J.A. SION 1
L'ECOLE
Ecole pour ieunes gens dès l'âge de 8 ans
Sections primaire, commercial;--(avec diplôme de commerce reconnu par l'Université de Genève). Raccordement - Langues Enseignement par classe de 3 à 5 élèves. Sports: ski • patinage· tennis. équitation· natation. II) Cours de vacances en juillet et ... !t! août. rtI
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ra if) .ra ra >
BANOUE CANTONALE DU VALAIS Bons de eai8se
L'arg'ent que vous lui confiez travaille dans le Canton et pour' le Canton
II.
Lavage chimique Michel-Ange: Madone (DétaÏ'l) Eglise San Lorenzo - Florence
SION-SIERRE-MARTIGNY-MONTHEY
Teinturerie Valaisanne
Bureau Sion: T~ l ép hon e (027) 21464
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mai 1966 - dixième année
9
S•• I,m ..1
Fr. 285.- 1XJ~G:tl~
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LI ECOLE /) AL,L/ISAIYIYE Bulleti n mensuel du Personnel enseignant du Valais romand
M,ai 1966 No Xe année
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SOMMAIRE Partie générale
M.-J. de SépibL(s R. Jotterand
Mme E. OLiVIER-ELSIG et MICHEL RUDAZ - SION
M. Veuthey
H. Pellegrilli ]. Baruchet
C'est clair
2 8 ]0 14 18
55
21 22
22 23 23 23 24, 25 26 27
Partie pratique
Le but de la teinturerie
P 1518 S
!l'eC:t'Ulre .
NouveUe lalslsoC-Îlllt'ion d'éducateurs d e je·Ull'C6 i'l1'a,d'3lp té.s Avis ..... CO'U1PS d'inil1:iation de val'a1pp'e . Au ·pel'SlOlll1'el féminlÏn . . . ..... .. COUDS d"i'l1'iVi'altion 'a u progra'mm'e poull'llel& m'a ÎIt-res dies d1als,s·els d.e promotion ... PHerinage à Nortrle·o,a'ITte de Lourdes Ra.d,i o·Téiltévils<ion :sco,I.a:i.IJ.'e Cllli'sls'e de l'etlrali,tJe . Cou.r.s de gymnaoS:t,i,qll'e BiMiog'raphioe
est à la {( Source »
les rendre comme neuf
~Ia
Partie corporati ve
votre économie
Nettoyer vos vêtements et vous
QUleŒlq ues l'em·alrcruBS au suj e't de 'l '.appr,entis,s a'g e de V'eJr s 1'EU1J:oip'e unile . Auguste Renoir. . . Lie gél1'ériqu,e d 'un film f . Ma découve,r te de Ilia méd1O'de Ward Bull1eJtin OI.üS'ena~'l'e
31
CouroS de p 'eTfecl1i'Ol1Jll.em'e nt
RENSEIGNEMENTS
SION Angle Planta
~
L'ECOLE VALAISANNE paraIt a Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.
Rédaction: P. Bourban, ODIS, Rawyl 47, Sion, tél. 293 65. Délai de rédaction: le 1er de chaque mois. Edition, administration et expédition: ODIS, Rawyl 47, Sion, tél. 29365. Impression: Fiorina & Burgener, Sion. Abonnement annuel: Fr. 10.-, C.C.P. 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le pero sonnel enseignant, l'abonnement est retenu sur le traitement du mois d'avril).
Publicité: Publicitas, Avenue du Midi, Sion • Téléphone 244 22. Pages 3 et 4 de la couverture: (10 insertions) lit Fr. 700.X Fr. 200.Y2 Fr. 380.Pages ordinaires, 1 insertion: 1/1 Fr. Y2 Fr. X Fr. l/ s Fr. insertions: rabais de
60.33.18.10.-
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10 insertions: rabais de 10 %
l
Quelques remarques au sujet de l'apprentissage de la lecture d'après la métho'd e de M·adame Borel Maisonny
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Exemple:
ch 5
a 0 u CEé
f 1 r
y
m
,1
Quand l'enfant s'exprime en phrases correctes, et si son articulation est bonne, il peut aborder l'apprentissage de la (ecture. Il n'est pas bon de tenter au départ de lui faire mémoriser toutes les lettre. Dès qu'il connaît les voyelles et quelques consonnes bien choisies, il peut apprendre la syllabe du type consonne-voyelle (cha , fi) puis voyelle-consonne (al, ov). Il est important de choisir pour commencer des consonnes dont l'émission peut être prolongée. Par exel1tple: ch f r l ln etc. Les consonnes occlusives, qu'elles soient sourdes ou sonores, sont cl proscrire au début car elles rendent l'association difficile. Tout en poursuivant parallèlemen t l'apprentissage de nouvelles consonnes (n, v, j, z) et même de «sons-voyelles» appris globaleInent, (ou, œ, in, oi, on, an) on peut très vite former des syllabes cl trois lettres, du type consonne-voyelle-( ou son voyelle) consonne (fal, muj, choum etc ... ) Quand on aura étudié les occlusives, l'enfant comprendra l'apidement le mécanisme d'association des doubles consonnes voyelles tri, pla, stin.
+
Pour l'acquisition de ces divers mécanismes aucun matériel n'est nécessaire. L'enseignement se fera uniquement au tableau. Les voyelles seront écrites d'abord cl la craie de couleur (ronge de préférence) ce qui a l'avantage de c01nmencer ' cl créer la notion de voyelles et de consonnes. On écrira dès le premier jour des consonnes et des voyelles, d'abord sans disposition ordonnée (pour la reconnaissance des signes écrits) puis les consonnes en colonne verticale ct gauche et les voyelles en groupe à droite . .
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D'autres tableaux comportant les voyelles à gauche et les voyelles entre deux groupes de consonnes peuvent aussi être utilisés.
a
ch . s f
1
Jz v
ou u
r 1m n
01
J
ou
r
f m
1
1
an
v
On arrivera enfin aux tableaux du type:
tr cl sp pl
a an 0 01 ,
e
on œ
u
Dans un premier temps, on demande à l'enfant de mon.trer ce qu'il entend quand nous prononçons une syllabe. «Montre-mm: ch ... a v ... i ». Ensuite il doit prononcer ce que nous montrons. Les gestes,
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tels qu'ils sont décris dans le livre: «Bien lire et aLmer lire >", pe.uvent taciliter cet apprentissage, à condition toutefois qu'ils sment executés cor~ectement et par l'adulte seulement. Il ne faut :,n. aucun cas les ~mpo~~r aux enfants. Ils doivent, d'autre part, etl e abandonnes des qu ûs ne sont plus nécessaires. Dans bien des cas, on ne les emploie pas du tout. Les lettres mobil,es, si en dispose, permettent à l'élève d'agir en quelque sorte l aSSOCLatwn. On peut, au début, dessiner ces lettres en couleur (bleu pour les consonnes, rouge pour les voyelles) sur des cartons de 2 cm. sur 5 environ.
.0n.
1
s
1
1
1
« Qu'est-ce que tu emploies pour écrire s .... é, l.. .... i ». 1
s
1
é
1
Les boîtes de lettres mobiles permettent de faire des dictées
~e sons ~t de syllabes qui sont indispensables et indissolubles de
l, ap' r:r~:"tLssage .oral. ,~'idé.al serait évidemment d'entraîner l'enfan t a l eCI Lture, .afL~, q~l û SOLt, capable de transcrire ce qu'il a vu ou ~ntendu, maLS l ecnture presentant souvent des difficultés motrices Û est peut-être préférable de sérier les efforts à accomplir en donnan ; ces boîtes ,à l'enfant. .Très. vite, le maître inscrit au tableau une syllabe (avec une seule craze), Û la cache ensuite, et l'enfant dit ce qu'il a vu, le maître l~ montn! encore une fois pour que l'élève vérifie. On procède bientot de meme pour les mots ou de courtes phrases. AQuan.d l'en!ant a acquis le mécanisme de la lecture on peut l'entram,er a app'hquer ce mécanisme au déchiffrage d'un texte. Si lors de. l app.rentLssage on feut faire lire n'importé quoi, même des tel mes ngoureusement Lnconnus du sujet, maintenant qu'il s'a EJait de comprendre, i~ est ~r~s ilnporta,nt de n'avoir recours qu'à des mots e~ ~es u!xtes LntelhgLbles. Il n est pas nécessaire cependant de ~e hmLter a des histoires bébêtes où «mimi va sur le dada» comme on en rencontre trop souvent dans les livres de lecture. «Bien lire et .aimer lire» C. Sylvestre de Sa'cy. Editions sociales françaises. 1
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Quand l'enfant a déchiffré beaucoup de sons et qu'il les a transcrits ou éventuellement composés à l'aide d'une boîte de le ttres mobiles, on peut lui faire lire des textes adaptés à ses connaissances lexiques ou linguistiques. Rien ne nous empêche de composer tout ou partie de ces textes avec les élèves. J'insiste cependant sur le travail préalable de l'apprentissage, sur ce jeu des associations auquel, s'il est bien mené, les élèves prennent un plaisir évident. L'enfant ne doit pas être livré à lui-même rm nwment où apparaît une difficulté nouvelle, ce n'est pas le sens du texte qui doit lui faire « deviner» la façon dont il faut le déchiffrer. Il ne faut jamais rien bâtir sur de l'« à-peu-près» et, sous prétexte de ne pas freiner l'élève dans sa soif d'apprendre, lui donner un enseignement qui n'est pas systématique et construit. Il est entendu que chaque enfant a un rythme d'acquisition qui lui est propre. Il faut donc lui apprendre individuellement ou, mieux, par petits groupes, ce qui entretient une certailie émulation et p ermet un enseignement à haute voix ( indispensable pour un apprentissage correct, cela tombe sous le sens). C'est à nous, enseignants, de lui fournir le matériel suffisant (fiches, boîtes de lecture, puis petits livres) pour qu'il passe d'une difficulté à une autre en les assimilant. Je pense que le livre «Bien lire et aimer lire» emploie une bonne progression, mais qu'il devrait rester, au départ du moins, l'instrument du maître ou des parents. C'est seulement lorsqu'on est sûr que l'enfant peut TOUT déchiffrer correctement, qu'il ne «devine» pas, que le livre devient indispensable pour l'entraînement à une lecture rapide et silencieuse. A ce moment-lil, il est évident que le tome II de « Bien lire et aimer lire» devient un instrument de choix poùr l'élève.
Confusions à prévenir et à corriger, lors de l'apprentissage Confusions auditives entre les consonnes sourdes
p t c
et 1) occlusives
sonores
b d 9 5
--2) soufflées ou fricatives sourdes
et
z
f
V
Ce sont les plus fréquentes, il faut les corriger sur le plan du l~ngage et oralement avant d'en aborder l'apprentisf'age, on peut alder les enfants qui confondent ces lettres en leur faisant prendre conscience de la vibration laryngée qui se produit au moment de l'émission d'une consonne sonore (faire placer le dos de la main sous le menton quand on prononce j ou b) et représenter cette vibration par un signf! vibratoire ou un point placé, sous la consonne sonore. Exemple:
ch
J • b P • Il existe aussi des con fusions auditives entre: a et an 0 et on in et un oi et ou; pour les éviter, il faut, comme toujours, bien préciser la prononciation de ces sons et pour les corriger, si elles apparaissent malgré tout, il faut mettre en présence les deux sons confondus et bien fair e ressortir les différences qui existent entre eux. Le on est la nasalisation du 0 et le an celle du a. On peut faire un geste près du nez qui aidera les enfants à se souvenir de cette nasalisation (voir « Bien lire et aimer lire », tome 1). Pour le in et le un, il faut faire comprendre la position différen te de la bouche au moment de la prononciation.
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._ 2. Confusions visuelles
J
s
un
liz*~:"~/:~,-"-, ,,
sonores
ch
o
-
Certaines confusions d'ordre visuel d/b, p/q, ou/on, en/ne, oi/io ... peuvent être évitées par des exercices systématiques d'orientation dans l'espace et dans le temps: à gauche, à droite, en haut, en bas, avant, après etc. (voir article sur le langage). Il faut toujours bien préciser l'ordre dans lequel doivent se lire les signes de l'écriture (sur l'élève, dans l'espace et sur le tableau). Si la confusion existe, on peut la corriger en associant un geste à la lettre ou au son confondu (voir « Bien lire et aimer lire », tome 1). Une autre confusion très frèquente est celle entre le m et le n. Elle est à la fois auditive et visuelle. On la corrige en prononçant le m bouche fermée et le n bouche entrouverte et en faisant prendre conscience à l'enfant des trois jambages du premier et des deux du second. D'une manière générale, la mémorisation de signes prêtant à confusion ne sera jamais entreprise de façon simultanée, mais, si la confusion apparaît malgré les précautions, il faut l'attaquer de front en mettant en présence les signes confondus et en forçant l'élève à remarquer les différences auditives et visuelles qui existent entre ces signes. En conclusion, l'apprentissage de la lecture demande une longue préparation tant sur le plan du langage que sur celui de l'articulation. Il doit être systématique et gradué. Il peut être collectif au début pour quelques acquisitions de base, mais doit très vite devenir individuel ou semi-collectif afin que chaque enfant reçoive ce qui correspond à ses possibilités et à ses difficultés. Il ne nécessite aucun matériel au départ, si ce n'est quelques craies et un ta~leau noir. On peut ensuite utiliser avec profit des fiches ou des boîtes de lecture et enfin un livre bien adapté. Le maître ne doit jamais perdre de vue que lecture et écriture vont de paire. «L'acquisition de la lecture doit enfin être accompagnée constamment d'exercices de dictées: dictées de sons, de sy llabes, dictées de mots et de petites phrases courtes. » (S. Morel-Maisonny Bulletin de la Société A. Binet No 386). Ces exercices faciliteront grandement l'acquisition de l'orthographe sur laquelle nou.s reviendrons ultérieurement.
Avril 1966.
M.-]. ·de Sépibus ln
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Les maîtres. se refusant par principe à introduire une perspective europée d,ans leur enseIgnrunent sont rares. En revanche nombreux sont ceux qui llne haiter', ' . qŒl_. s,,ach oppent a' l'absence ' alen t I e fal'l'e, 'm alS d'une documentation dsou. ", élabOl~ée du point -d e vue pédagogique. Si les puh1ÏJcations trait-a nt (les problèmes eJa europeens abondent, i~ est souvent long et malaisé d'en dégager les not· " d' . IOns a prese~ter - I~e'ctse~ent aux élèves. ,C'est pourquoi nous pensons rendre service au~ maI~res e Ulsse roonande en leur signaIant une publication récente qUI paraIt combler une lacune. !lans le cadre du Centre européen de l'a culture de Genève, un co'm ité int natIOnal s'est constItue, "" • VOICI quel ques annees pour entrep ' rendre une camp el'. d"d t' .. , agne e uc.a IOn cIVIque européenne. Divers stages, ont été organisés dans plusieurs pays; l'ls ont rassemhlé, autour du thème de l'école européenne des institute dA. 'Urs ou es m'a ltres .secondalres enseignant teHe ou telle dis·cipline. Elargissant son. ~ham: -d'actIOn, ce comité a pris l'initiative, l'an passé, de niettre à dis. pOSltI?n es enseignants un service d'information qui s'efforcerait, en leur fou,rnlssant une d~cumentat~on appropriée, de les aider à préparer des leçons pOItant sur des sUjets europeens. La pr:mière étape de cette entreprise a été la publication, par les soins du . Co~sei1 ,de la c~op,él'ation 'c~lt,~rene -~u Cons·e il d.e l'Europe, d'une Bibliogl'a. phze d OUVl ages sur 1 Europe a 1 mtentwn des ensezgnants. Cette bibHographie a paru en. été 1965 sous fo-rme d'une brochure de 68 p·a ges; elle ne comprend que des lIvres ou brochures d'accès faici'le, permettant aux maîtres d'enrichir ra~idement lia m 'a tière de leul' cours en y insérant des perspectives européennes. Pres de, 30~ ouvi.l'ages sont pl'ésentés et analysés brièvement; ils appartiennent aux categorIes suivantes: géographie, histoire philosophie littérature musique . h' ' " , p~eI~ture, arc l'lecture et s culpture, intégl'ation européenne, éducation, éducation ?Ivlque européenne, i'Europe et le monde, manuels scolla ires et ouvr.ages p our la Jeunesse. l
La consUiltation de 'c ette bibliographie est aisée et ren&ra - servi1ce à de nombreux maîtres désireux d'intéresser leurs élèves à aa construction de l'Eu. rope san~ devoir se transformer au préal'a hle, au prix de rechel~ch.es et de lectures lnnomhrables, inconcÎ!Hahles -d'aiIaeurs avec les exigences de leur activité professionnelle, en spéciailistes des questions européennes. Mais la bibliographie des ouvrages sur l'Europe (livres thèses brochures numéros spéciaux de revues) s'allonge chaque année d'une' cent~i~e de titres: D'autre part, le maître, nous l'avons dit, souhaite à juste titre disposer d'une documentation directement utilisable dans sa c1asse. C'est pourquoi, en seconde
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étape, le comité de la campagne d'éduoation CIVIque européenne a organisé un 's ervice d'inform-ation qui diffuse un bulŒetin trimestriel « Civisme européen - documents et inform'a tions pour l'enseignement ». Les deux premiers numéros de cette publioation sont paTUS. On y trouve, à chaque fois, une analyse des chapitres consacrés à l'Europe d'a ns divers manuels, le compte rendu, succinct oU approfondi selon les cas, d'ouvrages européens récemment parus et une documentation prête à l'emploi sous forme de leçons-types. La lecture des -a nalyses, souvent fort développées, d'ouvrages ou de manuels est déjà profitable et enrichissante, même pour le lecteuT qui ne jugera pas nécess-aÎl'e de se procurer les livres présentés. Il notera, au passage, des idées, des 'p erspectives ou des synthèses nouvel~es, des cit,ations intéressantes qui sont autant de thèmes de réHexion ou de dis'cussion. D'autre part, dans chaque numéro, le maître pourr-a choisir dans une abon dante documehtation les éléments lui permettant de préparer rapidement une l eçon sur un sujet européen parce que ces éléments conviendront à l'âge et à l'inform'a tion de ses élèves. Dans cet esprit, onze pages du premier bulletin étaient consacrées à une leçon de géographie: «Les chemins d e fer eur opéen s : facteurs d'intégration ». Le second numéro offre douze pages de documentation pour une leçon SUI' «La communauté économique eurO'péenne ». Les numéros suivants présenteront des leçons sur divers sujets: l'art européen, [a CECA, trois formules d'union de l'Europe, un grand euro'p éen: Jean Monnet, le CERN, un citoyen de l'Europe: Erasme, par exelll'ple. Chaque ieçon est préparée par un maître secondaire et mise ·a u _point par un conseil pédagogique de trois membres. Nous souhaitons que cette pub'J i.caüon nouvene rencontre un acceil favorable auprès du corps enseignant. Le premier numéro est épuisé; en revanche, le Centre européen de la cultu re enverra volontiers et à titre gracieux un exemlJlaire du second numéro à tout .m embre du corps enseignant qui lui en fera la demande (adresse de la rédaction et de l'administration du bulletin « ·Civisme européen - do cuments et in formations pour ia classe: Centre européen de la culture, rue de Lausanne 122, 1202 Genève). Ajoutons que le bulletin «Civis·m e européen: documents et informations pour l'enseignement» ne pourra continuer à paraître que si un nombre suffisamment élevé d'abonnements est souscrit. TI ne suffit donc pas que chaque école s'abonne; H est souhaitable que tous les maîtres en situation de tirer parti de cet apport nouveau s'y intéressent effectivement. Rs ne manqueront pas d"apporter leur aide et leur encour,a gement au service d'inform-ation de la campagne d'éducation 'Civique eUTopéenne s'i'l s pensent, avec Kar[-Heinz Step han, que l'Europe sera, dans une iarge mesure, «bâtie par l'école »,
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AUGUSTE RENOIR CONFIDENCES la place de Renoir Nous a.vons déj,à tenté de définir somm1airement l'Impression~isme, mention. nant. les princip'aux représentants de cette école. Mais nous avons également souhgné que cette étiquette célèbre groupe généralement dans l'esprit du public des artistes dont l'a'c tivité proprement impressionniste fut de COUrte durée. Par excès de simp1ifircation, on parle d'Impressionnisme non pOUr une école ou un style objectivement ana!l ysable, mais pour une période de l'histoire de la peintU'l.:e, comme si tout le dernier tiers duXIXe siècle n'avait pas connu d"autres formes de peinture. En p~ll'ticulier, nous avons remarqué que ses limites mêmes provoquent raban. don de cette technique initiale par plusieurs fortes pe.rsonnaEtés. Tandis que Claude Monet poursuit jusqu'à s'a mort (1926) la voie impressionniste dans une évolution constante, tandis que Seurat et Signac ess'a ient de lia renouveler systé. matiquement p,a r le pointiUisme et le divisionnisme (néo-impressionnisme), Cé. zanne se dirige consciemment vers un style plus structuré, cherchant à ol'ganiser s·a toile d'après s'a vision géométrique du monde; le tempérament de van Gogh l'oriente vers un univers agité, où les lignes agissent autant que les couleurs; Gauguin et ses amis se cons'a'c rent à la franche couleur éta'l ée sans reHets. Renoir constitue un cas à part. Certes, on peut d.ire qu'iŒ conserve jus. qu'à lia fin de sa vie des éléments im'p ressionnistes. Maris sa manière de peindre est surtout très personnelle. Que ce soit durant sa vraie période impressionniste ou après sa ruptur'e volontaire, ses toiles révèlent un charme particulier qui per,m et de reconnaître, en deçà de h technique même, Ile signe de [la person. nalité. Quand on considère un «petit maître» de l'art, qu'il s'agisse de peinture, de mus~que ou d,e littérature, l',a ttention est retenue par [es é[éments formels, par Iles caractères propres à ['époque ou à l'école à laquelle il appartient. Mais tous 'les vraies génies se reconnaissent paree qu'iils sont d'abol,d eux-mêmes, parce que la forme de leurs œuvres, tout en utHisant [e [ang.age et qes moyens de leur temps, transcende ces éléments historiques et revèle un style propre, inimitabl>e, qui doit plus à la personne même de l'auteur qu'à son temps ou son miHeu. Si 'l'Impressionnisme est un si grand moment de b peinture occidentale, c'est qu'iŒ réunit, au moins pour queilques 'a nnées, de véritables génies de la peinture, comme Monet, Céz'a nne ou .Renoir, 'pour citer trois oas particuliè. rement évidents.
