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11.
Nonmbre 1923
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Librairie
VlllltllVC
PAYOT&Cie Lausanne - Genève - Vevey - Montreux - Berne
(f)~aJi\l~J~ ·
A. -
COMPTES EN FRANCS SUISSES
Nous ouvrons à tout membre du personnel enseignant qui nous en fait la demande un compte trimestriel régulier avec une remise de 5 % sur la librairie suisse. Sur les ouvrages de provenance française, il est fait une
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B. -
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Les livres de provenance française peuvent aussi être payés en ARGENT FRANÇAIS à partir de cinquante, francs Les versements se font d'avance en billets de banque frànçais ou chèques sur Paris. Les volumes sont facturés à leur prix de Paris plus 10 % de majoration pour frais de port.
DE LA
Soeiêtê valai~aQI]e
d ·édu<t-a.tio n · Bulletin du MUSÉE PÉDAGOGIQUE
'
L'Ecol~ primaire
donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la eouYerture y comprŒe, et autant. de eupplé· ments de 8-1ô pages pendant l'année ordinltire~ (soit du 1er Janvier au 31 Décembre). ·
Par an: Suisse fr. 3.50, '· Union postale fr. 4. Les abonnement~ se règlent par chèque postal Tic 56 ou à ce défaut contre remboursement. A.nnonees : 20 cent. la ligne sur toute la largeur/; J Tout c:e qui c:onc:erne lCl publlc:Cltion doit être adressé dlreetement èl son gérClnt et fondateur, M. P . PI~NAT, anc:. Sec::r. au Dépc:1rtement de l'ln.struetlon publique, à: S\on.
Travaille comme si tu ·devais vivre cent ans; prie Dieu comme si tu devais mourir demain.
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Sommaire de la feuille principale Pensées religieuses. - Du man·que Ide fenm·eté dans l'aducati-on. - Educa· tion civi·que. - L'édwcation ·dte la vo11onté. - -La :pouJdlrc aux yeux. - Les oHo~ens et l''E,tat. Variétés. --()-
Sommaire du supplément B• ll-12 (Ce supplém.~t a 24 pa~es) Autour ·du clhapelet. - Le vrai Réno,vateu.r du monde (ext.raits rde la lettre ,PaiStorale ·des 6vlêJques ·suisses à 'l'oocasion de la ~ête fédérale d'actions de grâce (1923). - Ce que l'on ap!Pr·erud à Loulfldes. - TroJP tat1d! Alexandrine de 'la ferronays. - La deHe.. - Pour adOoucll" là vie (les égarldls). - Les mèr·es Ide :prêtr·es. Pour ri.re un brin (Histoiife d'e Ou~l laume TeH). - V.ariétéis. - 1Le jour sa,cré du dùmanclhe. - - L'au~omne sur la monta~ne. - Le dêlc:lin de la politesse. - Swr un volœn . .. - La chanson des. bisses. - Variétés. ---'0--
L'enseignement religieux L'ensei•gnement relÏigreux est, selon moi, 1plus nécessaire .atujourd'nui qu'il n'a jamais été. ?lhlis !~homme ·gramHt, :Pius i1 doit aroine. H y :a un. ma!Jheur .dans notre temlps, je diir.ais ;presque: il n'y a ·qu''u,n mallbeur: .c'est une certaine tendanœ à ·tout mtefltre .doos cette vie ! En donnant à !~homme pour fin et pour but ·l-1 vie terrestre, la vic ma·té·rielle, on agJgratve toutes les .misères p.ar la négation ·qui est au bout; on -ajoute à ~'a·coab1ement des malheureux ·le po·ids insu!piporialble du néant, et de ce qui n'est que la soutflfrance, c'est-à'd ire -une loi de Dieu, on fait le désespo·ir. De Và die .prolfon!des convulsions S'QJCÎ'alles. Certes, ie désire amélivrer 'dians cette vie le sort matériel d'e ceux qui soulf!frent; mais je n'oublie ,pas que 'la !Prem ière d~s amé!Horations c'est de
