SURF FM by Wave Radio

SURF FM 102.3

{ EDITO } «En mai fait ce qu’il te plaît» Adage que l’on prend alors au pied de la lettre pour sortir le premier numéro du journal Surf Fm édition 2011. Déjà 4 ans, et nous revoilà partis pour une nouvelle saison avec vous. D’ailleurs ça nous fait penser que le temps passe vite et qu’il est précieux! Alors nous n’avons pas chômé. Il faut dire qu’entre la radio, le journal, le site internet et la web radio il y a de quoi faire ! Donc pas mal d’événements en vue pour l’équipe de Surf Fm : Nous avons débuté notre année sur les «chapeaux de roue» avec le Festival Garorock qui fêtait ses 15 printemps au début du mois d’Avril et pour clôturer le mois nous sommes allés faire un tour du côté de Bourges. Voici une petite idée des festivals de musique sur lesquels nous seront présents et des festivités qui ne font que commencer. Evidement ça c’est pour la partie musique, car pour ce qui est du surf nous ne sommes pas en reste...

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./SOMMAIRE

L’ Equipe était présente sur le contest du Vendée Pro, est partie à la rencontre de Bernard Crépel à l’occasion de l’ «Odyssée du flocon à la vague». ... voilà un autre marathon qui ferait passer Phidippidès pour un débutant !

3 - Edito

Surtout que d’autres sujets comme l’environnement nous tiennent aussi à cœur, ici dans notre belle région landaise mais aussi ailleurs.

8/11 - SURF

Vos remarques et commentaires nous intéressent, alors n’hésitez pas à nous en faire part. En attendant, nous vous souhaitons une bonne lecture, et nous espérons que vous prendrez autant de plaisir à nous lire, que nous en avons eu à faire ce premier numéro de la saison. L’équipe Surf Fm

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5 - Radio Surf Fm 102.3 6/7 - 40 12/13 - DANS LE VERT 14/15 - PAPIERS SVP 16/19 - MUSIQUE 20/21 - Shopping 22/23 - Coin détente

Le code QR est un code-barres destiné à être lu par un téléphone mobile, ou un smartphone. Pour voir de la vidéo, musique, site internet, etc. en 1 clici Vous le retrouverez sur les articles .

Association Starcom, loi 1901 / SURF FM, 490 avenue des forgerons, 40150 Soorts-Hossegor – www.surf-fm.fr - Journal édité par Sud Ouest Service’s à Saint Geours de Maremne - Directrice de publication Kaël A. Hunold, kl@surf-fm.fr – Assistante de Rédaction : Alice Duin, alice@surf-fm.fr - Rédacteurs : Fathia Hoyet fathia@surf-fm.fr, Olivier Hamelin, olivier@ surf-fm.fr - Photographe : Céline Hamelin - Conception graphique : iK.DSGN Régie Publicitaire : SARL C4 – Directrice marketing & commerciale Anne-Laure Baillet, al@surf-fm.fr - Assistante commerciale : Camille Breton, camille@surf-fm.fr _ E-mail : contact@surf-fm.fr Merci à Max et à tous ceux qui ont participé et contribué à la réalisation de ce numéro. SURF FM 102.3

RADIO SURF FM

LES ÉMISSIONS

..................................................................................................... LA MATINALE 8h30 9h30 du lundi au jeudi Présentée par Kaël et Fathia

Michaël C’est l’émission 100% surf de la radio, avec au programme les résultats des compétitions, les informations sur l’industrie du surf, de nombreux invités (pro surfeurs, shapers, shops...), des reportages, des nouveautés, la météo du surf, des cadeaux à gagner... Ah sacré Béber, le cœur sur la main on vous dit!

18h30 Tous les 1ers mercredis du mois

Vendredi DJ’s 20h à 21h tous les vendredis soirs Allez on se réveille en douceur, la journée commence et tout va bien ! Au programme de l’émission : météo, surf report, billet d’humeur, chronique musicale, agenda, et tout ça en musique avec les nouveautés dénichées en exclu par Fathia, sans oublier les invités qui font bouger «le coin» ! Bref, si avec ça vous ne commencez pas bien votre journée, Kaël et Fathia s’engagent à venir vous massezr pour s’assurer que vous êtes vraiment détendu...

MC Box Radio Show 8h30 10h tous les vendredis Présenté par St Aka Joko et Alex dit Akwel.

Le H.I.P l’a H.O.P

ArnoRock Session Samedi 18h19h Présentée par Arno himself.

Du bon son pour commencer la soirée, mixé par différents Djs ! Il est à peine 20h et vous vous sentez déjà pousser des ailes, vos baskets s’emballent, les talons claquent... attention les amis la soirée ne fait que commencer !

Délivrez-moi ! Mardi 9h05 Rubrique présentée par Elise

On finit la semaine comme on l’a commencée… tranquille ! C’est aussi le début du week-end, donc au programme de la bonne musique toujours et encore, des coups de gueule, des coups de cœur, des invités, des potins et les sorties du week-end… Vous êtes gâtés !

L’Actu Surf 18h à 19h tous les lundis Présentée par Bertrand Aka Béber !

Si le rock te dérange, que tu penses que le punk is dead, et que le métal est un matériau, on ne peut hélas rien pour toi ! Quoique... Arno notre chroniqueur rock risque de convertir tous les infidèles et réfractaires à la cause. Au menu : du son, des nouveautés, des découvertes anciennes ou nouvelles, on parlera donc de rock, de rock et... de rock !

L’ApéroShow

Qu’est-ce que tu lis en ce moment? Question fatidique, et pour ne pas répondre «rien», ou genre «tu sais je bosse beaucoup moi j’ai pas le temps’», et bien grâce à Elise et ses chroniques littéraires toujours pointues, à défaut d’avoir lu les livres tu pourras quand même briller en société car tu auras écouté avec intérêt son émission. De la Bd, aux romans, en passant par des autobiographies et autres essais philosophiques, Elise épluche l’actualité littéraire, et tel Jésus qui redonne la vue aux aveugles, elle redonnera le goût de la lecture à ceux qui l’ont perdu. Miam !

Fathia et Kaël embarquent le studio et s’installent là où il y a de l’actualité, soirées, concerts et autres événements!

facebook.com/radiosurffm/contact@surf-fm.fr SURF FM 102.3

LA MATINALE ..................................................................................................... Fathia et Kaël vous accompagnent le matin le temps du réveil ou du trajet pour aller travailler, emmenés par les dernières nouveautés musicales chinées par Fathia et l’actu surf, les news du net et l’agenda présentés par Kaël. { On a sélectionné quelques news } Business > François-Henri Pinault et PPR se mettent au surf avec Volcom ! Le groupe français de luxe et de distribution PPR a lancé une offre publique d’achat de plus de 600 millions de dollars sur le groupe américain Volcom. La marque spécialisée dans l’habillement et les accessoires de l’action sport viendrait compléter le pôle Sport&Life dont Puma fait déjà partie.

Technologie > Un film photovoltaïque alimente les smartphones Wysips (what you see is photovoltaic surface), une jeune entreprise française, a développé une technologie capable de transformer n’importe qu’elle surface (textile, verre...) en source d’énergie. Appliqué sur les téléphones mobiles, le film solaire, transparent et souple contribuera essentiellement à augmenter l’autonomie des smartphones. Son prix avoisinerait un euro.

Informatique > La revanche du Gif animé Distancé par le format JPEG lors de l’arrivée du haut débit,

le Gif signe un retour fracassant grâce notamment à la photographe Jamie Beck et ses images surréalistes. Vous pouvez découvrir des mannequins figés dont quelques mèches volètent sous l’effet du vent sur son blog From Me To You. L’application à connaître > Wikipourri L’autoproclamée encyclopédie web du grand n’importequoi avec des redéfinitions de mots empreints d’humour et d’imagination… Autobus : véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans. Oui chérie : gain de temps. Boomerang : frisbee pour ceux qui n’ont pas d’amis. On vous laisse découvrir les suivantes…

Shopping > Ikea à Bayonne prévue en juin 2014 Le projet Ikea Ametzondo a pour objectif d’ouvrir en juin 2014 dans la zone entre Bayonne, St Pierre d’Irube et Mougerre, tandis que les travaux devraient commencer en juin 2012. Le géant suédois revendique un projet écocompatible avec un forum commercial qui s’étendrait sur 32 000 m2. En plus d’Ikea, Carrefour, des boutiques, un service de restauration et un parking souterrain compléteront le pôle commercial.

