Les chemins de fer MARTIGNY-CHÂTELARD et MARTIGNY-ORSIÈRES ainsi que le SERVICE AUTOMOBILE MO vous offrent de nombreux buts de promenades avec circuits pédestres dans les vallées du TRIENT et de CHAMONIX
d'ENTREMONT et d'AOSTE
Salvan - Les Marécottes (télécabine de La Creusaz) - Finhaut - ChâtelardGiétroz (funiculaire de Barberine - train d'altitude - monorail pour le barrage d'Emosson) - Châtelard-Frontière - Col de La Forclaz (télésiège de l'Arpille) -G lacier du Trient - Col des Montets (réserve écologique des Aiguilles rouges) - Chamonix
Verbier (liaison directe par télécabin e dès Le Châble) Fionnay - Mauvoisin -Champex (télécabine de La Breya) - La Fouly - Ferret - Bourg-St-Bernard (télécabine du Super-St-Bernard) - Hospice du Grand-St-Bernard (télésiège de La Chenalette) - Aoste par le col et le tunnel du St-Bernard - Tour des combins
Réductions pour les écoles
Renseignements:
Direction MC - MO - 1920 Martigny - Tél. (026) 2206 1 Service auto MO 1937 Orsières - Tél. (026) .41143
~60~
~
4-,iel tOJ) e 4 19COO1e lIIa. - il tall. oj,e poli' ~
"II
r
5t:O,\\111
[j] .,
Ge
IIII~I~I~N
leau
Meubles et Machines de bureau Papeterie Atelier de réparations 02624344
MARTIGNY Place de la Poste SION Place du Midi 48 MONTHEY Place de l'Hôtel de Ville
Bulletin mensuel du personnel enseignant du Valais romand Mai 1985 XX lxe ann ée
C'est bonnard
L'ÉCOLE VALAISANNE
paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés.
RÉDACTEUR
M. Jean-François Lovey.
DÉLAI DE RÉDACTION
Le 25 de chaque mois. (Documents photographiqu.es en noir et blanc).
d'avojr un livret
d'~-jeunesse ~ la lianijue cantonale.
ri!
ÉDITION, ADMINISTRATION, RÉDACTION
ODIS, Gravelone 5, 1950 Sion, téléphone (027) 21 6286.
IMPR ESSION, EXPÉDITION
Imprimerie Valprint SA, Sion.
BANQUE CANTONALE DU VALAIS
~ WALLISER KANTONAL BANK
ABONNEMENT ANNUEL
Fr. 25.-, CCP 19 - 12, Etat du Valais, Sion (pour le personnel enseignant, l'abonnement est retenu sur le traitement).
TARI F DE PUBLICITÉ
Couverture: 4e page avec une couleur (minimum 10 fois) mais avec changement de texte possible
Le nom qui garantit qualité et pJogrès Service garantit dans toute la Suisse Vente directe de la fabrique aux éc'oles, sociétés, autorités et particu liers
1/1 1/2 1/4 1/8
Engins pour gymnastique et matériel pour la gymnastique rythmique sportive, compétition, jeux et plaisir Engins de gymnastique fixes pour salles de gymnastique
page page page page
Fr. 3500.Fr. 1800.Fr. 1000.Fr. 600.-
2e et 3e pages avec une couleur (minimum 10 fois) mais avec changement de texte possible 1/1 1/2 1/4 1/8
page page page page
Fr. 3200.Fr. 1650.Fr. 900.Fr. 500.-
Pages intérieures :
Petit matériel à main et pour jeux Engins de concours pour la gymnastique rythmique spo'rtive et artistique
Fabrique d'engins de gymnastique de sports ,./ . ' etueJeux
Engins de gymnastique et de jeux pour les enfants, emplacements de jeux et jardins Engins de location L ' d' ' . a. maison e confiance de gymnastique depUIS 18 9 1 PriX courant et documentation illustrée à disposition
derGEisenhutAG
~
1/1 1/2 1/3 1/4 1/8
.
Büro : 8700 Küsnacht ZH - Tel. (01) 9105653 Fabrik : 9642 Ebnat-Kappel SG - Tel. (074) 32424
page page page page page
Fr. 300.Fr. 160.Fr. 120.Fr. 90.Fr. 50.-
Rabais pour ordres fermes: 5 fois: 5 %, 10 fois: 10 %.
DONNÉES TECHNIQUES
Délai des annonces: le 1 er de chaque mois. Surface de la composition: 155 x 230 mm. Impression :offset.
RÉGIE DES ANNONCES
Publicitas SA, Sion, téléphone (027) 21 2111 et ses agences de Brigue, Martigny, Monthey.
ENCART
Les encarts sont acceptés. Prière de se renseigner de cas en cas auprès de Publicitas SA.
Invasion, vraiment?
Sommaire
A la tour des sentiments, l'étranger a double figure.
ÉDITORIAL Jean-François Lovey
Invasion , vraiment?
ÉDUCATION ET SOCIÉTÉ Pierre Pradervand Jean-Claude Lambiel E.V. LSPN Marguerite Stoeckl i Anna T. Veuthey
Qu 'il est pudique ce voile si helvétique L'enseignement des droits de l'homme Mon enfant aussi? Une brochure Pro Juventute Pour des vacances à la découverte de la nature Actualités médico-sociales L'homme quotidien et les crayons
ACTUALITÉ PÉDAGOGIQUE Nicole Schroeter Elisabeth Sola Elisabeth Sola Philippe Theytaz E.V. E.V. Claude Vouilloz Radio-TV éducative Pierre Vuille
Art dramatique et français . . . . . . Art et pédagogie au C.O. de Leytron Ipomée Ces enfants qui ont des difficultés scolaires sont les élèves de qui? Connaissance de l'environnement, cours sur le terrain Le fichier sur la plante Ecole et informatique Information Journée des écoles au meeting aérien de Bex
VIE CORPORATIVE SPVal AEPSVR AEPSVR AEPSVR AEPSVR AEPSVR
Le CC informe Rencontre intercycles d'athlétisme . .... . Tournoi de football Tournoi de football intercycles 1985 Une appréciation favorable Cours pour enseignants
INFORMATIONS OFFICIELLES DIP DIP DIP DIP DIP
ENCART
5 9
12 13 15
17
Il est le touriste qu'on accueille avec bienveillance, les bras ouverts et le regard alléchant, ou le demandeur d'asile qu'on tolère avec sarcasme, la mine renfrognée et l'air suspicieux. Notre canton offre trois cent mille lits au premier et quelques centaines au second. Pourtant c'est ce dernier qui gêne, qui perturbe, dont la mentalité ne correspond pas à la nôtre, dont l'inactivité forcée nous semble provocation, dont la couleur fait tache. Quand j'étais jeune, on me disait de mon canton qu 'il était chrétien et, par conséquent, attaché aux valeurs essentielles de la solidarité et du partage. Valais, ressaisis-toi! On a mis des franges à ton âme généreuse.
Jean-François Lovey
Instructions concernant le calcul des moyennes annuelles et le passage au cycle d'orientation Statut des remplaçants à l'école primaire Inscription pour des remplacements (pour enseignants sans poste fixe) . . . . . Présentation des moyens d'enseignement de math. pour CDM) . . . . . Inscription pour des remplacements (pour enseignants ayant cessé leur activité régulière) . . .. .
N° spécial : TÉMOIGNAGES Couverture AP spécial: François Gay
Photo de couverture : Bruno Clivaz
51 52 54 55 56 57
59 61 63 64
65
Qu 'il est pudique ce voile si helvétique
En 1985, alors que certaines entreprises suisses sont à la pointe de l 'électronique mondiale, alors que l 'homme a depuis 16 ans marché sur la lune, il y a des Suisses qui ne savent ni lire, ni écrire, ni calculer. Il existe en Suisse un sous-prolétariat dont certains membres n 'ont jamais de leur vie pris des vacances, qui ignorent tout de la sécurité de l 'emploi, des Suisses comme vous et moi qui sont parqués, surveillés, assistés, négligés, rejetés, méprisés et avant tout ignorés ; il existe DES FAMILLES QUI CONNAISSENT LA FAIM et beaucoup qui ne savent pas ce qu 'elles mangeront le lendemain. Des familles qui vivent très en deçà des conditions matérielles minima d'une vie à peine décente, et sur lesquelles nous avons tiré ce voile - oh combien pudique! - que la Suisse bien pensante tire depuis si longtemps sur sa misère. Ce (( Quart Monde », c 'est notre (( Tiers Monde ». Il y a une incohérence totale à se préoccuper de la misère dramatique des Tiers Mondes et d 'ignorer celle du Quart Monde chez nous. C 'est pour cela que le Service Ecole Tiers Monde aborde aujourd 'hui ce problème qu 'aucune personne pensante ne peut plus se permettre d 'ignorer, en Suisse, en 1985.
Il Y a 30 000 familles suisses qui vivent totalement en marge de notre société . C 'est-à-dire un à deux pour cent de la population qui ne jouit pas de ses droits les plus fondamentaux parce que souvent elle les ignore, fraction absolument inadmissible dans le pays classé comme le plus riche du monde, si on excepte un ou deux émirats pétroliers. Qui sont ces gens ? Ce sont avant tout des personnes que les conditions de vie (naissance en milieu défavorisé par exempIe), une économie qui a le culte de l 'efficacité comme premier commandement, une législation paternaliste et souvent injuste (placement d 'enfants 'contre le gré des parents) et peut-être avant tout nos attitudes (( en Suisse, si on est pauvre, c 'est parce qu 'on le veut bien »), ont réussi à parquer, physiquement et mentalement, dans un ghetto dont on ne sort qu 'au prix d 'efforts inouïs et souvent surhumains - si on en sort.
Dans un livre clair, intelligent et plein d 'une compassion retenue que chaque lecteur de ce journal de vrait absolument avoir lu et duquel nous tirons l 'essentiel des informations de cet article, Des Suisses sans Nom* (voir encadré), Hélène Beyeler- von Burg décrit en quelques traits sobres des dizaines de cas précis de ce lumpenproletariat du 2(f siècle qu 'avec notre pudeur si helvétique nous avons si bien réussi à cacher. Comme les dictateurs des Tiers Mondes qui détruisent les bidonvilles situés sur l 'autoroute de l 'aéroport principal empruntée par les touristes , nous avons occulté de nos consciences l 'existence de ce Quart Monde pour pouvoir jouir en toute quiétude de notre société de consomma tion . Qui sont-ils? Ces (( SOUS prolétaires », ce sont des individus souvent orphelins, nés euxmême dans des familles très défavorisées culture//ement et * Adam Smith est considéré co mme le «père » du libéralisme économique.
5
4
, , , , , , ,. , ,
\
.-.-• •-. W ., ., .,. ., ... - .................................. ~
-l
,
1
\,
~ - ~ - - -
r
~
...
1
.....
."..
...
....
".
...
"..
LI;
....-
.,..
,
....-
T
"'"
matériellement, et qui accumulent toutes sortes de handicaps : absence de toute formation professionnelle, mauvaise santé, incapacité à lire , écrire ou calculer (tâchez de vous imaginer une seule journée de votre vie ici comme analphabète!) Ne connaissant même pas leurs droits les plus élémentaires, ils ne peuvent se défendre face aux vexations quotidiennes dont ils sont l 'objet: mesures administratives totalement arbitraires (comme l 'est souvent la mise sous tutelle des adultes par exemple), expulsions (les autres locataires ne supportent pas la présence de ces familles si différentes a"ux enfants indisciplinés), etc. Leur manque de formation les condamne à de
longues périodes de chômage entre des emplois qui sont les moins qualifiés qui soient, temporaires et mal payés. Comme l 'écrit Hélène Beyeler-von Burg, le Quart Monde c 'est «cette frange de la population en marge du monde ouvrier et de ses luttes, laissée pour compte ou abandonnée en cours de route, considérée comme un poids gênant le progrès général». Ainsi, sur un échantillon de 137 adultes mentionnés par cet auteur, plus du quart avait grandi en orphelinat. Sur les 72 hommes, 31 ne travaillaient pas en janvier 1983 pour cause de chômage ou d 'invalidité. Un quart des 61 hommes actifs étaient au chômage. Sur les 65 femmes de
20 à 60 ans, seulement 3 avaienf une formation professionnelle. est presque La promotion exclue : à 50 ans, ils exécutent les mêmes emplois qu 'à 16 ans et comme de nombreux avanta: ges sociaux sont liés à la durée du service, ils sont encore exclus de ces derniers. Dans ces vies où tout est constamment imprévisible, le plus dur est l 'attit~de de rejet dont le Quart Monde est l 'Objet / de la part de la société en géné. raI, (c 'est-à -dire nous!) 1/ est 1 constamment étiqueté par les services sociaux, les régies, les camarades de travail ou d'éco. le: .. ~t même les livres d 'histoire. 1 AinSI, un ouvrage, pourtant réputé pour son esprit progressiste la Nouvelle Histoire de la Suiss~ et des Suisses , Tome III, Payot 1983), décrit les plus pauvres de notre pays comme «Les cas sociaux, difficilement réinsérables récidivistes, réfractaires au tra: va il, toxicomanes qui continuent à dépendre de l 'assistance publique et privée ». C 'est sans doute cet étiquetage qu 'exerce sans cesse la société contre eux qui constitue le handicap par excellence pour le Quart Monde. Ainsi, telle expertise psychologique qui dit du cas d 'une Mme Walter cité par Hélène Beyeler-von Burg, «Le sujet (sic) analysé n 'est pas capable d 'éducation ». A une époque où les zoologues éduquent les chimpanzés, les dauphins et les ra ts, il se trouve des services sociaux pour juger «inéduquable JJ un être humain ne souffrant d'aucun handicap mental. Cela en dit infiniment plus sur le manque de compassion du type de société que nous avons construit que sur ces soi-disant «cas sociaux difficilement réinsérables».
Pourquoi ce Qu a rt Monde? Les causes de l 'existende de ce sous-prolétariat sont d 'origine,s diverses . Il y a d'abord un syst~ me économique qui broie impItoyablement ceux qui ne savent
6 ••
1
1
Photo ATO (quart monde)
pas s 'y adapter. La BaslerZeitung du 19 avril 1983 citait H. Allenspach, directeur de l'Union centrale des organisations patronales suisses, qui disait: «La dure loi de la concurrence nous force à une plus grande efficacité. Ceux qui ne sont pas rentables sont éliminés. Ceux qui ne peuvent pas s'adapter aux nouvelles exigences posées dans le domaine intellectuel, professionnel ou dans celui de la forma tion ne pourront se maintenir à la lon gue» (cité par H. Beyeler). Mais cette «dure loi de la concurrence» n 'a pas été reçue sur le Mont-Horeb par quelque Adam Smith * suppliant. Elle a été créée par les hommes, et peut être adoucie par eux. C 'est un mécanisme capable d 'être modifié. Hélène Beyeler parle aussi d'une société sans plancher, où les citoyens les plus faibles du moment payent les frais de l'évolution et sont relégués dans un état de non droit, d'oubli, et finalement d 'inexistence sociale.
Il y a encore toutes sortes de causes tenant à la nature de nos législations sociales. Mais, pardessus tout, et aussi important que les causes économiques, il y a les attitudes à l 'égard de la pauvreté en Suisse, dont l 'étude constitue un des aspects les plus originaux du livre Des Suisses sans Nom. Dans notre pays, comme le souligne si justement l'auteur, «la pauvreté matérielle n 'est pas perçue comme une réalité économique, mais comme un échec personnel des intéressés. Si on est pauvre, c'est qu'on le veut bien - on a fauté d'une manière ou d 'une autre ». Ces attitudes remontent loin. Ainsi Zwingli et Calvin introduisirent l'obligation de travailler dans les règles de la cité . Même si les gens valides n'avaient aucune formation ni emploi, ils ne pouvaient bénéficier d'aucune assistance car ils étaient censés travailler. Les fameux «Heimatlosen» (Suisses sans commune d'origine) et les étrangers qui mendiaient sans autorisation étaient condamnés à la prison,
aux galères, voire.. . au bûcher. La pauvreté même devenait illégale! Des siècles d 'attitudes de ce genre ont créé dans le «subconscient collectif» suisse une attitude . peut-être unique au monde de suspicion profonde à l'égard des gens qui ne sont pas «travailleurs». Combinées à des siècles de législations sociales paternalistes qui entretenaient la misère au lieu de s'attaquer à ses causes, et à un système économique qui élimine impitoyablement celui qui ne peut pas rester dans la course, elles aident à comprendre l'existence du Quart Monde helvétique. Face cachée de notre prospérité, ce dernier, aujourd'hui, commence à s'organiser. Les «laissés pour compte » de la prospérité ne se résignent plus à ce rôle, et avec l'aide de militants groupés, en Suisse et ailleurs, au sein du mouvement Aide à Toute Détresse Quart Monde, ils apprennent à s'organiser, à prendre la parole. Sommes-nous prêts à 'tes écouter?
7
Photo ATO (quart monde) ..
...
?
.. - ,
- ,
••
-" " " " " " " " " " "
1;1,
;~'It".'
'~i~
-
y
.-~ . . . . y ,t",
Il.l,,••
........ y • • y . . . . . . yyyy,
ILl
l'
t.~.I.
Un courage exceptionnel Quand on accepte d'écouter, alors les étiquettes au rabais tombent une à une. On découvre, non des gens «réfractaires au travail» ou «mauvais parents», mais des gens qui font souvent preuve d 'un courage inouï et d'une imagination extraordinaire dans leur lutte pour, non vivre, mais simplement survivre. Qui luttent de toute leur énergie pour préserver ce minimum de vie familiale qui est l 'unique chose qui leur reste. Et en lisant le livre d'Hélène Beyeler-von Burg, je n'ai pu m'empêcher de penser à mes anciens voisins du bidonville de Hann Plage au Sénégal. Eux aussi font preuve de plus de courage en une année que beaucoup d'entre nous manifestent en une vie entière. Eux aussi luttent pour protéger une vie de famille sans cesse menacée par un environnement totalement hostile. Et j'ai réalisé que Quart Monde et Tiers Monde, c'est le même combat : celui
pour une société à la mesure de l 'homme, où l 'homme est la finalité de l'économie, et non son instrument, voire sa victime. Et que, pour citer le Mouvement ATO Quart Monde ((Nous avons la chance de pouvoir relever un défi : nous investir ensemble pour que le droit au travail, le droit au logement, le droit au savoir, le droit à la famille, le droit au respect et à la dignité soient assurés à tous. Pour y arriver, nos repères ne devront pas être les citoyens les plus dynamiques, mais bien les plus démunis, les plus difficiles à atteindre. Ce n'est que leur liberté qui garantira la liberté de tous , leur participation qui garantira la participation de tous. Basées ainsi
sur de nouvel/es valeurs, notre société et nos institutions avanceront dans leur volonté de justice et de paix», (souligné par nous). Saurons-nous relever le défi? Pierre Pradervand
L'enseignement des droits de l' homme (suite)
••••••
Evolut ion de l'enseignement des droits de l'homme 1. Sur le plan international
~... _..... ,'>
' SCIENCEetSERVICE
' .,
Depuis 1948, où la Déclaration universelle des droits de l'homme est proclamée comme idéal à atteindre par tous les peuples et toutes les nations , il faut attendre 1978 pour qu'enfin , l'urgence de son enseignement se fasse sentir ; auparavant les conférences , séminaires tom baient dans un verbalisme trop souvent improductif.
