PACIFIC het project le projet
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Pacific, le projet.
Pacific, het project.
Ce livre, en fait un recueil, est une tentative pour donner un visage à un immeuble. Ou plutôt, plusieurs visages. Les visages de gens qui y habitent ou y ont habité. Il rassemble des histoires, témoignages et des idées sur la vie entre de centaines de personnes différentes. Il n’a pas la prétention de donner la réponse ultime à la question : Comment serait la vie dans le Pacific ? Ou comment est la vie dans une tour d’habitation. Ce n’est pas non plus un échantillon représentatif dans lequel chaque groupe de population est représenté de façon proportionnelle. Ce n’est également pas un rapport scientifique basé sur une étude historique ou sociologique.
Dit boek, eigenlijk een bundel, is een poging om een gezicht te geven aan een gebouw. Of eerder vele gezichten. De gezichten van mensen die er wonen of gewoond hebben. Het bundelt verhalen, getuigenissen, gedachten bij het leven tussen honderden andere mensen. Het heeft niet de pretentie het ultieme antwoord te geven op de vraag: Hoe zou het leven in de Pacific zijn? Of hoe is het leven in een woontoren. Het is ook geen representatief staal waarin elke bevolkingsgroep evenredig vertegenwoordigd is. Het is ook niet het wetenschappelijk rapport gebaseerd op historisch of sociologisch onderzoek.
Le projet Pacific est comme une soirée hétéroclite, une plate-forme libre, où chacun qui en a envie peut participer. Pour se faire voir, pour faire rire le public, pour faire réfléchir sur des idées profondes. Et après le spectacle, on continue encore à débattre et on échange nos coordonnées pour se donner rendezvous. Celui qui n’a pas envie, regarde et écoute, et y pense de participer peutêtre la fois suivante. Car chaque histoire vaut la peine d’être racontée, mise en image et partagée, sans plus, sous n’importe quel forme. Ce recueil le démontre effectivement. C’est une invitation à feuilleter et à s’arrêter cette fois ici et s’intéresser la prochaine fois à une autre histoire. C’est une invitation à peut-être raconter ou mettre en images sa propre histoire afin de la partager lorsqu’une prochaine occasion se présentera. Ici nous arrivons chez Ten Noey, le Centre Communautaire Néerlandophone de St-Josse-Ten-Noode. C’est un petit centre, qui a comme grande mission globale, la constitution de communautés, qui est réalisée quand : les gens sont rendus intéressés par les uns les autres, créent un dialogue avec les uns les autres et ainsi oeuvrent à la création de respect et de compréhension. Ceci peut se faire de différentes manières : durant des moments festifs, durant des réunions d’informations et de discussions, durant des ateliers ouverts à tous. A chaque fois, Ten Noey cherche des façons pour réunir des gens afin de leur faire partager quelque chose d’eux-mêmes avec les autres. Ainsi nous avons trouvé qu’il était pertinent dans le cadre du Durable Contrat de Quartier As-Leuven, de choisir pour ce projet Pacific, dans lequel des capteurs d’histoires et d’images Danja Cauwbergs et Vincen Beeckman s’invitent eux-mêmes chez les habitants du Pacific et y vont à la recherche de la vie de tous les jours avec curiosité mais plein de respect. Le recueil est la plate-forme libre dans laquelle tout cela est exposé et où chacun échange ses expériences. La forme est celle du raconteur même, ou celle de Danja et Vincen, en étroite collaboration avec le raconteur. Que cela soit une invitation, cher lecteur et spectateur, à sourire, à vous étonner, et à devenir curieux. Que cela soit aussi pour vous-mêmes une invitation à commencer à papoter, discuter et raconter. Il se présentera certainement encore des occasions, peut-être bien dans ou ensemble avec Ten Noey …
Pacific het project is als een bonte avond, een vrij podium waar iedereen die zin heeft op kan. Om zichzelf te laten zien, om het publiek aan het lachen te brengen, om het te laten nadenken over diepe gedachten. En na de show kaarten we nog na en wisselen we contactgegevens uit en spreken we af. Wie geen zin heeft kijkt en luistert en denkt er misschien aan om een volgende keer zelf mee te doen. Want elk verhaal is de moeite om verteld, verbeeld en gedeeld te worden, zondermeer, in welke vorm ook. Deze verhalenbundel toont dat ook. Het is een uitnodiging om te bladeren, deze keer hier halt te houden en een volgende keer bij een ander verhaal te blijven hangen. Het is een uitnodiging om misschien je eigen verhaal onder woorden of in beelden te brengen en te delen als een volgende gelegenheid zich aandient. Hier komen we bij Ten Noey terecht, het Nederlandstalige gemeenschapscentrum van Sint-Joost-ten-Node. Het is een klein centrum met als grote, alles overspannende missie: gemeenschapsvorming, wat ingevuld wordt als: mensen nieuwsgierig maken naar elkaar, met elkaar in dialoog brengen en op die manier werken aan begrip en respect. Dat kan op veel manieren: op feestelijke momenten, tijdens info- en discussiemomenten, in open ateliers,… Telkens weer zoekt Ten Noey manieren om mensen bij elkaar te brengen en iets van zichzelf met anderen te delen. Zo ook vonden we het relevant om in het kader van het Duurzaam wijkcontract As-Leuven te kiezen voor dit Pacificproject, waarin verhalen- en beeldenvangers, Danja Cauwbergs en Vincen Beeckman zichzelf uitnodigden bij Pacificbewoners en er nieuwsgierig maar respectvol op zoek gingen naar het leven van elke dag. De bundel is het vrij podium waarin die nu getoond worden en met elkaar in uitwisseling gaan. De vorm is die van de verteller zelf, of die van Danja en Vincen, in nauw overleg met de verteller. Laat het een uitnodiging zijn, beste lezer en kijker, om te glimlachen, u te verbazen, nieuwsgierig te worden. Laat het een uitnodiging zijn om zelf aan het babbelen, praten, vertellen te gaan. Vast dienen er zich nog gelegenheden aan, misschien wel in of samen met Ten Noey… Pol Vervaeke, Centrumverantwoordelijke GC Ten Noey
Pol Vervaeke, Centrumverantwoordelijke GC Ten Noey
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Mohamed, le gardien
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Mohamed est agent de sécurité depuis 9 ans dans la tour Pacific. Il aime les gens sympathiques et le travail, l’ambiance. C’est un sportif, il pratique la natation au Neptunium, à Schaerbeek. Mais aussi le fitness au Winners. Il aime beaucoup Gandhi pour tout ce qu’il a fait pour la paix. Il a 4 enfants qui font tous du taekwendo. Son fils Mohamed Ali nous fait une démonstration de sa souplesse dans le hall du Pacific. C’est le deuxième fils en âge de la famille. Pour ce qui est de la cuisine Mohamed adore manger le poisson grillé de sa femme, le meilleur du monde !!!