AGENDA QUARANTE > 14 mai - One man show de Gaspard Proust :au Loft culturel des Bourdaines (Seignosse) > 2 au 5 juin - Satiradax : Dax - 1er festival de la Satire avec Groland- Spectacles (Christophe AlévÍque et Didier Porte), concerts ( Didier Super, Les Wampas, Dr Krollspell etc.), films, sketches, conférences Programme complet et billeterie en ligne sur www.satiradax.fr > 9 au 12 juin - Festival de la Comédie : Dax - avec Marc Jolivet, Vincent Roca etc. Renseignements sur www.dax.fr > 14 mai - forum Jobs d’été : Vieux-Boucau (Salle des sports) . Organisé par MACS > 24 mai - Expo-Conférence «Adolescences» 19h, Tyrosse (lycée Sud des Landes) Expo-Conférence «Adolescences». Organisée par MACS. Entrée libre.

L’apéroShow

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Pour son premier jour d’antenne le vendredi 1er avril, Surf Fm la radio était au Café de la Gare avec l’ApéroShow, l’équipe était sur place en direct. Pour l’occasion, Stéphane Marteau, est venu nous présenter Mc Box Event, et nous a accompagné tout au long de l’émission. Bertrand Merigaud était de la partie, il nous a parlé de son émission l’ActuSurf que vous pouvez retrouver tous les lundis. Arnaud, notre chroniqueur annonçait la couleur du Arno Rock Session. Arnaud Darrigade quant à lui, nous a rejoint pendant l’émission pour parler surf, ainsi que le président du Santocha Surf, Club Benjamin Foulet. Baptiste Caussèque qui travaille au sein de l’entreprise Pull In, est venu nous dire quelques mots, et parler aussi musique. Enfin, Thierry le boss du Café de la Gare est venu nous raconter l’histoire de ce lieu mythique qui existe depuis 1936, appartenant à la même famille. Il assure la relève depuis 1992, et a fait de cet endroit un point de rencontre incontournable pour tous les habitants de la région. A noter la petite surprise en fin d’émission, Christian le guitariste du groupe Gojira, LE band de métal de la région qui a largement dépassé les frontières pour jouer avec les plus grands, est venu rejoindre l’antenne et saluer Surf Fm pour l’occasion. Voilà donc du beau monde aux micros, un temps de rêve, la saison commençait sous de bons augures.

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L’ActuSurf ..................................................................................................... Bertrand et Kaël recevaient la Championne du monde de surf Junior Alizé Arnaud. B : Donc pendant un an, tu étais sans sponsor… C’était toute la famille qui sponsorisait, à fond !

B : On reçoit Alizé Arnaud, la Championne du monde Junior de surf féminin. Bonsoir Alizé, pas trop le trac de passer à l’antenne ? Ca va. Un peu le trac pour une fille timide comme moi mais on va faire avec. B : Pour ceux qui ne te connaissent pas Alizé, d’où viens-tu ? Beaucoup pensent que je suis née dans le sudouest mais pas du tout. Je viens de Créteil en banlieue parisienne. J’ai habité là-bas jusqu’à mes sept ans. Je suis ensuite arrivée à SoortsHossegor puis à Capbreton. B : Tes premiers pas sur une planche de surf ? Ma mère nous faisait faire chaque année un nouveau sport pour trouver celui qu’on aimait bien. Et en 1999 mes parents ont pris un snack en haut du Santosha. Du coup, je voyais tout le monde aller surfer. Au début, je me suis mise au body-board et mon frère faisait du surf. Et puis il m’a passé une planche, et hop, c’était parti. B : Ton parcours scolaire ? J’ai fais la section surf au collège J. Rostand de Capbreton, puis trois mois au lycée de Tyrosse. Mais j’ai préféré voyager et j’ai donc continué par correspondance. Et j’ai eu mon Bac littéraire. Je voulais avoir au moins le bac et ensuite me consacrer au surf. B : Ton parcours en tant que compétitrice ? Quelles ont été les étapes ? J’ai fait ma première compétition à Capbreton, le Gromets Trophée en 2000. J’avais fini 4ème. Puis je me suis entraînée tous les hivers. Et le premier moment marquant a été ma sélection en équipe de France à 15 ans, en 2005. On partait en Californie. C’est là que je me suis dit que je pouvais réussir parce que j’ai réussi à faire le deuxième meilleur total de la compétition, derrière Stéphanie Gilmore. L’année d’après, Pauline Ado a gagné au Brésil les Championnats du Monde ISA. Je me suis dit que c’était possible. B : Au niveau des sponsors, t’en as trouvé rapidement ? Parce qu’être sélectionnée à 15 ans en équipe de France… t’avais déjà quelqu’un qui te suivait ? Au début, c’était le Hossegor surf club qui me suivait. Et j’ai vite trouvé un sponsor, Roxy, en 2003. Mais ça s’est mal passé en 2009. Et en 2010 j’ai trouvé mon sponsor actuel O’neill.

Vegas. Moi par gentillesse, je dis oui, avec ma sœur.

B : Entre ta sélection en équipe de France à 15 ans et ton titre de championne du monde, qu’est-ce qui s’est passé ? Entre temps, j’ai eu deux titres de championne de France qui m’ont boostée. Et un titre de Championne d’Europe Open et Junior.

B : Quelle est ta journée type ? Généralement, je me lève à 9h. Pas à l’aube. On aime bien dormir dans la famille. Petit-déjeuner. Je vais surfer. Je rentre manger. Je fais la sieste, selon les marées. Après je retourne surfer et je vais courir le soir ou faire de l’entraînement physique. Je mange, un peu de télé et dodo.

B : Il doit y avoir pas mal de médailles à la maison. Oui. Comme dit ma mère, ça fait des bons nids à poussière. Mais moi je les aime bien.

B : L’entraînement physique, ça consiste en quoi ? Avant j’allais à la salle et maintenant, je fais de la course à pied, du cardio et du fitness.

K : Quand tu remportes une étape ou un championnat, comment réagis-tu ? Tu savoures, tu repenses à tes résultats, à ta dernière vague ? Quand je gagne une compétition, j’ai souvent la mauvaise habitude de me reposer sur mes lauriers, comme là pour le titre de championne du monde. Maintenant j’essaye de vite repasser à autre chose, d’oublier ma victoire, il faut que je reprenne l’entraînement.

B : Ton plat favori ? Qu’est-ce qu’elle fait de mieux maman ou c’est toi qui cuisines peut-être ? C’est plutôt les hommes qui cuisinent à la maison. Mon plat préféré c’est les sushis. J’aime bien tout ce qui est mexicain aussi. Et un petit Mc Do de temps en temps aussi. Je ne suis pas trop légumes tous les jours. Je n’ai pas une alimentation spéciale pour le surf.

B : A 21 ans, c’était ta dernière compétition en Australie en tant que junior. Maintenant, t’es chez les dames, ça rigole plus. Après cette victoire, quels ont été les retours niveau médiatique, personnel, sponsoring ? Est-ce qu’il y a eu un impact autour de toi, en Australie ? Oui en Australie un peu mais c’est surtout en revenant en France, trois mois après, que je me suis rendu compte qu’il y avait un impact. Par rapport aux sponsors, à la médiatisation aussi ça a beaucoup changé.

K : Ca veut dire que c’est possible. B : Vu son parcours, elle nous prouve qu’il y a beaucoup de choses qui sont possibles. Et aujourd’hui t’es sur le WQS, tu vises le WCT ? Quels sont tes objectifs ? Je vise le WCT mais il y a pas mal de gens qui me mettent la pression pour rentrer assez vite. Moi je préfère prendre mon temps, d’ici 1 an ou 2. J’ai pas mal de boulot encore pour y arriver donc je préfère m’entraîner à fond et y aller en étant prête plutôt que d’y aller et être moyenne.

B : Peut-être une reconnaissance vis-à-vis de l’élite mondiale, du surf féminin et masculin ? Oui. Chez les masculins, il y a eu le banquet à l’ASP où il y a eu pas mal de gens du tour qui m’ont félicitée et Jadson André qui m’a envoyé des mails pour me féliciter. Et chez les filles, je suis très amie avec Laura Enever, le titre se jouait entre nous deux mais elle m’a bien félicitée. Sally, etc.

B : Quand est-ce qu’on aura l’occasion de te voir surfer dans le coin ? Mon prochain voyage est mi-juin au Portugal. Mais sinon je serais ici pour la Swatch et je m’entraîne tous les jours dans le coin.