ln
leur donner l'es!pérance. Combien s'a. moindri-&Sent de misères bomées, lÏQb. tées, finies aplfès tout. q uan·d il s'y m~ le u.ne espérance infuüe! NOJtre devoi.r à tous, c'·est sans tloq. te ,de 'Ohet1clher à ,dimnnuer la- misèrf mais c'est a'Ussi ·de fa ire levter tout les têtes vers .le del, c'est de dirig tou1es les âmes, •c'est 1de tourner toute. tles attentes vers une vie ultérieure o' jushce sera taite .et où _justi.ce ser.a rcn. 1
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Disons~le bien h aut: rp·ersonne n'au. ra in justemenlt rri inutilement so uf.fert. La loi du monde moral, c'est 1'-élqui · Dieu se trouve à la fin de tout. l'oulblions pas et ensei:gnons-le à tous ·il n'y aur aii aucooe dignHé à vi'Vre œ la n'en va udrait Illulilement •la pein~ si nous dev~ons moudr tout entien. Ce qui allège la soutffrance, ce qui santc.üfie le tra.vail, ce qui fait •l'homm bon, ·fort, sage, IJ)atient, bi'enveilla~ iuste, à La f.ois humbJ.e et grand, .dig!k Ide J'.intellig.en.ae, di..glne ·de ta [ibertt c'œt d'.avoir devant soi la peiiJ)étuelk vision Jd'un montJ,e meilleur, rayonnanJ à trarvers l1es tenèhœs de cette vi·e. Quanlt à moi, j'y crois profondément, là ce monde meirlfJ.euif, .et je dêdlar.e ici. c'est la srtJip!I'ême certHlllde de ma rai· son, comme c'es~ la S!Uprême joie dt mon âme. 1e veux donc sincèrement, je dil plus, je veux ardemment rensei{!ntment relif!4eux. Vüctor Hugo. (Di~~couns à l' Assembùée na,tionale 15 janvi.er 1850).
-0-
Maitre d'école ou bonne d'enfant ! Un Bduca,teuor écrit au ,Valais,': 'L'ouvwture des é!coaes me r.emet en mëmoire un .petit faii: ]'arvaus dû ren· VO!Yer un peti• t en'ilant tro!P i·eune el troiP f.aiibl1e et arri~ant un matin sur deux. Dans la conrversation très cour· toise ,qrue j'eus arvoc le père, H s'arra·
d1a cet aJVeU:
·«
Vous avez raisoo, mais
'1 on est uovaJl'l1asse. » .J~
« A'wrendr<e, non! ils n'ont pas les ailes pour valer mais s'en débarrasser.» Raisonnement faux par sa base, en contradi:otion avec le but Ide l'éw1e: UEtco,le ,pour aJP!Pfenidre . . . ! Nous serons d'aœo·nd pour .la 1re parüe, .oopenrdant : votne en.f,ant est trop jeune pour exilge(f de Œui illn travail suivi. F01rtifiez-le d'arbol1d par le gran:d air et Jes JPeHts travaux à leur ,porlée, puis lo'l1squ'il sera un petit _g'arçon capa!We de se le\'ler tous les jouns pour l'~cQle aUez-y et vous verrez aw bout de que»que temjJjs rque vous n'aurez rien ,pendu. ]'ai VIU sOUiVent que des enfants débutanlls à .l'âge :rég.lementai'fe devançaient ran>~dement des. camarades de même âge mais ayant frequenlé 1es êcoJes. En lire Jdébarrassé! Ill faut, première'!Ilertt, qwe votre enfant vous soit un mnbanas à la maison! Erreur! bonne mèr:e, st vous savez vous y .prendre, votre enfant, bien que tout petit, vous rendra une fou:t.e de petits ,servi·ces si vous slarv;ez comman1der. Aimez v.mr.e e'Il'fant, .par:fiaites,· son êdll.lication que vous avez commentcée. Faites lui aimer son fover ,d/ont il doit être l'ange ·de '!)ai'X, d'union et de vi1e. L'en:fant a 4-5 ans, il vous embarrasse à la maison et v.ows vouh~z déjà l'en .