No 8-9 l'Ecole primaire, 15 Novembre 1920

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16 Nonmbre 1920

TOUT ce qui a rapport ou concerne

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INSTRUMENTS en tous genres HARMONIUMS ET

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... TRES GRANDCHOIXET POUR TOUTESLES BOURSES

Publication fondée en1881 L'Ecole primaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la'~couverture y comprise, èt autant de supplé· ments ~de 8-1& pages pendant l'année ordinilire (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).

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On netoute doit la verser rester vie. dans l'esprit des enfants que ce qu' on souhaite Fenelon.


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Sommaire de cettelivraiso»

nmiitié soo. œu1v:re. So~l ,que vous choisissi ez une école prirvée, soit que voos acœpti~z l'E,. La dlévoüon1aiu1SacJ:1é-CœUJr 1etl'édu- cole p,uiblique, vous déléguez vos ipoU1Vo.u:s au cation. - Visites,de daisis,es,p,ar MM. maître .vous lui remetitez votre autoI'iJ.te. Il les Instiiluiteu1$.- l.Jary;alemr ,de l'exem- s'agit 'donc, tourl: d'abord, de ,ne pas ~ùrrrin~er ple. - Pédagogie chrétienne en action. ce.t1te autoni"té qu'il tien,t de voos. Lw confier - UE,diu1oa 1teur. - \f>iarntie,priatique votre eofanit, c'est tacitement lui reconnaîu-e la capaci.11éet l'llonorwbilité s,u:füsairutespo ur (L ' Aven!b).- ~a[i~. occUiPer votre place. Il ne fawt pais dès l?~s -0- r~premLre d'une main ce que 'VOlliS. avez lau de donner de l'autre. U ,ne faudraiilt pas que A!di01I1s, de g11âces.- ile ipéril ·social l'oofa111tpût se croire au,tOlfisé ~ ~ï,re à son (exb11aits ide 1a lettre des léviêquessu,isses maîitire, ,qJU,mdm'IIordre, une irepn~aruie ou ipll1111iti'On ne luru ,com1eru:ieirutipo11Ut:• Je là l'oœaisioirll de La:'iiêtefé!déral,ed':actions une Je dirai ' à IPa\Pa ou à maima,n el vous verirez. • de gmace 1920). - Elisabeth Leseu1r. Il ne faudrait ipoint que teofan, : vîllllt.raippor_ :E,ston11a 1c 1etœrveaiu. - La prière . l•er à l'école : « Papa a diit que ,vous me .don. ,Le :seu-rs1 liturgiquie. - lJa bk~1e.-;---La niez moins de devoiirs » ou ~ l))lUJsde devoirs•, ou « qu.e mon devoir éliait ma •l choiSiÏJ•, ou pendule. - ifinten:ement ·de 1ad~s. -: Le:s,moines et l,a,science. - La ·vie fle- « ma leçon itrop diffi1cHe». Ce n'.est IPa'~ ~~e, dans 3JU.mÎlîleécole , person,ne pretende a ~ 1n· c:hissairute.- Le ibon 'DieUJà bolfd. faillihifüé· mais i'l n 'est ipas illn bon maitre tP,rix d'1histoire. - Variétés. ·rui 1U1neb~nne mail!Q-essequi ne croie fai:re • -(>- - ·po.rnrle mieuoc. :Du maîi:re à la 'futmillec'est, sans ,qu'auC!lIDnCJltaiœ y ait IPas,sé, c<:rnme ~~ coot.rat entre honJDlêltes gens . .Et, de ·meme· qiu 11 La ,rentrée ,des daisses. SitUJatiorrma- est et dlli deivoi,r dlll mailtlre d 'adresser, térielle idu oOOJps ,en:sieignantprimaire. avecduladro~t mesure voulue, cerfaines ob?envations - Conférences d'in,5ipecteuirs, etc. à la famille , il rr:>ewt être du droit et du devoir des 1paren~s d'exciter IJ)a:I<foisc~ez le ,rnaJltre Ul[J, zèle q,ufils cro.Îlraient mlen1t ou de te,m. pérer II.IJl1.eairdeurrqu 'ils tiugeraien~ exagérée . i.Mais ,que les ,parents se ga:rden1 bien, de. pla· oor l 'emfan~ ootre le maitre et euoc eru üers: Ualritide d- :dessioU1s a ,pam aiu début ,de 1noV1emhre dlainJSla: ip,resseva1 laisa:Illne . pax.hl intéressé: lelliI' diglruuté y petdirait aussi que œl1e dui maître et l'enfant Y_perdrait Le suiwmt ,(Situation matérielle, ~te.) bie111 aussir en dêl!éreru:e ert même en confiance. a figutré 1d!ains lai Gazette du '(alazs et Nous sommes fort loin de 1penser qu'il ,ne en ~,eocouird,dia1I]Sdet.11X aiulilres]'Oll!f,Il'~ ux farnfi/Pas &Jouter les plaùnrt'es des eniEa111ts._ i-J?us où Ie rensorunel enseigltlJant·a pu le lire. n·avon,s jaJmais, pour rnotre part, do:uie, JUS· qu'à preuve contraire très certaine - et c~te T'Oll'S onrtle même 1 a1Ultiewr . M1aii,ntooanitqiue la Toussaint venue, toute ipreUJVea toujolll:s été fod ,ra:re - de 1~ Slll· cérHé ei de la véracité ·des eJn.iants. .Mais les la gent écolière, à' la o~agne comme à la questions de ce genire iréclameo,t ,toujours de rvHle en ipl.adlOe comme à la mooi!agne, a reco~œ, en Vaws, u~ illOUJVelle .alllllée scogramies précautions. Les d~ ts des enfants - eU:X-anêmesle ,sa,ye111t mieux que perlaùil'e il ne sera pa ,s H1o.pjp<JŒ1lun, pensOUis· de consacrer ,u:nell)C'litecause.rie aux rap· sonne - ne S{)(l~ pas touôOUirS ibien justes, JPOTt;qU!i doivent exislter et devraienit se ra~- patte ,que les enfants manquenit de l~ières. rermi'f tou(iowr,s davaniage ooitre panm1s, maiEt [YlllÏs, ces peti~s hQmmes soot ~ss1oonés, comme les gramis , s,UJrles choses ,quJ les contres et maîtresses. cernent. VOiUJs•mêmes,pères et mères, nëtesOn ipew! cooce:voir l'école ex1u~~ ~a~s la 'v'ou.spas ,aiussi pas ,sil011lllé~?S0im:et11.~~oos.du famille. 1.a loi a, .très j1UJsiemen,t,défm11a ~I éigard lf6 drnits primœrdiam de l'enfant . .M~us lang,age q ue La Fonta.me , assez 1Treverooc1eu· semelllt, [110USen convenons, fait ieinir à l 'un en fait toute éoole qui nie s a:PIPl1,Îe !Pas SU!l" le cooco~rs d~reqt des parenfts, ne pewt fa,i!J'equ'à . des ·V~fires:

Sommaire duSupplément N°8

Sommaire de la couverture

.Rentréedes classes

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Mespefüs sont mi\gttlons, fleaUX, bien faits eb jot~s sur tous leurs compagnoo,s; [que. y0116 les irec00100îtrez saüS (Peilneà cette mar-

de cOlllduit.ce.t de traivail consigné dia11:sle livret scolaiire : ne vous coortenitez pa,s d'une sign,a,ture dii1straLteou donnée à cootre-cœu r, que ce soit powr IVOU.s un cOtlitrôle sérieux,raisooné et bietJNeillant. Gesit aiinsi, chers parents, que vous deivien~ d:rez, auif'ant qu'il est en voius, les colla:bora tellll'S e!llfootifs des maîtres et maîtresses de cl,as,se; c'esil awnsi que vous contribuerez à l'iœwvre de j,OlliI'w j:Ollll" plus i~orta'llte et pltlis CllŒJlitale de l'école. P. P.