K : Le fameux banquet, les awards de l’ASP, t’étais très bien habillée, très chic. Tu étais un peu nerveuse ? Très nerveuse. Mais, j’avais invité ma mère, ma grand-mère et Justine. Et avant de monter sur scène, j’ai dit à Justine « passe moi vite le vin blanc » pour me détendre. Et après il y avait pas mal à marcher en talons et ma robe pesait trois kilos. C’était une tenue de ma grand-mère quand elle était danseuse. Elle devait être destinée à Brigitte Bardot. K : D’accord. Tout s’explique. Et tu viens de nous expliquer que ta grand-mère était danseuse à Paris sur les fêtes foraines. Donc tu portais sa robe. Il me semble que tu es passée à Las Vegas ? Oui et j’y retourne ! Pour visiter, jouer au casino. Car ma grand-mère est fan de casino. Malheureusement, elle m’a donné le goût du casino. Elle cherche des gens pour l’accompagner à

K : Ton surfeur préféré ? Joël Parkinson. K : Tu as vu la vidéo de Benjamin Sanchis ? A quoi tu penses quand tu vois ça ? J’ai un grand respect pour lui. Je ne suis pas très forte en apnée. Du coup, j’ai vite peur. A partir de 2m50, ça commence à faire beaucoup. K : Et ta grand-mère est en fait ta plus grande fan. Tu disais qu’elle se lève même pendant la nuit pour regarder les séries ? Oui. Sur les Championnats du monde junior, elle a suivi à Bali et en Australie. Elle connaît tout par cœur. Elle s’énerve contre son ordinateur toute seule. Elle clique comme une folle dès qu’il y a les scores. S’il n’y a pas les scores, parce que des fois ça ne marche pas, c’est la panique. Elle met son réveil la nuit. K : Merci d’être venue et félicitations pour ton titre de championne du monde. Merci.

LES NEWS

..................................................................................................... RIDDIM «La série Riddim nous invite à partager les aventures d’un surfer-globe trotteur. Ancien compétiteur, Ugo s’est lié d’amitié avec des surfeurs du monde entier. A chaque épisode, il nous emmène dans une nouvelle destination à la rencontre de ses surfeurs et surfeuses qui lui font découvrir le pays».

WHIB «Votre meilleur ami est toujours présent, à l’affût pour vous offrir de la news, de la fraîche... What’s hot in Boardsport ? Des breaking news, de l’actu, de l’information, sur tout ce qui touche aux sports de glisse : Evénements, compétitions, industrie, people, etc. Tout cela avec un maximum de réactivité pour vous tenir au courant de ce qui ce passe en temps et en heure ! Vous pouvez aimer WHIB sur facebook, le follower (folo-oué) sur twitter en cherchant WHIB_ ou simplement aller directement sur le blog pour prendre les news à la source. «

BIENVENUE A LA SWATCH GIRLS PRO FRANCE 2011 ! Swatch Girls Pro France: du 1er au 5 juin 2011 - Hossegor, Seignosse - Star Series 6******/Pro Junior 2** Championnat du Monde de surf. De Hossegor à Seignosse, où se nichent les plus belles vagues du littoral européen, SWATCH a le plaisir de vous accueillir pour cette deuxième édition. Surf Party: soirée surprise, I-pod Battle... entre le Café de la gare à Capbreton, le Rock Food à Hossegor et Le Surfing à Seignosse A suivre en direct sur : www.swatchgirlspro.com

www.whatshotinboardsport.blogspot.com

..................................................................................................... BILLABONG XXL GLOBAL BIG WAVE AWARDS Benjamin Sanchis remporte le prestigieux Biggest Wave award avec une vague de plus de 20 mètres. Vendredi 30 avril 2011 en Californie, avait lieu la 11ème cérémonie annuelle des Billabong XXL Global Awards. Considérés comme les Oscars du surf de gros, ces Awards récompensent les surfeurs ayant pris les plus grosses vagues au cours des douze derniers mois. La soirée a réuni les meilleurs surfeurs mondiaux et les grands de l’industrie, avec pas moins de 2200 invités. Les lauréats ont été élus par un panel de 400 surfeurs, photographes et médias spécialisés qui les ont choisis parmi plus de 1000 photos et vidéos. Le Brésilien Danilo Couto a remporté la catégorie Ride of the Year et s’est vu remettre sa récompense par le skateur de légende Tony Hawk, non sans émotion. L’Hawaiien Shane Dorian remporte deux prix, le Monster Tube Award et le Monster Paddle Award et décroche par la même occasion un nouveau record de l’histoire du surf avec une vague de 17m pris à la rame à Jaws. Benjamin Sanchis remporte le Biggest Wave Award pour une vague surfée à Belharra estimée à 20,4m. ‘Je ne suis pas seulement heureux pour moi, mais pour líEurope’ déclare le Français. ‘C’est une sacrée victoire, je suis vraiment très fier et très content. La vague de Belharra se trouve à 30mn de chez moi. Ce n’était pas un jour si gros que ça pour ce spot, ça peut être bien plus gros !’ L’Hawaiienne Keala Kennelly remporte le Girls Performance of the Year.

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VENDÉE PRO ..................................................................................................... Le spot de La Sauzaie à Brétignolles-sur-mer accueillait du 21 au 25 avril la dixième édition du Protest Vendée Pro, compétition 4* comptant pour le World Tour. Surf FM y était pour suivre au jour le jour le déroulement de cette première étape française de l’année ! Après 6 heures de route, l’arrivée en Vendée se fait sous le soleil. La côte est sauvage et magnifique, alternant plages et criques rocheuses. Malheureusement pas l’ombre d’une vague surfable a l’horizon ! La route longe l’océan de Brétignolles vers le spot de la Sauzaie. J’aperçois les drapeaux du site de compétition et me prépare à arriver sur un contest off, mais c’est sans compter sur les capacités du site ! En effet, la vague de la Sauzaie prend forme sur une dalle de rochers qui permet au spot de marcher même lorsque les conditions alentours sont flat. Il y a cependant une contrepartie, pas de surf possible à marée basse, ce qui oblige les organisateurs à interrompre systématiquement la compétition pendant près de 6 heures par jour. Très bien accueilli par Jean Cougny, représentant de la marque Protest en France, et Jérome de l’agence Lxir qui gère les relations presse, je rentre directement dans le vif du sujet ! C’est le deuxième tour de la compétition qui vient de reprendre en cette fin d’après-midi le jeudi 21 avril, dans des vagues d’un bon mètre, relativement peu évidentes à surfer. Mais reprenons les choses dans l’ordre. Avant que les hommes pensionnaires du World Tour ne surfent, l’attention était tournée vers les filles du circuit junior ! En amont du Protest Vendée Pro, ce même spot de la Sauzaie accueillait les 19 et 20 avril le Bréti Girls Pro Junior, compétition réservée aux filles de moins de 21 ans. Sur les traces de la championne du monde junior Alizée Arnaud qui l’avait emporté l’année dernière, sa compatriote canaulaise Justine Dupont, âgée de 20 ans, s’est imposée cette année dans des conditions exceptionnelles. Elle est venue à bout de la guadeloupéenne Maud Lecard après un parcours sans faute, en scorant un total de 13,75 points contre 9,20 points pour sa rivale. Une belle victoire qui lui permet ainsi d’empocher 250 points comptants pour la qualification des championnats du monde junior dont le titre est justement actuellement détenu par Alizée. Place maintenant au Protest Vendée Pro ! Dans la liste des riders présents, on attendait bien évidemment cette année le vainqueur des deux éditions précédentes, Joan Duru, l’un des trois français aux portes du World Tour ayant des chances d’accéder au sacro-saint top 32 du classement. Face à lui, les membres du team Protest avec en tête le Français Tim Boal et l’Allemand Marlon Lipke, mais aussi d’autres riders en forme du moment comme Marc Lacomare, Alain Riou et Brent Dorrington, vainqueur du Cold Water Classic en Ecosse. Beaucoup de Français donc, inscrits sur ce 4*. Parmi eux, on peut citer aussi Vincent Duvignac, Tristan Guilbaud, Romain Cloitre, Patrick Beven, Romain Laulhé ou encore Michael Picon de retour exceptionnellement sur une compétition, tous prêts à en découdre sur ce spot de la Sauzaie. Surf FM a donc suivi l’événement pour vous livrer en direct et en duplex tous les jours les résultats et les témoignages des riders et des organisateurs. Jean Cougny, Tim Boal, Alain Riou, Marlon Lipke ou encore Micky Picon se sont succédés au micro durant ces 5 jours pour nous parler de la compète, mais aussi de leurs projets, de leur carrières et de leurs envies du moment. C’est la marque d’action sport hollandaise Protest qui soutenait pour la troisième année consécutive le Vendée Pro. Pour l’occasion, l’ensemble du team international était présent, accompagné par les représentants de la marque, qui vient d’ouvrir il y a peu une filiale en France avec des bureaux à Capbreton et un showroom à Annecy. « Les bureaux ont été installés à Capbreton parce qu’on souffre d’un déficit d’image entre notre positionnement hiver et été » nous expliquait Jean. « La marque est en pleine croissance, en pleine expansion (…) et bénéficie d’une distribution très qualitative avec près de 250 clients actifs entre l’été et l’hiver. Protest a une résonance européenne puisqu’on est présents dans une quarantaine de pays européens. On a voulu internationaliser le team, c’est pour ça que Tim Boal a été signé ». Tim, que nous avions rencontré en milieu de compétition, nous avait d’ailleurs confié être « content d’avoir intégré ce team où l’esprit est très familial et amical ». Pensionnaire du World Tour en 2009, il avait aussi abordé avec nous son engagement et son expérience pendant un an auprès de l’ASP en tant que représentant des surfeurs pendant les prises de décisions. « L’impression que j’ai eu c’est qu’en tant qu’Européen ça ne servait pas à grand chose. On nous écoute heureusement, on nous laisse parler, mais je trouve qu’on ne nous prend pas trop en 10