AUGUSTE RENOIR Sa vie 1841 Naissance à Limoges Je 25 février. Sa. famine s'établit à Paris un peu plus tard. Jeune hom·m e, il réalise des peintures sur porcelaine, et envisage de tliav,aH[Ler à lia 'céllèbre ~rna!llulf at-cure de 'Sèv!l·es.
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1862 Entre à l''Eco~e des Beaux-Arts. D evient éIlève de Gleyre, ce qui lui fait rencontrer Pissarro, Sisley, Bazille, Monet et Cézanne. Ces artistes peignent ensembl\e dans la forêt de Fontainebleau. 1864 Première exposition au Salon d'.a utomne. 1874 Première exposition impressionniste. 1881 Voyage en Algérie et en Italie. Découvre R'aphaë[ et 1-es Primitifs it'a [iens. 1882 Peint à l'Estaque avec Cézanne. 1883 Abandonne la technique proprement impressionniste. 1886 Exposition aux Etats-Unis. 1892.1900 No'm breux voyages (Espagne, Angleterre, Hollande). 1906 . S'install1le à Cagnes (AI'p es.Maritimes), dont le climat est plus f'a vorable à sa santé (-rhumatismes vio'l ents). Peint malgré ses doul'e urs. 1910 Voyage en Allemagne. 1919 Meurt à Cagnes [e 3 décembre.
Oeuvres les plus célèbres Période impressionniste: L a première sortie Au concert, doans l,a loge ,Ch e1nin montant dans les hautes herbes Le moulin de ·la Galette Le déjeuner d,es 'Canotiers Le pont du Ic hemin de fer à Chatou Période de recherche et de transition: Les gl'andes haigneuses F emme se nattant Période l)~rique: Le jugement de Pâris L a dormeuse A toutes les époques: portraits et natures mortes; L a Hseuse, thème traité p~usieurs fois par Renoir. Nombreux nus à partir de 1890.
Evolution de son art ·L es premières œuvres de Renoir trahissent ~'influence de de~x pe~n~res du mÏ'lieu du XIXe siècle: Narcisse Diaz et Gustave Cour/bet. Le premIe'!' lUI lIvre sa manière de peindre par facettes pour exprimer l~s ~ibrati.ons ~.e la lu~ière. Un égal SQuci se rencontre chez Courbet, dont le reahsme tIent a se serv~r de la connaissance objective et scientifique de la lumière telle que la conçOlvent ses contemporains. M ais c'est surtout Delacroix qui marque de son empreinte le début de la carrière de ' Renoir. Delacroix, d'aiHeurs, est S'ans doute l'auteur le p~us
Il
goûté des jeunes artistes de ce temps, car presque tous le considèrent comllle un maître à qui on peut se référeT en toute sécurité. Quand l'art de Renoir parvient à une cert'a ine maturité, une nouvelle in. f1luence est déterulinante pOUl' son évolution: celle de Claude Monet. Avec e1ne débute ~a période proprement impressionniste de Renoir. Il peint voiontiers des scè~-es de plein air, notamment des fêtes nocturnes où l'écItat des l ampes et les Jeux de la lumière à tTavers les feuHlages sombres Jui fournissent de multipiJ.es sources de Teflets. M,a is certail1'es œuvres ont pour cadre des théâtres parisiens: à nouveau, il'opp osition omhre-lumière offre à l'artiste de l'iches po.ssibiŒités. Le v i sage humain l'intéresse particulièrement: dans plusieurs tOI'les, les personnages sont vus à mi-corps. En certains sujets de groupes, les personnages sont d'authentiques -p ortraits. Si. riche en nomhre et en qua1Ïté que soit sa production à cette époque RenoIr abandonne -b ientôt l'Impressionnisme proprement dit. Il le fai t trè; c~nsciemment, après avoir pris un 'cont'act direct avec un art plus classique, par l'etude .d'Ingres et ce1Œe des gTla nlds maîtres de la Renaissance. Cette ru pture volontaue provoque une période d'un genre assez parti<cuIrier, caractérisée par l'empUoi d'un dessins plus précis, par l'usage de tons pIus froids et moins cha. toyants. Mais Renoir revient bientôt à une manière de peindre pIus chaude et surtout plus spontanée. Il l'etrouve certains procéd'é s de la période i'm pressionn iste, son -amour des reflets et -des surf'aces i'lTisées, mais anime ses toiles d'une vigueur nouve'~Œe par ['usage Id e tons d'une haute vaŒeur lYTique: le rouge et l'orange envahIssent la surface, et il ne serait pas faux d'opérer sur 'Ce point un -r ap pro. chement entre Renoir et les Fauves. Toutefois, cette vibrante coloration - qui réchauffe les frondaisons, les ciells, les co'.r ps huma,i ns - s'a'ccompagne d 'une animation paraHèle sur le plan du dessin: les êtres vivants et le p-a ysage semMent emportés par un tourbiHon de spiral es et de voIumes arrondis, où la ligne et l a coul eur s'unissent pour traduire le lyrisme vigoureux de l'artiste. Auguste Renoir offre lm exemp[e p'articulièrement édah~ant d'un artiste qui, s'étant purifié volontairement des infthlences trop directes que ses études puis son milieu lui avaient im'p osées, se libère 'a ssez pour en retrouver, après une -courte période d-e tâtonnements, (l es élém'e nts partÎ'cuJi.eTs qu'if! peut assumer à nouveau pour -e n faire .Je qangage ,de sa propre pel'sonnaHté.
Confidences Oeuvre peinte en 1881. Collection Reinhart, Winterthur. CeUe toile 'app'artient à 1a fin 'd e la périotde durant q-aqueHe Renoir vécut dans le milieu i'lllpress10nniste. On remarque la soup~esse et Ja liberté 'd u coup de pinceau: aucune décomposition systématique, et pourtant presque toutes let! zones manifestent ie cavactèTe fugitif et mouvant de la touche. 'Cette animation picturale peut d"aiHeurs étonneT, car eUe opère - du moins dans notre esprit! - un net contraste avec Ue sujet lui-même, qui nous présente deux jeunes femmes en paisible et souriante conversation. On comprend m ieux, grâce à cette petite rem-arque, que le sujet n'est pas tout d,a ns un taMeau: Ja peinture en elIle-même a ses lois propres, lois inhérentes à toute œ'uvr'e, et
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lois p articuHères dépend,ant -du stYle -choisi [ibrement par l'auteur parmi les Jl1ultipŒes possibilités offertes à son tempérament. L'art d-e Renoir - qa fin de sa vie le proU/vera avec beaucoup plus d'évildence encore - est un art de lyrism e et de mouvement. Il est norm-a l qu'il se serve de foumu1es animées, lllêm'e si le sujet est éminemment statique en lui-même. Mais considérons cette œuvre d'un peu plus près. Sa teinte dominante osci'ILe entre le bleu et [e vert foncés édairés p-ar un jaune relativement lumineuX. Tdle est la gamme chère à Renoir entre 1875 et 1883. On l,a trouve en zones juxtaposées dans les feuillages de la partie gauche et, mêlée à un blanc lumineux, dans Ies bouquets visihles sur les corsages et les cheveux; ene rep al'aît, fondue cette fois, daus l'angle supérieur droit. M-a is eUe présente presque pa-l 'tout: dans f-es cheveux des femmes, sur l'e col théoriquement blanc de ceBe qu'on voit d -e fa'ce; ell'e forme les om-b res de [a robe bŒeue ,de l'autre. Discrètement, elle joue sur -l es carnations dont elJ.le assure le relief. 'Comme il ar,r ive fréquemment dans les toHes de cette éPoque, une large p~l a'ce est acc01'dée au bŒeu foncé, presque noir: on 1e constateTa sur la robe de la femm-e de gauche. Si l'impression dominante est hien faite de ces trois teintes, le centre de la t oHe _fait pla-ce à h -c haude vigueur des visag-es, où des tons rouges p'lus ou moins discrets (lèvres, fleurs, joues, oreiJ~es, reflets dans les cheveux et lmr le f onld avec leque~ ils se confondent) et roses (épauŒe dToite, visages et mains, manchettes) vivifient de leur joyeuse chaleur 'l a 'Chai'r Jaune or,angé. On a déjà là, 'au moins sur fes visages, un des pl'emie,rs signes de 'c e goût pour ~es tons de feu que Renoir manifesteI'a si 's ouvent dans h d -e rnière partie ,de sa vie. Tout ce que nous avons dit, on le rem,a r-q ue, se l'apporte à la couŒeur. Le dessin serait-i~ donc absent? ,Certes non, mais il agit par la cO'1lŒeur p~us que ' par un jeu de lignes préexistantes. Chaque touche du tahleau est un élément linéaire, une source de mouvement. ContentonS'-nous de le f'a ire remarquer sur les mèches espiègles ,de la femme vue de face, et sur les cheveux en cascade de sa compagne. ' Si non, le d-e ssin se fond sous l'évooation de l'atmosphère. Le contour 'des visag-e s est à pe1ne -p récisé, 'les cheveux et ~es vêtements se perd'e nt sur le fond, et l es deux mains visibles dans J'angle inférieur gauche sont souples et indéfinies comme des -f l'a mmes: ces mains et les manches qui les offrent nous font penser à -ces m la ins presque informes que peignait le Gr~co vers la fin de sa vie. 'Une dernière remarque l'dative à l'atmosphère générale de cette œuvre: si les tons sO-qIbres dominent, h toi(l e révèle une joie très nette, due, certes, au regard clair et au sourire de la jeune femme, rn-a is surtout à l'éclat des tons rouges, oranges et jaunes - sans oublier les r 'a res blancs qui les soulignent et à 1a luminosité de deux petites zones symétriques: la hague visible sur la main relevée ,et 1a boucle d'oreiilile du sec~nd personnage. ' '..:Cette ' toile '-d écevl'a l'amateur: d'anecdote;. ~ car J.e sujet en JÜi.même. esLvite: travetsé. Mais el~e charmera tous ceux qui sont oa'p ables de r.egarder un table-a u pour 'c e qu'il est essentiellement: un 'm onde harmonieux de fo~mes et de couleurs. : '.:-
Miche( 'Véuthey:~ _. - ~
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Jllétrage de Sam Bass », (Le dessin animé après W aIt Disney pa'r Robel't Benayoun, J ean-J acques P ,a uvel't, Editeur). Cette petite mise au point f.aite, nous alŒons lire ensemb[e le generIque d'UNE AUSSI LONGUE ABSENCE de Colpi qui sera analysée d'une m:a nière très ap profondie durla nt le cours de cinéma de cette année. Cela nous permettra de découvrir la composition de « l'équipe technique» qui collabore au tournage
CINEMA
d'un film. Equipe technique
Le générique d'un film Le gén~rique d'un film est Œ ,a liste des principaux créateurs d'un film et de ses mOIndres coHabOI~ateurs, précédant la projection ou s'insérant après l VISIOn '" 'd ' " des ~remleres Images Intro uctlves, Plus rarement cette liste e Sat , p!acee a la fIn du film comme un hommage rendu aux aut~urs du fi1m VIent d'etre ", ~ très cl istraitement par l'a p[upart '1'U , V,u, C e genenque est lU des spectateru's, qUI, pare~se ou inconscience, se refusent ainsi à connaître les respon. sables de l œuvre qUI est soumise à leur appréciation, à leur jugement. , Il e~t vrai que souvent le défilé monotone de nom,s presque illisibles n'ex. cIte gu ." , d es spectateurs, DepUIS ' que1ques années néanmoins , ~r~ l a cunoslte les g,en,enques ~ont plus intéressants et font largement appel aux techniques du , " Clnem'a d'anlmatio " n. o?- son t conçus comme cl es" sequences Independantes et d u~e. reeJle quahte artIstIque. Jean Mitry, clans son « Dictionnaire du cinéma» (EdItIOns Larousse) 'c ite Œ'exemple ,d 'OCCUPE-TOI D'AMELIE (Autant-L 1949) , D'es l,e d e',b ut de ce genenque, ' ',' , ara, un gros monSIeur traverse en courant la plalCe de la Concorde et entame les arca(des de la rue de Rivo[i tout en ôtant son m:"nteau, sa ~este, son gilet, débouche sur h place du Pa'lais-Royal, entre au theatre du ~eme nom, et, toujours courant, entre dans sa loge: il était temp~, s,on e,n~ree est annoncée par le régisseur, et le rid.eau se lève sur « Occupe-tOI d Améhe ». A
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~ux E~ats:Unis, S~ül Bass est un spécialiste très apprécié des génél'iques en ~ess~ns anImes graphIques, Ceux qu'il a fournis notamment à Preminger ou a H~tchcock su~a~sai.ent souven,t par le~,r art et leur poésie les grandes pro. d~ctl.ons ~ont ~ls et.aIent la pref.ace. Sau'! Bass appartient à cette c'atégorie d arhstes Ignores qUI font oublier le film principal. Ainsi ldrsqu'il nous pré. sente «Le tour du monde en 80 jours », nous avons la désagréable impression que ~a ,s~perprodu?tion n'est qu'une illustration lourde, inutile et démesurée d?- g~n~nque, «1?hIJéas Fogg se ramène à un chronomètre. Passe-partout à un veIoclp~de, S~ü'I, ,Bass, hors-d'œuvre survitaminé, coupe l'appétit .avant Je repas, 1'1 est l 'a ntlpaste sublime, le caviar qui précède, mais éolipse aussi le soup~r" les ch~nqel~es et le rœderer. Et l'on 'a ttend i,m p,a tiemment [e jour où Premmger, HItchcock, William Wyler filmeront le générique d'un long
Le nombre et lia diversité d.es spécialistes associés pendant queJques semaines pour participer à lia réalisation d'un HI'm donne une idée des interventions de toutes sortes qui rendent cette réaHsation parfois si hasardeuse et toujours Inarquée de tant de « traces» indiscernables les unes des autres, (Je prie tous les participants au cours de cinéma de 'Conserver cet arüde et le suivant qui servir ont d'instrument de traViail cet été). La Revue internationa~e de film010gie, no 38, jui.Jil.et-septembre 1961, a publié un extrait des «Conventions coHectives» qui s'appŒiqu'e nt aux techniciens de la pro duction ciném1atogr·aphi'q ue. Ces extraits suggèrent à ila fois une vue générale ,des problèmes ,d u « plateau» et diverses anallyses des conditions de création: L e titre VII de ces Conventions collectives réunit la constitution des « Equipes m inima» qui, pour tout fmm de Hclion d'un métrage supérieur à 180'0 m, seront composées comme suit: - 1 directeur de production _ l r éalis'a teur du fi1m l script girl _ l pre.mier assistant-réalisateur l camel'laman _ l directeur de lia photographie l architecte décorateur chef _ l premier assistant opél'ateur a,djoint l tapissier _ l d:e uxième assistant opérateur adjoint assistants du son 2 - l photographe l secrétla ire de production - l al'chitecte décOI'ateura,djoint l régisseur d' extériem.' - l ensemblier a'c cessoiriste de décor l l chef opél'ateur du son l chef costumier - l r égisseur général l chef maquHleur - l régisseur adjoint coifferu' perruquier l - l accessoiriste de phteau l monteur adjoint - l 'Créateur de costumes - l habihleuse l maquilleur adjoint - l chef monteur Cette équipe minimum pourra être modifiée en raison de la nature particuJière ,du sujet et selon les exigences du s'cénalJ.'io et du plla n de travail.