** Des Suisses sans Nom - les heimatloses d'aujourd'hui, Hélène Beyeler-von Burg , Editions Science et Service, 95480 Pierrelaye, France , 352 pages, Fr. 27.-. Peut être commandé à ATD Quart Monde , 1711 Treyvaux .. P.S. Dans le numéro de juin de l'Ecole valaisanne, n04s présenterons à nos lecteurs le mouvement ATD Quart Monde.
C 'est donc seulement en 1978, que le Congrès international de l'UNESCO sur l'enseignement des droits de l'homme, a jeté les bases d'un programme pour l'éducation aux droits de l'homme.
C 'est arrivé en Suisse Le journal Sonntagsblick du 7 avril rapporte le cas d'un retraité suisse de 69 ans , Rudolf Hubschmied, qui a vécu 6 ans à Bâle dans un tuyau d'égoût désaffecté de 60 cm. de diamètre et de 2 m. de long, en compagnie de rats nombreux. Il ne sortait d'habitude que la nuit, tellement il avait honte de son état. Ancien mécanicien, il avait fait banqueroute , puis à la suite d'un accident n'avait plus pu gagner normalement sa vie. De temps en temps, il réussissait à trouver un emploi temporaire. «Mais au café les gens me disaient, tes habits puent.)} Il lui arrivait de rester des jours entiers dans son tuyau , sans en sortir. Il se nourrissait de baies et de déchets de nourriture . Découvert par un employé des transports publics, il est maintenant à l'Armée du Salut.
Puis la multiplication des initiatives aboutissent , entre autre, à la création de l'Association internationale des enseignants des droits de l'homme en 1982 et à la naissance de la 1re session internationale de formation à l'enseignement des droits de l'homme pour les enseignants des écoles normales , secondaires et professionnelles, en 1983*
Le journal en question relate cet incident comme un fait divers, au lieu de soulever le vrai problème : comment se fait-il que dans le pays européen avec le revenu par tête le plus élevé, un tel incident puisse se passer? Pourquoi notre société considère-t-elle la pauvreté comme une telle tare, alors que des dizaines de milliers d'alcooliques se promènent gaiement sur nos routes, sans que nous ne réagissions vraiment, au grand dam de la sécurité publique (de 1930 à 1983, 43 000 personnes ont péri sur les routes suisses, près de deux fois la population de Sion)? Pourquoi les mailles de notre système de sécurité sociale sontelles si lâches qu'elles condamnent un vieux à vivre dans un tuyau d 'égoût? Pourquoi - et c'est là peut-être la question fondamentale - la solitude dans notre société atteint-elle des dimensions telles qu 'un vieux n'a plus personne à qui s'adresser en cas de malheur? Nous aurions tellement à apprendre de nos amis Africains dans ce domaine. Sommes-nous disposés à éc.outer?
Lors de la 41 e session de la Commission des droits de l'homme de l'ONU , de 1985, il a été demandé aux Nations Unies la publication d 'un manuel éducatif sur les droits de l'homme dans les six langues officielles . t A noter que la 3 e session débutera à Genève le 1er juillet 1985. Pour tous ren seign ements s'adresser à Ecole Instrument de Pai x, rte du Simplon 5, 1207 Genève - Tél. (022) 35 24 22 .
Sur le plan international, on constate donc une accélération des initiatives en faveur de l'éducation aux droits de l'homme.
2. Sur le plan national et romand La Commission nationale suisse pour l'UNESCO, le Centre suisse pour le perfectionnement des professeurs de l'enseignement secondaire (CPS) et l'Ecole Instrument de Pai x, ont organisé plusieurs sém inaires dont , notamment , celui de Jongny en mai 1981 , au cours duquel la base d'une politique pour l'enseignement des droits de l'homme dans les écoles primaires et secon daires a été dégagée . Les tendances principales sont les suivantes : - il se s'agit pas de créer une branche des droits de l'homme , mais d'intégrer cet enseignement dans les cours d 'histoire, de géographie, d 'éducation civique , de reli gion dans les cantons où cela existe; - il faut donner aux maîtres la possibilifé de se former, notamment par des séminaires ; - créer un manuel pour l'éducation aux droits de l'homme . - En Suisse romande on également une constate multiplication des initiatives , principalement à Genève, Neuchâtel et en Valais .
- A Genève, l'école Instrument de Paix, présidée par M. Jacques Muhlethaler, est un facteur de dynamisme et on ne compte plus les initiatives et les réalisations sur le plan in ternational, national et cantonal.
9
"",
"
'fl.~,J~ ••
_ l'
~"""""""""
t"'4·ltl"".I.~~;~'~it'tt"'.tl
• • • • • • • • yy.Y..~ • • • • • • • • • • • • • • yy •• l.ll"lit,~,~.,~
Ilft",.tt6tj
+
. Amnesty international , se préoccupe également de sensibiliser les jeunes au x droits de l'homme et met sur pied dans chaque canton un groupe «Jeunesse et droits de l'homme » dont le but est de promouvoir l'éducation au x droits de l'homme par divers moyens tels que : En 1978, la République et canton de Genève inscrit l'enseignement de l'intégralité du te xte de la Déclaration universelle des droits de l'homme au x programmes des dernières années de scolarité obligatoire . Une équipe , conduite par le Professeur Massarenti de l'université de Genève traduit la Déclaration dans un langage fondamental de 2500 mots , afin qu'elle soit plus accessible à tous , principalement au x enfants de 10-12 ans . Des séminaires sur l'enseignement des droits de l'homme pour les enseignants du secondaire sont organ isés dès 1980, de même pour les enseignants du primaire dès 1982 . A l'université , un groupe interfacultés prépare un enseignement interdisciplinaire des droits de l'homme. Un projet-pilote d 'envergure est élaboré et certaines initiatives sont déjà officiellement adoptées. De plus, l'EIP met à disposition des enseignants tout un matériel pédagogique . Dans le canton de Neuchâtel , dès la fin des années septante , des enseignants envoient la Déclaration à leurs collègues , organisent des réunions , contactent les autorités secondaires , mettent sur pied un concours de dessins et une exposition itinérante .
-
-
élaborer un matériel pédagogique directement utilisable ; tenir à jour une liste de ce qui existe déjà ; soutenir les initiatives dans ce domaine ; favoriser la circulation de l'information ; intervenir auprès des autorités cantonales pour favoriser l'enseignement des droits de l'homme en classe ; créer des occasions de rencontres entre enseignants; être une structure de référen ce pour l'éducation au x droits de l'homme .
chaque cycle d'orientation en septembre 1980. (Par la suite, Ce classeur a été réédité sur le plan romand.) Au cours de ce travail une bibliographie a été préparé~ et une section «Droits de l'homme » créée à l'ODIS . Durant 1980-1981, les enseignants désireux de mieux connaître le classeur ont pu participer à l'une des réunions qui ont eu lieu dans une vingtaine de cycles d'orientation . Entre temps , le groupe participe à l'animation de classes dans les collèges et cycles d 'orientation . En 1983, lors de la sess ion pédagogique, un séminaire sur l'enseignement des droits de l'homme a été organisé dans le but d 'apporter des connaissances théoriques , mais surtout pour présenter différents matériels et leurs possibilités d 'utilisation en classe.
A cette exposition sera jointe une malette de livres que les enseignants , particulièrement des bibliothécaires , pourront consulter. Cette malette a été préparée par l'ODIS , ef! collaboration avec le centre d 'animation «pointvirgule » de Martigny. Les cycles d 'orientation d 'accord de présenter cette exposition recevront les premières informations et le plan du circuit, dès le mois de juin .
Ense igner les droits de l'homme ... Depuis que l'homme a la capacité de détruire sa planète et vu l'augmentation de l'interdépenpance des Etats et des hommes , apprendre à gérer les conflits autrement devient une nécessité de plus en plus ressentie pour assurer la vie (voire la survie) de l'espèce humaine dans la dignité.
Depuis 1982, l'organisation «Ecole Service Tiers -Monde » (ch . des Epinettes 10 - 1007 Lausanne , tél. 021/268433) s'établit aussi à Lausanne et favorise l'enseignement des droits de l'homme par ses nombreux dossiers, du matériel pédagogique (jeu x, montages audiovisuels) en organisant des séminaires , écrivant des articles de presse.
Depuis, le groupe de travail pour les droits de l'homme est relayé par le groupe«Jeunesse et droits de l'homme - Valais» auquel chaque enseignant intéressé peut participer selon sa disponibilité , pour promouvoir l'éducation aux droits de l'homme.
«Les guerres prenant naissance dans l'esprit des hommes, c 'est dans l'esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la Pai x)), notamment par le développement d 'une éthique basée sur la tolérance , la responsabilité , et une vision globale du monde .
L'action de septembre 1985
Dans le canton du Valais , dès 1978, le «groupe de travail pour les droits de l'homme », constate le manque de matériel pédagogique dans ce domaine et élabore un classeur des droits de l'homme . Avec l'accord du Département de l'instruction publique, ce matériel est distribué à
La préparation de l'exposition itinérante sur le thème des droits de l'homme avance. Elle sera composée d 'ingénieux pa~ neaux illustrant chacun des artIcles de la Déclaration, tout en laissant aux visiteurs la possibilité de s'exprimer par des textes, dessins , etc.
L'enseignement des droits de l'homme est une voie pour retrouver un nouvel équilibre , une démocratie renouvelée et vivante. Jean-Claude Lambiel ((Jeunesse et droits de l 'homme: Valais ))
-
Lucia Bender, Troistorrents Agathe Fischer , Grône Brigitte Lugon, Martigny Françoise Maye , Saillon Marie-Alice Theier , Sion
Mon enfant aussl.. ...?
••• Les questions des parents sur la toxicomanie et les drogues . De nombreux parents se sentent dépassés par les questions qui touchent à la toxicomanie et aux drogues. Des parents en nombre toujours plus croissant se demandent : comment devons-nous nous comporter? Comment devons-nous agir? Mais surtout et avant tout: que faire pour que cela n'arrive pas? Cette brochure s'efforce de répondre aux angoisses et aux soucis des parents. Elle n'apporte cependant pas de réponse préfabriquée et prête à l'emploi . Il s'agit avant tout de prendre au sérieux les difficultés et les problèmes des enfants et de maintenir les rapports de confiance au sein de la famille . Cette brochure essaie d 'aborder le phénomène de la toxicomanie et des drogues d'une manière simple et directe. Sous forme de questions et de réponses on recherche les causes de la toxicomanie. On peut relever les points suivants : - peut-on vraiment distinguer le plaisir de la dépendance? - La drogue peut signifier pour le jeune son appartenance à un groupe, sa démarquation des générations plus anciennes ; - la drogue engendre un cercle vicieux, elle est synonyme de dépendance physique et psychique ; - la drogue peut être une réponse au manque de valeurs de références de notre société et dans ce cas le jeune cherche à fuir la réalité;
- la perturbation familiale n'est qu'un des facteurs favorisant la tendance à la toxicomanie ; ce qui compte , c'est l'ensemble de ce qu'un être humain doit supporter et comment il réagit aux tensions, conflits, frustrations, insécurité , sentiment de vide etc . quelle que soit leur origine ; un des - l'éducation est moyens de prévenir la toxicomanie . Pour éviter la désertion des jeunes, nous devons créer un monde plus attractif et des meilleures conditions de vie pour les jeunes . Il faut donc favoriser une politique de la jeunesse, non seulement au Parlement, mais dans le cercle familial; - les drogues ne sont pas considérées comme les causes d 'un malaise, mais des symptômes d'un mal de vivre . La toxicomanie nous concerne tous. Comment réagir quand on soupçonne un enfant de se droguer, cela constitue le thème du 2e chapitre . Il s'agit d'instaurer un climat de confiance favorisant la discussion et de prendre au sérieux les indices attestant la vulnérabilité du jeune . Lorsque un jeune se drogue, il vaut mieux s'adresser à un centre de consultation spécialisé plutôt qu'à la police. La troisième partie traite de chaque drogue en particulier , sa production, sa consommation, ses effets, sa dépendance, ses conséquences. A ce propos, les auteurs nomment l'alcool la drogue N° 1 chez les jeunes. En conclusion .. . L'idée qu'on se fait des «drogués» ne correspond souvent pas à la réalité . Cette brochure essaie de corriger l'image qu'en donne souvent une presse à sensation. L'expérience des centres de consultation et des communautés thérapeutiques démontre que la toxicomanie est
Pour des vacances à la découverte de la nature
La Ligue suisse pour la protection de la nature organise pour les adultes et les familles des activités dont voici la liste. On peut obtenir les programmes détaillés auprès de la LSPN, case postale 73, 4020 Bâle . une manière de réagir face à une existence perçue par l'adolescent comme insupportable. Les toxicomanies sont un symptôme des contradictions que nous voyons et vivons quotidiennement dans notre société dans notre culture . Pour tente; d'enrayer le mal, il est urgent de s'attaquer aux causes déjà connues .
Thème
Lieu
Week-end Semaine
Journée
Date
Observons la nature , crayon en main
x x
25 - 26 mai 15 - 16 août
x x
'0
Lac de Neuchâtel: la pêche Correction douce des cours d 'eau Nature - art - créativité Découverte de la végétation
x x
1 - 2 juin 7 - 8 septembre 1 au 5 juillet 15 au 19 juillet
>-
Semaine-découverte (pour bons marcheurs)
x x
22 au 26 juillet 12 au 16 août
c a
Qj >
'0 en
.Q)
La prévention commence par nous les adultes . Si nous vivons sans abuser des drogues, si nous parvenons à nous relaxer sans alcool et sans Valium , nous pratiquons déjà une prévention dont bénéficieront nos enfants. Vous pouvez , en tant que parents, vous engager personnellement dans la prévention de la drogue. Les rencontres où des parents peuvent discuter de leur manière de vivre en famille , partager les questions brûlantes d'éducation ou de loisirs sont une forme acti~e de la prévention .
0.
.~
*
et
x x
2 juillet 8 août
La Menthue
x X
16 juillet 1er août
Gorges de l'Areuse et Creu x du Van
x x
25 juillet 13 août
Chassagne d 'Onnens
x x
4 juillet 20 août
La grève de Champ-Pittet
x x
30 juillet 29 août
CL
6. E CIl
.c
ü
x
Flore alpine Excursion - découverte .c
~
Q)
«
Renseignements des :
Le vallon des Vau x
x x
15 au 20 juillet 20 au 22 août 5 au 7 octobre
Plantes médicinales Animau x des Alpes
x x
5 au 10 août 12 au 17 août
Semaine-vacances avec possibilité de suivre un ou des programmes à la carte
x x x
12 au 17 août 9 au 14 septembre 30 sept . au 5 octobre
comman- La vie du roseau, la vie dans la roselière . - Approcher la nature par les sens .
Ed . Pro Juventute , Secrétariat romand Galeries St-François B 1003 Lausanne
Pour les classes ou les groupes , durant les vacances ou durant l'année scolaire , le centre de Champ-Pittet organise sur demande des visites guidées largement inspirées du chapitre connaissance de l'environnement du plan d 'étude romand . A choix, 5 thèmes :
Le même centre assure aussi à 50% ou à 100% des semaines d 'étude pour les classes : 3 thèmes sont proposés :
Prix : Fr. 8,50 la brochure; dès 20 ex. Fr. 7,50 ; 50 ex. Fr. 6,50 ; 100 ex. Fr. 5.- ; 5000 ex . Fr. 4,75; 10000 ex. Fr. 4,50.
- Flore et faune de l'étang . - Flore du marais : du rivage à la forêt de pente. - Les oiseaux du lac et du marais .
- Végétation et faune de la grande Caricaie . - Les oiseaux nicheurs du marais et de la forêt riveraine . La migration des oiseaux.
Actualités médico-sociales
Evolution de l'action médico-sociale
un découragement , voire un abandon de l'action entreprise .
Bien qu 'un petit nombre de communes de notre canton n'ait pas enco,re. adhér~ à la structuration medlco-soclale telle que prévue par la législation valai sanne , la date du 1er janvier 1985 a marqué une étape importante dans l'évolution de l'action médico-sociale .
Certes, le développement dans le secteur extra-hospitalier surtout est confronté à certains facteurs fondamentau x, dont les plus importants sont rappelés ici:
Dorénavant , en effet , les efforts peuvent être portés sur la consolidation des équipes pluridisciplinaires œuvrant sur le terrain et une meilleure qualification du personnel paramédical. L'on sait que - par essence l'évolution dans le domaine de la santé publique est soumise à un rythme lent, progressif : ne pas en tenir compte , serait brûler les étapes et aller, à coup sûr , vers
- contextes sociologique et géographique: milieux citadins , rurau x ou de montagne ; - résistance psychologique au processus de changement de structures ; - évolution plus ou moins prononcée du concept de passage de l'assistance publique vers l'entraide sociale ; - passage du personnel non qualifié bénévole ou semibénévole vers du personnel diplômé rémunéré ;
- existence ou diminution de l'entraide familiale et de voisinage ; - évolution de l'aspect curatif vers l'aspect préventif ; - efficacité de l'action déployée par les institutions spécialisées privées ou semi publiques . Il est notamment à souligner que les deux parties du Valais ont connu de par leur structure plus ou moins traditionnaliste et par leur conception différente une vitesse de croisière fort diverse . Il est également constaté que la nécessité de prise de mesures préventives n'est pas ressentie et donc pas réalisée de la même manière dans le Haut et dans le Bas-Valais. Aussi , la progression est-elle plus lente dans la partie alémanique ; il en est de même dans le concept de l'engagement de personnel qualifié .
Développement de l'activité médico-sociale en Valais Situation au 01 .05 .1985
Photo Oswald Ruppen
_ Centres médico-sociaux reconnus Emil par le Conseil d'Etat
~
li
Centres médico-sociau x en constitution Régions à constituer
L'homme quotidien et les crayons...
eeeeeeee
Qualification du personnel paramédical En ce qui concerne la qualifica-' tion des travailleurs médicosociaux, on constate en Valais encore une pénurie d'infirmières spécialisées en santé publique et d'aides familiales diplômées .
cée qu'on y rencontre. C'est la raison pour laquelle, le Conseil d 'Etat valaisan a consenti l'ou. verture d'un cours de deux ans dès septembre 1985 à Brigue en langue allemande.
Le chemin parcouru depuis le début 1976 fut long et souvent , La spécialisation en santé pupli- ardu; néanmoins, il est heureux que est donnée aux infirmières. de pouvoir constater que grâce diplômées à Sion dans le cadre à une structuration cohérente multidisciplinaires, du Centre de formation pédago- d'équipes gique et sociale (formation de 24 nombre d'hospitalisations sont mois en cours d'emploi). Le évitées , voire raccourcies et que cours III s'achèvera en juin 1985 la prévention et l'éducation à la et le cours IV débutera en au- santé permettent d'atteindre tomne prochain. Le rythme une meilleure qualité de vie et d'une entrée tous les deux ans de répandre plus d'humanité ne permet pas de répondre aux dans un monde technologique et matérialiste tel que le nôtre. besoins des centres médicoService cantonal sociaux du Valais francophone de la santé publique (normes admises: 1 infirmière de Section médico-sociale santé publique pour 3000 à 5000 et paramédicale habitants) . Aussi apparaît-il néMarguerite Stoeckli cessaire d'envisager pour l'avenir une volée par année pour combler les lacunes constatées . Pour 'le Haut-Valais, une telle formation doit être envisagée en langue allemande à moyen terme . A ce propos, il est réjouissant de constater qu 'une sensibilisation s'est opérée au fil des ans auprès des jeunes diplômées et qu'actuellement 5 infirmières haut-valaisannes se forment en santé publique en Suisse allemande (Berne et Zurich) .
