On vient chez nous quand ons'y connaÎt.
Et quand onnes'y connaÎt pas.
A vec ceux qui s'y connaissent , nous parlons le jargon du métier et, avec les autres, la langue de tout le monde. Mais nous pouvons rendre service à tous sans exception. En tant qu'experts de la branche , nous connaissons à fond les instruments et les problèmes qu 'ils peuvent poser. Voilà pourquoi la plupart des viltuoses viennent chez nous . Et tous ceux qui vont le devenir.
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L'ÉCOLE VALAISANNE
paraît à Sion le 15 de chaque mois,juillet et août exceptés.
RÉD ACTEUR
M. Jean-François Lovey.
DÉLAI DE RÉDACTION
Le 25 de chaque moïs. (Documents photographiques en noir et blanc).
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Fr. 20.~, CCP 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le personnel enseignant, l.'abonnement est retenu sur le traitement).
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SOMMAIRE
ÉD ITORIAL .Jean-François Lovey ÉDUCA TION ET SOCIÉTÉ Service cantonal de l'enseignement primaire Willy Ferrez Jacques Cordonier Anna T. Veuthey Marguerite Stœckli DIDACTIQUE Mary-Lise Beausire VIE CORPORA TIVE Roger Fellay Christophe Carron AlexandreMay Georges Moret M.-A. Salamin
Un jardin nommé enfance
A propos de ceinture ..... .......... ..... ... ....... .... ........... .. ...... ....... ... .... . . Faisons connaissance avec le soleil ....... .... .. .... ... ...... ... .. ....... .. ... . La lecture publique valaisanne; ombres et lumières (fin) L'homme quotidien Activité des centres médico-sociaux du Valais (suite)
21
Education artistique: cadre en bois avec arrangement de fleurs séchées
23
1981-1983. Eléments de réflexion sur le CO ... .. .............. ... ..... . Cycle d'orientation, où va-t-on? .................. ..... ... ...... .. ........... .. .. CIRCE III: Sous-commission d'histoire et d'éducation civique. Etat des travaux. Elaboration d'un programme-cadre . . Le juste milieu .. .. ............ .. .......... ..... ....... .. ..... ... .......... .. ..... ....... .. ... .. . Sport et culture à la carte ............................. ... .... ... .. ..... ..... .......... .
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NOUVEAUX MOYENS D'ENSEIGNEMENT AU DÉPÔT SCOLAIRE par S. Dubois, Y. Savioz, M. Zuber, F. Mathis, B. Clivaz 1re partie:
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NOUVELLES ACQUISITIONS Liste des récentes acquisitions à l'ODIS de Sion. ODIS
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INFORMA TIONS OFFICIELLES Appel d'offres .. ... .. ................. ... ... ........ .... ... .... ... ............ ............. .. .. DIP Instructions concernant le calcul des moyennes annuelles ... DIP Introduction du programme romand d'écriture en 5P CME Cahiers conseillés à l'école primaire .. ...... .. ... ...................... ... ... .. .. CME Aux maîtres et maîtresses qui enseignent en 3e primaire G. Favre Dispositions générales .. ... ...... ... ... ..... ..... .. .. .. ..... ... :..... ........... ..... .. DIP Directives concernant les élèves qui désirent «sauter» une DIP classe .. ........ .. .. . ......... ... ... .. ........................... .. ... .. ... ........ ..... ... .. ....... .. . Indications relatives aux enfants protestants ....... .. ............... .. .. . DIP Dispositions concernant le redoublement de certaines classes DIP primaires .... ... ..... .. .......................... ... .... .... .......... .. ......... ... .. .......... . Activités créatrices manuelles pour filles et garçons . DIP .. ... .... ... .. . Après-midi scolaires de ski alpin .. . DIP .. .. .... .... .. .. ... .. Education physique . . DIP Procédure à suivre pour les mutations d'élèves .... ... .. ... ............ .. DIP Assurance du personnel enseignant contre les risques profesDIP sionnels .. .... .................... .. .. .. .... ... ...... ... .. .... ...... ...... ..... ................ ... .. Caisse de retraite, informons V. Darbellay INFORMA TIONS GÉNÉRALES Horaire durantl'été à l'ODIS de Sion ... .. .... ............ .. ODIS Main basse sur l'école, de René Berthod . .. ... ..... ..... .. Renouveau rhodanien Moniteurs - monitrices pour colonie . . ... .. .. .. .. ... .... .. APHM Session d'été Ward - Bulle 1981 . Oscar Lagger
Photos: Oswald Ruppen, Robert Hofer, Serge Rappaz 2
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Un jardin nommé enfance « Pères, ne vous préparez pas des regrets en ôtant à vos enfants le peu d'instants que la nature leur donne; aussitôt qu'ils peuvent sentir le plaisir d'être, faites qu'ils en jouissent; faites qu'à quelque heure que Dieu les appelle, ils ne meurent point sans avoir goûté la vie .. . » J.-J. Rousseau (l'Emile) L'ENFANT est aujourd'hui la figure emblématique du discours éducatif, son blason, sa permanente proclamation d'originalité, à tel point que chaque courant nouveau se prémunit contre la vanité ou l'erreur en avançant, péremptoire, que, lui, place l'enfant au centre de ses préoccupations. C'est le mot de passe obligé, la formule rituelle qui vaut à celui qui la prononce d'être lavé de tout soupçon d'indifférence ou de pusillanimité. C'est l'unanimité faite enfin au royaume des divergences et nous serions bien inconstants à ne pas souscrire à cette légitime affirmation. Oui, nous aussi, nous plaçons l'enfant au centre de nos préoccupations. Mais, par ailleurs, en le proclamant actuellement comme s'il s'agissait d'une évidence récente ou d'un choix tout neuf, n'estce pas faire peu de cas de tous les éducateurs, penseurs, écrivains et parents qui ont jalonné l'histoire de l'éducation et fait foi de respecter l'enfant plus que tout? N'est-ce pas oublier commodément que des leçons nous furent données dans le passé dont nous sommes encore redevables aujourd'hui? N'est-ce pas renvoyer Rabelais, Montaigne ou Rousseau aux . créations littéraires dont on eût aimé qu'ils ne fussent jamais sortis? N'est-ce pas condamner Pestalozzi, Froebel ou Herbart sous prétexte d'ancienneté? Montessori, Decroly ou Freinet sous celui, léger, de manque de scientificité? Claparède, Wallon ou Piaget sous celui d'universalité? - Comme si la pédagogie avait attendu de devenir adulte pour décliner son identité! Pourquoi cette persistance dans l'intérêt? Pourquoi cette constant'e?
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Peut-être parce que nous avons tous besoin, humains que nous sommes, de nous inventer un lignage, de rappeler à notre furtif présent une antécédence, un âge de surprises et d' émotions; peut-être parce que nous aimons tous évoquer - fût-ce en silence - l'enfant que nous fûmes; nous aimons nous baigner 'parfois dans notre propre passé afin d'exorciser nos nostalgies ou raviver nos souvenirs; nous avons tous un jardin dans le quel nous piquons des « autrefois» et des « naguère». Une parcelle de nous-mêmes est restée EN FANCE. On la sent quelquef ois qui sourit d'indulgence . Ce respect de l'enfant, - ce puéricentrisme, - inscrit au f ronton des écoles et à la page de garde de tous les manuels de pédagogie, existe-t-il toujours dans la réalité scolaire, dans la pratique quotidienne de la classe? Existe-t-il partout, profondément? Ou n'est-ce encore qu'un beau et noble thème jeté à la face oublieuse des générations? Jean-François Lovey
A propos de ceinture Introduction /1 n'es t pas dans nos habitudes ni dans nos intentions d'utiliser (( l'Ecole valaisanne)) pour la polémique. Cette publication, dont on s'est plu jusqu'à maintenant à rele ver la bonne tenue, ne doit pas de venir une revue à caractère essentiellement syndical,. ni une tribune de publicité personnelle. Nous souhaitons au contraire qu'elle demeure d'abord un organe d'information pédagogique sérieux de même qu'un moyen de rencontre et de liaison entre tous les ens eignants. Cela dit, il nous apparaÎt nécessaire d'utiliser ces colonnes pour des renseignements précis à donner, après un article paru dans le numéro 7 de «l'Educateur)) ainsi que dans le numéro d'avril 1981 de (( l'E cole valaisanne )). Le texte intitulé ((Licenciements dans le Valais romand!)) contient en effet des inexactitudes et prête à des interprétations erronnées au point qu'il est indispensable, chiffre s à l'appui, de rétablir la vérité. Ra ppe l Après avoir rappelé que nous devro ns boucler la ceintu re de séc urité dès le prochain mois de j uillet, l'article dit que la fermet ure d'une trentaine de clas ses primaires est prévue dan s le Valais romand. Sui:"
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vent des considérations relatives aux effectifs, une incitation aux communes à réagir, des conseils adressés au Département de l'instruction publique et une remarque selon laquelle ce dernier n'a pas daigné avertir ni la S PVAL ni la FMEF à propos de ces suppressions. Situation dura nt les huit dern ières années Voici, résumée en quelques données statistiques que nous limiterons au seul Valais romand, la politique du Département de l'instruction publique en matière d'effectifs du rant ces huit dernières années. Ces données sont tirées du rapport de gestion que le Conseil d'Etat adresse chaque année au mois de mai aux députés du Grand Conseil:
augmentées en raison du rajeunissement de l'âge d'entrée à l'école n'ont pas qu itté l'enseignement primaire . d) Nombre de classes d'enseignement primaire en fonction au début de l' année scolaire 1973/74 937 e) Nombre de classes d' enseignement primaire en fonction au début de l'année scolaire 1980/ 1981 1028 c) Augmentation du nombre de classes 91
Remarque : Ainsi donc, pour une diminution de 2 064 enfants le nombre de classes a augmenté de 91 unités, au point que la moyenne d'élèves par classe, qui était de 24,4 en automne 1973 a passé à 20,2 en automne 1980.
Cette politique généreuse, qui a) Effectif total des classes de se passe de nombreux com, mentaires, a provoqué à mainscolarité primaire au début de l'année scolai- tes reprises des réserves, pou r ne pas dire plus, de la commisre1973/1974 22868 sion des finances du Grand b) Effectif total des élèves de Conseil notamment, en raison scolarité primaire des répercussions financières au début de l'année scolai- qui en découlent. re 1 980/1 981 20 804 Voilà pour le passé. c) Diminution, de la population scolaire 2 064 Situation future ' Remarque: Cette importante Qu'en est-il de l'avenir? Il faut régression ne provient que de savoir d' abord que le service la diminution du taux de la na- soussigné récolte chaque antalité et du départ d'enfants née, auprès de toutes les cométrangers pu isqu' à l'heu re munes du canton, les ind icaqu ' il est, les volées d'élèves tions relatives aux naissances.
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Ainsi est-il possible de connaÎtre, avec une avance de quatre ans, les effectifs des élèves qui se présenteront à l' école enfantine et avec une avance de six années le nombre de ceux qui entreront à l'école primaire.
discussion au cours de laquelle furent étudiées en commun la situation pré"s ente et celle à venir, et arrêtées, dans presque tous les cas en parfaite entente, les mesures immédiates et les dispositions futures . Pouvions-nous raisonnablement, agir autrement?
chaq ue candidat reçoit, avec l'avi s d' admission signé de la main du chef du Département de l'i nstruction publique, une indic at ion écrite selon laquelle le fai t de recevoir un élève à l' Ecol e normale n'implique pas pour l'Etat une obligation d'en ga ger par la suite le futur ensei gnant. Peut-on être plus clair ? Résultat de ces mesures. Le nombre total des élèves des trois écoles normales, qui asce ndait à 910 unités en 197 5 est descendu à 595 en 1980. Certes, ce contingent est en core trop élevé par rapport aux néce~sités futu res. prév is ibles. MaiS est-ce que
fants, mais de 717 entre l' année 1979/1980 et l'année 1980/1981 seulement. Compte tenu de la plus forte régression à laquelle il faut s' attendre à l'avenir, nous en-
registrerons
encore,
l'année
prochaine, par rapport à celleEh bien! ces renseignements CI: une nouvelle diminution de montrent que la baisse des efLes pourparlers qui se sont dé- la moyenne d'enfants par clasfectifs se poursuivra. S' ajoute roulés ont abouti à la suppres- se, cela malgré les suppresà ce phénomène le fait qu'à sion de 7 classes enfantines, 8 sions indiquées. C'est dire à partir de l'automne 1981 et primaires et une de dévelop- quel point tout ce qui est dédurant trois ans, les volées pement. Trois cas demeurent veloppé au sujet des classes à d'élèves augmentées quitteen suspens au moment où ces effectifs accrus, dans l'article ront la 6 e primaire pour entrer" lignes sont écrites. que nous avons cité, passe à au CO, ce qui accentuera encôté de la réalité. Pourquoi donc cette différencore l'importance de la régresce entre le nombre de classes sion. Il semble qu ' on nous fasdont la suppression était envi- Les enseignants se grief de cette situation. sagée et celui des classes qui Qu 'y pouvons-nous? Le rajeu Il est clair que les postes supsont effectivement fermées. nissement de l'âge d'entrée, Parce que nous avons précisé- primés, s' ils ne provoquent avec les conséquences qui en ment tenu compte de la situa- pas ou presque pas de licendécoulent, est une des clauses . tion des enseignants et voulu ciements, ont pour consédu concordat suisse en matièéviter des licenciements dans quence de diminuer d'autant re de coordination scolaire toute la mesure du possible. les possibilités de travail pour voté par les citoyennes et les de nouveaux enseignants. Ainsi, pour citer un exemple citoyens valaisans le 21 noNous le regrettons vivement. parmi d ' autres, dans une comvembre 1971 à raison de mune importante où sont supMais il est faux de prétendre 13 718 oui contre 7 422 non . primées avec l'accord de la dique le Département de l'insNous ferait-on le reproche rection intéressée 2 classes truction publique continue «à d'appliquer des dispositions enfantines, 2 classes primaiaggraver la pléthore en ourésultant de la volonté popures, une classe de développevrant toutes larges les portes laire. ment et encore une clas'se prides écoles normales}). Depuis Cette diminution des' effectifs maire allemande, aucun enseila suppression du « numerus justifierait en soi la fermetu re . gnant n'est congédié, le nomclausus}) provoquée par un rede 30 classes primaires pour bre de ceux qui s'en vont à cours au Tribunal fédéral et le Valais romand à la fin de la cause de la retraite et pour due au fait que le principe de présente année scolaire, sans d' autres raisons étant plus cette limitation, développé que cela provoque pour autant élevé que le nombre de postes dans un règlement de 19 63 une augmentation de la moyen- supprimés. n' était pas inscrit dans la lo i de ne d'élèves par classe. C'est Seize classes en moins l'an- 1962, nous n'avons fait que dans ce sens que notre Servinée prochaine, à raison d'une . durcir les examens d'admisce s' est adressé, au mois de moyenne de 20,2 élèves par sions. Par ailleurs, les con seilfévrier dernier, aux communes classe, cela correspond à une lers en orientation scolaire et touchées par ces mesures. population scolaire de 323 professionnelle sont invités Des réactions n'ont pas manenfants. Durant les années par nous - et ils le font - à inqué de se produire. Nous y dont nous avons parlé ciformer les élèves du CO sur les avons répondu en invitant dessus, la diminution moyen- difficultés de l'emploi dans chaque administration à une ne annuelle fut de 295 enl'enseignement. Depuis 1976, 6
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l'on ferme des facultés de médecine dans les universités ou des possibilités d'apprentissage dans les écoles professionnelles parce que tel ou tel secteu r d'activité peut être momentanément encombré. Il existe des phénomènes d'au-' to-régulation qui se produisent dans la mesure où les informations préalable's sont données.