L'équipe technique d'une aussi longue absence,
Le générique de -ce film ind,i que tout d'abord les récompenses qu'H a obtenues: Prix Denuc et Pa[me d'or au Festival de Cannes 1961. Le scénario et les 15
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dia[ogues ont été écrits par Marguerite DUT'a's et Gérar,d J arlot. J'ai déj à défini d/a ns un numéro précédent le rôle du dialoguiste et ·d u scénariste. ' Un fiŒ,m est toujours produit par des maisons sp écia1lisées" en l'occu rence une firme française et. ~ne f.irme romaine. Le générique indique touj ours le nom des producteurs ' e~" de leQ.rs délégués: producteur délégué, directeur de production, etc... """
Le producteur assume les responsabilités et les charges de la mise en œuvre et Ide ~'exécution d'un projet de film .. n en ·a donc au premier chef l'a responsa. biJité financière. Mais, ,choisissant le sujet, les spécialistes (adapteurs, scénaristes diatl oguistes) et [es techniciens aux-quels il fera confiance, assurant par .aiHeurs l~ financement et l'exp~oitation de J'entrep'l'ise, [e producteur exerce, sur la réalisation une influen'c e extrêmement vari1ahle, aHant de l,a dictature abso~ue au simp1e apport de ca'p it aux . . Le directeur de productio~ est ,l e délégué du producteur ou de b société de production, 'p our la préparation et Œ'exécution du film. IŒ assume la direction génél'a!l e du travail. L'administrateur d.e proproduction est 'c hargé de t oute ~a partie administrative du fHm en pa-rtÎ<culier, il doit étahlir le devis d éfinitif et les prévisions de trésorerie, suivre l'apprl ication et l'exécution des con trats de toute nature, contr&ler les dépenses de Ua production. Le régisseur gén~ral, coiJilabol'ateur direct du directeur de production, procède au dépouiUement du 'découpage, ·c oHabore à l'éta,b lissement du plan de travait n ,est resl)onsaMe de la bonne m'a rche des servilc e de régie pendant Œe ~oumage, en aecol'd ' avec le réalisateur .du fi:lm ou son assistant. Un secrétaire de production com plète généraŒement cette première équipe qui s'assure des Beux choisis~ des d·ates possib~es de location des p~ateaux dans les studios ou des saisons et des p ério. des les plus f'a vorahles au tournage en extérieurs, celles qui conviennent le m ieux tant au sujet qu' aux possi,b ilités te'c hniques. Le financement prévu comporte un certain nombre d'initiatives et, là encore, des choix à opérer. Il est rare actueHement qu'un seul pToducteur finance un fiŒm: on est amené à faire appel à un ou plusieurs producteurs associés. Dans ·c e dernier oas, H faut prévoir, en règle génél'ale, la particip·ation au film d'interprètes oTiginaires du ou des pays intéressés. Ainsi n aissent les .coproductions. UNE AUSSI LONGUE ABSENCE, par exemple est une coproduction franco-italienne.
L'équipe de réalisation Le réalisateur: cette dénomination est relativement i'écente; autrefois
011 pa'r1I'ait 'p lutôt de metteur enscène. Cette nouveiJl.e appellation souligne .son rôle proprement créateur et non pas subaheTne (non pas d'auxiliaire de l'auteur, comme le metteur en séène de théâtre). Le réalisateur 'e st donc un colb,b ovateur engagé par le producteur sur la hase d'un projet présenté par l'un ou ['autre paTtenaire. Son a,ctivité .c~mm~nce générall ement par une ,collaboration s'exerçant au moins sur le pi'a n artistique et technique en vue de J'.adaptation ciném·a togr.a phique d'un sujet et con tÎnue 16
par ['élahOl,ation du découpage t echnique. n au ra la resp onsabi,l ité des prises de vue et de son, du .montage et de l,a sonori's ation du fiqm, cela conformément aU découpage et au plan de trav ail ét a,bilis d 'un commml 'accord entre l e pro,du cteur et iui-·m ême. Cette définition très technique laisse évidemm ent s'a ns r ép onse la question suivante: le réalisateur est-il le véritable au teur d u film ? ou le simplle :a nimateur ,d'une équipe qu'il domine plus ou cJ.l loins bien? H enri Colpi, le réa1lisateur ,d'UNE AUSSI LONGUE ABSENCE, a'P P'a rtient incontestablement à la oatégorie des authenÜques cr éateuTS. L a revue « T él éciné », No 103 fui a consacré un nu.m éro sp écial et nous y lisons qu 'H est n é le 15 juHŒet 1921 à BTigue. 11 apprit son m étier d e cinéaste à l'Institut des nautes études ciném'a tographiques ·de Paris. ' En '1950., il 'C ommença à travailler dans une saHe de montage. Mais il 'dut atten1dre d' avoir monté' onze courts métrages et un long métrage avant d'atteindre une certaine l1otodété. Il est également l'auteur de deux ouvl'ages consacrés au cinéma: en 1947: « Le cinéma et ses hommes»; en 1962 une extraordinaire « Défense et iiJ.lustrat ion de la musique dans le film ».
L e 1er assistant 'j'éalisateur 's econde le réaHsateur d ans h pi'éparation et la réalisation artistique du fil,m . Il dépend directement dÜ.r éa[isateur. L e directeur de la photographie ou chef-opérateur est aV/ant tout le « directeur de la lumière ». Il a la responsahilité de la t echnique photographique des vues 'e t de la qualité artistique de la photogl~aphie du fi~m , t,ant en studio qu'en extérieurs: édairage des décors, ca,drage et composition des images, survei[hnce du dévelo.p pement et du ti'r age des copies. En réglant les éd airages, il 'c ompose poUl' chaque phn à filmer, une atmosphère p arfaite~l1ent adaptée. Lors'q ue ~e tournage à lieu en décors Téels (intérieurs ou ex térieurs), H doit sans cesse corriger la lumière eapricieuse (lu soi!.ei'l. H utilise aloTs, en plus de ses projecteurs, un jeu d'écrans lui permettant de tamiser cette lumière ou, au contraire, de ~a réfléchir. L'opérateur adjoint ou caméra man est le princ ipal coHaborateur du ch efopér ateur. TI s'occupe plus spécialement du cadrage de l'image et de l'harm onie des m ouvements de l'appareil de prises dé vues. n choisit aussi les objectifs qui, placés sur la caméra, embrasseront une surface et une profondeur du d écor plus ou moins g'r 'a ndes. Un objectif à court fo yer permet de filmer ml obj et de grandes dimensions à une distance réduite, en gros phn. Un objectif à foyer moyen seTt pour des plans moyens, des personnages en buste ou . en pied, ou des objets qudconques, en se plaç1ant à une distance relativem ent f'a ible. Enfin, un objectif à long foye r, ou téléobjectif , permet d 'ohtenir des p rises de vues de sujets de dimensions restreintes à une distance considérab~ e. n existe aujourd'hui des objectifs à focaJe vari,abŒe permettant, sans dépiacement de la caméra, d'obtenir un effet apparent de travelling. Dans ie jargon technique, on a baptisé cet objectif lm « zoom ». Nous apprendTons à connaître le mois prochain le rôle des autres membres de l'équipe technique. Hermann P ellegl'ini
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Ma découverte de la Méthode Ward Nous reproduisons ici un article paru dans la revUe FRANCE-WARD de mars 1966 (No 50) en espérant ainsi piquer la curiosité de nombreux maîtres valaisans et les amene: à la découverte de cette excellente méthode de chant_
. Gomment d~'Ie, soruns entranLr lai s:ubslta11ll!ielliLe réalirté, ce que fUll"eTIit PQur mQi les d'ix-s-ePt JQurs d'e Œa: S<e'slS'l'On Wa;r d de Bulle, en SuàssJe? Un enchanItement ! Oertes, 'l e oadre ·p lein de cha~'me;s de l,a oaipiIt,alle g;r uyérÏlenn:e, ~"accUleiJ amical et rempJi' de prévteruanoBS d'e M. Andi'é, GQrbQz, dir<elcoour du Centre s'lJlis'S!e, la· paIrfaiflie org.ani.s'artiQn des CQ,UliS y furent PQur beaucQup. Malis les· l'eruaIrq'lJlaMes cQmp·éstencBS péda'gQ~iqi\l:BS et le devQuemenrt des prQfleiSS'eull's. à qui, incQrnhruit la, délicate ,t â·che de nQUS in!Ïtoi,el' aux rurcanes de [a méthQd'e fw'ent, avec [Ill décQuveI'tJe de cette de.rnièl'e, ~,a caUiS·e pl1.incoÎipa1e de cet enchanttement. GrâCe à Mme O. Hertz, di,reCitrirCie die ['Ins'tilturt Wm',d , et à Slll cQllabQ'l'aItrice, Ml!}'e Bady, l'a pris'e de CQIlItaIcrt ta'Vec '~ll' péda·gQgie «Ward» fut 'e x,eeilil!enil'e; Qn ne PQuvait en effet Il'le'cevoil' un el1SIeJÏgnemenrt p~s fidèl,e à l"esP'l'lÎlt die son aureur. MQn ·a dhésiQn à l'a cause W:ar,d fut toO'ta[le, tant MIJl'e Hertz surt en dém'Onitll-el' ['a vall'e u:r, Ja ir iches's'e et l'e sérireux. Et PQU!I.~l'anIt ... j'étais allTivé à Bu[l1e' nQn s'a ns quclques !l'bti,cenc:es ...
Si ilies S'll'ccè'S Qbltlenus pal' M. GQr.bQz a'Vec I-es· enfants, de !I,1a maîtl1i.g'e ne m'éta~' ent pas ÎlncO'nnUtS, si je cQnnai'Sls·ais: SQn enthQusi:$ me PQ1lII,' m MérthQdle W'a'l',d qu'ill p:l'aItiquai't depuis plUiSteUirS années, j'éttais heaucQup pLus, rés'e rvé qŒ:lIl1Jt à l'effi'oRcité d'une méthQde qui, Vue de l'extérieur, m'appalralÎssaÎ,t bien cQmpLiquée, vQi,r e un peu anhaïque. Ne dislliilt-Qn pas qu'eUe p,ratiq1l'arvt ~Ies clJ.é& d'ut qUie nos -cQns'ervartQil'B.g eux·mêmes avrui·ent déllalÎls sées? N 'OlS a,it· el.JLe -pars ,de l·ar r-dI'altivirté des ~ammes fQndamentail'eiS m·a~leures, et mineul.'es' ? PQuvait-Qn, en ce XXe siècle, uiliillisel' des prQ'c édés 3JusslÏ éJémentJa,iIl1es, :VQljls~n>s ·d e .Ja .S'Ql mi'saltioOn du MQyen Age? Une lex'pérÎlence de plus de q'lllÎnz'e années' d'ens'e ignement dans lies éCQlles m'avalÎlt permis d'éLabQrer une méthod'e pers'On\1'e[~'e réa1lis,anIt la synthès'e des meil·Loors procédés pédago. giques mQ'd,et'l1les: Mall'tenQt, Samson, Mme Raymond Sauvain (Neuchâtell), TQnica..·d'O, GeQffr-ay. Chev,a ils, eltc., dQnt j'étais enrtièreJmeIlit sillit-LsfalÎrt. TQUltefQirs 'Un prQblème me p'réQccupai.rt: a'UIt'Qur de mQi, l'absence de prQgramme préds,
lie mll'l1que d'UIIl-ité d'ens'eig\1lemel1lt mUisical ét,ruient caUiSe que je l'ecevru,s" d,a ns m:e s dasse6 à !l'EcQle nQIl:malte, cloes éJlève<S PQ'W' la plruparN i'l1Suffis'a mment p r épa:r ées·, nQt,a mment quant à l,a formatiQn sre ns,QorieHe de balS'e. QUIe peuvent, daIl5 ces CQooi-tiQn&, t}1e;s effQl~t.g d'un prQfesseur, slÎ Men ini1'entiQnné s'Oi, t-ü~, avec deux !LeÇQnrs he,b dQma,d,a,i:res· de 50 minures? J[ dQÎ't rout l'e>prendœ à ['a hase avec d,es élèves· dQIlit J'âge psychQ['Qgique cQnslt-iltue un handicap à certa,ins exeroi,ces s-ensoriels ,i ndisp'el1lSahles·, oe qui pam.-ail\}"Sle iliQute tetntartive de .trav.wil en prQfQndeull".
Ce s'en't'Îment d 'impUiÎ:&S'~nce me foo(S'a'ilt dés:iir er d,e puis, [:oug,te'ffiPS ~'emp1Qi, 6'U1l" le pll!llll sco!l.ruiœ officid, d'une méthQde objrecrtive, mUiS~lcar1e et cQmplèItJe, app~ilcaMe pail' Iles ltiltiUll:aires die cha'q ue oloatSse. permettant il.'é1abQil',ati'On d'un prO'gramme p'r ,é cilS , ais'émel1lt cQntrôlable à toUS Iles degrés de 1a fOl'l1latiQn. CQnv,arÎncu 'p -alreXlpérieuce qu'un pl'<ofess'eUT iSQl é, si 'hahiJlJe soi't-iIl, ne PQUlVairt à ilJui srem retQurner une situartion ssi pl'éca,i re, je déddari de me rendre à Bulhle PQur y é<l1udier ('a pédagQ g'1e «Wai',d ».
Ge f.urt ail'Ors une vérÎltaMe décO'llverl'e. L'artmQsphè.J.'Ie de srimpLieité et d'inItens!e activité d'ans .JaqUJeliLe n'Ous' fûmes pl'Ong·és· dès ~Ie p-remier JQUil' d'e la s!e&Sion, l'a pédlllgQgÎle vivante ~ Lucide d·e nQS maîtres 3 iChevèl"ent de me convali\1iore. Les quelques réticences' dQnt j'ari pa,r'lé Sie dis'Sri,p èl'ent aru fur et à m-e6ure qu'à h ' aIVel'S rasslÎmi~arti'On des pT'eIIJliers cha,p itres du prem~1eJl' Hvre du ma.îtr-e s'e dégag,e a J''e.'lipT.tt d:e [,a méthode. CQmme Ml11e He'l"tz a r<a:Îs'Qn d'e xi'g er des musicÎlelllS prQfessioxme1s qu'ils paS'8!e1lt pa·r la firlièpe des d-ébnrtant·s ! un 'aibîme sép'aIl'e, en effet, [.'exPQsé à fa:JJlrure q'U'e['qUle' p'e u sèche des ex'erdces de chaque chavirtr.e de J'e ur pré!soen't,rutiQn in concreto. Avec qUielle jQ!Île j'e cQnsrtatais' Mentôt que !l'Qms- ~es' éi~émenlts fQnd'aIm'e ntaux de [,Il; muslÎqUle: haurteur, rythme, inte'l1Isrité, rt imhre, nQn se1ll1ement n'btalÎ.ent pas néglllÎ'g,bs, puisque ilJa, méthQde Ward irlequiloct joul'U'e[;I,emerut· des 'exercÏ-ce.g, d''llItitJenti'Qn a'lllditive, de mémQris'aItiQn, de développe'ffi'enrt du s'eJlJS rythmique, d'iuvenlt1i.Qn IeIt de c·QmpQs.iJtion, mais enCQ·r e que ceux-'ci s'Ont re'li és, dans Il 'Mudle, quarslÎ Qr~aniquemremJt aViec 'UIIl aIrt géni,aJl d'e [a' prQgression. Cette rigueull' et c'eI1:il'e loOgiqure dams l1'exPQsé d;e [a mrul1i.è:t'e à 'enlS'eignell.", cette prudence dans la prO' g,r ess,i Qn, .Join dte pall:ailys'e r QU d'ennuyer l:'enfant, 6'Qnt PQur hci Wlie S01llrcre d'éplV no-uiss'e ment et d'e jQi'e , 1u~ dQl1I1Iaut cQnHanoe et aSlSu:rance à mes,lWe qu·' il prend CQns-oÏenc'e de la SQilidÎlt'é de S,Qn savoir. C'<esIt ég,ail'e ment 'enCQre une iIll'QUJVai1i1e péd'a gQgique que d'avQIÎIl' song·é à rbp'aJritir la mwtière à el1's'eigl1ler en chrupitres Men dQ!SéscQil'œ6PQnd·a nt à trente s'emruines de seQLarité et exigeanrt cha,c un ainq ~eçQl1S' hebdQmadaiIr.es. Mme Ward eSit sans doute Ulne des premières à a'Vo,i r cQmp'l'Ïos p'r alti'quement qUJe mmusique un dangarg'e, lrequerl dQit s'e pader tolUS (J,Ies' jQUll\S, pour être arssimiil é. FlUe 'a même poussé le souci poo,a'gQgi'qUie jusqu'à prévQir u'l1le dildadi-que p'all'rt.i:cu~ière, dans chaque chavitre, PQUIl" la p ré6entrutiQn de t-QUit'e nQltÎon nouVleilJ1e. est
MIllIÎ,s, ce qui me pall'ait être un d'e.g s'ecr-eJt,s die la mé'tlhQ-d.e WillIl,d, c'eg,t oette 'Pl'QfQnd,e uni té qui, à travers ~a divel\'iité des a-cquisi,ti'Ol1S du p,roOgl"amme, règne r1'Qut au lQng :les étud,es·, g,r âce à une ingéni'e usre ifIechni'Q'UIe de tIl'illlVaitl: méoalllÎ.sme préciiS' de iJ.'·étUid'e des interva'l,1e's e t des mQuvemen'l\S méLQdiques' aru mQyen des d:illl'g,r ammes chiffrés O'U sur PQrtée; mécanisme d:e l'értu,d'e des schémars rythmiques dQIlIt t'QUS ~es' mQ'd es rythmiqu'e s peuvent êtl'.e ,a,ss,i miil'és- grâce au mQyen de qu'aiWe ~es:(1e.g paIrti'cuil~ffl'ement Men értudi,és; mécarrui.'Smes de .'.nrém ori\5lruti,Qn vis'UleNre bas·és SUIl" l'ob:slervartiQn en ,vUle de f.ad~~'ter l,ll' [leotu'r e gllobai1e, études des d ifférentes cLés, eX'erokes d·e PQSte die VQix, d."aII."ti'cuJaltliQn, dictées, prQcédés de cQmpQsirtiQn, exerCÏoces d'imprQvi,sllllt:i-Qn; tQuj'OUTlS la oochnü.que soOus-j,a,c ente à ces d,ivers- mécanismes d'a'SSlimi1a'tiO'n res,tle const,a nte. On p'l'Qcèd'e sys'témaItiqUiement p.a;r étude séparrée de chaqwe nO'U'Veil ·é lément. puis .Qn en f'aIÎlt ~a' synthèse pOUll' arb Qurir au fiai~ mustÏ'ca/l viwnt, dans rexé-
