L'Ecole valaisanne, mai 1987

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LE FONDS JEUNESSE DE LA CEV créé à l'occasion de son Centenaire récompense des performances particulièrement méritoires de jeunes valaisannes et valaisans de toutes professions Demandez des renseignements complémentaires à nos guichets

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L'ÉCOLE VALAISANNE paraît à Sion le 15 de chaque mois, juillet et août exceptés . RÉDACTEUR M. Jean-François Lovey. DÉLAI DE RÉDACTION

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ÉDITORIAL Jean-FrançoIs Lovey ACTUALITÉ PÉDAGOGIQUE Théo Chatriand Pierre Brechbühl Jean-François Perret EV

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Ils viennent d'ailleurs

Le concept du sport dans le CO valaisan . ,. Des parents à l'école ; des élèves dans la société GRAP: un projet de programme aménagé, en consultation Séminaire : la formation des enseignants en Suisse romande OOIS-MAV, information Ecole suisse de tourisme .. . . . . . Course d'école 1987 avec «Jurail Express » A la découverte de la peinture : le triptyque de Lotschen «L'âme enfantine et la psychanalyse » de Charles Baudoin Information

INFORMATIONS OFFICIELLES OIP Ecole normale : nouvelle direction DIP Inscription pour des remplacements ............ . pendant l'année 1987-1988 DIP Dispositions concernant l'octroi de congés aux élèves exerçant des activités sportives , culturelles ou artistiques DIP Instructions concernant le calcul des moyennes annuelles et le passage au CO DIP Votation populaire VIE CORPORATIVE SPVal AEPSVR AEPSVR Philippe Favre

Mise au concours Tournoi de football des enseignants Athlétisme Informatique

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NOUVEAUX MOYENS D 'ENSEIGNEMENT AU DÉPÔT SCOLAIRE

par Yvan Michlig, Vincent Dussex, Andrée Gauye, Stéphane Germanier, Michel Salamolard EDUCATION ET SOCIÉTÉ SETM EV Anna T. Veuthey DIDACTIQUE Marie-Rose Arolas Pierrette Bérard

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1987: année internationale du logement des sans-abri Yvorne: exposition Auguste Forel L'homme quotidien et la nature

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L'arbre (ACM)

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NOUVELLES ACQUISITIONS OOIS Liste des récentes acquisitions CFPS Bulletin d'information

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Le racisme a plusieurs visages à la galerie des laideurs. Il peut être massif, brutal, vociférant, assenant des passeports d'infériorité comme autant de lieux communs, méprisant, trempant dans l'invective le couplet des pseudohiérarchies naturelles, vulgaire, lourd, exacerbé, démagogique et comme empoissé de dédain. On le croise parfois sur les boulevards, qui exhibe son indécence et ses moiteurs. Il peut être également paré d'atours présentables, modéré dans ses proclamations, maniant habilement la circonvolution et l'ellipse, le bémol et la retenue, bardé de prétextes ethnologiques, de raisons protectionnistes, de critères démographiques, d'alibis culturels, de soudains soucis de différence, propre, en quelque sorte, et prêt à faire son entrée au salon. Il n'hésite pas, lorsque la passion l'exige, à réécrire l'Histoire et à faire d'un passé d'horreur un simple moment d'égarement. Celui-ci porte costume de respectabilité et pontifie à loisir sur les limites de la vertu. En fait, ces deux racismes - des villes et des champs - sont cousins et puisent dans la même médiocrité leurs provisions de rancœur. Heureusement l'accueil dans nos écoles d'un nombre important et croissant d'enfants étrangers, riches de langues et de cultures autres, montre la voie d'une intégration harmonieuse, fraternelle, possible, solidaire dont on peut rêver qu'elle devienne exemplaire. Jean-François Lovey

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Photo de couverture : Michel Eggs Victime de dénutrition à Mindanao (Philippines) ••

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LE CONCEPT DU SPORT DANS LE CYCLE D'ORIENTATION VALAISAN «A l'heure du changement... Est-il nécessaire d'en parler?... Réflexions d'un enseignant qui aime le sport, qui croit en ses bienfaits et qui affirme que nos enfants, et spécialement ceux en âge du CO, ont totalement droit aux bienfaits de celui-ci.» A l'heure d'un changement de structure on ose jeter un regard rétrospectif et se poser la question de la continuité ou du changement. Je vous livre donc une réflexion, toute personnelle, sur le «Concept du sport dans le CO valaisan». Fait-on trop? Le faiton mal ou ne fait-on pas assez? Les avis divergent avec de plus ou moins bonnes raisons.

1. Lois et décrets actuels La loi, les directives ou les règlements actuellement en vigueur préconisent l'organisation suivante: 1. 3 heures hebdomadaires de gymnastique. 2. Les leçons réglementaires d'éducation physique sont complétées par des aprèsmidi de sport. Au CO ils n'excèderont pas, en moyenne, une fois par mois. 3. Dans le but de permettre une pratique plus intense de certaines disciplines sportives et d'éduquer à la vie en communauté, chaque classe du CO peut bénéficier, au maximum, de -6 jours de camp par "an, organisation soumise à autorisation.

Photo Bruno Clivaz

Voilà pour la base légale. En résumé: 3 heures hebdomadaires de gymnastique, 9 demi-jours de sport et un camp de 6 jours par année scolaire, Maximum diront les plus minimalistes.

2. Situation actuelle Les renseignements sont tirés des réponses données par 17 des Cycles d'orientation du Valais romand. Je tiens à disposition des directions ou des responsables, qui en ont fait la demande, un tableau détaillé de ces 17 réponses. Je tire, pour une meilleure compréhension de chacun, quelques éléments d'appréciation. 2.1 Heures d'éducation physique Le total de 3 heures hebdomadaires est respecté dans la quasi totalité des CO. Pour des raisons de locaux ou d'organisation 2 CO ne peuvent faire donner que 2 heures hebdomadaires. Les quelques autres exceptions ne touchent que des classes éparses. L'enseignement séparé, filles-garçons, est respecté à plus de 85 %. 2.2 Activités sportives complémentaires Ces activités, prévues à l'article 13 du règlement du 27 avril 1977, sont organisées avec plus ou moins de bonheur par la totalité des 17 CO. Elles sont très diversifiées en fonction des régions. Seules les quantités varient suivant l'établissement scolaire, On passe de 1 jour 1/2 l'an à 6 jours 1/2 avec un total de 56 jours 1/2 pour 17 CO. Ceci nous donne une moyenne de 3,3 jours

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par année et par classe su r les ,4 jours 1/2 possibles selon le reglement. Toute ceci ne reste qU,e chiffres à manipuler avec precaution .

2.3 Camps L'organisation des camps est beaucoup plus irrégulière et sporadique. 9 CO sur 17 organisent un camp pour toutes les classes alors que 2 CO limitent la participation à certaines classes. Sur 102 jours disponibles pour les 17 CO, 45 seulement sont utilisés. Pour ces camps, le ski et le ski de fond restent l'activité sportive essentielle . Le 50 % des organisations ramène les participants à la maison chaque soir alors que pour l'autre 50 % le logement est prévu hors du domicile . Pour les cycles, majoritaires, qui font appel à la participation financière des parents, cette dernière varie entre 50 et 120 francs pour une semaine . La formule d'un camp polysportif et l'organisation de journées culturo-sportives évoluent d'une façon très positive .

2.4 Autres activités Les autres activités sportives, se déroulant souvent hors du temps de l'école, sont organisées sous forme de tournois ou de sport à la carte. Un CO l'organise d 'une façon beaucoup plus systématique sous forme de Sport scolaire facultatif avec un rythme de 3 fois 50 minutes sur 20 semaines.

3. Commentaires personnels - Situation actuelle et règlements sont maintenant développés . A vous de faire , si le cœur vous en dit, comparaison avec

votre école, mais c'est à raison que j'ai refusé de citer les noms , les lieux et les activités particulières des CO . - A ceux qui prétendent que l'on fait trop je réponds que les chiffres de 3.3 jours sur 4 jours 1/2 et de 45 jours sur 104, cités plus haut, apportent par euxmêmes la contradiction. Je com prends d'ailleurs fort mal pourquoi le Service de l'enseignement secondaire a voulu en septembre 83 proposer une réduction à 3 jours de ces activités complémentaires . Quelle a été à ce moment précis la réaction des responsables directs: direc-

tion, inspecteur cantonal de gymnastique, associations de maître enseignant l'éducation physique, AEPSR et AVMEP. - A ceux qui prétendent que l'école n'a pas à former des champions dans des domaines très précis, le ski pour ne donner qu'un exemple, je pense qu 'on peut et qu 'on doit diversifier en fonction de la région . Je pense aussi que le ski n'est pas le seul sport à intensifier au cycle . L'important, pour moi, n'est pas ce que l'on fait mais que l'on fasse ce qu'on doit. - Si l'on dit que certaines activités sont mal organisées, je réponds qu'une mauvaise organisation peut toujours se corriger et qu 'elle ne doit en aucun cas hypothéquer les organisations fonctionnant à satisfaction . L'école, comme toute autre organisateur, n'échappe pas à un éventuel «pépin» . Ce dernier est toujours regrettable mais jamais totalement évitable. - Je voudrais relever le grand choix des sports proposés pour les activités d'un 1/2 ou de 1 jour et leur étalement respecté sur la totalité de l'année scolaire. L 'intensification d'un sport connu me semble, par contre, plus profitable que l'initiation, à tout prix, d 'un sport nouveau qui ne sera plus jamais pratiqué par l'élève . Je vous laisse cependant encore modérer mon propos car la seule sortie, hors du cadre

scolaire, peut déjà se révéler comme éminemment profitable pour l'élève. Problème de fond devant faire réfléchir. - Pour les activités sous forme de camp, la facilité d'organisation ne devrait jamais l'emporter et ramener les élèves obligatoirement à la maison chaque soir. La vie communautaire devrait peser lourd dans la balance de la décision . Cette possibilité d'organisation reste cependant insuffisamment utilisée. Est-ce par principe ou parce que l'organisateur doit souvent payer de sa personne au-delà d'une limite raisonnable. A réétudier . L'organisation polysportive s'introduit avec bonheur et doit être intensifiée. L'activité complémentaire qu'elle soit culturelle, religieuse , scolaire ou de réflexion a toute sa place, n'est jamais un prétexte et mérite une intégration réfléchie. - Je voudrais citer ici deux exemples d 'organisations , diverses, peu conventionnelles mais qui méritent réflexion. * Un CO propose les 3 heures de gymnastique hebdomadaires et 3 jours d'activités complémen taires sous forme d'une marche de nuit, de 3 fois un 1/2 jour de ski de fond et d 'un 1/2 jour de tournoi. En sus, il propose 5 jours de camp par an et par classe sous la forme d'un tournus . Ici est l'intérêt de la formule . En première année le camp est sportif avec un accent mis sur la technique de trois sports différents avec des moniteurs qualifiés.

En deuxième année la randonnée à ski en montagne est associée à une réflexion spirituelle au

Grand-St-Bernard . En troisième année la randonnée, marche, vélo, train devient une activité sportive et culturelle dans le style voyage de fin d'étude. Tout est réglementaire et quel bel ensemble . * Un autre CO organise, avec

bonheur et réussite, des journées culturo-sportives . Chaque élève a le choix entre: 1. deux journées de ski alpin, ski de fond ou ski de randon née avec moniteurs ESS et guides; 2. deux demi-journées de sport et deux demi-journées d'activités culturelles. Dans le choix , 15 activités sportives et 18 activités culturelles sont proposées . Je reste persuadé qu'un pareil système mérite un essai .

4. Nouvelle organisation La nouvelle grille horaire n'a pas pu ou n'a pas voulu réduire les 3 heures hebdomadaires d'éducation physique . Règlement fédérai ou tendance voulue, peu importe. L'importance est reconnue et il n'est pas laissé aux directions la possibilité de diminuer cette dotation, même si le texte prévu pour le Valais romand est moins précis que celui réservé au Haut-Valais. Pour les activités complémentai res et les camps une tendance semble se dessiner. Une réduction à six fois un 1/2 jour d'activités complémentaires par an et une généralisation d'un camp de 1 semaine durant les 3 années de scolarité au CO, avec options sportives et culturelles ou de réflexion.

Peu importe quel sera le texte définitif. Aucun règlement ni décret ne servira à quelque chose si l'obligation précise d'un minimum n'est pas réalisée . Il faudra bien préciser qui est responsable de faire passer ceci. La réglementation actuelle est précise, l'application ne l'est pas toujours. Si règlements et décrets sont proposés l'unanimité devrait se faire: DIP, inspecteurs, directions, enseignants, associations. Si non il faut proposer une autre réglementation ou donner des directives qui reçoivent l'approbation de tous . On peut laisser le «Génie propre», l'expression n'est pas de moi, de chaque région ou de chaque CO s'exercer mais à la condition que ce qui doit être fait soit fait. Ne changeons pas la réglementation si nous n'avons pas les moyens et la volonté de la faire passer dans la réalité . Bonne chance .

Théo Cha triand Ovronnaz


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Dix-neuf garçons au CO, en troisième A: une classe qui en veut et qui respire la santé. Une bonne occasion pour le maÎtre titulaire de sortir du train-train pédagogique, tout en respectant les programmes et les objectifs fixés,' et de favoriser par-là même le rôle éducatif et social de l'école! Ambitieux? Casse-cou? Et le dynamisme? Alors, pourquoi ne pas essayer l'innovation, si elle est positive? Dès lors, qu'entreprendre? Les idées surgissent. Le tri s'opère. Le choix: une rencontre entre les élèves de la classe et leurs parents, dont la réalisation focaliserait l'intérêt des jeunes gens et une partie de l'activité scolaire. Mais attention: pas d'improvisation! Surtout du travail et encore du travail! Comment donc s'y prendre pour atteindre l'objectif initial? Voici, dans un ordre chronologique, le chemin vers l'événement. L'APPROCHE

Septembre Dès le premier jour de classe, le maître exige le meilleur langage oral possible, corrigeant chaque fois que cela est nécessaire et prêchant par l'exemple. Pénible au début, mais rapidement efficace et plaisant! Une bonne expression sera indispensable pour le débat avec les parents, qui sont des adultes: quelle motivation future! Une première réflexion écrite (en classe) est demandée sur le thème combien délicat: moi, élève, à neuf mois de la fin de ma scolarité, comment est-ce que j'envisage mon avenir? Résultat de l'exercice? Des textes sans plan, des idées bien vagues, des arguments faibles ou absents; parfois même un simple point d'interrogation. Insupportable. Y remédier au plus vite! Octobre Le maître soumet l'idée de la rencontre avec les parents . L'enthousiasme est général, malgré

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la perspective de nombreux travaux d'approche. Le prof présente encore le prétexte de cette soirée: un débat sur plusieurs thèmes touchant de près la jeunesse. Une longue discussion s'ouvre . Progressivement les idées se précisent, se concentrent, se regroupent. Finalement, trois thèmes sont retenus, au travers d'un vote (ouverture à l'instruction civique): - l'avenir des jeunes (déjà abordé en septembre) ; - les notes scolaires et leurs effets (sanctions et récompenses parentales ... ); - argent de poche et sorties (samedi soir, vacances .. .). Chacun de ces sujets va être étudié en profondeur par les élèves. D'abord , s'organiser. La formule adoptée: un groupe par thème . Les responsables des équipes sont choisis par élection . Il faut encore un élève qui animera toute la rencontre. Une tâche bien lourde. Le meneur de la classe est acclamé. L'ossature est en place.

Photo Oswald Ruppen

Novembre-décembre

Une critique, par les élèves euxmêmes, clôt la répétition générale.

A raison d'une heure par semaine (prise sur l'information scolaire et professionnelle) les groupes développent leurs sujets. Ils enquêtent par écrit auprès de leurs parents et entre eux. Le dépouillement des réponses jette un bras vers les mathématiques. L'interprétation des résultats pose des problèmes, mais permet quand même d'orienter la réflexion. Les équipes doivent encore diviser leurs thèmes en chapitres , un par élève . Chacun rédige un texte analysant cette partie (exigence du prof). Ces lignes sont corrigées, puis critiquées par le groupe et l'ensemble de la classe. Des modifications sont apportées. Durant ce temps, l'élève animateur circule d'une équipe à l'autre pour y puiser les éléments de son futur travail. Un plan de la soirée est fixé collectivement.

Janvier Après avoir appris à rédiger une lettre, chaque élève s'adresse par écrit aux parents d'un copain pour les inviter à la rencontre. L'animateur convie le directeur de l'école. Le facteur distribue quelques réponses qui flattent la fierté des jeunes. Tout est prêt. Février Un vendredi soir, à vingt heures , dans une grande salle, des tables disposées en rectangle . Face à face: parents et enfants, tous un peu tendus ... Un élèvephotographe mitraille les participants. L'animateur, en smoking, ouvre la soirée par quelques mots d'accueil et présente le programme. Tout cela, sans papier!

Il passe ensuite la parole au prof titulaire, puis introduit le premier thème. Les élèves du groupe concerné lisent les dissertations composées en novembre. Le débat est ainsi amorcé. Progressivement les mains se lèvent, les interventions se croisent , se heurtent, se confondent. Lorsque le verbe s'égare ou que le rythme baisse, le meneur du jeu le relance par quelque question pointue ou par une apostrophe régénératrice. Et le débat repart de plus belle. Jusqu'à vingt et une heures. Pause d'un quart d'heure. Des boissons sont servies par des élèves désignés au préalable. Deuxième thème. Pause. Troisième thème. Déjà plus de vingttrois heures. Que ça file! Tout n'a pas été dit. Et pourtant: 127 prises de parole par les élèves, 57 par les parents. Quel débit. C'est le moment des remerciements et des au revoir. Les enfants rentrent à IR maison avec leurs parents . Heureux!

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Photo Oswald Ruppen

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APRÈS

Mars En classe, une critique de la rencontre réveille les souvenirs et sanctionne les imperfections. Une remarque des élèves, surprenante et empreinte d'une légère déception: «Nos points de vue étaient trop proches de ceux de nos parents pour que le débat prenne la tournure des spectacles télévisuels .» Chaque jeune rédige encore à domicile une appréciation de la soirée. Les photos sont affichées en classe. Les élèves attribuent des légendes à chacune d'elles . Divers travaux ont été évalués par le prof: rédaction de novembre, lettre aux parents, qualité de la lecture et qualité de l'expression lors de la rencontre, critique écrite de mars. Des notes excellentes, à des exercices réalisés avec sérieux, avec intérêt, avec joie.

BILAN La tension des élèves a crû tout au long de la préparation de la rencontre . La découverte progressive de la richesse de la soirée toute proche les a stimulés en crescendo. Enquête, statistique, dissertation, lectures diverses, débats préparatoires dévoilant de nombreux problèmes de vie , approche de connaissances élémentaires souvent ignorées par l'école, une expression orale en progrès constant.. . que d'ouvertures du travail scolaire vers des horizons pourtant assez proches de ces futurs adultes .

Lors de la soirée, les jeunes ont mesuré l'importance d 'une bonne préparation, qui permet une certaine décontraction et donne de l'aisance . Ils ont découvert des copains, des parents qui ne pensent pas comme. les leurs, mais qui méritent quand même l'estime. Ils ont réalisé l'interdépendance des branches scolaires et des connaissances en généraI. Ils ont débattu de leurs problèmes, ils ont dialogué avec leurs parents .

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Le questionnaire Un bref questionnaire (24 questions sur 4 pages) a été adressé à tous les enseignants ayant préalablement reçu le projet du GRAP. Tous les enseignants du secteur primaire ont ainsi été touchés. La diffusion a été moins systématique dans les degrés 5 ou 6 qui, selon les cantons, relèvent du secteur secondaire. L'envoi du questionnaire s'est échelonné de janvier à mars. Au vu des quelques 3000 questionnaires reçus, qui sont actuellement en cours de dépouillement à l'IRDP, on peut d'ores et déjà estimer le pourcentage de répondants à environ 50 %,

L'objectif visé est atteint. L'exerc ice est encore perfectible , mais, surtout il est à répéter.