C'est la ·mamalll Hihoo q:llli ,pairle awsii, la maman des petits h~bouoc. Et o:ous so~ tout prêt, ~à . ~' à. l'eimu:ser, étant peut-être,lorsqul1I s 'ag1t de nos proches, quelpeu hioou_ nous~. . queEhhioo, migµoois, soit. Mats voflre collègue, Mon.&ieur,vabre IVO!Lsi.ne, ma~, nous - -- - - - ·- -AH alllllt--1 ...•--préseOltanii leiurs .fflfanrts co~ mignoos fo?-t aussibiM :']ue IVOOJS' nous [PfeseOltez les votres,oous sommesamené à coo'S!Ïid.éreir ~me é(alemenit migr]0111Srous les enrra.nli!s iqu1 wenllflldà l'école. iEt ,C'est œ qJUe OJO'.US fai ,S'Oll'S eneffet Nous laJPJpiiienons, sans étonnement ,Mais l\'IOUS(]/'avez pas sellilement à ne pas malg,ré l' a!d!o1ption ,récenconilrarieril10ffll)Ortunément l'œu:vre de l'école , d ',ailLeurs, q.UJe vousIJl'OUNeZ et devez lui venwr en, aii<l/e p3.!r te d'une loi ,amélioro'Illt(en :appalfen:c e. desmoyerus plus directs el! plus ipuissads. Et pl utôt ,qu:',en !l'éalité)1~1situ:atio111 du per œJa,remalI'quez-le, ne vous coû~empas beau- s001nel,eI1Jseigi111a11tt iprimiaï,re , 1a .question 'No,u,s 11'ex;iger0111spas de la IPlruiP'art COUIJ'· ~ ipose ,de nou,vea1U impé,r i ,eusiemenrf: de d'enrorevous d'êtire ecnquelque sorte les réla 1 ievi1sion, même ur,gente, ide li a loi du péti!etllfs des leçoos de l'école. A_,suwaser 24 mai '1919 :sur la marf:ière . Celle-ci, en que,vo~ le jpui~z, nows ~vans 1!rqp ~ n JhtMmonie:avflc «.(eX!igelllt les hesollfllS.de la vie p~r voul~m:' effot, n'esrt1déjàplus 1e ,;oo,1erce noUJVe.aiu;laibewr t œlrn du pam les besoi,rns 1aduiels,1dont elle est même quotidien. .Mrui!snous 'V'OUIS demandoo!s - et loin de tenir ,oompte 1diansurue n11esiu1re œJapewt VOUIS devoo i1r ttn-èsdoiuoc- <l'eVOUIS éq.u,i'flable. C'est ,ce ·qu'a ,du 1resiheoommtéresser au travaiil de votre fils et de ,votre :pris l,e Conseil d~Etat en 1prevoyiain t, fille. dans le biud~t ,de 19,21, ,u,nriemèdepro UtJJenfan1,t- cela peut se <Voir - airrive visoh1eà la ,situiationp!a1r roctroi d'une del'école, charmé d 'une leçon qw lwi a été indemnité mensuelle ,de renchiéri:ssiement donnéeet, dans son o,aïf enilhousiasme: « Oh! papa,diit,ia, si ltJwsavais ,ce q1U'on nous a de 25 fir.1 )0,tli.!1fous les maîtres et maîconté,aujomd''huiil de Charlemagne! • . . . tres,s,essains ex,oepüon (,q,u'ilsr~çoivent , Eh, laisse-moi tranquille_, ditt le père, avec olu non une allocation é1rale ide lai pa[lt 11111 Charlemagltl!e! » - Nous vous en prions, des ,oomnmn,es),œci 1portl!ffaire cesser ai:faite.9 pa,s cela, Ille découragez ipas ces conl'inégalité cthoqUJanre 1suh11antla1quelle, liloo.œs qllii:ipeiwvent,en effet, n'avoir d'a,utre pendlant le dernier cou'!'s ,s1co.J1airie, u n a!érêt ·pour voUJS que celui que l'enfa:nt luiu' 'a été ,siervi pair l';Etat qu ' dine y alift.aiche,n,e soufflez ,pas sur cette foï : su1pplémenrt &vivez,échauffez !PLutôfœ premier zèle, imautaint ,gruelesi ,commooes en !allouaient porrunpeiwt-êt>re,[JOU!r'ces coruw.J.,ssaoces qui, u1n die lewr côté. C'est iains.i qu'un ceraprès tout, sontt l'obij.et même de l 'école, la tain nombœ ide :membres ,du corps enlli6onmême qui :faùt iC)JU.evous y en voyez vosieignanrt~e s,ont trouvés indemnisés de n enfalllt. Qu'il soit SQ\ljieniu. et encoU1Iagé en deuoc côtési•à la i:l)oi:s, perudiant .que fa lffllanit que vous prenez !Votre part de ses efplu1s gra!lideJl)élll'Üe oot étésevirésde 1pa1rt forts et de ses progn-ès, que vous sym,pathisez :de ,toute ia,ugmentation. Ausl la ipeiineque lwUcoûtent les dHïocultlés, que ,et ,d'Jaiu~re ..ce 1powr metfu;efin à une véritaible si, estl: lOl!s,soUIÎErezde ses mainquemelllt,s et de ses ~!esses. Vous recevez chaque mois, chaque iet en 1préV1enir l,e ienou,vellej,n:jUJsitice tplÏnzaine,chaque semaine même , le bulle1in ment q,ue l,e Pouiv,oir exécutif, heu.mu-

Situation matérielle du Personnel enseignant primaire

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·sement inspiré 1en iceci,1a inscrit au bud- velle, les in:stituteuris~ornrtle moins J>· giet ,de 1921 1.lJl1, poste ,de fr. 120,000 paiyês,recevant (oeux qui ont moins ,poUJfgénéraliser l'octroi ipa,r l''Etat id'uin 5 1ans de s.er,vice)200 'iir. ooufoment supplément mensuel de 25 k non seu- mOti~,(minimum l~al) ,soit 1200 fr lemel111: iaiuxmaitres ,et maîtir~es aux- potlif 6 mois, ceci en ·aidm.ettant ·qu' quelis les communes le maintienI1!ent. p,ratiquenit clœz eux et ,nie béniéfkïett mais aussi à tous les 1awtresià l'égaird pas des ,primes d'âge ,qui ne s'a,ccor, desquels elles T.efu.sentencore, ipou,rdes qu''alprès 5 ans td'emseig,n ement. ~ raisons idiverses, de 1dépa,sserle mini- ·pendant œ ,temps,idla'Il!sle ipauv,re mum ,str1ctementlégial, ,soit de se mon- minru.sculeoainton,d:Ulfi,"'llOUs voyons trre<r 1plusliarges ou moins ,p;Mcimonieu- instilJuiteu/IlSI reoevioir 3000 fir. p,airaa ses 1d!anslai Témunéra,tiondes 1seI1viœs potlif 30 semaines ,d'école, soit 100 rendiu1s, , par sema~ne ou 14 fa ipair jouir, al du ,Y;al'atsn'obti A oe ·propos, il •nous est revenu que que lewœ 1collègt1J.esi nen:t 1que 7 f111., à ipeine (200 : 30 ::::: la Commi-sisiiondu ibudg,et, reuinie la •semaine diemiè11e- tout en se mon- 6:80). Et il es,t encOlfeà 'Il!oterque tram;t ,favona!Meien iprindpe au ,chiffre les ,régentsval,aisiansbénéficient d,e · ipI10po1S1é et ieooaint ici dans les v-uesdu mies,d'âge, oeux d'Uri ,rouohent ég de 100 fr. · 0:mseil ,d';Eta~ - 'éprouve ,u,nscrupule ment de$ ia:ug.meIJJtatti:oJIISl ccmS1titutiOI11I1el à l'endiroit ,dlwmode de ipantir ,de laJ 6me à 1:a,16me ainnée iœ. fai,re ,preconis1é,estimanJt,dain:s sa ma- se11V ·qu'u,n tel crédit 01e1peut jo1rité ,au moi111S, NoUJSsooprendrorus peut-être beat êbnesollicité p1airvoie huldgétaire, mais oou:p.de monde iet même ides députés doit iiake 1'olbjetd''u,n décret ~pécia.len- rnleV'arntenc01reen !Passant cette sillgl, dosS1aJI1t Pallocati001Jipré'vue1110n seule- la.rire qu'en Via1'ai,sles gendarmes ment à l'E.tat, mais l'irrupo1sa nt iCllansla mieu,xp!alyiés que l,es insitituteurs, p même IPOO!POiltion, 1aiuoc ieommuiniessans que ,reoeva:rutactuellement 9 à 10 fr. à oelles-ci l'a 1facuMéidt! l'aooor- jouir. Loin de nous toutefois lai , Lai:SiSer deir ,ou, de le refuser. ,~a ,queS'tionest ,ais- ide les jtalousier et ide tpouv.er qu' sul!'ément·disioutaible iet il ser.a ainsi cu- soierut ,pair là !bfop·retribuJés,iil!Otredt rieux ,de,voir la solution 1qu'aidoptera,le gression aiyaintsimplement ipour but pO!UiVIOir législatif. faiœ tr1essiorti 1r ,que les i:nstituteuirs ne 'Ein attendant, nows aimons à es,pé-· sont ,pa~ assez, 1puiisque:recevant se ' rer ,que, d'u,ne façon: ,ou d~wneautre, il blemenJbmoins. IEt ,cependant, :pour , sena ,diornITTJé 1sa ,I1Jspl,us taI1der satisfacvenir ,gen:dairme,rpas n'est besoin de tion 1aux vœuocsi légitimes et justifiés ians d 'tétudes die 1 0 moi,spar <:ours .du ipersonnel enseignant primaire, ten- laicœentrnî,nant wn 'saorifice de te ,considéra diairutà être iph11s équitablement 1etooi- et d'aJr,gent ,re}ativemenrt: formément traire polllf le couirs scolaire Que 1diesinstitute111Ps ·viennent à qui vient de s'ouv,rir. Une amélioration quer, ,oe n~ sont ipas des gend!ainmes q de son traitement :s'impose ,d'urgence si J)'OUJfiTiaient les ,remiplaieerà lai tête l'on ,ne veut !Pas voir un nombre rou- écoles, tandis que ·S'ains peine l'on pOUf jowris1plllisgmnd d'insfüu~eurs ,de cair- rait ,oompter1dains les rangs du co rière déserter l'enseignement polllf lui e111Seig1I11ant - ,qui possèd::!uin fort ,prê~r wnesitwation:à l'ai fois moins pé- gir,oupe1d'offidersidevafoUJf- ,de nible et mieux lfétrib,UJée. Car c'est enr breux irégents qui fenaient excellente core en Vialais, nous :regrettons de de- gUtred:ains:notre1polioe oonfonale, à voiirle constater, ,que, ma.lgirelialoi nou- quelle ilisi,peuvienten ,attendant r 1

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,die•ne tP'a:s taJAPamten,i,r ,plutôt ,qu~à l'infiLe XXe Coogrès de la Société péâagogî,què niment utile tCODporntion: .des éduca,tewrs de !a Su,isse romande, auquel le Départemen t avai t délég,ué Messieu.rs HŒH Directeur de de la jeunesse. Alhms, tfirancllement,le temt>sne se- l'Eco~ no rmale, et MANOISCH , Inspecteur Mit-il 1doncipai., venu enfin ,dJetnaifor scolanre du DLst.riot de Sion, a diiiscutéde nomses thè~ all,l(lquelles nous pouivons en les institwœuŒiS au moins sur le même breu grande [Partie souscrire, notammoot en ce qui ,pied ,que les ,geooal!'mes?Espérons :do'Il'c concerne la défünitionr diw but de l'école et les être ,donné ·de voir bien- réformes à envisager . qu'il va 1I1Jous tôt ,se réaliser œ modeste ip.11ogrès, surNous ne voulons pa,s faire fü en Valais ' tawt que ,Pandore est encore ,a,y,.anragé de tout ce qui est patrooné aiill~rs co~ ià UIIlJ1aiu:bre po:i1n,t de vue. ,Payé du 1,-er bon et pra-f~que, mais nooo devons n01.ISgarj,ainvierau 31 déoembre, il n 'en est J)'as d~ de copier tout ce que font d'autres · ;pays ,réduit à }a 1peufflViable sitwation qui qull n'ont pas les mêmes cond i1ions de vJ.e et t n 'ont :pas à lu tter, comme nous rreste,cfuez,n:ou1s le lO'I:permanent d 'un qui S'Lllrtou coolire dïnnomb r ah les diiffiouHés de rtout nombre iresp:ect.able de maîtres et m:aî- genre. tresses d'école. Oair ·chiaqu,eannée ·,nous les progranunes , en somme, ne signilîient se iohiericher - souv,ent imt- ,pas girairu:l'chose. On a beau les !réformer en voy,0I1JS tilement, hélas! - une ·occu.lJ)ationip-our tan t qu 'on voudra, on n'aiieioda-a des rés.ul1es 3 !à 6 mois ,de loisir:s fol'lcéset oné- tats sa ti>sfa.isams q ue si le personnel enseià sa milssiion,s'il l'ereux procures pair :des vacanoes, que gnant est 'bien ~a,ré , et s'il beaiuicou:p ipammieux doivent ,pasiseriSans xerce enis,wHe !l'vec Joie et dévQi\.llement a'PJ>lique enfin des méfbodes tooaourn plus ,90,ngerle moiiillSdll mondie à imiter la vivantes et adaipJées aux condit ions noUNelles cigale ah:a,ma,nt itout Féœ, mais bien, la de la "lie soôa!t} lahorieu:seet prévoyante fou!fmi. . A l'ordre du jour de la Cooférenœ figu· Un memhrie du Comité de lia Société Valaisanne d'Education. raient , entre awtres, la quesfion des examens 1

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de reiorues, celle de la décoration des salles de classe, des 1raivaux manuels dans les écoles de gairço:ns, de l'a> ssu,rance infanf;iJe ou mu1ualité scolaire.