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(}uti'~m . des m'élod~~ ' s·a ns paIl'olLes ' ou 'd-es chanltts. · Mêmes gestes synthétiques du hras pour lia reconnai's<S'a nce du mou~ment '· mélodi·qu:e, d-ânlS les d.iotées, ou ge51te.s an'a llyliques des dOigte pOUll' ~ reconna'ÎlssaIlce -<Ires ·notes·; même dilspos.iltion des i:nc-itSlCS mé!J.ordiqUJe.s dillrJ1s ['édlalboiJ.'at'Ïon d·es 'compositions mus'ica:l'es, condui's'étnt 'a<ÎrllS,i à l'aprp roche d 'e lia fo,r me. Grâc'e à c'es mécani\S,lU~ .de , hase" rl'enf.ant s·e . reh'üuv.e, ·à chaqu'e Jle,çon, en .tierrain connu. On voLt ['intérêt de ces rêfltexes au point de vue chl! ,r ythme 'e t de lI a vie' des 'Lle çons·, d ,e lia conc'entrattJion et de !La dilSdPHne d·e lIa ol~>ss'e. Absence d ·e v'erbiage elt die théorie inurti:1e; dIrimait exC'eptiollme[d,emerut act-if. AUh'e découvel'te enco,r e: Il.ar fo,r ma:tion mp'd alre, J.aquel:lre jus'l'ifi.~ !l'emplLoi d'e ~'a' relativité
d·e Do, Ce mod.e es·t conçu, non <s'ewl,e ment 1 ~omme not,r'e toradirti,onI1Je[ mode ma~l(m~', maris encore comme une espèce de mou:l'e o.rigûnall , contenallrt v-iil'tu~Nement en Ju.iÎ tous ~'es autrea !Il.o~es, selon que ' chacu~ ,de. ses; 'Sons ll'a·tuJt'ell~ est pris tou.r à !tour CO'11'l!me tonirqUJe. L'ingé. nli os itê' :d.e ···· "I.a- mêt40d.e rési.(l.e id d<aJ~s Il,e fiait que d'enfpnt, ipo~r ra~rsimill!el' l·es différents qu'à une écheUe unique de' S'• Clp:t sons . ayant toujouœ ·l es MUS et dermi~tons intel:va1I.lr és,. .ne s'e. 'réfère '. ' Co.· . eh·t re ~'~s mêrr1e~' no,teset qUie c't:1te \Srél'i:e <sonOiJ.'e IUiÎ pe·r met de ress'e nrliir «ès ,t ôt, g,r âce à la l:elraitivl·té,- oJ'btho,g PM'tiJcœl,ilel' de charc un de6 ~o' d.es. grég01'irell!s, pair exemp'l e,
un enrthousrira:sme CJUli n'es1 pas ~'è.g d·e s'ét'elÏl1'drre, en même temps qu·'elilie fUJt !l'ocoa:s·iro n d'un sérieux ' ex·a!Ill'en de . con<s'CÎ'e nce, ] Ie ravoue ici en tout'e humiJhé, ma· pratique péd'a gogique, c~nfro nté'e a·v ec la péd:arg ogie Wm;d, m'ar ·révéLé hi'e n d·es lJa·cunes·, en pa·rtti'c uIHoc l'erreu'l.· qU'-OI1lt l'a plup·a'l'l des . maîtres à voudorirr a'v anc1er trop vilt e dams lieS débuts? adns:i ·que la· manie d'a,i d'er l,es élèves de Ilia voix à La morind.r e diHi'cullté, E n qulÎlttamt oeitte r5IBSrs ion WlaIl·-d si en~ichi<s'S;aa1if1e, joe p'en<s-a'Î<s qUie [là étraJlt, à n'en point douJter, lia plranche de saJut -de toUlS lIres prrofless'BUIl's de chanrt qui ont renCOl'e à C~UIl' .de cl-onner à'100.1.'6 élèvèrs ul1le formralt!ion ·so:Lid·e et pr-ofonde', toult en s'ép'aIl'gnant Ire:; déboi,r es et les perl\tes de temps des· Il ongues l"echerches ·e t d·es expériences p'a doi6 déceva:nl\1es, ' C'esrt pou'l.'quoi il m'Ma,i t diffic.iŒ'e de ifaliœ Clet eruthou<siars me, au risque de lalSlS·er le lecteu r. Qu'·il velliUre bien excu<s'el' mon tr·op long ba.v ar,d·a ge en n'y voy<allt qu'un bien mod'este rtémoign:a~e de ma gl'artÎtudre 'envrers ceux qu~, pa'l.' lreurr compétence et ~'eur d,é vouement, m'ont offert I·e 'p'récÎ'~~<Ux cad'e au ole la 'S'esSiion Wa·r.d de BUIIJre. Jo'S'e ph BARUCHET,
La M-é:tho·d e Ward palr>aÎlt hi'e n êtr·e l-a sreUll'e ~ui a-Lt :réussi à ' abord.el' sy.srtémaiflÎquerll'ent +~ù.i,é1e ! a'e' Il a ' n~ddailite 'SUI): ~e' ,~.J~an pr.a:tJ.cill'e, dè.g Je dêhU!t du ~ollrfège. p.atrltout ailLeurs on ~ c'o'Mel1lÎ<e ', de ' dOllll'ei; quèrlqures noti'OJl\5. modra l,es, plulS théoriques que vécues, qui viennent se greff.e'r a,l"t-ificieldre'l11leI1lt SUll' C'elJlle d es modle,s dals siques. Av,e c J~ Méthode Ward, au. contra.i're, tla . nio'd a/l,ilté e st ' <s'enttire, a'cqÜûs e s'en~o,rieN'ement avec b inê~l1'e pl'ofon.d·~ · que les gammes 'bla;ssiqures ;' on voit . qüell ' enll'i,chi<SlS'em1el1't mUlSi'C'a11 elll e · procuré et ' aUIS·s i . qudrl e exceilJlente pi'épar~tion -éllrle ' 'aJppOl'te à lI a c(:mna,is'Sla,n'0e du chailllt [irtull'gique. . Si 'l 'ona ' be.auooUip p~~lé' d 'e .[~~xcel1enCie "dJé<s g·esltJes l'ythmiqitJ~ II, ' III, et 'IV hirnai re et ternaire au point de vue éduoa:tJion du sre ns ' ,r ylt h mi que , r~n n'a p·eut-ê-h-·e p'a s lliS's'ez relrevé tn.l ·.'a spect f011'damerJ.lt·ail d'e l'emploi de ces gesrtiesr eJt de:s cou~'hes cOITespondallltes da ns la nù·tàttlon: fa'i'r e s,a isl.r , non paiS parr des ,t héol'Î,es dép'a:s'satnrt l'eI1ltrendemen't des p'ertitts élèveS, rrtra-is de maniêr e virsiMe ret concrète 'la différenCie ·essreniI:iÎ'eJlI1e ent~ lI a' ~étr.iqU!e eJt le rythme. Le ges't e IV notramrment fait pa-s-s·er Ilia sre ns'a/tri on mlliS'c ulariT'e r ythmiÎque dll'l1.s !a voix, ûoll!t:r'ihU'ant a~ns·i' · à uP.'e pl"is'e d·e. consdrence l<le l1ar mus·irc-a:};jJt·é, ila qulel1Je est con~Té1lis, ée visureillemenrt paIl.' lœ M·à.hbsqures · de,s' al'Si;g et de·s llhês'vs, s·ans qu 'J!l S'oit' né:ces:aiÎ<Î'e doe r'e coul'ir à des indioat-ions dynamiques trop SOUVrel1I1: 6ubj'ecttiv'es'. On ne pouv·a~r t 1'l'oUNel' pil'océdé p!lulS s~rilp1e 'e t ' p~us effi.cace pour étab'litr, dès ['e début d.es érode:s'; une 60~lird'e hibrrarrchired'es v~'eUl'Sda'I16 l'orr d.onnance du " 'mouvemellll: s'OnOire.
Jil faitdl',a.j:t ·.encor·e pa'l.'ler du . go'û t qu:i pl;ésiÎrd'e ' à , ~'élarbol'tàlt:ir()n des rilé;lodies et' au choix des chants, doe l'arr.t avec Lequel Mme W'all'd ~ ~'éUlS<s:i à ram'e'l' 6impl1irc~lté et qurailiirt:é dams t'OU6 les exel'ci'ces jusqu'aux plurs 3moœil1lS'; rttel1s ce's eX'e·rciC'es d'apprl,i cat,i on méllrodirque des schémas
~YlihmiqUles,
parr ex'empl'e, ou oes brèves. pr-Î'èrers, dégage ·une pl'Of0l!·d'e 6'p irirmailité,
IÎn.'S~iil'ées·
du ' chanit . g6gorien, d'où
~e
On vovt comm.'eNt ' lia pbdagogi·e Wall'd con\S'l'Î'tuIe un tout oompl'e t où tous les él·éments, après . ~voirr é1té " ~tJudi& . <s·ép·aIl·:émel.llt, lSont Terl ié·S' qulfuSi orga:ruiquement en une adrilirable 6'Yl1'thèse en " vue .de'· l"exécùtion pla·r~ail'eniellll: . mus:ical1e des mélo'd i'es et dle<S cha:n'tis; comment, à pail.'ltill' d'exercÏües lS'ens'Ûl'i'eJ1s cenit rés sm.' Il"arttentl'ion aud,ilbiVle, l'o·b srocV'alNon et [a mé.moruation, on 'fruit -accéder rl'éll ève ·a u fUIt :e:t à mesure que s'é1I.arrgit I,e vO'oobuJai'l"e 'et que nMss'enrt ~es 'l'éflexé& dU' lain~arge mUlsi;owl, jusqu'aux a'c qulisàtl.oIlS thé&.riqurers dre la 'période de réflexion ..
' Com~'ent
é~ha,taiUd'a: ge pédagogique .ause;i ·· génilall n'empol'il'erni:t-:N P<4s l'adhésion ttg " t~rirt: ~érit-ah~ édùcatefu-? "Poùr 'm on 'c ompte,: lra,;. ô&:ouv.erte de ~18 Méthode W~d susctta un
professeur à l'Ecole normale de jeunes filles, directeur des Petits Chanteurs de Notre-Dame, Sion (Suisse),
",
PARTIE CORPORATIVE
NouveUe association d r éducateurs de jeunes inadaptés, L'acc.roÎ-s<s'e ment constant d·es jeunes ina,dapt&<; ohIrige Les Il1tSrtituti-ons vairaris·a nnes à agl'an dh: l1eUll' cenh'C -d"accureN eJt à a,voirr des éduoaltreurs spéci.all lis·é6 tOUjOUl'S p~UIS nombreux, C'est dans cette pel'Spective qu'une -s'ecil:i-on vailrais·arnne ,d'éduc.atelUrrs a été fon.d,é e, mercredi 23 mall1s à Sion. Cette Srect'Îon est l'art,ta,chée à l~A<ss'Ûdalt.ion Romande des éduc·a:rClUrs de j:eunes inadaptés (A.R.E J.!.) fondée en 1957 et 'l'Ieprés:enté'e 'acil:Ure:lJllement pail' tou<s 'l es c·anifon<s romaillds. Les repr.ésenta,nt.s de -t'Ûute<s ~l e'S Ins-tiltutÏool1iS et des grourpements d'e j'eumes i~ard,arpt&<; se rencontrèrent à Sion pour l'AslS'e mMée COI1tS'tÏrturtive de Œa section . varl~annle, M, Çruchaud, président romand, fit un ex.p os'é 'SUIl' l'hwrtodque et ~res hurt<s de rARE]!. Les start uts prépar&<; pair un comité p.rovi's·oÏ:re, a:prè.g · quell:qules I.égères mo dif.icat·i ons, furent. a.cceptés à l'unanimilté. L'élection du comité
rrert int pa:rt-iculiièœment '1'ra:ttrerntion -d'es prurtÎcipa<llits. Une divergence
à propos du n'Ç)mbre p,rovoqura qU'eiques di\S'cUIS,s ion.<s. Finall'emenrt ['AlSs'e mhlée 6'arrêta RU noml)l:e d·e 7 qui d0l1na.1t ~.a pos'S,ibillirté de l'1epr·&<;'en.ter il;es divers . gl'ouip'ement<s s'illtéreslSa~.t à l'édu cation de jeunes inadaptés .
-M.. Andrê Berd:a'z, p1.'bslÎ,q e.nt · prrQv,Îls'o ire et. a'I1imaiterur qle ,c1e1't·e .~nèo!ltr~; fut ..inll>Î~rten:u dans ce:tte"'charr ge' P'llil" ' ilccllam'a:tion ' pOUrr la' d~'ée dce tJroÎls ans. !JI il"ep.r é·5'ei1fl:!e ainsi a'Vec M. G. Lam oJ1 . lé .Home Sa:irut-Ràrphaë,l ~ Rvde sœurr Bénédicta fut a:ppell,ée à représ'e nter ~'Institurt . '. -- .
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de .NOil!re-Dame ·d e· LO'llIl.'.d es. à Siie!'re. et M. Pi~i'e COTlllut cellrud du Bouveret. MiN'e Bertrand psychoJ.og·UJe, MUe Rober:t-Tl\Ss-ot, aSIS'lstan:te sO'c'lwl~, Mme Rei.chenba.ch, illiirt1i'tultrice srpéciali • ' fUirelllt éga1l1cmoot Mues membil··eg du corruité. 6ee, Au charpitre divers, l'es· membl'leS d'éci.dèl"eIllt d,e ten:Ïx 1eur AsslelIn:Mée génér.rul'e , ment dall\S chalCun des Inst'Ï't'lllts 5ipéciailiÏs-é:s, 'aU débwt du print>emps..
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La p·r~ence d'éducaiteUll"s, de psychol,ogUJcs. et de travail1leurs sociaux prouV1e rimportan ae cet7fie nou'V'elil e 'aIS&o·cialtÏ-on aJPip'e Jée à ~:épon.d:l'le aux besoi.llS 'l:oujou~ pdus g'l'1a,u ds de jeuness'e inad.arpltée v'a,lalÏs'anne, a
,ce
Lamon Gie
Au perso~nel enseignant féminin du canton du Valais Les maÎt'r esses qui ont encore des collections d'échantillons en souffrance vou dront bien nous les envoyer au plus vite. Nous sommes déjà en train de monter ceHes de la s,aison prochaine. Merci d'avance. Nous liquidons de q'a hine Chaussettes et PuB. NOMOTTA à 1.45 et 1.70. Nous avons l'eçu des ciseaux SOLINGEN meiliJ.eul' marché, même dimension. D'autre part nous vous invitons à ne pas arrondir en-dessus ou en-dessous les montants à payer, ce'CÎ pour éviter des écritures supplèmentah'es pour rét ablir les hal:ances. (Excepté les cas d'erreur). Encore une fois MERCI!
A VIS
Dépôt scolaire des ouvrages fém inins du canton
L'AssemhMe ordinaire triennale de la Société des Institutrices du Valai
r~~a?d étant · fi~ée au jeudi 26 mai, toutes les dass'eS enflantJines et primaire: dlngees p'a r des mstitutri'ces auront congé ce jour-M. . Ce congé spéciJa!l ne sera pas déduit ijes congés scolaires offideJ-s fixé par le Conseil d'Etat en séance du 13.4.1965. s L~ 'Chef du Dép·a rtem·e nt de l'instruction publlique: M. Gross
Sion, le 2 mai 1966.
Cours d'initiation à la varappe L'AMGVR organise: un cours ·d'initiation à la Viarappe, du vendredi 1 au di,m ·a nche 3 jumet au Grand-St~Bernard. ' Direction du 'c ours: Chanoine Rausis, prieur de l'Hospice et guilde diplômé. Logement et pension à l'hospice du Grand-St-Bel'11ard. P'I'ix pa,r jour: Fr. 12.-. InscrÎ'ptions auprès de Roger Theux maître de gymnastique, M'a rtigny, jus'q u'·a u Il juin. (Téléphone (026) 21423'). Une 'c ir:cuhire seva adressée à chaque participant. Al?rs, vous qui aimez la montagne, non pour y f aire d~s exploits mais parce qu'elle est une école de vie ... Vous, qui 'aimez vous mesurer avec l'obstacle pour découvrir vos possibilités et les développer encore ...
Cours d'initiation au programme pour les maîtres des classes de promotion Un deuxième cours d'initiation au programme est prévu cette année, au début de l'été, pour les m'a Îtres appelés par Il es inspecteurs, en accord avec les com,m issions scolau'es ou les diTections d'éco1e, à diriger de nouveHes classes de promotion. Ce cours aUI'a lieu du jeudi 30 juin au samedi 9 juirlilet inclusivement, à l'E·coite normale des instituteurs à Sion. Il sella Idirigé par M. l'inspecteur Camine Siel'l'o. Des instructions détaillées parviendront en temps opportun aux participants qui sont déjà priés 'ete ,rése'l.'ver les dates indiquées. Le chef du Dép1artement de l'instruction publique: M. Gross Sion, le 3 mai 1966.
P~LERINAGE
D'ElE D'E LA SUI'SS'E ROMA DE A N'OTRE-DJAME DE LOURDES
Oe pètLel'ina:ge aura Heu -du 17 au 23 jui[lleJt 1966. LI s'm',a prés.idé pwr S. Exc. Mgr ADAM, évêque de Sion. Depuis qUlBI,q ule<S' armées, !Les, memb'l"es du Per..sonnel ens'eÎ.gnant paIl·,tici.paient vo'l ontilm\s à ceUe l'encollitl',e maIl·iall e.
Vous, qui ·aimez [a montagne pour y travailler en équipe, dans un esprit d'entvaide et de IC()lIŒa'boration ...
ILs s'eront les hi'e nv,enUls cett'e année égall'emen!l:. Les Dames peuvent se rendre utiles en qua1lité d'-inf,Ï<rmièœ:s et le,s MesoS'Ï'eur\S comme brancar·di'el' ou renfo-rcer l'a Chornl·e .
V ?Hà d~ grand -air p-Our vos poumons, d.u caJme pour vos nerfs, l'ocoasion de degourdIr vos muscles et de madnteni,r votre corps bien entraîné.
PO,U/l' il·,ensICiignements et inscri.Jp,t-i'ol1's, s'a:d.resoS,er à Jeal1·0Jivier PRALONG, rte du RarwyiL 45, 1950 SION.
L~ chef te1è'lihique': Roger T h.ërJ«
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Radio et télévision scolaires
Caisse ·de retraite .. 1
Nous rappelO'ns les dates des prO'chaines 'émissiO'ns d'e rad.iO' et de té1évision scolaires:
1.
RADIO SCOLAIRE:
Mercl'edi 18 m 'a i 1966 JO'urnée d·e !la bO'nne volO'nté,. 1Il f,a ut va,i ncre lia lèp l~e (S) par Yvette Z'Graggen. Vendredi 20 mai 1966 HistO'ire de l'Orchestre symphO'J?ique (IS), par R O'ger Vuataz. Vendredi 27 mai 1966 LO'uis XIV O'U b fin d'un grand règne (6), par André Char,dO'nnens. Vendredi 3 juin 1966 Les grands tl'avaux de l'homme: Le métrO' parisien '(M. S.) pa.r Ro!1and Hindenberger. Vendredi 10 juin 1966 PrésentatiO'n d'un instrument: La flûte (.M. S.), par André Pépin. Vendredi 17 juin 1966 L'eau, par Claude BO'dinier (S). Vendt'edi 24 juin 1966 Une jO'urnée au 'C hâteau de Chia'IO'nau temps du CO'mte PielTe (M. S.). Les émissiO'ns O'nt lieu trO'is fO'rs dans 'l'a jO'urnée: le matin à 9 h. 15 et à 10 h. 15; l"après-midi à 14 h. 15. La cO'mmissiO'n rO'mande de lia radiO'scolaire reçO'itavec intérêt, par l'intel" médiaiTe du Servi'ce de l'enseignement primaire et ménage.r, ~es f:i..ches criti. ques sur chaque émission. II.