êloiJgner! Grovez.wous qu'·fl s'V pl aira à 20 an.s? Que de mères seraient ,plus heureuses si elll>es aJV;aient su mieux é/Jever leurs enfants en fami~ije et pouT la famille. En vous débaJr.ra,ssant, n'~mbarras sez-vous T}asi' 'Oites"'imiOi oe ·qu'ia f.era à l'ecok lui qui aurait eJIIco.re besoin d'une bonne, vous voulez l,e donner à un maître sous préteXIte qu'il en a 15-25 auflres à survemer? Volls voulez faire de votre enfant un martyr en J'otbH,g;eant à J'immolbi~i·té, lui dont vows ne devez favoriser que le dlésir die ce corps qui ne
veut que le moUJVement et l'air. Qu'an)!pr·enrdJra-t-ia? - A connattre 1-e coin de ia salle, à détester et craindte le maître et 1'éco!le qu'on veut lu i fair~ aimer. C'est pom1quoi je vous r<Wètera i: C'est une mère ou une bonne qu'il lui faut et non un maître! P. H. --().-
Le choix d'un métier Que faut-il pour r.éussir dans ta vie? Pour reussir dans la vie, il faut avo'ir des qualités et pas trop de défaut~. Il faut, en outre, savoir tr.a v.aiHer, et, pour cela, apprendre à travailler. Quels sont les avanta{!es d'un métier manuel? Un métier manuel permet à celui qui le sait parfaitement, de trouver du travail en tout temps et en tout lieu. Un métier manuel, que l'on connaît bien, vous met donc complètement à l'abri du besoin. Y a-t-il de bons et de mauvais métiers? Non. Cest se tromper g;rossièrement que de noire qu'il y a de bons et de mauvais méti.ers. Tout méiier est bon pour celui qui le sait à fond, tout métier est mauv.ais pour celui qui le sait mal. Que faut.-.il surtout pour bien choisir son métier? Pour bien ·choisir son métier, il faut, surtout et avant tout, se connaître. Se connaître, c'est avoir conscience de ses qualités, de ses aptitudes. de ses faiMesses, de ses défauts. ' P.our se conn.aUre, l'enfant doit réfléchir :sur luimême. s'étudier et se comparer, non à de ~randes personnes, non à des enfants pris au hasard, mais à des enfants de son âge. · Zes enfants se trompent-ils souvent dans leur choix? :Hélas, oui. .Par suite de manque de
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IV
réflexîoh et de ·connaissances, par suite de leur t.endance à s'ori·enter vers certains métiers à la mode, la moitié .au moins des enfants commettent .une gr.ossière erreur en choisissant leut métier. •Plus .tard, ils ont à en souffrir.
Quelles erreurs commet le plus souvent l'enfant dans le choix tfun métier? L'enfant commet une .2,1rave erreur, s'il choisit un métier pour lequel il n'a pas les ap·titudes phystq.ues voulues; pa,r eX'e~ple, s'il n'·est :Pas assez fort, s'il n'.a pas une santé suffisante. Dans certains cas. s'il a une mauvaise vue; dans d'autres, s'il est sujet aux hernies, etc... L'enfant commet une _grave erreur. s'il ohoisit un métier qui demande une bonne instruction, alors qu'il n'en a qu'une insuffisante. Uenf.ant ·COmmet une grave erreur, s'il cllo·isit un métier ·demandant des connaissances t·echniques qu'on n'apprend que dans les .cours, s'il n'a pas la ferme volonté de suivre ceux-ci avec a:pplication pendant les 3 ou 4 années nécess.air.es. L'enfant commet une ·grav·e erreur, s'il choisit un métier .à la mode, c'.esiA-dir.e un méti·er en'Combré, sans avoir des qualités de premi·er ordre.