Conférence annuelle des Inspecteurs scolaires

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Le 26 octobre dernier s'~ réunlie, soos la les examens fédéraux des recrues ont été présidenœ de M. le Conseiller d'Etat BURsupprimés deqJUIÎJ s que lia guerre a nëœssi té GENER, Ghei du Département de l'instruction de~ o.rr~i~ de ~tement :plus !rapides publique, le .cooférenœ aMIUelle des Inspecqu à l ordi1na11r e. ,Mamitenant que nous voilà teurs scolaires de district. revenus a:u temps de paix, on dis cute beau· Dans son discotlI'S d 'owverture, :M. Bu.rgecou.p, da,nis les milieux scola.i.res, diu irétablisner a passé eru Tev'ue les dillffélrenlfs prOlblèmes sement des examens. Ceux-ci ont été mis à qui ont éfé agiités œs temps derniers dans les l'ordre du. 1jOUJr de la conférence des Chefs des mihewc scolaires. · ~partemai,ts de l'Ins!mction 'PU!bliquede la L"-iseignement ;puŒ>li~semble une de ces Smsse .romande, de la conféreaœ uéflérale matières comme la sltratégie ou fa pein1iwre de_s Dke~~s can tona;ux de l'linstnuation pus1 que de di'Vers conga-ès pédagogique le ,premier 'Verutlidiscute avec ab<>DKfa.nœ. blique , a1!ll' .quesi. Oo peste contre les programmes ridiculement cha.rgés et sudout contre ceux ,quJ les On al /Constaté d'une manière générale que font, sans penser qu·une école puiblique ne les Awtorités supérieures sont favorables à saUJ!'ait,quoi qu'on rasse, donner exactemwt la r~mkotdiuictioodies examens fédéraux tanà chaque élève les connaissances qu' ,il est cadii,s que le per-soninel enseig,nant IUJ.iest plupable de retenir et qui luii seront le plu,s utitôt hoMile. ' les. les ,a,vis die oos lnsipecieu,r,s -sont également 1

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partagés. S',its estiment en général que ces examens .sont illiil stimul:ant pour les écoles, un certain nombre d'ood:re eux y ,voient l1IUe ingérence piœtôt dangereuse de l'Autori:tlé fédérale dans le domaine ,scolaioce. Bn tout cas, si les examens fédéraux sont ,rétabliis., il y aura lieu de les réorganiser sur de oomelles bases giarantissalllt toUJte l'au~onomie des Gantons dains ce domiaiJle.

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La Cooféreoœ s'est· égaJemelllt oooupée de la question de !'ASSURANCE INF ANT•ILE. Dans pLusieur,s caortoos, ceite asswra:nce est obligatoire . Chez nous, elle existe dans un certatio nombre de communes, surtoui du Haut-Vala,is . ,Elle vient d'être introduilte dans l'une ou !"autre commune diU Centre . M. le Chef d,UJDépa.ritement verrut aivec 1PlailSlirce!J(e mutualité •scolaire se développer d:ans tourt! le Cantoo1. Elle est suJhvmtiloMée par la Confédération et 1"endirait œlîtainement de grondis ,seirvkes à notre jeunesse ,sco'laire en lui •asswrant des s0iins méd icaux 1Plu.s,ré.guLier.s et 1plus apprOiPfiés au.ocoi,nconstanœs tant partiqulières qu.e ~éraies . - Au1s:si la COl1Jféren,ce des Ioispectewss,aiprès un iintéressaort éohange de vues, ff)'Téavise-t-ellepowr que le plulS tôt poss,ible l' ASSURANCE INF ANnLE deviieooe obligatoire pour 1out le Ganton. El'le applaud:i1 à l'initila;tiive qu'à cet endiroit ont déjà prJse et pou,rront en.co,re prendre les communes. P.

La doco!l"atiloo des sa!le,s de daisse a été a,ssez rudo'.menfaire jltlJSq!lli'icidans nos écoles ,primaires. Oer,ta:ines communes onit édifié de .très be1Jes maisons d,'école mruis n·ont pas songé ie moins de monde à l'ornementation irutérieure des locaux. Est-ce ipar ouib1i ou à dessein? On l'igno!l"e, mais on consw.te très souvent ,que les Autooi ,tés communales ne font que irès dli'lfü:ilemen!t:des siacri'!ices sous ce rapport, comme soUJs d'autres d 'ailleurs. 1 IJuroilité que la décoratiou murale des locaux scolalÎ!res présente aUJpoin~ de. 'Vue éducatif n1'estc~pendant plws à dêmont!I"er. AuSIS<i, M. le Chef du Déipa,rtemen( inviite-t-il 1MM'. les Irnspecteu.rs à lUJi vouer tourte l'a1iterutioo Nou,s a,pprenons ,que, :Pa:r suite de qu'elle mérite et à user de leuirs ieom1JJé tenices et de leiu:r influence auprès des Aurtoci1és scodémiss~on d011JI1ée par les titwlairies, laires et communales, afin que ces dernières deux •nouvea:ùx ,oh!angements viennent se dë,cident eclin à orner peu à pet1! d'ooe fade survenir d1aiflls .Ie ,personnel d'ins,pecçon convenable ,Leuirs salles die dasse. tion ides.iécofosp:riimaires.

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P-0urr1e disfrict iClieSt~Marurice, M.

A !"encontre de ce· que l'on coostate dattls Je chaiJ1.Abbet, cu1;éid'Evionnaz et and':tutTes cant{)fl,s confédérés , les trav,aux maC::en:profosseur a!UüoUèg,e de St-Miannuels ne ~t pais eo,core suffii,samme111f en rfoe, a ére nommé insipooreuir:s•colaire•en honnejll,r dans nos écoles de garçolllS. remiph=ucement de .M. lie chain. Troillet, Un cowrs qui a été doamé à Sion il y a .autœfois curié de Salvia1n. Les nouvelles quelqµes aMées , n'.a élé que iirès peu f.réq•ueaiforucoi~nside ifüi:eur ,de !'Abbaye dévo1é. De même, le 30me coors normal quà1 s'est teJ11u récemment à Be.me à I in1en1ion de toUJs lues à ·ce vénéré ecclésiastique l"empêd11aient de remplir plus longtemps celles ,instHuteurs suis•ses, n'a été .suivi par au1i1re, 1a~queHes C-UllJI me,mbre du, co.r;ps enseignailllt valaisan. ,J,es d 'inspectewr s1co!ia il C'est dire 1queles travauoc man,uels :potlJCgars'était ·C0fl1S'a1CI1érpenidantJplus .de vingr çons ne sont pas enico.re aipiprécœs à leur uuste ans avec un dévouement ,et uine.activité valem dooJs oo!Œe Caulon. Leur utlai.té est ce- q•ui ont rp1'a:cé et ,corrns11ammenrt maintenu pendant :indéniable, car ils développent l'œil, ce di i stirict aw rarng si !lrononab le q u ·l'i b main, la connai,ssance de l'O'lt'!il1age et des occwpe , e oco11e iaiujourd'hui. matières premières, doonen( l'habitude de D'autre part, ,M. 1 '~bhé Beck, devenu l"ordre et du tral\'ail, mettent en relation l'3Jcii.vi,té scolaire avec les OCCU(Pa.tionsultértleurncteu:rdu colllègede Br1g:ue,a;ya:ntdû res de la vie et dévelo~pent l'iinitiatilve perrenr01110er à son toUJraux fonctions d'inssonne lle de nos jeuoes gen1s. 1pectew r ~cdlaire, a iétêrempl!aicé!par M. 1

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25 Décembre 1920

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. Cette Iivraison étant la dernière de 1920, l'Ecole primaire exprime au Jourd'hui déjà à tous ses abonnés ses meilleurs vœux de sainte et heureus ~

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l8 Y a deux ans, à celle qu'il voudrait avoir à celle qu'il devrait avoir. C'est pour cette cl~sse idéale (idéale, cette année) qu'il a préparé sa tâche, et il s'irrite de ce que sa classe réelle est inégale à cette tâche . Et il dit qu'il a une mauvaise classe. 1~ne le dirait pas, s'il entrait chaque année dans sa classe avec un esprit plus oublieux · et p}us neuf_; si, ~u lieu de reprendre chaque annee la meme tai.'.:heachevée invariable et d~ contraindre les élèves à s'e~ acquitter tan\ bien que mal, il donnait à chaque classe le travail qu~ lui convient. Une classe est mauvai~e, si . elle fait moins bien ou beaucoup moms bien les mêmes choses qu'une autre classe. Mais elle pourrait· faire aussi bien d'aut(es choses, d~s dictées plus faciles, des problemes plus simples , des devoirs · plus co~rts, et alors elle ne serait plus une mauvaise classe, elle serai,t une classe comme les autres. Elle pourrait même devenir une bonne classe. Les enfants n'avancent pas quand ils sont constammefii tenus au-dessous de leur ouvrage . :Mais q4and ils commencent bien audessus, on peut hausser peu à peu l'ouvrage. Quand chacun commencera sa classe non poini pa-r les mêmes exercices ique l'anné~ préc~de?te, mais par des « épreuves », et saura a111s1ce qu'il peut attendre de ses nouveaux élèves, personne ne dira plus: J'ai une mauvaise classe . Car il n'y a pas de mauvaises classes. Roger COU8INET. I

..-.•- ·- - - ·----. Variétés

SOUVENIR H'ISTORIQUE Récemment, dans une importante école municipale de jeunes filles, les maître3ses se trouvèrent incommodées par ia noussière, pendant la récréation. ~ On ar,rosait la cour chaque j01.1r, du temps ·de l'ancienne directrice , fit remnrquer une instiln(rice. Peut-être pourrions-nous insister auprès de 1a nouvelle pour qu'elle veuille bien donner l'ordre à la femme de serviœ de se servir un peu du tuyau d'arrosage. L'avis parut sage et une délégation 6e rend_it sur-le-champ au bureau de «Madame », à qui l'on exposa la requête des maîtresses. - Je suis fort surprise de votre demande , répondit sèchement la directrice. N'ête,"-·:ous

don_c pas de véritables institutrices? Et i\V vous oublié que !Madame de Mainten ~ Saint-Cyr~ aimait jusqu'à la poussière enfants? La délégation se retira, médusée grand souvenir historique . Ajoutons que cela se passait dans :ine ~ publique .voisine, en France, pour ne pas fi nommer.

