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Pache-Varidel et Bron -
Lausanne
La Jeune Ménagère .Journal mensuel d tiné aux jeunes de la Suisse rom de. - Education, U. truction, Délassemen Un an : 2.26.
ee Conte Vaudois Jouraal hebcloJilad
COJ~~Al~l
le seul de son genre Chaque N• la Suisse romande. F eont1ent des a.rucles mteressant toute la famille: travaux çais et patois, prose manuels féminins, recettes, économie domestique, littérature, poésie. - Un an : ete. - Un an fr. 6,60. :::::~====""=""'===""======== ======= . . - Sur .deman?e affranchie envoi gratuit d'un numéro spécimen des dites publieati qm peuvent etre m1aes entre toutes les mains. S'adresser : 7, Pré du Marché, Lausa .Jour~al mensue~ illu~tr~ pour la famille. -
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Bulletin du MUSEE PEDAGOGIQUE L'Ecole primaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, Ill. couverture y com{>ri.Pe, et ·autant. dEi Htlpplé· ments de 8- lô pages pendant l'année ordinzlire (soit du t er J anvier au 31 Décembre).
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S'occupe de l'achat et de la vente de titres et de toutes transactions avec l'étranger · Location de caeBettes clans sa chambre forte. - Gérance de titres. Timbre fédéral à charge de la banque
le plus répandu de notre temps c'e&t qu'on gite les
tommaire de la couverture :'Eico[es noo1nH11les (Ja·vis). - Le jeune 'Catlwlique. - 1P•ensées de la B. Tlhérèse de l'Enfant jésus. - L'espri~ de famlill\l.e. - Qui doit dh,anter la mes· se! - Bi•Miog~ies. - Veriélés. Annonces.
Sommaire de la feuille principale Pensée. - Le rôle social de l'institutr·ice. - Bonnes manières et éducation. - La mesure de l'al·tenol:ion. Une JPuni.tion d'écO!Le à baooir. - Un peu ..plus d'optimisme. - Variétés.
Sommaire do supplêment H· 4 ILe mois de mai. - La béatLfilcatïon de Sœur 11hérèse de l'iEnfant jésus. - Stlll' .le chemin de la IParœse. Go1111ine il en fa udr.a it! (rLa fleur ardente). - P1aœnts. - Le joh mai et les saints de g11aoe. - I~ a:vait vu. StoïciSII11e dhrétien. - Vieux habits. Les progrès de l''orrthog:raphe. - Les liv.res de médecine. - Pensées. - Variétés. ~
Ecoles normales r. Ecole des élèves-institutrices franç.
à Sion '1. Examen d'admission en 1re an· née: le n juin. Sont ad)mises à cet examen les élèves du cours préparatoire actuel et toute autre candidate qui dési:re enitrer directement en lil'e année, sans passer pa:r le oours prépartatoire. 2. Examens de promotions: les 18, 19 et 20 juin. 3. Examen pour l'dbtention du brevet de capacité: •le 2 juhllet.
Il. Ecole des élèves-instituteurs fr.ançats et a/Jemands, à Sion 1. Examen de promotions: les 2'1, 22 et 23 juin.
