u,~1iohe GeHiJ.u1ung s ed1en 15 0/0 d er Bef!r agben aIus'se11dem iÏn dm' Ober-
beanspruchung durch Nebenbeschiiftigungen. Der Lehre r, :deIJ.' 'a usserberUJ~lioh -staIJ."k beaJIllsprwc'h't .jISt, hat n1!ei'sltenrs rsoWiohl rfür d1e SdhuiLe, wi e auch ftir rsmne eig'e ne IFaIll1Ji'l iezu wenilg Zeit. Hef'l"agte Lehreil: ul1Jd ,L ehl'e11innen aurss'eJ11ten {Siloh hri'e11ZIU me fo1gt :
«Da's Auf.gerhen im Ve11ei'l1!SleJhen fiiJll111t h ei -Vii'e'l'e n Lehreln zu eineT Gefarhvdung ihœs bffi~uf11ichen Ans'eneJllS ». ---' «Der 'L elhrer, Id er Ida-raruf angewi'esen 'i st, nehen Id el' Schull e noch etWais Z'll 'V'elrdrienen, k.ann rÏ:m Vereinsl eben oder in Id er Pollri'tik aruJf. Io der auoh unltlffi1g,ehen und fi'llfdet rdal1lI1 zu weTiiig IZ'e1t fül' die SohUJle UIDd ftir seUne F1amiHe ». RJUTIid 112 % ,dm" 'ell'haJ1t:1enen Antwo!l'. te n bezre~ldhn;en die S-chuJ1e selJ.bst -ails Gefra:hlienihm1d, insofe11n sie die IÛ'alfte d'es Lehrel's dm1rnassen beansprruchrt,
auf,sas's ige EJlt!errn ~u ühm"win!den ha~ hen » ? Hiea."aJus kann 'GIlmchrgiillt'igkeit und H ru:UJfrsühers-d'luS'S ents'tlehen». V ereinsamung lU'I1Jd A bsonderung von der Gemeinschaft wmiden 'VOn dUll'cihs-chni1:JtJ};j.ûh 1'0 % der be{'l:-a'g ten Le11l1ers:chalft laiLS B erufsgieflahren hezeri1ohnet. E's sind dies Ir echt oft die Foil'g en ,d es aurS'SlClhHess~iohe!l1 Umgangs mit Kindern, cler ,den 'genriigend'e n mitm'enSloh1ichen I(,onitarklt mi,t ,der Erwaoh sernenwelt g,e!l.egiEmttlich zu ku.rz k()lmmen Œasst. Auoh cungell'eohte Anf.ei.nJdungen konnen den iLeh.:re{r drazu brirngen, sich -v on de'1: 6.ffentilicJhkeit und von Is einen Berufskl()[le.gen zuriickzu:zriehen, rum dann haufig in Verhittt>erung mnd Entsausch'Ung Z'Ü vereinsa'm en. Vor 'aiHem lauft die unver'hle ir,artelte ,Le:hrel,in, die nicht die Geb:o\v genhcit und die exlÎ:SOOnrtlÏ'eŒ~le StÎJoo-errheiJt ,c iner eirgenen 'FaŒl1!Ïi1ie oder einer r,eiliig,i osen Gemei1nscharfrt besÎJtzrt:, G efahr alTI VleIJ."einsamull1g zru l,c ild en. So m'l,d die JJehr,e rin tlartsalch~i,ch oft deIJ." ej'm ;amrsrte IM ,ens'oh i'm Dooif. « Be<sonlders ,aUJf dem IllarnJde dünkrt mich, ,da'S's ld:eT lUell1'l"eIJ.' ŒU se!Ï..ner SOIl1dro:sveilllung ISldhrwi'ellugkeirtern ha:t, A.rnschllurss zu iflÏn:clren». «In einem DOIl,f kann man nrÏJont Œ 'm c'ht ohne GefaJhT -m it einigen Mensohen Fl'eund· sdhraJft S'ch!1i.esrse:n, es garbe ~erÏJoht Eifel'siirchrtelle ien. [)aloolioh wiœfd der iLehrrer l'eont :einsarm ». - « IE ,s !Ïrstt s ch'Wliett'ii'g ffu den Lehver mit einf'aClhre:n Leurten in ein na/tJÜ!lililcJhes YterhalllmilS zu kommen, da dierse V)OT arhlem îmmetr den Lehmer BitJaJttt den ' Mensohren in ihm
dass er fÜir scine e:ÏJgenren Klinder nrucht m ehr -d1as noo'g e -M\a.ss -an V,elr'st-all1.ooirs, GBdutlld rund FrerÏ.zeilt arUJfhringt um/d dile!S'e entweder erziehe/l'lÎrsdl 'v erna1cihl iis1siglt 0:001' mit p ed,anlt!ils ciher tStrrenge « 'sc'hm1hnelÎ\SItell:t ». 50 ,S'clll,jreben hefrargte Leh'l'er und Lehl~ea."innen : «Deir IL ehrer z-etÏ.git of,t rgegenüher seinen elÏrgenen ,I Gndel1ll übeIJ."tJriehene S1Jl~enge, hersonJde1~s bci 1nang-el1harftetr Sc:hulldrÏ.lsûlplin alls KompensaJtion ». - rDer 'Lehrell', der laJUo'h Vater ist, hehaln delt ig erne ·die eigene Bamiilie im iSchruilton IUnd krann ISO of.t dras r, ~ oh1Ji.ge VeTthallltTIlirs ZIU seiner F lr au ve11g'e ssen ». «Ob a'Hem S chu'la rz;iehen ihat dm" iLehr-e r oft kJe:ine LUlSt m ehr am Erz'Ïehen der cige nen KIiJll.der ». - « Der Leh:re r Vievliert Im!chrt clen Erzwhungsmasstab an Id en eigeuen KindeIJ.m », Sdhlrites'Sll ioh kÛ!1men a'll'cn Berufsüberdruss und Mutlosigkeit, Idie si'oh h ei unge:nüge11ldem .()Ider ausseli1ic'h zu wenrig s~cihtba'l'em Berufserrfolg mnrs'teHe:n, gefahtl1ic'he I~ci'Sen und I~onlmikte zreiÏIti'g,e n. In Idi:esem Sill1ne aUlSsel'IJen sioh rund 10 % ,der Berralgte:n. «Der Zwang, immer wiedm' lVon vorne anlfangen Z'll mürssen, lÎl:mJm.el" wi, ede~" ,dars ®lermenltlal1.ie Ipmegiern zu müss'en, karnn mit der Z'elÎ.1 ei'Il!en Zns1Jand dle r Un~ufl1i,e.denbcit runJd der Mutflosirglœd1 iffi'zeugien ». - Mla nohm' Lehrer mlU'ss id as Kinld saltJt ihekomnllen, werrIJigs'tJens zeÏtweils e ». - ,M1anche 'Lcll'11peIJ.'SO!I1 s ag;t s1ch mM de!l" Zeirt: « E ls 'llÜ1tzt laHes nilc'h'tlS, Itrotzdem ioh mir a.il!1!e 'M üihe gehe. Wal'um sich inürh'e u, drie andern Leihm~u: tUlIl es audh II1Î.cht und we'l~den wenigeT ~- 345
s Ô'h qn
»..
Was .dire inneIJ."en UIJ.~saJohen dell' bel'uflri'Ûhen ·Gefahrr.clung des Lehrell's 'a n-
hetriff1, wa'r e zunacihst einnllaJ der KonfiHcktJhe1,d Id!es «sozialen M ilieubruchs» zn Illennen. NalChd'ean der Lehrerheruf lSeinen Naohwll'chts 'Vorwiegend aus den somlail nlÏ.edeil'en Sohi'CJhtten, namlidh zu (l'und 7'5 0/0 aus dem na'UJea~n. und Handwel'Iœl'. g:~an~e be2lieht, wie un'sere Umft~age geZ'eag,t hat, erweist eJl' silClll 'Ms ein a1mgepll-ochenel' Aufstiegsberuf. Be!Ï eiuelm Gl~osstei'l 'd er Lelwer unterscheilclet .Isich ,a'l so ihr 1S0zia:l ho'chgestlellltes BeI~ufsllliHlÏ.eu in hohem Mla!sse von Huem niedell"en Herrounfsltmilieu. AJus Idie:ser Talt'salo he lalSs'eJI1 si'c h g'e'wi's's e Spla n'llungen lLl1Jd Konfai:kJte .Ïm ,Lehen cles Lehr'e rs e[l'kilall"'en. ZaihŒI1'eiche ,L ehl'er hewegen 'sœcih ,a nfangHah rleCJhrt 'llTrsidler in Ider von ihn'en dUil'ch ,den Bell'uf er,reJÏlchten haheren, v,ieŒf.aJch u'IlIgre wohntten Oe. selllschwf1JsS'chiciht. Nidht la'Men ge1ingt eIs, sich fuonfl1ikrlo:s 'der neuen Situa. tion anzupalsSen. Hesondffi's l'a hiJe Ohafl'aktleve Sitehen in Gel alh r, en1lwIe. der einer alllzu sdIhs,t hewuslstJen urnd hochmütigen H altung, dem 'Virel! 'g e. sohmahrten «lJelh:rerdünkeJ}» zu 'Ver. f,allillen Io der 'wher an M indel'werti ~
keitsgefühlen UII1d Kontaktschwieri!. keiten zu 1erild en. In heci.den Faililen harnlde'1t es 'Stilo h f1.l..m eine se'eŒis'd he Enrt'Wiurzel1ung info'l ge des l,as'c hen SO.'lJiiailen AJufsûelgers. Ei'l1 anlderes, ahnHches Gef'a hren. moment Ilrieg1 daQ'in, rd alss dell' LelhrB'l' durdh die honen E'r wa!l'tungen, we[. che die OffenVlci.chkei,t an ~h'l1 slt ent und duvoh Ida's krirtiso'hre Heohadlten und Kontl'oUlÏeren seines beruHichen und priv,ait en Lebens ha'llJig in eine unnatürliche, gezwungene Hahung -
hineingedranglt wi,vd. E'l' veTsucht dann vie:IareiCJhit «l1ieh IGl11'd zu sein» VlOll' d'e r IBevÛ'lkelt'ung, mn so na/c h lalUS. Sten ,den Atnsohein hoher Si.tdwhkeitt zu erwecken. Um <so meJ1fl' wJÎ.:rd el' d.ann .he!i rsiHiHchen Vel~flehil'Ulll'geill ver. utteitlt. . G.erade ,die sittliche Gefiihrdung l'SIt llm ,LeilH'b'e lU[ n~dht greu.'Ïng. [)ie Ge!fahr, erotiSich-sexll'e1~I.en Versruchun. gen gegenüheœ den fSchül1ell'n zu el'. ~iegen, wlÎ.l,d !VrOn 1/20/0 Idle r belflI~argten Lehrffi's'CJhaft ,hes011Iders 11le'l"Vorgehlo. hen. Nachstehend.e Hinweilse, IcHe na. tür1œoh llIi'dhit 2lU veI,al1lgemre inern sind, c~eurten auf ,c1j,ese Konmikit!silbua/tIÏ'Üil1 hi'l1 ': « rL elll'er, weliClle mo:r aliseh nicht gelf,e'sctig1 <sind ull/d ihl1e FestJÏgkelÏt llÏ'oht 's tandig d'llrch religio'Se Betati. gU!l)lg 'e rneuern, erll eiden in gelllNlSch. ten .5çhull en mwncillnoo rS rchiffhl'Uoh ». - « Die gei'Stlige 'L iehe zu Id en 6.Cihü. le.l'n rist o fit in Gelf/whr, bei ent. spw~ch-enclend veramarg.t'en I Jehl ern ,i n kOl'peu.~irdhe 'Liehe laUSZlUaiJ.itJen ». _ Del' Leihrer 'Oherer KWassen stelh t J)e. sondelis alh jlUJlllger Mlarnn ci.n einer ge. wissen Isifthlildl1len rG eifahr heim Umgang mit fruhrre,i fen M'a'c1ohen -der SJt1wdlt ». - «Eli ne g,r osse IGeif/aJhœ :Ï'st es für Id en j~ngen ,LeJh~'eI', wenn !elr in eirne einswme S'tJel/l re 'aJUfs Lan,d kommt, W9 Idie 'tSohüiler fast 'Id as cin. zi'g ILehenlc1i.ge sind, Id as ihn 1lJn1Jgrilbt:. Eis konnen h.i.el' ungesu'llIde me~sdilli. ohe Bindungen entstelhle n ». 1
1
Die JlrÏiel' IQurz aufgezeigit en K,cilS'eIl Ullld Gerfahlien .Ï!ln lJ~lwerbelt~ulf kon. Hen ViOl' ,aililem ,c1aJnU If oŒ'genlSchweI' sein, wenn Is ie ,dle nl Le1hrer selJrher 346-
nidlt odeT zu spart 'beWlll'sS!t wel,den. Und das ist 'offt d/e r ·FaIllI, ,clenn d.ei' Léhr.er IÏst in s'e iner Iberufoo/c hen Al'· hei1 ganz auf silo h sBiLber rangewie·s en. K auan je:mals wH',d el' vrOn seinen VOl'gesBltZ1:!en kOOIlWoiliLiel"t, heI'a't en und emnJalhnlt. Humer iet el' iSliro h se[hell' Rircih'trs chnur, Mlas's ta,h und Vorbi[d. Treten eines Tag'e.5 heci. ,i hm d/i e hier
.beschrlÏ-ebenen KonHikt:e 'u nd Krils en· er,s cheinungen aUlf, dann will',d wohl viel über ilu.', aber seIu 'Selten mit ihm gespll·.Ü'CJhen. Aitlzlllsehr V'e1"gisst m'a n, dalSlS :dell' Lelu'er auch nul' ein MeUisch j'Stt Illnter MIBllischen, bes1Jreht S'ei'l1len 'eig-enen mühevoihle'l1 und oft auch g,e f!ahrvollen lJebensweg zu gehen.
Réflexions en lmages
Sltr
110tre métier
Jacques DU'BOSSON
Première image :
Le poteau Hier, Id evant le chalet où je SlÜS instaiJJ1é p'OUl· ,quelques j1olu rs, Je voyais le Idernier né de mes V'oils ins a,r rêté au p±ed d'un pot!e'a u 'éJlectri'q'lle, le nez en l'-a,i'r . En quoi Ile 'pot<ean l'intéressaÏJt"li'l, ~u.i et S'eS troos ans ? Aumait-iJ wi,m é tOIU,che.r lIres irs oLateur,s .de porcelaine senlbll alb ['e 'Sà ,des ta,ssres J'enversées? Entendre vi,b rer les fi'1s ou lels t'o'Ulcher peult-être ? Aurait-i,l comp!r is, si je ~'lli avais expHqué, que, d'un ,certain p'0int de vue, ce poteau me 'par,a is,s'a it tout à coup tI'ès lÏ,m pori'ant, rcomme Ibous les P;)-t 2 ~lUX p'l acés mitre J'us,i ne ,éJlect'l,i· que 'e t la m /a ison où j'habi,t<e? Td· lem·ent irm pm tant, 'Puisque, 'S'ans lui qui m'e tranSiJ.uet sO'lidair'etment ce1lte fOl'ce 'lnel~veine'Use, je ne 'p 'o urI'ais paIS bénéficier de tous les aViantages qu'e:hl.e m'alp iporte: chla'leu:r oonfmiJahIe par un Ta'd,i ateur 'Ou fraÎ'cheJUr parI' un ventilateur, commodité detl,availl -
de toutJes sor't res, hi'e nflaJÏts de h rad~'O elt du d,i s'que ... Et nous, rbg,ell1lts de la plaine 'Ou de la montagne, Ide b vine 10U de la cam· Ip agne, ne Is'ommes.Jfl'Ous 'PlaiS Ce!UX paT '<}lui Œes e'Illf ant:Js Teçoivenlt partout 1}'es hien~ait:;s de l'instl'Uidtion et de l'édu· C'UlL'l .on
? Seconde imla ge :
Le crapaud En jouant dans le pré, ['es enfants ont 'tJroUrv é un j,e unle rCJ.'aip'a'Uld. Es l'Io nt natJll1~eiJJlle.'Illent lCiapltuI1é et .a a p'alS'sé sans el11!c'otmbre 'S'a pvemière nuit d.ans un ~vo'S b'Ocail à ,conlfi'l:ures. Le matin, ill s lSont IdeS'cendusJelans le j ail'· din,ceJtlte ,f,oi,s, et 'o nt installé Jeur hôte CLans l'e petit hassin rq ui sert de fontaine au g.raUld.·p€n~e. IH s y ont lailsS'é un 'Peu Id 'eau _:dl'a ire, aj'Outé qU eJI'que·s feuiilile·s ,d'iris et queJques pierres. Elt tout 1'e m'Onde pa,r 'aissait content. ·IJes enf ant'S ont l'ega:l'ldé glootimént le rc raplalUd qui esS'ayarÏt de g,d rillip er 347 ---
le 1ông des 'p 'al~ois là Ip 'e ine T'lIgueuses d,u .bassin et se sont m'o qués dou'cement ,de 'ses eHol1ts m' a,lad~oits pOUir sortir de cet~e prison. Puis i'l s sont parr tis 'prendre aeur petit déjeuner p,}eillTement Tassurés sur Il e SOTt du cl,apaud. Leur I I~epas a'chevé, Hs sont revlenus ,à la fontaine. Etonnement, com'm entaü'es p'l.us ou moins ind'i gnés, cUir ieux 'aussi. tÜomment 'a-t-ill pu partiT ? Poull'qu:oi ? Soonme's -nous sûrs 'q ue dans notTe écÔ'le tralc1irtionJllaHste, 1'enfant ne se sent pas à ~'étl'oiil:, IJna,1 .à sa 'PIla ce et n'a-t-H pas illaiS'on d'e ohercher à s'échalplp er ? E'st-'c e 'q ue Il e ,cTapauJd cherche à fuil' son 'm iEeu na'tIU'r el ? FaitSon,s donc de filotre .d 'asS'e un lielU où ~"enfant 's e sente 'chez Jrui. J.l noulS en coûtera néoessai'l 'ement des 'e ffoTts puisque nous ne sommes 'p lus des enf aJllts, ma,i s ... , il y ,a tant là faire pour le fUll'IIIler eIt ['.alJ1iller 'Pour l,a vi'e qui Il ' attend. NOUiS 'P'oruvons bien faire ce[apou:r lui et nous aildeT du même coup ,dans notre tâche en pal'1,a nt de bonnes pl·émÏlsS'es. TI'oisième i,m 'a ge :
L'ours . Dans ma m iaison habitent ,deipuis pilais'i'e urs 'a'h néeS deux enfan1:Js : rune fiililètte .d e 's ept ans, alssez maH'CÏeuse mais oalpli~cieuse laussi et son frère, de tl'loilS IOU . qu,atve ans son ·aîné, g,a.rçon à l'alliLure s'ériéuse, un peu distant p'e ut-être . .J"a,i me b.ien leuJr 'Père et bavarde là fiOooa,silOn avec lui ,à un étage ou à G'autre. IL 'hiver dernier, il me loonfiait 's'On inJquiétrulde: ses enfants ne jouaient j'alJl1/ai,s ensemble sans se dispUltJm' 'OIU même se f:r'a pper -
apTès qu'ellques instants. Après les fêtes, je il'eJllCOnltra.i piusieuI's fois la cad'e1Jte ,da.ns 1J"eSioailli er les hras en:c ombrés d'un gros ours en peiluche. L'ia ultll'e jour, Id e m ·a fenêtre, je v0Y'ai,s mes deux jeunes vois,i ns sur . leur ter.rass'e jouanJt, Iri'a nt, s',amrusaTIil: royallement aJVec [',o!urs. P.oint de clispute pend,ant 'pŒrus Id 'rune heure ! Ert }'.OU'l~S était s'Oi'g né, recerva,i t s'On repars, l'eUic1airt 'visite au gra<l1Jd frère, se m létJamovphosait 'aJU gré de tSa g'al~d.e-Tobe en ,cuisinier, en soldat, en gendarme, en ,d alm e ·à 'ÜTinooine et '01nbrellle élégante 'o u enool'e en ,b on orurs ,q u' om dmlo1e et met au ~it ·avec sa Plüè:re elt une llÏistJoire racontée IpaT palp a OIU m,aman. L'üurs ,de mes derux v.oisi'l1's ré'con'cÏ'liés est un moyen, Id,i tes-vous, ' mais aussi run symhoùe, si vous le !V~ez bien. ID représente qi((le~'que cho'Se de différent pour la fiillette, pOUT le garçon, 'p our le père aUStSi. Pour nolUs é:dl.fClateur.s, ne ip'Oulir.ait-i'l lp:as s'appeil er Il'inltél,&t? iÜet inttél'êit ,qui nuus Ir approche ,de nos élèves, Iq ui nous fait trava.iHer sans grande fatigue, 'aJU point même que quel!ques-uns de nos enf,ants pensent à lime l,éill-éartion en entendant 'l a ,Cloche ,de l'école qui leur pel'met ,d e rentl'ell' chez elUx ? Quatrième IÏm,age :
Messagés en code Je mal'chairs p'aT une après-midi estiva'le dans -la gr.ande fOl'êt, derrière le ,cha:l:et où, en famille, j1e passe mes vacamces. AIU con'tour du sentier, je suis tombé 's ur un g.r and pré qui montaÏJt doucement jusqu'aux pTemiea.'s sapins 'e t qui serViait de terrain de 348-
j eux à une hande de caLons âgés de sept à 't'r eiz,e 'a ns, à en juger pail' JeUir m ine et rleur l1JaiHe. A",'e c J"aide des moni'teullis,.on s'était lo rg.anisé en deux équilpes, ,à rune 'cent/aine ,de mètTes l':une Idre 1'.aJU!fJre et ,on s'aff.air,ait, a,r ,m é de g.ranld..s fanions muhicolores, à traniSIIl!elJtre :des 'm essages. Je lJ.ue suis ap'pil'o'c hé Ilent-emetnlt, Id i's-erèttement, 'a'Vlec '1a compli'oi1lé d'e mes etSpiadri[ll'es, du terrain et des quel1ques gosses 'qui m"avaient vu et qui !riaient, quand je leu.r ,ai deluarndé 'aiVec de graI1ld,s Y'eux ronds et un doi'g t sur 'l a bOl.liChe, la permission de m'approcheT et de l'<~ga'11der. J'ai gEssé ma pÏJpe dans ma \p.ocihe pour ne pais ê'bre u 1ahi pal' la fumée l~rt j'la i vu ... Oh ! j'ai vu beJalUJooUlp 'd'e ,dhoses !... Dans l·e gl'o'u pe qui m'a adopté als'sez vilte, [1 y ava·ÏJt Œe:s gosse1s qui tJra'Vaillilaile nt et oeux qui reJg,ardai1enlt. 'Oeux qui 't11avraili1aile nt étaieIlJt assez diffffi'ents les runs des 'autJres. l[ y avait ceux qui connaissaient Œ 'e ur code à f.ond et 'q).li étaient tout à la joie de la tJl"a'filS'ill1ssion. Ceux qui sarvaient déj-à le code, 'l nai,s qui s"entraÎnaient enoO're S'él'ieusemen't , 'p a:r honnêteté aurailt-on pu Idiœ. IM ais il y a·v ait aussi ceux qrui manifestement ne connailS'saienlt 'pas h techni'q ue de ha,s e et qui vOllllla,i ent cep'ell1Jd:ant .envoyer un message. 'N y aiVait aussi 'o eux qui pI'ép,arailent Ide tr.op longs texte'S POUIl" leuI: COlUip d'ess'alÎ., ·oomme s'Hs étaient des profes's ionneIs... et 'Ceux Iqui se oontentaient ,d e quelques m'o ts simples. n y alyia1t ceux qui ta.'ans'm ett:alient rtTOp vi't e, 'o u trop [.e ntement, sans le 1l."Y'thm·e. fi y a'VIait ·c eux qui oritiquai'e nt et refrusai'e nt cl"agilJ.." -
quand le monilteur vouJa,i t les encourage;r et les ,entraÎneJl" parmi [es ' autres ... P a.rmi ceux qui .reg.a,r daient, H y en 'a:vai,t ,aux yeux 'p'leiI1ls de bonne v,()Ilonté ll11ais qui n'osaient se l1ancer. M:ais il y aVlait ,aussi ceux qui reflUsaient jusqu'à 'l'.i'd ée :d.e s'intéresser, les yeux Jas, indiffél'ents. EI rai 'pensé petit à petit, au milieu de ces gosses, à notre !beau mètiell' et en Ip a'l,üouilier à ndt:re a'ttiltulde ,à ré~al1d des métho:des di,t es nourveHes et j',a i lé té f-rarprpé .p'all· les ·analogies si 's im'p les ·à étaiblü' enttJre 'l'Iattioode des colLons et notre a!tJtitJtl'de à noutS, au p:oint que, sans presque m'en [~endre oomipte, j'ai pl~is ce 'p api'e r en rentJl'a'nlt au chall et. Comme mon bi:HeJt n'es't 'pas un sermon, j'e n'ai même pas che l'ohé à ml!ettre ,dans un OIrd'l"e logi,que ou Iperculbamt 'ces images. J"ai pensé à 'c eux qui trav,aiUent, de tou1te leur â1me 'Palrce qu'i,l s me poul~aient fla ire 'a utrement mais 'q ui font penser ·aJUX ic hevaux de la mime dont on nOlus parilairt ,cl,ans les Jeçons de géogralphi1e économi'que de not're jeunesse. lis s'aJVaient si bien ieur ch.emim ,qu'œls 'Se baissaient à tem·p s pour év~t/eT une ·p'Oruitre. Eit j'ai pentSé à ileurs firèTes qui tr.avai,IJenrt tourt au'taIIlt mai,s clans un esprit de ll~echeT che, d'ohserv.ation et brou vent rune fois ou J'lautre ,du nouvearu, là force de fél'ocioté 'e n face ,de la clMficu:ll1Jé. A ceux qui 1I1'avaiiLlent et Ic ontinuenrt à .chel1Cher, à amélioœr [e'UJr besogne qUo'tÏidienne par des lectures, des échanges ·avec un cdJJlègue. A ceux a,u ssi qui entendent parll'e r de méthodes nOlUveJlles et montent sams hésitel" 349-
cl<l'uS le 'd ernier bat'e au; pal' v,a nité, pair luanque d'e hons S'eUS, pa,r ee qu'ils se connai'ss'enrt mal ou même sincèl'iement. 'M!ai,s iJs ne ,s ont dru voyalg e que Ipour Ull1 te'm ps, très COUirt souvenlt; :e t ill'8 retom'b ent 'V'Ï.Jte d la ns le ro.ol'on de ileuvs ha-bJiJt'Uld'es. A ceux qui 'o nt étudié consci~l1!cie'Ulse.ment Iles méthodes nourveihl~s, leu'rs teehnique'S ~énéraŒ'es et :1em:s procédés et qui décident cOllil.'ageusement ma'is témérairement .d'e fair,e « aru'tJrement ». Ert à lerulis cousins, ,p il us 'S-ages, plus pondérés ,qui irll'tll~oduisent t,r i,m estre après trimestre ou même semestre ,alpirès semestre lI a nroUIV€ihle méthode alp lr ès être sûrs 'q u'elle oonvient et plaît mieux aux goslses l0t 'qrue Œ ·es pall'·enrts [:a .comp1l.1ennent et [',a'd'Optenrt pall1Ce q'lte leurs enfia n'tis leur pa,r aiss'e nt paus heuœux et ,f.ont Id e meiiLl'eul1S pl110grès. A ceux au s'si qui vlO'llIdrr arient bien luais qui n':osent pas s'e lanceiI: en
ANSCHAUEN
dehors des v,oies SUIVIes au cours de leur arptprentissage, à qui une ad:resse p'o ur Ise Id ocumenter ou ,dis·cutter ou simpŒement un renoourr.algemenrt su ffil'alelIlt. Elt à ICle ux 'q ui refusent jusqu'là une inf,ormation en dehors de [eurs hiabirtucles. J'avais envie, sur le pré, de .dire à oes ,coloms si sy;m pathi,ques dans !leur spontanéi'té que c'est diff.ÎlCÎlle 'd"apprendre J'e 'c ode, 'qu't:il faut faire un eUoTt pOUl' app~renrlre, un eUrort pour mainteni'l· ses cOlllilailS'sance;s, un autre effOIt 'I)Ouil·_progresser. Mors quoi? 1Joujou;r s ùes effû'l,ts? m'lafluaient-ils perut-êltœ répondu. A",ec ça lq u;e c'Ie st ·drÔJe de f,aire toujours h mê'm e chose ou de ne 'p as 's avoir ·que f,aire ! ,Mais i'l s la'VIari ent leurrs moniteurs !... Mors, j'ai repris ,m a 'pipe et rai continué ma ·P l'oonenade.
