24 donl<lles éclhos de 1:a vaimléeréjpètent au Join voyage, Hr~ut Ulll gros morceau .de pain noie' les sipl:en1didesaccords, cou1pês de met~gJe- pouir le IU! donner, il aŒJIJ)rftllle ·sa • Ma.tzère • men's prolfondls. et 1\û dit presque à voix haute, en la corn, ,La plaœ de tlïnape est envahie el les re- bfonl de i:iatleuises oa.resse,s: « Maintemant bardatafres viennent d'ariri,ver. Des g,rouipes tru.veux :tre )a « ~eine » du trouipeau, il somt fomms; les prOIJ)rùétaîres suJl"Vei'Llte-nt de coute qu a 10 1 pu1,sque tu as vaincu 'la • Bruprès I1es • rpièœs :pré/parées» • i:Is on1 des fii>'l1- ne• au « Tzarte'Jain ». Bt i,l demande à 8 res in:quièles, raJ!l:xieu.ses, viv:11~de~ heJUJres ~grois bar,ül.Jet,u11e large rasade d'Hwmag:1 ni'bl'es da111S l'atten1e Ide la Ju~te qu,i doit îixer vin de rJa jorie. Grisé pair 1I.esidées roses le ra,ng de Jeu,r bête tant .ohoyêe. pa,is~~ ~1 son œrvean, à fa pell's1pectiveeni1Le pr:eimier repas des troupeaux es,t fini. ~ra,n(e da1Voir emJin La «Reine. de Torlifti les ho,ITT111es, par g,roupes ou iso,lés, lirent 1:lpertl 'des yetU,X sa Ma.1zéra qui, d'll[J air de die Jieuirssa.cedies prorvisiom et font .Jeu,r re- tno~he, arpente le terrain , ipor,tant biea pas de midi. ha wt Ja (éle et di8fian!tdfU,regard œllJlesqut Bien haut danis l'a:wir est mon1é Je 5 o:eil osent l'awroche ,r. et ses rayons ,se font caressants bien que Un trustant s'écou1l1e... Un cerdle de oo1 cI 'unte cha,eu,r presque accablainrte.' c:e,,.., 1dant rieux se .refonme aul'our de deux rj vales ea 1''ms ,,•ant est sd!ennel el .Jong.ue pairaît .--I'atienle' '!iœ: l•a Maüér1a et une nouvelle venue, biell de la J.utte. ·Ill' en es't pnus d'un qui semi au d rgne de son adlviel'sa ire. f'Olllld de so,j un intime fr1is,son , à a>eine i'raduit Dans sa .préc~pifation, qlll'and il reconnait pa,r UJlli 1êiger trembllemenrt des panita,Jom,s... , sa bête, le vfoux garrçoo. ;prend sous soo. bras au fOŒ!ld. . . . Oh! puissance de 1'1émo ,tion !. .. 'le préoieux baàll'.et, ,sans l'~oir bou,chorm6, D'aruit:res,ldlarnsune wmi1que atiitude d'eiflfareet sens dessus dessous·. men1, dlilis une sUJr.eX!citation nerveuse virveut ~de wmme 't 'é~ ir , la nou1Vell?e !once dies hewres, v~veut danis le bleu, e't, -Εœn en suir 1·a.clive r31airc, épuisée par fa 'lutte de tout f~u, sOll1J! inoroyia:blementremplis de rêves bel· lliq1Ueux et ,ne vo,ierutque combats de • rernes • à l heure. Emém1ée de Eaitiigue,la Ma.tzêra ,Je forrain aiprès wne rési,stanœ fu· dont ifa jouissent par a1Vanceet s.Uivent en a'ba1J1Jdoone r ieuse. ima,gination les péripéties. Alh! non! i,l ne s'a:ttemidaitpas à œU.e. ll, Bairthélemy, le vieux ga.rçon, cruresse sa Bairffle.my. Une parei'llle déc~ption, noo, il • !"1ailzèr:»; et sa vache, doci'le et N,afée, 1e se refüliseoowre d'y oroiire, non e'Ule11lii~ S11id pars a pas . E1'lea coorscienced 1êlre sa fa· var1ite, son idole, et peut-être se dou~e.,t-eille hoameurr, sa iMrafaère! D'un geste i.nvoiloŒ.faire , il! dherohe son ba· que c'e.s.t à ca,use de ses «reines» que Barune consoJaüoo. O th'élenllJ<1 dé:daignléles brunes et 1JesHlondes. ·ri'il'et iJJOUlfJ,u~deuni:N11der ide maGlheu1r ! Ji'-Huma·gne,généreux ts/. u,n me,u- cO!lnlb!le Soudain , e!'ie bondit, en pOI\.IISISant répandu tou!t entier sur se,s habiil!s, ce q111 g1leme111! de rage : elle a reconnu sa rivale de donne l'ieu à des propos g,ri.vois qui ,provo1'an 1demie.r, à laqueil:leellle arvaHdû laisser 'a que-ni rUllJehil arité ~-a;piidenlen1 C()ITlmlllliqule, palltri1epou,r la fin de l'été preaérlent. L'œiJ en Pa>1.11V:re Bar'M:erruy! Une fois de plus, • feu, et les na5~aux fumaruts, e1Dlese précipite, « Reiines» l'uii forn1 ~ouver une ,a.mètte• ,les co1,ne,s~1 afV/ant,le front ba·issé, avec dans le regairtl une auidacioose résollution de vain· .cf\l)füon.c·est d'a:i'llleurs une épreUNedes ~us cre .. U~ choc teririb!e! La 'lutte est âipre et durres, car ,le reste oornwte peu, poRllf·VU QU aM sa «Reine », et ;pou qui oonnait la la 'V1ot01,re charurlomentdi S[)uiêe. Mais , ô bonitioo profonde, cela Ge c·Clltl'IDl'l!lill, heur! La "Matzère » à Bairthêlemy l'emiPOT 'e de œtt:teaJllllb ~ur sa farouche pall'teinafre. L'es.pair qui, par Ha11.11te~Neindaz , dêceanlbre ms~nts viaci,Uea.u cœur du vieux ga,rçon. y revœnlt rrfus fOTt ;que j1a,mais.De son sac de