Quelle est l'erreur la plus (!rave que f'isque de commettre l'enfant dans le choix de son métier? L'erreur la plus ·g rave .que peut commette l'enfant dans le clloix de son métier est de viser tro,p haut, c'est-àdire de choisir un métier tro.P difficile oour l'ensemble de S""' qualités et aptitudes. On risque tbeau.coup plus de commettre une grosse sottise en m-enant un méti·er trop difficile qu'en en choisissant un trop facile. On n'est, en effet, pour .ainsi dire, i·amais irop intelligent pour son métier, quel qu'il soit.
QueUes sont, parmi les aptitudes qualités, celles qui donnent le plus chances de réussite?
po11r twtre institut de so.u.rtls-IIDuets, un
sur la fréqu~ntation de 1'annee 'demuere. Ell.ae s'est ouverte, en effet, a;vec .un efifeatilf de 51 enfants, Les qualités les plus néc:essai pour :réussir dans la vie sont : la bon. ce qui· n'est du reste pas encOtTe le maximum 1qu'on p<>uiïraiJ!: re1œvoir irci. ne conduite, l'e){factitude, 1a persévér On sait que /l'Institut rde Géron-de a ce, l'éne11gie. Bien qu'importantes, l'in canfilé aux ·Sœurs bhéodosiennes qui se telligenoe et l'instruction ne sont consacrent à l•eur œtwre avec un ·swocès les plus indispensa1b1·es. qui n'a rd'éga1 que leur dévoûrnent. La 'Dans quel cas peut-on être certa· nouv·elle diŒ'ectrice est Valai·sanne, c'e3t qa'un entant ne réussira .pas dans Sœuif 'Lude Lantion, 'de Nen1daz, dont vie? la familtle, si rféJconde en v01ca•tions re11On peut affirmer qu'un .enfant, _gie•uses, s'honolfe ode :P.ossêder encore me int·elligent, ne réussira pas, s'il 1 M. ·le rrérv. Cllll'é actuel 1de Conth.ey. Z. --o~ manque t.es deux qualités suivantes s'il n'est pas sérieux, s'il n'est .pas tr Pour nos aveugles vailleur.
Y at--il ~v.anlaf!e à ne p,as taire prentissaf!e? Non ; l'enfant qui ne fait pas d' prentissage ga·gne de suite quelq fr.a ncs par iour, mais il végète toute vie.
Quels sont les avanta{!es de faire apprendissaf!:e? Ils sont énormes ; on gagne peu dié!but, mais au bout de trois ans on ouvrier. on gagne .alors de bonn iournées et ·e!l .t'fès peu de temps ra ttrape ce qu'on n'a .pas gagné dant son apprentissage. Il est natu lement préférable d'être 'bien payé 17 à 60 ·ans que de l'être relativem bien, seulement de 15 à !JS.
Quel est le meilleur âf!e pour to mencer l'apprentisSaf!:e? Le meiUeur âP.'e est de 15 à 16 an avant J5 .ans. l'enfant n'est pas a développé; a(!Jrès 16 .ans, l'expérien démontre qu'il ne veut pas .apprend un métier manuel . (,Valais"). ---0 -
Autour de Géronde Nos lecteu.r s ar]:1pr endiront aiVeC pl3i si.r ,que la rentrée 1923-24 a ma·DQ
4>f0\lr.rès ;Sensilbl.~,
La vente du 1er août de cette année, dont le bénéf,ice net a éié affecté a.ux aveugles de natre pays, a rencontré partout un bon accueil. •Preuve en est son succès qu'on peut considérer comme t.rès satisfaisant. On a vendu 300,000 car.tes et en viron 220,000 ' ·insignes de {êle, et à cela sont venus s'ajourter encore Je-s dons volontaires at1eignant le chifue de 36,000 ,francs. A cette occas•i on aussi, nos compatr ioles à l'étranger, marlgré la dis.tance, ont donné, une fois de 1plus, une belle preurve de 'leur patriotisme. Outre les colonies suis·ses. des Etals européens, d'autres colonies su.isses en Amér:que, en Egypte, et dans rinde orientale ont partiocipé à cette œuvre de charioté na·tionale, ce Aui nous a valu un surJ)lu.s de 3000 :francs pour les aveugles. Tous .ces dons venant de près et de loin apporteront un .peu de joie et de lumière da,ns les cœurs de nos oonlfédérés privés de la vue. Un choa1eureux meroi à tous ceux qui oot donné et à tous ceux qui, d 'une manière ou de ·l'autre, se sont mis au serviœ de notre œuvre! Chacun apprendlfa, certes, avec pLaisir, ·qu'après déduotion des Irais pour les insignes de ~ête a in&i que de 'l a 1part qui r evient ~ Ja poste pour la vente des cartes postales tlu l'er août le bénéfice 111et dépassera em:01re de beaucoup la somme de 100 mille !•ranes.