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Francois Huntzinger
Floriane Dargent
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Ils sont au Pacific depuis 2012. Il travaille à la RTBF comme monteur vidéo. Floriane est webdesigner. Alexis a 17 mois sur la photo. François et Floriane viennent tous deux de la région de Chimay. Plus particulièrement de L’Escaillère pour lui et de Cul-des-Sarts pour elle.
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Déborah Libande “Je m’appelle Déborah Libande. Je suis née le 1er Janvier 2000. J’ai 18 ans. Je suis une jeune étudiante en informatique. J’aime chanter (ma passion), danser, faire du sport, être avec les enfants, lire et écouter de la musique. Je suis une personne très originale, y en a pas 2 comme moi.“ Déborah, c’est la fille avec le t-shirt bleu et des chaussures roses. Ensuite, il y a sa petite sœur Esther au milieu avec le haut blanc et enfin à côté d’elle se trouve sa cousine, Anne-Gaëlle. Déborah, c’est une fille chaleureuse et enthousiaste.
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Nicole, la Princesse du Pacific
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Nicole, « la Princesse du Pacific » a encore assisté à la construction du Pacific. Elle en est une des premières habitantes. Ensemble avec ses parents elle est venue y habiter au début des années 70.
En ce temps là Nicole et son père travaillaient tandis que sa mère restait à la maison pour faire le ménage.
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Nicole travaillait à St-Josse-Ten-Noode comme employée de magasin et comme comptable, ... Elle a aussi eu son propre magasin de vêtements et a ainsi connu beaucoup de gens de St-Josse et du Pacific. Nicole habite déjà plus de 45 ans au Pacific et elle a beaucoup d’histoires à en raconter : A propos de la construction du Pacific :
« Le Pacific est construit sur un marais. Ce qui nécessite beaucoup d’entretien, notamment le pompage de l’eau ... Nous avons eu dans le passé un Syndic qui a totalement négligé l’entretien. Son successeur a dû résoudre les problèmes ce qui a causé une augmentation énorme des frais. Mais un bon entretien est indispensable. » A propos de la fois où une voiture était en feu dans le garage en-dessous de leur appartement :
« Quelle fumée cela a causé ! Tout le monde était enfumé. Les pompiers nous obligeaient de descendre via les escaliers. On ne pouvait pas utiliser les ascenseurs et on se retrouvait alors tous dans la rue y compris les animaux domestiques. – 20 –
C’est alors que j’ai vu combien d’animaux vivaient effectivement dans notre immeuble : beaucoup de chats, de chiens, de perroquets, ... La presse est passée et en ce temps là il y avait tous les jours un marché sur la Place St-Josse, avec des légumes frais tous les jours ! La presse n’a pas bien regardé et à rapporté que des tentes de la Croix-Rouge se trouvaient sur la Place. Haha, la presse a ainsi bien exagéré la réalité des faits, ce qu’elle sait toujours bien faire. » A propos des ‘folles’ années passées, lorsque l’archtitecte Barbier habitait encore l’étage supérieur où il avait aussi ses bureaux :
« Dans son projet pour le Pacific, Barbier avait prévu un énorme réservoir d’eau qui devait servir comme gigantesque extincteur d’incendie. Depuis ce réservoir, diverses conduites étaient reliées vers des extincteurs installés sur tous les étages. En cas d’incendie, toute l’eau était lachée pour éteindre le feu. Mais il a installé le réservoir d’eau comme piscine ... dans sa propre habitation où il organisait des fêtes réputées. Je n’ai jamais été a ces fêtes qui étaient réservées à un petit groupe select d’amis et de relations d’affaires. Barbier est parti du Pacific depuis très longtemps. La piscine y est toujours. »
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A propos du temps où le Pacific n’avait pas encore de portes :
A propos de la différence entre avant et maintenant :
« Au début c’était agréable d’habiter le Pacific. C’était une vraie ‘Résidence’. Mais la ‘Résidence Pacific’ a perdu son charme car il n’y avait pas de portes. Tout le monde pouvait rentrer dans l’immeuble. Les boîtes aux lettres ont été vidées. Des sans-abris venaient y dormir et des drogués fumaient leurs joints dans les couloirs et dans les ascenseurs. Après un nouveau changement de syndic, des portes ont été placées et des gardiens sont arrivés. Quel soulagement ! »
« Avant la Résidence Pacific était surtout habitée par des couples. C’étaient des propriétaires. Ils achetaient un appartement pour se fixer et avoir des enfants. Dés que les enfants étaient grands, ils quittaient le Pacific. Et à la mort des parents, l’appartement était vendu. Maintenant il y a beaucoup de locataires dans notre immeuble. Il y a beaucoup de va-et-vient. Beaucoup de gens n’y résident que peu de temps. Mais il ya ceux que restent, comme moi.
