No 13 l'Ecole primaire, 15 Novembre 1906

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LE FOYER et les CHAMPS

se parle souvent sur un ton aigre et désagréable. Il semble que l'amabilité et la bonne grâce soient une monnaie que l'on réserve pour les indifférents, et qui ne saurait avoir cours dans la famille . Ce travers est si commun que Fontenelle voulant faire le portrait d' un personnage, termine par ce mérite qu'il paraît mettre au dessus de tout le reste: • Enfin, il était d'une humeur agréable même dans son intérieur . > On a beau dire que cc n'est que sur des petites choses qu'on Ile dispute; il n'y a pas. de petites choses dans la vie de fa mille, i,ar la raison que ·1a vie de famille n'est presque fait0 que de petites cho~r~. Si l'on est insu portable dan!l les détails de la vie, sous prétexte que cela est sans importance, pour quel moment se réserve-t -on d'être bon et affectueux? Il faut donc faire tout son possible pour corriger ces mauvaises apparences qui voilent souvent, au point d'en faire <iouter, des qualités profo~des et de solides vertus.

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aux congestions. En dehors des repas, il faut peu boire mais comme l'on n'est pas maître de 1~ soif, nous signalerons comme boisson très rafraîchissante : le café étendu d'eau. Enfin, un dernier conseil à ce sujet: ne pas haire glacé. Il faut ensuite éviter les refroidissements, les changements brusques de tempé l'ature, les courants d'air. etc. Enfin, ne soyez pas de ces personnes qui ont horreur de l'eau et qui, comme les paysans du Morvan, disent: c Faut être bien malade pour prrndre un bain. > Les bains sont n éceRflaireP: ils nettoient, as, oupl i ~sent et fortifient la peau, rai ment le système nerveux et disposent au sommeil. Suivez ces quelques avis et voue vous en trouve rez bien.

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DE LA

So~iétè vaiaüpaî)Qe

Cuisine

d·édu(?ation

Manièred'arranger un reste de bœuf rôti

Hygiène Pendantl'été L'été est certainement la saison la plus salutaire de Jannée, celle pendant laquelle les malades les plus atteints voient le rose envahir leurs joues , sentent en eux circuler une ardeur nouvelle . Cepen dant, l'été a aussi ses inconvénient~, et les journaux publient dans leurs faits divers les nombreux accidents occasionnés journellement par les excès de chaleur. Pour éviter ces accidents, il convient de prendre quelques précautions . Il faut d'abord manger des choses dou ces et rafraîchissantes; peu de viande, mais des légumes de la saison et surtout des fruits très mûrs et sains. Le lait et le fromage gras sont un excellent aliment. Pendant le repas, ne pas boire de vin pur, mais fortement étendu d'eau. Naturellement, il faut se dispenser d'absorber des boissons spiritueuses qui, non seulement excitrnt la soli, mais prédiRposent

Quand on a un reRte de bœuf rôti, on peut l'arranger pour qu'il paraisse sur la table avec autant d'apparence que la première fois. Mettez dans une caRserole un morceau de beurre avec une petite cuillerée de farinP; faitm1 un roux lég e r, mouillez de bouillon et d'un verre <le bon vin blanc; ajoutez des échalottes hachées et des morilleR, du sel, poivre, rtc. Réduisez un peu la sauce . Placez votr e bœuf dedans jmqu'à ce qu'il soit bien chaud. Si ,oui! n ' avez pas de morilles, mettez simplement des câpre8 avant de servir.

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L'Ecole 11rimaire donne de J,1. à 16 li ·,rai sons de Hi ;i't 6es chacune, non compris la couvertnre, d antant de :rnppléments de 8 à 16 pages pentlant l'ariuén orrlin1!:·e de 12 mois cr mmençant Jt, 1 or Janvier .

Chaque mois il eRt e11 outre :tpporté 11n s11pplé1m~1 ,:: illustré ùe 8 pages intitulé : Le Foyer

Lique·ur de citron

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et lf's Clrnmp.-;

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Prix d'n/Jonnement:

fr. 2.50

Suisse

Prenez un citron, cinq gousses de vanille, un litre d'eau de-vie , un demi-kilo de sucre. Placez le citron au milieu du sucre et la vanille au-dessus. Versez lentement l'eau -de-vie et laissez macérer le tout pendant huit jourA. Filtrez après ce11huit jours; la liqueur est alors bonne à boire, mais elle s'amélior e en vieillissant. Pen· dant trois autres jon rti vous pouvez ajou ter un grnmme de cannelle conca11séc et filtrer de nouveau. --

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11son gérnnt, M. P. PIGNAT, de l'Instruction

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L'éduca tion, à proprement parler, est l'art de manier t d f r•,..,t n<>tn .. t.c."' '"""' .,n:,,-n..,..,. ln _, .. ., ,1:~~:n:in ln ~1.. n ~n-~ÇO,!!n:.~

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.A JTI.S l.1.11.PO H T .ANT Le p1·ochain N° de l'Ecol e primaire (14) sera le dernier de 1906. Il paraîtra vers le lf> ~é~embre .et comprendra, outre une fe~llle pri.~cipale ll6 pages) ~n supp.le°:1ent d etendue au moins egale, ams1 que la livraison de Novembre do F?yer et des Champs, enfin le titre et la table des matières pour l'an°:ée courante. (,;e fascicule final S( ra amsi particulièrement volumineux.

Ao·end21 du V21lail!!I 190~. e ~t C8t. 31gcmla Yient de 1pru 1i:,H œ, et 1eis ,s,0tu1.,;1[T i1pie un1sr,o:m1 nie fouis 1aiu1t.r~s

,se Je p111oc,u1r1~,r_des trnh 0teu rs p<3!11Y,ent et cooR~11horns aurj.o,nH·d' hui :lux .cûérpôt1s o: 1d1i 111aimcs.L 'A_qenda chi Valais ,90JI1 . t.innie ,cl/ail1 leu.1s à ,se v,rindrr e ,rnu,rnerne .111l'ix, -soit hroeh6 L50 - ,c>Jalrt2 fr. -;,IOIJ ,tef r-mille 3.50. _ · L 'édiinion ,d,e 1907 1siefo1 t remair. 1.ot111S qrw ,r pœr dc,ux .1m111é] im·:ru~i .a1p 1pi r,éeiérs_ l<lile contwnt, c~n etfet, u1n:e110ti c,c d '!.me vingtia~ne die ,piag,e1s {'iOm TJl'r:ni;,1111,t d1e-st:alie,1.le ,s d•e crwbag,e r,,o:U1r •• k,s bo•i1!'J,a,baitt:rns,ma1d1rie,r1S ,, 1p1aud1cis Soanmail'e de l'Ecole 1n·i11rnie,t boi& s11,r 1pied. •·e ( N 1a ). 1couverture 8 page::;)· I, 'flfl1/ ·r,e i nno,va1ti,on , q.uj ,p,1miJ:,a ,~mtr1,,0 ;,?Ji!e et J:"..olc,1p1meG. DelaJo.ie. huit a nx paltirio,n;set maîtir,e1sc1'et.ait, - /Jrt J"c,itl'ù: ,les classes -- Le 101_cr- e1on,si,sitefl1 de.s r:s:itraibs·, (fo1u1rnisp1a1r 11ul rle l 'l1•stdulr'ice. - La B i·ii:i;ere ;vf. \ V. Hanni, ,seicréhai1~eoanitiornad ( ~d ,c1a1H:11rt è1eL.:; i 1,nue,J.-M., cllllX G. c1e.3a1p,;nentis,sia,ge.s)die ,la légi~·l,a'tiom ·Oant nn'.1!1 ·r .s1111r les métieris, le :oornPurtie JJl't:f ique . mor,'Jo et l 'ind111 1s11Jric, CÙeJs.t1alhel.Je,s -o110U11' inis10ri phoill cl;ers ~1uvrie11& e,t ap_Sommaire cha Su1•1•lément 1rnie11ti s e-111h'é:s et so,ritliS,dieiSno1te,s a (N° 13). :pa 1nrr r.t à r,erntr,er. Les: qu(I/J'e éléme11ts C(l'in?1 'lC inoQu1ail1't,aiux a1gricu,ltieiu1[(S il1s b110 1uv~yf-.ils d f .r;w~r'Î.~ü 11. M aJ"clwn,clr!ges. 1~onté,o·alement le111rcomiprt<J µail' h1 re. .__ De la bor,ne humeu1·. - Medi.!jun- 1p(1ti ti ~n ,dJe1snomib 1ieUJsie13 . no1tice1s et ce. -· Lee .<:n12,vortmuht<fl, - C(fllX' 1k1bcllos qui fig:un:ient <lrQpu1s ,q1u eilg c1eis qui empéche 1d. - l 1'mnee sa?1'sfe1t, ,a.rn1ée1sdiane; l 'A.(Jcrtda du Valois. f r.11 su ns f11mée. - fA,.s remedes cle 1ws 'f!Pl'es_-- Osons co-rnm .encer. du Valais 1907. v ,Jrtus drmie.~tiqiie.-'.- Une pcige .r1e Almanach S ain te Thérèse. - De la, rnauvmse La 71llera.imé,e,de ,ce1tte]Jtublieartio~ humeur. - névouillenient d 'aiitrmiv1cut de voir ],e jiou1r_EHe no,u,s,a1rnHe - 1WP,n1i,: s 1iérités. - Lo vù:iUc ve en u,n foDmait aigr1alllldlie't a1Jiporpe11rl11le.- Van"étés. t:mt une forlt beJJe ohr101Il)/ohthogna.Cc ,SILllp1p•léim1e111t C'oi mprrenû 16 pn- pl1ie: L' Ange Ga1'dien, qrui fora l.a j:o~e ides p.air,ent~ eit die~ enfants., N o,us ne ..s,a:rnnonsrn1-e,ux,rupres ce* 1 , a , r1end1re ,r.01rr.1p1te ide l 'A lmanc.di du C(' nurn ,6l'o ,r en,fo,r,m::: r~n 0U1t1ne Jiei;:; V a lois 1907, qu'en <lionnar1tle s,011!1i •:•11a1 i,~:o,m ct,e Repforn hi 12,e1t Oc1toh1e mafr,e ,c1 e:s princ~paux artici]e,s 'Cl' ll '11 ,;k: ln ,rhic1;1 1nvanb~ ·pnhlir1aitirn1 1,en.fe,rirne: lE FOJ'RU l!.'1' ~ES CHAMPS, ·calenài'ier.-Tableau des foires et d1n11t f"111nir11rn emih1,a1s ,s,e R 1pn·g,P.s. 1YYWrrliés.- A mon ange 911rd·iP11, -·-vpan· ;if. k rhnn . .TuJ,e1s·Gnot,,s. - Le 1

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__ N olrc é,ql-ise ,paroi:;sù1le. - Su ·!· {' ({/pa,r;e, f10JUl\'e nü1s ,·,alœisains'.. _-- Ai111ons les rri.<;eaux. Le Violonare

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des 'l'rai;auœ manuels. 'l'ravanx à. l'aiguille. Les a nt ·eu,1·s ,de ce line

Œle l'ont

rpoimt préselilitlé

J/11zr11l1r()2,HOtW·e l.le v,ailraÎ,;:: ;a!lmC, t;n rnne ,p01lil[) 'ffiJ1sepréface. EO·es ont ,cltérJ1aig11é rl,e 1i,mclam,e r J'1u1ti 1Ufté. ha n éces,siitlé .cJ1eleur lliiai1 c On,-. - Le T ·riè,r;e (Sal~olume ::it ·cli,'S rnéthornes d'ernseign 1ement qu ' ,·,:1u), J 1::11r L. Co,qru,oz . - La. télé,r;rn- il p11·éconi~:e. ELl~s ont ,cm ilia mo,cllestte de liaJre 1!11 i,, sons fil, nirnr O::",r1: n P ,e.r,r1oll az. ln va ITeu,r :pr.a.tiq,u1e, so,ciaU,e, ,am.s1siibuen1, q,u,e - T,r; ri('illc S('hmidja, J(,,g,cnd'.'v,a- pé.cbgogiqrue. 11,ea·euse;i,gn-errneillit i ['aiiguille. hi,,rnrn e, pair .Tu,les ck~ R aiu-t-:\fo,'11 . Mai,s il est cl10s ,gens, et combi€'11 n,oimbrc11x:, - Les chè_vi·es à Salvn;,, rpar Lih- ii. qllli il ne faut .i'e J,as,ser ,de l'P[Jé:fer que c-et cn:;1Pignffltloot e:sit bQIIl. rundli1:, 1ycnsiable. quic 1/·0111: n11ie'l·. - L'Edrm retroi1vé, fmir/1' pHr

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Jï'l,eurs des Alpes, n,rnr.ïu~ ce s·erait-,cléicilo ir que clie Je nég.liiger. Il es,t ,tn.·,op,redire , clPS ge,IJ,~ ;'l qui l'on ne s,,11rn11ait 1·ôle des ol)(:illes qu'·e1J1 fai.t cùc •bl3J~,die cJ.J.em:Jô,s,es, :de IP!IID,ta1o:ns, Lri fin tra_qi(f1ie cle trioo,l,ages ·cit ·clic1nccommo,cliag,es, kl 1·o·t1,tï1,''1111 l,ru1rlit (r•,01ube biaignrnrirli),pa.r M. 1,e mn,te1·nei1lcne .&uf1'i.tai,as. n J'aflllt c1sier sm· {l,rhl:,nil;, i'i Lo1u.rtier. -· Plantrrtùm !e,s toiilJsi et cJ.a,ns ll e>s,carre:foull's qu' ,n,nc j,eunc 1/1·,11J'l1resfn1itù~1·s, par D1L11r. oir,<->,c- rme rtoit sinvo1[· ,tia,Wl,erun ju[Jon, Q,apiéc·P:r :1a k",;· i'1 Er·ônc. - Les deux dis ci pl es cu'lotbe ùc s,on èt:o,m·1cNd,e- lfrrme, 1"é!p-ai•m·an.1tiant qu e f::uire ,s,e peuit, « 1dJe1s ,anis Œ'irQ 1êip,u~1,ble r7'E n/'Jnaiis. - Les ébo11lem.eJ1tsde onrl 1'H!:!:e dian,s fl,a y,esite :die .trav,alill 1c:Jle 1son l,l' 1Jfl'o11,1,6:·.it 1,eeweilli 1p, r1r L. ÜO'lll'- père. -.c,onfec1io,u:u,C'J.· d',rnOJefaçoilJ 1,aition'lllellc l,11i,011.Phonnade pofaqhr. l'it: ,hygiGniq1rc IT·aŒing,miie sommart l"e et cl'éliT/l1,!'r11il'r du ,po11san.- Les sn-i'l1tes cate de la peli!.e sœw· venue la scm,tinr, 11l1E'!l·uli?·1,P. ·en n1t,venrli:1,nt ,qu1"eiliie ,,,<'..illJ1c ii %1 (1,mn1r's <tu tombeau du Chn'.st. g,ai•cle-rolie de ,so n man1i et ,are ,ses e,n.f,an,ns. Jfrr11r:: dl's événements. A,rnsisi bien les rnrntJeu['S 01Dtt"el 1les vi1s:é. L'Alm ,m1a.ch dii Valois ,c,ompitc 80 tla,rn;, leuQ' niv1,c, à ce<t iimmétl~milem ·enit Jl'l\!.?,'('"' r11Pb!:d( ' in dJr,p,en:dH1nm11crnt de prwtinn:e et u,~1e üoiThto,n, .a fiait ~ant ,c1.e,,as 11l·rn,.i m11'1.s oonc:,airr1ée1,;; a,u,x ,anrn 10 1nr c.e,s. Il en uo.s ,t.ernrri,snti1 lii.ta;fr,e:s. Eltre.s o,n,t clio,nué Jc1s 11 pJr 1.f,::rrno <fo troo norrnibr1e,urs 1e:s illu 1s,- i11,:;:iùn11ctiou1s ,],e·s pllitus rninrurtJi·e1rnses, Uies pal!'s ol·aires et Œe,s rplU1 S simplles ,s11.1 1r a,a maruifu·c die j rati-01• :s ,et Pi8 fr1ouvc en v ,entc d:rns If-'" r, ·i111nfrïè l ll X UJIRl\!,'a,s,ins arr. 1 p,r ix die tcm1i'l' ]IC l"J'OChet Oil! Œ'·aiguâilwe,SIUII' a,es ,CÜ'l.ùÙU/l'C'S et' •r,a!pié\;ages, ,s.m· les ,me 1s, u111e,s,\ p1,erndlr,e et .H) ?ent. - On p,ernt·s' ·ein a1rip,rovici,on le s pait:1·0:I11s à dêco'.l~Jer. Des plièoos diéerirbe<; 1,:ii,,,,j('. -

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,sornt ,<5c Heis ,qi1,i .;;fümiis<S!emrt les ai11moi11esmo1cl:es, tes ·die nœ ou11'1cièn,es 8'Cco111teis,ldle nos ;paysannes aii1stées.Lie S11.1[J·ei·!f!liu ,n'a IJ.]a!Sobten::1 ,dro1i1t ,cl',ectrée 1ckms ces p,:JJgeis.s1êvèn'es.Les :nmtlte,s ,de nos •Clampaignes )>, ·comme ~es « ,cùa ,a,p,pelait Sciob&i,et n 'y lttrouiv,erai 1eint prus rus~·ez rie vo,lants. ,prus,assez ·elle f,afilb a1,as. L'awt ,rJ.e co11clre 11i11bo,uit-011J. y a ,pa.1·u p11]S i:ro111ooil,a1n1t qu:e J',airt c]e C'.!1iffonrne,i' un (( rpl'isis-é>>.

cle couture. N orns J'le1p,rÜ/din1isio,111S ici en ré,smimé u111,(:" 1'.'·Pil 1lent a,r,tie1 lc q1,::11rru en 1s1e1pbernbr e dl<:> r·nier ,d;a:n:<s le Bulletin pédago. . . . Ce livr e, rud.11'll1:éà nos beso·1n,s, à n o;s ùla,rns ~e payis: no s et diû à rune 'PlW- mœurs, cloit. cs:e'l'io;p1H.n.cfa·,e qiq'((e a,eFr1ih0111Tig", g~reis doilnenrt ,se ~e rpTOCUll',eret !lli'.' , :uii:on·i:'16e, ,dr élsirarnt .'a!Mire.r isu,r jernn:oo m&111a lie ,e·orns,uli,er.Etle ,s y t'1·0,u1v,er01Dlt . mii[]Ju1tieu1seC1t1;; li ~iners 1',altteruti,on 1s 1piéci,a,1edes m en,t llécrlitt,e. la ,f,aço n de ,trfilco,' e,r rnne b'l'asm,aî1,rcs1:e:Je:S d 'éca les ménagè-:rtes e,t dle siè1•e, ,die·taillLer unie chern:üs·etbe. de couc1're nn tou1t le ,~1exe ainx dr0ig,tis de .fée. j,u,pon, <l'e t'a[)i:écer ï1n ,pantiallo:i, et mHJie au1

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« De fil en aigwille .. . . J'a.s'e '0S[Jéiller q/UleJes

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ile ·t.1·::rrnil ,c1e1 O'h o,mm e ,cHf,fèJ.,e·~i fon. ,t du tra1':t il Lle l:1 rna,.cihin.e, No,s vêt,em1en•tls i110•u 1s deV'iCtnclront '.I)l1u1s chens si leniX ,que .u,ons airnons Oùl•t CL>111.s>11 dm1s J1e ull"s rplrus uni q,,eu •de !t'lvr J)en~•ée ,et ,die leur ,cœur . Le titu.,c qwe U,es :w1roe,u~·scllDlt donné à leiuir a,iv·re est Ltn peu ,\o'rnt'cl. a1!0~1s qu'il s'ag i·t 'd'uill ll'l!l: si souip,Le et ·S i cléLi<• ·a t; il l1J!' J!)l'Olill ,(l,t 1,)ŒS hea;wcOUIP de po/i$1Ïe, ll ,suffiiit ,c~:e111clwJ1lt d·c œruillleter ,1w1111r ,e;n nron.ver. car e\l,les o,n.t, e.lU ·es a:rnssi. en l'è<•rivant cM,11oséein ces pa~ q,ueique c:hos·e

Variétés

XX:fme ·ann~e

SION, lô Novembre 1906

L'ECOLE

PRIMAIRE

ORGANEDE LA

SOCIETEVA.LA1SA1'B'E »·EDUCATIOli l

.taâi1]1e où nwl a1dlv, ems1a~ 1r1e nie se r]_)lré,senite:rn. Hél'ais ! po1rnr·ise rdié.trompieœ il :;:1uiffiitde . j1elbeir1u111: 11etg1air!dl s,ur c,e:r-tai'111s pia:ybS ,qiu,i, ~eipie ;n1aJan!t, foî11tf la1mboyer en l ettme3 d'o1i, 1e gmaiIJlct.e1tbe 1ruu mot die l'iberté 1cfülll1s, let1trClornltiit1UJti ,on e,t,saur Jre1U1 's 'dlria Jpeia(nx, e!t ide SKH1 1gier qiu,e, a:u j,0:wPd ''hirni 1p:l1ut& ,qrUJe j1a1mais,il! ,esitde mo,dJe,chez 1e\SI ig,oiw.v ,e>r[lJants,,d 1e 1 llJ'O[]J01po lli1s, e.r d!a/Ills,toi\lls,~reis.dio1mai:111eis, ,et daims c1e,1u i. dtei11'·Ï1I1ibeillli1gelll!ce peut~ q1UJ'uin]hnre ,µ01rur l'!f!IP/Plr/Orfomi.i 1r et, êibr,e p:lus ,q rne dla1n1::; II1!',illll\I )io1r,be·:iuie1l ce-pe1111daITTit, je - viaJi@ ; rdleivoi-1 1 rvorus l e an:~tre. . pr~s,eillt,etr eill un ,e1sipa1ciedie t e1rnps f 01rt Siains v;o,nr l1oi.r,V\OJUrS 1le1s ta1Ï'r1etonlbes 1,e•sitir1e i.n1t. _ ,en1tien1dne , j,e ne prnis m '·en11pooher dr La1i1s1sianit@il.l,c d!e ic.ôlt~rtbrult p1réial})],- v,01rnsr1ap1Pe l1eir,qiu1e J1aivo:i,x idle D~e'U ·, bu~e, nl' rn 'alubairdlall'.llt plats· à im- cio,mme eeiUe diUJ·eœu!X',oellU!ed:e l,a ra,i .. e1tce/1,leidiui ,bolil ,s e1rns, 19 ·',uni,ss,eillt , ,qiu1e, id!u S101n 'P Io,rer une in1d11]1gienJc.e ,re.ste, 'V-OJU IS ne me 1r1e!1us1e1r:ez piats, ,rinsi cruie d1a,n s1 u/Il <C:O[lcerit 1miagnifi hien rés1oi l1Uà ne ,p:as,im',efü101œerde qiue, ,po1ur n'ou1sdiée:1l1air1e,1r, ,p\Ofl1T urnu$ ~d1eir J,e tr ,~111s ,forme 1r nl!elS!r i&fl1ex,iiollll~ e'l! un cri,e:r qwe ri~en[l!e1Peult·clJÉ1pf01SIS1 ll!a:rlterre ·die :fllle1 ums die 1r1bie1lo1nqu e, cherf 1die f1a1miilll ·e diu dlr10~1t qiu 'i1 :1 die bien détei:d;éà me 1lirnÏ'trer .a/u,x idé ,e1s v•eilHeir am,,diévefJ 1rnp1pe1me nlt dielsfam11maiîtr.esJSJes qiui, à mJOIIl!hu:inibl,e a:v,i1s, t (~.S nioil1se11 1l,e.me[!J t -c10,ripp)r1eU les1, ,ma1is ,s1C1n11b l ernit,d,omiinie,ra',Îfil1ŒJi()\ntjainitlei q nes- s1u,r·foui t. mo11~aJ1:es ,eit ,iulbel/l,ec1brue11l~s , de itioaJ/de l ai " F1amillwe elt die l 'Ecù lie » , SICID,em.fa,lllt . ;j 'estüiime, meiss,i181mis., q1rnel1e1spra!.I:enit;s L 'éc10/l 1e, j:J 1n'eiS1t 1piaJS1 1permti<S1 de l '01nqarclent le droit ·e.t ont l'obligation bfli·eir, :n '•e1st,pals u.rriiqirne/mlenlt l~ ,i'1,A1"Imde 'S 'intéœs,s,e,1·ù 1'bo1ult üe q1UJisie ·l'a!P- t,u1ru i1r1e die ,l '.init\e[füi/g,einlce, enn e e,s1t,arrnsis i 1por,tie ~t l '&ciolliei,d!Oinlt,se1uil1S1, il:si s,ol!1lt ciei1u1i du 1cœ111r ! e\l1 Jie llle d'oûlt p,a,s .seu<:a:pabl es de c01npléter 1'am1vD0bielll.- lcmell!t faim oolior1e ,eit d!ibg1e,r l es t ia1,s:a:n;te . 1])1n:i 1s1s1arn!ce!Sdie IJ:'.e 1s1priii t, 0irn/er 1aim1élies prle:mi1e:r1s mo,i1rre, 1c101mm!Ulll~q1U1e1r I. - Droit des parents é!Iémentls, p,u,isme1s 1~iicheiss1eis ,dluJ s-ar,~o, i1I· On me fer.a ;p1eiUlt-&tr1ei r1e1mia1rqu ,er lmmaiin; il ,hi,i fatu:tstmrloruJtrf!mme,rles qu1ej 'éme,ts 'WThe ,ad'.f.ürm1a )bi1cmumtYe1r- 'Qllla,liitiés morlad,es, dre l ',einf1atrut, -régl1e1r siriJ ll1emerntadlmüsieeit ,qfUJej,e m '.rup1prrê- ~1:1vo.l::in!bé, f,aire Déniéltmea.· id!a111Js rs:a te à oomhll!bt;e;e st111ru1nid1a1m1pde ha- CIOJ11SICÏJe1n1Cle [ 'afD1/0llir eit lia IlJOll~On '.dlu

Famille et Ecote . . ( Rapport présent{ au /'iCongr..ès de ]1'1 ·ibonrg, par M . Delaloy_e, pré siàent de la ,S10ic âétré v~1ii:mume d 'li}d!1maJtÏŒl.} ' . , - ". M escfome-set /1 e_'ssfoiirs, Le 1SJl]jet(!!U~fo:i,t 1\ 'oibj.elt1dle.'K~ e 1.naipp01r1 t e,sit hie1n,-v:à181te !r-iJl <d!e;vr:a.iitêtre •einvilSlag ié 1sio rna oent,, ,so1Ùl, miù1le a1spe1ettisdiiff_irehl~; j ,l f.a1Œdlm1iit 1Aus

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C111 rifi:c et .,,(n.drnlité scolaire.

- A ·,pu101p o1s d 1 rnn r;a,S'q1ai ]1ui a ét.é cl0Jér,é, ]a t1on111w:i: stsiorn rdi'écol1e die hia1 ch :l étr rnmt>néieà lS18,prloinonHo,r. 1r1 a,e ,CL:r ,~1u r ],a qn1é.stio,nll,e ·s1M",oiÎ.r,s,i J,a s, rnne ,E.a iJle p11&~ 1enc,e ,d,n c r,u1cifi x ,l1arn ,le le1w r,rms(•e et ·de UreuQ·cœeir, leurr· u~str d.'f,c,01f:l pn1l,liq,ue devait &tire ,t101lén'e ,srnrto-rnt ct'ê'tire urt!iJ.eis,'i nos f,hllle.s rpetires et dln nir•incipie de }a ncu en J,1J"éic:,cn1ct~ g1•a,nücis. ,et pa,r eim,œà nos hommes jeunes h1 :rnl i tié cic1nf <:'!l;::,s io,n,neJle. et vieux. a,uis 'J)ar elles eJt paa· · e1ux à n·or!Jre lion eit l>f'a'lt pa,ys. ,, La cl: \mani::.s1i on a cŒ1c1u, à l 'unia.1ümii1t.é, qu ,e l ',~rn s ei?:tJ,e 'rr11entde l 'é)fous nou,s 1J.)eria1et ,ton s œaJ01UrtJe'I: <Jlll~ll(]Ules ~·o l r p1l"irni::1:i r,c puibli qrne re1po1SJaillt s1mr mo,tis à cPs Ji;gm,escles,q1uel,Jie.sno1US a:vorns ,clù , ~-•rcgrN. ,p,our ne point 1:·r01p ,fülilo,ngicn-, .retran,v111 foncl.lement ehr ~tirn, et le ,crlmcifix chrprr· un e partie d,e,s· uèfJ.exio,n,s ,ctte -l'-aiuiteuw ·a ,,\':i nt ll!ne ·:3,ignificrnti 0n ôiC'IOelplbéie~118Jl' a 11 ,<>Ri citrwrnm1te~ qul' se1nrs,ée,3_ N'o,uis a:vons k ~ (•omfos1sio,n<,1olné'tiennes, ii .d,ev,ait e111t11 e Je~ ma:irus ile voh1rme en q,ue3tion: -e,t ,1 es J.es s,alles èt,;_· .e m ainti81rn daii1.st,01UJt tlihrc <l'.expréri-ernce f(,nn,i.uiine 010'1.IBoson, i1J1;istP•r 0noore 1f:Jm· sa V'alen1r •es,se,nti·eil,leime,n ,t ,pa\'l- d'r•eük exisrt.mtcs, et intrioduit clams lrc11Ji'.,f 1s e,e, l les qü,i ~er1ont onéée,sp,c1œ la bi,qu0 ·et funiiniemmelll ,t u,tilK); .111IlCû,tl[) id'œ il ~,t1Q·J,œ "':mv1vre:s cl16monsitm,tiv,es suiffiLt '])O'lllr ,~m 1ite . 1

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rJ.onncr "icltée cl1e ses vrocêcliés ,ct, e méithodie .a,bc.ilair:; et in liellli .~,€1IlltJS.