Conclusions Malgré la longueur qe cet article, tout n'a pas été dit. Nous nous réserverons donc, le cas échéant, de développer encore quelques points particuliers.
Qu'il nous suffise en terminant de revenir su r certaines affirmations publiées récemment. « L'école est l'affaire de toUS}) a-t-on dit. Oui, cela est vrai . Ce qui ne signifie pas que tous doivent se mêler de tout. Les responsabilités sont claire ment définies. A chacun de les assumer à sa place, à son poste, ce qui n'exclut pas une collaboration nécessaire dans la mesure où celle-ci contribue au bien de l'école, compris dans l'intérêt général du pays. Service cantonal de J'enseignement primaire et des écoles normales
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Trois articles destines àfan1iliariser tout un chacun avec le COlnlnent et le pourquoi du soleil auront occupé les pages de «l'Ecole valaisanne» au cours de l'année 198()-1981. Le prelnier a paru dans le nUlnéro 3 du mois de novelnbre 1980,' le deuxièn1e dans le nun1éro 6 du lnois defévrier 1981. Voici aujourd'hui le troisième. Ces articles sont destinés à susciter chez l'élève le désir de faire un pas de plus sur l'intenninable chenûn de la connaissance. Puissent ces textes rencontrer un écho favorable chez les enseignants du canton!
Faisons connaissance avec le soleil Voici le troisième article relatif à cette source généreuse et inépuisable d'énergie. Chers élèves, deux par deux, vous allez pouvoir remplir de façon «constructive» une heure de travaux manuels. A l'aide du plan que voici v.ous pourrez «bricoler» le théodolite de fortune dont il a été question dans l'article N° 2. Nous verrons dans un quatrième article comment tirer profit du relevé du masque en un lieu défini et comment ensuite il faudra s'y prendre pour dresser les combes d'équi-durée d'ensoleillement pour une région donnée.
Vue d'ensemble du matériel
E. V.
pièces N°s Sa et Sb:
pièces ~e c~rton, jumelles selon plan ; à plier conformément aux indIcatIOns. pièce N° 6: indicateur de hauteur à l'horizon (angle), en carton , diamètre 50 mm ., épaisseur 1 mm ., marqué selon indications avec degré 5 par 5. pièce N° 7: 2 cartons identiques, épaisseur 1 mm. , rectangulaires 25 .mm. x240 mm. Pièce N° 8:
Pièce N° 1:
1 planche de pava tex carrée 24 cm . x 24 cm. , épaisseur 24 mm. , percée en son centre d'un trou de 7mm. de 0 avec chanfrein. Pièce N° 2: 1 clou géant 06 ,5 mm ., sectionné à 8 cm . de sa tête.
1 vis parker longueur 12 - 15 mm .. tête fendue .
Phase c du montage
On place la pièce Sa à l'aide de l'agrafeuse sur la pièce N° 4 en respectant l'angle de 120 degrés préalablement inscrit sur la pièce N°4 .
Pièce N° 3:
1 carton carré 21 cm . x 21 cm. , épaisseur 1mm., percé en son centre d'un trou 0 7 mm ., marqué d'un cercle au diamètre de 182 mm. avec indication Est/Sud/ Ouest et les degrés 5 par 5. Pièce N°4:
1 disque taillé sur planche de pavatex, épaisseur 12 mm., diamètre 180 mm. , chanfrein sur le dessus percé en son centre d'un diamètre de 7 mm.
Phase a de montage
On loge le clou (pièce N° 2) dans le trou de la planche (pièce N" 1). La tête du clou prend place dans le chanfrein. Une bande de scotch le retient.
Phase b du montage . O~ introduit le carton (pièce N° 3) en le fixa!)t aux quatre
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à l'aide d'une agrafeuse.
Phase d du montage
On place vis-à-vis de la pièc.e Sa la pièce Sb.
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Le futur de la lecture publique valaisanne « Le butfinal. .. dem.eure la création d'Lin véritable réseau de bibliothèques à travers tout le canton assurant à chaque valaisan, oû qu'il réside, un accès facile aux livres et à toute docum.entation utile à safor/nation et à sa culture.» A. Gattlen
Un réseau
Phase e du montage L'assemblage issu de la phase d est accouplé à l'assemblage issu de la phase b.
Phase f du montage Les 2 cornières (pièces N° 7) assemblées à l'aide d'agrafes à la pièce N° 6 constituent un tout articulé à l'assemblage issu de la phase d à l'aide de la vis parker (pièce N° 8).
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thèque, c'est-à-dire de définir le nombre et l'emplacement apLa notion de réseau de biblioproximatifs des bibliothèques thèques nous paraît fondamen- . intercommunales, unités de tale pour le développement de base du réseau. A partir des obla lecture publique dans notre servations effectuées auprès des canton . Nous entendons par là, bibliothèques régionales auentre autre, la définition de trois jourd'hui en place, il nous semtypes complémentaires de biblerait judicieux d'envisager le bliothèque. découpage du Valais en approximativement 25 à 30 zones Des bibliothèques intercommucorrespondant grosso modo aux nales centres et sous-centres définis Il s'agit tout d'abord de tracer une carte des zones de biblio-
par la variante IV de la conception directrice cantonale (cf. carte) auxquels il conviendrait probablement d'ajouter quelques zones supplémentaires. Ce travail de planification devrait se faire en étroite collaboration avec les communes de manière à correspondre à leurs souhaits.
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Précautions avant le relevé du masque Installez-vous sur votre balcon, calez votre «théodolite» au moyen d'un niveau à bulle en ayant eu le soin à l'aide d'une boussole de diriger la plaque de base, pièce N° 1, en direction du sud. Relevez maintenant point par point le «masque» caractéristique du lieu où vous vous trouvez. En quelques minutes avec un peu d'habileté, vous connaîtrez, au lieu considéré, l'heure du lever .et du coucher du soleil pour chaque jour de l'année (horaire d'hiver). w. Ferrez Bien du plaisir à tous.
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Centre régional
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Direction de la décentralisation
Variante IV de la Concep·t ion directrice cantonale de l'aménagement du territoire
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U ne telle carte devrait également tenir compte des possibilités offertes par la combinaison de bibliothèques publiques et scolaires et par l'usage de bibliobus. Ceci ne signifierait pas la création ex-nihilo de 25 à 30 équipements nouveaux, car dans un certain nombre de cas l'adaptation d'une bibliothèque communale aux besoins d'un public élargi pourrait suffire.
Des bibliothèques régionales A un deuxième niveau se situe les bibliothèques régionales dont notre canton est déjà partiellement équipé. En principe chaque centre (cf. carte) devrait en posséder une. On veillera surtout ici à mettre l'accent sur la mission d'information de ces bibliothèques: elles seules sont aptes à acquérir de coûteux ouvrages de référence, de tenir à jour certains fichiers, d'offrir des salles de lecture suffisamment vastes, etc. Ce seront là des réalisations dont les communes concernées et le canton devraient se partager la responsabilité financière . Il est par ailleurs évident que toute bibliothèque régionale serait simultanément la bibliothèque intercommunale de la zone de bibliothèque où elle serait établie. Comme jusqu'ici, les offices régionaux auxquels sont rattachées certaines de ces bibliothèques régionales demeureront les centres de coordination et de conseil pour les bibliothèques intercommunales situées dans leur aire d'influence.
Un pivot Enfin à un troisième niveau prend place la Bibliothèque cantonale (siège de Sion) qui continuera à mettre un accent particulier sur son rôle de référence et sa place particulière dans la recherche locale. Pour remplir convenablement cette mission , elle devrait à long terme être dotée de bâtiments plus vastes lui permettant d'une part d'offrir davantage de places de travail pour les lecteurs et d'autre part de ' présenter ses collections d'intérêt courant en libreaccès aux ra yons. L'exemple de la Bibliothèque de la ville de La Chaux-de-Fonds cité plus haut a démontré que ce type d'organisation est le seul à démocratiser l'accès au livre. Parallèlement à cette tâche traditionnelle , elle devrait assumer les fonctions administratives eXlgees par l'ensemble du réseau: planification , gestion des éléments communs, prêt interbibliothèques, catalogue èollectif, élaboration de normes, publicité, appui pédagogique, participation à la répartition des subventions cantonales, etc.
Le fonctionnement d'un réseau nourri de la coopération de tous ses éléments évitera le gaspillage inhérent à toute stru cture non organisée.
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On a cru parfois qu'il suffisait de multiplier le nombre des bibliothèques pour garantir la vitalité de la lecture publique. L'expérience a montré que la priorité doit être accordée à la qualité et à la diversité des services offerts. Dans cette optique, la constitution d'un réseau paraît aujourd'hui devoir s'imposer.
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Une loi d'encouragement
Il serait illusoire de concevoir la réalisation d'un réseau valaisan de bibliothèques à travers l'adoption d'une législation contraignant les collectivités loUn ensemble cohérent cales à créer des bibliothèques. L'unification des techniques de . L'on entrerait ainsi en contratravail, l'institutionalisation de diction avec la répartition tradila collaboration interbibliothè- tionnelle des tâches en matière ques, la complémentarité des di- culturelle. Ainsi , lorsque nous vers équipements feront que le ' parlons d'une carte des zones de lecteur inscrit dans une biblio- bibliothèque, nous envisageons thèque valaisanne pourra solli- un document indicatif devant citer directement ou indirecte- guider les collectivités locales ment tous les services des éta- dans la nécessaire mise en place blissements du canton. D'em- d'une collaboration intercomblée il abordera un réseau et munale. non pas une bibliothèque iso- A nos yeux, l'élément décisif, la lée. Il trouvera le plus près pos- prochaine étape importante de sible de son domicile les servi- la politique valaisanne en ma-
pes futures qui exigeraient un minim um de planification préalable. Dans l'attente de l'adoption de bases légales, il conviendrait d'éviter une multiplication de petites bibliothèques' qui risqueraient de bloquer de futurs regroupements de localités ou communes autour d'une seule bibliothèque intercommunale. Dans le même temps, la répartition des. subventions pour les bibliothèques pour la jeunesse des conseils et une aide devrait être revue afin d'encoutechniques dispensés par le rager la réalisation d'équipepersonnel de la Bibliothè- ment répondant à des normes que cantonale et de ses offi- . minimales d'efficacité. Ceci imces régionaux; pliquerait également une rééval'octroi de subventions luation des sommes actuelled'équipement et de fonc- ment allouées à ce secteur de tionnement aux bibliothè- manière à pouvoir subventionintercommunales ner l'ensemble des frais inhéques répondant aux normes rents à une bibliothèque scolaifi xées à cet effet; re ou pour enfants. un appui financier particulier aux bibliothèques régionales; l'entretien d'une Bibliothèque cantonale.
tière de lecture publique devrait consister dans l'établissement de bases légales précisant que: _ la notion de réseau préside au développement des bibliothèques dans notre canton; - la création et l'entretien des bibliothèques locales (intercommunales) appartiennent à l'initiative des communes; . l'Etat cantonal encourage la réalisation d'un réseau cohérent de bibliothèques par:
ces élémentaires, alors qu'il s'adressera - ou que la bibliothèque intercommunale s'adressera pour lui - à une bibliothèque régionale ou cantonale, voire extérieure au réseau valaisan pour obtenir la réponse à des questions plus complexes.
A moyen terme, une Loi culturelle (loi d'encouragement aux activités culturelles) serait le texte le plus apte à intégrer les éléments évoqués dans la première partie de ce chapitre. Le rôle de pivot qu'en zone rurale un réseau de bibliothèques publiques peut jouer dans le domaine culturel serait ainsi clairement mis en perspective avec les autres secteurs régis par cette loi. Enfin à long terme, la dynamique qu'une telle loi créerait au sein des collectivités locales amènerait notre canton à se doter d'un ensemble cohérent de bibliothèques tandis que dans le même temps l'Etat cantonal renforcerait les moyens d'action de la Bibliothèque cantonale en la dotant de locaux plus vastes et mieux adaptés.
Conclusion: .une volonté politique
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Des priorités, un calendrier L'esprit du réseau valaisan évoqué, il reste à esquisser un ordre de priorité apte à le traduire dans la réalité. Dans l'immédiat, il conviendrait d'achever l'application des décisions du Conseil d'Etat en mettant sur pied un office de la lectu re publique dans le Valais centra l qui pourrait simultanément servir d'instrument de coordination ' pour l'ensemble du canton. On disposerait de cette manière du personnel né.cessaire pour préparer les éta-
En Valais, la volonté politique qui devrait permettre la constitution d'un véritable réseau de bibliothèques s'est renforcée durant les années septante. Les documents de planification cantonaux et les études régionales publiées jusqu'à ce jour signalent tous la nécessité de fournir un effort en matière de lecture publique. Cependant des formulations vagues ou partielles traduisent une prise de conscience incomplète du problème. Ces éléments permettent néanmoins d'espérer qu'une volOIIté plus nette se forme pro-
gressivement. A nos yeux une telle perspective nécessite une prise de conscience non seulement des milieux administratifs et bibliothéconomiques, mais de tous les groupes et individus concernés par la formation permanente. Nous pensons en particulier aux Associations culturelles et pédagogiques dont les interventions de certaines d'entre elles avaient précédé la création de l'Office haut-valaisan de la Bibliothèque cantonale et aux municipalités ayant, à travers leurs réalisations propres, mesuré les limites de la stnictu-
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Grand Conseil valaisan en séance L'action du Grand Conseil valaisan peut seule garantir l'avenir des bibliothèques publiques et scolaires de notre canton
Des places de travail Une classe entière doit pouvoir travailler dans la hihlinfhè>qlle
re cantonale en matière de bibliothèque. Une part importante et décisive de cette responsabilité revient également aux membres du Parlement. Après que dix ans se soient écoulés depuis le dépôt de deux motions qui abordaient partiellement le problème, après une prise de connaissance régulière des développements de la décentralisation de la Bibliothèque cantonale, il est temps que le Grand Conseil provoque en son sein un débat global sur le problème des bibliothèques.