Pierre Brechbühl COG , Sion

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Fin mars 1987: état des travaux Nous nous limiterons ici à faire le point sur le déroulement de la consultation-observation engagée, et sur les modalités d'enquêtes retenues dans les cantons. Ci-après , un tableau récapitulatif donne quelques éléments numériques.

Du côté des parents, un regret unanime: la rareté de telles rencontres . Et aussi le regret de ne pas avoir vécu une telle expérience durant leur scolarité. Aujourd'hui, les parents sont rassurés : leurs fils sont bien sages, soucieux de leur avenir .

Cette rencontre a permis d'entreprendre une activité-cadre aux innombrables ramifications. Des liens fraternels et de confiance se sont tissés entre élèves et avec leur titulaire . L'esprit de classe s'en est ressenti. Régulièrement les élèves se rencontrent en ville pour passer une bonne et saine soirée ensemble. Ils ont pris conscience de leur propre personnalité et l'affirment sereinement et avec assurance. Ils ont mûri.

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Les enseignants de Suisse romande ont reçu, dans le courant de l'automne 86, une nouvelle présentation des programmes scolaires pour les six premières années. If s'agit en fait d'un projet de document pour lequel une consultation la plus large possible a été souhaitée. C'est à partir de janvier 1987 que chaque canton a mis en œuvre une démarche de consultation à l'aide des instruments et procédures proposés par le GRAP et son Groupe d'évaluation (cf le document «GRAP: instruments pour la phase de consultation-observation»). Comment se déroule cette consultation-observation? Où en est l'opération?

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pourcentage qui assure une bonne représentativité des avis exprimés. Le questionnaire a généralement été bien accueilli, mais un certain nombre d'enseignants semblent avoir regretté qu'il vienne si vite, avant d'avoir pu examiner le document de manière suivie au cours d'une année scolaire complète. Rappelons que le but du questionnaire était de procéder très tôt à une «prise de température» pour pouvoir rapidement repérer les points qui pourraient faire problème et se lancer sans tarder dans une recherche de solutions. Actuellement, les réponses sont mises sur ordinateur pour dénombrement. Les résultats seront connus dans le courant du mois de mai. De nombreuses remarques manuscrites ont été apportées sur les questionnaires. Elles sont systématiquement recensées, et feront l'objet d'une analyse plus qualitative. 11

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Entretiens avec des enseignants Ces entretiens sont en cours. Selon les cantons, diverses modalités de réalisation ont été retenues. Dans certains cas, l'ensemble des entretiens a été pris en charge par deux ou trois chercheurs ou enseignants détachés. Dans d'autres cantons, ce sont les inspecteurs scolaires qui ont assuré un certain nombre d'entretiens dans leur circonscription. Les groupes de référence cantonaux ont contribué à la réalisation de ces entretiens dans deux cantons. Si la prise en charge des entretiens s'est ainsi effectuée de manières diverses, le canevas d'entretien proposé par le G RAP a par contre été systématiquement utilisé. Ce qui facilitera une mise en commun et une synthèse des réactions recueillies sur le plan romand.

fonction de l'introduction en cours des programmes rénovés (français) ou des programmes propres au secteur secondaire (en se et 6e).

Entretiens avec des spécialistes Dans chaque canton, une liste des spécialistes à consulter a été arrêtée. Comme pour la consultation des enseignants, la manière d'interroger ces personnes varie d'un canton à l'autre. Certaines ~'entre elles sont (ou seront) Interrogées individuellement; d'autres sont invitées à réagir par écrit. D'autres encore ont eu l'occasion de s'exprimer lors d'une rencontre regroupant les spécialistes du canton. Selon les cas, la conduite de ces entretiens est réalisée par des inspecteurs, des chercheurs ou par les membres du groupe de référence cantonal. A propos des spécialistes à consulter, le Groupe d'évaluation souhaitait entendre un certain nombre de personnes qui par leur fonction, portent un re~ gard «romand» sur l'aménagement de programmes en cours. Le Groupe contactera ainsi probablement quelques membres de CIRCE 1 et II, susceptibles d'av.oir un recul bénéfique en matIère de rédaction de programmes. Dans la même perspective d'un regard «romand», l'IRDP a invité ses commissions (COROF, CEM, COREA, Groupe CE) à se pencher sur le projet du GRAP.

Les premiers échos entendus laissent penser que la nouvelle présentation du plan d'études est généralement appréciée des enseignants interrogés. Mais ceux-ci ont également pu signaler les formulations et concepts peu clairs, les chapitres qui ne donnent pas vraiment satisfaction. De toute évidence, les entretiens permettent de recueillir une moisson très riche de remarques et critiques. Au moment de l'analyse de ces données, il s'agira en particulier de prendre en compte le fait que tous les enseignants ne sont pas concernés de la même manière par chacune des discipli- Ecoles de contact nes présentées dans le docu- La désignation d'écoles de ment du GRAP, ceci en contact intéressées par une ré-

En résumé La consultation-observation concernant l'aménagement des programmes est manifestement bien engagée. Dans chaque canton, des solutions ont été trouvées pour mettre en œuvre, avec les moyens et forces disponibles, les procédures de consultation préconisées. Ce n'est pas tous les jours que les enseignants sont invités à se pencher sur l'aménagement d'un plan d'études pour donner leur avis. Ce qui leur est demandé n'est en fait pas une tâche facile. Il ne s'agit pas à proprement parler d'expérimenter (appliquer) un plan d'études, mais de soupeser l'intérêt et l'apport de la présentation adoptée.

flexion SUIVIe sur un des thèmes proposés a pris un peu plus de temps que prévu initialement. Pour la Suisse romande ce sont les enseignants de quel~ que 32 écoles qui vont se pencher sur un aspect ou l'autre du document. Un canton s'est organisé pour confier cette tâche à des classes de contact (80 classes). L'animation des écoles de contact est généralement prise en charge par un des enseignants de . l'école. Les enseignants membres des groupes de référence cantonaux prennent une part active à cette opération. Par leur connaissance du dossier, le rôle qu'ils peuvent jouer est important. Le choix des thèmes d'approfondissement reste encore à fixer; la liste des écoles et des thèmes retenus pourra être établie fin avriL

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Etant donné le temps de concertation que prend nécessairement la mise en place d'écoles de contact, quelques responsables et animateurs se sont demandé s'il était réaliste de préparer déjà un premier rapport fin mai 1987, comme prévu dans la planification de la consultation-observation. Il est clair que ce premier rapport d'activité pourra se limiter à décrire les travaux engagés, sans prétendre apporter déjà des éléments d'analyse substantiels. C'est au cours de l'année scolaire 1987-1988 que les écoles de contact élaboreront leurs réponses aux interrogations soulevées dans le cadre des thèmes proposés.

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Le document du GRAP, dans son contenu et sa conception, correspond-il au type d'instrument attendu? Fournit-il les points de repères utiles pour gérer au mieux le travail de la classe et les apprentissages scolaires? Met-il en évidence, de manière satisfaisante, les acquisitions que l'on juge essentielles? Telles sont les questionsclés que la consultation-observation doit permettre d'éclairer. L'écho que rencontre cette consultation montre que son enjeu a largement été perçu par les enseignants.

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Tableau récapitulatif Questionnaires Nombre adressé: No'mbre en retour:

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Entretiens enseignants Nombre adressé:

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Environ 1200 P:566

750 P: 541

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80

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F. Tenthorey

Groupe cantonal Inspecteurs

Interrogés par:

15 Le groupe cantonal assure les entretiens (par équipes de 2)

Ecoles de contact Nombre:

Responsables du déroulement des travaux:

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20 Envoi d'un questionnaire (consultation écrite)

6 dont 2 CDM et 2 secondaires

7

Fr. von Niederhausern (ORP)

Fr. Raemy (inspecteur) M.C. Schneuwly (service enseignement primaire)

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P: 433 S: 89

P: 946

87

25

50

Groupes de 5-6 (entretiens par groupes)

J.-P. Salamin Ch. Dayer +2 collaborateurs (ORP)

Inspecteurs et directeurs d'école + quelques entretiens par les enseignants du groupe de référence

44 1. Consultation écrite 2. Entretiens par groupes (septembre-octobre)

15 Avril: envoi d'un questionnaire écrit Octobre: entretiens

20 Entretien lors d'une rencontre commune

38

7 Entretiens assurés par le Groupe d'évaluation

80 classes de contact

6

4 dont 2 CDM

5

4

M. Gognat, sous la responsabilité de M. Paschoud (CVRP)

Entretiens spécialistes Nombre: Modalités:

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J .P. Salamin (Office de la recherche pédagogique)

R. Rosset (Service enseignement primaire)

A. Aubry (inspecteur)

M.Dokic (SRP)

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Ch. Moritz (inspecteur) J. Sommer (Service enseignement primaire)


Ecole suisse de tourisme Avenue du Rothorn 2 - Téléphone (027) 55 Il 15 3960 SIERRE

- attentes des formateurs attentes des maîtres.. . ' - etc. Il est impossible de tout citer et de nombreux autres thèmes méritent réflexion, des diverses approches méthodologiques et didactiques aux soucis d'évaluation, des classes enfantines à l'école primaire (pensons p.ar exe~ple aux classes à plusieurs niveaux, aux postes à mitemp~, etc.), des cycles préprofesslOnnels aux cycles prégymnasiaux (pensons par exemple aux problèmes d'orientation et à ceux des relations avec les familles, etc.).

Les propositions ci-dessus Sont donc indicatives. Le but de ces ateliers est de proposer des thèmes de réflexion qui permettent à chaque participant de s'intégrer dans un groupe qui le passionne. D'autres propositions sont donc les bienvenues et c'est un ensemble plus vaste que celui-ci qui sera proposé aux congressistes dans les documents définitifs.

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Ecole suisse de tourisme Schweizerische Tourismusfachschule

Séminaire des sciences de l'éducation Quai Robert-Comtesse 2 2000 Neuchâtel

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But de l'école

Structures

Enseignement

Promouvoir la formation et le perfectionnement des personnes employées ou désirant s'engager dans une activité du domaine touristique et parfaire la formation des professionnels du tourisme.

Formation à plein temps d'une durée d'une année, plus une année de stages pratiques.

Le programme d'enseignement comprend les sujets suivants: l'offre touristique - la demande touristique - économie et tourisme - informatique et statistique - géographie touristique - droit et législation - techniques professionnelles - travaux pratiques - langues.

L'école suisse du tourisme propose de former des cadres.

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En prêt à 1'00lS - 2 caméras VHS - 1 caméscope VHS - 1 caméscope Vidéo 8

Sierre Ecole suisse de tourisme Enseignement professionnel Publique Mixte - Adultes Externat Reconnue par l'OFIAMT comme donnant un enseignement d'école technique.

Des cours de perfectionnement sont organisés par l'école ou par les associations professionnelles du tourisme en collaboration avec l'école, selon les besoins. La fréquentation de ces cours est attestée par un certificat. Inscription et conditions d'admission

Les inscriptions sont à adresser à la direction de l'école, en principe jusqu'au 1er mai.

Titre décerné

Tout étudiant ayant obtenu une moyenne suffisante aux examens écrits et oraux et ayant accompli avec succès les stages pratiques reçoit le diplôme de l'Ecole suisse de tourisme.

Le candidat doit être en possession de l'un des diplômes suivants:

Délai de réservation: 2 semaines.

- diplômes de commerce; - certificat fédéral de maturité; - certificat fédéral de capacité dans une des professions du tourisme; - titre jugé équivalent.

Durée du prêt : 3 jours.

Sur demande Le responsable d~s MAV de 1'00lS viendra dans votre classe filmer des activités telles que expression théâtrale, activités d'environnement etc. Renseignements - Demandes - Réservations: OOIS Sion, 027/21 6286.

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COUQ&E D'ÉCOLE 1987

Programme vert 12 h 45 : circuit en char attelé (comme ci-dessus)

avec

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13 h 45 : promenade Saignelégier-Muriaux-Les Somêtres, vers le Noirmont

EXPQE~»

15 h 45: arrivée au Noirmont. Retour 15 h 46 : départ du Noirmont (groupe vert seulement) 16 h 00 : départ de Saignelégier (groupe rouge et groupe blanc).

Les CFF et les Chemins de fer du Jura (CJ) font de la réclame pour des courses scolaires à destination des Franches-Montagnes en mettant en marche des trains spéciaux. De mai à septembre, un train-bloc formé de huit voitures légères peintes au nom évocateur de «Jurail Express» circulera une trentaine de fois en direction du Jura. Les CFF reprennent en effet une formule qui, en 1981, avait attiré des dizaines de milliers d'élèves au spectacle ferroviaire présenté à Wassen pour célébrer le centenaire du St-Gothard. Dans les Franches-Montagnes, les CJ proposent un programme facilement combinable avec celui des classes scolaires. Grâce au système avantageux du train-bloc,

Organisation

le prix du voyage s'élèvera à 19 francs par écolier, quelle qUe soit la distance. Ce prix englobe des prestations supplémentaires telles que char attelé, transfert en autocar et assurance.

Le train spécial circule selon un horaire particulier, qui indique l'heure exacte de départ du Jurail Express. Nous vous conseillerons volontiers sur la façon d'accéder à cette gare, même au départ des lignes des chemins de fer privés. Si vous désirez entreprendre l'excursion avec vos élèves, veuillez vous annoncer à l'aide de la carte de réservation ci-jointe. Nous avons déjà mis au point, pour vous, le programme complémentaire à Saignelégier.

Destination du voyage Le Jura, plus précisément les Franches-Montagnes , à Saignelégier. Le Jurail Express, train spécial aux couleurs inédites collectera à des dates précises les classes d'école d'une région et les transportera à La Chauxde-Fonds ou à Glovelier. De là, un train spécial des Chemins de fer du Jura assurera l'acheminement des groupes d'enfants vers Saignelégier. Le voyage à lui seul constituera déjà une fête . Retour en fin de journée, par les mêmes trains .

Il ne vous reste plus qu'à indiquer les heures de départ et d'arrivée à vos élèves et à leur rappeler de ne pas oublier leur pique-nique. Si vous désirez suivre un programme individuel entre l'arrivée et le départ du train à Saignelégier, veuillez nous en informer au moment de l'inscription. Départ du Valais 12.06.1987 Sierre, Sion, Martigny, St-Maurice. 15.06.1987 Sierre, Sion, Martigny, St-Maurice.

Programmes Le matin: programme commun aux trois groupes 10 h 30: arrivée et réception à Saignelégier

]URAIL EXPRESS

11 h 00: montage audio-visuel sur le canton du Jura dans le nouveau centre de loisirs, près du Marché-Concours

Vendredi Lundi

12 juin 1987 15 juin 1987

11 h 30: g~a~d pique-nique au Marché Concours (dans le centre de lOIsirs en cas de mauvais temps).

Une offre exceptionnelle pour les écoles primaires du Valais!

Programme rouge

Train spécial accompagné de guides CFF Valais - Jura

12 h 45: circuit par groupes en char attelé (env. 10 min .)

Inscriptions et renseignements dans toutes les gares du Valais

13 h 45: départ en car pour l'étang de la Gruère, promenade au ' bord de l'étang et retour à Saignelégier à pied (env. 1 heure et demie).

Nombre de places limité

Une merveilleuse balade au Jura pour 19 francs par élève!

Programme blanc 12 h 45: promenade à l'étang de la Gruère, retour à Saignelégier en car (à l'inverse du programme rouge) 14 h 30: circuit en char attelé à Saignelégier (comme ci-dessus). 18

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A LA DÉCOUVERTE DE LA PEINTURE...

LE TRIPTYQUE DE LOTSCHEN o

Ma classe aimerait faire une excursion dans le Jura. Ecole et classe :

Monsieur Michel Gaillard , délégué pédagogique aux musées cantonaux valaisans, présente une série de dossiers pédagogiques dont le but est de donner aux jeunes la possibilité de connaître et de comprendre certaines œuvres d'art.

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Nombre d 'élèves: ____ Nombre d'accompagnants: _ Responsable (nom): _ ____________________ Adresse: ______________ _ ___ _ _ ___ Numéro de téléphone :

Le premier de ces documents ayant pour thème «Un retable du Moyen Age, le triptyque de Lotschen» est sorti de presse.

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Dans ce dossier, Monsieur Michel Gaillard, à l'aide de dessins, de schémas et de photos , décrit les 3 panneaux du triptyque et en détaille la composition .

Au départ de la gare de ________________ Veuillez m'appeler aux heures suivantes : _ _ _ _ _ __ __________ Variante d'excursion rouge 0 blanche (prise dans l'ordre d'arrivée des inscriptions).

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J'ai mon programme à Saignelégier.

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Env~yez-moi le nombre de documentation pour les besoins didactiques (selon le nombre d 'élèves indiqués ci-dessus) . Observations:

Il en explique les nombreux symboles, l'importance et le sens de la couleur, de la lumière, et termine son exposé par une analyse stylistique en comparant entre eux les différents éléments des panneaux.

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Ce dossier pédagogique est en vente à l'ODIS de Sion au prix de Fr. 5.-. Le prochain document à paraître traitera d'une œuvre du peintre Gottfried Tritten: «La montagne bleue, hommage à Holderlin» et nous entraînera non seulement dans le sillage du peintre, mais aussi dans celui du poète Holderlin dont l'un ·des poèmes a inspiré le tableau en question. Huguette Rappaz

Dans une deuxième partie et après avoir situé l'œuvre dans son contexte historique et géographique, l'auteur propose une série de fiches techniques évoquant les étapes de la réalisation du triptyque et les matériaux utilisés pour sa composition .

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Des feuillets pédagogiques enfin , suggèrent des travaux aussi bien pratiques que théoriques à partir des informations données et lors d'une visite au Musée cantonal des beaux-arts à Sion où l'œuvre est exposée .

Veuillez renvoyer la carte de réservation à :

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Ce petit livre fort bien conçu peut devenir un outil de travail précieux entre les mains de tout enseignant soucieux d'apprendre à ses élèves la joie de la découverte et de la compréhension d'une œuvre d'art.

Ces fiches sont accessibles à tous les degrés scolaires à l'exception de certaines d'entre elles réservées aux élèves plus avancés dont l'âge est mentionné.