A propos de règles stupides, comme l’interdiction des pots à fleurs :
Le quartier a aussi beaucoup changé. Avant c’était très calme ici, un vrai village. St-Josse est devenu une ville avec une population très diverse. Le Pacific a aussi une population très diverse. Il y a maintenant certainement 150 nationalités différentes dans notre immeuble. De toutes sortes de classes sociales : de ceux qui travaillent à la Commission Européenne, jusqu’aux locataires du CPAS et ex-sans abri. Mais pour moi le Pacific garde son ambiance villageoise et même si le Pacific n’est plus une Résidence, elle est reste un village. »
« J’aime les fleurs. J’ai toujours des fleurs sur ma terrasse. Elles donnent de la couleur. Elles rendent joyeux. Jusqu’au moment où un syndic en a décidé autrement. Soudain, les pots de fleurs étaient interdits sur les terrasses ! Elles causeraient trop de dégâts aux terrasses. Après encore un nouveau changement de syndic, j’ai heureusement pu remettre mes pots de fleurs sur ma terrasse. »
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Nicole aime :
Les fleurs La musique de jazz La Belgique (le drapeau Belge est pendu le 21 juillet) Les puzzles Le tennis La visite hebdomadaire chez le coiffeur Faire la grasse matinée (depuis qu’elle est pensionnée)
Elle n’aime pas cuisiner. Elle ne cuisine plus. A midi elle va le plus souvent manger dans le snack de monsieur Kapoor. Celui-ci l’appelle ‘La Princesse du Pacific. Vous pouvez aisément aller lui rendre visite si vous voulez écouter encore plus d’histoires à propos du Pacific.
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Voici l’équipe : LUCKY KAPOOR SONALI KAPOOR SANDRA KAPOOR SIANA KAPOOR PREM KAPOOR PAPA RANJIT KAPOOR MANNU KAPOOR NAINA KAPOOR SUPRIYA KAPOOR AJOONI KAPOOR JASMINE SODMI RAJINDER SOHDI RENU KAPOOR SOHDI YASHVEER SOHDI NIHAL KAPOOR
Famille Kapoor Une grande famille originaire du Punjab en Inde. Ils sont depuis 1991 au Pacific. Ils s’occupent du snack en bas de la tour, du night shop, mais aussi d’un autre night shop en face. Une famille très impliquée et connue de tous ! Très accueillante !
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FAMILIE ARGUELLO MAMY
MAMY
PAPY
PAPY
ZOON SCHOONDOCHTER 2 KLEINDOCHTERS 3 KLEINZONEN 2 HONDJES 1 KAT – 32 –
FAMILLE ARGUELLO
FILS BELLE-FILLE 2 PETITES-FILLES 3 PETITS-FILS 2 CHIENS 1 CHAT – 33 –
BELGIQUE
LA FAMILLE ARGUELLO PARAGUAY
La famille Arguello est une grande famille installée dans la tour Pacific. Il y a Luca et ses deux chiens, Mateo au skate board, Alesia au pantalon rayé, Elisabeth avec des fleurs dans les cheveux et Sebastian le plus petit. Ils sont originaire du Paraguay. Ils aiment les souvenirs et les photos anciennes. Maria qui est arrivée la première ici peut compter aussi sur Agueda et Sara ses deux soeurs aussi en Belgique. Maria, mami, a trois enfants : Julia, Guido et Alessia. Les plus jeunes générations, on en a déjà un peu parlé mais il faut encore ajouter Graziella. N’éhistez pas à goûter un bon maté local chez eux si vous les croisez.
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23 ème étage ......................
étage d’horizon ...
vision
... une différente, ................................ changeante au rythme des saisons ... couleurs ... un recommencent apportant ................................ chaque année ... une certaine diversité au regard jetté au-dela ... ... de la balustrade ................................................ de l’étroit balcon ... ... un relief changeant ...
. ............................ des clochers ... l’atomium, ... Notre-Dame ... plus loin ... sur la droite, ................................... une courbe d’autoroute ... et encore ... Bruxelles ... en bas ! . ................................ Autres impressions, non moins struféfiante ... certains épousant les hauteurs irrégulières des toits
la Tour Japonaise ... toujours à découvrir matins me réveiller complétement
................................ brouillard ! Un est à ma porte ! ............................. Rien n’est plus beau, plus divinement que de découvrir un matin d’hiver ............................ « qu’il a neigé » cette nuit sur St-Josse !!! �����������������
féerique ...
immergée, emitoufflée, encapuchonnée de
nuage
Sublime !
Aussi ... Ciel ... feu d’artifice ! .......................... impressionant ... Toute l’année le va et vient des ... l’hélicoptère de la gendarmerie . ......................... vrombrissant ... de l’aéroport national............................................ engendrant ... le rêve !!! MMe Colson
avions
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Mme Colson. Elle habite le Pacific depuis 10 ans. Musicienne non professionnelle, infirmière retraitée, elle s’adonne au piano. Après trois thromboses elle a toujours bon pied bon œil. Pendant 20 ans de nuits à l’hôpital elle ne dormait presque jamais.
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Soit elle travaillait soit elle sortait. Son grand-père était compositeur au conservatoire de Liège et c’est lui qui lui a transmis la fibre de la musique.
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Pacific, appartement 1510 – Bas en Madelinde Verhagen
We hebben dan ook 2 jaar met veel plezier in Reims gewoond. Eind 2006 liepen onze contracten tegelijk af, waarna we na kort overleg voor een Engelstalig land kozen om te wonen, namelijk NieuwZeeland. Op een working holiday-visa vertrokken we aanvankelijk voor 1 jaar, maar uiteindelijk zijn we 5 jaar gebleven. Een zeer mooie periode. Uiteindelijk toch besloten om terug te keren naar Europa, vanwege de grote afstand tot familie en omdat het vanuit die hoek ook lastiger is om wat meer van de wereld te ontdekken. Eenmaal terug in Europa hebben we eerst nog 2 jaar in Antwerpen gewoond, maar ondertussen vonden we beiden werk in Brussel, dus werd het tijd om daarnaartoe te verhuizen. Deze stad trok ons toch al meer aan, vanwege het feit dat het veel internationaler is en er door de week veel meer georganiseerd wordt op cultureel gebied.
Brussel 07/05/2017
Hoe komen we in dit gebouw verzeild?
