4:Jme année
TOUT ce qui a rapport
Octobre 1922
MUSIQUE
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1Educa.Hon. - ·UEdu1Educateurs et _ ;La 'discipline a~ cation affectueuse. . 'De la dts-mnlêmenta~res. ' . ' ·C~W:s co..'ll'ne l~Edlu:cat~on I{Jh'ys~que a cLpl1Ille. - 'M·ettes pe'dtagogiques. l'école. - · 1
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nt aduptê le 24 ,Le peuple vala1..san aya d c n~seil du t deuoc journaux de et du Or·a n o A pro.pos de œt ~~le' . --+· ~e spécial dem~ le cr t qe subventionnement t ont tpU'blte un .w dC 1922 conœrnan . .• nti1e en cas de du .can on . 1.1ddui:sons les ,passages · mai ·· caisses tUI~·a:ss::uranœ m•a t de rappeler 10 d·ont nous lfeP .. ·-.~oéresser et !fé- die nous croyons oppor un . ts de nature a h~~ · ~·
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smvan de l'Ecole prinuure jouir 1~ 1ec~~s · !VIiês par un appel •qui av~ent e.llCOOJrau trliom~he dUJ dévibrant a tnavat e cret. . ·, s'est bien ·Le q>eutPle valats:an, ~~~r reberlin ne .....:.~ en ~a~dloptant ba lm..,.,;nootê H • 1{)[1• 1, a mOO\!loc; . "-' s'est pas moo'ns ·uren oo....,~.. ' 1
texte du dit dêcret. 1 - Les communes 'Sont Art.. l' ance en cas à rendire obligatoire assur . fr~aue:nte~lll ladie pour wus les enfunts qw sont en âge de fréquenter 1es resArt. '2· -
L'Eta1 participe
J'as$11.1rance obligatoire ïn1antile par t'allocation, Il. ohaque enfant assuré, d'un subside annuel de 1 fr. 20. Alrt. ·3. - Les mutualités scolaires facultatives organisées par .Jes communes, ainsi que les caisses privées d'assurance, sont mises au bénaiœ d'un subside annuel de 1 fr. par enfant 31SSuré. Art. 4. - Les prestations de PEtat pré villes .a:ux art. 2 et 3 sont swbordonnées à l'a.~· location d 'un swbsitde de la part de la com'mune ou d'un tiers, subside qui ne sera pas inférieur à la moitié du versement effectué par l'Etat. Art. 5 . .- ·Les statuts et règlements relatifs à l'organisat.ion des caisses d'assurancemaladie infantile obligatoires ou facultatives, seront soumis à l'approbation du Conseil d'Etat. Il en est de même tieso conditions d'admission des enfants aux cai,sses privées d'assu· rance. : Art. 6. - Les inspecteurs scolaires sont chargés de transmettre alli Département de l'lnstr. publ., jusqu'au 31 janvier de ohaque année, le nombre des enfants assurés.
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Autorisation d'enseigner (1922-23) A Ja suite des examens de clôture du dernier cours scolaire , J' .AUTORISATJ:ON ·D'FNS5IONBR a été <lélivrée par le Déparlrment de l'Insit:ruction pulblique aux candidAts ci-après, qui auront a insi la facult! de c!B>uter en 1922-23: INSTITUilBURS ·RRA:NÇA1S Bochatay Rap_!!aël, de Sa'lvan (Trétien) Bourdin •Emile, d'Hérémenœ Dorsaz Edouard, de f'ully Duchou.d Ulysse, de St-Oingotpb Follonier André, de Mase Oay-crosier Charles, de Trient Oermanier Jules, de Conthey (Daillon) Marc, de Savièse (St..Oermain) Maurice, de Oha.rrat Ami, de Bagnes (Versegères) ~~~··"~~. de Ghamoson de Randogne Jules, des .Agettes Arlhur, de Oranges Herbert, de St-Jean Louis, d'Orsières ~Reppaz) Joseph, de Sion (Maragnenaz)
INSTr111lJ11~1\0ES tFRAINÇAISES .Ailbasini Marcelle, de Chalais Amacker Simone, de St-!Mauriœ oBrunner Marie-Louise, d 'Ardon Caruzzo Suzanne, de Ohamoson Coudray Eugénie, P.e iVétroz Darbt!llay Berthe, de :Liddes •Evéquoz Marg;uerite, de Plan-Conthey fellay Hedwige, de \Bagnes (Verse,eères) fraohebourg Yvonne, de 'Martigny-Ville Gasser Marie-Thérèse, de Sion Luy Eva, d'Ardon Moulin Germaine, de Vollèges (Yens) Puippe- Henriette, de Vollèges (Vens) de Rivaz Simone, de Sion A tous et à toutes nos meillems souhaits d~hemeux débuts. -Bon COlllnlge et ·persé~rance!