UND
BEOBACHTEN
2. TeH
Ernst SCHMIDT Regarder et observer ne s,i gnifient pas la même chose. Regarder veut dire saisir avec les sens .e t l'intelligence un objet actuellem'e nt présent. L'observation est aussi une I[Jrirse de conscience, mais qui .s 'accomplit méthodiquement et s'organise selon une succession de points de vue déterminés: l'observation distingue, dé'limite, détermine, mesure l'objet. Elle ne s'adresse pas tant à des êtres inanimés qu'à des événements et des faits. On peut regarder une ruche en hiver, mais on l'observe au prir/Jtemps ou en été, quand eUe est pleine de vie. Nous devons cultiver cette faculté chez lers enfants, leur demandant s'ils observent, pourquoi ceci ou cela se produit, pour qu'ils apprennent à saisir les relations les plus importantes et forment leur vue personneUe du réel. Si l'observation a LUte teUe valeur éducative, le maît;re doit veiller ·à être lui-même un orbjet 'd'observation digne d'être imité. En outre, nous devons prendre garde que la jeunesse n'obse,r ve pœs uniquement les réalisations de la technique moderne, mais surtot/,t les merveilles de la nature, de façon que les enfants n'admirent pas pll~s l'homme que le Créateur, mais voient que l'homme ,l ui-même peut seulement poursuwre l'action divine et doit rester un serviteur de Dieu capable de s'émerveiller. S'ils veulent bien diriger l'observation de la jeunesse, les éducateurs doivent eux-mêmes observer les enfants avec profondeur et finesse. C'est en les connais's ant seulement qu'on peut les guider et Iles éduquer. -
350-
Wi'r ha:ben in der Ilertzrten NUllnneil· der W·.AJùLliS EIR SICHUDE ~om rechten AllIsdhaue'll geJSiprl."orc hen, ,das 'Will." den Soh:uil.kriIJ.'deJ:n magliicihst f!l.Wl schon laneTzÎrehen 1S0'illlten. Ohne .r echt es AllISchauen blreiblt iman alHenrthaŒben heillll OheT,f[a,chll iohen stecken und es k.ommen keinre bioeibenden Eind.rÜJcke 'lmd Elilerbntiss'e zusta'lllde, weil.Clhe Id ie IGndetr d,all1!l1 alUd.l ge'brerul]oh Uludall'scharuJJÏ'c h dall.lle'gen kannten. Aus diese:m Gl~unJde -siIlld SchiJJd'el\Urngen oc1eil' ,E rûihll'tl.ng'e n oberfHid1il!ÎClh'er Sc:h-wer aurch so martJt und !lebiolS und dazu gespi'ckit Vlon pira tten GemeinpHitz·e n. .Auf den el'sten Bli·ck frind'e n wir zvVlischen Anschiauen und BreohachtelIl keinen gToss'e;n Un't!eTsrchried, weiJ id ie Grenzen diesel' FlUrnkrtJionen manchmatI ziemil.irc h Hiesrs end :silIlid. Und dO'cih sind llueil"'k!liche UntterrsClhi'elde Id a, -die in der Art Ides HandJIUJllgs'VlOrllg.arnges cleutiliidl wel,den. Wir haben Anschauen laŒS ,aW}'seitig.es, hin!ge1b endes, denkenrd,e\S WlahrnBhmen heze':Ïlohnet. Und W·ahrneihmen heisst etwas, d'aiS hIi'ell· untd jeltzt v011handen ist, l11ogl,i.crhst allWseitiJg IlTIlÎrt ,den St~nneŒl IUnfd delJ.n rG eist oel,fla's sen. 'E ,s Il-idltett 's tah mei.stens arurf 11lhl-rende, S'tilil lVlorhJandene D[uge. Beobachten i:s t zwa~: auch elÎn Wahl,nehmen, alb er ers v,dlJlzieht sich be.:œi,t:s met'll'Olditsich rml/d il,jJchtet sich mehr plla'Il1ma'srs ig na/ch b~tirmm tie n GeslÏ!chtiSipU!IÙ{)'tien a'Uis. Somit (ist Ansrc hrauen eine Art Voraussetzung fliT 'd as Heoihaoht'elll, ·d as ni'chtt iIlur wahrnÎlm,m t, S'oll1!dm'n un!l:1el°-sdteÏldet, a1bgrenzt, 'p f,aJIlIt, Vle11f'oilgt und festhatlt. B eolb <l'chten t{rarssrt ni,dh t so seh:r ein ruhencles Ding, S'onde-rn ~ewÜ'hnJ.ich -
einen V,org,ang, cin Gœohehen ins Bt1i'ckf.B1d. Wellill ich z. B. einen abgebiilidreftJen 'oder aIUIsgestolp tftt·e n FlUlchs betrale'h:t'e , 'S'cihaue ich ihn an. WeIllIl alber ein l'a@er in ·hel!1er Willl'te1m.alchrt dem Fuchs 'aruJfilauert, um ihn zu erj1alg.e n, d rann beobac:hmet 'B,r iihn inlS'ofern el' k:o mmt. Oder wenu ioh ,i m Winrtea: VOl' einem BieŒlenhalll.'s'o hen stehe, krann ,i,ah das wohll anschauen, abell· nicht ,eci.gentJlilc h beobachten ; im F,r ühhng und i'l11 ISO'l111IIlier aibe:r, wenn es wiecle-r wiÏrmm'erlt ",on Bienren und von 'L eben wird, dla'l'f tÎJch beobachten, was im Bere~oh des Bienenhauses a:lles VOl· s1'o h geh t. Wir hatb en in den Au:slfühll'ungen über daiS AnschalUell tclal'aluf hingewiesen, wire KiIlld'e r ein Mites HalUtsam SohUilweg roa'll.fm befrrrÎ'e ldigend hesohreihell kanrnen, wenn s1Îe e:s IlrUil.· gesehen ha/ben. S.oihalld wiTaherr ihr Sehen ,s o lenken, ,dass 'es 'z um cœdüen AnschaUJen W.i'11d, kanrn bei den namhchen II Gnde:r n clire BeschTeibung des gllei,éhe;n HaUlS·es zu reÏne.'ll1 pradœnJelen Aufsratz wel,c1en. {Heser Vel'suoh fru· da!S Beoha.chil!en fü:llllit mitt g,r.osser Warhll.,scheinll:Ïlchkeilt 1l'1U einem noch bessern grgebnis 'ail s ·bci.m A.n:schauen, zrwmall das He.ohachten clen IGn!d eln, besoilldrer,s ,den Kna,b en, be,ssert· iLiegt. E,s kaIm namlirch darhei IJ.JlIeih:r Lehen und :mehr Hallldilung 'e ingefangen werden und nehen Id em V1ers'tand darf si,ch aUich die Pha,ntJasie des IGndes lebhaltmiûhetat:ÏJgen und IStptanIlIUng s·chaHen. Obschon ,s ich ,das Kinddem Heobaoh'ten Meber und ~e.idl'te.r widmert als Id em Ib [ossen ·k nsdha'llen, mU'ss es 351-
dazu g;leiohwolill ·m ü besonderer So.rgfaJlt erz'O'g en werden. Wœr mÜJss'e n es lenken lUlI1Jd 'Vor laililem 1f1J..eissi.g ÜJben b :s sen. ,zuna'd hst lSoŒlll:en wi'r die SdhulIruinld,m' UiIl!ge und V01'lgange be'Obachten lll11Jd dann fes'tisttellil'e n Œa.g's en, WJeT élflll bes1Jen beo1 hacJhtet h ,art und weI' daIS HeoblaClhte'te au'oh lam w.n.":kulIlgsv,oMsten zu sagen weilss. Dieses Lenken ve1.i langt, d.ass 'WiÎ-r hesollidel1s hei BIllben zu 'Vi~lseirtige, Z'U abwegirge older aruch zu IstJad~e NeigullIg'e n zum Beohachten in Id ie Il'eiC'hten Bahnen '1enken. Nach der Heoihachtung Vion Vorgangen ader Cesoh,e ;hnissen sohl1Jen w1r lÏ:rnmer wiJeidle r fll,argen, warotllu unid wo~u IdtÎeses UI1!d jenes oge:scJhieht, IdamtÎt die !Cincler weni'gsltelIllS Id ile wi,chtigs'ten iSinn27Ulsa mmenihaIl!g;e einsehen ' und lern1en, wie m,an '81ch die SClhau des W:eS'enltJlitchen 'a neignen karrm, etWlas, d'as ifÜI'S Ispartel'e, p r ak1t1sche Leben 'Von IU.!Il.Sdhait zhar:em Wel~t ,j,st. In dies=em ,z ulS 'ammenhang s,ei vermerkt, d.as'8 gera/d e {daiS gwte Beohachten mit einell' sehr wich'tigen Erziehungsfunktion in V et~b~nldung (S1:eht : Idem N achahmen. Dal'arus el'wa'ohsrt fi1r den Erziehm' Id·1e 'Plftlichrt, mogHIClhst nul' solClhe Dinge un/d VOl~gange IbeiohacJhten 2/U ~assen, die nachahmleill\Swüll,dÏJg s1nd. Zu dioesen He!cmaich'tJunrg,szieilen gehotît nawtrilœch aruch el' Selilher; :denn je bess'e r .el' Idie Kinder zum grün!dll lichen BeOlhaohten erzieht, (d esto s'oirrgfMtirger wel'den sie auoh IÎhn ,seLbe,r UIl!ter die Lup'e nehmen und 'clas Positive OIder Negative an nradhzuahmle n vet1suohen. Wei,l Iheurte ISO vielle Mens'chen mQ"e
mm
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Weltanschawung ,aJllzu einsehig nach denl eiinfŒuS'sma,chbig·e n Gebiet dm' Technik all'srichten 'Und sÏJch ,de1'uentspl~chel]d .awch v<efl'1:taJl'ten, list es nicht v,e rwundeI1lioh, wenu ,arl mh ,die JrUlgell'd in h /o hem MaISse diesem EinHuss unt81Megt und Vlet~suchrt ist, Idem Mensohenwel,k mdlol: HearchrtJung und BeWiunIdel'ung ~u sohenk.en aIs .d en gross'ben Narturw'Ulud'eIl'n des 'SiohÛlplfers, Es hei.~st Idal1Um die S1Jaunenden BHcke unS'el'e1' Jtwgend vom Tle chnirs chen etWla,s ahlenk'e n 'Und :sie lehll'en, m~t U!l1l so grOS/seTer Hing·ahe Id ie Wunld el' der NartJll'r an:ouschalUen und zu beohachten. :D ann wit,d 'sÎle rlerll'en, !rlÏtcht nul' VOl' dem Konnen des Mens'c hen zu sbaunen, lSo·I1!clea.1Il Yliel melh r und mtÎt Recht VOl' 'cler AllJ1macht des SchÜipfers, Wenn wir versuc'hen, 1cl.1e Jugend ansohauenld und ,beobaJcJhtend zuea."slt Lns Rei/o h der S ClhÛ!pfuill'g .einZlUlflü h·r en und clann eŒ't ilIl jeI1!e!s Id er Technik, wÏJI~d sile U11U so ·besseT erkennen, wie der IMenscJh IcHe Schoptung fOl'tt:outfiihl'en lSucht und wie el' il111!Iller und œmmer wiedm' auf den Sc:hapfer aillg·ewiesen i'St und dessen staunender Diener rM eiben muss. FÜ!l' uns El,~i'e'her lbll e1bt aiber zru ,b edenken, 'd arss 'Will' sellber UDsere Sohuljug.errd felnfii!hllenJcl unld 'eilIl,füh~eIlicl beobach't!en müssen, claflllÏJt wir Ulm ihre An.!l a'gen, und 'F ahigkeÏlten, um ihre Neirgrungen Ulnld !Îlh t' Konnen wi'Ssen; denn nul' IS'O wmden wÏJr sie l,ilchtig Jenkien konnen- alUch 2/Um rechten Anschauen und HeoblachJt:en dessen, wa'S sie besseT 'Und tüchtiger maClhrt.
352-
NOTRE ÉCOLE NORMALE, AUJOURD~HUI ET DEMAIN (Suite)
E. CLARET
II.
CI,j1JÏqUier. Un nou'Veau s~ail.Jut est à l'Ié tulde, qui entr.er.a en vigru'e ur en 1961, se·1 0n toutes proha!h Hités. IL e MesiSia.ge IdfU 1Q0nserill ld'E!t!art la u Grand Cons'e!Ï1 (d 'ia'Vl,ill 1958, en idünne les gl,arncles Œ~'gnes : nous no.us y œplOl-tons pIQur l 'ressenti'ell. La durée des értJudes seT\a de cinq alIlS, aVleiC die ux années Id'éco~e se'c onda<Ïr'e au préa lahoJe. ElcOile seo'Omlai;re ' dolit S'ernOOIl!dllie dans le sens de « plimaiœ sUlpérieulie » ou école moyenne. PIl~artiqll'ement dO'Il!ll.erorut 'c et enseignement les rélcoŒles de 'distl1itCt, les éOOlOOS inclustdelJ1es inféli'e ures, Œ'raCltJu.el OOIUlI1S pXépa-liaitOlÎ're de M'aT,t:Jigny, év.entrUIe/Hem'enit l'es prem~ères alIlnées du gymnase. A 115 lanlS, ,p!l'rel1I1ier examen d'lardrrnilSs,i on. Oeltte éJplfleu'Ve sel~ p~us étJendue qu'laICltuleÎlllement. EllI e pOI1:er,a sur le1s c1is!cip/l ines .fmardlÏ.rtionneliles (fr.ançatÎ's, ari'thmc%ique, hi'Stoire, géogl,aphire eIt économie na11Î.'Onaile), mais arus3i sur Il es p'r emières notions Id e 'g·éométlÙJe et d'Ia lgèbl,e, sm Œa selconde lan~e dont (Îll lf,a.wclra aYloo.ll' f.ait Id eux années complètes: en outre, l,a gymIl!aS!tIÎtque, le tClessin, :l e dlant, bl1ét:J.1tClhe:s qrue l'on a trop tendance à sOU's-'esti-
DE.M AIN
Qui di,t progrès Idit 'a'c laptation c·aoJculée, e{,fû!Cile nte, là ,des hes'Oins nouVleaux, ià. des S1ÎtUiattriorus m'Ouvanlties. En un sens, la nature m'est j'a mla is en p'r og,r ès : 'qUioIÏJqu"e1lile ,s oit 'Va!e et rm'OIUvement, ses Jois sont if:O'llljOIl1TS les mêmes. ,M'MS JJa 'm'V'Îrusaûon, l·a Jl)e'chlllique postuŒ:e nt Ille iprrogrè'S, S'OUS p re ine de liecull :et de d~'Sip· arilf:jiolIl. Hans le domaine ·de Œ 'a 'pécla'~Û'gj.e, SUIl' une hase imnruarbŒe quJi est Il e bi'e n Id e [ 'ienfrant, le 'Pliogrès bâtit ses réa'lis'atioills, !Ï.nf:luellloé:es rpar les IdéC'oUlVlel'tes, les possibilités, ilJes tendances du moment. Une génél1.'lart~on s"est d.onné un 'l"égi,m e 'S'colaJÏtrte estimé au point: vingt ans après, c'est là ():ecommeneer. QUIe de MéUnlsfm.'rmamoill's à l'IEco\le Norma~re d\81prruis ara première loi s,cohdtre de 118'44 presmivmlJt 1'0IUYle1.ilJu'l'le de cours nomllJartlx de 2 là 3 rmoos pOlUJl.' la fOI'maJÜÎro n des il"égrenrts ! En f alÎt, rE'c ole NOllIIl'aile a touj-OlUIl"s marché artl rylthme Ide '8 0n ;lJerIniplS. Si nous 'envis.ageons la'Uij'Ould'hui une nouvelle 'r éforme, Ic'est p'Our Ic ontinU'er les efforts de nos prédécesseurs, non pour les -
353 -
mer, sel'ont appréoiées avec plus de sévél'Ïté. L'examen réussi, wes call1di'Clats seront adm~8 à Œ'lnternat de l"Elc ole NOI1.'m'a le 'p our une 'p remière ann:ée dœte d'orientation. Da 'VoloaltlÏ'o n enseignante dem'anrde en effet ,d,es aprtiltllCles très sip'é ci a'1ers qu'il est M1JIpos's i' ble de IdéoeiLer dUl~ant l,es queI.ques heUlres de cOO1lt!alot Ide l'teXlélmren Ialcltue[. Malgré ~es t:eS'ts psyrchO..1Jerchniques introduits Ideplu i's Iqueilrqu'es années à l'~aidmission, liil lan,Ï'\ne enOO'I'le 'q ue les p il'ofesS'eul's ,doo'Vent déco1l!Selill'J:.er unammemrem à rtel élè'v1e lI a ~a1'l'.ièl'e de l'lense/Ïlgn:erment. ]l est des ,el1.'!l'ffil'l·S d' oo.ûenifJaJtiÎ1on qui il,elj,alÎl1issern t p~us tallid trop tlal'd! SU!l' /tout Il e COl1pS enseignant. Une ,aI1Jl1ée compŒèrtte d ie co'IlJt'alcts quortJi.Jc1.lÎ!erns et de driscrètes reXipérÎlnen'ba'tiol1's perJUieittra laux ma~tl~e:s Id'e ,mielUx se :r enc1re compte Ides rarpt1Ïtuldes inrteiJJ1ectuélJles, mOll1alles ,eft rpéldJa!go,@iques d'un candri.drat. ,C'est ,donc à J'lissue ,de ce'f:ltre al1ll1'ée d'orientJatlÏoill qu~ sel'ont r:eJtenUiS Œ'es &lèVles j,wgés 'aJptl:es à l''eI1lselÏrgnemell1t1:. m~ entreront ,a,l()(rs à il'Bcole NŒ.'ffi'aile pl'Opl'emle nt dirtJe, s'Oit en 2ème année. Qu~t {aux autl:l'er8, ils n~ lSe~ornlt potint ahanicl'Üll1nés. Le ' pil10g'l,alIl1mJe de (oe1:JtJe année l d"olûe~taJtiion, spé'oilaŒ'm n'ernt é.tiUdrié, serta équri'V'alentt à ceilui d'une tr?islÏè~~ -InduStI'ÏeJl[e inf énÏ:elm.'e, donll'a nt aécès aux .c'l~sses suriiVlanrtes : -
alebnini's tl'ation PTT liÜ~F; alplp'renltÏsSlélIge ail.'tis anat
Si l'E'cOile Normalie TIlIalÎ.nitiel1lt s'a rentrée à PâIquteB, 'ooil11lme Ic'eslt [e oas aoCtuel~I'emell't, ,iIl 11estara <:t 'o u 5 lIll'Ois à ces éturcli'ants pOlUl' flaJÏre le Ir aIC!COrc1eIlle!r1t néloe:sisalÎll'e. Si ~e s'Ia'r ogne suo.· les lautres éco/1e:s tet rpall't Id e sepoomJb'l~e Cce qui Se'l'Mt ta.'è,s sOUihaitaibiLe à pilrusrieu:rs p oints Id e V1Jle), li.!l restleit'a g'11anides vlaoanc:es pour Ipl}:érparr er ~'o_ rientationc'Ol1's'elÏillée.
res
VooŒà dOllc deux pOlÎ.nIts certtalÎ.ns: le tenùps des étuld es ett (l e plrogl~mme a'llJgml enté's, ip~1lIS Œ'admi!ss:i.on l'endue plus di~f,icile aru Id ép;aI111:. n en 'l·é:su!ltera une au'g menrt'afbion sensiib!le du ooût des éûucle:s. -Dès dors, }'rElco~e No'rmal'e 'ris'qlUe iCl'êb'e fel1:mée à un CeI1.'tain nomh'r e de f amlÎ.JII,es modestes de la 1110ntl:agne 'qœi, n'laYia nt 'P,as ohez erux d'.éc'o!le se:conJelarire, se'r ont asif:Jl"erinrtes à p 'a yer il "écdl'alg e, le dép'lacement .o1U la tpe\11SŒ'On Iclll'liall1lt sept 'années. C'~Sit un iLourd salcvirflÎ'ce. Les ,C'aooiIdla ts ViÎ.[lage:OIilS sont ISOUrWIDt les éléments les pJfUiS inltér:essants pOIUlr iLa 'V'Olcam.on enseignante. C"estt p'Oul~<JUIoi Œ'EiI:!at a, dès 'oette année, sUippll.'1Îmé !l'éco!la;ge à l'Elc01e NOIl'mal1e; en I()Wt'l·e [e nOill'veau stlatut p tl'élVoritt: l'instJitution de hourl's'es et die p irêlts d'honneur. Quant rà lia 'Sème année, eilile 'sel1a surtom une 'a nnée de fOl'm'aJtion pl1atrique. L'exla men die OOltu1"e généTla!le
piremièœ tel0hIlliqœe :d u cod.Jège; dr~ux.ième commel'lciafl e du 'co~,lège, avec COUTS de' Ir a:ocordellllent ('sténo, c'Ü'l'resp'O'Il,dla nœ 'c om,mel1.',oi ale) ; ' tJechnri'ûllim, avec ra'Cc01'drelllfe\11t éventuel; -
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se f'el'a à lia fin de la 4èmre ett le pl'Og'r amme de ,l a dernière ,année s'e~ia COll'sac11é exolus-ivem'ent .à Œ la méthodOllo'gie le t aux srta/g es clans Idrifférenltes sor,bes de Idlas:s'e s: à un tcleg<l'é, à t'Ous les ,degrés, 'ola'ss'e:s de garçons et cJ.as354 -
ses md:xltJe!s, ,cilJa:ss:es pour Hil'1.'ileres. L'eS n o'm11lalliens Id e cinqulièlue la nnée, en l,arisoill d 'e [le urs mUll tip[es dérph'cem ents, fOIl"ffie'l'ont une selctlÎ.on sipéai,al,e , avec un rpll10fesseur titulalÏre qui ()Il~@anisera, diil'rilgeTia ett conltrôle[J.'a ces st'a geis. Lers rpl~orbIèm!es rp 'raJtiqU'es ne rnJall1qtllelonrt p'as ele se pO'ser à p~ropos de Ic ette 'S ème année; Je sel'V'ice mil1ÏtaiJœ, ;l e 'Cours agd:c<Yle de Cihâ1Jela ummf }Jreilidronrl: néceS'saÎil-enl'ent une p'al,tie rd u temps 1C0nsacré aux COIUIl'S et arux stages. C',e st une question d'e mi-se au Ipoint qui vri'endr.a en son temps. Mlais déJà appa'l·,a Ît un hénéfice cert'ali n : >celUli ,de '1ruiss'ell' !ÏJlJta:clte la 4ème :année, alC'tuei11eIllent si d lésOl1ganÏ'sée dans 'Son ,drérofUllle m'enJt !n'o,r m 'ail pa'l' lles stages ett les Tem'P~,a lce mentJs.