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{_;(I 1ille rt 7,n cr1 ·wpo91te. Nm11s Yo·uclri,anrs tQ·o,u,eir ce marun,e,J SJtl'l" 1r1 t,ahk · :1. otwrrage a·e touJte eharmbre ,d ie jen,!l<' Qwe,lquels i111,1ti t·lllteè1111s die kti ville d1 1 f il110; nn~ temme,s val·üs11il11n ,e" mé 1rit ,ent' il 1rich 7.11: ont fait l 'e:S1s1a:i ,d'ern1·oyor, r·o.u,p 81Î r Jpim· 1•é<p,n1t 1ation d'ha,bille:t é cl'a:n,a;le~ 1 , de,:; pa ,vsm1.s ae la r11lm1rg;o•vil t.raYa[1X manue 11s •rl1 e tous gtmaies,m aih, à. r.101:rr'e ,C"l1e:,,; ·pcndiamt ] es va1c i a1nc : e s,, qrne, lq:11.es enc,p-o,q,uede p,c)'rfecllionnemernt, il ne lem:r s·e1m . fom:ts p,rnuy11eis·, ,cfan1s,le bJUt dle lewr poi1I1Jt·:1noppoQ•rtm cl'avo,i,r à l1Pillll" a,ctif de,s notiion,s ex a,cfes c,t ,a;O.resqui clirigeirOJnt di's rr-ern·s fa<i,r1e:ai111 1e1·la; vie à l,a c1aitn1Plaigue. 1

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1'7 U6 1avec s!Oin aJV\8[lt 1dle s' .en iS1enwir, ,dle'V'oir.· Or, à ~elbtteœu,v,rie,s!lllb1inJ1e, de l 'uitilisN, et ,on s1e ~aJI'ldie,na ,dieis,wfrr:e bien de :t,riaœ1· le Sllli11on,ruvoo l\llll qnd ost le mai!trie œ\?)t3Jb1e s,i v ou,s,excl.lutez,cie)l1uf (J!Uà ? dion,n~ OIU 1Ja1w11e'a·u irudlom1plté. Or, mel$1Î.•eurs •, dlonin:e.a1tl!.."él1'èv1e1S, }e ,samg <liesios v,ei- qui dlonlC1E ai Ireipù•uls·a1plbeà c:œlüv1e,r 1er• ti1on œ .soin icœur ,elt le f.r:o-- oe dua:m1p,s.Ï.lil\011' n,es, ,l '.ad:f1elC1 ,cielilrni ,qci •l'.a.r•eçl] die ment de ,so11.1 icl:tallillP,, 1S1Ï ·, em,un rn10lt, s•es:ùeu,x, qui l,',ai con1nlllid ·p;a,roouiru f dès le pll',e,mnerâ~e 1e\t,q1uii f\e . p,ro,O'.lieit V•OiUISbain n~SISleiZU1e ,pm'e.1 lle nos jooms, l'E~taltie:riée,le droit de le: tr,am1SmettJra311](Xsileins coonme \t êtr1e ~Jll forg1e1a,rnt des \110,i,s, ,qlUli,-aid\Olp-l .&es uu :pl'léci.erux. hérÏlbaigie'? 1e1e ,privé de ria'ÏSI.Oiil, c,e c.btev,aJ. forup,ar l·e :plu\S g1~a)Illd·roolllllhirte!, Sl()ITut i:n'lél1 miel\lJX tam.gibles et n' rodtroebten!tpas la. d~s- guens, qœl1e m,a-in 1PPIUlill e ciel1i11e id.le1slülDl rn.aiit11e qnli rU1s1s~ 10,n. Toull ,est à, lia mle1r "Ci,die cet 1e former ql\.lJ S'ailt e,t voÛlt},e ,cihelmfüru pair lre1q utel Etat: d1r-0i.tsdletlia rreligi'olll, ,dlroibsdes se1U11 .les olbsitatal·es qrot'i'1l y a,u11,a famililes, d1r,o.iit1S1 dœ inldii,v.iJdlus ,; m:a:is ,on pais:s,e11•a, qu ' il 01niblieq,u'il ne 1dlevir1aiilt, êbl'\8'véniba- à v,à-ÏIDcir:e•e,t•liaisomme die br,aiv:i11i.1l breimeut il.à <lJU!etp:O'Utr ilies g.a1rianür; iil rfia,uidrtaass!U[Dle\r '! Je le rooolltil!aiis ,elt -ni'haa,~liepas à •QIU:'oaro:c u nie \loi hUIIDlalÎ.'ll!e 'Ill' .alà l els é.t·ab tir ,' c~l:1'il<>. l,u,i.,sonlt\Pnéex,isltial'.l'ts, q1n' le iproe1la1me:r : l.a lSIOO~ébé riéisel'vn,nt~l ,e\H€.n,e p,en1lt~,es.diétrlrni1r1e oor i1ls~,onlt t01utJ.\-ORllllTileUiD .e ·µl·ruc·e ,et umie misai.on R:u-•de31Sl\.ll3 cte ses ,at:tttelilnlbel.s, d<e ,sioo ,si1Jtéciial 1'Eitlalt ,g,air1dieiœo,rutes.ta.. 1es, poa11v,oü·. Eu ,elf,f1e1t, J1a1:v;oix.de ~a.rna. - hl emeJOitl e dlr•oi\tdie v-efu~l,e!r à ce q1rue citiron1ie1t réamca)l:â10!Il! ~]Ill·,c. itu ,1,e in.esaiunaiit ê!trr1e éiooiwfree-o.aii·1a ~ '1'nJSit,r1111 v•oix dies,homrne.s, ceH.e-<Ci fûit-eile e:ie< l- toye~t· s,oieint, il'l!QI[]) .pialSI ,op1p •0S1éies', ,mais 1,rde l.a .rnado1·ité.ÛD', ,q,1.m~ die'!)!lusn-a:- c?n.t~r,rne,s, à, oelfüEs ,exi,gé!etsp.a:r •lie fture-1qu•e 1 -eidlooilt;poulr 11epè.l·f~1 die b1en-eibrie g-en,ema)~ . De même que <'hlaai \SOIDI ma1rn0' ma1flqlllré d,am ,11e1ilJ\l1eir à ce qiUlol}e ,fiOsœeçoiv-e urue ,que ,T)i,e,rme Ïllll.<:;\tJmct ,iioo cro,nfurme ù 1l'.a\v1enir quie 1'édi-fiice_8'tsuhÎTlllt, ia1v~\dle111 'qc:cmpel!', 1'1ésE"r1V'e'Jllt O'<-l1 prome'tlbootles · a1S.r;1 ra11,e tinava'll qu,e J'.a,r.chitJool:ej1U1gen: 1a, le tiJolI1l.::. et ,lia, 1Siiltm1atbion <lie 181fami,J1,et me1iflle1m', a,i.n,siii t1rnuJte. âm,e ,e)ttioote, inQuoi de p11u13n1a1tu11:'ieil que, lie dr1oriit t,c·l-lige,rnjedoi'V,e.n•t êitr1e'P,tiétP'a ,rées ~1 l)Olllf liesilJl3ll"e'IllUS> ;diemaiçonirrerle c:œuir Tc-1111pli11r d,igrn,emen,t.~1e,rônieq,ui l·es altet l :âm e die le1u.rrenf:ain!t d81D!S l ,e ono n- 1l1 e1nlda:wns -1,a s10 1ciété. rr,ou1tefo1i,S', cre l e pa ,r 1wrue] oint pa!SISéle ,cœur et 1'â- lfh101i,t de fo 1in'Uruh~orn 1,q1rnirr,eiv~e.nita\UX p01wo,i•rs pnbilii:os, ,n1e .sa1mm,itn,i d>ém~ ébe,sainicê.tJ.'lest 0e~.uique J,ean-,facqUJel3Rou18131eJa 1u verrnt- et trui re, ni même td1i1mm1u1e11· l;;iruv o:lon1téne gr111~dle ,,q)U1e tr,otp la ,soc:ilé- l)i,eu e,t 1harnt\tiwne atti,itbwelllltaux pat 6',rn,od1erne! - C\(U,e l'enlflain!tgiria1nià 1is- re n,b~; 0é"'u)i,JJià SUff.lip~ge,11a .touj ou.r•s, ·iaile 1piais.Du··rieslle ~ e Ioiin d1e t,o;uit j o:ug JJ)laltmme,l,qu'à ciehi-c·i. et lui ~1éidle11. füs die1',eirudir-0 iit ·de œiùmi--ei.iù.j oorusis10d 'unie .a-t-011jama ;ÏBvu un mialuiV.a!Î.Sr y)!,eirne1.ihe1lbéelt s e .<l/éiv •elllc1ppes1a:n1S~.1eni-r ho.n c-ifoyen et, di'ra1utire~)61l,t, n,uic.une en'tr1aive,1c:Q111lJl'.})Je l 'herhe d,atois 111mfi l1s,m~n,,e . n~,s'ieislt-iilpia1s, eDJ•tou'-~~u:st.am 1c·e , ma1I1Ji 1f.e,.s, té .e.x.celfte1nt. ~·e icbia:m1p, (',Oltl),\Dla 11 '.a!IlJÎmaO 0.ll:lill!SI a:a tie <'Ïll \t Oie: f,i1ls 1bon f~ 01iê1t, Cûlllffi'(l , }lei IS'alUNlcl>g1ei•SlaJ iliS' 'Ï O,ÏIS•! ciro,ye,n ·î 0.r, quli.1dlCY.ll'C,fia.i ~ on mruu1v r 1:i, s, iS ,i ,ce 11',e.s1t 1 1 e pè11d iJt\r'alflp:,e av e1 w !;lle11n1e1nt d'1u!Ill e1Sip1rit T fort! ,cabbe hertbe ides. ch,amrpsi, .rru11i.-; N Oiîl,·l 'E~ a1tn>,a:•pas ~le<llroiltd·e sxup~.e l1aibom~e'llll" liaicJ111ltirv1emru ia\Vloo soUici- 'Pr,iim1e r ,e,t ,cle,siu1pp~,a111lte1r ~la falmii\Re, 1.rwèlle (lU\8lrJld Î1 l 'V'e!Uit Ulflle, r~che m,o:11S- ma uss·e,utt,e.i.1 1enit die ,),a, smipplléie,r , ::;i•E"11ie 90 lll ; cet aOCl iimaù.,mia~1son Qie dire,S1S1erna

di et dima.nch'~~·exooµ,tés, ü s font et i_;efont iwu~ 1I10tœs heruioos la même to•~,~ouirs Je J,a, même aUœr1e. .s grnp.d,l!::,l3e~t .. Ils, s '•awanœnt maintenaa:tt pliU1.5o serieu,x e1trpr],usgrraw,es 18ont _tourteuine chair1gedie liVTe~ ,u,e oailners . · Où s 'eu v,orut-üs·a1·n"''1 . 1 , • "', · ic•1·nq ou srr.x: annee~ J 1twant '/ Us vont l ' _ 1,, l .5 '•e n VOJ111t a l'~dl,e. a uaS. 1 S

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La rentrée

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Salut à l'école C'est la. ma.ison de la. patrie

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taichœs <le noir. N 'enltendl P ,:,es l1IIl b'11uiss,eime ez-vo~s . n t oonf"IQ/S die voix pas ve nm,es de Je ne sajs 1p" 1"", , d f dJe·ls a•bA ou, ', u,,, on<l 1mes 'dles sioolœ (J)élJS C .SIOilt.cle,s génél;atti()(llS,dœ' " s.e.s·- , ~

. Lat J1)Demiè1ie jo,rnrnée die ]la. r:entrée vien ce sonner. Bien vitle 1 . = net :pr<::ndisa (,'lalSqOOtltle~ 1. e ~a.11ipn~,,,boit8 . , , uuaiuss,e ses ~ '.'· · . ' ' 1e VOJ!1a en ro,ulbeto1wt&q1 · , rem.a1.s1sient O , "' l "'pavrue,,1t J'U!l a ms1 CJ:U! ''li[t oo\Ld ' L • v ,1 1:pe. ~ · e 001] ~ res· mol"l'• · , oL "' ~~ gillll. enltre en ,cam- plal1 •1ent sla,us qrrned!ésorun · ~ qru,. pa~n. e. élJeapelme sufr lia·u.eAtel . . ·•1e t b ] 'U ,a; JU1- fot,cre l)IW~s.se fü:ilre ta1re a.~~rne 1. . couir, ,e a,,runç1anta1U1x h1an:c.-Îies . De _la ,u] rnls humble nia(tièr1e P.i.rnJe. frHetJte lw. ·. ,,:J.... ' la · · d maJrohe l""r.ec a,v · ~ oompia tor rnux 1'eS)prit. sor vie grn. ma·1 r,' ,-e, ·· rUJrn&n:ne • 1n!l1"' ,~ e""""r"' uvv "" ' 11 :ass!W* e qiu,1 eist cduu 1dles-poiœ.sins c1J * * nettons et 400 ba1rnbi:nsq'llland iJ es ,cac. A l'Eco le que vta1s'tm1 f1,· • enfant! wre , petit itr.nt a•u fm :maltin • si :pa,rque Je s1oir à ],ru n]:·1~:einJtrer .Je vais a1J1pir.endir1e à éc1'ÎDe 0 Tows 1 · . ~~ ~-e.s Joui-s <l'e lia sam aine , j,eu. ,sorutsur un cahier qoo o· . e ne tir,ai_rtsinc,er.taiinls,de fomm,'e pt:au-vœs 1) Ce joli article d'a.et 1· é ~·[a11s .,.. -pa,uivr1e;3r·trtrui,ts · c. ,ei r.a111Y.e muniqué t. l' · ua It nous a. été com!' .._,es !=' • oceas1on de la. rentrée d 1 tform-e-étn:.ang,eont 'll~e v~o~'tams ses, la.quelle a'effectue à la. T . e nos c a.s- <l,:' cr1g1UJCO • •<,l'Vll: ~Il'aplUB grande partie d'entr'elle,~uasamt pour la ?".• ,e que Je :pensie,.c,e,qu,e je sen~

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149

148

* * mru,p],u,s1pmfon:di <lie moi-m~me, ils 1e A 1'Eco 1c que v1ais-1m faire, petit i,êpètent au foin à ceuix qm me sont L1he111s. A in:1on ,père, à 1 111a .mèr:e, ·si 1un enfianit'/ Sams qlllitte1·, 1ncn \'illaig,e, un a.Uais j 01u,1· j,e s,uis ,pia~r1d,elà,1es _me1'~ :Sl\.111 ' à la m1a,in, u:rueg;éoig,11rupù.1ie so11.1 .-:, le,s quie:lq,ue ·terre eJtmallllgere,.1:lsdu"orut ve1rux je va,is ell!l.r1e1P1 ,.e[1dr1e le tou1r q,ule je 1siong,e.tcmJjou,rs à eiu,x.<)~ ~ u,e d'lll 1U:o~de;;ie v1a,is ipia:roolll'rir l 'Euirioje les aime . pe , '1'A.1t11ie, l '.t\1firiqu1e,1'Amé-riq,ue et l 'Oeéanie. Plu1s qll.1'e:torrntJe raUlbreber* * 1aiSutiS's.e, teirA J 'E.eole qiLue va1::; ·- bu flaire, petit re, rm'a.titir,e eit me q1llia,ît rie ,dieplla,ine,set ·cle montalg.nes où, non en l ant ! J,oin des viva1nts, 1daD1S le,s 'V,8JStes nè.Je v•ati~ .appr end:rn à oale,ruler. Uie.s 0r1dpoles W8oS villes, 00ll'Dlll110 éLa[lSles nomubreis qiu,i eXJpri1Hen:t•en a1nnées, hiwn:fül , es ,cimefümeis de c1a1rnJPa:g;ne un moiis, en 1s1mrnaines,en j o,u,r,s,,en dJorrment le s moirts :diem1on .paiys. en rninlllbes, en sie>eoiDJdes lie:s he<U1l'é1S, • * fiaiire, petit riévo11llitio;nis œ.sipla:nèties .a;ultonir<lu A l'Ecole *q:we v,a1s-11m: s•oilei l, ;a)l\llJ.meisrurent, ,en même temps q,llle]a cir~onfér1en0e de ],ai 1te1n,e,ile:s enfant1 Allrn~s,que je n'ébai,s pais enco1,e, üüe1rrv.a.Uc:s dies a1srtl'leis,ont am:ss,i uin qi111e 11'télt.a:ient1pai"l('1'.1!011 1pl'Ulse:t mon 1p1l'll1S mod1este m;1a is1mvM1Jt ]1els ~)èlie estmirumèr:1e 1ge. Le ,qru,eje 0oillll)a,11s,, d 'a:uintirodU1iit·dlans ses foirmufües e:t l 'i- fo1es&t:Jaie;nt qwe j.e ne eonnaiis point . 2:nœiaint l!es. fiaiÎl~ ,p:ai8JSl0il" ,d1ans. ses Ohem.s êihreis rnrys'bériemoc 1 q1Uri avez : f ait ~-onJlptesde méruage. A.tubout!; c1e1i an, la Part-.de, diepui:s les 1si.èc'1eis re-cutlés ils tna1diull.lsenten dUJf,:fu,esil'effort jiu1siqlll! '·alllx temJP1SI vo'i!sins die ma naÜis·q11.11oiticlien du plaiys,wn ,et ide l '0111vrier. ne veux ,p1ais · seuilement sa~ sia1nœ, ie En ,u[l ·cilair lail}g1ag,e , i~s 1eur -})rêvioirr VOIS noms, je velllX aiœssi , S1achent J.e.1Jr1a;vail, l.a :prlév,o,yiruruce et] 'évoir vos a;ctes. Je viairs la!f.)pil'1endlre e.onorrnie. Un 0t Ulll font dleiuoc, dieux et l 'hisfo~r1e. deillXfont q.11ia 1bœ. * * * • * * A l 'E ,co,le qru•evats-iiu fia.ire, petit nt '? A ] '.ffico,le q,uie virus-tu ±1aire, pet.i:t ernf>a En moi-même, je ,d!élccmv.re,dies enfiant 'i 1ir~s,, 1f.o:nce1sdtru bien, .J,e vieux saiv1oiJL'comnnent, a,u tra- fo1rees, ,c,cxnt:11a ,die l '1anima lité, n•u·s diets•cieu__'li:, se 1yn1opag,e ,d,'un mon - f 01,ces ,d1u,rrnal, f,omc.eis foa.,ces ,die l 'humainitré. J -e ne 1s1UJis ipias de à l'awhr ,e ],ai 1twmière, 00111.1,ment 18.U v,enu en ce ,mond!e ,piornr bo,ire, manchoc ,d:e1snuiag1es s'1ai1 1'Ulm e l!a flamme 1:aipÏ!de,d,el 'éci1ruÎir . J,e vewx oonna .%1,e g·eir, 1dtorn:nü.re1temslll!Î!te &sipialr;a,ttue en 1pl,aiee à dJ'alUltues. ,q1U ri, c01ID:me t:o1U1tes l1e.s énergies br111\tes g!ll'a d!omp- .f.a'Îi1,1amt moi, boi:ront, .m1m , g ,eT 1 ont et dormitée:s rune à une 1e J.31be'1l'r ihirumainé,aiCCO\ffiipÜ.l~ t:.ne eî,aü1rié ptar 11a ;pensiée. Je ve1rnxvo,j,r riorut. Je1s,uœsV1elliW'pOIIH œuiv, r e plrns halll!Ue , 1piJ.ru1si n01ble et pl'll1s monlne,r l a1 sève ·diepuis les r16brnsites digne . Je ·suis venui ;po1rnrêt1re utile. 1·,R1cine(.s 1 d1U chêne dülS(q'lli '1a1uxfines dentelu1r:œ tdie fe1wil~iag:e. qui co1U:ri0ill-porull:'êtr,e j'lllsite.pom êt1,e bon. Les nent sia 1tète . J ,e verux v,rni.rCÎl'CIU.ler ]1orisdie lai :ruisitice,]œ règ1,e•sd,e ]a bonp.a1r mi l1le cana1ux, j,uisiqrllledlains. les ,té, l e,s ·p.réce.pfo:'ldie 1.ai reJigion, je rep ,lis dtn c,erv:e,am,,le füewve rio1u,g,e ,ti,en:s h ],es 0onna ,îtr e, j 'a lcûoran,;i ici pon1r en ,Apel,er. les syHa,bes S1ai0rée's. c1usiang.

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intime , diérlic1ate elt 1prdfond1e, qq1Î est la s ienn e. A ,0e:ux qflllÎ n'y 1se11on;L ']Joint n11éis, il 1111a.-nqrn81rai itJ011rj101U111s ees -doiuces rémini 1sc,en0es ià nruil]e;s1ruuitre:f:l p,a_ 1'8illes, .f.aiit,es , d\e \SO:uir1r1eis 1q11l'irépon(Î:ent à des lairmes . * * * 0-e~ foy,er:s s1eu.1è; çà ,e1tlà a~ ha ,~,Hcl c1 1c~sf_è;rmes s1()(U1S le g'l.,a!llid ,cie,l libr e cle~ cha111.11ps Oil]) s1err:és,l es ,uoo con:trc 1es èl\Utrie1s ,SOUISle ei,el iirnrrneux. des vi [iles, des mains, les séip,a1nmt, l es isolent et les empris10tnnenit. V1oici qUJe tous s0u1d1ain , id' eux ..,mê,mes,ttoo111hent r,,e,s ,mu1:r1s. V,oici ·q'l11eûo1U1Si c1eis foye1is ,,,e r.a1ppi1 iÙlchenit,·s~assiembllienit,s,e fo:nde\ll:ten ,UJn,s,e,ul ·pluisV1a1sltJe 1ert;.phùsp ·eup 1é. C ',es•t en001rie,,c 'eis1tto1ujorJ,14S1 la ma!Î~on dies ·a~emix,:maiÏ!s,e 'esit ].a: maiis,omd e ,cie1s a1:ernxq:uû.;pontent trnrnsJe môme nom, qu ',a;ttrisbentdeçoimm ,llil'.l:s deuüs et ,qU1er:éjouâ.,sis1e!Il't ,de 0oimmunPs a] légTess,es qill,i, ,d1a[Il,S lie 1pas:.é, ont die ,001rwmUJrus <,•01u:V1enir1S, idiru11S l 1rnve1

A l'E cole l1,u-e via1Sb11·füu.ire,yieii t enfarut '? .Je ne ,s uis enclûlie, j] es1tv r,a,i, nu ' mu p,etiit enfant, maûs je veux: être u!D honnJme. On n 'oot ,piais"Sle .ulement. 1,1111 hormme par la 1t1aà.Ue . On eisita11ssi un homme p,a;r la: ·rtafrs:oneit rp!ar•Je <·.œuir.Eco ,J,e die mon (Pary;s,je t 'a1ppi01,te 1:)10?âme. De ,ceJt,tej,.ellille rime, plul5 debile encor,~ ,q(l:.11ele ernrp,s qui l '~nv·cl10,ppe, fais iil~e ârr1.11e patri ,oite, fais uue ame hurm1a1me. Quelque fortu,~e Q'UJe me résre!'ve l',aiv;en~r, que je S•()'Jts le paysan q,m. orurv ,r ,e dans la o'lè1?e. 1_a v,~ine ·Œ}l!1s~Hon, l ',a1itis1a,nq ,rni ~a11f:i,e,p:umre a prnrtrte le :p1lu,smi..;;ébtle l10<gÏ!s, l 'ing,éinieu,r ,qwi da.riO''l°~ die - ' J • 0w-ü1S1sla11,es usrne/3, l ',an:itilsitequilè, ,engendre la bea)ulté, le siruv1antqui .allèg:e ] e labeur die l 'lmmme OIU.Js,oulia,g,e s.a so nrfifria:nûe, ]e phil,ooo(Phe qui c1he1ric'he à Déls,o~.11dire ·l'énigme de 1 'u niveris, .fai & q1U1e je ,d~V']enne, en é(':OU t,am.'tte!S leç0tnJS1, 1'oJu,vir:ii,e·r· 1dluDroit nü, <liee01Im111u!lles eS1Pélram •C1es. <l'e1a: ,J.uistice cl dle 1}1a Vérti.itê. ' 1

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Le jou1·nal

de l'i11stitot1•ice

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La maison die fiaanù..IJen 'es,t .pais s,euùemenit la p,aJUJv11e 1a!UJhemo·e ol\.l la ri•cihe hâitell erie où l,e ,clü\I'tys t;olll've 1s•a No11embre. -- Les, rpa:ysla!Ils,n'o11.11t, que dresisie11JtimentsintélJ'OJU'l'Titwr1e . Elle eisft qrrue}qiuechois,e en gé1J1éi1ad, · le rbien, iJ.'airt de p1'us .gma:nid,tdle1pl1.11s baau et à ,sia ,11esisés. Le bien >p,011.11r ,p,our 1 'atrt ,s,o;r~t de1s fo111111JUiLes 1qu!Î. œ,rmalllière, de rp~:wsné1ee1S1s1ari:r1e. E LJe e.st Tesp1m1•de1JJL à ul!l idléail q!llle lai m~:joJe tiendlrie a1siileüÙ ià J.a fliamrne d:e rit0 cl' erntr,e eulX e.s1t Îlll('.a1Ptaibi1e de et de lffillrï)l'O!plfe leu,r ,pI1orp ,r,e penS1éJe cump1re11d(r ,e. A,vant di'1ag'iÏ.1 ,, iJ si ise p,oamo,uir, ,Cieux ,q1uidionnenlt ,1a;vie all111L à a:ult.T'Llli, ce.tment, 1ehez ce;ux ,q,ulÎ. ,J1aT'eço,ivent, la ~-: nt, o;u bien ils iJ):01S1e11it : « A qij:tloti(;te La1 mie s,erflamme èLeJa pensée ·eitdie· l 'amou.r. t1r: c1u,e,s1ho111 IDHee,slt.ainsiÏ.i1me éco1le, lai p1~ernièr-e v,ir1a-t-iH ,, L,üu1rs ,enf.atnits,itol\lit na1huern1emt, les imj tie;nJt. ér•Qll,e,l 'éCIOledes is,enitimerutJs de,s tr •aL 11e-lJ -rlitions, die toill/tesces1,clhoises'd1wcmu11· .A:nj orn~d·'hu1i, ip,eTudJaID't ] a ,]1e,çon de tles:;:m, .d1eiux,de me s éJè.viefstmv:ail qu ' aiVec qtyeiLqJU!œ vieUJX. papiens, g•oût et ,co1pwaien:t foirt maJ q.~11e lq,ueis Vl ·0U!X 1111ernbies,q1nelqwes ,],arient ~,a;nrS1 J,ets,fleu1r1eltlbeis ,qiui leui:: v1 eux ·mm;s, wvec 1 um 1peu de tie-r<reun les üès ,sri.rn.1:yJ • , peu. 'dl''Üll' ip1a1r ,,C.10t1S1, les :p1a;r1enlts1 lègu1ent seT-w11ientcù2m1oidèles.Commie je J.e:rnr l'une d 'ela le11111s enfa!llJ!js,,Oe1:Jteoooù.e, nuil-Je eu fai,s1rnisl 'ohs1e:rivia1ti,oé!1, 1a1ce dia/Disl 'œu:v:re les m e dit : " 0 'eslt V:r1aii, M,aJdiame , j,e a<Wtr e ne ]1a r0ITI1pil 1

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C.iJRq•rne1noreèa11, forme ù Jui s-eul uu ·t,1u , ,t c·omplor, n..insi que les fa ,l>le,s mes il ne voitt l{)laJ.Srdle flmrtes1 ma/l.lS 1U lbs d t! La .b',001tain:>._il éitlaile clla:ns une rplutôt dies êt11,e,s,pJeins. <le <l/éffü e ,a/VIe~ ~rn,e 1Pia1ne1 v01sité iI~vp itoyiaJb le, Jes, ,quiaJilt és q1n'il pé:nèt.rieeit é:turl!Ïi P,a,rrfü!isi l tSJeun b1e c: nu style q ,u t cc11.11pe une pla0~· "ti en0e d1 'm111a1teu,r_ dléfiaiuJbs d ï11.mneur. piann i lr,s œUivroo,i,mmcr- mëme 0 ublier ()Ill! 'à côté rdJe.s: ü: llff qui font ia ,J!Jc.il·e cl11rsù.èo le de on i,no:u'Ve,a,UJssid e belJes ·ert nobl,es it.és: J 'hicm:miie,,m.ail,gDé 1s1re.s imLou:.!ls · XIV. ChalC:ll!ll ,die sas oa:r:arc- ,q,n,al , eons<Y11Ve tr0u,j,0G1r1s, une étèr,es, ,pri,s i.Siép.iwément,fomme à peirfochœl'.s tin or.lHe, comme 11Jn.r,eif.Jet lointia,in, i,1; 1 Hml un p-0-t .;it ohef-d 'œrnv.r.e Je i·DJdri Ja. Div·init,é. r.niJ.ie1·î1e l'>IPÎt'i~Ui<!lle,!par.fois mo r- ;m11101 tk. 1:1te, ,où l 'id,~a ,r,1· in:c.Îlp, aJe, ,q;u,i ré P 11~n0r ns urn 3/lll la.,e chef-d'œ u;vre, 1

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t'll,t'e e...:a,~te.et combien l es verbes ·s'.n1Gf'l nu111w lent, SJe ·COIUldoi en,t vma,is~ -p,r118/llrr le viJ. On ép •l',ÜIU/Yierle senrtiil1ff'ill!t die ccJ,n,iqu,i v,eirl r•arit lai vi,e <lie

,sor; égard oom•ne ,s'i ls 11''É/tuient ma[- l 'ind:i~·enrt r e,J:frrésientée en ,s1e1s pJmpoin1t. - » Te-Jle est la. !I)le,lllSJée , idia1rn s les se,s.c1i·veins.e.s,e,t humilia ,nll:es, tn ·.H·<~d1e-0e:pe!it rchef~d'tm1N•r.eqn:,·n OIU d '•u,n 1te se 1a1S1Sie d.,è re t rie et qui dure ra iarbiJeiain;x,d' un kailé~d.ois.co1p,e .cynfünalthog.r.a/plhe~ 1terllemi2111 t ·lia JPe'În,a.,itvnt q1u,ela hongu.e framçaiisre. t,rnre e<stfidèle,! ÜE·ite desoriptiou c-n 1pJuJt&t Ire ;xn·tr :-11 t d.e 1'égo i:-:tt ,. eislt pnir·flari•tiem,.mt De mêm e q.,u:e J .-J. H,oiulS$ela,uet 1·c•i:•~Fi. Si la Hru,y2-re n 'ana,ly..se p:is Bernia1tdin dre Srt-Pierrie ISle o01rnpJaiicc,rnme oe11tai11s n1ora1l~!bes 1er&s,~ruri. s1a. ierut à &t: uidi.i.re a.· à gen.o1urx , dies heru,_ n:,·1Jts iwtirn:e"', J '·fl~senicemême q•u i ,ries entiè.rns. les mœiwrs,e,t des éiv,oiJ.ufai t Je fond d,e no1tn1en ait,nir;e, an1;Q m11 tions dJes inS100!1os, ide même Lia B,r1111ne 1e sun;P:ar~,c ·en ~ 1p1iit1d: 'ob.seir!'i'ia,- yèr:e ,a s u n o,tier,ar;~erc'11llle 1smlU/ p1ufowt.ion pour poirudre :l•e131 iaicttes •eX'Lé- sc exaetituide Jes camarc,t.è1ies de.;;horn_ r•ieu1r1s(}llllÏ SIOln,tl,e COll'/om!Jati.trle ,o;u ,] e,,;: mes; il œ ,a f.aiJt sia:1spéciaùiit é intllliÏrfrurits die sa llll'l!t1111 1e invi is,ib<le. i a1 brle, c-omrn e La Fot11baii.ne ,ppm S'eS fü ié ·CLez lurî, :p·a1s,-d',n1pµainair, iarucu!11c·f,a;ble1S!,et sa griffe, ·E,a :p,1e1re,o,un,a ,s, ne11·- h1a·n~1p i re nt sri vi g-orumeUB1 em e.intdia111Js ,11.'(·hcwche: J.e sty:J.e est ,ao,nic.i VCl 'll,x, plein d 'én s rg,ie; •a:m.'! tme e.x- :,""9œtwi-,es, qu1e s:on noim .m1êm1ede~Jlrc-~s· ion 8'UP,eti.fürne, 1pa1s d 'ép ithèite vient inut ,üe: rs1a :pmr&e/Sieir,eico,nnialÎ)t q,u i ne ,s,oitwmenéien~uta :n,aJ1 J,omei:rt pia.r .Mill -0,11gi n1a1I itié s 'im,p,ois€et. fa f.rui:tTe: le 1be~oin de fa pensée ou J,e rSlemsrdie rninnaüue .a,ux ·p11e,nû ~res. ligne s. h1.ph1;a1s"-'' · Sa di ctiom a ,J.e1111aiuciliiatJllt Le ))011,b ·aj t ,d, 'Ar zi,a,s E1.;;1t ,dJ ' Ulllie . V•t>de JJ,a1c ie1', qu.etlq,u,e o.hasie iquâ-11 aipp.eŒ- 1j,t'é .à il' end!l',e j ,allou.x 1e 1prinoea1tr ld/u Jrei1'inonie <le J.uwéna1l.,C ~e,sit mn écwi- peinrt,re le mieu x exerlGé.En oe OOUJ.nt v,a,in rµ11? fond q,ll!.ipaisse ha ,p&us,g-r1ain mroo:1Ciea ,ur, l_'i_uo ,nie .se siornbii en1tj.u,srqu' 1 de p 1wti e de tSaJ vie à .ébwdiieT;à ,a,n1a1- ,wu.h12 1u:t s,11 r,1twe~1e,,e,t j e dJÎrJaii.même J..,.-;S1N' se,s iS;(l']nh lables: i l s'll!IP/pesrui, ti - d6liri('ll1ee,,i-12 1levée ,p,a,r llJil sltyle irn1,D. Sil.Urk1ua·,sdlét:awt1s~ les rdfui-it ,.siains p e~IC',ai bJe, qui n '14;.e.u ,qrne.idle 1pâles ::1mh.ages, 1 rr,1hr,1,q 1u•e pieu, ht1Ubal1e1menn:.1m1fa 1t.en·l."R.De memie qrwe :liebon fia,_ Lf's b1ave-1~ die J 'hwmairûtiéisltrimu: lent bnfü ,he, il a donné u,ne ,tOIUJrniune à ea. l'-{).J} g,i;nie (l~ 'mOIJ'/a,Hs,t,e i1r n,pnrtJ 01.r,[l1hl€.p h11m,1e c1-n10,n ~lie p erwt qr.112 <liiificilelJ semb le même qru,e~hez lies, J1om- mt'nt foni•re•r, a·n r,i,siqnemême de t-001œti o11dre ŒaQ11her d!ain s mue a1:-,c~11rur.1,J 1

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152 ipair J,a !J.)l'éOCC1.~lt1001 [Xl"OOq,u.e ,calllS,twnrtie va:is g.uût., c,ar j l œt :dies ~iitœ qiu.e iée « 1&.aD1S!eig:nieir i>. L'œclluilrt:e <llewra1t iln"O!U!V\er , l 'on n e firirunchitpais 1IDJI) 1Ulllell1llelfrt.. idllllIIIS11a 1laçcm ide, p110(Céder il oo n êga ll'd, Ullle 1 L'n sewl ,ctJe ces pouibr;aurtis dlœmeuim:i ,dliroOOlienoep LuiSsenisfüte en oo1'ë 1enrtirele C00.1/rS ~dée 1d!e to!UISles a1u!Ur ie!S: ~a,nl:\Quttl '-01 n diu sok et l 'éc:J:Le qn ' i1t .n.q,uli1ttée n]~uère. A et qJUJ [Jlne-B\S!ée,urne 1>m·sollllla fr fl{) qUIÎ s'est .:ré'l'l0l~ée ,r,eno1wve ce;bte ·siuœ8!Sill~cxn , fül fümlclllléllil~11)1111R a1t'CLeDJ te lmêllll e, ,d ',waig es 19a,iJs1,s,Slfil1-,oc\J~c1ù s\11f'firm er IJ_)'M".f-Ois 1JL'ba11tié da,ns [ 'e xpruDSio:n ,et IJDOWIS die oon1e:si, 'lJIUU 1SJÙ' nt co,rnm:e J a. ,c-on:msie,die làle rt{i 1rnimlte1d::rn1s iia m1ru1,if,e.$1J:s tiKxnd'IUlll/8,Sl!lill'e01.1J' humanit é, ilme esipè0e ICœDaUlis\e. <lit~ d'i,n.srtlL1Ulilre, ma is 1·iosi•t.i. H emindJiLs1pem,.<,a:ble !Vl,Qt!tS, tr .ai: nsporibée, 1Qu: \P\()IUlr 1m1:eUL, ill <'l,,it:nlêoossanre.O!lllS.Si <l'é rnOlu.voilr, d'agir Sll1lt t'èit',o et 1die ,~1e1d1 reis.sielt',tes i,dlées rfi::u u,s. ,dire 'tr a!11Sl~arutée 1d!a 1ns~e >tieirmainüJJt- ~e ,(Xt'l'llJC ~l."firu;ti~u.te tlr do.itt procfYtle r de toiultes IIee 1tér,aiir,e. 1cliemom ~iis1::u1Jem· 11:n '1is1aint1a\ttJenbiJvemenit Ilie1Sœw- occ1rn~iou.s pou1r J:ah ·e CO\\'Vll'·P et ,l' Œrl!u~n1t1e ,rn·. vrcs. on y 1rema 11 ,qrute ~oodlaJnit <.'IOOillX ,rne Ôu1 e 1aic1ume, j,e V·Eill!X:dli11e 1u1n man ,c~u,eK.'ltcs enaibt-Ùté. Les ltâ:clhiesinb iéExercice de mémoire ·1,cnte s à nOltt·c piaJUJvocte !llaltutrle ·.onitLa bergeronnette c::lJe s aig ri ce g1r,anc1écrivain_ .ani~1pPi:p-t r,a:r(n'IC ipet'it o ise:11t 1 cte:; ci.1,.im p_,, ,de lrni foi11C ,~rienœ.re en id)égoüt si r,11eoo11 !ltawt e tm,g ,ero un ,e~ne, 1· se mb l1abl es, c ',e.sitc1eqiu.ie OO~ Si 1:gu_ Qul vo ltig es, , i1ye l~ l()()(JJUle(t\t,e, ]<)t qnri siff lers ites j d tiiis chm 1ts; rons . Ce1_J1enct'.ant, 1p~u1r ten.'lllme.1:,J'? rne si:1 1u,na1s rmoox fia1:i.reqlUleidJeci.001P, BePgé1t,annct:te si ge1:irtùlllte. •n1u s,ujeit. ,die Lru B11n,yè 1I1e, q n,e.1 q,uie'S, Qiui 1L01 1H'lll(J rMltl10! Ull' <llrn hr01U!l.)€1'a ,n: rn.ots d' urn illi111:,1trn &mi.1v1aün, Lû.wi.is Pair il.es J.l'J'l'.!s ,~·,tt1til1e, ,srurutnlle , ,Et mi!lie-toi d,a,ns ~,e 'D11iissea,u! \Teu:ill ot , diont le ,s,ty1le a l]J!airlflQ!IBl qu eJq11c 1a! L1.a~oigi~ , 1a,nee ce1hrn~ _dUJ.g1ria:nld va, ,(llllllts tes gi1a.c10u;x oajpr10eis, ·&l()(]U1€1ter fa. poo.n,t;e .a.es fil'®\l~. rnonullsite. " En ruia 1p, reimn.et1 "1B Jeiuness 1cl'asgiên,i,~se.:, .Ou [H)U['s;rniv,ue, ~1~1,x :pi,eid, s.e, La Br uyère m ',enltihou1 s1 ~ai::;un 1ai . !L(>s mo111cl 1eis Wt1...: ,•ives <'œi!liefm'L.~ ·. •J 'a~i11a.i,s s,a pointe, !Sioné,e1La 1t, soo. ,pp1li. Il 1,ù ba Ï!ss1édao.1'sm on e12 1pil'!~t.Getfüe l:1ie[moods 1/eisj1e1u x, be Q',g'€(].' 0011D10tte , Berg1"'l'Ol'lILett,e ~uu vol !léger; point ·e ne ,p ,énèfaie l]_Jlals,10 0,uJ(Ou n:s .Nau,gne ['~e, r vtiler (Jui 1ie ,girue/tlte; ,a1 v1: m t ; ,e,11 e es·t ha,b.iibuie,J,l, e,merut t1rr.m~ ,Ties uiis lii. 1)0111:r,te :p,ro'1:J 6ge;r . vée dl::~füel. L e VJO lurnie die.,;CarrtctèSi h a llllt qu' il ,soit, j e a.Juis l''fllba1Jtt r.e ... 'res, ·q1uoiiqiuieco1lllttt , dlervi•e[ljt jpeis1a1Dlt J:',etp,t o iselalU, ch::1111 l,e ! . . . cJt ,dJemain\ dèg 1e mili el\l. La B>m;yèire eslt l\lJll Q,tlllLil!dlje n 1:11~chei,ai, 'Viens rt'i0barti1l'e v ieu :;-;:ga1rçon mé,con,bernt dloo rfe llhll1 1~ ', J:',l'è>s lcùe mo,i , l e J.o.n.g 1fù\l ,clh.emûn. un litit0naibe:rnr rn.éiconltJe. nit idle1ùai soo1ec·-est ,to n doo.x .ch~1Uf ,qlUIÎme ,cOllliidlP: fa~. l i ne s,otr ,01 1rv:e rµals,a1Ss1ez en bon .Tc n 'rui pa:;; cl'a'Ultr e iaunli ,qu o ,to i; ne pkwe lJIOI\.U un homm e ,qirni·s:a1i t ·1e Be r.get"On'lllet-t.e. val.c. vo.1-e-, oTec ,e1tq1ui é,cirit.bi en ·l e fü;a1nç.a11Js. Be tigeil'onn et be. ,cl1a·,-· a1Dlt m oi! '"' J. M., iD!slt. , à Les G.. Ch. Dorn11r. 1