' ECOLE

d:n,

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TOUT SE PA Y,E Un entrepreneur en bâtiment d'une ville du midi de la f'iance est ainsi célèbre dans toute la région pour son avarice sordide. U. jo~r, un de. ses ouvriers .couvreurs, qui po. sait des tmles sur un toit, glissa et tomba dans le vide. ,n était voué à une mort cert,ai~e, quand un gros clou de l'échafaudage le retmt par sa veste, et il demeura suspendu entre ciel et terre jusqu'à ce que ses camarades eussent pu le secourir. L'entrepreneur avait assisté à la scène. ,Le samedi suivan~ comme le couvreur, sauvé par miracle, allait toucher sa paye, i1 lut sur sa note ces mols signés du patron: « A déduire, 30 cen~ pour un quart d'heure perdu à rester suspendu par un clou. ,>'

PRIMAIRE ORGANE DE LA

SOCIETE V ALAIS AI li E D"EDUCA.TI01' SION,

15

Novembre

1920

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'*'*'* PBNS:BE

Non, PEg!Lisene .sera jamais asservie! C'e&l que FiEg,l lise est placée :p!!UJshaut, c'est qu'elle voit de 1pliu 1s ,loin, c·e,,1 qu'ellle em,brasse d'ua couiP d' œi1l1,le vaste eSjpa-ce,d'une lonig,uehi• toicr·e,et c'est vous, gotwememern laïque, pc vern1emen~de pairvenus, qui voulez ruser a~ un ,teJJ , pouvo ,ir, ,UJilijpOUVoi ,r éteme] qui tientlei baJa<nlCe& tœ fl,a ,jm:tiiœ dlans ce moode et danl: ;l'wtre! Je vous dis : vou,s n'êtes pa·s de forœ à r,rnser avec le 1Pa~; vous feriez mieux dt voui&rendre tout de sudte. Vous ipowmezêùe. VOI\LS serez prisolllniers de !\Eglise. L'Egliaene sera ,ja.mars e11 votre poss ·ession. Napolb a teoo 1e Pape pri:S·onnùer à fontainebleau. Vou1s coomis; sez ~a Jrevaoche. Vous n.'êtespu . 1P.1us for tis que Na1pollém. (Cette « ,penis~ » a d'autanit p!,u,s de poidl que ,son aute•U!f n'es1 autre que ctemenœllli 1J>i.llwsfrehomme d''Etat français a,rchï.radical et nu1~!emwt ,s,uspect de clérkailisme.) 1

1

,croire ,chll'étiennemernttltevés, ,c'est que leu,r, édUicaüonIT'ia.POO.étlé 1aJsisez,si{irieu~ement_,oh:n:tierme.On leuir aivait ;peut( Suite et "{in.) etir,elf1él:1trr-oc1tier ibeaitllcoUJp de 1erières, aic.oo : ~ phr lbre~UJCOUIP ide ipŒ"atiqiUJes .de ,déQuetous -les hommes ne 1pnUJs,seint v o,~Nl!rr;ma~s ,on ne leur 1aJv.ait pas iasiSiez •juisqtt'1à 1:a tdemière perfoction les fmt ,conn ,a1tre leur<s : m ppmts avec Té·qwences,p1mtiqU1es . .de œtte maniè- ,s,us-Ohrist. 0e /divin 1S1auivewr 1aiu1 lieu d'wvisager Jé&us-Ohrrist _; ,que la f.ai- ,de leuir :être prés1enrlié cOilll.me'la i d1rair >humainese res,erv,e !UJJ]el<31r: g-e ,de leu1ri d11ailr,l':01s,de lewrs ios, la luc'est à ,quioi noUJSJ devornsmalheu- mière 'dieleuTs yoox, la viie ide lewr ,âme 1Mais !Si l"inent nous ,atlJerndlre. n~ leUJrétait 1app,aru •qUJe dian.Jsun loin~ œ oü!nçoi~ bien Iai vérité, 1e ,aœur i:am nuélig,e ,qui œ l]_'.)-ermet tiait ni à leur . e, diainis ,ceJtte,conceptio11J dairie ,et esprit de le saisil!', ,ni à leur cret1111 de e, un iremède,oon4ireses ifai'blesses-. s:,a:ttacher à lui. ]ja rrieiigiioni, tout en i ·qui, ,damsUJni moment d'·ohscurité amit~ne l1a:r,g1e part de l·ewr temps d'ora,g,e, s'ég,éllfeen conrnai·ssa,nt le 1pr.e111 ni'iarv:aitiplé!!s ,péillétrê ,d!anisl'inrt:irnede leu; in, n'.a.urr:a pas beau,coup de pei,nie êtrie. CêlJai;t un IVlêtement,qu'ils 1éw~ien,t le TetroUJVier, mais à icelui qui n:''a 1d\:1!botr:d 1po,nié :avecj,oie,cl ,qui pluis tarid la <lir:ection:à ,suivil"e ,qu'.um1eidée ipewt-êtJPe !av.ait fini pa :r leUlfp:aJraîtrieun ou inoomplète, ,queUe !lesisourne peu louJI1di; lél!UJssi dès _qiu'ilsont ié'f.éli:a.-t~il qu1a:ndil se :rroiu1V1eiria ê.giaré? b.:11~s, '1lie 1eUII1 iai-t-il pas ~allu beau,oowp hes1ton;s p:a:s à le :r,eco 1rnniaîtT,e: une de ,telillpSI,POilllr1s'oo id!éfafre. grandes cau·ses des détiaillainœs et I i\T. ffl!giagiementsd'1UJI1J gml!lld 1lombire meset de femmes 1qu'ion 1pou1V1ait Nous ne saurions >rent1inercet aperçusans

Ladévotion an Sacré-Cœur et l'éducation

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50 a1jouterun mot su:r l' APOSTOLAT DE LA PRIERE, iLilg,uedu Ol!ur de Jésus si étroJ.!e· ment 1ié à 1a dévotionqll!inous occupe.Vo· yons-ein1 ibrièvemeotle bu,~ et les moyensd'ac-

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rappeler.constammental\.hlCjeunes chrétien>s ce devoir qui prime {ouJtesl~U'l·sa'llltresobliga. tioos et eJtJJ rend l''llrooon]jphsseimen't fucile:Le devoi,r d'être les vrais amis de Jésus-Otrisl Quel 1mgni:!Jlq,ueapostolat q,ue celuii·làl Quel boniheu ,r de pouvoi,rsatisfaireainsi les pikusa:rdoo t,s désirs du Cœu,rde Jé.sus, eu lui d\:nmantœs âmes d'enfanitsqrui lui ,sontsi chère!'.!Quelle consolaiii.oode pe.nseirqu·en 1. à· œs âimesFamowrdéivoué i(!Jocu,lru.11 de ce divin ,Sau!VeLUr, on assure, aiutan t ,qu'il est possfüle,leur .perséivérance, on les prémunit conll ·re la ,col!lfagi on du Vciœ, et on,,préipare en elles 'à rEgJ4se des auxihlalûres dévoués!Quels pas faÎlfepour acsa,criHces ne deiv:rion,s.noos quérî,r de semblablesavaint~ges;et ,pu:isque noUJspio,uivo,ns les obtenir par nos prières, aveic,quelleferveur ne die'VOOS:'DIO'IJ'S,pas les deiri' ,.as:udier l (D'après ,,Le Règne Social''.)