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Gours de cuisine ·En ~lllillet dernier a éM tenu l Sion, dans le bâtiment de l'.Eçole normale des filles, un cours de cuisine qui a été fréquenté par 28 martresses d'écolle en activité de service ou sur le point de débuter. Ce cours, suivi avec entrain, a donné les meillewrs résultats. Il comptait 28 participantes dont voici les noms: Albasini .Marœlle, de Ohalais Amadœr Simone, de St--Mauriœ Bagnond Cath. (S. ·Monique), à Sion Brunner Muie-Louise, d'Ardon Carruzzo Suzanne, de Otamoson Oemenzo Jeanne, d'Ardon Oemenzo Olga, d'Ardon Coquoz Augusta, de Salvan Coudray Eugénie, de Vétroz IDelacoste-·Roui:ller 1Emma, Sion Delaloye Ida, de Vollèges Oarlbellay Berthe, de ·Liddes Delaloye Théodora, d'Ardon Frachebourg Yvonne, de Martigny-Ville Gasser Marie-Thérèse, de Sion Oay.JCrosier Isaline, de Trient Germanier .Joséphine, de Conthey Lattion .Antoinette, de BasseJNendaz I.:uy Eva. d'Ardon Mamy Cécile, de 'Mase May Josêph~, de Bagnes (Sarreyer) Michelet Sylvie, de Vex Miohelod Germaine, de ILeytron Moos Maria, de Sion , .1
IV .Moulin cécile, de Riddes Moulin Thérèse, de Vollèges Rappaz Oaire, d'Evionnaz Solioz Simone, de St-Jean.
Rosaire
au-ront che~ trro.p loin 1'int,lpossible dans le ·Possrble humain Et , Poblic~tion~ de la maJson Aubanei Stl'PP""'e P . t .. d . ·q u on ne frè~es, tmpnmeurs du St- ""' 'è V<> ·' o~n ICI e ces solitwdes farouAvtgr1on. • tJ2 ye ( tes, •ou • 1~.n s'en1i·se wlontaj.rement ans ·~ eg~Isme <:alculé; mais bien de DIEU SOUS LA OONDUITE DE L 1a. wa1e sohtude, ·qu'on n'a .pas cher- VB~s ~ES SAINTE ·':lE!RGE. Par le R. P. }, tDnve. - '.Broche: 4.50· rdlié· 7 . chée, ·de ~Ile qui, doulO·Utreuse, s'abat pour étranger: 0.65. ' . .50. PoJ sans merci. H faurt ].a sulbir et pour Les livres de piété et d . . nous rendre maîtresse d'elle' 11 ' • • dent M ' 1 e rnédtta:tion aboJJ tre t 1 d · ' a pene- On .croi~~t I en est. peu ~ui valent celui-c. . ! e a ~miner. On e dit que le pric'est le mê~e ~e . ~~t hr~ • l'ImitatioH » VIlege. des ames fortes était d'abo;d on s • octnne, la même vi la sohrude s.ans fuiblir, d cela n'est.:H gueur de dévelop pentsée, la. me.me concision dans le: pa~ le cas des ~harf:reux, des trappistes, qu'il pemen suœ111ts · d' • .mais tsant font o QUI ont accepté, dans le silence de vi- d · . . faut· L'au teu.r a pns comme base <:e l~!Slon aa définition du catéchism . n··. s vre e~ f~ce d'e~I:X:mêmes.? Vivre 'en face cr,éé lhomme 1 e. leu , de S?l-~llie~~! vot la le grand ,problème de Se . t pour e connaître l'aime1· l rv1r e par ce . ' ' et IPT'ofonde,en.aoe.e f, d la VIe mténeure nelle. Toute la v~oy~ré~~q·uénr la vie ét~r . ses derolrs, en fulce de la vie choisie, les dat_nsh ce quadruple but et ~eR es~ cDomrt.Pvens• rewardant'1 •non comme uu '"" tableau lU~ é e eureusement · . • · 1 d e son ouvrage Cemspu'é gace et VOl e, mais comme un d ss. t . ud'en faire la ba•· .,. c'est la· . quJ appe le plus dan: fement appliqué. Ain~i l'on deg~en~ ~~ ce traité . . VIgueur de la pe · nsée e t 11 sour~s camees et ,généreuses 'QUe cha- concision avec laqu 11 quel<iues lignes des e e so~~ présentées ei d:e h~e ·P<>:rte. en soi, dans une retraite per C'e t là propositwns à dévelop · s ·un cachet tout à f · · · . c .otx; amsl1'on aborde les mystères ce •l'ivre qui . aJt ongmal dl Joyeux etd'l~ mystères dou·Ioureux qui à être lu par ~ pr~é gagne intiu!men nous .con u•tsent au port d ~~~emebe nt à la méd.i~a .