Enfin, sans vouloir répéter les nombreux arguments présentés plus haut, nous rappellerons qu'un réseau de bibliothèques publiques et de bibliothèques scolaires forme un élément constitutif de tout système éducatif. En Valais, la réalisation d'un tel réseau devra se situer dans le prolongement des récentes réformes scolaires et de l'adoption prochaine d'une nouvelle loi sur l'instruction publique. Un ensemble cohérent de bibliothèques demeure dans un canton rural le princi-
pal outil de l'éducation permanente et le complément indispensable de l'école. Avec les autres équipements culturels et éducatifs, il doit permettre au Valais de pallier à son isolement géographique et à son éloignement des grands centres urbains où se concentrent des institutions plus prestigieuses. SIon , Biblioth èq ue des jeu Iles
Un local vaste et attrayant Au minilnum une salle de classe (64-72
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Manifeste de l'V nesco sur la bibliothèque publique La bibliothèque publique L'Unesco et les bibliothèques publiques L'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture a été fondée en vue de servir la paix et le progrès spirituel, en agissant sur l'esprit des hommes et des femmes. Le présent manifeste proclame "la confiance que l'Unesco place das la bibliothèque publique en tant que force vive au service de l'éducation, de la culture et de l'information et en tant qu'instrument indispensable au développement de la paix et de la compréhension internationale. La bibliothèque publique
Une institution démocratique d'enseignement, de culture et d'il~formation
La bibliothèque publique illustre la foi de la démocratie en l'éducation pour tous et à tout âge, ainsi qu'en l'aptitude de chacun à apprécier les réalisations de l'humanité dans le domaine du savoir et de la culture. La bibliothèque publique est le principal moyen de donner à tous libre accès au trésor des pensées et des idées humaines et aux créations de l'imagination de l'homme. La bibliothèque publique a pour tâche de reposer l'esprit de l'homme en lui fournissant des
livres pour son délassement et son plaisir, de venir en aide à l'étudiant et de faire connaître les progrès de la technique, de la science et de la sociologie. La biblioth"èque publique doit être constituée en vertu de textes législatifs précis conçus de manière à permettre à toute la population de bénéficier de ses services. II est essentiel que les bibliothèques coopèrent entre elles pour que la totalité des ressources nationales puisse être utilisée et mise au service des lecteurs. La bibliothèque publique doit être financée en totalité par l'Etat ou les collectivités locales; ses services ne doivent donner lieu à aucun paiement de la part des usagers. Pour atteindre ses objectifs, la bibliothèque publique doit être d'accès facile et ses portes doivent être ouvertes également à tous les membres de la communauté, sans distinction de race, de couleur, de nationalité, d'âge,de sexe, de religion, de langue, de situation sociale ou de niveau d'instruction. Ressources et s'ervices que doit offrir la bibliothèque publique La bibliothèque publique doit donner aux adultes et aux enfants la possibilité de marcher de pair avec leur époque, de ne
jamais cesser de s'instruire et de se tenir au courant des progrès accomplis dans les sciences et dans les arts. Présentées de manière attrayante et sans cesse remises à jour, ces collections doivent être la preuve vivante de l'évolution du savoir et de la culture. Elle pourra ainsi aider les lecteurs à se faire eux-mêmes une opinion et à développer leur goût et leurs facultés critiques et créatrices. Il appartient à la bibliothèque publique de leur transmettre les connaissances et les idées, quelle que soit la forme sou~ laquelle elles sont exprimées. La page imprimée est depuis des siècles l'instrument universellement admis de la diffusion du savoir, des idées et de l'information; les livres, les revues, les journaux demeurent donc les principales ressources que doivent posséder les bibliothèques publiques. Toutefois, la science a créé de nouveaux types d'archives qui occuperont une place de plus en plus grande dans les fonds des bibliothèques. Adultes et enfants doivent pouvoir y trouver des ouvrages reproduits en un format réduit qui facilite leur stockage et leur transport, des films, des diapositives, des disques, des bandes de magnétophone et de magnétoscope,
Sion, Bibliothèque des jeunes
ainsi que le matériel nécessaire à l'usage individuel ou dans le cadre d'activités culturelles. Au total, la bibliothèque publique doit avoir des ouvrages et de la documentation sur tous les sujets afin de pouvoir satisfaire les goûts de tous les lecteurs, quèlIe que soit leur instruction ou leur culture. Toutes les langues employées" par une communauté doivent être représentées et la bibliothèque doit posséder dans la langue originale les livres qui revêtent une importance mondiale. La bibliothèque publique doit être située en un lieu central,
être accessible aux personnes souffrant de handicaps physiques et être ouverte à des heures commodes. Les locaux et le mobilier doivent avoir un aspect agréable, familier et accueillant. Il est essentiel que les lecteurs puissent accéder librement aux. rayons. La bibliothèque publique est tout naturellement le centre culturel de la communauté, où se réunissent des gens ayant des intérêts semblables. Elle doit donc disposer des locaux et du matériel nécessaires pour organiser, à l'intention des adultes et des enfants, des expositions, des discussions, des conférences,
des concerts et des projections de films. Des filiales et des bibliothèques itinérantes doivent desservir les zones rurales et les banlieues. Pour constituer et organiser leurs collections et aider leurs lecteurs, il est indispensable que les bibliothèques disposent, en nombre suffisant, d'un personnel compétent et dûment formé. Ce personnel devra recevoir une préparation Spéciale à diverses tâches, comme le service des enfants et des personnes handicapées, la manipulation du matériel audio-visuel, l'organisation des activités culturelles.
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La bibliothèque publique et les enfants C'est pendant l'enfance que s'acquièrent le plus facilement le goût de la lecture et l'habitude de fréquenter les bibliothèques. La bibliothèque publique doit donc s'attacher à donner à chaque enfant la possibilité de choisir librement le livre ou le document qui l'intéresse. Il est bon de constituer des collections d'ouvrages destinés aux jeunes lecteurs et, si possible, de leur réserver des locaux spéciaux. La bibliothèque peut ainsi devenir pour eux un endroit vivant et stimulant où ils trouveront, dans des activités variées, une source d'inspi ration culturelle.
frent les établissements d'enseignement. Les personnes qui étudient seules sont parfois entièrement tributaires de la bibliothèque publique pour satisfaire leurs besoins de livres et de documentation.
L'homme quotidien
La bibliothèque publique au service de la communauté Active et constructive dans ses méthodes, telle doit être la bibliothèque publique. Il lui faut apporter la preuve de son utilité et inciter la population à faire appel à elle.
Les lecteurs handicapés
De quoi s'agit-il, en fait, dans ce que j 'appelle une réaction inadaptée? Il s'agit, tout simplement, d'une réaction que nous avons développée une fois face à un stimulus gênant et que nous avons reproduite, faute de mieux, un nombre de fois suffisant pour la transformer en ce que nous pourrions appeler un réflexe conditionné - c'est-àdire , une habitude! ...
On se préoccupe de plus en plus Elle doit coordonner ses efforts du bien-être des personnes avec ceux d'autres organismes âgées et handicapées. Or la bi- . d'éducation, de culture et d'acbliothèque publique offre un excellent palliatif à la solitude ti,~n soci.ale - écoles, groupes d e.ducatlOn des adultes, organiet aux handicaps mentaux et satIOns d'activités de loisirs, etc. physiques de toutes sortes. - et avec ceux des institutions Une meilleure accessibilité des à vocation artistique. locaux, la fourniture d'auxiliaires mécaniques et d'ouvrages Elle doit être attentive aux intéimprimés en gros caractères ou rêts et aux besoins nouveaux enregistrés sur bande, la distri- qui se font jour dans la commubution de livres dans les hôpi- nauté; noüvelles catégories de taux et les hospices ou à domilecteurs à qui il faut des ouvracile - voilà quelques-uns des ges d'un genre particulier, ou moyens par lesquels la biblio- évolution de la conception des thèque publique peut faire bé- loisirs dont doivent tenir compnéficier de ses services ceux qui te les collections et les activités en ont le plus besoin. de la bibliothèque.
La bibliothèque publique et les étudiants Les étudiants de tous âges doivent pouvoir compter sur la bibliothèque publique pour compléter les moyens que leu r of-
Cette réaction inadaptée a pu être: a) soit spontanée et relativement personnelle, b) soit plus directement inspirée par les réactions des personnes adultes qui nous entourent, par les lois de la bienséance, le dressage, qui nous apprennent à agir d ' une manière acceptable pour la société dans laquelle nous vivons. Quelle peut être cette réaction? Elle peu t être - de fuite sous toutes ses formes, même les plus acceptées car camouflées, - d'agression, - de rejet (qui est une forme de fuite).
Crédit iconographique
Berne. Commission cantonale pour les bibliothèques populaires et scolaires: p.lA-I. Département de l'économie publique du l'antan du Valais: p.l N° 6/ . Secrétariat permanent Conseil: p.lNo 8/ .
du
Si fuite, agression, rejet peuvent devenir nécessaires, la réaction réellement adaptée, réellement' humaine est celle qui
Grand
Journal de Sierre et du Valais central: p.lA-6/ . ' Nouvelles de l'ABS, Zurich: p.l A-51.
- esti me les différentes raisons du stimulus, - cherche à les connaître, et réagit en fonction - de ses propres possibilités, - du type de stimulus.
Imprimerie Pillet, Martigny : p.l A-2 / . Dominique Quendoz, Monthey: p.lA-3 / A-41I B-I à B-5 11A à Gil l 1214/.
Extrait du Bulletin de l'Unesco à l'intention des bibliothèques, vol. 26, N° }, pp. 138-140,
N. B. - Les indications fournies ici correspondent au N° des photos.
faut, périodiquement, les contrôler, les adapter. Ce qui est bon à 15 ans, ne l'est plus à 25, à 40. Ce qui est bon en juillet, ne l'est plus en novembre.
Nous avons vu que ce dernier peut être interprété différemment par des personnes différentes. Il peut même, après nous être apparu agressif, nocif, se révéler porteur d'éléments positifs, de facteurs de rapprochement.
Mais il nous faut surtout nous libérer à l'aide de cette routine de base qu'en êtres conscients nous adoptons, pour, dans les circonstances plus importantes de nos vies, garder et développer une conscience suffisamment vivante, aigüe, pour agir et réagir en êtres humains, non en robots.
S'il nous faut donc - reconnaître l'obstacle qui est en nous, et il nous faut aussi - apprendre à évaluer les stimuli. Or, que se passe-t-il habituellement?
Habituant notre esprit, notre à développer au maXImum notre potentiel de conscience et non quelques circuits tellement imprimés en nous qu'ils nous transforment en esclaves. orga~isme
L'inconscient collectif, dont font aussi partie les habitudes sociales, véhicule un certain nombre de critères plus ou moins adaptés aux besoins du temps, eux-mêmes conditionnés par les habitudes sociales.
Nos réactions, en effet, partent de nos esprits et de nos réactions organiques et les conditionnent en retour. Si nous prenons l'habitude de les diversifier, elles s'affirment, transformant et nos esprits et nos organismes.
Dès notre enfance nous sommes pris dans ce tissu qui, au lieu d'apprendre à l'homme à devenir responsable, l'enferme dans un fatras d'actes répétitifs, vides de sens, vides de conscience. Ces réactions s'impriment dans nos esprits, dans nos organismes, à tel point que nous rejetons les autres. Celles que les êtres plus humanisés, des jeunes pas encore anesthésiés, cherchent à nous révéler. Et que nous reproduisons au lieu d'évoluer, d'humaniser.
Sinon, des stimuli que nous ressentons comme semblables alors que leurs sources et mêm~ leurs manifestations sont variées, produisent des réactions semblables et, par là-même, inadaptées. Nous rendant incapables, avec le temps, de les modifier sans difficultés majeures. Tant au niveau de l'esprit que de l'organisme.
Si les réflexes conditionnés et une certaine routine sont indisperisables dans toute vie, il nous
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Activités des centres médico-sociaux du Valais
Par là nous voyons que tout chemin de dépassement doit agir et sur le corps et sur l'esprit. Partant soit de l'un, soit de l'autre, - pourquoi pas? - des deux.
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Et peut-être avons-nous entrevu la puissance, les dangers de ces réactions répétitives que nous rencontrons partout, qui, au lieu d'humaniser l'homme de l'élever peu à peu au-dessu~ de sa condition d'animal - qui, lui, répète sans fin; et même là, certains s'adaptent, mais pour répéter à nouveau - dit raisonnable, le maintiennent à un niveau d'évolution indigne de la condition qui lui est offerte.
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(suite)
Dans le N° 7 de 1'(( Ecole valaisanne)) du mois de mars 1981, nous avons donné une première vue d'ensemble des différentes activités déployées par les centres médico-sociaux du Valais opérationnels en 1979. Comme envisagé, nous voudrions présenter ci-après un aperçu succinct de l'activité médico-sociale portant sur l'année civile 1980. Ici également, il s'agit bien de .chiffres indicatifs (et de loin pas absolus) qui permettent de refléter /'im age de la tâche accomplie dans sa globalité par les centres fonctionnels. Il va de soi que de simples statistiques ne sauraient jamais traduire toute la disponibilité exigée du personnel médico-social, tout le dévouement inconditionnel qui en est à la base, sans parler de la haute compétence technique attendue des travailleurs médico-sociaux sur le terrain. Par ailleurs, cet aperçu global permet de déceler les secteurs d'activité encore insuffisamment développés, telles que, par exemple, les consultations pour nourrissons effectuées avec la collaboration des pédiatres et l'activité médico-préscolaire. Men tionnons, enfin, que le secteur de la médecine scolaire, qui englobe la tranche d'âge allant de 4 à 16 ans, sera traité et développé ultérieurement (portant sur l'année scolaire et non sur l'année civile).
Celle d'être pensant et aim,ant afin d'aimer, de communier toujours plus avec tout son entourage. Anna T. Veuthey
III. Aide et soins à domicile et aux centres médico-sociaux - Nombre total de patients soignés au 3307 centre et à dom icile - Nombre total de traitements effec27 533 tués à domicile
SECTEUR D'ACTIVITÉ IN FI RMIÈRES
1. Nourrissons
-
Nombre total de nourrissons différents vus à domicile et au centre (y.c. les consultations effectuées hors centres) Nombre de séances consultations avec pédiatre Nombre de séances consultations sans pédiatre Nombre de consultations téléphoniques Nombre de démarches médicosociales
II. Pré-scolaire - Nombre total d'enfants différents vus au centre et à domicile
4589 250 1 515 3626
- Nombre total de traitements effectués au centre
Total des traitements
8 741 36274
AIDES FAMILIALES - Total de familles aidées - Nombre de soins (toilettes et pansements)
694
ASSISTANTES SOCIALES
1341
- Nombre de cas traités - Nombre d'entretiens - Nombre total de démarches
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Cadre en bois av ec a rrangement de fl eurs séch ées Matériel Papier format A4, ciseaux, bois, scies à découper, papier de verre, papier Japon, fleurs et feuilles séchées, colle blanche. Remarque:
Il convient de présenter cette activité longtemps à l'avance afin de donner aux élèves le temps et la possibilité de cueillir et de sécher fleurs, herbes, feuilles, fougères ... Expliquer et démontrer comment sécher fleurs et feu illes: les étaler minutieusement entre des couches de papier journal, mettre sous presse ... De son côté, le maître peut profiter des vacances
d'été pour faire provision de fleurs et feuilles séchées qu'il mettra à disposition de ses élèves pour permettre des arrangements floraux plus riches, mieux composés .