TELEVISION SCOLAIRE
Mercredi 18 mai 1966 Les instruments de musi'q ue: Les CO'rdes (M. S.r Auteur: Franz W:a lter Réalisateur: Glaude Clu,chO'n Mercredi 25 mai 1966 La fO'nte d'une clO'che (S): Auteur: Kurt Felix Réalisateur: ETieh Rufer Ad'a ptatiO'n française: Ima'g es: Jean Bovon Texte: GeO'rges Ha:l1d-y Chaque émissiO'n est diffusée 3 fO'is d:ans la matinée, sO'it à 8 h. 30, ·9 h. 15, 10 h. 15 et repri'se ie samedi après-midi de h 'm ême semaine. L'envO'i ·des fiches critiques est recO'mmandé. Sion, le 3 mai 1966. Le 'c hef ,du Dép:artement ·d e ['instructrio~..puh~~~~~
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.l!!. _Gros~._
L a question parue dans l'EcO'ie vailais'a nne du 15.4. a prO'vO'qué un certain nO'm bre de réactiO'ns dO'nt 'nO'us nO'us réjO'uissO'ns. Ce sO'uci d'infO'rmatiO'n nO'us encO'urage à préciser nO's pensées. . - ,L es assuTés savent qu'il a été fait appel à MO'nsieur le Dr Kaiser pO'ur étu dier ae maintien O'U la suppressiO'n des rachats l'datifs à la dernière augmentatiO'n des 8alaia.'es survenue en 1963 (vO'it' pubJi.catiO'n E.V. (lu 15.1.66). - Les assurés ·aurO'nt pu lire dans la publioatiO'n précitée, qu'un débat était O'uvert sur -la revis-iO'n généra~e du Règlement de l,a C.R. - NO'us sO'uhaitO'ns vivement ce débat. PO'urtant des bruits circulent sur les cO'nclusiO'ns des actuaires s'a ns que ce débat ait eu Heu. . Si ce déhat signifie ,discussiO'n, il appar'a ît qu'une Assemblée générale des . assurés devra'i t être tenue avant que les travaux actu·ariels sO'ient achevés. - NO'us sO'uhaitO'ns dO'nc un débat sur les prO'blèmes de la C.R. dans une Assemblée généra1e ·des 'assurés et des pensiO'nnés. Nous doutons que le comité de la C.R. O'U l'Assemblée ·de-s 'dé/légués puissent remp·b cer les assurés dans des d écisiO'ns qui vO'nt peut-être bouleverser l'ordre établi. Nous pensons qu'un débat sur les principes généraux de base d'une caisse de pension permettrait au 'c-O'mité de 1a ·C.R. la mise au point des questions de détail 'a vec la gat'antie de r épondre aux désÎl's ·des assurés.
1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
9.
- L'O'rdredu jour d'une teHe Assemblée pourrait se présenter ainsi: DésiTS des assurés (rente en % - écheHe ·de rente, etc). PrO'pO'sitions -pO'ur 1a réalisation de ces désirs (capita1isation - répartition). FiX'ation des années de cotisation (35 à 40 cO'tisatiO'ns). SuppressiO'n de tO'us les r,achats, y compris ceux prévus en C'as d'augmentation de scolarité. Principes« d'indeX'ation » des pensiO'ns. Précision de 'la nO'tion invalidité. PrestatiO'ns spéciales aux proches de l'assuré quand celui-ci a des obligations 'légales d'assistance. PensiO'n du cO'njO'int ,de l'institutrice comme b p'ensiO'n de la veuve. Divers.
NO'us avons un'e document'ation sérieuse SUT chacun des points de ce projet d'ordre du jour, mais i1 est indispensable que les principes de base soient discutés' en a,s8emb~ée piénière. - A partir des conolusions de l'Assemb~ée, le Comité pourra exposer au Dr K.aiser 19s intentiO'ns réeltles des a-ssurés. li appartiend.r.aau Dr I(;a,i'seT d'étabŒtÏr si e,}~es sont réa[:isables. TO'ute autre prO'pO'sitiO'n séra reçue avec Je plus gt'and intérêt. . P. Fauchère
Caisse de retraite
Il L.es membl'es des 'c omités des assoCÎlatJi.ons du personnell ens'e i'g nant des dist ri.ct de Slerre et de Sion réunis pour une séance commun'e 'Ont prris connaissance cl S l'article précité. . . e
,. fi était. util~ que notre coUè?ue Pierre Fauchère donnât un cDmplément d mforma1IOns a son trop l'a conlqu,e entrefi['e t paru d,ans le No 8 de hot • , :1 HE l . . •. re ]ournalL «~ 'c oe va:lalsanne ». Nous ~e iremerŒOns, oar a.inrsidétJa~Ulée sa pensé At ' d' , l . , , e pourra e re etu lee par tous' es lnteressés. ' , 9?'a nt à n~us, ~'e;mhres d ,es comités ?es d,e ux dis.tTiot'S, qui avons été à 10nglne de 10ppOSItIOn aux rachats quI nous paraIssent trop lour,ds quO , , et pousse, 1" etll! de 'd'un nouveau l'èglem'e nt p1us conforme' aux1 av?ns suggere eXlg,ences ,actu~lJ,~s ~t pToposé, l'avis d'un aut~·~ expeTt, nous aimer1Îons qu'on prenne en conSIderatIOn, pour etude, les propoSlitIOns Fauchère. L?in de. nous Ja .pens~e ·d'e contrecarrer l'a'c tion dévouée du comité de la Claisse qm a 'c o'm pns qu un souffle nouveau s'est levé d,ans la grande vaUée. nous. croyons encore moins qu'un expert puisse se lai's ser influencer par le~ partIsans ou les opposants aux ra'c hats ou à un système quelconque m'a is nous restons persuadés que si la ,d élégation de J1a caisse chàrgée de prendil'e contact av~c le Dr ~(aiser pour exprimer ses désirs 'a coeptaü ,de s"a,djoindre que~qu'un qUI a œuv'r e de toutes ses forces vers des solutions' mo'd ernes le résultat n'en serait que meilleur et ce comnlun a,c'coil'd contribuerait gr~ndement il est certain, à l'ap'a isement des esprits. ' Pour ~e ,district 'cOO Sion:
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Vell(~'redi
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2.9.1966
Sam 'e di 3.9.1966
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pour le personneil ens'e ignant du district de M:artigny. 'pour ie personne[ enseignant des districts de St-MaurÎtce et Entremont. pour le personn'e l enseignant du district de ·Monthey.
Les maîtres intéressés voudront bien réserver ces dates dès maintenant. o.e plus ·a mples renseignements seront donnés par convocation personnelle a.dr eS'séedans le courant du mois d'août. Les membres du corps enseignant que ce cours 'c oncerne et qui ne seraient pas invités à titre individuel (en raison de changements qui interviennent 'a u début d'une nouvelle année et qui ne son t 'pa'S encore connus du Dépa;rtement) s',annoll'C'eront au Service 'c antonal de l'en seignement primaire et ménager avant ~e 26.8.1966. Sion, le 3 mai 1966. ,L e chef ,du Départ'e ment de iJ:'instruct:ion publique: M. Gross
BIBLIOGRAPHIE LA VIGNE MORTE. - L~ nombreux amiSJ de Jean Follonier se réjoutÏll"orut de la publication de cet ouv'l'ag'e cO:Ilis:acré à ila vigne. Ges récits', d'un 5,ty11e tl:impide et per\Sonneil, retLa,t>erut les diverste8 préoccupations du vigneron au 'coUirs des! 5'ruffions 'eIt noUis font particip'e r à ce!r,tatÏns aJSpects patrfois méconnus œes étrupes suCc.:eS'S-iIVe:s qui -coooU'i'slent 'I liUX joies du vin nouveau.
M. Zuber
ToUIS ceux qui ont iaipprédé ['es précéderutes puMicatioJ'll'J' de ] 'e'an Fo!l1onier, tous ceux qui Il e !lJislenlt 'r éguilièrement d'a ns 'Les difféorlen't!s jourmliu x du pays, ne manqu1t'Jl'lorut I(Hl5' d'acqué· l1Ïtr UIll 'e xemp[la'h 'e d'e «LA VIGNE MORTE ». '
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Au degré inférieur (7-8-9 ans) Professeur: MHe Madeleine MélJthey, rue Chanoine-Berchto!lcl 20, 1950 Sion
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Aux degrés inférieur et moyen (7 à 12 ans) Professeur: MNe Gertrude Canupt, 1915 Chamoson
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IV. Cours de dessin Cours No 12
Degré inférieur Professeur: MB'e M.D. Fresard, rue Carteret 2, 1200 Genève
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Degré moyen Professeur: Mlle Rina Rio, 14, route d'AIt, 1700 Fribourg
Cours No 14
Degré supérieur Professeur: M. l'abbé Denys Theuril'llat, route du Rawyl 47, 1950 Sion
Cours No 15
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Néocolor et gouache Caran d'Ache Professeur: M. Gil Baihlod, Côte 31, 2000 Neuchâtel
Cours No 24
Travaux manuels féminins, degré supérieur Professeur: Mme Christiane Mathey, 1925 Finhaut
Cours No 25
Travaux manuels chez les petits (5-6-7-8 ans) Professeur: Mme Suzy Brunet, Pllace Centrale 16, 1870 Monthey
VUI. Cours de cu1ture artistique, littéraire et cinématographique Cours No 26
Littérature et histoire de l'art Professe~rs: M. Michel Veuthey, Diol1y, 1950 Sion M. Jean-Luc Bagnoud, route du Rawyl 47, 1950. Sion
Cours No 27
Formation cinématographique Professeur: M. Heil''lUann Pellegrini, 1890 St-Maurice
Cours pour classes spécia'les
Cours No 16
L'enseignement des sciences dans les classes de promotion - du 16 au 20 aoüt 1966 au CoUège Ste-Marie à Martigny Professeur: M. Vita'l Darbellay, ch. des Prés-de-Croix, 1920 Martigny
Cours No 17
Le dessin technique à l'école de promotion Professeur: M. Aug. Rody, 1784. Courtepin (JB)
Cours No 18
Le cartonnage: pour le personnel enseignant des classes de développement Professeur: M. Paul AHégroz, 3941 Grône
IX. Stages CEMEA Cours No 28
Direction: M. A. Gdl1et, 1200 Genève
X. Ecoles ménagères Cours No 29
Droit familial et formation civique Professeur: Maître Roger Lovey, avocat et notaire, 1950 Sion
Horaire des cours
VI. Cours de chant COUTS
No 19
Cours No 20
Cours de musique et de r)fthmique montessorienne Professeur: Mme Velin-Hamel, 15, Quai du ChevaI-Blanc, 1200. Genève Initiation scolaire musicale par le chant ProfesseuT: M. Joseph Baruchet, av. Saint-François l, 1950 Sion
VII. Cours de travaux manuels COlUS
No 21
La vannerie Professeur: M. P.aul GI'assey, 1967 La Crettaz s/ Bramois
Cours No 22
Travaux féminins: pour les l1wîtresses d'ouvrages m anuels du cours 1965/1966 PI'ofesseur: Sœur Jean-Marie, Ecole normale, 1950 Sion
Cours No 23
Travaux manuels féminins, degré moyen Prof,esseur: Mlle Angè~eRossier, 1913 Saillon
1. Horaire général 0815 Déhut des cours 1030 Pause 1045 Suite des cours 1145 Fin des cours du matin 1215 Repas de midi 1400 Reprise des cours 1515 Pau'S'e 1530 Suite des cours 1645 Fin des cours 1745 Messe à la chapeHe de l'EN des instituteurs Messe à la chape:lJle dru couvent des U,rsuilines (EN des institutrices) 1830 Rep'as du soir
Il. Horaires particuliers Lundi 22 août
OHIS
Ouverture du cours dé peTfectionnement (Le lieu sera précisé à l'occasion de l'envoi des instructions aux participants) 0.900. Première conférence génél"a1e 1015 Début des cours particuliers (pas ,de pause le · matin)
Liste des conférences·générales .et particulières 1. Conférences générales
Mardi 23 août 1630 - 1745 A l'écale secondaire régiona,l e des garçons: . Conférence pour ~es participants- aux cours Nos 17 et 18 (salle d'étude)
Mercredi 24 août 1400 Deuxième conférence généra1e (le lieu s:en~ ·. préci~é urltérieurement) 1530 - 1645 A l'école norma~e des instituteurs: conférence pour les participants aux cours de dessin Nos .12, 13, 14 et 15 (réfectoire de l'Eco1e normale) Conférence pOUT les participants aux cours de m;a thématiques Nos 8, 9, 10 et Il (saIae de cinéma de l'Ecole norm'ade) A l'éco'le secondaire des garçons: Conférence pour les p'a rtidpants aux cours Nos 17 et 18. dès 1530 Pour tous les autres cours: séance de cinéma à la saUe de l'Arlequin
Jeudi 25 août dès 1530 Séance de ciném'a à la salle de l'Arlequin' pour les participants aux cours Nos 8, 9, 10, Il, 12, 13, 14, 15, 17 et 18.
Abbé André Polaert 'Pou'r une mora1e év~mgéllique. Il s'agit ici de la dernière conférence généraŒe catéchétique destin~e à tc;ms qes partiiCipants du. cours cantonal.
Mercredi 24 aoû.t Commandant Schmid: 1400·1445 . Education et instruction routière. Bien que renseignement de Œ 'a circulation routière ne figure .pas encore .officiellement d,ans nes program.m es d'études, chaque maître est conscient ,-de. la nécessit.é .de plus en plus aiguë d'éduquer les enf.ants en cette matière. Pour venir en ai.de'. au pel'sonnel enseignant, 'le Dépa'l'tement de .'l 'instruction pubHque introduira au dépôt des livres S'colaires, à partir du début d:e i'année 1?66/1967" une documentation illustrée et moderne qui a déjà fa~t ses preuves dans un autre C'anton romand. La . conférence du commandoant Schmicl sera un rappel des responsabilités de l'école d:ans le dom,a ine de la prévention l'outière ,de même qu'une., présentation de la publicatiO'll que tous 1es maîtres aUJ1.'ont intérêt à se pro~urer.
Vendredi 26 août René Jottel'and, secrétaire général du Dépal'tement de l'ins1400-1445 truction pU'b1ique du 'o anton de Genève, président de J.a commission romande ·de télévision sco1,ah:e: Télévision scolaire suisse: Où en sommes-nous?
Vendredi 26 août 1400 - 1445 Troisième conféTence générale 1515 Reprise des cours pariicul'iers 1630 - 1745· A ['école second'a ire des garçons: conférence pour ~es participants aux courS' Nos 17 et 18.
Samedi 27 août 1045 Fin des cours 1100 Clôture offidelle du 36
Lundi 22 août 0900-0945
COUTS
·à l'aula du collège.
la téllévision à l'écal'e : f o·r mes div.e rses les émissions expérimlentaŒ'es de 196.4 à1966 ~e rôle de la commission centra1e "ei 'rôie des commissions régionales ~- iI.'é'la:boration des émissi.ons: · col:laborati~p: auteur-réarlisateur - ,l e ·(d·o ssier de 'documentation - la part du maître: p\rép~raüon -et exploitation des émissions . -
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apprédatiO'n et critique ·des émissiO'ns télévisiO'n scO'laire et ciném'a scO'J\aire -- télévisiO'n sCO'll 'a ire et ra,diO' SlcO'l'a ire -- mO'dalités et. cO'nditiO'ns de l'éceptiO'n (dO'tatiO'n des écO'les en apparei1ls récepteurs) -- vers un service régulier de tèlérvisiO'n scO'laire
Sommaire des cours particuliers CO'urs NO' 1
Cours catéchétique PrO'fesseur: Mlle Odi'le DubuissO'n, Paris. Ce cO'urs est d'e stiné aux m;a Îtres et aux maîtresses du degré inférieur qui n'O'nt pas encO're participé à la sessiO'n réservée à J'enseignement religieux.
Il. Conférences particulières a) Pour les maîtres des classes de promotion et de q,.~.t?~!oppement ~.. , ..; ,.' -- mardi -- mercredi -- vendredi
CO'urs NO' 2
23 aO'ût de 1630 à . 1745 heures 24 aO'ût de 1530 à 1645 ' heures 26 aO'ût de1630 à 1745 heures
Cours catéchétique Professeur: M. l'abbé PO'laert, Lille. CO'urs 'pO'1Ll' maÎtr·es et maîtresses du degré inférieur, déjà initiés.
Le d-octeur Rey-Beliet, directeur de l'Hôpit.a l psyçhiatrique de MalévO'z et MademO'iseUe Bertrand, psychO'[O'gue, traiterO'nt au cO'urs de trO'is cQnférences suivies de discussiO'ns, du thème «DévelO'ppement affectif de l'enfant et quelques aspects Ide psychO'p·athdl.O'gie ».
CO'urs NO' 3;
Ce t'rO'isième cO'urs intéresser,a le personnel enseignant du degré mO'yen, qu'il ait déjà suivi O'U nO'n une sessiO'n catéchétiqUe. -- Deux expO'sés ainsi qu'une célébratiO'n réunirO'nt pend,a nt la sem·a·ine les troo,s cO'urs catéchétiques. Chaque sO'ir en O'utre, à 17 h. 45, dans cha·c une des deux éCOlles nO'nna'l es sera célébrée une messe à laquelle les prO'fesseurs du cO'urs et les partidpants qui ne sO'nt pas retenus par d'autres O'bligatiO'ns sO'nt invités à participer.
b) Pour le~ participants aux cours de dessin -- mercredi 24 aO'ût de 1530 à 1645 heures Abbé Denys Theurillat: Dessin et éducatiO'n c) Pour les participants aux cours de mathématiques -- mercredi 24 aO'ût de 1530' à 1645 heures M. Léo Biollaz: L'enseignement des mathématiques: Film et cO'mmentaires
CO'urs NO' 4
Objectif: aider les maîtres du degré inférieur en leur .apprenant à cO'nfectiO'nner des jeux d'O'bservatiO'n et, avec du matériel peu cO'ûteux, de petits travaux agréables. Apprentissage de la lecture, jeux de caleul et de vO'cabulaire.
A la sane de
l'Ar~equin,
Codine: Film francO'-rO'umain de Henri CO'lpj, d'après le rO'mand de Panaït Istrati, prix 'du meilleur scénariO' à Cannes en 1963. Une présentatiO'n du fiŒm sera faite par M. PeHegrini à -l'issue de ia cO'nférence du cO'mm·andant Schmid. Prix d'entrée: Fr. 2.- p'a r persO'nne.. 38
Eco'l e active au degré inférieur Professeur: Mme Mina Hubert, SiO'n
III. Séance cinématographique Mercredi 24 aO'ût et jeudi 25 aO'ût. dès 15 h. 30.
Cours catéchétique PrO'fes's eur: Frère Vincent Ayel, Paris
CO'urs NO' 5
Ecole active au degré moyen PrO'fesseur: M.
Emi~e
MétraHler, SiO'n
CO'm-m ent cO'ncilier les méthO'des pédagO'giques traditiO'nneJ~es et les techniques d'enseignement modernes par l'étude du milieu, pO'ur mieux « préparer l'enf.ant à la vie par la vie ». Cette étude sera envisagée tO'ut spédaJement sous l'angle de l'unité telle que nO'us la décO'uvrO'ns dans le grand livre de la « création» que J.-J. RO'usseau nous invite à lire et St-F.rançO'is d'Assise à chanter.