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Partie pratique Du genre d'enseignement à donner aux adultes

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tendl.'lll.Ce ,gl'> n ô11nOe ii. <l on .::u111t1 q ~me ambn:1.1etll1op 1Slévè-re.1dé uo-

* Le jeune .Toto revient rcle ,dl.russe ,ruvec un œ11 pOlcM. l'l ,e,x;pllique en pœt11·ant "\ .son •p~re q nie ije,s êlè'Ves ù e la 1re dla1S1Se ,se ISOn4 b:vttm,s a,y,ec ,ceu,-x de ~a 2me ,cfasse. •Allors ~e pè 11e. se n tencie use me nt . - Mo~ f:i:ls, voi J:l -ce qu e c'est la ,lutt e cleis d~·

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sa 1>arti e, saUJS ·l e.s maltrai ,tcr m.ai,;; se scn· i-

J!:·-tit< e ,f"a,11a,n:ne, une qui nzai n e dJe ra 'Clc ht Yerge ipOl\.lil' :\es. 'COrr igel', et aya11 I p,,,11'~on s· r.it. f111e1'.1t,e1s, uriit Je cJ1ie1rnri.n l'i1ge fle ·six aimées. Iils p a.ye ront ch aque eudouv.e had1es et un quarteron, ia111t bïC· dm 1-'.W\:S des pom n N:!S• ,E,t <l,e,.::;p\Q.Înes, fout que rnéete (SC'ig le), ,par 'lœ (Pè r es et m ère1;, d s.'m,:1k1, lJu ch ez Ier; ,p,a,y.srnns. ·s·oit ,q1tw11t:t e,nn,;, -ou aru ,bout •de l'am1ée , C't Cf"s Yiar !a :nC"eis n OU1 v-e:w g,en ne \'i en - 1JOlU' le.'< p,amvros qui ,seront reoonn~1 .~ te 'ls, ne nt id-~p11cndr,efin. S1uiiva,rnt Je r,::l,p- la com.m1uine pay ·e-1·a le d1t quaJ·teron tOll.Ilm e . a. s us ,est dit. PJ.u~ la com:mu,ne 1ui laI~se joui,r ,; ,o,11•L ;d es _01P.i:ra.uii~niteun1s oet e:ssiaïi de {l enx quan:te:l'on s de tierr e , li eu \lit e n d1om1-E'.·!,,l ~'me et entière s wti ,srfa lctiQ n. , ,q,ue le <dit régen t jo,u it pr éJJC!S. f an_]ill1°,s 1a·v1ain t 11eçu, les p etibs seT·antibe,il-Fo1ini te me nt , ou tre l.a. dite ,comm1me J.11i [rn~u,1:trl1.01.'.8 · s ent fon1tooiilltent,es.die I,eirnr ~-era par -anJJée 50 ,florins. et jooira <l<' t0'11;,; ::1,1s1c:1 n 1fo nm tna,w\,il et de leuw oibéis - le s f)ll'ivi:lègos de'& bour geo•is , et ce tra.ité e~t s:1~ce, et ne rlemœrndient q,u 'à en .rece- pour ['aNo ir -.iins1 m'll'êl!é ce G,ujou1'd'hQ1i. >> réc!'tü siitio n dlu, sieur .r. F r a uço is ,To1·~ · 1ot'amitre~ ; die sorte q1UJe,l 'alil pr 10 . Pau<cAx. l:1 t·égent i\, l' éco!le de Lo ng il·orl, <>t e;:. 11r r h:c11m, 1''C1$i:m ~e.na de ncmveam, teDJ!ié \_les_ pl~intes ?·U'iJa ,fait ,es que le s e nf:mt'R S'll1rrnue .p1ll\.1,s p;mnde éc,h elle . q~u._, ~mve1Ut l é-col.e '.IJJ e [)ortcn.f pas •cln bo·i;: 1

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.comme 'Cie cout um e. Mes.;:!ernrs du Co n se il ont <'Oill'venu avec l,e d,irt; r(lg-ernt de lui rlon111e .r 20 ha tz par n,1mée .pol\.11/, q.11 <' iles e n fa:n,t ~ ne ,soient J)l,us obHgés cle pot'terr d'l.1 bois ii l' é cole €'Il hivel'. sm11s l'ien dlmini1 .C' r 11u droit (I•n'i1 .a. de faire d•u b ois [)Oll 'r son 111<11g:P , <cAi,nsi <'0,111ve nu en Conseil le flit jonr /!) ,déc,pm/lwe 1762). »

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L es traitement s ,r'nulrefois.

C e. n'e~t 1111sqn',e11 V::11lai~ ~e1.1,lemerut q 11e 1:i. ':'1tna t 1on de r iSgent n'a paL'< tonjou l's été L•nna.bl e. En effet. "l'Olt•i cc (]11'11.n•COl'T('S pondant •tl,u ,.Lie!ll nuudoi.s" 1ui éC'l·it con.cerna nt J.e p oste d C' nrnîh,e, tl 'é r ole Lfa.ns ,m e ·L·0, 11um,mie d1u beau p,ays lle va 111d: X .~' I ,a l)lace cle 1·ége uf Potw· la premièTe mo i* ;\fO'.r J)'E)NF ANT. - Rou. c'c,~t ü u llla' S t ,~ th1 XVIIIe ;;,i &<le n.c d•en1it J)fü!< être {' U<•11 lin . peitit e môt'C? - Oui, 111ad 1&1.1ic . - IDI. v1a,ble ii. L ong irod:. Outr e qu ·rn o,c 011p:l'it nu hnm 1e'! - O'rs .t .(1111 fémi,n in . - Eli hi ·e,u , n,l oo:,:, 1(1,('a,1 t,t'O[) restreint. h'OJ.) ba,s e t m al a~ r (• e,t b o nbo min e1 JE- rég~n t ~ 'ét'!l'it !l>lls 1·ét1·ibn,é de mauJè,e 1 f~CH11'01'.' f.a11t e f.ace ù sa mod e.s;te existe n ce. ~ e . '(]un .a.ggr.a.vai t: s a s iituat ion. c·est qn 'il et da 1t 01a.ré [Jnt· le s pa rl'!Ilns oes eufanvs 1 1nic 1~:1.rti e de eenx-ci n'Ha1ent pas œ,~ne' t·C,AUX R EORUEJ,S SUISS !iJS. - I.1a n111i1,011 ;.:~1lm·1té exP.mp,lai:re ![Jour so ldier l'é.co'la"'e d e OrelJI Füssli iî Zu,rictb, V'ien1: rle puh lier 1111<' 1urco11;p de ca/ a~~ nowvel ,!e éfüt i,on, 1-<eviue et 11.1.Jogroic u fée ,cl,e 1(\Ul'~ _eiruf~nt s . Dans bC'·::t. :! ~'l'IC I 'e.~ ~ aJ<'1C \UilllD:tiemt, m a,lg,t·é de ré itérél'S l'e~celle.n t l'ecue i,l in tJbuJé: c<Au x Recrues ''Lll'lnm fll'!ons ()ni n' abo'UM1ssai'e nf pns. Voici Sulisses >J et r édigée par ·MM. P e r!rial.'d Pt iln _reste qu e lque,g clo0ument,,; qui démo nt rent Goilaz, eXi})01.'tistPédagog i·ques. Les autc1m:s C', la :1renrnent la -"Îtu.ation oü .se t l'ou ,v ai t cet in , on_t r éuni su r 104 ,pages tout cc qul peu,t êtire tér ,es,s.a,n t .fo,n ction n a.ke. uhle ,pour la pi 16pam,tio n au x ,exa m ens l(],e;:; c<Cc .io~ti 'hui. 19 man; 1755. y a ssi...,tai 'ein.t reicru oo. de s iœn'!Uclions r elatives :l ta Jec~I. Ir :'.Imi lst'r,e MO'l l.S·SOII. J.e ."OlliSJ:,ig n é. Je, cours til.1'1-<eet à fa co.lll(posi:tion , uu petit "'.~nrs Ola,rndl~ Bacle l. Pi C'l'l'e B,iclel. Fr:mçois d'al'H ,hfil'ét1que ,;ivcc appliootio n s pratiqu,es; l 1<:hOlll et B10'Hat Gomvc rn e1u·. _\ é té ro 11- une '<. l esc .rlpt ion n,brégée ,(le la S u isse; un a;é,e nu.'. 1a voc J.e s ie ur P igu.e t, :po,ur ta ,l1,,rn~ïo,n su mé de no tr e bi sfo ir e n,a:tionflk ; un -ch arpid (• reg cn{'('. ·(]ue ù l'avenil' il a,u,ra .sou Jo·"'e- 'h<e œnsiaict •é aux institut ions po lit iqu es d,e 1n €',lllt tel q,nï ·I eu a jo nâ (l,11p as:gé, à ·I ll c, 1~r l a ~u,is sie. en:fin qu,e,lqrues mots ;;u r l'org:rni ;.:'l' rl1P la com mune <'l'e fn,i,re les 1·él])a-ratiolll·~ sa:ti,on ,œe'm:mée fédérale. Oe ree:ueil rcm1·~"<'orn!ue.~_ n oce.<>sairœ et 1·econnu e.~ !I)aQ· Je ·dH1a ide bou s s e t'Tii ces n on i:;eul~me n t au x ref o n ,··e1l. ai n si q.u',n n j1u:di 11 ,PTès d·e l a m air1,u es. mai,s en coi ,e, ii. tous ceux qui vo,udrout s,0.11, qu e il 1'.ecevr ,a touis le·s· enfa, nt s de la se rnm ettre en m ém oir e des cho ses qu'il es,t ont ·<l'aills le distr ict . ien C'on1~11m_e ou qni ,<s iO'd ispe n sable fi. tout c it oyen de eo111 0,at tre les et u,dia ,nt en bon rôgent. cha ,c,un sui vant parfa!temen t.

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Bibliographie


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Liste

7 Uoiu·s ll'é l•11dici;,1~a.r R,a,1:Pt. (\.Jr.)

des liv1·cs ,l 'école.

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u.so Lc1,:ons d,t( clws,e,s p,a:1 · Co\J()!Jnb l.:ïO Fullll'e )Iénag è.i'C ~caol't.) 1.'r aib lt•a ux 'll''h ou•n<'m· (l,e c,L"l1l) 'f{>mo,ig111.ag,es ·d:e sati 1sf. (le ·1:cu•t) o.::;o ,.~o G 11yau ire annéP (). (j;\ ' "{( 1 . nnL mmni re du , a ais 0 .50 au~ prix iu diq ués a_u Dépôt c_anton~~-dcs G-1,i).mmairc Lar i n' (pré p .) 0.(i(} livres scolaires, llla1son Gab iou<l, --1on. Ctrammairc f..t<lrir e (Fe a nuée) 0 .!10 Religion Ül'U.llllll a in • Latil'C r~we :i nn ée) -.40 Fl'. ~lét h otle anal yt iq11e de style pni· Ca.1(,d 1ii:;111c t111dioc è se 0.70 le l<'. l'., didsée en 3 vo l. comB ib le illu s tr ée Hou t·q ua.t<l 0.35 Il h;toi œ sa intc N° 1 (S. 1\1) me suit : 0.50 .\nuée p l'éJnU"a.toil'e, ir e a.11U ist oirc sainte 1' 0 2 (S. !Il.) HPC, 2me annPe ( <.: haqu c vo l. sé J,wigu c 11wtcnicllc , t) o.u~ '.\lé l lrnue tic lcctm c 8. '1\1. 0.4 \J pa l'cmeu · . . Géographie et Jlis lotre .\ uü ùc J'pufun _c.:e , ~-~~ u.:w El(,uw ,Jll.;;•Lle géogra~ihi e . Ca rt e 1111 Vala is · 1 Ca.t•le t1e la Rui 1:,se (sous l'1:1':clop,\ l.)l'é gé d 'histoir e d e . l a ~ ·~ ssP a.no 0.80 avec pr écis ins trt1ction c '.v1quc pe) p our cours <l<! rép étittou Cal'tC de l fL Suisse sur p~p1er éc . 0.:15 .lrith méti<JIIC 0.511 c a.rtc de la Suis se sur to1 l~ . . \ ri t l!111(o l iq ne <lt>·S écoles p 1:imai · ·1:0klitLC•;I I ÎI0 ll ù. l't~l:oile . ,l) l\~llll.tl ,·e ,1·c1:,. an lll l).Yt ' n l1e ']'intt ~ii 1,011et 11111 · Il.GO C 1111 ,1·s éliém. d p,i,é\p.a,r. , , :;.::o Rlj'k. Ll's ,soil,uüou.s ·d n con 1·.s e.1-<.,1 ue<11Cart e du Valais (écolier) 0.4:5 h\Îtl'C sont donu <-c,sa nx maîlr e,s 1llubil icr scolaire d ,lll,,I it l'·l'.SSl'·S qu i ne lPS po•SSC· ~(,r.ie ,de uuoleaux NH 'l 'L'S l10 11tlt,i·a-h'nt p,LS en core . 0.7Ci fürn t à la mé t hode cl,e ·kl'l1w1· n.l\o ,u'l'S iuoven et s:upéir icur -.0,tl'Le UlLJ l'a ,1e <h' la. S u1isi:;c • Chant J>it'n c1, l'afri c, .11e,c.u.eil d w ul 0,86 Ca1·k mu1·a lc 1[appe<1nonù c 1.25 u l,ooe;; t-lirne,str-es 32 nu. a ,·ec <Jlwi ..v de cantiques , p :11· W-0lf c:a l'l·o,n ind ,is,pMsnMe ZO.Lior cs JJU/11' 111aîtrcs

l'our la go11vcrn e du p~rs ,,n 1il'l euw io·na,11t (l'es administratiom; cO~ll lU· ua l~s Pi'. tks commissions sc~ l a1res, nou s o1:oyo111:;dev oii- rappe l er c1-ap,r è~ h, list e des da:,siqu es e n usage dans ,;o" 6co 1Ps et cpt'ou ·pc u t se procn,r er

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PAYOT & Cie ÉDITEURS, LAUSANNE

Cours delangue allemand

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N° 31,179

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TRAVAIL ASSIS

ET DEBOUT

mail.s }eu:r sysrtème cerpenLes quatre éléments comme a10vaiti001s, <lnnt, 1'01pœeSil' des bases à peu :près iid1entiques,et chez tous iles éLémffilltJs, moyensde guérison

le'S quaitr1ese.ulls ,c01Un u s ides aDICÎ ,oois, De tout temps, il y a ,eu, à côté dies jouienrt un r Ô'lle coDJS li.JdléralbJ.e. mé<leciil.lspiruteil.lttés, boŒ1n01111br ·e de Mais d '-aibord, qu ',esrt-œ-q,u e lia ma. g1ens qllli se soillt 010cU1 pés de médica- l aidie1 Ava:n/t ide cihercbier à guérir, mente r leur p,rochain, et Cihaoon.sait mfa u,t s-aivoir oe qu'est 1remail..Toutes que lies « ·remèdlesid,e bo.Il'Il,efemme » le-s mailrudies, nous di1seillt ces mes.siont, elll,bi<en<desoa·s, les pJru.sef fic:a- S!Îielllr ,s, prov~oo.neirut,die matières éoes. IJ.s ,consÎl.ste111t génlé.ral,emerut ,en tNlllllgèresqui, s101\ls La :fol'lll'.lle die nou.rboillrnes pciiites tisanes déipurative.s ritur <emals-aine eitd'-ai,r impur, ;pénè<l'Ulilie.p.airtf:'ai.teino,c.uité, ta:ndiis que tre,rut dans le oo:r,pi.set, n 'étlam pa.s }es méideoi'l'.IJsi, qwatllldils me s·e coiJ'.lJten- expu1sés azss,ezénergiquement-par un tle.nt pas -d'un1e drogue que~coru:_i_11e I orgamiisme ,affaibli par ~~es, se mêdtestmée. à agir unrquemoot sur l 'i- l,ent an sang .e,tfornnie'IlltU'.I1J,te,rmaci.n magi mati.oni,vo-us ordonnent so111vent e~ceHen:t :p-01Urtoute es,pèce d e bruciJJ.de vioùents .a:cide,s .q.uii,parfoi s, il est 'les e,t dieIIDicDohes.L 'ell!ILe.mi, tCJe n' -eslt vrai, guéris1S1ent1e maù, ma is -en €0Il· ws le miicr obe, époruVl31IlltaiJ. dies mè poisoonarut Le malade. T•es ti~o/ p cTédufüesquli. stkril ~se.nt à O'es,t drumoins c-equ' ,a,ssUJr,ent non outrance 'le laiJt de iLeurabébéls. C'e 1sit le fumier dJamsleqU'eù s1eul1eme.DJtles scep tiqu es qui ont fa . le ter ra.in sieJUJ, œ& par ,asihes ,et qui e8lt ciiemein,tJe mot ipour rire et aiccUiS,ent 1)11'001pè.nent fou tss iles médeci'l'.lJesd'être du siro.p formé pair l 'amoocellemwt -dans le de framboi,ses uni à de l 'aqua distil- corlJJS,diema1tièT1es,éitran1gères eit -dam. lata, maÏ/3 e'IllCol'eet b~en vlus le ha- gieT,eiuses . Ellotlgne.rœs ma,tières, tel tai11on 1J01ujoumgrossiss,arut die o~ eist l,e prob lème qui ,s·e pose de-viamit qui o:ppo,serut aux a;Hopa11Jhe:s, qu 'j~s tout méide1cin. a1p,pefünt ,~a1 uitelment, des en:i1poiso nEn to1U t te011Jps ,1'e,au a ébéen· honllle.urs p.uolll_?l, u1;1-e thern!Peutllq_.uena- Ille'llr, e.t llBS'end1,o,ifa où, pe[)Jdant [a turelle, b-aiseeuin,1qU10!Thent su:r les. mo- bel1J1e.s1aj/s,o,r:i.:, lLes·baig.neUJr, s !af,fl.went y,ell's iqu,el!a llla!~~re, a ~Ue ·s~eruJ.e, J?-·e-t elt aibsr011. ·belllt lIDe q,uian.tÏJtlé oou.sidéraa no,tr•e <li.s1posit10?-. _L :abbe K ne1p,p Mie<l',ea1 u rruinié:riallie ou a,1caJimie,ne. Be a Ae~1de IliOIIIllbreux lJll.litateurs; de to~·s ciomptent ,p,as. L 'elalll co111m.rube esit, rômeJs,,en,AU:eunJaigrue s~r t owt, on su~t ·par,aît-il, die beawco111 1p 1a meilLeur,e son _siysteme·et on lJ ,_depasse. Des- ~- pour ltes 1baim; ip1a1rtiiells <destinés à ruttabhss,eimeilltsdie guensoil.l pa,r les me- tire,r à l 'extoor!ierur,eJtà f aci.r.esoirlir t.b.oldes ruamreili1es 18'ou,v,rie'Illt no~- ,~u cm,ps ;lies humeu.rs ma1sa1in1e.s qu' us- ein ,pl-u:s ,foe- i.l co1.JJt1ena it . Les bains oompilelts oot br,em.., ,et so,n.,tde ipU quenroés.Kuhne, FieJke, J ust, rte-ls.sont IJ)ai r ,c,onJt r,e très peUJ<liev,aileur, l ~homJ,e_sllllOrrJ?lS leB. -pi}'ill, 0onnu~ ,paJ?-·m1 i1es me ,n'étant pas Ulil. :atniim.Jalaiquaitiiq111e; d_e]~ mediecme tra- qiuarnt à 1a boiiS1son,lie lait e,t le vin r~,~01Jtiit1o nn a1J.r·e1s drtimm eJle. Il s ?-iiffer~ nlat urelll.e- n_11 ême, elJl q:u1auititémodérée, y ,sufmeD<t1aoole-s .cdiéta,11~; ills soot ~us i:f1se1Illt ~,leme nt. ou moms hardis 1auss1 dall'.lls ' IJJeu ,rn lill-Mais nrous rieitrou-voœ a'eau e:nJCO1

S'aclaptc à touics les tailles Cc p up it re offr e snr . l es autres syst èmes lcb avan tag·es suivant_s : . 1. De s'ac comm ode r aux thverses tailles dr s élèves ; . 2 . D e leur venn ettre dan s leu rs di ~férents trnva.ux d e conser:cr une attitu de physiologique n'e n t1 arnant ~~1c1'.ne dèviation du tro 1,c et des mernb~cs, ils· su rant le libre cades vi scè r es et evHnnl les inconvénients grave~ qn'a pour la vue not re mob ilier scola~re actu el : 3 . De se prêter aux t)iv~rses ex1ge'.1· ces de l'enseignement, ecn1,Ure, lectlll c, tlt>cssin , co u pe, l'Outure, etc.

__. ~-M--

ATTESTATIONS ET PR OSPE CTUS A DJSPOST1'ION8

Pupitre avec banc N° 15 à fr. 42.50 id. 1° 20 à fr. 35.0n peut avoir un spécimen t~e l'un e~ l'aut_re ~o 1lèle au Sccrt!tnriat d':l l'Instruct1on publique, a 81011.

Par la simplicité de le111·co1• struclion, les derniers modèles r·e pup itres MAUCHAlN peu~~nt i fabriq11er dan s toute localill'. S'entendre avec la maison B.ecommanrlr-dans les canton.~ de Vaud, J-i'ribourg, Neuchâtel . Valais, etc., etc.

Tableaux al'doisés en plusieurs

climensions

Porte-c artes géographiques etc., etc.

officiel

du Canton de Genève


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'139

r,e d!ans 'l 'humiJd;i>wq u~ iS~échaip,pe die sommei l que bie.nitôt le couraig.e voua lia terre, car la terne joue ,dia.111S noitr,e vienJœ1~a,die \d!ormir ,eilJplein a1ir mêvi 1e un rô le én01rme eit ti~orp1ongtemp,s me 1sous la pluie! Et puis ,, song,ez m~coil!Il.:u.Et 1pQlurtJalil!t, .ilie1plus sill1llpJ1edo'l'.llcoomb~en cett1e habitude se:raiit I1ru1s{mnemEmt nous dit qru:esi Di,eUJa 'l)récieus ,e eil1voyag,e ! Plus d'hôtels füit de 1'homme Q1ll, alllin:n1aJl « tierir ,esi- bondés, ide ,cha11nbres ma l aérées die ~r.e .", c 'ieist 1s,a1D1s <l!owteqlll!e lla ter ,r,e <lna1ps :humides; UIJl '1:ütde moU:S.se saus le cie l pur, ,est-il r ien de, préfé~ etaJt bonne pour lui! Le magnétiiSme, ™ l 'atJtraiction ra1ble au: monde î l\fai,s encore une fois, le.s. rhumes? exerc~e par l 'énorme aima:nt qu'est Eh! bi,en, un rhume vraimenrt n'es1t la ter ,;e, est ~i,en comllU,ein·physique; en theriapeufa,que , ODJnomme magné - pa,s une bien gra;nde afifaire, d'autisme terrestœ lNl! ipeu .autr:e chos,e · tan1t p lius que ;cre,r ib.urne· aura, contriic '1es,tfa ,somme ,de toutes les for:oe; bué à délivr ,er lie ma1a.de d'uI11egranconruueis ou inoo.nnue.s qrui, 0on/tœi,ues de- ,qualltrté de ces matières nui1sible,s ti ent son ,corps. Car, ce que ÔlaJillSùa te-rr-e, e:x:e ooent urue :ünf1uen- qUJe1CO,Ilf 0e 1quefoonque suir 1a naitur1e orig1ani- nous nommons i1mproprement maJaqrue. Lomque û,e magpiéti.sme a.n:ümal di e est U[l,e cris ·e d,e ,gu,ériiso'Ill.Cette entre ,e.ncontaict arv,ecle maignétisme oris,e ,s1etra,diuit souvent rpar ,cte. la de la terr-e, il s,e forme .antr,e :1esdeux fièvre, de 1s1 1d,ouleurs, -des nausées, un iéohaDJgiequi est de,s p1us ruva.nfa- tout cela· c ',est Le mal qui s'en v,a, :S '·enifuy.allltdievaut_ l,e dul' régiime auhumain. gernx pour l'organisme i ,qui p.r,eJ1Jd Don<: le mail,a,de, que1 qu'il .soit, nes- que1l or1 ~e soumet. Cellirn t,era le 1plu,s 1possiib1e,en contad a:ve.c l 'haibitude ide ,d;orm:ür,sur la terr,e, aa 1:ler,r,e,il profiterai de foutes les oc- peu à peu r.empo,r1te,ralia victoire l':ïur fous 11es,ennemis qµ-i:--iS'at taque,r1t à casi!oœ ,de s 'ais.seoir par terr e, ill!àl\S ,surtout, c'est S1Urfa tle,rr,e même qu' sa s,ainté ,et reta,rdérn ,consiidérahLeil s,e preparera sa couche pour la ment Le momerut où iJ doirmira s,01t1s nuit . Ap11èss'être dépouillé die tou1s la ter ,re . Si Nans.an nie, :s'était .pa,s ses vêtements, il s'é tenidrra pair te.r- a.c.coutumé, de·puis de l,orngue1s .anre, la tête sur quelques mottes de nées, à coucher sur 1e ,gol, j1amais il gazon .e,ts'habituera pieu à peu à se n ,'aura.it pu srllipporter les fat:ügu,es pa ,sser rmêrne ,entièr 1ementt ,de la cou- et 1es pri1Vations de· son 'expédit ion vertur,e qu'on Lui concède rpour com,- pofair ,e,. Mais ,oe n'est pais s,eUJlement 1pa.r mencer. V oos, fris 1s1onU1ez î V10U1s,penrsez 'Peut-être ,aux v,e-r,8,aux inisiectes, ,son " malgnétisme " que 'l,a terre ,est à a1Ux s01Uri,s qui, trompés · pa,r votrie ultile ·à 1'homme, sù1e s,e.r't e1J10011e tralllquinité , 1se pr:omènienJt à cœuir pans1er se,s plaies. De même que le joi,e sur votre corps 1 .Mais sonig,ez taiUeur, pour r.oocommoidler U!l1i haque oe ,s,ornt aIThS1&ldes c.réaJture:s du bit déchiré, emp loi e un morceau de bon Dieu, ,qu'une civfüsation ma1lisa.i- lia -même étofd'e, die même, q_u,a:n,du.n 1à rnos memn1e,seul1enous fa.it regarider alViecho,r- mo,reeau vient à ma:Illq,ue1 éprouvo ns que lque reur. V,ous, mv,ezpeur du fro1d, vous hre,s ou ,que n101UJS, cr,oy,ez voir s 'avaJ110ertout un oortè- doul1e,ur, c'est die la même matière gie die I1humes et .de filuxions ide poi- :dont 'le Oréateiur ruo,u,s, a fo.rmés que tri'Ille1 Po ,irnt idu toutt. En ay,ant ~om ,doit venii,r ila guéri,solll. Le rhumaus1e,sfoude choisir d 'a:bord, ·pour J,a .pass,er à me, ùe:s ma,ladies i.ntéri.Jeu11e1s, hu es·, les enfl ur es, 1es abcès-, même la ,be.11eélloile, 'Thil.,e douce nu:üt d'été, vous goûte~ez un si rafraicihi ,s1sai11lt~e,s ;p1aies sont guêriieis1-par d'épais1

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ses a:pipLi c aitioills de ter,r .e ou de bo111e. siable fin. Mai'S voilà, il n'y a ipa:s ide Gue,1~re a.uixant:üse'l)ti.Jquesqui ne fon,t pir,es sourds que .ceux qui ne ve n:lent (Ju 'ajouter uru poi1Sonde pLus à celui pas ootendre ! Le feu joue un rôle :a;uss,i dans 'Ceit (JUÏ a causé la ma1adie ! Restent l'air et le feu, le feu soUJs te thérapeuiruque, en ce sens que, vola for.me de lu:mière ou de s,Olleil. lontier1S, on 1a,is.siele soleil brûleir à Que l 'air, un air le plus ,pur possi - so uh aiiit teille ou teiUe partie mallad,e, ble, ,s,oit .-iJndriispens1aible au ma lad e et bien plus, on lui a,ide même au moparticulièrement ,à celw qui ,souffre yen icl'une l.entil le qui enitalme i_prop.r,o,fonrliémelD ,t la ,cm:iir , tourtes le s d 'lllne affection: ides voie& respiratoire s, ton t le moode, à l'heure q a:'il foi1Squ' ,i>l s'1ag~t de maŒrucliesde l.a mpl e. es,t, en tomhe d 'aœo1,d, mais ce à pe,aiŒ,.dJedla,rtres, par ,e:x,e Es t-ce là ,tout 'f Non rsanis doU>q_UJoien riéfléc.bit moins, c'est à quel point l ',air est imrpo1rtant pour la te, et 11'on ,devi.Il'e que le « régime » rpeau q'll:Î, elle ,au:s,s~ reSipÜ're. On y à .s'tÜvr1e tierut une .pfl.Jaee·ipréip,on;pense si peu qllll€ l'on se oouvre de dérnnte dallls les préoooupaitioills de vêtements ,étp,ais, de fourrures mê- die ces :nouveaux bienfaiteurs me, ce qui a eu pour rés rlllltat de ,dç- l 'hmmanité. Fidèles à le111rprincrupe minuer .s·enisiiblement La chaleur no, d'en revenir aux ihabitudeis ,de 1,'hamauissi, eœnturelle du corps . Le mailade qrui.cher- me 1primitif, awuyés che ,à la reg,3lgll'er devra ,porter des me c'est Je ca,s du 1pasteur Felke. vêtffill.ents très lâches (le cors.et, cela sUJr la Bib'le, i1s tiennent les végétaux ,pour la nouttTiture la ·plus saiva iSans dire, est aibso•l ument prohibé), très légers · et enfin, et ,surtou1, ne. Des léigurmes, des fruits - p,as il 1s'haibituera à s'en passer ,e.ompJè- tm-p mÛJrn - 'des noix, beaiuooup de tement. Oh! il.e1S,bienfaits die Lainudi- n0iix qu'on ca,sse ,avec les <l.ents, remté! Les , bons bains d'air et ,de lUJmÎrè- rp:Lace.ntavantageusement la v;iJalll!de. re, le.s prioois da~s- l'herbe ruwmide, Joignez-y du g1rru:au,du lait, dlli :pain le cor1ps protégé ides trolp rudes ca- die grahaan, tout ccla dosié du reste, resses du ,soleil rpar le .feuillage ~é- diiif:l!éremrnent .pour (iliaque malaide, gieir ,des g,ram:disbois, qui dira 1a.sisez et vous alt1rez de quoi satisfaire les quel baume ils sont ,aux ,pauivres estomaics les ,plus rdéliciaits. Mais le c,o:r,ps fatigwési et usés ! Penser q,ue rég:iime tout ,Seul n'est tpaiS'sUJffisaimnou:s av,ons ,sriiprès de nous et 1si faci - ment efifioace, et les quaitr,e éléments lement ac0esstl,bles à tous, les mo- restent la base la rpluis sûre -de ces ·cu:riesmerveil1euses . yeilis ,d_ere-0ourv;rer et de .conserver Quand on lit le.s bro,c(hU1rescons ·a1~ :santé et iqruenous e[l usions ,si peiu ! Sans doute, toiUJsne TJOssèèLe:ntpa,s crée ,s à faire le panégyrique de ces le 'parc formé où se livrer en toute systèmeis, quaill!d on entend les récits sécurité au doux ,sommeil de la t eT- émus des maJades qui disent av.oir re re, aux :pr,omenadeis ëLélfucieuses~s,o;us couvre la santé - 1a santé rporu.rt,ous, noitez-le bien, quel que soit son rnal la pluie ou la fraîc,he brise d'été, maÔJ.Stous nous powvons au mo.ÏDJS - on ne -peut s'empêcher de rêveir ouvrir nos po1rtes, nos fenêtres, nous dou,eement à un âige où la malard!ie ,airro.s·er d'eau :fraîche et nous s1é~ 1seriait bannie de la s,u:rface de la cher à 1'aiir, si ce n 'e-s,t ,au soleil. Et terre, ce qui rurriver,a, nous assurebeau100U'p d'entre nous , 'l'.l:OU!S pou r - t-on, quand nous aurons cessé de ,périons no,us ·pr,épairer, ,au moins le ,cher contre notre propre c01,ps. Et la mort! Ah ! la mort, hélas ! pllus -près du soJ îJ'OISsible, un lit Ide 1

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c'est wujour,s 1a gramlde v:iictori eu se, mais on peut lui <liisrputer ,s1a ipro:iie, roouler le moment ·où, défin~tivement, ell e nous aura vaincuis . Et le moyen est bien simple, 1puisqu'il ne :s',agit plus de guérir des mai1adies, ma.is uniquement de fortifier le coI!ps afin qu'il. ise déham1a1S&elm même des •amo.nKlellements: de matiè sel\lJ.s en,res malsaines qruiJsont 1S'e.s nemis. Le oopps ne peut-il p~us recouvrer la foree quâ. 1ui est nécessaire pour oela, a;lors c'eis t la mort, non pas qu'aucun ma•l ,soit en luim€!Ille incurable, ma ·iis vamce ,que l 'énwgie vitale, tout ,simplement, n'a pa;s suffi. D 'aiprês Félke, il n'existe pa,s de malaidiies incuriab les. Ce mot seul ne fait~i l pas lui re un magnifique espoir ,amx yeux de notre pa 1uvre hum anité mai1ade ! 1

Loris Averil.

