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BANQUE CANTONALE DU UALAIS SION Agences à Brigue, Viège, Sierre, Martigny, Salvan, Monthey REPRESENTANTS à Ritzingen, Lax, Mœrel, Wyler tLœtschen) Tourtemagne Loèche, Nendaz, Chamoson, Bagnes, Orsières
Capital de dota'iion : fr. 5.000.000 Garantie illimitée de l'Etat Se charge de toutes opéra.üons de Banque, aax conditions les plus anntageuses
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Carnets d'Epargne à 4 t/2 Lettres de gage à 3 ans 5 t/2 Bons de Dépôt à 5 ans 5 s/, Comptes courants à vue 3 1/ 2 , , bloqué, suivant le terme 4%-4
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C~ GllllfJJI' DE LA
.5o·ciêfé valai~avQ:e d 'édu~-afio_n .
Publication fondée en 1881
Turnanstalt Berne
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L'Ecole primaire donne une dizaine de livraisons de 16 pages, la couverture y comprise, et autant de supplé· ments de 8-1& pages pendant l'année ordinaire (soit du 1er Janvier au 31 Décembre).
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Par an: Suisse fr. 3.50, .', Union postale fr. 4, Les abonnements se règlent par chèque postal lie 56 ou à ce défaut contre remboursement. Annonces : 20 cent. la ligne sur toute la largeur Tout ee qui eoneerne la publleation clolt ;tre adressé cllreetement (\ son gérCJD.t et i!onclateur, M. P. PIGNAT, ane. Seer. au Département cle l'Instruetlon pubUque, à Ston.
Médaille d'or à l'Exposition nationale suisse de Berne en 1914
lo":.,~~ 0d~i:~~1!fle1r ledc:iarac:tère d'un enfant, Je ptemier soin r es
vers pene: hants de chacun.
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àssurance infantile =:a
trop court. - La grande promesse du Sacré-Cœur. - Le sens paroissïal. - Voca·tions ·saœrdotales. - IPiété d'été. - . Les saints. patrons. - Autour des vacances. Ce que ne comprenai-t prus Agénor. - Le frère et la sœur. - Variétés. - 1Pensées.
Nos institutetl!ffi n'ig·I1!01"ent po·int que, dimanche 24 sept, 'le 1peu;ple valaisan ser:a ·app·e~é là ose ,prononcer ,pou:r .---.()l':acoeptat~on ou 1e [,ejet d'un décret du sommaire du supplément 7 Orandl Oonseil -qui ~it VtaiSsurance 2 annexes de 8 paseg) de la q,eunes&e ,s,ao:~ai!re en -aas: de maladie. Nous \"Oulons 'espéœr que tous La dévotion des 3 AVE MARIA. - Le contribueront ·ptél!f 1eUII" '\'lote ,pei1Smmel blanc dans la liturgie. _, Les deux bas. - Le et :par leui in!Huence aTUi u1omiPhe de talisman. - Catherine et Marie. - L'ange ce :décret, ,qu'il ,est dlans l'inilérêt géné- gardien. - Trois mesures. - Le oœuT de ral de VIOir ad01pté, iPUtÏ:Siqlu 'tl s'agit d'u- Jésus. - Le rouge dans la liturgie. - Dans ordres religieux. - Les plus heureux. ne œuvre humanitaire ci sl0cia!1e .q,ui les Le 'Vent des moissons. - Le casseur de vidoit avoir tout notbre ~pl\)Ui et toutes tres. - Le vol sans moteur. r- Variétés. nos symp1athies. Sans doute, il en ré- Pensées. _ _ sultem ,pom ·~a .caisse de l'ttat et des 0 communes une dléip,ense nouvelle, ma~s Sommaire de la COUVerture celte-ci n'est p,a:s à '11eg:n~tter et se justiAssurance inîantile. - Sommai·res. - In.f,~e :au -oontrai11e \1)1am l'a\113.nta:ge consiterprétations. - Hygiène scolaire. - Pour dérable dont en ~énéfuciem toute la Ies petits Russes. - tDut'ée d'école. - Mai· d·eunesse téodlièœ. tresses de traval\lX manuels. - NominatidllS;
Hygiène scolaire Il est ~écidé GUe l'Etat supportera les frais d'insta'llation à l'école normale des institute~rs d'un s;r_ viœ d'eau chaude, pour les bains. Un c:redlt de 3000 .fr. sera prévu; dans ce but au h~et de 1923.