considération. C’est un peu une perte de temps et un investissement inutile. (…) Il y avait parfois un manque de respect entre certaines personnes des marques et les surfeurs, enfin surtout ceux qui ne faisaient pas partie du top 16 », confiait-il. Côté résultats, sur le Vendée Pro, la première grosse surprise a été l’élimination de Joan Duru. Dans des vagues ne dépassant guère le mètre vingt, il n’a pas su imposer son surf radical face à Vincent Duvignac. Une grosse désillusion pour Joan qui comptait bien asseoir sa domination du spot Vendéen pour la troisième fois et ainsi conforter sa place au classement ASP. Sur l’ensemble de la compétition, une houle moyenne d’un mètre vingt aura permis d’assurer le lancement des heats et de voir quelques belles manoeuvres. Des conditions donc pas exceptionnelles à l’exception de la matinée du dimanche 24 avril qui restera dans les mémoires. Une houle parfaite d’1,80 mètre couplée à un vent offshore, auront permis quelques barrels et le lancement des 16èmes et des quarts de finale dans lesquels Alain Riou, l’Australien Chris Friend, Marlon Lipke et Tim Boal se sont respectivement imposés face à Marc Lacomare, Vincent Duvignac, Justin Mujica et Michael Picon. Micky, qui aujourd’hui s’est retiré de la compétition et travaille au marketing chez Quiksilver, continue cependant à participer à quelques évènements. « Je pense que psychologiquement c’est difficile d’arrêter complètement, confiait-il au micro de Surf FM lors du Vendée Pro. Quand t’as fait de la compétition depuis l’âge de 11 ans, arrêter du jour au lendemain ça peut avoir un effet négatif. Je participe à quelques-unes encore parce que j’ai peur d’être mal dans ma tête si je n’en fais pas. »

Une compétition pendant laquelle il a d’ailleurs surfé avec le même engagement que ses rivaux qui se battaient pour gagner des points au classement ASP. « On surfe toujours avec de la pression. Quand tu rentres dans l’eau, tu te donnes à fond! » Au sujet de son nouveau boulot, il a partagé avec nous ses premières impressions. « C’est un peu une nouvelle vie pour moi, j’apprends beaucoup. C’est la vraie vie actuellement. J’aime bien, je prends un nouveau rythme, et faire des compètes en France et en Europe c’est juste du plaisir. » C’est le 5ème et dernier jour de la compétition. On retrouve en demi finale Alain Riou opposé à Chris Friend et Tim Boal face à Marlon Lipke. Ce dernier ne parviendra pas à trouver les bonnes vagues à exploiter pour s’imposer face à un Tim Boal décidément en grande forme. A la sortie de la demi finale de l’expression session, nous avions retrouvé Marlon pour parler de la façon dont il aborde les compétitions et de sa carrière sur le World Tour. « Je représente l’Allemagne dans les événements de surf mondiaux, je suis né et je vis au Portugal. Je suis sur le WT depuis longtemps maintenant, peut-être trop longtemps...ça fait à peu près dix ans ! J’aime toujours revenir en France, c’est toujours spécial, je viens à Hossegor depuis que j’ai 14 ans ! (…) Pour me relaxer pendant les compètes j’essaye de ne pas trop penser à ma prochaine série. Là on a fait du mini golf pour se détendre, c’était sympa. Sinon je passe du temps dans ma chambre et je vais surfer en attendant les séries pour garder mon corps en activité. » Elimination donc de Marlon Lipke dans sa combinaison verte fluo mais aussi de Chris Friend, à qui le Tahitien Alain Riou n’aura laissé aucune chance. A la sortie de son heat il confiait ses ambitions au micro de Surf FM. « Mon objectif cette saison était d’abord de faire des bons résultats pour remonter dans le top 100 et pouvoir faire toute les compétitions Prime. Avec l’Ecosse et ma demi finale je suis remonté, je peux faire toutes les compètes, donc maintenant on se réattaque à l’objectif premier, c’est de se qualifier pour le WT. » Il perdra néanmoins face à Tim Boal en finale, malgré un tube noté 8,43 dans une vague qui restera la plus belle des phases finales. Une Opposition haletante qui aura comblé les amateurs de surf présents sur le spot de la Sauzaie en ce lundi de Pâques ensoleillé. Tim Boal remporte donc pour la deuxième fois le Protest Vendée Pro, après sa victoire en 2007, en scorant un total de 14,33 points. Nous l’avons retrouvé à la sortie de l’eau après sa victoire.

« En septembre il faut être dans les 32 premiers du classement, là pour l’instant je suis 50 donc c’est une bonne quinzaine de places. Ca à l’air facile mais ça ne l’est pas ! Il faut faire au moins deux bons résultats sur les Prime. » expliquait-il. « Ca fait toujours du bien de gagner, quelle que soit la compète, ça n’arrive pas souvent ! » Le Vendée Pro touche à sa fin, un bel événement au coeur d’une région où la culture surf est très présente et où de plus en plus de jeunes surfeurs prodiges font parler d’eux à l’image de Tristan Guilbaud, trop tôt éliminé cette année. Retour sur Hossegor et merci aux surfeurs dont certains sont des auditeurs de Surf FM ! « J’écoute tout le temps quand je suis dans la voiture », confiaient Alain Riou et Micky Picon. «C’est ma radio préférée dans la région. J’adore, j’espère vraiment qu’elle va devenir de plus en plus connue, il y a de la bonne musique, c’est le top! » Merci & Adishatz !

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du flocon à la vague .............................................................................................. Surf Fm vous présente L’Odyssée du flocon à la vague, raid sportif et écologique qui débutait jeudi 7 avril dans les Pyrénées. Douze équipes de haut niveau vont suivre pendant trois jours le trajet de l’eau, de son état solide à liquide, en multipliant les épreuves sportives.Au programme: ski, snowboard, canoë, hydrospeed, surf ou encore stand up paddle, en sept escales, du Pic du Midi à la baie de Saint Jean de Luz, pour porter un message, celui de la sensibilisation à la protection de ce bien vital qu’est l’eau. Olivier est parti à la rencontre de Bernard Crépel, président de l’association du même nom qui organise cet événement. Olivier : Bonjour Bernard, vous êtes le fondateur de cette association Du flocon à la vague qui, pour la troisième fois cette année, organise une odyssée sportive des sommets des Pyrénées jusqu’aux vagues du Pays basque. Pourriez-vous nous présenter l’association, comment est née cette idée Du flocon à la vague et quel est le principe de l’odyssée ? Cette association raconte l’histoire d’un petit flocon de neige au sommet d’une montagne qui est vierge de toute pollution et qui au fur et à mesure de son parcours vers l’océan se charge de bonnes ondes et de mauvaises. Le but c’est de l’expliquer au plus grand nombre et en particulier aux enfants. Il fallait qu’on réunisse des endroits emblématiques de l’océan que peuvent être le Pays basque ou les Landes et un endroit emblématique de la montagne qui est le Pic du Midi de Bigorre où il s’est passé énormément de recherches scientifiques. L’idée remonte maintenant à il y a une quinzaine d’années. Je vais faire un petit historique avec Albert Delegue qui était un des grands mannequins français voire internationaux. Cette idée est partie de lui. Malheureusement, il a disparu trop tôt. Le jour de son enterrement, j’avais promis que cet événement dont on avait eu l’idée verrait le jour. Il a fallu du temps parce que ce n’est jamais simple. C’est quand même un gros périple. Et aujourd’hui il a eu lieu pour la troisième fois. La grande chance qu’on a eu c’est qu’un garçon comme Bixente Lizarazu, quand on s’est rencontré autour de ce concept, a vraiment mordu très vite. C’est un surfeur, tout le monde le sait. Il sait qu’il y a beaucoup de problèmes sur le littoral et qu’il faut respecter l’eau des océans plus que tout. Il a donc immédiatement adhéré à ce projet et il a été un des fondateurs avec nous.