Via wat omwegen.
Waarom onze keuze voor de Pacific? Het uitzicht! Het moment waarop we ons appartement op de 15e verdieping instapten vielen we voor het uitzicht en het licht! Overigens een vaker gehoorde opmerking van familie en vrienden die binnenstappen.
Mijn man en ik hebben elkaar leren kennen in 1999 in Utrecht, Nederland. Beiden opgegroeid in kleine dorpjes in Noord-Brabant, Nederland, zijn we allebei gaan studeren in het centrum van Nederland. Bas Biologie en ikzelf Franse Taal en Letterkunde. Na onze studies vond Bas een baan in Reims-Frankrijk en met mijn talenkennis lukte het mij ook om daar een baan te vinden.
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Vandaar ook dat we hierbij wat uitzichtfoto’s voegen die we de laatste jaren hebben genomen. Geniet ervan, dat doen wij ook altijd :-) Groeten en tot ziens, Madelinde en Bas
Amo lo sport. Vado spesso in palestra. Mens sana in corpore sano !
Urbano Tocci
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Quando riusciro’ a comprare questo appartamento, costruiro’ una libreria al di sopra della finestra.
Mi piace la vista da qua!
Urbano Tocci et son rêve ! Ubano est tombé amoureux de Bruxelles avec le Pacific. Il aime bien d’habiter ici. Il n’a pas de nostalgie de l’Italie, le pays où il est né et a grandi. Son rêve est de devenir un jour propriétaire de l’appartement où il habite maintenant. Un appartement duplex avec hauts plafonds . Dans son rêve il a déjà construit une bibliothèque au-dessus de la fenêtre qui a une belle vue sur Bruxelles.
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guest & host PER SU R TO VIC Victor vous accueille avec le sourire de Kigali welcome ; passionné et fier de sa culture africaine, son énergie, il la transmet aux plus jeunes. C’est pourquoi le monde aime venir chez lui. Partageur et enthousiaste c’est une étoile qui brille quand la grisaille bruxelloise pèse sur la ville.
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Pasta alla Carbonara Ingredients (for 4 people) Pasta – 400 gr. Bacon (smoked pancetta) in dice – 200 gr. Eggs – 2 Grated dry cheese (preferably Pecorino) – 8 tablespoons Black pepper
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Pavlina Canova
(Bulgaria) &
Preparation Cook pasta for 8-10 minutes in boiling salted water (put the pasta in the water after it is boiling!) Meanwhile, heat a frying pan and fry the bacon with some oil until it’s crisp and golden (about 5 minutes) Mix the eggs and the cheese in a bowl and add black pepper When the pasta is cooked, drain it in a colander, leaving a little of the moisture still clinging Add the bacon and any oil in the pan, along with the egg and cream mixture Stir very thoroughly, so that everything gets a good coating (the liquid egg cooks briefly as it comes into contact with the hot pasta) Serve the pasta with some extra grated cheese
Marco Ranieri (Italian)
They moved in The Pacific in June 2017.
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Tiramisú Ingredients (for 6 people) Savoiardi (Ladyfingers biscuits) - 400 gr. Mascarpone cheese - 400 gr. Eggs – 5 Sugar - 100 gr. Espresso coffee (enough to dip the ladyfingers) Powdered cocoa
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Preparation Prepare the coffee (enough to dip the ladyfingers) and leave it to cool Beat the egg yolks with sugar in a bowl until you have a foamy cream Soften the Mascarpone cheese with a spoon and add it at the cream previously prepared Whip the white part of the eggs until they thick Add this “foam” to the cream previously prepared Mix the cream until it becomes foamy Soak the biscuits in the cool coffee – they should be wet but not completely soaked Put in a container a layer of Savoiardi then put on it a layer of cream Follow the same procedure for the second layer (Savoiardi + cream) Cover the upper layer of cream with powdered cocoa Put in the fridge for at least two hours and… enjoy your meal!
Advice You can add some liquor (e.g. rum) to the coffee to have a stronger flavour
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SANDOR TÖRÖK
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Pacific – Tower of reoccurring modernity an essay by Sandor Török
Everybody has got to live somewhere... “venustas, frimatas, utilitas“ There are different ways to solve the problem, especially when we think of our town in question. The Brussels property landscape is above all very particular. The wide range of different solutions regarding housing, renovating and furbishing is staggering. There are many high quality apartments in the higher price range, representing mostly very good examples of skilled craftsmanship. These houses and villas often showcase classic decoration, elements and principles of historical architecture and private taste and extravaganza born out of prosperity and experimentalism. On the other hand, once you try to look outside that expensive circle of high value estates, there are sometimes the strangest technical solutions and experiences to be taken into account. Not rare to see shower cabins in the most unusual corners, as in the kitchen, or miniature rooms with poor finish either in the basement or under the roof. Not to mention constant issues of neighbours with different noise levels, as well as different work and sleep schedules on the other side of wooden ceiling or thin dry-walls. The common lack of heat insulations and a lot of humidity and mould could even bear health risks. Fist-size holes between walls or unspeakably unconform electrical systems, all with fresh a louer signs in the window. One should stay away from death-traps. These often disguise themselves as jolly maison de maître with a classy charme and character. Quite some time ago, or rather before they have been semi-professionally cut up into badly lit and heated unergonomic pieces, they must have been charming not only from the outside. I wondered how a habitat, a place to live functioned, felt to live-in before all the redistributions of rooms and functional areas, due to technological changes in heating, bathing solutions and habits, would have produced the most unpractical apartments and studios in many quarters of the Belgian capital. Therefor I have been looking for a sort of building, to live in and to study (it), where walls are not a question of interpretation or courtesy, but facts of stability, unmovable and unignorably borders of private space. Where every, or most of the functional spaces are still serving their original purpose, and ultimately, hopefully you get what you pay for. Paraphrasing the Vitruvian principles, something that looks all right, stands the elements, and is at the end of the day useful. To find a housing which might still reflect the original intentions of the architects and engineers we have to consider time and material. The older a house is the more owners had their opportunity on renovating and personalising it.
