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Supplémentdu ~ .f.de ,,f &cote"(1920) 0
T1·oismauvaisprocédés d'éducation 1. !Les! FAUSSES PIROMIESSES,cetles que iles paroofa fo111t à un enfant et iqui jQ.mais ne
sout suivies d'exécu'ion. Que de fois vous aIVezen1ei1druIUJilemère tenir à son errfant des iprqpos comme ceux-ri: A·lll,oos,11ep!eU!rep'l.ts, je t'aclib(erai une bel'le rofu.e... Donne· œ11aà ton pe,tit frère, tu au·re queffqruechose de bien plu,s, ras torut ~ u1:ieu beau ... Va viite faire ce'tte •cOIJIJllllissio111, qui,nct fo rnvjenidJra ·s, üe 1e krai faire une be1He1Promena:de. ,Et milllleauitres !IJ1l"Oi!l1esses pa·reiHes! [,'eufant, !Ilevo.ya:nt:jaana:i.srien venir, perd conUa.n~eet 1olbt natuireli.1:emenrt i>1se dit que 1re mensooge, fos trooweries, ij~ i:llu!plidté ne sont pa,s des faui!es, pu,isque l1tlêmesa mère en use à fouit JPl"qpOS par , des 1PI"omesises qu· eue ne tient pas. Agou1ezque œ IP:roœdé,peu délicat, foiJl d'aimener O'en,faaità ['obéissance, sera bientôt ,ta source de répliques vives auxquellles on u·awra rien à ré/pol1dre. Ne ,gerait-iilpa.'Smieux de con,seiller un pefü aote de mortification, de fa façoo suivailt1e, IPa,r exenw~e: Quiaud Jésus était petit, Lui, J~ bisait fous ~les ûou>rsdes sacrifices, fais ,cornn11e IJui; H 1e 1VOit,üt sais, et il sera confont rle voir qu.e tu veux i)"imiter. · 2- UES HlMUATION6 dont on aibu1se . aivec •les petits COU1Pa!b!es Un enfanlt a-t-il romrnis une fauie? On la œait remarquer à ses petits camarades, à ses frères et ,sœurs: on attire rat!ention
un so(, urnnigaud, ·un idiot: on ·le compa l!)e:Ut-êtrelà oo :fou du 'V'Oisinage;à tout bout de champ, ou Œeraremarquer ses maladreseee, Et plUJStard, quand 1l'enfallit aUJ"agraJJdi on sera désd.é de ,voir qu 'illi11i'a ipas de dignit6! 3. I JES FILA TPERIJES.
Quii n'a entendu, lbi&lisouvent, u•ne mallllll dire à ce piiqpos de son enfant, e.t en sa pr6senœ: I\l e~ biM précoce 1PCJ1UT s0111âge. Jamai, ,je n'•ai vu d'enfa.nita,ussi inte11igent... Je ne sa i·s OÙ il iva chercher toui œ quï1l di'!. . . Ce n 'est ipas parœ que c'est Oemien, lllTaJsc'ett 1.me mer,yeiUe. Et mfüle autres choses du même genre! •La cooséq uence de ces dou~s pairolles ~ ,pétées à q'llli veut qes entenm-e? C'esb que f enfmt p1'ursfard sera va1üte111, plein de 1Jui~Imll1f,ÏlllS'UjP,J)orta~aux autres.
Variétés
UN CHIEN FIDEL'E Un terrier irlandais, d0111tles aJVenturea s·ont des !Plus ,cu:rieus.es, termine a·ch1ellemmt sa quarantai,ne avant d'être irendu à son mai• tre: 'E11 seipterrn)bre 1914, James Brown partit ,pour da !Fran.ce avec ,Je régillnent du, Noril Stat!ords,hire. Il .laissait en lrlaode sa femme et soo chien. ,Prince. Puis Mme Brown se rendit à Londres et, un 1beau jou.r, Prince di.iparut sms qu'i•l fut possible de sa.voir où il avait passé. Mme Brow11 fit 1par,t de cette perle à son mari ·qui w1 mois ruprès lui écrivit ipour lui dire que Prince était a,yec JtH, SUJJ"[ui . On ig,nore comment le o'hien fit le VOYII' S'il IPl'ieure,oo •aijou{e: Voyez comme il d'Angleterre en France mais on sait qu'il aresit beau . . . Ecoutez lqueJlile lbell •:e voix H a .... Tourn.ez-f/ou,sde ce ,côité, afin qu'on vous voie riva sulbiteimentà Armentières, reconnut aoa bien . . . Et qu,aindil'edant est bien en év'il:len- maitre et lui fit fête. Le régiment rupg,ritcette nouvellle et le Jenaemain, iil fallut que Pritlœ: Aj!Œons , ma intenan~, JPqemrez'bien fort, ce iparil.t à 1Ja revue, car le co1ooel ne you:lait etc., etc. iB fou ,s'éton1t1eŒJ~IUS tam d'alVoir des e,n- ipas croire à la clhose.Dès ce moment, Prince. de,venu Je favori du régiment, !Partagea sa fo.rnts,vindilcatits, poinës à ~a "1aù1e!A qui la vie e1 ipJit ipairl l touiS':les ,combats sans Il fau~e, sinon ,auix pareinlts? sou·cier des obllJSet des 'ba!Lles, D'autres fois, on dira à •l'eufant qu\~ ~i
<liens de cet'e pureté, so~ent vraiment aveuLadérotion anSacré-Cœnr de Jésus glés poo.r cJOposereux-mêmes au danger l'in......