•••• Marchandages Mlalrnan ! j 'iai eJUde bonnes notes. Reg;arde mon camnet. - AillJS,i! 1Juvo,is comme tes leçonis voo.t mieux quianid tu y mets de l'applioaition . Oeila fora granld! plaisir à ton père. - Et, a1ors, qiue me donn ,es-tu pour ça, maman 1 - Un bon ,ba:ilser, morn chéri. - Rioo id 'autI'1e 1 C ',est ·dégoûtant . Lia mama[]J d '.A!lfred lui donn1e deux francs t001tœ1leis fois q,u'ill rapporte un témoignage ! - La m-ère d'Alfred e,st libre de faJÎirie cie ,qiu'efil,e ivoudr a ; pour moi, je ipense que l'a. ,certitude ,d'avoir accompli tolDIde1Voir doit êtr,e pour toi une rooœnpenS1e suffis ,airube. - Oh 1 zll!t ,a:lo rs; ! 8i ça ,ne i;aipj,e ,se:rais por,te rieDl ide travailler, bien bête -de continuer à m 'échiner comme j,e l ',ai füi't tou:te la scmaÎine !

Et le 1peti't éc10.Jier,sm·t de la chambre en frn.1ppanit a!Vecviole1J1Cela. iporte ,derrièr,e !lm. - Papa.! Les pa.rienlts de Piienc, - .tu saÎls,, le gruiiçon qui haibite la gJiande mais,oll! dru ,com de la rne, 'lmi oot .promi 1s ,de lui doUI1er une bicyclliette s 'iil a un pr ix. J ',aiJmerais bi,en ,qu:e tu m'en dcmne.s aus'S~ unie. - Pais ,q1U1 estiolil, fJlllO'.lll garçon, tu salis que j,e te :trouve trop jeulllie pour a'Uer à bicy0lette, et ·d'ail'lem"'S, c',est mue rdiéipensa b ea.ooou p trop forte pour •mes moyeDJS. - A lOiI':s,que me ,doruruerais-tu si je pa:s1se,à la: di<vision su,périeur,e 1 - Si ·tu me dea:naiwdais p~uitôt de q111oij.e te . pri,vera~s a;u <0a1S où tu échoru;e.rais hontc,usement 1 - Oh ! ,ce sem it tir op fort, ça! ... . Touis ;les g 1a;rçons reço ,ivent des cadea:rux q,uéllllidils ne raroe'l'lltpas leur exia.me1n,e:tc'est bien le moins qu'on s~it riécompensé. Ce 'lJJe.serait pais ju,ste ,que j,e fus1se le. ,se,ul à iil!e rien rie,cev,oir, ice se:r.ait déigoûtanlt ! illt le ,c,0L l égi:e11sort id~ :la chambre en fü:taippant la porte de .mière lui . 1

Oe's ma.rchandiage,s 1entre €'.lllf a1too et 1pa1'e[l.tts,s•e rraltÎ!quent ailllsi su,r une toujour1s ,pius gr.a;njde échelle . « (.Jrueme dooneras-tu si je fais ceci orwce la, s,i i e t ',obé.iiS',,si je te rencls te 1l sel'IVi10e7 » Des qUJastiorus de ce genlrie s101nt111101maÏ!e, oouran,te, on ar ri.Jvie · à n,e pluS' les twruver étranges, et de1sparetnits qui refos 1ent d 'emboî-tm· J,e pas sorut bielli près d'être 0011si:dérés cou:rurne,dies tyrans, de,s pères ·e:t mères dénaturés •et .saillS entra.ilJJles. Ll me s·o,uyjeut même d'un enfant qUJiexploiJtaiit la .soJli,citude ,d,e, sa mère ju.1S1q111 •',à ta;x:L~rchacUfil' des rep~s qui'~l daignait prendr•e. « J,e cF01s que je , ne pouPrai rpa.s déj ,emier ce 1

maitin, j,e n'ai pas :faim», idi•sa.it-il d '1un to:ll' à 1'1:wie:ruant . - Ess 1a!Îe don~, mon chéri, pour me foire ;plais ,ir . Si tu n 'ais pais aE'siez <l'rup1p,étitpour manigeT une tartine, 1b,oâ.-s a1UJ moins une ta,ss,e de lait.. . - Ça dépendJ:_·,a de ce que tu me dio.Dfllleras . . . . voyons, rpeut-êtr ,e que p.oiur 50 centirnè 1s je pourraLs essa.ye'r de boiire mon lait : Ç1a vwut bien 50 een,tiJmes de me forcer .aiillisiquand je n 'iai -pas faim ! La pièce ver 1sée, MolllsÎ&Ulr,déje.una:it de grand appétit, av :aùant tm.'tine!.Ssiur tartirues, tandils que sa mère riépétaiit: « Il ·es:tsi dié~icat, ,le. pa.uvtTe chéri, que j,e suis o.bligé.e d 'UJSer de to<wsles moyens poUII' le faire rn1anger. » On .a1pprend afr1,si a;ux enfants à ne r ien foire ']Jour rien; ,on l eur incu1lq,ue 1 '.iJdée que to•wt effort doit néces1s:air,etment 0tre payé; on le;s élève à eonsidBrer Je devioü oomme un pla(:·e11ne ,nt ava.'Illtage:ux, et qu,aTIJd , devem1.s grand e, ilis sie m01ntl'e:rolllt égoïstes ' ifvp,res au ~ira.in, idiépourVUJSde gé-. nériosiit,é, incapaib 'le~ d'une aJCtion:,ctés.~n1tér,èissée,on ,s'elll étorunier!a:. Ce qu'il' y auirait ,d'étoI1JI1iantse~ait CJU 'iihs fuss ,ellJt ia.utrns . Un: 1système d '~drucati.onr diéte1sitaib1Je.rue ·peut rpo:r·tème quû. ·te1ride bons fruits, ,et le 1S1Y1S ,a le !llla.rchlandruge à sa ba~e e:st màuvais ,pa1mni leis rpÎlr,eisi. Nie ,produirairt-il pais de déplora ble,s 1e,f,feitssur J,e,s"Ca!raietèresde ce,ux q'll'i e[l SIOiIJ.Jt,no!ITpo:imt les bénéficiJai:rie1s,maiis -les viie1times, qu 'eooore -se1mi 1t-il conidJamrnaib1ea1u poiillt de vue p,ratiique , eair i'l se1rait ,d!ifficile d'imagi ,œr nlUiS néfaste priép1a1Taüon à la vie. EHe ne J:eJs,connaît rp1a:s,,ces marcha:rndageis, ,]a vie. Il ne sert ,die rien si rle lui dire: « Que me don1J:J.1e,ra:s.Jtu je fiaÏJs-tel tr.atvail av,ec .soin, si je ne me ,laiÏJs:sepas , distancer iprur ,Je:s am1

1JI1eis? » Et c'est ·armer bi,en mal s.es enf oots po,ur la lutte iruévitable que de rue point lem aippr.endJ.'le1 qu '·en acCOIITljpJilss,a;n,t le mieux p,ossiible leur tâ che jorurna li ère, iilis ,s'acquittero111t d'u!]] devoi,r éléme!Iltaiœ, d.'un · devoir qui porte e'111 [ui~mème 18.arécompen-

s:e. ,M1ais s'il ne si'aig.~s1Saitque du risque d!e faÏJpe Ide or:uelle,s e;xpérieruce~, le mia:l lllel 1S"erait, aiprès :tout, p,as g-1,a:nd. Oe qui eJSt,plus gra.ve, infiniment, c '.e1stle· tort quie 1le marchandage cru\llse au cruractèr,e de l 'enfa:nt. En l 'awto11i1saut par f a.iblesS1e et :par un,e d:ruuS1S1e tewdr,e.s!Sl e, à croir ,e qu'on ne doït -r~00 fa:ilre,quii [le 1,3jpporte un pr,o,fi,t in11méidia;t,on tue· ,e,UJlui 11a génlérosité, J 'eurthousilasme,, la ,$pontallléité, toute s,a:i[l.eambition. Gar l 'am biuio:n e,st bonne, ,erriie est Jégitlme, dam u:we très, lai1•ge me1sur.e et mil'le for.usmieux vaut-i~ ,tnavai:lJ1er pour la gloire · - je parle . bien entendu d.'éoo.J.i1eI1s ,e.t de eollégioen,s., - que l)our OlbtenÎlr de 1sa malilllalllUfll.epièce d 'a.rgent , ou ,dJe son ·papa une bÎlcyC'liette. Les v o3r.ez-vous, ces qJe.tits tr-a.ficanits du de,voir, c,~p:1bles d'U[)) aiete de dévou,ement d'urne a1ctioŒ11désintére .s sée·1 Un baiS1e11·de mamalll, l'a1pprohatfolll ,d,e papa , ce11e de sa: p1,opr e consci1encie, célia ne compte plUJS',c'est dé 'l.niodé,•cela ne rapporte Ilien et ce qui n,e r.a pportie ,pia:s, c 'elst bête comm2 to,ut ! Le detvoÎlr! A1%rus-..donc, un e vieiJHe:ri e b0fnn1eà mettr,e au ranc:u ! " QUJe me do:nn,era:s-bu1 » Cette questio-ru, '])Our ,peu q.u/ ellie rencontre dœ o,r,e,iHesa.ttenth~e·s et qu '.elle rapporte, devioodra le Leitmotiv, soit 1e motif ,déterminant ide ceux a·uxquel1s O[l.a lais,sé prendre de bonne heure 1'ha ,bi tuide ,du: marcili.all'dage . Emaiilitrs, i'l,s aidressai.e:nit cette question à }leumsparents-, ,et hommes faits, c'est à le111:rcOlll!sci-eDlCle qu'ils l a pose,rionit, et ·qUJand ,e'11e,1euir répondra : 1

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" rite,n, faite,si ce que vous de,vez, ,sa:ns vous inquiiéber die ce qu 'i,l eil/ ·adviendra », i•J.shauisser ,onrt les épiau1'es et :;'iéiotieront : " rï.en polThrl'i ern. » Et airrrèistowt, quii oserait les hl â-rne,r·~ Cc n'est pais 1em· f aut.e à eux s '~J1sOllit a,pp,ri1s~ <lroi 1,e qUJe rien nie varnt ,qu e ce qui rap1Porle uru aiVantag,e icentaiim

trnu'liaii,,,oie. Unie mala!die, ceirites, et llllle vraie, (JillL prend sa oom -ce OOilJS ~ 'âme , au plus profond de l'être ·, dans le,s ra oÎJD!es,dans 1es fibtr·es die la voLonté et de l 'énerg ie. C'est un était digne à fou s égardls de pifü~, c'est le m&cont1crutement dies autres,, c'est l 'impossibilliité de réag;ir, die secouer le voi :lie de p{lomb qui aooaible, c'est l 'existenice prise pair •s1e1s rpeitiJtscôtés, -----tCaHt,-----c 'e!StLavii..evu e a;v,ecde:s lun ett es nioi1,es. Oe n '·eist pas l e jornr, ce n' .est De la bonnehumeur p/as fa nuit; on s,e roeuJt; dan,s une dielJlli-ombre qui ang.ois·se •et déconAvez-vo us j.am ais vu. q1UeliqUJe cho - c,e'l·te. Ah! plaiign olll'Sces malaides-Jà, se de pLoo lamenta: Me, <lie,plus <liéso- aussi à plfain dre - plnm,,pe<UJt-.être larut, die plruis démor,alllisa'.D!t qu '11The fi- q111eceiu qui sornt éten tdrns dans les gurie recbi.gooe~ Une de ,oes têtes lits d'un hôpirta1l! Si l'on savait cumque rien 111edéride, dont tou s les bi,en iils souffre nt , ces infortun és qui mUJScles ,par.ais&ent figés dan s urue font s,aurffü~·rles autres! expr ession mor ,teHemen,t mo·rn e 7 AuCertai ,nes m:aJJa,diieisphysrilques se tanJt un e figure tri>ste peillit souvient glllérruS1Si enit soUJSl ',empi•re d'un trai être initére&sa.nte et s,ym,pathiq uie, iau- tem€1IlltélfP'PI'OfP'r ié; la ma .uvaise huta .nt .une fig .ure boudeu se vous cris- meur ne s.e guiérit pas .si focüement, pe. P lus que c:ela, 'lme ·t e1m·efigurn le cronitentemenit d'esrprit D<lil refle u r it vous par1adysie,vous .cowpe lies brias. ,pai.s si vite ; c 'es,t 1là oo,e pil.ai n:te qui Ha ibiiter, tma,vailler, vivre a'Voo une n,e s 'é pa31f01UÏlt qu'à l 'aitr Stara, que peir,sœ1rue toujorur1s die méchante hu- ,s ou1Sle:s feu.x du so11eild 'En,...Haut. m eur, qru',eille soit muette ()!U qu 'etlfüe C'est Dieu qu i la rpilanite,c'est Dieu sorut gr ,ogniarde, quel :SUIP'plicfe ! Ha- qwi la cultrive. Le remède d'i.rv in sebiter, tr,avai!lLeir,vivre aivec UI]I€ pe.r- ra it •ernooll'e1,e plllls sûT de'S r emèdes, SOillll' e touj01ur,s de borune h1;1meur, l o pÙ'LIBinfoi11ible ,des rr1emontant:.s qu '.eiJl.eipartl.epeu ou qu '.elle soit cœn- monau x. D e ll!OS jours, rares sonit munri.cati'Vle,quelle douceur, qu,e-1 re- ce'UX,qui vont oh erch e<rle 1°emède si mon tant! Daœ ,Ciemonde., on trouve haru:t. d eis unes 0t d e,s aJUJtr,es. Re1p,r&se11Lez-vorus ùe ma[ que pe'llt Il faut :riooonniaître qu'il y a de.s ~auiseirdaiDS'la ramille - où t.out doit ge·nts qui, malgiré to.ut, so1I1Jt toflljour s être liberté ert joi,e - Ultllerp,areille de rmruuv,a~e huimem. Que ~e,s c.hos1es d~srposition <l'e:spr it . Tâchez de mede ceitte ter.re ma:rtchent bien, qu 'el- swr·e'l' l'in flu ence qu'exerce 'lln pè re les mairichent mal, qu'il plle11ve,q1U:e toiujours sombre, i:rrité, gron1danit à 1e !Slo leü brillJJeou q u'ill se cruche, riien propos de tout ou de ri en,; urue mèr,e n'y fait, r i en n' y f.e:1 1a. Tout va de ,dief mrnil1e mo r-os·e, arg-re; un grandt raiver s, tout .iirait ide travers dans i.e pè.i,e gro,gn1on; llliltegrand 'mère criaTme i.Jile. wr des mondes . Pas un ray001J, de; un e sœur amée boll!del\lls-e; un pais u:n so1Urire, pais ,une ,étclair'cie. On frère aîn é brus qua ,nt 18'8'8' cadets. se tait ou i' on grogne. C ',est wne ma- Oomme tous Ms g1ans-là sont ina ,borlaidi1eipour l'homme quli.,en est affec- .dla.Mes hérissés d'étpines, de clous 1 té, ic'est urne eia:l.a1mirt:,é ,pour tSO!IlJ en\... ODIn '~se les itouicilier! Qui s'y frotte1

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.rairt .s'y pi1qu erari..t! Et •le v~de Srefait aJUtour d es malheureux et ils .sont les p1'8'1'.D ieŒ à ,en ,souffr ir et chaCIU.Ilen souffre . · Dans J,e cerc1J..edu foyer dome stique, la .ma,uvaiise humoor, j·e l 'ai d ~t, ,pair.alyse . Si pa,pa ,e<tmal!llan sont sembres , ou ne rv .eux, ou fermés, }es enfarnts, surtourt les j·e'Ullllers, s' en ressentiiront . L'abandon s'en ira, 1a g,aîfuir.a, l'union n e se ra bi entôt qu' un va in mot , Les liens se d étend ront . Les jeunes regand,ent à ~a figur •e des par en t:s comm e au solei'l; si ipère ,e,t ,mère 1sourien1t, voi,là Je r,ayon qu i se réf léchit sur les mines !'londes ,et épa.n,ouie.s. Quel .plaisi r aJU:rait-on à re·garder un soJeil maro,s1s ,aide, te:r:n.e, qui se mble r ait v o•us faire ]a g r.iimao e au lieu de vous éclaoi:r ,er ? On ne peut pais toujoUJI's êtT,e gai. Il y a dalliS la vie une foule de cir oonistanoe,s, die crus où 1>on ne peu t p,aiS l 'êtr,e. La bonne huane1u.r, qUJi est uille face de gaîté, ,peut ce peTIJ(lan it si bien s ',en détacher qu e '1à où il n'y a décidément p ais mo ye•.n. de sie montrer g,ai, il y a ,presque toujo.uDs pos.sibillité d'êtr e de bonne hume ur. On v oit des pe rsooo,es qui, au sein d e<sl)il'Thsg-randes épr,€1\lve.s , soint ca~mes, même en~ jouées, le mot bien ,v,eil:laint, que lqu efois le sornrire aux lèvr.es; on s 'ap prêtait à l,e,s coiliSo1er et voiici que leur prés ,ernce seU'l e vou s ·réconfor te. C'est qu'i l y a en eiUes quellqu e cho se q.ui,ne s'altère ·pas,, qui domine leis événeme nt s et :les cireons ita1DJces,un ressor t in térieu r ,qui ne .s'affa ise JlimailS.Cescœ ur .s-làsontavant tout péné!Jr!és d '.un princ ipe ·a.Uiquelil sera it fort ·dés ir ab le d 'obéiT pLu,s sou vent: ils ill'ev,eulent 'P&s aiffliger les au tres de ],eurs peines .eit;sont rés'()llus à les porter se ulis. Il faut powr ce1a du ooura.ge ,e,t de la boruté, de 1a charité plutôt . Et que dir.e de ces gens. tentdus,

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cri srpés, s•emblaibles à des fusi ls cha:rgés qu 'u n mot malatdroit et une contrariété font éclater! On di-rait doo d i,ablotins enferm és da·lliS u ne boîte et ,qui vol\18sauitent aJU, nez dès qu ' 001 soutlève le couvercle . Miséricorde! Ce n e ison,t pas des êtrie hu ma ins , ce s·oot des bomhes ! Gar e de ,d evant! Je vou,s en •pr~e, pas t r op de neirf,s, rnn peu de calme, un peu de l'érflexion avrunt die par t ir en guern: e, de s.8.IU. ter en 'l'air, de se répandre en un torr ent de paroles amè1,es ou 1pointUies comme des proje0t i.J..e1s. Voyo n s, ,s o.yon,s r ais,onn-ables. De ~1a bonne hum euT, n,e fût..,oe que dans Ja famiHe. De la bom1Je humeur à to,ut ,prix. C'est d ans la famille qu 'H en f.au:t. DMllS le,s re lati.oos moilida ines , d,ans 100 r eO,a.<t ions d 'a,ffaires , so yez ce que voUJ s vo·rudi r.e.z, ce que · vous pourr ,ez. MalÏiS,a:u nom dlu ci·el, chez voœ, au miùieu des vôtr ·es, dians l,e cercle bénn. du foyer, pas d 'hmne.u,r maissaic,rame , à reil'vers,er, pas de pi q uants, ,pia,s de héi-issons dan s les ména,ges. S 'iù y a d,eis, soucis et des ·pe·mes àans un intérie ur, on se les a,vo1Ue,on se ],e\Sdit , ceLa,soulage, on ·l es porte eŒ1sembile,en fomil le, c'est u n fardeau, dont oh8J0ulllprenidra sa pa rt , ·o,n march era de l 'aJVant aivœ ûo.nrfianice ,et ,lia bonne hum eur n e q.uitœra pa,s ùe logis . La bonne hum eur, c'est ! 'huile ·dla,ns l,es roill,e,s; avec cette hu ile, Je char mair chena, sans cette hu ile, ·le char griillcern; or, quoi de plus af freux que des, roUretS,q ui. griolcen t 7 F ,a~SiOlllS ,donlC un effort .s 'ill Le faut. La chos •e ,en viaut h i.en la peine. Il s'ag it d e fermer la porte à un enne mi ,d e la famille qui peut -êtr e cheirche à entme•r; il. s 'a,git d'ouvrir et de mettre à la porte sans l)l us t a11der ·cet •einnemi d angereux s'il s'est faufilé où j ] n'a. ri en à voir et rjen à <lir,e. Cet ennemi ou plutôt oes ennemis sont la contrain1te, l,a gê 1

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144 ne, qllleilquefois l'effroi , to'll!Sihôtes irruporluna ,q ui ahassient ,au~dehors lies habitants de la maisoo. LeuT mè. hunneUJr. re e1S1tta mau1Vais1e Biailaycms

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Variétés

s i c01IDmunes de1rmas J'an 640 Ide Rome, êpo. ,que -de leur cu.ltu.re , ,qu.e le.s• ieerisieus deV'i'u:r<ent O'oioje l! d 'rune gra nd-e eXIJ)ol'llartion, sGr tout dan s J,ai Graa:1JdieBretague. C'esrt d:au~ la :provmce de Kent que l'on :fiit les preunip. res a;xklm.tations , et eliles T<êussirent commé oo.nsiles ~rvfrons de Pa1·is œ Mes die la vnllté.eId.le.Montmoren0y.

* DES SINGES AU <JOM.MISSARIA'l'. - Ecole et chocolat. - La commiss,ioillsoolair,e de Trame1an (.J'llra L'auo10 jour , vff émoi au eommissari11t de 1Polirce d,e la rue ièle .Mo.soou, d Paris. Une beimois) , à l'iillstar de bi,en d'autres ,baDJde ,die romanichels, monh·eurs d'ours , et i'!llVibe1es pa:rients à ,exeroer Ullle sur~ de sln.ges, eXiploitaient le quartier .av.ec des veil,la[loe active sur ileur.s iend'arnts , à iaillures P0l1' ria,ssurantes. Sur la plainte des prnpos de l 'arehat de choco.Jat aN.ec ha •bTha,nts, 'la poJ:i:oe ar1·êta lhult de c1i1sl!lopr.irrnes. De nombreux a;l)us ont ébé mad,es ,qrumarrivèrent tO'Us a v,ec •m1 S·ll1Pe1,bc ,commis, et, ·cfopu:i!.squelque temp s, singe. Le commissaire 4eu.r ayalil.t fait dire .aJJait les envoyer au dépôt et mettre on a <!onstaté que les élèves niégli- qu'il 1es singes en fourrière, les huit romanichels gent Jes dlevoirs à fair ,e à domicile G11Jal:iè11ent ,aveic ·enS'am<blle lia ,chMn'e retenaut' ,et ,que a'aip,plication ·en dasse fa,isls/2 ces animaux: . .Se sentamt U.iJbres, ·las simg-es bea ,ucowpà désirer. Dairus1e but d' ,eill--· bom1<l'il'ent s ur les bu110aux, s ·iaocroallèreinr ray,er c,e couran.rt,Ja •commission fera iaru,x gllaees et :aux tentu[·es, ~·€11lv,eir,s·èrew.it ·e:nt des scènes inênarr.ades perquisitions dams les écolies iet ies enc riers. Oe 1"1.!1 bles. Enfin, lllprèls pl1ms d'une he'ILl'e d'ef. toutes les imagres ou oollootioœ qui rforts, . 1-e eomm1ssftù,e et g,es :agents 1'êus.s1seront trouvées en la ,possession des rent _à -Oa1Pturer l,es singes ,et il .meittre geo~ élèvies s:ei,onJt,comisquées. et ibêtes en Heu sar. Des ,plaintes 8Jlla!logui~sont été ·ex* JiiAUV AISE INSPIRAT.ION. - Le ,primées, il y a que1quretemps , à Be·r- bourgmest:ve de Hll/gle'Il,petite vlrlle 'Cle Westne, •où :l'on a dû p:riendre éga l,ement Phallie, est un aidmiratem · entho'lllSi<aste :de :dies mooures coutre les primes dies Ja ,s,cienœ. La bactlério,logie, notamment, le ,1>as:sioinne. Il a:>rqposa don.e ~\ son c,oosei1 cihocol,ats Ide différeooes mariqu.e~. m1ll0ilcijpal de dOOlllter il. deu x rues nouveldes 1

.Jes noms rde Bah.ring et de Kocll. La !J)roi!)O* D'OU VIENNENT NOS FRUI'DS. Les princi(parnx et I,es meille-urs .fruits L'lont sitioo alla1t ét re aJdoa.>têequ,a,na· 'UIU colllSCiJoriginaires d'Orient. Voici fa ld6signati01D le~ .se leva et !fit r.emarquer qœ, les de ux des :pays d'où ils orut été •tranS[)!LantJés. rues nornvelles conod.'llisant ront d'l·oit au ciC'est aa>rès la conq uê t'e '<'Leola Grèce, ide metière, Jes médeoÏaJ/S :r>renidraJenrt ma.! !f.)eutŒ ' Asie M1nelll'e, ,de la Syrie et <J.el'·Af.riqn e, êtJ.,e ce tte m anièt'e d'honorer leru1·,s lbienfa.it'!. que aesRomai,ns oa/CClimatèrent en Jtal'ie Oies Le •bourgmesti,e, épe1'Cl.u, ret:ir'.a sa. motiOlll. .fvuiits suivants: * DIVERS SP ECIMENS D'®LOQUENLes cer ises furent a,ppo1'1lée's il Roa:ne l[}al' CE: lmicmJH'll'sà son ret()IUJI"du roy:ruu,me d,u Po!Dt, - Je ISU(ppllie le triobumall de s,e montrer lnoù il 6tairt aMé oeombaittr e Mithridate. me, mè1,e 1:lm, lgient en.yers cette pau rvre .f-e.m La,, a,brilcots vienment d'Epi.œ. die sept enfan.t1s pœsq,ue toru.s kfu même lige! ,Les a:>êooes de Ja P ,erse . - Le 1d étf.rnn t ava it ,q ,u1aitre •en lfant>s: troi;i et aes .dtron·s de Mé!clle. Les Ol'o!Ullig,es un [Peu p],us jeiunre. fils et un ,g1u·ço1D. Les iPl'Ullles de J' Arménie, de fa Syrie ,et .fl,e - Alol\s le dem.andem·, ,qm icommença.it Damas. od'êj.l â douter de son <droit, eurt une idée maJ!Les figues de l'Asie. honnete: .iil ana .consult er un aYoc.rut. Les poires &Af,exand'I'ie, a,e 1a Numidie, Oh,a,qlll.eifo.iB qu 'ril ,me J'elDJCon,t.re, ill penlltl die la Grèoo et ,de Nlll'.IIlam.ce. à aout:re eh.ose. 'Les gr<en'llJdes -de Ollll.1tJhage. - Je ooœs b ien que Œeisl()a:roUes d'1Ulll simple Pline 1-&con.t,e q.ue 1~ ce1·ises devinrent avocat comm e moi n.e sig,ni1füent 11.'iero.

it5 o,u_e est iplua ,drung·ell'lell.Ble qu 'Ulll mail q1ui effraie et oon~ leq~~ 011 se P~r nnlle V1JC1;i'llll0S.ide ·ptrélc,a,Uftionne. Vioilà ceœt,aimeiment un V!ÏliainIS!U- la ipiertiitevériol,e, 11 y ,en ia ,dii~~rrrre jet, mais mailh8:,ll:001SJementil esit die J1a. ,r-OJugeole,il en esit ,~ 1 du ton.rjrcmr,s id' ootu,alite ,e,t 1e nœnlbœ die 0Qmmé'l1rugi e et de la œJ.omnie. On eSlt nuli.ttoiut ,amltlantà SIOiil pooCÙliamen le ses victimes e15,tléigioo. Ce ~l dl'13iU1harut ;pilruJs.r;oooill!ta!Meq1ulil s1e dti,sséq,uaintt à 1pe1tite dose, même soœ ,µrétsielllteoà_n:o•uisSlO!ll$ les .1aiw~ceis et die l·ets <l:ehors de 1a bienveilL81IlJOO les pilua bémg,nes, 1:piau.10011& meme iait- la ,ciollllmiisiémafüxn ,q;U1'enle oa~1om"' tlf\a:)~ainteis,S1ur!l:i0!Ultqutaind les g.e~s n1amt 101uv,e1iteme:nt. qruiiont :slll! .se ,f,ai~ µa!S/Sler rpOlllr,a:1()(1.! Le g.r:and .a,ut de .la .IIIIOOIÎISlain~ .e co~ide l 'espnt s-'aiV1sen,tde toucl1e1 :1. tei1;roo n t rrungiriam eeitte amme d,an,g,ereusrerdio!lltles bl.es- ,s:ûslteà j ete,r aidtr:o1 die meil?-n. va 1dJe die IV!élritédrans un bo1SS1e•a1U sur ,es sowt si dioulo,u11e,UJS•0s,. songes. Les vétéir:aru; de 1a œùOIID[l111e ~ qllle ]es, v·riai:s g'leœ <l'esprr~t ~ di'1aLl!t.neispaS1Se~Le11UJP1S que iei~uil d ,e- sa!Vent q,u,e Jia füèc.he q,uâ. n 'estt, ~a~ dl'uue a,ppia;re:nJcie _ver1te leur ;prochain, 1mrutsren c e- en1dn.11ite c1laibOllllSiS1eir ci oamm e en tc:mrtle13 1c.bnS1e1S1 il y !<11ides ne po,etef!a ;p,as 1om ; une medisam.c~ oolntre-±ilWons qrui 'PiaJrvieil[lent à qui ne II'eiposie.sill'ra,lIDUID.fo!!,diement liaivi,e io01ut1•te, peu s'y laffl~·~nt <bl:ic.o.n1pell' le e;,01LrJJ1 Il!Uill rd1es momta~. On .a'l1ira: e. ,Ceux q,u;i front ee metier 1,~p!flé!Sentai.rt airutr,efoisi La mé1d'1!5~1001p11endm iSS1entllllioox q we (J)einsonneiJJa is00119'1a fOil me die q,ruelllq ,u,eis.v1eài1Jl,esool11IlJarde la vérité, :pwr euoc eJJ,e vitallité fommes ,c1a:n0ainBU1~1e.s, a1sSÎJs.es1sfl];rilen1JI1s qllllÎciaic.he seu~ rnaii.s elle n 'eslt pais, .retsltée,1aiu eist •1e s;ucrre,olll!lia eoonifitUlroe sie,uœl, 'et =aiuri·OIU ·r!d'hui s 'inst~~e sans ],a hidleuse invention, :Laruau:séa(bonOn peut 1pnO'llver fa ve.ngog,nre1~illlt? ur d~ 1211ms iele~a:rutes d!e j,ns,inru18ltion. d 'u1D.men:aolllge, mais q,111e ua,b,l e/Sà rt,heou, •piar,alt-lll, Q(Il ,f1~1llt hoi?- ·:iiafll/ssieté .fla,i,reqwan,d il y a une palrtie de vé -alCIC.UJC il à La:p.8/UIVlœSlse ; ,c ',E;IS\t s'l gentil ie:t si inw.f.eœif, tlÛIUJt errl 181:l'IOita,nrt IS!Oill ri,té, sti..petite ooit-elle ! 1d!ooceuJr,de TI est intéreiSI.S •ant die voir ,aw,ec tihé en ,c.rio1qU1ant qiUleilqirue .aw,riendri,st1wtorLes mté.rites, (roh! s1rurfoU1t l·es q1uene aviidüé les médli,s1anltls 11'.hélrite s) die ·tefüe 0111, telle ,die ·sies ~001- nent touJt ce qui pieiwtnruii.reà l-eur o1chain, q,uelle bonne vrolcxnté ,irls neis ariœ die .raconter les « Oill d.i,t », p]I'l ire }es chosiersles :pùuJS de se m~tr•er bien informée S\UJI' ce meJtitent à rer1o invma1is'embl ,ru b Je-s; n '·e'S!t-0e ,p,ais naituqui se 1p1assiedam le cercle -~ ~~ eOIIlilJaissanoees: c'est uine S1U1pe.r 1.0nœ r'el 1Jufa;n1u'« il n' y a rpas die fll!Ill.ée ' -~ si. fe,UJ'1 », à oe que 1' on en t e.l.JlU et ceuoc, 'P'riCJUJliè- 1saill1s oomme .uillearnltir-e, rn~ment ceBes,, q,uii ne peurvent plais RO/UIVent1r1é-p,étell'. viser ·pilrui.s hauit, s'en oonfue_nrtJent. Powrtq,uioi a-t-'011tant de pla:û.s,i ,r à La médâi.slalllce 'P'renld1>lUB!LeU1:ris fo['- méJdiiTede oon prochain, à C1ritioq111e~, mes., Les unes ,aip1P:a['iemirrre~ (pe,111 idtan- à d éisih:aibillerr, 1Il!oriailememnos VOllgemen.llSJes, les a1utres µl~ vrnmilerutoo; isims1 En r1aisioncertarnement rde ce mais ~l n '-est ,)as ceritJain qrue -ceilJreisqiue les d'édia,u1tt31 que nous d!éoolllV:mnls, qure noms croyons leS' .plus inolff;en- rcthez a,utriuri.m01Jtent 'ffil reili,ef DJOts 1&ÎJViels ne isioient ,p.aisles ,pliulSr mo1rl1:Je il- mériites peir1sionlllelso,u,c.e1UOC q'llrenoiUIS les 1 eHes sionitoorrtiagieu1Sf0Si l 1c,œnme norms atfitmbuons gmartni!tJamwt,J.eUll'\9 1a 1iouige01Le qmietoUJ~le m~e fa et fia!Urtes,sonit u,n ,arr.1 ,ière~plan effectif ,q'Wepier,sionnene cr ,arnt, ,qrllila la }on- 'p!Ü'Ull' IliOS Ve'l'IÎ]us,.