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The more stable, strong and complex a building is the more difficult it becomes to modify any main features. To take two common examples, houses with 3-4 floors and cave and mansarde, made out mostly of brick, mortar and wood from more than 100 years ago, should be in comparison with a concrete and steel building with 24 floors from 50 years ago. In both we can find habitation for the same average budget, in the same state and in the same neighbourhood. But why people are sometimes so reluctant to choose the second option? What is it like actually to live in a habitat of this sort, a communal housing in a modernist building? There are many stereotypes and concepts connected to this urban phenomenon and many of these points also accompany the discussion about modern and functional architecture and design in general. On the following few pages I would like to give a short overview on the historical development and the impact of the modernist architectural movement. Also my purpose is to investigate, and reveal the experience of living and existing in a modernist house, in our case in the Pacific Tower in Brussels.
Architectural modernity – “une machine à habiter“ Due to the immobile character of its materials and products, architecture and its development is a relatively slow process. Parallel to a technology and material related evolution, we also have a constant overlap in ages and styles. Therefor there is a lot to discuss, admire or freely reject as well. Naturally there are not only the immovable from 50 or, 100 years ago which could be at our disposal. A wide range of sizes and styles from semi-detached houses, low rise, or small apartment blocks to villas from different periods are to be found all over town. Brussels is already known in touristic and architects circles for its many neo-medieval, baroque, or art-deco houses and magnificent and often puzzling monuments. Also its modernist architecture began increasingly to raise curiosity, and attract aesthetics, researchers and photographers. The Expo ´58 site and its buildings still welcome visitors from all over the world. The National Bank, the Central Station, the Shell, the Telex Building all landmarks of the decades following the Second World War. A period of another office building wave resulted in many other glass covered blocks or American style skyscrapers in the 60-s and 70-s, like the World Trade Center in the northern part of the city. The CERIA/COOVI as a Bauhaus reminder in its remote campus character might appeal for hard fans only. There are other buildings with considerable size, marked as modern and opposed to the public buildings, they serve habitation purposes. Their functionality, which is at the same time a key term of the modernism, should be consequently different. Due to their size alone they represent an enormous urbanistic force, housing at least 1000 people under one address.
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Not small considerations have to be made to embark on projects of this magnitude. And the architects of the time weren´t without imagination, nor ambition to rebuild, build or even plan a future society for the inhabitants of those buildings. The shape new towns and quarters took, given by natural surface, main roads, stayed for a long time horizontally layed out and stood in some relation to the work activity and lieu. The owner had an interest keeping their workforce close and available and in better cases also content and healthy. The industrial revolution could serve with first characteristic examples for a new type of housing. However from the practical point of view, constructing experience with regards to communal dwelling was mostly based on hospitals and prisons at the time. Godin´s Familistere in Guise, France from 1859 could be characterised as a town in a town. The complex of three interconnected, storeyed brick buildings with inner court, which was covered by a glass roof, functioned as a family lodging for 1600 people. They would work in the Godin stove factory close by, but would be supplied with otherwise inaccessible services and would benefit from the local concentration of existing social structures and facilities. School, church and theatre, shops, events, possibilities for social encounters, as well as local police were within reach. A smaller replica of Godin´s project was also built in Laeken north from Brussels. The aim was to improve the workers lives through the conscious planning and non-stop running and functioning of a communal architectural complex. That was a utopian endeavour, which has its roots in Fourier´s Philanstery. He imagined a similar court-like layout, with residing workforce, only the concentrating idea wasn´t the family as a unit, but a free loving, constant changing partnerships among the habitants.
With the development of constructing methods, materials, and know-who, already the modernist and futurists of the first decades of the 1900´s envisaged a future where the knowledge, science will break all boundaries what nature have posed on humanity. There is as well an option to imagine this enterprise by a logical and practical harmonisation of arts, handcraft and science through an economic-functional design and with a responsible use of nature´s resources and energy. Instead of forcing together permanence, comfort and beauty, permanence and comfort should result through conscious design in beauty. The Bauhaus Dessau has given the world many architects and designers who were meant to use materials, methods to make existing products and concepts more suitable, more user friendly for the modern men. Walter Gropius led his students in creating as well brand new concepts, appliances, furniture and ultimately also buildings for habitation. Tubular steel, but most of all the roche artificielle, steel, and glass were the universal materials of the modernity. Hard architectural science was omnipresent: columns and inner skeleton bearing structures, or counter-lever-effects. Streamlined solutions or other impressive scientifically grounded bravour in material shaping and structuring were the answer to the everyday problems of a growing, sophisticating, more free-time-having society. In the second half of the 20th century the constant urge to bind nature and its materials under our control increasingly developed an often purely technocratic or scientific and a strongly commercial bias. Which latter by serving wild and costly ideas about sky-scraping business towers broke with the functionality and clarity, the mathematical purism and with the environmentally motivated economicity, with all the aspirations of the modernity. Continued on page 94
Le Corbusier, on a known photo where he stands in front of an oversized map of perhaps Paris after he had drawn black straight lines across it, could stand as a symbol for the engagement and ambitions of the urbanists of the middle of the 20th century. As a communal living format a building should serve, protect but also drive the habitants towards a tidily organised, harmonic new society, but the old architecture must give way. The Cite Radieuse in Marseilles from 1947 stands as a model for the new modern living. It is a functional complex, in the sense of easily and directly accessible organisation of all utilities, machines and furniture. It is just like being in a machine for habitation. People’s lives, he thought, would also benefit from some orderliness and conscious planning and not much decoration. However substantial elements of LeCorbusier’s architectural thinking were also quite humane: light, achieved through height, windows and orientation. Space, resulting from intelligent planning and column-based or inner suspended open floorplans. Important was also the natural green surroundings to counterbalance living in rather inorganic although sleek milieu.