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Jes abus, d.e m,ainteoir sans dJéfaillilaoiœsans Ladévotion auSacrê-Cœur deJésusa;cœqJtioo de .pers00111es, 'les vérités de '1a fOI
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!'pplémentdu :Jv3 de ,,f &cote"(1!}20)
caifthotiqueet ,les cwoits de 1'1:giliseque Nous dié!endrons jusqu 'à No~e d~nier soupir. Voyant l'etrl{Pireromain s'e:ffoodrer siaint 11 Br.GrandeurMonseigneur l'Evêque de Sion Augustin, évêque d'Hippone, éoriiva/ « Bn . pourle Oadmede l'Année1920 ce mo:llde, de nos iour,s surtout, i1 n'est pas de cha1,ge pCws Jowµe , p',u,s poo;bùe, plus diaugereuse que 1a charge épiscopa!le.> (Ep. I Nos aher,s Diocésain.s, ad Vai!er. fp.). Ceilte ,parole peut bien s'a:!>' A,Rpé:é à rr'éjpi,scopartpa,r [e Vicaire de Jéà notre époque, si 111ouspensons aux pli,q,UJeJ· •-Otriislt s,u,r la ter.re et devenu, par me d!anger,s qui nows menaœn!, aux révo:lui!ions • ration sollenneJllle, le ·Pas1eur du diocèqui vontboiUl!evensant le monde, à cet es.prit • de Sion, œ ,n est pas .sans awréhension, sulbversiiJ rqui suscite :partout Ie mécor.i!eok11115crainte, sans un Iêgitime effroi que Nous ment et J'agita1ionr, Que faire, dès lors, sioo.s entendu l'aippeLdw SoUJverain Pontife; non , da,ns Je sentiment de no tre faiblesse ar Noos arvons [Pleinementconscience de No« ohercher li[) secourrs?,, (Sir. 51, 10). ' tre indignité, Nouis s,aivon;stowt ce qllli NOUis Ce ISf-COUX:S, de grands Pll[JeS no.us ]"ont 111111que powr porter Ue fardeaiu de si hauies nos ftlll)O(lsaibi li,tés, et jamais la pensée ne Nous 1in.diqu~;. -cette iProtection assurée dans 1 , necesis1tes, nows La trOUlVOlllS dans < e divin 't venue que NoUJSserions un iour c~é "· Les qua.Ire demiers papes paamiiles successeurs de saint Théodulle. 1Cœtlif de Jlés1.119 oot, sou,vent et avec Ullle insis,tanœ partiou~is, « les pensées de Dieu ne :sont point nos ijère, exJhorté iles .fidèles à rendre au Sacrépensées,les voies de Dieu ne soot point nos Cœurr de Jésus ries plus fervents hommages; ,oies. (Ps. 55, 8); et füs qbéis.sant de l'E.sourvent, i.[.s Oll1iteX1priméla pensée que, &liseoafudique, Nous voi,ci devenu votre lbie111 pouir J Egjlriiseet pour le monde qui Via s'éga· premierPasteU:r. :rani! de plus en plllllS,U n'y a qu'm sallut: le Il a plu au seig,neur d'imposer à ·· Notre froll'tla mitre, de [Plaicerdians Nos mains l'a s.al]u11par le Sa,oré'Cœur de JésUiS. C'est de pœsequi est 1la houleltte d'tl' Pas.leur. !)ans !Lui,et de lui seul, que nous ,pouvons attendre aa fosig,nes, Nous n'a'VOl!lsvu que les sym- le secoUJPs,à Ja condiiioo non seulement d in. llolesd'une mission 1Jourde de res.ponsabi~i- voquer et d'adorer ce cœur Saoré, mais en· eit ses d 'une ciharge trop jpesante pour nos fai- care et surtout d'imiter ses ex~les wrtu,s et de les transplanter, en queJCjue sorte, :fteaépaulies. Inlimement pénétré du sentila pra tique de la charùtê chrétienne à dans des Olbligations qui Nous sont impo· i'égaird du prodhaidl. , Nows arvolliSmis toute Notre confiance Aus,si, pansons-NolllS q,ue dans Notre pre· œ Dieu qui Nows a a,ppelê et Nous a,voins Lettre pa,s!orn[e, nous ne saUrions mière ' powr devise la parole d,u Psa,1nniste: mieux faire que :YOlllS raweler quelr est • l'ob'eu est naitre aide .• (Ps. 39, 18), Avçc • de Dieu, Nows noUJs eHorcerons, sui- iet • de 1'admotio,n au Cœur de Jésus et vous • les conrsei\lsdu, Sornverain Î>ontifo de prqJarer ainsi à la « coosécration so!lenneJJle du dnocèse et des famill!es au Cœur de Jésus. ir üdè[ement Notre ahairge de Pai;1ieur,
Lettrepastorale
ve.llilanit sans cesse sur ~e tr~u
qui 1, eSrtcoo:tié. De towtes Nos forces, Nous • L'objet• de la dévotion au Cœur de Jésoin Id'écarler des âmes que le ctiivi,n sus est 'le • Cœur même • de Jésu:s, son cœur nr a acheJtées si cher au prix de son précieux• (I. Cor. 6, 20) l,es d!a:ngerset très sain1t. Le mot • cœur . s'emploie dans