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1
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Observer, comparer, chercher, réf!l:échir, se documenter, enquêter, collectionner, classer, expliquer, rédiger, voilà autant d'a'c tivités que l'étude du mHieu proposera à nos écoliers afin de 'd évelopper chez eux le véritable goût de la rec 1v>L'che persçmneUe et collective. "EHe permettra, d'autre part, d'atteindre le véritable but que se propose l'école primaire: apprendre à l'enfant à apprendre.
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Cours, No 6
Civisme et enseignement de la gymnastique au degré supérieur Professeurs: M. Edouard Cachem.a i!He, Pulily M. Paul Curdy, Sion
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GRAND CHOIX DE COMPLETS
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TI s'agit ici d'un cours à deux thèmes pour lequel nous souhaitons une participation élevée. , De nombreuses inscriptions permettraient en effet la formation de deux: équip'es, instituteurs d'une part, institutri'ces d'autre part, avec une adla ptation des programmes po'u r chaque équipe. à) Civisme
CONFECTION HOMMES - ENFANTS
CHEZ'
P 1528 S
LA CROISEE
SION
1. l'enfant, sa famiBe, son origine. Quelques articles du Code civil; 2. l.a classe peut être organisée comme une petite commune à l'échehle de l'enfant; 3. Ilia 'c ommune ,d e domidle: histoire, territoire, habitants, hÏ'ens 'Communs, servi'ces pubHcs, autorités, droits et devoir.s des citoyens; 4. Le canton: histoire, constitution, divisions a-dministratives du territoire, Grand ConseiJ~ Conseil d'Etat, referendum et initiative, la justice, les autorités judiciaires; 5. De h Confédération à l'Etat fédératif: l,a Constitution de 1848; compétences fédérales et cantonales, les Chambres fédér:ales, le Conseil fédéral, referendum et ' initiative,. . ,l e Tribunal f éJdéra!l ; . 6. ~'actua1ité; 7.' ,éventuelŒement, le Conseil de l'Europe, les Nations Unies. N. B.: Préoccupation de l'enseigp.ant: '« Que tout cella s'Oit vivant pour nos éJlèves ! » ,h) Enseignement de la gymnastique: 1. aux gail'çons du "degré sup&ieur: 'étabHssetp.ent d'un prC!gramme aill1üel; entraînement des aptitudes physiques (examen de fin S1co[arjté) ; , " édU'cation 8portiye, a.daptation . d~s jeux d'équipe.
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2. aux fiMes du degré supérieur: - étabHssem'e nt d'un program'm e de tl"avail. annuel; - bdu:c ation de la tenue; aisanoe et harmonie du mouvement; initiation sportive, gradation d,a ns les jeux d'équipe.
Cours No 12
Professeur: M:l[l:e M.-D. F-resall'd, Genève -
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Cours No 7
Ecole active, cinéma,: té'l évision, au degré supérieur Professeur: M. Edgar Sauvain, Bienne. Ce cours voudrait montrer l'apport extraordinaire que peuvent être, qruand ils S'ont judicieusement choisis et exploités, les fils d'enseignement, les documentaires, ou même certaines émissions térlévisées. L'appm.·t visuel alllié à l'apport auditif est une excellente formule d'enseignement vivant et efficient. Mais... à la condition que... C'est ce que nous verrons.
Cours No 8
L'enseignement du calcul à l'école enfantine (5 et 6 ans)
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No 13
L'enseignement du calcul au degré inférieur (7-8-9 ans)
Profess'e ur: Ml~e M·a deleine Mathey, Sion
Cours d'initiation à l'emploi du matérie~ Cuisenarire pour l'enseignement du ~aIcuJ au degré inférieur.
L'enseignement du calcul aux degrés inférieur et moyen 7 à 11 ans) Professeur: Mlle Gertrude Carrupt, Chamoson Le programme de ce cours sera à la fois une revunon et lm approfondissement du cours précédent pour les maîtres ayant déjà utilisé les nombres en couleurs dans leur classe.
Cours No Il
le dessin au degré moyen Le deS'sin, cette branche que tous les enf.ants aiment et dont l'enseignement pose tant de ·p roMèmes à certains m,a Îtres, est parmi les hranches dites d'exp,r ession, une de cehles qui renUent les plus grands services. En effet si le dessin est pour l'enfant un moyen d'épanouissement, ill est ,p our ~e m,aÎtre un précieux moyen péJd'agogique, ' ca'r J.e dessin employé dans l'enseignement donne à celui-ci une clarté, une précision que 'les mots seuIls ne p'a -rviennent pas toujours à donner. Le 'cours de dessin apporteTa des halses soHdes et indi's pens:ables pour J'enseignement. Il peTmettra de réa~.i'Ser beaU/coup d'exerci'ces hasés sur le p'l'og.ramme prévu pour cours moyen.
Comment tirer p'a'r ti des réglettes Cuisell'aüe au niveau du jeu libre et des exercices qualitatifs. La numéJ.'lation et le travail écrit. Confection ,d u matériel de pré-calcul (Piaget-Beauverrd).
Cours No 10
Initiation à la ·c ouleur Découverte empirique des différentes valeurs de l,a couleur. Technique ·d e colori'a ge kppHeation à des eXCJ.'cÎ'ces prog:reS'sifs. Acqui's ition de la construction proportionnée et de la ré· partition équiH·b rée du dessin Notions d 'e mise .en page. AppH'c ation à divers sujets de dessin Plans et déroulement d·e que'lques leçons Démonstl'ation éventue[[e d'un 'd essin collectif. Notes de méthodologie et travaux pl"atiques Préparation coHective d'une leçon type.
Prof esseur: Ml['e R. Rio, Friboul'g
Professeurs: Mme Yvonne Savioz, Sion Mme Stéphanie Coudray, Vétroz
Cours No 9
Le dessin au degré inférieur
L'ensei~nernent du calcul au degré s.upérieur (12à15ans) . Professeur: M. Nicol'as Sav'(lll'Y, Lausanne -Comment utiJiser le matéri,~l . réglettes au degré supérieur de l'écoIe prim'a ire d.ans l'optique d'une ouverture sur les mathéni,a tiquès m()delnes: Résultats de trois années d'expériences.
Cours No 14
le dessin au degré supérieur Professeur: M.l'abbé Denys ~heuriU.at, Sion Le croquis rnpide: Principes méthodologiques Exerci'ces pra,t iques: SUll' feui[lJes et au tahleau noir appH/ûation cololl'ées - -Queiques questions annexes: stylisation ... utHisalt ion de doouments prise de mesures et contrMe clans l'esp/a ce des différentes m~~.
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Cours No 15
Néoco'l or et gouac'h e Caran d'Ache
Programme: PHages, découpages, cartonnage léger; papiers peints; cartonnage monté. Objets: en rappo'r t avec ~'autres ,discipŒines.
Professeur: M. GH Haillod, Neuchâtel
Néocolor Exposé technique ,de ~a composition :des cl'aies Exercices pl'latiques de co'l oriage Mé}.angedes -cou/leurs Dessin de mise en pratique Différents exercioes et dessins avec cles chalb lons Néocoflor dissous (peinture) . Travaux sur p~âtre Batik sur papier Batik S'lIr tissus Grattage Vitrail Gouache Exposé génél'la!J. sur la goua,che et son utilisation Exercices d'emploi Mélange des couleurs Gouache NéocOllor
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Cours No 19
Presque tous [es enf'a nts a,i ment s'extérioris-e r avec l'aide de la musique. Pour beaucoup d'entre, eux; c'est même un besoin profond. Mais comment [es aider et organiser leurs mouve· ments tout en leur ~rais'Slant quand même lia Hherté d'improvisation. Ce cours veut aider les institutrices en leuT donn'a nt queJlques suggestions dans ce domaine selon l,es principes de Maria Montessori. Ce cours sera animé par Madame Freddy Udin-Hamel, Montessorienne di'plômée et pl"ofesseur d,e musique. COllil"S
No 20
Enseignement des sciences à l'école de promotion Ce cours, comme '!Le suivant, fait pa,r üe " du' progT'amme de formation 'compJém~nÎ'aire e~igé~ du persoll,ne[ enseignant des dasses de promotion. , y sont 'a streints, ies maîtres a-ctuenenù~irt en ' fonction ainsi que ., ceux qui ont ou auront suivi le cours ·;d'lllttlation.
le dessin technique à l'école de promotion Professeur: M. Au.g. Ro,dy, -C~urtepin. Suite et complément du cours fédéral de. J'é~é 1965. P 'a rticipation obligatoire pour les maîtres désignés ci-dessus., Utiliser pour cha-que cours une forinU!e d'irtsèription différente. .
Cours No lH
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le cartonnage: pour le · personneler:-s.eignant des c·lasses de dévelo'p pement. .' .. P.rofessewr: M. P.auŒ ADégroz, .ç.rône
But du cours: a.cquérir ·technique , etrhéthode en vue de l'enseignement du cartonnage. Coimaiss.an,ce et utiŒisation des matières: paPi.el·, carte, ca::rtQU, J;Qile, con~ etc. Développer l'initiative 'personneUe et le gûût. .. .
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le chant
Principes d,e pédagogie générale concernant: a) la formation auditive (intonation et !r ythme) b) la formation vooale - pose de voix - principe de la respira. tion c) la formation mélodique - intonation en mode majeur et mineur. principe des transpositions d) l}-a form,ation rythmique - rythmes binaire et ternaire. valeuTs . mesures e} l'éveil du sens esthétique - étude du phrasé ,d'après l' anaŒ yse rythmo-mélodique· approche de la forme f) ass-i milation au moyen de l'improvis-a tion . composition Pratique sur de nombreux chants scolaires d'applicàtion. Chant chora[ journal'ier.
Professeur: M. VitalI DarbellŒ-ay, Martigny
Cours No 17
Initiation musica,l e scolaire
Professeur: M. Joseph Bal"uchet, Sion
Exposé et exerCÏoces pl'latiques sur la rose des couil.eurs, son utHisation -, Préparation d'un programme de dessin 'avec uti/lisation de la goua,che et du N éocoŒor pOU1~ uI,le année. Cours No 16
Cours de musique et de rythmique Montessorienne P ,r ofesseur,: Mme F. Udin-Hamel, Genève
Cours Nû 21
la vannerie Professeur: M. P ra ul (iI'assey, La Crettaz
sI
Bramois
Le travai[ du rotw peut être mis facilement à la portée de!! élèves. Il n'exige ni instarHations compliquées, ni outiBage onéreux. Chaqu-e m,aÎtl'e devrait se f amiHrariser avec cette tech. nique d'enseignement propre à développer le. goût et à donner raux enfants mieUX: -doués sur 1e piLan m,anueJll'O'ccasion de s'extérioriser. . C'est un ICOUrS d'initiation dont voudrront hien profiter les maîtres qui ne connaissent pas encore le toovariil du rotin.
COUTS Nos 22/ 23 / 24
Cours No 25
- Cinq gtl'lands prix, «Le guép a'l,d» à C annes, «M,af,i oso» à San 6 ébalstian, «Il DiavoŒo» à Berlin, «Huit et demi» à Mo scou, «M,ain !basse sur la vihle» à Veni's e; -Deux p.r~x Ide mise en S'cène, Lin'a Wert,mulBer, pour «1 Ha's iÎlischi» à Looa-r no et Dino Risi pour «H sOl'passo », à M'a'r el Plata. Oette brH1ante situation déJcou!le de la volonté de re'c herche et de rénovation qu'av'ait appoI,té le néo-Téalisme au lendemain de ·l a ,deuxième guene mondi:al}e. Le .,cours de cette année ' ser·a C'onsa,cré à l'étude de quelques ,c hefs-d'œuvre de l'éco!Le néo-réalJ..riste et de lia nouveUe vague italienne qui la si briill1am'm ent continué ,l 'effort des pionniers d'e l'a'p rès-guen."e. 'C om·m e Œes années passées, de nombreux fHms seront PTojetés. Une journée entièl"e 'Sffi~a vouée à l'étude systématique d'un Hlm, de 1'éta,b lissement ·du ,s cénario à sa carrière commerciale. De plus, des courts mét1~ages vous permettront d'étudier Je langa'g e cinématogr,a'p hique et des spédaŒistes fe'l 'ont des démonstr.ations .a' a pp areils audio-visuels. Les parr ticipants 'a u cours de cinéma verseront, se~on les indications contenues :au Ic ha'pitl"e des rem,a rques génél~ales, un montant de Fr. 15.- par personne. Cette t'a xe constitue une modeste contribution aux fr,ais de location J 'es films.
Le cours 22 est exclusivement réservé aux nouveHes mla Îtres'Ses diplômées au printemps 1966. . Les cours 23 et 24 intéressent les maîtresses enseignant les ouvrages manuels aux degrés moyen et supérieqr.
Travaux manuels chez les petits (de ' 5 à 9 ans) Professeur Mme S. Brunet, Monthey Bricolages simples avec du matériel peu coûteux: pinces à linge, coquilŒes de noix, boîtes d'al~umettes, de fromage, bobines, bouchons, ficehle, déchets d'e feutrine, mousse plastique etc. Quelques pliages, découpages, modeihi'ges, 'a insi que des idées de trav-a ux à réaliser pour Noël, Pâques et la fête des mères.
Cours No 26
Littérature et histoire de l'art ProfesseuTS: M. Michel Veuthey, DioU y, Sion M. Jean-Luc Bagnoud, Sion Concrétisant une suggestion émise l'an dernier, littérature et histoire de l'art fo-rmeront cet été les deux faces compléri:ümtaires d'un seul et même cours, cons-a cré à l' étude de quelques grands thèmes contemporains à travers les lettres, la musique et l'es arts plastiques. Les œuvres qui seront ana,l ysées permettront de dégager les thèmes suivants: l'angoisse ,de l'homme moderne; la foi en la grandeur humaine; le s-e ns du sac.ré; la fO'l'me pour eHe-même et comme mo'y en d'introspection. Etudes de textes, 'a uditions de disques, projections et visites commentées.
Lectures conseillées: Joseph-Emile Müller: L'art moderne, le livre de po'c he encyclopédique No 1053. Jean-P,aul Sartre: La Nausée - Le livre ·d e poche No 160 Georges Duhamel: J oUTnal de Salavin - Mercure de. Fr.an<:e Patrice de la Tour de Pin: Quête de joie - ApoUinaite: Alcools - GaUimard. Cours :No 27.
Formation .cinématographique: le cinéma italien Professem: :M. Hermann PeUegrini, St-Maur~~e Le cinéma itaHen est un des grands cinémas de notre temps pour ces dix dernières années. Le -. plus grand peut-être, avec le cinéma américain. Les récompenses obtenues, par exemple, _en 1963, par le cinéma' italien Je prouvent et démontrent son iÏi:dénioahle 's anté artistique: .· .
Cours No 28
Stages CIEMEA Directeur: A. GrilBet, Genève. Les centres d'entr,aÎnement aux méthodes d'éducation -a ctives, nês France, devenus mouvement international, ont ~es sections d'ans le canton ,d'e Neuchâtel, V!aud et Genève. Les CEM-E A 't rav'a iillent au déve10ppement d'une éducatiün a'ctÎ<ve fondée sur !La satisfaction des besoins des enfants: expression, coopération, créa,t ion. Le travaiil en équipes, proposé par Cousinet, ,l es a,ctivités ,dirigées sont dévelo'p pées au cours du stage. Les CEMEA proposent des activités d'a ns Œes domaines de la musi'q ue, du jeu dl' am'a ti que, des m,arionnettes, des travaux manuels artistiqu·es, des j'e ux ,de ·p }einair. Des exposés et discussions permettent de préciser l.a méthode. "Les instituteurs et institutrices découv'l"ent au stage des possibilités nouvellles dans le domaine scolaire. La vie proposée est 1'intemat; les veiililées sont consacrées aux activités -d'expression. Le stage sera conduit par une équipe ,d'enseignants de Suisse romande.
en
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Co.urs No. -29
Dr~it
famiUal et formation civique
Pro.f,e sseur: M'a Ître Ro.ger Lo.vey, 'avo.cat et no.talÎTe, Sion
.. :. D~~ tI~~y.:aux, parti'cnliera sero.nt eXlg~s des maîtres empêchês po.ur t - :c ,,:,::yall~~~es ~,dmi5~ , par l~ Départem~nt (s~rvice militaire, mœI'a die, m.aT:[~b de suivre les Co.UTS prescrits. , -. ' Ces maîtres s'annonceront au Service cantonal de l'enseignement pr [m =ire e~ mé1}ager i~squ'au 20 juin 1966 au 'plu~ tard.
La Charrte des iDi'o.its de l'hom·m e.
'Les devoirs et les d,ro.its du cito.yen: S'es Ji'b ectés. La f amiHe. Le m·ariage. La chambre pupill.'ai<re, la chambre tutélaire. Le divorce. L'ado.ptio.n. L'enfance délinquante. Régimes m,atrimo.niaux. Héritages. Partages. Testaments. Les assurances obligato.ires. Les impôts. Les co.ntrats de travail. Actes d'a·chat, de vente. Vente à tempérament. Les institutio.ns sociaa'es de no.t're pays.
Le régime éco.no.mique de no.tre pays; rô'I e de la Hanque Natio.nale. Les grandes institutio.ns internatio.nales: le marché co.mmun AE-LE - UNE,S CO - ONU - FAO.
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5. Le COUTS ' No. 22, dirigé par sœur Jean-Marie, est le premier de Gt '~i.e de 'c eux qui so.nt eX'igés par l'e règlement de l'éco.,l e normale po.ur ics nouvelles maîtresses des trav/a ux mlanuels féminins. . .
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6 .. ~ Revêtent éga.Jènrent . un ca<ractère o.bHg,ato.iTe les co.urs destinés aux m é: Îtrcs ,des cla1sses .de pro.mo.tio.n et ·de dévelo.ppement. 7. Etadée SThr une -durée cl'e tro.is ans, la S'essio.n catéchétique prendra fin cette !' 'a nnée. fi .,s el'ait s'Ouh<a!ÎtabIe que cha·que maître aÜ eu l'o.coasion de suivre au mo.ins un co.urs de fo.rmatio.n sur l'enS'eignement religieux. Que l'o.n veuill'e bien p.ro.fiter des dernières po.ssibiHtés qui so.nt o.ffertes.
8. Les instituteUTs :et Œ 1es institutrices ·q ui s'inscrivent à la sessio.n pédago.gique s'engagent à suivre régulièrement les co.nférences généra'l es et particulières ainsi que l'e co.urs qu'ils o.nt cho-i'si et do.nt Hs accO'mpliro.nt le p'r o.gramme co.mplet.
Obligation de suivre les cours
Remarques générales
1. Les j'e unes m.aÎt<res et mla Îtresses pro.mus au printemps 1965 et au printemps 1966 ' s'inscriro.nt cett:e année aux stages CEMEA qui leur s'Out réservés en prio.rité.
j , ,~ J~es ~tl!a~s(~t:ts d'~ 2:. ' Les instituteurs et les in's titutrioes porteurs d'une autoris'atio.n d'enseigner délivrée en ,1961, 1962, 1963 et 1964alÎnsi que les aut<res candidats au hrevet 'pédago.gique no.n -désignés so.us chiffTe 1 o.nt l'ohlig.atio.n de participer à l'Uill des co.urs suiv.ants: 1 à 3, 6, 12 à 15, 19 (po.ur les maîtresses Mo.ntesso.ri) et 20, 23 à 25 ou bien laux stages CEMEA. 3. Le Co.urs No. 29 organisé à ~'intentio.n des maÎtvesses ménagères candidates , au , brevet pédago.gique est également o.bligatoii'e po.UJr cette catégorie d'institutrices. 4. Po.UT les membres ,du co.rps enseignant désignés ci-dessus, le cours de perfectionnement tient lieu de prestation pédagogique donnant droit P, l'obtention du brevet définitif.