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Sommaire de la feuille principale L'école et les vocations :sacerdota~es. Le bon sens chrétien dtans l'édltllCation. -
Les bons et les mauvai·s côtés de l'émulation. - Culture du chant. - 1Le respect de l'en· fant. -Notes géographiques. - L'école s·ans Dieu. ~ Variétés. - Pensées.
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Sommaire du Supplément No 5 (5 annexes de 8 pages) Comment entrer à l'église. - Les œu.îs. de P.âques. ,.--. La petite vestale. - Les vingt sous du pèTe Landry. - ·,Le ,\"Ï.eux coffret. Dévotion à la Sain-te Vierge. - Autour du Christ. - !Les baromètres de -la .campagne,. - Une visite à la grotte du :P,o-teux. - Comment dormir. - La politesse. ,__ Pie XI et l'Eucharistie. - \Nos sanctuaires. - L'i:solé. -. Ah! le pirate! - Je suis entré .. . !Pouvons-nous dans le ménage utiliser nos garçons? - Billet d'un curé à ·son sacristain. - Le 1it de la mère :Moineau. - Le funtôme. - Education ~ rebours. - Coup de .;haJleur et insolation. ,...- Trop long et
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Pour les petits Russes
concernant l'art. 7 de b loi du 19 1919 1ixant le .traitement du personnel gnant primaire, le Conseil d'Etat a que les -instit-uteurs et les institutrices qui vent être remplacés pendant ile COUJ'S scolall'l• pour cause de maladie, continuent à toucher leur traitement pendant un mois. la maladie dure davantage, le traitement 1sera plus payé qu'au remplaçant. ~ Relalivement à l'art 115 a) de la sur .J'enseignement :primaire, il est décidé "'- · · es can I.da t s pom l'awuJSston aux d 1 d'entrée à l'école normale doi,vent être de 15 ans ail! moins au 31 d:écemlbre de née courante. ~ Uisoutant i\'art. 121 de la même Conseil d'Etai a estimé que seul le nel enseignant qw a dirigé pendant 8 une école primaire, est censé avoir ses engagements envers FEtat.
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La collecte organisée dans les éooles du
canton_ en fa,ve~r Ides petits enfants russes en prote a 1~ b~I.ne a pr~duit environ 3000 fr. ~alellf qu.1 a ete tr~ns1mse au nonce du pape a Berne pour la faire partVenir là. •destination. -()-
Durée d'école Parmi les écoles nouvelles dont la. durée ~t prolongée dès maintenant ,il y a lieu de oter . celles de Ohampex {Orsières), Granges P· St~rre, et :Montana-Vermala, qui auront 7 mots de .classe.
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Maîtresses de travaux manuels
- Brevets de capaci1!6 et certiŒicats Selon dédsion du! Conseil d'Etat, ce perraires. - Nos déliunts. - 'Le 'bon mc1meofl soon~l. ne peut être mi•S au bénéfice d'inpour travaiUer. - L'école à 7 <h. ou à 8 1h. demmtes supplém:ntaires mensuelles polll e_n~tgnem:nt et deplacement que si son ~c1Pensées religieuses. - ,Bibliographies.--0-hv_Ité est egale à celle des institutrices ordinaires.