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Benoit, Selena, Tessa & Tamara Ils sont 4 dans cet appartement au 20e étage : Benoit, maquettiste, Selena, enseignante, Tessa et Tamara, leurs deux filles de 6 et 4 ans. Depuis 2011, ils ne se lassent pas de contempler la vue de leur salon, chaque fois unique.
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Tessa & Tamara – 70 –
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Rebecca habite depuis toute petite au Pacific avec sa maman. Sandrine Resler. Sandrine y habite depuis 2000. A la recherche d’un endroit à Bruxelles, sur le chemin de son travail à Haasrode, elle a trouvé un appartement au Pacific. Rebecca aime les papillons. Sandrine aime faire du théâtre, chanter, le cinéma et le sport. Elle chante dans la chorale de l’ULB. Dans le Pacific, elle voudrait créer un groupe musical : une chorale classique, chanson française, variété, … Et ainsi elle a encore d’autres idées … comme installer une affiche dans le hall d’entrée, où les habitants peuvent signaler ou proposer des choses… Qui participe !
Rebecca & Sandrine
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Hilde Adriaenssens
Wonen in de Pacific heeft veel voordelen:
Zoals vriendelijke buren! Er is altijd een ‘Goedendag!’ in de lift. Ooit kreeg ik er zelfs een pleister voor mijn wonde. Je wordt hier goed verzorgd. De gardiens zorgen ook voor ons. Er is altijd iemand in huis. Heel handig wanneer er pakjes geleverd worden. Alles is hier dichtbij: de Delhaize, kruidenierswinkeltjes die altijd open zijn, de post, metro en bussen, ... En plus, het is maar tien minuten fietsen naar mijn werk. Door hier te komen wonen, heb ik veel meer vrije tijd gekregen, oa. voor mijn hobby... bootcamp...
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Hilde
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LIFE IS BETTER WHEN YOU ARE FIT !
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Tuesdays and Fridays during lunch - Wednesday evenings - Saturday mornings @ Parc du Cinquantenaire
www.brusselsbootcamp.be – 76 –
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Op 1 december 1991 ben ik de Pacific ingetrokken. Dat was voor het eerst vanonder moeders vleugels vandaan. Mijn Vlaamse en Waalse roots werden van kinds af aan prettig overwoekerd met Hollandse invloeden. Ik heb op het Atheneum van Zaventem school gelopen. Toen we de grote vakanties voor het eerst doorbrachten op het Waalse platteland hoopte mijn moeder dat ik mijn Frans wat keuriger zou bijspijkeren. Dat pakte anders uit. Bijna alle vakantiehuisjes waren verhuurd via een Nederlands reisbureau. Hollands werd mijn tweede taal en ik supporterde voor Oranje tijdens de voetbalkampioenschappen.
Mijn uitzicht:
Bij de wereldkampioenschappen voetbal in 1994, was ik aangenaam verrast hoe je zo’n evenement in de Pacific beleefde. Toen de finale gespeeld was stonden lui, van een waaier aan nationaliteiten, vanop hun balkon de vele toeterende auto’s toe te juichen. Dat soort samenhorigheidsgevoel is er de laatste 20 jaar wel op achteruit gegaan. De meeste bewoners gaan “afstandelijk vriendelijk” met elkaar om. Het gaat meestal niet verder dan eventjes een vriendelijk babbeltje slaan op de hal of in de lift. Er heerst veelal een grote gereserveerdheid om zich niet met elkaars leven te bemoeien. Je kan dat prettig vinden, maar het heeft ook een schaduwzijde. Die gereserveerdheid kan te ver gaan. Zo is er - een vijftal jaar geleden – van een alleenstaande vrouw pas gemerkt dat ze overleden was, toen het vanachter haar deur hevig begon te stinken. Ze had nochtans vele goede kennissen in het gebouw. Ze maakte deel uit van een lokale vrouwengilde, met meerdere actieve leden die in de Pacific woonden. Een van die leden verzorgde de bestelling van de uitnodigingen. Die had daarbij opgemerkt dat het wel vreemd was dat de brievenbus al geruime tijd niet meer leeggemaakt was. Ze kende de levensstijl van die mevrouw en wist dat die nooit op reis ging. Toch sloeg ze geen alarm, ook niet bij de vertrouwde wachten. Ze was te bevreesd om zich in te laten met wat haar niet aanging. Bizar vind ik dat. Maar misschien zit de dorpsmentaliteit te diep ingebakken. De omgeving van het appartementsgebouw vind ik niet zo mooi. Als je hoog woont heb je wel een mooi uitzicht en dat compenseert. Overigens ben je hier op wandelafstand van het Jubelpark, het Warandepark en het adembenemende uitzicht van de Kunstberg.
Al van kinds af aan verzamel ik leuke citaten die ik hoor of lees. Deze uitspraak vond ik zo goed dat ik ze op mijn laatste nieuwjaarskaart zette.
Joëlle – 78 –
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Mijn katten:
Dit is Sedrik. Hij komt uit de kattenopvang “Le fanal des animaux” te Schaarbeek. Hij is heel lief en voelde zich hier van meet af aan op zijn gemak.
Sedriks voorgangers, beiden hartpatiëntjes, die 18 jaar oud werden.
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Mijn buurvrouw Frieda was 87 jaar toen ze Billie adopteerde. Het was een reddingsoperatie. Billie haar baasje begon zeer vergeetachtig te worden en kon niet meer voor haar zorgen. Nu was Billie al twaalf jaar oud en daarom niet zo makkelijk plaatsbaar. Maar een - doorgaans - rustige slome hond dat sloot mooi aan bij een alleenstaande dame op leeftijd. De eerste vaststelling van Frieda was: ze is heel lief maar ze neemt heel de twee-zit in beslag, er is geen plaats meer voor mij…Ik schreef daarnet doorgaans rustig, want Billie ging wild enthousiast te keer als Frieda terug kwam van eventjes weggeweest zonder Billie mee te nemen. De 12-jarige slome maakte dan steeds uit enthousiasme sprongen van zowat een meter hoog.