Pour cette édition 2011, vous avez mis en place de nouveaux outils, le « Negawater » et le « Serious game »? L’événement en lui-même est la partie émergée de l’iceberg, celle qu’on voit le plus. Certains nous le reprochent d’ailleurs en disant « C’est une espèce d’happy few entre sportifs de haut niveau ». Alors que pas du tout. L’idée c’était de créer des outils autour de ça et des outils qui puissent durer tout au long de l’année. Donc les deux grands outils sont effectivement ce que l’on a appelé « l’O2 Game » , c’est-à-dire le « Serious Game » qui, en allant sur les différents sites de nos partenaires, permet à 25 millions de joueurs potentiels de se renseigner en venant poser des questions, en venant jouer, trouver des réponses qui conviennent ou qui ne conviennent pas pour prendre conscience que la planète peut ne pas être éternelle. Ensuite on a l’Empreinte H2O qui est vraiment l’équivalent du bilan carbone que tout le monde connaît maintenant, qui a été déposé au niveau mondial. Il y a un site sur lequel les gens vont pouvoir aller pour connaître mieux leur consommation d’eau. (...)C’est vraiment une prise de conscience avec des préconisations à la fin en disant « voilà le textile se consomme comme ça, la nourriture se consomme comme ça», et en aidant les gens à mieux utiliser l’eau dans leur quotidien. L’association travaille en lien étroit avec des groupes scolaires, des enseignants et des écoles pour faire passer ce message de protection de l’eau. Est-ce que vous pensez que l’éducation des nouvelles générations plutôt que des anciennes est la clé pour que ce message de protection de l’environnement passe de la parole aux actes. Autant je crois que nous les adultes, on est responsables de l’éducation de nos enfants. Ça c’est un lieu commun, on leur apporte beaucoup tout aulong de leur jeunesse. Mais je pense par contre, que dans la nouvelle situation que nous vivons, c’està-dire le respect de la planète, le développement durable, le respect de l’eau, de la biodiversité, des forêts, des animaux, ce sont nos enfants qui doivent être responsables de nous. C’est-à-dire que malheureusement, puisque nous n’avons pas été éduqués comme ça, parce qu’on est dans une société qui est due au capitalisme, au gain immédiat, à l’argent, on n’en a pas conscience. Et ce n’est pas notre faute, c’est juste qu’on a des mauvaises habitudes. Par contre, il y a une prise de conscience qui s’est mise en place et qui fait que les jeunes aujourd’hui sont mieux éduqués que nous et que c’est eux qui doivent nous mettre des claques de temps en temps en disant « Mais non, tu ne fais pas ce qu’il faut, ce n’est pas bien ». On les éduque d’un certain côté mais eux doivent nous éduquer de l’autre.

......................................................................................................... Les grands RDV qu’il ne fallait pas rater! L’Odyssée est partie du Pic du Midi et a rejoint La Mongie où beaucoup de groupes scolaires attendaient les sportifs. Après le stade d’eau vive de Pau, l’événement s’est déplacé à Anglet, où un Village des Initiatives Responsables composé de différentes associations et marques était présent pour interagir avec les enfants. C’était l’une des étapes la plus importante, pendant laquelle les enfants ont pu emmagasiner un maximum d’informations, jouer et s’informer sur la protection de l’eau. Après une épreuve de surf en tag team très disputée, Danièle Mitterrand a donné une conférence sur la gestion de l’eau dans le monde qui fut sans doute le moment fort de l’Odyssée. Puis tout le monde s’est retrouvé à Bayonne pour une course de pirogue nocturne. On a pu observé tout au long de ces épreuves l’investissement des enfants et des sportifs pour une même cause, celle de l’eau. Une belle réussite pour l’Odyssée du flocon à la vague ! Site de l’Odyssée : www.dufloconalavague.org Retrouvez le podcast de l’interview sur www.surf-fm.fr

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PAPIERS S’IL VOUS PLAIT

SURF FM S’ENVOIE EN L’AIR AVEC LES FRERES PAGES ..................................................................................................... Tom & Charles Pagès sont passés à la matinale interviewés par Fathia & Kaël figure le « superman ». C : Tout le monde fait ces espèces de leviers, ça fait comme des cornes de vaches, qui servent à s’appuyer les poignets de manière à avoir plus de force sur le guidon. C’est un sport d’innovation, donc plus on crée, plus on a de chance de faire des nouveautés et de toute façon, moi, personnellement, j’y pense du matin au soir. Je recherche sans arrêt ce qui peut être possible de faire. Il ne se passe pas une minute sans que je ne pense pas à de nouvelles figures. C’est évident qu’on peut essayer des nouveautés et dans quelques années avoir des motos complètement différentes. Ҫa avance petit à petit. F : Qui est-ce qui crée ces accessoires ? C’est vous-même ? T : Au départ on a bricolé de la ferraille, on a soudé comme on pouvait, on a essayé, et dès que ça semblait fonctionner on a été voir quelqu’un qui avait le matériel pour faire ces choses en haute qualité. Et puis de fil en aiguille, on les fait faire par quelqu’un.

K : Charles, tu as fêté tes 30 ans. Tom, tu as 26 ans. Vous êtes tyrossais et faites partie de l’élite mondiale du FMX. On est contentes d’accueillir des athlètes de haut niveau. Charles tu as eu un accident au mois de novembre à Bercy. Je voulais savoir comment tu vas ? C : Je vais bien. Déjà merci beaucoup. Oui j’ai fait une chute au mois de novembre et je suis en convalescence. Il va me falloir un petit peu de temps pour revenir...je vais à la fois très bien et à la fois pas terrible parce que je ne peux pas encore faire de moto et c’est ce qui me manque le plus. Physiquement ça va et ça va être, j’espère, les derniers mois de convalescence et ensuite ça sera comme avant. K : J’ai relevé une phrase qui, je trouve, en dit assez long sur ton moral, tu as dit : « Vous m’emmerdez tous avec vos conneries, je veux rouler! » (rires). C’est ça ? C : Oui exactement. C’est le fait de rouler je pense qui va me donner l’énergie d’avancer en fait. Psychologiquement si on se sent bien, grâce à ça, tout va revenir dans l’ordre. Mais mon médecin ne veut pas l’entendre comme ça malheureusement... K : Et tu t’es dit que d’ici un mois tu vas peutêtre pouvoir recommencer à rider? C : J’espère pouvoir déjà faire du vélo. Par exemple sauter dans de la mousse pour débuter. Mais malheureusement ce n’est pas encore d’actualité. J’espère que ça va revenir assez vite parce que c’est la première fois que je me blesse et que j’ai un tel problème, c’est un traumatisme crânien. D’habitude, un os cassé ou des ligaments arrachés ça revient à la longue, on y arrive. Mais là, à la tête, c’est encore plus long malheureusement. Donc ça finira par revenir mais il faut pas mal de temps.