Aides familiales Si la situation du Valais romand est équilibrée par la mise sur le marché de 8 à 10 nouvelles diplômées par année, le HautValais présente des lacunes graves, même en tenant compte de l'entraide familiale plus pronon-
~
f'
, - -'-'-"""""""W".",. 1
Ill
•••
I'·!'.
~'I.I,,~I
«Crayon : baguette cylindrique formée d 'une mine de graphite ou d 'un autre produit (éventuellement coloré), contenue dans une gaine en bois, et servant à écrire ou à dessiner.» (Petit Larousse illustré, 1982.) «Crayon : 1. morceau de minerai coloré et partic . morceau de plombagine propre à écrire ou à dessiner ; 2. petite baguette de bois garnie intérieurement d'une mine de crayon (sens 1), servant à écrire ou à dessiner.» (Dictionnaire Hachette de la langue française, 1980.) Et , dans d'autres dictionnaires , je pourrais découvrir d'autres définitions. Chacune d'entre elles correspondrait à ce qu'est le crayon en général, à ce que sont tous les crayons traditionnels de notre Occident ; aucune, pourtant, ne pourrait se rapporter à, ni donc décrire aucun des crayons se trouvant soit sur nos tables, soit sur nos pupitres, soit entre nos innombrables mains, soit chez les divers négociants qui en font commerce. Et la définition du 1980 dictionnaire Hachette contient même dans sa généralité, une err~ur: tous les crayons ne sont pas de «petites baguettes» : il existe , en effet, de très grands crayons ...
'fit
W
,..
Une minime différence se révèle toujours (sauf peut-être en laboratoire ... ) dans le particulier. Tandis que, plus la «chose» décrite est riche et donc composée d'éléments toujours plus nombreux, moins la description en est facile , voire possible. Imaginons donc si les crayons peuvent se révéler si différents , à quel point une telle description générale devient illusoire lorsqu'il s'agit d'une disciplin.e à enseigner ou étudier, lorsqu 'il s'agit d'un être humain . Peut-être un exemple aussi simple que celui du crayon pourra-til révéler à ceux qui en ont besoin en l'illustrant, les limites d'une approche purement rationnelle, purement logique, purement scientifique des «choses», que l'on traite du domaine matériel, du domaine humain, du domaine spirituel. Partout, la part de la vie, la part de l'unique, la part de la situation particulière, située dans le temps et l'espace est unique et non reproductible même si les caractères généraux propres à un objet, à un domaine, à une race s 'y retrouvent.
C'est ainsi que la définition rationnelle , logique, se prétendant scientifique définit voire, dévoile certains aspects tant généraux que particuliers d'un élément, d'un objet, d'une situation , d 'une personne.
-.... ~ ...... -."
Elle ne peut, toutefois, en définir aucun dans sa totalité propre , tout élément, tout objet, toute situation comportant, même infime, sa propre particularité qui, même si invisible à celui qui l'étudie mais ne la perçoit pas , le ou la caractérise et fait qu'aucun élément, aucune cellule, aucun objet, aucune si.tuation ne peut être ni généralisé comme caractéristique d'une espèce dans sa totalité pas plus qu'il rie peut être pleinement ni exactement reproduit.
~
....
T
•
...
-
...
,..
........
"
...........
j!ftt.~,·
~
C'est ainsi que la définition, la globalité révèlent ce qu'elles exposent et ce à quoi elles s'adressent: des généralités; et cela uniquement. Le particulier lui, demeure irremplaçable , très difficilement définissable car, justement, il est unique, car, justement il est particulier . Et, comme le garagiste devenu expérimenté à la suite d'exercices indéfiniment répétés sait repérer et le général et le particulier et, dans le général le particulier du moteur dont il s'occupe, l'enseignant devrait être suffisamment vigilant tout au long de sa vie, pour repérer le particulier dans le général, toujours plus de particulier dans le général de sa classe, afin de pouvoir répondre tant à ce générai qu'à un maximum de particulier(s). A cet effet, il doit s'entraîner. S'entraîner à voir , s 'entraîner à entendre, s'entraîner à percevoir et toujours plus et toujours mieux. Plus il verra, plus il entendra , plus sa gamme de réponses s'élargira . Une fois de plus , nous constatons qu'est indispensable la double connaissance : celle des élèves, et, tant à travers elle que pour elle, celle de soi-même, de ses propres carences , de ses propres limites comme de ses propres capacités. A travers ces très simples exemples, nous pouvons toucher du doigt tant la limite du développement trop logique, trop rationnel, trop «scientifique» dans le sens étroit de ce terme car la vraie science amène inévitablement à l'impalpable, à l'insaisis18
sable, à l'indéfinissable , que la nécessité impérative, absolue et, dans notre Occident, aussi impérative qu 'urgente du développement des capacités imaginatives, sensibles et intuitives de l'être humain . Ces aptitudes, il les possède en germe dès la naissance. Hélas! Un certain type de «formatiom) , d'«éducation» et d' «enseignemenh les refoule, les néglige, les éteint sou vent pour de trop, beaucoup trop longues années. A l'âge adulte, un certain type de vie dans un certain type de société contribue à les détruire à tout jamais. Cette imagination, cette sensibilité, cette intuition frappent pourtant à la porte, se réveillent chez certains là o~ elles n'ont pas été étouffées à .1' excès. Notre système économique fait , d'ailleurs , appel à elles sous certains de leurs aspects pour mieu x en anéantir d 'autres , celles, surtout, relevant de la vie de l'esprit, c'est-à-dire de la spiri tualité . Parfois, les nécessités de la vie provoquent de salutaires et douloureux réveils, voire, des émergences ; de telles prises de conscience permettent à l'individu d'évaluer le temps et l'énergie jusque-là gaspillés, et, suivant les circonstances de vie et responsabilités, le gâchis difficilement «rattrappable» provoqué en nombre d'êtres tout comme en nombre de lieux. A la suite de tels réveils, l'être peut accepter sa conversion et sa reconversion. Pour y parvenir, il doit reconnaître ses erreurs . Pour beaucoup de personnes, reconnaître ses erreurs est une
tâche insurmontable :Ià où à travers une conversion, se révèlent r les qualités profondes, essentielles de l'homme, sa capacité d 'affinement, d 'accroissement de sa conscience et donc de ses capacités d'amour, la plupart ne décèlent que lâcheté, infidélité, abdication , manque de caractère!!! .. . La plupart des êtres étouffent donc à nouveau la voix entendue , ferment à nouveau la ... voie à cette conscience qui appelle ; se durcissent, durcissent leurs positions , se réfugient de plus en plus dans le rationalisme, «la science», (da discipline», (da tradition» aussi : non celle qui est vie , développement mais celle devenue sauvegarde d'un passé qui, ayant accompli son œuvre n'a pas à se reproduire mais à servir de ferment. Ces êtres se verrouillent donc et, fermés, durcis poursuivent leur course sur le mode habituel. Quelques rares acceptent leur conversion et transforment une , vie qui , alors , les transforme et Photo Oswald Ruppen les ouvre à SA réalité profonde. quel toutes ses aptitudes deSa réalité qui ne peut se couler vraient être utilisées . Cet amour dans aucune définition définitive devrait , pourtant, lui servir et de puisque tout se modifie , puisque démarreur et de moteur en vue la vie , toujours unique et particudu perfectionnement des aptitulière est mouvement. des restées en friche et qu'il deC'est ainsi que, malgré les appavrait , avec son aide, féconder. rences et mis à part ces cas de Ainsi ces aptitudes se dévelopconversion et donc d'ouverture, peraient-elles tant grâce à lui nos cerveau x souvent brillants que pour son service . demeurent sous-développés Elles pourraient et peuvent parpuisque seule une de leurs parfois se développer au service de ties travaille et qu'une seule est, cet amour si général et généraofficiellement, invitée et autorilement distribué à tout nouveausée à travailler . C 'est ainsi que né mais ne peuvent se révéler et l'homme se prive et se trouve ~'incarner qu'à partir du particuprivé de sa dimension essentiellier, à travers le particulier, en le qui est celle de l'Amour au vue du particulier, car devant se service, au développement du-
mehre au service du particulier. Pour le bien général qui est composé , sur cette terre, de particu lier. Car chaque particulier étant particulier à une tâche particulière, c'est-à-dire unique à remplir. L'école doit donc se définir: si elle décide de ne transmettre que des connaissances, qu'elle le déclare et l'admette clairement et, à cet effet, emploie en son sein, les moyens adéquats ; qu 'elle s'organise par ailleurs de manière à ce que reste aux jeunes le ' temps nécessaire à la formation de leurs personnes , for-
mation à laquelle d'autres instances devraient s'attacher . Si, par contre , l'école prétend former la personne, qu'à tout prix et quel que soit le prix, elle prenne conscience tant des richesses énormes de notre culture que de ses terribles limites que les visages que nous rencontrons dans la rue, les malêtres , les divorces, les suicides , le développement des sectes , des diverses méthodes, techniques, spiritualités destinées à aider l'homme sur son chemin révèlent mieux que tous les écrits et tous les discours et qu'une 19
Art dramatique et français deux programmes complémentaires
approche simple car approfondie de l'homme explique aisément et l'aide à procéder à de très sérieuses et très profondes reconversions . Une approche simple de l'homme entraîne avec elle, effectivement, une reconversion radicale rude certes mais indéniablement efficace, épanouissante et enrichissante de tout l'être et de tous les êtres. Comme s'enrichissent l'aspect et les services que peut rendre un crayon suivant les ingrédients placés dans sa mine, services que ne modifient pas les décorations pouvant agrémenter sa gaine même si elle reflètent le bon ou le moins bon goQt du fabricant.
C'e.st à cela que chacun devrait toujours plus s'atteler car la transformation c'est-à-dire l'amélioration du monde et de la personne ne s'acquiert pas à coups de programmes, de dis. cours, d'affirmations : elle ne peut s'opérer qu'à l'aide d'un travail et personnel et collectif profond, honnête, assidu. ' Un travail à la mesure de la ri. chesse et des capacités à utili. ser de chaque homme Le premier et le meilleur d 'entre eux étant le développement d'une profonde honnêteté en· vers soi-même . Anna T Veuthey
C'est ainsi que, dans la vie , la conception globale , les affirma~ions générales ne suffisent pas : Il est nécessaire , il est indispensable de considérer et les instruments que l'on emploie pour la réalisation de ces conceptions et les résultats du travail accompli .
On désire, enfin, et on prétend former les «instruments», c'està-dire les hommes. Beaucoup est fait dans le domaine de l'acquisition , du développement des techniques et des connaissances .
..•
Dans les deux cas, le cœur du processus d 'apprentissage est constitué d'expériences pratiques d'expression-communication suivies de retours critiques (ou objectivations) ayant pour but de rendre l'enfant plus conscient des résultats de ses expériences ' et des facteurs qui expliquent ces résultats . De telles expériences prennent appui sur l'évolution et le vécu de l'enfant de façon à avoir pour lui le maximum de sens.
•••••••••••••••••,y""""., 1•
! .
,
,
Progressivement, elles lui permettent d'élargir sa connaissance et sa maîtrise du type de langage mis en jeu .
2. Les apports spécifiques du programme d'art dramatique
de
Une perspective de formation globale de l'enfant
Dans les deux programmes, une façon de voir commune: le plan des objectifs généraux et celui
Il est primordial pour l'enfant de devenir plus habile à s'exprimer et à communiquer:
1. A la recherche points communs
Reste à accomplir par tous et par chacun le travail essentiel : la formation profonde de la personne.
\.
de la démarche pédagogique . Que l'on enseigne le français ou l'art dramatique au primaire, on centrera désormais son enseignement sur le développement d'habiletés chez l'enfant, la maîtrise d'un savoir-faire et non sur l'acquisition des connaissances. Et , dans les deux cas, l'habileté à s'exprimer et à communiquer sera l'habileté de base que l'on cherchera à développer. Les pôles expression-communication sont présents dans les deux programmes même si l'accent mis sur chacun varie . Une large part de la démarche pédagogique préconisée par ailleurs pour le développement des habiletés est commune au français et à l'art dramatique .
De tels rapprochements pouvant favoriser, à long terme , l'évolution vers un développement intégral et harmonieux de la personne à l'école , développement que tous semblent souhaiter mais qui ne peut qu 'être freiné, dans la pratique, par une approche morcellée et surspécialisée de l'enseignement.
On étudie aussi les résultats, fruits de nombreux facteurs.
J"" .,
L'enseignement est dans une phase de «grand-ménage» . Toutes les disciplines , tous les niveaux sont touchés et les nouveaux programmes s'empilent à un rythme ahurissant sur les tables de travail. Pour l'enseignant du primaire qui a la charge de plusieurs disciplines à la fois, il y a de quoi être perplexe. Comment assimiler au même moment toutes ces informations présentées le plus souvent dans des terminologies différentes et par des personnes ayant peu de relations entre elles? Comment dégager de cette marée d'objectifs et de démarches, une approche pédagogique cohérente et applicable dans le contexte scolaire actuel? " faut aider les enseignants du primaire à intégrer ce qui leur arrive «de tous bords», «de tous côtés». " faut les aider à dégager de ces programmes multiples, des points communs , des aspects complémentaires . Ce texte est une tentative faite dans ce sens. Il consiste en un essai de mise en parallèle de deux programmes: celui du français et celui d'art dramatique.
On a, pendant des siècles, «soigné» conc"eptions et affirmations ; on les soigne encore beaucoup de nos jours.
20
1
.. .. ~
1
•
21
Wyyy.y~.yyy.yy • • y 1 1 U 1 t t l , ~ , 1
•
l
•
1
- pour être en mesure d 'élargir son champ d 'expérience et arriver ainsi à mieux se définir, s'affirmer comme personne , individu unique (actualisation du moi) ; - pour élargir sa connaissanc,e du monde à travers la representation qu 'il s'en donne et à travers la confrontation de cette représentation à celle des autres (connaissance du monde) ; - pou r apprendre à être attent~f aux autres et à collaborer effIcacement avec eux (socialisation) . S'il est vrai que les langages (langage verbal , langage drama-
22
tique) ne sont que des outils pour l'expression et la communication , celles-ci ne sont ellesmêmes finalement que des moyens pour définir petit à petit qui on est et qui on veut devenir, qui sont les autres, dans quel monde on vit et on rêve de vivre. Tels sont les véritables objectifs des disciplines d 'expression et de communication qu 'il ne faut jamais perdre de vue.
Une perspective d'implication' totale de l'enfant Un deuxième aspect qui me paraît mis en lumière dans le programme d 'art dramatique est le caractère nécessaire de l'impli-
cation totale de l'enfant dans le processus d 'apprentissage de l'expression-communication . Cette nécessité ressort en effet de façon plus évidente quand on traite de l'expression_ communication à travers le langage dramatique. Ce langage est celui de l'ACTION , celui du jeu spontané que l'enfant a utilisé naturellement avant l'école comme mode global et intuitif de connaissance . C 'est un langage au x dimensions multiples (verbal et non-verbal) faisant appel à la fois à toutes les ressources de l'enfant (physiques , émotives, inimaginatives). tellectuelles , C'est à travers des mots, des gestes, des bruits, des objets, des déplacements, à travers des histoires et des personnages inventés que l'enfant traduit et crée, en langage dramatique, son image de soi, des autres et du monde . Le jeu dramatique vise à prolonger au primaire le jeu spontané de l'enfant et lui donne l'occasion d'apprendre à s'exprimer et à communiquer de mieux en mieux avec tout son être et avec tous les moyens du français , au premier cycle surtout, se place dans une perspective semblable et se garde de couper les ponts qui relient, chez l'enfant, le langage du corps à celui des mots .
tes , on propose dans le procer me de français des sltuagram . t'l,on où . le .' ns de comm~nlca tlO -verbal interVient necessalrenon ' de ent (ex.: jeu x d e .ro~I e, Jeux ~tuations fictiv~s , Jeu x d~ personnalisation, Jeux de slmula~ saynètes). Trop rares cetlon, d ' . ' l' endant sont les en ~rolts ou ?n ~et en évidence le role essentiel de cette fo:me. de langage dans la communication .
3. Une perspective de développement et d'intégration du langage nonverbal
Le programme de français peut offrir à l'enfant une ouverture vers la représentation théâtrale . La préparation d'une pièce avec les enfants d 'une classe peut être profitable pour tous autant sur le plan du développe~ent de la créativité que sur celuI de l'apprentissage du langage .
Le dernier apport du programme d'art que je soulignerai se rattache au précédent. Il s'agit de l'importance accordée spécifiquement dans ce programme aux signes non verbaux . Une large part des objectifs proposés en art dramatique visent à permettre à l'enfant d'explorer les possibilités expressives de son corps, de sa voix , de l'espace , des objets qui l'entourent et d 'acquérir une certaine maîtrise de ses possibilités à travers des improvisations d'abord non verbales puis verbales et gestuelles .
Et pou rtant, combi~n de com munications or~les echouen,t o~ tournent court a cause d.e ! attitude corporelle, de. la ~I,mlque , des gestes de celuI q~1 .ec?ute , de l'intonation , des ~esl~atlons , du ton de voi x de celuI qUI parle!
4. Les
apports
spécifi-
ques ,!u program me de
françaIs Une perspective d'initiation prog ressive à la production théâtrale Le programme de français peut proposer un grand nombre de jeux dramatiques visant essentiellement le développement de l'habileté dans l'expression des sentiments (discours à caractère expressif) à la préparat~on de saynètes à partir de diverses sources (contes, scènes d~ .Ia vie courante , textes ChOISIS , adaptés ou écrits par les écoliers .)
Une perspective de formation de l'enfant spectateur
Il est important pour l'enfant de développer son esprit critique et d'observation face à un spectacle. L'enseignant aide alors l'enfant, l'encourage à expliquer ses réactions face au spectacle vu, lui suggère même d'objectiver certaines caractéristiques du langage dramatique , (ex:: «les acteurs ont-ils changé leur lan-
gage habituel? Quelles différences quant à la voi x et au x mots avons-nous remarqués? ». 'Savoir observer , savoir écouter sont des objectifs importants dans la formation de l'enfant.