Médisance 1

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14:6 N01U1s ne vo1Uù.oœ 1piais dire q.u,enoua tout le moode. iJo(UJeZ-VJOIU.s rcnueùqu 'lll!n ia1giS1si01DJS ,a1v·ec ieie motif avowé, non, qui VŒIB 1l)!a1r,aiÎtêtr•e ~1;1,-.œes S<UISI die 1'·€1S!PII"Ïit hUlillalÎ.nest ·bien trop .sl\llbtil tou,it blâme, 1d!e,taute cmbqwe, on iacrpo,ur,c,ela mairs bien qUJel'on ne s'en q wieS10er1a:, mais ,en 1adou1tant, un: ·t1.,endiepiai~ oompite, le motif n'en e,sit C'est seiûement dommage, o·u, c'est 1piatSmoins là et l·es <CJOnCJlUJSions O'l'di- regrettable que . .. , , etc. AnnoncezIl!a1ires: « De ,~1lO!Il. telIJ/PIS ,ornn ',aigiss,aât v,01nlsla• mort .d,el 'wn, 1e ma1rirugeidie pa is :aimsii ,, 01u " J·e moiuirr:a,irpluJtôt l 'amitre, sur 1tOU1S Î'l y 1aiqUJelligi\lle chœe ' une ' chOS(e1palr,01 ·11 , ", •O'U, à di•r;e, un mot ,v,enimetuxà déicrodheir, qlUJedie tf1aiÏJr,e 'lie " ;j,e ne p,u.is .c1ri0ir,e qu'i l iexisite a/Il même Jes enfialllrt:Js q!UÎ wa'Ùssient,siont llil!ODidie'di€lsg,ens .... ", m.c., etc., ISIOlllt p,lrari.ntsdl~31ppa ,r benir à te1s Ol11 tels lia pr-euve de 1'iimpeecia,biliibédu na1r- pa1rnmts! Ce1a eslt h01rriblemem 'tlrisJte ria1teuir . et pénible ; c1e qu'il y 1a 1die:gnwe, On voit c.ruaiq/Ule jo1U1r des indiviidlus c ',eisit.que l'on n ',001eipats ' tourj.O'UJrs noimcir leuir:s ,s,emb1ables dans le bwt ;priot,esfa~r ,cioin'tme rd!efols p roeédiéis·. die ,se hla:nc:hir; :perrsoillne n 'es1t :p~uis V.oici,une fail:ile01rien1Ja!Le qn1enü\UlS 21éJé à T•éip ,a.ndir,eUJD.,siciandaleq\Ulee:eiwx 01uriŒ1s , f orrrt ,brelS10 jn die mooli.1:ier : Un qu,i e!Il ont un -pia1rei l à le1rnraictif, o:u,cJli en mo rit .giisiaiit idlamis U/IlJe , r irue di '·ooe hlrua1I1Jt que le .rneilleur moyen d '·aittévi lle d:e J'U!dlée, ohJaiCllhllexpJI'I.ÎJmactit ~ nUJer seis, :f.awtes et die le1sfari1e pa1r- dlég,oût : « Il étaiit ,sains doo:vte,enr.agié, d)onner, el'S1t J,e sileDJcee.t l 'ind UJlg,en eie .fit J 'un, ,otuiil n. 'a1UJ11ruit piaisfini de i1a à l 'ég1air,dde ce'11etS id',aiutr,ui. soPte. - Po.Ulaib. ! <lliitl '1a'llltre, qUJ'il La métdis,a,11Jc,eest so1U.v,ent,a1U1S1Si 1sent ma:uV1ais! - Voyez 000Ililileil est rune prr10 1te.s,ta1tion ,die ~ 'inif.é['iorité 101u p1e<lé ! ajouta iUil. tr101ii&ièane, ,sa [Pea.u icoola médiiocrirbé coliltJre ce ,q,ui eil!t o- ne sena ,pais même ·bonm.ie à rfaire unie riginal e:t 11.TI!ême nobil,e; c 'esit 1'effo1•t p(aine die sratndai1e 1s. - Maiis 11,espel"le.s de l'être inféri.eiur po1rurtout r1airrue- ne 1s1mi:t ,pa.s fP'lflllsb1amrctbres qiue ses ner à .s,on nive1au; rbo,ut,c1eqllli 1soritdie dlenbs-! ,11e1111ai11qruat 1UŒ11p!aiS1S1runt. » ·Les ! 'oirdina1iiJ:'1e diu 1lie1U, OOlillIDThll, 1d1am1s 1/ilp ·eobrute.uns,s'éloig,nèrentt ,cfua;cun idJe qruelqwe dio~aine ,qœ cie:so:iJt,es:toon- ,1ernr icôté, ,en 1dlisail'.lit:« Oe 1dtoitêtr:e dannné d 'a,vance, :Lai pre:ruv,een Eist. l '1a.1- J·ésuis die NmzmJr:etJh; ,c1ain qui 1d'aW:irie vidlité a-v€,c l.aqrwetlle ,o[l r1e1d.hielflcihe, on a:umait 1b110 1uv:é unie 'bonne ~l'ld] e tprOQlll' étuJdiie et Oil.1 é1:laileJ.es itmalv,er:sdies un ahien miorit! » gir.am1dshommes; -eeiLam'1rusouv,ellit ,t01us 1temps les rfemmeis ,ont eu ébé UJne 1c1a;uiS e ,dJe ttrislbetSS1e . Oh, cies, le De mon~po~e ,die fo1 m~dli,sialil'c·e, r '.est détmaicte\UJr ,s ,du, giénie, 1d:e·La noh]eigse fâ.cilieux ;po1U1r ,e]Les:,:mlalÎIS'!il faut 1a.et du ùalient ! ills me font J 'erf:ifetid!e voum qiureoela ,est .fondJé; •on a E,SSa.v,ers rannip1antJse1t s1aùiiSJS1ailllt die leUJr yé die iles ·exic.u:s 1elr en :p1i.,é1Jexrt!runt ,loor bavie une œuvr!'e d'a1Iit, 1un.eœu:n'!es:ru- gienr·e d:e vie même, ,qrue, !füuul~e d '.aliioriée ! 1nentrntelleC'tm1e!l, eHes11s1elœ\pai1:S1sai1ent D ',ruutir,esgens s1e1pù.atÏJS1ent à ,médli- de leur,s 1ailenltoun . i s, ce rSleDruit du pu1r 1~e·prour J,e s811lll pliaisiir l:llebaJV1a['id!e1r, cannibafüme m01na[! AJuj1()(UJfld/'hni,i, iLs ne le clhlllt.prus ,dJaJUs l 'intientiŒJ ldle d!u reste, 10e1Jte eX!cJU/se n la: Jl'lllSis,ar•ruiniuire, mais ·pilJUJtôtpair '!Illallliqueldle sion d 'êtire, if:1ous· Jœ ilroriZlo:ns S(XUt Olll seIJJsmo1~aJ, pom id~l'lei qœl q,wer1101s1e.vePts à lia ·fen::un::l!e; il y ,en l3J cepenOomune moi slaln.Sidlo1UJte, m1rulhe,u- dant encore beamicOIU!p qrui {plalr'aissenlt 1I1'eU1s1ement, ,v~ ,CJonrnaJllSlsez 1atrussi -dies se ,pilaire dfülls les• ibais-&cmdls de 1a âtres qiui ont glll!ejljque ,ch~s1e à d:~I'leSIUlr médiisn.n:ce,die;}.aJc a1omniie:,die Ladis1

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sé031tion du ;p1i01cJhiaô.n . ,P,a1ctlout, si ·ses o,uvr,~g,es·, p1arqe d ''llll1B f_emme nOIUSrn~g ,ard!irOI11s •a1ulhcmride 'llDIUIS,qu~ ne peut ,sui~po1rberle br~t q:u,e marr,1; M-J,j/s nous verlrÎ'O[lJSqlllie ce ne ~ont ,pas font les breloques dle SIOO oo de s1eiàl •rlO/IIlla!ll:S ., ,di'udeux qUJi aonit ,1e :p[~ iprod!i@ues die Bm1D.'ey1diaillls lës: nenf1s sont 1aiqJllil. S1ont·Les ne jeum'.e fille dont 1 loruan.geiset ,diei:fi1aittenelsi g1aicésp.a,r le craiq,1]eme1D.t idles botites plJUJs estimé!s ,et ,a:i;~é.s,~afos Ibie~ cem de :sJO>n ,tUJt:Jeursur le ip,airqwet. Ces q1ui ne tomcli_ent JaimanJsa ~a rep~a,,ti,on ,dJ'1aU1tr ,u,1, Qu;eHe ,ciO[)Jf1amic,e n ai- milllUtieis1sront,de lia vie r,éelJe ; il y ,a de pia:r le monde bien <les;br •eloqui~ t-on ,paJSen eux ! Slffiill;Hes_ qllil A J 'instair die Lai:fiableqrientaile, nie qiUJi.s1a.utent, bien ,4'es ,devi1aiJJS1ai11 senaÎ!t-il ,pais bea'UieOIUlpp1ua 1agi.réiaMe crient ' bien des ha1hr1:mldiœ .' . ne nouJS teis bien ides mamereis 1qui ,et ,suJrfo1utteharirtia1blede ,I'looherooer ,point s1y1m1patmques. Que faine î 1e.s,qlll(a1 lités die -e0U1X .iqiu.in'()(U(S ,entorw- iSIO,r{t voii:iison en reillt, 1plutôt qUJe,dl'&pieri1eur,stra'V~IS' s'en ,plairudre? 1aii:srs,er nrrui. ? Oui, & i il s 'aigit 1dt'IUJIJ.f :ill:s? d 'lliil et die lewr 1aioooudter\SQU!vernt dies id!é,en!fla.nt 1 S1U,r leq ruel un hon üO!Il.s1e!ill: ;peult farnts qu 'ruls n 'ollllt P1a1S,. Niotre 1S1a(tiJs1mairi, id'u-. . f1aCJt1on S1enaitlbi8iD.'PiJ.usgmaindie •. cela •::i1o -n ·fr •' non ' s 'i,l s'a.g:ùt1dl'.u.!Il . ne sœll'r d '·un frèr,e; le S11.lenœ q'Uil. norus deiviendlr1aiiit :f1aiCiÎ'le ,d'raiimer no,n 'iorff ens;e j .ama;iis; ,gui 'JY,:rélVÎ!ent les ,tve proicha~n 1et nous finirfolllS siarn~ et lies 1dfuS[p,uibeis 1e1slt oelIJJt dcmte P1air.,dléewv.rirr1dlesverrtms ,aiv,oo dli:sc,u1sisioJI11s ce s.urp1am!tiantd'aisia11~e qJUe 1e1slfamJtes.A- fois pr•éf é.r,a)bl,e.Ce 1SMeD1Ce, près toiut ,c:en'est 1S1ans, 1dJ01ute qu' ,alf- 1port ce sioin déliiaat qui vo,iJe '1es pr,od1aiin ·es:thi.en pJ.ius ,e il'O/U/Sto,rb~ de Il!OIID.'e fa:ir1e ,d 'ha1bitu1dJe,,et ipmrusqu <lie mise encone da:nis lieiS· ,cine>o'Ills1tan1:siommes des cnéia:tmirosid!'ill'rubi±;Ud1etsi, cJes 'Sérieu1S1e1s qlllrela vire die chaiq'll!e si no1u.sess1a:yio1I1s idleceHe ·~? j,01urr.arrri:èneet ~'est un g!r1a.nd,s•ecr_et J eam! _tobert. que ,ce,lu1 ide laisser passer, de lœisser tomber, quie que1Jq,rueis âmes meit••• t,eirut1sibien en -pra,ti,qru.e. Une !paro[e ,aÏJgJ.ie ,cm injust~ no~ Le supportmutuel la.issons-la tomber, et dlX ,fo,u; bilesk'l1e, pornr urne 0elui à qu~ el.ile,esit_éch:a'P Si la v,ertu. ne ooût.a~t IJ)ia!S, ,e11'lene .pléie]a re1grettem; 1s1 V<OIU!s lm :flan tes S1e111ait :pllUJ.S Laiiverrt:m,,e ',esit-ià-idire lJa: 'Slentir s,on. tort, il s 'r0ibs1tineria.Un force . Or, ,c:ette foffiCle doit ipr 01S1qlU!e o:wbrliulll maiwv,ais 1pro:clédé,un mane ',exerieeir !Sl]r s1oi--m&neet q:ue d'éJgtair1d, tOiUj1ou1r1s ou •die 1poliite,sse noms n0111 srur le..s,a;rntre,s , -piairfüm.J.ièr1ement ble.stS,e,laissons passer; cafanons no·à/ans la vie dte flamme, où quie1Ue que tre pnrnp,re cœur ;par 1l1esfulenœ e:t ne s1oi 1t ,J'u1nio)Il ,q,uci. y rèig,:rue,OIIl,trouive faJi1s1ons pais ullle longue q1UJer•elle au sans c1e,ss•eà endlllrer 1et1àSUIPIPO •rlter. tor ,t d 'rnn moment. Une mafll.1Vïais1e · et 11es op!Ï.- J1a.ngUJevieut nou.s nruire l)(a1r<llescriNion •s1eu~eimentl€1Si V'll!es ni,onJs ne s 'a:ee:01ridenï ipa1storug,olUJI'\S, tiq1ues ou delS médis,a!11ces,laissons non 1siew1ement Les cru11aicltères1 s1ont1ea1 iombe1·, et tâ,cl1ons dle joo1b1fie.rnotre 01ptr)1œition,Al0es1te et Pih.ilinite se car,a'Cltère pa ir notrre cOIIlldrnite; les 11én1c,ontment 1SOll1!Sle même toiit ; mrui.Js t_miJts:les p1U!smailins s 'émo'tllssent à dies Ja Lcm die moilJ!CÎlrlelS baig,ait:JelJes, dies rt:ircis,, ,g.ue ,contrie une vie iriDéprroc.ha:manies , de1s « ,dald'ais,, ISl~'tlernt ,sou- b1e e,t urn cauaictère fr:anc ,et p!Ulr. Y€nt bien des ennui'S et des oontria.Lai.ssmlJStO{mberaiveic I,e 1s;hleooedu riétéis,. Ütcfo,v,e ], ,eUJiJ.iLet, 1diaœ UID. d 1e l'leS(pec,tûe q,rni parfois nolUIS1 b1esee 1

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ohez no1ssu,p,ériieUJrs, : urn 1peu de ha1U- à de,s hUJméUlrlS diveiis,e.s,·, ..... rn.".' : . ,i...,1s ·1a ipia1rx: 1Jeru,r,UJJ.>epatr:o[e hoosquie; lliaiis1s;0nsidJ3'la m/ailiSOn ne v:a,ut-ehle · ,pasrt,9-'lllal ,pim'!serles c1onltmairrié:té/s q,u.iinou,s <viein- ,q,ues s,rucrificies? Parr 'Vlot"'e • ,.1n, l ...' ,pa 1eœe neu,t die no•s ég,a'lliX;iJ 1e1st1o[us fü,-.il:e et. vO'trieIDU(wigence, YOIU!s e' ' t abl" • • .'le .l I'-' ' . .us et ,d,ss vô.tr·e· · , 1 1SISiez '.il' eXfP 1e, rJJ~1U1Ce ·d e . 1a. _Ylie confirme, ,auto:uT, ,de -vo ... · . · ,s une 1a,Ld 'aJU>tr i die s,e pùrnr. a,ux mcllll'.lJalbi.01111s im,o,s1p h er, e se, r erne qm la~°'"' · 111 , . · ·=·e .v;o1r 1,e • , ;1,,que die iPili~r 1es vUJe,seit 1L~1s g,orûts ,ciel, ,e,t, .aigreau1e a DD1eu, -. . . , · ,v,"'v 0'U!s ,se des .au:t.rie~~ 110s .prorp11esdesiŒ. De ,c;uer,e a oe1U;x: q me 1eu. ,;irez , , . . L , . 011118 , a u,O'J1q,1101 ,s :ag it-il souw.ent 1 dians la vie ,do- nes a ,a1me1 . es v,er1ta1bJes ...~- 1· , ne -=.1, , awvur mœ ,tiquie1 de riie.ns a1mx.quels nos re - tes S1v.LI1~ 1 pas. ex,ericees · nar 1 i~~t ,,,, es ipeT plaŒ1qru:eti 1d:onneflontide l 'iim1por1taince sonnes v1·0.w.u .· es, S1UJsic0ptib1e t t " f . Il .s'agit de l '.armeuJMementd, ''ll[ll~ ierussieres, une eill/IllJe,,::i,---·cse il--i: raUJVLU e ,o:uvient clJamhre, du choix des, 1p1atsid!ans:run ·Slaill!S,e' l ever 1aJ VOlX· Cieque }a., ,;i,-~t en v a,m · a, raind · ,abiu t res 00:Dier,qrœel'on ·dio±tdonner, du choix oomtmM1u1m.1. . 0 ~es f1eUJI1s dla!IlSurn j ardin, ld!el 'heu~e Oibste r vez, et v,otuisv,eir1ri:z', ' ' :rmft. a la,qru;eJleon .fier:a1 lllil!e viJS.ite d 'run,e r emamque esit fondée 'S'Uir1,qu.e,'<'~tte eXJp~r*i;n1attre que l'on ,a, é0rite ,et que '1'aruJtœ ee de tou,s les jl()IUI'S.. blâme, de ohose.s insiignifiiantes· ,einfün. T,outes _les dciis 1c'UJSJSÜ!olllis, 1e,s con trmerses ~,alJss ,enit Uiil 1ai:rrièrie-goûtaCeuxqui empêchent m~ dans le ~~' \P•amce q1U'el1e,sévie!l llent. la -v:aimté,soJUircedie toutes Ceiix Œ;ti. empê_chent, tel •esitfo tiJtr,e nos. ,anhpath1e·s ,et ide nos 1secrtets:méCIO:lllten t ements . Cette irègl e du, sup - 'Ulil IP'eu emgmatique d 'u,ne h .. port mutuel pewt. égialement 1s',ajptpJ_i-qiu,i ,se pais,seen ~lE,terr,e tô is w:1:e t a~s quer ~ux domeisti1ques,daltlls ùes cmo- la mort die La reme V~citoa-. s:pélciaJe , p iar le fait qUJe [ia 1:a . TTeis ne sels 1ou liei~~œum; et ~a probité Ue le irécit (l)~stio; 1so:11Ji pa.s mteries,see.,si; Ille 1fi~t-on P!8JS utour de 1aiqrne ,J.Daeu,x de ne pas signlaller liIUPitoyia- 1a gue.r11esrnd-.rufrioaine · , e e te Pro Boer Î'i~uged'~r b1ament [,eis maù,aidlnes1sies , l e.sifa'!ltes une 1a;11dlen bien au ~delà 1es étoUJrdieries~ OéS1a1r, dit .Slllétoo.e' :die.c;ep,eil11dalllt tes diu icaldoo. EHe s·',,,,::i , es' "'·-•,~ l'IIllld:üssiimuilai t l~s torts: de ses infi aiwresis1e et à cihaic un ; eHe .sou [èv. a 'WIUl/!I n~ris, _fernniaJ1,t l~1s y,erux:s,mrleur 18, intion qmi.,devient ohstéidia~~ quies·aiugmenhlaib1l 1etés, ·et solilimdiul1g,eTIJce men1 t où elle s'e ,st 1pos,é,e ~ ~ moltaiit son enrupi11e 'SIU'r~eisiicœums. che rmaJtin,a,ux auditeu,n; d'u d~,a.nUne ·~emme .qui, druns,J.es r,aip.port.s pia,stewr de :paroisse, P.rêoh:aa:i~ vdeux d;e fam1l!e, LS1a:iit ~u1pporte.r ,et icooheœ Ullle des plUiSvieiUeis ég,li&es d Lans 00 bien dies rmpresis10ns fâc:hoos,es o'.e,st d:res,sur Cie ite:xite:"V0UJs une Jmil,e <lioooe:dianJsles ,engreDJaIl :f:atutbien êtr·e Angl,rui,s'PO ~:" gias, c ',0s1tune ,ouate légè,re q,'lllielll\Pê- it,aicihe.raiœi d 'un vie/rsle'td"' l '·E,ur,ie,;i "'"' qrui ~ ,, :vanohe nie~,oc des objets pirécie:ux; aaID,s g il e de is. L uc weux mv~s , il fü ut ides ef1forts, ll!Iliegr .afil- de ~euiroon:texte~ ~emblent' :p .iaJres d10:rute, d1e_,a.ttentiÎi,9'fi sUJr.,soi-même, iJ.,f.amitrré- aiv,oirde sens ,pirems. Maiis,1, nn.mer 1 1mpiait1en:ce et l e1Ssaillies, n'y flegardle,µrusde s,i Près. à rses nerlfis ,e,tià sa 1a:n.- m~s oondleTIJS~nt. CIOITTllilliBillldler tourt;oe qu,'il , d' a a '1.grue, SIUIJ?P'orter ,des. mamies, des pa- re a son aiœditœre et fil J . ~;# · ....: • ewr donne ·PO'l~·I1ardles,des ·exigeaices, .d,eg b()IU- ~~ ISlll,JJ.JèL1œ ,w.onpoog.n:anted 'laictuiai del"lJes,sans r~me ni '!1aison,1se:plier lite, 1enleur montnamt n,ue Y>,.,.,~ '.t ,~ 1eur 1

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mer, iù ·fiamidrait .aider. Et il~ gens die 0 'est ·q,uie no111smetit1onstoms, mêhi.en, at1oms · q,UJeles 01U1Vriers1D1Jan-me ,1er.smeilleurs rd1'enilr·e norus,, Ullie q,Uie11it, ,aJp,p:rorwv,eDJt ldle [orin, ils ne certaine comparaiisoo.œià 1JrooïVerle sont ip,as oontre, OOI'ltles,IJl'.1iaJigi ils ne ,J)DQChain ,en Œia Jurte. Il ,Slel!:n)ljl e i_P(l'le&font ,rien IP'OUlr,et ~all'loo qrui':ill/s, ne q_iu,eqrue noitre viaJoo,r en amgment.e, bougent pais, qru'i,LsresiteDJtiniactifs : eit ,qu,e no1Srpropires ifailbleœes en "6 empêchent . soient a,tténurée,s. Ah l oertteli.site, combien ne polllrlil n 'y 1a pas1 1dJef 1lllD11é.e rSlruDiS:f:em ·nœt-On rpas l 'aJ.long,er ! Iilis sont lé- prréitleind-0n;oomme it:JousJes .~~ ~01n œUIX ,q;ui em,poohent, soit JllaJr _pqpull.aire.s,celuà.-cia UJ11•g!I'falD.d fond mJaUMa:iis V·OUIÙo:Ïir, ,s10ri.t [P)alrparti-µris, ,dle vétriit:Jéet de s1aiges1s1e ; ce.:Pendiaint soit pair inS10Ulcia1DJce, /PBir ég,oï~me, on voit ORI onoli,t v.oo:r1paJrtfois1ll1Ml p,aiD inertie, pam IIIllall ,aldlrlessie, pair pag11am1d:e ret é;pai,ssetfuJméle llà où ii n'y r,œse, ,p:a:rtimüdité, 1P1aw bonté même. ,a rqru'une petite va1pe1111r ,eit un fie,u Ouri,;p1a:rtrop de 'bonté, 1piairlllile bon- im_perc~ptfüle. C 'œt Jà 1q,ue .gît Il 'inté qui n'es:t qu'uID,etf,ati;hlessedégui- jusitiice. @,e, on peut empêcher. Un rtrès pefü fe'll et ,UIIlima:uense LI n 'y ,a ipias<le miliieu.,ipia/si de zo- hrfrusier,ua::trouit ;pe.titmail,e,tli.lngriaind ne inrter.rriooiaiffe,tomes les fo:iss,qu' ooa1D. 1daflresoull.èv,e:ntJia, mên:nerumewr on n ''a'Îid1e ·piaiS,cm amJpêcilie. Ai<lier, et .prwoq,uerut 1a même rim)dli.guaition. e~-pêcher, entme oes deux roontriaô.res Sowvent mêane un dlélit insàgnifumt l 'ânne 1I:mmaine œicill,e, sei10ID. qu'elle est '))luis rig,ou,reu.sffilll0ntre!Ctheœhéet pnaitiq1Uel'un 10:11 l ',aiurtn,e,,ellJlef1aô.tle rmni q,u'un g.11andiicrime. bi,e,n OUJ .fait J!emaù. .Mia,is notre huit n '.elS!t rpioin,t de On m 'iaiC'CUJSe:r,a di',awoir nerf.mit:pom preDJdre la 1dié;f.eme des 1Pellrut1s péchés; mon COll11fPte 'll!ll sermon. Eh bien l alllicontra:i:re, nous vourlriolll8 prououri, mettons q.rue j'aie rproohé l La v~r qllle J.a ri,guJe'IM" dies ,O)piniona et 1Sern:aine 1Pfloohaiii1e, :POUJr peu q_rtLe 1dleisjuigermentbs1puib:lics·est UID.edes vos lecteurs me le perm01:Jtienit,nO'lllS ,saJUIV.eg.airldee de la; IIDOII'/allitég,énér.aUlll'll·eoons d!e ueux qlU!i.1awdlenlt,arrxrès le. I norf:rie quoi, nou1S f eT1ons,e1DJS1e.n:nlbi}e qllll'ondosie<lin Nous ne v·oudonaP181S sxœn.e.n ,die ICOIIIBcience ,ett D/Ol\lsIVler- mail de nou..sr,eh bien, n '.en faiSOll'.l8 rons si noulS sQmmes dm nœrubre Ides l)K)iillt l - Evitons l '.ai~µrureœemême aideurs, ORIsii ,au corubr:alÎ.re,DOillls ne idu mad ·et jugeous-noue comme nous eerionis ,Jjrus paimni 1Le1sempêcheiirs. juigerio.nis ,aiutrllli. Joseph Autier. Comme noua l ',aivons déjà dit, un bien ,petit feu ipeUltprodu1ire une immeœe fumée; il .flan.ldJDait ~g,ement et :prendre Fuméesansfeu,feusansfumée pmévoir cette PIOE3S'.Ïtbilité g,a1rdle·a'UXipetites rpaœioDJS, qu.i, bien qiu'innoce.nbes et légi,times m 18lpfpfl· Qualnld une grœs:e oafoa:nm..ie,u,n,e rence, peu;v,ent ,sroul!Jetv,er11.llil gir.md gro S1s'eriUjIIlleuœ,sie tr10ruv,e:rrêd/uri1Je à sbail1!diarle. néa!DJt(,ce q,u.i airl'l/Vle:p,ajrlf.oiis) , n 'a vez-vous p.as ,e1D.ten1dlu IIllill'rimurrera111,- Il anr:if\T.ea.usai, et c'est une des rav.am1efüe.s les pil'l.lls'J)0Iliiblœ à StllP·tcmr de voUJs ces prairol,es ·ua::t peu que Ja fusoe1pitiqUJes 1: «·Et poiUJrla01,ti.1 n 'y a rpiaa ip,a:r1ter,il .arir,iv,eSORI'Vlemt mée ne se , p roduit et se ~œ die ·frulml&e satrusfeu "· q,ue qua.nid le feu e;s.têteint. Nous ex1

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et t<:mit Sevi,o,ns nos f.a~tes ,qrnalildnol111s ne les d'raùr ouv.r,ezu,ne f.e~, fait tou,comrnettoœ ptl:uB,ei n101U\S ,~ip,pel,o.n,s,.I.e r.a, e~vaihi: Feu qlll:i.ooUJV>e nt des monde injuste ·paroe qlll''hl nous . les j,omis ides vieitimes e1t IS'ortwe fait ,piaiyer si tard et q'llle nol\ls :en ,a- vootimes innocentes. vons :pr1es1queperd u le ·soruv,emr. 1es Mia.isil u'e:xi.sitepas se1;1i1 ,ement <;1 C 'e,st a.ulS&.dJénaci.soIIJTharh le ,gUle de re- follix danger.eUJXet miailifa1:31amtts. D1eftl fuiser de ipiayer le 0omp:te ,d:'uin .bo,~~ no,rus w ·ése'lwe ,die devemr des ,gi].,aJ,anger, pamc,e ,qiwe1e ,piau_n ,dlo~t il l'~çons ·par cmin:te d'être des foyers dame le paiement est mange ,d,ep,m.s de CJhaJleru,r ! Non, il y ai <les f1~aL"'C longtemps. bi:enfiaiiS!a nts , œ.ntres d~ hml?.er~. On car.esse :imprmément rp~nrllaint Ceux-là y briUent ,d' ,11a1e~at Sil '7-f die lon mues années ISIOil .amb1Jtion,s'.a q,u'ils ne <lég.a,gent p,as~de flllme.e~ momrrn:rrdise, 1s :oo ms'tinot ide IŒOO'.lll-NO!US en .pa:r.1el"ons peuit-etre quelliq'lll~ ~a1tion 1sO!Il amour de l ',atrig1ent,eJt ~u . joru,r. p~aiisü:,même a:u,prix die Jég,ères U?-dJéil i.'0atess,e,s, et on .s·e ttn·ollllV1et SUJDpµ".11~ de ,c,onstiaite1r bea'UJCOUJP !I)il.UJs tard qu. Les remèdes de nos pères on a sa ,ropuitation et ISla san,té ciottn_._ P1101I11 i ses. N,()(llls rf1aisio1I11S gralDd était - et a,iv·ec La j,usoti~e est q'.'W'lJgjruefois 'boit~- des oo,n,q_U'êilœ idle'la; mléJdleSl2' maris elle ,at'temt isoo hwt ooute 1 1ariJson . De colr:p~ h~ 'qt~e coûte. Il ,arrive même que ,dle.s ci,n e CO]]tem1p!olr1atine aMe!Q rulile'llil~uti.e p1a1Lients,a,Urnmentle foo et ,que œ maiin 1a é:té étrudfué sornt JeUJrs en.fonts qwi. SX)!ll,té1Joiwffœ et uoo ingéniœ.iité qfUJeoor,tes ru ~es anciens ·, ni ,les !hommes ldlefa: Rena~,_ s,o,ms la fumée. sanice n '•aiv.aieDJt cotnDJUJes; }ooipvolgr~ « Les 1péCJhiés des T>;èries ~~1ront ~ <le lai chimie nous ~t do~ ~e ivemenis smr les en:fianits,JUS1 q1U: 1a !:ai.tro1l'l~oiable; la s ièime et 1,a qruaitrièmle g,(mé,r,a 1t10n », dJes d'une vaJJernrlDlalp/p ,et,cert~na sruvlalDJts dli.t l 'Emi1n.11r1e sainite, ·et ,c,ette mena- yj,e 111été ·aJ.Jom:giéle prétendent Qlll' ', o n rp-0'.lll:vr ,ait ~00;e ce s'aipplique, non se,UJlem~~t aru,x et füritement - J1eltair1d 1er l 'oo~e~~ Jui;f,s,, mais· à toluibe1~b.n:umaillllté. . .aJVOnsile idlro1t idieSi ,donic il pewt iplaT.aitre y ,a:vl()1r <lie1a mo,rit. N.o1UJS1 1eis q!lle11J c~s raivons dies mrnmées sans feu, ·c',est que le feu tire fiers ,diers vie1t'O'i:1 I"béieis 1Sflllrle mail fPlh.~.que : , e.Slt1bi.e1Il.Petit, îbien -ciaiclh.~OU!idlfrj~ r,e,mrpio1 Mais enfin, le.s doox ~ ltOOLSI ~em.eéte·int; ma:iis iJ y est, ou Il y a eté . .so1t.hoDs• klle 'Pl'O/P,O 'r- mtioO}s, n '-ont ·pais itJau1tlll!V~nté et que lia, fU!l'.ll.é.e les üicm ,a:veicJ1efeu , ,q,UI1ilairprodill11t, c iest tomlt,brans1forimé. - L ',0Illjp11:nsm~, 1ti.qlll!eSoOOJ111~s rdle 'Il.OS~~cêtrie:s toos,posai.Meet très ~ioont, cai.,r on p111a des es1tv:01lontier,spo,rté à towt ex,agierier. ,a,va;i.ent s0t11v,enttmIIS~n l~ere ,dio1D.t lai 1saœI1J 0e ,s est,bo~C'f>..stpo,u.rq:uoin'épaÏJ.slsiiSG!olns p,aa ,tr1aJi,tements 1 eff1les liéO"èr ,e;s VllliPeUIIIS,q,nrenl()'US ipom- née à '0011/trôler,eJt à OOIIllSlafiler · l 'éti,qll'.ette,S1emf e .a v,ari01Dis :,:,a1pe ricevoir 1aJUJ -1 dieS1s illls d ',a111tre,soaci•té. Pa1rfo'ÎJs foyers; 1',air en sie.r:aitem~Slté et e.m- ,rié. LI e,sitrvr,ai qiu',af\lJlioo idlesi .en ,r,a1P,fter ,à ,l 'infllirueoce .dies'efS/PntsIOIU ,a p:OÏ.'s!OD!Il'é pour nous aJUiSISl. eit ipOU/1' iPr011 1 l '.a,c1t~0rn dies a,stl'l'es,Il!CYUISnOIUS en ·ret01U1t le vioisi.na®e. .aJu: x fomruules ,eJt qnre DIO~ ·t~aJLI y ,a des feux sans tf.111m ée, rdJu fé r'O[)JS moms rpo,ur .un teimfP~, et rce s·ont les <llwis,ooisen 1a:ngiaigesaNtamt!diesJJdées pS1ccmfuses. plus :rediolllfable1s.Fail!Jes run ,00,utriailllt <lemeuir,ées1'ongit0lD1 1