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tp Un livre utile aux enseignants, éducateurs et parents:

L'ÂME ENFANTINE ET LA PSYCHANALYSE de Charles Baudoin C'est un livre fondamental, somatiques», ainsi que les chal'équivalent de toute une biblio- pitres offrant de passionnantes thèque. Illustré de nombreux (et bénéfiques) applications pécas, qui rendent sa lecture pas- dagogiques: «Le rêve et la rêvesionnante, il fait preuve à la fois rie» - «Le jeu» - «Le dessin et de bon sens et d'une grande fi- les activités plastiques» - «Rénesse d'analyse. Complexes, cits, contes et fables». cas, méthodes de traitement sont traités avec une clarté par- La conclusion, «Education et faite et une grande probité in- psychanalyse», est empreinte tellectuelle. On peut le recom- de sagesse et de bon sens, ce qui mander chaleureusement et ne va pas toujours de soi quand sans réserve à toutes celles et à il est question de psychanalyse. tous ceux qui désirent com- Une très importante bibliograprendre «en profondeur» en- phie (mise à jour pour la se édifants et adolescents. Baudoin tion) complète ce livre, dont le sait nous montrer comment ai- succès ne se dément pas: un der les enfants ou adolescents succès qu'il doit surtout à la rébloqués par des conflits psycho- clame de bouche à oreille, logiques. contrairement à tant d'ouvrages Particulièrement utiles pour mineurs que la «pub» et les arnous autres enseignants: les ticles à sensation cherchent à chapitres «Troubles affectifs et répandre. symptômes émotifs» - «Trou- On ne le trouve plus en libraibles intellectuels et difficultés rie, mais il en reste quelques discolaires» - «Troubles mo- zaines d'exemplaires chez notre teurs» (y compris le bégaie- collègue Christophe Baroni, ment, la manie de se ronger les Tattes-d'Oie 85 - 1260 Nyon ongles ... ) - «Conduites agressi- (022) 61 24 82, au prix de ves et caractères difficiles» 30 francs (400 pages). Les «Conduites «élusives» et carac- exemplaires disponibles étant tères faibles» - «Symptômes réservés en priorité aux en sei-

gnants, veuillez preciser qUe vous êtes lecteur de L'Ecole Valaisanne. Réductions de Prix pour des commandes groupées (5 ex. 120 francs, 10 ex. 200 francs). A la même adresse, vous POUvez obtenir de la documentation sur la revue trimestrielle Ouverture (psychologie, graphologie, morphopsychologie, éducation, vie du couple, éducation, «constellation familiale», cas de déblocage scolaire, sophrologie, interprétation des rêves, psychothérapie ... ): 10 francs par an. Dans le dernier numéro, relevons un important article, très objectif, sur les répercussions du divorce sur les enfants (du point de vue affectif, scolaire, etc.). A noter aussi, dans Ouverture, des exercices de «Dynamique mentale» favorisant la souplesse d'esprit et la créativité, avec applications possibles en classe.

Elisabeth Sola

LES DEUX DUFOND ~'SiE1JR! H$lfUR!

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Cherche image de marque Les perspectives qui s'ouvr~nt, en ce début d'année pour la RadiO educative sont positives et réjouissantes. Le voisinage de la nouvelle émissi~n du matin « C'est à vous », patronnee par Daniel Jeannet, a des répercussions intéressantes (Espace 2, 9-10 heures). Il influence à plusieu~s titres le fonctionnement de la RadIO éducative. Enthousiasme, créativité, bourse aux idées, les échanges dy~a­ misent les séances de rédaction, heu de rencontre et colonne vertébrale du matin . Le plus important cependant est vé~u au niveau de l'équipe qui est en tram de se créer. Dans cet esprit, la Radio éducative sort de son ghetto et joue sa carte à part entière . « C'est à vous» donne la parole à ceux avec qui la société s'est faite ou bouge . C'est aussi en la personne d~ l'invité en direct, l'incarnation d'un dossier, l'histoire d'une action racon-

tée par son protagoniste, l'écou~e individualisée d'une parcelle de vie publique . A ce titre, elle peut intéresser les enseignants autant que les parents. Ainsi , chaque lundi et chaque ve'!dredi « C'est à vous » et la RadiO éduc~tive pourraient-ils avoir un fil thématique commun, abordé et traité conformément au mandat et à la spécificité de chacune des émissions. L'expérimentation de ce type de collaboration nous dira s'il est plus judicieux pour la Radio éducative de poursuivre dans ce sens .ou s'il faut distinguer les deux prodUits et revendiquer une complète indépendance. La question d'ailleurs se pose autant pour « C'est à vous » qui cherche u~e image de marque que ~our la ~adlO éducative qui souhaite toujours renouveler la sienne.

Marie-José Broggi


élé\1ision Documentaire Mardi 21 avril, à 15 heures

Le livre que j'suis le héros 1. R. R. Tolkien, un écrivain anglais qui, au travers de son œuvre, a su recréer un univers fabuleux : Le Monde du Milieu. Renouant avec la littérature mythique des contes anglo-saxons, Tolkien nous emmène dans une dimension où l'on croise des nains, des orques et autres personnages tour à tour drôles et inquiétants. L'impact du cycle Le Seign eur des Anneaux fut retentissant aux EtatsUnis et en Angleterre. A tel point que certains lecteurs se sont réunis en clubs de « Tolkiennistes » essayant de faire revivre cet univers magique . De là est né un jeu : « Dungeon and Dragons », D & D pour les initiés (à prononcer à l'anglaise, bien évidemment!).

La puce du graphiste

Un jeu donc où vous êtes un personnage issu de l'imagination du maître britannique. Votre but, la conquête d' une citadelle, d'un trésor, ou d ' une gente personne prisonnière d'un affreux sorcier. Pour ce faire , il vous faudra accomplir un certain nombre d'épreuves desquelles vous n'êtes pas certain de sortir vivant. Passion-

nant! Un défaut cependant, POur jouer à D & D, il faut du temps, beaucoup de temps et réunir autour d'une table tous les joueurs (de 4 à 10 personnes). L'étape suivante fut donc d'inventer un système plus souple . Ce fut l'événement des livres-jeux, ou « Livres dont vous êtes le héros ». C'est en décembre 1983 que Gallimard mit sans trop y croire le premier ouvrage de ce type en vente. Le succès fut retentissant: à ce jour, 2 millions de titres vendus dans la collection. Mais qu'est-ce exactement un livre dont on est le héros? Ce genre de publication est-elle assimilable à un genre littéraire? Quel est le public ciblé par les éditeurs ? Quelques questions auxquelles répondra en outre ce film tiré des archives de la TV et qui fut diffusé dans le cadre de l'émission « Livre à vous ».

Documentaire Dernier vol de synthèse

TV-Scopie

Dfffusion: Lundi 4 mai, vers 16 h. 45 Mardi 5 mai, vers 15 heures Samedi 9 mai, vers II heures Mais non, mais non, rassurez-vous. Notre graphiste n'a pas attrapé de petites bêtes. Il a juste accueilli sur sa palette une puce venue d' ailleurs ... de Silicon Valley . Plus de crayons, plus de papier, le dessin électronique est né. Le stylo, relié par un fil à l'ordinateur, a remplacé le pinceau traditionnel. Le dessinateur a désormais entre les doigts un nouvel outil qu'il va falloir apprendre à manier. Est-ce que l'avènement de cette nouvelle ère va modifier le travail du graphiste ? Est-ce que la profession d ~:~ ~ Q

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'graphiste traditionnel est mise en , péril ? Est-ce que la création artistiqu e va en souffrir ? Autant de questions sur lesquelles TV-Scopie s'est penché, autant d'images étonnantes pour illustrer les possibilités innombrables d' un instrument magique: l'ordinateur graphique. Contraste entre le graphiste traditionnel qui vit de son coup de crayon et aime voir l'encre couler sur le papier et la table graphique électronique disposant de 16 millions de nuances de couleurs, d'effets de transparence, de dégradés lumineux, bref tout ce qui est imaginable est réalisable, ou presque ... Mais l'utilisation de la machine n'est pas si simple et certains graphistes ne sont pas si enthousiastes.

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Si vous voulez en savoir plus, eh bien regardez les 4, 5 et 9 mai l'émission TV-Scopie ,«La puce du graphiste».

Film étonnant. Un pilote dans un simulateur de vol. Images saisissantes pour le commun des mortels. Devant nous défile un paysage entièrement synthétique, créé sous nos yeux par un ordinateur. Mélange d' images de synthèses et de textes de Saint-Exupéry, ce film marie admirablement poésie et hautes technologies. Ce documentaire est un bon exemple de ce qu ' un ordinateur,8f~phiqu~ ~rès perfectionné peut offm a un utlhsa~

teur spécifique (le pilote de chasse). Mis à part le prolongement du TVScopie « La puce du graphiste », cette émission intéressera sans nul doute le maître de français en ouvrant de nouveaux horizons à la création poétique.

Mardi 26 mai, à 15 heures Mardi 2 juin, à 15 heures Mardi 9 juin, à 15 heures

Merci Monsieur Robertson ou la préhistoire du cinéma Depuis longtemps, la TV éducative cherchait à vous présenter un document sur les inventions et péripéties qui ont précédé la naissance d~ cinéma. Ça y est, nous avons trouve cette perle rare. Et nous vous proposons de suivre ce film, produit en Belgique par Pierre Levie, un mélange de fiction et de documentaire . « Une jeune femme pénètre dans le théâtre où se joue la Fantasmagorie, un spectacle combinant l'image obtenue par la lanterne magique avec des effets de fumée , d'optique, de miroirs, de musique. » Elle voudrait revoir l'image de son cher disparu. » - Aujourd'hui cela m'est impossible, lui dit Robertson, mais bientôt

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!pt on pourra faire revivre les gens sur de grands murs blancs ... » Après la Fantasmagorie apparaissent le fantascope , le zootrope, le praxinoscope ; autant d' inventions aux noms bizarres que vous apprendrez à connaître . Ces machines permettent de montrer

une succession de dessins, en tentant de donner l'illusion du mouvement. Les « bandes dessinées » projetées eurent un succès énorme. Les auteurs du film que nous diffusons ont reconstitué en animation filmée les histoires dessinées qu'Emile Reynaud projetait de manière artisanale à

l'époque. Bien des inventions et perfectionnements furent encore nécessaires pour que, finalement, les frères Lumière parviennent à faire fonctionner la première caméra-projecteur. Cette invention était la synthèse des travaux des créateurs qui mirent au point la lanterne magique et donnèrent naissance à l'animation et à la photographie . La TV éducative diffuse ce long métrage en trois épisodes.

1re partie (26 mai) Le' spectacle de Fantasmagorie de M. Robertson. Le théâtre d 'ombres et la lanterne magique. 2e partie (2 juin) De Plateau à Reynaud. Joseph Plateau dégage les lois de l'optique. Emile Reynaud invente le praxinoscope.

A vous la chanson ! par Bertrand Jayet

Les Zygomatiques

3e partie (9 juin) La _n aissance de la photographie. La chambre obscure. Nicéphore Niepce et Daguerre. Les travaux de Marey, Muybridge, Edison. Quel est le véritable inventeur du cinéma?

Télactualité Lundi 27 avril, vers 16 h. 45 Mardi 28 avril, vers 15 heures Samedi 2 mai, vers 11 h. 35 Lundi 18 mai, vers 16 h. 45 Mardi 19 mai, vers 15 heures Samedi 23 mai, vers 11 h. 35

d-eux écoliers d'un canton romand, avec lesquels nous visionnerons les nouvelles des Tl de la semaine qu'ils auront sélectionnées. Si vous avez réalisé un film, n'oubliez pas de le présenter à un des nombreux festivals de films:

Ecole et cinéma Délai de remise des films : fin mars Dates: en mai, annuellement (1987: du 20 au 23 mai)

Adresse: Centre d'initiation au cinéma 25, chemin du Levant 1005 Lausanne (021) 221282

N'oubliez pas la nouvelle formule de T élactualité, ayant

pour but de mieux fa ire comprendre le « feuilleton » des nouvelles diffusées par le Téléjournal. L'émission sera partagée en deux tranches . Dans la première partie, nous allons reprendre une « nouvelle brève» du Tl. Nous revisionnerons ensuite cette « brève » en nous arrêtant deux ou trois fois pour nous permettre de déboucher sur un minireportage réalisé par la TVE. Ces tournages éclaireront de manière plus spécifique, et moins abstraite, certains aspects énoncés dans la nouvelle originale. Dans la seconde partie de l'émission, nous accueillerons

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Festival de la Cosma Délai de remise des films : fin mars Dates : en mai, annuellement (1987: 20 mai)

Adresse : ONDP M. Jean Martenet Champréveyres 3 2000 Neuchâtel (038) 223925

Festival vidéo-jeunesse Festival romand de vidéo Délai de remise des films: 5 mars Date : 18 octobre à Sierre

Adresse: Jeune Chambre Economique Case postale 313 3960 Sie/Te

Les textes des chansons sont publiés avec l'aimable autorisation des Editions Musicales Barrier-Lelou, Paris .

Les Zygomatiques

Madame Noix de Coco

1.

Festival de Veyrier

Je m'appell' Chou Pâle, je me porte bien On m'appelle Rose Fleur à caus' de mon teint On s'est associés pour aider les gens nostalgiqu's Pour leur réapprendre l'usag' des zygomatique's Zygomatiqu's --- zygomatiqu's Zygomatiqu's --- zygomatiqu's

Délai de remise des films: 15 septembre Dates: du 15 au 17 octobre

Adresse: SMAV Case postale 222 1211 Genève 28

2.

Rediffusion de 10 TV-Scopie dans la grille d'été

Les zygomatiques, tout le mond' le sait, Sont deux muscles sous les joues, pas très loin du nez Le petit zygomatique fait saurir' les gens Pour les grands éclats de rir' on se sert du grand Zygomatiqu' --- Ensemble : Zygomatiqu' Zygomatiqu' --- Zygomatiqu'

Dans le cadre de la grille d'été de la TSR, vous pourrez voir ou revoir une sélection de 10 TV-Scopie qui seront diffusés le dimanche .

3.

Sais-tu que la barbe de Victor Hugo Cachait les zygomatiqu's d'un homm' rigolo? Oh oui le saurir' c'est bien la marque du génie Regarde Voltair' souriant de tous ses petits Zygomatiqu's --- Ensemble : Zygomatiqu's Zygomatiqu's --- Zygomatiqu's

-

Dossier complémentaire:

Ricet Barrier met aimablement à disposition des enseignants le texte de la comédie musicale, ainsi que les partitions des dix chansons. Qu'il soit ici remercié de ce geste généreux! Pour obtenir gratuitement cet important dossier complémentaire, vous pouvez écrire à l'adresse suivante: A vous la chanson! Radio Suisse romande Boulevard Carl- Vogt 66 1211 Genève 8

Merci de joindre à votre envoi une enveloppe A4, dûment adressée et affranchie . Droits d 'auteurs - copyright

1.

Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco A du poil sur le dos l'hiver comm' l'été Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco L'hiver n'a jamais besoin de se chauffer Co co co co co co co co co cotier bis 2.

Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco Fabriqu' du bon lolo pour tous ses bébés Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco A du bon lolo pas besoin de laitier Coco .. .. ....... .. ..... tier (bis) 3.

Liste des TV-Scopie rediffusés:

-

Trucages pour le western Anatomie d'un fait divers Les vidéo-clips L'image, le commentaire et la réalité La musique de film Histoire de trains, histoire d'affiche Ainsi font les sons La cartographie Métropolis Enfant comédien

Un petit ouistiti Un petit ouistiti Grimpe au cocotier pour chiper le bon lait Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco Lui lanc' sur le dos quelques noix de coco Pan pan pan pan pan pan pan pan sur le dos

bis

4. 4.

Je m'appell' Chou Pâle, je me porte bien On m'appelle Rose Fleur à caus' de mon teint, On s'est associés pour dérider les nostalgiqu's Pour leur réapprendre l'usag' des zygomatiqu's Zygomatiqu's --- Zygomatiqu's Zygomatiqu's --- Zygomatiqu's

Pour plus de renseignements, nous vous renvoyons à vos programmes TV habituels .

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Comédie musicale de Ricet Barrier et Bernard Lelou Conteur merveilleux au sac à feuilles inépuisable, chansonnier abordant son sujet sous un angle toujours original, musicien influencé parle jazz, Ricet Barrier a écrit, en collaboration avec Bernard Lelou, une comédie musicale pour les enfants où le rire et le sourire dominent: Les Zygomatiques. Les aventures extraordinaires de Chou-Pâle et RoseFle ur, déjà montées par des enfants de Froideville, La Sarraz et Pully, vous seront racontées en deux émissions. Ainsi Ricet vous emmènera en Afrique où les éléphants portent des souliers, au Texas où le Big Chef Cactus tire sur tout ce qui bouge, au vert pays des petits pois, à la fête fo raine où le petit acrobate Caoutchouc et son ourson dansent sur la place du marché, et même à l'école de Myosotis, un charmant garçon un peu distrait, qui apprend l'anglais en rêvant.. . Les auditeurs auront l'occasion de chanter avec l'orchestre to us les airs de la comédie musicale.

Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco A retrouvé toute sa tranquillité Madam' Noix de Coco Madam' Noix de Coco A deux grands gorill's pour garder l'cocotier Co co co co co co co co co cotier bis

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L'éléphant blanc 1.

Le Big Chef Cactus

C'est l'histoir' d'un éléphant blanc Pas du tout gris comm' ses parents Son pèr' était gris Et sa maman l'était aussi C'est la couleur des éléphants Ils naissent gris naturell'ment Sauf cet éléphant Qui naquit blanc tout blanc, tout blanc 1/ était blanc, blanc, blanc Comm' la neige du Mont-Blanc 1/ était blanc, blanc, blanc Comm ' le cygne sur l'étang

2.

Voyant qu'il n'était pas dans l'ton Il devint roug' de confusion Son papa lui dit Qu'importe qu'on soit blanc ou gris Ce qu'il faut c'est avoir bon cœur Ça compt' bien plus que la couleur Le p'tit éléphant Devint tout ros' de content'ment

1-

3.

Le Big Big Big Big Big Big Big Big Chef Cactus A un saI' caractèr' plus piquant qu'un cactus Il a d'la dynamit' Dans ses poch's de gilet, Et quand quelqu'un l'invit' Il répond à coups d'pistolet Et tac tac tac tac ...

Le Big Big Big Big Big Big Big Big Chef Cactus Fait peur aux voyageurs des p'tits trains omnibus Il s'agite tell'ment Pour conter ses exploits Que tout le mond' descend Avant qu'i' n' fass' sauter l'convoi Et tac tac tac tac ...

2. Le Big Big Big Big Big Big Big Big Chef Cactus Entre dans le saloon couvert d'un grand gibus Pour app'ler le garçon Il vide son chargeur Tant pis si le plafond S'écrouI' sur les consommateurs Et tac tac tac tac ...

4.

Le Big Big Big Big Big Big Big Big Chef Cactus A eu en se mariant beaucoup de p'tits cactus Il est calme et serein Son cœur est plein de joie Avec tous ses bambins Qui font plus d'bruit que leur papa Et tac tac tac tac ...

Deuxième émission

Petite Cacahuète

1/ était blanc, blanc, blanc Comm ' la neige du Mont-Blanc 1/ était blanc, blanc, blanc Mais changeait de temps en temps

1.

Petit' Cacahuèt' va danser tous les mercredis Mais son professeur a des soucis Ell' n'est pas douée pour fair' des bonds Des petits pas Des entrechats Des jolies ailes de pigeon P~tit' Cacahuèt' voudrait bien êtr' un papillon Helas ell' manqu' de dispositions Les bras en l'air les pieds tordus Elle s'envol' Et dégringol'

3.

Il dev'nait bleu comm' le ciel bleu Quand il avait une peur bleue laun' comme un narciss' Quand il attrapait la jauniss' Il était vert comme un' salad' Les jours où il était malad' Il était tout noir Quand il barbotait dans la mar'

Parlé: En faisant craquer son p'tit tutu! (et tac! tac! «crac» tac! tac! tac! POUM, par terre! Oh zut!)

1/ était blanc, blanc, blanc Comm' la neige du Mont-Blanc 1/ était blanc, blanc, blanc Mais devait s'laver souvent

2.

Petit' Cacahuèt' n'est pas du tout découragée Malgré une bosse sur le nez Elle repart en s'trémoussant Elle répèt', Sur ses claquett's Des petits pas et mêm' des grands Maintenant quand elle va danser le mercredi C'est un vrai oiseau de paradis Et ses amis enthousiasmés Battent des mains Battent des pieds Vraiment ell' danse comme une fée!

4.

Cet éléphant de tous les tons Adorait son p'tit frèr' Léon Sitôt qu'il pleurait Gentiment il le consolait Tous ses jouets tous ses bonbons Il les donnait au p'tit Léon Ah qu'il était bon C't'éléphant qui aimait Léon 1/ était bon, bon, bon C'est pour ça qu'il changeait d'ton C'était un bon, bon, bon ... Eléphant Caméléon

Coda:

Pour réussir, faut persévérer!

L'élève Myosotis

Le pays des petits pois

1-

1.