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Ecole valaisanne N° 9, mai 1981
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recherches de formes par pliage et découpage de papier format A4 (pliage en deux ou en quatre). Chaque élève doit créer au moins quatre ou cinq formes différentes (stimuler l'esprit de recherche; suggérer des idées originales ... ); , choix de la forme la plus agréable permettant un arrangement floral harmonieux; discussion avec le maître.
Réalisation: reporter le contour du cadre sur deux planches de bois de 5 mm. d'épaisseur; découper en utilisant correctement la scie; - sur l'une des planches, tracer (au compas) et découper à la scie un cadre de 1,5 à 2 cm. de 1 largeur;
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poncersoigneusernent (tout doit être bien lisse: on ne doit plus sentir ni « bosse», ni « escalier» dus au découpage à la scie); . peindre au brou de noix et passer au vernis transparent.
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Préliminaires ... ou de l'agacement des maîtres du CO Le débat sur le cycle d'orientation est désormais lancé. Il s'inscrit dans le 'climat de contradictions que Monsieur Pan natier soulignait ici-même· dans l'éditorial d'avril et les voies qu'il emprunte font la part belle à l'ignorance ou à l'imagination quand ce n 'est pas à la malveillance. On assiste, entre autres , au phénomè ne bien connu qui consiste à battre sa coulpe sur la poitrin e du voisin. Ainsi certains parents plaident ironiquement cou pables tout en brandissant l'inculture des maîtres du cycle pou r justifier le manque de motivations de leurs enfants; d'autres, instituteurs, récusent les injonctions de l'autorité dans leu r ordre et l'invitent à rechercher les causes d'échecs dans les prati ques restrictives d 'un autre degré, non souniis, privilège insigne ! à un recyclage obligatoire.
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d'autrui. Cette proposition , donnée en dehors d 'une étude d ' ensemble sérieuse de l'organisation scolaire, mérite notre sourire amusé pour l'outrecuidance de la démarche et la minceur d e l'argumentation. Ceci étant dit, je vais tenter de proposer quelques pistes de réflexion au sujet de la structure scolaire intitulée: Cycle d ' orientation . Mon propos ne vise pas plus au maintien à tout prix des actuelles structures qu ' il n 'a la prétention ou l'attrait du neuf, car la nouveauté ne me paraît pas un critère pertinent dans le domaine considéré. Condamné à n'être point original , j'aurai la satisfaction de rappeler quelques vérités premières ou que du moins j'estime telles.
1. Objectifs du CO
J'emprunte à l'avant-projet de loi scolaire du canton de FriJe tiens ici à exprimer l'agace- bourg l'article que voici: «Le men t certain ressenti par les CO a pour but l'approfondissemaîtres du cycle en constatant · ment et l'élargissement des les touchantes «sollicitudes» de connaissances et des aptitudes la SPV AL à leur égard , particu- acquises à l'école primaire ainsi liè rement dans l' Educateur. que l'orientation des élèves et Quant au rapport sur la 7e pri- leur préparation à la formation maire, il illustre avec bonheur professionnelle ou à l'enseigneun nouveau chapitre de l'Art de ment secondaire supérieur». marc her sur les plates-bandes Cette définition recouvre en ef-
fet les multiples attentes que les parents peuvent légitimement espérer pour la formation de base de leurs enfants. On y souligne le rôle de renforcement, de couronnement par rapport à l'enseignement primaire ; dans le même temps, on insiste sur l'aspect transition qui constitue un trait distinctif du système proposé. Le cycle apparaît donc fortement charpenté avec deux poutres maîtresses solidement arrimées à la structure de base qu 'est le primaire. Il s'inscrit dans la continuité de l'organisation scolaire, établissant à la fois une plate-forme et un pont entre l'enseignement primaire et l'enseignement professionnel ou secondaire supérieur. Cette ambivalence, en même temps qu 'elle donne la mesure des espoirs placés dans le CO , peutelle s'assumer véritablement dans une structure viable ou ne se résout-elle qu'en ambiguïté? Mais la question: le cycle d 'orientation est-il possible? ne présente qu'un intérêt dérisoire puisque , par axiome et par mimétisme avec d'autres cantons' romands, le cycle est admis comme nécessaire et obligatoire. (A suivre)
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CYCLE D'ORIENTATION OÙVA-T-ON? Tout système scolaire comporte des lacunes, des défauts. Outre ceux qui lui sont propres, il faut . compter avec ceux des hommés qui l'appliquent. Ajoutons-y encore les insuffisances de l'information, les interprétations mauvaises, les préjugés ... Quel système, si bon soit-il, peut résister si la confiance vient à faire défaut? Le CO aujourd'hui se trouve dans une phase de. rejet. On ne lui épargne aucune attaque, aucun coup. L'insatisfaction a gagné du terrain, sans qu'on puisse toujours en préciser les motifs. Le CO est malade. Le CO est-il à l'agonie? Les plus téméraires proposent de changer le système, ou de le modifier sérieusement. Nous vivons à une époque où la peur d'affronter les obstacles et le manque de volonté et de courage pour les vaincre se traduisent souvent par la fuite et le changement. Autre système, autres défauts, autres expériences. On dirait un jeu. Et pourtant les pions ont des noms: ceux de nos enfants. C'est en songeant à eux qu'il faut éviter de se prononcer à la légère, sans de sérieuses justifications. Or actuellement, les justifications pour un changement prononcé existent-elles? L'honnêteté commande à tout le moins de nuancer les réponses, ce qui n'a pas toujours été le cas jusqu'ici. Que des modifica-
tions soient nécessaires, cela est normal, il faut y procéder. Le système actuel est à l'essai pour permettre effectivement des ajustements.
Etonnante résignation Mais tout remettre en cause procède d'une étonnante attitude de résignation face aux critiques, pas toujours clairement formulées d'ailleurs. Déjà, les propositions les plus variées émanant de groupes divers sont rendues publiques, sanctionnant audacieusement l'échec d'un système qui a pourtant beaucoup à faire valoir. Le CO fait-il si peur à nos politiciens, qu'ils esquivent les responsabilités de défendre jusqu'au bout un système qu'ils ont inspiré et lancé? A écouter certains, le navire prend l'eau et on s'apprête à l'abandonner. Est-ce l'attitude à attendre des responsables?
l'intérieur, par les assocIatIOns d'enseignants, par les responsables de l'enseignement, à un moment où l'opinion semble être forgée exclusivement par les informations émanant des associations de parents, très actives. Il est temps que les promoteurs et les acteurs de ce système à l'essai se manifestent, fassent bien valoir ce qui est positif, alors qu'on entend beaucoup ce qui ne l'est pas au CO. Dans la situation actuelle , le CO, qui est un système perfectible, n'a pas les défenseurs qu'il mérite. Il prête le flanc à la critique sans réagir suffisamment, ce que l'opinion interprète commè une reconnaissance tacite des critiques formulées. Il ne faut pas attendre qu'il soit trop tard pour défendre ensuite une cause qui sera alors perdue d'avance.
Christophe Can'on
Le Co mérite mieux que le traitement qui lui est fait actuellement. Il peut être amélioré, on peut y créer un état d'esprit nouveau, lui donner une impulsion neuve. Si les réformes sont apportées dans le climat de résignation et de découragement qui prévaut actuellement, nous Tisquons d'hériter d'un système faussé et excessif.
Il faut que le CO fasse mieux conna~re ses expériences, de
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CIRCE III: Sous-commission d'histoire et d'éducation civique:
Etat des travaux Elaboration du programme - cad re satisfaisants. Profitons de l'occasion pour remédier à ses principales lacunes. Arriveronsnous toutefois à faire œuvre valable vu la place congrue qu'occupe l'histoire dans la grille1. Faut-il mettre l'accent sur horaire, les moyennes de prol'aspeCt de coordination ou motion, les investissements en de renouvellement? matériel didactique? Aujour2. Un découpage précis de la d'hui, la technique, le matériel, matière est-il opportun? les langues supplantent la for3. Un seul programme pour . mation de la personne. Ecrans tous les élèves peut-il donner et claviers remplacent la cultusatisfaction? re. Le technicien aura-t-il encore un bagage culturel, saura-t-il 1. Faut-il mettre l'accent sur encore réfléchir? Nous devons 1. Le programme doit couvrir, l'aspect de coordination ou tenter de renouveler l'enseigne- . de manière sélective mais en de renouvellement? ment de l'histoire pour le revaassurant les grandes lignes chronologiques, l'histoire Il convient d'abord de rappeler · loriser. Dans cette rénovation , générale et nationale des ori- que la sous-commission a reçu le maître joue un rôle primorle mandat de coordonner l'en- dial et sa formation ne peut laisgines à nos jours. 2. Il doit accorder une place seignement de . l'histoire, d'éta- ser la sous-commission indiffésuffisante à l'Antiquité clas- blir un programme-cadre et, par rente. Une leçon d'histoire ne sique, dans une perspective la même occasion, de tenter une demande-t-elle pas autant de rénovation pédagogique. Le re- préparation qu'une leçon de de généralisation. 3. L'histoire médiévale peut nouvellement est donné dans langue?; n'est-elle pas plus difêtre étudiée plus rapidement une idée de continuité de CIR- ficile à présenter, à donner étant donné que plusieurs CE 1 et II qui ont introduit une qu'un cours de mathématique? thèmes auront été dévelop- dynamique dans les program- L'histoire et l'instruction civipés en CIRCE II. mes scolaires. La sous- que sont toujours l'objet du dis4. Il convient de réserver une commission doit poursuivre les cours politique qui les considèannée à l'histoire contempo-' . deux objectifs. Ceci dans une si- re avant tout comme des branraine (XIXe et XXe siècles). tuation difficile, compte tenu ches patriotiques. Ce discours Suite aux avant-projets présen- des aptitudes et des intérêts dif- se prononce avec force en fatés par les membres en séance férents des élèves des degrés 7, veur de leur renouvellement du 15 janvier, de nombreuses 8, 9 , d'une part, et des structu- mais il se montre réservé, réticent devant les rénovations proquestions se sont posées à la res existantes d'autre part. sous-commission pour l'élabo- L'enseignement de l'histoire posées. Ces branches doivent ration du programme-cadre. donne des résultats assez peu garder leur rôle patriotique, 29
La sous-commission a tenu 12 séances, depuis sa constitution en automne 1979. Elle a pris acte avec satisfaction de l'approbation donnée par CIRCE III plénière, en novembre 1980,. à son premier rapport intermédiai re portant sur les principes et objectifs de l'enseignement de l'histoire. Passant à l'élaboration d'un avant-projet de programme-cadre, la souscommission a retenu quelques principes sur les contenus:
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Trois lui ont paru de première importance. Elles intéresseront certainement nos çollègues, de même que les réponses apportées par la sous-commission:
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bien sûr, mais elles doivent viser d'abord la formation de la personne. La sous-commission doit s'en tenir au discours pédagogique:
- la pédagogie doit dépasser le programme: donner moins pour voir mieux; apprendre à réfléchir, à comparer; motiver; éveiller le goût d'en savoir davantage; - l'enseignement de l'histoire n'est pas pyramidal: contrairement aux mathématiques, il n'est pas nécessaire d'assimiler une notion pour passer à la suivante. II n'est pas obligatoire d'avoir tout vu pour aller plus loin. L'enseignement de l'histoire permet une grande souplesse tout en fixant des points d'ancrage solides; - le rôle du maître est essentiel: il lui incombe de trouver un compromis entre l'acquisition des connaissances et le temps de réflexion. Les deux tiers des élèves terminant leurs études du degré 9, c'est la dernière occasion pour lui de les motiver. Lourde tâche qui exige un engagement total! - l'analyse des médias s'avère nécessaire: on ne sait bientôt plus que ce qu'on voit, entend, lit, au jour le jour. Les médias restent au niveau des stéréotypes, ne font pas d'enquête approfondie. Les informations abondent, incontrôlées, contradictoires, superficielles. Les éditorialistes compétents se font rares. A propos des événements d'Espagne et de Pologne, que peut dire le maître à ses élèves sur la base de la presse écrite ou parlée? Le maître doit utiliser l'actualité pour 30
intéresser l'élève mais il doit savoir prendre un certain recul pour dégager l'essentiel , le permanent d'une situation donnée. Ce qui l'amènera, avec ses élèves, à porter un regard critique sur les moyens d'information. Ils découvriront que des connaissances historiques, même sommaires, sont indispensables parce que les médias ne donnent pas une information complète et objective. La leçon d'histoire doit contribuer à former "le jugement, le sens critique de l'enfant. ' II est recommandé dans ce sens de fournir au maître les outils nécessaires à cette ouverture pour lui permettre de dépasser le manuel scolaire;
a) éviter que les cantons donnent trop d'importance à certaines périodes b) éviter que le maître répartisse inégalement la matière. Un découpage précis pourrait aider le maître à tenir une certaine vitesse de croisière et à viser «une globalité élémentaire» c) mettre en lumière certaines options méthodologiques que la sous-commission pourrait prendre. Vu la diversité des structures et des sections, un découpage précis n'est pas facile à exécuter: S'agirait-il, par exemple, d'une répartition horaire de la matière sur le modèle de l'Ecole secondaire de la Gruyère? S'agirait-il, à l'instar du programme genevois, d'un plan trimestriel avec un cadre général obligatoire mais laissant au maître une certaine liberté d'action et de choix à l'intérieur du cadre donné? La sous-com mission se déterminera sur ce point lorsqu'elle aura fixé le contenu du programmecadre avec ses prolongements.
- les examens d'admission et de promotion ne devraient pas seulement tester des connaissances formelles basées sur une série de dates mais évaluer l'importance et la signification données aux événements. En conclusion , un consensus certain se dégage au sein de la sous-commission en faveur de la coordination et du renouvellement de l'enseignement de l'histoire dans toute la mesure du possible.
Pour le moment, il convient de placer les articulations, les charnières des degrés 7, 8, 9, sur la base des projets présentés par les délégations. Celles-ci placent pour la plupart l'articulation entre les degrés 8 et 9 à la Révolution française. Il semble qu'aucun problème majeur s'oppose à ce partage. Par contre, l'articulation entre les degrés 7 et 8 est loin de faire l'unanimité. D'une part, on propose d'arrêter le programme de 7 e à la fin de l'Antiquité , arguant de la richesse de cette période - fondement de notre civilisation - qui présente les éléments essentiels à la compré-
2. Un découpage precIs de la matière est-il opportun? Le premier rapport intermédiaire de la sous-commission adopté par CIRCE III plénière le 13 novembre 1980 prévoit un programme-cadre subdivisé en trois tranches, soit une par degré. Faut-il effectuer un découpage précis à l'intérieur du programme annuel? Un tel découpage paraît souhaitable pour les raisons qui suivent:
hen sion du monde actuel , aux points de vue artistique, philosophique , politique , religieux ... D'autre part, on propose d'inclure au programme de 7 e l'étude du Moyen Age , vu que celuici a déjà été abordé en CIRCE Il; d'où un gain de temps appréciabl e. Cela ne porterait pas un préjudice grave à l'étude de l'Antiquité et permettrait par la suite de porter l'effort sur la périod e contemporaine. Cette solution n'enchante pas nécessairem ent les défenseurs de la culture médiévale, laquelle contient aussi des éléments essentiels de notre civilisation. La discussion donne lieu à un large échange de vues. Les points suivants en donnent le contexte: -
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7 e : des origines à Charlemagne inclus 8 e : de Charlemagne à la Révolution française ge : de la Révolution française à nos jours.
chaque année pour qu'il puisse approfondir la matière et affiner sa méthodologie. En conclusion , la souscommission part de l'idée d'établir un seul programme , sans savoi r comment elle s'en sortira. C ' est une gageure.