Le Jeune Catholique !La livraison d 'o ctobre consbtue u.ne gerbe d'une grande r ichesse. Tous les- parents vood:ron~ prOOUlrer à >le11rs enfa1u11S une s i instru-ctive pulliLio.ilion. Ils en ti.reroo.t euiX-mêmes un grand profit et développeronlt dans ces jeunes mttillige~es le goût des sames lectwres. C'est, au lfesrte, 1'UIUque mGyen Ide faire pièce à l'invasion des éarits mauvais ou douteux.
Voici les beaux épis de la dernière • gerbe •· La renüée des cla:s•ses. - UEcole. - Au collège. - Dévouement {ii.liail. - La clei merve!ll!euse. - 'l..e hérisson. - Histoi•r e de Owllilwme Tell. - rJ_e lfclirain de Faigu.ille. - •Les expérielliCes de Makleleine (su.i.te). Devoirs des enfants envers ·l~rs ;parents (suite). - Qua!l-ités d 'une anéfJ.agère. - ·Le cnrcifix et l'enfant. - Conseils à un écolier. - \Le petit héros de Suresnes. - Va, rpeti:t gars! - Réclamation de la main gauche à la maitn droite. - Un s uccUI!enJ. 'bifteck. Coin des jeunes ~iil!es . - A ve.c DieU!. - Récréations. (Oewvre St. Augustin, SI-Maurice). -
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Vt 1noins directs. Aussi faut-il louer sans réserve M. i'abbé BoUJtet die l'œurvre monumentale qu'il a entreprise et prur laquell le il vise à vulgariser en quellque sorte poul!" lous, les r ichesses i_ncom;pa'i"aJbles d'enseignement, de foi elt de piété que renferment les œuiVres des saints PèJ1eS. Une notice biographique, des éclaircissemenros disséminés au COUI!"S de J'ouvrage, pré!ci-sent les di'lers enseignements du saint fivêque. La fm du lecteur en sera éclairée et atlfurmie, eh sa piêlé gagnera grandement au commerce d 'une âme aussi vig0ureusement trempée que l'éta-it celile du saint évêque de Ca.rthage. DE SAIINT •LOULS A NAPOLEON. Par Guy d'Aveline. Broohé: 4-50. - AVJignon, Aubanel &-ères, éditeurs. Cet ouvrage de Guy d'Aveline, si avantaaeusement ·connu, n'est pas une his~oire pro~rement dite qui irait du 13me au 19rne sièd.e. C'est une suite de 14 télgendes· ou. récits tous plus attrayants les uns que les au1res. V•ilains et gran'ds seigneurs, ducs, barons et tlautes dames y défi.lent toliii" à tour sous nos yeux, •figures parfois étranges incarnant les unes Ja plus tbasse ~férocité, les autres la •b onté et la mansU!étude idéalisées. Doué d'un rernarqualble talerut, 'l'auteur a produit l~ un liv.re atttad1ant <;u'on ne fenne qu'après l'avoir lu en ent1er. L'AJPOLOGETIQUE PAR LE CHRIST. Par l'alblbé J.-B. Bond. Docteur en Théoilogie et en Phï.loSQPh ie, professeur de Dogme. Broché, 13 fr. 50. - Avign.on, Aubanel frères, éditeurs. Dans ce rema:r quable ouvrage l'auteur s'ap[)lliçue à saper dans ses fondements ce~te er.re\lll" capitale su-ivant laquelle on a voulu étalblir nne dist:ndioo entre le 01111·i·s t et fh-istoiJre et :Je Ohrist de la lfoi. L'un et l'autre s ont identique-s, ou pour mieux dire, il n'y a qu'Un Christ qui est en même temps celui que nous montrent conjointement l'ihistoire et la foi. Le ,plan adopté ne poul'lait être meilleur. Il a l'a•vantage de placer la c,uestion sur le terrain même où le veulent nos
l!ldNersaires et de les suiwe pas à pas da111 le dé<vel qppenwnt de leurs. arguments. Avec le ca,lme -serein de 111lomme qui sail où i.l va et qui a la conscience d'avall{'tr sur Ulne route sûre et ferme, l'auteur dévt. loppe a~vec une science profonde toUJS les tf. moignages innonibraJbles de la raison et dt d'lhisto:re qui ét.ail)]issen't la vérité de la tht. se cath·dlique. Son œu<Vre est forte et el~ sera durable.
