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14. J 'achè.tc une montre de 21.50 Ir et une chaîne de 6,75 fr. Q uelle somme ai-je à payer? A combien me reviendront 135 fagots, si le cent se vend 25 fr? Combien de q de pommes de terre à 7 1/ 2 fr le q un paysan doit-il vendre pour payer l'intérêt a nnuel d 'une dette de 1950 fr au 4 %? Un négociant paie 164 Mark 1 q de calé pris à Hambourg (1 Mark =-= 1,25 ir). les frai s de douane cl de port s'élèvent au 12 1 /2 ~j du prix d'achat. Combien devrat-il revendre le kg, s'il veut réa liser un bénéfice de 8 %?
Pensées -
Bienheureux celui dont l'enfance a été re· mise en des mains pures, el dont le cœur n'a pas été souillé de boune heure par la corrup·
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A propos de l'A vent
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4. Un agriculteur achète une vache pour 455 fr el un cheval pour 910 ir. Quelle somme devra-t-il payer pour les deux? 3. Un paysan a récolté 768 kilogrannn e~ <.le cerises. Il vend la moitié de cette récolte à 18 c le kg. Q uelle somtue encaisse-t-il? 2. Quelle sera la va leur de 38 5 stères de hêtre, si trois stères valent 67,50 ir? t. Une personne a assuré son mobilier contre les incendies pour la sonm1e de 8760 fr. Elle paie à cet eiiet une prime de 10,95 fr. A quel taux •;.. celte prime est-elle ca lculée? 16. 4. Un fonctionnaire a un traitement annuel de 2500 fr. Il paie 620,50 fr de peusion. Combien lui reste-t-il pour ses autres dé· penses? 3. Un ménage consomme 3 litres de lait par jour, à 24 centimes Je litre. Quelle somme dépensera-t-il pour le lait pendant 365 jours? 2. On fait parqueter une pièce de o,75 m de longueur su r 4,8 111 de largeur à 9 25 Ir le m2; combien devra-t-on payer? 1. Pour la construction d'uue route, l'entre· preneur A occupe 25 ouvriers durant 23 jours et l'entrepreneur B 28 ouvriers pendans 27 jours. Comment devront-i ls se par. lager la somme de 4658,50 Ir a!iectée aux salaires?
Supplément
lion des mauvais exemples. Qu 'i ls sont fe_s pieds de ceux qui conduisent la j dans les voies de la piété; qu'elles sont el saintes les mains de ceux qui gui lance dans les sentiers du bien et de la ete SANTE-FOI. Le temps n'est plus où le retour de Les pères cl les instituteurs, voilà ceux vent amenait un changement projettent dans le monde presque toutes les ..... 111,1,.... dans les habitudes du peuple chrémences du bien et du mal. RENDU, tout entier. Nous sommes loin déjà t Les révolutions sont les temps où ce siècle OÙ tous ceux qui portaient un pauvre n'est pas stlr de sa probité; te distingué, ~ous ceux qui occupaient de sa fortune , et l'innocent de sa vie. Il suoéneur dans les fonctions j: Les changements de lortune onl un ues se seraient crus déconsidérés inconvénient: les enrichi s n'ont pas ~e s'étaient imposé durant tes quaêtre riches, et ceux qui sont ruinés à dimanches qui précèdent la fête de pauvres. Noël de venir entendre aux côtés du roi t C'est par ignorance que l'homme est lrs longs et austères discours d'un Bos~eilleux; moins ignorant il serait plus . ou d'un Bourdaloue. Plus loin taible. core est l'époque où tout le monde,
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pu d'allégresse. Elle ne veut point de
fleurs sur les autels, si ce n'est aux fêtes des Saints. Elle ne permet point à la voix de l'orgue de se faire entendre au milieu des cérémonies sacrées. Le « Gloria in excelsis », le <:antique joyeux que les anges chantaient au-dessus du berceau de l'Enfant-Dieu est supprimé de la Messe. Le chant de la louange solennelle dont Jes hommes ont coutume d~ s~ servir pour célébrer tes grandes v1ctotres, doit disparaître de l'office de la nuit. Les ornements du prêtre prennent la couleur violette, celle aui symbolise le deuil et la douleur. Les orai~ sonsJ les versets, les hymnes, deviennent t cette quarantaine qu'on appelait comme autant d'appels suppliants vers de Saint-Martin, pratiquait le ciel. Mais cette plainte, aux formes si di· . IULI::JUfl t:flJLe et le ;efj_n-e plUSieUrS fOiS verses n'a rien qui amollisse les couraUNE fACTURE PEU ORDINAIRE semaine. L'Eglise, toujours compa- ges. Elle est toute pénétrée de virile esVoici une facture d'Hu menuisier, troulâ te aux infirmités de ses enfants, oérance. Tandis qu'elle fait monter vers dans les papiers d'une petite commune: -relâchée elle-même de ses exigen- Dieu ses ardentes invocations, l'EQ:lise • Note pour la Comicion de l'école et anciennes. On aurait tort pourtant semble se tourner vers la multitude des conceille communal réuni ensemble qui m'OIII conclure de cet affaiblissement de la dit de faire les travaux qui suit: ou même de ces adoucissements huma ins pour leur faire entendrè les Préparer les cachets pour les pome <le discipline à un changement essen- olus fermes promesses et pour les exterres de la cave sous le régent dans les intentions de notre Mère. horter d 'une façon pressante à se fait à la même cave un trou pour voir vent garde toujours le même carac- oréparer à la venue prochaine du Liclair la même signification et le même bérateur attendu. fait un pendar pour les !ru ils en sapin dans sa dévotion; et les chrétiens C'est u.n drame saisissant que cette Araugé les égré pour monter en haut XX dessus e siècle n'ont sans doute pas orière. C'est aussi une image véridique Remis une planche en bois neu{ à la d'intérêt que ceux du XVIIe QU et un parfait modèle de la prière chré· tienne, où se mêlent sans ·cesse un senbonnemaison du XVIIIe à s'en bien pénétrer. timent très sincère et très humain des fait une chaise pour le régent qui tourne La litur~?ie, cette expression si sûre Réparé les jalousies à la régente si complète de la piété catholique, infirmités et des souffrances de la créaReblanchi le tableau noir .......... montre que cette période de l'an- ture, et une confiance invincible en la Arrangé les boitons pour la femme reste aujourd'hui, comme elJe était bonté, en la puissance et en la sagesse régent pour les âmes soucieuses de s'as- du Père qu'elle implore. Mi des vitres en verre pour trois le· aux sentiments de la rrran.de taA lui voir emprunter le langage des nétres qui était cassé " à l'entendre appeler de tous orophètes, chrétienne, un temps de salutaire Changé le couvert du bureau ceil qui était pourri et de pénitence. Elle multiplie ses vœux, dix-huit siècles après l'IncarMi des bâtons à la poulaillière de la de l'affliction, elle suspend la nation, la venue du Messie parmi les hommes, on pourrait croire que cette régente qui laissait sortir les poule dlœl.ébration des noces pour faire entenen tou q_ue ces joies terrestres ne sont point tristesse est vaine, qu'elle n'est plus au' Je me recommande pou payé cet1e h<;lfmonie avec les préoccupations qui un souvenir, une représentation fictive avet mes· remercieman. • v1ennent au chrétien durant ces de sentiments désormais sans objet. Pour copie conforme, O. Ot. iours. Elle bannit des offices tout ce nTJi Mais ce serait en méconnaître les ex!leut rappeler des pensées de triomphe pressions les plus fréquentes et les plus
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