Alex andre Ma y
3. Un seul programme peut-il donner satisfaction? D'emblée, la réponse est affirmative et unanim e :
- CIRCE 1 et JI ont sensibilisé ; CIRCE III doit généralise r. - L' histoire n 'est pas sélective comme le sont les mathématiques et les langues . Aussi l'Antiquité et la Féodalité devons-nous évite r une «dissont deux mondes différents ; crimination» inutile. L'expéles voir en 7 e serait trop rience montre qu e même les lourd; élèves des classes terminales le passage de l'Antiquité au peu vent s'intéresser à tous les M oyen Age est intéressant: thèmes historiques. L'enseichangement dans la continuignemeIll de l' histoire peut té. Pou rquoi ne pas le voir en être un élément de cohésion 7e ? entre les diverses sections , et le programme s'adresse à des c'est tant mieux. enfants, et à des enfants au développement inégal. La - Un seul programme peut donner satisfaction , m ais il philosophie grecque est un convient de prévoir des probien grand sujet pour la plulongements en fonction des part d'entre eux; intérêts des élèves et de leurs nous sommes limités par le niveaux. Pourquoi ne pas temps (grille-horaire restreinprévoir quelque chose de rite: 75 cours par année); che pour les élèves qui ne existe-il une solution idéale? . poursui vent pas leurs études , si on leur propose du concret. ne pourrions-nous pas établir Ici , le rôle du maître est priune répartition annuelle par mordial. La commission tient thèmes? à revenir sur la form ation de il est inconcevable de réaliser ce dernier. Le plus souvent un programme-cadre sans généraliste, le maître devrait référence à des thèmes de ci. pouvoir enseigner l' histoire vilisation.
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En conclusion , la sous-commission, sur la base d 'un compromis, fixe la fin de la tranche (degré 7) à Charlemagne et elle adopte la répartition provisoire suivante:
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LE JUSTE MILIEU
SPORT ET CULTURE A LA CARTE
La prochaine fois que vous ({ touchez}) mon fils, vous aurez des nouvelles de mon avocat ...
Ne vous gênez pas.' une bonne claque de temps en temps, ça ne peut lui faire que du bien ...
Cette année, ils n'ont rien à faire! Jamais un travail écrit à la maison ...
Il est fou, ce maÎtre. Tous les soirs, 2 heures de boulot! Et même le dimanche ...
Nos gosses passent leur temps au stade, à la patinoire, sur les pistes, à la salle de gym, à l'atelier. Ils ne font plus d'école ...
On est en retard sur les pays voisins, on ne les pousse pas assez aux sports ...
La discipline se relâche, le respect de l'autorité se perd, l'élémentaire politesse a disparu ...
Le maÎtre descendra-t-il enfin de son piédestal? Quand l'enfant pourra-t-il le tutoyer sans crainte?
Il me semble que les 6 et 5,5 vous sont accordés généreusement cette année. Vous irez tous au cycle A!
Comme elle est sévère cette maÎtresse! Son barème commencerait-il à 5 ?
La matinée est trop longue. A 11 heures ça bâille à qui mieux mieux! On devrait allonger la classe l' après-m idi.
Qu'on supprime la classe l'après-midi, comme ça se fait déjà ailleurs!
On devrait au plus vite confier à l'école primaire l'éducation routière, sexuelle, cinématographique et pourquoi pas l'anglais, c'est tout de même la langue diplomatique!
A vec les nouveaux programmes, on effleure tout et on ne sait rien à fond. Il est temps de se limiter, l'école devient un fourre tout...
Il ne serait point ardu, chers collègues, d'allonger la liste de telles jérém iades contradictoires. Un fait est certain: il est difficile dans notre travail de trouver le juste milieu. Si on le situe où notre conscience professionnelle semble satisfaite, on peut se moquer
des qu'en-dira-t-on. Car, avouons-le franchement, si l'on veut écouter tous les conseils, toutes les théories qui émanent de tous les milieux, à propos de l'école, il n'est pas fadle de savoir sur quel pied danser. C'est malgré
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vivent au milieu des enfants qui connaîtront toujours mieux le juste milieu qui leur convient même s'ils ne reçoivent pas toujou rs la juste récom pense.
ceux qui
Georges Moret
En remplacement des traditionnels camps de ski, trop onéreux pour bien des familles et tributaires des conditions météorologiques, une solution consiste à organiser quatre journées de ski, réparti es durant l'hiver. Toutefois cette formule ne répond pas véritablement aux souhaits de tous les élèves. Estil donc souhaitable de contraindre toute une catégorie d'élèves· à participer sans motivation à des activités sportives? Et est-ce le rôle de l'école d'imposer le ski, fréquemment pratiqué en famille? C'ést pourquoi nous · avons pou rsuivi d'autres buts en recherchant une solution qui puisse au mieux satisfaire les goûts et intérêts particuliers des élèves . Avec ·l'accord et l'appui de MM. Paul Germanier, directeur des écoles de Sierre, et Guy Voide, inspecteur cantonal de l'enseignement secondaire, nous avons apporté quelques améliorations en élargissant l'éventail des activités sportives et en introduisant des activités culturelles, afin de prendre également en considération les inclinations des élèves portés vers les domaines artistiques.
Sport - Culture
Responsables
Ski
1 maître du CO ou 1 moniteur pour 10 élèves.
Bas/œtball
M. Jean Rywalski , expert JS et entraîneur du Wissigen BBC.
Football
M. André Genoud, entraîneur du FC Sier-
Hockey sur glace
MM. les entraîneurs et coachs de la section junior du HC Sierre, dont Jacques Le-
re.
Un sondage, effectué préalable- . Natation ment auprès des élèves, révéla que cette entreprise répondait parfaitement à un besoin. Equitation L'élève a ainsi la liberté de choisir parmi les activités pro- Jùdo posées :
maire et Norman Dube. M. Richard Sermier, entraîneur du groupe compétition du club de natation de Sierre. M. Georges Genolet, maître écuyer diplômé. M. Daniel Martin, responsable technique du club de judo de Sierre.
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Les photos Ol1t été réalisées par les élèves
Théâtre Photo Cin éma Musiqu e
M. Riquet Rauch , comédien et metteur en scène, Sierre. M. Jean Marguelisch , photographe , Sierre. M. Franco Cibrario, animateur de l'ASLEC, Sierre. M. Pierre Salamin , professeur au Conservatoire de Vevey et école privée de m usique à Sierre.
1 maître du CO . Echecs Céramiqu e, ém,({u x, p yrogra vure, ferforgé, 1 maître du CO. sculpture Exception faite pour le ski, l'élève s'inscrit à deux activités , qui correspondent à deux demijournées. Au surplus, ces demi-
journées demeurent dans l'optique toujours défendue par M. Paul Curdy , inspecteur cantonal d'éducation physique.
Cette nouvelle formule a pOur heureuse conséquence de peG mettre un équilibre harmonieux entre des activités physiques et intellectuelles. En effet, l'élève a , par exemple , la possibilité de pratiquer dans la matinée du basketball , et de s'adonner dans l'après-midi à la photographie. Cette même formule provoque un côtoiement inévitable et positif, dans des activités diverses, d'élèves de division A, 8 ou 8T, qui ont souvent tendan ce à s' ignorer; elle peut apporter éventuellement une solution aux problèmes des loisirs de nos jeunes: certains auront peut-
être trouvé un hobby à cette occasion. Néanmoins le principal but recherché consiste à donner aux élèves l'occasion d'apprendre quelque chose, car il ne s'agit pas simplement de se détendre mais bien d'acquérir de~ conna issances techniques. La fonction de l'école , dans le cadre de telles manifestations ne' doit pas se limiter à distrair~ les élèves; les vacances y suffisent amplement. C'est pour cette raison que nous avons fait appel à la collaboration des sociétés et clubs locaux qui , pour nous permettre d~
mener à bien «ce sport et cette culture à la carte» , mirent à disposition des spécialistes et des entraîneurs qualifiés. A son tour, l'école leur favorise indirectement une prospection de membres. Bien entendu , l'école assume , par un travail d'équipe , l'entière organisation et responsabilité · du bon déroulement de ces journées; ainsi , les enseignants sont appelés soit à participer activement selon leurs compétences, soit à garantir surveillance et discipline. Cette première expérience a apporté aux maîtres un bilan des
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plus encourageants ; ils ont constaté un enthousiasme évident des élèves qui ont réalisé des travaux très bénéfiques sur les plans pédagogiques~ éducatifs et culturels. Pour conclure , on peut se demander si , à l'instar du sport para-scolaire, il ne faudrait pas envisager l'introduction d'activités culturelles para-scolaires à une époque où se pose avec acuité le problème des loisirs de la jeunesse? CO Goubin g, Sie/Te M .-A. Salamin
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T Nouveaux moyens d'enseignement au dépôt scolaire MAINS ACTIVES «MAINS ACTIVES », élaboré à partir du fichier valaisan «MAINS À L'OUVRAGE» paru en mai 1978, est un fichier romand qui offre un large éventa il de techniques de broderie, de coutu re, de crochet et de tricot, parmi lesquelles les élèves choisissent les techniques leur permettant de réaliser leur projet.
NUELLES. Pour bien marquer cette évolution, ils sont appelés ACTIVITÉS CRÉATRICES SUR TEXTILES (ACT). Toute réalisation se fait donc à partir d'un projet que l' élève a dessiné ou peint. Par exemple, pour réaliser un coussin sur le thème: le hibou, chaque élève doit: - créer, inventer son «patron »; - analyser son projet; - établir une marche à suivre; - trouver une technique, ou une combinaison de techniques, pour en assurer la réalisation, par exemple, le point de tige (page 4), la couture simple ou couture ouverte (page 26), du tissage, du macramé, de la peintu re su r tissu ou autre technique d' impression, etc ...
Dès le début de la 3 e année primaire, les élèves reço!ve~t, en même temps, le fichier L'élève comprend très vite «AVEC MES DIX DOIGTS» que, pour réaliser un projet, pour 3P et 4P et le fichier elle doit nécessairement ap«MAINS ACTIVES» 'Pour les prendre certaines techniques degrés suivants. Ces deux fide tricot, de couture, de brochiers se complètent et sont derie ou de crochet, tout comréunis dans le même classeur, me elle doit apprendre, par format A5 oblong. exemple, la tenue correcte de La technique n'est pas un but la scie pour découper les pièen soi. Elle est un moyen de ces de son puzzle en bois ou la permettre à l'élève d' assu rer technique du colombin pour la réalisation de ses idées perréaliser une céramique. ' sonnelles. L'application des Il est évident que, à l'école priplans d'études romands (CIRmaire, l'élève ne doit pas, ne CE 1 et CIRCE Il) a renouvelé l'enseignement des travaux à peut pas apprendre toutes les l'aiguille. Tout comme le tissa- techniques présentées dans ge, la céramique, la mosaïque, ses deux fichiers «AVEC MES DIX DOIGTS» et «MAINS le macramé, etc .. ., 'ils s'inscriACTIVES ». C'est pourquoi il vent désormais dans les ACTIVITÉS CRÉATRICES MA-. serait souhaitable et judicieux
que l'utili,sation de ces deux moyens d'enseignement soit poursuivie au cycle d'orientation. S. Dubois
Vocabulaire 2P {( Cherche et trouve )) Ce petit livret de 2 7 pages, fait partie de la collection E.L. A. N., éditée en 1980 par «L. E. P. Loisirs et Pédagogie ». C'est un ouvrage de référence, à l'usage des élèves de 2 e primaire, qui se divise en deux parties.
parall èles, l'une en caractères écrite, la conjugaison orale des d'im primerie et l'autre en écri- verbes étudiés. Ce mode de ture liée. Le but principal visé présentation (pastil.les de cou'ici est de faciliter la tâche du , leurs pour le radical et utilisamaître en lui évitant le tirage tion de l'API pour les désinenfas t id ieux des listes de mots ces) mérite une explication qui et de permettre à l'élève de se sera fournie aux maîtres lors famil ia riser peu à peu avec de la session pédagogique en l'usag e d'un dictionnaire. été 1981. 2. La seconde partie présente, con fo rmément à « Maîtrise du fran ca is », les tableaux de conj ugaison des verbes être, avoir, aller, et chanter à l'indicatif présent, imparfait, futur et pa ssé simple, ains i qu'au prése nt du conditionnel, du . subjo nctif et de l'impératif. L'in té rêt ici réside, d'une part, dan s le fait de fournir à l'élève un ou vrage de référence simple et d'accès facile et, d'autre part, dans celu i de présenter, en re gard de la conjugaison
François Mathis
De livre en liv re Il s'agit d' u n livre de lectu re destiné aux élèves de 3 P. Celui qui est utilisé actuellement dans ces classes paraît un peu difficile. Abondamment illustré, bien aéré, «De livre en-jjvre» comprend 1 5 chapitres traitant de sujets intéressants et divers.
HACHETIE
Les livres de lecture suivie mis à disposition par l'ODIS sont un heureux complément de ce petit manuel.
1. 'Les · 19 premières pages contiennent la liste du vocabulaire de base (Plan d' études) présentée par ordre alphabétique sur deux colonnes
Coin lect ure 1 P
Collection E.LAN, le frança is à l'école prim aire
CH ERC HE ET TROUVE IiSICdclll11b
l"bkall ~ dcClJIl.ill g a i'"1l
Ce m oyen d'enseignement a été introduit avec succès dans les degrés 2 , 3, 4 , 5, de la scolarité primaire, Un examen attentif de ce mê m e matériel propre à la 1 re ann ée primaire, révèle que les exe rc ices présentés convien - " nen t aux enfants de cet âge. Le m atériel comprend des fi che s d'exercices progressifs dest inées aux élèves non lecteurs, puis, des textes adaptés aux élèves de six ans et permetta nt un travail individuel.
Les cahiers d'exercices utilisables par les enfants, dotés d'un système auto'- correctif, accompagnent l'exploitation des fiches .
Planches de m inuscules
(écriture romande) avec chif f res de 1 à 9 Tableau format 60 x 85 qui présente l'ensemble des m inuscules et des chiffres de 1 à 9 . Pratique pour l'affichage en classe.
r - formulation de l' espace l'animal - le paysage - l' homme, par exemple.
TITRE: Education par la forme et la couleur
NOUVELLES ACQUISITIONS
L'ouvrage est illustré de plus de 800 figu res dont 350 en couleur. Elles reproduisent essentiellement des travaux d'élèves.