Interprétations
Jaquier André, à Satva« Meytain Placide à Nendaz Michelet Joseph' à Vex . ILéon, à' Vissoie M onmer PanchatidJ iLéon, à Bramois P~pilloud Placide, à Conthey Pltteloud Isaac, aux Agettes Rey MM'cel, à Montana! Soi ioz Denis, à Vissoie
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Nominations
MM. Victor Bonvin, inst. à Chermignon
a été nommé receveur du di·strùct de Sierre'
et jos.-Fra.nç. Moulin, iust. ià Vollèges, dési~ pé au meme emploi pour le distri:ct d'Entremont. - Nos félicitations. -0-
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Cer_t'ti l cat temporaire (1922..-26)
Ensu:~e de début saHsiaisant en 1921-22 certihcat a pu être 'de·1··rvre• au petïsonnel nommé:
.LNS1llTUTRICES 0~ ~.eanne, ~ lAJdoq ~~eglise
JVlane, à Bagnes ~Verb.) b vequoz. Thérèse, à Con they Fellay Cecile, à Vérossaz Gay~Bal_maz Marguerite, à ,Vernayaz Ge~mamer Georgme, à Granges Lwster Julie, à Sagnes (Sapey) Maury Cécile, à Mase 'M~y joséphine, à Bagnes (Sarreyer) M1chelet Sy1vie, à Wex Moos Maria, à Sion Parchet ~e-M'arie, à iVouvry, Rappaz Claue à Evionnaz RihorcLy Ma, à !Riddes Rou~ Marie-Thér,. à st-Ma,u rkè Rot_uller .Lucy, à .Collombey Solioz Simone, à ~ierre. ---<0-
Nos chers défunts Dan · . s œs d ermer.s mois nous avons eu à enr~gistrer ,su.ccessiJVement le décès de trois a~ciens. ŒI_Je.mbres du corps eneeignant qui ont l:nen ·~renie du pays pour lwi. avoir consacré le rnel~eu;r de leurs forces pendant un plus ou ~o~ns grandi nombre d 'années. Aussi le dev~l: du· présent organe est-il d'en rappeiJer JCI le souvenir. M. tflRBI:~: BENDER, à f'ully, qll.ÎI fut un excell~nt ~Itre, et rendit à sa commune, à des ittres duvers, de précieurx: services. !Mme M.-L. :M!Ul.[;BR, née de 1Riedmatten ~ndant de nombreuses années professeur 1ecole normale des institutrices. ~He MiAIDEUEINIE DE RliEJDMATIEN qut ;s'en est a~lée après avoir pratiqué dan~ les ecoles de s~on pendant plus de 40 ans. Que tous reposent en pai-x!
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tV Les internes, eux, ont l'av~t~~e · d~ n'!aV1oÏJr !Point à prendre de. dtec1s10n a 'Dou~es 1les dond~ti:o1I11S ~quis!es q:>;ar }~ cet égard, la do.chette regtltant. leur I!Jé.gliSllation sur ,l a mabere .avan~ ei':é temips Jet le ,distri'bu:ant 'avec u!le tp~ remiPrlies, ~e personnel ensetgnant Cl- dente discrétion le long 'd e la ]oumee. , a ..u.:. mis n,cemmoot en ~ossesIci, le temps ipOU!r .do.rmilf et le. tem~! aJPtes Jt:l~ •~ .p.our manger, le temps ~u tmvall et. sion du brevet 'V'a!Lailsan de œ~aclu::: temps du repos se su.ocedent pour amInstituteurs de lanf!ue franç. si dire autom•atiquement! sans que .les vo.Lontés rparticulières . m les ca~pnces f ·avtre Albdl, die Ohlamœon n'aient à intervenir. La ~a~esse ellePraiVIœ Anlltodine, rde Vex_ .. Oiay Axi,SJtiide de Mlawhgn!V..V~~le même, sinon le Mentor 1Q'~1 1mc~rne e.~ Hug·oo p,aul: !de Mlairtigny.Oo.mlbes - le règlement qui l'intel1Prete, Y~l.Ue sm eux avec une prévoyante solhctt1llde. , 'Maye 'Mla!l'tc, 'de Ql\amoson 'MidheLet Oy,ritle, tde ,lfuu!e-Nendaz 'Les externes ont bien aussi leurs P~ 'Moo1in E!dlouar1d, de V'O!llleges rents ou ceux qui les remp1Jacent. Mil PdSitOletti Allens. ~~ ,c~mbev oombien se IPréoœwpent du ,~rava e ·p,r,adOiillg Aniboine, d Evo•lene leUJrs f.itls ou de letlll's fill~ avec une. 