A Pl'OPOS de pl1ogramme, chacun y via de sa pe'tihe réforme. Le nouv-eau statl:Ult prérv'OIit de l'Iaplpl'o~olldi,r, de l'êlargi,r toutt au plus, 'Il'on de le ,chamha'l ,der 'm de l"as'S'Ïlm1'1e!l' alUX ilrumamtés ,dl'assiqnes. 'L 'enseignement du liatin a éJté éCla::t'té. Inc:onltes'tabiement 118 latin rser:ait utlÎ.ile réllU ll'),raÎltre 'P0Ulr miireux compIreIlidl1e l'e chant [lÎ.tul'lgiqrwe. C"est pOUlr lles r,aisoll1s Id'un autre ordre qu"'ÜIl1 y 'a ,liernOIl!cé. Inu'tlil'e de reprendre id if:iourt le débat. On peut faillI,e >confia11lce au Uépartem'ell1t de l"Instruot'ÏIOOl PrubiJJique qui, mailigré Ulne gl,ande sym;p ra thie à a:CûueàUri,r cetite i ,dée, a cédé à des cl,alÎnrtes fondées et là dres al1gUJm'enrt's de f'acr!:o. P al' contre, la phriJlosorprhi:e aUl1,1a heaUicoup plus de chance de {,i gurer au 'pl~ogl'amme. Couronnement die -
deux ,années Idre pS)'lcholOigie, eJi1e trouVeJl'a [o:gÏ'qulemenJt Is a ;pilia'c e en 'c inquième 'anné e. Et Ice 'sel,alÎ.tt pa'l"f,arit si l'on pouvait enlVIiSiagel1' aussi /Un 'COUTS de clal ,aooé'l'o[l()tgie. La IdaotyJlo est d'une urtillité IÏlldé-' ni,aMe 'p our un ,m aÎtœ 'lll'Odim'ne : des COUliS f aC'll!l1JaltJÎ.~s SIeront .cetlilJalinemenrl: ' donnés et urne saille ,spécli:aile a été af flelctée aIUX maohines là écrire. Dans 'l e ,domaine ,de la langue materneihle, un ,c ours de IdrÎlctilO/Il, de mÎmlle, :d'rexprœ'Ssion liuéu.'alilœ etl: ùl,amatJiqure s'elJ.'aJÏIt un heureux ICiomp[ém 'eut ,à ['renseignement Ide la Li:t:ltJél~a tJuJ11e, 'l11leJtJtJanit à la poo1tée du \l1;Oll'lffia111 eu des CJhiefs~cl' oou'w 'e Id e Ip~U'S en plus 'oubliés p'ar sUIÏlte ,du il'I8SS'etl11'Bmenti: ,du p'ro~l~amme. Une saillI e de 250 plalces 'alV'ec scène 'p'enneJl:itJra des séances Il ittéliaÜ.1es et théâ'bl~ailres. LieS tl'aViaux ,m ,anuei1s :deVlronJt laus's i seœvrilr p 'l us IdrrectelIIlent ~a 'p'éc1a1gogie: f,abrircati:O!Il Id e m 'atélûleJl de leo1Jwre et de ,call cul pour le Idegré lin!féI1~e'UJr, de fŒ'chies de !d'éveiIOlp:pernenJt pour le d 'egré moyen, Ide ,oa,iS'setJtes dte'StJmées à 'l'eJoeVlaÏJr une IdocUJmJenltaition p édragogIÎ'que, ld1!alS'sée d"après le lSystèmle lemalI1d-Fil'elineit, 'c onfection ,de pe1tit:s traiVlalUX manUll~llS ,d'ÏlrectemeIllt à la p'0Il'-
Laa-
tée des enJf'anrtIS. L'Ofific.e Id·e l'Ens eiJgnem'e nt , transféré dans les IIO'oaux Illl'ê'm es Ide ['Boole NOI'lffia'lre, a~raJIldlÎ, compl1é:té, sans' cesse te\11U à j'Ü1lIl' pO'11r les dreux langues et OUiVleI1it à if:ioUJt ins'tiarnt i l'laVlÎdilté curileJUse du nOIl1Jl1lail:i en, l'ernp[rk,a ' al1ol1S 's on [l'ô1le. Un titU!llaÎil1e en sel'l'a le 'l'esponsable, mailS tout le COl1pS pr.o'355-
fessorraJ. Ide IJ'.E'co'l e y con,abo,œœ,a, cha-
distincte, une some de qurmitim' à demi tiel'mé avec Is a s'arhle d'étudie, S'es IŒOIl1tJOiÏJl'iS, Is on ,foyet·. JIl a bi'e n fia1rlu s'laJclaJp'tJerau rtJel'.l'ain dris'p'(miJbJe et aux pl'1Ïx IJM'S'onnab'les.
oun dans les discip'Irines 'qui 'l ui iSel'ont frumiI.ières. Des vis~tes dans les ,InstJitUJtJs spéoi'aHsés du rcanlton (N. D.de 'L olwdes, St-Raphael, IL e Bouveœt) .éJl<ruI'~iroIlJt l'leXlp'érioenc:e dé j à aoquise ,dans :l es six 'dla:sses ,d ',rupP'lÏJoation altJtJenélll1Jtes ,à la furtuœ E 'c:ode NOirmall re. Au ICOUI1S ,de leur cirnqUJièIne raTI!llée, les nOlrnrailiens rSelJ.~onJt 'confiés là ,des maÎltl'es IpiI1Ï'mruÏJre'S IpalilliC1UJ1ièlJ.°ement cOlInlpéten'ts 'qui aruronJt Ip our mission de Œmllr aplprendre là 'Ü!l'ganriseiJ.° I '.ensem:ble dru rtrruvaill , là «tenir» un hooo,aire ffi: un p il an rd'lé tu1des. ŒI 's "agir;a ilJà d ie pli'ell arux nécessités de la vie scolai'r e il:es enseignements rOl~donnés et .compJret:s l'leçUis Ip I'écédemment. Oha:que m ra ître a son tempér:œment, sa conception de l'a ,di&cipllrirne ct. dru tl'av,a il : [es jeunes Sel'oIllt p:eruJt-êh1e 1roublés p.a'r les dwersirtés constatées, inquiets de not:;er ltiant de rdÏJ~fél1ences Id e points de vue, rd~ moyens, de méJt!hddes. L'eff'oo1: seTa rUlde ,de 11èf.1éC'hirr, ,de jUgler, de se déterm1Ïner, de devenlÏ:r IsO'i-unême. L ~E)oO'le NO'l'mal e h~s ,alu ra «infoo'llllés»: la 'v ie seu/le 'pourr,a lI;es « ,f,onnre r ». Un Il'nort enrCOIl.'ie du futur internait.
III va sauls dirr.e que ~ "intelmlait, tel que ~e 'prévoient [e:s Ip l 'Mls, .favlÛlr!Ï'se:ra cet 'épanou>Ïssemenrt dru jrellllne ihoIDllne et 'cegoÛit 'p our !la 'Clar.rière de Penseigne\lTIlEmt. On y serm à ['ruise: air, lUIDlièlre, e'Slpraœ, V1e'Voore eIf: ,fUreurs 'essaIÏ.elOOlJllt
de 'r appel'e r l'raItmo'Spihère flamili,a~e. On avalÏt mêo:ne désilr é rq u'e chacune des cinq années fO'Vnlât une uruÎté -
Les dOttOli.lis Sel'Oll1t ,de hJUiill: llÏits :00 plhliS dans ~rBS 'pœmièIJ.,es années, let des ohamhl,e:s à 3 ~its et là 1 [1Ï1I: en (l'e rnièr,es 'années, larve:c bure/aru ,de rtJl1alV'aH pour l'étude le n chanlbl,e. L'hygiène a été té tudiée ,au Ip ros près: à ohaque étage, toiiletrtes, bains de 'p ieds, doudhe, ,cruhine de hain; près de ,l a saiNe ,de 'gy,m , '2~ rClabtines de Id ouches 'et ,deux vestÏtaÏTes rp er,mettant à die ux ,crI,asses Idle flalÏJl'!e rtOOlelbte sans se gêner. La cha'p elle ICOillliuoend:l'a '21 70 Ip Jaces.
D ans 'Iles 'c:ombles ,se'l"011't dJispo'S'é s 28 Ib oxes éJtrundhes et deuxsaI1Jles de murs.Ïique, ce quli 'p mimet'tra il toute une rcll'a ss'e à (La fois de ,f,a,i re ses eXleTci:ces de musique sans :dén1aIllger ~e 11es1!e ,de J,a maison. Cette hetUXeuse inno'Viatiron meUI'a ·Erin là ,l"ÏJmpe.nsa:hle système alCltluel ,o ù Il es ha'l'Illl'oniamns, ools trlibués dans torus ILes ŒO'carux et OOiI'l,iIdoo~s, font Ide i1ia m ralÏJson une pell'p&tuerHe 'boîte à nrusilq ue aux Œncessantis boo·barygmes. E)nf~n, UiIl'e pl1ace rÏlm pOilitante a été l~éselW'ée 'aux 10rÏsirs et à la rv,i e de
(armi'1Jle : srulle Id e specta,dle re t ,cIre ,confièrence avec 25'0 pŒ,a'c es rassises, 1Sall!1es de jour à chaque réttruge id e flÏnrtJelmiat, bibliothèque, sarRe rd e lec1JU.lre, ruÎJnsi que 2 foy;ers de 30 et '20 1111 2 oharoun. T,e l sera Il e 'crudl'e arcoueihlanrt dans [lequel œUV'reJl1OOlt Il es 180 ll1iom1l'arHrenrs de d-emain. 356-
PROBLÈMES DE PRQN"ONCIATION Emille ,s,IOuLA y
Un brin 'cl'rruccent ,de telil'oo,r 'est cho's e ohal"m arnr te, qu',i l soit Ip al'ilsieiIl, provençall ou valaisalIl. Encore f auitil que 'ce brin ne Idevienne pas tout-e une hollJtJe. On i.lnet une gousse d'aH dans la saLade, mrui.s rp as uue tête. Aucune Parisienne de horrne fla miNe ne Ip al'tleœa comme M'aldame Angot. Un accent trop PLl'ononcé non serull em 2lnt :s irtue Im:Jlrui qUli 'BIl e st affiJi,gé dans UIlle calt,&goliie sociale inculte, ma~s ,encor'e il Ile rend ridicuile d ,ans torut ,arutre rm i:lieu que ~'e 's ien, parce que la Jla ngue hançai's e, 'p lus délicate en 'cela que ;J..a•llemall1d.e .n•.adilIl.et pOlint que l'on s'écal,t,e tl'OP dlU génire de P 'a,r is. L'accenJt «!Il1Ja,l~eiilJais» ne convlie.n:t qU'là Id es 'g ahs,
1. -
Les fautes du maître
Qu'arrirve.Jt-i'l qu,and run inslt!1'tuteUilo ne se surveiHe pas ass'ez surI' ce 'p oint ? Tout simpJ!e,m leTIlt, riJl se 'coonplique bile n inurtill :ement la târc he, et ill Ir 'e nd aussi 'p1urs :mraillai's é le tl,avruirl de ses élèves. QUie/loques eXeimp'lres ft'opiqueiS sUififil'011lt à J.e nllonrtrer. La règle des verbes -en YER ne présente .rigollll'ieusement au:cune diffiOUllrté à qui p,al1le le ù~anç'ais de F'rance. On éCI,it i'ci exa,ct:ement coonme l"on prononce. On éCirit: il nettoie et nous nettoyons, p,a rce que l'on pJ'lononce: :iJI nettwâ ert noUis nettwa-ions. En proll1onçanlt IÎ.ncUf.fél'ômmenrt: ill nettoille et HOurS nettoilIons, ,comme les eIllf.anrt's qui disent une poupéilIe pour une poU!pée, J'instituteur C()l)J]lme'l:!tl,a.ilt une g,r.a:ve f aurte -
contre Il'a tLangue. Un e rd"all'1oug,e menrt, en ,f111ançai,s, n'est p:as ,p lus moruihlé qu'un e ,d'anongemoot en ,al}J,e mancl: Plta!l ie, Id as Ti'er; uIl'e pOiUJpée, clel' KJl!ee. C"est ICelt e Id 'ahlongem'ell1.rt, 'e/t [uli sefUll, qui distingue Œa ip!rlononcia,ti.on ,de la clé de Ic ene Id e la raclée. lLl n'y :a 'p ,alS en harnçJais de «Iliadlléi[le ». Et r:iJl n'en 'Va Ipa's au1JremellJt 'avec ie pl1urie l des verbes 'e n y IE R. 1ls ' essuient, ils nettoient ne lSolnrt tp,a,s pILus iITlou ilillés que J,es singurlieTs cor,re'Sp'0nJclanJl:s. P IOIUr Il 'un comme pour l'aru'tJl'e, :iJI fiaurt prononcer: essuÎ, nettwâ. 'Eil1 J1e .faisant, [',irnstrirtuteUir pourra, 'p ar S'on exemlp'l e, oorrig'e r lente ment b 'plJ.°olllonrci'arti'On fautive de /Ses é~èv.es. En s',ahSltenant de le flai.re, Ip ar Ip ,ruresse ou par corn 01'mi's me, ri/ls les indruit, dans le;s dictées qu'hl lI eur ,clonne, à conlmetVtre des erreurl's qrui rpoul'l'aienrt êilJlie très .facilre llnent évit'ées. On se p'laint vol1ontti'e rs, filon sam l'ai,s,on, ,de's difficu[,t és ,de l' olithog-raphe f.r'anç'a ise. Dans le 'cals qui nous occupe, '()IJl aurait tOI't ,de le ,t aire, pui,sqru'i:ci l':ol,throg.ralp 'he e:st ,srimip ielnent phonétique, li en est ,de nlême avec les verbes en A Y,ErR, 'Où les deJUx orthogrruphes adnus'Bs (il 'p ari e, il paye) cOT!l°espondent rt:out simpŒemenJt à deux p:l~on:o'l1!ciIalVions cl.ilffél'lentes (il pê, ill ,pèy'), varndi's qu'au pfru:riel la S'eulle graJphrie exÏJstant p 'o ur «nous payons », cOl'.l'esp'oIlld ,à une prononciatilo n unique. On frmoa .bien Id'exiger des élèv,e s qu'ill s rœpeotenrt rtJO'Uj'our.s 357-
soigneusenl'ellJt Ja ,p rononciat,i on '001'responœant laruX 111ms qu'i1ls . lisent ou rédtent. ,CetJt:Je eXÎJgence dev:ra s"étenclre non seurlep1lBllJt aux v e'J.-b es, mais à tous les morts saufS exoelption. La prononda't ron ,dmrJJa cHsitinguer soigneUisenlen!t une liaie et un rayon : rè et rè-yon. Sans cetJte l'iguelllll' phonénÏJque, ÔJI est vain d'esipérell: qu'un enf ant pUJisse j'all1l1ais distinguer aisément le 'm ot 'q ui demall1lde un i de 'celui qui exige un y. Comme fOl'tthogliaphe devient fiadle au contl':aÏtJ:e quand lI a 'Pl'ononâation distingue netteinent «déblai» (bref), «délaie» (iLollJg) et «délaye» (mouiililé) ! Ce:s ·r ema'l'ques Vicille'l11 ~pareiJl1em'ent pO'u r les eubjono1:!ifs p1~ésent'8, s,i impOlitanlts, des vel'lJe's ê'tlJ'e et avoir. Que je sois, que tu sois, qu'il soit, qu'ils soient, tCoJJltra'Ïrement à une p,rol1Jonciaifli'On f,réqU'ente, mais dépiLol1abl'e, ne sont nullement mOlulillés. De même, que j'aie, que tu aies, qu'ils aiént se p'l 'ononcent LSiflnp~e menit: Que fê, <)lue tu ê, qu'ils ê. Qu'il ait a une 'l)flJononciation ,p ius hrève, fluais lJ.1uilJlement 'lnoui1llée non plLus. ISeulls sont mo:uil1lés rus pfru-rielis: que nous soyons, que nous ayons; que vous soyez, que vous ayez, tout cmume nous nettoyons, vous nettoyez; nous essuyons, vous essuyez. Ici encore l'ol,tho@ra'p he ne fia it que rell'd:i.'e oot1111pte de la pronlOnciia't ion. p()lUfrquoi donc Is e oompliquer lI a tâche el cOllupili,qtler ceilrle des éilève'S, en pl10nonçant la'll!brellnent que 1'0111 est ohHgé d'écrire? 2. ~ Les fautes des élèves . PlusieUlr,s f.au'tes de prononciation de nO's élèves proviennent de persis-
tances pa't o'ÎJsantes, qui ne pnm.vent nullement, d'aiHeul's, une connaissance réelle ,du patoi's ou même tout sim.'pllelUe11.t un a1nour pOUl' celui-ci. BIll es s'ruccom'lnodent très bien, au 'c ontl'ai,r e, ,d'un p'rofol1Jd ,dédain du patois, douh'l é Id'un éga~ manque d'intérêt pOUir J'e français. C'est peut-être le oas pOlUr les prononciations mouiUées dOll1lt nous avons parllé p~IUS haut : la pOlUJpéiHe, e'tJc. Ehles ne télll1ioi'gnent, en fin de OOillllpte, <)lue de J.a loi du moindre effolI,t. Cepenchnt [Les f alUrtes les p~us graves, et Œes p~us dèp[ailsal1ltes pour une olieÎlI'l e {011mée, n"ont rien là voir avec aucun Isu~bstralt td ilalecta/l. 'Ellles ·s ont consti,tJuées '}J'our heaUlcoup par l'lÎgnovance .où l"on est ,dte la prononciation d'un gl'ailid nombre,(Le mots d'Io!rigine ou d'a'p palitenance étl'langère. T'OUS ces n'lots S'ont inidisrtll1Jctement prononcés comme s'·iJls 'étaient des mots allemands, avec toute JJa 1 0uIKleur supplémenta~l'e de ['accent suisse ailéJuanique. L"aTIlgtlais sprint dB'VileIlit hiz'a,r,rement « 'chip:rill1rt ». C'est a,inslÎ Cfll'e spaghetti e&t Pl'OnOl1lCéC0U11'lam111ent « ,chpagu.etJbi », ,ce qui est une pure 'aihel'.J.ialtJiO'n, rien n'étant 'm oins ,allemand que [es pâtes allÎ1nenrtJaÏ1'es, puisqu'eiJ.[es portent aussi, en français, il e nom gélllérique de pâtes (l'llrt<aJ.ie. IE n f;rançaitS, oomme en ilbalien, on 'plI'ononce naturel[ement spaghetti en faiss.ant entellldTe un s et ITon un 's on ohruinlt::ant. La f.jnall'e « oum» n"aIp'pa:l,alt: guère en ·ftr,ançais que dans des onomaJtopées comme «ho/Ulm », ou dans des m'O,t s d'lol1Îgine btrangèt'es comme « ,~OIUm », q:wi est un molt al]:alb e. ,C 'est di,r e le 'p eu 358-
d"alftfinités entrr e cet!1Je finale et ['.0l'leiU'e ft,ança,ise, qui la jug'e si lour,d e que tous les :l Y1céens de F11anc'e 'pTOnO'll1cenit « 11111perium Romanum » comnle «império111 romanom », 1J1s ont 'p eut-être t'Oil't pOUir Œe htin, mais c'est ~Ià le s,i gne d'une tendance caractéJ:ÎIS't:Ïque (lu füanç'ais. Forum se pTolllonçait « f o.roum » en lalbÎn, mais il doit se prononcer forom en français, tout simplerm ent 'p arce qu'i,l 'esit clevenu un nOlm françai,s, Itout cO'ill'me foro est un 1l0'lU ilta[,i en. Il y ~ un forum à Mger .qui ne s'est j'a m ais prononc,é autreInent que «forom »... Or nos enfants ont la ,clélp['Oil,ab'le habitude de pronOl1C'e.r «oum» toutes 'les fina/les en «um », aloll's que ~'est « 0111. » qui est de règle en frança,i,s. On el1ltend iplall'iler eOll llranlment de «sÛ'd,iolUm» OlU d'« ahunilllioum ». S',IDnagine-lt-o!l1 'p a\l:là créer une langue swi's'se, ou du moins ,quei1que parel1'té lil1Jguistiqae, entTe Romandl8 et AIlémaniques? HéIlas! sodium '<)lui se p'r ononee en f11ançais «1S'O'd~om» s'e dit en laUematnid «N a1brium ». Ma~ p'al,lm une ~'angue, n'est p as en connaître uneaultl'e. Et Œ',allemand ne gagne pa,s d'avantage à ce ,C'harabi,a romand que le latin n"en 'e st honoil"é. Sternum se pr0ll1on!offi1a clonc « I8tel1'nom », ce qui n"a rien Ide 'c hoqu'a nt puisque ce nom 'n e V'Îel1lt Ip as ICru lartin, mais du grec «s.ternon». Or nous 'a vons entendu un ,éIlève du üdnège de Sion le /pil'Oil1IOnlCer (en dafSS'e! ) «cht::ernoum »! Les RlO'l11.ali'l1s 'COUlIlne ~es Greas 'e ussent 'Crié au b al,b are ! . . . Et qUiedhlialÎent [es Angllo-saxoifios des B lue Stars qui deviennent I(les «BloueGhtla:r ? » Le m lonlcle enrÜelr sait pro-
noncer star! ... I:l y a des gens qui appellent « l'OU1l11 » ce que les Fr,a nç'ais, naturellement, a'p pel[ent « ,r om ». Nous voulons pad.,e r du rhum. lei iJa rpT'Ûnonciation f.t~anç'aise est ,assurément plus logi'q ue 'q ue l'IQ,r'tJhOlgr'alphe, ,ca.r le m'Olt vient de Œ'laugtlais '<<Il'Iulm » et. [a p :r'Ûnolllci alti on ,fr,ançaise est in:f:inillll'en't p[IUS piroche Ide la 'p:rononC'Ïation 'a ngla1se que ce «1I'O!um » ,affreux. Dans «Après la bataille», Vid::o:r Hugo a écrit : «Une tgouliCle de l,hum ,qui Ipendait à S'a seille », En éeri'v ant ,ce ver,s, ill 'a entendu, eOm!ll1e tOlUS Iles ,F 'l'ança,isa'près lui: une goul-:de ,d e rom. 1]1 n' eût jama~tS éOl'1t : une gOlll'11de ,d e rOillm. T,olél'eIJ.' une t'e lle proillonci:attion SeliaÎ't 'pUTement et simlplement .f,a.ilte 'd 'un v'e rs S'OIl1!ore et d 'aiiT un ddilaurl'e 110ulement de V1oye]l'es 10u14des. On pourrait multiplier Id e tels exempJes qui :témoignent d'une égall e ignoll1ance ,de t'ourtes [Les llal1gues d'où ces nOJUS 11'0Ill'S S'ont venus. M'a i,s . i[ sUJffit 'q ue les pr,onoll1oiations « 'Oum », « chJp », « ,cht », pour la fi'u ale um et Jes initÏ'ales spou st, ne soite nt !plas françaises pour Iq ue l'ill1st,iitu'tefUT Œes hannisse ,co:mplètement de ~'éco[e. C'est un évident serv,i'ce là Ir endre à nos ènf'an'bs. o.n lI eur évittexa rpeut-êtl1'e de 'pas's er, pih'LS tallid, p'Our rilclicules. Ce If aisant, nous n'en.:lèverons il'ien il aucune J/angue ,a u (monde, den surttout au 'pam:.imÛ'ine 'cHaJlectall , quIÎ ignore ~e «chterl1oum» arutant 'q ue le «,r houm» ou ,l es «d.l'P'aI~uetti» et :nous se'lwil'ons, comUle œI convient, lia langue que nous av,ons mission ,d 'ense,i gner, pa'liOe qu',ellle eSlt [:a n&tre. 359-
b) Na:ch der Ko:r rektur :
3. Postkarten :
PRAKTISCHER LEBENDIGE
TEl L
SCHULE
Der Brief cuf der Oberstufe Sr. -Loyola ZUMT AUGWAilD
Dass ,d·ru: B:rtie:f friir o·dleI· 'geg'eal den SClhl'eillhelJ: z'eug1t, Î'SII: uns kIIra,r . D'al'iUm ha t hier d,ie SahuJl.e .elÎn'e wilClhlti'g'e urrd he.d.eutu1lIglslVo'hle Aui'galbe. ·Gera,d'e d li,e Ohel's tt]f'e hait si,ch mÎit d'iesm' T>a'1S'a'chie Hus'eÎl1!andle rzuls-etzen rund Id'el' Bâ~f1kunrdle ,b esoll1ld1el e HeJdp.u'lJun:g heJÎzulm 1es· Sen. Wa,11l1e111d auf deil' Unller· und Mine,l · sllfU.f,e ,der F1anüHen· o;d'er 'P l"iVlatl:)(def he· sond,en Ig eübt WiÎIl,d, vel,llegit Is Îich /au! der o.hell\Stufle Id 'er A'kZJel1Jt la!llif IdlBn GesCihiilf1tsbr.ief. na's 60'111 aber nÎiohllls hei's's en, dalsls k oeine Eamil1i ellbr.Îiefre mehr ge:schdeth'en wer.el-en. n el' B~Îil bleJÎidell: Bri ~flar,ten 1s·t Vlel'Si<ihield'elll. Ln der Gegtffi1!wyea's tetU'll,ng kann drus am b.~s'ten el·f·a lmen rwel1d'e n. Am fr:u:ohtbat'stell ge.st, a1LII~t tS'ÎlcJh Id!as SIl·.Î'cl''Sohine'ûhelll, Wea1!ll wirkUohe BÎlturutionen Ige;s'crhruftf.en 'wel1den und doer BrÎlef 5'0 Is eine prakitils che H eJdeutung elmallJt. Soildhe willkjw che Si-tU'a.tIÎ'onen u~elfif.e111 WID.- liml11ier wÎleder. Nehmen w'ir Isrile wn die Sdhul1e ih'i'O'ein! Wir hestelil en uns IB ücher, S. J. W .. H eftJ1i, Hand'all'h eitsma'tterila'l, Scht]}. ma:terÎ'a,l , hÎitte n um e.ine ArusWlalh l's'e nldung, heschW1eJll'ien uns w1egoo besohaldlig1l'er Wm~e, fmgen !l1'adl Pil'eJÎisen, elr lwn!dÎlg'e n !Uns iihe.r QU'a nltitalt, Quailitat 1U!l1d lG~hI1aU'ch. Wir s,tel· len tdlÎle SobuJlIl-ds'e z'Usatrnmen, erkUJtdilg'o o unsbei LB:ahn und P05lt nach Rei'Seil11og. l;ilClù{;Jeil~en ,u nd P'l'e~sen, Ifliagen hei Ga's'~hau· SBrn na'c h Untelikunflismo·gjJ..i.'c'hkeit, Ml!ten um AUiskun1it tfÜ!r Viell:pfilegIU'11'g, ib:e:st,eJlJlen f,ür. td,Î!e JG.'aJss e. EhBI1'SO Ja'S!sen wir Einz·ahlJ.un. g'en, Qu.iuungen, Fll'a'o hthrtiefle IUSW. ",on del1.· Kll~'S,s'e .ausfiÜUen. Bile W'ill'}çjHch!ltlei t sClha,f,flt den Bo'd-en fürs Intel1eSise wld lilidt zrum Ei'l1:saJliz .eJÎn. W~!l: lS'armmeiln ~olmulall'e, untel'· st]chell un:d beSiptl.·.e:ohell ld i'e se, henUJtzell Tele·
4. Glückwunschkarten:
fon., PO'sl1scheck. mrd Aldll'e;s'Sibüoher, l'e ruen Îthit'elll Gebliauch und üb en 'sO Ifriir die spa. tJm'e P,r ax,i,s. In der Geslia llJualg I\vird imllll'er er,s t ,dÎle konkr e te Situation Igte'schaftfen. Man nÎl111lmt V.o<l.·.s'ohJag,e ~ntgegeill. Naohhle r folgt d er EntwU!l'f, d 'ea: d la nn dler ,g,emeins'arnen I~riltik unlter:W'orrf'e n WÎilid. NUIll ,elislt IflOlgt die e'irg1e'l1ti1iche Ausfüm1Ull1'g. nais ,aMes g,illt me!hr fÜII.· ldlen Oeschüftshrief. Ich lWÎ!ed1eI1hlOlLe aher, daSis la uch ,auf d'e l' Oherstutf'e rd:e·r PIrIÎ.",atn.l·.Îef gre.pfilJegt 'Wm~den L5oi1J. 1
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Anregungen für die IPraxis Elist ein Mail' ,zu S'armmellg1eSI1~llt& Stoff!plan aus vel'scni.e;dlelllen ScJhUil'jla hren 'Von ciner K:la'sse. ,aus D eutschLand. Dm' iPO'slIVel1.'Ik ehr w'lll,de !llÎlcrhll: in T'ag:en etlletclÎlgt, 8'011ld'e rn er.S'tjDetoI~lle lSioh üh'ells ganlz e Schu1Lj.am-. 050 ellf1wsS'l1e m ,an 'a'lJl'e 14 l1ag.e -i1J:,g,end 'e me prak. tlli:chie Scl1l1eUhs,i tuation UTt;d frühl11le s'i·e aulS. AJlile .A!usfriilU1uugen 'w'llIlideal in eii'l1Jer eig:enen BrÎ'eJfll11wplpe gfesamm!eJlt, und les enllS't.aJl1ld 8'0 eiùe 'pmktils che PO's tmruppe, al1ll egm1;d artLch für ISipater. lm 5. Schruj'a hr Jües's der PI.an: VOl'ühung'oo: A,dl'esse, Alhsend'm', Ort und Da't\lll11 , AlU'eden, 'BlûefS'chflüSIS'e. 1. EntJschuldigungsschreiben at]s t{ljem Schull.