A uteur: Gottfried Tritten Edition : DELTA VEVEY Pour les maÎtres dès la 5 e année primaire.
Ouvrages
- La dérive des continents, Bibliothèque pour la
Gottfried Tritten se défend de donner des recettes. Il propose une démarche didactique que l'utilisateur adaptera aux conditions particulières de son enseignement.
Scie nce, Belin, 1979 .
- L'é volution, Bibliothèque pour la Science, Beli n, 1978.
Bruno Clivaz
D ictionnaire: mes 10 0 00 mots
Cet ouvrage est un guide méthodologique et didactique pour l' enseignement ~u dessin. Il propose aux en~elgna,nts 171 lecons exemplaires s enchaÎnan't selon une progression méthodique.
9-10 ans mais on peut regretter qu'il offre un choix de mots un peu restreint.
Après un sondage auprè.s ~es maîtres de 4P, la commission des moyens d'enseignement a pris note du fait que le dictionnairè «Mes 10000 mots» ne donne que partiellement satisfaction aux titulaires de 4P. Cet ouvrage est facile à consu Iter par des enfants de
En conséquence, la commission propose d'équiper les classes de 3 P et 4P avec quelques exemplaires par class.e, du «Dictionnaire du français, contemporain» ou du «La-
rousse illustré ».
19 79.
Faisant su ite à «Mains d'enmains créatrices », il montre comment développer l'expression graphique et picturale chez les enfants de 11 à 16 ans.
sinées, t1 : De l'antiquité à Mozart, t2: De Beethoven à Wagner, t 3: De Mahler à nos jours, Ed : Francis Van de
ÉDUCATION PAR LA FORME ET LA COULEUR est fait de quatre parties: objectifs d' apprentissage - matériaux et outillage - dessin - couleur, ellesmêmes entrecoupées de commentaires situant tel ou tel problème: rythme - structures
Velde. - Karl Luond et Karllten, Le Saint-Gothard, Ringi er, 1980. - Jo nathan Norton Léonard, L'Amérique précolom bienne, Time-Life, 1980. - Gérald Berger, Les mass-media, Centre d'initi at ion aux mass-media, Fribourg . .
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Les zones humides et la vie Silhouettes de rapace en vol Les arbres de la forêt Les haies L'enfant apprend à connaÎtre la forêt par ses sens - Les rapaces diurnes et nocturnes. 39
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r Articles de revues
« La musique à l'école», dans Le journal des instituteurs et institutrices, N° 7 pp. 11-2 6 Nicole Zobermann, « Enfants doués, bien doués, moins doués, surdoués» dans L'école et la vie, N° 7 pp. 19-32. « L'audio-visuel» Dossier du mois de L'éducation enfantine N° 7 pp 7 -25.
IRDP Formation des enseignants en Suisse romande; éco.le enfantine, enseignements primaire et secondaire.
DIAS CONTES ET LÉGENDES - ECL 12887 Ma rue, (9 dias) - ECL 12888 Le petit nuage (9 dias) - ECL 12889 Pucette (20 dias)
GÉOGRAPHIE - G 12989 Les fonctions urbaines (30 dias)
LITTÉRATURE LF 12985 Albert Camus (21 dias) LF 12986 Paul Verlaine (21 dias)
DIAS EN RAPPORT AVEC LA LECTURE SUIVIE
CVE 12941 Téléactualité: un tunnel, un événement, le Saint-Gothard 1 CVE 12945 Téléactualité: un tunnel, un événement, le Saint-Gothard 2
APPEL D'OFFRES
RELIGION CVR 12942 Les Chrétiens: 1 Un peuple à part. L'Australie: 1 La classe moyenne au paradis. 50'. CVR 12946: 3 Naissance de l'Europe 55 ' CVR 12964: 6 Princes et pontifes 50' CVR 12969: 7 Contestation et réforme 55' CVR 12943: Vespérales: 1 Sœur Emmanuelle 2 A l'église abbatiale de Payerne, de nouveaux vitraux CVR 12944 Psychiatrie et religion 30 '
SCIENCES CVS 12893 Le feuilleton: principe, définition.Le son synchrone 30' CVS 12895 La vie sur terre: 1 une infinie variété 43' CVS 12896 La vie sur terre: 2 L'évolution des animaux 43' CVS 12897 La vie sur ·terre: 3 les premières forêts 50' CVS 12898·La vie sur terre: 4 le monde des insectes 50'
aux enseignants des classes de 1 re et 2 e enfantines, 1 re et 2 e prùnaires Dans le cadre de l'introduction des nouveaux progra mmes de français , le Département de l'instruction publique a l'intention de constituer pour l'année scolaire 1981/82, '
2. Evaluation du travail des élèves ; 3. Observation du français en collaboration avec la «Commission cantonale de coordination du français» et la «Commission romande d'observation du français».
UN GROUPE DE TRAVAIL POUR LE FRANÇAIS
Le groupe sei"a constitué de 3 enseignants qui seron.t déchargés d'un jour et demi de classe par semaIne.
Les tâches de ce groupe porteront essentiellement sur
Les personnes qui s'intéressent à faire partie de ce groupe de travail sont priées de bien vouloir retourner le bulletin ci-dessous au
1. Les moyens d'enseignement pour les classes l E, 2E, IP et 2P: - recensement et étude des moyens existants; - propositions et préparation d'adaptations éventuelles; - création de moyens d'enseignement nécessaires à l'application du plan d'études CIRCEl ;
Département de l'instruction publique Service de l'enseignement primaire et des écoles normales, Planta 3, 1950 SION, avant le 10 juin 1981. DIP Service cantona l de l'enseignement primaire et des écoles normales
- LS 12987 Le Grand Meaulnes (12 dias)
TALON-RÉPONSE
BOTANIQUE - SB 12890 L'Arbre, un être vivant (12 dias)
Je, soussigné(e), m'intéresse à faire partie du «Groupe de travail pour le français» durant l'année 1981 / 82:
PHYSIQUE - SP 12988 Circuit électrique (12 dias)
Nom : .... ......
CASSETTES VIDÉO
Prénom:
ART, LITTÉRATURE, MUSIQUE CV alm 12894 La boîte à rêves: les troubadours 25' CV alm 12963 L'aventure de l'art moderne : 10 L'épreuve de l'objet 55'
Adresse: ....... .... .. ..... ........... ..... . N° de téléphone: ..... ..... ....... ... .
TÉLÉVISION ÉDUCATIVE
Degré d'enseignement:
CVE 12878 Complément à la radio: ,'orchestre des collèges lausannois et Bach
Lieu et date: ... ....... ......... ... .. ... .. ... .... .. ..... ....
Signature: .. ... .... ....... ... ... ...... ......... .... ..... ... .. .... . 41
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INSTRUCTIONS CONCERNANT LE CALCUL DES MOYENNES ANNUELLES ET LE PASSAGE AU CYCLE D'ORIENTATION
'I. Calcul des moyennes annuelles du livret scolaire
1.1 Calcul de la moyenne annuelle par branche Ce calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres et celles de l'examen: la somme est divisée par 4.
Ex. grammaire-orthographe: 4 + 4,6 + 4,6 + 4,8 4 5
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Dans les branches pour lesquelles n'existe pas l'examen de promotion, le calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres; la somme est divisée par 3. Ex. ACM: 4,9+5,3+5,2 5 1 3 ' 1.2 Calcul de la lnoyenne annuelle du premier groupe
Le calcul se fait en additionnant la moyenne annuelle (se colonne) de chaque ligne; la somme est divisée par le nombre de lignes. Ex. 4,9 +4,5 +4,6 +4,3 +4,5 +4,5 +4,6 7
45 '
1.3 Calcul de la moyenne annuelle générale
Le calcul se fait en additionnant la moyenne annuelle (se colonne) de chaque ligne (éviter d'y inclure la moyenne annuelle du premier groupe); la somme est divisée par le nombre de lignes. Ex. 4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 + 5,8 + 5,6 + 5,1 +5,3+5,2 =4,9 12 2. ADMISSION AU CYCLE D'ORIENTATION
2.1 Les élèves qui, sur la base des résultats des classes d'observation (se + 6 e P), obtiennent une note entre 4,0 et 6 d~ f!1oyenne du premier grou42
pe et de moyenne générale, sont admis au Cycle d'<?rie~tation pour autant qu'ils aient réussi la 6e pnmmre. 2.2 Ils peuvent, moyennant la réussite d'un examen d'admission, accéder à la division A du CO. Cet examen a lieu le mardi 9 juin 1981 dans chaque CO du canton. 2.3 Les élèves dont la moyenne générale (2/5 pour la se P et 3/5 pour la 6 e P) des deux années d'observation est de 5,0 et plus, sont dispensés d.e cet examen. 2.4 Les élèves qui n'atteignent pas la note 4,0 de moyenne du premier groupe et de moyenne générale, redoublent la 6 e P s'il leur reste plus de deux années de scolarité obligatoire à accomplir. 2.5 Les élèves qui ne sont pas promus au sens du point 2.1 ci-devant et qui n'ont plus que deux années de scolarité à accomplir, sont admis en classe terminale de la division B du Cycle d'orientation. Les cas particuliers (langue étrangère, maladie prolongée etc ... ) doivent être soumis pour examen et décision à l'inspecteur de l'enseignement primaire concerné. 3. MOYENNE DE PASSAGE AU CYCLE D'ORIENT A TION
3.1 La moyenne de passage au CO est calculée comme suit: - moyennes annuelles (1 er groupe et générale) de fin de 5e P affectées du coefficient 2; - moyenes annuelles (1 er groupe et générale) de fin de 6 e P affectées du coefficient 3; - résultat moyen des classes d'observation (5 e et 6e P): total divisé par 5. 3.2 Comme pour toutes les autres notes, la moyenne de passage au CO se calcule au dixième (4,79 = 4,7). Département de l'instruction publique Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales
ré dans la multiplicité des forMatériel de classe: 2 tableaux format A2 (majuscu- mats et des réglures. les et minuscules) disponibles 1 re primaire au Dépôt des livres scolaires. - Ecriture: cahier format oblong, réglure L'écriture liée penchée n'a pas spéciale 7 mm., interligne 8 à été introduite dans notre canLe programme romand d'écri- ton. Toutefois, les enfants pré10mm. ture a été introduit en 1977 disposés à incliner leur écriture - Math: dans les classes de 1P. Les élè- vers la droite ne sont pas systécahier format oblong, carrés 7 ves qui ont appliqué ce nou- matiquement contrariés, pour mm. veau programme depuis le dé- autant que la posture, la tenue e but de leur scolarité obligatoire de l'instrument et l'inclinaison 2 primaire constitue donc l'année prochai- du cahier soient correctes. En - Ecriture: ne l'effectif des classes de 5P. cahier format oblong, réglure revanche, les écritures penchées spéciale 5 mm., interligne 8 à La tâche de l'enseignant en ce vers la gauche sont redressées. 10mm. domaine étant avant tout Les graphies défectueuses, priconsacrée à un approfondisse- . ses séparément, sont corrigées - Math: cahier format oblong, carrés 7 ment, il n'a pas été prévu de en commençant par celles qui mm. séance d'introduction du pro- enlaidissent le plus l'écriture. gramme d'écriture. Toutefois, e primaire 3 les titulaires de ces classes sont En plus des exercices effectués - Ecriture: invités à se préparer à dispenser dans les cahiers, la méthodolocahier format quarto, réglure cet enseignement en tenant gie insiste sur la valeur de la 4 mm., interligne 8 mm. compte des changements inter- mise en page réalisée sur feuil- - Math: les blanches. L'élève doit être venus. cahier quarto quadrillé 6 particulièrement attentif aux Progrcllnm.e: mm. points suivants: mise en valeur Plan d'études de Suisse romande la date, du titre, des marges, e 4 primaire de classes de 5P - 6P p. 39. des intervalles entre les mots, - Ecriture: Méthodologie: des interlignes; il veillera égalecahier sténo à gros carrés (N° Les documents méthodologi- ment à bien calibrer ses lettres 155 ou N° 23 selon les fourques mis à la disposition des et à bien centrer son texte. nisseurs). maîtres au Dépôt des livres sco- Math: laires traitent de l'apprentissage Nous espérons que les maîtres cahier quadrillé 5mm. de l'écriture proprement dit. auront à cœur d'accorder tout Nous conseillons vivement aux au long de l'année une attention Se et 6 e primaires particulière à la bienfacture des enseignants de se les procurer, - Français: travaux écrits. plus particulièrement les docusténo normal ou ligné 20 liments: 1 Méthodologie - III gnes Didactique, écriture liée droite. Cahiers conseillés - Math: à l'école primaire cahier quadrillé 5 mm. Ces documents contiennent notamment: - des précisions intéressantes De nombreux enseignants s'in- Remarques sur la posture, la tenue de terrogent quant au type de ca- Il sera demandé aux fournisl'instrument, l'attitude du hiers à utiliser dans tel ou tel seurs de cahiers de prévoir des maître, l'organisation du tra- degré de l'enseignement. paquets de feuilles détachées vai 1en classe; La commission des moyens pour des exercices d'écriture - un tableau de l'ensemble des d'enseignement leur soumet le (réglures et formats identiques caractères de l'écriture liée préavis né de l'analyse des of- aux cahiers d'écriture mentionfres du marché et du choix opé- nés ci-dessus). droite.
Introduction du programme romand d'écriture en5P
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La modification des moyens d'enseignement des deux premières années peut avoir quelques répercussions sur le savoir faire des enfants à leur entrée en 3 e année. Un bref document, produit par l'Institut romand de recherches et de documentation pédagogiques sera envoyé dans le courant. du mois d'août aux maîtres et maîtresses enseignant dans ce degré pendant l'année scolaire 1981/1982. Comme il n'est pas possible de relever dans un tel document toutes les modifications apportées, nous recommandons vivement aux personnes intéressées de consulter la nouvelle édition de Math 2P afin de pouvoir s'en inspirer.
Nous conseillons aux enseignants de communiqŒer aux commissions scolaires les informations ci-dessus avant que les commandes pour l'année scolaire 1981/82 soient effectuées. Commission des moyens d'enseignement
Aux maÎtres et aux maÎtresses quï enseigneront en troisième primaire durant l'année scolaire
1981/1982 En même temps que l'on introduisait de nouveaux moyens d'enseignement de mathématique en Suisse romande, une procédure d'évaluation et d'adaptation de ces documents était mise sur pied. Celle-ci fixait à six ans la durée de vie de la première édition. Durant ce laps de temps, une nouvelle version était mise au point à partir d'observations et d'expérimentations systématiques.
formules ci-jointes, à l'administration communale. Celle-ci fixe la durée de la scolarité annuelle et envoie les formules dûment signées dès que possible, mais avant le la juillet 1981 au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales.
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Certains enseignants de 3 année regretteront sans doute de devoir attendre une année supplémentaire pour bénéficier de la nouvelle version des moyens d'enseignement de mathématique. Toutefois ils pourront constater que cette coupure dans le plan des rééditions ne devrait pas porter préjudice aux enfants, ni augmenter de manière considérable le travail du maître.