eo les haibi1•iant de façon inaoovenant.e. Il n·es.t pas décent que des enfm,ts por,tœt des vêtements qu,i ne !eut' cOUJV ,reo.t pas même les genou~. Des femmes IUie sin1)le fomJUlle, mais q11.1'e1Jle piroduiise même et des jeunes fiJ:lesont adofP!lédes modes qui ne sont pas cœ11,pa,tibles avec [.'honnê!et'é desfr,uiitsabooda!llts,il faut qu'à ce Cœur Sachrêf.ienn·e. En 01UJtre,dans ceirlai.nes paro,iscré uni trône soit é:r,igéda,ns les famiUlles,car k famille· a besoi,n, eme au15,s,i, de la pro:tec- ses, des jeunes filfe•s se ,présentool à l'ég,lise et j,u1s1qu'à la sainte tahle, la tête découwerte. 1:iond.u sauveur: elle est un sanc!Jula,jreque Cette cowtume ne peul être tolérée; !'Apôtre les dangers men,acent de to,u,scôtés. On veut ne d.it~n pas: ~ Toute femme qui pri·e, n'ayant B,ran1er lïndissol!iubi!.itéd\Urn.ariage et, à sa point la tête cOIUJVfetite, déshooore sa iête. Ju· ptace,éiablir 'l'anrou,r libre; on cherd1e, par s'il est bienséant à uoe fem· des moyoos honteux, à tarir dans 'la famille gez vol]s,,iTl!êmes la SOOit'CCde la vie, afin de jouir des agu-é- me de prier Dieu sans aivoir w1 voile sUJr la tê'e. Ce n'est point là notre conwme, ni 111Mts du mariage, sans se proposer de réacellJlede l'f.gll:isede Dieu. , (I. cor. 11, 5, 13, liser son · but essentiel; O!ll cllerche, par des 16). Et d 'aiprès un aiuitre texte de la Sainte faits pemicieux, à relâdher les liens de la fuitur.e, < les femmes doiivent être vêtues lidéli'é conjug~.le; oo dherohe :à ettle!Y'eraux panots l'amour de leurs enfun'ts en leur pirê· com:nefho.nnêteté le diemrundeet se prurer de 1nodestie et de chasteté.» (I. Tim. 2, 9)- (Jetchant Ja rmoQiteCOillJtte l'aUJIOiri,(é, te pre3orüptio11n'a point été abrogée par l'E· Mais le.s d:angeirs les p1us girands sont g1ise: bie111I)lutôt, e!Ue a été reoou~ée el œux qwi ~naœnt l'innoœn.ce des jeunes ,ms: danger pour cette imioc:ence, le,s Jec- insooite dans le nolliveau diroit canonique. Ce code des lois eodésiasri,ques ordoone que, tu,res et les images in.ooovienantes, les paro:les dans l'église, les hommes restent la tête déticendellisesqui firaippent1eu,rs o,rei'!Res;danles femnr~s. au conka.iire, ne (!oicoUJVerlte; p, tes l!héâllreset les cinémas qiu,i, sans soru. et suirtout à la ia· pule,oîfirent à 1·e,~it un alimett! coupab~e, vent ,paraîlire dans J"égll'i·se ble sain.te , que V'êil'ues ho111nêtemeni. et la tête ou bien metrent à dessein sous les yeux des cornvertt:e. (Qa.non 1262). ecàtesqui sont un poison violent pour J'inEn notre qoolité de gartJ..ieudes mœuI1S, noœncede la ieooesse; danger encore, l'abus Nous avons le devoir de signaler ces abus et du s.poa-'t, les danses, la liberté lMssée aux de travailler à les écaJiler. NolbS n0tts adres· fllWtfs qui en proifüent poUJrvagiuer çà et là, sons donc tout cl/abord aux mères cltirétiennuit, srun.sêtre 1,œrveilléspar Jeurs paren 1s. nes. L'éducation des oofants est en tr~ gran· Danger aus-si, et g.rand da,nger pour la de partie•renfüe entre leurs mains et, un jeunessedu côté du • ,vêtement». On ne re· jomr, ~lies aiuirontà en ~pOildre de-vantle iri•zque point sans regret que d'eX:œ'lllentsp,:ibunal de Dieu qui leur demmdera si elles ftnls eux-mêmes, entraînés ,par le désir de 111ivre la mo:ie, n'haibirlenl prus leurs el!lfauls ont ,aivectou.te la &01licitudepossfüie, vei11lé su,r leur (résor le ,pliu,sprécieux, sur l'innod'1me manière dëce11te,à œ point que, peu à ftU, on ,perd le sentime111(de Ja modestie. ceucë de leurs enfants. n serait bou que, fil~ Oielespairenfooheordhentà vê'tir leurs enfan(s dlaalJsles réunions des mères ei d'e; jeU111es les clh1·étieoueson s10CC1UipM de cdte ques• goût, ooJ.ase conçoit; mais 1e tréso!l' le les [emmes et les enfa1nt'S doi· llllB]ricieux de l'enfan,t est la pu.re[é et il lion: co1111ne.nt venlt se vêtir ,pour ne Poin,t blesser la bienque lies pa'l'entis,que Dieu a éilablis gar· 111oœnœ de leu.rs oofants
iFin tl,u ;.l1andement de Carlme/ Si nou,s vouJlonsque 1'a coosé.oratio11du diocèse au saaré-CœuT de Jésus ne reste pis