L'élève Myosotis, Myosotis, Myosotis Est toujours très distrait Il n'écoute jamais en classe d'anglais Quand la maîtress' lui dit: Myosotis, Myosotis, Veuillez donc répéter. .. Madam' j'ai tout oublié! Myosotis forget me not Myosotis ne m'oublie pas ...

Au pays des petits pois Il y a beaucoup d'petits pois Des tas de gros petits pois Des tas d'petits petits pois Mais parmi ces petits pois Il y a un petit pois Qui se sent perdu ma foi Dans cett' marée de p'tits pois Un petit pois, deux petits pois Trois petits pois ... quatr' petits pois Cent petits pois ... mill'petits pois!

2.

2.

Pour aider Myosotis, Myosotis, Myosotis La petite Violett' Se penche vers lui pour souiller en cachett' Forget, forget me not Myosotis, Myosotis Allons écoute-moi ... Violett' je ne comprends pas! Myosotis forget me not Myosotis ne m'oublie pas ...

Et tout seul le petit pois S'en est allé dans le bois Il voulait vivre sa vie Très loin du monde et du bruit Mais un orage éclata Personn' n'aida le p'tit pois Ce n'est pas drôl' quand on r'çoit Des grêlons gros comm' des pois Un petit pois ... deux petits pois ... Trois petits pois ... etc.

3.

3.

L'élève Myosotis, Myosotis, Myosotis Le soir en se couchant Songe à son amie Violett' en souriant Et il entend sa voix ... ...... Myosotis, Myosotis Forget me not ......... ............ ça y est le sais ma leçon d'anglais Myosotis forget me not. .. Myosotis ne m'oublie pas!

Mais tous les autr's petits pois Sont v'nus chercher le p'tit pois Armés de grands parapluies Et d'conseils de modestie Le p'tit pois était sauvé Et comprit que l'amitié C'est le moyen d'être heureux Même en se serrant un peu Un petit pois ... deux petits pois ... Trois petits pois ... etc., «reprise ad libitum»

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En faisant les yeux doux Pour qu'on lui jett' des sous Caoutchouc ... Caoutchouc ... et hop (bis)

Mademoiselle Rose et le saule pleureur 1.

3.

Mad'moisell' Ros' rêvait dans son jardin Quand elle entendit au lointain La triste voix d'un petit saul' pleureur Qui pleurait bien plus qu'un saul' pleureur Il pleurait la nuit, il pleurait le jour Il pleurait, pleurait, pleurait Etait-ce le rhum' Ou le clair de lune Il pleurait, pleurait, pleurait toujours

Quand Caoutchouc (bis) Voit un' jolie fille Quand Caoutchouc (bis) La trouve gentille C'est son petit ourson Qui joue d'l'accordéon En mettant tout son cœur Pour qu'ell' n'aill' pas ailleurs ... Caoutchouc ... Caoutchouc ... et hop (bis)

2.

Mad'moisell' Ros' mit sa rob' de velours Et son maquillag' des grands jours Pour embrasser le petit saul' pleureur Qui versait des larmes de bonheur Il pleurait la nuit, il pleurait le jour Il pleurait, pleurait, pleurait Quand on aime une ros' Il faut qu'on l'arros' Il pleurait, pleurait, pleurait toujours

4.

Quand Caoutchouc (bis) Retire ses bottes Quand Caoutchouc (bis) Part dans sa roulotte C'est son petit ourson Qui joue d'l'accordéon Demain on va danser Sur un autre marché Caoutchouc ... Caoutchouc ... et hop

3.

Mad'moisell' Ros' lui offrit son mouchoir Mais rien n'arrête un arrosoir , Et ell' partit sa rob' tout inondée En lui laissant l'adress' d'un plombier Il pleurait la nuit, il pleurait le jour Il pleurait, pleurait, pleurait Quand on aime un' ros' Il faut fair' autre chos' Que d'pleurer pleurer toujours Il pleurait, il pleurait, il pleurait...

Demain, il fera beau

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1.

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Demain il fera beau La météo nous l'a promis Demain il fera beau On fermera les parapluies .. . Demain les p'tit's prunell's Se bruniront sur les coteaux Demain les coups d' soleil Feront rougir les coqu'licots!

Caoutchouc 1.

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2.

Quand Caoutchouc, quand Caoutchouc Enfile ses bottes Quand Caoutchouc, quand Caoutchouc Sort de sa roulotte C'est son petit ourson Qui joue d'l'accordéon Pour le faire danser Sur la plac' du marché Caoutchouc ... Caoutchouc ... et hop (bis)

Demain il fera beau La météo nous l'a promis Demain il fera beau Tous les espoirs nous sont permis Demain les tournesols Se tourneront vers leur patron Demain tout's les coroll's Inviteront les papillons! 3.

2.

Demain il fera beau La météo nous l'a promis Demain il fera beau Tous les espoirs nous sont permis

Quand Caoutchouc (bis) Danse sur la place Quand Caoutchouc (bis) Bondit dans l'espace C'est son petit ourson Qui joue d'l'accordéon

L'actualité au

:'~ /, "quotidien, c'est un d'images, " d'informations multiples dont on ' connaît malles tenants et les aboutissants. Comment aller au-delà de l'illusion , du savoir? Comment saisir les mécanismes qui règlent l'événement, qu'il soit culturel, social, politique ou économique? Depuis le mois de janvier 1987, la Radio éducative, dans son émission mensuelle « L'Air du temps », traite chaque mois d' un sujet dont l'actualité perdure (le look, les mouvements étudiants, Sandoz cinq mois après) . Encore faut-il, pour apprendre à maîtriser l'actualité, sensibiliser les élèves à des thèmes qui les touchent. Quels sont-ils? Par quoi sont-ils concernés ? Pour répondre à ces questions, nous avons besoin du concours des maîtres et des élèves. Faites-nous part de vos idées, de vos suggestions en remplissant le talon ci-joint et en l'envoyant à

Radio éducative «L 'Air du temps» 12J1 Genève 8

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Demain il fera beau, etc.

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Conte inachevé 4 mai, 22 juin

Rêver avec Henri Gougaud et le héros du jour, Yvan Turbinka On a dit d'Henri Gougaud, qu'il est tout à la fois un Homme-Chansons u(;) Homme-Paroles et un Homme~ Plume.

On lui doit en effet « La matinée» i~terprétée par Jean Ferrat, des émissions sur France-Inter et TF1 des livres dont Départements et Territoires d'Outre-Mort, qui lui a valu le GoncourLde I.a nouvelle. Mais c'est pour sa connaissance des contes et des légendes qu'il a réunis dans L'Arbre à Soleils que la Radio éducative l'a rencontré. Parce qu'il a l'art précieux et subtil de faire partager ses rêves; de sa voix chaude de Méridional il nous enjoint de rêver plus haut que'notre front. Un conseil que les enfants suivront sans

se faire prier en écoutant les frasques d'Y van Turbinka, l'un des plus fameux soldats de l'armée russe. Sur le point d'interrogation laissé à l'histoire volontairement, les élèves construiront des épilogues qui rivaliseront avec la fin imaginée par l'auteur.

Délai d'envoi des épilogues: 30 mai 1987 à /'adress~ habituelle: Radio éducative Maison de la Radio 1211 Genève 8

La Radio raconte l'histoire 8 mai, 5 juin

1950-1952

Radio éducative L'Air du temps

Espace 2

Initiation musicale

Dis, c'est quoi ...

27 avril

Thèmes proposés

L'Oreille en colimaçon nous invi-

te au voyage. Musique d'ailleurs est une manière de découvrir aujourd'hui la Pologne.

Nom ______________________ Prénom __________________ Classe ___________________ A ge ___ _______ _ __ Ecole _ ______ _ __ __ __

Enseignant ___ _ _ _ __ _

Sur le fil des souvenirs de Ben Zimet un ~usicien connu, nous découvron~ la vie et les traditions d'une famille juive. Au hasard des chansons et de la musique yiddish, Ben Zimet met à la portée des petits des éléments de discussion autour des thèmes de la guerre, de la religion, d'un pays.

Editeur responsable: Radio-Télévision éducative romande Sous-commission de production Avril 1987 Conception graphique Philippe Aquoise, Lausanne.

D ate _____ __ __ __ _ __

les mammouths, le venin? 11 mai, 15 juin

Don Juan et ses miroirs 22 mai

Une nouvelle tranche d'actualité traitée par Jean-Claude Widmer pour ces trois premières années des fiftes : Guerre et signes de paix se disputent la «Une». Aux USA, le président Truman poursuit des recherches pour laJabrication de la bombe «H ».' La guerre de Corée débute le 25 juin 1950. Parallèlement la signature de la Convention des droits de l'homme et la pose de la première pierre du bâtiment de l'OMS à Genève distillent un peu d'espoir. En Suisse, 1951 sera l'année de la naissance de la TV, et 1952 celle de la création de la Cité radieuse à Marseille par Le Corbusier. Le jazz voit monter au firmament Mahalia Jackson et le Modern Jazz Quartet. L'Asie s'enflamme avec la Corée, l'Indochine et la Chine où les événements se précipitent. A suivre.

Réalisée par Ruth Scheps, cette série met au défi les scientifiques de notre Pour les jeunes enfants, ils explIquent la vie, l'univers; ils tentent de mettre à leur portée des notions parfois abstraites en des termes les plus simples possible. C~s émissions, pour la plupart, se presentent sous forme d'entretiens. Ils n'ont rien de scolaires au sens d'une matière calibrée, prédigérée et ne sont utilisables qu'avec l'aide de l'enseignant. Il s'agit plus d'entrer dans un monde, d'y glaner des notions qui ouvrent et dépassent l'horizon de l'apprentissage pur. Toutes les informations concernant des expériences faites en classe avec cette série d'émissions sont les bienvenues pour nous aider à en mesurer l'impact. Ecrivez-nous à l'adresse habituelle

Initiation

« Envié, .haï, glorieux, dominateur, Don Juan à la fois inquiète et fascine» (J. Duron, Valeurs). De Tirso de Molina à la mise en scène de Benno Besson à la Comédie de Genève, Don Juan traverse le temps et subit les métamorphoses que lui impose l'imagination des poètes. Prestige et mystère, tel est son lot. Comment ce séducteur devient-il le Séducteur mais aussi le symbole d'une protestation vaine et dramatique contre le destin? A suivre ...

Attention! Nouveaux jours de diffusion

L - Lundi 9 h. 30 (6-10 ans) V - Vendredi 9 h. 30 (10-16 ans)

Heure «H» de la S.F.

Résultats du concours 8 et 12 juin Plein succès pour cette opération d'écriture et, d'emblée, un grand bravo à tous ceux qui nous ont envoyé les quelque 200 histoires venues de toute la Suisse romande. Un comité de lecture s'est mis au travail et opère une présélection des textes afin de la présenter au jury qui se réunira à la fin du mois d'avril. Il sera présidé par un grand de la S.F. française, M. Gérard Klein, auteur de nombreux romans et nouvelles de science-fiction, anthologiste et directeur de la collection « Ailleurs et demain» aux Editions Laffont, à Paris. Des professionnels de la radio, de la presse écrite et des enseignants choisiront les histoires qui seront diffusées lundi 8 juin et vendredi

12 juin sur Espace 2, à 9 h. 30

Initiation musicale

tem~s.

-19 juin

tamorphoses d'un héros Figaro, Don Quichotte, Pelléas et Mélisande! Autant de personnages mythiques, issus de la légende ou de l'histoire. De tout temps, ils ont excité la curiosité des musiciens. François Hudry, dans une comparaison vivante et passionnée, juxtapose les compositions; il nous fait saisir ainsi l'évolution de ces figures par rapport à leurs créateurs successifs. Dans un patchwork sonore, on" pourra juger de l'influence d'une époque sur les formes musicales et l'image de marque de ces héros.

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Le directeur ec8t nommé

Avril L 27 In itiation musicale L'oreille en colimaçon

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1" Actualité L'air du temps Conte inachevé Rêver a"ec Henri Gougaud et son héros Y"an Turbinka V 8 La Radio raconte l'h istoire Les années 1950 à 1952 (1" parlie) L Il Dis c'est quoi. .. Les mammouths e( les éléphants? V 15 Actualité Linesen mire (Salon de Genève) L 18 Environnement Des fourmis, des fourmis, encore des fourmis V 22 Init iation Don Juan et ses miroirs L 25 A vous la chanson! « Les Zygomatiques», une comédie mu sicale de Ricel Barrier (Ir(' partie) V 29 Actualité L'air du temps L

4

«L'Ecole valaisanne» et la presse quotidienne ont communiqué les informations se rapportant aux changements qui sont survenus et qui se produiront encore dans le domaine du fonctionnement des écoles normales. Il nous plaît aujourd'hui d'utiliser

à nouveau les colonnes de cette publication pédagogique pour saluer le directeur de l'Ecole normale mixte du Valais romand et pour prendre congé de Sœur Ursula Staffelbach ainsi que de Monsieur l'abbé Johann Roten.

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lu A vo us la chan son!

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«Les Zygomatiques», de Ricet Barrier{2 e partie)

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La Radio raco nte l'histoire Les années 1950 à 1952 (2' parlie) Heure «H» de la S.F. Résultats du concours (1 ' (, partie)

C'est en séance du 1er avril dernier que le Conseil d'Etat du canton du Valais, sur la proposition du Département de l'instruction publique, a appelé Monsieur Jean-François Lovey à la fonction de directeur de l'Ecole normale mixte du Valais romand avec entrée en activité officielle au 1er septembre 1987.

Heure « H » de la S.F. Résultats du concours (2' parlie) L 15 Dis c'est quoi ... Le venin? Il 19 In itiation musicale Métamorphoses d'un héros L 22 COnie inachevé Epilogues imaginés par les enfants V 26 Actualité L'air du temps

Telévision Educative Dilliisiol/s:/I/I/di: /6 h. 45 mardi : \'ers /5 hellres samedi: l'ers Il h.

Si la nomination s'est faite avec une avance de cinq mois, c'est pour permettre au nouveau responsable de prendre à titre officieux et préalable tous les contacts nécessaires en vue de la mise en place de la prochaine année scolaire et pour rendre possible sa propre succession à la tête de l'ODIS de Sion. Il importe en effet que les changements de personnes ne perturbent pas les fonctionnements et que l'école n'ait pas à souffrir des mutations qu'imposent les circonstances.

Avril Mardi2! Documentaire: cc Le line que j'suis le héros H ou la saga des li vres-jeux. L/II/di 27, mardi 28 el samedi 2 mai

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L/II/di /8, mardi /9 el samedi 2] Télactualité.

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Un communiqué de la Chancellerie de l'Etat du Valais, publié le 2 avril 1987, a dit l'essentiel de la personne du nouveau directeur . Ce dernier étant bien connu des enseignants de l'école valaisanne de par les fonc-

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Documentaire: Merci Monsieur Robertson (3).

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tions qu 'il exerce depuis sept ans au sein du Département de l'instruction publique, nous n'en ferons pas une nouvelle fois la présentation détaillée.

lui souhaitons le succès dans l'exercice de ses nouvelles fonctions. Le processus de regroupement des écoles normales, dont la phase finale correspond à l'achèvement de la présente année scolaire, nous conduit tout naturellement à rendre hommage aux personnes qui s'en vont: Sœur Ursula Staffelbach et Monsieur l'abbé Johann Roten, qui ont assumé pendant de nombreuses années la direction des deux écoles normales.

Disons cependant, et il importe de le souligner, que Monsieur Jean-François Lovey a fait preuve, durant son passage à la tête de l'ODIS et comme rédacteur de 1'«Ecole valaisanne), d'une compétence et d'une disponibilité remarquables . Non content de se limiter aux seules activités prescrites dans son cahier des charges, et qu'il a pleinement assumées , il a voué encore beaucoup d'attention et beaucoup de temps pour d'autres services qui lui furent demandés.

Nous les remercions chaleureusement de leur engagement permanent. Notre reconnaissance va également aux professeurs qui ont œuvré avec compétence et dévouement à la formation de normaliennes et des normaliens .

C'est ainsi qu'il apprit à connaître de manière approfondie, tous les rouages de l'organisation scolaire valaisanne et les principaux problèmes de la coordination intercantonale.

A l'occasion d'une manifestation dont la date a déjà été arrêtée, nous aurons l'occasion d'exprimer une nouvelle fois et de vive voix, aux Sœurs Ursulines de Sion ainsi qu'à la Société de Marie, nos remerciements et ceux du Gouvernement pour les éminents services rendus par ces deux congrégations religieuses à la jeunesse valaisanne et au canton tout entier.

Etroitement associé aux travaux qui ont conduit au regroupement des écoles normales, il maîtrise parfaitement le dossier et sera en mesure, dès maintenant et le moment venu, de conduire jusqu'à son aboutissement, une entreprise qui exige beaucoup de ceux qui en ont la responsabilité.

Le chef du Département de l'instruction publique Bernard GOMBY

Conscient des valeurs du passé, persuadé de la nécessité d'adapter sans cesse la formation des enseignantes et des enseignants aux besoins d'une société qui se transforme, Monsieur Jean-François Lovey saura être un directeur ouvert, réfléchi et compétent. Nous lui renouvelons notre confiance et

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o Inscription pour des remplacements

pendant l' année scolaire 1987-1988

Inscription pour des remplacements pendant l'-année scolaire 1987-1988

Pour enseignants(tes) ayant cessé leur activité régulière

Pour enseignants(tes) sans poste fixe (selon décision du Conseil d'Eat du 9 juin 1978 et du 16 avril 1986)

Le(la) soussigné(e) : ._ . .. _. ._._ .. ..... . Nom:

Prénom :

Le(la) soussigné(e) :

Date de naissance: .... . .

N° de tél. (indispensable):

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Prénom :

Domicile : ...... .. ................ ... .. .. .... .

Adresse exacte:

Date de naissance :

N° de tél. (indispensable):

Domicile: ....... .. ... _. .... ..

Adresse exacte : ..... .

Titres pédagogiques obtenus :

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Certificat de maturité pédagogique en 19 _

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Autorisation d'enseigner en 19

Ti tres pédagogiques obtenus:

Brevet pédagogique en 19

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x dans la case qui convient)

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Certificat de maturité pédagogique en 19

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Autorisation d'enseigner en 19 .. _.. _. __ .. ,' _... _.......... .... .. _ Brevet pédagogique en 19 _.. ... _........... .. ... _.. .. _.. .

(Marquer un x dans la case qui convient) est disponible pour assurer des remplacements durant l'année scolaire 1987-1988 aux s: conditions approximatives suivante_ Périodes: __..... ............. __._._._ .. ___.. __ ... __.. . _... _.. ..... _._ .. _... _..... _.. __ .. . _.. _... _.... .. _... ____ .. _._..... _.. _. Durée : du

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est disponible pour assurer des remplacements durant l'année scolaire 1987-1988 aux conditions approximatives suivantes: Périodes :

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REMARQUE

REMARQUE

Cette formule, dûment remplie, doit être retournée dès que possible, mais pour le 30 juin au plus tard, au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales

Cette formule, dûment remplie, doit être retournée dès que possible, mais pour le 30 juin au plus tard, au Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales

Planta 3 - 1951 SION

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$ DÉPARTEMENT DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE DU CANTON DU VALAIS

scolaire ou de la direction, ainsi que de l'insp ecteur, au-delà de 15 jours ou pour des cas exception nels . Le service compétent du département peut contrôler, en tou t temps, le respect de ces norm es et exiger, en fin d 'année scolaire , un rapport préci s sur les congés accordés .

l' du 3 mars 1987

co~cernant l'octroi de congés aux élèves des écoles primaires, professionnelles et secone daires (1 er et 2 degrés) exerçant des activités sportives, culturelles ou artistiques Le chef du Département de l'instruction publique Vu l'article 120ter, alinéa 3, de la loi du 16 mai 1986 introduisant les dispositions d 'organisation du cycle d'orientation dans la loi du 4 juillet 1962 sur l'instruction publique ; Considérant le nombre croissant d'élèves de tous les degrés d'enseignement exerçant des activités sportives , artistiques ou culturelles; Vu les fréquentes demandes de congé présentée ; Considérant que l'école, dans toute la mesure compatible avec ·Ies exigences de l'enseignement, doit favoriser la pratique de telles activités qui concourent au développement intégral de la personnalité de chaque enfant ; Vu les dispositions légales et réglementaires concernant les absences et les congés des élèves, décide: 1. Dans la mesure compatible avec les exigences de l'enseignement, des congés peuvent être accordés aux élèves des écoles primaires des écoles professionnell~s et des écoles secondaires du 1er et du 2e degré pour exercer des activités sportives, artistiques ou culturelles. Demeurent réservées les dispositions spéciales applicables aux classes pour sportifs et artistes. 38

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2. Les parents ou les représentants légaux doivent adresser, au moins deux semaines à l'avance , une demande écrite motivée à la commission scolaire ou à la direction de l'école. Les pièces justificatives (attestations, convocations , etc.) seront jointes à la requête . Dans toute la mesure du possible , ils présenteront, au début de l'année scolaire, le calendrier et le programme détaillés des activités se déroulant sur le temps d'école de leur enfant.