sier, inld'isciipliné-etfou,j ou;ris,pétulant. et

on la: con,stdère ide 1so,n véritable point es,piègle. :P,enidéliilt.6-7 h~ures ch1aque de rv1UJe.111 1est, ,en foute vérité, le ,délégué jouir, 1son1reg,a1rd ne ,peut les ,perdre de die J,a famille, 1de la: ,sodél!é, ide l'Eglise. vwei,u1111 1nsitaITT.t, sion meme ,atterntive doit Gomme le d:él1égiuéIde .la: ilamille il tion. 'Le nom :mêmè de ·cette Œwvre n,ou,s indi· veiller ijUJsq1;1 ·'1aiUJm~iil!diredie lems p~oipère. Ge n '1esitpa ,s assez, doit tSemnrutreir1 que assezque son ressort principal,songirand Jes,et .srai voix ,s:e'iiatre entenJdlr,esia:ns:re- dit ·fléœlon, il doit lêf:riemère: ipère 1par le glaive doot elle a,m~ tous moyenidi'actiolll,, lâche ,pour ;repa S'ser tainrtô t à une divi- autoriiLéet mère par tendresse. . ceux 1qUielle enrôle daa:usla sai111ecroisade sion Mintô,t à u1111e iaJUl~Pe, les, élémeniis k; :la ISod~é 1ui ,o0111'fi:e 1S1 es fufars cidestinéeà faitretriompher la .ca,u,sede Dieu plus vu,l,g,ai,ne& ,des icon1nais1s:a1nce1s hu - boyrensipouir·,q,U''il 1enfossie die bons, p,a. dlailis ·le mon~, c'est 1a pnière. 01ain 1es. QueI1e tâche fostidfou,s,e que ~ri'D'tes.JiéSiUJs~Oh;rist ,a 1conf1rmé,p;ar ses Mais lai ipr,ièreaoqUJiert ilci,une ellica,oitéque celle-là! la fer:ve111r isdœe de chaque chrétieo,ne sa,u,paToles ,et ,ses 1a,otes,œ devioir ·de finsrait lui do111ner: celle qu,idoi,t venir de 1'asfüurteu,r: « Reniaez .à César ce qui est j 'Siencor:œil ébait 1,ourtà lui-im1ême dans sooia1ion. ,cliui moment; mais, 1perodia,nt César», et il 1d/ onoo lui-<lillêmeiUn touJ'occupaitioin A cette as,socia(ionil faut un Lien.A cetre qu'ilse tmuv ,e erijfüoe d'une :section,d' é- ·chamt 1e:xiempl,etdle patriotisme. P·révoligiue de prière .ji]) tvau.tun chet Quel peut tves, il tfia,u,tmaint ,enir fa 1disdpHne y:ant la idesitn.l!ctiànip.110clJ.1ain1e et i:néviêtre le ·chef d'll.lœexpélditionentreprise pou,r 1 de 1'ai dtlé .déicide, il ''écria, ravec ta:ble a 1Utres·, ,comprimer dans Ies la l1êo-èr,eté le &alutd!u moode? Quel peut être le lien . ,., ' fl 1ts, vide1·1es <CO!il ,aomba:ttr.ela, p1a,res:se, h:vrmes: « Jérusalem, .1 érusalem, comdes cœurs mJi.se1JJsemble poutrattirer la grâce entretenir l',aiJJiplicaticm ,giét1Jér:ale, v,eiUer bien ·de fois j'.ai voulu rassembler tes par leurs prières, sinon le Cœur de Jés1Us, enfants comme la ,poule rassemble ses qwi·rpriesans :relâcheau s,ain~Taibemiade :pœlr à tou1ten u1n mot. iPowrvu enoooe qu,e la t~ire descendre:dJu Ciel cette d:i.vinegdce? patience'Il'e lui êc1mpip.e!})'él!S, oa,r uin poussi!lJSsous ses, ailes et tu ne l'as pas L'Educateur AilllSli',la prière comme moyen 11.1111ifflrsel u,n gami n ,pour- voulu.» (A suivre). 90uiffl~t bioo mérité p!a!l." d'ac'hoat, , Fa:ssociation,oommeconditioo soura ian1e lél!UmaUte une vilaine histoire. venJ.ined'"efficaicilœ poll!rla prüèré; l'unil()ln au 1CeS!f:là dessein que 1nnus sUlbstituo115 1Si,u111 ,jouir ,ou l':aiurtne,1l!Ili .moCœm de Jésus, comme sowrœ de vie pour id l,e 1I1Jom dl'édiUJca:iieUir à oelui d'insb- Heu,reu,x ment ,àle ]1a,s1sit,uide et ,d',ou:bli,c0i11:cord la111t Lavaleurde l'exemple ,que l"u:sag,e :a pliùs JP'airüculièrel'as,sociatioo ,: tells sont les élémeoJsaux!qiuels rurl:,eu,r, avec t,el ·O'l.ll tel ·aiccid'ent s,U1rv,enu à un merutcons:a:c·rr1é. Si l',on .s',ell!rtienit,au sens cet aipostolatdoit sa p11iStsaru:e. ·en tribu1111al ,s10,us /Pour ,que l'1a:u~o 1rité remplisse, da.ns :L'APOSTOLAT DIE LA PRIERE offreen litrl:énaldu terme, l'i'Œs,tirturteuir tne ,peut kolier, ne l':amèrne,p:a1S' l'incu l pation de il'ie' S p on,S1a · b iHté. ' 1 oufoe l'exercicele ptus élé~Tienfaire de la dé- ênre ,qü'uin ,prooess,ewri,d'A B C, de call'édluoatioin,le rôle 1bienfuisa:rut de révévoitionau SacresCœur,w même lemps qu 'il cul mental, d'histoire, ,de g,éogirapihie,à P.aTlerons-nnuisdes diffi.cuHés que lartr~oed'e la 1I.:oi,suprême ,et d'eXicitatri. n'e&tque œtte même dévo~iooembrasséedm,s lui s,uscitent ,parfois l,es exigenoes ou- oe d''éner,gie, Œmment doit~elle être 1 mercenaire toute sa la,r,&'euir. Il l!li"y ~ _oo~~e l ··une et l'autre tant ide i,r:aIl!Cs[)la[)1ain,·UJrJi lrées de ,certa.rrlies!au.torités ,oru:a:dmi'llis- e:xiencée?Qu:esrl:iorn ,ca:pitale, calf le sru,cde différenceque celle,q,meX1ste enke:le· foyer en Ulll mot. L'é'duoateuir, lui, ,enseigne e! ta chaleuirq;ui en rayonne, entre la force Les ,mêmes, matièries, s:ourvenrl: iavec plus trafom1slocaux, ,dies ,ooU1pSdre Iiang-u·e cès d',u,ne éducation dépend, ,pour une ide celui ett le mouivemeiit n1éioos·saire ,qu:'el~e produjt, de dévoûmernt.,et pa11ta:nlt 1pl1.1sde suocès . doll'til ,Peut êtœ ·victime :dains fa lo·oali- frès l:a,r,ge iparrt, dlUJs arv,oir-'tiairie ,qu,i l'ia etm:Peprise.'Notons-lie aussitôt, entre l'arnouŒ" et la 1emfatnce à accotIJ/Pli ,r les iMiai:sil ,nie ·~'en tient ip:aisi à ,cela, il vise té?La louirideu,r incu:r:aiblede ,èertains désirs die icelui:,qu'ooaime. plUJs[h;aruJt et dhieridhe:à ,él!lteindir,e, non ~ants ':liaittax,er Finistitutem~,d'incaip:a- dest uin pmoédé commoldJe1powr:éluder Il ne s'a,!?i't d01tJ1c pas pour les maîtoreset G1eulemenitles Î'Il!telligenœs m:ais les cite,car (pou:r les pairents en gérnérnl h~s .:."espo nsialbifüês, qu1ede s'en: rprenidre, les ,rnaîtres•sès auxquelsnous tpro;posonscette âmes., ip,o,ur les élevein Jrusiqu'àla hau- leuirs ,enfants ,sont fouj,OUJrs« mj.gTIJons, tlle ,sies édh,ecs en matiène ·d'éducation, Œurvre,c:l.'aj ,ouler de no,uvelles:rrat'i.qoos à celd , 0 les qtulaccomplissœtdéljlà œr:l:ainemelnit leurs tenir de leu,rs immortelles es;tin~s. n beaux,bien! faits, 1i0Hs.s·u:r tous leur:s uni,quemenlt à ,ceux aiuxqruiel&,on s,',est gm,ons,!PaJflf;aitement r·econrm,is,sa- ,a!dires,sté, iel!'à :s1a: voir s,ain1si j:ama:is ,dher:cfu élèves; j] ne ,s'agit tpasd~ co11~liqiuer pair une }'a :dît ,non sans /lia:is:01111. fa orofession compa \3Jgi,•s-oiles œu'V ·res ,qu,isont éta- d'instituteur is,eriaifle ipluistris ,te des:mé- blesdès lorS1à œttie mair,qrue», la: pa- si r'éeUernent, on ,a: toujo,U1I1s 01ou1Ve lle orgalîJis.aüon imnél!éréed'un :atllfuïe:seJr:amise au même, ·comme il l',au11ait ,fiaU,u,_ Que !bliesdans ,main ites êooles.No111, , il .s'agit sirn- Heris,si elle n!'éta,irtiun :saœ11dioce,de dé· resse ~pt,e de finrcUJried'UJmaître. Et pra- 'd' aiu1cu1t11s :pmfüent ma,l, ,ga,i leu,r iaurl:e, pleme.n{ d'anürœrplu.sfor1ementœs praii,ques v;0ûmerut,une vie de :s:aicrifi.oe. de des 1s1oi de l'esprit , ,q~1~ erufaiil!Ifa_v~~ et ,qui leu'.r?~nne !Péné!ToillsUill ins,tamrt,piairla ,perusée redlevie, il ,fowdm la mener Q)enda'l1!t nSi quie inou:s 1'eutt1iprodi~UJons iainœes peut..iêtme,au :ris,qu,e ipoUJrles irendir:e:rneilleurrs,c'est un fait. a Je:,IU's-dlains u111e:salle d'école, là l'1a,tmo51P.hèrenonrbrnu:se& to,u.~ leun:m~nt~: le vr~1.~evouemen1 CI:nSJt;11 s a~t de VJW:~l~ les œuw,res. eia- souvent m'alsraine 1et ip1euplrée:peut-être œ•OOmp!flometflreiphllS 01.IJmoi,n,s:Sa Sian- QY!e id'rauœns 1a,uis1&i n'atteignent Jllél!S', ,ses ' . _ . . . . , ··d'. sco- ~! bhe,sé:n les fa1,sa11t paT!,vo1peraux tpronne.s pa1110e·qll.l!e nous 'fûmes mal:aid!11oits, œt'11la-g11i lfi1ques <J.llleJésus-Ohri:sta at~a·chées au d'~I)le,c1,nqU1~.1I11h~me_id enfonts , .age cuJte de ,son d',i,vun Cœtur;il s·'agitde se pro- lalll1e.C'·est a l mstihl,teur de g,0U1Verner Cair, tnute modeSite et ,pénible qu'eUe te maturiiné d'âme à laquelle nows soiu1fü1caœ, de ·œ ,petit moridiesouvent mal1pJ1opre, curer un moyen,aussi simple ,qu·'el gros- ~t ,êlme,comhiell! lia mission de l'ins~ haitolil!sles 1conJduiire,c1e:st tég,alementun tiiuteUJr ooretien 1J11e ,s'iélèvie-t-ellepas si fait, lequel 1t11e1saiul11aitnoiu,s,faiss,ei.11 in1