Une perspective d'initiation à l'écriture dramatique Un aspect propre au programme de français concerne l'écriture . On suggère à l'enseignant de placer l'enfant dans. d~s sltua~ tions de communication qUI l'amènent à rédiger des dialogues avec l ' inten~i.on de créer , d 'inventer ou de Jouer avec les mots . Il est question de façon plus explicite de production de
d ialogues , de sketches , de saynètes . Dans chaque cas , une objectivation est suggérée concernant l'adéquat ion entre l'intention du scripteur et le texte produit. Ce type d'objectivation peut mener directement , à mon avis , à une discussion intéressante sur le conflit qu 'on rencontre souvent entre le désir d 'une expression personnelle authentique et le désir d 'une communication réussie . Jusqu 'à quel point faut-il censu:e.r ce que l'on a à dire pour reJolndr~ l'interlocuteur? Comment tenir compte à la fois de soi et des autres? Sur le plan plus formel, l'écriture de sketches et de saynètes peut
également susciter d'autres questions importantes . Cornment rendre , par l'écrit, tout Ce qui dans le langage dramatique n'est pas verbal? Comment arriver à traduire dans une orthogra_ phe correcte le langage oral d 'un jeune enfant , d'une personne de milieu populaire, d'un Martien? .. . Partout, la vie dépasse les normes, fussent-elles orthographiques! Partout , elle exi ge la création de réponses neuves appropriées. '
5. Finalement Je crois qu'on a toujours avantage à garder ses yeux grands ouverts et à chercher, dans ce qui semble de prime abord en opposition ou en parallèle , des liens, une complémentarité. Tout se tient et le fait d'adopter temporairement tel point de vue ne doit pas nous amener à nier le reste de la réalité que seuls des points de vue différents doivent nous permettre de voir. En essayant de prendre un peu de distance et d'aborder d'un seul regard le programme de français et celui d 'art dramatique, il se peut que j'aie déformé, au x yeux des «connaisseurs », l'un ou l'autre aspect de ces programmes. Quand on regarde un tableau d 'un peu loin, il arrive que des couleurs se fondent ou disparaissent. C'est le prix à payer, souvent, pour avoir une vue plus juste de ce qui est peint sur le tableau . Tout ce que je souhaite en terminant, c 'est que l'enseignant du primaire qui aura lu ces lignes voie un peu mieux en quoi art dramatique et français sont des disciplines qui se complètent et puisse, par là, être incité à offrir à l'enfant un enseignement encore plus intégré.
Nicole Schroeter
e e e e e ·e e e "~t,
"
l'I'IJ,
-
_ """"""""""""" i".'I.,~,1
Art et pédagogie au CO :de Leytron
Heureuse initiative que celle décidée par l'Association des enseignants du cycle de Leytron! Une cinquantaine d'aquarelles réalisées par Jean-Claude Lambiel, conseiller en orientation professionnelle aux cycles de Sion, Nendaz et Leytron, transforment le grand hall de l 'école en salle d'exposition. L'art pictural à la rencontre des élèves. Ils ne peuvent dorénavant plus ignorer le talent de leur orienteur et certains ont le regard étonné de ceux qui pensent «t iens , il sait faire autre chose ... ». Une réfle xion lourde de sous-entendus . Les élèves considèrent généralement l'enseignant comme un appareil au tomatique dont les tiroirs ne savent que distribuer le savoir . Ils ignorent que les fonctionnai res cachent parfois une âme de poète , de musicien ou de peintre ... Les adolescents de Leytron découvrent aujourd 'hui une facette de la personnalité de leur orienteur professionnel : la passion de l'aquarelle. Il y a cinq ans, JeanClaude Lambiel ressentait des envies de toile, de pinceau , de couleur . .on ne peut guère contrarier sa propre créativité . Il se lance donc dans la peinture à l'huile moins décourageante que l'aquarelle . L'aquarelle est exigeante et ne permet pas au premier venu de saisir la transparence de ses couleurs . Jean-Claude Lambiel la tient à l'œil et lui promet la patience , car il sait qu 'elle trahit souvent le meilleur des maîtres. Il l'apprivoise par touche , la caresse du bout des pinceau x , l'approche à tons de velours . L'aquarelle se moque parfois de la main du peintre. Elle pompe l'eau , diffuse la couleur, fige le trait et sourit de la décomposi-
tion du sujet. Mais elle joue aussi la docilité sous le pouvoir de création de celui qui la maîtrise . Après un apprentissage indispensable , Jean-Claude Lambiel cerne les techniques qui lui permettent de se fondre au x saisons de l'aquarelle .
sur une sensibilisation à l'art, mais sur une incitation à la création . D'abord spectateurs , les élèves ont pris à leur tour les pinceau x et ont expérimenté l'aquarelle , l'huile ou la peinture à l'eau. Œuvres et chefs-d'œuvres décorent les murs de l'école . Jean Claude Lambiel a expliqué sa démarche, les professeurs de dessin ont tenu les guides et les jeunes ont créé. L'idée d'offrir une place de choi x au talent «hors contexte pédagogique » d 'un éducateur , enseignant ou orienteu r, est à retenir.
Il en aime la spontanéité et peint régulièrement des paysages où les espaces colorés de tendre favorisent le rêve et l'évasion . Le cycle de Leytron recelle aussi des passionnés de photograDes ~tangs lumineux, un ciel voiphie ou de musique . lé d'ondées , des forêts profondes au x nuances de l'insondaVerra-t-on naître encore , ici ou ble .. . ailleurs, des initiatives de ce Depuis qu 'il peint , Jean -Claude genre? On peut aussi imaginer Lambiel découvre ses dons un tour d 'horizon où les hobbies d'observation . Attentif au x moudes enseignants seraient réunis, vements de l'univers, il en retous talents confondus. tient des éclats de lumière ou le charme éphémère d'un rayon de - Il serait intéressant de connaître les passions qui permettent au x lune. Il se promet aussi des aquarelles au climat toscan . éducateurs de se détendre et d'oublier, dans la création, les Mais quelle magie détient donc affres de l'enseignement! la Toscane pour prendre à ses filets tous ceu x qui l'approchent? La douceur de ses colliElisabeth Sola nes? L'ocre de sa terre? Elle emprisonne les sensibilités et Jean-Claude Lambiel n 'y échappe pas. Membre du Groupement artistique de Nendaz, il a souvent participé à des expositions collectives. Il sera , pour la première fois , l'unique invité du cycle de Leytron. L'Association des enseignants du cycle désire que cette exposition débouche, non seulement
LEYTRON Exposition de J.-C Lambiel jusqu 'au 25 mai Exposition des qu 'au 15 juin .
élèves
jus-
~.y • • • y.yy.y • • • w • • • • • • • • y • • ~.~ • • "~I\"
"1'.'11
1
+
IPOMÉE
••••••
du conte satisfait des niveaux différents de compréhension .» Nicole Maymat regrette de ne pas écrire autant qu 'elle le voudrait. «L'éditeur mange l'auteur! » soupire-t-elle. Elle a aussi des dons de conteuse lorsqu'elle vous raconte l'histoire des prochaines naissances chez Ipomée . Un doigt sur les illustrations des maquettes, elle vous emporte vers les rivages de Narcisse ou de Barambolas promis pour 1985. Vous posez alors le crayon et vous écoutez ...
Bologne 1985 A la Foire internationale du livre pour la jeunesse, sous les couleurs du stand national français, les éditions Ipomée invitent le passant curieux à s'arrêter. Devant la qualité de la production, il ne peut que difficilement repartir... Ipomée , une maison d 'éditions pas comme les autres. Elle mise , depuis des années, sur le pou voir de l'image et du texte , sur la qualité esthétique des albums qu 'elle illustre et son exigence , en matière picturale et littéraire , force l'admiration . Un bon livre est une carte de vi site et Ipomée en a plus d 'un à son actif. Nicole Maymat , auteur, et Dominique 8eaufils, imprimeur, se sont associés dès 1977 pour éditer les livres qu'ils aimaient. Une gageure en ces te.mps où la production du livre pour la jeunesse connaît un boom économique. Une expérience originale qui dure depuis huit ans et qui, à force d 'énergie et de passion , s'étend de pl.us en plus. Bien entendu , ce n'est pas en dirigeant les éditions Ipomée que l'on devient millionnaire! L'art pour l'art n'a jamais nourri son homme, mais il le transcende en le poussant aux confins de la création. Un terrain privilégié pour des illustrateurs tels que Frédéric Clément, Claire Forgeot, Michel Boucher, Jean-Claude Marol , Ni cole Claveloux, pour des auteurs comme Jacques Cassabois , Nicole Maymat , puisque la valeur marchande du livre oasse au se. cond plan.
Rares sont les maisons d 'éditions où la qualité du livre prime sur le succès commercial. Ipomée prend des risques et la qualité de ses livres ne dépend pas de la servilité des lois du marché . Si le tiroir-caisse a quelquefois sonné à vide , elle n'en a pas moins la satisfaction d 'avoir répondu à ses propres exigences: l'authenticité de ses aspirations et le respect face au lecteur. En créant un livre , de la maquette à l'i mpression, de l'image au texte, personne ne triche et l'on ressent un profond engagement dans la démarche de l'écrivain, de l'i llustrateur et de l'i mprimeur. L'entente d 'une équipe de travail , très souvent nouée par des liens d'amitié , permet au livre une unité graphique et littéraire. Nicole Maymat et Dominique Beaufils basent leur politique d 'édition sur une incontestable intuition de la qualité des artistes qu'ils publient. Si le livre demeure le catalyseur de la rencontre entre l'auteur, l'illustrateur et le lecteur, voilà des livres qui sauront développer chez l'enfant le goût de l'art, tant pictural que littéraire . Des éditeurs qui s'attachent donc à produire un certain type d'albums illustrés pour la jeunesse :
Ipomée, une diffusion presque confidentielle qui , de bouche à oreille, déroule ses plages de l'imaginaire. Une maison d'éditions qui a la ténacité et la solidité d 'âme de la plante grimpante à laquelle elle emprunte son nom. Elisabeth Sola
De 10 à 100 ans Les éditeurs refusent de laisser enfermer leurs collections dans une tranche d'âge donnée . «II n'y a pas d'âge pour les contes , ni pour les œuvres d 'art» disentils. Leur production est ouverte à ceu x qui rêvent et chantent les poètes . Enfant, adolescent, retraité, où est la barrière lorsque le cœur l'emporte? " est tout de même une collection plus appropriée au x jeunes enfants, Contes et Images , et une autre destinée aux adolescents et aux adultes , Les Grands Livres. Les éditions Ipomée publient presque exclusivement des contes traditionnels, modernes ou fantastiques . «Nos racines plongent dans les contes traditionnels et nous sommes souvent dérangés par les contes modernes qui reflètent les contradictions de notre société, remarque Nicole Maymat. Le lecteur prend ce qu 'il veut ou ce qu 'il peut entendre . L'ambiguïté
Livres édités chez Ipomée Collection Les Grands Livres (de 10à100ans) - Le Maître de la pluie de Bénédicte Vilgrain et Laurent Berman . - L'Histoire d 'Héliacynthe de Nicole Maymat et Frédéric Clément. L'Histoire de Lilas de Nicole Maymat et Frédéric Clément . L'Echelle Beaufort de Jacques Yvart et Claire Forgeot. - Le Premier Chant de Jacques Cassabois et Frédéric Clément. Collection Contes et Images (de 5 à 55 ans). - Rana la menthe de Jean-Loup Trassard et John Howe. - Sourire et le bouffon de Jack Chaboud et Nicole Claveloux. - Le Croque-rêve de Michel Gaudo et Didier Gonord. L'Histoire du sapin des montagnes de Hélène Montardre et M. Maurice. - Kolobok le petit pain rond de Vitaly Statzynsky.
-
-
-
-
-'
L'Histoire véridique du chat Z de Roland Cosandey et Claire Koenig . Feudou dragon secret de Jean-Claude Marol . Ping Pou l'astronome de Pierre Moessinger et Claire Forgeot . Laissez-moi tranquille .. . de Michel Boucher. L'Oiseleur de l'aube de Frédéric Clément . Le soleil qui ne voulait pas se lever d'Antoine 'Sabbagh et Daniel Maja. Les rêves de Valentin d'Isabelle Merlet et Michel Boucher . Le gang des chenilles rouges de Nicole Maymat et Claire Forgeot. L'Histoire du vieux tilleul d 'UIrike Blatter et Claire Koenig . Le conte du pays des pas perdu de Nicole Maymat et Yolaine Deneux .
Prévus pour 1985 - Narcisse de Jean Chalon et Martine Delerme . - Barambolas de Danièle Neumann et Christine Berthoin . - L'Arbre gingempre de Jacqueline Kellen . - Les Trois cognées d'Ulrike Blatter et J. Besançon . - Cascade de Jean-Claude Maroi.
Prix - L'Echelle Beaufort : meilleur livre Loisirs Jeunes . - L'Histoire d'Héliacynthe : sélection Jean Macé, 1980. Plaque d'honneur 1980 au Prix européen de littérature pour la jeunesse. Grand prix graphique Nice, 1982. L'Oiseleur de l'aube : plaque d 'honneur au Prix européen de littérature pour la jeunesse, 1982. Le gang des chenilles rouges: plaque d 'honneur au Prix européen de littérature pour la jeunesse 1981 . Aigle d 'or au Festival de Nice, 1982.
«Ces enfants qui ont des difficultés scolaires ... sont les élèves de qui?»
«J'ai dans ma classe 23 élèves. C'est une volée tout ce qu'il y a de plus ordinaire : il y a des bons et des moins bons et il y a aussi quelques faibles ... comme chaque année, d'ailleurs. Christophe, par exemple, moyenne du 1er groupe au 2e trimestre: 3,6; au 1er trimestre , ça n'était guère mieux : il va certainement louper l'année. Et Jacky et Véronique .. . s'ils passent, ce sera difficile pour eux, l'an prochain. Enfin, il faut voir ... »
"'"
.
tent. Mais on s'aperçoit souvent que ce qui ne se fait pas avec le temps, le temps ne le respecte p~s. C'est l'indigestion pédagoglque: on a trop voulu leur donner trop vite et ils n'ont pas supporté . Il faut attendre encore un peu et laisser le temps à l'enfant... de grandir. C'est avec ces élèves-là que s'exerce le véritable travail du pédagogue. Point n'est besoin d'un grand art pour l'enseignement aux doués.
Ainsi cheminent les élèves, d'année en année, d'une classe à l'autre classe ou de la classe à la même classe, au gré de leurs performances et de nos appréciations .
Comme le préconisait Montessori, le maître doit «être là pour ceux qui cherchent et savoir disparaître du chemin de ceux qui ont trouvé» .
Une «volée», deux «volées» .. ., dix .. ., vingt..., trente ... et jusqu 'à quarante-cinq volées d'élèves passent (ou passeront) dans notre classe. Ils passent; certains élèves ne font effectivement que passer; ils «volent», pourrait-on dire, ne s'arrêtant chez soi que pour un peu d'influx et un contrôle de trajectoire: on ne se souvient d'eux qu'à cause de la régularité et l'aisance de leur «vo!». D'autres, par contre, laissent des traces plus tangibles ... les traces de leur mue ou de quelque autre scorie; puis ils repartent, après s'être nourris suffisamment pour parvenir sans trop de difficultés à l'étape suivante : D'autres enfin, arrivent tant bien que mal; ils attendent qu'on s'occupe d'eux, qu'on les prenne en charge. Ils sollicitent alors tout notre savoir-faire pour qu'on réponde à leurs besoins ... , besoin de sécurité ... , besoin de connaître. Alors vite, on s'active: on répète, on explique, on réexplique. Car il faut qu 'ils repar-
Ces élèves ont souvent besoin de se mieux connaître et de se renconnaître tels qu'ils sont, avec leurs points négatifs et leurs qualités. Ils ont besoin de confiance en soi, donc de pouvoir et de savoir-faire utiles à l'appropriation du savoir, comme: mieux voir, mieux écouter, mieux évaluer, être plus actif et disponible, être plus concentré et plus attentif...; et pour acquérir ces aptitudes, il faut un entraînement méthodique, sur mesure . Un itinéraire pédagogique adapté aux besoins de tel élève se conçoit en tenant compte des lois du développement génétique (le rythme de fonctionnement diffère d'un individu à l'autre), des savoirs antérieurs (les expériences et les apprentissages extra-scolaires diffèrent égaIement d 'un élève à l'autre) et du choix des possibilités diverses d'aborder le savoir (si la mémoire retient fidèlement le 10 % de ce qu'on lit et le 20 % de ce
" " " " " ,•• "".,yyyy •• yy~ ••• , ~I.I."III
1
11111.I'tt/jr,
Photo Oswald Ruppen
qu'on entend, elle accomplit le tour de force de retenir le 90 % de ce qu'on dit en faisant) . Cette démarche ne doit pas occulter le fait que notre rôle premier auprès d'eux est de les aider à s'épanouir en classe . Il ne suffit donc pas de mesurer leurs lacunes et leurs retards, il faut en saisir les mécanismes responsables pour y remédier par des stratégies pédagogiques adaptées. Ce n'est pas l'impossibilité de réussir qui est traumatisante , mais c'est le statut qu'on octroie à l'échec qui stigmatise. Par essais et erreurs, l'individu construit le savoir. Par essais et erreurs, nous tentons, jour après jour, de répondre aux
besoins spécifiques des moins doués scolairement.
Je suis responsable de tous les élèves de ma classe .
Ces enfants qui ont des difficultés scolaires, ce sont mes élèves. Ce sont eux qui ont besoin de moi . C'est par eux que j'exerce et enrichis mon savoir pédagogique. Ce sont eux qui justifient ma formation de pédagogue. C'est vrai qu'il existe des structures spécialisées (appui pédagogique, classes à effectif réduit, classes de développement, instituts, etc.) pour répondre à des besoins plus spécifiques, mais elles ne doivent pas être un alibi pour ne pas adapter mon enseignement à la diversité des élèves de ma classe.
«Etre responsable veut dire faire tout ce qu'on doit faire, et ne jamais faire ce qu'on ne doit pas faire.» (E ., 7 ans .) «Quand je serai grand, je serai responsable de moi et de la guerre, pas seulement moi, mais aussi tous les hommes de la terre avec moi . La guerre c'est très bête de la faire; la responsabilité c'est très important.» (E., 7 ans.)
Office de l 'enseignemen t spécialisé Philippe Theytaz
~T~~~~~-w~
•• w •••••
T~r
'.III.~tl\
+
'.. Le fichier sur la plante?
•
LE Fla-UER SUR LA PLANTE
\.., li~on
de&
haies
Ce fichier offre une série de fiches sur les différentes parties de la plante : la feuille, la fleur, la tige, le fruit ainsi qu1une fiche de renseignements pour le maître.
Structure: .format A4 .papier légèrement cartonné .une partie de la fiche est réalisée par des enseignants et photocopiée .l'autre partie est réservée pour le collage des éléments réels .le petit encadré qui porte le nom de la fleur est coloré selon la couleur de la fleur en question (pissenlit = jaune)
--• 8
Ct
SUJET PROFESSEUR DEGRÉS LIEU DATE INSCRiPTIONS
•
FLORE DE MONTORGE FRANÇOISE NICOLLIER ENFANTINES À 6P MONTORGE MERCREDI 29 MAI, 14H30 ODIS DE SION (o27/~1.62.86) ju~qu'au lundi 2r mai
lia
fleur
lla
le li~eron de~ haie!>
feuille
\a corolle
It.~ ne .. v\JRI/.S
limbe. : Î0l"rncz. en tel" de \I~che (Sd9ilticr..)