4.1 les exigences de la bonne marche de la classe ; 4.2 les prestations scolaires de l'élève dont la promotion ne doit pas être com-

3.2 la commission scolaire ou la direction d 'école, sur préavis du titulaire de classe, jusqu'à 3 jours effectifs de classe (ou ·30 unités d 'enseignement réparties dans l'année) ;

Langues

Sion, le 3 mars 1987. Le chef du Département de l'instruction publique Bernard Comby

ÉCOLE SCHMID, Alpha CH - 3900 Brigue Commerce Informatique

La formation d'avant-garde

3.3 l'inspecteur scolaire, sur proposition de la commission scolaire ou de la direction, de 4 à 15 jours effectifs de classe (ou plus de 30 unités d'enseignement réparties dans l'année);

1re année :

Cours annuels de langues, allemand 0/4, anglais %. Certificat d'allemand.

2e et 3e années:

Cours de commerce, enseignement allemand, avec langues allemande et anglaise. Diplôme de commerce et Goethe-Diplôme.

4e année :

Cours d'informatique et d'économie, enseignement allemand, avec langues anglaise et italienne. . Diplôme de spécialisation en informatique et dlplome de Cambndge. A

Cours d'été intensif d'allemand, 3 semaines en juillet.

3.4 le Département de l'instruction publique , sur préavis de la commission

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Dans les cas limites , les parents ou les représentants légaux sont avertis par écrit des risques scolaires encourus par l'élève et assument leurs responsabilités. Si un congé coïncide avec un examen scolaire important, l'élève absent doit le subir à une autre date fixée par le titulaire de classe en accord avec l'élève et ses parents .

Institut pour jeunes filles et garçons

3.1 le titulaire de classe pour une durée inférieure à une demi-journée;

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4.3 le motif du congé, la nécessité de la participation de l'élève en fonction de l'importance et de la durée de la manifestation ou de l'activité .

5. Les présentes dispositions sont applicables aux élèves de toutes les écoles publiques ainsi que des écoles privées reconnues et subventionnées par l ' Etat, à l'exception, en ce qui concerne le chiffre 3, des écoles professionnelles. Elles entrent en vigueur immédiatement et abrogent celles du 1er octobre 1974 relatives au même objet.

La clé du succès

3. Pour toute la durée de l'année scolaire, les compétences dans l 'attribution de congés sont fixées dans les limites suivantes :

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4. La décision d 'octroyer le congé sollicité est fondée sur l'appréciation des critères suivants:

promise par des absences fréquentes ou prolongées ;

Pour tous renseignements: téléphone (028) 233646 - 234443.

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* Instructions concernant le calcul des moyennes annuelles

3. Admission en division A du CO 3.1 Pour être admis en division A, l'élève doit réussir un examen d'admission. Cet examen a lieu le mardi 16 juin 1987.

et le passage au cycle d'orientation

3.2 Les élèves dont la moyenne générale (5 e + 6e P) est au moins égale à 5 sont dispensés de cet examen.

4. Résultats des classes d'observation (se + 6 e P)

1. Calcul des moyennes annuelles du livret scolaire 1.1 Calcul de la moyenne annuelle par branche

Calcul des moyennes

Ce calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres et celles de l'examen: la somme divisée par 4. Ex. grammaire-orthographe

4 + 4,6 + 4,6 + 4,8

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5P 5P

Moyenne premier groupe Moyenne générale Moyenne du premier groupe des classes d'observation

4,5

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6P = 6P =

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+ (8* x 6) 10

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(A x 4) + (8 x 6) Moyenne générale des classes d'observation

Dans I~~ branches pour lesquelles n'existe pas l'examen de promotion, le calcul se fait en additionnant les notes de chacun des trois trimestres; la somme est divisée par 3. Ex. ACM: 4,9 + 5,3 + 5,2 = 5,1

10

4.2 Comme pour toutes les autres notes, la moyenne du passage au CO se calcule au centième avant d'être arrondie au dixième supérieur ou inférieur.

3 Ex. 5,29

=

5,3

4,25

=

3,54 = 3,5

4,3

1.2 Calcul de la moyenne annuelle du premier groupe Le calcul se ~~it ,en additionnant la moyenne annuelle (5 e colonne) de chaque ligne; la somme est dlvlsee par le nombre de lignes.

5. Dispositions transitoires pour l'année scolaire 1987-1988 Pour les cycles qui appliqueront les dispositions prévues dans la nouvelle loi, des informations complémentaires seront communiquées en temps opportun aux directions et aux écoles concernées.

Ex.:

4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 7

=

4,6

Département de l'instruction publique Service cantonal de l'enseignement primaire et des écoles normales

1.3 Calcul de la moyenne annuelle générale L? ~alcul se fait en additionnant la moye~ne annuelle (5 e colonne) de chaque ligne (éviter d y ~nclure la moyenne annuelle du premier groupe); la somme est divisée par le nombre de lignes. Ex.:

4,9 + 4,5 + 4,6 + 4,3 + 4,5 + 4,5 + 4,6 + 5,8 + 5,6 + 5,1 + 5,3 + 5,2 12

= 4,9

2. Passage au CO (division A, B, BT)

2.1 Pour être promu au CO, l'élève doit obtenir au minimum une moyenne annuelle de - 4 aux branches du premier groupe (5 e + 6e P) et - 4 à la moyenne générale (5 e + 6e P).

2.2 L'élève doi~.av~ir réussi sa 6.e primaire (double 4): en cas d'échec, il redouble la 6e p pour autant qu Il lUI reste au mOins 3 ans de scolarité obligatoire à accomplir. 2.3 S'il ne I~i reste plus ~~e. 2 ans et s'il n'a pas réussi la 6e P, il doit fréquenter les classes terminales de la diVISion 8 du CO. 2.4 ~e ~oint ;i-d.ess.u ses.t a.pplicable, par analogie, aux élèves fréquentant les classes de 3 ,4 et 5 primaires ainsI que les classes de développement. ~.5 Les cas par~iculi~rs (langue ~trangère, maladie prolongée ... ) sont à soumettre aux Inspecteurs de 1enseignement primaire.

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ACCORDINTERCANTONAL SUR LA PARTICIPATION A U FINANCEMENT DES UNIVERSITÉS

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comme le Valais, l'accès de notre jeunesse aux hautes écoles constitue un atout important pour le développement économique, social et culturel du pays.

L'intérêt croissant pour la formation exprimé par la population ainsi que l'augmentation des classes d'âge correspondantes conduisirent dès le début des années soixante à une forte augmentation des effectifs d' étudiants et à un développement quantitatif marquant des hautes écoles. Les dépenses financières consenties par les collectivités assumant la charge d 'une haute école augmentèrent en conséquence. Partant de l'idée que les cantons universitaires accomplissent une tâche d'intérêt national et qu'ils ne peuvent en supporter seuls les frais, la Confédération octroie depuis 1966 des subventions fédérales aux universités cantonales. Suite au refus par le peuple, au début des années septante, d'un article constitutionnel, la Confédération ne fut pas en mesure de décharger les cantons universitaires. Ces derniers envisagèrent des limitations d'accès aux études. De telles limitations auraient essentiellement touché des candidats aux études provenant de cantons non universitaires . On discuta de plus en plus intensément la question de faire appel à la contribution financière des cantons non universitaires. Le débat aboutit en 1979 à un premier accord intercantonal sur la participation au financement des universités pour les années 1981 à 1986.

PRÉSENTATION DE L'ACCORD

1. Objectifs

Cet accord rencontra un accueil favorable auprès de l'opinion publique et le peuple valaisan appelé à se prononcer à ce sujet l'accepta par 13983 oui contre 4015 non. Il a permis de garantir le principe de l'égalité de traitement entre jeunes issus de différents cantons. Jusqu'à ce jour, tout jeune Suisse répondant aux conditions d'admission, a pu trouver une place d'études.

L'accord a pour objectif: - d'associer les cantons non universitaires au financement des universités cantonales; - d'assurer, dans la mesure du possible, le libre accès aux universités cantonales; - de garantir l'égalité de traitement des étudiants et des candidats aux études des cantons signataires.

Les problèmes à résoudre restant sensiblement les mêmes et l'accord ayant apporté les preuves de son efficacité, la Conférence des Directeurs cantonaux de l'IP et la Conférence des Directeurs cantonaux des finances adoptèrent en automne 1984 le texte d'un nouvel accord pour les années 1987-1992.

2. Principes Les cantons qui ont adhéré à l'accord (cantons signataires) versent aux cantons universitaires sigantaires une contribution annuelle aux dépenses d'exploitation des universités . Les cantons universitaires signataires s'engagent à éviter l'introduction de limitations d'accès au x études.

Les 13 et 14 juin 1987, le peuple valaisan sera appelé à se prononcer sur l'adhésion de notre canton à cet accord .

Les cantons universitaires signataires garantissent aux étudiants et aux candidats aux études de tous les cantons signataires les mêmes droits qu'aux étudiants et aux candidats aux études de leur propre canton .

Considérant la nécessité pour l'avenir du canton d'offrir aux étudiants valaisans les mêmes chances qu'à ceux qui sont issus d'autres cantons et compte tenu du fait qu'en cas de refus, nos jeunes se verront imposer des taxes annuelles de Fr. 5000.- à Fr. 8000 .- , il est important que le Valais adhère à cet accord .

3. Contributions La contribution par étudiant et par an s'élève à: 1987 1988 1989 1990 1991 1992

Aussi, en ma qualité de Chef du Département de l'instruction publique, je ne puis qu'encourager tous les enseignants à soutenir cette adhésion qui est d'une importance primordiale pour l'avenir de notre jeunesse.

Fr. Fr. Fr. Fr. Fr. Fr.

5000 .-; 6000.-; 6000.- ; 7000.-; 7000.-; 8000.- .

4. Egalité de traitement S'il s'avère nécessaire de limiter l'accès aux études, les étudiants et candidats aux études de tous les cantons signataires bénéfi-

Le chef du Département de l'instruction publique: Bernard GOMBY

cient des mêmes droits que ceux du canton siège de l'université touchée par cette mesure . 5. Etudiants des cantons non signataires Les étudiants provenant de cantons qui n'ont pas adhéré au présent accord ne peuvent se prévaloir des mêmes droits que les autres étudiants. Ils ne peuvent être admis à une université que lorsque les étudiants des cantons signataires y ont été immatriculés. Les étudiants provenant de cantons qui n'ont pas adhéré au présent accord se verront imposer des taxes supplémentaires correspondant au moins aux montants des contributions payées par les cantons signataires.

le nombre d'étudiants valaisans devrait évoluer comme suit ces prochaines années: 1987: 1988: 1989: 1990: 1991: 1992:

1892 1900 1989 2093 2218 2321

7. Indices financières L'acceptation de l'accord entraînera pour notre canton les incidences suivantes: (estimation de la Conférence universitaire suisse): 1987: 1988: 1989 1990 1991 1992

Fr. Fr. Fr. Fr. Fr. Fr.

9460000.11 403000.11 934000.14651 000.15526000.18568000.-

6. Données statistiques En 1986, 1846 étudiants valaisans (moyenne du semestre d'hiver 1985/1986 et du semestre d'été 1986) étaient inscrits dans les différentes universités suisses: Zurich ... ... .. .. . .... . . Berne ............ .. . ... Fribourg .. .. .. .......... Bâle .. ......... ... . .. . . Saint-Gall ............... Lausanne ..... . ......... Neuchâtel ...... . ....... Genève ............... . Lucerne ... .... ......... Total

65 239 505 27 34 422 41 509 4

1846

Selon les estimations de la Conférence universitaire suisse,

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ASSUREZ L'AVENIR!

Ils sont appréciés par leurs professeurs d'Université. A l'image de ce pays, ils sont travailleurs tenaces et compétents. '

Qualité qui assure à nos jeunes succès dans leurs études futures.

La qualité de nos futurs cadres ne fait aucun doute. Demain s'annonce plein de promesses et d'espoir ...

Juin 1987, le peuple valaisan devra se prononcer sur la participation du canton au financement des Universités pour les années 1987-1992. " s'agira donc de répondre nombreux et favorablement à cette invitation. Nombreux, car nos étudiants ont besoin de notre appui sans réserve; favorablement car nos universitaires méritent notre confiance.

'" En répondant massivement OUI le 14 juin prochain: - nous assurons notre avenir; - nous marquerons tangiblement notre soutien aux étudiants valaisans et notre reconnaissance tacite au sérieux et à la valeur de leurs études universitaires.

Juin approche à grands pas. Pour plus de 500 élèves des classes terminales des Collèges valaisans, ce sera l'heure du bilan et de la récompense . Au terme de cinq ans d'effort et de sérieux dans le travail, ces jeunes recevront leur certificat de maturité. Passeport vers l'inconnu, ce document est porteur d'espérance et signe de qualité.

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Espérance qui permet à tous nos maturistes de franchir les portes des Hautes Ecoles Suisses.

LA GRANDE CHANCE DU VALAIS niques alors que les cantons dit universitaires n'en qu'une ou deux.

utilisent

Cette situation présente certes des inconvénients: déplacements importants, faible rayonnement universitaire en Valais, Les Suisses, dans leur immense coûts de formation plus élevés .. . majorité, vivent d'une même cer- Nos étudiants, par contre, bénétitude; quels que soient les hou- ficient d'une chance particulière : les ou les récifs qui le traquent, ils peuvent choisir la faculté et chaque Confédéré en est per- l'université la mieux adaptée à suadé: «il n'yen a point comme leurs aspirations. En Suisse, à nous!». En bons mathématiciens l'exception des Ecoles polytechles Valaisans s'arriment à cet niques, de la médecine et de la axiome en l'élevant au carré: pharmacie, les Universités sont «Nous sommes uniques!». régies par les autorités cantonales. Cette particularité a favorisé des modalités de formation très En matière d'université c'est aI- différentes: les titres délivrés par ler un peu vite en besogne. En les Hautes Ecoles sont équivaSuisse romande nous parta- lents mais l'organisation, la phigeons avec le canton du Jura le losophie et même le contenu privilège de «posséder» huit uni- des études varient considérableversités et deux écoles polytech- ment de l'une à l'autre. 44

une nécessité Notre canton fournit un effort important pour assurer une bonne formation de base à ses étudiants . Celle-ci est d'ailleurs unanimement reconnue par les hautes écoles du pays. L'aboutissement normal des filières gymnasiales suivies par le.s élè: ves de nos collèges consiste a poursuivre leurs études au niveau universitaire .

Roger Sauthier Recteur Lycée-Collège de la Planta

L'orientation pré-universitaire valaisanne s'emploie à informer et à conseiller les collégiens surpris par cette abondance. La plupart d'entre eux trouvent ainsi la formation la mieux adaptée à leurs aspirations et à leurs aptitudes; certains, par exemple, n'hésitent pas à accomplir leurs études en Suisse alémanique, liant ainsi deux facteurs de réussite: connaissances scientifiques et aptitudes linguistiques. Il est primordial de conserver le privilège de l'ouverture et de la diversité: c'est la grande chance que le Valais se doit d'offrir à ses étudiants.

Maurice Dirren Psychologue-conseiller en orientation

Le peuple valaisan sera appelé. à se prononcer le 14 juin prochain sur l'adhésion du canton à l'accord intercantonal sur la participation au financement des universités pour les cinq prochaines années. Les cantons non universitaires sont déjà appelés à contribuer à I.a cO,uverture des frais occasionnes par leurs ressortissants. Cette contribution devrait être adaptée progressivement pour passer de 5000 francs à 8000 francs par année et par étudiant. En s'acquittant de ces sommes qui globalement peuvent sembler élevées, notre canton assure le renouvellement de ses cadres pour un prix malgré tout raisonnable; il permet à ses étu-

LES DEUX DUFOND

TiG-NS10N A

LE TiTANic! ANALPHABÈTE!

diants d'être traités sur un pied d'égalité avec ceux provenant des cantons universitaires, ce qu'ils méritent bien par le sérieux qu'ils apportent à leur travail : leurs taux de réussite sont en effet très élevés. Certes les cantons hôtes retirent d'importants avantages financiers et culturels de la présence des universités, mais il faut savoir que le prix de revient d'un étudiant est sensiblement plus élevé que les contributions prévues. Par ailleurs notre Département de l'instruction publique recherche activement des formules de collaboration avec les universités qui pourraient permettre certaines compensations. Pour toutes ces raisons, nous invitons les citoyens de ce canton à accepter avec cohérence et générosité les engagements mesurés prévus par cet accord. Association valaisanne des professeurs de l'enseignement secondaire du deuxième degré : P.A. d'Andrès


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Tournoi de football des enseignants

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L'AEPSVR organise le tournoi de football pour les enseignants de tous les degrés. ~lccGWpOnl.I~c

Date:

Samedi 30 mai 1987.

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Lieu:

Terrain de football du collège de St-Maurice (vestiaires et douches à la salle de gymnastique du collège).

Horaire:

de 13 h 30 à 18 h 00.

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CAI80E-MALADIE CONCORDIA Mise au concours Suite à la démission de l'actuel administrateur de la caisse-maladi~ CONCORDIAjSPVal, la Société pédagogique valaisanne met au concours le poste d'

ADMINISTRATEUR du contrat collectif d'assurance conclu entre la Caisse Concordia et la SPVal. . -

Conditions être membre de la SPVal' posséder des connaissa~ces de comptabilité et y manifester de l'intérêt; pouvoir bénéficier d'une décharge scolaire de 4 demijournées hebdomadaires; date d'entrée en service: 1er septembre 1987.

Le~ offres de service, accompagnées d'un curriculum vitre dOivent parvenir d'ici au 31 mai 1987 à l'adresse suivante: Hubert GRENON Président de la SPVal 1874 CHAMPÉRY Le~ renseignements (traitement, cahier des charges, etc.) au sUjet de ce poste peuvent être obtenus à la même adresse. Téléphone (025) 79 1087).

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Nombre de joueurs: 6 joueurs de champ + 1 gardien.

Maillots uniformes, pantoufles de gymn. ou souliers à multicrampons.

Equipement:

Informations complémentaires: Téléphone (026) 41951.

Jusqu'au samedi 23 mai 1987 à l'aide du talonréponse et après avoir versé la somme de Fr. 20.au CCP 19 - 838 AEPSVR à Sion.