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C9U'l,'S à l'autre ne ,s'Ont pas aut~Tisés., S'inscrire 'a'p rès réflèxio.n.
2:
Le~ : en~eignants étrangers au la1S'a,nI~e 9'e perfectio.nnement
canto.n peuvent partlClper à la semaine vapo.ur aut'a nt qu'il y ait des pla.ces dispo.nibles et contre payement d'une taxe d'inscriptio.n d'e Fr. 40.---:-. Le lo.gement et la ' .' p~p.sio.n leur so.nt fo.urnis oSur -demande .(vo.ir buHetin d'inscriptio.n) par les so.ins du Dép'a rtement. P ,r ix die la pensio.n et du [o.gem·e nt en co.mmun 'po.1:11r la ~aurée ·q u 'ço.-q.rs: F1l'. 120.- Francs suis'ses. , ..~Un' bun-etin, ,d~ . yeTsemerit leur sera envo.yé en t'e mps uti~e. , ru. est bien , _ J·· e~Q~m\a[yqé 'llux partÏ!cipar;tts étrangers 'a insi qu'à ceux qui suiyro.nt le co.urs de fo.rmati'o.n cinéma.to.graphique de ne s'acquitter des fr.ais d'insoriptio.n o.U de pensio.n qu'après avoir reçu du Département l'avis d'admission au " ' coltrs. To.Uls l'es payements devro.nt par co.ntre être effectués pour le .5 ao.ût . iui p[.us tard'. 49
3. Le Dépa.r tem,e nt assumera pour les partIcIpants vœ1ais ans, les frais de pen. sion et ·de logement aux Ecdles normales et d,ans d'autres établissemen ts désignés par la direction des cours.
XXIIIe COURS CANTONAL DE PERFECTIONNEMENT M a,r tigny - 16-20 août 1966 Sion - 22-27 août 1966
4. Les d,ames v-oudll'ont bien 'p rendre tes mesures nécessaires pour éviter d'o c. casionner, avec leurs chaussures, des dégâts 'œans les lo'c aux des cours.
. 5. -Parcage aes véhicules:
à ren voyer au Dépa r t emen t d·e l'instruction publ,i que jusqu'au 20 j uin 1966
Les conducteurs die véhicul'es qui se rend'e nt à J'Ecole normlale des instituteurs utilisent 1re pa'l'cours: ,Avenue Ritz . Route du Rawyl et rangent leurs véhi. cu!l'es ,dans lia 'c our située SOUIS les salles d'application.
N om : .......................... ,.. ,.... ,....... ,.......... ,.... .... ,.. ".... ".. ,. (Mme, Mll e, M.)
Prén om :
6. Matériel Les parti'cipants ;veoevront avec l'·avis d'admission la Hste du m'a tél,iel à prendre ains,i 'q ue les derniè'11es inst,r uctions.
N omb re d 'a nn ées d 'en seignement
Domicile: (N o po stal) Rue, No:
Li eu d 'ensei gnem ent :
Class e ou d egré d'ensei gnement:
évent. établiss. scol.:
Remarques concernant l'inscription 1. Tous 'l es partidpants au COUl"S de perfectionnemle nt ont l'O'bliÏgation de s'insorire dans les dél1ai,s, ·au moyen des buJŒ'e tins .appropriés. Des exemplaill'·es supplémentaires ,du programme des cours et des formul~s d'inscription peuvent être obtenus sur demande auprès du Service oantonal de l'enseignement prim,aire et ménager. 2. Afin de permettre une répartition équilibrée des padicip'a nts d'a ns les différentes sections, 3 ,cours à option doivent être désignés dans un ordre de préfél'ence dég,r essif. Le servi'c e oantolllall de l'enseignement primaire et ménager üendra compt e des ·d ésir's exprimés, ceci ,dans l'ordre d"arrivée ·des inscriptions. :L es buil1etins qui ne 'contiendrraient pa's la désignation de troi,s sections seron t retournés pour être Icomp1létés. Cette ·r emarque ne s"a'ppli'q ue pas, bien entendu, aux parücipants à qui J.a fréquentation d'un COUTS ,déterminé a été fixée (,chiffre 1·3·5 et 6 pages 48 et 49). 3. Le délLai pour s'annoncer pl'end fin au 20 juin 1966, les inscriptions tardives seront éoartées.
No du coups d ésÏJr é par ord·r e d'e préf br en C'e d.égr essif, d'e galll,ch e à dr{)iitle
PENSION
lET
LOGEMENT
Marquez une croix (X ) dans la case correspondante 1.
Je prends logement et pension complète à l'Ecole Normale
2.
Je prends pension complète à l'Ecole Normale, sans 'l ogement
3.
Je prends seulement 1es repas de midi et du soir à l'Ecole Normale
4.
Je prends seulement le repas de midi à l'Ecole Normal e
5.
Je ne prends ni logement ni pension à l'Ecole Normale
x
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TRANSPORiS pour 'l es pa.rticipa!J.1ts qui ,rentreJ1Jt chaque 6'o i!J.· à domkHe. Malr quez une X da·fLS lIa ca's'e correspondanit'e 1.
2.
J e r ent,r e à domiciJ.e e n véhi'cuù:e pr.i vé
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XXIIle COURS CANTONAL DE PERIF EIC TIONNEMENT M,all"tigny - 16-20 août 1966 Sion - 22-27 a'o ût 1966
1876-1966
à r·envoyer au Département de l'instruction pub:1i'que jusqu'au 20. juin 1966
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1.
Je 'p r,enld'S l'o gement 'e t p 'e ns.ion comlp~ è<~e à ['ElcofLe no:rlllla[e
2.
Je p1J."end,s' pens.i'OI1 'c'01np::Lètoe à l'Ecol'e no,r maille, iSoa'l1'S log'e m ent
3.
Je plI.'ends s'e uil leme11lt aies rep'als de nhl,di ~t ,du
4.
Je 'p l'el1JdoS sleul'emen't 1 e él'ep'aCS d-e midi à ['Ecole :noil:maIDe
5.
Joe ne 'plJ.'ends .n.i 'logement ni 'P'ens,i,on à ["E'coiIoe normall·e
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dans ,l e canton
P 1513 S
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1.
Je l"eou'tre à domicile en véhilcuilie p'l·.ilVé
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Je rentre à domic,i l,e
'aU
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23
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Marcet GAILLARD eSt fils S.A., Martigny
Mai 1966
Supposant qu'il me faille introduire un débat 1 sur l'enseignement des mathématiques, je dirais pour commencer: Il s'agit tout d'abord de décider de l'ob jet de notre entretien et particulièrement de savoir exactement ce que nous allons appeler « mathématique». Ici, comme dans les autres domaines de la connaissance en effet, un même terme recouvre des pratiques et des techniu ques d'une part, une théorie et ll;n savoir d'autre part. Résoudre une équation ou un triangle, construire par un point la perpendiculaire à une droite, dériver une fonction: autant de techniq ues. Mais faire valoir que les nombres «vivent en société» et quelles sont alors leurs coutumes, expliquer ce pour quoi toute relation n'est p as une fonction et les raisons pour lesquelles une certaine algèbr.e est, à juste titre, réputée «'linéaire»: cela c'est enseigner une théorie, c'est expliquer un savoir.
S fJl
1 Ge déba,t a l .eu Heu à Genève l'e jeudi 10 févr,iler 1966 au cours d'une réunion, convoquée pair M. A. Cha.vanne, che;{ du Dépa'l'tement l'inst,rll'ction pubJaque, et qui groulP'ait,arwt,o'1.llr ,d'e M. Griz·e et (l'e M. A. Ha1efiliger, pr,ofe5'5'eulJ.', à J'a Fa'c ulté des sCÏieD'C'es, d"a1Lgèby'e Hn.éawe et de ilopol'O~i'e, qUleil'q ues maî:tres de mathéma,tique's d,es éco'l es 's'econodtalill'es eII: l'e urs d,i,r ecteuœ.
54
55
Thèse 1: La mathématique (au singulier) est une théorie. Le reste est technologie. ' Il est vrai que l'on dit aujourd'hui: « mathématique nouvelle », mais l'adjectif est trompeur. Il n 'existe pas une ancienne mathématique; comme il existe une ancienne physique, dépassée, objet tout au plus . de la curiosité des historiens et une nouvelle mathématique, plus juste; plus vraie. La pensée mathématique est une, toujours la même de Pythagore (s'il a existé) à Bourbaki (s'il existe encore !). Ce qui a changé au c6urs de l' histoire, ce qui a augmenté, c'est la prise de con~cience des lois et ' des structures de la mathématique, plus profonde aufourd' hui que hier, moins pénétrante que demain. Thèse 2: S'il y a une querelle des anciens et des modernes, eUe ne saurait porter sur la nature de la mathématique, mais sur ce qu'il est opportun d'enseigner: mathématique ou techniques. Il est ainsi temps d'aborder le problème de face. Des ·techniques, il en faut et même essentiellement, dans la mesure où un savoir qui ne se réalise pas dans une pratique, n'est pas un savoir scientifique. Et néanmoins, je poserai la Thèse 3: Il ne faut enseigner ni seulement des techniques, ni même d'abord des techniques. Pour défendre cette thèse, je produirai quatre ordres de raisons. 1. Nous sommes au vingtième siècle. Pourquoi donc nos enfants, dont beaucoup verront le siècle suivant, n'auraient-ils droit qû' à l'état de conscience du XV Ille siècle, et ce encore dans le meilleur des cas ? 2. Personne n'a jamais rien construit sans d'abord assurer des fondements. Or, nous pensons aujourd'hui que les fondements de la mathématique sont ces grandes familles qui ont noms: ensembles, groupes, corps, espaces vectoriels. C'est donc bien d'eux qu'il doit s'agir d'abord. 3. Une technique, si elle est simplement apprise, reste toujours fragile et, ce qui est plus grave, elle demeure inadaptable. De sorte que, finalement, ce qui est en jeu, c'est la nature du comportement que nous allons permettre à nos élèves: comportement d'insectes ; pratiquement immuable ou comportement humain ' sans cesse perfectible. Il nous faut donc tout faire pour remplacer «apprendre» par « comprendre ». Mais comprendre ici, c'est connaître sur -quoi la mathé· matique repose (classes, relations, applications ... ), comment elle est faite, donc quelles sont ses structures. 4. Enfin la mathiimatique est aussi un . langage, que d'autres utilisent pour dire leu rs savoirs spécifiques. Plus seulement l~s physi- ' ci.e ns ' - lesquels d'ailleurs -Consomment quantités de techniqùe$~ - plus:' peut-être que de thé.ories . mathématiques -'- mais ' les _psychologues, : les sociologues, les linguistes. Ce langage, bientÔt.Teellemell.t ,unù;..erSel., ;
56:,
n e convient-il pas de l'enseigner en tant que tel et non dans quelquesunes seulement de ses applications? . Reste, évidemment, à se demander si tout cela est possible, si par n ature la mathématique ne serait pas réservée aux seuls mathématiciens, aux spécialistes. Et l'on voit qu'il serait facile d'argumenter une double façon. La mathématique est abstraite, elle est l'une des sciences les plus abstraites qui soit. Or l'enfant, lui, est concret. La mathématique n 'a de sens que comme la mise en ordre de toute une longue liste de faits, qui sans elle resteraient sans liens les uns avec les autres. Mais l'enfant, lui, ne sait rien encore. A cela, je crois, une seule réponse, mais contraignante: les lois de la mathématique ne sont pas celles des mathématiques, ni celles d es mathématiciens. Ce sont celles mêmes de toute intelligence qui fonctionne rationnellement. Les groupes et les vecteurs ne sont pas seulement dans les abstract ions. Ils sont partout, jusque dans les ob jets les plus quotidiens et le p roblème est d'apprendre à les y reconnaître. Peut-être l'enfant, ou même l'adolescent, ne sait-il pas grand-chose des mathématiques. Il sait en revanche bien assez de choses sur le monde où il vit pour qu'il soit possible de l'amener à y découvrir la mathématique. Thèse 4: Il est possible d'enseigner la mathématique, même à de très jeunes enfants. A condition, naturellement d'adapter soigneusement l'enseignement au niveau des élèves. C'est là question de pédagogie, mais personne n'a jamais dit que le pédagogue ne devait pas s'en occuper. Et là-dessus, j'ajouterais: la discussion est ouverte, à moins naturellem ent que déj.à la cause ne fût entendue. Genève, le 10.2.1966.
«La -oO'nSltl'Ulc'tion fa es nO'mbreS> enrri-emg g.'elffectue chez l'nfru.l<l' en hl.'ruilSO'n étrO'·i'l'e avec 'ceLLe ,d es lSéri,aJti'O'llS et d'es incilusi'Ûil18 de CJlfllJS<s<es. IiI ne fillflllt prus orO'ke, en effet, qu'un j'eUI1!e enfant pO'Bsèd:e Il'e nO'mbre dUi ~-e'lll f,ail!: qu·'ii a: lappruls à -compter verb a!1emenit: ·J'év<aJ1.ruaJtÏ'Û-ll numérique est en Il'éa!l'Üté 1rongl!emps iH,é·e pO'ur Lui à la d<i'spoSl'ÛtJ.on SJpaifi~Ie ,d-es él<ément-s, -e n <al1'aliO"glÏe étrO'ite alV'e'c l,es « cOIli1eôti,O'lllS figm;.a!lleg. ». L'expéri1encre lIe mO'ntr>e à -l'évidoenCJe: i!l, suffil!: d'e'sp'llicer Iles é11émiffllltls 00 ' l'une . d e deux raillgées .d'objfe'ts milS:es irriltilal1ement 'e n conrespond<anc'e oprtiqwe pO-Ulr que Ile 's uiet c·ess.e d'<a-dmetltr,e !Leur équivall<enoe numérique. Oc, O'n ne s'aull'1airt n<atur~lle m·enll: 'PaT1er .de nombres O'pbra,tO'k,es. a;v-anJt que se SI(}i,t 'CoIliSrtitube une ÛOIliS!elOVrulii'6 n des en\5'embl1es llUlIll·élrliqrules· Jnd.éipeŒld.·ammenil: des ay'l 'ang'emen'l'S' sp'aiti'aux ». PIAGET el!: INHELDER. «La psychologie de l'enfant ». GO'Œ~. «Que 6,MIS.j'e' »., N O' 369. Pwris-. P.U.F. 1966. p. 82.
57
Une expérience Cuisenaire dans le canton de Vaud par B. Beauverd, i,:,specteur
du tout cuit; aucun matériel, ·pŒus que ce dernier, ne rédame des maîtres bien avertis du but péd.agogique proposé et des classes d'âges re'lativement homogènes.
l
II.
TI s'agissait d'une part, de f.aire ~e .point en com'm un, . maÎ:t re et inspecteur, d'autre p\a rt de se rendre ·compte si la faculté d'invention , de l'élève était vraiment sonicitée par [:e ,m atériel . Cuisenaire et traduite sous for,m e d'un pouvoir spontané et libérateur. Nous avons dem~ndé à chaque maîtresse, au cours de nos inspections, d'écrire ,au tableau noir 10 à 14 exercices qui constituaient le résumé des notions acquises jusqu'a[ors; -ce faisant nous étions sûr d'agir . en fonction ,d e l'avancement au programme nouveau et librement , consenti et, ' de plus, c'était pour nous un éIlément d'appl~éciation au sujet des Hmites qu'on 'p ouv,a it raisonnab~ement espérer atteindre avec ce matériel et à cet âge. Enfin, ' un exrdce d'invention autour d'u:p. ;no;mbre, premi~r de préférence (13 ou 17 ou 83 ou 89 ... etc.), permettait de 8~ rendre com'p t'e de la richesse des exercices imaginés par les enf'a nts. , 838 élèves ont été examinés: 437 de Ire année (7 ans) et 401 de 2e année, en tout 61 classes. Les exerdces ont été a'p préciés en % des réussites. Nous avons ét\abli les barèmes suivants, va!lab~es pour la moyenne atteinte par l'ensemb[e de la 'Classe: de 80 à 100 % - excellent - 16 clla'8ses - 32 % ,d es élèves de 60 à 80 % - bon - 40 classes - 65 % ,des é~'èves moins de 60 % -mauvais - 5 'C!laS's'es 3 % l<;les é1èves. · " n faut relever la qualité de ces résurJtats: peloton de tête 32 0/0 ; noyau -centl"a'l 65 % et peloton de queue, très peu nombreux, 3 %. Le 97 % ,des é1lèves 'a 'a u moins 6 réponses justes sur 10. n est clair que 'la liberté 'a ocordée aux maÎt'l'esses dans le choix des exercices empêchait de donner à cette Techerche le 'oara,ctère s"CÏen-tifique que nous aurions aimé lui voir ·p rendre. Mais i1 n'était p'a s indiqué, en p~'eine évolution, de mettre quiconque mail àl.aise . et nous ne regrettons 'r ien .de notre m,ansuétude. Notons que ,d ans le 32 % supérieur ' 'nous trouvons 9 classes à · l ou 2 années d'étud,es et 7 das'Ses à 3 ou 4 années; Idans [e 65' '% central: 16 classes à l ou 2 années, 22 cl1asses à 3 ou 4 années, 3 classes à 3 degrés; dans le 3 % inf érÏ'eur: 3 classes à 3 degrés et 2 .classes à 3 ou -4 années. L'étude de ces quelques chiffres nous indique, et nous nous y attendions, que plus une classe ' est compliquée par le jeu des différentes années ,du prog-ra'm me, pŒus J'effi,ca1cité Id e ce nouveau matériel diminue; le facteur temp's est donc primol"di'all ; il faut que l ,a maîtresse soit là pour , pousser, émoustiller, faire réf1l~chir ' son petitmon'de. Cuisenaire ne saurait être une panacée ni un oreil1ler de p'a resse, 'ni
Passons à l'examen de queŒques travaux et essayons d'en dégager la signification. Le choix que nous proposons est arbitl'aire; ce n'est pas le pourcentage qui l'a déterminé, mais bien la va'l eur pédagogique que nous entendons en . tirer; sans cella ce ne sont ni deux ni trois tr'a vaux que nous pourri:ons pro,duire, mais des centa.ires, tous intéressants, à un titre ou à un autre.
58 '
,1re année: 7 ans Classe 1
Exercices imposés 4+5 = 9 '9
18 - (1 + 1) ~ 4 + 6 + 8 2 = (10 X 1) + 6 = la moitié de 14 + 9 (!) , 16 - 4. + 2 + 2 = 10 + 6 = 2 X 7 + 2 = 18 + 2- 4= 6 + 4 + 3 + 3 (9 X 2) - 2 Il 2 3 le doU'b'le ~e 8 - 2 + 2 = (3 X 5) + 1 = Œe double de 4 + 8 = 5 + 6 + 5 21 - ' 5 2 + 1 13 = 9 7. La juste récompense, pour cette maÎtresS'e, d'avoir osé quelque chose de nouveau: chaque exel~dce ou presque ,a son intérêt - parenthèse bien em'p llo yée - interpénétration des 4 op éT ations ; quant à la moitié de 14 + 9, :il aurait fallu écrire: (la moitié de 14) + 9.