•
31
30
~""
, "tt'~fftll
1
't.'tt
""""""""""""", l,tt."',$13,~lti~, ••
'
y.y~y.~y
~~y~.
•••• •• y • • • • yyyyy • • lM.t,f.~t,'~.III\lrl ••••• tt
••
~tl
la hge
. ~ Illede6liseron renselgnemenl5 haies La nlant e
enti èr e :Que ll eeatdoncce ttetl eur : p.74!1'o l Guid e de s t leur s aa uvagea : p.184 ?lo l FSIU Ul ., des Convol vulacées
~::~;!~~~::~t~::;~~:~t;~.~~~~~~~r~: .~~~~:tn~~~~~~t~~:~~:: ~~:e.
:
~ m:~~~~i~~;:~~~~~O~:~~~d:~~:m:!;~~~:~~H:mri~~~:~!~;~~t Lafeul11e:sim!>l e,àpé t loleilloyen
L~~~~!:~i~d~!F~F;i:moH.:~~~:!F~;e:~~~C;~~~: (pennée.)
~:dispoS1t l on: l elOngde lat1ge.alte rne
l e ca Uc e : ~O~:~1~:s5f:~i~i:: n~!~~é;:talydpal.) entouré
la
de
corollo: i~;m:i;:j~~~:~gtF~~:~s~m~:;~~;~~~: g~~;:~;!~~~.
l e. ét •• ' n, .
un e
;~~~é::~:;~:~:!:m~~;:~~:~O~!.~~m;~~:~~t~:ih~~~~.r-
;::;:m;~~~~~~;;!:~m~:~iè::é~::~:;;O~~~~~:!:~:th:!~;' le
o'.t11:
~ p:~;h~::~~~üim.~ :!~f~~!: ~!~~d~~t~~ir s ~~U;~~l~~·me
~~~i~;~~.H:n;:m!.::~~~;::!~~::i~~g~~ ;~d~~~~~~a~~!~~_ ~o~~~: ~: *~~~:;~e !':~; =~~~~:~\~~U~n~ !~i~:. j~nh~~; ~:~~;;~~ ~~l~!n~~;:li:ro!;:u:~:li!e:l;!c ;~~n b~~~O~:~ ~~~ P l an t ~
de la
m~m e
fa:nll1e : le liseron des champs,
~ ::~~ ~!~S e~~~~::' p~~Sd:s ~\;~~~~:~l cur,
e
-_ee
!e fr ·,it :
dont le calic e
~m;. ~~~m;~~;~~~~:;::~~t!;!~~~:g:;.m.~g 'grm~:~~;~:E=-
A écouter certains , on pourrait croire que ceux qui ne sauront pas décliner par cœur leur Basic d'ici deux ans seront catalogués d'office de débiles légers , tandis que les autres seront transformés du jour au lendemain en surdoués . L'apprentissage de l'informatique n'est pas une question de langage que l'on enseignerait comme une langue étrangère . C'est bien plus une nouvelle manière de penser, de raisonner et de travailler qu'il faut acquérir par un usage du microordinateur. Le bonheur d 'un avenir technique a toujours été trop van té, par les techniciens souven t, par la presse toujours et même parfois par nous-mêmes et le fait que la technique ne soit plus la panacée mais en ellemême un sacré problème nous en apprend plus sur nous que sur la technologie . D'autre part , souvenons-nous que l'éducation ne fournit pas que des faits mais aussi un cadre de pensée , une façon de voir l'ensemble des connaissan ce s. Ce cadre est beaucoup plus important que les faits eu xmêmes et c 'est probablement pour cette raison que les enfan ts se souviennent parfaitement de leurs maîtresses et de leurs maîtres longtemps après avoir oublié le contenu des leçons . Le système éducatif est asservi à notre société pour deux raisons : la perpétuer et la préparer. Le tout est de déterminer laquelle de ces deux composan tes doit prendre le pas sur l'autre, de savoir , si dans notre monde actuel , l'important est le passé ou l'avenir.
Si c 'est le passé , ne nous soucions surtout pas de l'informatique et même refusons catégoriquement d'en entendre parler. Peut-être ainsi pourrons-nous faire reculer cette évolution qui nous effraie . Si c 'est l'avenir en revanche , il nous faut sans tarder suivre la voie de l'évolution qui, plus ou moins bonne mais inéluctable , peut être préparée le mieux possible. Car c 'est là que se situe la responsabilité de l'éducation: non pas prendre parti et juger du bien fondé de cette évolution, mais plutôt l'accepter et la préparer avec bon sens afin d 'atténuer l'angoisse naturelle de le notre société devant changement , ainsi que de compenser les inégalités qu 'il engendre inévitablement . Les adolescents de l'an 2000 sont déjà nés! Voilà l'immense responsabilité d'un changement que l'école n'a pas provoqué mais qu'elle ne peut refuser d'assumer. C 'est pourquoi le Comité central de la SPVal a décidé , lors de sa dernière assemblée , de créer une commission SPVal «Ecole et Informatique » qui a pour buts entre autres de : - rechercher les aspects pédagogiqùes et le rôle éducatif de l'informatique à l'école primaire ; - s'enquérir des possibilités de l'utilisation de l'informatique au travers des différentes disciplines de l'enseignement; - engager les collègues capables de changement à créer un mouvement et à faire en
sorte que l'informatique vienne de l'intérieur de l'école . Pour cela favoriser la création de clubs informatiques décentralisés réservés aux enseignants (Monthey, SaintMaurice , Martigny, Sion , Sierre ,,,.) qui pourraient recenser ce qui se fait , stimuler l'élaboration de certains programmes , échanger les informations et surtout permettre à des enseignants de s'informer et de se «mettre dans le bain » car ces centres devraient aussi faire la formation . Pour atteindre ses buts la SPVal lance un appel pour que tous ceux qui sont intéressés par la création de tels centres ou par la commission , se fassent connaître . Ecrivez nombreux car vous devez vous sentir concernés au Secrétariat de la SPVal, Myriam Albasini - 1908 Riddes.
Claude Vouilloz
Radio éducative et new look RSR Restructuration. Transformation. Mutation. Des mots bien en cour à la Radio suisse romande depuis une année et qui commencent à porter des fruits depuis février 1985. Feu RSR 1 et RSR 2, respectivement sous la férule de MM. Blaise Curchod et Félix Bollmann, chefs de programme, s'appellent désormais La Première et RSR Espace 2. Les anciens départements ont été gommés au profit d'une organisation matricielle. Chaque chef de programme chapeaute deux domaines: Information et Animation-divertissement pour La Première, Musique et Parlé pour Espace 2. La Radio éducative dépend de ce dernier domaine, géré par Jean-Fred Bourquin. Elle est intégrée dans la «tranche» du matin (6 heures - 12 h. 30) et considérée comme une «séquence». Elle s'insère, juste après le feuilleton quotidien, chaque mercredi et vendredi de 9 h. 30 à 10 heures, dans une série intitulée Connaissance 1. l.?objectif des matinées d'Espace 2 « Raconter et faire connaître» se marie fort bien avec celui de la Radio éducative qui prône la stimulation de l'imagination et de la créativité, l'expression individuelle et collective.
Au moment où la Radio change, il serait utile que la Radio éducative puisse aussi en profiter et définisse sa position en fonction des nouvelles données du débat.
Cela d'autant plus que les restrictions de budget en vigueur depuis janvier 1985 - officiellement un tiers en moins, pratiquement la moitié de celui de 1984 - nous obligent à revoir, qu'on le veuille ou non, toute la politique de production. Pour continuer de coller aux objectifs et préserver la qualité pédagogique des émissions - dont la déléguée est le garant - n'allons-nous pas être contraints, avec les moyens financiers qui nous restent, de diminuer en proportion le nombre d'émissions originales? Le nouveau mandat stipule déjà 32 reprises sur un volume de 74 émissions. Faut-il dès lors aussi revoir le rythme de diffusion et passer de deux à une émission par semaine? D'autre part, l'émission « Portes ouvertes sur l'école» réalisée avec la participation des départements de l'instruction publique change; les thèmes n'apparaissent plus sur l'affiche RTVE. Pour la remplacer, sous le générique de «Idées ei rencontres », Vera Florence propose chaque lundi de 11 heures à 11 h. 30 environ «l.?école et vous». Autant de questions brûlantes auxquelles les différents partenaires, enseignants, Commission romande, SSR, devront répondre rapidement.
Marie-José Broggi
• Telactualité TV~Scopie (Voir aussi le programme de la Radio éducative.)
«Sur le tournage de Derborence»
De fin août à mi-octobre 84, une trentaine de personnes, sous la direction du réalisateur Francis Reusser, participent, dans des conditions parfois difficiles, au tournage d'un film inspiré du roman de Ramuz. Pendant cinq jours, à Evolène, notre équipe de reportage a suivi quelques aspects de ce tournage. Cinq jours pour un tournage qui en a duré cinquante c'est peu. C'est suffisant toutefois pour en ramener une ambiance, éclairée par les propos de quelques participants: le réalisateur, le décorateur, l'ingénieur du son, le chef opérateur et quelques autres. Le film sort à Lausanne et Genève le 27 avril, notre reportage peut être une bonne occasion d'en parler.
22 avril vers 17 h. 15 23 avril vers 14 h. 15 Le 23 septembre 1714, un immense pan de rochers se détache de la paroi des Diablerets et vient s'abattre sur le pâturage de Derborence. Au cours des deux siècles qui suivent, s'établit dans la tradition populaire, la légende que Ramuz reprend dans son roman en 1934: « ... Un pâtre, qui avait disparu et qu'on croyait mort, avait passé plusieurs mois enseveli dans un chalet, se nourrissant de pain et de fromage ... » (Dictionnaire géographique).
Coup d'œil ur... ... des images du froid
(3) «Du frigo à gogo»
20 mai vers 17 h. 15 21 mai vers 14 h. 15
3 juin vers 17 ho 15 4 juin vers 14 h. 15
(2) «Les glaçons de grand-papa» En été 1886 à Paris, on pouvait se faire servir des boissons rafraîchies grâce à de la glace provenant du lac Brenet dans la vallée de Joux! Le réfrigérateur n'existait pas encore. En novembre 1984, des enfants de la vallée de Joux enquêtent sur ce qu'il reste des glacières du Pont. A partir de quelques cartes postales, d'un album de vieilles photos, des propos recueillis auprès des gens de la Vallée, ils tentent de reconstituer cette importante activité industrielle, aujourd'hui disparue. De vestiges en interviews, ils réunissent d'abord les éléments de leur enquête: photos, textes, enregistrements, etc. Dans un second temps, ils mettent en forme ces éléments afin de réaliser un court montage audio-visuel sur les glacières de la vallée de Joux. Une manière comme une autre de s'intéresser au passé de son environnement, tout en portant un éclairage particulier sur l'histoire de la conservation par le froid.
Ces deux émissions font partie de la série «Des images du froid» destinée à encourager des enfants de 9 à 12 ans (et plus), à utiliser des images et des sons pour mieux connaître leur environnement et communiquer avec les autres. (La première émission a été diffusée les 11 et 12 mars.)
En «pompant» la chaleur contenue dans une armoire aux parois isolées, on crée un système frigorifique. Cette compréhension sommaire du fonctionnement du réfrigérateur familial est un des objectifs de la première partie de notre émission. Mais comment y arriver? En expérimentant, en se rendant au Musée des sciences et des techniques de Winterthour et surtout en essayant de réaliser des schémas pour mieux comprendre ce fonctionnement et le faire comprendre à d'autres. Toujours autour du «frigo» familial, il est possible d'expérimenter le principe des mélanges réfrigérants. Une expérience simple consiste à mélanger de la glace et du sel. Un thermomètre et un chronomètre permettent de suivre seconde par seconde l'évolution de la température, qui va ... descendre ... ou monter... ? Vous le saurez en suivant l'émission. Les enfants de notre émission ont réalisé un panneau afin de montrer à d'autres le résultat de leur expérience. Dans cette émission, il est donc surtout question d'utiliser des images graphiques pour mieux comprendre et mieux expliquer.
La Course autour de chez soi Soyez dans la course!
dernière séquence. C'est vraiment la course! » Permettez-nous juste de vous déranger trente secondes pour vous rappeler que le délai pour nous remettre les travaux est fixé au 31 mai. Début juin, un jury procédera au visionnement de vos reportages et sélectionnera les meilleurs pour les diffuser lors de notre émission des 17 et 18 juin 1985. Alors, à bientôt!»
« Nous nous réjouissons de voir ce que vous aurez réalisé au cours de cette année. Vous êtes d'ailleurs en plein travail en ce moment, n'est-ce pas? Aux prises avec un micro récalcitrant, une bobine surexposée, une panne de batteries ou à l'affût de la bonne lumière, en train de rédiger la troisième version du commentaire ou à la recherche de la musique sublime qui accompagnera la
Documentaire La terre, la métamorphose 16 avril vers 14 h. 15 eantre d'un céramiste, Jean-Jacques Fiorina, qui se consacre à la recherche des formes, des couleurs, des proportions. Le cycle de la vie et de la mort est reproduit par le potier qui fait renaître un végétal après sa désagrégation. Les cendres de blé, de vigne ou d'arbre vont donner naissance à des couleurs inattendues. Le travail manuel, la maîtrise de la terre et du feu permettent la création d'un objet. Une dimension symbolique lui confère sa valeur d'objet d'art, qui se nourrit de la vie de son créateur. Un film du TVCO, Genève.
Le
COr
des Alpes
28 mai vers 14 h. 15 Tout ce que vous voulez savoir sur le cor: un répertoire systématique de thèmes se rapportant au cor des Alpes, entrecoupé de sketches de la comédienne Christine Milhaud. Le cor des Alpes est présenté successivement comme instrument de musique, comme élément de folklore pour touriste, comme moyen de communication. On voit comment on fabrique un cor, on aborde quelques notions de solfège, on écoute un pop
Voilà, à peu près, ce que nous aurions pu écrire à vos élèves. Voilà, en tout cas, ce que vous pouvez leur dire de notre part. Quant à vous, aidez-les de votre mieux! Et si vous avez des problèmes, n'oubliez pas qu'il y a dans votre canton un centre de Radio-Télévision éducative.
cor puis on passe à l' urbanisation des villages de montagne. Le cor incite à la méditation, dit-on. Sur fond musical, vous pourrez vous demander s'il est juste d'opérer un retour aux sources à l'intention des touristes japonais. Est-ce bien ainsi que nous retrouverons le paradis perdu qu'évoque notre folklore? Un film du TVCO, Genève.
Physique appliquée 30 avril vers 14 h. 15 La dilatation des métaux Il n'est pas nécessaire de redire ici ce que tout le monde sait sur les principes de dilatation. Cette émission rappellera ces principes au moyen d'expériences simples et claires. Par contre, il peut être intéressant de citer quelques-unes des applications de ces principes; applications rencontrées dans la vie de tous les jours. Il s'agit d'abord des joints des rails de chemin de fer ou des ponts routiers . Ensuite, des systèmes «bilame», utilisés par exemple dans les thermostats . Enfin, l'application des bandes de roulement sur les roues des trains ou encore l'insertion des axes par refroidissement.
11 juin vers 14 h. 15 Le spectre électromagnétique Une première expérience permet de définir les limites de l'ultraviolet et de l' infrarouge. ' Différentes propriétés des ondes électromagnétiques sont ensuite abordées, soit par des expériences, soit dans des applications. Pour ces dernières on peut citer : le radiotélescope, les fibres optiques, les rayons X en médecine, etc.
• Promotion
A vous la chanson ! par Bertrand Jayet
«Octo-Puce» Une occasion unique: ~*
- d'acquérir des notions élémentaires sur les composantes et le fonctionnement des micro-ordinateurs; - de reconnaître les différents types de micro-ordinateurs utilisés couramment; . - de connaître les possibilités et les limites des micro-ordinateurs; - de mieux connaître les différentes formes d'enseignement assisté par ordinateur et leur insertion dans les
~ ~
programmes et des informations sim. pies; - d'évaluer les effets de la micro. informatique dans plusieurs sphères d'activité quotidienne. Cela grâce à un cours télévisé, diffusé à la Télévision romande à partir du 14 avril 85: dimanche matin à 11 heures mardi à 12 heures (rediffusion) jeudi à 16 heures (rediffusion) samedi à 10 h. 30 (rediffusion) Pour de plus amples informations sur le contenu de ce cours, vous pouvez vous adresser à:
..
.. . .ô:::J
.
~ W
r-
1.. .. .., .
_ -)
Télévision suisse romande Case postale 234
tm:I
processus d'enseignement et d'ap-
--
-~
prentissage; ...... Il ......................... «Octo-P~ce» - d'apprendre à faire fonctionner un 1211 Geneve 8 micro-ordinateur: charger et faire ~, et par téléphone fonctionner ~n I?rogramme simPl~efL't. . »» »»,~~-:.:~., ~ au 022/293333 mettre en memOIre et retrouver des *'OC» » » »~~~~»»» :~ » » ;... . ,.1 , - - » » » » » )l'.. )l'.. :--. .. t~.~.:-:--->>> ~:«-. \ (- demander Mme Jacqueline
«"\
«
tOC
oC«««c~~h'd#..(.:'»":;.« ~«->.
Radio éducative Introduction à la vie civique pour les 9-11 ans 1er avril
d~uguste,
2e épisode et fin Auguste est un mille-pattes heureux, il a résolu ses problèmes internes. On se souvient en effet que l'anneau N° 7 avait revendiqué la pose chez lui et chez ses copains d'une TV. Il avait aussi obtenu le droit à l'information. Mais la vie ne s'est pas ~rrêtée là pour Auguste. Il devra faire face à d'autres problèmes et l'anneau No 7, lui, a de la suite dans les idées. Il conteste maintenant le droit à la tête de décider toute seule. Il veut lui aussi avoir son mot à dire dans le petit monde des mille-pattes.
,
"Kocher (interne 2511)
---
Afin de proposer aux enfants un grand nombre de chansons et d'accompagnements orchestraux, nous avons supprimé la traditionnelle « partie étude » dans les émissions du trimestre. Qu'en pensez-vous? Merci de nous le faire savoir! Vous pouvez, entre autres, obtenir gracieusement les dossiers complémentaires comprenant les partitions des
Mercredi 29 mai (6 à 10 ans) Il était une fois, à lafoire de St-Léon, un oiseau zozo qui vous faisait jouer, chanter, danser dans le brouillard ... et caetera ... et caetera, par Jean Nat y Boyer Chansons présentées au cours de l'émission: 1. A la foire de St-Léon Livre: La fête aux chansons, p. 32 Disque: Chansons à gestes, 1 Auvidis AV 4252 2. Uoiseau zozo Je suis un oiseau A vec un chapeau Un oiseau zozo Avec un petit pipeau Quand je vole en haut Je vois les ruisseaux Les moulins et les bateaux Et je leur dis « à bientôt »
chansons (mélodies, accords de guitare et paroles) l'adresse suivante : « A VOliS la chanso n ! » Emission de radio éducative Radio Suisse romande « Espace 2 ii CP 233 /211 Genève 8
Merci de joindre à votre envoi une enveloppe (format A 4) dûment remplie et affranchie . Remarque: « La R te aux chanso ns ii, recueil de chanso ns destin é aux élèves de classes /P, 2P et 3P Editions scolaires du canton de Vaud. Disponible à l'o.tlïce des f ournitures scolaires du canton de Vaud.