leben. 2. Ansichtskarten und ihre BelsClm1ifltu'l1'g : d Jeill FIell'IÏell, b) von e inem Ausf'l ug, c) aus o.el1.' FJrholUil1g o:dea' dem Spi,taJ., d) heantworilie die AnsiClh'tsklartJe c. Gro ssere AIJ.,heÎft: Ejn l(jla,gisBoorief an eine S-chülerin Îim ErhO'luugshe'Îlll1. Jede Gt'uPP'e Il ieflert rirhl1en BIeJÎ,tll~ag.
a) aills
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Lieber Onkel Josef, Vater erkrankte an LUlngenentzündung. Der Arzt üb erwies i.lm gestern ins Spital St. Maria, Visp. Er liegt im Zimmer Nr. 26. Die Besuchszeit ist tiigLich von 14·17 Uhr . Mutter bittet Dich, Vatel' am nachsten Sonn· tag zu bet:.uchen. Er wird sich fl'euen, wenn el' Dich sieht. Wil' sind am Sonntag auch bei ihm. Herzliche Grüsse von Deinem Neffen Peter.
a) T'e iJe der Tla nte mi.t, dass d!U s,ie am Soml/tlalg b :e suchst. Gründ-e? - Sa'ge d,en BeSlllloh wi.e;d'eT ab. hl'U11Jd? SchreÎ!he leJirl~m Gelschwisrter a.uswa r.ts, d'8s's ,es 'e'il1rmal heimkomme. Gt'iUllid ? - BiUe j'em1anden, 'e inen klJ.·ank,en V'eJ.·· wand'~en o:d'eT B ekann'tBn ill11 Spi:tall ,z u h'e.sUlchen. ·Ej,n~,a·dlu!ng zu einer F,armi· -lienfci'e r : GeblUlitstag, Jll'biJ.aum, Ho'c h· zei1t, AU1Slf11ug ,einle r Jug1elltdgl'uppe. N arrnenstag, .oeimnifs-talg, W,eihl1!aJcJhiten, O.sl'elin.
].ahl'eswechs'e l,
Ohige BeJÎ'slpiell.e kOnlJ1len auch gut in der G!egenüber,steollulJ1g .aIl s Spr1a·CJhi.iJbull'g a'U!sge·
5. Eine Bestellung :
Wlertet we:J:·d'e n. In dler 6. KJllassie führt d er Rl.an weiter. Der PlQ s!~p1an han git ei.ng.el'a,l1!ll1t in d er l('la'sS'e Ul1!d 'ein Bchül er Wi'11d hea'U'ftliaglt, zu oS O1',g'en , ŒaJ5'S ,m' ausge,f üh!l.~t I\-vJ l,d.
z. B. '{G.assenilektüre 'b leÎ'm V'e rlag.
6. VOl' Weihnachten : Ein P,a,k e t wind vers and'f1ertig h er g:erichtet; Palkeitlc'at1Ile, iIillelhead,œ sse.
A'P11il : POoSlîlmllte : A'll's cl1l'i.Jt und Ab send·er ! Eine I(la l'te : Ein .Besuch wird angekünd'e t. n er ,angdcündete mlJlss .ahgeos'a gt o'der um eme W o'che vm's'ohobeiJ.l welld'e n.
AUSZUG AUS EINER SOL CHEN 5. KI. MAPPE 1. Entschuldigungsschreiben. a} E'l'stJe N~,etdlersdllrift:
Lieber Herr Lehrer, Meine Mutter verbrannte sich gestern im Keller, aIs sie grosse Wasche hœtte, an der heissen Lauge die Hand. Sie kann nichts an· fassen. Und ich muss hel/en. lch mochte Sie bitten, mir freizugeben.
Mai: Bdef : Ansohriflt (Vlerschiedene F1onnen), Ab. vend el'. Brief ·an einen Ve.rwandrten, mit e,iu1:er Miueillul1ig, di'e nul' für d·en Emp· fang,er g~1t. H eispiel, Boilllte, ·eJÎineiJ.l Geilidheu'ag zu J'e.ihen. Juni: I(,aIlite : Anfll'agle bei ,e Îner Jug,e ndh'e I·berge. Anfrage b ei reliflle r S·chnreÎldlerin. IlJ1hal1..t 3 Mo~bohkehen . 'a) Konn:en Sire für- mich mm'eÎt<en? h) l 'st da's K ,lot; ild zur Anpr'Ohe b:eIl'e~ t? c) Mahnrung, daIS IG'e id haM ab· zt]}.jefern. Jt]li: Fleri·enpo:~t. Briel.f aIlS Ein1adung aruf d,i~ A~p ; KaIl',lle: ,a) Wh kormmreJ.l, h) W.Îr müss-en ver· Z idlltelll (Grün.dle ). Ol(!toib er : KJ1a!S'SeiJ.lhl'Î'eJf an rein l~I'a.J1Ilœs Kind. Will' b el'Î'ch ten Ill'US d em L eh eJn d'el' KltaS's'e , d,er Sahu1e, ,dre s Orl1BS, Jof/dles 'sohl~eibil: über eine
b) ZWleÎlbe Nile;del'SCJhni.h naoo d er K01'-I'ek1iur.
Lieber Herr Lehrer, Meine Mutter verbrannte sich gestern bei der Wiische die rechte Hand. Nun muss ich ihr helfen und mein Brüderchen versorgen. lch bitte um zwei Urlaub. Herzliche Grüsse 'Von lhrer Schülerin. 2. Auftrag a} TleÎlle
einem V1el'\>V'andlien n1Ï<t, Idta'S's Hein Vlao!leil' e1'kml1!l<1lle, .b hte den V'e r· wall1rd1ten, ijlh n zu besuchen.,
Lieber Onkel Josef, lch teile Dir mit, dass der Vater am Samstag lî-rank von der Arbeit nach Hause kam. Muilter holte schnell den Doktor. Der sagte, dass Vater Lungenentzündung hiitte, und Vatel' hat viele Schmerzen. tGestern musste el' ins Spital, weil der Doktor das sagte. Besuche ,d en Vater bitte einmal. Peter
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Bre'g·eJhenhei't. No",ernh:e r : Tl"O'sot :eÎ'neJ.(n K-r.a'l1ken. HeJiJleidJsschre ib:e n. n ezle.mtb:er : P 'akeJl!ausfülu.·'U'l1'g.
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Bl,ief und K1ar,lJen '21U W'e'ih~1'a!chten lund Neuj'a hr. }al1Juar : Alllffl,Lei GlückwÜin's che Bi'e KJ>a'ss'e g,r a'IJU/Uert bei eilllfflll Anllas's. Fteb11Ual' : Eill1'e He'sl'eJUJUI1g Wiot~d'e1ihoa\llJ1lg im Sohr,eûlhen 'v on Aih-essen. 'Ma,rz: Ge/ld : Die PO'Si~a~1!Wlei'sill.1Jg. W'N' '~ei1en einer FtÎ!lml,a ,mÏJt, d'a ss elÎ'l1'e Wall:e ,er:h:aJll'en wUlrrlre. Eli~lle POS,tJpl1üflllngsa!rhelÎiI:. nais .ist nul' le/in Plan, der Ri'dhtung giht. Un:sel;e ISchreÎlhen müssenaber wenn lluogH'o h einem ~'eben1'Smlhen Schreibanst<orSS en'tsp\l:ing<eIl1, die IB def'e ,sol!ltell not\vendig s'e in, d 'el' BIl'ielfinhrah 'echt. I(,edrre Aufsa.tz'e in Briefform !
DÏles,e I(,a~1terngnii's'se La's sen sÏJch Itl,effJrk h >aJl]ISwe1.'l'ell1. 1. AILs Rechil'schr-eibstoIU. 2. AII,s H espr,edlUl1g von lm<l'Zen, aber ioo1a'LtsrelÎlCihen !(,artentexoon. 3. Als Al\.tflSatz: Wi'llli wan:œeJ.'t. Seine g.e'samf1e Route, selÎ'n e Bez.1Jehung,e n ~u s'e iner Fami1lie, seine SOl'g'e; seine Lilehe: al}~es Vlen'aï sich in 'clen Kla~itel1l~exlten. So S'01LI j'eele Kar,te und jeldre:r B1.'Îlef eÎ1l'en B[idc in d,as L {'.Ib~l d re;s SclweiherrS glels,l1atoon.
EIN KLASSENBRIEF : na illarss'e n sioh J:.ÏichtÎlge, llU!Stli'ge uru:l fll.'ohe W'ffl',kllle;in zusall11Jl'I1el1lstedll en. So ' eÏn tKl>alS's enJwieif entsteht, w,elUl man ein:ffll1 JŒank~n IGau11IeJ.,acl1ein ISOhl1eihto:èLer auch ,runm' aUlder'em Schule, mit der man :i111 Bl'ÏJe,f au!S!taJUiS:c h tt eI~~l win. Die Aliheit ,erfiol'g t uugefahr n~'clh fO'l'genJdel1 Punl(jte!l1.
Wieder einige Anregungen : Elin ISchülffl' 's chr,ej,)yt von d'en F 'erÏ'en zurück. Er zieÎlchnet die AU's sichtskm'ite s,etLber ullld schrelibt: '
1. Ihr Lieben daheim, Nun soU Mama raten, wo wir sind. Die Fahrt ermüdet uns. Ihr wiss,t : der wüste Verkehr. Aber wir fanden eine gute Vnterkunft. Seid ohne Sorge ! Viele Griisse ! Euer Willi. 2. Lieber Vatel', Das ist œie Mühle am Weg nach X. Wir rasteten, und ich erinnerte mich an Deine Erziihlung über u,rgrossvaters Mühle, in der Du Deine Ferien verlebtest. - Heute wird ein heisser Tag, aber Dein Wanderplan wird doch erfüllt. - lLiebe Grüsse an Euch aUe! Dein WiUi mit Freund Herrmann. 3. Liebe Hanne, sohade, der Baum vel'deckt die Aussicht. Du würdest 'sonst in der Feme die Diicher von Sitten und den H ügel Valeria sehen! Staunst Du nicht ? Ich koche Frühlingssuppe im August, Wiirest Du nul' mitgefahren... aUerin schon wegen des Kochens. - Gl'Üss Vater - und pflege Mutter gesund. ' Dei Bmder W illi. 4. Liebe Mutter, Du müsstest hier ein paal' W ochen leben : die Sonne, der See" drüben die Berge, Du konntest am Vfer lie-
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gen und ruhen. Hier würdest Du wieder gesund. 1ch denke an ' Dich und grüsse Dich und Vater und Banne. Dein Willi.
1. Voo'h ereitung : W,ia: wolhlen Getrurl rucht 'lUJl'l!gweiIren, jndem Ijeldres Ic1la'S IGlJ.le i'C!lre schlie,i bt. nan'mu rl1e1iŒOO !W,ÏJr 'll1I1se:r n Bl'~,etf allllf. Er,s t ühelilegen wir uniS, I\Via'S Gel,l!r'llId in'l1eressieu'en rtlll'd le'l1f:lieUen kon11l~e. Wta's wir 'Ln den ,einze'lnen St<tl\l1i.h~n h'elÎlhen, ,hBS. ,j'Il d:er Geo -Stunlde, ~hr'ea11 S~ecken 'pfrelid. Wir hesdll'ei'hen eirll'e ilustige Ra'tse }' 11e;ÎJse. Jleisp'Î'e ll: Ich st<eig,e in cime Beligba:hll le in unld tf:a hre die westlHche iR.:iclhtung. Di'e el's,te Sta'tirOu Jil~g,t ~'wirs!Clhen Obstbncmen vffl'ho!l."g'e n. Am DOl'f.enlde steht eine Spiloogsitofrftahdk. Naoh eiÎfl!er Vri,en~ews,tund,e faIllit :dler Zug au ciner chemri,s,chen 'Rabrrik IV'oJ.'thei in leinen B 'ezid~shraurptOl't. Jletzt wendet I&ioh 'd.ie Bahn HaiCIh Sü:d'en, füŒ1l"t an eine1' Kh'che vrOrrbei, die von einem Fels herunter gr:üs'St. Ba:ld rs ohon h:e giImt der ZU'g in ~).oo Z,a'h nradem zou r.aJttern und kn:aue.rn und erl'eicht eine T,ails'o heide, e;ial Dorf,chen mit f.ruohtbal' em IGJÏma und v.Îleil Sonne, J.etzt s1leig:e ich 'lUS' und sUiche d la,S PQ1stau'to nac:h - Hopprl a, haLd verra~en ! Es geht nun Ig,anz steH mit v:ÏJelen I~1ll'Vien ,u nd W~rl1dmig zur Hohe in eÏJn hraunge:hranntes Berg1d'ol1f. Rate, wo 'I mmme 'ion tan ?
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3.
4. 5.
W-ir Ib el'Ïldlten 'auch, Id :œs'S re s in ,d er P laulSe seJhr tlUrstÎlg 'Z'Ugteht. Es ist lim VolLk'erlhalli nilo ht gl'elÎlch, wer g.eg,en ,meT .iJ~t. WIÎLI.· \J<'.À,l en un!Sel'e VroTIb'elieÏltnng'en IfÜrr ;dletn MutIiffli~a'g mit. Eine Ib'e11ÏJCihi~elt über Ul1sere Bl'umenp{l1eg'e, 'W,eJ}'o he TOlPflo hen schon Mühen lUIl'1d 'wwe sjle 'bI1üh~l. Alhl'e SchuJ.'S itu'altionen, Id,i'e Ger,tl'uld rinte.res'sie1',en, we:rdoo 'elifars'slt u1l1:d gelpra,gt. J,e zweri fühl'len ed,Ilie SÏltlllartrion au'S . Na'chher w,el,den rd,Ï!e Bllat~er autsgelIJaulS cht und m liteinanJd.m· ko,n 'ig:ÏJeJ.1t. Nun foiLg't dÏJe rR einsoln-i,ft. NUl' eine sohœiht Dratum unld AJdress e. AffiLe BHûtlier IWlerd!en miJt Bi1dche'l1 und nerÏichnungen vel~sehen. Am ScJhllulss wel,dro o drile BŒa,\)ter in einer Reli'he1'1foiLge z'1l's'a mmel1'gehef.re t, mit e inem Ums'chLag V!Bl's-ehen. Elin erf11euiücher K :lars's enhrief i'St fertig.
Eine Bestellung Verlag Riiber & Cie, Luzel'n Sehr geehrter Verla.g, ln Ihrem Bücherverzeichnis fand ich folgende Bücher, die mich interessieren: Kath «Ein V ogel kam geflogen» C. S. Lewis: «Die geheimnisvolle Tiir» Ruth Elis. Kohel: «Ein volles lahr» In~~hol1g
v.
Hlllhaitus-Himmel-Stjerna:
«Daise» Darf ich sie zur Ansicht hab en ? H ochachtungsvoll Maria M eichtry, Übungsschule Bdg, Wallis Auswertung : Die 6chÜ'ler el,halhen vel"scMed,ene Bücher· yerzeichnis's'e und V'edarg'e. Si,e dül,fen d.ie BesteJUu'l1'g selber UrnfcSlte:lJlel1. Na:o hher foil.gt aUlc:h die Auswabl, d ,j,e Rü'Clcse'l1JdullIg, das E'i:nz'a,hi1en; aUes von drire ser BeslP..illlllng aus. Man braucht fiir ,(J'ars Br.iJe,fs'Cllmeilhoo keinrtm eig'enern Sül; abeT man el,zile he zu e!Întell11 gedrile genen, inhooltlsr.eÎlchen, knaipp'~l Ansd.l'uck. Zu die'S'e'm Zi:erl J1i'lf.t uns manchm'al aUlch der Hinw'elÎs ein Ne:gat.irv. So kal1l1 fo,lgerud,er Blü·ef Is'eh.}' 'grurt tAusgrang's punkt w,e,rden, mu auf EdItes un:d F>a'lsches hinzuweoÏsen.
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Tafelbild Meine liebe Freundin Elvira ! Teile Dir mit, da'ss ich 'schon lange schreiben wollte. Abel' immer kam etwas dazwischen. Bitte entschuldige, dass ich nicht eher schreiben konnte . Nun habe ich endlich Zeit. Und so ergreife ich die Feder, um Die ein paal' liebe Zeilen zu Papier zu bringen. Ich danke Dir herzlich für Deineli lie ben Brief, über den ich mich sehr gefreut habe. Auch meine Eltern. Es war a.lles sehr interessa.nt. Ich holle, dass es Euch no ch gut geht, dass Ihr gesund und munter seid, was ich auch von uns berichten kann. Nur das Wetter ist nicht mehr so schon, wie es Iriiher wC/r. Der Herbst hat seinen Einzug gehalten. Die Singvogel sind fort in wiirmere Lander, und die Tage werden kürzer. Wenn ich Dich besuche, dann habe ich viel zu erziihlen. Wir waren im Kino, ein labelhalter Film, der war prima. Nun muss ich schliessen. Bitte en~chLLldige viel/1'wls die schlechte Schrift. Grüsse Deine lie ben Eltem und Geschwister. Es griisst Dich herzlich Deine Freundin Ingeborg. Auswertung : Aus'Sipra.ü he : 1. Leeœs GerpiliaIpip'e,r , greÎ'smols, Œmlg;-1V1eilig. 2. Ul1~trerSlllc;hul1!g : W 'M'Um 50 ? 3. Man schreibrt nul' danu, wenll man etwars Rrich~1ges und Wler.tvoillles ~u s'c hre,iben weÏiss . 1n d'el' GegenÜihel'slie1lung stleht Gie r Briel Lesisilllg's an der Tla,fe!. Ails 15jalnrige~' JUll1!ge schdeb el' : Li:ehe Schwes1:er ! l ,ch hahe an Drich g.eschriehen, und Du ,h ars t u~cht geanJtwo~'ret. Ioh muss ailso deoJ.lk,en: eI1lIJwe'der Du karnI1lst ll1Î1cht -sohr,eibe'l1, o'd'e r Du W1ÎiIJlst nicht schl',eiheu. lch mocnte fa,s t beÏJders gilra'1lhen. Nur kanrn ÏJch mÎ1.' ll1ioht dookoo, drarss elÎn Men'Sch, dler ViernüI1lhig re'd'e t, keinen Brri'e f sohreiben lmnn. S chreitb, wi:e Du reJd,elSrt, so 500r'elilbSit Du sohon! Els wal'e eine Schande für Dich,_ wenn Du niClht e.irnma~ schrreitben konrn'telst. Du h~st zwar IDein.em Lehl~er IS'Clholl1 z·elÏtilg aus Id 'e r Schule for,tgdauJ'e n; cl,e nn s'c hon in neinlem zW'oll:frlien Jah~'re hieJltes't pu es fih'.
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ei'ne Schan:de, no-oh em\~alS 'z u 'lleJl·l1 CJn. W'a,s i'St aber die -gro's:seœ ScJhande, in seine:m zwolhen Jahre no:ch -e twas zou Œernen oder in s'eLTI'BlIl achtzd1l1tedl Jahre noch keiJ1len BrieJf sohrei'b en zu konnen ? Sohroe'iibe bald, ,das's ich nicht fa},sch von Dil' Id lBnke ... !
2. Âa.l'sis pr.aClhe ü ,b:e.r dli'e's'e n T 'ex,t. 3. Vle t1g1Ie.Î'ch nllÎ't 'dlem , norwgen 'Dex,t. Mrustel'bdlef'e konnell vi,eJ heJ,f'en, 1.lil11 dlem Sdhü!ler zu zeÎlg,en, WH'S e-cht und walU', was gesdnv0l11en UJ1ld Bchein ÎISit. lm GesclüiftsaUlfls'a tz i's t di,e alUg'e meÎln üb!1:i. ohe Form em,pf.o·hllen . Di'e 'NOll1111 d<er Drarr· steilllung li'st heute in s o viell'en Brjlef'l ellmen en'thalhen, Id,a'SiS les Isi'oh !erübri~t, das nO'Clh· ma'h la uf Papier ~u hr.ingen.
Auswertung: 1. Leseüoong
Freude am Aufsatz (6chlliuSiS) Jle der KIa,U!funrann Iführ.t eine Buchhaltung, die ihJJ11 j 'e dler'zieJÎlt Arulf,sohilus's üher d-en Stand se'Î11JelS Ge'sCihaf,te's girbt.
lm Unteril'~c1ht lel1früJhlrt ;d 'aiS Korrekturheft des Lehrers, rd la's 111.1 d1er l'e.tz-ten Al.heil\: kurq; et'\>vahnt l\V'Ul1el,e, ,dile!se wichrig'e Auf'ga:be (l111.cJht zu v:el'werchselln mit d'erm Ta,g elbuch !). ner NUllz-e n dies KlOl'rel{!twl'heftels j,s t W'ell· seÎ'tÎlg. Es Idti'e nt d 'el' Stilb.ildlhng, der Recht· schreibung, dle r Sprachlehre iUlUd enthaiLt a'UlOh Bemerkungen 1ll'11g,e me iner Na,rur. De. ' mennspl'iechrend wiilid daos Ref.t (,o'der ein OlidnleJr) :e'i~1Jg'e-l1erih.
Wiihrend der Verbesserung des Entwurf wü1d .aJ11 ida's lnrs ll(.oll·,r eklt'1ll'iheh leingeltl'ageon, was ,d'el' IFlorlJbilLd.ung der I(Il,as>s'e ~lieùen kO'l1'nte. Naloh 'ein.'Îlg,er IZ'eJÎlt le r,h a'l t deJl' Ldwer e~n -M~Des B.irM über lc len StaJnd seiner I<lLas'S1e \in Sti[iISll1m\:, ,spll,a1C'l11Ie hne ul1Jd Rec,h t· sc!lll~ei;ben. Er wei,s's 1lUn genau, ,w erlohe rÜbun.
sp.l1acJMioh W,e11tJvo111e ·SOIlil. srpater GelIneingiU/t: w,el,dlen. Schone AUSlcll'woke, bi'1d eJl'œiche ' WIBl~d'Ul1Jgten, p'a's>siBJ1Id'e Emptf'linld,u.ng'swol'ter, bel5'Ol1tdere lSfpl',a.chLiche 'Lei;s,tu11lgen, MritteJ
cLea· S )eigerung IU'SW. " ...~el'd'e'll li!l1 IGrUipp'elll g,e-g/l i'erdent, vel'Ine,r,k't. Abell' ,auoh Nega:tiveJs w1rd f.estg.erlJla1lt!en: f,arhoher OebrauCih /von Wortern, WalngweI_iJJ.'ilg e IWi'5d,e'liho~ul1gen (ldal1in, I1laoohhler ... ), '[laide Ta,tiJgke'i~swol1ter (spraoh, g,iJng ... ), V el'\>Vlelohd1Uil1lg en, f<al1s'Oh ,gelb riauc'hte Mo'glliohIœitsfOtnm:en >TI's w. In besonderen Sprachstunden witd mit d'er I<lLasse anhand der gesammelten Ausdrücke geüh't. Auf ,di'e's e W'eri.~,e wird lan Stofflelll g,erarbe'i.tet, d,ie ,d,el' I()l;a'Sose v·ertl'.ruut s~nd
Rechtschreiben. W,ir vBl'luerlœn u!J.H'er 'Ver· sdhlieJd'enen 'GeiS-iJchllls'P Ui1ù\:l\:,en di e ,,~'ch'tig,s tle.n, iml11'er wieJd erlœhœl1'den V,erstosoSe g'f!Jgen dile ' Riechts'Cl1l1el.Î1hlll1Jg. M'arn ver,tdtt heute ,die
gen; ko,s'tb:a,rre Z'eJ't wirld 'g·ewounren. Der LBh11er kaml lf'eSitistrelli1el1, ob Idie früheren Übwn:gen den el1hotfrf,ten El1fO~lg 'b113cllten oder oh b 'el"eits bespro'chene Schw1ierigkeiten er. ne ut id er lB.ehanld~Urng hedürfen. Stilistik. iliI1 dl~es'enn T'e H rvermerken 'W,i,r
Al1'si'cJht, .(1er W~erJt ,d'es .eÎ1l1. old er me,h rmaili· gen Soh11eibenls f'eh'1erhaf,ter ,Woll·,ter sei fra-go WIÜlld,ilg. Es h ,t sieJher w;Brtvo:Uer, w'e un dile
VOl' aUem Id'a d ,man S'ich nrichlt entmutiglen
g.etrennt
hl',sS'en. GewiS'se rhartnack,i'ge Fle'hl'elr IIll'SS'ell
und
Neg'a:rÏ'\nes.