1nscriptions:

Indiquez au dos du coupon: «Tournoi de football». L'association décline toute responsabilité en cas d'accidents. - - - - - - - -TALON-RÉPONSE

Nom de l'équipe ___ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ _ __ Responsable de l'équipe _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ Nom ________________________ Prénom __________________________ Adresse ________________________

Téléphone _______________________ A envoyer pour le 23 mai 1987 à Monsieur Antoine Maillard St-Eusèbe 1937 Orsières.

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Athlétisme

L'AEPSVR organise à l'intention des élèves des cycles d'orientation . une rencontre d'athlétisme.

Date: Lieu: Equipe:

Règlement du concours d'athlétisme inter-cycles

mercredi 3 juin 1987.

Catégorie A (équipe de classe)

stade de l'Ancien Stand à Sion de 13 h 30 à 18 h 00.

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formée de 6 athlètes - catégorie A (équipe de classe) A1 garçons A2 filles A3 mixte - catégorie B (équipe de sport scolaire) B1 garçons B2 filles B3 mixte

Frais:

l'organisateur prend en charge les frais de déplacement de chacune des équipes.

Inscriptions:

jusqu'au mercredi 27 mai 1987 chez

80 m saut en longueur, 3 essais lancer du poids , filles 3 kg, garçons 4 kg, 3 essais consécutifs relais 5 x 80 m 5 x 1000 m.

Catégorie B (équipe sport-scolaire) -

80 m saut en longueur, 3 essais lancer de la balle 200 gr, 3 essais consécutifs relais 5 x 80 m 5 x 1000 m.

Sur une équipe formée de 6 élèves , les 5 meilleurs résultats comptent. Dans chaque discipline, le plus mauvais total des points est biffé .

Classement: le classement de l'équipe se fera par l'addition des points obtenus dans les 5 disciplines.

Monsieur Joseph Lamon Rue de la Bourgeoisie 16 1950 Sion.

Photo Bruno Clivaz

L'association décline toute responsabilité en cas d'accidents.

- - - - - - - -TALON-RÉPONSE Athlétisme du mercredi 3 juin 1987 à envoyer chez Monsieur Joseph Lamon Rue de la Bourgeoisie 16 1950 Sion.

Nom de l'école _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ Adresse du responsable _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __

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NOUV,Ef\UX MOYENS D'ENSEIGNEMENT

AU DEPOT SCOLAIRE

Voici une liste de programmes didactiques pour Commodore 64 et 128 conçus spécialement pour les degrés 3P - 4P, adaptables aux autres degrés .

soustraction, l'addition, signes < > =, sous forme de jeu. Numération Jeu correspondant à une activité Nu suggestion de la méthodologie de maths 3P.

Conjugaison Le programme conjugue au présent, à l'imparfait, au futur, conditionnel, passé simple et subjonctif présent un très grand nombre de verbes .

Chercher le nombre le plus proche d 'un autre nombre en ne changeant qu'un chiffre (manette de jeu).

Il permet à l'utilisateur de s'entraîner, de se tester.

A la rentrée, l'ouvrage de calcul mental pour les classes de 5e année sera disponible . Faisant suite à ceux introduits dans les classes de 3e et 4e années, il se présente sous la forme d'un cahier non transmissible d'une cinquantaine de pages. publication à caractère cantonal, ce document offre cependant un contenu en accord avec les objectifs du plan d'études et propose une démarche compatible avec la pédagogie qui transpa-

Existe aussi Carte région de Sierre. Possibilité de créer soi-même de nouvelles cartes.

Vocabulaire

- pour les 5e j6 e ; - les auteurs le prévoient dès 11 ans; - en remplacement du DFC actuel de 25 000 mots .

Sociométrie

Ce programme contient des listes de mots (ex.: synonymes, contraires, dérivés, etc ... ) avec possibilité de rajouter des listes.

Fait une analyse sociométrique complète de la classe sur imprimante. Vous obtiendrez ces programmes en écrivant à Philippe Favre, Rond-Point Paradis 2, 3960 Sierre, tél. (027) 55 47 37 (joindre une disquette vierge et Fr.5.en timbres de 50 ct. par programme) .

Le programme génère de petits exercices .

Il est accentué et contient un jeu du pendu. Calcul Programme d 'animation avec son, entraîne la multiplication, la

On peut voir en ce nouveau document de travail un développement de certains aspects des thèmes 2, 5, 6 et 8 de l'ouvrage «Mathématique 5P» . Il ne devrait donc pas être perçu comme «quelque chose à faire en plus» mais plutôt comme un complément à intégrer à la leçon de mathématique en vue de satisfaire plus efficacement à des objectifs spécifiques du programme .

Yvan Michlig

dictionnaire de français

vers la destination demandée sur la carte du Valais.

Le programme est accentué.

raÎt des moyens d'enseignement romands de la deuxième génération. Dans un premier temps, les différentes procédures de calcul sont exercées de manière structurée en s'appuyant sur une bonne connaissance du nombre et sur la compréhension des propriétés des opérations. Selon les nombres en cause , l'élève est amené ensuite à choisir dans l'éventail des procédés découverts celui qui convient le mieux, celui qui l'amènera au résultat avec le plus d'aisance et de sûreté .

Larousse,

Géographie

Il s'agit de guider un hélicoptère

Il permet à l'enseignant ou aux parents d'entrer des listes d'infinitifs qui seront utilisés par le programme pour élaborer des exercices . -

Calcul mental 5P

Caractéristiques:

- de conception identique au DFC mais avec un lexique élargi et un accroissement du sens;

- 35 000 mots - Edition 1986 1060 pages; ordre alphabétique strict sans renvoi au mot vedette ; - nombreux exemples qui mettent en évidence les nuances de sens ; synonymes et contraires après chaque exemple; prononciation en phonétique internationale de chaque mot;

- des tableaux relatifs aux rubriques suivantes : grammaire - conjugaison préfixes et suffices - éléments grecs et latins - proverbes; - typographie dense , à peu près semblable à celle du DFC.

Larousse maxi débutants

Philippe Favre

- pour 3e j4 e (5 e ); - les auteurs le donnent pour les 9 - 11 ans; - prévu en remplacement de ((Mes 10000 mots» - Bordas. Caractéristiques:

- d'abord un exemple où le mot figure en caractère gras, puis la définition; définition en caractères romains, exemple en caractères italiques; - typographie aérée;

- 20 000 mots - Edition 1986 933 pages; - présentation en deux colonnes;

- ordre alphabétique strict, mais avec renvoi au mot de base = mise en évidence des familles de mots;

- synonymes et contraires; - nombreuses planches thématiques en couleurs; - en fin d'ouvrage: quelques tableaux de conjugaison, de préfixes, de suffixes, de racines grecques et latines . Vincent Oussex

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~AT_HÉMATIQUES

A L'ECOLE ENFANTINE Présentation de l'ouvrage: Approcher la mathématique à 5 ans Notes méthodologiques (document genevois) Ce document suggère par des exemples et non des modèles des démarches basées su; l'expérience et la connaissance de l'enfant. Il aidera les en seig,nantes à organiser des situatIons avec un matériel d'une grande diversité en tenant compte du vécu de l'enfant avant 5 ans. Elles sont invitées à observer l'enfant, à développer l'attitude expérimentale à travers des idées et des jeux.

Ce qui me paraît intéressant: 1. les notions sont reprises par

upe approche différente ainSI l'enfa~t peut réactualiser et consolIder ses connaissan_ ces· 2. !es' jeux proposés et les echanges verbaux spontanés so.nt une excellente façon ~'Introduire l'idée mathématIque. Andrée Gauye

Montrez-nous des chrétiens U,n nouveau «livre du maître» pour l'enseignement religIeux en 5P

La parution des nouveaux moyens d 'enseignement romands du français 4P a été pré. vue en deux temps.

les notices théoriques et les commentaires des fiches des élèves.

1. Septembre 1986

Il. Septembre 1987 - 2e partie du «Livre du maître», à insérer dans le classeur,

- deux brochures de l'élève contenant des fiches relatives à toutes les activités de français (conjugaison - grammaire, orthographe - vocabulaire); - le livre de textes «A fleur de mots»; - le classeur «Livre du maître» (1 re partie) ne comportant que

contenant les suggestions d'activités et les dossiers expression-création poétique; - fichier de classe contenant des fiches de conjugaison, grammaire, orthographe, vocabulaire et lecture (autocorrectives); - fichier de classe contenant les corrigés.

Le microordinateur suisse

~ili8 un appareil simple à utiliser

Montrez-nous des chrétiens: quel enseignant, quel catéchiste n'a pressenti, chez les enfants ce désir impérieux de connaîtr~ d'authentiques témoins de Jésus-Christ? Des vrais. Des témoins de chair et d'os, pas des personnages légendaires, mais ~es hommes, des femmes, des Jeunes et des enfants dont la vie est comme un prolongement de l'Evangile. Il faut pouvoir montrer .de grands témoins, mais a~ssi d~s petits. Parce que s'il n y avaIt que les grands on se découragerait, ou bien' on se coptenterait de les admirer de 101~. Mais s'il n'y avait que les petIts, on n'entendrait plus l'appel du large, l'appel de la gran-

deur. Ori resterait rivé au médiocre. Pour réveiller l'élan de sainteté, la richesse qui est en c~acun, voici donc un livre qui repond à la demande exprimée par son titre: ((Montrez-nous d~s chrétiens!» Un livre qui VIent à son heure! Il sera un complément utile pour ceux qui suivent le parcours Siloë. Le livre est concret vivant varié. Après en avoi~ utilisé les ressources, vous aurez envie, et les enfants aussi, de rechercher d'autres témoins. Le livre n'épuise pas la réalité, il donne le goût de l'explorer. Un bon ouvrage, un bon outil! M. l'abbé Michel Salamolard

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1092 Belmont/Lausanne Tél: 021 28 44 83 53


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1987 ANNÉE INTERNATIONALE DU LOGEMENT DES SANS-ABRIS ... Savez-vous que (si les tendances actuelles persistent) d'ici l'an 2000: dans les pays en développement, le pourcentage de la population vivant dans les villes passera de 28 à 44 %; en Amérique latine, 75 % de la population, soit 455 millions d'habitants, vivra dans les villes; la population africaine urbaine doublera; l'évolution de la population de quelques villes est incroyablement rapide, Par exemple: Mexico Shangaï Bombay (agglomération) Ces chiffres à eux seuls soulignent l'ampleur du problème. C'est la raison pour laquelle l'ONU a décidé d'attirer tout particulièrement l'attention sur cette question et a chargé son organisme spécialisé, «Le Centre des Nations Unies pour les établissements humains» (Habitat), de rechercher des solutions ',

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Fiche 1 La maison en poesie

La maison d'en face

Déménager

La maison d'en face Et son mur de briques.

Quitter un appartement. Vider les lieux. Décamper. Faire place nette. Débarrasser le plancher. . Inventorier ranger classer trier Eliminer jeter fourguer Casser Brûler Descendre desceller déclouer décoller dévisser décrocher Débrancher détacher couper tirer démonter plier couper Rouler Empaqueter emballer sangler nouer empiler rassembler entasser ficeler envelopper protéger recouvrir entoUrer serrer Enlever porter soulever Balayer Fermer Partir

La maison de briques Et son ventre froid. La maison de briques Où le rouge a froid. Eugène Guillevic (Bretagne)

Georges Pérec (France)

Dans la maison endormie

Nous proposons dans ce numéro des fiches de travail ayant toutes trait à l'habitat et s'adressant à des élèves de différents niveaux. Elles ont pour but d'amorcer une réflexion sur ce thème et de souligner la situation des sans-abri dans les bidonvilles .

Dans la maison endormie en cette aube, la lumière qui erre à l'étage du haut ressemble à une étoile oubliée par la nuit. J'ai descendu l'escalier tout doucement, je suis allé, par le jardin, vers la hêtreraie : dans la fraîcheur et le calme en cette aube, tendresse d 'une jeune mère, dans les arbres, et, se retirant par le pont de pierre, le départ. Nazim Hikmet (Turquie)

Perspective Nos maisons sont bâties sur d'autres maisons en marbre et bien droites, . et celles-ci le sont sur d'autres . Leurs fondations reposent sur des têtes de statues debout et sans mains . Ainsi, dans la plaine, sous les oliviers, aussi bas , que soient abritées nos chaumières, étroites, enfumées, une seule cruche pres de la porte, tu crois habiter tout en haut et à l'entour le vent t'éclaire, . ou bien tu crois vivre en dehors des maisons, n'avoir aucune maison, et tu marches nu, solitaire, sous un ciel d'un bleu ou d'un blanc effrayant, et une statue, parfois, pose légèrement sa main sur ton épaule. Yannis Ritsos (Grèce)

Les maisons Les vieilles maisons sont toutes voûtées, elles sont comme des grand-mères qui se tiennent assises, les mains sur les genoux, . parce qu'elles ont trop t~availlé d~n.s leur vie ; mais les neuves sont fralches et Jolies comme des filles à fichus qui, ayant dansé, vont se reposer et qui se sont mis une rose au cou. Le soleil couchant brille dans les vitres, les fumée~ montent dévidées et leurs écheveaux embrouillés tissent aux branches des noyers de grandes toiles d'araignées. Et , pendant la nuit, sur les toits, . l'heure du clocher dont les ressorts crient et le poids descend s'en va vers les champs et réveille subitement . toutes les maisons endormies.

Charles-Ferdinand Ramuz (Suisse)

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La solitude

Ode à la maison endormie

Encore le bruit des pas, Mon cœur fleuri. Non, personne. N'est-ce pas un voyageur Qui s'éloigne? La nuit est presque à sa fin. Les nébuleuses disparaissent. Les flammes somnolentes des palais chancellent. Le sentier las d'attendre s'endort. La poussière d'ailleurs a recouvert Les empreintes des pas. Eteignez les lampes! Enlevez le vin et les coupes! Fermez les portes à clé! Que personne n'entre ici! Que personne n'entre! Faïz Ahme,d Faïz (Pakistan)

La lourde joie s'épanouit comme un pavot e.t les livres écrivent de la plus belle encre violette ou bistre. Dehors, le gel replie les murs de la maison comme les doigts d'un poing fermé sur les lignes secrètes de l'avenir. Gil Jouanard (France)

subitement réveillée par de brutaux voyageurs.

Vers l'intérieur des terres au Brésil, hautes montagnes ' et cours d'eau effrénés la nuit, la plein lune... ' Les sauterelles emplissaient terre et ciel de leur télégraphie crépitante. Occupait la nuit la ronde statue de la lune et la terre incubait des choses aveugles, s'emplissant de forêts, d'eau noire, d'insectes victorieux:

Ô espace de la nuit, où nous ne sommes pas: prairies où seulement nous fûmes mouvement sur le chemin quelque chose qui va ' et va à travers l'ombre ...

Alentour, sauterelles, vaste lune, ombre, espace, solitude pleine d'êtres, et silence sonore ... Alors la maison a éteint ses yeux, refermé toutes ses ailes et nous avons dormi. Pablo Neruda (Chili)

Poèmes extraits de: La maison en poésie, Gallimard, folio junior, 1982. Sous le toit du poète, Delta Vevey, 1967. Poèmes choisis, Maurice Nicoulin, SPR, brochure N° 158. Photo Michel Eggs. Dans un bidonville à Manille. Photo Michel Eggs. Bidonville de Manille.

Nous sommes entrés dans la maison nocturne, vaste, blanche, entrouverte entourée, ' comme une île, par la profondeur des feuillages et les vagues claires de la lune. Nos souliers dans les escaliers réveillaient d'autres pas anciens, l'eau en frappant le lavabo voulait dire quelque chose. A peine éteintes les lumières les draps ' s'unirent en palpitant à nos sommeils. Tout avait tournoyé au centre de la maison dans les ténèbres

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LES GENS VENAIENT DE PLUS EN ·PLUS NOMBREUX AU BIDONVILLE À LA RECHERCHE D'UNE VIE MEILLEURE .

Ville et bidonville DOUG BRUNNER

Ext rait du dossier pédagogique: la rue est à tous.

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Fiche Il. Ville et bidonville

Or, on s'en procurait peu en vendant au marché de la ville quelques produits de la terre ou un peu d'artisanat. D'ailleurs, ces produits se vendaient toujours au même prix, alors que le coût de la vie ne cessait de croître .

L'histoire de Pedro Je m'appelle Pedro, j'ai 12 ans. Je suis Péruvien . J'habite à une vingtaine de kilomètres de Lima, un bidonville que l'on appelle au Pérou Barriada. Il y a deux ans, mon père était paysan dans un village des Andes. Maintenant , avec ma famille, je vis dans la barriada de San Cosme. Pendant que mes sœurs font la lessive, mon père et moi cherchons du travail. Lorsque nous avons de la chance, nous en trouvons. Mais ce sont des emplois occasionnels, toujours mal payés. Aussi, nous ne sommes jamais sûrs de rapporter suffisamment d'argent pour nourrir le reste de la famille . Au marché de San Cosme, il en faut pourtant de l'argent, même si l'on se contente d'acheter une nourriture frugale . Les jours où l'on ne trouve pas de travail, il ne nous reste qu'à fouiller dans les ordures . -Bien sûr, dans un bidonville, il n'est pas question de tirer sa nourriture de la terre . A la campagne, par contre, c'est possible .

Le père de Pedro avait, comme les autres paysans, de plus en plus de difficultés à faire vivre sa famille; Impossible pour lui d'acquérir et de cultiver une surface plus grande. Il n'y a plus dans la région, de terre disponible pour les petits paysans . Pourtant, l'hacienda voisine s'étend sur 300 ha. Quel contraste avec la terre des petits paysans, 600 fois moins grande! Et pour exploiter ce grand domaine, le propriétaire n'emploie que quelques ouvriers ;-il utilise des méthodes de culture modernes: engrais, pesticides, tracteurs, machines agricoles. Ses camions transportent sa production dans les grandes villes pour les privilégiés, ceux qui ont du travail et de l'argent; ou alors ils l'exportent aux Etats-Unis .

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Les raisons pour lesquelles les gens de la campagne vont en ville dans le Tiers Monde?

chez nous Raconte

Quelles difficultés ceux qui viennent de la campagne risquent-ils de rencontrer en arrivant en ville? Imag ine Si tu arrivais seul dans une grande ville inconnue pour y gagner ta vie , qu'est-ce qui te ferait peur? Qu'est-ce qui te plairait?

. Extrait du montage audio-visuel du GRAD: «La Faim dans le monde» .

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Cherche Des illustrations et des renseignements concernant les bidonvilles et construis un panneau pour l'année du logement des sans-abri. Tu peux t 'adresser à : Palais des Nations, Habitat, Room E-3, Avenue de la Paix 8, 1202 Genève (022) 3460 11.

Dessine Nos villes connaissent aussi des problèmes . Chaque élève, ou groupe d'élèves compose sa propre bande dessinée qui explique les problèmes les plus importants d'une grande ville Réfléchis

Et chez nous, quels services attend-on de la ville, par exemple Sion, Brigue ou Martigny? Calcule Cherche la population de trois grandes villes du Valais en 1950, en 1975 et actuellement. Quelle est en % l'augmentation de la population pour chacune des ces villes? Quelle est en % l'augmentation de population des villes de Mexico, Shangaï et Bombay entre 1950 et 1975?

VISITEZ L'UN DES PLUS BEAUX CHÂTEAUX DE SUISSE: MUSÉE DE LA VIGNE ET DU VIN

, Compare l'augmentation de la population des villes du Valais et des 3 villes du Tiers Monde pour la p~riode 1950-1975. Si l'augmentation de population des villes valaisannes devait être la même que celle de Mexico , quelle serait leur population en l'an 2000? Représente graphiquement l'évolution de la population des trois villes valaisannes et des trois villes du Tiers Monde.

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Quelques élèves sont les représentants du bidonville. Ils sont reçus par quelques élèves représentant les autorités de la ville . Jouons le dialogue. Il est bon de réfléchir auparavant sur les revendications et besoins des gens des bidonvilles, mais aussi sur les limites des autorités de la ville.