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.Aru.r·este, j •e ne voukllr.ais,pia;s :é'vahhr UJI1eocmupamaii:.s1on en irèg1e :en1Jre l~ f.a~ ide sie, isoôg.ner q/U!'aififecfa.cmnaient !1100 IP0li0Seit 1esi noo.res. :Mon mtellJtion est mfirunneint IJl1,0tÏm; ambitiOOS1e : je me 1p11(Wlose tlJOIU!t runirnent, en utilisa!IJ/tJes ·nooherohes rê-

Tiéailité à J .-B. Denis,, a:nêdiecinordinaiiir,e die Loo~siXIV, qui ifariCOOllSia,ar,airdes id!émonml'latœons ly,riques. H fut id'a,u1tant IP'LUIS :pio1I11:Jé, d'alÏ!lleUJm,.à e:x.aJite,r 1a:tprn/ti,qJUJe qJUi'Ï!l déf,endJan t, qru,'il 1sre ·b eutrttaiiità u1ne'oWû'siition .J)tl)llisi vive. H tI'I01UJVa Ill/Il oO!l'.l.nœisutm~~ pair ~e 1djodfieuiI1C:~am.è&, dlalne 1dfoteUJr·aieh amé daœ 1e O'élèbreO.Lruu,. wn hvre ou;:rn1emx, " Rennede.s·d'ialulllre,excie'LJJan.t à 1ai folÏJs f.00,9», die sigaaller. iqJUle''lq/llleS,ptrlQCJé-1icl1ePerœamJit, qlUl.i. CÙ:lm5 Je,s rtedherob.es mâd!ioalles et dés , q!lli f,ument,en vigiuerumil: y a 200 dans J '1amchittec1mn:ie. 0/UJ300 am.s.Il en 1fllllt id/e 1 bi7'JaLN,es; il en fürt .anm. ,qrruird!0VlaiienJt 1SUJrrvi.v,rie « Ne seT.a;ilt-il,pais é-trmige, <llisrui't ,d/e1sscienœs êtve ,a1cooeill:iis et ,aJdiqprtlês ':PaT11amé~ Perr,amtlt à l 'Atia!d/émi1e 8 q,u ~OIIl , p uit changer idie soog c~ 8 diec:Ïin!e des 19 et 20 tSiècJ1;es. <liechemise? » Nos 10ontemfpjonali.I1JS n 'm,sie:n1t fP•a.':l . Ert !e IPJ110CBdé .pamUit,en effet ,sà /Sl©lllementides rpla1D1tes 10U1dies,minéà J1a;•diocteoom~e, CJJTi 'ieiinamx, po,u\I'en ·e:xttnaire Ides méldli.oai- slll!grulli,er même jwiqu 'à m~n,t~, ingénie'U.x et 'llltiles. Un ia[P~- Je le con:dnmnruet, ·al!Jia thlc.aw~ mmeuoc, Lém.terty,éicriiv.ait le1 ;pil'lohibe.r,aipra.s J.a. moirtt dlw fille ,8/U/trefoo:s : " Qwe!Lq,ui '111111 se für1m;allisle- d '•un IDÎnÎiS/tr,e Sltreldoo.s. ,Maiis, SIÏ.iliartralll1Slfus ti:on SIOlullffiT-a à 1•arpault-êtrede ce tqflle jte pfaœ l 'hiO!ml '.or~ine, dlas lli.sisii.d1ertoas et dJe.s ~ me. idt~'IlJsllllll!e hii.sboire fdte ,dli.iQg.wes, 1d)u :s,alllg étaiit ma:rs 11 v,e:r,:r,apair la suriJte qrue ce SlltSll:/a~c,es 1 l 'ahsro111P,tioo iaftficaioe.De .nos n ',eslf; pas &ainS' rari.son, ~'il en ?ons1deree .OOlllllll'.JJe ,tire he:alU'CiOIUlp rle ,cth~es tqfUii. :se1uvoot Jo~ns, 0/ll s~ ~'nffi?i'te ,di,envoyer les ISUtJ ets 1a,ff.aa,l:füs, hol!I'e 'a/ll!X' ,aJbrutitoi,rs diana 1a médiooiœ. ». 1'e smng des ,acimaJUIX flraîcliement A v:r1ai dime, DJ®IS ISloimtmJes lbea1u- ,tmié's. · ?ou1pmoins: oai!)la/bliœ tdie1sutqprise•aJU.Jiru~, ic~~t IC' ellruidie 1'hOfDJJin,e qru,' JOfU.m'hui. pn~ooms,aiJ. t et nors :a!UJtelllrs 1raiiirutOn reCIOlulralii t ,aiss,ezv101otn,'tiersà l ',é- 'Oil:! ,lai ip.r!OlpT,iêté poqmrede LOllLis XIV et die LO/llisXV vnbru,aient, entre -a1ullmes d.!e giu,érir l '&p,H~e, · dotmrrv111 q:ue iLe à fa s•a.Jive,q(UJÏ.&ait ierrnrployiée inJdiif~ 1alla/d,e,,a1pl'lès [:'.~ ·ofr 1p1rils,, ,s'i'lll!PO f.énemnn~nt0001:t:r:e ,les dairltnes,les dé- Il!_ exer.tc1œ violien.t. Voilà ma!Dig,e-aIBIOrus, les 'Il1lOtl'1SIUlI1es :dies se:r- sa:t. qal'01qlll,e ~rs t extmoa-tdin aàe, ,et œlllll, lee pents e:t des, ·chie.Il,Sl enrag;és1. Le1Sé- qru11 c1aun:nbales ,oort pier,s!ÎJ&té à (S)T],ivre oei ,phém,éri,des ,dt'Al1am,aigœ 1n ru)Omtenlt UJsage . q/Uf 'ru.ndio10teuir 1sie rfirt un j OIUJr, a1111 oO!Wra N01Uis ,pos.siédJOIIllS td,esr,emèd!es v,ég,é:. <li'ullle 1d/i.ssecltion, rwne b'10SlSIU/.rle là J 'œià ta'UIX OIUl ,dtea ~pOISlés Clhia:rriques « et q1]e sa _mère Je g;utéiritIPI'IO!m!Plbe-p1u1s'V'ari,éis'glllleŒmx ,dJe 11nell!ten iln:vi. lécihiam J ',e1I1<llr1oii.t tdie iLa breta1UJC011J!l? nos ,arne:.ne~gn,a1D.tdts·-1_Pères. Comment ,p1aiie "· ,dre l 'extr.a!Olfldinaiiie }faiS' il y ,ai qruel1qwe200 a:ns, c 'é- s 'éltonneii-.aii,t-1om. ,a l 'Îll/tJrioldiuicniolD. .fJa! t ~r1trut .ruu:Slaalg 1hu1maô.nqu 'tOIIl S/blJlpiellJ}r,q1~e ,sicrw1ev dJU q. u mqumru et de l 'i:p,éaai0UJaln}1a f f.an,s.ao:t ,a,p)Pel,porull' 'P~el'I à rdJe,gl'laives cas• mor ,biides L 'idJée die 1a t1r,am;slf111r,L 'ooomce f éhrifüg 1e diu: q,uinqruinia en Frnttme qllll'àla fin sion, q,U/Î.a: étJéIJ:WlUleifüe p;a,r 1:aiooie.n- ne .fiuJtiC'.(>illnue dlll XVTie sièc'le. Ven111e ·diulPénoruelce la mi,eux iruflo1I'!rn!ée , remonte en 1,aaf\nai,tde l01l!g,UJe dia/te,é'tiéié/p:rœwée 1

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pa,r les In:dlùeniset 1pa;r .Lelu/J.'18' mattres les Eisp1a1gnl()lls. n sie:trolUJVlaJ _,un .Angfais - 1'.run: glœname ne diarteII)taB d'hier - pamr la meitJtre en voig,uie ohez noœ. Il s,e noanmaiiit Tai1bot et a;vait ,eu la botnne fo:rtmine de igué,ria· le 100i. 01.ilairil.es II à Windsoœ, en se seriv.allllt ,die 1-a l)l1écieuise iSlUJbsltla;n..ice. Oe fuit -prête à Mme d·e Sévigné, ,tp,u.j-OfUII"S_ ,accmeilli·r les nQu'VleaUJœ131, qJUlls•echlairo·eia de le lancer dtans le molllldie de ila ]jl y fit merveil1e, soigna l es 1perso111nesde l a famil1.e !f1oiyiai1e ,e\t 1girugna d'éll'oi:r:mes c~p.i.11aiuxparme qu 'ay.ant ,a10c1apalflé l 'éooroe, il exio-ea.i:t 50 loulJS, 1somme t0I1.00trtepb ;oruiii.dêmble porur le ~ ,a,v,ant di',en.:trep.rendr,ellll1e cUJre. Le q,uinquii.na emUJI1teil iSlllooè.s' qiue Lai F•ontatine ,l,u~. 001I1.&a,1cma un 1oog pœrne, p/11ÎsUIIl'beau jolrnr, il .passa id!amisl ',u,siage o0J1.1JI'lmt,,et n111 ~ ne pen sa p1misà ex:ai!JWrses sier:vioes. J e111n Frollo.

©UT.

rpeu disitmiit aJUtjoumd.!'hui: -smmer à J '.Agnus Dei, 1r1élponi(:} 1!1e Laus ~ibi Christe a,près 1e idlern'lleJrEvaingüe ! Qu,'y a-t-il 00111.Ct ....'.. M. le ,Oumé,je vtOlllldlnais bjen êüie de 1a Sa.inte~Emifl8llloo. -R.ien de <pJiusfalciLe: jie m'en v.alÎlil t 'ill!sc;r.i!Pe ,tOIUt,dJe\SflllÎ/te,et 11'on ne se1. ra, rp~usdrisrtT.aitidêsorrolaili8 - Oui, M. 1e OuTé. - Voyons, tu: n'.as :pas l' ,ai•r 13<atisfaiit ! q.ue v,eux-d.'111 .enoome? - M. le Oulré~c 'i€1St q :Ute Je vo,w.. dmais ,bien êt.riezéJLaitewr.

Du coRllplie voo.ér.aibliefP8.Bltenlll' est ,e.nchainté. - Ah! c'est donc celfil T;UJn'as qu:à. t'entendJI',e arvoo qJUlelqruos-~ die tes orumainadl~ ·bu, en 'a!U.Tais wite t11owé neuf, it1111111'1aJP.Pi01'11leina;s leun.13 na.ms et tiu ,ser.a,s ailllSl i z.éllaltEmr. - J '.arumer.aismi.emx:dtoinner, 1-ea dix scms moi-même: j e n'ose rpes oommencie,r à .aihler oheiroheir les ,a,u,.. ,til)œ.

Voilà ,ce faimeu:x: ;mcxt commencer, q,ue itout 1e mo~e oonnaît, qoo tOIU!tle mondie i0m1PlOï1e .e'f; ,qjlle bealuOsonscommencer 00/Utp OOIIIlJille oet enfant 1dle ohœUlr, ne ~~vten!t,paa, O!U,·pllutô t, n 'osem.lt rpas H y .a quelqwes 1alll!JlJéie~~ .un cure mettire en µnaltiquie. v-011!1mt é~Miir dta1Il$sialp,a;roœsiel'asAvoUIOOhS ·q,u'il y ,ai die ·lia rdliffiouil.té rsoiciaitJ:i.on de 'la 1Staà:nlte -Eruflalno~.D.aœ à « commencer ». To1Uitesles œuivres•, .une insbmiciti.on oo:diim.a!nclJJe il. exo;>o - .s.u:rtcmt 1-e.sgr1aI11dies, ,ont des d!éhwts S/a ·aivec bea'llKJ,OilllP de ooall,au.,r , •l '.utilli- ] aborrieuix.De Làles .proVierlbes: Il n'y té leis1besoin.a de,cette Œ'UJVlfle. Un ,die.a a que le commencement qui coûte; le ' . ' . enfiaints <lieŒœuJI'l fult vwemem 11l1J- commencement est la moitié du tout. :prns1sionné: to1Ulbe t 'a,poos-1mnidi il iœ .Arll'stsià ,quelglll'un qui 'Vlaicommen 1S1o ng10ag.uèrre·qru·'alUJX ~œ oo~m qœ <:er u~ tirarviail,noms cli!Sons:Bon œuson sou mems111e!l raohè1ler)~. Le ~Uln- r,age ! Qu;ood lai besogne ,est c.on:nmendi miatin., il v•01uJ1Ut êtl'!e z.é~a1~ 1~.A,- cée, on iS!econtente ,ai'·oo « Bo.n.suc1près iavio.iirservi j,ai messe, :iil etei.DJta cès!» ]1ahâte les ,cierg.es, iet, cl0lllltiI1e sion hJa:· On ,dl:i.trparifoÏJs,q1u'i Q,est rpilms facile bitude, .p{màbrle,1 .1J11peu ~ dlans ~a dte fa.lire scm,devoiir rgfll!e,de le CIOlllllalÎ\Slaoriistie.M. l,e C'Ull"'e g1uliltibali .ltiSes or- tre IlllaiÎ.sceci ne ipeut ·a.rriv ,e r, qll!e nements .s,a10eI1d/ooiaiux. Il :s1oiruri.it lal\l dla1 ~ des ciooo.DJsban10es extr,~c:»rldlinaibambin q,ui vient à lui. res,. En génénail, nous sarvcms tous - Eh bien! molll,ipiet,it,oll'.1 a iétél\1iil rtJr~s·bien ce quie noUtS,awons à faire. 1

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155 Que die foi,s :p100.11l'tJant ilOfUIS1 a,VOtn:s Matis il .a f~1l111 -d·'rubomddonner 1e peiur_deooomnencer .sortill8IDJqJue d'', œ1a il ,faut oaie·r nergie, ,so,it .wussi r'e~pect humain. e- mo/ll/Vemem. 1:•()llfil' ,aincu'. QUJe q,uelqiu'un. ·alill€ die 1~aV'rurut, et ipornr io,s,er,ll fa1Utêtre C/OD."v ma1I1ahe l 1,e ..prruruer ' n·O"'"'· ,....,,S""·Y'o· 'V!L.U)m,es ,p110v.:; a e suiv:110, no1U1s ne ,demandœ:iis Vertusdomestiques Q'UJe~e.J,a;m1a,1s noU1S-mêmœ,,on.w:• J1aVŒJe, ,c 'eis,tJ.à une 81UJdJa,oo idont no~ lt<ms sentons ,a1b81()lument :inciaipa1bles Il_n'y a rien ,~e nouvearu, ,sous le aa:t ,de la f.emme .c_ _ .Oha.1?Jm11 compriend qUJe noJus n~ soile,1J.1:e ,po11br1 . 1 , J.JUtr Pa 1r.Lon.sJl.)1asdie~1~11ffiai re.s orù ·l'jntérê.t ~" e, ·t1'"' • w~~ Pair a merie id!u:rioiSaim.ool µurr,ement imiaténeil ,doirnin,e. là on u~ d1œfer,eq1u'en a~J.)airenoo<le œliwi ose .souvient trop. ' ' d ·,u~e bonnie iménagèrre <l!enos ·iorums · ~1anCJ!1~e, d'éneir1gie et resipe:ct hUr- ~a f~ ·mr,ne 1!ertueuse, et toute "à ~ auJorrur,rli'h,uie,ncioo,eoomme mam, voila <lbnc, ce Il0/ll/S semble 1es <;iiev_o1r1:;,, J1ad1s, va.ut plus que l 'or et l doox ,:rrraJildie:s OaJll.Se8 qn,; IV'"'"' _,,,,.:.,, ,: 'At ,........ ""WC,v·wpelllllle :farnme éoonome sa:i,s 0 h ent 'd· e re ,des hommes d'initiiarl:n.- perles; ve. Ehles ont 4-.".,.,, __ les -J,,,.,...,.la ru~r:a vjte :rieg,aigné,pair ~,n ISJa~ · . vv~ u'°'<LA 1 m.eme dJCJ/~, or~gme; n~:>,u,s n '1aMœi1S!Pall!I,aissez l 'ies- vo.~r-faue eie q1U,imianq,u,ai,tà. son a~n méuaige. Ses mains lP!'lt_ de fo1: •ce oont les gl1aln:diescoo.- Yoo.ria l '~"tro:e v,iotwnis q,m eng,endPent Jes 9ll"lailldles ne sont Jaima~s maat.ivias, elle se proact10DJS. i:, lin et trcwaille c·~re de la_lai!ie et d1.1, e ' La ylu,pa::rttd'oo graOOlesœU1V11·eadie d_une main .1oyeuse; ieille CI'1ée,'011. eJ11,e aid,aipteles ·vêtements né. l _~g1I!3e,qui s•ont maiindïenamten tpia- rerp1a1:r:e, onf1~rroo ipossessircm d 'erislteniOe œlt cessan.'!es!=1- e,Ue-rruJêmeet 'afUJXsieœ. <:mtcédé 1 ' eu a lultteir, à looa.·nawssainoo,~111:tre J,a·q~eno1mJ1ee:t le d'lllJsieaiu ,pia!rJia 1·,a1g~ la ma1ehine à coudrre, mais · iC~e~ ·une. foule d :o,bsifJoolesSllllSKi:Ïités mailwe ?11:1' demon, wya.nitIPOIUI' compŒi- I.e ~eme cœu~, 1a ~ 1~ intelligenœ, _leis,me~1e1sdo1Jgbsi·hJa;bile.sqJUii. ce. ·)~ fo,I'blesse _humaine. Qiu,'en œ- ( e sio,nt 1 t a,g1r l engm moderne. OpJpo.rff/ui. mit-Il adJv;enu IS'.1. 'letrrlS saints fonldJ - fi\ffi teu,œ s'~ient la~:ssé ai~ :r ~tate 0 ~1'.!1'e~ J.r?i()ldèle, J1a..fe:mime forte d ,atuJOThr.dJ 'nua. ne se lJaiis.s,e piais toJrnsles qu'en dira-t -onf · pi _, CeJtte füooiill~fuœ ~e l 'Eglioo ne se g~~ner pia1rJ·~ _fomâ.ne,ni •o:p-priroor ,dieisviv ,œs,· ~ie:n,t ~IS m,emie,Je /P'OIUJI'irlais ·di'l'le •pia.r1e i:1ench€U'1•ooeme.nt llllOms :a111nooir1<'.li'hui q,ue jaimaâs. Il~ elle a·mene son pain de loin : si l~ pomrme die tie:rve a !Ill1anq_:0ié, eHe tait ,sont IliùmJ~r-eux ceux q:UJi. jettent J a t~m~ '.?lesipiri01visioJI1s de riz .e,t die hoo:me,gmame idlrun.s · le sfü0111.Us, 8~ LSo nt :ra.r,es. el1e nombrem leS",promoite1UJrs· ides 'belilies mai's; S!l.les POID.1'!U:es leer 1P,rur 'ŒelS co:n.serœUJw:res oa1th01liq111es: ayone 1an1moins aiUJt1aMl Y SiUlp,p. . Je <'..OUJnag,e .?e maireher à Leur 18,uiite. ve,s ·d!efiruits p1u,s p1l"léJooc,eis }!Jlle se lève lorsqi, 'il est encore La ip1riea:n.1er,e atlhœii.ooà rune bonnui.t, :- .for1t ,eme.nt a/JWUJyéeen ce1a ne ~ll1e dia.IDS une 1,ooalité entraîne 1Jou3~JDJr• bea1UJCOU!J) <l'a~, q,ui n 'at- ,pia11 J. heure eentnaae ! - · et connaît tendent ·g1ue. üela, pcrrnrsie ,diélcilare·r. On lia Vl!3ileU1rdes heures malbmia,lesoù . nul lml1µ_011~truinne viiien'tin'teii,:r,o,mipre doom.:e1arrnJS1.J. :1a 'PII'1emÏèi1.,e impu :1sio111 QUJan!d~.a v,ore 08/t ortl'verte i1l,aa.nve l,e fmav~l 'COiIDilliencé, où 1es roua1ges 1 iSormv1eI1Jt quie tout Je monde vieuJt Y <lie1a vie ,n19·flonettionnent ;pas ,enedl1e, ,pa!gser. ra111a. lys8;1·t !'œuiv·re inrdî,v~d'ueille;]a :femmied Üne!Ilt dœme d'e gmand'D'.181. A~-

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à sa maison, a1u aa ,porrte,io 'est ieUe q'.lliveille au ooepremier, icham:tdlu coq, 1oogtelll(PSa- v,et dlu •sémttfr1anlt, reno'lllV\e~ile l ',air de v,ainltles wueuir.sgrises ·d!el ',aube, e[11e ,sa. ,chJa:rn1b:rie, airtriange sies oreillers, pr1~p31.re ,avec la petite me'Ui1eà main obsierwe fidièlement J€5 µriesctripit.ioœ la: :fiarinie et pétnit 1e i[)la!Ïn du j001t,; du mooecin, son lrnmiignonne s'étejnit; s.elSc:ha,nrtJs s1emêlent ,a:u.g,ri.neement qu'à l ~aru.iror,e, ert ses soii.ns de C'-Mlql\le de 'la me.rule, c'est giaiement qu' 1el1l,e in'Slt.iaint ,augmentent de b.eatucoui p ,leis mè,ne de ~hamces die ,guérÏJooiil.Elle tend la aicoùmip,lit·sa tâche. Nortn:~e fo1mri.1'le m)Qderne tf!OUJV ,e, il est ivnai, main à l'indigent, satchanit que ce soo ·pain tiourt;:fiait: 01U du moins ,elll,e qiu'el1le donne ·am, ,pan11V1re n ' aipipaiuvirie.n !pr,apiair;e pow· 'Q'Ule iliqlmllS joutr!S, ria: 'l)laisles ,s,i eœ. Elle ne craint pas la 111aiisell,e veille à ice qirue le pI'emier neige pour sa famill e, sa pr:éivoyiain,r,~as so~t prêt à ,temps /Pl()IUr'C0U!X œ a ipourrV'l.1 à wult : vêtementis die 1a ma..i.Jsoo. qiui .~ 1olll t .a1ppeliés·au dte- ,chratud's,coonbrustibJ.e, noomrlituoo inhons, à l 'éoole, a1Uxa:OOari.res. teMoo!ru.,ell,epolllll' J.es'longiu.,eisrvemées Elle donne la tâche à ses se1·v<1tn- ·die l 'hiveir. Sa rnaison est vêtue de tes; ayalllrttS1U,oibéir, ,s1achaint tT,alVlaii~- cramoisi, elle 11, des vêtements de fin Jer, 1eille sait Cl()lmmtaooer et 1distni.- linge et de pourpre. la femme intel •q111,e la. l1llleille u111 e 000010bu,er à ,cihOOU!n isa :besognie pairticru.1- ligente 1Sia:Îit liè1~e.Elle plan te un champ 1:;tl'ac- mie consiste à porte ,r des éltJoffes 1d1e quiert. Du fruit de son travail elle V1ail8llll';el.lie&vite le CJlinq,uantà. iboln m1ai11ché ; elle aTip,r,écie le beau ling,e, plante une vigne. Nous 1pourrn001Ja1 eiite11,pilUi, d 'rnn les meUJblesq:uli 1smrivent à dix géeas où le f.mllit •dlu rtll'\alV.ail,1Ü!U nêr.aitio111s;.auissi se rit -élle de l 'avedes ooonOl!n.iBa de 1a mè1,e ,ai pr·ocuré nir. Elle veille sur ce qu.i se passe VJaJUit à lia fom~He rwnema,Ïlslün,des chaimlp!S ·, dcms sa rnaison, l 'œil dlu mia@bre ,plus iqiue &on brtru s , dli.lt un pl'Werlbe - lieu <liedét81$ement et ,èœplalis.anc.e, - 1m jia1r.di11, - :aJUXpoll'tie.sidie~1a modier.rne.C 'estt ,l,ai 'PatreSISle,d!eis· rn1aîviUe en:ûumée - .f!endez~vo!llls ~ treas q,ui fiait l 'incu,rii.eides,sie:iivitooœ~ la boilille ménagèrle ne mange hemias creloiSlirs, oalsis où le pèrie siutS1sii. t-elle pas 1e :p1ain ide ipafr,œisie . Ma~s se 11epo1Se dies t11ava1Ux de lai sœnaô.ne, n'imrp~itcrolt en initimrt Jes enfü.nfis à la ciœn- tQutes ces vea,tms ;pnaitàqll],eS dles v,UJeS ,prehensà.on et à i 'rurrOO!Ulr,dles mer- qiUient pal<! né'cesS'aÏIDe.ment veilles die 1a ntailUJre.- La fom.mt ~- €Tirtoiiteset une .aibse.noode vie intelhm J.e cœur de la, mère de 1Sia,mJuiel JieC!OU.e11e. ceint de force ses reins et affermit La f,amme fonte ouvre la bouche ses bras; lai f eo:nme intieifügent,e ne avec sa_qesse et des in structions ainégi]ig,e µaiS Je.s oo.œeiù:s.die l '.byg.iè· mables sont sur su la.,ngue. La boruie ne, eù]e connaît 1a v.adoor dJela siantlé, mèI'le s 'intér1es.se •aux étu1d!e:s -die iSlels elle saii.t q,u '"lllnmaiU'v,ais ®itiil fonc- errlia111.ts ; .p:all"f ois -elle s'y ,assiocie: 'l'letionne mêlll, et qJU'il,en ,Mt id!emême f aiit son éduoation :aïV1e c ]a leur , ou die l 'ouv,rier et doe 1l '01wv1rière; ieMe aiciq,'Uà:ertde llOi\llVelles hrrarrcih~ ',eilJe d 'inst11uiotionpour ;pouivoir leur être samtrfa:s-',a1rr,êter ù te~ps, l~u oot l!asLsie, et for,tifi ,er ,sies1po UlllllOIIliS ntile. Les tnaiV1aiux ô.1eson 11111aœi ne 1 a towt en ,repio:sianit iSQil 001wea,ru, ,p,airdies laœssent 1>'a1S indi ff ér.em,tie,,e,t au füm promenades j,ormr:nalières. de l '®C1U1eillir par <liesipl:ruinJbes et <lles Sa lampe ne s'éteint point penda.,nt 1-oorimill(alticms.suir l•elSpetites cafalsla nuit; q111,a1nd ,la mailaidriefimppe à tr10i'P!hes doo:nestÏ.iq'llleS, sur lies défauts trin la nourritu.re

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156 ,dies enfari1is et dies s.emriteru1is,1eU,e a touj,O)rn11S :rnnep.arol,e :arimaiblle,un 1i;éeit ,amms1amt , et pa11-roosis , llltil 1silene,e distcoot, lûlrtSQiU ·e îe chef dJe maïi.son 11entre p,1,éoo011IPé ou fatigmié.

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1~0u,x, ·plall'IC'e qtllietu as ptaGSêpair OOTutes ,lle,stdro'llll ·eurs, S1U1ppo,1;bé rboi11'tes !els

hun:nruliaitiansl Tori, Dieu ,cfuar,gié<lJe fer~; .too, Dieu ron<liuii:it,aflll tSfll)p,plice p(a1r tl•eis bourueiautX! Moi j,e t'a'ime Ces v,ertu$ ne sonit ptaJS. l 'aïplanaige prurœ que ,tm aJS. rébéforr•oé .die orie;r d'it'ilile semJ.eépoque ou d'u.ne sieu[,e vers le Père: « Pourquoi m'as-tu acaiste ; l 'épOIUlsedJupatriar1cfüe, l,a fro- banclorvné?» }foi je t'1ari.me~ ià renJtine diu 12° siècle, la. fiamme du oa/Ulse,cùet,on aig'onie et ,die ta mort q11' 20° .s ièole, l 'œn1(µé11a1triioo, la p·ay-san- à œJUISedle ta réstwrrœiti.œ; œ,r jte l.ÏlneqrruetOii,I'lelSS!11SiClirté, rem!O!IlJ.. ne, la bo,ua,geo.iise,1'0111ivriè're, chaiC/11-m ':ÏJm.laig eisipooe\S'azu:nés, ,a~ Die ·dans sa sphœie ont ét:é alpip!8'1ée.sita1Illt:da;m; rr,e.s à les cmtltiv.er et à 11."êpand're le 1bon - to.n uni veir,sà tei&otrd~els, tu as, ll'.DIOHlS be'.Sroinde ta ,s1eirv:amme ! ,MJaiJsi~oirsiqlllle he:ur a'UltOlllJr d 'eUes. j '1assiiisitie à ton: -a,g'<)'fliie, iJl me semh1e ( A suivre.) Rust-ica. q;rue j,e reviens ,dJaœlœ conbooes 4éjlà •• c:io,n1I1Jne1s die moli,,q1111e j ';aJv:aàis rdéjàCOOll~p{l.é j a1di!sce;tbe oo1lliia1e -et cerbtJe Une page de Ste Thérèse crtoix i1DJ0Jlldées die ~1a 1JOf\lll'lprle de tom saill.g! Q1uie1certteMatl1eù l01im1e, ;ta: sainltJe) 'a'Îmâe, qui gémit lià-bas, c'iéLa fête de Ste Thérèse, œlébrée le ta b~ffi1u:t-êiiie m01i! Oa,r dlam.s mon à rutDJe ta.Îlt 1p1e1 15 ooto1br1e,oomre <le !];'lll!Ctulaillirté ;pag,e·deisamv.res die !lJ'ém.iIIJ0Illoo. rélfor- cœu,r ,s01ncœur ,se lamen!tie,;crur itOIUl1ra:nesdie sœ y ,efUIX s.ourrtdlerut mast1tioe ,dn:uOaJrnilleil. CeiiJtJei ,grialilklle ·tes J.es 11a sainte, .aip1pelée 1patr]1e:p1aJple G:oogoire .dJa:nsmes pau,pœDes, •et IIl'.llOil' idléSte&si .ter.ri.!blie,1siip\l'lotf:1onid, q1Ue XV ,un 1do0toor die 1'F®}ise, 10/Wtrpo~ir 1€JS,t désespœns ne :pteiTuV10utluooruii.frir alrnta;nltq'llle Jœus- dieux seunibiltaib'Les 'a,imait Ohrifs1t.« Olll soruffr~r,on; lIDJOIU'I'!Î.r » d/iL. v.ent •pais exislter ! No1Il,,el1enet q!l]l 'ie[l!Je ,œt saoit_,e1 le ,s,oruv,eilft. Purus,~.1m 1patienrte !plais tdaiva;ruaa@e! Je sans unte .grande siaii1nioo, , e d; ,moi, Ulll!e va,ud ,être 1UlllJÎJe! à j;aonJa!ÏJs à ISK)(IIJ idfi.m 'V,r,e cl1étJiviedollllt .lies, 1aJctii0œ90fDlt ép,01ux « J1eme: II11Emll' IS die nie pru;; m0Rlltoi; mafi.s Œ"i•1' ». Fll1,ea Oiaiiissté de [lloonlbr,e,rux é- molÎlnlsméritoiries 1dJevtllilllt ne t ',amaàit ,pas tdaJV1runltla;ge ,!. ... 01,its to,us Œ:en11pllli's d 'u~ dootlrimJe que ·elJi1re Ume 1s,e:utl1e fois dlaD!s1SJaivi1e1ell!Le s '·eislt l 'Eg1lis,e a q,uJailrifiéedle céleste. L ''aioaoomicien Ste-Seutv,e, un i~- pi,œte,rlllée ,tornt ,e,n ILarn:nieiSdams ila. liulsitre -it0 dlii:iifiérnmlt, .pour ID.leTlÏlen dlilrle parussfièrie~rioosée ,d,e ton: is:iangrsUr Jie une ,se1U[0fois LS1eiullielD]Jent; ,pilu1s,atpip,e:1/Le iJ.aJ:p1a1g,e sUIÏMa!D.lbe · « illn Gol1gio,tb:a, d)e.s:pllmisbeauoc momeiairux 1dle11aù.tiitlûé - et ,moi, oombi1e.ndie .fQIÏis.!. ... r atu,ro ». L 'â.m.,erel'Î.giJEllll1S'e Uaigoûûelra « Gar, ptiesqoo ch1aq.u1e nrmiit,:se -remiJeturx ·~or·e q U1e le l;ütté~a.'llelu'I'. Ut IlJ0011V•elll1e rpiour moa ,le 1su1~piliœd/uOalh'V'OO.CÎ: viaiilœ, ert;,rup,rèstamt 1dle s/Î.ècll,es éoolll« EStt-ce qure tUJcrois, .ô toi é'1:Jertn1eil ·- %s, 1S)e IJHléS1ecilfte poum moti.rllams,toute ~1ennrerut vwant, qiUlej1et '1acia:nie à iCJalUS/0 Sial riéa!1i 1té cie m/On:nle!JJ.°tIOÙ, a:u millœo .die,s. 11,écomtpemoo fü.11btmeis 1 n,oi1:nnseisdies ,ténèbres, IJ'.Di01U1mt ŒeOrélalteUTeo damlSton 1ioy;anlllill0; poU1r Uiefs! ,pa[mieis, 1pi11éis 1e111 ~e die 1to1U1be llia,10réirutioo. ! E:t j,e j/es ha,npelS , ~res:me~üilffie:s,'.Itelsl œlÜCles crov;o)r!e ide moo. œgiaœld' Iliacro ix idetJooJ ~es <lie.ton, Ci1e[1 Oih.! non, moi mJalr ,tyrie, sru11· flllllquieil ,be .sie d4ltache eu ;p,a,rŒllj lunnièje rt'1ali.irrro pja1merqflllertuiiaJS'iât:.é malhlew. b1a;rrotol)I oo:i,ps ,éldl:a!ir,é 1