DraiS
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gel1n. Wor-ter, d'i·e zu keine,r Reg'el1 pals's,e n, Lals-se rm an 'g,eJ..e~eJ1l!ilJich -e inli'ge M ;a1l,e sohr,eilh en. Arutoh in ,der rR echt'sclweÎlbul1Jg gNt der GliUl1/d,saotz: Für je:d,e K11anklh ffi,t d,Île rechte MeldÎlz-1 n!
Sprachlehre. Auoh kIl'einere und grosE0 re V'e11s,to-s-se '~eg-en Idrile tSpl,a1chr!,d1l1e w,er:den ge· Ol~dnet v:ermerkrt. ISo konn{1en .etwa rf1olgel1/cle SohwÎierigkci'te.n berachtet wend'en : ,(l'as Tatig. keitswort in d.-e n verschie:denen Z~iren, die Alb.wland~unlg Id,es Tüügkei-tswor{1es, doas r,ich· ti.~e
veI'sdIi e d'enBn Fa-~LBll, b.esollld'ers irn 4 . FlaB, die Ein· und Mehrzralhlrb:iùdu.ng, die Beifü· gUllgen u sw. Fis 's teht la'Ui3'S'e r Zw,~if,eù, cl:ass ,d,ie Sp11é\1chlehr'e das Deolùœn .folid,ert. IS ie so]1 ab.er heiS'olllder.s im HJil1'bJiiCI\: Ifflllf Id i,e praktische Verwendung im Rlec,hr~lS'ohl'l~tilbren Ib etrÎleiben 'Wel1c],e n . Theo· r'eltisClh e Spitz.f.i11Jœ~glœüen 'gehoren eoheniSo, PrÎlmalischulle "vie rder VoU· s ~and.i,glœ)Îlr.S1f,ilJTlil11'elL WBIl~g in rdi,e
Ven;chiedenes. Untel' di'eS'eil11 Tüetl la'Ss.en sioh a1Ig,em~i'l1'e Bemel,kun~en Z'UiS'amm'eln· fassen: Hehf-iihrUing, 6olmift:, HLu5tJ.'I1lrion usw. Am 'v-ort,e'Î11harf,tles-{1en 'WIÎ,::,d ,es ,sei.n, jed-els Jahr ein J1Ieiu es Helit 'ruJlIzrul]:Bg,en. Mit Nutzen wer· d-en die Ei.ll;tl'arg:ungen ,nel~seJhJ'eidener Jahr.e rnrÎltoeÎll1Janld·er v'e rgl,j,chen. AUif Id li.els·e Wei-se "",Îl,d ,d,aiS K'OlT'erk"Ul~heft !lU
wirkwmen Rilfsmittel, q;U einc m unentbehrlichen Kompass, Id ler UI1JS d.en zu eineil11
b;esch11eit.eJ1ld len W'erg weÎts:t. lDie vom Le,l u"er geJlei,s1'Bve MeJH1a11beit ma/cht 'sÎleJh mehr 8!ls bez:alhilt. So 'lTIog,e 'œenn che AIllf,S'al ~~stund,e r,ÜJr Schü· 1er und Lehl'er zur Stunde der Freude wenkm, die a ll,e hel'ei'chrert uJ1ld heglück,t. 1
Ge's cMecht, die Erganzoul1'gen in clBn
PARTIE
PRATIQUE
wiid ,den w.irkJl'Îlchen Be'œünfnis's'e n 'entspl~e. ohien. Je Inadl Idem gleilsti~~l Stand der K!las-s e wel,d'en Id,i,e An'f:01rùerun;gen hon:er o'dlel' tiefler ange!seitzt.
gen Is'û n'e besondere A'llfm1erJ\:iS'amkoeri ter. fO'l,dem . .Er lmnn ,<hm Bediirfn'Î!s'Setl sJein'el" Sohiller :e'l1{1spri5cJhend arheiten. Üb'e rfllü:ss-ig:e ürhunlgen im Sp~'aochbUiCih wiel,d,eill ühergan.
P·o's'Ï'I1ÎJv1e's
si'c h nur durch mehrmals w1eder.h olte Übun· gen besei,tÎ'g.en. BeS011J(],e11s schWli'erig,~ Fa.lle gehonen 8!ber fllÎlClht in die Vo!UŒscllUll e. Gesalm~schul'en, ~n ,dell'en Id,ie iS tÎllle Be· sch~f.tiJgul1'g e:Î'l1'e n bl't~iltern R 'a um ,einnimmt, hah~l den VOfl',reill, d"<lls-s skh di'e Schükr mehr ~ni:t ÜJmugell der R ,ec:h:'s clweihung herfussen konnlen. Das rÏ!ohtige Ahschreiben, d'as me:hr ,eil1!em Aufschreiben 'en't1slprÎlohit, hait auch heute 'I1o:eJh >sei!l1e Bedeutung. Di'e NÎleJdemlohl,irft von athswendig Gelern.tem und Idie V'e rbessenung anhand d'e-s Bruches i S!t eilne ~v:ertV'oIne Rech1lSichneibeübung. nas'S wk lalUS Id'e n Tex,ten e.inig-e wichtige Regeln ableÎtten, ver's teht 'sÎ'ch von selb:st. VÎ'!~le Me'~hO'diJ.Œr empf,ehlen g,er;eianl'e Re·
Schwierigkel~teul ,anrhan:d ip'a lsoS:end'er Ûlbung-e n belkal11lpEt 'w.er:cJ.en.
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Prière à la Vierge Les pentes, les plateaux, le's champs et les rivières Déroulent à vos pieds leur tapis triomphal. Dans le recueillement des plus hautes ~lairières, L'immuable granit vous dresse un piédestal. L'heure est venue enfin de vous montrer puissante! Surgissez, radieuse, au· devant du Seigneur. Elevez jusqu'à Lui la plainte languissante Des pauvres gens cou-r bés SOlliS l'antique dowleur. Louis Pize. -
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Maman
Maman
Maman: elle est dans la chambre Comme le solei;l du printemps; Comme le chant Du pinson sur la branche, Comme le murmure Du poêle un jour de froidure . .. Maman: elle est comme le pain Quand on a faim, C01nme l'ombre et le lit Après un jour de peine, Comme l'eau de la fontaine Dans les lourdes après· midi ; Comme un toit Pour l'enfant perdu. Maman: elle est tout Ce qui est bon, noble et doux .
La grand-mère Sous l'auvent devant fa porte, Quand il fai,t beau jusqu'au soir, Elle est assise et tricote Le même éternel bas noir. Elle est vieille, v ieille, vieille, Et sa coiffe a des replis. Qui lui couvrent les oreilles ... L es yeux sont restés jolis.
Pour qui?
Elle est bien setlJle, bien lasse : Elle a eu tant de chagrins f Elle voit courir les trains Et fait bonjour quand on passe.
Pour qui ce caillou blanc, Si joli, si luisant? Et la plume du geai? Pour qui la boucle d'or? Tous les menus trésors Qu'en chemin j'ai trouvés? Tous les bouquets fleuris? Tu ne sais pas? .. . J'en ris f P our maman . .. Tout pour elle f
Puis soudain, elle soupire En laissant tomber son bras, Et pourtant ne pa/ile pas: Il y aurait trop à dire . Henry Spiess.
A ma mère! Lorsque ma sœur et moi, dans les forêts profondes, Nous avions déchiré nos pieds sur les cailloux, En norts baisant au front, tu nous appelais fous, Après avoir maudit nos courses vagabondes. Puis, comme un vent d'été confond les fraîches ondes De deux petits ruisseaux sur un lit calme et doux, Lorsque tu nous tenais tous deux sur tes genoux, Tu mêlais en riant nos chevelures blondes. Et pendant bien longtemps, nous restions là blottis, Heureux, et tu disais parfois: ô chers petits! Un jour vous serez grands, et moi je serai vieille f Les jours se sont enfuis, d'u:t vol mystérieux, Mais toujours la jeunesse éclatante et vermeille Fleurit dans ton sourire et brille dans tes yeux. Théodore de Banville.
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Pour Maman
Pour toi Maman
Jet' aime tant, Maman, Mais je ne sais comment te le dire . Je ne sais que chanter et rire Et répéter sans ceiSse, à nvi-voix, Rien que pour moi : Maman, maman, maman.
C'est pour maman Que s'amusent les enfants De tout~ la terre, : Q'u~ fleunissent au printemps, Les primevères. C'est pour maman· Que reviennent tous les ans Les' hirondelles. ' Que tous les oiseaux des champs Battent des ailes. Anne-Marie Lesur.
Quand tu me clis: « ma fleur jolie », Quand tu es tout près, tout près de moi, Je t'aime bien, maman chérie, l'ai bien fait de naître chez toi . Grand-mère
. La femm.e, âme du foye'r Rivée aux Itâ'~h eJs Id'e Il '.intérieur, la maÎ'tr,e'ss'e dé m la:Ïson est II"a'ttTriait du f;oyer, 's on charme, sa joie. Alt'nait du f.oyer, · [a mèœ J"est pm' son Sour.Ïl·le· le t 's'On 'cJhr~'Jne ipel's'ol1lH~l; eJlle l'es t au's'si par -l'ordœ 'e t /l<a pr.opre t.é qu'elUe {:ait 11égner ' autour 'd'ieillle, teitLe ['I(';s t el1lcore par le tsO!U.m · de . heJanIté Iq.u',e[,le introdui,t da'l1!s la m'a i\S'On: une ibl].Ianrc.he paire d·e rideaux, un oal're1aig'e 'V'eil'ni, qU'e'1 ques fileurs danls une cl.-.uc:he de grè's, œI n'en !fau1t ipa's davantage p6ur 'l.'\enldœ [,a maison a'g réahle. Mlaœs l'~outs:e, ... la mère, n" ~st pas moins s01.l!di'oo~: e .de rp(lair'e aux \Siens par 's on .charme et 'l e ,bel a'lu'lan:g'e ment d'e l,a .mails on qu:e p'a'r 1e's \'ioŒ,i d'es talen1Js d'e 'm:énwgère , die ~uilSi niène e1~ pa'l'tiictulHer. T'Oult œla s',ha11monise ti'ès bi en ... TOlUt ce~a fait ta1mter il'aooueH ,de lia mais'On.
J'ai l'e tl~OUtvé une [l'e!tii,te pho'to,g-raiphie. Une v ileiJ]Jle d'ruIne qui ta mils sa b eJhle ,,:ohe noi'l'e, Ic:eilile ld<eJs maûns de dimanlche où 1''Û1l ifiait Is'a vi'slite au Hon <Di'e u : une he!llLe l'othe av,e c ,d es pl~i sls,é<s Is m' 1e1s ipoi'gtnets, son " plus b eau honn'et 'SIU·r l es cheN,e ux b1eJll lis,sle s et :une crav;atle de d enltdll'e hilmliC'he qui re~ilent une 'g'l'.osse brolche. Une h eUe Vliei'lille dame, g.r'alVle e t ~implle, qu i a une b01.1lohe ml peu sévèœ, u n e bouche toutJe clroi,te, m'a'its prêtJe là 'solUl'ü"e si [le regard ,s'aihai1s's a-Ït IUn poo . Dans 'l es 1as, un tout petÏ't. Rond, une tête rou d'e, ,de s bra's 110nle].s, d'e p'e-rlÏtes jamb.e's l~on:dte:s Id ont Il'e's ipi'ed lS l'3'e 'rejoli,g nent. Une ph)'lsionomie iiI1111l1'oh!:ÏJ1~, CUl11e'lliS'e de c'omprellidre 'oe qui va Ise [l'ass er (llà, e n fa'ce, sur cette hOÎlte noire ... Grantd-auè'l~e, m'a Igranld.mèl'e, 's i c'e tt'e limage n'eX!ils'~ai,t pas, j'Iaura'~s beau vous aimer dtall<s' ma m,é mo,h'e, '}e ne 's aurais ip'alS voh~ visage, ni Le 'l"egta'l'ld tq ue 'VoUs m'<twe,z si 1'30'11v,e nt Id.oul1'é, ni V10tr.e hŒU'che que le souci fati. sait .pa'lf.oils lirleJmbllter .elt qui m'ta dit delS mots d"amour ' -et qui ta chanté pOIU'l' m'O~, même qu:a nd VOlUS n'oen a-vtiJe.z pas envie .
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Pierœ .Al1:in.
Soirée en ' f~mitle Lorsque l'on est .e ncor petit et que vient l'heure Où le j'Our n'est plus là sans qu'il fasse encor nuit, 'Quelle joie! Au dehors C'êst l'hiv.er, le vent pleure, Au dedans le feu clair danse et flambe à grand bruit. .« N'aUitmez pas encore la lampe. - Chut! SÏJlence ! 'Grand-mère, contez· nous l'Ogre.sse ou .l'Oiseau bleu ». Dans l'horloge de bois, le tic-tac se balance, Le grillon fait son cri, le ch~t dort près du feu: La troupe des enfants, assise en rond, ·écoute. .. ~ Ah f"que ce 'conte -est ·beau-/ Qu'il fait peur et plaisir! Mais la soupe est fumante: allons, quoi qu'il en coûte, L'histoire s'entendra demain plus à loisir. Jean Aicard.
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FICHES DE GEOGRAPHIE (suite) 11111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111
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District d'Entremont Une rivière, la Dranse; une montagne, le Combin; une route, celle du StBernard, ont donné leur empreinte au dist'rict d'Entremont. Le long de la voie du Mont Joux, ont défi'lé, des siècles durant, des empereurs, de1s conquérants, des pèlerins. Sembrancher, Orsières, Liddes, Bourg-St-Pierre édifiés le long de cette voie romaine, ont souffert des incurs·ion's des Sarr,a sins pillards aViant de bénéficier du trafic routier. Depuis le percement du Simp,lon et la création du Martigny-Orsières, la route ne présente pl,us la même importance pour le trafic internationat Un tunne,l routier pa's se adue,llement sous le GrandSt-Bernard. L'hospice fondé pour ven ir en a'ide aux voya'ge-urs est connu dans le monde entier; ses chiens sont célèbres. D'Orsières on monte aux 'si·t es reposants de Champ€)x ei' du Val Ferret, tandis que de Sembrancher, en passant par Vollèges, où l'on s'occupe d'ho,r logerie, on arrive dans la grande commune ,d e Bagnes, dont les villages de Châble, de Versegères, de Champsec, de Lourtier, de Bruson, de Sarreyer et de Verbier s'étalent ou fOn'd de la vallée ou s'étagoent sur les pentes de l'a moni·agne. Verbier adossé à la Pierre-à-Vo'ir, fa·ce a'u Combin, est une station d'ékangers appréciée surtout par le's skieurs. Fionnay, a·u fond de la vallée, a deux usines électriques; plus loin encore se 1rouve le lac du Mauvoisin. Ce dislrict s'adonne à la culture de la fra-ise et à l'élevage du bétail; il produit du fromage réputé.
District de Conthey
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Ce disl'rict comprend trois régions: la plaine, le coteau de Conthey et le v'a llon de Nendaz. Chamoson, gro's village ,rénové a:vec goûi' s'élève sur un cône de déjection formé par des terrains qui se détachent du ma'ssif du Haut-de-Cry. Les derniers éboulements sont récents. C'e tte commune possède des vergers et un vignoble qui possent pour les plus beaux du canton. A St-Pierre de Clages on remarqu'e une église romane très ancienne. Ardon est un beau village à l'entrée des gorges de la Lizerne; on y voit une impo'r tante fonderie. D,e là on peut monter au lac de Derborence et par le Pas de Cheville descendre dans le canton de Va'U'd. Peu après Ardon on arrive à Vétroz, célèbre par ses vins fins; puis à la grande commune ,d e Conthey dont les viHa'g es et les mayens sont ·piqués comme des fleurs bl'a nches dans les flancs du cotealu. Ce't te commune tire ses res\s ources de l'élevage, de la vilticUlltulr e et de l'arboricuhure. Conthey constituait durant la féoda,lité une pluce forte de la Savo,ie, fa'c e à la vi·lle épiscopa'ie qui lui oppo·s ait, à l'est de la Morge formant limite, les châteaux de Montorge et de la Soie. Le vallon de la Printze comprend la grande commune de Nendaz dont les habitants vivent de l'ag.6cu Iture; champs et vergers fo'urnissent du blé et des fruits. Aproz, dans la plaine, po's sède une source minérale réputée. 1
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QUESTIONS Dessine le district d'Entrement. Quelles 'en sent les limites, les armeiries, la pepu,latien, le chef~lieu ? Cite, de la Pierre-à-Veir a'u cel de Fenêtre, teutes les mentagnes se rappertant nu massif du Pleureur. Cite teutes celles qui fent partie du ma:ssif du Cembin; celles du massif du Ment Blanc. Quelles sent les 3 Dran'ses ? Où prennent-elle's leur seurce ? Dans quelle directien ceule la Dranse, d'Orsières à Sembrc;mcher ? . Nemme 2 villages situés sur l'a rive ,droite :de la Dranse d'Entrement; 1 sur la rive ga'uche. ,Mentienne 3 villages expe\sés au .midi ; 1 ex pesé à l'est; 1 à l'eu'est. Quel ,est le villa'ge du vall Ferret près de Saleinaz ? ' . Que sais-tu du Ma'rtigny-Orsiè'res ? Quel'Ie est la de'rnière cemmune ,a vant le St-Bernard? De quelle lecallité mente-t-en à Champex ? Cite 4 statiens d'étrangers du district. D'eù fa'is-tu l'ascensien du Categne, de la Pierre-à-Veir, du Vélan? Où l,a reute du St-Berna'rd f,ranchit-e,ll,e la Dranse ? Que sa-is-~u de l'hespice du Grand St-Bernard? Celleotienne des vu'es de ce diskid.
QUESTIONS Dessine le dis,trict de Centhey. Quelles en sent los limites? Les armeiries ? Quelle est ,la pepulatien ? De quei s'eccupent les habitants? Cembien de régiens cemprend ce distrid? Quelles rivières passent dans les cemmunes de Chamesen, d'Arden, de Conthey, de Nendaz ? De Centhey, par quel cO'I peux-tu te rendre dans le canten de Beme? Et d'Arden cemment te rendrais-tu à Bex? Cembilen de temps durera appreximativement ta course? (350 m.; des/cente 1/2 ), . Au pied de que'lle mentagne est adessé Chamesen ? Que,lles mentagnes s'élèvent a'u fend du vla,1de Nendaz ? Cite un viHage de Nendaz situé dans l,a pl-aine. Qu'est-ce qui fait la ri'chesse des cemmunes de Centhey, de Vét're'zi d'Arden e't de Chamesen ? Nemme un village de Chamesen qui pessède une vieille église remarquahle. Qu'elles industries y a-t-ill à Arden? Dans quelles directiens aeu'lent la Printze ? La Merge ? Cite quelques villag,es de Centhey. D'où part la route qui cenduit à Nendaz ? Mesure la largeur de la plaine entre Vétrez et le Rhône. Fa'is une collectien de gravures se rappertant à 'ce district. Qu'entend-en par une sourae minérale? Une seurce thermale?
MITTEILUNGEN
COMMUNICATIONS COURS DE PERFECTIOtNNEM,ENT M ,i n d'e pea:mett'ne au pell'sonnci enseignant die prendre à 'temps les di'Slpositioll.!S ul'iJl'es pour pOUIy-oü' a,s sisll'er :a u :cours de !perfection. nement, mous il'linlfol1ll1ons que le cours ldoe 1959 se ~ienldra Id miall1t la sema,ine Id u 17 ~u 22 aoÛlt. Avril 1959.
Le Chef du Département de l'Instruction publique: M. GROSS
AVEC NOS INSP,ECTEURS SC:OLAIRES Lundi 13 avril, 'l es J.nsopectelws ISlcO'loo.lJ'es du canton 'se sont rbuni,s à Sion ten tAs:semb[lé e an.nueJl1e, 's ous la pl,ésidence d'e M. Gross, ohef du üéiparl1eJ11Jent, de MM. Evéquoz 'e t Oha's.t onay, ohClfls d.e service. La !Il1'at,inbe f.ut pIles que 'e ntièrement consaCl,ée ,à ,l a pTéS'erJl{1a,ti,on du nouveau prog'11aulme Ipour Ile.s écoles pr,i maires, son esPl,it, 'S'eJS ·ca,l"a'ctèJ.1C1s, !S'e s innOVialllÎ!o;J.llS. Cette pl,bS'e,ntation fut ifiaite p'alr 'M . S'Î'erliO, dynamÎlque p11éS1Îld'eJlIt ,d,e la CommJÎJssi,oll1 Idre s P.rogDaUl!me's, et pla'r M. Bél'a'l',d, secrét,aire 'e t ohieViilUe 'O'UvrièliC de 'cette très 1I.·,em~ll~qua'hil!e l,éaJHs-allron.
11 y a Heu de l'aJPIpeJ,er 'oomhi'e n ,f'Ult com!p'liquée Ja tâohe de J!a 'ComulÏis'sio!l1 en raison de !l,a èLm1ée 's i va'l1i'abtLe ,doe 11a IscoiJ.la1"ÏlJé vall aisaune. iLa l~llipild,i{1é laV{~c .l!aquell'Le oe tl'av,aliiJ. fut mené ,à chef n'Ien 'eM 'q lle p:1us admi'l'ab[e. Ge plan ,d',é1tuld'BS n'Ielst pais uue ,s èche nom'endlla trl.I!re, ,~l e1st un guild'e et 'lllli o'UitiJl Ie~llrê men1lC>nt 'complClt, 'q ui il'a!Ï.sse !pO'UIJ.'1iant 'a u m laiÎl'e toute 's on >Ïnitilatw.e. Al1011S que Genève Détpal~tÎ't Il ia m :aillièœ pa'r moi's I( en SeŒ<gique, par Is'em'a inJes) ILe progl'amlIl11e vail'a"Î'san a'ssUl~ une mIH'I!;lC d 'e [i:b:el~té !liont lLarge, tout 'e n cornpO'rta1]t un hOll.1a!Î!J.ie ipuéols. M, Evé'cptIo'z est heureux d'la joulJer que le 110uv,e au prügl'all11!l11e a lfiait l'ülbj'e t .d'~ipI)l1éci,atÎ'olllls flatteuSeiS h011S du oa:ilton, III Mamm'e nt à N euchâtell.
f'essionnelles, les InspecteUl's soulevèrent Je ' oas très fréquent .des enfants qUIÎ commenOeJ1t J'boo:l e à 's ix ans, la lons que le programm,e Ip-a'l't doe sept ans. 're.SSOll~t d,e la d,isculssioH 'q u',a ucune dÜ'e!cti'V'e Jg'énéra\l e ne peut êltl'e Id'o nnée pour J'e 'm om'e nt, mais sew1ement Ides Isoùu:t,ions Il oca'l es, ,e n atVendant que soit 'réJaHsé O!e projet du üérpartement de crJée'r 'Une ,s ecÜon Monlles'sor·i à l'Ec()lle Normale. Un ,a utre point de ,d,isou&siou ,flUt ceJlui die l',écril~ure. On constate torujoU!l's piLus de 1a,u5'ser-a11er dla us ce d'OImai,n:e, même à l'écheJlon !prinl'a;ire: mauvais1e tenue de ~a plume, absenoe de ,piLeinls et ,de déliés, manque total Id e 'présentation, tiillllilS'ilbti:lJillé. !F1autill su'Îlvre ille courant 'd e La f'llici'li:llé, IaccJepl'er n'imp'o rte ,quel ,h i,é l'()Iglly,p he, 'a utor,i's er S\tyLos 'elt ,s tylos à Mlle Id ès Il e Id egt,é moyen? T'o~aJlement alppuyés par t1e nép'al'tement, M'eJS'&iellil:s 1e1s Illtsp'e'cteur'5 estim'e nt qu'on l1'e sWUl'ali,t ahou1lÎl' qu'à J'·all'alJ.·chie len SHCrifd,wnt ,à une to:lérauce 'eIlll1lmude Idle I 10ut eff.ol't édwcJalt:H r,be~, .oar C"elst ,e n déf:initiv,e ileva!J.lt 1',~Ho'l·,t qu.e recu'1 ent 'le maitr'e et pal' su.ite l'.éJèVie. Ensei'gn'OJ1's l'iystérna tiqueillleut l'écr'ÎtIu-re angll!a'i s'e aux de'g11és ~nflél'~eaH' e1t moy,en, ainsi que ,l 'ürdi'(fU'e Ile progr,a mme. Aru deg11é swpérieur, qU!and la persoll1ll1wM1lé d'e l'élève vient à s;af,fi'r mer dans ila gl'aphiJe, Id onnon:s droit de ,c ité là Il'IéCll'iture droil'e, ne chicanoll1lS pais !tro'p s'Ur ~'es pleins Clt tle's détlités, ma,i s soyo:n:s 'inWau5'Îlg,eanl!s pour l'a lÎl5ihili{1é, le soin, lLa pl~ésenta,.,ion. . Une 'c auserie Ide M, le Dr ,c,a,1 pÎnj, che,f !Cantonall 'd u sellV-Îce d"h)'lgiène, sur o1a p.rophylaxie Id/entaŒlie et SlUr CIe qu''On Iwttend du personnell ens'eÎ'gnant e t Id es pra<t',enbs dans ce d'omaillle, cJlôtum cette Mcollidte jOlll'uée l<:I.e ti1aVia ill. Itl nolUs Pll ai,t d'e COllsl'a/ter que nos inspecl'ffiH'S s.c()llaü~es va.rIJag,el1lt no'8 LSouciiS et '1'10'5 efforts pédago:g,i ques, Nol're vœ'Uest 'qu'ills devÎlennent de plu'S 'e n pltU!s l,es «consei[lers péd'a go:giqUie'S» dont p'a l'le Dottl'-ens.
n
1
Flai's-ant le tour de leul's 'p réo:cowpa'tions !pro-
-
370-
-
E.C.