19*
"Ji
17'lîll:',rb lfJnl
/0 foire de st Lé - 017,)0/ o·che.lé un p'ltldo/-
ilE
.J<JL.DO
JOL
lA
J l 1 J J J l 1Jt
ron . A RE
/0 .
la
ron . Je
VOIS
lU
och'll. unp'/,)'doi. la
IMi
7
Jouer du cIoI·- mn,
rc:n . (Jl1sJrumtnlal _ _ _
0
SOL
J 11;
I~;'tllil 81
n 1 FJ ; J 1
;
foire deY Lé -on, ;/
I~ J t 11 \.4
(Publié avec l'aimable autorisation des Editions musicales Auvidis.)
Disque: Chansons à gestes, 2-Auvidis AV 4260 3. Brouillard Livre: Fête aux chansons, p. 92 Disque: Nathalie Boyer « Berceuses et chansons douces » Unidisc 30 1499 4. Il était une fois ... et caetera Livre: Fête aux chansons, p. 8 Disque : Chants et rythmes lI-Colin, Bourrelier-V 3112 5. Il nous fait jouer, chanter, danser: Livre: Fête aux chansons, p. 30 Disque: Chansons à gestes, 3-Auvidis AV 4264
Ji A
tI
1
RE
J] 1111 Î 1\ 1/0
jouer du doi-
ni; ~I
+ gags .sonore.s
~Vv.s _ _
A IJ ------------------------------------
l,
1
JidJ I~o Qj 1~ n 17] ni
- ) Ve·né'l don-ser, v~.jez don.str, fi-les el.9Or-çcnJlour~ .JOL.-J-~o 1-4- SOI.. _ /{~ SOL
~JWltt[NûIÜÛIH na!
mon:J~y'e.I7~&don.str.fl/es
efgOf'Çt)nslour-nez.!
• Vendredi 3 mai (10 à 16 ans) Maxime Piolot C'est en 1976 que Maxime Piolot a commencé à chanter sur scène, au Festival de Spa où il a remporté le prix du public. Aujourd'hui, on perçoit combien Maxime a cheminé, fidèle à sa recherche d'homme et d'artiste. Il se sent proche des trouvères, il est de leur lignée ... : allant de lieu en lieu, il chante ... partout... et il chante beaucoup L.. Dans une même journée, surtout s'il se trouve dans une école, souvent plusieurs animations s'enchaînent; il préfère les petits groupes d'enfants permettant que s'établisse un contact humain profond. Alors, Maxime présente ses chansons et les chante; puis il les apprend aux enfants ou adolescents qui, touchés par sa générosité et le côté positif de ses textes, s'enthousiasment et chantent avec un plaisir évident. Mais Maxime ne va pas seulement dans les écoles, avec cet état d'esprit... Soucieux d'aller vers les gens et d'être utile, il chante aussi dans les hôpitaux, les maisons de retraite, les prisons, les villages de vacances, les centres aérés, les usines. Là où il passe, par la chanson, par le théâtre aussi, il donne aux êtres la possibilité d'exprimer ce qu'ils portent au-dedans d'eux-mêmes, et d'exercer leur imagination. Ce travail, qui prend une grande place dans l'exercice de son métier, lui paraît très important. Contacts pour les spectacles et animations scolaires: 1. Maxime Piolot, 12, rue Neuve, F-60570 Laboissière-en-Thelle (France) 2. Jean-François Pellaton, rue Nugerol l, 2525 Le Landeron (NE) 038/256501, chef du chœur d'enfants du Landeron
2.
Il était un géant, Qui était très savant, Mais qui n'aimait pas bien ~école des géants Où l'on n'apprenait pas A regarder en bas. Il étai t un géant Trop fort, trop bien portant Qui aurait tant aimé Se sentir fatigué Perdre un peu l'appétit Pour qu'on le garde au lit.
3.
Il était un géant Qui rêvait d'être enfant Et d'aller dans la vie, Innocent et petit, Avec de vrais amis, Presque aussi grands que lui. Alors il décida De faire la courte échelle A tous ceux qui voulaient Que la vie soit plus belle; Il ne fut plus le seul A marcher près du ciel.
Le géant
La pleine lune
Paroles de Maxime Piolot Musique de Jean-Pierre Castelain
Paroles de Maxime Piolot Musique de Jean-Luc Rondreux
(Publié avec l'aimable autorisation de Maxime Piolot) Discographie: Paroles et musique n" 23 - RCA - PL 37542
(Publié avec l'aimable autorisation de Maxime Piolot) Discographie: Paroles et musique n" 23 - RCA - PL 37542
1. Il était un géant, Qui se trouvait trop grand, Il n'avait pas d'ami, Il faisait trop de bruit Il n'avait pas d'amours Son cœur pesait trop lourd. Il était un géant Qui n'était pas méchant Mais qui faisait très peur Aux petits promeneurs Alors il se cachait Parfois même il pleurait. Refrain:
Pauvre géant, qui s'ennuyait Là-haut dans les nuages Trop loin des fourmis Et des blancs coquillages, Pauvre géant, qui avait beau courber le dos Il ne voyait pas couler l'eau ...
1. Le livre du poète est tombé Des mains de la fillette étonnée Mais ses lèvres répètent obstinées Ces mots qu'un fou sans tête a rêvés. Refrain:
La pleine lune a les yeux rouges Regarde-la La pleine lune a les yeux rouges C'est à cause de toi La pleine lune retient ses larmes Par-dessus les toits. 2. La fillette inquiète se souvient Qu'hier soir à la fête du vin Elle a dit en cachette pour jouer Que la lune était bête à pleurer. 3.
Il disait le poète lointain Que la joie se reflète et revient Mais nos peines muettes ici-bas Font pleurer les planètes parfois.
Les enfants timides Paroles de Maxime Piolot Musique de Jean-Pierre Castelain (Inédit -
Publié avec l'aimable autorisation de Maxime Pi%t)
1.
Les enfants timides Ont peur de déranger Ils croient ne pas savoir Ils n'osent pas montrer Plus loin que le regard Refrain:
Le poisson dans la mer On ne voit pas qu'il pleure Le rosier en hiver On ne voit pas sa fleur Et je sais des lumières A qui le jour fait peur 2. Les enfants timides On voudrait les aider A sortir du silence On voudrait leur prêter Comme un peu d'insolence 3. Les enfants timides Ont de belles paroles Qui sommeillent en eux Et qui parfois s'envolent Au moment de l'adieu 4. Les enfants timides Il faut les écouter Dans le moindre soupir Ils cachent des secrets Des pensées d'avenir
Où l'on va quand on n'est plus là (J'écoute les étoiles)
Paroles de Maxime Piolot Musique de Jean-Pierre Castelain (Inédit -
Publié avec l'aimable autorisation de Maxime Piolot)
1. Que fais-tu tout seul Au clair de lune? Guettes-tu les hiboux Les animaux nocturnes? Refrain:
Non j'écoute les étoiles Trop d'amour oIes fait parler Elles me disent d'où l'on vient Où l'on va Quand on n'est plus là Où l'on va quand on n'est plus là (bis) 2.
Elles sont des milliards Dans le ciel noir C'est beaucoup, tu sais Pour ton pauvre regard 3. Serais-tu poète Ou magicien? Est-ce au firmament Que tu lis ton destin? 4. Laisse là tes rêves Qui m'ennuient? Il y a mieux à faire Que d'espionner la nuit
Vendredi 14 juin (10 à 16 ans)
2.
Le parapluie
Chemin faisant, que ce fut tendre D'ouïr à deux le chant joli Que l'eau du ciel faisait entendre Sur le toit de mon parapluie! J'aurais voulu, comme au déluge, Voir sans arrêt tomber la pluie, Pour la garder, sous mon refuge, Quarante jours, quarante nuits.
de Georges Brassens
En hommage à Georges Brassens, nous vous proposions, en octobre 1984, de chanter huit de ses chansons éditées dans les recueils «Chanson vole». Les deux premiers chœurs qui se sont annoncés pour tenter l'expérience ont donc été invités au studio de Lausanne pour enregistrer leurs productions avec l'accompagnement orchestral du Groupe instrumental romand. 1. Le petit chœur L'Echo des Bois, du Mont-sur-Lausanne (dir. Eric Chollet) vous présentera: Chanson pour l'Auvergnat Pauvre Martin Le petit joueur de flûteau Les sabots d'Hélène 2. Le petit chœur L'Alouette, de St-Léonard (dir. Algée Rey) vous présentera: Gastibelza Ballade des dames du temps jadis La cane de Jeanne Le parapluie (inédit dans les recueils« Chanson vole») Remarque: Les auditeurs auront également l 'occasion de chanter « Le parapluie» avec le Groupe instrumental romand, car nous dU~ fuserons en .//n d'émission l'accompagnement orchestral (avec mélodie) de ceffe chanson .
1.
Il pleuvait fort sur la grand-route, Ell' cheminait sans parapluie. J'en avais un, volé, sans doute, Le matin même à un ami; Courant alors à sa rescousse, Je lui propose un peu d'abri. En séchant l'eau de sa frimousse D'un air très dou
,
ell' m'a dit «oui ».
3.
Mais bêtement, même en orage, Les routes vont vers des pays; Bientôt le sien fit un barrage A l'horizon de ma folie! II a fallu qu'elle me quitte, Après m'avoir dit grand merci, Et je l'ai vu', toute petite, Partir gaiement vers mon oubli ... Refrain:
Un p'tit coin d' parapluie, Contre un coin d' paradis, Elle avait quelque chos' d'un ange, Un p'tit coin d' parapluie, Je n' perdais pas au chang', pardi! (Editions Musicales Intersong. TUffi-Paris.) Partitions: J. La partition avec accompagnement de piano est disponible dans le co III m erce. Un livre à recoll1manderà tous les amis de Brassens :« Poèmes et chansons» de Geolges BIGssens, Editions Musicales 57. . Ce Ilvl e de 630 pages, en vente enliblallle, contient la totalitedes chal/sons de B/Qssem (paltltlons et textes).
~~~~~~,~ ~",,~~~~~~ ~ ~-~~,~~~~~~~~~~~
Initiation à la poésie 17 avril
Evénements d'hier et d'aujourd'hui et actualité
Actualité! Anthologie
A sa manière, Gilbert Jolliet fera revivre le général sans s'attarder sur les étapes de sa carrière militaire. Il s'intéressera à l'homme dont le souvenir a marqué les mémoires. Un exemple, celui du vénérable M. Kocher, de Mézières, qui nourrissait un tel culte à l'égard du général qu'il avait dressé un autel entouré des drapeaux de toute la Suisse dans son jardin. Pour la deuxième émission, halte dans le chef-lieu fribourgeois et sa célèbre Cathédrale Saint-Nicolas. Haut lieu du catholicisme, Université, Fribourg n'est pas seulement une ville bilingue puisqu'on y parle en basse ville un langage spécifique, le «bolze ». I..:esprit «bolze» sera l'une des curiosités que Gilbert Jolliet s'attachera à vous faire connaître. Nous profiterons de cette escale pour dresser le portrait d'un chantre illustre, l'abbé Bovet, auteur de nombreux chants dont «Le vieux chalet». qu'il n'est plus besoin de présenter.
Derborence, œuvre maudite pour les cinéastes? C'est un Suisse romand, Francis Reusser, qui aura fait démentir la légende. A l'occasion de la sortie du film sur les écrans de chez nous~ la Radio éducative rediffuse deux émissions consacrées à ce thème et à Ramuz. Damien Ruedin porte d'abord son regard sur les coulisses du tournage. Cette rencontre avec les artisans du film, électricien, opérateur, ingénieur du son, décorateur, sans oublier la jeune première, Isabel Otero, est indirectement une première approche de Ramuz. Dans la deuxième émission, la personnalité de Ramuz émerge peu à peu de la conjugaison de la musique, L'Histoire du Soldat, et des témoignages des hommes de son temps. Un portrait très présent qui donne à comprendre l'homme et l'artiste.
26 avril, la mai
Derborence, 19 avril, 17 mai, 7 juin Où te caches-tu et Ramuz vu poète? Je suis là, dit l'enfant, Il y a tout juste et je joue avec les mots ;jejongle avec par les témoins vinQ:t-cinq ans (c'était le les rimes; j'assoCie en liberté les sons 7 avrit"1960) s'éteignait le général et les images. Mon guide s'appelle de son temps Guisan. Philippe Morand et il m'entraîne pour la troisième fois dans le 'dédale surprenant d'un monde magique: la poésie. Alors, tu viens?
Initiation musicale 24 mai
Kurt Weill et B. Brecht La réputation de Bertold Brecht masque souvent le travail créatif de celui qui fut son complice: Kurt Weill. Chansons, musiques de films, opéras, autant d'œuvres artistiques qui ont donné aux œuvres épiques du grand dramaturge allemand un écho sonore unique dans le répertoire contemporain comme vous le montrera Claude Stadelmann.
du film Derborence
(Voir aussi le programme de la Télévision éducative)
Après la télévision, la radio poursuit l'opération rencontre
A la découverte... ... d'autres images Ecouter, regarder d'un autre œil l'environnement quotidien, apprendre la technique du reportage autant que la préparation d'un synopsis d'émission, tel est l'objectif de la série «A la découverte ... » Découvrir micro en main sa rue, sa ville, son quartier est une chose. Pratiquer le même exercice dans une autre langue tient du défi. C'est ce défi que nous vous proposons de relever, vous qui apprenez l'allemand depuis deux ou trois ans déjà, en collaboration avec la Fondation pour la collaboration coafédérale «Echange de jeunes en Suisse». Les classes intéressées par la réalisation d'un reportage bilingue, chez eux et quelque part en Suisse alémanique peuvent nous écrire à:
Radio éducative A la découverte... d'autres images Maison de la Radio 1211 Genève 8
Conte
au merveilleux. Pas étonnant. En véritable conteur, Pierre Gripari improvise ses contes avec les gosses et les habitants de son quartier, à Paris, quelque part du côté de la rue Mouffetard et de la rue Broca. Si vous tentiez l'aventure dans votre classe, vous auriez aussi tout loisir de bouleverser l'ordre du merveilleux et d'inventer qui sait, des contes à la mode d'au~ jourd'hui. Sourire oblige ...
Initiation musicale 15 mai
Les écoliers de 1945 étaient bien chanceux. Ils n'avaient nul besoin d'Année européenne de la musique pour «s'offrir» en direct Ansermet commentant 1'« Apprenti sorcier» joué par l'Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire de Paris. Pas moins. Ce document d'archive est un véritable régal et une initiation musicale comme on ne peut plus en faire aujourd'hui. Un rendez-vous à ne manquer sous aucun prétexte d'autant plus que l'histoire de cet apprenti sorcier, incapable de remettre à l'ordre un balai pris de folie, enchantera les enfants.
22 mai
La sorcière du placard aux balais par Pierre Gripari Eh oui! Chez Pierre Gripari, même les sorcières ne sont plus ce qu'elles étaient. Plus de forêts ténébreuses, ni de serpents, ni de cornues où glougloutent des poisons visqueux, c'est le quotidien qui sert de toile de fond Editeur responsable: Radio-Télévision éducative romande Sous-commission de production. Mars 1985 Conception graphique et illustrations: Philippe Aquoise, Lausanne.
Les tableaux à histoires 8 mai
Une image, ça se voit, ça se re2:arde, ça se sent, ça s'interprète ~ça permet aussi de raconter ou de se raconter des histoires. La boule de verre de A. Giacometti et les histoires qu'elle vous a inspirées sont un excellent moyen de mieux comprendre qu'une image se lit aussi comme un livre. Un apprentissage indispensable dans un monde envahi par la publicité et les Iflédias.
Chemin faisant Walt Disney et Cendrillon 5juin Mieux connaître la trajectoire de Walt Disney pour mieux comprendre la fascination des enfants pour ses productions! Voilà le pourquoi de la série de Thomas Serlilanges qui s'adresse plutôt aux enseignants mais fera certainement le bonheur des enfants. Ils retrouveront avec plaisir dans cette émission Cendrillon, leur préférée, Alice, toujours au Pays des Merveilles et Peter Pan, le petit garçon qui refuse de grandir. Ils fredonneront aussi avec Davy Crockett la célèbre ballade des trappeurs intrépides!
Spécial fantastique 19 et 21 juin
Fantastiques! Vous êtes
f~nta~~iqu~s,
t~us,
vou.s. maItres et eleves qUi avez partICIpe au concours lancé par la Radio éducative en septembre dernier. Une fois de plus vous ne nous avez pas fait languir. Quelle angoisse! Quel suspense! Comme des professionnels ... Deux cents dix travaux nous sont parvenus. Un record qui nous ravit et démontre, si besoin était, que les jeunes débordent d'imagination et qu'ils ne rechignent pas à la tâche quand l'école les aide à faire lever la pâte. Quant au gâteau, la mise en ondes de vos créations, la Radio éducative s'en charge. Un jury de professionnels de la radio et de l'écriture prendra, fin mars, le relais du comité de lecture, et désignera les lauréats de ce Spécial fantastique. Deux dates à retenir: mercredi et vendredi 19 et 21 juin à 9 h. 30 sur Espace 2, place aux vainqueurs.
"'0_.__R. ~di .. Ed · Rolllande.@_.J>.. : ::::::::::::.R!S~ .. _~..1€1--".~ .~~~9.~.". _...~ç~~e Programme d'avril à juin 1985
Avril
Juin
La Icchniquede lacémmiqueetla reche rche d'cmaux natu rels.
Coup d'œil sur: « Des images du froid » (3) « Du fri go à gogo». Des expé riences au tou r du réfrigémteurfamilial et des schémas pour en parler.
M,mlil6 Documentaire: cc La terre. la mélamorphose)). LUI/di 22 el mardi 2J
TV·Scopie: «S ur 1. tou rnage de Derbor.nce ». Un rcportages url elournaged u film «Dcrbo·
rcncc)). réalisé par Fra ncis Rcusscrd'après le roman de Ramuz. Mardi JIJ Documentaire: « Phys ique appliguée». La dilatation des métaux. Quelques efTets de la dil atati o n des métaux et leu rs applications dans le monde qui nous ento ure. + Tec hn o nas h.
Mai LUI/di 6 el mardi 7 Telactualité: « L'é,'éne ment du mois Il. Le choix du thème est fait en fonctiondel'actua· lité de la semaine précédente.
Mardi 14 Document: En complément <le l'é mi ss ion Telactualitédes6ct 7 mai, un film extrai t des archives de la RTSR.
LUlldi 2IJ el mardi 21 Coup d'œil s ur... : « Des images du froid» (2) «Lesglaçons degrand·papa ». l:enquêteetle montage audio-visuel su r le thème des glaciè· res de la val lée de Joux.
Mardi 28
JI .•..••
Journée des écoles au meeting aérien international de Bex 29 août - 1er septembre 1985
,. 1
•• , • • , , • • , - - - - , • , • • , • - - - • "
LUI/di J el mardi 4
Mardi Il Documentaire: «Physique appliquée». Le spectre électromagnétique. Et ude de plusieurs so rt es de rayonne ments électromag nétiques et ce rt aines de leurs applications. + Techno Oash.