2. Examen pour le brevet de capaci. flez de devenÎf la sérvanfe du Seigneur; et té ( insol:it. français et al1emands) : 30 moi , patliVre peti.te créature, je su 's, non pas votre senvante, mais votre enfant! Vous êtes juin. (Comm.) -G-
Le Jeune Catbollqoe Nous venons d'en reœvoir la livrai. son de mai, dont le contenu est aussi varié et intéressant que celui des n méros parus de 1923. Vraiment, gracieux périodique illustré pour n enfants continue à réaliser fidèlemen sa devise: « Edifier, insol:ruire, récréer. 1 Aussi, ne sommes-nous pas trop sm pris d'oéi!wrendore que son tirage aMei ~e actuellement environ 3000 ex., qui est d'heureux augUJfe pour so avenir sans pourtant que ce ahiiifre so' suWsant pour assurer définitiv·em l'avenir de cette jolie publication. Ma' la maison éditrice n'en a pas moi pleine confiance dans la vitalité d petit o!1gane qu'·el[e a pris sous son ég de, car eNe compte ferme, dtaprès .to tes ses p:révisions, sur une notable a men~ation de souscr.ipt·eurs pour 192 tout en ébant en mesure de ser;vir 1 nouveaux abonnés qui seraient d · reux de le recevoir déjà en 1923. Dan ce demier oas, soit également .pour o teniŒ' un No spécimen, on peut écri simpllement à cette adresse: Jeune · t.hoililque, à Slt../Mauriœ. R. S. -0-
PINSÉES' (Exraites des lettres el écrits de la B. Sœur Thérèse de l'Enfant Jésus) Palrfoi·s je me aurpren(:ls à dire à la Sain Vierge: • Savez-vous, ma mère ohérJe, q ;e me trou!Ve 1Ji.u$ heureuse que vous? vous ai pour mère, et vous n'avez pas CO me moi de Sainte-Vierge à aimer ... 1l vrai que vous êtes la Mère de Jésu.s, ma vous me l'av~ donné; et lui sur la croi voL~s a donnée à nous comme notre M ainsi, nous sommes pl.us riches que v Autrefois, dans votre humilité, vous soul!
da Mère de Jésus et vous être ma Mère! •
Ut V y a des instants où l'on est si mal • mez soi •, daœ son intérieur, qu'i•l fa ut se hâler d'en sortir. Le bon Dieu ne nous oblige pa,s alors à res·ter en notre wmpagnie. Que disje? souvent il permet qu'elle n.o us soit désagréable pou.r que nous la quittions. Et je ne vois paJS d'autre moyen de sortir de • <)hez soi • que d'ailler rendre visi.te à Jésus et à :Marie, en cour~nt aux œuvres de oharité.
ttt Pour aŒJ!Pr<x'her de Jésus, il faut être si petit! Oh! qu' id y a peu d'âmes qui a$p irent à être petites et illiconnues!
tU ta vraie charité consiste à supporter tous aes défallts du prodhain, à ne pas s'étonner de ses taihlesses, à s'édifier de ses moindres
vertus; la cha·rité ne doï.t point rester enfermée dail!s le fond dUJ cœur, car • personne , n'allume un tlambeau pour le mettre sous , le boisseau, ma.is on le met s ur le ohan.de• lier atfin Ciu'il éclaire toute la maison • . li me semble que œ flambeau .représente la ctarité qui doit éclairer, ·r éjouir, non seuŒemen·t ceux qui me sont les plus dhers, mais • tous ceux qui sont dans la maison. " - 0-
L'esprit de famille :Un sO'cioJogue célèbre a dit: « Donnez-moi des f.amiilil.es qui mérite!JJt oe n01111, de wais éta~ domesti.ques, un père et une mère, lte roi et son ministr.e, s'.aSS!ayant ensemibJ·e au mili·eu du cerol·e des enfants, leur parlant des aïeux, de l'honneur, du devoir, et en étant écoutés; commandam dan:s le TeiSI()oot et pllus encoœ dans l'amour, et étarnt obéis; donnez-moi un .père, roi