'Sia1Vioz _ll{)sepih, !d' Ay~t · telle vigilance qu'ils leur :mp~ent un Utdlrlv f~tançois, Ide Vëtroz . horaire [précis? On ne, diOlt rpomt 1rr1aZUiffer.ey Al~plhoose, :de Cfuland\o~m v:ail1er !alprès le rrepas, .c ,est ent~du. Le œrvearu se .congestionne, les pœd.s se Institutrices de lan(!ue fnanç. .~:r01.d'ssent. somnolente re1• 1 • une ~"""""tlii' lV• t t'~ • ' Mlaz Ol!émenœ, Id' Assens (Frib.) eng10urdit le co.~s. et l~·e~t 0. n 15 en Besse Marie, de Ba~es tient donc à œ Vlell ~ax10me .qut est saOallay J~hine, de ·Massongex ge, mais qui cependartt n'est nullement OaroY .Bitandhe, de ·MonJilhey toute la sagesse. Iten ESitlher, de Sioo S'il est un moment peu .propi~e-,JPOUil' Malfet Aliice, tde 'Ba.gm~ . ) le tr.a'V'ail intellectJuel, ·C''eS~ la solree, la Milha:UJ Gabrielle, .de Ntmes (france ·11.~~ », A l'engoUJ:'diJssement « vellll::t: . t Reborrdl :srephtanie, de 6embranoher. tprovient du SOWPer, il .~aut at]~U '~ Viall Mar.ie-Rose, de Bes~ens (.f nb.) qu'·engendre I'abais.sem~nt_ groeral zurki.nldoo. Marie, de Fobou!lg. la tempénature, .l'a&frubllss~ment l'orglanisme La f.atlgue. Or, n est...ce .précisément ce temps, de 8 à ~0 h., Le bon moment . nombre de jeunes gens et mefl!e pour travailler fJantJS .dhoisissent JP'O:Uif s'acqmtter leU!rs tâdhes s:oolaires! Ils (AUX PARENTS ET ECOLIERS) donc; ils •s'énervent ~ i~s . réolamtt cerveau un effOTt oonsldteroh!e, e •Il est, dit-l()n, W1 temp~ .pour tout. Il intense de la jowmée :Peut-'etre•. d est :un teffi\PSI ipOUll' oomur et un tempS! que le moment est venu ?o~r 1~ e poui' manger. Il est tun temps tpour tra- .reposer. Une fo~s :eouches ~~ ne vailler et un tetlllPS .poulf se ~eposer. ront do.rmir. 'PUts le le~demam C'est la .Sagesse elle-même .qui} rPal'lt'! ra à .~a f:atigoue ide ta ve~lk Le~4 ainsi. !Nos oooliers s~ont sages, ,.~t renJdront 'bientôt !1e~ponsa~bll·es~hotes leurs .patrents le seront eg·~ement, s ~:ls msthénie de 1et111\9 ! 1~ les m t éoowtent et mettent en ;pl'latlq,ue ces pa- les iprog'r.ammes ,qUl n en :peuven IJ'oles de la 'Sagesse. ·
Brevet de capacité
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alors ·que 1eUJr. imprudente fuiblesse ou imprêvoyta.nce •a 1permis des veiUes nuisibles trop souvent encoife p110lonR'ées. On. ne jpeut rau.Voriser, après le repas du ~o1r, ·qUie la ti<apide revision des leçons, quelq:ue lectulfe peu passionnante et pas longtue ,ou, œ .qui vaudra mieux en<:ore, la ,particilp.ation adive des éoolier~_,quùl sont ·des adolescents déjà, des éooheres gTan!delettes, à l'a vie famili!ale. Le temps des devoirs doit être fixé a:près le gtOûter, entre 5 et 7 h., •dans ies ·avoot-m1di des jours de VJacanœs, ou •le ,matin, avant le .déjeûner rpour ceux qui ont le coura,g-e de se le~er de bopne heure - et le peuvent tous ceux qui ont su se ooucller aJSSez tôt. Les hygién1stes, tqui se mêlent .de tant de choses, ont .pris l•a peine d'indiquer ~aux mamans La durée nécessaire et suŒsante du sommeil et l'heure du coucher. Celle-ci ·est, dirsent-ils., dans 1a première eniiance, et en rhiver 6 h.; de 7 à 12 ~ms vers 7 h.; de 12 à 14 :ans, 8 h.; .de 14 à 16 .ans, vers 7 % h.; de 16 à 20 .atr~s, 9 h.; dêis 20 ans, 9 'à 10 b. :Y.oici le minimum d'heures de ~mmei}tque nos médecins et nos pédaiOI!Ues exi~ent dlans l'enfance et l''adolescenœ: de 3 à 7 .ans, lQ h.; de 7 à 12 ans, 111 h.; Ide !12 à ·14 