~rlorieux JEt là nn. t 1d' es mystères ti on. Trait;ts~d':~~~i .., ""a. aucoup de bten I.a d . ' rvlfl amertume mais ouœur extreme des « Ave M' . ~ murmurés tout bas et 1 ana» JESUS..OHRIST Par 1 R tP reuse 'des. « Gloria .P atri ~ ~ula:~~:~~ ché· 2 fr p · t e · · Ehrhard. Ur(} . · · or pour l'ékanaer. 0 20 'DJeu et Homm à 1 f 15 . ., . . . ~ s?utnu~e des « 'P ater» lf1Iiaux Là sède à un <de é ~ a 0: • Jésus-Ohrisl pos. !taf,atsse_'l orgueil et Œ'ègnent la ch'arité quali'fés de . grd maccessiible .à tou·t auît"e lef ex·Q•Uise ·PUreté des mode'les n ces eux natures rn · sés ft 1' ~ ~~ropo-. les se trouvent réunies dans' ' ai.s comme el· tan't 1 a apparalt, dans un jour écle- ne divine c'est avant lumque pe.rson· tuorel qu'iÎ faut voir tOLLt .le caractère suma· seu.1, e sens ::Je la souffrance supportée ;
tLe '~aiire de nos années s'éJ?;rène dans ntos mains distraites. N()uS ne parco.urons sur terre que les deux premièLe retour à l'ardoise res parties de ce chapelet .s ublime; la Ce n'est !Pas de ·t a bonne aJrdoise qui troisième ne se vivra !Pleinement que il'ecouvce 1e toi-t de nos ma~sons qu'il dans 'l'éternité, mais la mort bienheus'agit id, mais lbien de œ (petit cadre reuse, la résurrection ....., l'ascension..... portatif que lbeauoowp d'entre nous., peuvent se realiser d'avance dans les parmi les vieux s'entend, charriaient s plendewrs de la f<>i. 13ieQ peu de ,per. autrefuis à l'êoole pour s'initier .par les sonnes, à chaque pell'le du bois bénit, bâtons à fake successivement la con- s'arrêtent et cherchent, dans la vie in. quête ode tout l'lalrph:ahet. Elle était en térieure et proionde, les enseignements eff·et •si <:omplaisante, la bonne .ardoise, cachés danS: l'humble r.aJPprochement de ·qu'elle se prêtait à tous les .caprices nos e'X!istences avec œltle de la Mère dides tbambiœ, tantôt leur servant :PO.U:r vine et de son •Fils, PHomme-.Oieu. se rormer à l'écriture, tantôt à l'art .La vie intérietm"e! Qui la cultive ea plus .difficile dUJ dessin, gtfâce à la fa- soi? Elie seule cependant -donne la cilit~ qU:'elle Qffrait d~aborder t<>us les leur d'.une âme et d'un -car.acière; exerdces 1plus ou moins callig~raphi seule est la forœ et le refuJ?;e .auq.u~l ques ·qu'on exigeait d'elle et que l'ê- faut flouiours !l'evenir, .qu'on le :ponge ou la salive avaient le dron de va. ou non, a;près avoir rier à l'infini. dans le ·c yde divers des distmctioms. •E:h: bien, la pauvre ar;doise, muée il'êves et des Hlusi.ons. Nous nous en bonne à tout f.aire, et tant décriée fl()fii souvent, dans nos détresses, jadis .qu'elle diut se ifetiorer. ·humble- nous trouverons dans les autres ment POUir ]aire :pl1ace au progrès se .pui mora'l chercllé dans nos .,_,,.,,.,~:,,,.,.,. manifestant ici