JChez lui, et d'au~ant pilus l·ibre au de· lhor·s qu'il est puissant au dedans; donlllez-Œlloi des foyers, et vous aurez des !forums! Les pères puissants et obéis dhez eux, v.oità les vrais dtoyens libres, et c'est avec cette forte race qu'on fait tles sOCiétés durablles. » 'L'eSiprit de iamilllç, s'il étaH sérieu~&emmt pratiqué par l'immense majol!'ité des citoyens d'une nation, serait, avec la religion qui le c<Jnsacre, la pilus puirSS>ante sauv.eg]arde de J'Etat. Un 'époux u11üquement o<lCUJPé du bonheur de son é,pouse; un ,père prOfondément soucieux du s.oin de l'éducation, de l'ê~ tab1issement et de la prospérité de ses erufants; un jeune hoflliiDe inaliné par •le r~t devant la maj·esié de 1'autori·re patemene, n'en paient pas moins ·que tout autre leur dette d'argent de sang-, d'amour, de dévouement la patrie; mais les surprend~on envelopA pés dans les noirs complots? les en· tend-on se faire lœ apôtres de doctrines anarclliques, inœndia·i res ou im· mondes? sont-10e les époux, les pères, les jeunes gens de cette soŒ'Ite qui en· com\brent les tribunaux, .qui peuplent }.es prisons, les exils et 1les bagnes? sont-ce les f.emmes ou les fUles élevées selon cet esprit d'iD!térieur qu'on rencontre avec horreur et dégoût parmi l·es sangŒantes agitations de nos gu-andes villles, et dont Œes œis sauvages provoquent au piN age et au meurtre? E1 ces âmes éhontées, l'effroi des mèr-es, la terreur des épouses~ l'épouvante de la religion, la ruine des mœurs, est-œ l'esrprit de famine qui les jette 'SUr le chemin des passants pour les attirer à de fata~es embûches? Ah! la famiJlle inS!pire d'autres instincts. 'L'lhomme vertu.eux ·est à ses affaires, ~aux bienséances de l'a société, au repos, â d'innocentes joies; femme vertueuse est à son nténp.ge, à son époux, à ses en:tiants, au travaiJl des mains, à de saintes 100tuŒ"es, à La .p rière; la fil-
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modeste, humble et virginale fleur, se caclie plus profondément encore, abritée sous l'aile d'une mère ou sous ·le noir vêtement de sorl deuH; le jeune ·tiomme réservé se livre à toute son act·ivùté, dans la con:ditioh qui s'est ouverte à ses yeux; s'il ne craint ni le péril hi la. menaèe, il se garde bien de les faire inaroher devant lui; son cœur est plein de tilammes, mais celle qui s'aHume ·au foyer d()mestique brû·Ie sur l'autell de la patrie, et ne le met pas en cendres. Ett qu'est-ce qui s'alarme le plus vite du bruit, même lointain, des tempêtes sociales? N'est-ce pas la famme? Qu'est-ee qui porte le poids le plus lourd et les chwges les plus pesantes de l'Btat? N'est-ce pas aussi la famille? E.Me est donc son élément de conservation le plus sûr. C'est par eUe que se fondent les jeunes sociétés, par ellles que les viei.Ues sociétés reverdissent. P9'US ta famil.Je prospère ou languit, plus la société jouit ou sourf,f.re: les mêmes pulsations tra·hissent les mêmes vœux, parce que la circulla.tion de la même pensée fait battre un rnlêrne cœur. Mgr. Pavy. -
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Oui doit chanter la messe ? ----- -
On écrit de Vaalorbe à l~EOHO: Je suis un auditeur assidu de la messe paro issia•le. J'admire les belles mélodies grégoriennes qtle chante si artistement notre chorale. Je voudrais être à l'église un exécutant, membre 1ctii du chœLtT liturgique. Mais mon ignoranœ de la musiGue et du chant sacré m'Oblige à n 'ê tre, le dimanche, qu'un si111ple auditeur. Telile esof la réponse de maint paroissien, lorsqu'il est invité à participer au chant ecclésiastique. Cette réponse dénote un~ méconnaissance du rôle GUe doit ;ouer chaque iidèle, penUant la messe ahan· .fée. Comment, en eFfet, doit-on envisager Ja grand'messe? • Comme un dra~ sacré . où