Le calendrier des rééditions vient d'être modifié; une année supplémentaire est accordée pour apporter les adaptations nécessaires aux moyens d'enseignement des niveaux 3 à 6.
Dispositions genérales 1. Plan de scolarité
La commission scolaire établit le plan de scolarité annuelle sur la base des directives du Département (document annexé N° 13) et des décisions du conseil communal. Elle transmet ce plan, en trois exemplaires, sur
De ce fait les élèves qui commenceront cet automne leur 3 e année primaire devront passer de la deuxième édition de Math 2P à la première édition de Math 3P.
Les demandes d'ouverture de nouvelles classes pour le début de l'année scolaire 1981/1982 doiv ent parvenir dès que possible au Service de l'enseignement primaire et des écoles normales, Planta 3, 1950 Sion mais au plus tard pour le 31
m,ai
En élaborant le plan de scolarité, la commission scolaire voudra bien tenir compte des activités de perfectionnement organisées durant l'été par le Département à l'intention des enseignants. (cf «Ecole valaisanne» de février et d'avril 1981).
Il nous semble en tout cas indispensable que chacun prenne connaissance des objectifs de fin de 2 e année.
Ainsi, Math 1P dont l'utilisation s'est généralisée en Suisse romande en 1973, a été remplacée par une 2 e édition en 1979. De même, une nouvelle édition de Math 2 P a remplacé, en 1980, l'ancienne version qui datait de 1974.
2. Ouverture de nouvel/es classes
1981. Un nouveau poste d'enseignement ne peut être mis au concours officiellement qu'après
avoir été admis par le Département. . Les communes sont également responsables de la suppression de classes lorsque les effectifs sont devenus insuffisants. Elles doivent en informer le Département au plus tôt.
Le plan de scolarité doit être porté suffisamm,ent tôt à la connaissance des parents et ne pas subir de l1wdifications en cours d'année scolai(re.
3. N Ol1llnation enseignant
Les semaines de scolarité doivent être pleines.
du
personnel
Chaque poste vacant doit être mis au concours même si la vacance intervient à la suite d'un congé provisoire du titulaire.
Les congés et les vacances dont les dates ne sont pas fixées dans le plan de scolarité seront annoncés avec une avance suffisante à l'inpecteur scolaire, aux enseignants et aux parents.
Les communes sont invitées à procéder aux nominations dès que possible et sans attendre les derniers délais.
Sans minimiser les nécessités de l'économie en général, le Département de l'instruction publique estime que les congés et les vacances doivent être ordonnés d'abord en fonction des besoins des enfants. En ce sens, une répartition judicieuse des périodes de travail et des temps de pause est vivement recommandée.
Elles respecteront les dispositions du règlement du 20 juin 1963 concernant les conditions d'engagement du personnel enseignant.
maîtresse qui désire réintégrer l'enseignement après une interruption d'activité de trois années consécutives et plus, l'annonce doit en être faite immédiatement, avant toute nOl1'Zination, au Département de l'instruction publique.
6. Classes enfantines Les,. classes enfantines doivent être confiées à du personnel enseignant formé à cet effet.
7. Etat nominatif du personnel enseignant Les administrations communales sont priées de remplir ces formules dans le détail avec liste des maîtres et maîtresses dressée selon les catégories et dans l'ordre suivant: a) b) c) d)
classes enfantines classes primaires classes de développement enseignement des ACM et ACT (les détails concernant les heures d'enseignement seront communiqués ultérieurement: voir directives annexées) e) enseignement des branches spéciales ou appuis pédagogique: (chant, gymnastique, etc ... ) Ce document doit.être retourné dès que possible, mais au plus tard pour le la juillet 1981, en trois exemplaires.
4 . Titres pédagogiques Les enseignants doivent être au ' . CE DÉLAI EST IMPÉRATIF bénéfice des titres délivrés ou C'est sur la base de ces informareconnus équivalents par l'Etat tions qu'est calculé le traitedu Valais. ment du personnel enseignant. L'administration communale 5. Réintégration dans l'enseipeut être tenue pour responsagnement ble des indications erronées enLorsqu'une offre de service traînant des conséquences domémane d'un maître ou d'une mageables.
Il arrive que des titulaires de classe libèrent trop facilement le solde des élèves lorsqu'une partie d'entre eux est malade. Cette pratique ne peut être autorisée.
8. Remplacements En vertu des dispositions réglementaires, les remplacements survenant en cours d'année scolaire et n'impliquant pas d'engagement ultérieur sont du ressort de la commission scolaire respectivement de la Directio~ d'école, sous réserve d'approbation par le Département de l'instruction publique.
Nous rappelons que tout remplacement doit être annoncé au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales au moyen de la formule adéquate. Selon les dispositions de la décision du Conseil d'Etat du 9 juin 1978 (annexe N° 15) les commissions scolaires doivent faire appel en priorité aux enseignants formés en Valais qui ne pourraient occuper un poste fixe dès l'automne 1981 en raison de la pléthore. En conséquence, les autorités responsables sont priées de prendre contact avec le Service susmentionné (027 / 21 62 80) avant de procéder à l'engagement d'1.l:n remplaçant pour la prochaine année scolaire.
Dès la mi-juillet, la liste des personnes qui se seront annoncées en temps opportun sera envoyée aux commissions scolaires. Les communes ont l'obligation formelle de communiquer au Service de l'enseignement primaire et des écoles normales avant l'ouverture des classes le nom des titulaires empêchés' de commencer l'année scolaire (important pour le traitement du personnel enseignant).
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Tout remplacement même de courte durée est en outre signalé à l'inspecteur scolaire.
Si les deux avis sont négatifs ou divergents, elle communique sa réponse négative aux parents.
9. Classes spéciales
Si les deux avis sont positifs, elle transmet le dossier avec son préavis à l'inspecteur d'arrondissement. Ce dernier étudie à son tour le cas et le fait tenir, pour décision, au Département de l'instruction publique.
Ces classes doivent disposer de locaux normaux et ne pas être défavorisées sur ce point. la. Photographes et représentants.
Les exceptions dont il est question ci-dessus ne se rapportent q'Ll'à la scolarité primaire des élèves, à l'exclusion de l'école enfantine.
Les commissions scolaires et les directions d'écoles ne devraient pas tolérer que les photographes et les représentants s'introduisent dans les écoles sans une autorisation préalable de l'autorité scolaire locale.
Indications relatives aux enfants protestants
Dans ce même sens, il faut éviter les abus de la publicité à l'école.
Lors des inscriptions en début d'année comme lors de l'arrivée de nouveaux élèves, il est important que les commissions scolaires, les directions d'écoles et leur secrétariat se renseignent sur la confession de l'enfant et inscrivent cette donnée au fichier scolaire.
Directives concernant les élèves qui désirent «sauter)) une classe Règle Nous rappelons que les élèves doivent, dans le cheminement de leur scolarité enfantine et primaire, suivre les classes dans leur succession normale et que le fait d'en «sauter» une constitue une exception qui est réglée comme suit.
S'il s'avère que des enfants appartiennent à l'église réformée, il incombe à ceux qui les accueillent de signaler à leurs parents l'existence d'écoles protestantes (Monthey, Martigny, Sion, Sierre, Viège et Brigue). Les paroisses protestantes et les commissions scolaires de ces écoles renseigneront volontiers les parents sur la spécificité de l'école protestante.
Exception Lorsque les parents d'un élève désirent que celui-ci «saute» une classe, ils doivent en faire la demande écrite auprès de la commission scolaire, respectivement de la direction d'école.
Si, pour des raisons géographiques ou autres, les parents d'enfants protestants tiennent à inscrire leur enfant dans une école publique, les commissions scolaires, directions, secrétariats et enseignants veilleront à:
L'autorité scolaire locale examine le bien-fondé de la requête, sollicite l'avis du maître ou de la maîtresse intéressés et celui du Service médicopédagogique.
gramme peuvent être autorisés, à redoubler la 6 e primaire , si leur retard est dû:
peinture non compris) sont assurés par le titulaire de la classe et, le cas échéant, par une maîtresse spécialisée en - à la maladie; possession d'un diplôme dé- au fait que l'enfant n'étudie livré ou reconnu par le Dépas dans sa langue maternelpartement. le' - et ' s'il apparaît que l'enfant b) Les cours d'activités créatrices sur textiles (ancienneprofitera mieux d'un redoument travaux à l'aiguille) blement que d'une continuasont assurés par une maîtion. tresse spécialisée. b) La décision appartient à l'inspecteur scolaire primaire c) Ces maîtresses doivent avoir étéfonnées ou recyclées pour de l'arrondissement. l'enseignement des activités Celui-ci communique sa décicréatrices manuelles comsion par écrit avec les motifs· munes aux filles et aux garprécis aux parents avec copie: çons (ACM) et pour l'enseignement des activités créatri- à la commission scolaire; ces sur textiles (ACT) aux fil- au Service de l'enseignement les. secondaire; - au Service de l'enseignement d) La collaboration entre tituprimaire. laires de classe et maîtresses spécialisées est absolument c) Pour les cas douteux, l'insindispensable. Elle porte pecteur peut faire appel au sur: conseiller pédagogique du Dé- les thèmes à développer partement ou à l'Office d'orien- les activités à choisir tation scolaire et professionnel- les matériaux à utiliser le. - les techniques à apprendre cl) Pour les élèves ayant bénéfie) Des échanges d'élèves peucié de l'autorisation décrite sous vent se pratiquer occasiona) les parents doivent prendre nellement, d'une manière l'engagement moral de leur faibénéfique pour ceux-ci, en re accomplir deux années d'étuce qui concerne les ACM: des au cycle d'orientation. - le titulaire réalisant une activité avec les filles Activités - la maîtresse spécialisée en créatrices manuelles réalisant une autre avec les pour garçons f illes et garçons - et vice-versa. Chaque groupe travaille séActivités parément dans sa propre salcréatrices le. Ces échanges d'élèves persur textiles mettent à chaque enseignant pour filles de se charger des activités 1. Personnel enseignant créatrices manuelles pour a) L es cours d'activités créatrilesquelles il se sent mieux ces manuelles (dessin et formé.
- faire connaÎtre aux parents le document « L'enfant protestant dans l'école publique valaisanne» paru dans « l'Ecole valaisanne» de septembre 1975, document que le Département fournira volontiers à ceux qui en feront la del1"zande,' - signaler imlnédiatement la présence de l'enfant à la paroisse protestante la plus proche; - grouper dans la mesure du possible. les élèves protestants dans les mêm,es classes pour faciliter leur propre enseignel1"Lent religieux.
Dispositions concernant le redoublement de c~rtaines classes primaires dans la perspective de l'entrée au cycle d'orientation 1. Règle Les élèves sont admis au Cycle d'orientation conformément aux dispositions du Département de l'instruction publique du 12 janvier 1981 parues dans le Bulletin officiel du 30 janvier 1981 et dans «L'Ecole valaisanne» de février 1981. 2. Exceptions a) Sur demande circonstan-
ciée adressée par les parents à la commission scolaire, respectivement à la direCtion d'école, des élèves nés en 1967 en retard sur leur pro-
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2. Temps hebdomadaire imparti aux ACM et aux ACT Les ACM et les ACT sont enseignées en fonction du temps hebdomadaire suivant: - filles et garçons de 1Pet 2P: 3 heures d'ACM (2h.30 en 1P si l'horaire de classe est réduit à 25 heures/ semaine); - garçons de 3P, 4P, 5P et 6P: 3 heures d'ACM, soit 165 minutes + 15 minutes de récréation; - fillesde3P,4P,5Pet6P: alterner une semaine, 3 heures d'ACM; une semame, 3 heures d'ACT.
Remarque: En plus des 3 heures hebdomadaires réservées aux ACM, le titulaire a l'obligation d'assurer lui-même l'enseignement du dessin et de la peinture (éducation artistique) à sa classe entière (cf. grille-horaire 1981/1982).
3. Dispositions générales Les effectifs d'élèves à l'ouverture des classes sont déterminants pour l'organisation des cours d'ACM et d'ACT. L'arrivée de quelques nouveaux élèves en période scolaire ne justifie pas une réorganisation de ces cours. En principe, le cours d'ACM doit réunir un effectif nûnimal de: - 12 élèves pour les classes primaires,' - 8 élèves pour les classes spéciales ou de développement, 47
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c) Les élèves confiés à la maîtresse spécialisée sont reLe titulaire d'une classe de ' groupés au besoin et consti1P ou 2P assure lui-même tués en cours dont l'allégeles cours d'ACM aux élèves l11,ent survient dès que l'effecde sa classe, le programme, tif atteint: selon le plan d'étude ro- 18 élèves d'un seul degré mand, étant le même pour - 16 élèves de deux degrés filles et garçons de chacun de - 14 élèves de trois degrés et ces deux degrés. plus Cependant, dès qu'une classe compte: 6. Organisation des classes à - 18 élèves d'un seul degré trois degrés et plus - 16 élèves de deux degrés, la commission scolaire pro- a) Le (la) titulaire d'une classe cède à l'allégement (*) du comptant au moins 12 élèves cours par l'engagement de trois degrés et plus est déd'une maîtresse spécialisee. chargé(e) des cours d'ACT aux filles et d'ACM aux gar(*) allégement: la somme des çons et aux filles de sa classe. effectifs de deux classes est répartie en trois groupes Il (elle) peut ainsi consacrer d'élèves dont deux sont ces demi-journées à l'étude confiés à leur titulaire resdes branches «principales»: pectif et le troisième à une français, mathématique, maîtresse spécialisée. avec une classe allégée d'un ou de deux degrés. Organisation des classes de 3P, 4P, SP et 6P b) Le (la) titulaire d'une classe Lorsqu'une classe de garcomptant moins de 12 élèves çons, de filles ou mixte de trois degrés et plus est décompte: chargé(e) des cours d'ACT et - 18 élèves d'un seul degré d'ACM aux filles de sa clas- 16 élèves de deux degrés, se, à raison de 3 heures par semaine. Il (elle) assure les la commission scolaire procours d'ACM aux garçons de cède à l'allégement du cours, sa classe. selon les dispositions générales, chapitre 3, par l'engagement d'une maîtresse spécia7. Remarques lisée. Le (la) titulaire d'une classe Les commissions scolaires ou mixte comptant: les directions d'écoles ont la responsabilité de l'organisation - moins de 18 élèves d'un des cours d'ACM et d'ACT. seul degré Pour la répartition des élèv~, - moins de 16 élèves de elles doivent· cependant faire deux degrés est déchargé(e) des cours appel à l'inspectrice des ACM d'ACT aux filles, à raison de et des ACT, de leur arrondisse3 heures par quinzaine. Il ment, et lui indiquer le nombre cours de filles et le nombre de garçons (elle) assure les d'ACM aux filles et aux gar- de chaque degré, pour chaq'u e classe. çons de sa classe.