sous l'.awarence du ces. La vie in.térJ.eure •q ui cree les papier, ·l a 1pauvre ~ardiOise, disons-nous, profonds étant rare, q est en passe de rev·enÏit1 f.Ofloément à la d'hommes comme nous, mode et de reconquérir Je terrain per- mes causes et aux mêmes du. C'est ainsi qu'aujl()urd'.hui, en pré- Il y aura tou.iowrs dies heures, et ce sence des rprix fantastiques atteints, en ront les plus fréquentes, I()Ù nous certains pays a1u motns, IP'atf le P<1!Pier, seuls, dénués de tout, en :baœ de le cahiei1 est a:J,:Welé à disparaître dans écrasantes, nws demandant •quelle touche, c'est surtout ' :~ lui. ~n . ce qui nous les classes allemandes .poUJr céder le termination 'Pfend're et tdevant la fii le présente d'auteur p da sa miSSion que nous · ' ns son Incarnation ·Pas à l'antique iMdoise, •que ;plusieurs dre ~uls. Roe~ï.re de nos années rosaiJre . , dans sa rn·ISS!On et sa d t · d : compns et si pe • • ; . SI peu rogatives, ses vertus et oc noe, ans ses P!é· écoles mtmicipales de 'Berl:in viennent Car seuls, nous sommes int' · · u peDietre •PUJ:SSe ta vie Homme-Dieu. ses apanages comme de ['emettre en faveur. On pense même iuges de nos situations, de nos , fud:e!H: 1 ~lum!ner tant v.raies so·Ji- dans la per'ma~:c ses rapPorts. avec uous; que la mesu!l'e va se :généraliser. seuls nous pouvons vraiment donn~ ~~utelseuame~ · l anwuissent, sans par ~'Eglise et le ~ de ·s on action réalisée \Peut..:être Q!lle La misè11e des tem?s, ,pour nous et soutVent aussi r Pnx. dont il doit être ~' .creme~ts? dans le èulte en continUiant à s'aœentuer, viendTa-t- qui nous ·regaTdent et dont _ (Echo, orR"ane cathoJique.) l'Eucharistie et dan~et, Pnt~c~palement dans elle 'à imposer •l 'ardoise enoore ailleurs. l'efir.ayante res.ponsabHire. sont les ideux r son divm Cœur qui Au:ssi poum-rons-nous bien la voir re- blement, nous sammes seuls, d'une les de son amog andes ~~~ifestations aclttd• la religion a de _.. . ·pa~taît>re êg1alement .chez n10us. Qui vi- tude infinie, et cela .d'autant plut ll'andit l'b ux cuets adnurah!es, Jes âmes à Jésu~O~~ dellcJeux livre CO!lduit biUJlbJ _,_~mme dans l'obscurité et le sont ceux d'un anAt st par des accents qu~ vra verra. P. P. n<ls âmes complexes, torturées e wws la grandeur. ~""' re. --{)-
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variétés SA.INTE 11HERESE. - 1. L'exp\ora.ttice du monde invisible; 2. La ~emme d'action; MfJPARBR SA CLASSE? &sait un jeune 3. La bienfaitrice de J'humanité. Par l'abbé maître voilà \bien une idée d'inspecteur. C'éH. Morice, lauréat de l'Académie françai- tait ~n œta pour les viewc: maîtres. :M~inte se. Broché: 2.50. Port pour étranger: 0.40· n:ant .moi 1e .su~s abonné à un excellent JOurL'ouvrage de l'abbé Morice est une étUde nal ~agogic;ue. J'Y trouve tout ce dont i'rui qui a pour but de mettre en relicl les traits besoin des exereîœs abondants, avec ~es corcaractéristiques de cette âlll1e 'étonnante. Tou~ rigés, 'tes Jlllans de leçons tr~s bien .la~s. est grand en sainte Thérèse, sa pensée aus~1 Trop !bien faits, cher mo~1eur, lUl ,n11 un bien que son action, et l'auteur