chaque participant est acleur. Void, sè:ài bien Hrribrées chantaient les louanges divi· les rubriques ou règ:es liturgiGues, la dis. nes. comme nos oLiices seraient plus vivants! 1ritbution des rô!es des chanteurs: 1. Le prf. jlloÛ$ entendrions des réponses, des Amen tre célébrant; 2. Le èhœur liturgique 011 que S. JléTôme compara:t au roulement du • sdtola • ; 3. Le chœur des !Jdè.les. Au prêltt tonnerre sous les lambris tl'u ~eest confié le rôle de soliste, dans le cha lNes enfants du oa!iêclhisme s 'initient peu des Oraisons, de la Préface. du Pater, etc. l peu au rôle qu'i1s doivent jouer à l'église la sahoia, tantôt divisée en deux parties q A la fin des leçons re!ligieuses, ils apprense répondent, tantôt réun ie en un seul chœur nent par cœur, phrase par phrase, quelques est réserv~ J'exécution des clhants du Pr~ dtantlts tm; si1J1>!es du rélJ)ertoire grégorien. pre de la messe te1s c;ue l'Introït, le Gra. Un petit groupe de jeunes font, chaque lunt.tuel, l'Offertoire, la Commun:on. Au chœ di soir, ·un ,peu de solfège et étudient les des fid\!les 3!ppartienrt le chant des répon messes les ,plus faciles du • Kyriale ». Plus au célébrant, telles que • A.men •· • Et cu tard iils seront de bons chanteurs, membre; Sq>irilu tuo •, • Deo gralias •, etc. A ce ch acti:i de notre dhorale. U fa.ut GUe nous réaest dévo~u aussi un verset sur deuoc d lisions peu à peu le mot d'ordre de Pie X, chants ordinaires du • Kyrie • , du • Gloria dants son • Mo lu proprio • : • Que les fidè:ies du • Credo • , du • Sanctus • el de • l'A prennent de nouVea!U· une part plus active à gnus • . la célébratlion de J'odiiice ecclésiastique corn· Dans l'exécution d'un drame, d'un Qpén me c'était autrefois la coutwne. • Oui, au· c:haque acteur a son rôle bien précis. S lrefois, tout le pel.lip:e ohantait à rég;ise. prime-t-on parlois. le rô'e du .premier so:i Penrliant 700 ou 800 ans, depuis Cbar:emagne te pour le cont er à un groupe de chanteu •jusqu'au ~lime siècie, on chantait 1e Cre· do sur \Ille même mélodie. Pourquoi 1~ Remplaœ-1-cn la messe Chorale GUi d chanter de grands dhœurs par un duo ou chant coJaedif se perdit-il? Les causes en furent variées. Affaiblissement de la foi, déca· tr io d''art:stes? Non. Le.s rô:es ne sont denee du dhant sacré. enw~issement de la intervertis. S'ilis l'étaient, le drame ou l' .péra perdrait sa beauté et n 'exciterait aue po~onie et de l'm:chestre A J'église, tous entJhousiasme. Dans le drame sacré de œs facteutrs diSisOilvanls et d'autres encore ont eu 'l eur part dl 'illlrl.uence. Restaurons le messe, les reux premiers rô.es, celui du p dh•ant populaire. Dans son Epître aux CoIre et de la schola, sont inlel1Jlfétés sel lossiens, S. Pa.ul inviife tous les iidèles à les prescript:ons de la liturgie. Le troisi' ohanter Dieu pu • des psaumes, des hymnes rôle qu i exige la grande voix du peuple a-1 et des oantic;ues Stpirituels. • L'Apôtre ne des- interprètes en nombre s-uHisant? Tr veut pas d'une égtse muette, qui elQJ)rirne en souvent, un certain normlbre de paroissi silence les louanges d ivines. Tous ohanteurs se contentent de jouer un rôle muet, co pour la glloire de Dieu, voilà le véritaiù dans certaine p:oce de théâtre. Nous n' rôle que nours as signe !~ise. vons pas de voix, nous ne sawons pas ch ter, disent-Hs. Piteuse objection! Pour ch ~ter • Amen • , est-ir! donc nécessailfe de Bibliographie s.éder la voix di.m Caruso? Pour rlu><> • Et cum Spi ri tu tuo •, faut-il préalablem Malaon Aubanel trères, èdlteurs g a·voir fréquenté un conservatoire? Nous c 6 Avignon nai·S>sons des jeunes gens, muets comme LE rM.oiS .OU ROI [)'AiM'OUR, par .Je ohan. C3J1PeS qu:and · i~s a·S'SIS>tent à la messre. Ma' Olivier. - Un vorl. in 12. Br. 2,50 e dima.nct1e soir, leurs cordes vocales 30 •Jeclu.res, ·5 .m&l.itattion.s et rliveriS ~p des vilbrat)Oits si sonores qu'clles révei~l rpendices sur rle Sacré-Cœu·r, composent ce les paisirbl.es dormeurs. Si toutes ces v petit volume ,qui •sera lu avec Je plus grand
profit dans les pa:roisses: drans Jes !aml1les qui ont intronisé rle Satcflé.O:eur. H s'adresse à ltous et petut senvir à toute qpoque de 'l'an-
née. PETIT !MOIS DU SACRE-CŒUR. - Pen· sées pieuses pour le mois de Juin, par ·l'auteur des « Pai;lfelftes d'Or. - Jk 25 centimes. Ces pensées pieuses se divisent a:nsi: Les tendresses, les désirs et 'les épines du Cœur de Jésus.