LUI/di 17 et mardi 18 Telactualité: «La course autour de chez soi
~5:;. ~~é:~,n;~~il~Sné~~sa~e~~;t~~~~i'e~~ ~~~:~~:.r
Le meeting 'aérien international de Bex se déroulera cette année du 29 août au 1er septembre, Comme à l'accoutumée, le jeudi 29 sera consacré aux enfants des écoles valaisannes et vaudoises, en particulier ceux du Chablais,
Mardi 25 Document: En complément à l'é mission Telactualité des 17 et 18 juin, une sélection d'autres repo rt ages de la«Cou rse»ouun film extrait des archi ves de la RTSR.
Puur plus de précisiolls sur les titres elles CU I/leI/US des émissiol/s, se réjëreraux pruwommes radio el TV publiés dal/s les quolidiel/s el hebdomadaires (Radio TV; je vois lUut). El dal/s: {( Radio-Télévisioll éducative 85 - h!f'ormalioll 2)). Les persolllles qui Ile recevraielll pas celle feuille d 'illformatioll peuvelll l'oblellir à:
Bien qu'étant encore en pleines vacances, les élèves valaisans sont invités à participer à titre individuel à cette journée , et à profiter des multiples centres d'intérêt mis sur pied à leur intention.
Télévision éducative - Télévision Suisse romande, case postale 234, 1211 GENÈVE 8.
Documentaire: « Le cor des Alpes ». l:in str u· ment et ses particularités traités dans un film du TVCO de Genève.
Il appartiendra aux maîtresses et maîtres de classe qui le jugeront utile de donner connaissance à leurs élèves de cette possibilité au moment opportun .
Démonstrations aériennes
M - Mercredi 9 h. 30 (6- 10 ans) Espace 2 V - Velldredi 9 h. JO (10·1 6 ans) Espace 2 M17
V 19
M24 V 26
Initiation à lapoésie Les mots magiques (III) Evénements d'hier et d'alliourd' hui Su r,l es traces du gé néral Guisan Folklore, rondes et comptines Actualité Derborence. rérniniscences d'un tournage
V 3 M 8 V 10
MIS
V 17
«Idées et Rencontres » Vécole et vous Un rend ez-vous que vous propose Vera Flo· rence chaque lundi de 11 heures à Il h.30 envi-
ron.
M 1 Environnement
M22 V24
M29 V 31
All o l'anneau! Mille-pattesetcompa· gnie ... (s uiteetfin ) A vous la chanson! Le géa nt , par Maxime Piolot Les tableaux à histoires Ce que la bulle de ve rre de A. Giacometti vous a raconté Anthologie Ramuz parles témoins de so n te mps Initiation musicale «l:Apprenti Sorcier>' commenté par E.A nsermet Actualité Un pays 26 capitales: Fribourg Conte La sorcière du placard aux balais, par P. Gripari Init ia tion musicale Kurt Weill et B. Brecht A vous la chanson! A la foire de St-Léo n, par Jean Nat y Boyer A la découverte ... ... des gens qui travaillent pour notre plais ir àCrans·Montana
PhilippeAquoisc,Lausanne
M S
V 7 Ml2 V 14
M 19
V 21 M26 V 28
Chemin faisant le monde de Walt Disney (suite) Evénements d'hier et d'alliourd'hui Sur les traces de l'abbé Bovet Initiationmusicale A vous la chanson! le pa raplu ie, par Georges Brassens Spécial fantastiqu e Résultats e t lauréats Spécial fantastique Résultats et lauréats Mapremièrechanson Initiation musicale Argentine et tango
1
Avions à hélice, jets, hélicoptères, modèles réduits, ailes delta, planeurs, parachutistes, ainsi que la fameuse «Patrouille suisse » formeront un ballet aérien quasi continu , Quelques «premières» sensationnelles, qu'il n'est pas possible de dévoiler tant que les contrats ne sont pas signés, donneront un panache tout particulier au programme,
Un
commentaire par hautparleur sera assuré tout au long de la journée ,
Stands à thème Les élèves intéressés trouveront dans les trois stands suivants des interlocuteurs bien disposés et compétents: «Les professions de l'ain), «aviation militaire et instruction aéronautique préparatoire», «modélisme» ,
Exposition statique Cheminement libre parmi quelques avions anciens, planeurs, modèle réduits et ULM , Les membres des groupements concernés en assurent la surveillance et répondent aux question.
Concours de dessin Visites guidées Le parc des avions sera accessible aux élèves, par groupes de douze à quinze, sous la conduite de guides-pilotes. En-dehors de ce jeudi, le public n'y aura pas accès ,
Remise des prix aux 60 meilleurs dessinateurs ayant pris part au concours: 20 heures de vol à partager , modèles réduits à construire, etc, Le règlement du concours et la liste des prix figure ci -dessous .
En raison des exigences du programfT,le d'entraînement des équipages invités, les démonstrations en vol se feront entre 10 h 30 et 15 h 30, sans qu'il soit possible de donner d'autres précisions avant cette journée. La participation est gratuite , Les élèves valaisans qui désireraient assister aux visites guidées s'inscriront sur place à la table d'accueil, en vue d'être associés à un groupe déjà formé . Bien entendu, le corps ' enseignant est également le bienvenu . Pour les classes vaudoises, un cahier d'une trentaine de pages a été rédigé à l'intention des maîtres et maîtresses. Il sera remis sur place à ceux et celles qui en feront la demande avant le 20 août. ·
Pierre Vuille Maître au Collège d'Aigle
•
Concours de dessin «Entre ciel et terre})
Règlement et instructions 1. L'objet du concours est la ré alisation d'un dessin sur le thème «Entre ciel et terre)). Entre dans ce thème toute réalisation ayant un rapport évident avec l'aviation dans ses multiples branches : vol libre, vol à voile , à moteur, aérostation, aviation commerciale ou militaire conquête de l'espace , parachu~ tisme, etc ... 2. Il y a 3 catégories: a) élèves de 10 et 11 ans (ou plus jeunes) = nés à partir de 1974; b) élèves de 12 et 13 ans = nés en 1972 et 1973; c) élèves de 14 et 15 ans (ou plus âgés) = nés avant 1972. Une vingtaine de prix sous forme de bons de vol ou de boîtes de construction de modèles réduits récompenseront les meilleurs artistes dans chaque catégorie. (Détail ci-dessous .) 3. La dimension du dessin sera comprise entre 21 x 29 cm (A4) et 30 x 40 cm (A3) . Le choix du papier est libre. 4. Les moyens graphiques sont laissés à la fantaisie de l'artiste: aquarelle , gouache , crayons de couleur, néocolor, crayon , encre de Chine, collages, etc . Les travaux peuvent être exécutés en classe ou à la maison . 5. Le jugement des travaux sera fondé sur les critères d'originalité dans le choix du sujet, de sens artistique et d'impression générale. 6. Date de remise des travaux: les travaux seront apportés par leurs auteurs à la journée des écoles, le jeudi 29 août 1985, et
remis au chef du jury avant 13 h 30 à l'emplacement signalé à cet effet.
Chaque dessin portera au verso les indications suivantes:
•••••
Nom, prénom de l'artiste date de naissance, adress~ exacte , numéro de téléphone s'il existe, nom du maître ou de la maîtresse, adresse de l'école . Les dessinateurs empêchés de participer à la journée des écoles pourront envoyer leur réalisation par la poste à M. Pierre Vuil!e, Rue du Rhône 1, 1860 Aigle Jusqu 'au 26 août. Passé cette date, ils s'arrangeront pour le faire acheminer directement sur place par un moyen ou un autre. 7. Le jugement des travaux se fera le jeudi 29 août, de 14 h 00 à 15 h 30. Le jury sera composé de personnalités du monde artistique et aéronautique, différentes pour chaque catégorie. Les décisions du jury sont sans appel. Aucune correspondance ne sera échangée au sujet du concours . 8. Proclamation des résultats: les lauréats seront avertis à 15 h 30 par haut-parleur. Ils se présenteront au bureau «C)) pour toucher leur prix . Les prix nonretirés seront adressés par poste à leurs ayant-droit. 9 . Tous les travaux seront exposés pendant la durée du Meeting , les 31 août et 1er septembre. Ils resteront ensuite en possession de l'organisateur du concours, le Groupe de vol à Moteur du Chablais . Toutefois,
les artistes qui désireraient conserver leur œuvre après le meeting voudront bien le mentionner au verso de leur dessin . A cette condition, il leur sera retourné dans le courant de septembre . 10. Si la journée des écoles devait être annulée, en raison d'un trop mauvais temps par exemple, les travaux du concours seraient alors jugés vendredi 30 août. Dans ce cas , ils devraient être amenés pour ce jour au plus tard à midi à la buvette de l'aérodrome, ou expédiés à M. Pierre Vuille, Rue du Rhône 1, 1860 Aigle. (Le numéro de téléphone 180 renseigne jeudi matin dès 7 heures .)
Liste des prix pour chaque catégorie 1er prix: vol d'initiation de 30 minutes en double commande avec un piper L4 , en compagnie d'un moniteur qualifié.
? et Je prix: à choix: vol d'acrobatie; vol sur les Alpes; vol Bex-Genève-Bex, avec visite des installations du contrôle aérien de Genève (tour de contrôle).
e se
4 et prix : un modèle réduit d'avion ou planeur à construire et faire voler, offert par la maison Fulgurex à Lausanne . (Je au 17e prix:
1 bon pour un baptême de l'air à Bex (15 minutes) , valable une année .
1ee au 2rY prix: boîtes de construction de modèles réduits , offertes par la maison Fulgurex à Lausanne . Tous les travaux non-primés participeront à un tirage au sort pour l'attribution de 2 bons de vol Genève-Zurich et retour, offerts par la compagnie SWISSAIR .
y
1
Le CC informe
GRAP: le point Au mois de mars 84 , la CS1 (Conférence des chefs de service de l'enseignement primaire) sur demande de la SPR mettait sur pied le GRAP (Groupe romand d 'aménagement des programmes) avec mandat de procéder à une réécriture des plans d 'étude en y dégageant les notions essentielles . En mars 85 , le GRAP dépose un premier projet qui est présenté sous la forme d'un tableau synoptique . Un extrait de ce projet a déjà paru dans l'Ecole valaisanne de février . Le CC en a pris connaissance et a émis des remarques positives à son sujet. Il tient à remercier vivement tous les enseignants qui ont participé à son élaboration . La prochaine étape verra une refonte du travail du GRAP compte tenu des remarques adressées par les différents organes consultés. Le rapport définitif sera déposé devant la CS 1.
Rencontre Association de parents - SPVal Le thème choisit pour cette rencontre est la verticalité à l'école obligatoire . Il apparaît qu'un des problèmes lié à la verticalité soit l'évaluation, problème qui a été discuté sous différents aspects (formes d 'évaluation, nécessité , liens entre l'évaluation et la structure scolaire ... ). Par manque de temps, d'autres sujets (démarches pédagogiques , structures, programmes , carnets scolaires) n'ont pas été
abordés. Il est décidé que la Fédération des associations de parents et la SPVal fassent séparément une étude structurée sur le thème travaillé au cours de cette séance commune. La synthèse se fera à la fin du mois de mai. Il est aussi prévu d'inviter les enseignants du CO pour continuer le travail.
Loi scolaire Monsieur Jean-Pierre Rausis en séance du 22 avril nous a fait part du désir du DIP de présenter la nouvelle loi scolaire non pas sous une forme globale, mais d 'une façon fragmentée pour éviter de donner force aux additions d'oppositions négati" ves qui auraient fait échouer devant le peuple le projet de loi de novembre 83 . Par décret du Grand Conseil, le premier avant-projet traitera du Cycle d'orientation . Deux autres décrets y seront certainement adjoints, l'un traitant des bourses et prêts d'honneur et l'autre de l'enseignement spécialisé .
Ecole et informatique Le CC décide de mettre sur pied une commission ({Ecole et informatique» groupe de travail non permanent placé sous sa responsabilité . Pour plus de précision , veuillez consulter l'article de Claude Vouilloz publié dans ce numéro sous le titre ({ Ecole et informatique» .
François-Louis Oécaillet
51
Rencontre intercycles d'athlétisme La rencontre intercycles d'athlétisme a toujours connu beaucoup de succès ces dernières années . En effet , plus de 20 équipes se Sont rencontrées pendant un après-midi . Aussi le comité de l'AEPSVR se réjouit-il de remettre sur pied cette manifestation .
A. Athlétisme
Renseignements Lieu: Ancien Stand à Sion . Date: mercredi 5 juin 1985 de 13 h 30 à 17 h 00 . Inscriptions: jusqu 'au 1er juin 1985 à l'aide du talon-réponse cijoint .
Nombre d'équipes: chaque établissement peut envoyer deux équipes .
Age: voir information pour la journée suisse .
1. Programme du concours Cat A 1.80 m 2. Saut hauteur 3 . Lancer poids Filles 3 kg Garçons 4 kg 4. Relai 5 x 80 m 5. Cross , estafette 5 x 1000 m
Cat B
Accompagnants: chaque école accompagnera ses élèves par 2 maîtres dont un collaborera au déroulement du concours .
Frais: les frais de déplacement sont pris en charge par l'AEPSVR (billet collectif CFF) . Règlement du concours: voir information pour la journée suis-
1. 2. 3. 4. 5.
80 m Saut longueur Lancer balle 200 g Relai 5 x 80 m Cross, estafette 5 x 1000 m
se
2. Règlement du concours
Les équipes gagnantes dans les catégories A 1/81/82/83 pourront participer à la journée suisse du sport scolaire du 18 septembre à Zoug/8aar
Formation des équipes
Journée suisse du sport scolaire en athlétisme: voir page suivante .
••••••••••
TALON - RÉPONSE
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
LeCO, __________________________________________ participe à la rencontre d 'athlétisme du 5 juin à II· inscrit: une équipe de garçons en catégorie A une équipe de filles en catégorie A une équipe mixte en catégorie A
Sion . 0 0 0
catégorie B 0 catégorie B 0 catégorie B 0
Cat A : équipes de sport scolaire (équipes qui appartiennent à la même école)
Cat A 1: 6 garçons Cat A2: 6 filles Cat A3: 3 filles et 3 garçons Cat 8: équipes d 'une même classe d 'EP Cat 81 : 6 garçons Cat 82 : 6 filles Cat 83 : 3 filles et 3 garçons
Responsable de l'équipe:
3. Prescriptions techniques
Nom :____________________________________________-
Course vitesse , saut hauteur, saut longueur sur piste cendrée (rouge) . Les chaussures à pointes courtes , 6 mm, sont autorisées.
Prénom: __________________________________________Adresse :_________________________________________ _______________________________Téléphone :________-
Cross sur chemins et champs .
Délai: 1er juin 1985. A envoyer à: Conrad Zengaffinen , Les Combes, 1961 Grimisuat, téléphone 027 / 38 18 24
Les cinq disciplines doivent être faites par les 6 mêmes élèves . Aucun changement n'est autorisé .
Barême: les 5 meilleurs résultats sont pris en considération (le plus mauvais résultat en points de chaque discipline est biffé). Le barême J+S (14-20 ans) est appliqué. Le classement final et le rang de l'équipe sont déterminés par le total des points obtenus dans les cinq disciplines .
1. Course 80 m : 1 essai , disqualification après le 2e faux départ .
2. a) Saut hauteur: 6 essais. 3 essais maximum par hauteur. Faire tomber la latte 3 fois de suite = élimination. Il n'est pas permis de placer la latte plus bas après le début de l'épreuve . 2. b) Saut longueur: 3 essais. Installation, mesurations selon les barêmes J+S. Zone d'appel : 80 cm.
3. a) Jet du poids :3 essais consécutifs (filles 3 kg , garçons 4 kg). 3. b) Lancer de la balle: 3 essais consécutifs (balles de 200 g) . 4. Relais 5 x 80 m: 1 essai, avec témoin . 1 équipe de 5 élèves. Pas de zone de remise de témoin. Départ à la ligne , 1re marque après 75 m. Barême :Ie total des points obtenus est multiplié par 5 . Pour les équipes mixtes, le barême garçons est appliqué .
5. Cross, estafette : 5 x 1000 m Barême: temps total : 5 = nombre de points pour 1000 m; ces points x 5. Pour les équipes mixtes, le barême filles est appliqué .
Tournoi de football
Tournoi de football intercycles 1985 Le comité de l'AEPSVR se fait un plaisir d 'organiser pour la sixième année consécutive un tournoi de football intercycles. Deux tournois décentralisés se dérouleront dans la partie romande du canton le mercredi 22 mai et un tournoi final verra la participation des meilleures équipes le 5 juin 1985 à Sion .
L'AEPSVR organise cette année le tournoi de football pour les enseignants de tous les degrés à Saint-Maurice.
Renseignements Lieu: Saint-Maurice et Grône
Date
Date: Mercredi 22 mai 1985 dès 13 h 30. Principes:
Samedi 1 juin 1985
Lieu
- Dans chaque centre , 5 équipes au minimum disputeront un tournoi sur un après-midi . Les matchs dureront 2 x 10 minutes et seront arbitrés par les responsables des équipes des CO. - Sur les mêmes principes , un tournoi final réunira le 5 juin les deux meilleures équipes de chaque tounoi décentralisé . - Les matchs se dérouleront sur des demi-terrains avec 7 joueurs et 3 remplaçants seront autorisés .
Terrain de football du Collège de Saint-Maurice (vestiaires et douches à la salle de gymnastique du Collège) .
Horaire De 13 h 30 à 18 heures .
Nombre de joueurs 6 joueurs de champ + 1 gardien . Equipement
Participation :
Maillots uniformes obligatoires + pantoufles de gym ou souliers à multicrampons . .
Deu x équipes par centre seront autorisées . Pourront y participer les jeunes gens nés en 1969/70/71 . Chaque équipe comprendra un contingent de 10 joueurs ; aucun de ces joueurs ne devant faire partie d 'un club. Les pantoufles de gymnastique sont obligatoires.
Temps de jeu A déterminer en fonction du nombre d 'équipes . Arbitrage
Frais : Les frais de déplacement sont pris en charge par l'AEPSVR .
Chaque équipe doit fournir un arbitre qui fonctionnera durant les temps de pause de son équipe .
Convocation: Aucune convocation ne sera envoyée . L'horaire des matchs sera affiché le jour même du tournoi.
Informations complémentaires Téléphone : (026) 4 19 51 Inscription Jusqu 'au vendredi 24 mai 1985 à l'aide du talon-réponse. TALON-RÉPONSE ~
*
fi
~ ~ ~
•
@
*•
~ ~
Inscriptions: A l'aide du talon-réponse ci-joint jusqu 'au samedi 18 mai 1985.
Informations complémentaires: Chanoine Bernasconi , téléphone 025/65 17 32. $
•
à envoyer à: Antoine Maillard Professeur Imm. St-Eusèbe 1937 Orsières
Tournoi de football du samedi 1 juin 1985 Nom de l'équipe: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ Couleur de l'équipement (si possible): _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Responsable de l'équipe: Nom: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _-
• • ••••••••
TALON -RÉPONSE. •
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Tournoi de football intercycles du 22 mai 1985. A envoyer à: Chanoine Franco Bernasconi , Collège de l'Abbaye , 1890 Sait-Maurice .