F : Tu n’as pas du tout d’appréhension ? Parce que t’as l’air plutôt excité! C : Pour l’instant je ne pense pas avoir d’appréhension. Si demain j’en ai en reprenant la moto, ça sera peut-être le moment de faire un arrêt. L’appréhension, c’est un peu le début de la fin parce qu’on ne peut pas hésiter devant la rampe. Soit on a envie d’y aller et on donne le maximum de soi-même, soit on passe son temps à réfléchir et là...ça veut dire qu’il est peut-être temps d’arrêter. K : D’ailleurs j’ai cru comprendre que tu as même piqué la voiture familiale, la Clio (rires), pour aller faire des 360°, donc tu ne t’arrêtes jamais! C : Non mais la pelouse étant légèrement humide, il n’y a rien de mieux pour faire des tours en voiture (rires). F : Tes parents devaient s’arracher les cheveux, non ? C et T : C’est de leur faute, ils n’avaient qu’à faire des filles! (rires) K : On va faire un petit peu connaissance avec Tom. Tu as gagné une médaille d’argent au XGames aux Etats-Unis. L’année dernière tu as remporté l’épreuve du Best Trick au Freestyle Master de Barcelone, où tu as rentré un « Volt », figure hallucinante : une fois que tu as sauté, tu fais une rotation sur toi même?! T : Le « Volt » c’est la nouvelle figure. Il y a eu les backflips, donc les rotations avec la moto, et puis maintenant on arrive à des rotations sans toucher la moto, mais nous on tourne autour de la moto en fait. Donc c’était l’étape à suivre et à franchir. K : Quand vous imaginez des figures, vous imaginez aussi des petits accessoires sur la moto pour pouvoir les faire, comme les leviers pour la

K : Quand vous pensez aux figures, vous vous visualisez en train de les faire? C : Toujours oui. On s’imagine. Moi par exemple, en ce moment, je ne roule pas mais pourtant je travaille énormément mes figures ! (rires) Ҫa peut paraître bizarre mais je prends la rampe deux cents fois par heure et j’imagine toutes les figures et toutes les options possibles et inimaginables. Je pense que c’est une partie du travail ça. Et j’ai prévu de faire plusieurs nouveautés ! Enfin j’espère ! K : Du coup pour vous entraîner, vous travaillez avec des bacs à mousse. Vous vous entraînez ici, du côté de Tyrosse, c’est votre parc d’entraînement ? T : Oui, un terrain de motocross. Et on a le bac à mousse qui est indispensable et tous les riders n’en ont pas, donc ça aide beaucoup au niveau de l’évolution et pour essayer les nouveaux tricks. Après, une fois que c’est travaillé et acquis, il faut passer sur le dur. On a tous ces instruments, toutes ces choses qui peuvent nous aider à évoluer super vite. C’est important. K : Vous êtes tributaires de la météo aussi. S’il pleut, vous n’y allez pas... T : Exactement oui. S’il pleut et s’il y a des belles vagues on ne va pas surfer, on va s’entraîner. K : Vous surfez ? C : Oui, je me noie plus que je surfe. C’est sympa d’essayer des choses un peu différentes, c’est enrichissant et complémentaire pour notre sport je pense. Mais c’est super dur. T : Ma planche surfe pas mal aussi. K : D’ailleurs après le freestyle, toi Tom, tu es rentré il n’y a pas longtemps d’une compétition de vitesse ? D’où est venue cette idée de passer à une autre discipline ? T : J’aime bien essayer tous les sports. Ҫa fait pas mal de temps que je fais du freestyle, donc c’est

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les amis ou le frangin. Tous les jours c’est les X-Games chez nous ! (rires) K : Vous arrivez à en vivre? Les sponsors vous suivent quand même ? C : On essaye oui. Ҫa se passe plutôt bien. Après il faut beaucoup s’entraîner et rouler pour avoir le plus de résultats possibles. Mais on arrive à en vivre. K : Je voyais Anne-Caroline Chausson, qui a été championne du monde en BMX, elle s’en sort à peine alors que c’est une grande championne. Il n’y a pas de femmes qui font du FMX ? C : Non, pas encore. On va y venir sans doute !

super difficile de rester toujours motivé, de toujours avoir le plaisir de s’entraîner parce que c’est quand même une prise de risque. Il faut de la motivation. Sans motivation, on n’y va pas. Donc j’ai eu envie de faire autre chose. C’est toujours de la moto mais c’est très différent de ce que je fais donc ça m’aère l’esprit. Et puis maintenant, Charles et moi, on est aidés par Yamaha France et ils m’ont proposé de faire cette course-là. Et c’est pas mal, sachant que je n’ai pas le permis moto, je n’ai jamais mis les fesses sur une moto donc j’ai essayé pour la première fois, c’était cool, c’est une moto de route. F : Et justement c’est quoi la différence entre ce que vous vous conduisez et celle-là? Il y a des vitesses ? Tu me dis que ce n’est pas pareil qu’une moto alors que moi je vois une moto… (rires) T : La différence c’est que j’ai une moto avec laquelle je ne peux pas aller sur la route parce que les pneus ne sont pas adaptés. Je vais rouler admettons à 100 km/h ou 40 km/h. Quand je fais des sauts je roule environ à 40 km/h, alors qu’avec une moto de vitesse on prend 200 ou 230 (km/h). Moi je vais en hauteur, alors que là il faut simplement que j’aille vite. Vite dans les virages.

K : Pour faire un peu mieux connaissance et connaître votre personnalité j’ai préparé quelques questions. Pratiquez-vous d’autres sports ? Ou n’y a-t’il que le FMX? T : Je pense qu’il y en a vraiment pas mal pour le FMX. Il nous arrive parfois de faire un petit peu de buvette mais... (rires) Non c’est vraiment rare... mais on fait aussi u n petit peu de vélo. Ah si ! On fait aussi du parachute ! C : On a choisi un sport où on a que des avantages. Donc on n’a absolument rien à faire, juste s’amuser sur la moto ! On va dire qu’il y a quand même un pourcentage d’entraînement physique, mais pas énorme comparé à certain sports. Je travaille les étirements de manière à gagner en souplesse. Je fais du vélo pour la condition et garder de bonnes jambes. Sinon on peut faire un peu de musculation puisque sur les os il y a les muscles et dans les chutes ça aide. Dans l’ensemble on n’a vraiment que les avantages ! T : Moi je suis un peu feignant donc tout ce qui est fatiguant, je ne fais pas ! (rires) Je roule continuellement et ça suffit. Du moins pour le moment. K : Alors autre registre, votre plat préféré ? C : Tartiflette. T : Et moi j’aime bien les pizzas !

K : Ҫa t’a plu ? T’as eu autant de plaisir à faire de la vitesse? T : Oui, oui! C’est bien, mais au bout d’un moment je recherchais les sauts et il n’y en avait pas sur la route ! (rires) K: Le FMX vous permet de voyager. Je voyais au Costa Rica ou aux Etats-Unis ou il y a des stades entiers de foot remplis de fans. C’est cool, c’est un peu la vie de rock star ! C : C’est génial ! En tout cas ce qui est sûr, c’est qu’on n’a pas envie de s’arrêter ! K : T’as eu quand même beaucoup de soutien Charles, ça a dû te faire quelque chose? C : Effectivement d’ailleurs merci beaucoup à toutes et à tous parce que j’ai toujours des mails de soutien. J’hallucine. Ils sont sympas ! K : Ayant vu ton front flip Charles, hallucinant d’ailleurs, et plus récemment un front flip 360°, je me disais que ça ne s’arrête jamais ? C : Non justement c’est le but, c’est qu’on continue à évoluer sans arrêt, sans arrêt ! C’est pour ça que c’est intéressant. C’est un sport assez jeune et on a tout à créer. F : Est-ce qu’il y a des limites ? T : Absolument pas. Juste l’imagination. K : Vous deux, vous êtes tout le temps ensemble, c’est mieux qu’un coach ! Vous vous entraidez, vous vous motivez, il y a de la compétitivité mais c’est sain? T : Ҫa dépend parce que rouler avec lui, c’est difficile ! Il nous envoie souvent au casse-pipe! (rires) C : C’est toujours un petit challenge de rouler avec

K : Si vous pouviez vous réincarner, vous vous réincarneriez en quoi? C : Quelle question ! T : Je pensais qu’après être mort on avait fini, ça serait cool ! Mais non, je ne sais pas. C : Si, en moto de freestyle ! (rires) T : En rampe ! (rires) K : Donc on vous retrouve tous les deux dans la prochaine vie, un en rampe, l’autre en moto ! Et moi je ride la moto ! K : Est-ce que vous avez un groupe préféré, un style de musique que vous écoutez ? C : Le style Surf FM, parfait. K : Cool ! Je crois qu’on va s’en servir comme jingle après ! Il est parfait Charles… F : Ouais, tu vas venir tous les jours. (rires) K : Merci beaucoup les garçons d’être venus. C : C’est nous qui vous remercions.

QR de leur site internet

À venir le DVD « On the Pipe 6 » / www.brothers-trip.com Podcast de l’émission disponible sur www.surf-fm.fr SURF FM 102.3

Cocorico Garorock

......................................................................................................... 15 ans, c’est jeune mais pour un festival de musiques on peut dire qu’il a déjà de la bouteille ! Garorock donc, 15 ans et toutes ses dents, se déroulait à Marmande, petite bourgade tranquille du Lot et Garonne, qui a vu le temps d’un week-end défiler pas moins de 35 000 festivaliers. Surf Fm était de la partie et s’est déplacée pour l’occasion les samedi 9 et dimanche 10 Avril. Au programme du lourd avec un line up éclectique, Morcheeba, The Bewitched Hands, Mars red sky, The Streets, The Shoes, Jamaica, Katherine, Sexy Sushi... et pour nous commençait le marathon !