ans, 10 h.; de 14 à 16 ans, 9 % h. ; de 16 à 20 ans, 9 ; dès 20 ans, 8 h. L'écolier et le goond ·collégien surtout peuvent ,donc ~aisément se lever vers h. Ils Qnt devant eux une heu<re de tœvail, ,de œ traVJairl d'or, comme l'a bien .dénommé, pOll!r se -prepaJTer la classe. Et cette heure les prépare au déjeuner. Qu'arrive-t-il, en cllorsque l'enfant savoure trop long~ molle cli~iletH" <le l'édredon? mQment venu - et dépassé enfile .avec îpl'ocipitatiQn b fillette :passe son llllPIOn. on s'est IeVJé taJ!'\d, trop twd, on d'·~péti:t. On avale mpidement de café, on ooUJrt :sur le clJ.e-
min de ·l'éoole en ~cignotant une croûte de pain. Et 3 h. dwnant il faut lire compter, r:a~sonner et tpatrler Iléli:sonna~ blement. AUJ bout d'une ,denü-heure l'ajtenüon fléchit; les 111éponses sont imprecises, hésitantes; la tle.çon n'est J)laS sue, et les notes sont à l'avenant Gomment un en]a:nt qui n'•a :p as mangé de la veille POUJrt,adt-il être attentH et fuwrnir l·a somme exigée de labeur intellectuel? Oomme dit iplUIS haut, ~1 faut un temps poUJr tout, 11n teliiiPs poulr dormir, un te~rps ptOUJI' manger, ,un tellliP·Si 'PQIU!f travatller. Notre écolier a méoonnu cette ifègle de la sagesse; ses parents ,l'ont OU·bliée; les uns et les autres ne sont P65 S/ages. ·Et, dame! .quand on ne l'est '))as, H est aitSié de deviner ce ;qui arrive.
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L'Ecole à 7 h. ou à 8 h. •! Faut-il commencer les classes à 7 ou à 8 heures dans nos écoles? Grosse question qui a f<ait l'o.bjet d'un·e discussion publique des p1us animées à Zol· likon, après avoir agité égale~ent la ville de Zurich au printemps 1918. ·Les parents des élèves avaient été consultés à œ propos et les 80 % s'étaient prononcés pour l'école à 7 heures, les 20 %· pour 8 heures. Consultat~ons psychologiques que l'on en peut ttrer, du moment que la direction des écoles a maintenu l'entrée en classe à 8 heures. Et pourquoi cette divergence? Au sujet de l'avis des parents, il faut se contenter de suppositions dès l'instant que 1'on ne nous dit pas à quels mobiles ils ont obéi. !Un œrtàin nombre, assurément, a obéi à des considérations d'ordre pratique: les enfants sont encombrants le matin, on ne sait pas qu~ en faire de 7 à 8 heures, tandis qu'on vaque aux travaux du ménage. D'au-
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tres ont obéi à une )tradition selon laquelle on acquiert la santé en se couchant tôt et en se levant de bon matin. D'autres enfin ont song-é à tous ces enfants que 1'on charg-e de multiples c commissions » avant leur classe, à ces enfants qui arrivent essouflés à 8 heures et quart et qui perdent la première heure à se remettre, à rattraper le temps per.du. iE n faisant venir l'enfant à '7 heures à l'école, on lui évite certainement ce surmenag-e et les courses qu'il accomplira fort bien entr·e 11 et 12 heures. Mais la direction des écoles de Zurich et le 20 % des parents en ont jugé autrement. Ces derniers ont sans doute besoin de l'aide de leurs enfants chaque matin; d'autres ont des enfants délicats, anémiques; peut-1être une troisième catégorie n'aime-t-elle pas être éveillée trop tôt! !Quoi ·qu'il en soit, la direction des écoles qui, e11e, avoue les motifs. de sa décision, déclare qu'elle s'autorise du seul point de vue hygiénique qrui doit 1primer