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dams lias ruffaù,rœ,;eit1'.emploiyé.suhia~te1m1e,lia ,petite, ouv.ri-èrrie., Il'~ _qJ111'a b:üense te.ni.r de!Vllliillt oe 'P!a,:rtbi. pms d~ tourmenter du plll1UlV1re. tourme~e. C'est lJa0aiis;sle qu,i eisltv.1Jdre Ollllqm ne peiut se ref.ermeir; c' ,es1tùe _Clh.ainlgl~ d';S vaaie111 ,ns rle !1a bourse ,_q1U'l·ai bll_:IB'se i c '1es1tdame e:i~iOgn.e.qm ,a aiP1~0,l'\~ 111I1e fill~ ,de plus, ,aitorsq111'on.eisipfu,ruit f~rmemenit U!Il g,arçon; c 'eSltun~ 1essn.ve Plfl;lente à ,sécher pmc.e qlllie'~e.d11e1U vi~ f.ailtexprès de oon1trl3Jf'l.el' il.ras meruagèries·· re'est 11 e fo,rurnJeia:11 rpptJaige, r qu,i ne v:ewt1P~ ,ti_r01;;,c',~ISltUepOitau bell!rre •tl'Qp tôt v1idle,ou iles oom.rptelS :prus j ustes. Au: bUII'e!aiUJ; ,qui ne ,s01I11t •bes01gnte,q:UJÎs·'e,rub11s.sie d:'uce serai 11Ja n,e h0W11e .à l '·am1tre,e ' e.st 1/aioonbe.ilUe des mllllluSicrit,s.torus ,plUJs,diéltasitJaJl::iles le.s .uœ ql]e le!Sauitres y~r:liewr,roa,uV'aiirsle &rilbll'r.e;chez 1i~pa..lCl~T., c e1Srt 1Je o·UlÏ:rnon;pr.ési,a;gié parr la v,11eiJ1Ue :fem.a ,:fiait !la pl"œnièr,e emplette ~e l:'lq:uii <le ilJa j,ouomée,c'est t01ut, ~ 100 n.'es:t n 01ar toi\llt1peut dleivernr mültfuf a De la mauvaisehumeur lari·emauivause ' . ·h::umewr. ---0-E<ti1àoù ehle sie g11iœe,lla moohamlte La ma1UivaiisehuimeUir ~ ',?111 dé- v:~itteuse c ',en esit firuiitdiu, bîien,-ê.tI'1e ' mon q;uri,18/e maiiliÎlf este 1~e diflfere.nites de' [ 'entourage, c'en .est, fïarut,dJ!e l' ~ ipo!S- tnaiin et die Jia joie. ,dlamsile tr.aviru1:l, mamièr,eJschez eeUJXqiU!l •e,n isOlllit e 'e'll!,eiS/t fiait ,de 1~ paix irutérieu,rie,de ,sél<rea. . Ce idlémon ,tambo1urme s'lllr ]Jru~tous · l ',aise est <lievenmie,:rruawaise, ·J:a, blhe ou oon,tT.e les ,virtrr,es'Oie1a f ~ma,~ai1S1e b:UJmeu\r.d'um. ,s:e!ll l ipàse un ca,ucihemar s!ll1r.tol\lteit s:uir t:I'I~ jie!tteries IPO~es.aiv!eJCfnaic.~s:,!Sliif- c,oml!OO fle voliontiie1'1S~ trep1•g,nte,teJ:Dlpe~e,oiu tOlus. homlde. Ttwtôt iiJ1nie Il'.l.ffll/ge ipoomt eit Le\Siâmes forltes réussiissierutà dJO~ ne boit poirut, 11laalltht il iad:lfiec.te <lJ'I~ milnie1rllel:Y:paisaionis <le 'lia: odlère, de temldrie0'\1' die ne p1as·enibenldlrece que la j a!loru.lSIÏ/e ., ,de J 'e[l vie, eillleJsLSaiv ·en,t aœ raiultrelserutenidlentou n 'e.nltettlldl~ doonineir 1a1Ulssi lia ma'U1Vlais e biUimeUJr, -pa18, ou bioo use de iSl?DI'J)Quls ha'?t dia- cair lo'r&]1U1'on l1Uiirésist~ par '1/arflorµascm qil]aill!d ill , ~ai1gne ,I)ja~·~eT oe., ,eHe brut en retr,a]te. UIIlle idée oiU :UDI.d!esUJr, ,ou ·ulD.le ?'Pi11ll1~Goethe a(gpe.}ilellia m~mnailse hu : ll a\Îlrneà molliesiteirl,a home a ILar'Clllll- mewr " une f a~bleS'Sle. », or 'lllllf ellilllelil'.11 sine rue veut µas ,ce qlll!'il;a à ,sa: IPO!r- q:uli.elStfarble n'e1Sltpas ÏIDJV1[JjCÎ{JiLe. tée, 'e.t ·demanidieice q1u!il t0J'ta1pas~ lie La ma:11va.iisehuimen»rest s ouiveinrt pauvr ,e, pauvre homme ! ! . pas.9agèr,e et on ]tav,oiit, en run iœba!Illt, Ses velQréitésdie t11acasseme 1~aicvel'IS .s,on exitmême 01J)(î)01S1é, c0t1lllpa1giI1JeJ'.lit }e p.l!us is 0'UIVe!Dlt-d!e ]a évorUJer ,em1bl1a{ble ,au rayon ide ,sol}eil éiliO!Uli.s8 maiilson au burealll ()'1l; à l'iaite,lî,e\foru 1

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i58 tr ,ainq1u.ii.L leirnent ,et ,rempli.ssienJt i ',aiir Üejp&nldiaut iJl 1se:r1ari.t pr:éfériaible quie la OJll'tintement ,dJeJerurs doohettes. Le bo[l(Il€, 1hUlffieur' se ;paiS1Sâtidleioedit:.e femü!Jage éœs ,a1rhres n'a pilus cieitte tlfa1nsiitùon,car l ',aitmosîJ)}ièrede bi,en- uniforme vier,de,uirde 1'é!té! Quie la ê:tve q.u '.eUe réipan1darru'tQIUJr rd'.f:lli1e s1e- nait.iœriees1tbelle aivec .ses teintes j,aunaÎlt cOOJJsJtam. te, ,ert;.1e itmaivaci1 eit le 1dlec. ne clair, I1o1UJge v,if, bliUl11, ,etc.,eomme v100.rIli' ein ira~ent quie !IIl:Î.le.urx:. 1moi,s noues d'IUIIle1g1rurrumes1'ha,rmot Qrue1s:erait le :mon/dies'~l n'y iaiviait niJs,ent en idies la)CIC'()Œ1disirufinis dio111 ni 1ho11!11ie nii ma:uva:iJsehumeUJr1TI est !'œil ne ,s,edié~a:cheq[UJ'à.rergme:t;IDaiis du sentimenit de la: :DJaitlurrte OO!llloelritainque de lia mauiv!lllisie on se pias- rl ·e1S1t le l!Ilfll$ 11 Cia1e,cela; est do111 1ser,ari. t ,aiis'érrumt. Miaruslia bonm!e ne me de l '-0treill 1• ·ll!DJSet 1prus,alllX:,amitDes :fauit-ill1pasl a: désüe1r7 Owi, isi lie'moit né 1arnx: 0 h ! ,qUJe1l~ulteis•ces1:s1piliendle11.1r1S, 01\1.luli-même n'jlIIljpllli_qutait pas u1111e iidiée les s1orntéµhé.mèœs 1amrtianJt elId'ÏiDsbatb .iJl ilté et, d 'Ï!ni0erltriltmJd;e., qui iboanna: le1siré}o!llissent p air, 1eirur~d:1oris1 sOlilljpJ'l~eUe iq;ue ,},a,.bOOl!llJe hUlmauir 1P~t t/UJe~,. ~ant e1le&',aif1:l:lliig:enJt tp1a'r·1elllll" dtav11er. fragivhte 1ame,n/tlaJble. . Il y _a des g,ens qiulÎ!v;oo11t l erur !Pie~ La: neige ·a dJéjiàib'1aoob.iLes somtit tram s'ans 1PCY11S\Siell' ides cris: de ~,a n8/tmJrfe eslt ·~ 1runjoile ou sws êtrie a1bartttmisi ll)iar !lia triis •- mets e,t ~'r tJO!lllte ,dil] ; u 111 v,oa.le ·die ttJfis t J e ssie et 1dJe mé!la1111 tes's1e!qllli nre mo'Illtfleinrt1µrus1 ,toudo;wrs messaitm v 1,saige-r,ay;O!Dfilla!Ilft et qUIÎ.' &!e!l'10e 1Illt col~e, que nov,emJbre, ooonrm.te g.er • d ie td!eu~], -OOIIllt~p l e dl'11D. œil o~pemida:rut UJneirr:uf l ue.me bi!ffillfa,iislain c. mcmjiJ.léJe,s Tu1ÎJneis ,qru'i/1 s?mte 1so1us te s•nr }e,wrs ,a1l1enJt0U1f1S1; iJl etn!,eistqµi émru.:s ,01UJ ;aigiit.lés iméri~nemeirut ne T~ s1espas. ]aÎJss~ p10int vo,ir, vou1amitéjp~l'ig'IIlJell' Les JeuiUes idiœ ,a,:vb:riesitombent UJllleà une lentement; eHeis Sie :dêta. BJUOC allltres cie dont ils ·so~ll' ,ein/t. ,<fuolseq/lliÏ.a fini son Ge •slolI1it1dJeii1f.o!Iltis,d!eis âmes bi,ero cihent cramme'lllDJe éq,u\illibr:ées. On dlélsfa.1eœ1afüt iq'llle le tea:nps et d!ont 1e rtJer,meest là . Le bm1Û/t ,d:iisoret,de 11ellllr dru te évtomoIJJdeoo po:ssêdât btelaillioo,rup. · 1Jm11t di',a.bond'c:eittiebene . malis é( 'l1 raduit du Schw. Fraueri,hemn.) Q(U1e ;ph'.énJ,~r,e1pairm/11e, et j 'ié•pno~e à .la v,ooirdisµalr,aîi1J:r,e 'll(I}le imfp,neislsiion d 'indéfini s1sa1b1re tr,iistileis1S1e . 0 heawtlé de fa Dépouillementd'automne terr ,e, ô g1cire teir:restme qru•e v,orus 1 -OOiU/rtl:,e' d!u:riée! ,]es Ne V·OIUIS e:st-itl jarmatÎJs:aJiirivé die êtas f.rag·iJ.es .(rt 1ÙJe a\t;b~ 1 e1s ·ornés pai1, 'le ,prmte/IllJDs, iem conteimple!r f,e idléporœiil,1e1I11 :enit de ]:a heJ1 h s pa:r l 'élté et ,dl~po:ui.,l, 1éls 1JJ 1a1r IJ.'ia.Wnaitn..vr,e; certes il y a llll[];eg,rMde füV.e.t'IS ,ité ,de I.a ,p.remiène Ï'ffi/P•riesstiotntœnne, ~ ',e~t-ce ·paisl 'i:maig,eifraippatn ,enils âges die 181vie . · q:we f.ait na itire la rrait'lllre.en Cie'IllO- te ·die,sdt~fif.er gou t pour 'lia naitmtooest très riéLe ment trlQ/p oo,wrtd 'o,~ltoihre: 0 'est 1lll1e i.mpr,eissio1n de ·vicb e.stse die &plen- pa,ndJu,dienos jtolll!I'ls·,dlès],ans '()Ill-aJbuse scmv:e~t ~eisiiimtP1reS1siions q'lll'el'1e,est dleur et de pJ&niturlle. ' de.shnee ~ ,~om!lDIUfil,ÏqiuJar. On 1s',eniL '·a1ruho .1t nn:e >E1s1t,ceTttlaJÏneirnent1,a v:ne de JJoes~e, 1~e1&engaJt:i!Olll!S, de 1s,e np 1rU ISheiHe s,ais10nide 1':année, tant à ri.a tiiment s ; miai:s tooho!Il!stdie~;a•001m1D1renmûn t1a1gne,q,u'à La p1aiine ; tan!dJis:que dme 1eit 11eC1o1IDa'ÏlstS1001s :son invisih le les ve,n,dJangeu1risse 1réjOllllÎJs~ 1e,nt ,et h~a1UJt.é. la nrutrnl'le,est llfil livre ,d!e ide -la P,rorvi- IJum, 01uverrtto1US cùmntient les Iibériaili:-tJés , les joJUrnà nos redle,nc1e,lres gais ih10IU)PieaJUJX pRÔ..Sl!llent~aJl'lds . S8Jil/t qui :Sie dég31g1e du nnH11g,e.1SOllljDI'ie.

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,et soo r.ewnhez, f,em11es· ,dJessiécJbtées,, der - v:o,ir son comipte en ha1111q.uie nie r.s ve.Sltig,esdl';1]1Ilje be1a!UJbé dis1P:a- bamiquier à qui 1detmrunderun ooiIIB,eil 1~U1e.Daill!s mon cœur riésionne a'll!S1Si quan,d l e be,sojn s '·e.llifait · setnitir. · QUJelle est oette bailJque7 C '·e,s.tla ,p1a.intiiv,e; .pileirureles c,eUe WcHmolJlie Cais ,s,e d'épa,rgne. jioies diis,p1a1r1U1~, les: illmlsii.ioiDISI fl~trie ·s, ; tiüo.nibez l '111- Tandis que vous dmimiez avec Jes e~1péranc1es ,dlétiruiJties ne ,a1près ,l '.a,Ultneet .sa:nis:l:>r1Uii.lt; rc;air vo.trei .arg,ernt ,souis votrie· oreiller, 'il ,la nrublu,eell!e-même se ,vioo l1eici da:ns ne ,coui-a~t .que des ri.Stque:sde sous ,cie 1sentiiment ,dtéS10ilé, il n'y ,ai plus de 1Jractio111; à l a Caisse d'épa ,r:gn,e, il ,µ1,aic,epollllr les ,chants cl lai gia,:i!eté. fai ,t des :pefüs. A 4 ipour cent il se Ainsi l,es ,années no1t1:s .dé1p101U:illenlt, doUJbleen 16 a111s. .airnsi cha:cuue ·etm1p10rri te ,a1vieiceùfa 'lmie Un homme qui me.t de côté 1 franc vairtie de viom:s.même; 1111,aii,s q:u'im- par ,semame se trnruve posse.s,seur de rµ•cmte,ne soilliffileis .... nJOIUiS pas en 1p1a1S1-650 fr . aiu bout de dix ans. s age siur cette itenr:e et nie ,deV>OIIllS,si Le cheimilll'de l:a fortune ·est a.1111S na L.llspas y 11ari.s1serncttre ibante fr:agi - clair ,grue celui de la foiir.e. Il s 'arp,1,e. pelle: &par,gne, épargne, é!pargne. · LaiS1S'OllilH1û1US donc df~piotuJiUer, ,c,air oe q1uinollls .est ,enLevé n '1aq:rueipeu die W1Jlernr. La vieille pendule DépO(UiUonrs-norns dieto1U tes nosi1:a1i-ohlesses et La~s:sonS1les tom/ber lentec· tilba it dia1urs ID!lj villllle IIl/a>iallie, petlilœ rll!ent 1.1tneà rnn:e1 oomme les feml1es ville, q;rui. éLo,nc l))!eUII:1S'~Il/télr€\~ à Ullle ce ()JU:i sr-y dies a1Phries 1pClUr1 n001.srevêlt~r <l'iW!l.é rp,assie? Ce ~era >0hruarun ,a,e ,sie.s >dieux mi1Il1eha, vie noUJv,eUe. H . R. bifia'llits, ,VO!\lS ,mon ·vO'Î'81În.dJ' ,amrt:o.,e(foos, :vo'lliS 1

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maiti--e -d'écribulœ, crur voJm;!,1saviez ibïiein ,q:uie was a1etûte1;; vdl:lies sOllllt 1bli1ein!I)lliuis ù vous que iLes .giramJdœ;:C:hrai=e ·die ISlejsplla,ces, die ses ma,isollls , oiu die s•es promte!Dlaldles111enifer1mo,n

Menuesvérités -o-

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SO'UIV,elllli:r,

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IIJOOl/1'VO!ll/S lllŒlle

(Pia.l'tÏCllllièœ, m ilrolilr 0111 1Ï1J1teir,p1rêQue fa ire de ce -franJc ,qui reste 1PhysJon01miÏ1e non dépe nsé à la fin de chaque · se- 1tiedrel'ime de ·aes ,cihoses·, œ1r!lias cihoseis onlt &:me, n'en cl:Qll/llezil)ais, sul"<tOOJlt quain d ie!J. marne "? Faut-il •le meittre dia'Il!sun 'l]UeSIOIIlf ,v;irm11es. ba:s, comme fai 1s,aient nos, .granld'mè- J10s Do1nc, d1arus~,a 1P~ •vifflle,€!Il ruin jouir ldie res, ·et l'e.bien ,cacher ,so,us,son oreil- mwClh é, •elt ,s01us il es waatdlels ftJUIIP\IWê ,mos aï. ler? La •caehie.tte n'es t pais si boD.Ilie, ,q·lllé, on v·eruidait 8. !l'enc h êlrie 'lllil 1modleis;œ mocar ,bien ,s;o uve!ll:t les écio111omies pas- ibiœîier.La foiu1e, mélia'llJgteldlec.ampaignl3.ll"dsien s,en,t dans la '}Joche ,d'un autre, qui ihaibitisi die 1mli.laJÎlniee:t ic1,eoi11aidli.nls,se !P:r€1S" n'a ,eu que la peiJlle d 'é'terrudr.e la saiit •cumiJeru.seeit aiva.dlearnlt= · ldie a•ofil'iicœr , ,com:[)ll'Olllllettan:rtl[Jla)r ,Sets riecrnoUIS . ['é main po1111r soustra~Te le fruit tde Lon- p111b:lruc qiuli/lill:xre die la t a/blbe ,s,er:v amit dJe !lYl]!priltneia/11 gues anlDiéestl:'épargrue. N 'oUJblio111Sg,11etlf.iler . Denrière ,eeD.uJ-cr s;e l!Je,nJafut russ;i!Se01: pais non p1us la 'tenfa:tion de dépen" co.mrlllie,p~oyé'e en <dleiu!X, ulnle rdlame •d '·a'.P)I>allJein. se.r ,s.oi-même cette pie,tite réseil'Viequi <Je a<e\Speetall>Le . Ses mllJÏŒIIS réta'ile!nlt bllllllll:CbJels,, u x ll'OIUlglirs [)l!Lr aQ'genltlés, s~s y-e1 reste à portée. Que faire alors •dre oe ses 1ch l!!Vle11.1i.~ Les lrurinl/00, ·et ,sa m:ilse a·êvéla/irt: Il/a/feIDl!lle ;die franc hebdormad,a~r:e7 ·aimx p!t1ises a,v,eic u;n;e 1stmlK:ltie écol!lomile . Ce n'est pa;S seu liememit ·l e rienitier, goôit A. oh'll/q'uie fois qu'un rm·eulblllelêltlalit ·cr ié: « Ailiarvec 1se1s10,000 f.r. par an, qui doi t jrug,ê )) e lle en p,renanlt oot',e 1S1ulr '1llll ciaa-nert;,,et

jouir du pr ivilège d'arv·oÎir 1Nll comp te che .z le ballJquirei·; chacun peut a-

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Septembre 1906

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Foyer

et les

Champs

Histoire. Nouvelles . Mœurs Science,. Inventions . ~écouvertes. Voyages . Education . Politesse . Economiedomestique.Hygiène. Médecine Cuisine.Recettes. Procédés.Travaux féminins.Variétés, etc.

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IS'e.Didl<>'l.1mi:r -bientôt aiprês. DejpU'Îls oe ten:n1Ps U'mipérienioe .fut .renoruv,eUêe ,et ooaiqiu,e if-OIis 11e ramMe !Se me>ntra, d'IUlll,e et'f.Lcalcdrté1eomll,llète. A vtiis ,a,u,x :P'01\900lilles:nell'V'e'lli!leS. 111~t maJllhieu11euJSemre1D,f Il =arq,llell" que le miel est Q'lllll'e,et ,très 101.Jieir cette fWtnée . Ill ;va â:UIS· qUJ'rà4 f.r. le k.filo sur le mruooh~ ldJeLaiu/Saa:me.

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* UNE IDEE INGENI1EUSE. - U~ houbl'e, M s,an1D.1erie léo'llamaln/tteIVO<U/SI ilnifmmanit rgùie,aJIIIumée ,ooulle touj01Ua·s et rê,pWIÙl 1sa cil"e oleru,x fo~s ldle 1SIJà;tfe 'die J'.hel1lll.'1e,l1'iloont de [a, dJe tout s côtoés 'lorsq'll"on 11",eaqpœe à un rou-vii~Oié' 1P1en.dJu1e,l'annfüe de :dhia(c.'OJll , il'endOlrlMln,t d',3.iir, si lég,eo: qu'H ,soiri:.On reuBISit à. m€fU!Sleet le rêvefil-mlatiill, ·blieJf, le bon géme ,t an ,aJSSl\l(jieùtislSlalDt, <dlu.fogis. Et lo[1Sqlllle,3jpll"ès q1Uaitll'tejollll"S die (PaJre1•à cet i'IllOOIIllV'éniem U1I11sou 001 sel'Vliœ, 1ellie cesss,U 1son .moolV'ieimenitlotS(!liMa- 18\Jr Œe .bourt rulilumê die !la lbolUJgli<e, to!i.lre, c'€itait ,d ans !lia maiis001'11li!lJsli1/roroe® · 'lllDle ~ruqllJie .d'e méroall - ·iey 8llllt ~m ie git1811l• {l)lt1assll.lll;t,u111 mal<arosieliinoonscilen t, quli it,a1i- tloor et même ê,pruiis's,eu[·, - (])emé à sia, II)lllrti• 1saiianit ~.ticier œes,S1eir.v.ice.s <die 1 1a: vieiillLe lhar10en11t"alle, oie fütço!ll ,que ILa mêclhe paisse p!Ul' loig,e. Il ,eiu es,t alilois[ 1$ iaeimx dlOOlltn01U:saicle t'rOIU mrêlnlaigé_,Da ~8/(llllJe (Pffi\Oée: 1cfuS1Qecnd ·<l®toius !l)l3Jl' ihabi tllldiei ~œ .diéVlotu/emool!Js die ,ruu fimr et à 1Dl€'lS1Ure ,q1t1eililfl lbouigire s'!UISe, à tocultie urne vie; VtÎ.€1IlJl]jenJt-ils. à idfilS(Pal~ ICOilldl itiion ,q'1le~e ,tlro'u: ne soliJtpas .fu,O(pé1jro/it. nous compireaJJorusrulors ~e1lll's,ml6t'1tfles1eitdlé- La rfilMntmJeva.ciJlle saiUISiroUJc-he-raia cill'le, eit [Pllwons notrie iJn,gn,rutj!Jtiulde. li[ 1en ré,s,ud.tie:1. Unie écoo.œnie ,no1laW:e,(Pllli6:Lies: années OlllJtiprussé; ,1a ~ ~ detv'~- 1ql\l/e lla bougJe s'use moins vlite; 2. IU!Il 1V1'11.i 1llflll0 ' <Slil1enioi:euse •dt ,dJé.sell'fu..S/etUJlle, fa rvlieïlllle lhlen•êtœ, pumq'1l.'OŒ1 n'a !l)lms à !l"elS(Piir,er;J'om~ 1~As1entre œ ,qlll!Î r1etsiteid/utlfo,yer. Elt dletu11.· âiere ,et !La ifoonlé.e1diég,a.gées, tpaJr 'll!Ilre mê· .foyer pOIS!Sê 'dle em.cœ.,e sa ~i11e féie fürntlimerqJUii <lhe trcwIœ11g ,ue ; 3. 'll!llle. rtn-ia.niq uDlL'ldltiê ~ dlilt ,dams isoo t/ilc,trucrem.Nêm,e de la 1sémênH.-;: iWiéci~ en ·œ ·qui oonJcenne Iles gOUJbtes die 1so1urvlill!tlls-,OO!i,,esp1'!tle , 1S10llllV1l~-ito'i;:a<UOC heruJL'le'S dre (liU,Î tachaient si alf.~~1S1eme-nt Iles m81l· U.'ÏIJilSdmmlleE!llle di!t : nie lt'agff)te ipu , •c.rolil9 ·bllœ et les habits .

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LE FOYER et les CHAMPS

La moribonde, atteinte d'une fluxion de poitrine, respirait pénibl ement, et la fiévre imprimait à ses membres de s frémissements convulsifs. Chaque matin et chaque soir, la voix - Aurélie, dit-elle, en posant ses lèglapissante et hurlant e de la Presse ~'en vres brûlantes sur le front de la jeune va criant aux quatre vents du ciel : fille, va à la ville et rapporte les médica«Hommes, méprisez-vous I ha~sse\-vous ! ments nécessaires. Surtout prends bien déchirez-vous!• garde qu'il ne t'a rrive malheur et reOù donc sont-ils, les temps bienheu · viens vite. Dieu va peut être me rappereux où la seule voix que l'on entendait ler à lui ; je mourrais malh eure use si tu planer le matin et le soir par-dessus nos n'étais pas là, mon enfant, ma pauvre cités étai t la voix - douce et grave enfant!... de l'Angelu s? Chaque matin, il élevait Un sanglot étouffa sa V6ix. La jeune dans l'air pur et vibrant son chan t, tou - fille fondit en larmes. Mais les moments jours le même : ,Hommes, lev~z-vous étaien t précieux . Elle s'arracha pénibleet travaillez pour gagner vot re pam quo- ment des bras de la mourante, l'envetidien, pour être utiles à vos frères de loppa encore dans un r ega rd désolé et fut la terre, et servir Dieu , votre Père cé- sur la route. ' Il y avait loin de la chaumière à la leste!, Le soir, il redisait encore, mais d'une ville et la route n'é tait pas sûre. Sedan voix plus calme et plus lente : «Hom- venait de désoler la Fran ce ; les débris mes votre journée a été bien remplie; de ses régiments battai ent en retrai te trou~ez maint enant dans le repos l'oubli sur Châlons; les armées prussiennes réde vos peines et de vos fatigues . Endorpandaient partout la terr eur et la ruine. mez-vous: les .Anges du Seigneur v·emeAprès un kilomètre de marche, Auré · ront sur votre sommeil.> lie déboucha dan s une vallée très encai sEt la cité, bercée par cette voix di- sée . vine, s'endormait dans le calme pour se Plusiet:rs régiments français venaient réve iller dans la joie ... de s'arrêter là pour passer la nuit. L'atTemps bienheureux, qu'êtes-vous de- titude fatiguée et découragée, les soldat.. nettoyaient leurs armes; les fusfü gisaient venu11? démontés sur les sacs entr'o uverts. Dans Ja défaite, c'est à peine si les précautiQns les plus nécessaires à la sûreté d'ulle troupe étaient prises. Quelques sentinelles seulement sur une escar pe, du côté où l'ennemi paraissait le plus à redouter. - Que dites-vou,? docteur . Aurélie sentit son cœur se serrer, de- Mon enfant, votre mère est bien mal bien mal. Néanmoins, on peut en- vants oes derniers survivants des gr~d~ cor~ la sauver; mais pas une minute à. batailles de la veille. Elle prit à droite un sentier qui la oonperdre. Je vais vous donner une o:rd~nnance . Si dans deux heures le méd1ca- duiaitsou.s bois. Un peu avant d'arriver à la lisière dJl meat pre scrit n'est pas abaorbé, vous boia proche de la ville, la jeune fille en n'aurez _plus de mère. . . La. jeune fille ouvnt une armoll'e en tendit soudain un cliquetis d'arme.a, dea chêno massif et prit une pièce d'arg ent bru its de pas. Vite, elle se jeta dans un taillis et atdans un petit coffret pend~nt que le d?c· teur écriva it sur une feuill e de calepm . tendit avec anxiété. Des éclaireurs prusAitns par,Rèren ~ Une fois seule, elle revin t au chevet de bientôt deva nt elle; pui 11 le pa ii cadence sa mère.

La voixde l'Angelus

-

Aurélie

LE FOYER et les CHAMPS

d' une tr oupe en marche frappa le sol au loin, sur Ja droitP. Aurélie allait s'éloigner vers la ville en coupant à gauche sous les cépées, quand les haute s silhou ettes de trois officiers à cheval se découpèrent dans le soleil couchant et s'arrêtèrent devant le gaulis. -- Ainsi, dieait l'un , les Fran çais sont rampés dan11une gorge, et ne nous atten dent pas ou du moins sont loin do pen ser que nous puissions les attaqu er ailleurs que par l'e8t. ,\ la faveur du bois nous pouvons donc les tourner facilement et les atta quer par le nord, aprè A avoir oc cupé les deux issues de la gorge, ce qui leur coupe la retraite. Il~ n'ont établi, par aît il, qu'un serv ice d'éclaire urs de~ plus sommair es ; la nuit elle-même va nous seconder, nous allons · refaire Sedan en petit. Après un coup d'œil sur la carte, les trois officiers s'é loignèr ent dans un e imprécation insultante à l'adresse des Français. On entendait plus distinctem ent le pas cadencé de la troupe. Des casques pointus descendaient vers la gorge. Aurélie ét ait devenu e pâle comme la déchirure des collines crayeuses. Prévenus par elle, les régiments français pouvaient être sauvés . Mais pour qu e l'ave rt isseme nt fût efficace, il importait qu'il fût donné avant l'arrivée de la colonne allemande. Celle-ci marchait vite, coupant au plus court; Aurélie n'ava it que jus te le temps d'attein dre la gorge . Quand pourrait-elle alors se rendre à la ville? Une fois sa mission accomplie, dan s une h eure au plus tôt . Et les moments étaie nt précieux. Les médicaments parvien draient à la malade que longtemps après le délai fixé par le docteur, trop tard. Elle serait morte loin de son enfant, sans secours sans consolation. Sa mère ou sa patrie? Elle hésita. Ses mains pressèr ent désespérémen t son front , comme pour étouf fer les deux voix qui parlaient à sa conscience ,

- Va, disait l'une , cours à la ville, sauve ta mèr e! L ui refuserais-tu le verre d'eau que l'on donne à l'étranger tombé sur les grands chemin s? L 'aimerais- tu si peu pour creuser toi-même son tombeau ? - Les soldatR de ton payR sont là, réoé tait l'autre. Il s vont êtr e massacré Fl si \u ne les prév iens. Deviendrais-tu la complice des bandes prussiennes qui vont fondre sur eux? Entr e le sacrifice d' une ex istence, fût -ce celle d'une mère et le salut de la patrie, un e âme française ne doit pas hésiter. Soudain la jeune fille tomb e à genoux. - 0 ma mère! s'écrie-t-eJle, pardonnemoi ! Pui s elle desc end les pente s en courant. L Ps cailloux et les ronces lui déchirent let:1pieds; les branches du taillis fouettent son visage jusqu'au sang. EIJe semble ne rien sentir . Une idée fixe étouffe en elle les plaintes de la douleur. Le vallon atteint, elle s'e ngouffre entre les murailles de rochers et tombe au milieu des régiments épars . - L'ennemi! Mot terrible qui trouble l'âme et fait battre les tempe11. En un cJin d'œil, le s fusils sont rem onté11les sacs bouclés. Les bataillons esca· ladent les pen te s, se déploient sous bois en tirailleurs et font feu à bout portant sur les colonnes allemandes . Surprises elles-même, celles-c i tourbillo nm~nt et s'éparpillent, la baïon nette dans les r eins. L'alarme donnée, Aurélie a gag né Ja ville et rapporte les médicaments pre scrit s. H élas , sa mère ne répond pas à ses appels désespérés . Les yeux fermés, le souffie étei nt, une expression doulou reuse sur le visage, elle presse encor e sur ses lèvres lô portrait de l' enfant qui n'était pas là pour recueillir son dernier soupir. L 'héroï ne a blémi. L'émotion du désespoir lui criE1pele cœur, de grosses larmes roulent dans ses yeux et ruissellent abondamment sur ses joues décolor ées. Et tan dis qu'elle sanglotte sans fin au chevet du lit, des crosses de fusils réson-


LE FOYER et les CHAMPS

nent tout à coup au dehors sur le pavé de la cour. On frappe à la porte de la maison, des soldats français pénètrent dans la maison, demandent l'hospitalité. Leur capitaine s'est approché de la jeune fille. Il reconnaît celle qui les a sauvés . Un mot d'elle l'éclaire. Il comprend. .Alors, se tournant vers ses hommes, en demi-cercle derrière lui: - - Portez ... armes!. . Présentez armes! Les baïonnettes encore rouges de sang prui;sien étincellent sous les feux de la lampe; les cœurs batte nt plus fort dans les poitrines. - - Mon enfant, dit le capitaine en saluant la jeune fille, Cfl que tu viens de faire est un acte sublime; au nom de notre pauvre France, merci . S. D.

Les baisers de feu du soleil Ne courent plus 'sur les campagnes, De !'Automne c'est le révei l : Déjà. brunissent les montagnes. Déjll. des troupeaux en éveil, Le berger qui les accompagne, Contemple l'horizon vermeil Sur les pâtures qu'il gagne. La fleur a perdu son éclat; Elle revêt un air austère . Le liseron, avec mystère, Voile son charmant incarnat, Et dit au rameau qu'il enserre: Septembre règne sur la terre ! .. . R. D. B.

Lajeunesse Le jeune âge est fait pour qu'on prenne de bonnes habitudes qui puissent être utile , pendant le reste de la vie et pour qu'on acquière des connaissances grâce

LE FOYER et les CHAMPS

auxquelles nous pourrons remplir honorablement la carrière que nos aptitudes nous auront portés à choisir. C'est à cela qu'il convient de songer avant tout et d'autant plus que le bonheur n'est pas· incompatible avec le bon emploi de la jeunesse. Bien au contraire, les jeunes gens dont la vie est un mélange d'occupations et de plaisirs simples ont en somme plus de jouissances que les jeunes gens les plus dissipés. C'est la vie simple, ce sont les occupations utiles qui font doûter les moindres délassements, tandis que les divertissements perpétuels ne sont autre choses qu'une broderie sur un fond d'ennui.