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Lausanne La Jeune Irlénagère .Journal mensuel desr tiné aux jeunes filles de la Suisse romande. - Education, Instruction, Délassements. Un an: 2.25.
OIU. OU ENFER. Par .le R. P. Elhrhard. Brodhé, 6 fr. - AJvignon, Aubanel frères. Que la terre est vile, disai~ S. lgnaœ dt Loyola, quand je reg~je le ciel ! En ce !e.mJII de lucre et de jouissànces, ne devrions..nous pas dire en modifiant légèrement sa phrase: Journal hebflomadatre, Que la terre serrî!J'e.rait vile au:x hommtt Journal mensuel illustré pour la famille.- Ch~que N• le seul do son genre dans s'i:ls regarda ient •l'enfer! On a nié l'enltr contient des articles intéressant tonte la famille : travaux la Suisse romande. Franpa1xe que .J'on redoute ses effets terribles !l manuels féminins, r11cettes, économie domestique, littérature, çais et patois, prose et ete. - Un an fr. 5.50. poésie. - Un an : 6.ses •1engeances inévitalbles; c'est ce qu'oo ap. pelle un raisonnement d'autrudte, qui croi1 éviter le danger parce qu'elle se cache b .... Sur demande affranchie envoi gratuit d'un numéro spécimen des dites publications qui penvent être roises entre toutes les mains. . S'adresser : 7, Pré du Marché, Lausanne tête sous ses ailes pour ne pas le voir. 1 but au contraire considérer bien en face 11 da11ger qui nous menaœ tous et à tout inttant; après, il ser.a trOjp tard. Lisez donc tOI\ œ qui est décrit dans ce livre sur les tourments de ;l'enfer et .tes joies dw ciel, âmes dévoyées qui ne croyez pas à qui la mort Agences à Brigue, Viège, Sierre, Martigny, St-Maurlce, Monthey arradlera un jou:r terriblement le bandeau Comptoirs à Champéry et Salvan qui vous· couvre les yeux; pécheurs endu rcis REPRESENTANTS à Ritzingen, Lax, Mœrel, Wyler tLœtschen}, Loèche . qui albusez des ~âlces de Dieu; chretiens lâ· Nendaz, Chamos0 n, Bagnes, Orsières dhes et fai~es qui connaissez votre devoir et ne le faites .p as; âmes réputées pieuses qu! la tiédeur e!liVBJhit et conduit i11sensilblement Ganntie illimitée de l'Etat aux borlds de l'aibîime. Tous nous avons desoin de nou.s retremper dans la méditation Se charge de tonteN opéraUons de Banque, a'RX conditions les pins aYantagenses de nos fins dern:ères, parce que tous nous Prêts hypothécaires Dépôts divers : albouti.ron;s fa1alernent un jour à cet unique Prêts sur billets et cédules sur Carnets d'Epargne tenme: ciel ott enfer.
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Dt1cembre 19!3
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Ololre l Dieu au plus haut des cieux et pal)< sur la terre