Il fallait être bien chaussé, et pour la journée de samedi avoir prévu une tenue légère parce que le soleil était au rendez-vous, et les températures s’affolaient, frôlant les 30 degrés ! D’ailleurs The Shoes ont fait monter le thermomètre d’un cran. Le duo rémois se produisait sur la woodbrass scene, qui s’avérait être la plus petite du festival, mais qui n’avait rien à envier des aux grandes. La paire commence fort avec Cover your eyes, et fout littéralement le feu au public, les doigts se lèvent hauts et les jambes s’agitent toutes seules comme des grandes avec les Shoes collées aux pieds. Ils confirment tout le bien qu’on pense d’eux et même plus. Leur 1er album «Crack my Bones» à peine sorti, ce sont déjà des pointures. La course continue, et se succèdent Ben L’oncle soul, Tiken Jah Fackoli, qui se produisent quant à eux sur la scène principale. Du monde partout et un public fébrile qui attend l’arrivée de The Streets. 23H45 Mike Skinner arrive avec son band, et nous met dans l’ambiance direct avec son 1er album original pirate. 1/4 d’heure après... c’était la débandade ! Le plaisir a été de courte durée, le reste fut mauvais, une soupe indigeste et sincèrement on était gênés pour eux. The Streets à la rue ! Allez salut Skinner...

sombre et inquiétant, mais aussi léger et superficiel... ça s’appelle de la schizophrénie. Il n’empêche que ce fut un des moments forts du festival, tout comme l’arrivée juste après du groupe Sexy Sushi. Mitch Silver et Rebekka Warrior, duo nantais, font de la techno sur fond de paroles crues, servies en français comme ça tout le monde peut comprendre ! Ils sont carrément dingues, la chanteuse est une bête dans le bon sens du terme. On a adoré ! Le légendaire Raekwon du Wu Tang était de la partie aussi, et nous a servi les vieux titres du Wu... mouais ! Bon on pourra dire qu’on l’a vu. The Original Wailers aussi on les a vu mais là, désolés on peut pas vous en parler, on passe sous un tunnel....

Après une courte nuit, c’est reparti pour la dernière journée, Dimanche, mais pas la moindres.

On oubliait Shaka Ponk, The Jim Jones Revu, qui ont fait une bonne prestation.

De belles surprises nous attendent : Katherine, et ses danseuses nous ont foutu la banane, le californien Pigeon John est arrivé comme une «Bomb» et a fait trembler le sol. Stupeflip le groupe français aux visages masqués nous présentait leur album The Hypnose invasion, mélange de hip hop et de punk, le tout servi par un univers parfois

Voilà Garorock a bien fêté ses 15 printemps, on les retrouve l’année prochaine.

Surf Fm bouge à Bourges

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Ah le printemps! La fonte des neiges, le bourgeonnement, la floraison des plantes... La nature se réveille après de longs mois d’hiver, et par la même occasion la musique. C’est dans ce contexte que se déroulait le Printemps de Bourges, sous un soleil et une chaleur dignes d’un mois de juillet. Nous voilà donc en route direction Bourges et pour nous, à peine arrivés, la course commençait : repérage des lieux et de l’espace pro pour retirer les acréditations, un peu d’attente... On nous informe alors que le Ministre de la Culture Frédérique Mitterand, donne une interview, qu’il va falloir patienter... «Ca nous arrange pas, voyez». Un coup d’oeil sur la montre : il est 18h15! La conférence de presse avec The Shoes commence dans un quart d’heure, l’auditorium où se trouvent les salles pour les interviews sont situées on ne sait où, ambiance. On ne se démonte pas, encore quelques minutes et c’est la ruée pour attraper nos accréditations. Une fois le sésame entre les mains, plus qu’une chose en tête : rencontrer The Shoes, le duo de Reims qui vient de sortir son 1er album Crack My Bones, et que pour la petite histoire, nous avions raté à Garorock à un quart d’heure près.

Mais là, ça n’arriverait pas puisque dans notre folle course, on ne sait comment, c’est nous qui sommes arrivés les 1ers ! 35 mn d’interview avec des mecs vraiment cool, et pas la grosse tête. A la question : comment se sentent ils ?, ils répondent avec le sourire «On est fatigués, mais on est contents, on va pas se plaindre, on va pas faire les pleureuses!». On ressort de cette rencontre contents, et avec le sentiment d’avoir rencontré des mecs sincères. ... Ca ne sera pas le cas de The Do, le duo indie pop formé par Dan Levy et Olivia Merilahti qui, lunettes de soleil vissées sur le nez pour l’un, semblait ne pas être intéressé par ce qui se passait. C’est pas grave, de belles rencontres se profilaient pour nous avec The Bewetched hands. On arrive, ils ne sont que 2 (au lieu de 6), ils ont l’air détendus, et pour dire la vérité ce n’était pas notre cas. On a rencontré aussi Pendentif, jeune groupe bordelais, juste 2h avant leur concert, et surtout le 1er pour Cyndi la chanteuse qui « n’avait jamais chanté»! Ils sont frais, on les suit de près... on le sent, le gang va devenir grand. Et Victor, jeune poulain de l’Ecurie Ed Banger qui vient d’avoir 18 ans ! «Alors Victor t’es content d’avoir 18 ans ? Le monde s’ouvre à toi....» réponse de l’intéressé : «le seul truc que ça m’a apporté c’est des problèmes...». Et oui c’est ce qu’on appelle le passage à l’âge adulte. Enfin dernière interview avec les gars de Chinese man, qui sont en tournée actuellement et qui viennent défendre leur 1er «vrai album» Racing With the Sun, et qui précisent par la même occasion que le titre n’a aucun rapport avec le fait de se mettre une race au soleil. Voilà, on finit exténué, mais surtout HEUREUX. Le Printemps de Bourges a tenu ses promesses, pour les festivaliers, avec une programmation complète et exigeante. Pour les jeunes artistes, c’est l’occasion de se faire remarquer et de devenir les talents de demain. Pour les autres, il reste une valeur sûre qui peut les propulser au rang des groupes ou chanteurs qui comptent. Retrouvez toutes les interviews sur le site internet ! www.surf-fm.fr SURF FM 102.3

SELECTION .............................................. Vivian Girls THE DIRTBOMBS Party Store Actifs depuis 1992 The Dirtbombs sortent leur 5ème album, Party Store, sur le label In The Red. Réduire The Dirtbombs au garage punk serait facile, puisqu’ils nous prouvent avec la sortie de cet album qu’ils ont de sérieux penchant pour d’autres styles musicaux. Ils nous l’avaient déjà prouvé avec Ultraglide in Black sorti en 2001 où le groupe flirtait avec la soul et le R&B. Ils s’attaquent maintenant à la techno qui a vu le jour dans leur chère ville de Detroit dont ils sont originaires.

THE EIGHTIES MATCHBOX B-LINE DISASTER Blood & Fire Pour leur 3ème et ultime album ils mettent un point d’honneur à une carrière de 10 ans avec un pshykobilly dark et envoûtant alors que la voix de croque-mort de Guy Mc Knight est plus ensorcelante que jamais.

Share the joy Label Polyvinyl

Girls rock ! Pour ceux qui pensent encore que le rock est une histoire d’hommes, Vivian Girls prouvent encore après leur 3ème album que tout ça ce sont des idées qui n’ont plus lieux d’être. Des voix réverbérées, des chansons mélodieuses, font de cet album un bijoux qui se niche dans un style garage.

WANDA JACKSON The Party Ain’t Over Il y a plus de 50ans, elle était la seule femme d’une banque qui alluma la mèche du rock’n roll. Elle est la seule survivante de ce brasier à 73 ans, ravivée par Jack White des White Stripes.

Metronomy

Mobroder Rush

The English Riviera

Mais qu’est-ce que c’est ? Mobroder voyons,

Because Music

le nouveau projet de Naeem Juwan alias

Le 3ème album de Metronomy English Riviera vient de sortir sur le label français Because Music : cocorico ! et succède au très réussi Nights Out sorti en 2008. Le leader Joseph Mount recrute au passage Gbenga Adelekan à la basse et Anna Prior (ancienne batteuse de Lightspeed champion) à la batterie! Un groupe tout neuf pour un album qui à peine sorti fait déjà couler beaucoup d’encre.