+
=
6 =3
8+7 =15 17 - 8 9 4 + 5 + 4=13 14 6 ~ 6 = 2 (3 X 4) - 5 7 (2 X 5) - (3 X 3) - l (5 X 3) - 10 5 9 3 4 16 l a.moitié de 14 = 7 l e double 8 16 En italiques, les réponses attendues. M anif.estement, ~a maîtresse est encore atta'c hée au passé; 7 exercices sur 12 sont très « sages », mais dans les 'a ut'r es exercices il y a int erpénétl'ation des opérations et am Ol'ce d'e Œ 1a frarction. ;
=
= = + + = =
Thème : 16 16 = (2 X 8) = (16 X 1) (2 X 5) + 6 = 10 1 5 =
+ +
=
+
Classe 2
Exercices imposés
(2 X 4) (3 X 3) (7
Exercices inventés
=
+
=
+ =
+ 3)
+ 3 = 11 + 10 = 19 : 2= 5
+'3 =
(2 X 6) (2 X 10) (10 5) : 1/2 Ide (3 X ['(2 X 3) (14 2) :
+ +
15
4 = 16
3= 5 4) = 6 2] : 2 = 4 4= 4
+
59
+
14 de (Il 9) = 5 V3 de [( 3 X 4) 6] = 6
+
+
Voilà, nous semble-t-iŒ, un choix complet d'exercices. H y a les 4 opérations combinaison de ces opérations - emploi judicieux des par'e nthèses et orochets qui obHge l'enfla nt à chercher le sens et à être 'a ttentif.
+
=
Exercices inventés Thème: 15
15 = (2 X 9) - 1/2 ,d'e 6 = 1/3 de 21 (2 X 3) 1/2 de 4 = 3/5 de 20 1/4 de 20 - 1/3 de 6 (3 X 3) = (4 X 2) = 3/5 de 10 1/3 de 21 = 3/4 de 8 3/5 de 10 1/3 Ide 9 = 3/4 de 12 3/3 de 9 - 1/3 de 9 = 4/4 de 20 - 1/2 de 10 = 1/5 de 10 3/3 de 9 1/2 de 8.
+
+
+
+
+
+
+
+
L'éléve notait, au-,dessus des expressions numériques, les va'leurs partieilles. Une classe où ;Pon est aUé très loin. C'est bien de répondre par u n e réponse juste, mais ·c'est très savant de S'avoir répondre par u n e équivalence. (ExempŒe unique parmi les 838 trav,a ux). .
Exercices imposés
+
(6 X 7) (3 X 8) = 2:1 X ayi 61 3y18 (!) (52 72) - (6 X 5) = (8 X 5) (1/8 X 32) 102 (8 X 7) = (8 X 4) (1/2 X 24) (72 : 9) X (yl64: 2) = (V2 X 70) - 3y127
.+
+
+
+
60
Thème: 83
+ +
83= (V2 X 18) X eyl27 X 3) ayl8 3y164 X (1/2 X 50 : 5) (Il X 5) 23 = '4:1 (1/3 X 1/2 l = X 120) - (6 X 7) : 21 (4 X Il) (yl81X 3y1125) yi 27 X 3) (!) = (5 X 2) (2 X 8) (1/5 X 20) (% X (yl100 X 36) (!) = (21 : 7) (yl100 ayl125) 23 ) = 3y!27 X (1/5 X 15) X (4 X 2) l (!) = (3 X 8) X 3 yi 64 - a yi 8 3 '= (V2 X 166) X 23 ) (yl36 X 3y1125 (ViOO X yl9) (Vs X 249) = (9 X 6)
+
e
+ +
+
+
+
-
Classe 4
+
+ +
+
le tiers de 30 = 26 (!) 38 25 = 63 46 26 = 60 ( ! ) 64 = (8 X 10) (!) 72 = (9 X 9) (!) 51 = 27 38 (!) Une élève qui a bien de la peine: à soustr·a ire - à diviser à connaître ses tables.
+ +
+
Exercices inventés Exercices inventés
Thèm'e : 73
+
+
'73 = 70 3 = (10 X 7) (1 . X 3). = 80 - 7 = (1 X 73) (1 X 3) - (1 X 3) = 10,0- 27 = (10 X 6) 13 = [,a 1/2 de .l<i6 = (7 X 10) 3= 3 70 '= (73 X 0) (73 X 1) = (4 X 20)' - (1 X 7) = 23 50 = . 50 23 = (40 33) . (33 40) ~ 73 = (1 X 74) - 1 = (74 ·X 1) - (1 X 1) = 3 70 = (70 4) - 1.
+
0.+
+ + + +
+
+
+
+
+
·Cet enfant est au dai'l' avec des notions telŒes ·q ue (73 X 0) et (73 X l), mieux que 'c ela, H les 'a llie d,ans le m.ême ca'lcuŒ. Simp[jcit~, ola'r té, maîtrise.
+
+
(yl36
QueUe puissance déjà et quene aisance dans cette expression de la pensée mathématique !
+
Exercices inventés
Quelle maîtrise dans cet emploi de q,a f r'a'ction !
Classe 3
(1/2 X 60) - 1 = 5 3 X. 7).
+
+
2e année: 8 ans
+
+
+
+
+
(4/7 X 56) (5/8 X 80) = (4 X 2 3 (!) 4 X 4) 3y127 X (1/2 X yl100) = (7 X 5) 10 2 -(30 X 3) (!) (4/5 X 45) : (81 : 9) (lj2 X yi 64) (81 - 73) X (1/7 x· 56) = 72 (1;3 X 9 X 5) (4 X 8) yi 64 (8 X 5) . (36 47) - (6 X 8) = 33 ( !)
Classe 5
. Exercices imposés
37 ~ 15 --:- 22 48 -18 = 29 (0 28=48-20 'le doub~e de 20 = 40 le trip~·~ . de 12 = 36 la moitié de 24 = 34 (!) (3 X7) 19 = 40 .( 8 X 4) ' 42 = 60 ( !) (9 X 2)' = 10 8
+ +
+
Thème: 71
+
71 = 67 4 = 75 - 3 (!) = 62 9 = 78 - 7 = 63 8 Il = 76 - 4 (!) = 65 = 60 6 = 50 21 = 82 -f-- Il (!) = 49 22 = 67 4 = 82 10 (!) = 79 - 8 = 73 - 2 = 62 10 (!) = 61 10. .
+
+
+ + +
+
+
+ +
Ces exercices spontanés, écrits paT la m ême élève, confirment ce que nous avons dit des exercices imposés : eHe manie avec aisance l'addition - la soustraction dans le cadre de la dizaine (et encore) , sa limite est là; eUe en a conscience, nous ne voyons aucun essai de muhiplioation, d'utilisation de fraction (Œa moitié par exemple) ainsi que s'a m.aÎtresse le lui a appris. Des exeroi'ces, uniquement? Non! Un véritahle test. Nous soupçonnons cette enfant de n'avoir pas niême ~es not ions d·e l'addition et de ia soustraction; H f.aut retourner . loin en .alTière, aux g'r oupements et sous-groupements d'unités, car if est fort probable qu'elle n'est p'as encore apte à utiliser un matérie-l structuré.
61
III Cette enquête nous a appris plusieurs choses intéressantes: 1. Les exerdoes imposés ne sont nullement remp~acés par les exercices d'invention, mais sont complémentaires de ces deTniers. L'exerdce imposé est f'apanage de 1a maîtresse qui se demande si son enseignement a 'porté, si ses exigences sont fondées; c'est à travers ses propres 'pr~o0cup'ations pédagogiques qu'eUe découvre si l'enfant peut ce qu'eHe es'p ère de lui; vu sous cet aspect, l'exercice imposé est irremp1açable. Dans l'exel'icice inventé, l'enfant est roi, iŒ s'y présente avec u ne naïveté qui nous permet de déceler aussi bien ses pouvoirs que ses déficits et ses Hmites; ce genre d'exercice, nouveau, est un appor t décisif pavcequ'il ne se confine pas à rI a pédagogie uniqu'e ment, m ais qu'il vise les démarches secrètes de la raison: nous sommes d<ans le dom:aine de Œ 'a psy,c hologie. L'exemp'le ci-dessus (d'a,sse 5) nous s'e mble signifi.oatif Ide cette promotion Idu m·aît·r e au rang de 'p sychologue. 2. Le principe, nouveau également, d'enseigner [es quatre opé. rations simuŒtanément a été magnifiquement compris et exploité par le cO'rps enseignant. Nous aimerions que ~'utilisation des fractions se généraHse 'c hez tous et ne soit pas le fait d·e quelques-uns seulement; parler «fraction» ,doit précéder longuement (p1usieurs mois) l'apparia tion du signe é'C'rit (1e symbole) .
3. Nous devons nous persuader que l'introduction des quatre opél,ations, [eur interpénétTation dans des exeœices qui fes mettent en jeu simultanément, nous obŒigent à uti~iser des signes. (parenthèses, crochets) qui lèvent toute ambiguïté. 4. Les signes
> < sont insuffisamment exp[oités. 17 > 9.
Constater simplement que 17 est plus grand que 9 est peu de chose. On peut faÏt'e ressortir de combien 17 est plus grand que 9 et éorire l'inégalité sous cette forme: 9 8 > 9. Le groupe 17 a été s cindé en 'd eux sous-groupes 9 et 8, non p,as au hasard, mais en fonction ,d e l'éga1ité sous-jra cente 9 = 9. On peut se demander ce que dev,i:ent l'inégaJité si l'on modifie « symétriquement » (cf. matériel Cuisenai'r e) les deux nombres par addition ou soustraction. 17 3 9 3 ou 17 - 5 9 - 5 Est-ce que [e signe > ne changera jamais ? Et si l'on ne modifie que ['un des nombres, l'autre restant inchangé :
+
+
17 62
>
+
> 9; 17 > 9 + 1... 17 > 9 + 6 ... 17 ? 9 + 8
>
17? 9
+ 10.
Mettre le signe qui ·c onvient est plus im'p ortant que de cal,culer; mettre J.e sign'e oblige à l'aisonner, cail cu'l er peut n 'être qu'un réflexe ou une mémodsation ... 5. La distributivité de 1ra multipli'c ation sur l'addition n'est pas exploitée à fond. Nous n'avons jamais rencontré un enf'a nt qui, ne sa'chant pas ]ra réponse de (9 X 7), ait eu l'idée (de h chel'Cher en écrivant
+ + +
+
(9 X 7) = (5 4) X 7 = 35 28 = 63 (9 X 7) = ( 3 3 3) X 7 =21 21 21 = 63 11 fraut que l'enfant sache que, quand il possède ses tab[es de multiplication jusqu'à 5, il est toujours ca'p ahle de se ther d'affaire. (17 X 9) = (10 5 2) X 9 = 90. 45 18 = 153 6. Nous ne pensons pas qu'il soit judicieux de s'mTêter longtemp.s r = n; B - V = v, à «l'algébds'a tion» (Goutar,d ) 's ous Ic ette forme j etc. Ces formes se justifient si eliles sont le résumé de situations concrètes réalisées, vécues à travers les réglettes. j r = n signifie que j'ai mis bout à bout '[es réglettes j,aune et rouge: ce faisant j'ai pu constater qu'eUes avaient, 'r éunies, 1a même longueur que [a réglette noi'r e; j r = n est une facilité d'écriture; ce sont d'aut'res symholle:s en attendant les symboles 5 2 = 7. Est-i!l utile, souhaitable, ,d 'introduire deux langages qui, fina[ement s'identifient? Nous ,disons: non! P 'a l'ce que ce n'est 'p as de l',aŒgèbre. Quand nous écrivons a b =c, les préO'ocupations de nombres sont absentes ,d e notre réflexion, seules les relations nous intéressent. n s'agit d'additionner deux vaŒeurs ,de façon que, réunies, eUes égalent une troisième. C'est bien différent ide j r = n qui r,a mène sans cesse à un cas ·parüculiCTr. Quand nous apprenons à parler à nos enfants, nous nous défend-ons de f·e ur dire « cO'co» pour cheval; nous trouvons cette ,d ouble symbolisation inutae; c'est un peu chose pareille (toute proportion gardée) avec notre j r = net 5 2 7. Conservons cette sym'b olisation com·m e une intro,duc1ion ~a'pide, une mise en 'c onfiance qui ne doit pas excéder 3 à 4 semaines.
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+ =
7. Notre enquête n'a pas voulu ,aborde-r la qu'alité du l'aisonnement dans les proHlèmes, ni la faculté d'invention dans ce cas particulier. Ce sera l'objet Ide nos recher1ches pour a'année qui vient.
8. Nous avons demandé un court ra'p po'l't aux m·aîtres, au sujet de Œ 'e urs expériences; jusqu'id cinq nous ont l"épondu; voici un petit extrait de charc un Ide ces rapports qui disent bien l'enthousiasme .. du corps enseignant e.t sa conviction d'être dans le vrai.
.63
«Je pense que même dans une classe ,à 3 degrés, certains résultats peuvent être obtenus. Je dirai que la méthode Cuisenaire - complétée par d'autres matériels concrets à ne pas négliger ' - même si elle demande un surcroît de travail et de préparation de la part de l'enseignant, prépare certainement mieux l'élève à vaincre les difficultés futures et ceci non seulement en mathématiques, car des en fants préparés à approcher un nombre par divers cheminements font preuve - en français aussi - de plus de logique et surtout d'esprit de recherche.»
« Les experts sont enchantés de la diversité des connaissances enseignées même à la section enfantine et de la facilité de compréhension que donnent les réglettes. » « Quant à la méthode, il faut la pratiquer mais ne pas oublier qne le travail écrit se fait le plus souvent sans matériel, sinon 1'enfant a vite compris qu'il dispose d'un outil qui le dispense de faire un effort de mémorisation.» «Tout d'abord, Monsieur l'Inspecteur, c'est un merci pour la joie apportée à l'école enfantine par l'usage des -réglettes. Cette joie a pénétré dans les familles, car quelques mamans m'ont exprimé leur contentement. » « Il serait dommage que cette méthode reste trop longtemps l'apa. nage du seul degré inférieur. Les découvertes que jont les petits sont certainement très importantes pour leur développement psycholo. gique. Si elles ne sont pas refaites, consolidées, complétées dans les années qui suivent, et particulièrement en troisième , le bénéfice acquis sur le plan mathématique pourrait être en partie perdu. »
9. Nous aimerions exprimer notre gratitude aux maîtres qui ont consenti cette expérience merveiHeuse; aucun, sur une centaine environ, ne s'est refusé à cet effort quels que soient son âge, sa santé, sa classe ou ses ,a ptitudes; nous en avons été heureux et réconforté; dans 'd es 'c onditions aussi idéa<les, com'm ent ne pas travaiHer avec joie? Mer-ci. Lausanne, 14.4.66. A NOS LE,CTEURS: Cette relation de Monsieur l'inspecteur Beau. verd est riche d'enseignements et ne mla nqueTa pas de suseiter maintes réHexions auxquelles le BuHetin aime-rait donner audience. A qui la parole? Signalons encore que M. Beauvel~d a publié dans « IE tudes pédagogi. ques 1965» (Lausanne, P 'a yot) un.. a:rticJle intituŒé La genèse du nombl"e ,çhezl'enfal1J et le pré..:calcul I( p. 46.61) où est pl~ésentée l,a pensé~ .cIe Jean Piaget sur le nombre. 64
48: 4 L'autre jour j'ai observé un enfant de 4e (9.10 ans) littéralement bloqué par cette opération. Il ne savait pas combien faisait 48 divisé par 4 et, surtout, il ne savait pas comment s'y prendre pour trouver; 'Il était «noué »-; le flux nerveux ne passait pas, c'était l'arrêt mentall :Une telle attitude est fâcheuse. Elle l'est dans l'immédiat car, faite: ,d'inhibition, elle provoque chez l'enfant une déception - la déceptiort ide n'avoir pas su, de n'avoir pas pu - qui engendre la peur en pré~ isence des nombres. Cette attitude est fâcheuse à long terme aussi car, lse répétant (et, dans l'état où se trouve l'enfant, elle ne peut que se !répéter), elle créera un 'CONDITIONNEMENT: l'enfant prendnt ï' habitude de se bloquer, et d'avoir peur en présence des nombres et, notamment, en présence des divisions. C'est ce cercle de la peur, dans lequel l'enfant risque de se trouver enfermé, qu'il faut à tout prix briser ou, mieux, dont il faut empêcher la formation. Comment? En modifiant l'attitude de l'enfant en face des nombres qui doivent être considérés par lui comme c?es ob jets sur lesquels il est permis, et même hautement recommandé, d'agir. Le nombre peut se «démonter» comme la grue que l'on a faite avec un Meccano, comme le réveille·matin découvert au grenier, comme son stylo... Le nombre peut, aussi, se démonter de plusieurs manières. Ainsi du 48 considéré dans notre exemple. 48 c'est 2 fois 24; 4 fois 12; 30 18; 2 X 15 2 X 9; 2 X 10 2 X 14; 6 X 8; 8 X 6; 3 X 16; 3 X 10 3 X 6; etc., etc. Le travail avec les réglettes présente l'avantage de permettre -d~ iels démontages in concreto. L'attention se portera aussi sur l' 0 pé. rateur, ici, le diviseur 4. Diviser par 4, c'est prendre la moitié, puis encore la moitié; c'est prendre le huitième et multiplier par 2; c'est prendre le quart de ... , etc. Dès lors 48: 4, ce pourra être ... la moitié de 48 ... 24; la moitié de 24 ... 12. ... le quart de 40 ... 10 et le quart de 8 ... 2; donc 12 . ... le quart de 32 ... 8 et le quart de 16 ... 4; donc 12. ... le quart de 20 :.. 5 et le quart de 28 ... 7; 'donc 12. Imaginer toutes ces manières de faire; ' les discuter en groupes; les vérifier par calculs ou par recours aux réglettes. Ce qui importe devant être l'assurance que conquiert l'enfant: il ose saisir le nombre, l'empoigner, l'appréhender, le tourner et le retourner, le démonter, le disséquer, le démembrer, le remembrer, l,e: '.J:~fX)]]tposer, le refaire, et cela par plaisir, par jeu. ., ~ -: = "S~ :R., . _
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Dernière - nouvelle 'L 'Association Cuisenaire..lB elgique -a nimée par nos amis Louis Jeronnez, préfet de !l'athénée royal d'IxeHes et Jean de Groef, éditeur, lance up prix annue[ GeorgesCuisenaire «La l'églette d'or ». En 1966 le prix sera attdbué 'a ux abonnés du bwlletin belge «Les réglettes en cou1eurs ». En 1967, et -cela grâce ,à ['extrême amabilité de nos amis 'b elges, le prix sera réservé "aux ~ecteurs du bulI.letin suisse «Les nombres en cou['e ur ».
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