4. Organisation des classes de 1 Pet 2P a)
b)
5. a)
b)
8. Renseignements Les commissions scolaires et les directions d'écoles recevront ultérieurement les formules nécessaires à l'engagement des maîtresses spécialisées. Ces formules, signées par la commission scolaire et par la maîtresse spécialisée, doivent être envoyées à l'inspectrice des ACM et des ACT de l'arrondissement: Arrondissement 1 et II: Mme Suzanne Dubois Rue des Epeneys 27 1920 Martigny Téléphone 026/ 2 17 52 Arrondissements III et IV: Mme Maria Jean 1966 Ayent, Saxonne tél. 027/38 1347 ou 38 15 15
Après-midi scolaires de ski alpin Evolution du ski Tout d'abord «populaire» et peu coûteux, le ski est devenu un sport de haute consommation de plus en plus cher: équipement, remontées mécaniques, etc.
Le ski à l'école Durant des années, l'école valaisanne s'est attachée à généraliser la pratique du ski. On peut se demander si ce rôle est encore justifié aujourd'hui. - sur le plan financier, ce sport n'est plus à la portée de toutes les bourses. Certaines familles, soucieuses pourtant de leurs finances, n'osent intervenir, se taisent, paient... tout en s'interrogeant sur la gratuité de l'enseignement;
- sur le plan technique, la majorité des élèves valaisans sont des skieurs. Pratiquant ce sport avec leur famille leurs camarades ou leur~ clubs de ski, ils n'ont plus besoin de l'école. Et les autres les non-skieurs? Ce sport e8t~ il si indispensable à leur développement pour que l'école s'efforce de les y amener?
Les classes dépourvues de salles de gymnastique peuvent remplacer les cours ordinaires d'éducation physique par des leçons de ski lorsqu'elles sont à proximité des champs de neige et que cela n'entraîne pas de frais pour les parents.
3. Horaire
Nous livrons ces réflexions aux Deux heures ou deux heures et responsables de l'école, ensei- demie de ski (de 13h. 30 à gnants, commissions scolaires, 16h.00) représentent une actividirections, afin que chacun s'ef- té s~ffisante. Par conséquent, la force de trouver la solution la matmée reste consacrée à l'écomieux adaptée aux conditions . le; le repas de midi peut être locales, dans le cadre des direc- pris soit avant le départ, soit tives ci-après que nous voulons dans le car. souples et fermes à la fois.
4. Elèves non-skieurs
Directives 1. Classes concernées
Les classes enfantines s'ébattront volontiers dans la neige près de l'école, mais il n'est pas raisonnable de les amener à ski dans nos stations.
Ils méritent une attention particulière. Pas de pression morale, source de conflits au sein des familles. L'école doit leur offrir une activité sportive de remplacement intéressante: ski de
fond, natation, patinage, luge, marche, etc. On aura soin de limiter les frais.
Education physique Les plans-horaires doivent prévoir trois leçons hebdomadaires d'éducation physique. Si les salIes de gymnastique et les piscines ne suffisent pas à abriter tous ces cours, les heures complémentaires se donnent en plein air lorsque les conditions atmosphériques le permettent. Elles peuvent éventuellement dans une mesure raisonnable' être groupées en après-midi d~ sport supplémentaires. Ces heures doivent également figurer sur le plan-horaire. Les cOl1'lmissions scolaires sont responsables d'organiser un plan d'occupation des salles de gymnastique. Celui-ci est affiché sur la porte d'entrée du local.
A juste titre, certains maîtres s'interrogent même sur l'opportunité de ces sorties pour les classes de 1re et 2 e primaires. Ces après-midi devraient être réservés aux élèves de la 3 e à la 6e primaires. 2. Nombre d'après-midi En principe, les classes qui disposent d'une salle de gymnastique pour leurs leçons régulières font quatre après-midi de ski par hiver (décembre à mars) en remplacement des quatre aprèsmidi mensuels de sport. Dans :ertains cas, ces sorties peuvent etre groupées dans une semaine Ou Une période favorable.
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AS SU RANCE DU PERSONNEL ENSEIGNANT CONTRE LES RISQUES PROFESSIONNELS
PROCÉDURE À SUIVRE POUR LES MUTATIONS D'ÉLÈVES
Documents à transmettre par la commission scolaire ou la di rection d'école (livret scolaire et, pour Se et 6 e primaires dossier scolaire)
Différents cas à envisager
a) l'élève quitte sa classe pour se rendre dans une autre classe de la même localité (ou commune)
au nouveau titulaire de classe
b) l'élève se rend dans une autre commune
à la commission scolaire ou à la
c) l'élève se rend dans un établissement d'enseignement spécialisé (Bouveret, StRaphaël , Ste-Agnès, NotreDame-de-Lourdes)
à la commission scolaire ou à la
d) l'élève quitte la localité pour se rendre dans une école publique d'un autre canton
au Service de l'enseignement primaire ou secondaire (Planta 3, 1950 Sion) selon les cas
e) l'élève quitte la Suisse
le livret scolaire aux parents de l'élève
LE CONSEIL D'ÉTAT, Vu sa décision du 3 mai 1966 concernant l'obligation des communes et des commissions scolaires régionales d'assurer contre les accidents professionnels le personnel enseignant des écoles primaires et du cycle d'orientation, conformément à l'article 13 de la loi du 4 juillet 1962 sur l'instruction publi-
que ; Vu la nécessité d'uniformiser les prestations d'assurances pour le personnel enseignant et pour celui de l'administration cantonale et de les adapter au coût de la vie ainsi qu'à l'article 25 du règlement du 19 avril 1968 fixant le statut des fonctionnaires employés et ouvriers de l'Etat; Sur la proposition du Départemeht de l'instruction publique,
direction d'école du nouveau domicile
décide :
1. Les communes ou les commissions scolaires des écoles régionales ont l'obligation d'assurer le personnel enseignant contre les risques d'accidents professionnels 'pour les sommes suivantes: - Décès: Fr. 40 000.- In validité: Fr. 80000.- Frais de guérison: illimités pendant deux ans - Indemnité journalière: Fr. 40.L'indemnité journalière de Fr. 40.- doit être prévue comme suit: a) pour le personnel qui enseigne 13 heures et plus par semaine: - à partir du 181 e jour d'incapacité de travail durant la première année de service; - à partir du 241 e jour d'incapacité durant la 2 e année; - à partir du 361 e jour d'incapacité dès la 3 e année de service ; b) pour le personnel qui enseigne moins de 13 heures par semaine, dès le premier jour d'incapacité de travail. 2. Les montants indiqués sous chiffre 1 constituent des minima. Les communes ou les commissions scolaires régionales sont libres de prévoir des prestations plus élevées. 3. La présente décision entre immédiatement en vigueur. Elle annule et remplace celle du 3 mai 1966. Le Département de l'instruction publique est chargé de son application.
direction d'école de l'établissement spécialisé en question
le dossier scolaire au DIP
Pour copie conforme , Le Chancelier d'Etat:
G. Mou/in
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CAISSE DE RETRAITE - INFORMONS L'assemblée des délégués de la Caisse s'est réunie le 25 mars 1981. Elle a approuvé les comptes et le rapport de gestion de l'année 1980. Nous jugeons utile de reproduire ici, à l'intention de tous les assurés et retraités, le compte d'exploitation et le commentaire y relatif: Commentaire Les résultats des comptes s'inscrivent parfaitement dans la ligne de prévision établie par M. Vaucher, notre actuaire-conseil. Les cotisations et contributions ont augmenté de 7,28 % et les prestations de 8,22 %. Au début de l'année, le capital de la Caisse de retraite (Fr. 80281265.-) représentait le 93,8 % des
salaires assurés (Fr. 85592150.-). A la fin' de l'année, ce pourcentage passait à 95,33. L'augmentation du capital est de Fr. 7342749.contre Fr. 613174I.-l'année précédente. L'amé~ lioration de Fr. 1211008.- est due pour la plus grande partie , soit Fr. 900 000 .- environ , à un meilleur rendement des capitaux. Les bâtiments ont été occupés à 100 %, leur rendement est légèrement supérieu~ à celui de l'année dernière. Le rendement des «Potences» peut être considéré comme bon. En ce qui concerne «Beaumont», nous avons procédé à une légère hausse des loyers, avec effet à l'échéance de chaque bail, si bien qu'elle n'apparaîtra en plein, qu'en 1982. V. Darbellay
MAIN BASSE SUR L'ÉCOLE de René 8erthod
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Compte d'exploitation Càisse de retraite 1980 (du 1e r janvier au J[ décembre) Charges 1980
Produits 1980
1979
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.... ..... .. . ... ..... .. .... Cotisations des membres .. Contributions des employeurs .... . .. ... .. . ... .. . ... . .. . . ....... . . . .. .. . . . . .............. Rachats ... Rétablissement d'anciens comptes . ... . .. .... . . . ... ... ...... .... Transfert de la Caisse des déposants . .............. . ... . . .. . . . . Revenu des capitaux y compris immeubles ............ ...
6647621.65 989 6 629 .90 378 385 .20 39145 . 15 234239.50 3233468.11
Ce livre est un outil de travail; conçu comme tel, il comporte
Pour effectuer les travaux de contrôle et de classement, l'horaire de l'DOIS de Sion, durant l'été, sera le suivant:
JUILLET:
Fermeture des locaux AOÛT:
Rentes aux retraités et survivants .. .. ...... . ................ Rentes aux invalides Remboursement aux démissionnaires (y compris intérêts) Remboursement aux membres pour cause de réduction horaire (y compris intérêts) Transfert à la Caisse des déposants .. . . .. .. .. ...... .... .. ... ..... . ,
9327056.10 1743062 .80 1385465.95
8423854 .1804523.15 1225167.50
1251.50 328599 .20
52617.192829.25
193330.65 107974.23 7342749.88
156013.70 160316.38 6131741.69
Ouverture de 10 h. 30 à 12 h. et de 14 h. à 17 h. SEMAINE PÉDAGOGIQUE:
Ouverture habituelle: 10 h. 30 à 12 h. et 13 h. 30 à 18 h. -:. -:. -:.
B. Frais de gestion
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MAIN BASSE SUR L'ÉCOLE ne fait pas exception. C'est une critique fondamentale de certains programme? rénovés qui sont contestés dans leur principe même. L'auteur met en particulier la hache à la base du «nouveau français» et il faut espérer qu'il ne s'en relèvera pas.
Horaire durant l'été
6178371. 80 9228215 . 15 303709 .75 18294 .67625.75 2350846 .22
A. Prestations
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des positions courageuses où il s'expose volontiers.
ODIS
CHARGES
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que couronne une licence en lettres. Dès lors, ii enseigne à Orsières à l'école secondaire, puis au cycle d'orientation: une pratique de 18 années. Conseiller communal de 1972 à 1980, il préside la commission scolaiL'auteur est un homme du ter- re de son importante commune rain , un fantassin de l'enseigne- et renouant ainsi avec le priment... Sorti de l'école normale maire , il est confronté aux nomet ayant gardé l'amour de cette breux problèmes de l'organisamaison, il enseigne deux ans à' tion scolaire actuelle. l'école primaire, puis il entre- René Berthod est connu pour prend des études universitaires prendre sur les sujets en débat
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PRODUITS
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~ R ENOUVEAU RHODANIEN publie en ce début de mai chez Pillet à Martigny une étude traitant de l'école en général et des nouveaux programmes primaires en particulier.
Salaires et prestations sociales Autres frais de gestion et d'administration E xcéd ent de produits à attribuer au co mpte capital CR .
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Toutes les personnes qui ont emprunté du matériel à l'ODIS auront l'obligeance de bien vouloir nous le rendre avant le 30 juin 1981 Cela faciliterait notre travail Merci La direction de l'DOIS
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deux parties qui se font vis-à-vis tout au long des 120 pages. A droite, dans les bonnes pages, le texte de l'auteur; à gauche, le lecteur trouvera en abondance et judicieusement choisies des références et des citations qui justifient, corroborent, renforcent, élargissent le développement proposé. Destiné avant tout aux politiques qui décident, il est dédiéfiliale attention - à feu M. Julien Berthod, instituteur émérite et père de l'auteur et à travers lui à tous les enseignants et les enseignantes qui doivent appliquer, eux, les décisions lorsqu'elles sont prises.
tion romande la perte de notre identité valaisanne et l'étranglement de notre école. Il veut secouer le maléfice qui. l'accable et espère être le lieu de ral1 iement des gens de bon sens. Renouveau Rhodanien
Les enseignants et enseignantes qui veulent se procurer MAIN BASSE SUR L'ÉCOLE, peuvent s'adresser à leur libraire ou le commander au moyen d'une simple carte à l'éditeur RENOUVEAU RHODANIEN Case postale 68 1951 SION Prix de vente: Fr. 15.-.
MAIN BASSE SUR L'ÉCOLE dénonce à travers la coordina-
Aux enseignants(es) Fr. net.
13.-
SESSION D'ÉTÉ WARD BULLE 1981
MONITEURSMONITRICES POUR COLONIE
La session d'été Ward se déroulera cette année
L'Association des parents de handicapés mentaux cherche pour sa colonie d'été qui se déroulera à LA FOUL Y,
du lundi 6 juillet au vendredi 17 juillet à Bulle
du lundi 3 août au vendredi 14 août 1981
Une équipe de professeurs vous initiera à cette pédagogie qui fait la joie des enfants et qui permet d'aborder avec sérénité le monde merveilleux de la musique. En outre, ils vous présenteront, dans le cadre de chacun des cours, un répertoire de' charlsons pour la prochaine année scolaire.
1 responsable pour un groupe d'enfants (12 à 15) 1 responsable pour un groupe d'adultes (J 2) ainsi que des aides. Salaire à convenir. Inscriptions et renseignements: Secrétariat APHM 14, avenue de la Tour 1950 SION Téléphone (027) 220787.
Par ailleurs, chaque jour, tous les participants à la session se retrouveront pour le chant choral où différents chefs vous feront passer quelques instants agréables.
Les personnes qui voudraient participer à la session comme auditeurs peuvent s'inscrire à l'un des degrés, pour autant que ce degré ait été acquis lors d'une session antérieure .
Bulletin d'inscription ci-après Renseignements:
M. Roger Karth Centre suisse Ward Case postale 218 1630 BULLE Téléphone (029) 28754
Les manuels des différents degrés, les recueils de chansons, les partitions, les diapasons vous seront remis au début des cours.
M. Oscar Lagger 1965 SA VIÈSE Téléphone (027) 22 51 73
Ouverture de la session à Bulle, bâtùnent des ecoles primaires, lundi 6juillet 1981 à la heures.
L'Etat du Valais alloue un subside pour ce cours. Prière d'en faire la demande au DIP.
Bulletin d'inscription Session d'été -
Bulle - 6 au 17 juillet 1981
Nom et prénom . . ...... ............ . ...... . ......... . Rue et numéro ... N° postal et localité .. ........... ............ ... . . N° de téléphone .
Je m'inscris pour le cours: 1er degré Ile degré Polyphonie * Je m'inscris comme auditeur pour le cours: 1er degré Ile degré Polyphonie *
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le logement et la pension la pension le logement. *
Bulletin d'inscription à retourner à : Centre suisse Ward Case postale 218 1630 BULLE.
Mon registre de voix est: soprano - alto - ténor - basse.
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. Je désire que l'organisation des cours m'assure:
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