Spank Rock. Là il n’est point question de hip hop mais de disco, voire d’italo disco ! Pour le topo, Mobroder est une icône qui vivait à Miami en 1983, et fut le roi du disco dans les années 70. Après une période de faste, et de paillettes, il est obligé de se renouveler. Pour cela il fait appelle à Hoff et Blu Jemz, et Amanda Blank lui fait l’honneur de se poser

CivilCivic Lights on a leash

sur le morceau « Love Duet», bombe taillée sur mesure pour le dance floor. Alors c’est qui le roi?

Autoprod

Duo Australien, Aaron Cupples et Ben Green, vivent pour l’un à Londres et pour l’autre à Barcelone. Mais même séparés ça ne les empêche pas de faire de la musique ensemble. Leur 1er album ne sortira qu’au mois de Septembre, mais on peut écouter d’ores et déjà quelques titres comme Run Overdrive, Fuck Youth, Lights on a Leash... qui sont on doit le dire, bons. On compare leur musique à celle de Sonic Youth, et de Bloody Valentine ! Rien que ça... En attendant la sortie de leur album vous pouvez déjà vous rendre sur leur site et télécharger leurs morceaux, les prix ne sont pas fixés alors si vous aimez à votre bon cœur!

The Weeknd House of Balloon Autoprod

Pour le célèbre magazine Rolling Stone, The Weeknd est le groupe qu’il faut suivre. Nous nous rajouterons aux suiveurs (et de près !). Gentiment mais sûrement Abel Tesfaye qui est à l’origine de ce projet/groupe s’extirpe de l’underground. Et voilà 9 titres qui font de l’album House of Ballon une étrangeté empreinte de R&B, mais la guimauve en moins. C’est sombre !

AGENDA MUSIQUE > 29 avril au 28 mai - Festimai : 14ème Èdition du festival organisé par la communauté de communes du Seignanx sur les huits villes (dont Ondres, Tarnos, Biarrotte) avec concerts, spectacles d’art de rue... > 13 mai 21h, Saubrigues (La Mamisele) fanfare hip-hop The Biatches Mastaz Crew. Tarifs : 10€/8€/5€ - gratuit moins de 12 ans. Organisé par MACS. Infos-résa : OT du pays tyrossais : 05 58 77 12 00 > 3 au 29 mai - Maimorables : 11ème Èdition du festival concerts, spectacles sur Bayonne et alentours > 17 mai - concert Sly Johnson : Boucau > 20 mai - concert Guillaume Grand : Capbreton (salle Ph’Art au Casino) > 21 mai - concert Kyle Eastwood : Loft culturel des Bourdaines (Seignosse) > 22 mai - concert Abd Al Malik à l’esplanade de l’espace culturel de Bayonne > 28 mai - concert Al Di Meola World Sinfonia : Loft culturel des Bourdaines (Seignosse) > 4 juin - 10ème festival des Noctambules : St Aubin de Médoc - Concerts de Sergent Garcia, Alam, Dj le Droll Renseignements sur www.myspace.com/festivalnoctambules > 16 au 18 juin - Festival Sonar : Barcelone ( MIA, Aphex Twin, Boys Noise, Dizzee Rascal etc.) > 21 mai 21h - concert du Chœur d’Albret avec d’autres chorales des Landes : Soustons, (Salle Roger Hanin .Organisé par MACS. Infos/Résa : OT de Soustons 05 58 41 52 62 > 1er au 5 juin Swatch Girls Pro France Surf Party: soirée surprise, I-pod Battle... entre le Café de la gare à Capbreton, le Rock Food à Hossegor et Le Surfing à Seignosse SURF FM 102.3

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1 - CHLOE dress - 59.99 euros- Protest 2 - ASHWATER t-shirt - 24.99 euros- Protest 3 - COTTON fullzip hoody - 69.99 - euros Protest 4 - Pendentifs Cupcakes & Donuts Lady Market Prix : 18 euros 5 - Petits cahier d’exercices - Lady Market Prix : NC 6 - Save by art : 35 euros - StepArt 7 - Rasta-acid BS - BILLABONG 8 - Beneath in the water - BILLABONG 9 - Cadre «Vedette de feuilleton» 20 euros 10 - Carte anniversaire 4 euros www.urbanoutfitter.com 11 - Dakine Mission Photo 95 euros 12 - crocs - 39,95 euros 13 - In My Humble Opinion - 21 euros 14 - Tête de Rhinocéros style taxidermie en carton 84 euros 15 - OSIRIS - Prix NC

SURF FM 102.3

COIN DETENTE

LE BRAMBLE PAR PHIL ..................................................................................................... Facile à faire et outstandingly likeable ! Inventé en 1984 par Dick Bradsell, au Fred’s Club à SoHo, Londres. Gin 5cl Jus de citron pressé 2.5cl Sucre de canne 2cl Crème de mûre 1.25cl Garnir avec une tranche de citron et 2 mûres Verre à whisky (Verre old-fashioned) Dans un shaker rempli de glace pilée, mélanger les trois premiers ingrédients, agiter et verser dans le verre à whisky. Verser la crème de mûre sur le dessus et garnir d’une tranche de citron, deux mûres fraîches ou surgelées et 2 pailles. Si vous n’avez pas de shaker : Commencer par le verre de whisky, le remplir de glace pilée. Ajouter les ingrédients et bien mélanger. Compléter avec de la glace pilée et verser la crème de mûre dans la boisson, attention à ne pas remuer. Garnir comme ci-dessus. N’oubliez pas que vous pouvez ajuster la quantité de sucre, de citron ou de crème de mûre en fonction de vos goûts personnels. Toujours utiliser des spiritueux de qualité et jus de fruits frais ! Je recommande un bon gin - Bombay Saphire ou Plymouth, disponibles à Dando Distribution Hossegor. Vous trouverez de la glace au Port de Pêcheur à Capbreton, et des mûres surgelées à Picard. Pour faire de la glace pilée mettez les glaçons dans une serviette et tapez-les contre une planche. Enjoy ! Phil

JEUX CONCOURS *

Horizontal :

a) Dernière lettre du système de notation anglo saxon (que le premier de la classe n'obtient jamais) / Donneur universel. b) "Tu préfères la cuisse ou le … ?" c) Bien que la poule le soit, elle ne vole pas. d) Pronom démonstratif. e) Chanteuse franco-nigériane de "Fire on the mountain" et"Be my man" qui n'a rien à voir avec le poulet (mais qui en mange…

Vertical :

1) Faire la sienne dans la journée, c'est gratifiant. 2) Poulets en uniforme bleu sur la route. 3) "… jacta est" a dit César (en mangeant sa salade au poulet). 4) Négation. 5) Vous n'y verrez jamais un poulet mais plutôt des surfeurs.

*Repas remis sur présentation des mots croisés correctement remplis. Repas à gagner d’une valeur de 15 euros.

COIN DETENTE

Street art, illustration, peinture, graffiti : la revue Hey ! propose depuis maintenant un an une vision artistique moderne à dominante urbaine. Véritable source d’information graphique et d’inspiration, elle s’adresse aux artistes, comme aux curieux ! www.ankama-shop.com Un stickers géant est offert dans le numéro 5 de la revue Hey ! De quel artiste ?

JEUX-CONCOURS

Pumuky, le leader d’un groupe branché meurt d’une balle dans la tête. Ses prochent se confessent pour donner leur part de vérité ou ...de mensonges. Un voyage dans le milieu branché madrilène dont personne ne revient intact. Sex, drugs and rock and roll ! De quelle nationalité est la romancière Lucia Etxebarria ?

DELIVREZ-MOI

la rubrique littéraire de Surf Fm Vous fait gagner Hey ! et Sex & Love Addicts

RDV sur notre site www.surf-fm.fr pour trouver la réponse !

LES BONS PLANS Pour Déjeuner: > Le Pain Chaud 1995 ave Charles de Gaulles à Seignosse 05 58 72 46 40

en famille - entre amis - individuellement

Pour manger: > El Bodegon Boulevard Notre Dame au port à Hossegor - 05 58 43 58 34 > Poulet City»Les Terrasses Notre Dame» Avenue Notre-Dame à Capbreton - 05 58 41 88 27 > Le Surfing 6 Place Estagnots à Seignosse 05 58 47 99 76 Du Jeudi au Lundi de 18H à 1H Jusqu’à mi juin. Pour s’amuser : > Bowling Laserquest z.a. des 2 pins route de soorts à Capbreton - 05 58 72 33 72 ‎> Adrenaline Parc, Paintball Quad - Lieu-dit Thomas à Moliets - 05 58 48 56 62 > ClubHouse du Golf Rue Mathieu Desbieys, à Moliets - 05 58 48 54 65

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