Mais c'est à San Cosme qu'ils se retrouvent.

Et pourtant, dans la famille de Pedro, on ne faisait qu'un seul repas par jour, le soir, et on ne mangeait que rarement de la viande . Car pour acheter celle-ci à l'épicerie du village, il fallait de l'argent, beaucoup d'argent.

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Enumère

Dans la bande dessinée , on dit: «La ville n'offrait aucun service au bidonville» .. . A ton avis , quels services les habitants des bidonvilles attendent-ils de la ville?

Pourquoi donc Pedro et sa famille sont-ils partis?

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Mais l'hacienda, c'est un autre monde. Les parents de Pedro, quant à eux , devaient trouver une solution pour faire vivre leur famille. La ville les attirait. Ils espéraient y avoir un travail salarié.

Avec leurs grands-parents, Pedro et sa famille cultivaient un lopin de terre, sans outils modernes ni engrais chimiques. Les récoltes de pommes de terre, de maïs, de seigle et de haricots, tirées de leur demi hectare, étaient à peine suffisantes pour les nourrir tous , même lorsque la production était abondante.

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Fiche Il. Vill e et bidonville

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Construisons le modèle réduit d'un village Dogon (Afrique de l'Ouest). Matériel: carton ondulé en bandes, ciseau, papier crépon, colle, ruban adhésif. Avec les bandes de carton ondulé, construisez une série de petites maisons carrées, Pliez le carton en 4 en marquant bien les plis avec une paire de ciseaux, puis collez avec le papier collant pour fermer le cube . Faire aux ciseaux de très petites ouvertures pour les fenêtres (il y en a peu et de très petites, pour conserver la fraîcheur) et la porte. Enfilez 4 bâtonnets en bois, sur le sommet de la maison, à 1 cm du bord . Découpez un toit plus petit que la maison et posez-le sur les bâtons . pour faire les toits de paille, pliez en 4 un morceau de papier crêpon et taillez-le en petites bandes, presque jusqu 'au bord, enroulez ce papier et fixez-le avec du scotch à son sommet. Posez ce toit sur la maison.

Nos goûts sont aussi différents que la nuit et le jour. ..

Pour d'autres modèles réduits, on peut aussi commander au Service Ecole Tiers Monde des maisons à construire de différents pays, Educol 1, 2, 3, 4, 5 ou inventer toutes sortes d'autres maisons avec des allumettes, bouchons, paille, cure-dents , terre glaise, déchets de bois, etc. - Après avoir bien regardé les différentes maisons de la page précédente, trouvez les noms des différents matériaux avec lesquels on peut construire une maison . - Nommez les différentes formes d'habitations que l'on peu trouver en Suisse. Dessinez une maison de votre choix (réelle ou imaginaire). - Organisez une sortie au musée de Ballenberg . C'est un musée en plein-air, près de Brienz (BE), qui expose différents types d'habitations suisses, que l'on peu visiter et où l'on peut voir des artisans travailler (boulanger, tisserand, fileuse, etc.) . Le musée est ouvert en avril, mai et octobre de 9 h 30 à 17 h 00 et de juin à septembre de 9 h 00 à 17 h 30 . Extrait du dossier pédagogique: 4 milliards de visages .

Longue maison indienne, Brésil

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+ Fiche IV. Etablis toutes les relations possibles. «Ils habitent dans ... «

Fiche III. Différents habitats à travers le monde Matériaux

Lieu

Motivations

Tente

Toile, peaux

Lapons Indiens d'Amérique Mongols Bédouins Arabie Touaregs Sahara Camps de réfugiés

Nomadisme

Pygmées Bochimans Afrique du Sud Iran Lapons Russie

Nomadisme Cueillette

Branchages

Isba

Bois Bois

Chalet

Bois

Europe de l'Est Suisse

Huttes ou cases

Terre brique de boue séchée

Afrique Iran Afghanistan Yémen Maroc

Chaleur

Pêcheurs Inondations Humidité

Froid Forêts

Bois Pieux Branchages

Chine Philippines Dahomey

Cavernes

Creusées dans la terre

Tunisie

Gratte-ciel ou buildings ou immeubles

Verre + béton

Bidonvilles

Tôles, planches , carton

Etats-Unis Japon Europe Aux abords des grandes villes

Pauvreté

Grandes villes Besoin de place

Roulottes ou caravanes

Bois Tôle

Europe Europe

Nomadisme Bohémiens

Igloo

Neige

Esquimaux

Nomadisme Neige

Villas ou maisons

Briques, ciment, béton

Europe Etats-Unis

Extrait du dossier pédagogique: «4 milliards de visages» .

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la prison

la tente

les paysans

l'igloo

les soldats

Bateaux Sur pilotis

la caserne

les Bédouins

les citadins

Cabanes

+ toit de paille

la ville

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Nom

les campeurs

les alpinistes

les prisonniers

les Esquimaux

la ferme

Complète: la fiche en ajoutant d'autres habitats et leurs habitants.


EN ÉTÉ 1987

Exposition Auguste Forel à Yvorne/ VD Fiche V.

Un homme imposant orne nos actuels billets de banque de mille francs. C'est le savant Auguste Farel, né en 1848 à Morges et mort en 1931 à Yvorne près d'Aigle. Comme le montrent les illustrations qui accompagnent son effigie, Forel s'est fait connaître par ses recherches sur l'anatomie du cerveau humain, effectuées essentiellement à l'Université de Zurich, puis celles sur les fourmis, entreprisent principalement à Yvorne durant ses 24 ans de «retraite». Ces deux préoccupations apparemment très éloignées ont pourtant en commun l'étude des mécanismes qui dictent les comportements sociaux, entre humains dans un cas, puis entre les insectes dans l'autre. Par voie de conséquence, ses recherches l'on conduit également à la sexologie, luttant à la fois

Les animaux ont aussi leur «habitat»: le lapin le poulailler le renard l'aigle la porcherie l'étable le guêpier le chien le cheval la ruche l'oiseau la fourmi le pigeonnier ou le colombier la mésange Dessine : Trois de ces animaux dans leur «habitat».

contre les abus mais pour la reconnaissance de relations à l'intérieur du couple. Concernant ces insectes, Forel a réuni lors de ses pérégrinations entre autres, une importante collection de fourmis provenant d'un peu partout. A son décès, le Musée zoologique de Lausanne a «hérité» une partie de ses collections. Les responsables de ce musée ont préparé une exposition retraçant la vie du chercheur en mettant l'accent sur ses activités d'entomologiste. Une colonie de fourmis vivantes intéressera particulièrement les visiteurs. Cette exposition sera présentée à la grande salle communale «La Grappe)) à Yvorne en été 1987. Elle sera patronnée par la commune d'Yvorne et la Jeune chambre économique régionale, dont la commission

Cherche:

culturelle assumera l'organisation. L ' exposition débutera le 2 1 août 1987 et se terminera le 13 septembre 1987. Les heures d'ouverture retenues sont: tous les jours de 16 h 00 à 20 h 00 du lundi au vendredi et de 14 h 00 à 17 h 00 les samedis et dimanches. Pour les écoles ou autres groupes et sur demande, d'autres heures peuvent être fixées. Cette visite pourra être liée à celle de ce charmant village. Le site d'Aigle avec sa vieille ville présente un intérêt certain avec son château abritant le Musée de la vigne et du vin. Les mines de Bex sont également ouvertes au public durant l'été. Tous les renseignements utiles peuvent être obtenus à Yvorne, auprès de M. Ch. Roussy (025) 26 10 24.

A l'aide du dictionnaire (ou de la documentation) des renseignements sur la manière dont ces animaux construisent leur «habitat». Raconte:

POUR V OTRE COURSE D'ÉCOLE

Je suis une abeille, je ne trouve plus ma ruche ...

Entre les alpes bernoises et les alpes valaisannes, la nature a fait la vallée de Lëtschen (Lëtschental). Dans ce paysage idéal se trouve le site enchanteur de

«Tous les documents cités sont disponibles au Service Ecole Tiers Monde, Epinettes 10, 1007 Lausanne).

FAFLERALP

1800 M.S.M.

au centre d'un splendide parc naturel: alpages parsemés de fleurs aux couleurs éclatantes, forêts embaumées de la senteur des sapins et des mélèzes, torrents fougueux, lacs tranquilles encadrés de glaciers bleutés et de pics neigeux; un vrai paradis pour tous les amateurs de la marche à pied.

Service Ecole Tiers Monde

Pour écoliers: dortoir, petit déjeuner, repas du soir Fr. 24.Direction: M. et Mme Paul Eggel, Hotel Fafleralp, 3903 BLATTEN Tél. (028) 49 1451 - privé (025) 71 8537

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L'homme quotidien

C'est donc bien par la prise de conscience de nombre de ces dangers d 'enlisement dans sa ... «nature» avec un maximum des tendances qu 'elle comporte et révèle , que nous de~ons. nou~ éveiller aux risques dans lesquels , par reactlOn, nsque.d,e se fourvoyer une bonne partie de notre humamte.

et ((la}) ((nature})

Sincères ou opportun istes, épidermiques ou réfléchis , informés ou peu informés, formés humainement ou non, les individus, groupes, groupements et/ou partis verts ou écologistes prennent, dans notre société, toujours plus de place . Qu'ils soient formés ou moins formés , informés ou moins informés, épidermiques ou réfléchis, sincères ou opportunistes , ils ont l'avantage et parfois le mérite, de porter au jour les conséquences de nombres d 'inconséquences des humains tant d'un point de vue individuel que d'un point de vue toujours plus général.

A la théorie .. . «théorique», partisane, institutionnelle, idéologique, religieuse et j'en passe, théorie issue , comme toute théorie , même si individuelle et réactionniste, d 'un type de réalité, ils opposent soit une autre théorie issue et émanant elle aussi d 'une réalité issue, formée, elle, de la prise de conscience plus ou moins vaste et plus ou moins profonde des conséquences de l'application de nombre d'autres et touchant en ce qu 'ils ont de plus élémentaire et donc de vital , des individus représentant des couches très larges de notre société tout comme des sensibilités très variées . Grâce aux «verts », grâce à tant de groupes révélant nos carences , nos errements, l'homme est amené à prendre conscience de ces carences et de c(s)es errements . Qu 'il les rejette, qu'il les accepte , lorsque ces errements ont accompli leur œuvre, les réactions qu'ils provoquent, émanant de l'instinct de conservation de la race, ne s'éteignent pas et finissent, moyennant, hélas, des sacrifices parfois énormes, par se faire entendre. C'est, très grossièrement, un des (tristes) moyens dont dispose notre humanité pour «avancer» autrement que sur la voie du profit immédiat et trop souvent destructeur. Finira-t-elle par comprendre dans les faits et les mentalités, que mieux vaut prévenir l'apparition de déviations et de souffrances , que de chercher à les guérir? Finira-t-elle par le comprendre aussi suffisamment bien pour organiser la prévention à l'aide de méthodes issues d 'autres dimensions de l'homme que celles qui le conduisent parallèlement à sa destruction? Si de cette approche nous .. . approchons, nous nous en trouvons, encore hélas, très éloignés et la plupart des hommes continuent , prétendant faire du nouveau, à utiliser des outils qu 'il faudrait aussi, à dé-

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Et c'est bien en apprenant, avec toutes les exigences que comporte ce terme, à en connaître, dans le sens fort de ce terme, les mécanismes en com mençant par les siens propres, que l'homme pa~­ viendra, peu à peu, à équilibrer son action en éVItant de tomber dans les pièges tant des excès de l'activisme, de la seule recherche du profit qui font partie de sa «nature.», que. dans ceux du conserva~ tisme qui fait, aUSSI, partie de sa «nature» et qUI l'incite à préserver inconditionnellement, en un temps et en un lieu par lui-même circonscrits , ce qui lui paraît, à lui, important.

faut de pouvoir les remplacer, réparer et, si pOssible , trans-former. Car l'homme, aveugle aux cheminements , reste encore très et beaucoup trop avide de résultats spectaculaires et immédiats. Pourquoi? Car cela aussi, sans être .. . «vert» est dans sa ... «nature»! C'est la raison pour laquelle il serait heureux que plus d'êtres se posent de manière plus approfondie, la question de ce qu 'est «la» «nature», de sa (ses) raison(s) d'être, de sa ... «nature», de sa destination et, du fait de sa destination, de son inévitable évolution et, du fait de cette évolution, de son utilisation .

A cette question très générale tout comme à toute question plus particulière, bien des réponses peuvent être apportées . La diversité même de ces réponses devrait et pourrait nous conduire à bien des prises de conscience dont celle des niveaux si variés de nos capacités de conscience et d'en tirer les conclusions tant personnelles que collectives qui devraient en découler. De telles conclusions ne manqueraient pas de nous conduire à de très sérieuses et très profondes reconversions avec toutes les exigences que de véritables reconversions impliquent. C'est la raison pour laquelle les 98 ou 99 % des hommes préfèrent, à la véritable et exigeante action de réflexion, le confort immédiat de la perpétuelle réparation qui entretient tant le bricolage que la source des erreurs et de leurs conséquences .

Ce n'est qu 'en repérant et en apprenant à r~pérer - car cela représente un important ~ppr~~tlssage - peu à peu, ce qui l'habite et ce qUI le dirige, que l'homme, peu à pell' r,ejoindra ~a Sour,~e pre~lere et animatrice dont Il s est coupe et qu Il empeche , du fait de cette multiséculaire coupure, de l'animer et de le féconder. " n'oublie même pas car il ne le voit pas, que, si notre société industrialisée est parven~e, de ~os jours , à une situation telle .que la pours.ult~ sur Ilmpulsion donnée,. ne peut qye la condUire.a sa ?estruction, c'est bien par sUite de ces attel.nte,:' a c~ qu'il y a d 'essentiel en l'homme, à ce qUI r:neme SI invisible , fait partie de sa «nature» et qu~ 1homme étouffe au profit du plus visible au pOint de s~ conduire à des déviations toujours plus dramatiques et destructrices ~e cel~ même que l'h,omme devrait construire. Exces qUI , par ses consequences mêmes , éveille certains individus à de nouvelles réactions . Alors, c'est bien, penserez-vous! Si l ' exc~s, l'erreur conduisent, inévitablement, à des prises de conscience et si notre humanité a, jusqu'ici , survécu , elle continuera d 'avancer à coups de réalisations, d 'erreurs et de réparations!

Il oublie que ce type de facilité, ce type de confort camouflé sous l'urgence des rendez-vous , des rapports d'activité et des activismes si vides qu'ils démolissent l'homme, fait aussi partie de «la» ... «nature» de l'homme.

Voilà un raisonnement aussi révoltant qu 'erroné et dont nous constatons sans aucune cesse, les terribles conséquen~.es!. yoilà un ,. rai~o~ne:nent odieux à cause de 1Indifference qu Il devolle a une grande partie des tragiques conséquences de nos refus de conscience, conséquences que nous ne pouvons pas ignorer.

Il oublie aussi que si l'exigence d'une réflexion assez profonde pour conduire l'homme à de réelles reconversions peut lui paraître, par le ralentissement voire l'arrêt qu 'elle exige, une inacceptable perte de temps, elle fait aussi partie de «la» «nature» de l'homme et que, sans elle tout comme sans ... verdure, l'homme ne peut ni vivre ni survivre.

Entre l'acceptation profonde, lucide, bienveillante et dynamique de la vie et du monde tels qu'ils se présentent à nous là où nous no~s trouvon~ ~t sa parodie veule et destructrice, eXiste une dl.ffere~­ ce qui n'échappe qu 'à ceux-là mêmes qUI pratiquent, colportent et propagent de telles réac,tions, les érigeant même en philosophies , en systeme~, en méthodes, en thérapies, en éléments de religion.

Un tel travail, correspondant , lui , au dé~eloppe­ ment de l'essentiel de «la » <mature» de 1homme, peut et doit utiliser comme jalons, tous les systèmes découverts jusqu'ici par l'homme en vue de la compléter et de les dépasse~. ,chacun , en ~ffet, révèle un aspect de nos capacites, .d~ nos decouvertes, de nos richesses , de nos limites, de nos carences et de leurs conséquences . Il correspond à des capacités, à des éléments, à des attentes, à des tempéraments, à des dons. Il peut donc et, de ce fait même, il DOIT nous parler - . et ~?US parler une langue autre que celle ~e la Simplificatrice et systématique condamnation! ~ e.t, nous parlant, il. DOIT nous. év~ill,er, .nous enrichir, nous ouvrir, .. . nous condUire a 1action. Il doit nous révéler que «la» «nature» est une immensité, immensité sur laquelle person~e ~e peut coller une étiquette ; que «nature» elle etait, com bien différente de «la» «nôtre» (nôtre : ~elle d~ s suisses, des espagnols, des turcs, des Japon~I ~ , des esquimaux?) du temps des ~inosaures~ (prefererions-nous vivre en ces temps-la, ou, plut.ot, laver notre lessive dans une rivière, débroussailler nos entrées et aiguiser, à tous les insta~ts, n~!re faux, le charme de la poésie recouvrant Jusqu ~ en occulter les plus atroces réalités, les eXigences d'une certaine «nature»?! .. .) et que. «nat.ur?» elle reste encore de nos jours, oh c~mblen d.lf.f~re nte, oh combien enrichie, oh combien modlflee, oh, combien semblable, aussi! Un tel travail nous révélerait que. l'homme, oui, détruit, qu'il détruit lorsqu'il traval}le po~r . son seul profit et que cette de~truction - Ia le de~l~ de son but. (En écrivant cela, Je ne pense pas, ICI, au seul

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ACTIVITÉS CRÉATRICES MANUELLES

Tableau avec des graines profit matériel, financier : il en existe de nombreux autres, moins visibles et tout aussi réels et destructeurs!) Il nous révélerait aussi que l'homme construit, qu'il découvre et que la (fameuse!) «raison» lorsque réellement raisonnable car branchée sur toutes les dimensions de la vie, devrait lui permettre, au stade auquel, de nos jours, il se trouve, de procéder dans un esprit profondément constructif, à une analyse et une synthèse profondes de toutes ces découvertes afin d'utiliser le tout en vue d'un progrès, alors formidable, de l'humanité sur la voie de son accession à la conscience et, à travers elle, à la communion . Car, si le brin d'herbe, l'arbre, la fleur, l'oiseau, le bœuf, le poisson et... la forêt font partie de «la» «nature», bien d'autres dimensions encore peu répertoriées et utilisées rationnellement car peu ou mal connues et/ou ... reconnues, en relèvent aussi, la constituent et peuvent, elles, nous permettre de continuer à contribuer à l'œuvre formidable de Création en évitant, en cours d'utilisation, la stupidité et l'inutilité de sa destruction. Moyens et con-naissances existent pour cela.

ou spirituels et que si, à tous, le repos indispensa_ ble à la vie est nécessaire, l 'installation dans un confort qui devient, alors, destructeur, en demeure le risque à tous les niveaux. Ce risque, lorsque nous y cédons, nous pouvons, toujours, le justifier: la justification semble, aussi, faire partie de nos ... «natures» ... Je me demande s'il n'est pas grand temps que nous découvrions, aussi, et de manière bien concrète, tant à l'échelle personnelle qu'aux échelles institutionnelles, sans slogans philosophico-dogmatiques, les innombrables vertus de cette écologie-là! Celle qui, par l'apprentissage d'une communion toujours plus fine, plus profonde, plus vaste, plus intense avec sa Source, permet de procéder aux indispensables progrès comportant et entraînant aussi des modifications d'équilibres mais ne conduisant pas, même si un déchet apparent demeure inévitable et... utilisable (recyclable!» à de stériles et meurtrières destructions, destructions visibles conséquences d'insuffisances voire de destructions souvent invisibles .