toute autre considération. !Selon toute vraisemblance, une décision analogue va être prise à Zollikon. Voici ce qu'en pense un maître secortdaire de la localité: «·Lorsqu'il s'est agi de fixer à 8 heures l'entrée en clas'" se dans l'école de la ville de Zurich, les maîtres {et j'étais dru nombre) ont protesté d'un commun accord avec les parents. !Pour ma classe d'école s econdaire, la proportion des parents partisans de l'entrée en classe à 7 h., dépassait de beauroup .Je 80 %. La plupart des élèves étaient du même avis. L'entrée en classe à 8 heures fut cependant introduite, pour le bien des enfants - et des maîtres. 'Les mères sont aussi trèS satisfaites de l'uniformité des heures qui existe maintenant entre écoles primaires et écoles secondaires. .Personne ne songe plus à re-
venir au régime •antérieur. Et c'est sur la base des expériences faites que je suis devenu un partisan de l'entrée en classe à 8 heur·es, d'adversaire que j'étais d'un horaire semblable. Le ,sommeil est plus nécessaire encore au développement du corps et de l'esprit de l'enfant que la noul1fiture. J'ai constaté que la satisfaction des besoins de sommeil aug-mentait la capacité de mes élèves dans des proportions extraordinaires. Comme père, j'ai pu voir de près les tristes conséquences d'un sommeil trop tôt interrompu par l'entrée en classe à 7 heures.» · 'Nous laissons aux parents et aux maîtres le soin de jug-er en dernier ressort d'une question qui ne nous semble pas pouvoir être tranchée de façon aussi catégorique. (
Pensées religieuses (Extrait d'une lettre aKltressée à un• jeune homme par Henri !Lavedan, de l'Aca· ~mie ~rança.ise).
• Quoi qu'il arrive, ne cesse ijamais à l'église. 'P arce que l'€gJise, vois-tu, elle nécessaire, indispensaible. C'est le cercle et la cité. \Enfin, l'église a ralble qu'on en •s ort totlijours, si peu y reste, meilleur ou moins. mauvais lqu est entré. Oui, on peut ne faire que s seoir deux minutes et regartl.er autour de soi : ,Je miracle éternel et s'opère. ILe sHenœ parle et de quel Ces co~essionnaux !Vous arradhent même, à disianœ, des lamibeaux de culpa . . . ~ ILes prie-Dieu, d'où l'on avec orgueil, agenouillent vos pensées. murs, ces ldalles, ces ;votl.tes imprégnées 1ant de piété, d'élans ,de vœux, de d'espoirs et de bénédictions, au point en sUJintent par tous les pores ,vous sur les épaules, ~usqu 'au fond du. son bieniaisant; si endurci que l'on le desordre il y a une profonde se sentir chrétien, ne serait<e que
filière de 1a ra.œ les . l'écho lointain d~~ ca t~our.remrs d'enfance, ~ecteur trouve d'abord Ba blié des parents n tque, l'exemple ou- établissements d 'après 1 nomenclature d, ' JJQage e.lcllumée des morts. lui est ensuite fourni e genre d'études. ~ liste des établ' ' pour chaque canton . v!té. Cet ouvr:::~:nis ~t ~nstituts en a'ct 0 Sainte Vierge !Ma · . ~ée pour mère par vo~~· ;J~nnol_LS fut do~ Cieux senvices à to appe é a. rend're -de pn lJeu de vos jours lorieu ' iF_ils, au ml- l'e':Jfance et la geun~~~e~x qui ont à. orientE tristesses de la terr: Jetezx n oubhez pas les qui che~ohent à . ' c?mme aussi à ceu , se renseigner , té sur ceux qui soulffrent un .regard de bon- sat IOn scolaire de tr sur 1organ no e pays. · les difficultés et ' qw luttent ,contre ne cessent de trempe 1 . lev.res au calice amer d 1 . r eurs fi ceux qui