a dû se h- confrère, et pouvant cooven1r à. la folS à la miter. Il montre dans la réiormatrice du Carpopulation bariolée d'une école merle ou aux mel l'eXiPlora1rice dJUJ monde invis~blle qui ~é cla-sses homogènes d'une g.rande éco1e à pl~ couvre en matière de psychologie humame sieurs cl:asses en m1 mot de la pédagog·le des horizons insoupçonnés des philosophes passepartout. ~otre rev•ue pédagogique vous et des plus grands penseurs; la ~e~ ~'ac fournit des doouments, vous suggère des tion qui voit clairement son but, qm. salt ce idées; elle ne peut taire n~ .remplacer votre qu'elle oveut et qui déploie pour le réahser une s0111111le de courage dont peu d'hommes sont travail. c \Préparer », ce n'est pas seulement pa.r· capables· la bienfaitrice de l'humanité ~u'elle courir des manuels destinés aux élèves qu'on veut repiacer sur la voie ~ui seule e:>t dans instruit, c'est aUJSsi s'instruire; dans les livres Q'ordre. D'une haute tenue littéraire, ce peti\ pour 1es maîtres, c'est encore che~er ses ouvrage est d '•une lecture agréable; les c~n explications, ses exemples, dans la 1/1e et le sidération:s les plus élevées y sont présentée~ avec aisance et agrémentées d'anecdotes qUl milieu irnntêdiat. ~ ont le dowble avantage d'illustrer le fond et LES ETRiEJNNES IDE (l)QM OOSCO. de reposer l'espr'it. C'était ii y a 65 ans, soit le 31 décembre 1881, --0un saint religieux, dom Bosco, 1~ ~ondateur Blbllographle des SaiJ.&iens, allait mourir. On 'lUl demanda: - Quelles étrennes voulez-vous donner NERfS SAliNS ET NERfS MALADES, par vos ·chers enfants? ~e Dr ()hatelain. 1 vol relié toile soUJP1e. Le pieux rmor.ibond répondlit: c [)êvotion à ~a .très sainte Vierge 2.50. ;~.;ausanne, l~bral<rie Payot. Jamais \.ivre ne fut mieu~ à sa plaœ et l communion Œréquente. » Voilà le secret de d'évelopper dans les son iheure que celui G.'lloÎ. vient d'augmenter l'excellente B1BLI01llEQUE D'E :MEDECI- nes âmes l'amour Ide la vertu. NE ·E T .O'H'YGI,EJNE qu'édite la maison Payot avantageusement connue. C'e!>t c1u'il est reconnlll qu'alllljourd'huii ptus que jamais l'é· IDOIQUE iENf ANT~INE. - Tu1 m'as tat nerveux de l'humanité est déplorable. La dit, n'es.t-œ pas. maman, qu'il ne ~aut neurasthénie s'est accrue et sans parler des remettre au lendemain œ ~u'on :peut demi-~ous et des quarts de fou, le nmnbre de ïour même? - Oui, ma -chérie. - ·Bh ceux c;ui ont les nerls malades est énorme. A .je viens ~e ~inÎ!r le pot de confiture que chaque pa.s 1'a.u,tel\l[' donne dans ce traité les m'avait donné pou\1" mon goMer. ·conseils prat~ques et simples C}U'i'l suE:iira:it <de Un acu,tre jour, U~i écoute les cigales suivre pouli' défendre ses neris. Aussi recomde temps en temps cessent de chanter. mandons-nous chaleureusement ce petit ouremarc;ue ces absen~<:es et d'un air à sa mère: - •Je sais pourquoi vrage. tent de chanter. les ci.ga\es .. . . Elles la page. · A L'EOOI.JE. - Le maitre:: D'où tire-t-On \ · ·- ·---·· - ~..-... ............. -·~---le sucre? - \L'écolier (vivement). dUI sucrier, M. le régent.
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