371-
If CAISS,E DE RETRAITE DU PERSONNEL ENSEIGNANT DU CANTON DU VA.LAIS RUHEGEHA.LTSI{ASSE DES WAtUSER tEHRPERSONALS Comptes de gestion Exercice 1958 .
- Rechnung
Verwaltung 1958 Doit· Soll
a} Produits· Einnahmen CotÏtS'a'l'ion'S des membor,e;s • M,iltg~oÏJede,rlbcitrage GO'ntriibul~iO'l1!s Q,eJg emp lO'y.elUl'18 . LArbeitg'e bel-beitrage T'ol'all d,e's ,l'alc:ha.ts . TO'ta,1 (l'e·r Hückkauf,e IntbrêJlls Id 'e l'anné:e . ZlnJS'eJJ.l TIl1llJl1iSlfe l'ts Ide il!a caiss·e d.es ,(],éipO'lSlan;l1s Hertnag tauS der Spare,inJleg,erlŒss·e 1
ToJ~al
Doit· SoU Avoir - Raben AtvO'Ll1S au. 1. 7. 1957 . Gutilmhen am 1. 7. 1957 624656.40 l 'nt1érêts d·e ra,n uée . Zinls'e n 24331.30 GO'ttÏJs:aitJÎO'il1!s odes memb'l'es . Miitgll'Île'd.e,rb'e~Jtrag,e 63271.70 GO'nJtIl"ÏJhll'tilOl1's dies emipllO'yeUl'iS • Al1helit'g:elha'bdt'r a'ge 63271.70 Ti'tansfte1111s de ila OaÎSlse de retlia.i.lle . Üh'ertr.a'ge Hulf d li'e R'llheg,e,h.alltiskasse 20004.10 SOl'ri:e!S Id'e 'Co·til~mItiO'ns • RückZ'M1l1ul1lg vO'n Mitglli,e:d.erJmi:tr,agleJJ.l 176864.70 SO'rtÎoes de cO'ntil'ilhuti'O'n'S • Rüc:kz'aihllruil1!g YO''l1 AdJ'e'ÎltJg.ehoa-heriJtra·g.en 176864.70 T'O'~a'l d.es a'Voü1s au 1. 7. 1958 . T,O"l'ail d ies Gutha.beJ1ls am 1. 7. 1958 _4_4_1_8_0_5_.8_0_ _ _ __ _ TO'~aux
1352682.75
Id·es ,prO'duits . TO',ral'e innahmen
b) Charges . Ausgaben TO'~a;1 dies ,pelll'S~O'llS . Ausbezah!lte Relliten RmnbO'u'l1selJUeJJ.ülls . Rüc.kz.aihthmgen Fr,M.s de ges1rioll . Ve.n va!:tJUinglSp,es'e n T'O"~al
Avoir· Raben 335245.25 335245.25 47686.85 345838.30 288667.10
Caisse des déposants - Spareinlegerkasse
351686.65 67350.65 11433.20
• TO'tal1
795535.20
790$ 535.20
Total des Avoirs - Total der Guthaben Ga'Îlsse ,a e ln etraite • Rurhegehahsk)alSlse CaisS'e des IdépO'sanl's • 8;paorieinll legenlmSise FIOUdls de Ise;CO'U11s • HiHlSkaosse
10267367.52 441805.80 30187.40
TOIttru! . T O'tal
10739360.72
430470.50
des chal'ges . TO'roolausg'a ben
Statistique générale - AIIgemeine Statistik c} Balance· Bilanz 'Do.~all ,d,es rprO'1f.l!tüts TOil.MleŒnuahm,en T'O't'all d.ets ohall1ges - TlO',talltaU'S'gahien
1 352682.75 430470.50 922212.25
EX'cédlent d,e 'l'iannbe . EiulI1:athmell1ühe'r sdm'ss
747
Bilan d'entrée au 1er janvier 1~58 - Eingangsbilanz am 1. Januar 1958 Actif - Aktiven Passif - Passiven Tilil1eS 'elt obHg. d'tEt.a t - Titeil unil. S:œ'allsO'hl~ga1ionen Banque oa11!tO'l1'alle : cO'm·p te à ,terme· KantO"l1Iatlhlllnk : T ,ermilllkO'nto A)(llln1n,isltl'altÎO'n flédlél'. Ides IcO'n'h"ilbu.tiO'll's - Eild. SteJU:el'V'envaltung Dé:biteur : tEtait Id u V:ailtaÎs - S:clruJldner : Staa·t 'W alm,i" Ma tériell . Ma,lla',i:al Grupitlrul: S'oIlJd:e . Ka·pûJœl: S'wLdO'
470000.8734182.80 85254.20 55717.27 1.9345155.27
959000.919083055 46755.70780 .97 1.-
5,1)
b} Membres déposants. Mitglieder der Spal'einlegerkasse 212 inlstilJultric;es • Lehl.iel',imüen (435 + 17 - 240) 192 iÏll'StiliuteJUillS • lielwa' (372 + lo8 - 198) (807
+
35 -
438)
62 inJs'tlÎ!tJute!'lll'lS l'etna~tés . ipensiO'nierlt'e liehl'el' 42 rustitUlh'Î!ees retraitées - .p 'e nsiO'merl'e Le;hl~rÎnnen 8 IÎJnistÏ'tuteJUns inV'aJlid!es . illl'V,a Me iLeilu',e r 15 :institut,r,iloes inVlalHdJes • im/lai1i.d'e Lehrerilll'l1ell 6 '\"eufis d'illsliiltutri'ces • W,i,twer VO''l1 Lehl1B11iunen 40 ;Y'e'Uv.es d',i uiStituteUll'is . WiJmvell 'VO'n LeJhl'ern 21 'e!.l1.fmlltts de pensÎlO'nnés . IGnder 'VO'n PeusiO'n:i.erten ~ O'11phetlÎll's • WariJsen 239
10267 367.52
Fonds de secours - Hilfsfonds Comptes d9 l'année 1958 - Jahresrechnung 1958 Doit - Soll
Avoir - Raben
12081.50 SO'Me du 'o0ll111p:ve 1957 . 8aiLclO' der nech~lU':lg 1957 483 ..25 J.n:térê~s .de ll"année - Z.in:sen 21003.45 V,i rements ,d.e Il,a CaÎ'ss'e .des dépO'/=an:ts - Überl.ra:g taUS Ider Sparein'i'eg'eI'lm.s se P'aymnerutls IeJIl IOO''lll"lS d':ex-el,cilce . Z.ah~'Un'gen walH~end 'd /e!s }ahl'es 3380.80 Solde 1958 - SalldO' 1958 _ _3_0_18_7_.4_0_ _ _ _ __ __3_3_5_6_8._2_0___3_3_5_6_8_.2_0
- . 372 - __
4,5 -
( ( ( ( ( ( ( (
61 4.1 6 17 6 41 26 43
(245
+ + + + + + +
+ +
4 1 4 1 0 0 2 2 -
3) 0) 2) 3) 0) 1) 7) 4)
14 -
20)
Fi'. 210876.05
=
Fil'.
= =
=
Fr. 45948.40 Fr. 8 368.40 Fr .. 13 281.20
=
Fr. 351 686.65
73212.60
10267367.52 10267 367.52
TO'taux . TO'tal
+
22) 29)
c} Membres pensionnés. Pensionierte Mitglieder :
Bilan de sortie au 31. 12. 1958 - Schlussbilanz vom 31. 12. 1958 Titr,es et O'bilig. (l',Etalt • T~tell un.d Staal'wbJLi'ga:tÎO'nen Banque loanI'O'lll8il,e : coollip.t e à tenne - KllIntO'niaflibank : T'erminkO'ntO' Aldmi'I1iÎ's,tratliI011 ,fJéJdél'. d 'eJs oO'n;t'l,ilhllltt. - EiId'g. SteuerlVerwall-::ung DébÎ!l1eur: Bta!t du Vall'ailS . Schut1dnel': Stl.1at W,aJl1i's Matériell . Mate!l'Œali Crup.i..t!ali : sotlJd.e . I('apitall : SruldO'
(753
404
9 345 155.27 9345155.27
TO'taux . ToJtall
TlO't!aux . TO'tal
a) Membres cotvsants . Beitragspflichtige Mitglieder 341 Nl'stÎ'tUtr'Ïlces • Lem"eroÏ'l1!l1ell (335 + 28 4,06 'Î!l1!Sti:t'llI'BIUl1S • Le;hr,el' (418 + 17 -
Rapport de vérification des comptes
Bericht der Rechnungsreyisoren
En oO'n!fO'rm'Î'tlé ,du maorud.at qUÎ leur ta él'é oonfié 'p ar 'l'Ass'eJmh!Lée :gIénéra/l e, Il es 'V,ér:if~ oatem's d·es ·cO'mlpilles 'sOlUls&i..g!lllés OII1;t prO'c·éJClé le 14 mru1s 1959 la ux O'pé11aliiIOIlIS de ~O'ntrô[e d'es oO'mptJe!s ,d.e la CaÎ!sse .de l'eJtraite pO'ur l',a'll'l'1'é e 1958. Ils Oint tO'ut od'~hO''l1d ·cO'nstaté lllIV'ec satiosfac· tiO'n que la fO'r,tune ,d e ,la Caiss·e eO'l1rtlÎnue
In Ausiilmng :d'es ti'hnen von d·el' De.ie'g iel·ten. V'el,samm/l ung ürbel'tl'a.g/e nell ,Manibl'tes tf'r a.œ n die ullterzelchueJten R'eJcihull'l1Igs.re;vis'O'l.·en am 14. Marz 1959 zu eJiner Si.tzung Zll'sammen, am ,d'i·e V,el'w:alltJun~sr.echl1lung 1958 d'e·r Ruhe· gehalhsk'aslSe z,u rprüfen. VO'l.· aHem S'teJhllien ,sÎle mît grÛi&:ser B-efdedoi· gung Fest, da/ss der Vermog'enssliand dlel'
- · 373 -
rap~d-f'>mel1't à ,s 'amJél1iol'er maJ1gré Il es charges nouvelles réSiUlhétlltt des mo'clif'~(jal1ions ISI~a tutalÏres . La f.ortune -totaIle Ide iLa Oailsls e lfi,g-uroan,t aux divers postJes IdiU IB:i:Iml Ig,énérall eSlt -en eff'Bt à fLa If.i,n d 'e Il "exel;cic,e 1958 de
Fr. 10739360.72 aloll'S qu'leHe étaÏ't là fin 1957 de
Fr.
9 981 893.,17
d'o.ù une aiUgmentation de iFr.
75711,67.55
OeUe uwgmenl'a1Ji'Oll le st -CO'i1'st~tué:e par les CO'lnp tes 'Sui ,"antls : 1. EXlcédelllt die /la üai's se ,de lie'tI'aite : Fr. 2. Exoédent du IF o.nds de seCOlWS : Fr. Total:
922212 .25 18105.90 940318.15
dlOIlJt à Id ,élduli re: d'Ïm.inJw tion d,e iLa fortune Id e la Oai:~lse deJ3 Idlélpos-al\1.bs : Fr.
182850.60
F,r .
757467.55
Comptes de gestion de la Caisse P,ro:dluÎ!~s
:
Ohla r,g,es :
Br. rFr.
EXloéd-e nt Ides Ip ro:duit5 :
Fr.
1. ÜlYel'sc:hu;s·s
der
RiUhegeJhéIJ~tskaS6e:
Fr.
Fr.
Augmentation neJtte :
I(.asse si.ch 'l'a.s ch ver..bessert und z""ar R'OtZ der neuoo fiina'l1.zli'eI~len V,erplfllidhtungten, dlÎe sÎlch 'a us der A'b iinld'eml1lg .d'e r Staltilltoo erg,eben. nUIs Ges'a!11lt'veDmo'ge'l1 deJI' Kasrs'e - eJS setit sich la us den vel's'c hÎ'edenen in der BHanz aUIf.g.elführbe.n ,p.os,N~n zwsammen - er1ï~ich~e auf EncJ.e des V.epw'ahung-s ja.h res 1958 den Beh·.ag 'Von F :r . 10739360.72. Es betmg 'a!111 31. Oezemher ' 1957 Fr. 9981893 :17. Die Vermo.geJI1:szull1'ahme bcliiUlft SiCih allso ail lf Fr. 757467 .55. 8Î1e a,s t wie {:o[gJt heg'l1üntd,e t:
1352682.75 430470 .50
L'.i:I11Iportanoe ÜOl1'srrdfu'lalbl~e Id le ce-s mo.ntants se . ,troU'TJe infllrtlleJll0ée ipalr le m 'oruv'ean'e nt in:tel'ne Ides C0111Jptes, nol1annnent par [e tmnsfel't ,d'e fI'. 288 667 .10 'Provenant à la Oali..s-s'e de il'eltl',ai,te pal' le DOlt t Id'e ILa ICais5e d,e's tléposants. Lels If'l',M's 'FJénél,aux, Iqui ét-aknt en 1957 de fI' . 16791.65 o.nt été lli amCln!és 'e u 1958 il fI'. 11 4,33.20. üell~e ldimil1iul'Î'o.n Ipl'o.lvi,el1!t des fIiais moins é}.evéls d'e l"exp'e rt ipo.lU' l'étw.:le des l1(~~isio.11!S 's ta'Rtta,ires. Vu le Itr.a~aÏ'l néces's~bé Ip ar [la -l'enu!e d'u!l1!e cOll11JptahiiLiitlé pour la Oails'S'e de 'l 'etr-a il'e et d'une ault·re po.ur la Ca'~srS'e dies d,bp'08wnts ave'c tOiUS !'BS cont'rô['eJs jUlSllif.iICla.t.i is alÎnsi qiUe Je mou.v~m·eJI1:t iml}J'Ol1i~anlt Ides comptes de la gesti·o.u, lle's frais adm'inÎ'S!tr.al~~~s rpelllv;eut être cOl1'soi.cJ.éliBS comme favorahl}les à Ilia Cairss-e. L"eX'amen cO~11'p[et de tous Il es comptes de La gestion, Idu Hi,l'a n, l'e po.intag·e cles écrihlres avec ilels pièoes justificativBS, o.nt
-
2. Ü~)ersclmss d·es Hiillf,sfO'n'ds:
18105 .90
Fr. Alhzüg1lÎlch : Verminderung des V'ermo,g ens de'r Spareinllelgre rkass-e : Fr.
940 318..l5
182 850 .60
r-bti\1ozun:ahl111e :
757467 .55
E~nnalhmenüherlS'CJl1Uss
Fr. 1352682.75 Fr. 430417.50 :
Fr.
922212:25
Die'se hohen B.e~riirg.e wil'd beoii n!g,t dUl'ch die internenl Velll110'gel1lsV'el;schilebunlg en; ..sie ihacleu i,h l'el1 Grund vOir -allilem in d :er Verhuchung ·v on Fr. 288 667 ,10 ·a us der Spareinle. g·ed\:lals se wwf d la·s Ko.nto d,el' R'llhegehailills1\:laS'se. Di.e ·aUgemeinen Unko.'s ten ~)etJrugeJIl im Jra,Ime 1957: ,F'r . 16791.65. tSie ko.nn'ten li m Bel1ilc httsjahre au:f Fr. 11 4-33.20 her,albg'esetzt \v·erdlell. Dies·e V,er:mÎorldJerung erkiliil"t l'iIÎlc:h durcih ,den Ums,tJand, ,d-a,srs d,em Expel,ten wenilgel' an Honorar alusge'r Î'chtet wel,den mU's's te rails l,el'Z'te:s Jahl', da die Statuten der rK!a'S'se in Rew's ion heg'1~i[flell W'aren. Hingegen dürf.en wir es nli:cht unteri}.a:s·s en, d3l1'a.uf hinzU'\V'eisen, dass dem V'e-l 'waher d'el' Kasse du.rch di'e ge.nanll'te He.vi,s·i,o.n ei,u e sdu' lx~;d-eiUterlide MeJlmarbed.t erwaChSleJIl 'Î.st. nie Fühl,ung ei.ner e~gealen BUlchlml.tung für die iRlU,h e'g.ehaJl"tls- und fùr di·e 8ip'arreinJegerkrusse m'Ît den venschj,edenen dlal111Ï't rverbundenen Ko.ntl'ol1Ien und z'U'sii'w hchen Buohun.
374-
E. Bourdin
gen 'slÎnd d'er GrluH,d ,d:er e.l'wiihnten Arheitts~unl-aJh~11'e .
Di'e 'Yo:11stiiTl'di.ge Prii,fung vo.n Verw.a!ltlungsrechniUl1g und Bi,].a~1Z, di'e versch'ie,denen iV'OJ.'genoonmenlen Sbic>hpl~olhen Ü'bel',z euglten uns von d'er Rüchti,gtkeù't tck~ r vo.rai,egenlc1'en 'Ve,l'war:Iœungsr'e'ohJ1'\1Illig . Wir h'eg11ück~vüns-chen d'en Verwa1lver Iz ur ausrg.ez,eichneiten FüI11'ung der BuohhaJhulTg 'llml der FestJiglœit, mit wellcher el' Id:i.e In:ter'esrs'e n :d·e r Kwsse ~m Auge he1üill t und vertelid'Îgt. lDer gilelÎ'c he Dank gebührt ibm {'ür die L'~eheniswiiridi.gk'eü, mi,t der el' UHS Idi'e v:erilung,teJIl A'lllSkünf:tle el~tJelÎlte.
L'e s vérifi ca1'eUl's :
A. Zengaffinen
Auf Gl'und d'Îeser F:es11Sl~éIJ1Illng'eu ,bea:ntrag~n ""il' Id er Vel'Samnllrung, 'cHe Verwall'tullgsreClhnung ~11 g,eneh!ll1i.gen und den ver,antwortliohen Org.anen Ider Kas·s e Endastung ~u ertieülen. Sitten, den 14.. Miil1Z .1959. Di1e VienvlaŒltm1JgS'11fWnsor·e n :
E . Bourdin
Ra p p
Verwaltu.ngsrechnung der [(asse EilI1l1ahmen: Aa.ls'g'a heu :
Si'on, le 14 mars 1959.
92,2 2l-2.25
Fr.
Fir.
démo.ntr,é 1 ':eX'aobi·tJud'e «l·es compl'es qui !}lOU'S o.n!t élt·é so.iUlnilS. No.us f,é,ih.lcitol1'S Le caissier po.ur Il a ~)o..nne beaue ,die la comlp\1ah~11té et ilia v,igilance ·a'V,e;c a-a quelil e ill suilt 'e t sauvBgarde les inl~érêilJs Id e 1 a üalÎs's e. No.fUls le remeil'cio.ns éig,aiLemeait Ipour Il ''a maMlité avec iLaque['lle il n'o.lll,s la f,o.lU·rnlÎ Ito.'llIS Il es ,r .elllseÎ1gHffiuenlts 'et les Ip11édilsionrs dernanJt:1lées . Alu Vlll relie \Ces 'Co.\1lS!ra'~aitIio.Œ1'S, nows pro.posons à l'oAs'S-e:mbJ-ée Id'laplpro.iU!ver tL~s iwés·ent.s co.ttnrp'tes ,et -d ':en do.nIller dédhar'ge aux 0.1" g.ane·s l'erSlpo.ns'ahil:es.
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A. Zengaffinen
Verwaltungsbericht
Le no.uveau rè~eme11rt .d,e [lia cais-s e de re:h'alÎ te d.éploùre ·ses ef.f.ells il pal'tir ·du le,r Jauvie·r 1958. Ma'l g,né Jles nomlb:l.iooses mo.·dif.i oatiom; in terVlen(U:es, il'eJs rn,embres aotM's !l1'o.nt guère ap'e rçu ,de -o hanlglernen't. 1[5 Ollft co.ntrÎlmé à co.tÎ,s'e r Isur ~e u~aiteJInent de bais e, 'l'es primes d'âge 'e t tl'lailil:o.'oo.llion de ménag.e. POiUr e.ux, nbvo'1u~io.n ,est Ip Jutôt d"o.lidre interne; leurs cOll'tl.'ÎlbutJÏ'o.ns ISOTlII: ico.mptalhiM's·ées à ~Ia oa,iis se d'la's'SiUrance oet non pru's pairtiÏ,eili1eJl111ent à ['a cailSlS.e des lc1êpoS'an!~s. En l'fwanche, l1e;s membres pensio.nné.s -o.nt "ru 'l'eur ir enlte seJIlsiihl,e ment ,augm'eu~ée t'lu /fIa it que l1es 'a .nnées antérJerures là 1945 comptent luain!tenant pour ides annéeiS lenltières d'a'sl'lul'au ce ,et ne so.nt rpJiUS alJl1lputées d.e 3/10, ooonm'e c',étalÎt \lie 'ClaiS SOllllS tle11égill11e du 'r èga-ement préobdent. AIu iSlUl'P~UlS, une aI1.tgmentla,rio.n d ie 20 '% de Ja 1ente a éllé o.ct1'o)~ée ,a ux l'eltraités. GelS dlispo's~t+Oi1'S ,s e 's ont loo.ncl"ét,i sé'e s pair une d·éVense swpplérnel1talÎre de 100000 h. pour l'aImée 1958. Ce ~hi,ffre sera lar.geme.nt dépa.ssé ,dans leos années à venir, c'est-à-dire au fur -e t ·à mesure 'qu'augmenl'el<a le nom-
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nas nleue Regl1BmBnit ,d,er Kasse steht se'Î't d<2\)l1 1. Januar des BerlÎ'chtsjla hres dn lü'Rft. Seine Re.visio.n br·a chte !CHe Ahiind.erung ~ahllreioher, z. T. wesentIliIoher oBe:Sft\immungen, o.Ime das's j ·eldoClh IdlÎle AlQtJi~l!ITl'~g-1iedel' vo.n diesel' neu'en Saoh[l3ge 'V,ile l 'g,ernerk't hiitten . Sie fuhren fo.rt, ihr.e l''e'gLementarisohen Bei:trii'g,e laillf AlllfranglsFJe!lllah, A:lter5zulLélJgen U!ll'd Fam~li'en~u'l'éIJg'e zu ent.rÎ:chten. Dale re ing·etreltene And.el'1ul1!g Ih at für ,s,i.e m leJ.l1' il1!tel'nen ühar.M\:1ter: ,d'~e ,B eiu'a'ge wel'den niiml}i,ch jetzt a-Ulf Konto Ruh'egehalll~skasse ' oed:nlldht und nÎ'ciht mehr wIÎJe h±Siher te~l w,ei;s'eauf die Spar·e'inJegtel'lŒ.srse. Ein TeJi[ ,d'er !BeZ'üger 'erllebte eine merUiche &,holnmg illl'·er R ente, weill nun 'auoh d,i,e vo.r ,dem Sdhrull jahre 1()44/45 'gell-eÏ'sl1etlen Dti'enstj.aI11'e ,c,ür 'clite V,el',sicJhel'ung voll,l in Ânl1eohnung kOl11'men, d. h. nicht ll11~hr iUm 3/10 g'e kü:l'2'Jt wer:c1'e n wÎ'e hi's ZU!l11 1. ]a nlll al' 1958. Für die übl"Îgen Alher S:1'en·tn<e>r el~flUhr Id ie Rente eine IE rhOlhung mn QO %. nie neuen BeSitimmmligen hatl1el1 natÜonlil(')h 2'Jusa:tzI,iche Ausgahen zur IFo.:Lgle . Sile heHe~en S'~ch für Id 1 as Jla hr 1958 auf 11Url1d LF'l·.
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bre /(h~s p en sionnés. La ,d,épeuse oSer,a ilt p~us consûd érabile ,encore si Il'âge Id'e [a mise à l'a retl,atiJte n',ruvait ,éJtJé portJé ,à 65 ans . NO'UiS 'avonlS lCJeqJ~e!J1ld'ant ,l ia ~atJi,sf'aCiÜon de OOlJ1lstlatler que lOeJS nO'llN·eU'e s :dép'e ases n''Onlt nruMem ellt af,f,ec!llé l',équùIirbl'e d'e [a 'm is's'e . Ai'llsi que cd,a r e'S'SOl,t d es comp11e>s, ~e's cont,rilbUtliOlJ1S d es {nl'e~TIlbrels e>t Id 'e ,1'e:mpJoyeur s',blèvent en chiff')Jes rondis à 670000 fI'. Il eiS int,érê ts ,à 345000 fr ., grâoe à 'l ag&:rantre du taux ,a cco l1dé par Il "Etat, 'c'e Iqui porte .les ·r ecettes h'l'utes il. ipIlus d'ml mi~lliO'n ,de franos. ]jl ,e>st vra.i que 'l e>s el1'gag,e m·ents de ,l a oaÎs>s'e croiss ent pro,p o'rtli,onn1el11enrentt aux encai>ss em entJs, lITI'adiS SUl' dels ,c ollseilLs aWlS'és de l'expert, tou:lie:s m esur es à ce t égard ont étJé pri>s'es pour a,s's urer lia -séoorillé e't .J'avenir de iIra -oa'ÏJsse. L es prolg rès r éJall,ilS és dans !l,e doma'Ïtle de la pl~o/longati'On die soolallirté s e r·é,p er.c,U't.ent imllTIléid Îla t'erruent su~· Œ 'a cais's'e. En veDtu d e s dilS.positions 'd u règJement, les maîtres âgés die moins d.'e 40 ,aniS 'Ont l'oMig,aüon de s'asSlUl1er sur I.e nOiUw,au traÜ'ement en cas de prOilong,atioll1 d ie la durée de leur classe. Le 11aeha<t est facul1tatif pour ceux qui '011It d éipalss<é cet âge. IL es ins ti:lUltem,s 'e n rd{~SS OI\.1'S de 30 ans Is ont lals surbs rd"OIf1fi,ce sur il e llouveuu H'aJite>ment, :sans pay,er de l1a c<ha'tls. La plupart d·es maÎh'es ayant Idlépas>sé la qUla rantaine OJ1lt ,tJenu cep'e n!dlau't ,à ' Is"asSlUrei' sur Il'e tt'aliit,em ent actUiell , Cie .qui a n a ttlil'eJHrement ,é té IaJcoep,té. P 'a r ,s uit'e Ide Œ'i'11ltJé~ra1Jio:n dans l'assul'anJcre d'e Il'ra<u~men'tal1ion ,d'eJs tnaÏ-t<emle nœ surv,enue en 1955, Ip[I\l!S Id'e 300000 fr. en dépôt à Œ ,a ooi<ss'e d.es déposants OUlt été 'V'h,és n la ns [,a ca~'sse, aux comptes ind,ivÎldueJ<s. Le>s HOUvieilles d'i spo.shions n',ont ce>pend'ant pas 1S'llippr.imé 1 a ,eai&se de's ,déip'Osanil1s Iq ui r ,end seMee 'en ·c'a's Ide 1p'l'>()Ilo:rr~atJion <d'e la scola'r ité, ,ou Ilol~sq\l'e Id ',a u't-r,es raÏ's ons emtpêchent un maÎtr,e ,d'Ient~er <dans 'l a caisse.