Dernier déla i: samedi 18 mai 1985 (timbre postal) . LeCO __________________________________________ participe au tournoi de football intel cycles 1985 avec : équipe A CJ
Couleur de l'équipement _ _ _ _ _ _ _ _ __
équipe B CJ
Couleur de l'équipement _ _ _ _ _ _ _ _ __
Responsable de l'équipe : Nom : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ____
Prénom :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _-
Prénom : _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ____
Adresse :_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _-
Adresse: _ _ _ _ _ _ _ _ __ __ _ _ _ _ _ _ _ ____
Téléphone: _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _---
Téléphone : _ _ _ _ _ _ _ _~_ _ _ _ _ _ _ _ _ ____
Une appréciation favorable
Cours pour enseignants des jeux avec le ballon au mini-volleyball
Quelques commissions scolaires ont pri x l'excellente habitude d 'envoyer au Service soussigné les procès-verbau x de leurs délibérations . Nous remercions ces autorités locales de leur initiative et tenons à dire ici à quel point nous l'apprécions . Qu 'il nous soit permis en cette occasion de citer quelques lignes de l'un de ces procèsverbaux, parvenu récemment. Il s'agit de la relation des travau x de la commission scolaire d 'une importante commune du Valais central. ((La commission scolaire a visité toutes les classes des centres de ... , de .. . et çJe .. . Elle a ensuite rencontré l'ensemble des maÎtres, dans le cadre d 'une discussion générale. ))Les commissionnaires ont retiré de cette visite une impression globale tres favorable. Ils ont vu à l 'œuvre des maÎtres animateurs, dynamiques, convaincus et bien préparés, attentifs à leurs éleves, recherchant la meilleure relation. Les éleves, de leur côté, se sont montrés attentifs, disciplinés, souriants, détendus. Les locaux mis à disposition sont appréciés, bien tenus.)) On nous pardonnera de ne pas donner de plus grandes ' précisions sur les centres visités , ceci pour ne pas blesser la modestie des enseignants qui sont l'objet de compliments si flatteurs . A une époque où l'on critique volontier , et parfois à tort , les maîtres et l'école, nous pensons que ce témoignage est un encouragement pour tous les enseignants qui remplissent leur tâche consciencieusement. Service cantonal de l'enseig nement primaire et des écoles normales
L'AEPSVR organise , mercredi 29 mai de 14 à 17 heures , à la salle du CO garçons de Sion , un cours destiné à tous les maîtr,e~ primaires qui cherchent à modifier le comportement de leurs eleves sur l'un ou l'autre des points suivants: -
crainte du ballon; appréciation des trajectoires ; déplacements et placement par rapport au ballon ; la découverte de la frappe de la balle ; initiation à la passe haute à deux mains (mini-volley).
Déla i d 'inscription 24 mai .
•••••
TALON -RÉPONSE • • • • • • • •
Des jeux avec ballon au mini-volleyball A envoyer à :
Pierre Demont Treille 63 1950 SION Téléphone (027) 2338 18
Nom: ______________________________________________ Prénom: ____________________________________________ Adresse : ____________________________________________ Téléphone : _________________________________________
'!;::.,'fI"S
Instructions concernant le calcul des moyennes annuelles 1 et le passage au cycle d'orientation
lae,
1. Calcul des moyennes annuelles du livret scolaire 1. 1 Calcul de la moyenne annuelle par branche Ce 'calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres et celles de l'examen: la somme' divisée par 4. Ex. grammaire-orthographe 4 + 4,6 + 4,6+ 4 8 = 4,5 j
4 Dans les branches pour lesquelles n'existe pas l'examen de promotion, le calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres; la somme est divisée par 3. Ex. ACM: 4,9 + 5,3 + 5,2
=
5,1
3 1.2 Calcul de la moyenne annuelle du premier groupe . ....
Le calcul se fait en additionnant la moyenne annuelle (5 e colonne) de chaque ligne; la somme est divisée par le nombre de lignes
... .
~...
~
.,
,
.
{:+.i:Y.··:.......'. . .'
. ....-.....
.: .... ", ,.,:
~
.
..
Ex. : 4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 "
~~:•.., '.:'. .. ~. ; . ~ ; ..: ~ ' .. ~ ...
~ , ;~., .~ ;.. ...;.;~
... . . :-: >~>};) . .. : #, .,.'
• ~,
=
4,6
7 1.3 Calcul de la moyenne annuelle générale Le calcul se fait en additionnant la moyenne annuelle (5 e colonne) de chaque ligne (éviter d'y inclure la moyenne annuelle du premier groupe); la somme est divisée par le nombre de lignes. Ex.: 4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 + 5,8 + 5,6 + 5,1 + 5,3' + 5,2 12
=
4,9
2. Passage au CO (division A,B,BT) 2.1 Pour être promu au CO, l'élève doit obtenir au minimum une moyenne annuelle de - 4 aux branches du 1er groupe (5 e + 6e P) et - 4 à la moyenne générale (5 e + 6e P)
2.2 L'élève doit avoir réussi sa 6e primaire (double 4): en cas d'échec, il redouble la 6e P pour autant qu'il lui reste au moins 3 ans de scolarité obligatoire à accomplir. 2.3 S'il ne lui reste plus que 2 ans et s'il n'a pas réussi la 6e P, il doit fréquenter les classes terminales de la division B du CO. 2.4 Le point ci-dessus est applicable, par analogie, aux élèves fréquentant les classes de 3e , 4e et 5e primaires ainsi que les classes de développement. 2.5 Les cas particuliers (langue étrangère, maladie prolongée ... ) sont à soumettre aux inspecteurs de l'enseignement primaire.
3. Admission en division A du CO
3.1 Po~r être admis en division A, l'élève doit réussir un examen d' d . . C men a lieu le jeudi 20 juin 1985. a mission. et exa3.~
Les élèves dont la moyenne générale (se + (je P) est au moins égale a' S t d' ses de cet examen. son " Ispen-
4. Résultats des classes d'observation Calcul
~es
Ise + r
"prorogée le 31 mars 1982
SP = . . . . . . . . . . .. A* SP= ............ A (A * x 4) + (8* x 6)
LE CONSEIL D'ÉTAT, 6P= ............ 8* 8 6P=
10 (A x 4) + (8 x 6) Moyenne générale des classes d'observation
10
~omme pour, ~outes les ~utres ~~~es, la moyenne de passage au CO se calcule au centleme avant d etre arrondie au dlxleme supérieur ou inférieur.
4.2
Ex. 5,29 ="S,3
4,25
=
4,3
3,S4
=
Décision du Conseil d'Etat du 9 juin 1978
PJ
moyennes
Moyenne 1er groupe Moyenne générale Moyenne du 1er groupe des classes d'observation
Statuts des remplaçants à l'école primaire
3,5
Vu la décision du Conseil d'Etat du 22 mars 1978 chargeant le Département de l'instruction publique d'étudier un statut particulier pour les maîtres qui n'auront pas un emploi permanent au début de l'année scolaire 1978-1979 et qui seront engagés dans des remplacements; Considérant qu'il y a lieu d'établir une distinction entre les maîtres qui accomplissent des remplacements occasionnels et ceux qui ne pourront obtenir un poste fixe en raison de la pléthore; Vu les mesures générales adoptées par le Conseil d'Etat en séance du 22 mars 1978 et destinées à éviter les effets d'une trop grave pléthore de maîtres dans l'enseignement primaire; Sur la proposition des Départements de l'instructi~n publique et des finances,
décide:
~épartement de l'instruction publique
" Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales
1. Les institutrices et les instituteurs formés en Valais, qui ne pourraient en raison de la pléthore occuper un poste fixe dès l'automne 1978 et qui de ce fait s'engageraient en qualité de remplaçants bénéficient des dispositions arrêtées ci-après: 1.1 Leur traitement est celui prévu à l'article 14 du règlement concernant le traitement du personnel enseignant auxiliaire et des remplaçants; 1.2 Les remplaçants mariés reçoivent proportionnellement à la durée de leur activité les allocations de ménage et les allocations familiales prévues pour les titulaires de classes; 1.3 En cas de maladie ou d'accident survenant en cours d'activité, les remplaçants dont
il est ici question sont mis au bénéfice des dispositions de l'article 10 du décret du 7 février 1973 concernant le traitement du personnel enseignant des écoles primaires et secondaires. Le calcul du traitement de maladie est basé sur celui d'un maître titulaire et doit correspondre aux années de service du remplaçant et à la durée de la scolarité en vigueur dans la commune où celui-ci a exercé sa dernière activité; ce traitement est servi pour une période maximale de 6 mois; 1.4 Les communes, respectivement les commissions scolaires des écoles régionales assurent les remplaçants contre les risques d'accidents professionnels, au même titre que les titulaires des classes; 1.5 En cas d'interruption de travail pour cause de grossesse et d'accouchement, le traitement prévu pour les titulaires est versé à la remplaçante dont il est ici question durant trois semaines au maximum, çonformément aux dispositions figurant sous cbiffœ 8 de la décision du Conseil d'Etat du 5 mai 1976 et à celles prévues sous chiffre 1.3; paragraphe 2 de la présente décision;
1.6 Lors de Ilaccomplissement d'un service militaire l obligatoire ou non obligatoire, l'Etat sert au remplaçant dont il s'agit ici l s'il est engagé depuis plus d1une année au service de l'Etatl le traitement complet du titulair~ d'une classe jusqu'à concurrence de 6 mois conformément aux dispositions prévues sous chiffre 1.3, paragraphe 2 de la présente décision.
Inscription pour des remplacements pendant l'année scolaire 1985 - 1986
Si la durée 'de l'engagement, avant le service militaire, est inférieure à l'année, la' part du traitement à payer est déterminée par la décision du Conseil dlEtat du 9 juillet 1969;
1.7 Tout remplacement dont la durée effective dépasse 90 jours (congés d1été, de la Toussaint, de Noël , de Carnaval et de Pâques non compris) compte comme année de service déterminante pour le calcul de la prime d'âge et de la prime de fidélité. 2. Les instituteurs et les institutrices concernés par cette décision ont l'obligation de s'annoncer par écrit au Département de l'instruction publique, Service de l'enseignement primaire et des écoles normales, jusqu'au 20 août qui précède l'ouverture de l'année scolaire. . 3. D'entente avec les commissions scolaires et les directions d'écoles l le Service de l'enseignement primaire et des écoles normales s'efforce de fournir en priorité des activités de remplacement aux maîtres sans emploi permanent, désignés sous chiffre 1 de la présente décision.
Pour enseignants(es) . sans poste fixe (selon décision du Conseil d'Etat du 9 juin 1978 et du 31 mars 1982)
Le(la soussigné(e): ... " " "" . . . . . " ." . Nom:
Prénom: " .... .... .. " .. .. ... ... .. ,.... ". " .... " ..... .. " .... .
Date de naissance:
N° de téléphone (indispensable): .. ......... .... .
Domicile: "" ... .. ... .. " ...." """ ." ........ ..... " ..... .. .".".
Adresse exacte: " ... " " ." ." .. .. . " .. .... .. .. ."" ...
Demeurent réservées les questions relatives aux qualifications professionnelles. Titres pédagogiques obtenus:
4. Conformément aux dispositions du règlement du 20 juin 1963 concernant les conditions d'engagement du personnel enseignant, les commissions scolaires et les directions d'écoles sont tenues de signaler au Département de l'instruction publique tous les cas de remplacement. Elles font appel en priorité aux enseignants désignés sous chiffre 1 de la présente décision: la liste leur en est fournie par le Département de l'instruction publique. 5. La «Caisse de retraite et de prévoyance du personnel enseignant» est priée d'étudier des possibilités d'adhésion pour les maîtres et les maîtresses d'école dont il est ici question et de présenter ses propositions au Département de l'instruction publique si possible avant l'ouverture de la prochaine année scolaire.
o o o
Certificat de maturité pédagogique en 19 Autorisation d'enseigner en·19 . " .. ...... ." ... ..... .. .. "
Brevet pédagogique en 19 ""."" ,,,. ,,,, ..,,,, .....,..... ... ,, .. .. .
(Marquer un x dans la case qui convient)
est disponible pour a~surer des remplacements durant l'année scolaire 1985 - 1986 aux conditions approximatives suivantes: Périodes : .....
6. Les institutrices et les instituteurs qui n'accomplissent que des remplacements occasionnels san.s être à la recherche d'un emploi permanent demeurent soumis aux anciennes dispositions les concernant. Celles contenues dans la présente décision ne leur sont pas applicables.
Durée: du
au "" ..... .".
Degrés : .... .. .
Régions:
Lieu et date:
Signature:
"... . . . .. " ."" ...... " . .. " . " .. "" ......... .
7. Les mesures d'application et autres dispositions de détail non contenues dans la présente décision sont prises d'entente entre le Département de l'instruction publique et le Département des finances.
REMARQUES : . 8. La présente décision entre en vigueur le 1er septembre 1978.
Pour copie conforme Le Chancelier d'Etat
Cette formule, dûment remplie, doit être retourné~ dès que possible, mais pour le 30 juin au plus tard, au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales Planta 3 - 1951 SION
Présentation des moyens d'enseignement de mathématique pour les classes à degrés multiples (CDM)
Inscription pour des remplacements pendant l'année scolaire 1985 - 1986
Dès les premières années d'application du nouveau programme de mathématique, des difficultés particulières ont été mises en évidence dans les classes de plus de deux degrés. Des enquêtes menées par l'IRDP ont montré clairement l'existence d'obstacles importants à l'utilisation des moyens d'enseignement actuels dans les classes à degrés multiples: organisation rendue difficile par la multiplicité de brochures, nécessité de la présence constante du maître, impossibilité de situer avec clarté et rapidité le travail effectué et celui qui reste à faire, etc. '
Le(la soussigné( e): .
Dans le but de répondre aux besoins de ce type de classe, un aménagement de moyens d'enseignement existants et la création d'un fichier d'activités pour plusieurs degrés ont été entrepris, en respectant les objectifs notionnels et comportementaux du programme ainsi que l'esprit du nouvel enseignement de la mathématique. Ces nouveaux moyens d'enseignement seront disponibles pour la rentrée 1985. Cependant, pour permettre aux enseignants concernés. de préparer au mieux la prochaine année scolaire et d'effectuer une commande de matériel qui corresponde aux besoins véritables de leurs classes, une séance de présentation aura lieu dans chaque àrrondis, seme nt le jfJudi 30 mai 1985, dès 17 heures.
Pour enseignants(es) ayant cessé leur activité régulière
Nom: , . .'........ ........ .... ... ..
Prénom: .............. ,.... ,... ,."" ..... ,... .... ."" ... ,,, .. ,,.. ."
Date de naissance: .. "'. " .. " ..... .. ,..... " .. ".. '.,,....
N° de téléphone (indispensable):
Domicile: ., .'.'
Adresse exacte: ....... " .. ", .. ,.,.. .. '.".... " .,,"
Titres pédagogiques obtenus:
Sont convoqués à ces séances: - les titulaires des classes à degrés multiples (3 degrés et plus); - les titulaires des classes spéciales (y compris classes des établissements de formation spécialisée). (Les autres enseignants intéressés par ces ouvrages peuvent participer à ces rencontres.) Lieux des rencontres Monthey, collège de l'avenue de l'Europe (auditoire).
Participants personnel des districts de Monthey et de St-Maurice moins la vallée du Trient.
Martigny, centre scolaire de la ville.
personnel des districts d'Entremont et de Martigny, plus la vallée du Trient.
Sion, centre scolaire de Platta.
personnel des districts de Conthey, d'Hérens et de Sion.
Sierre, centre scolaire de Borzuat (classe de M. Genoud).
personnel du district de Sierre.
o o o
Certificat de maturité pédagogique en 19 Autorisation d'enseigner en 19 , Brevet pédagogique en 19 ...... " ... ... ,. ' ... ,.... .... ...... ..
(Marquer un x dans la case qui convient)
est disponible pour assurer des remplacements durant l'année scolaire 1985 - 1986 aux conditions approximatives suivantes: Périodes: '
... ... ..... .. ............ ............ .
Durée: du .. ... .. ... .......... ........... .... .. ............. " ... ..
au ,
Degrés: .. ... ,:" ,,, .,,,,,, .... ,, ,,,,,,, ... ,,,, ... ,, ... ,, .. .. ,.... ..
Régions: ........ .. .... ... " ...... ... ... .. ........ .... ..
Lieu et date: ......... .. ... ..... ... . ............. ..... " ... .
Signature: .. .. ..................... ............... ..... ,
,
......... .... . .. ,.'.' .
'
,
REMARQUES: Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales Le responsable de la mathématique Yvan Michlig
Cette formule, dûment remplie, doit être retournée dès que possible, mais pour le 30 juin au plus tard, au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales Planta 3 - 1951 SION
JARDIN DES GLACIERS LUCERNE
MONUMENT NATUREL - MUSÉE LABYRINTHE DE MIROIRS 20 millions d'années de géologie: d'une plage de mer subtropicale avec palmiers - à la période des glaciers. Musée: reliefs, géologie et «Vieux Lucerne».
1
Diapositifs-documentaire intéressant, documentation pour écoles, place pour pique-nique.
La banque régionale valaisanne
EIII Il
Le monument naturel, découvert en 1872, protégé des intempéries par une couverture moderne. Renseignements :
Gletschergarten,
LE FONDS JEUNESSE DE LA CEV
Denkmalstr. 4, 6006 Lucerne tél. (041) 514340
créé à l'occasion de son Centenaire récompense des performances particulièrement méritoires de jeunes valaisannes et valaisans de toutes professions Demandez des renseignements complémentaires à nos guichets
_. -
CAISSE D'EPARGNE DU VALAIS -~-
~Diiiiiiiiii
AVIS AU PERSONNEL ENSEIGNANT Matériel gratuit à votre disposition
REX ROTARY K 40 Le nouveau rétroprojecteur
Le TeS met gratuitement à votre disposition un important matériel d'éducation et d'information routière (cahiers à colorier, concours, brochures, jeux, affiches, films, diapositives, matériel didactique, etc.
Pensez à la sécurité de vos élèves!
Une course d'école au zoo des Marécottes, c'est un bain de nature dans un cadre merveilleux C'est aussi apprendre à vos élèves à mieux connaître notre faune alpine, qui partage avec nous un biotope bien souvent ignoré. Vous pourrez leur offrir en prime un bain dans une piscine taillée dans le roc. A 15 minutes de Martigny par train ou par route.
A VOTRE SERVICE :
Demandez une démonstration
PISCINE
LES MARÉCOTTES SALVAN - VALAIS
MONTHEY
BRIGUE
025715517
028232819
LIBRAIRIE CATHOLIQUE R. Traillet - 1920 MARTIGNY
Renseignements au (026) 6 1 7 18 ou 6 15 62 - Case postale 6 - 1922 SALV AN
ZOO
SION
027231321
Service de vente et d'entretien
SION Av. Pratifori (027) 2334 10
SIERRE A. Gén.-Guisan (027) 55 17 34
Fournitures scolaires Papeterie Librairie générale Téléphone (026) 22060 A votre disposition pour votre bibliothèque scolaire