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peut pain:8J.afamme elle-même, uin.iéoa·rt de marqué de toll!S',,d'tUIJls ous~orid11e, ve daims , le f.ai:t,q'tl!e1s, o,n, iaiwborité1esitléfou;rnir l',oooasion uitile, pour ,ces exipliou d~ la pawle oUJ d~!aiofil: on ,du ipè!:e, gale et ,que ses ordr,es, ,de ce ohef, sont la revol- catio-ns. èrie:fileren!d ipomt aidin11ss1ble 111 oit. - Il rpeut être, - et le seloin 1e ,dlrt tede lellil"füs. A l';airméeenfin, l'obêis·cas n'est ,pais chimêriq,we - u,n inidi93,nœ~i: ,diu;eia,u; ·oh,ef, .toultes les fois· gne, il n'1en .dJemeu:re ipas moins le mai. qu'ïl .c,omma1I1Jde s·elon ses attributions, Visitesde classes tre. A moins, que ce qU:'ïl,pres,crit n'ailœêJTle si ,s,a pers• c mmlité e.st aiscutable. par MM.les instituteurs le 1di1:,eclement conrtirele bien, ce ,q.u'il Nécessité de l'exemple L'ilJl,diginit,é idlu maitre •ne dispense ·pas ,soit , p rescrit doi, t être ,exécuté, ,q'll!elle ·qUJe Si 1on admet que, en un icertaiin,,sen,s, tedrsicipleide la 1Soumissionà I.a loi Qwa.nd um jeu.nie 1airtisia1J1 ,a achevé :de ,celui qui le .dJêposita,i,riede l'au1torité',giairdien de la ,momlité iperJsi01nnelle ·e, il quitte généraleCe ,s,onitlà ,choses ·que la jewnesse a son 'aipp:r,eI11tissag pres• o rit. la loi, ne if,ait lu\-même ,qu'obéir 'à ,cette 1priettniermaiîke et s'eil' ,yiatrat,esoin,de œvoir, ,paŒ"ce,qu'elle a ten- ment so111' Cette ,dio~rfae, qui \Illet en ;relief el loi, en la :prnmulgUJantdiains 1s es idéciv,aiUer c\htez 'd'1au1tres, 1peŒdiantplusieulfs (!anice · à ,disting,uer entre l'· o rdre ,et oelui 111nhnersielle et siorus; •si l'on 1fecoI1TIJaît que }',effet ,der- qui sauv·egiat1del'aut.CJlrité consécutives, ,et œJ,a en vue de quile donne et là n'-aocortd:er ,soumission alI1Jilée.s rigoUJ1euis1ement impérieuse ,de la Loi 1 initer.ventionidoit 1 a'Voir pour nier ,die1SOIIl dans son -éta:t.Ordinaià fündrie ,que ,si celui qui le donne lui œ ,per'fie,gtioniner résultai .de 'faire s'indiner le ,disdple, morale, doit 1êke enseignée en tourtieoc. il :renconttie ·de nouveaux procé· irement, pa,rai 1 ~ ir.r,éprnohaft>le . Cette tendance, mm,dleva·nt un ip,ou\noirrpiar,ticulier_et air- casion. ISielle 11el'était ,pars,lie bUJtéduJ10I1 ,oombattrne, 1,a: mèIJJeriaità l'ainar- diés ·dams les ,ate}i,er,s,,qu'il ip:a,roou:rt, et mJa1I11q uié . cateUJr ,q , w e }' . on ipouJiïs , u it :serait bitiiake, mais ,deviairnt les légitimes presdlie. Oliiacun se fepait de l'indignité trouve ,ainsi moy1en ,de ·cultiver les parcr~pfüms diu légi~liameuirsouv,eraiD:_;,si Fidée s·étahlkait, dans l'esprit ,des inyr,a,j.e orn prétendue ,de ,celui .qui ,comties pouirlesqiu1eUes il se ,sentimait,en:oore ·, ·qutil·St ne doivient soumission enfin, pair l'o'béi:ss:ance,0!Il s·e ,p!lopose wriielllfs 01anide 1wn ,prétex,te ·à ,ref.u&er l' obéü=ooin- fuible. De cette miainièneil devient, peu q.u: ' à · c eux qu'ils, en j ugient dignes; pa'C d'int:rio1<:l'u.ïre l',enfa!11!t dans 1 aœeptaition 1s ,son métier; ,c'est le ce.L'hisfoiœ est )Pleine•des méfaits de là ip,eu.,halbile td1an du .c,o,rncept d'urneŒ'ègleuniverselle à la- 'S,wite, le juge,meillt QOrtre1parr les infésectes ·qui, âl)'.ant 1 a dopté , c es fuéo,ries ia,nmoyen d'attirer dla!ns la &uite la conquelle ,s,ontsoumis foUJsles hommes, on rieums Sllü la irectitude :de vie dies swpé- tiohrétieooesd .aintisodales ,ont ,provo- fia1J11ce ,de .S!a cliientèle. Voilà comment la jia.u.ge ,de l'obéisrieurs, <levierudlt,ait convienidli1a ,q,ue, ;QOU'f parvenir à de tels qué,dla1rns le monde, les iplu,sdangereux .w~einsvoulant deprncèldent les bons ,o,u ou taiccord:erait 'fins éduoatives, celui qui ,exerce l'auto- sainiœ.On la ,refUJSeriait Des ~pli<,ations daires, donvenir , o a1P1aibles de sou, tenir la concU!rdéwrdries. l',on esümeJ.nait1que celui qui rité doï.~don11Jer,,t,ouitle ipriemier,l'exem- selon ,q,LJ.1e néeslà pt.11oipos, g,arnntirornt l'enfance et ren~e qui gna:ruditidejtour ,ern j'û,u,r. la 'féclaime lia mérite 011 non:. Da règle de ple ,de œtte soumission qu'il 1p1rèchie ·et De même 1a1UJSsi le ,commis ,de com. .El1e,se ,peut ex. l'adol,eooenice,,de J,a chute en de telles qu'au tl;es,orn,il impos:e. La v·aleu,r de la is•oumisisionJ,est 1éllUJ'l!re , m erce meu!I's . Le gr.and a,v:anraig·e que .pré1 c l le giairçon d'ihôtel voy:a.gent cet exemple ,est iIJJdiscufatbleet ·sa puis- p.rimer' 'ai,nsi: il faut ·oibéîtr1aux su- sentent œs ,ex,plicatiOI1JS, ,c'est qu'elles pour ·se 'fiamilia1riser,,avec lesiusag-es des iflérieur~ légitimes, exerQant légitimesaruce .a ,des cthlam.,oes ipartieuilières d'ena,wp91nt UJill·effet pŒ""éventif et . incuJquent g.rainidesmaisoDlsiilldœs .tdellies ,et comtr,ai,ne'f l' aidihiésion,de cornsdenœ q1ùl ment leurs fo,ncti!ons, ,dlaa1s le domaine àcem.x,qui les ;recevront à temps, l'idée 1 merd.ales, oom.meiaussi iavec les exigenimpœite <l'obtenir,de l':aldolesoentet dié- die leurs afuihutiorus ,q,uelle que ,soit la dela ,s10Uiv er:aineté ;absol'llled:e la l;oi œs tou,jo,urs ,plus nombreus,es ·du puvierlu ,per,s,oil!nelle ,de ,ces sl\lipérielll11S. j,à de 1'en:fiant. morale . Elles ·IJJous,p.aTaissent nécessai- blic, et visent, de la, sorte à se mettre On doit 1oet eiliSeignement à la jeu- resà foUJmirpa,r,ce_gu"eUess,o,ntun éléUécmoa~eU!r doiit ,donc être ~onviaincu ,en ~bat ide .dli:rigereux-mêmes leurs afniessie, d'laihord ipair:ce·qu'il es,t ,v,r,ai,en· mentcap,ita.,1 qu'il ,doit l'exemple et, ,cou·rng,eusement, de la formati{)ln <le la oom,iflai 1res. C'est ainsi ,encore ,que le jeune suite p:arœ ,qu\l ,est ,oppoirtu,n. A chia· lë doomer. rfscienœ . Négliger de J.es ·dOI11ner, c'est mêdociITT! ,arr;rï\lé à la fin de s,es étutdes, Ceipendiaint,ici me ·remair,q ,ue impar- ,que ~nsta,nf,elle ai ,d!evaintelle, ipar ex., Cl'llet11 1de lier 1e sort de la loi là la .$1:mle visite les hôpitauoc, 1d'es maisons de du ,p,ou.vioircivil ,dont fout aiurtire1déve- des nepi.r'ésentaill>tis t,ante est là faire, ;a1Vant celui qui la ,promulgue, par- salilre,ou :assisUieien,q.u:ailité:de .sill'Tinuméautôrire ,de loppement. ,En thèse, il fawt établir le la condtuite privée n'es,t ,p;as 1exeD11I?lai«:, ,de mettr,e en évi- raire Ul!l médedn de renom. ,diaTI!S l1~ ,domame ou tant c'est mainiq1Uer principe que PobéisSlélnoe, en matière de mais don!' l '1aUi~O'Iitiê dence l'origine divine et le c.axia1C:tèr,e Le jeu,rue in:s.titu;temseul, au sortir ooIIljI11!airudem'entis légitimes, 'Via; ,d!e 1s,oi ils r :exerieentlégitimement, doit être II'es- universeUement,o'blig.aitoirede cette _Loi. de l'école nmmale, serait-il dléjlà maî tr e ipeclée. "Da·rusuine 'école1011 u:n patiio~· 'J)OIU[ l'inrerioor, .quie1leque soit, à d 'a!llDans l'auitorité humaine indûment mé- accompli? lui :seul n"autriait-il plus betres égiairids,la ,conduite ,per,sornnelleâie ge, le .ctirncteuT,a ,s,ouventreooul'Sà t>ra1- prisée, 1c'est Dieu, ,en sa puissance de soi~ de leç,o!lls: pmtiques et ip!'é! e!lld:œi t,pris dams les mngs des lég-islatewr,qui sepa .a.t>teint.Or, ,c'est C'est la loi qui gou- ·clie·d',a,urycili:aires oelui qui ()II1donne. il, ,par hiasélll'd, !être immédiatement :ausoui des 1-eu1nes 1giens,et dont l'at- justement Dieu, en ,cette même puissia;nveme et il]Oi!l !]jais,celu~ être huim:am,qui enlfiaJ11ts ·s.i halbile ,q,u,ed' a1I1'ciens irns;ti~utettTs enirrépr,ochable. la ipromulgwei.Oe ,n'est, ni ipourr êh'e titu,de n'est ip;a:sfo,wjotllf:S ce,qui doit êrre aimé et rirnoureuisement richis par une ·exipérienœ de iplusieuirs tout s.onimonde obéi. ::. ag,réable à ice ,dennier, ni pour ·se s,01.1:s- Il oornvient,q,ttil hlalbittUJe années 1dlainsla cainrière? à ohéirr à , s es auxilia ires, 'faisa'll!tnorma: traire à s·es :représailles, q,u?:ondoit' acSuip:pos·onsl,e jeune maîlme orné ·des Da,ns u,n.groupement ,dJ,enf,a,nt,s ou de iement }e;u,r ,s fonctions, même si cewc-ct quiescer. là 1ses dédsions; la raison derlielles c0I1JI11aiss.a1rnœs, raniméde zèl~ IJ)lus Jeu,nes · g ens, ·quelqu:e méfait 1 p wblk, re. 'brèche là la loi commune. nière de l'a,9hésion ,q,uhl ,exige s·e trou· font ,p.airfoiSi 1

di'ff~rents et ex1ge ,de nous un e:x,amen iattentif 1er une ,orirti,g!ll'esévère de nos manièr,es de commanider. C'est ·à cet examen et à cette 1criti,que not11slivrer. que inou1s1a1ll{)!I11S