100000.-. nielse Sum me wh',d im Laufe d er }a,hl~e d u e b e trachdiClh e IErhon'lllng rel'f'a hren,
denn di,e Z ruM dler Renltlenh e~üger tis t ehBn~alUs im Steigle n :begl-irfifle n. E s !Îlst jedO'ch zu h'enl1e11k e n, das's ~,ich d ,i'e :neue Alter·s~renzle 'V011 65 J,W ·.en im Sinne ,e,ÏJner Ve'rmi'l1ldm'un g cler Âu&gaben aus wirkt. W 'Îr konnen aher mùt B e fa.-ileidigung fles.tJst-e!· len, Id ass Idie n e.ll'en Viel'plf.Hch tung'C;ll d e r K'U's's e ,clel1en IfiinaJ1l~iellile's GlelÎloh.geWiÏoht in keiner IW<eÎ'se zu ,g,efiiJlll~dlell vel1mooh:te n. Arus .de'!" J.ahr,eSl~echl1lung tils!t le'r s'ÏJcht1ilCh, daS's die B eitrag'e von Arb:eitgeb:m' und "llehmer siloh ,auf iFil·. 670 000.- h ella ufe.n IUnd d.ie Kralp~ta'lzrÏJnsen Fr. 345000.aus machren, le'tztJer es ,dank der yom Sm,a t g,eJeJÎsteten Gamnti'e. IDi:e Ijiih11lioh ell Geisa!ll1JtelÎnnla hmen der K 'a s·se ib eglÏ.Hll'en, ,d en Betrarg ci ne~' MI~I liOtIl Franken zu iib er'S'chr.eùlten. Man dari -&Ï'Ch ab·er von Id ies'e n b e's tJimmt sehr heJŒeutenden B etralg,en u:ichtt a'}'1 zu ISClhr heeil1lCll'uJClœn lalSisen, Id e nn ~ Clh IdlÎle tf.inanzÏ.eJl,en VerpHilohtll'l'llgen der J«aISls:e Wladl!sen. 80f e.l'11 .a,b er di'e 'V'OIITI Experten 'au,f~es'tetlilte'11 llichtJlill'ile n hef'Ollgt wend'e n, ilSit 's1e la uch f,ür d,i.e ZuJ~unfil: ~eSlicihert. Auch ,die tin den l1eJtJzte n Jlalhr,en 'eJÎmgtetrerterwn :lJa'hllr,eJic;hell 'V elilaugerung1en. Id'e r 8chuldaIUer hHehell ni'oht iO'hne sof'ort~ge und hed1el1fem:l:e Auswi,r lmmg ,aulf Id'en f,ÏJnauZ'1ellilen St'an:d der K.a,ssie, d ,enn daiS R eglei111lel1't vedaugt, d'a ss j'enJe's L ehrpCll"sonaŒ, dla's no.ch ni'CIhrt 40 lame aIt lÏ.,s t, Isich .au[ 'Grund ~einer neuen IBes'OtldUllg vel'sioherill lass·en :mus-s. I),araus ergibt sioh notwelldli ge rweise d,ire V1el'1pfJli ohrung ~um Rüclclmruf. tD.ies'e i'St für jene Lehrkrafte, IM e die Gre~1Ze von 40 J,a hren üb:ersdhQ'>Î:tten nahen, fal{!Ulltativ. Le:hr,e'r un:d Le.hrell:illne n VOI11 weni'g:er a~'s 30 Jahl'en werd,en orhnle ,Rücld~a'll1f V'eJl'iSiCihert aJU!f Grund irhl'er neUien Be's'OJ,duIllg. Di'e MClhrz<arhl der mehr ads vierzig-jahrigen K la's sa!ll1i tgMeJder rh~ieil:ren dlaral11, sitch f.ür die ~egel1'wal1ti~e H e>solLdunJg ",el'si'Clh ern Z'1l lassen, ein WunS'CJh, .d·errn iJ1IatfuiliJch \eJn't'sprochen WlUl1Œe. All,s IFolge cl-e:s ;EJinhezug!es d-er 1955 ein'g,etr,etenen Gehailts'e lmohtung ,i n die P ,ensionsV'ersichel1Uug wUl,d,e n ni'o ht weniger ailis Fl'. 300000.- von d,e r Sp'a,re;ÏnJ1C1gedms's e a'llf
Le fond,s ,d'e !Secours toujO'llr,s soi précieux pour sOiUla'ger des p ell'sio:.IulJéIS pal~tiow1i.è'l'1e men't éprou\nés, ra m'ali ntenant ·tJl·ouvé une mouViel11e >S'ource ,d 'aI1 im'en1!ati on. Les 'a:VOlirs 'é chus d:e l1a caiS'Ele d'es dépos'U'nt-s la uxquels nUil n"a droit, SOl1't 'V'el'sés au fonds d e se.cours qui 's"est :consi,dlémlb J'e;Jllent ac cru en 1958.
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die ,Einzeùkon.ti Id'er M<itl~l,i ed er üher schl,ieh en. Das 'lle>u e R e.glea11'ent macht je'doûh die 6 par·ei'11l1eg'erJ,\::a'Sfs'e 'l1JÏcht übenf)lüssig, denn ClS ward imrme'l' wi'e>d'er L elmpe'r sonlU,1 ,g'erhen, d'a s G Clhahserholmngen, die slÎlch alU>S VerHn gel'Ul1g d er S Clh uil,d'a u'er er'~elb en, nicht V'e.l~fJùchern kal1Jn ode,r wi:hl ad'er dlaJS aus d em eJÎne.n od'e r ,allld el'n Gl'ullde nicht Akt·ivm itgrLieJd d'er K 'alS's'e w,m,d en lmnn. Bi'e HiHslmsS'e Ihla t siroh beœLts in zahl,r eiCJhen FalHe'l1 ail s selu' wirk'sam er'Wiesen, um M'ÏJtgilii..ed ern, dile in eine Notll.la gle geraten Si'l ld, heHe l1 zu konn.en. Heure iiS.t la uch die pegd1TIa'Elsi~e AUlfnung diese,s IF onds Ig esichel~t, indem 'Vlel'fadlene Guthahen heni d leJl' SpareiIl111'elgN,lmss'e , auf di'e nieJll1land ib e>griinde'ten All'spruch 'e rhelht, dies'e r .rGas's'e zug'ule komm en; 'sie enl:ebJt'e 'i m J'a.]1l1e 1958 eine bed.eI\.1t~lld,e Zunahme ihrer f,inanz~eHen Mitl1eJl. Aus der J 'ahres-l1e:chnuug is t ei,n e wichti,ge T 'at&a1che lllÎlchit g'enüg'en:d el,sidhtl,i ch, wŒhatIJ) sie an d.ile ser Stel11e besontdel~ hervorg,dl'Olhen 'w e'r de n s'OU. Durch die Inkl'af.tSelizull'g d:es n'euen R 'eg.Jrem.entJes e'l ifuhr das Auf,~a,benhere ich ,d,es VeDwa<l.te·Œ eine hedeu~ellde Au slw ei,tem'llg. Di'e M'i,tgilii'e derkontJi
La ,l'ecture d es comp.te.s n e fe l"-a p ·a ,s su ffi,s·amm elllt res'sor~ir Il ' aJnup'~eI\.1r du ItraJV'aliJ. 'U'c'compJri. par Il e 'gér-all:t, et i11 Ip araît rnéoeissaire de 'l'e r'eJle'V,e r. La miis'e ren vigu'eur d'Il nouveau r ègl1errnent a en eU·et a1ccru 'ColllSlÙdéra'bŒem ent S'a ,tâ'c he . LI a f,aliluwdapv>vJ.· l es comptes i nid iv,idu els , rétahl1ir die s années d 'a·s'sura.nce en 'confo1'1111ité aVec les Id ÙSlpo'S'i1t<i'ons lactuetHe's, l,é;part1r Il es SOIlTIllTI'es 'e n 'dléipôt là la 'C uÎ's,s e d es dbpm~an'ts, loall'cull er tles rachats 'rendus n éCiesSla'ÎreJs par ISuiUe d,es nOmJbr,eI\.1'Se>s p'l~olol1lg,a ~iol1ls de <la sco1al'ité. Ges ohal"j!;e.s nOlU'V'eiHes ont 'O'bJi'g,é il.:e g,él"'ant à l,bduir,e son a!cti",ité IScof.a:Î.l'e. Grruce à tl'a COO111pl'·élhe'l1SlÎon de l1a d ,i r,ection d,es écoiles, ~l a IpU être .Jib él,é id e 's a CJl'als's'e ~e same'di ma,tin et Il e m a'l1diaprès-:l11IiJdi, pour les COll's'aorer 'entièl'ement à la ,c a,ÏJS's'e . De ·ce'tte m lanièr.e, la Icon1JptaihÏJ1it'é e:st con>s'talmment 'à jour et l es comptes Ip résentés dmrs [es délais régllementair,es. Eu ég'and aux 'a,V'antalgle s nouveaux appo'l·tbs aux 'als sur,é'S 'e t 'a u boudl em ent fav orahle d'e s ooonptes, iŒ y 'a l1i<eu d'être S'atisfait du l'ésultat ,de :l ':an llée 1958. Sion, avr,ÎlI 1959. La CommisS'Îon
mus's'Ilen Id'en nemen B esfinnnungen rangepa'~s t, die Z'a M ,d!er versi oher;tJen Dùensltjahl1e in Ij e dlClm Clinzd lnen FailŒ.e n lel\.1 b.eiJ:eohn~t, di'e Guthaben Ih eÏ der Sparcin'l eg'erkalS's'e ganz oder tei:lweÏ'se die RuhegehaJtskas'S'e Ulll'!;1eschrireb en, die il1Jf.olg'e Velilang erung der Schulldla,u er he's'on'd'e lis z.arhh'eÎlcrhien RJÜddraJUfSISilhlllmen mu s'slt'en ermiueilt ~V'e].1d e n. DieS'e zusa't211i'dh en Arheit zwang Id en Vrel'1waIte~', umeine Herab S'etz>Ullig 's einer PtfJi'chtJs'liund enza1rl a/l,s IL ehr,er nachz.utsuchen. Dank des EllItgegenJlwmm en s d·er Schuld'Îl'ek,tion 'VIon Sifl1C1n kOlillte el' fü-r 2iwei ;h~1be T,a ge Ip ro WO'che in .s-einer I([l'u>ss'e 'el'S'etzt 'wel1den. Diese 'LO's ullg 'elüauiht ihm, sioh m ehr ,aIl s blsher (h~'l' Ruhe,g ehadtskaS'se z.u wi'd men. Angôsichts d'e r 'W, es' en.~liol~en V,erlhe'slS'el~m1Jgen, Id'Île da's neue Reg.1e>m enlt cle>n K!a,s·salmitgŒi.eiclern gebrachil: hat, und des gunstlgen R,ec,hnun:~sabschJU'sts es dad man mit Id'e m E l'Ig'e bnli s <des JaImes 1958 sehr 'zufried en sein. Di.e K'Omnüs's ion.
·am
Pour la 'Volaille:
Léon IMHOFF PAPETERIE - RELIURE
Fourrages «S E G »
ENCADREMENTS
Fédération Valaisanne des Producteurs de Lait - Sion
SION Téléphone 21070
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D,ES ETUDIANTS A,FRIOAINIS DANS NOS ECOLES S,PECIALlSE.ES On s,ait 'que Il es cOll1Jlnrunli's tes, dans l,eurs Univ,erS'Î'tés 'e.t IBCdLBS ,tedhini'(l'll'BS, ,form:ent dur·ant Ide Ilol1J~ues la nuBe·s d'e's 'Ciel1'ba'~nes, sans d.oute des Jl1~lli.elis d"éltlUd,i'antsalfr,iea~l}os le t als-Ï'altÏiquBs, [Jour ilie,s renv.oyer ensui'te dans leulis pay,s Il'e;sp'Cictiif.s comme militants 'I:oug,es . 11 leiSt ul1gtBnt que t1e:s ehl'é~i,ens en f.œssen't laiU:'ant. IiI y -a Idéjà 'qudlque beIDIPs que Rome a Idonné 'ce 1J.1l0rt ,cl 'lo rd11e. C"es't dal1Js cet 'e-s'pl'Î't que [·es l'espoll's'a hll es Id io'eésalins des ln O'U!vfflnen!bs ull~s:sionnaü',es 'O:11t demand.é à nOls ,écoilBs Id,e If'a,ir.e Ile gestJe ~lléCBS sai're. M'al gl é ["eXo~guüé Id'es .IoealUx et -s'ans porter Ipl~éjudilee à [',adIlTJIÎ,sls ion Id'es Vailia,i's an:s, 1'EJC()ll,e Nomna'l e a ,été J·a [Jr.Bm'ière à 11éipollldre oui. Qudque'S j'O'UllS -aiv,a'llt ,PâqU'e6 's ont arrivés à Sion .deux jeunes ,o,a,hocrnréerts I))'Our COl11Jl11!Bl1Jcer leur EcoLe Nornl11'alle. A 's'On tOlU', OhâtJeaune'l.llf "ruent de reeBV'oii'l' Ideux autres Noü;s de 19 let 24 a'J1lS eu 'Vue ,d'lUne form,ation 'a gl'ico:Le ~UIS pous,s'é e. Ges j'Bunes g·ellts ont tous fait une ,ex:eehlBHtJe .Nnpre's'sioill. Si nos létahli.ss'ffl11'ents IS'Cio:lair,es Is péeiailisés ont 'collisenti ,à Id,e réels Isa;Ol,if'iloe!s Ip'OUl' wes 11Boevoir, on ne saull',ait tl'Op lO'uer et .. . ari,cler le 'Genltre IVlis's'i onnair,e de Sion qui pren:d il s'a charge la pl1(~sque 'tO"tahbé rcLes fr,aris d'équilpement ·s'c ollœire ,et 'w,sti,mentarÎl"e de c>e.s s)nlupatJhilque's Afr,ieoMI1Js .
E. C.
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BIBLIOGRAPHIE
Il>
BÜCHER
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Le Seigneur Jésus, par A. BO')"er. Al1hum Id'Bstiné au Ip'l"emier ItmseiguCiluelll't des [Jet.its 'e nf'an1:ls (COUliS I)H'bp'a li aIJO'ire iet COiUll1S ffiémen'talÎr.e 1èl~e Jannée). PIJ.°,és'e nté sO'us La fO'rme Id 'une brochure ahO'ndamlmffl'1t ilHusm:,ée 'e n Id eux oO'ul,eu11s av,ec 'Un qruestiO'JU1air.e hO',r,s .tex~.e. 210 If'll'aincs Ifpanç-a,ils.
Guide pratique pour l'éveil religieux du tout petit, par A. BO'Yell'. Lesc'atéchistCls 'qui utilis'e ront le Seigneur ] ésus O'nt IdBSoi'll1ai,s à J'e ur Id,j,S/p'O'SÎ'tiO'n une nouvelle édition d,u Gu1cle Ip ra ri:que rpoUir
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1'év.ei[ rel,igile ux, très .sell'sih:1emBll't augmentée, lq ui Itiel1dl~a lieu ,cIle livre du maître. Ghaque tenue illilustl1é ,de ["all hum .fel'ta Il"O'bjelt d'Illn .eO'm!mBl1tJaire p 'é dalg'og!ÏJque le t d'une véritahle pr6p:alJ.',a,trO'n du Cour,s.
Notre Cr·e do d'enfant de Dieu, par lA. Boyer. Ge lrivr.e ,est il e tt'oils,i ème d'une ,s éri,e ae manuerrs pO'ur la f'OrntatJion chr,étienne du harp<tisé il 1'â-g'e caté'c hilStique. Le premier: «NOTRE HlSTOIRE D'ENFANT DE DIEU» é'c l,a ire les tforl11lll1es dru eoa'téCll1ÎlSIJlle par ,1.e:s faits ,d'e la R,é,v;éJatiO'n. Le 'seoond : «NOTRE VIE D'ENFANT DE DI,EU» I111O'ntr'e 'les incid,e'nlces du catédüsJmle dans lI a ili:tur,gie ,qui fait 'revi'Vr,e au chréti'e n le mY'stèt~e du CIU'rist. Le trO'i&ième: «NOT IR E CREDO ID 'rENFlA NT DE DLEU» est c1estN1lé ,à aiidre r ,nel1lfant, là l'â'g·e Ide J'a pens:ée fOI'm'eUe, rà faire, Idans s·a 'V,Île ,de foi, [,a synthèse 'd e ,ses ,Cion'I1'ariJs-sance.s Ibilh filques, litlll·gÏJqUe.s et '0œtéc>histilql\.1'es. L "erlif'a n t la én1!d,i é ['e s '.t.l',O' i,s [Ja'lilie·s cl e son ca'béchisme: Il es Ictuesüo'l1,s ,a e d'Octl~i'lle, les questions 's ur ~'es ,saCI'e:m'ent!s et Il es !C'OUlmanlclements. n'·a pa's VItI le l'HIPrp'O:rt ét.rolÎt de 'C>es Ip ar.tie·s enit11c e:hles. C're,s t :cda 'qu'·ill faurt lui 1J.1lon h'e'l', ,Soi ~'O'n veut ~lUi p,el'l1lettre d·e Id'O'IJ11'iner Il es ,collnaÎ's'S,al\1:'Oes d :iI5perS'ées. En d"autœs term'c.s, arr:Ïv.é à ·ce s:tade où il ,"a lavO'.ir à f'a il'e :s'a pr,of'e s'siO'n de fO'i, nol\.1's devon!s 'l ui ,dO'nner un f'i'l Icol1Jduct'eur, une eO'nceJptiO'n clmétiielllle de lI a 'Vi,e, lui mO'nbrer pourquO'i et cO'mme'Jllt ceUe oonlce!ptiO'rl1 ,c hrétÎlfflU1le de rl 'exis:tell'C'e IdO'it et rpBut êtr,e v,éoUie. Nous d'evO'ns chercher par tous Ire s éllémen'ts s'é p a r.és, présentés antérieurement, un pO'iil1t 'd e 'synthè·~.e qui lui [JerJ11Jettna d 'e ne pO'int ,s"Bngag'e r s'a ns :sa'V,o·k ce qu',a fairt. Oe [Joint Ide synthès'e ,e"c:st [e CREnO. La litJlwgÏ'e qui l'e demande aux rpanr.a'Ïn e,t marl'aine, au lnO'menrt du halptê~l1te, ipuils au momen:t .d e h eO' nlfi'l'll1 a.t'ron, qui ['e rfa,i t réalff,i'l'mer à Il.a v~gil,e pa,scal~e là « :toU6 les enfants de Di,e,tl », ne Ile lSuggèl'tC-'t-dle [J'a s? POlUr les «enf-anrt's .d'e Dile u », Ile Cl'iedo, en eUet, n',est 'Iras un ,s imp'1e résumé de vérités arhstraites, mais :l 'e l'appel de ['amour de Di'e u
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dans la Cl'éation, 11'IIltcal'l1ation, la Rédemption, Il'Oeuvr.e du Saint~ES!prh, 'l'E,gJise, la V,i·e Eterne!He. Il s',ag,i,t die ~reur m rO'ntl'er rCIBltte rilche.ss'e. C'est ce 'q ue cepetü Jivre a ten'Ilé ide faire . No 86 - IBoyer : «Notœ Hi,s'l 'oire d'Enfant de /Di'e u» 390 fr . f'r. No 87 - ,B oyer: «Notr,e V,i e 'd'E11lf'ant de Dieu» 410 fr . fI'. NO' 88 BOY'er : «Notre Cl'Bd'O d'Enfant die IDieu » 480 f'r . f1'.
Das Geheimnis vorn Kornrnen des Herrn. J'Ban DaulÎ:elou. A'll'S .drem Fl~anzOsj.s:ehetJ1 frher,trag'e n vO'n 'Ma11i'a Wa,M . 206 6eiten, ~elbu11lden !DM 6.80 . Velilra g JrO',se{ Kne0ht Oal'olLusdl'lUIekel1ei, iF ranlk ,furt ia m Mari n. P. Da11li,ruolU, ·der 1b'e:lml1'l1te f'r anz ols is che J esui.t, geht ,in ,dÏ'es·e m Wrfwk ,ans VOn d.er he.ute so haul~i,g 'gestellilte'll IFl"alge, ob das OhrÎlstenlJum Ïim Vrel,gIlei.ch zn ,den ·a ndel·en Rrmi~iO'nen a1s le in Tranlszel1JClffll'tes, Überlv;eŒtrr,ildhel s :anzuSlpl~ecJ.1;e'll !Sei un'd wol'in d'e:ll'l1 di'eEle Tr'a ns'zrm1Jdffl1z - 'a u's d,el' 'arlJe~l1 slilch Ieline VlOlir.an'g·stellu[l.g U'l1Jd aa,s R.elc>ht zur Mi's sioni'erung lalbŒeiten lalS'st hestehe. Die BeanmvO'rtll'lllg die's es Pl~o~)tLemkrei's'e!s giJJt P. tDa~üéll,ou in _'Clin'fflll Itierf,grüa1id>Îg1en, ÜlbeI1~e:u:ge11J(len AuJfri,ss des.sen, was :cla!s KO'mmen OhrLS'ti fiÜr dile g'anz'e Mel1JSohhClÎt Urnd !tür Id'e n gesamt'en Kosm'Os herl'e u'lIet. In ,den elÎuZleLlren lKap:ilieJln ,z.BÎ,ohll'et el' die i~1;ne'l'e GesCihichte .cottes Ilnit den M'e nlschien dUll'eh Id,ire Z'e iten hin all,s Ges'chiehte d,e s M)'Islverium's nadl. Er ze~gt, w~,e .GO'rt das I(.ommen IChl'ilS'tÎ arwf ,d,i'e 'E lide vO'rhereitet ha.t; wie 'e r hi~1JfrÜlhrt ZUl' VlOiJJlen!d'l.lll1'g tlunch d,as He·illsmystJe'l'ium und wlie dl\.1'r,ch da's M)'rst'e'l'ÏJu'l1l :d:es I~reu'z'e6 ,ein iEilltss·e!În der M'ens'c hheit in einem neuen GelscMe.ch t Ih ewi.!'l{jt 'W1Ïlid. Ein 1h'e;s'Ol1!deres Gewlidlt irn di'e s'e r Dars'IJeillung gewinnt der A1hsclmillt «IOle MiS'SlÏ.orl1 der EUg'eil », der wieldercl'als Oe.f,Ülhl k:laifül' dleutJ.~ch ,w el,den [as's:t, da'S·ssich Id ie M·enschhei:tJs'g·esfClh'i:chte im Rarhmen re!Îner I\VlBs'enÜLch urmflalslsenid le\1'e.n Ige!Ï,s·t,igen o.esclhichlle ahs,p imt e;.ÏJne ISchau der Dinrg,e, Id ,ire g:erade in e.i'nem Ze'i~p!Unll{jt, Idil srch d,i e W dJ.'tral\.1il1l'e irns Un:el1ll1:els's·1ÎIohe 'VleitJen, e11l1e:uJt 'el'iweÏ!st, da,ss
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d'as Ohl,istellltum eine I1'O'ch ausge<de:hn.\Jere W lellt i'st. Durch a,Ue BuchhanldlungBl1 zu h-ezidTen.