Er gingen een paar jaar voorbij. Op een gegeven dag belandde Frieda in het ziekenhuis en kwam Billie in het politiekantoor terecht. Ik nam contact op met Frieda’s familie en zocht naarstig naar buren die Billie konden opvangen. Dat zou wel een fluitje van een cent zijn om een 14-jarige hond te laten opvangen, daar gingen genoeg mensen bepaald om staan springen. Ik polste links en rechts naar kandidaten en ik kreeg regelmatig te horen: naar Albert toe brengen, dat is de oplossing. Zo leerde ik Anita en Albert kennen, een koppel op middelbare leeftijd, gehuisd in een zijstraatje van de Willemsstraat. Ze hadden al vele honden opgevangen die door bewoners van de Pacific waren afgestaan. Op een gegeven moment hadden ze twaalf honden. Ik heb er daarvan maar 4 gekend Fifi, Pinki, Moustique en dus Billie. Alleen Moustique is er nog, de drie anderen zijn stokoud geworden. Fifi was als puppy, door bewoners van de Pacific, per vergissing aangeschaft en is dus piepjong bij Anita en Albert terecht gekomen. Ze heeft er haar achttiende verjaardag ruim overschreden. Moustique was eveneens een verkeerde aanschaf van een bewoonster van de Pacific. Ook hij verhuisde nog in zijn puppytijd naar Albert en Anita. Hij is inmiddels 14 jaar oud en blaakt nog van gezondheid en vertoont continu dol enthousiast gedrag. Pinki is een ander verhaal. Haar bazinnetje was overleden, een vriendin nam Pinkie over. Die overneemster was een vriendelijk, steeds keurig gekleed en gekapt, dametje op leeftijd, die dus in de Pacific woonde. Pinki was ook steeds keurig getoiletteerd en droeg in de winter nette hondenkleedjes. Helaas kreeg het goede vrouwtje steeds meer te kampen met hevige reuma. Pinki kwam bij Anita en Albert terecht en werd er meer dan zestien jaar. Ik heb Billie bij Anita en Albert zien transformeren van een rustige, moeilijke eter naar een dolle hond die - in leerrijke navolging van Moustique - alles eetbaars gapte waar ze het maar vinden kon, in haar voerbak of tussen de boterhammen van het lunchpakket dat klaar lag voor haar baasje dat naar zijn werk trok. Voor diegenen die dit lezen: Anita en Albert hebben thans 3 honden, 4 katten en één papegaai en ze hebben een wervingsstop ingezet.
MOUSTIQUE - BILLIE - FIFI - PINKI – 82 –
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BARRY & HAWA & fils – 84 –
Hawa , Barry et leur deux fils viennent de la République de Guinée, Afrique de l’Est. En 2015 ils ont déménagé vers Bruxelles. Barry est arrivé le premier pour chercher un appartement. Quand il avait trouvé l’appartement dans le Pacific, Hawa et ses fils l’ont rejoint en Septembre 2015 . Le jour de leur arrivée, et avant même que leurs papiers ne soient en ordre, ils ont directement inscrit les enfants dans une école. Lors de leur deuxième jour en Belgique, leurs fils allaient déjà à l’école. Le français étant la langue officielle de Guinée, ils n’ont pas eu de problème en cette matière. Au niveau de l’enseignement il n’y a pas eu de problème non plus. Ils se sont bien adaptés . Hawa avait étudié l’économie à l’Université en Guinée. Arrivée en Belgique, elle a suivie un cours d’intégration, puis un stage et ensuite aussi des cours de néerlandais. Hawa s’établit à Bruxelles avec enthousiasme, mais sans perdre ses liens avec la Guinée . Elle cuisine avec amour des plats Guinéens, écoute sur YouTube des groupes de musique Guinéens et reste en contact avec sa famille et ses amis de Guinée, via WhatsApp et Facebook. Elle trouve que la vie au Pacific est très agréable. Les gens sont ouverts : il y a toujours un aimable ‘bonjour’ quand des voisins se rencontrent. Barry adore les concerts et les fêtes, mais il a aussi un côté sérieux, il investit aussi. Ils s’occupent de différentes activités liées à la Guinée pour promouvoir et améliorer la situation sur place. Il a une forte sensibilité avec la thématique de l’immigration et il souhaite transmettre sa fibre sociale et engagée à ses deux fils.
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Pacific – Tower of reoccurring modernity an essay by Sandor Török Continued from page 63
Functionalism and reality „A design to live up to rather than to live in“ You can´t blame somebody for finding a shorter way. To build houses within shorter time, with freely shapeable structure, using universal, standardised components and design is considered as a step forward, as an achievement. It saves time, so it saves money. But that is where it gets complicated. By building impressive towers with few luxury apartments per storey, in a city with basic housing problems, just because someone can afford to commission it, the architect is ought to miss the aim of functionality. In a broader sense the term should mean also that the building would be functioning well in its environment, in the urbanistic and sociographical context. Some modern characteristics and features, like slim and tall or boxy towers, convex shapes became the norm even if on different locations they cause a series of heat, wind, microclimate and light reflection related problems. The modernist idea of transparency, lightness, neatness became a quotation and -against all odds- decoration. But if an architect tries to solve a well registered local issue of overpopulation with an easy-to-build building there are other dangers to be aware of. The modernist housing unit, especially the cost effective one allows less distance to others within and around the apartments. Private space changes meaning from living on detached premises by one’s own routine and liking, to the only possibility of a sometimes only symbolic seclusion in one’s own habitation unit. Depending on apartment and family size of course, but there is usually somebody on the other side of the wall. Ideally the inhabitants would have similar time tables, similar interests and a willingness to socialise, share space and time and evolve with the others. That is even less more likely to happen if the living conditions in general turn out to be colder and more impersonal than planned. The post-war international style has certain anonymity, universal character, unrootedness in local history or identity. This universality in the design and in the use of these buildings, the industrial feel of their material could evoke a further impression of soullessness. In addition the materials themselves have a strong tendency to age badly and are less durable than originally thought. Same happened to most plastic furniture and some automobile components of the 70-80´s. Buildings designed under unforeseen time and financial pressure became even worse with regards to execution and finish. Unfortunately scaled down versions of functional buildings as for military caserns and campuses, like casted box units in stacks of 4 to 10 became the standard for new housing projects at the time in socialist states in Europe. Through the process of installing new industries on practically uninhabited locations eastern worker families often found themselves in concrete slabs remotely from any town-like structure. Social decay set in before society could have even developed, and the lodgings often get caught up in a spiral of bad reputation, and dropping market value.