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e_!,d',~rrdeur

ci ,poll!f le s,uocès, ,placé à la -3ifi[1 q,ut'il -n''y,ait :darnrsles eJC;e:rciœs tête !d'une cLasse 111omibreUJse et ·difficile; siques ,aurou[!Jeinteirrniptionde nature à ·soit déso1:dre,s,oit :perte <lombien vite il ·heurteria à toute ,espèce ooca1sronrner ! de difüouHélsl1et,comprendr:a, ·a,u :bout de t,emprs: ,qrtl'e! .quies j'Orll'rs,,q,u'ïl ,est ,com1plètemeut Ces visites seront giênértalement1lell n~:v1_oe ,da1ns l~art de .diiriger uine daisse f:réquenres pour !file:pras eillt:rnverla ·boa. rpie1mtblte, ret que la: pmüq1.11e et l'ex,périer1- ne malficlhe:des dais,sies; d':aillerur,s asent_ le ,pJus ·s~uvelt lui font entièrement maîtr~s ine . ,di,~!l? oe de h::mseig,nernenrt'. ,pair :s,em.1m,. lt d~ aiµ,t, ~alg,ré les nombiœuses leçons qured u11e,de,m1-3ou1!1nee rpendant la Vi,pedlag1ogl_q,ues aru.xquelliesil ,a :régiulière- v;a sians ,dire .aiuissiq,1.11e, 1:11ent 1a,s·sa, s,té 'à l'école cfa,pplicaiticm. Ce ~ite d'une daiss,e, lie maître ne s'atliadJt 1reœe 'homme, rpouTse rendo.îecompte de pais exdUJsivementà fair:e briller quell:a•bonne ,mamche d'u,n1e. dais, e :a ,besoin ques élèv,es; mais il ,p,ou[suiv:m l'ensei,. de voir là l'œUJV1re,u,n inMit~teur bien g,nemen±,le coms ,de :ses leçons,, COl11lllt 'Il y ra même un q-u1alifié ,qui siachrema,iJnrtenirun -0rdr,e il le 'fait ,j,o'UJ!'111eUemen( r])'air'f1ait diains rsorn foole, mêrme au mo- ceiritain aviantage pou,r l'instituteur à darns s1a,ph1sionomiehamen~ ides ,exerdoes. C',est ,chiez oe maître voir la d<:1Js,se q:U'.'ilrem:a1rq'UJeœkli darté et la simpli- bituelle, ipowr ,qru'il puisse en constater iet des. ,ex,plica- les déf.edu,oisités,comme les prngrès par c_1tedes '.etl'.Sieiginemernts üons, la Juis1tess1e,et lia ,préciision s.i dési- lesquels eUe !S,edisitirug1.11e. Ces visites !seront 'Jllaru,r,ellement pJua rnibies diaJ11isles rr,époi!lisres dies élèves, la :aux ,dlébufants idra'lllsl'eniseip~01preué qui ,doit régner ,da:ns les ca- .pI1ofifa:bles h1eris, les Hv1rns·iet même-;-dJa,rus la salle g,n:ement .qu'ar11xmaîtres exipérimemfa qui c~penidoot, ,eux aussi, •peu;vent tinr de da ,sse, l'émuilration 1 cettie,condition in,ava,ntag,e de la: manière de füir;e ,d·ua dï,sp1erns ,able 1d''l.llrue bonITTJe ~oole. cr11G On n~u1solbjiecter1a ,que rcesvisites peu- jeune homme zdé, i1nstruit et d,o.uré, Vientf:a1c1leme111t don.n,e1rlireu à ·des abus. carndère bien trempé. P airfois .certains maîtres ,profitent de Qui en pour1:11ait ,dowter? ,Mais est~celà œs visites ipOUlf stimul,er l' application U:Œerais,on sulffisoote :die les ,oonidamde leu:rs élèv,es; ils él:abliiss,ent:des pa11if!I'?N?,us ,ru~ le ,penSiolllsp1as. Cest po1.,:,1;quio1 ieXIaminonsc:ommerutelles p.eu- r1allèles ,entœ les daissies ,qu'ils viJsitent Vient:sie faiiir,e ipornr 1prnduire les bons et la lem paif le moyen die 1compositions 'f:r.uitsqu' ,on est ,en dtr,oit ,d'en 1attendre. · qu'ils donnent. Les visites ,d'1éooles faites d,a,nrsde telQu 'elles s,oient :aviaintfoUJt s<ériewsie ,s et 1eis cornditiro•rns ,con!bri 1buent 1à la bonne ·se fas,s:ent .S1a1n ,s üstentation ef 1s1ains hruit ,quelles, _n':oacasionrnent nulle perte ,d,; formatiorn 1du per,s1onrnel,ens,eign~nt, à te;m:ps[M ipo,wr le maî'i!r:eni p'ouir les, élè- l'émulation dresrélèv1es, à l'extension de vres et ,n,e ,se rr1élpètel1ll: 1p1a:s trorp s,ou~,ent. rMuiCaiti1on1et ,sorn~,dès liors; à oonseiller UI11m!étî:tme rq,ui visite rnne dasrsre doit aux jeunes instituteurs . Y ,arssis~e:r1aiv,ec :a,ttention, ,o:bserver tout -•m•• œ ,qtUis''y fait se montrer oalme riéservé Pédagogie chrétienneen action s:ans neuit néainm~ins' s 'il . p rel:en'ti~11'· il ,1 1e Jttg: e à pinopos, 1examinerle& rcahie,rs C'resitlà le tifa1ed '·wn ,petit ouv,ragt dies êlèv,~,, ,oo,ntrôler leur tmv:ail 1,es, ,qu:es1ti,onnersw l,es ·diver,ses bm~,ches Idesiplus 1Pe,comma 1ndlables, 1,ustement cfé. d'ernseigne:mernt. Mais, sitôt ,qu'il ,cesse l1!ommêLivre d'or des institutrices(res1on :tiraviall, œlui qui dirige lhra,bitue:Ue-ligieu:Siesou laiiques:) et des Mères dl d:alll ment la darS1sea soi,n ,de la icontiI11U1erFamille. U se WotllVe1a:ctuiellement 1

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J.a,bibliorhèq,UJe ide l'récote,de la pluipiairt 'Clie f ill.es, le Dédes da:sses viafaisian111es pairtement oant~nral_de_l'Irns~ruction publique ayiant 1reu,sis1.a ,se ,pr,o,our ,er le solde malheUlfleuseimentir:esbreint de la présente éctiüon. Aru.:ssin',en ipossède-t-il pasIra ,q,wa'Ilihté,s.ulffisantepour .en remettreun exem1pla,11re à fouies 1es écoles t,ien,moiJn,s enoone à tou,tes lies institu'trioos,,oomm'etel 1eût iétié,son désir. Ce gui-diecompte. ,plus ,de 600 ,pages 9 ieh.ap1fuies, ,dont les tfür,e,s elJl!br,assrainit seuls,oog1ag1en:tà lire et s,rnrtout à méditerle ,conteoo de ce chrairma1nt v,olume. es v;oici: J. Sol11Venirs d'me ms~1,u1rr.irce . .- II. Commentles étlu'C'atriœ.sdo.ivenitrempliT leu-r mis.siondans le détail de la vie gqumalière. -

m.Exni1s

de la cor.respondaciœ d\me insIV. Omseiis ,pratiques d\un édu~ ,prêtre à itlJll!e mère de famille. - v. Leçonsd''une gouvernante. - VI. Quelques, noles suggesiiiives eictiraiites du âou,rmil d'une Sœurenseignallllte.- VJ.I. ·L'institutrice ,au milieude ,ses élèves; la mère au milieu de ses nts. - VIII. la ielll!le tiUe ~ l'école de Jésus eruan1 et de Jésus adlolesceolt. - IX. Une gerh: ~ traits, d'a,necld.~s et d'exe1nples avecapplications morales et chrétiennes . titutrice. -

C'est à l'(Euvre -de S:ai:ntChai.des, à Ommmont :(:Bel,gi,que) qu,e l~on ·,do-it l'éditiron: ,de cet ioui\linag ,e ,et de fant ·d'a,u1res,publi,oati,ornrsrêg;alementrecommia1n-

œbles.

P.~s. -

·Les éco1es vafaisarnnes de

~Ilesoon eoowli 1P10uirvues rde l',o,uviriage

Ge temps, comprienia,I1JI: ,quatre semaiines, représen-t,e les q'll!a-firemiliJ.,e arns·,qui se so,nt rêoouilés,depui,s. A:dam ju:sq,u;'à }!a 1s :11aip1pe!l},e ~~n~·e de IN. S. J-C. Il 'Illou les c:ue~1,rs. ides 1~altri;air,chres et deSJPrrophèbes q u 1 :attendia1,ernt 11ie Sauv:eur. :Pour bien passer ,ce ,saint temps, a.prpl~qu1ons-rnousà 'l'eni0'!1œr;élJU,péchié, à fam-e q·uiel!qu·esœuvres de mmiificaüon à ·dés~rier1arridemment lia v,enwe ,de N . drans ,no~ raœll!J.is ,~t à b1en ,diTe nos ,prièr,es de ahraque j,oœr. Faisons trouver :à nos élèves la ,p1u•J!airl tde œs idées au moyen de ,qwestmrns. 1

s:

Quand commence l'Avent? Combien de semaines du:re-,t-il? ·Que :représen1tern~ ces quatre s~maines? Quiao1dviva~ent les Patria:rcheset les .Prophètes? Nommez des, patria,r,ches,des

proiphètes? Atfeodaient-ilsla vemre du Messie? iDa11Js quel bu,t l'Eglise a-t-elle établi l'Avenrt? ,Pornrq,uoifuut-iil se 1Prepa.rer à la fête de Noëi? Que devons-nous smtourt !Préparer m no~s? Le cœu[·. Et oommeot? Ein évitant towt péché! et ecrl' orinia,ll!tde ;verl'U:.Quelle vertu oonvient-il de rprati,qœrpendant l'Aven.t? La .mortification. Que veut d~:remor:t.ilficaition? Péniim:ce. Comment ~erez-vo,i:,s ,péo.ifenœ? Autrefoi 1s am, jeûnait ;pendaJ11t l'Avent, le ferez, vorns? Non, vous vous arpplilC)Juerez mieux à votre tm;vaH. Et qµiaotl vou!S au:rez envie de mal fafü-e,vous ne sru~'Vlrez ,pas vos mauvai,s insiinds. ,Pier,re est en colère; devra-t-il <lion~ 'l_lllCOilllP à 1Son,camarade? Jean :pour· ra-t-11 d1,re ,un menisooge 11 son· maître? etc. Si vous êtes sages, si ,vou,s priez bien, eom _ment v<otreioœur_? Il se,ra beau et Jésus a Noe! 'Vl tlendra 11hah11er. Mes amis, méritez celfe g,rantlefa"'.eu,r par vol:re bonne conduite, pa:rvotre tra'V'~lŒ, par voire <lévot,ion dans Je.s prières. 1

.~e:ra.

a--0essus,pounront l'·dhfienir,pourraiuta1t1t quele pe:rmettr.ale :stock disp101nilble, en adressa:ntia!l.lSecrebari;at 1dtt1 Dépairte'" filent. (Une ,simple cairte~corres1pooldla,n,;Rraip1pelo"I11s dmqiue joulf!là nos élèvies peut êt11e1U1tiliséeici rpour ,communices h~11ie~pen~·ées,eHes lies enC'OU'f :aigeQt1onde minime importance .) r,o r ,t la foeJ1 , i1a1111e. 1

Partie pratique ·

L'Avent L'~~ent es~ u1nr~ époq,u,e de prière et

pemt~ce 1etabhe patr 'l"Eghse ipowr ·~parer 'à fa fête de Noël.