pleurent de e .ca VIe. ~~yez .Pitié de QUANp ]!ESUS IPA:SSAllT.. • ceux qui tremblent' [)on eu~ qw pnent, de ~lq:Jres: Les :Miradl . Talb.leaux evar ce et la paix. . nez tou.s l'espéranUn volume lbr es. Pa: ]. Ledroi1 nel frères. · 4·50· - A<vignon, Auha Œ.'a'l:lbé Perreyve. ILe sous"titre de œt - - -..... . f-11!40•- bien le contenu. C'est OUJVrage en précis. dont le sU/jet est l'o ~ ensem.l:)le de récit miracles de Jésus wz:nt par Jes principaw Bibliographie nière ~!.ailfée ~ ~s -~.niés d'lUDe ma. '= les usages et 1 ecr~;vam ,qui connaîLE VAlJAIS 52 a couleurs .p' ar Lp Coges, /hyec une carte en crit. !L'auteur aes IVO~œurs tlu pay,s qu'il dé· ' · ur,. JOn rqwi. fait que pour ~ combler .une laoonE Quelle jolie broohure et . . . pages de Œ~'Vangile con~C:: les pllliS beJI.Ies ment, artistiquement '"l ' tr' combien nohe.d t· .... us eeJ !Faune, flore, COIIllPlets. NoUJS s I . ent des récits in10 us ne, description min ti · son JbUJt avec un ~~f!;iure ICJI~il a atteint coin de la Suisse on u euse de œ beau d'autres cho ' Y ·frouve iout cela et me él~te et facïle to ~· Sous sa pluses encore 11 ·t • tout relfllète ce del ' ut , yit, . tout s~anime, de voilr œ grâcieux opus ~rat a so~haiter se dérOU/Ier les me ~ de 1Onent qui a vu tout le personnel ens . ou e aux mams de la !Prédication de J:e!IIŒes. de miséricor.de de rait rendre de p , . eignant auquel il pourrecieux serv · lfiexions qui •vi us. A]outons que les réennent ,cou.per 1e ....,_, gne~t de la géographie ~~: pour l'~nsei repœantes au millieu d · • """-t, haltes DJercJons-nous la Chambr e. .Ausst, reune âme de prêtre .. e 1a route, révèlent commerce d'avoir hien ~ Valaisanne de du d±vin Maître et co~end la pensée à titre grâcieux uel vo nous ~n offrir les channes. en faiTe gotlter tous D'ont .pas tardé "' ~ ques exemplaires qui ..&. " uOUJVer leur pla u•tnnant guide édité cement. Ce ~ leliers represe' ' t par la Société des Hô' ne pour eNe .IJES ffiNSIONfS OU )lellse, de sorte qu'eUe , une forte dé'P ar ~e dtau G ŒIRLST. (3e S&ie.) ~lribution gratuite à ~en .reu:t étendre la - Avignon · •Auiba~:~~· Broché 2 fr. qw P<>urraient ê tre d- . utes les personnes <L'Bgffiise n~ diJt eres. esireuses de l'obtenir. perdent parce qu'.id n' q~ tant rl.lflommes se chisse dans .cnn es personne qui réflé~ . "" cœ ur C' t d paTtJe que se trour.re d . ~ ~SI la contreSUISSE, ses établ' mède c'est la one · e Jl'6ll1ède et ce red'instruction offi . I~seme~t~ d'éducation commentée parole. de Dieu, Téfléc'hie et · pub!'' Cie s, prwes et d'utilité 1'~="...-J'i par les Peres et 1es Doct die .sou·~ le patronage Jde . ;-·· se. C'est ce qui e-.l· eurs .de u tounsme 'Bro qu ont produit les C "'!"'"]que tout le bien 88, par H If ..hl.' h UJfg, route « on.si·'"'es " un . ro IC ·Zollinger part·non, et 7e s uccès . 6~ ~. d'es. "eur apaperçu de tout ce .nui se f .t· mentir a aJOOucil.li les ~ua sans Jal!!ats se dépomt Ide d ,. .. ai en de œ recu.eiÏII s . SUihst ~ premieres séries Après vue . e t mstruction et de continue la t.rarl!i~on rle antieJ.• 'l;a 3me série Public ~e ~~traduction s ur l'enso~fu les qua/lités de ~ a;-nes.. Faire resména e Privé, . prœessionnel et rete de doctrine qu . ' d onction, de pug. r et SOCJal en Suisse le orwragl!s est .,....,.tille comportent ces petits '
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