) LA DBVOTION AU SAORE-CŒUR (sa nature, stm origine et ·sa hn), JP3.r ,le oha· noine BonnevaL br. 1.75. Bien que 'l 'on aitt beaucoup êcrH dé;là ·s ur ae Sacré-Cœur - .c ar c'est .là un .thème qu'on aJ'êpuise pl!JS - l'ouvrnge P-ont ci ~haut le tidre contienlt, réunis en Ullle courte 'Siynfhèse. le dogme, Phistoi-r e et J'aocé'tisme de ~tte :be!~e dévotion. U renfenne 3 parties !raillant de Ja naJtuore, de d~llcèlleruce et de l'origine de celte dëvotion, dont la fin tell)i à univer· saliser 'le règne d,'U Cœuil" de Jésus. c'esrf-oàd !re à tou1 restaurer dans •le Ohrist. IEXEIROIOES POU:R A!PIPI~ENDRE DU SA· CRE•CŒUR UE J'E SUS A rBLEVER r.;ES ENF AJNTS (lbr. 45 cent). Cette brodhu,re, qui s'adres·se spécia~ement a•u x Îr)]lsrtùtutriœs et auoc mères, ·é tablit <;·ue tou1:e ékl~~cation albouM 'à une hewreuse réussite guan:d on l'aœomplit dans une patiente et confiante union aUlX cœurs d'e Jésus et de 1Marie et qu'on Œewr ramène sans cesse le cœur lies emants. Ces exrercices aideront les mèreset les institwtrices à ranimer en elles les pensées, ·les diSft>Osition.s nécessaires pour J'œwvre <;ue 'les sa ints a,ppe;Uen.t • l'art des arts . • N011RE 'PAIN DE CHAQUE JOUR (br. IIr) Lorsqu'en récitanrt :Je • Pater., nous demandons à :Dieu .notre pain de .cflaque jour, nous s ongeoos suntout Jà nO!trecofiPS. Cepen· dant nous ne devons pas oublier notre âme q~i a a~ssi besoin pour vivre ctu, pa!n quotidJen: C est pour nous en !faire sowvenir que a~ p1eu:x: et compétent au.feur a écritt ce peM h~re domt la lecture sera profitable à tous.
•
À . Dl EU . . . D' Ai30RJD OU LES MARTYRS NOltRS, par le 'Rév. 1P . .[)élévaux. iDname histori-que ,e n 5 a'Ctes et en vers. Fr. 3,
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Variétés MYSUF1lCATION JOYEUSE .ll vient d"arrjver à une 'l."evue parisienne une petite Jt11éls,aventure assez gaie. ·Eiae avaiJt orgliltlisé un conoours SUir c Péducaiion des jeunes filles» , concours au.q.u.el prirent pari, de •l'un à l'autre bout de la France, toutes oies • cou,sines ~ et toutes les • nièces~ , comme iL oot maintenant d'usage de désigner les correspondantes· de tourte ~kation féminine. Or, le premier prix, powr la délicatesse · des réponses et leur finesse toui!e féminine, fut a:ttrilbué, ,p u la revue, à une demoiselle des Basses...Pyr'én.ées, ·Mlle R ... IMI!le R· .. reçut donc un dhèque de miUe Ir. 12 paires de bas de soie et un piano à qu.eue. Puis les autres • oousines ~ lectrices et albonnées entrèrent en conresporulance avec la dél<icieuse lauréate, avides de ses conseils édlairés sur ·l eurs -toi~ettes. ~eurs lectures et tou.s ~es petits soins de ieur petit cœur. Mile R . .. , bonne hUe, répondait ld'un.e e~re dêli•cate, et dirïgeajt, à distanœ, les consden100s et 'les clhoix chez La modis1e et la cmllturière. Hélas, lborri'lj}e véûté Hnit par être découverte. Mlae R... n 'était awtre qu'un élève de· rttétoric,u.e, à qui l'inferule fantaisie était venue de monter un bateau irrespectueux au cousinage créé par la pu.lbllication parisienne. . ILes charmantes • cousines • n'en sont pas enrcore revenues et ce n'est g.uère SU11Prenant.