Avantages de l'instruction 101

Les Etudes solides seront toujours estimées, même par les ignorants. Il n'est personne qui ne fasse cas d'un homme qui parle bien sa langue et qui l'écr it correctement; - qui est bien instruit de sa religion et des lois de son pays; -- qui sait bien conduire ses affaires et donner au autres de bons conseils; - qui rai· sonne juste sur toutes les choses qu'il connaît . On aura de l'estime pour un tel homme, et même de l'admiration s'il a aussi la connaissance de plusieurs langues, en sorte qu'il puisse servir d'interprète aux s'il con.naît l'histoire de étrangers; son pays et des pays voisins; - s'il connaît la géographie, le système du monde et l'histoire naturelle; - s'il sait les mathématiques principalement les parties qui servent à l'architecture et à l'industrie, comme la géométrie et la mécanique; s'il a une grande connaissance des arts utiles à la vie, tels que l' Agriculture, le plus utile de tous, ou même de ceux qui la rendent plus agréable, comme la musique et la poésie .

Unecurieusemanifestation du féminisme en Angletme Le confort et la sécurité des voyageurs en chemin de fer en Angleterre sont très intéress ants. Les mesures prises par les Compagnies, ou par l'Etat, en vue d'augmenter le bien-être des personnes qui se déplacent, sont d'aiHeuro, suffisamment curiirnses. Ainsi, sur le territoire turc, l'OrientExpress est surveillé et protégé contre les attaqueR de~ brigands par des soldats montés qui galopant à côté du train. En Espi,tgne, doux gendarmes accompagnent les voyageurs pour veiller sur leurs personnes et leurs biens. Dans les trains rapides en Allemagne, on voit dans chaque voiture une hache et une scie deRtinées à servir en Cas d'accident ,

Mais la récente mesure anglaise prouve qu'on est décidé à ne pas re~ter en arrière dans le Royaume-Uni. · C'est un spectacle original de voir un compartiment rempli de dames, la cigarette aux lèvre P. S'il y a là-bas, comme chrz nouR une Ligue contre l'abus du tabac, elle ne manquera sans doute pas cette . occasion de faire parler d'elle.

La maison penchée L'originalité d'unLordAnglais Le l• Globe 'rrotte.r» Ri_gnalait il n'y a pas longtemps, qu'à G:urda~pur, dans l'Inde ·, se trouve .une colonnade, devenue à peu prè i. au même titre que la _tour penchée de Pise, une curiosité ~rch1t~cturale. Il n'est d'ailleurs pas necessa1re d'aller aussi loin pour voir une construction aussi bizarre .

Compartiment pour fumeuses senles Les wagons d'été en Suisse ont des plates-formes spacieuseR d'où l'on embrasse le panorama, tandis qu'en Suède des allumettes, des thernomètres, des carafes d'eau et des verres, ceux ci changés toutes les heures, garnissent les compar timents. L'Angleterre vient d'inaugurer, sur la ligne du Nord-Ouest, les compartiments de •fumeuses , destinés aux • Dames seules,. Déjà les administrations allemandes avaient montré de la sollicitude pour les innombrables amateurs d'un Havane, en affectant un nombre limité de compartiments aux voyageurs Nicht - Raucher (Non-Fumeurs) et en donnant libre accès aux fumeurs dans toutes les autres.

Cette en ,stmction semble tottjnurs sur le point de tomber

Un Anglais, Lord Dudley, vient en effet, de s'offrir le iuxe de posséder aussi une construction penchée. Dans le parc d'une de ses propriétés, il a, sous la direction d'un architecte babil~, fait bâtir un e maison qui s'incline fortement sur le côté et semble menacer de tomber sur le dos des passants. Seulement, 'la maison une fois achevée, on s'est aperçu que les matériaux employés pourraient ne pas


LE FOYERet les CHAMPS

LE FOYER les et CHAMPS

que reproduit notre illustration . On a vu des cp.iens, des chats et jusqu'à des veaux à deux têtes, mais on n'avait probablement pas encore observé de tortue bicéphale . Cette tortue fut trouvée à FairfaxCounty (Etats-Unis d'Amérique). Elle appartient à un médecin résidant à W ashin gton. On, y a fait des ém.tries

La plus vieille femme du monde E ~pagnole habitant Madrid, âgée de 128 ans ~

offrir la même résistance que les blocs do marbre aujourd'hui jauni~, mais solides, ayant servi à la construction de la tour de PisC'. Et l'on s'est dit que dans l'intarêt d<'s habitants, non moins que dans celui des passants, il valait mieux étayer cette maison due à la fantaisie. Lord Dud ley 11 donc fait adosser à la façade latérale un contrefort en briques sur lequel s'appuie à présent lNomaison penchée. En prenant notre photographie nous nous sommes placés de façon que ce contrefort soit bien apparent au lieu d'être dissimulé par les feuillages des ar. bres et des buissons comme il est enréalité . En regardant de près le dessin on le distingue nettement; s'il· enlève quelque chose à l'originalité de l'habitation. il augmente assurément la sécurité des habi-

sente un millard ?» il y a gros à parier que vous resteriez bredouille. Un de nos confrèreR pose la question et y fait la réponse. Un milliard pèse : en argent, 5 millions de kilos ; en or; 322,580 kilos ; en billets de mille francs: 178Qkilos; en billets de cent francs; 11,580 kilos. Pour le transport d'un milliard, en admettant qu'un homme porte 100 kilos, il faudrait : en billets de mille francs rn hommes; en or: 3,225 hommes; · en argent: 50,000 hommes. Unmillard en billets de cent francs formerait 200 volumeH de 500 feuillett1. Une riche bibliothèque, hein? t~=

Unetortue à deux têtes

tants . •-.UOll•

Le poidsd'unmilliard Si l'on vous demandait à brûle-pourpoint: «Savez vous le poids que ,repré-

Bizarreriedela nature - Encore110phénomène La nature a ses moments de bonne humeur et se complaît parfois à carioaturiser ses propres œuvres, créant des phénomènes aussi singuliers que celui

qui viennent y passer leur temps d'exil et y fomenter des conspirations, n'est pas plus remarquable que leurs sites n~tu rels. Cependant, si les hasards des voy/1,ges vous amènent dans les parages de N~~sau, l'une des rares villes d~ l'archjP,e!, ne manquez pas de pousser une poiµte L es detix tête.• mangent séparément jusqu'à la principale place. Voµs y adOn suppose que cette tortue n'est pa<1 mirez un arbre des pius singuliers. âgée de plus de quatre mois. Les deux C'est un silk cotton tree (arbre à cotêtes ne mangent paR à la fois, mais in- ton soyeux), de la famille des bpm~ttx, dépendamment et alternativement, com- remarquable par le développement anorme si l'on se trouvait en pr-ésence de mal dfl ses racines adventives . Elles fprdeux animaux séparés. Néanmoins les ment de véritables cloisons qui 1.i'élèvent autres membres ne dépassent pas le à angle droit sur le sol,pour atteip.dre les nombre ordinaire, et quoique on ne premières branches. puisse point étudier l'organisme intérieur Les intervpJle~ entre pes cloi~opRsont de l'animal qui est protégé par sa solide assez vastes pou~ servir d'écl!ries a ux carapacC', on a toutes sortes de raisons chevaux et aux ânes des paysans venus pour supposer que le phénomène anor- des campagnes environn_antes pour veHmal se limite aux deux têtes. dre sur le marché de Na~sau les rares légumes produits par leurs champs peu fertile~. à Cet arbre est fort commun dans les À forêts vierges de l'Amérique continentale; on le nomme improprement cotonLesIles Bahamas.- Pour fabriqun nier. Il fournit des fruits enveloppés dans des coussins un duvet très doux et très léger que les · Les îles Bahamas sont sans doute les naturels recueillent avec soin pour en famoins intéressantes parmi les Antilles, pe- briquer des oreiller~ et des coussins. tites ou grandes; c' eRt avec raiRon que les - ~touristes s'en écutent; elles ne possède,nt ni montagnes ni forêts vierge~, comme les terres voisines. Leur popula_..,.. ; tion, composée de descendants de nèLes femmes n'ont pas encore demand-6 gres esclaves et de quelques fonctiondes étoiles pour mettre dans leurs chenaires anglais, en y ajoutant les révolutionnaires de Haïti et de Santo -Domingo, veux ; mais si on abaissait les étoiles à

L'arbre soie des Antilles

La.mode

...


Octobre 190~ . -------------

Supplément gratuitde l'E~oleprimair~ .

LE FOYER et les CHAMPS

la'l i'auteur de la cime des peuplierR, il leur en faudrait très certainement, ne fût-ce que < pour être comme tout le monde :», • pour être propre. » Pour acheter de .belles toilettes, il arrive souvent qu'on retranche un plat de la table du mari, un jouet aux enfants, un bout de chandelle aux domestiques . Si vous saviez quelle lésinerie, quelle misère président à la vie intérieure de beaucoup de ces belles dames éclatantes! Que de lamentations sur les dépenses qu'eittraîne l'éducation des enfants! sur la cherté des vivres! Comme ces pan· vres maris ont du mauvais café! Comme on fait acheter de la viande de deuxième qualité! Comme on traite le néces· saire de superflu, pour pouvoir traiter le superflu de nécessaire! On achètera une robe di~pendieuse. Si le mari dit un mot, on lui prouvera que c'est pour rien et qu'elle vaut bien plus; « qu'il faut être comme tout le monde». Lo mari trouvera-t -il cette robe trop chèie? eh bien! on n'ira plus dans Je monde, ' on fermera sa porte, on vivra dans la retraite. Et les larmes s'échappent, et les sanglots font explosion. Une belle robe est toujours bon marché, dit-on. Mais ce qui e~t vraiment horrible, c'est le prix du beurre! Et ces légumes! Marguerite n'at-ellè pas payé, hier, un paquet de carottes cinq centimes !

LesConùnandements de !'Hygiène

-

I. Hygiène générale . - Lève toi tôt, couche-toi tôt et occupe ta journée . II. Hygiène respiratoire . - L'eau et le pain entretiennent la vie ; l'air pur et Je soleil sont indispensables à la santé . III . Hygiène digestive. - La frugalité et la sobriété sont le meilleur élixir de longue vie. IV. H ygiène de la peau . - La propreté préserve de la rouille , les machines les mieux · entretenues font les plus longs services.

V . Hygiène du sommeil. - Assez de repos répare et fortifie; trop de repos amollit et affaiblit. VI. Hygiène du vêtement., - Se bien vêtir, c'est ronserver à Ron corps, avec la liberté de ses mouvemeuts, sa chaleur nécessaire· ; le préserver de toute variation brusque de la température. VII. Hygiène de l'habitation. - La maison propre et gaie rend le foyer aimable. VIII . Hygiène morale. - L'esprit se repose et s'aiguise dans les distractions et l'amusement; mais l'abus mène aux passions et les passions aux vices. - La IX. Hygiène intellectuelle. gaieté fait aimer la vie et l'amour de la vie est la moitié de la santé. Au contraire, la tristesse et le découragement font avancer la vieillesse . X. Hygiène professionnelle . - Estce ton cerveau qui te nourrit ? Ne laisse pas ankyloser tes bras et tes jambes . Gagnes-tu ta vie à coups de pio,ihe ? N'oublie pas d'orner ton intelligence et d'agrandir ta pensée.

lAE.

Foyer

et les

Champs l

Histoire Nouvelles . Mœurs Sciences. Inventions. Découvertes. Voyagea. Education. Politet1e. Economie domestique Hygiène. .Médecine Cuisine Recettes. Procédés Tra ,vaux féminine . Variétés. etc . Publications recommandées

M. H . DING , éditeur

~, Le Sillon Romand La Rlévue Populaire ~

B1iavayer-leLa1 0

envoie · gratuitement No · spécimen

Cuisine ...... · Epaule d'agneau farcie Désossez l'épaule, salez et poivrez légèrement à l'intérieur; étalez-y également une couche de farce composée d'un peu de chair à saucisse, de fines herbes, échalotte~, ails, jaune d'œuf et mie de pain trempée dans de la crême, un peu de sel ; le mélange fait, garnissez votre épaule que vous roulerez et ficellerez avant de la mettre au four avec rn pPu d'eau chaude . Arrosez pendant la cuisson, servez chaud . Compôtetlc 11êcbes Coupez en deux des pêches d'espalier ou de vigne ; enlevez le noyau; plongezles dans l'eau bouillante et dès que leur peau se détache, retirez-les ; pelez-le11et laisser-les macérer une heure dans un sirop de sucre léger . Dressez ensuite sur le compôtier et couvrez-les d'un bon• sirop froid.

Dois-je quitter mrs montagnes? . .. Hélas erifa,nt! .... Ne déracine pa.c;f acileme,,d ta vie . Où te ch~ne a germé, le chêne aime .à grandir. , On.sorefait :un toit , mais guère une . patrie, Trans'Dlanter parfois lue, et toujours fait lan_qwir1


LE FOYER les et CHAMPS

rent à ·flots!. .. C'était la Terreur. rément, se cramponnait à elle, elle suivit Un roi fut arrêté et· condamné par ses les soldats. · propi;Ps sujets qui réclamaient sa mort . VIII Mais 8'.8 fidèles, non pas ces brillants Te souviens-tu, Uicttr, de cette énorsatelliteR qui l'entouraient au temps de la splendeur, mais de pauvres gentils hom- me pinre, marquée d'un large écusijon, et qui se trouve tout au bout du cimemes campagnards tentèrent un suprême tière de notre village, sous ces. vieux effort pour l'arracher au supplice. saules où le rossignol vient chanter ses Raoul fut du nombre. trillei.. . Mais la tent~ti ve échoua; les uns C'est là que . reposent les r?~teR de payèrent de leur vie cet acte d'héroï~me, d'autres réussirent à fuir la patrie qui les Magdeleine, à la fois, victime et héroïne de son amour! avait maudits. · · EIJe ain;ia, comme une pauvre fleur asEt l'époux de Marie fut compri11dans soiffée d'une goutte de rosée. la proscription des émigrés. Et comme cette fleur, elle périt sous VII )a faulx de l'impitoyable moissonncrnie

LE FOYER et les CHAMPS

Les deuxjumelles I Je t'avais promis un conte, Riette, ceci est une histoire! Une histoire vraie mais triste, triste comme celles que nous faisait jadi&la bonne grand'mère - quand dans le petit salon - nous écoutions l'oreille tendue, Res longt1récits que la rafale gémissant dans la cheminée accompagnait en sourdine.,. . Depuis lors bien des hivers sont venus: la grand'mère dort de son dernier sommeil à l'ombre du clocher, le petit salon est tombé avec le rei!te sous la pioche des démolisseurs! tu -es une grande demoiselle, je suis presque un vieillard ... Ces souvenirs lointains me r .eviennent par buées attristantes! et pourtant j'aime à les revivre ces fugitifs lambeaux des autrefois év anouis . .Alors, dans le cadre vermoulu des réminiscences, _me réapparaissent .,tant de . choses oubliées. . · Et à mes oreilles murm·,ire la voix fatig11ée de la. grand'mère qui va, qui va toujours pendant que le rouet tourne en ronronnant et que dans la cheminée chante la rafale. I[

Et maintenant, toire . ..

Riette, voici mon his-

III

Elles étaientd·eux, deux sœurs jumelles, Marie et · Magdeleine. Ainsi que deux roses qui s'entr'ouvrcnt sous la caresse du même rayon de soleil, elles étaient belles, belles comme toi, comme ces profils . de madone qu'un artiste sculpta au maître autel de notre église. Blondes comme les blés, leurs yeu~ limpides reflétaient la même candeur; sur leurs jolies lèvres éclataient le même rire perlé où venait 11e dessiner le même pli de tristesse . Leu rs âmes, leurs cœurs, se ressemblaient comme leurs visages .

IV Un jour, elles aimèrent!. . . avec la même ardeur juvénile, avec la même chasteté du premier amour. Hélas! ce fut le même homme . Ce fut à Marie, à l'aînéé de quelques heures, qu'il murmura les premières paroles de cet hymne divin que la brise chante à la fleur, que l'oiseau dit à l'oiselle, et dont Dieu plaça l'inspiration dans tous les cœurs .. . Et l'âme de Magdeleine se brisa, Elle se brisa comme cette pauvre petite fleur des champs qu'écrase le pied du passant. V

Oui, son cœur se brisa, mais ses lèvres restèrent muettes et de ses yeux ne tomba pas un pleur . ... Et quand par une matinée de printemps toute ensoleillée de soleil et d'espérance, Raoul et Marie descendfrent le perron de la chapelle nuptiale, Magdeleine tombant dans les bras de l'épousée, lui murmura : - Sois heureuse! Puis dans le silence de la chambrette, qui désormais lui appartenait ijeule, "lie alla se prosterner aux pieds de la Madone . Et elle pria! elle pria longtemps, offrant " à la Vierge le sacrifice de Ron bonheur écroulé. Les années passèrent, th1sées pour les jeunes époux d'un bonheur sans nuage. Et Magdeleine, Magdeleine la sacrifiée, étouffant la voix de son cœur, resta à ce foyer qui n'était pas le Hie11,et où elle jouissait avec une âpre persévérance de la félicité des autres . Et quand un blond chérubin vint res , serrer les liens <icsépoux' elle leur dit: - Nous l'aimeronR ensemble .

VI

En ce temps-là une tempête sans précédente encore dans l'hit,toire doq peuples se déchaîna sur la patrie. Des échafauds se dressèrPnt partout, le sang noble et le sang plébéien coulè-

___

..._~

Le 'tribunal révolutionnaire, tribunal de sang· et de suspicion ne pardonnait pas. Il lui fallait des victimes. Le fils payait pour le père, la sœur poùr le- frère, la femme pour le mari . L'acte de Raoul rejaillit i;.ur Marie, l'une n'était-elle pas 11olidafrede l'Autre? Et un matin, un pourvoyeur de l'écha. faud Re pré$enta chez elle. Tremblant,•, as~urée du sort qui l'attendait, Marie comprit que tout était perdu . Mais avec la fierté de sa race elle 111lait s'avancer dans la chambre où atten daient le~ émissaires du bourreau . Magdeleine la repoussa. - Laisse-moi, sœur, dit-elle! tout espoir n'est pas perdu!. . . . Et allant au devant des agents de la République . - Que cherchez-vous citoyens? - Marie de Remicourt, épouse du cidevant marquis de Kervielar ! 'La jeune fille eut une hésitation, hét1itation suprême, qui 1 pour Une ReCODde, la laissait entre le salut et l'abîme Une lutte atroce se livra au fond de son être . Mais elle fut courte. Et d'une voix subitement raffermie elle dit : - C'est moi! Puii faisant un dernier effort pour repousser l'enfant de sa sœur, qui, désespé-

IX Tu m'avais demandé un conte, ceci est .

histoire. Mais je te l'~- -ais dit, elle est trii;te dl:l c1tte tristefse qui accompagne le plus imuvent les lointairieR reminiscence8. : Puis<>é-je ainsi, avoir un instant, évoqué chez toi, lrs souvenirR oubliés des longues veillées dans le petit salon de grand'mère. Ulll!

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....,.,..~Jl""i"'-"'P.-,--..---

Sous notre toit , plus d'hirondel les: Elles ont fui les noirs antans. Plus de chansons plus de bruit d'~ilc s Jnsqu'aux Jours bénis du printemp s. Octobre est là, les main s pkines De blondes grappes des côteau x; Il foit redescendre en nos plaines Joyeux bergers et leurs . troupeaux.

Tu es li1, fert ile automne, Toujours avec des dons nouveau x ; Tou jours tu tre sses la couronne De nos vergers , de nos côteaux. Hier , on cue illait à l'arbre une dernière pèch e , Et ce mat in, voici, dans l'aube epaissc et fraîche , L'automne qui blanchit sur les côteaux voisins. Un fin givre a ridé la pourpre des raisins.

Là-bas , voyez-vou s poindre , au bout 'de la mo~tée , · Le cep aux feuilles d'or dans la brume argentée? L'horizon s'éclaircit en de vagues rougeurs, Et le sol eil levant conduit les ven dangeu rs. J.M .


LE FOYER et les CHAMPS

LE FOYER et les CHAMPS

Morale La ~1èreChrétienne

Parmi les nombreux facteurs qui peuvent concourir d'une manière efficace à résoudre ·les problèmes Rociaux, qui occupent aujourd'hui tant de place dans les esprits, il faut compter en première ligne la mère chrétienne. « Donnez-nous des mères véritablement chrétiennes disait un illustre écrivain, et nous sauve· rons le monde, qui marche vers sa ruine . » Le bien-être dans la 11ociété dépend tout entier du bien-être dans leti familles et il n'y aura jamais dans la société ni ordre, ni paix, si le désordre et la désunion règnent constamment au sein de la famille. Ce qui est évident, puisque la société n'est qu'une multitude de familles réunies pour un intérêt commun . Il en est de la société humaine absolument comme d'une société quelconque: il faut que .chacun de ses membres remplisse avec précision et exactitude son rôle pour arriver à un résultat pratique. Or,le bien·être dans la famille, l'ordre, l'union, dépendent de tous les membres qui la composent, sanM doute, mais surtout de la mère qui exerce sur son mari et sur ses enfants une influence que l' on ne saurait assez mettre en lumière . « L'éducation de l'homme a dit un grand penseur chrétien se fait pour la plus grande partie dans les six premières années sur le sein de la mère. Ce qui se développe plus tard dans le jeune homme, la mère l'a déjà insinué dans l'âme de l'enfant, dèi les premiers instants de son existence. Et si la mère est chrétienne, quels prodiges de vertus ne s'en dégage t-il pas, qui se répandent en jets salutaires sur le foyer familial! Ce n' est pas en vain qu'on l'a appelée «l'ange du foyer», l'ange qui protège, l'ange qui sourit, l'ange qui console, l'ange qui sauve, qui veille et qui donne le signal à l'approche du danger. Dans une <Jommune étreinte, elle tient dans ses bras le père et les enfants,

et son amour est grand toujours, aux jours de deuil comme aux jours d'allégresse, dans le malheur comme dans la prospérité: «Une mère chrétienne est de tous les dons de Dieu, le plus grand!» ~

Une jolie famille d'alcooliques ~

Le Dr Pelman a pu reconstituer la généalogie d'un de ses malades jusqu'à une ancêtre née en 1740, qui mourut alcoolique au commencement de ce siècle. La postérité de cette femme compte 834 individus . Voici les renseignements qu'il possède sur 569 d'entre eux: 106 illégitimes et misérablet1; 142 mendiants; 64 pensionnaires d'ai;iles; 181 femmes débauchées; 76 condamné~ pour délits. Dans l'ei;pace de soixante-quinze ans, cette descendance de l'alcnofüme a coûté à l'Etat - secours, dommages, frais de prisons - une somme de près de 11ix millions de francs.

Il possède chez lui des œuvres uniques; une collection de tableaux faits exclusivement en coquilles et des meubles divers, articles de bureau, objets de toutes sortes avec incrustations. Mais ce qu'il y a de plus remarquable est tians contredit la porte de la maison de M. Wilkins . Il l'a con11truitelui-même et cc travail lui demanda plus dP, quinze mois. Elle se compose des coquilles les plus diverses, formant les ornements les plut1 jolis et les plus variés . Chaque coquille a ét,é incmstée séparément . Et l'on se dit en voyant ccR œuvres; voilà un artiste habile doublé d'un homme patient. .e71if

Un paletot en oreilles de lièvres

-

L 'arbre garni de cilro11illes c,l d11 pins bel e/Jet

LE ROI DES COQUILLAGES Un Anglais original. - A.rtisleel collectionneur M. Wilkins est un Anglait1 et un original. Il a passé toute son existence à admirer et à collectionner les coquillages, recherchant les travaux dont ils furent l'objet, les travaillant lui-même. Aussi est-il très fier du titre de « Roi des coquillages • dont on l'a surnommé et c'est avec une satisfaction mêlée d'orgueil qu'il se proLa porte et le diadème mène dans sa maide M. Wilkin~ sont ses son, vêtu d'un co11tudcu.x chefs-d'œuvres me orné de coquilles multicolores, et coiffé d'un diadème fait tout en coquillages.

ces dernières années, grâce à l'applica· tion de procédés nouveaux de forçage, de sélection et d'entraînement dafü le domaine de l'horticulture . Lïnfluence des anesthésiques, de l'é· ther et du chloroforme, sur le!l végétaux est aujourd'hui reconnue et il exist e déjà un grand nombre de forceriet1 industrielles, surtout dans les payli moins favorisés que la France par les conditions

. be paletot était exposé il y a quelques temps chez un fourreur de Londrei<. Il est fait de 1,200 oreilles de lièvres qui ont été habilement cousues ensemble et préparées de façon à être impénétrabl es à l'eau. Un homme met 5 jours pour couper ces oreilles .

~-

011riosités naturelles Unecitrouille grimpante Nous avons, à plusieurs reprises, entretenu nos lecteurs, des prodiges réalisés

climatériques . Le s produits les plus rc · marquables dûs aux travaux persévérants des horticulteurs modern es sont généralement le résultat d'une sélection faite avec clairvoyance et soin, et aussi d'une sorte de véritable entraînement. 1 L'exemple le plus probant, de ce qu'on peut aimi obtenir est celui que nous donnons aujourd 'hui. Les citrouilles de taille moyenne pè sent de 8 à 10 kilos environ et, à cause de leur poids, elles reposent to11jours sur le sol, immobiles dans leur lourdeur disgracieuse . Cependant . si on donne à la plante l'occasion de grimper après un mur ou un arbre, elle ne s'y refuse nullement. Avec un peu d'application et de savoir faire, on peut, en augmentant graduellement la force de résistanci:i des fibres, obtenir que les énormes fruits restent suspendus en l'air jusqu'à pleine


LE FOYER t:l les CHAMPS LE fOYER

et les CHAMPS

Les sirè~es avertisseuses

Exercices de sa1wet1tge par gl-issade sur drap tericlu exécutés au congrès intemational des 1wmpiers à Milan

maturité . La chose est fort curieuse et ceux qui ont vu l'arbre garni de citrouilles ont été frappés d'étonnement. Aussi croyons-nous pouvoir affirmu que le ras dté ici est unique dans le8 annales de l'horticulture . ~

Moissonneurs-boulangers Le record que la rapidité - en tant que pacification - vient d'être battu par un fermier du Canada . A trois heures de l'après-midi, ·son blé était encore sur pied. A quatre heures moins un quart, il était moi~sonné et porté à la batteuse mécanique, dressée à l'entrée du champ.

Sitôt battu et vanné , le grain passait au moulin à vapeur qui en moins d'un quart d'heure le ré·luisait en fine farine. Et celle-ci, portée à la ferme sur le champ, était pétrie par une équipe de boulangers, et mise au four, r. l expiration du temps nécessaire à la fermentation de la pâte. A six heures moins dix minutes, exactement une superbe fournée de pains chaud~ et croustillants attendait les acheteur s, et s enleva , . comme du pain ! =~=

Le phare du brouilla.rd Sirène averlisseuse. - Le mégaphone L'hiver ·avait amené une recrudescence

de brouillards s.ur les côtes d'Angleterre causant un plus grand nombre de sinistres que les années précédentes. Ces brouillards furent d'une telle densité qu'ils _rendirent inutiles les plus puissantes lentille~ employées par les phares. On a cherché à porter remède à cet in()onvénient en employant un appareil appelé «mégaphone n dont le dispositif, très simple, est le suivant. C'est unè sirène d'une grande puissance, qui mugit fortement au moyen de huit embouchures . Une série de coups distincts avertissent les · pilotes .non seulement de la présence d'un écueil mais encore de la.nature de l'écueil. Cette indication est produite par la cadence df)Sdifférents coups, les di vers mégaphones . installés sur les côtes ayant des cadences · différentes. On a déjà installé plusieurs de ces appareils dans les phat·,, ~ <l'Angleterre et du Canada Les résultats obtenus permettent de penser que l'emploi de cet appareil va être généralisé.

Lesinventionsnouvelles Une VoitureHippomobile Nous doutons fort qu'on ait ja mais imaginé un véhicule plus étrange que cette ·automobile dont la puissance pourraitêtre - en toute justice - estimée à un cheval vivant. Il eRt hors de doute qu'à sa construction, a du pré;âder cet esprit parisien qui se refuse, avec tant de ma lice, à prendre au ~érieux les choses les plus sérieuses en apparence . En réalit1\ . l'automobile demandant au cheval la force nécessaire à la marche est d'un comique ;achevé.

Il suffit de se rendre compte de l'état ~·esprit du prop~iétaire. d'un cheval qui, a toute force des1re avmr une < auto ·, et d'examiner la voiture telle qu'elle a été conçue, étudiée et exécutée pour admettre que, somme toute, cette • invention • n'ellt paR bête du tout (étant donné, bien entendu, qu'on a affaire à un animal docile).

C'est le cheval qici pousse la voiture

_R0gardez ce devant d'automobil _e parfait avec Res deux places, ce volant qui sert .à guider, ce tablier qui se relève dovant les naseaux du cheval pour l'obliger à s'arrêter, ce frein d'un modèle inusité actionné par une pédale. Jusqu'au réservoir à pétrole qui a trouvé son ap~ plication il est rempli d'avoine tout si'llplement, et lorsque la voiture est au repos, le cheval qui n'a p11sde mors peut y calmer sa faim et Re restaurer . Le harnais e'<t d'une grande Himplicité. La gro!lse diffürnlté a été de remplacer efficacement - le fouet. Elle a été résolue en fixant aux brancard s deux épefait mouvoir rons que lo «chauffeur, avec unn manette. L'ememble --de la voit ure hippomobile ne manq ·e pas d'avoir une certaine allure d'élégance et surtout d'originalité.

Cuisine Potage à la Parmentier Faire bouillir, dan~ du b.ouillon, des pommes de terre. Les pa~ser et les met tre dans un litre de bouillon. Tourner jusq11'à ébullition et faire cuire une demi· heUl'e. Mettre, dans la soupière, trois jaunes d'œufs, un verre de crème, -un mor-


LE FOYER et lei.CHAMPS

ceau de beurre, du cerfeuil hâché et des . croûtons cuits. Verser le potage dessus.

Siropde poires et pommes Cette préparation de ménage, Rpéciale à 'la Belgique, se fait de la manière suivanf e; · Des pommes et un peu de poires très mûres, sont coupéeP, sanit être pelées, en petits morceaux, on les place sur le feu dans une bassine de cuivre. Quand elles sont bien tendres, on les presse dans un petit pressoir ou danti un linge, et l'on passe le jus au travers d'un tamis. Ce jus est soumis de nouveau à la cuisson dans un récipient de cuivre, jusqu'à consistance du l!irop; avoir soin d'écumer cette seconde ébullition. On peut ajouter un peu de 1mcre blanc, suivant la douceur des fruits, par exemple 25 grammes de sucre par kilog. de fruits. Versez ce sirop dans un grand pot de grès ; il ee conserve indéfiniment dans un endroit sec, et s'améliore par l'âge.

Pourcuire les légumes secs Pour cuire leR légumes secs de façon à ce qu'ils devien.nent tendres, comme par exemple lrs haricots, on y ajoute souvent un peu de t-oude. Le lég!lme traité à la soude prend volontier;, un goût fade. Si la dose de soude est un peu forte, cela peut être en outre, préjudiciable à la sa nt é. Par :ontrP, un peu de sucre sera préférable. Les légumes se cuisent beaucoup mieux et prennent un bon goût. Il va sans dire que le sucre ne tient pas lieu de Rel, et qu'i l faut sa ler les légumes comme à l'ordinaire.

Bœufbouilliau gra&in Prendre une cuillerée de farine et la délayer avec un morceau de beurre gros comme une noix ju squ'à ce que celui-ci soit bien fondu: ajouter 1/, 1. ou 2 poches de bouillon, mais peu à peu et en remuant toujours avec un fouet de fer afin qu'il n'y ait pas de morceaux. Assaisonner la sauce avec une pincée de sel et une -prise 'de poivre et lorsqu'elle e11tcuite ajouter un morceau de beurre

frais. Couper le ' bouilli en tranches;

les ran-

Lire

ger en couronne dam, un plat à cuire; arroqer cette couronne avec la sauce blanche que l'on a préparée et que l'on a colorée avec du caramel ou du jus de rôti; semer dessus un peu d'oignons et de cornichons bâchés et du persil; saupoudrer avec de la panure; arroser avec de la grail!se ou du be nrre fondu; mettre au four et laisser jusqu'à ce qu'il se forme une croûte brune (environ 15 minutes).

Dernière l.ivraiaon de :1906 Le Foyer 'et lea Cl,ampa

dans ce N"D 2::;e année

11° 14

(2 livraisons)

31 Décembre 1906

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Variété L'appétitrusse On nourrirait trois Français, deux Anglais, un gendarme allemand et un petit Suisse avec ce que mange un vrai Russe. Le climat pousl!e à cet engouffrement formidable. Un estomac vide est incapable de lutter contre le froid. Et non seulement il faut le bien doubler de choses solides et grasseë>, mais encore l'imbiber d'eau-de-vie, de vins capiteux, coupés de liqueurs qui réchauffent le sang. La ,ration d'un Russe malade, en 1815, dit Brillat Savarin, aurait grisé un fort de la Halle de P .iris!

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(ôJ 1{{~11\l JJJ i DE LA

So·eiété valai~a1)1Je

d.édu€alio.n,

Recettes diverses Humiditédes murs

Lorsque l'on doit habiter une maison nouvellement construite, il est prudent de favoriser le desséchement des muri! le plus rapidement po11sible. Pour cela, brûlez dans chaque pièce bien close 2 à 3 kil. de charbon df1 boi~ chaque jour, pendant deux ou trois jours. Si trois jours ne suffisent pas, recommencez pendant quelques jour R, puis aérez fortement avec courant d'air pendant un jour ou deux. Vous n'aurez alors plus à craindre l'humidité.

Pourtmpêcherla fuméedeslampesde nait Il faut prendre une éponge de 10 à 12 cent. de diamètre, l'imprégnerd'eau pure et la suspendre, au moyen d'une fioelle, au dessus de la flamme de la lampE1à quelque distance. Cette éponge absorbe la fumée ; · mais il faut la laver chaque fois dans l'eau chaude.

. L'Ecole primaire donne de 14 à 16 livraisons de 16 pages chacune, non compris la couverture, et autant de suppléments de 8 à 16 pages pendant l'année ordinaire de 12 mois commençant le 1er Janvier. . Chaque mois il est en outre apporté un . supplément illustré de 8 pages intitulé : Le Foyer et les Champs.

Suisse

Prix d'abonnement : fr. 2.50 Un1·on pos t a I e f r. 3

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