L'ARBRE

Matériel - Planche de bois massif, épaisseur 15 mm ; - mastic (vert) pour arrangement floral; - assortiment de graines: pois verts et jaunes, lentilles, haricots, soja, poivre, maïs, tournesol, courges, pois chiche, clous de girofle, etc ... bâtons de cannelle; - suspens à clouer.

Celles dont seul l'homme, par suite de la liberté accordée à sa .. . «nature» est capable .

C'est bien à nous d'utiliser ce qui, aussi et au même titre que le reste, fait partie de «la» «nature» car ... de notre nature, de notre nature d'hommes, pour le dé-couvrir et re-équilibrer nombre de nos dimensions qui sont, indéniablement à re-équilibrer.

Et qui peut conduire, s'il reconnaît ses:.lacunes et ses errements à l'aspect de sa ... «nature» lui permettant un accroissement de son niveau de conscience et de son niveau d'action.

En n'oubliant pas que le souci de confort immédiat se manifeste à tous les niveaux de nos ... «natures», qu'ils soient physiques, affectifs, intellectuels

Anna T Veuthey

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Dortoir avec petit-déjeuner Fr. 12.Demi-pension avec soupe Fr. 18.- - 20.-

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Démarche

- Observation d'arbres dans la cour de l'école, dans un verger, un jardin , un parc ; - recherche de la forme: faire plusieurs esquisses; - projet définitif: découper le chablon et le reproduire sur la planche ; - clouer le suspens.

Si, pour le support, au lieu de bois massif, on utilise du contreplaqué 10 à 12 mm , on peut teinter et vernir le bois autour de l'arbre, pour éviter les éventuelles taches de graisse dues au mastic. On peut aussi légèrement vernir les graisses (spray).

- Recouvrir la surface de l'arbre avec le mastic vert :

3 à 5 mm d 'épaisseur suivant la grosseur des graines;

Marie-Rose Ara/as

Elèves des classes de développement Châteauneuf-Conthey

- enfoncer les graines dans le mastic en cherchant à les mettre en valeur : couleur, relief, forme . Exemple : le maïs est mis en valeur la pointe piquée dans le masÙc.

AUTRES SUGGESTIONS Avec la même démarche, avec la même technique, c'est-à-dire des éléments piqués dans le mastic pour arrangement floral, on peut remplacer les graines par des matériaux trouvés dans la nature:

Recommandation: ne p~endre .qu'une sorte de graines a la fOIS pour éviter de les . mélanger dans les gobelets. - A la f!n , le mastic ne doit plus se vOir.

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petites branches d'arbres; écorces ; mousses et lichens; fleurs et feuilles séchées; écailles de «pives»; herbes, graminées; chardons; petits cailloux, etc.

Pour donner de la vie et de la couleur au tableau, les élèves pouvaient colorer les éléments , chardons, graminées, etc. en les trempant dans la tenture pour bois.


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Nouvelles acquisitions

LIVRES Articles de revues

- La cartographie, dossier, dans Educateur N° 2, 1987. - Profil: Maurice Chappaz, dans Educateur N° 2, 1987. - Les droits de l'homme à l'école : «Un savoir-être», dans Educateur N°2, 1987. - ACATOS, Sylvia. - Tommasini, sculptures. Martigny, Fondation Pierre Gianadda, 1987, 116 pages ill . Catalogue d 'exposition.

Art

- FIBICHER, B. - Frentzel. Sion, Musée cantonal des Beaux-Arts, 1987,47 pages il!. Catalogue d'exposition .

Français Littérature Théâtre

Pour les professeurs de l 'enseignement du français du deuxième degré nous avons commandé les livres suivants: - BUENZOD, M., FAVROD, P. - Aimer la grammaire. C.C.!. Lausanne, 1978. - GRANDPIERRE, D. - Le Labyrinthe d 'Errare ou les pièges de l'orthographe. Retz, Paris, 1986. - CELLARD, J. - Les 500 racines grecques et latines en deux volumes Duculot. - DEMARLY, A - 500 fautes de français à éviter. Hatier, 1983. - LEGRAND, E. - Méthode de stylistique française. J. de Gigord, 1985. DESALMAND, P., TORT, P. - Ou plan à la dissertation française. Hatier. - PARDON, P., BARLOW, M. - Le commentaire de texte. Hatier. - EGEA, F., MITTERAND, H. - Texte français Aux Quatre Vents 4e . Nathan + livre du maÎtre. - PAGES, A , PAGES, J. - Le français au lycée, manuel des études françaises . Nathan, 1984. Ces ouvrages sont disponibles à l'ODIS: les manuels et méthodes à l'étage supérieur à la Permanence de français, les autres, dans la grande salle au rez-de-chaussée (rayon «Français 2e degré»). Nous continuons nos commandes régulièrement.

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Contes Littérature jeunesse

- BICHONNIER, Henriette. - PEF, le roi qui n 'arrêtait pas de bavarder, Paris, GP, 1987, 43 pages il!. Collection Rouge et Or, «Première lecture» . - BLONAY, Didier, MATTER, Philippe. - Merci ouistiti, Paris , GP, 1987,43 pages il!. Collection Rouge et Or «Première lecture». - CHAPOUTON, A-M., FIAMMENGHI, G. - C 'est pas vrai, Paris, GP, 1987,24 pages il!. Collection Rouge et Or «Première lecture» .

Madame Pierrette Bérard-Remondeulaz

- MOREL, Roselyne , ALLOY, Sylviane. - Tout plissé l'écureuil, Paris, GP, 1987,24 pages il!. Collection Rouge et Or «Première lecture».

Elèves de 5P - Ardon

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Langues étrangères

- JANITZA, Jean., SAMSON, Gunhild. - Pratique de l'allemand de A à Z, Hatier, Paris, 1986.

Un véritable dictionnaire. - Les problèmes de grammaire les plus courants. - Les difficultés usuelles de vocabulaire. - Plus de 300 exercices avec corrigé en fin de volume.

Histoire

- PONTHUS, René, TICHEY, François. - Rencontrer l'histoire: Les grands voyageurs. Les grandes routes. Epigones, Paris, 1985.

Economie Branches commerciales

- Le système fiscal suisse, Berne, Commission intercantonale d'in_ formation fiscale, 1987, 66 pages . - CHEVALLEY, Claude, GUT, Daniel. - Introduction à la vie économique. Lausanne, Fournitures et éditions scolaires du canton de Vaud, 1987, 120 pages + livre du maître .

Informatique

- HERMANT, Corinne . - Enseigner, apprendre avec l'ordinateur. CedicjNathan, Paris, 1985.

les diverses autres sources d 'information dont ils disposent afin de déterminer leur avenir scolaire ou professionnel». - CARoINET, Jean. - Pour apprécier le travail des élèves. Bruxellesj Neuchâtel, De Boeck-WesmaeljlRop, 1986, 133 pages. Collection ((Pratiques ».

- JAEGGI, J.-M., SCHAERER, H. - Utiliser le logo en 5P. Genève, DIP, Service de la recherche pédagogique, 1987,77 pages .

- CARoINET, Jean. - Evaluation scolaire et pratique. Bruxellesj Neuchâtel, De Boeck-WesmaeljlRop, 1986,268 pages. Collection (( Recherches» .

HALPERIN, Miri, CHARMILLOT, Gabriel. - Essai de quelques instruments d'apprentissage assisté par ordinateur. Genève, DIP, Service de la recherche pédagogique, 1987,30 pages.

- CARoINET, Jean. - Evaluation scolaire et mesure . Bruxellesj Neuchâtel, De Boeck-WesmaeljlRop, 1986,232 pages. Collection (( Recherches» . - HENRY, Michel. - La Barbarie. Paris, Grasset, 1987, 247 pages.

Environnement

- AUDIN, Amable. - Regarder et comprendre ... une ville. Cal mannLevy, Paris, 1987. - CALBO , Philippe . - Regarder et comprendre ... un château. Calmann-Levy, Paris, 1987. - SACHER, Rainer. - La rivière en activité. Sorbier, Paris, 1982.

- Livrets d'éveil: les animaux de la ferme: BOUCLON , René. - le le le la la le le le

Sports, loisirs

mouton lapin chien vache poule porc pigeon cheval. Classiques Hachette, Paris, 1985.

- Education physique à l 'école

((Une barbarie d'un type nouveau pénètre notre société et précipite sa ruine . Son principe est simple : pour la première fois dans l 'histoire de l'humanité, savoir et culture divergent ... Une société sans culture - sans art, sans éthique, sans religion - est-elle possible?» . - LUSSATO, Bruno, MESSAoIE, Gérald. - Bouillon de culture. Paris, Robert Laffont, 1986, 259 pages. ((La culture est-elle aujourd'hui encore une valeur? A-t-elle une utilité et un sens? Ou .s'agit-il d'un luxe désuet et dispendieux? o 'un mot usé et dévalué? ... S'appuyant sur une définition originale et rigoureuse de la culture, multipliant les exemples qui agaceront bien des dents, bousculant les vaches sacrées, les auteurs indiquent pourquoi et comment la culture doit et peut devenir l'axe de la société postindustrielle. lls proposent enfin des solutions immédiatement applicables».

1. Théorie

2. Première et quatrième 3. Cinquième et neuvième 4. Natation 5. La tenue 6. L'athlétisme 7. Les agrès 8. Jeux 9. Plein air. Commission fédérale de gymnastique et de sport (classeur). - Ski 87, Sport Suisse SA, Genève, 1987.

Pédagogie Psychologie Sociologie Philosophie

- SCHMID, Reinhard . - Guide du choix professionnel. Winkel bei Bülach, R. Schmid, 1986, 88 pages ill.

((Clairement structuré et" agréablement présenté, ce manuel du choix professionnel permet aux jeunes de compléter et d'intégrer

CHÂTEAU HISTORIQUE DE GRUYÈRES Découvrez l'un des plus beaux châteaux suisses Grandes salles meublées Salle des guerres de Bourgogne (chapes de Charles le Téméraire) G rand salon (décoré par Corot et ses élèves) Tapisseries - vitraux - fresques - peintures Expositions temporaires (juin à décembre) Renseignements: Tél. (029) 6 2 1 02


Centre de formation pédagogique et sociale

HORAIRE DE LA BIBLIOTHÈQUE DU CFPS Le matin du lundi au vendredi de 10 h 00 à 12 h 00 . L 'après-midi le mardi de 16 h 00 à 18 h 00 Remarque : 1. La bibliothèque n'envoie ni livre ni cassettes à domicile. 2. Elle est fermée durant les vacances scolaires officielles .

Liste des acquisitions récentes de la bibliothèque (avril 1987) Méthodologie BONO, Edward de . - Réfléchir mieux. Paris : Ed . d 'Organisation , 1985. - 162 p .

Cet ouvrage est conçu pour que chaque chapitre couvre un des aspects fonda mentaux de la réflexion: prise de décision, émotions, sentiments, etc. L'auteur propose des outils, des techniques et des cadres de réflexions. FRIANT, J., L'Hospitalier, Y. - Jeux problèmes : de la logique à l'intelligence artifiCielle. - Paris : Ed . de l'Organisation, 1986. - 201 p.

L 'objet de ce livre est de permettre une formation à la logique sous forme de jeux et d 'énigmes. Grâce à ce livre le lecteur peut ainsi s 'initier à des concepts de base de ce que l'on appelle /'informatique de la 5e génération et mieux saisir les mécanismes du traitement de l'information. MUCCHIELLI , Roger. - Le travail en équipe . - 4e éd . - Paris : Ed . ESF, 1984 - 49 , 108 p .

Il est facile de parler des valeurs de l'équipe, il est plus difficile de faire en sorte que les équipes réelles (( sur le terraim fonctionnent de façon efficace. La réflexion du livre permettra d'arriver à des résultats à la hauteur des espérances.

BOULANGE , L, LAMBERT, J,-L. - Les autres : expressions artistiques chez les handicapés mentau x. - Bruxelles : p Mardaga, 1981 . - 135 p . . Le~ auteurs de cet ouvrage se sont penches sur l'expression artistique des handicapés mentaux, envisagée non comme une simple occupation mais comme une véritable création . On y découvre beaucoup d 'exemples de techniques ainsi que de nombreuses illustrations.

DAVROU, Y, LECLERCQ, F. - Les étonnantes possibilités de votre mémoire par la sophrologie . - Paris: Ed . Retz, 1986. _ 159 p .

Le docteur Davrou nous livre ici les résultats les plus récents de ses recherches exp~rimentales et de ses séminaires pratiques sur le développement de la mémoire grâce aux techniques sophrologiques, CLOUZOT, 0, BLOCH, A. - Apprendre autrement : clés pour le développement personnel. - Paris : Ed . de l'Organisation, 1984. - 308 p .

Basé sur des témoignages, ce livre est un retour aux sources de l'apprentissage et du développement personnel. Il a été écrit pour les personnes qui se sentent responsables de leur évolution et veulent la prendre en main. FREUD, Sigmund . - Cinq leçons sur la psychanalyse. - Paris : Payot, 1985. 156 p . - (Petite bibliothèque Payot, 1984).

Voilà une réédition d'un texte important de S. Freud ' qui constitue peut-être la meilleure (( défense et illustratiOn>! de la science psychanalytique.

Psychologie sociale SALOME, Jacques. - Relation d 'aide et formation à l'entretien . - Lille : Presses universitaires, 1986. - 205 p .: ill.

BRAZELTON, T. Berry , - L'enfant et son médecin , - Paris : Payot, 1986, 190 p.

On trouvera dans cet ouvrage la version amplifiée d'un livre de J Salomé sur l 'entretien, vous pourrez acquérir grâce à lui les bases d'une formation aux relations humaines.

Dans cet ouvrage, Brazelton aborde les problèmes de la petite enfance tels qu 'il

ROSNAY, Joël de . - Les chemins de la vie . - Paris : Ed. du Seuil , 1983. - 189 p.

Psychologie

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le~ vit dans sa pratique quotidienne de pediatre. On y trouve aussi l'expérience dans l'art du contact, de l 'écoute et du dialogue avec les enfants.

Dans un ensemble d'articles publiés dans la revue ((Expansiom l'auteur a utilisé l'approche systémique pour dégager certains des courants scientifiques parmi les plus marquants qui traversent notre société.

Travail social JONCKHEERE , Claude de . - Images de l'éducateur. - Genève : Ed . lES, 1987. 175 p . - (Champs professionnels , 13).

L'auteur a lu et analysé des tex tes écrits par des éducateurs. Il en brosse le ta bleau et donne à voir les diverses images rencontrées . Ce livre est une contribution à un langage propre aux travailleurs sociaux en général et aux éducateurs.

sicale faite dans des écoles, des centres de handicapés etc. et sur la possiblité d 'offrir une pédagogie ouverte en vue du développement de l'enfant. L'évaluation : approche descriptive ou prescriptive ? / éd. par J-M De Ketele . Bruxelles : De Boesch, 1986. - 288 p . Toutes les personnes intéressées par une réfle xion sur les problèmes évaluatifs trouveront dans ce livre un matériau riche et varié où les nombreux modèles présentés tentent d 'aborder les questions suscitées par l'évaluation scolaire. Adolescents handicapés de l'école à la vie active = Behinderte ... - Lucerne: Ed. du Secrétariat suisse de pédagogie curative, 1981. - 238 p ,

FAVRE-BOURBAN , Eliane . - Là-haut sur la montagne : réfle xions à l'occasion de la création d 'un foyer pour personnes âgées dans une vallée valaisanne . - Genève : Ed . lES , 1986. - 136 p .

On peut trouver dans cette publication en français et en allemand un ensemble de contributions faites dans un symposium organisé à Fribourg sur le thème des adolescents handicapés .

Ce travail, fait en Valais , par une assistante sociale pose de graves questions sur la nature des maisons pour les personnes âgées, leur gestion et les moyens qu 'on leur donne effectivement. /! pourra intéresser tous les gens, politiciens et responsables de l'action sociale qui se penchent sur le problème de la vieil/esse.

NOT, Louis. - Perspectives nouvel/es pour l'éducation des débiles mentaux. Toulouse: Privat, 1986. - 169 p .

Education, éducation spécialisée DODSON , Fitzhugh. - Etre grandsparents aujourd'hui. - Paris : R. Laffont , 1982. - 257 p . (Réponses) .

A travers son expérience de conseil/er familial, l 'auteur nous fait comprendre le rôle bénéfique que les grands-parents peuvent jouer dans la cel/ule familiale actuel/e. A faire lire à tous les grandsprents car il est rempli de bons conseils. KELEN, Jacqueline. - Les nouveau x pères . - Paris: Flammarion, 1986. - 274 p .

On pourra trouver ici une réflexion sur les !<nouveaux» pères. L'auteur leur donne la parole ainsi qu 'aux médecins psychologues etc. intéressés par le changement de rôles . Ce livre est une interrogation sur la profondeur de ce bouleversement et sur ses racines. AGOSTI -GHERBAN, C, RAPP-HESS, C. - L'enfant , le monde sonore et la musique . - Paris : PUF, 1986. - 151 p .

Ce livre est le fruit d'une dizaine d 'années de recherche sur la pédagogie mu-

A travers l'évolution actuelle , l'auteur étudie dans la première partie les traits caractéristiques de la débilité mentale puis dans la seconde partie les besoins de l'élève et les possibilités d 'intervention éducative susceptible d 'y répondre .

Biologie, évolution JACQUARD, Albert. - L 'héritage de la liberté: de l 'animalité à l'humanitude. Paris: Ed. du Seuil, 1986. Au terme d 'une étude attentive A. Jacquard nous montre comment la biologie et la génétique modernes éclairent le paradoxe central de l'homme et sa respon sabilité . Il pose cette question fondamentale : la liberté de l'homme comment la construire, comment la transmettre .

REEVES, Hubert. - L 'heure de s 'enivrer: l'univers a-t-il un sens ? - Paris: Ed. du Seuil, 1986. - 279 p . Réflexions passionnantes d 'un astrophysicien connu et célèbre qui met à la portée de tout le monde ses réflexions sur l'avenir de l'univers .

Médecine, psychothérapie CHANGEUX, Jean-Pierre. - L'homme neuronal. - Paris : A. Fayard, 1983. 415p.

Comme l'auteur nous le dit lui-même le but de ce livre est d 'informer et si possible intéresser les lecteurs aux sciences du système nerveux qui ont pris une expansion très importante durant ces dernières années .

LAPIERRE, A, AUCOUTURIER, B. - Fantasmes corporels et pratique psychomotrice en éducation et thérapie (( le manque au corps )). - Paris : Dain, 1982. 152p.: iI/. Ce livre marque une nouvelle étape de la recherche en psychomotricité . Il ouvre la voie vers une pratique différente basée sur la dimension fantasmatique du corps et de l'agir .

BOWEN, Murray. - La différenciation du soi. - Paris : Ed. ESF, 1984. - 196 p . Au-delà d'une formation psychiatrique et psychanalytique M. Bowen a conduit des entreprises thérapeutiques familiales collectives . Il a développé de multiples formes de soins familiau x et vous les découvrirez en lisant cet ouvrage .

Gestion d'entreprise BERNAD, J, PAKER, M - Les plannings. - Paris : Ed. de l 'Organisation, 1985. - 466 p. Cet ouvrage vous révélera les concepts , les idées et les méthodes relatives au planning , grâce à plusieurs cas concrets mais avec au départ quelques réfle xions sur l'utilité du planning et sur la façon dont s 'introduit le besoin de planifier dans la gestion de l'entreprise .

PRAGUE, C. M , HAMMIT, J E. - La puissance de dBase /II. - Montréal : Turgeon, 1985. - 358 p . Ce guide , qui contient une documentation exceptionnelle et des exemples de programmes, vous présente les principes essentiels de la programmation et les éléments nécessaires à la conception de bases de données relationnelles. De plus vous y trouverez toutes les techniques indispensables à l'élaboration de programmes en dBase III.


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