.l IJE V1DflDULIJSSE\MlBNT ])ES BOIS On signale deux nouveaux prooêdés pour aldeêlirer ia dess.ication des bois, l'un inventé pa.or M. Otto, consistaot à soumettre les
bois à l'adi.ou dauu cou.rant d'air contenaul 2% d>ozone, à une tempéN.tute inférieure 30 degrés; l'autre de M. Ma11Ier, consista à bruigner. qudlqu.eg. heU'res, Je bois kians vapeur cre bemol. Le procédié Otto exploité par la Compa gnie française des bois, réaoliser-a~t par l' zone, un vidliS'semenot artitide1 qui do des bois a,yant exactement les mêmes c,uaii tés que les bois vieilllis à 1'a:ir libre pend 11. 10 et m:ême 14 ann~. U ressol"t d'essa· ~edués sur des é<franWdons.. de ëhêne et IIIOI)'er · q u.e les boi,s tra.i tés par le pr Otto ont une teneur variant de 6 à 15 d"eau, teneur qu'ils do~1 conserver po être travailllés aisément 1Le même article appeil~e l'aJttention su.r l ;• !Potea.ux noirs~, c'est-à-dire d~ potea ,i~ectés à J.a créosote, de manière telll.e qu'' deviennent sultiisaonnnent i-solants pour s poJ'lfer sans isdla.1eurs, des lignes sous 1 :volts de tension.
A [..~500LIE très dhauid e1 Qe tenws est à l'orag tL'instiliuteur a fait oUIVII'ir po.rtes et fenêtr et s'~onge •l e ~ront. I•l s.ur:vei:lle d'un œil vère ~es élèves du s~ième 'banc, qui surve· Œent, eux, le co.rridor et fa (p011te d'entr If:.!, tout â coujp, lll lites êlêNes de ce ba !ève la main, 5ai~ cla<;uer ses doigts et cri - IM'Isieu! M'sieu! - Silence!• tait le ma!bre. Elève X., v me conjuguerez ~owt de suite, lllll prés au passé défini et au pas.sé inldéfini, Je ve l• :je dérange rmon bon maître sans mot .p!.ausiilJJ.e. Au !bout de dix minutes, ~e jeU<ne X a te .miné son pen>Surn et :le tend à J'ins,fi.tuteu qui tui demande: - Que voulliez-vous dire iout à l'heu·r Par.Iez maintenant - Oh! œ n 'es·t 1p1us [a IJ:lCine. Je voul.a sim,Plement vous di!Te qu'un individu qui naill d 'e.rutrer dans le 'Cor·ridor erqportait vo pa·rapluie neu'f. • A :J'6a.men. - •Dans \lille œserne .france. ___, Et vous? - Je suis ~adle1ier, s gent. - Je ne vous 4_emande pas •si v·o ~tes badhelier. Je vous demande si vous vez Hi:è. .
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PAYOT&Cie Lausanne - Genève - Vevey - Montreux - Berne ..4.- COMPTBJS EN FRANCS SUISSES No~s ouvrons à tout membre du personnel enseignant qui ~ous en fatt la dema~de. u.n compte trimestriel régulier ave.c une remise de 5 % sur la hbrame suisse.
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