Mut 'und Zivikourage des Christen, Max Pl'i:hiilh S. J. MÏIt e!Înem VOl'ilY'ort vO'n Oskar S1mmel. 158 Seiten, gerbun:d:en <DM 6.80. V'e\1lla:g J'O!sef IKnedht. CarO'!1usfch,u;cker,ei, FmnJldur't 'aIl11 ([\-faILll. Max PribiUa S. J. - el' .sNlrh am 25. NO'vemher 1956 in MünCihen, dffln Ort 's eÎlws jahrzehnte:l'all>gen W,id,.'e ns arls Mi,t'al~heitJer und Sah1"ÎJhldter Id'el' «StJimmen Id'er Zeit» wal' zeÎt ,seines CL eb ellS Id'e r Geg·J1Ier 'e ines blla's sen 'lll1Jd Ib l utJleel'en Ch11rs tBiltull11s. Er seJhst ha'tt-e immer w,i'ed'er - 'VO'r ai1lel11 in den }ahmn .s.eit -933 - ein 'Beispieil d1l'i,stliohelr T'alpf,erkeiit geg'ehen . 60 wa'l' ihm die Ne:u1flalss,ung g'eralc1.e direE,e,s IBuohBS ein Anbeg'Bn bi,s zUiletJzt. Nœoh 1S·e.inen NO'tiz'e n konnlte sile v~LLenldet Iwenden. In ,d en 'eÎlnz'mnen Krapite:ln IdÏ'eses Bam]es !egt Mla x Priihhll'a ,d.al', weiliche St:"Jlll'Ult:g Hem Mut, der T,arpferk.eit, ,der ZiIv,i'lco.1.wage im~er ha,lb der 'c>hri,s~liCihen LeJben's'aulf,f'a,sls ung !lUkO'1111llen; el' Z'Bigt, wie sile rg'erarde heute nO't,\~enc1ig 's,i ud, 'w enu ,dars CluristentJull11 a~.s Sache d'el' [J'e r,s onllichBn JE utJocheidung vel'twidcli'c ht wellden .solR 'A'll'S d'CIll S'MOll'en und tief1e n Ge.danken d ,i eses lCt1e'inen, ehel1sO' überzeÎ'tliC!h 19'üJll1i,gen ",,ie aktUJel]len BU/ches spric,hit d'Î'e Erf'a hrung ,eines Igiitigen und l"eif'e n Manne" dJell11 eill kllug,es, 'S'~c>hel' ausg'ewog'enes Urteil un~d ung'ewohnll'Ïrche 'l11'ens'c hiiehe W,ei'tJe g'eg'elhen wat'en. 1
Volksschuleigene Bildungsarbeit. K 'alrJ Stoclœr. Theorie und Pi'aX!Î.'s einer v,O'.J.k'st;ümrliidhren Billdung. 344, SeibBln, HalhltCinCill !DM 16.80. Ehrenwir~h V eri1ag MünchBn 27 . ETI1 W 'e rk, d,as mil!: Spannung enV'ar-tet wil1d ! Seit uns'e œ et"sten V'O'rankiÜnd,ugm:rg-en 1erf'0!1gten, k'onnten wil' dires zu 'lUl!S'e rel' Fl'e'l1!d'e f'e,sts.teJJen. Bas ma'g e,in111'all sein'en Grund dal'in haben, Id a:s's Id,e r Vellfla ssermit 's'e illem wlept,en Wlel,k «NBU~elrdilahe Un tel'l'i'ehtJsg,estœltung» Iseit 1954 in dre.i Auf,lage.n er,s chienen! - IhBr,eilts ei'llen rwesenrtli'Ü'ben Beitrag 001' GrU1l1d,l egung eLlYeS mO'del'l1'el1 1
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UnterroÏchts ge!l~i,stet fUmd ,s ioh Id amit einen WleÜen Lehrelll!;'l,eis gew011lnen hat. Zum anld,ern ist es Id'as Tlhema «V'oill.Œs'cnuJl'e i'g ene Billool1'gtsmmei't », daJs ein Kerna'l1lli.egten det' Lehrerschruft he,ra'1.lisstellilt un:d dessen iBlehandl1ung d'eshial,b b'e sonlder.s 'g r,ossc>s ln'ter,ess'e wetclQt. Stodœr Mart in diesem Wlerk untier Verw>eJr,tung dets eÏalS!cJhlagi'g,en Sohdflttrums I(},i'e Fl1age der «Eigensta.J1Jdig.keit» .der kÜl1;ftig'e n VoJ.lc,s'Slchruile und b~gt1ÜnJd!et ,i n einhelÎtliioh 'g'escMO'ssen er6ohau 'aa!s neue Le.itlbill d ' g.egel1lWar,tri~er und kOlmmoodle r V 0!1I.ŒS'chuIIbiŒdull1g. ID.el' 'Vi,~faClh ,so 'VIe11S'Clhi.e:den gebraulc hte IBegritfif d'el' «voIH Œtüm[ichen BUŒung» ,erJii:hrt d·alb ei ,e ine elbenso kriti-sche w.ie p,osü>ive :Bewer,tru~1)g. Der IglüolclJi'cJhe Umstan:d, da'S's der V'e rfasser mit Theorie Illl1ld Praxi~ 'grleidl 'Vel1tmut ist, bmvinkt, IdlliSS ,el' ni,o ht nul' Mart Ultd sichte:t, bewelitret unld Jdars~eJ.lt, sondern lauCih bis ius ei'l1.:belne Unterridhtsf'cl'o h hil1'ei'l1 neue W,e ge Ul1'd Ansat:lJmo,grlÎ1ohkeiren ll1a'c hweist, wie d'~m V'ollŒSlClhUilunterdcht 'WIÎed'e r zur Kr,a ft eohter biilld11'erische'r WirJmng zu verheHen ist. lDeshai1b Imun die;ses W,el'k gWl1ldlegend wer,d·en für d'Î,e «VioillŒ's dmleing,enre BiLdungsal1beit» jed.e:s belTIlü.hte:n :LehœDs. Oem Sludi'er,enden ,wÎlid es Wegweisung und Rüstz'e ug sein f,ür sein künfil:ig,e'S Tun; den Lelln',er, d,el' in ,s einer P ,rax.i\S herei·ts mit den Pl'Oblmnen IÎn Hel1ührung kam, wh-.(I es zut' Neuhesin'lllUug aufriufle n.
Die Kunst des Denken3 Erl1!st Dimn:et. 5. Aufilage, 17-20. T'a>usenid, 260 Seiten, Leinen DM 8.80. V.eril·ag Jo.se:f Kneohrt GarollusdnLclœ'r ci IF ranldurt IaJm Main. Immer und in j>elder Situation f'OJgedchtiog, Mm' und 'SleJ.:bsl'anld:Ï'g d,e uken - wer mochre d,a s nricht? Albe!' wer kaon es noeh e'd lt und wirkli>ch in der UlU~u'he des helUti.gen Le:b'ens, das mi,t .einer Überfi.ille 'Von Eindl'üclœu über Id 'e n ein!ze!lu!en ,M enschell Îherf8ihlt und 'iinn kaum 11'olc h zu ,g.ich sel'blst kommen [·a s,s t ? ErU8-t Dimuelis Bweh, d'as hier in ein'er neuen d·eutrschen Bellirbeiltml!g dm'ch Pil'o!f'es's'or Kmll HO'J.Z'amer wied'e r vodlÎelg,t, iSlt eine Hohe Sohu~e des Dlenk'eJl-Lel1l1Jeus, .(I.er >es gell:ing,t,
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d,e n Leser ohl1'e .a:llie 'abs,tmkl'e Theol,i.e, mit einer geradezu s,p,i,e}'e r,Î'sch anmutelld,e n Lei>chtigkeit Z'um eigeueJl Denlœn hinzuflÜlhrell. Von >cleT ffi1sten Seite a~fiÜJhlh man 8'iClh in eine 'g ei'stvOll1e, .stand.Îig tintei~essan!te Unterhalltuug 'VIel'w,icke!lt. An Rand 'Von lebensvOIUem B.ei spie1en ans Lil!eraitur, OeS'chi:chte ' und ,d em prakt.Î1schen Le/ben werden in d'Î1eser Untredla!l'tung 'Z'Thlürchst (he Vorganr~e beiiJ.ll Dellken bmVlulsst 'g'e madht. Den Hin:derll1i's'sell tel'es DeJl1'klens: lH,emiIllung.en, d,~ Na'ohahmUlllg3itdeb, Biilid'llJJ.lg·s feMern und der geld anrkenllolSel1 LeJhensfiirhnmg gi.Jt der z~ite ' T,elÎll des Buohes. lm Id riuen '.A!bsd1'l1lÎ.tt IS'te.hen di'e Hiilif.smiue:I d,c>s tDenlk:eniS, td1a·s dg.ente, eiul11'aJI,i ge L e;hen bewuss,t zu '1ebe.n, und dÎ'e richtitg en M'etJho:de.n Ides ILe:sells Wlld Lernens im Mi.ued·p unkJt dies OeSipraoheJs, 'd 'as sich d.ann im 'VÎ1el'ten Teill IdrurCJh Idile AnJ1eitrung zum eig'el1'S'~hoplfel'·.irschen D.enlŒll abrund,e:t.
OIVERS
Une intéressante initi"atlve:
.c.
La CE.P.E JD..I . (GoOipér.alii,ve d'Editions pho.tographique's ,e t :d'Informations c:uJtureil'l es).
Sa raison d'être La p éldagogie 'a'cti'V,e s'appuie sur le princ.ipe d'Ul1'e p'al~tidpatÎ'o.n d·e J'.éJlè.v,e. 11 faut qu'dI,e éveill1e sa s'eJlsÎlbirlité, ·s es goûtrs, son intérêt, ca,r tout 'cela 'e st néce's sait'e 'à [',a.srs inülation pr.ofonde Id u sa'V'oir. P .Q:ur cela, ill !faut un matéri'e<l, un support qui 'c omplète Œa ,p aroJe du maître. Le dils que offre ,d e oe tpOÜ1Jt ,die 'Ville un intér·êt très grmtd. Iil ,e st une p'l'>é'sell'ce nouvdle variée, imméldiatel11'ent Id,isponib:1e, H cr,é e l'amhianoe de vÎle il'Iéoe'ss'a ilr ,e à ~,a meiUeure cOlm pr,é hlen\S,i on., Cha'q ue foi·s que la lteçon faitappal'aître un point 1Pl'i~ois ou U11'e donnée technique, le disque ,c orresp011ld'ant fournit 1'11lust!'ation qu"aCJc0111pa!gnent le/s 'co:mm'entaÎ1·.es utiles du maître. .L'intérêt ,de ces 'au,düÎlons fragmentaires est dIÜ'Ulb!le. ,E·Lles Ip .emneaent l'iihlustra,tion lÎm-
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médiate .et d lBls .intel~,"el1ltion s \S onores COUlireS et rép,étées, Ic r1éent une atmo'sphèr'e qui favorÏ>s e une synthèse d'ünpressions, laiss.ent chez les jeunes un IsoiUvenilJ.· de continuité .et s'aoCiol-dent tpar aliJ~}.eUl1S .aiVec 'l a facu1t:é d'attenJtÎ'on difffUs'e d,es elllf'a nts. Son 'Programme On ne tp'e ut pll us se pas's er cb d,a gr.ancle oartre mlUral1e Ip our ,ihluSh'e!' [e courlS d.e géograp.hi:e. Cette néc'e ssit,é Id e ['iHu-str.ation s'e f.a>it sentir pour d'autl'le-s cours. C''est ainsi qu',e n particu'J.ier, ['Ih istoiœ de la musi'que .est un cours rhéo'r.Î'(}lll'e 'e t purement .ah'strait. iEn elH et 'r.i.eIll .n'a pl'll's besoin de Vlie que ceUie matière less'fflltieJ11emenlt s'e.usilble. 11 lest oepel1'dant Îlmlp ens'ahle que le pius cOinsCÎ'en:cieux d'es maîtres soit ·en meJsur,e de faire 'mltrel1'dil'e une œUVl'e Icarac'tJéristiqu'e d,e tOfUS tles comlpo:siteul"s 'c-Lllés au /pro gramme. Lui ven1ir en ailde tel'une ma'uière eHioace tOlUt en llU:Î. .tai'S's'a nt Ja hrber.tré d'e son cours est 11'0ih"e 'a mhi'trÏon, notœ souci, n01re hut. I>.OIUr ,d "auu'es Id ,iscÎJphnes, iIl alp par.tient au\Ssi au rrraître, d"a!prè.s le m.Ïll ileu dans lequed ill enseigne, d'.ini.ti'Br Id es ,aucliL1eul"s néOiphyte/s, de former [eur Igon,t, 'e n f·aisant appeJ il Jeur SffllSiIMJ.ité. Ge:oi le st [e ;fait Id e da Hlttér,a ture. L'enfa.n t pnBndr·a fUn conta'c t Idire;ct 'aV'OC ila heauté pro.fiOO1de, [a rarson d'êtr.e et ~a si.gnirflÎoation de:s l'ex tes Hont ~es extr.a.i!1is lui auront été pr.ésentés. En M.s,toire, toUJjo:Ul~S en fonot.ion des programmes, iJl n'est pa,s sans intérêt de faire visiter 'l'eli lieu, d.e [iœ tell do'c ument, ou de faü1e paliler tell p~l<sonna'ge.
L'instituteur, après le dur labeur 'd e la journée, sèra heureux de jouir des plaisirs de la famille et de se
T,oJlL~es
·ces intel'VeJltio'l1\S sonOl'es laisseront un Isouvenilr ImaDqué 'c hez l'enfant dont l"attrenltion est 'll1~ces sairem'el\1't p'o!1ari,s'é'e par « .cellui qui panle» et qui n'est pas le maître. Par aitl1eur.s ,l e disqu e ld'eJueul'e Je compagnon permanent et fitdè:l'e qui !peut alppor;ller à Il 'enfant [a clétenite tOUlt r~ll évÎ.t,a nt l·a banalité s tér,ÎIlis'clnte et en continuant '8on œUIV!l.'e de rfOl,ma,Üon. Entl"ent ,d ans cet·te 'c:a!~é'g'Orie, lLe.s 'o ontes et légen:d'els, ~e's 'chansons !p'Oipuilaires, lets disques Id'inf'orm·a tions sCÏ'en:tuilqUle,s et d'autre,s fomll'e,s leUCO'l'e ,a yant un caraictèr.e piLus llécr.éat.i f. !Hans Il.a Igamme d 'es .informations e't des loi.s irs, les liéailirsa.tionlS sont trè's vari,ées. POUir toutets Ices réal1isa'tÏ'onrs, ·l a ll'ouvelUe C OOlp é r.ati VIe ·s ',au.a'che ,à 'l'ori'ginatloité de }'.~dée, là lIa jusles,s e du 'c hoix, il il a Va/leur bdulcati,ve 'e t à ,J·a quaiLité Ide J.a !prés'entatioill. ' D'autr,e ip'a rt, Id es «Cal}üel"S d'lnlf ol'1nation et d'e tOulltluiJ.·.e .M'll'sÎlcal1e ,Pop'lllla'Î'l'e» ![J'araîtrûnt bientôt. lHs auront pour missiron d'étab~ir un lien 'e ntre tous ceux, en Fr,a nce ou hors de 1F'1'>ance, qui s'jn'tJéreSisent raux ;problèmes de lI a outlture lP'o~)IU[:a'ÏIe. Son fonctionnement Il s'-agit ,c l'une So'ci·bté' :c oopérative d'éditionls. 'E'1Le est Id,onc olUver·t e rit 'tous, et pilus !JartiooIH èr.emen't à oeux qui s'intéressent à l'œlU'Vl'e 'enh' ~pl,i'se pour veni,r eu aide a.ux en g1eignal1i~s. Elle met à rd.irs'PolS il~iou d'es actiou's de co'opérat'elUl'ts 'a ux taux de Fr. iFr. 3000.-, 'p ar acti'o n. On p.e ut adre,sse.r [es d'~man:d'eJs d'Ia dhési'o n à la Coop:ém:ti.ve, et [le mon'tant 'cles actions en Il'E:tude de Me André Fahre, notalÎre à Charnrb!ly {.oise), 61, Ru.e de Pm·i,s. C. oh. p. iParilS 1820 36, avec la mention: «A'ction tC.:E.'P ..E JD.I.tC. ».
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,........tJ;~ ~ . C; BRIc;.UE
délasser dans des !v'ag~sins
: BRIGUE,_ Av. de la Gare -
MARTIGNY: Av. de la Gare
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BOITE
AUX
LETTRES
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BRIEFKASTEN
ln diesel' Rubl'ik, die w;r fül' unsere Leser beifügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten, die aus dem Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen riûisœn aber untel' Nennung des Namens und der Adresse eingel'eicht werden. Anonymes wird untel' keinen Umstanden bel'ücksichtigt. Femel' dül'fen diese Fragen nul' piidagogische Belange betl'effen. l(anllen Sie ",ir erklüren, Iva,-,un "..an uns Lelu-er nicht selten und da~lI, ROC Il ~iemlicl, ',ümiscl, " Schul,neister oder Pedanten" nennt? Oder ",an lli,,-t a,,,cl, sagen: "Pedalltisch 'lvie eill Scl,ublleiste,-_" Warllnl das? W enn ich nÏ'dht 's ellh er au ch ein Schulm e·i's ter Iwar-e, 'w ül,de ich die'S'e Fl'age h eber llÎ'cht b eantwoll'en. 'A her 'e in ]JÏ,sschen S eJ}h's tü10nie i,s t 'nul' rg ut. Und Id 'ann hahe ich nia ch einigem rNadllf;or-s!ohen g'efund'en, :dass die eigôn'ulÏ'c!h e IB eg11ünldun ig rfür di es'e B enennung uns-er:rn Berufle s'o'gm' zur Elue ge,r e·icht, so'd'a·ss es Im ir gal' n'kht mdll' -s o schwer mUt, ,M erübeT Auskurllft zu gleb en . rLch haihe zuer.s t in lHel1d1el's Palc1'a~ogirscheJJl1 L exik'on n alc:hig-es eh en, w<a's man rdenn ,un 11er P edant genau zu 'VIerst-eh en ha1he. Unid da heis's t 'e s: « ,Das Wort P eJdanlt ('v om it.al. p edante = Hof.meis'l'er) kennzlei,ohnet Id als Wirk'e n eine-s zu ..ti,elfs t un/fahigen Erz.ieher,s, d,eT d'llrüh « tgl1Ü!Meri'S'êhe P -e inlli'C:l1Iœ it » un/d « unnütz'e GenalUigk,eit in IF 'Ormahen » (J. Grimm) aIs « F011m en-Ri'goû,s t » ( B. Goltz) (lire B:l,dull'gsgeh alh e in stalTeJJl1 Schel11'a:ti,sm'l1ls darihie tet. Die auf Isoll'che W,ei'se von ihm sad11. ,~er l'ret,eue - !Uud in 's-e iner P ,ers on ,ne-nk:ol1pel'<te Olid:ntUng rnnld -E xalk theit wü' d !Von der Juge'llid ah :K arikatur ,d,el' wahl1en, natiilili'chen Le~'ensve~'h~lltnis S'e eJJ11plf,unld'en .un/d rlieizt zu /s te'tem Wi,der,sprUlc:h .... Sta-r -rsinll'i:g 1ehrt el' das Wissel1'sipensum, 1'erÎn um (l'eiS Stotff'es wi'l'l en, ermriideJJ1'd, >eintonig, ohne ,d i e G:ahe, ers ails lehend'Îg;e:s Quit .(l,el' lugeJJld nahezubr,i ng,e n ». Und fiun : Warrnm lS'e tzt man einen 60J'Crhen P,e;dant,en ISO 'Oif t ,einem Schrullrm ei'S te_r g,},eich, so Ida ss au oh rdies'es W'o rt eine n .sehr unnet· ten Beig,eschmack ·erhalit en ,h at? E s sind d'Och nicht ,a l,l e L e:hrel' P,e:c1anl'en. Nein, aber die Ausnla hm en sind wüklich Kar,ikatul'en,
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d'e l1art aurffiill! ig und vel'hass,t, Idiarss sie auf d'en 'gaonzen L ehrer6tand ,eill'en tl1ühen Schat. ten werfle n. Aber id~s kann auch in andern B el1uif'en Viorkomm,en. W,enn man frürher einren mit .(!rem Tite1l « Ro's's ha'n dler » he· gJ1i.icklt hat, war daiS auch kein'e rScihl11'e;ilche~,e:i, ohwohl z""ei,fe:l sohn e ,d i,e mei,s l'en Rrosshand1er ehdioh e M'en's chen warren. Das ist also ein ld1einer T1'Ostl:, w.enu raurf Grunrd von lAusJl'a,hm~n un/d A'l.l'Ss'eJJ1-s eitenn auch anId-e rn Stan· ù en unH eb sam,e Eigens'cha/h en na'chges'a'gt w.el,d en. Alb er v,ieJI trostvoihle r rilSt die Tatsa che, ·da's s es 'gerarelre im ,L ehr- UJlId Erzi'el: url'g-shel'uf -ertwa.s 'gw:t 1.111Jd ·gehen mIUSS, das ni ohfoS Im~t !I(,leill'kriimeœi zu tun hat, aher « Treue ùn [(leinen » he'Î'sst. UnJcl di'e\'ie lmnn l.UI'S manohtrnal rfra lsc:h lausgeile:gt werdle n und uus d 'en « cechten 'P.edHntren» an die S ei te 'ste:l1en. Sie -gehort aher zu den una'b · d,ingharren Ge~,eitz en des Lehrel"h 'erulfes ; s.ie iS't mit Le:hl~en und Erzi·ehen unllos!har :verj~/lUld'en. UI1!d- ,s,i/e hirglt die Gefahr in 'SiClh, d'8ss sie von diesem ort:l'e r jooem ii'b er~ te,jgert awfig efa'Ss t und aus-g'e übt wel,den k arnn UI1!d dann ausartet in Kileinigkeitskramel'ei und Id'a mit zu einrer Art Berurfrskr-anl(lheÎlt, . ,d ie alb er l1'~e aiLs g'e nügeillder Grunld zrU eine-m gültÎrgen AJlltg,emeiuurtleil [ngeS'ehen wel~den darf. W'enn wir di'ese s'oheoinhar 'VIel~hanlgrI1is'vo'lJle « Tt'eu:e im Klleûnen» ausser a'Clllt lie-S'sen, dann ""ül,c1 en wir na,oh RoU'ss'eau hande:1n und die runs zur E11zieoong a'l nnertrauten Kill1der na'ch ihrer killdlHchen Ne,i gung l'eben IUnd gewalh nen ŒatS-s en. IWÜ' müssen sie aber auf 'e in :L e:h en vOTibeœitlen, 'dras nul' von Ibüchtigen, grünldlli'ch und g-ell'au al~beiten d'en M enls chen '~elIlleils:t>er,t welden kann. Dal'ttm gilt es, schon Id ,ie ilGrlId'er blehardi oh anzuhalten, dalss a:lleJS, wars rs ie 'tun und leisven, m'Î:t 'e iner 'Îlh11er Kinldheit angelIlless'enen VoHendltl11g gesrcllÎr~ht. Und das ist
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nioht ohllie S01'grfil'lt -im EinzeiLnen, ohil e Treue im K'l,eülren mogll ich, ili.e hei d er kl1ein'S,t1en Schuilarheit IgeJfol'clert weyden muss . n.~SIS sich dal"au1' leicht S pannlUng-e n zwiS'ohen rKind url'd Lehr m' e rg:ehen konn en, ist ~l e ÎJcht Jlegreif/lich: hi'e r rclals Kinrl mit serinen NeiglUng,en, ,die D~nlg e unh eschweT,t .z-\l n erhmen IUI1!d Idort d er ErzLeh er mit id,e r RfllicJht, zur Tre1.l'e l~'oh im II~lein en anzurhallten. Urrd ISO k'ann -a u ch ïd'e r gute, g'ewi,sseJJ1Jh aihe Lell1l.-er ails « ip erd'a n tis'c her Schullueister » nüs'Srv,eT,s tanden I\vel1den. Aher, von die-sel' Benenn.ul11g 'b rauoh:t sich nul' j ene r Lelwer Ihe'tl'()lfrfen zu f,ül'ill,en, he~ (l em der f'olr dre l'nde ,p,f:liohrtm eniscJh d'en "nel's teh en.den FlÜh1'er Id e's Kinld es üherwiegt mlld die Lie'b e ~U!lll. K.Ïlnlde ' le rtotlet; ,d'e nn Id anu hat der Mrei,nll'i'Cihe, norg,eJh tde, .gders'g-rami.ge « S.chulmeister » Id,ie Oberhrall'd ühe-r rlen gut'e n Lehl'er 19;~wonnen, und rdann ist 1er au ch e in « ,pedantirs'c her Schuhnle islt'e'r ». Erns't Sohmid t.
20 mai: Et ce fut la lumière. A l"o CCia"sion 'du 15.0 e ,anniv el~s ai11e ,d e la n'a is-sance de L()'u~s IBir ailUe. Evoca:tion ip'a'r M. Pierre Brive, a,nec Il a col1ahorat>i-o ll d,e M. J1ean Roh:hn. 27 mai : A l'occasion du 4e centenaire de la fondation d~ collège de Genève. Le livre Id 'e ,Blai,s e. 'E vocation Idu Coll,l ègle au temps Ide _P hi'l ûPlpe MOl1l1Î'er, pm' M. OlaiWde Boûs. 4. Mai: Wie Joseph Haydn die Tiere schildert. Eln3t PJirffll'er, iB'a-seJI 5. u l1ld 15. Ma,i : Bi eus diheime. Prob en aus ,ner·sdüe\d en en MUl'1dm·ten. rDr. AcloU Rribi, ZÜ<rioh. ,6. Ma,i : Dornach 1499. Horfdl'ge 'Von Otto WoU, 'BB~lach. 8. und 11. Mai: Nahrung genug lür aIle. N eu e W ege zur Ernahrung der M'enschh ei.t. HOI foJg e v~n Dr. Alcid Gerb er, BaseJl. 12. 'l.lIld 20. Mai: Mit Kamera und Lasso auf G;'osswildfang : P el'er Gl~ob, B ern. 13. U'lt d 22. Mai: Moordorf im We;er. Di,e ,er.st en 'Brauern uns-e r,e s Land'ers. Prof. rDi'. W'alter -U. Guy.an, ISchauffhauls en.
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mai: Comptines de chez nous, rp all: MM. Em~le Galidlaz e t 'F lr ank Guibat.
19. und 25. Mai: Del' junge Schiller. Hor'Sipiel ,,~on W.jll h eJlm Wehmey,er, B erlin.
13 m 'ai: Comment travaille le compositeur de musique. Causerie-ml'di.üon par M . Roger VlUataz.
21. und 27. /Mai : [(üherleben und [(üherlieder. Kal,l LUidiwig Sohmalz, Borl [igen. 28. Mai: Vincent van Gogh: Brücke bei Arles. BiIMcrle'hlachtl\llIl'g' von .. 0,1'. FriJtq; H ermann, ZÜl'ûch.
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Ernst ScIm1<Î:ch
Anschauen und Beobachten ('2. Tdl)
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Notre Ecole Normale, aujourd'hui et demain (sui,te)
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Emile BiO'I'Lay
Problèmes de prononciation
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Praktischer Teil :
CAISSE D'ÉPARGNE DU VALAIS Notre établissement traite toutes les opérations de banque. " exerce son activité dans le canton depuis 1876. Il ne poursuit pas de buts essentiellement lucratifs puisque ses bénéfices, après les prélèvements nécessaires à sa consolidation financière sont entièrement affectés à des œuvres humanitaires et sociales.
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Sr. L'O)'.0I1a eJumt'a ugwa,l d
Der Brief auf der Oberstufe
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AJ1fr'e d ZUl1muh S,M.
Freude am Aufsatz '(8chiluss)
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Pour la Fête des Mères
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F.iches ld'e 'géQ,gl'a,phi'e (,suite )
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ENCRES
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dQubles le 15 juillet et le 15 septembre. Die «Walliser Schule» erscheint in Sitten am 1. jedes Monats. lm Sommer, DQPpelnummern am 15. Juli und 15. September. EditiQn et administratiQn Département de l'InstructiQn publique, SiQn Herausgeber und Verwaltung Erziehungsdepartement, Sitten ImpressiQn et expéditiQn Imprimerie Buchdruckerei Fiorina & Pellet, Sion Druck und Versand Publicité Publicitas, avenue de la gare, SiQn Inseratenannahme
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RENSEIGNEMENTS - HINWEISE « L'EcQle valaisanne» paraît à Sion le 1er d'e chaque mQis de novembre à juin. En été, numéros
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