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Bibliothèque de l'école :.z:=

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,A cette inJbentio,nle iD6partement de l'Instmotiion,piulb1i,q,u1e met à ,disiposfüon 1


56 : :c .....

tres ,à Hr.igiue,1R1amo1nge, •Loèche, Sienre, Gr.a1111ges, Siion, 'Sa~OIIl,SaiNon, La Bâ. ' tiaz et IMonifthey. Oette série de 1ca,rtes est œrtainement de niat,1.1[1e 'à fal\Tor :iser fa connais1sa'Illce et .l'étude de 'll!otrehoi!sfoi!re1 n'.at~oniailie piél:r ù,amise en vail,eu,rd''u!!ll moy,en:aius,s~aip.. 1pr,01pdlé'POœrmiieux ia:tteindœ œ but. Eili1'e y contribuera ,surtout g,râce à l'en. voi' qu' 1a Nen yoUJlu , 1en ·adresser l'a diœcüon des Cornerves al'iJnieruta:ilres . de ,Sa:x.olnl:à ,nio'ime IDépairtement dte l"fasORGANE DE LA tru1ctionipubl1iq,u,e ipou'f être, par ses soins, desti,rné1a:ux 1prindpa1es'éco}es,en SOCIETE VALAIS.AllllE attendant ,qu'une 1phts,gr,ande qlliaintité 1ta distributi:on ,à '1:a permette id'éte111drie D'EDUC..l TIOll génlénailitéide nO'sdasses. Ju:siqu'alors la répa:rbition)s'en efüectuieradélilllS une mesure restreinlte et 1aiOCOII1ip!aJg ,née d'uine rp1'aqu:ett;e fournissant ,un :pet!tMstorirque SION, 25 Décembre 1920 <le t-0us :}es Cu.11.âteall!X ,passes, en rev,ue ,daDJs ,I,a ieh1aTmaintesérie idon:tno,u:ssrahl'Oln:s,l'aip1pro-.ition et _gui n:e taT"deirn L'Educateur (fin) ,et ju:stifier son titre, le maître doit se guère à devenir rpOipuilla+re, _gr,âc~ à la montrer l,e di'gne Œ'glane des multiples créniérnsitéid'u'Illedes pl'lllS'biienfarsantes p 0Uv:(}i!iS qui Le délèguent et être d:a'Il!s L'Eglise !fernet aussi à l'Muicateuir , q u1 rpi:11o~pérent à œt_te. heure h!>dustries LesChâteaux du Valais SO.Œ1éc0Ie, ,comme l'ang ·e ga1rdien visible ce . q u'elle ;a de ,plus précieux, les âmes le sol va~ aisan. P. sur œ cl!ireciJiŒ] ide[a , Société des Conserdes ,enfants, c'.est-àJcfiireleur protecteurr, des •enfants diont elle a: fait, par le ba, p -ves aiiméntaires ide la Vallée du Rhône, leurr guide 1par l'ieIJJseig;nement et leur de futurn citoy, e ns de la céleste tême , à !Sarxon,,a eu .l'exœl,lente autant qu~inffilC{dèle par le b1 on exemple; patrie. , E lle lui impose ieharge d' âmes gén,üeuse,idée ,d'técfüter, en:ma nri.ère,deré: Examens desrecrues enlui oontfJéranJI: le droit d'ens,eig111er les Mais il cfoit êtire doulblé d'u:n bon ,prodame, ,un:e,SJér ,i!eide œTtes posta'lies apélémentsde la Lf ·eligion et le devoir de fesseur, car l'eŒseignement ,est un mo,peléiesl;à 10Meni!r~e iplus :légitime suœès. On man,de die iBer,n,e,qu,e ·sur :lia de veiller:su•r l'enfance. Il ldevien1, pialf l'à yen i111di:S1p ·e111salble d'éducatio n et véhi- . ,Aussi miélri ,k-<t-elle ·bien touil'es féliciba- mande du IDé!paJrteJlll~n.t müitaii,rè, iune même,le représentant ,de Jiésus-Ohrist, ihku1e n:éœssaire de fins.truoUon. tiions ipou,r 1soni'll!ilt-iiartiive qrui réunit ici •commiss:i,o,nd''e~perts s,e réurnirn ipr·ocaril .peut s':appliq:tter dans une certaiLe bon maîtrre s'efforce ide ,conrraître ['·a1g,r,éahle à [',utile. ,H s':ag•irt, en effet, ,chainement ,a.fiŒ1! ,de iprendre :position au nemesure, ces ,paroles du DivÎn Maî- parfaitement les matières à ,enseid'uit11e,c~Uect~onde vin1gït cades, d'un sujet ,de 1"aùan!do'l1 ,ou du, maiintie~ ides tre:« Allez et ensieignez. Lais,s,ezvenir ,gner ·ainsi que la· manière de -les enseicaic:thclarlist1que.,g,râceià 1iaique,1'1e, com- examerusipédaigiogtquies ,et .gym!mstiques â moi les enfants .et ne les, empêchez gntlf ou la mé~h1o'de, dont toute la p,ratime ,en ,um:petit 1pa.noraima , nou1s1voyc,ns, des 11oorues . On :sait ,que 1'assemblée de p:,int. Ce ·q'lle vous f.erez au moin~ q,uepem s-e,condenser en quelques mots. ·dêfiiler nos, P.:_ril111ci 1paiux ,châteaux, vestidré1égués,de }a siociétês,uiissedes àinstiges :dlu ,passé, ,qui excitent ,encore au- tur!imrs ,s'est prnniancêe à ,une gr:an:~ dredes miens, c'est à moi-même que Il montre dans icha1q,ueleçon ,qu'ïl pos·s Ie faites. » sède la. spécialité 1011 ldJu: moins le point j,ou1rid'lhui ,notre ilIIJtéœtet niotr,e cu1fo- maj,o·rit,é ,corntireles ,examens ipéda:gogi- V1lu Enfin, il est rét,albli1par ,Di.eu lui-mê- ià tr:ait,er, qu'il ·sait observer les hommes à ,qu,es.. ùa ,ccm:iié!renœdes. •diirecteurs ·sité, in:timemellltrail~a:chés,qu'ils :sCJ1nt me,l'auteur ,de toute V(}Oation,,qui n'a et les choses, pensierpromptement ,pourr l'hiisfoire même du V:ai1ais.Le défilé de d'iŒstmction ipu!bliiqueica1ntoifl'a111x, 1par conistitué les ,précédentes ,autorités et qui im,piro vis•er au, bes1oin, sentir vivement oes,rtémoiin~ ,d''wneléipoquiedéjà ·l,oiini:aine coIIJtre, :préconise 'lernr maintien. La n'a env.oyéson ,fils ,s,ur la terre ,qu''en .pour dlo1Œner ide l'e:iepression à son déet mou,yiemenrooe rpart de :la tour d'Orna:qwestÏ'cm· ,est d!01J1c loin 1d',être éluddêe 'Ille die ,réaliser , s es desseins, êteru1els : bit, pader .au moins ,clairement 1pour s1e va1ss10, ,à Naters ., ipouir·s,e t~rnüner aJVec darrs un ,s,ensow 1 dlans Pamre. faireéclater sa gfoiire ·en pr.ocumnt le faire comp,rend:re, écouter attentivement le 1mâi!eartl!,d':A[lb~gnon, à Cotlombey, salut,des:hommes poulf a1pprécier les reponses 1des élèves · aiprès d!es ihiantes instmcti;ves, eilltr'flU· lP,~ur!fetnplirpÏeinement sa mission et les corrig,er .habilement. Enfin, agir

g,r.atuitement, j1uisqru: ' à 1épuiisement du :~ook res,ti1eiint,en [les1taint, les: opuscule& ,o,u ou,vmg,es.ci-,a:prèS',,qui peuvent être en de:.mallidlés par calfte-coa.T ,esUJ101ll!dance iridi,quian1! .simplement les iN°6 ·désiréis. ,Uenvoi ,en ,auir1a lieu ,au,s,sitôt 1pour autant ,que la pr-0visi-m,disponible le permeMma. 11. :UEff,ort 1combafüf ,q,ui s'imp'Ose . 2. UE,oolier ,poli. 3. Cou1rs,de langiuie ('l're a nnrée). 4. I,ns,tn.1dio1I11 1SiU[I elll/P~Oi dUJ·dit. :5. L'Univ,ers illustré . 6. Exerdces phy,si,q,u1es: p1répar,aitoi1tie1S là lai vie militairie. , 7. Guide du v~gnerionv,al:aisain. 8. 1Mian~el gynm. pouir: g,ailiçcms . 9 . .Bonnes et .mauvaises herbes. 10. 'Ess:ai s,ur le collèi;1;e ide füon. '1'1.,Mia,ooel ,gymn. pour filles. 12. IOlroixd'aine v,ooation. 'Aidr,es ,s,er demandes 1au: Secrétariat de l'instruction ,publique, Sion.

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ECOLE ~ PRIMAIRE

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