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Also the often prophetic character of a number of architects only reinforced the strong conceptual, ideological charge of the modernist project. Revolutionary building-planning was meant to lead towards an also better planned existence and lifestyle. But not all of the dwellers are architects, designers or fanatics who have successfully pictured every aspect of a project already at the drawing board and would be delighted to order their lives according to it. A modernist building is hard to read. It is not easy to live up to its expectations as an inhabitant. Letting in the light every time when it´s in the right angle, being visible, being ready to interact and share resources and the tightly measured space with others. Such conditions would raise some expectations and raise the standards regarding the use of the facilities and the social formalities. Some extreme examples of apartment blocks didn´t even have individual kitchens. Social encounter was linked to the main life activities intentionally. It would make sense to find work in the office buildings, companies near the tower block, if we already have given up living in the countryside in order to face the growing urban dysfunctionality, fatigue of local traffic and restlessness, all –indirectly- for the living.
I would say the second option, but I´m also aware that the question already suggests that... Even if the modernist concept didn´t penetrate people´s lives on a philosophical level. Maybe even if the lot of attached services cost more, as for example heating does, compared to an individual heating system –which then often needs a professional check-up. The average rent might be similar; however in an older house there might be more occasions to call the landlord and then the handyman. The noise level is accounted for in our town around both types of habitation whether they are 50 or 100 years old, by traffic, sirens, car horns and alarms going off. The neighbours can be nice or terrible in both cases. It might matter that in a tower block you hear 10% less of them and less of the traffic with the height increasing. It might count as well that nobody puts trash -or worse- occasionally under your window, or that there is no doubt that your balcony hasn´t just been after-fitted by a bricoleur. Continued on page 134
It´s good though that a specialised enterprise, a syndic looks after the indispensable elevators, constant hot water supplies, all round heating and air circulation. In today´s energetic standards this comfort grade isn´t too economic however. The habitants all pay the price for it, but at least many hundreds of people share the bill in a big building. And there are many small positive features and practicalities in return too. As a tenant one doesn’t have to organise maintenance or sudden repairs for the heater, the roof, doors, locks, pipes, sewers etc. and there is no more need to put any trash bags on the street either. People have different habits they bring with themselves, wherever they come from. They have different ideas how to use a room, a piece of furniture and how to pass time. A lot of this varies around cultural aspects or level of education and is usually visible on decoration. And there is nothing wrong with that. If one tries to impose to the smallest detail it will fail naturally on people’s resistance. If the architect was meant to ask more than 1000 individuals about their expectations, wishes with regards to their future home, before he starts working, he would most possibly fail to pin down one homogenic concept. It is how it is. As well as in a seemingly inorganic environment like a tower block, relations and conditions change and develop in an organic manner, with random outcomes, and often fruitful results. But not always and not everywhere. Depending on the building, the locality, and the people, the general experience of an inconvenient flat-visit might overshadow some details, some benefits which could make the high-rise apartment block ultimately a better choice over a piece of old-style house. So, is it better to live in an apartment which has been cut out from something bigger, or rather in one which was meant to be an apartment?
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Bon voisins - Goede Buren Serge Bertrand woont hier al sinds 1971. Hij is een van de eerste bewoners van de Pacific. Hij komt oorspronkelijk van Leuven, is perfect tweetalig en woont al heel lang in Brussel. Het schilderij hiernaast, van het Sint-Joostplein, heeft hij gekocht nog voordat hij hier woonde. Het schilderij is als een voorspelling. Het hangt boven zijn favoriete zetel in de woonkamer en toont de plek waar hij graag woont. Maria-Pia Waelkens is verpleegster. In 2002 is ze in het appartement naast dat van Serge komen wonen. Ze kwamen elkaar tegen in de lift en in de gang. Na verschillende keren een ‘goedendag’ gezegd te hebben, kwam er een ‘...volgende keer drinken we een koffie...’. En dat deden ze. Nu Serge niet meer zo goed ter been is, gaan ze altijd samen boodschappen doen. MariaPia komt ook elke dag twee keer bij hem langs: ‘s ochtends en ‘s avonds. Om hem zijn medicijnen te geven. Om te kijken of alles goed met hem gaat. “Maar alles gaat goed!” vertelt Serge altijd tegen de dokter wanneer die op visite komt. Want Serge wil absoluut in de Pacific blijven. Dankzij de goede zorgen van Maria-Pia kan hij dat.
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Maximilien Widl a déménagé 02/2017
FR. Maximilien n’est plus au Pacific. Il a déménagé entre temps. Il y était depuis 9 ans et était bien connu de tous. Toujours aimable, avec une attention particulière à la prononciation de chaque mot. C’est un éphèbe du français et du néerlandais. Il est fan de Beethoven, a travaillé comme électricien, et n’a pas eu la vie facile. Enfant trouvé et élevé par une tutrice il s’en est toujours sorti par lui-même. C’est un self made man. Un exemple de pugnacité et de volonté malgré ses gros soucis de vue.
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Maximilien Widl IS VERHUISD 02/2017
NL. Maximilien: Gekend door iedereen. Altijd vriendelijk. Hij woonde 9 jaar in de Pacific. Ondertussen is hij verhuisd. Hij is een liefhebber van taal: elk woord wordt met uiterste zorg uitgesproken. Hij is zowel Franstalig als Nederlandstalig opgegroeid. Hij is fan van Beethoven, heeft gewerkt als electricien en heeft geen gemakkelijk leven gehad. Als vondeling, opgevoed door een voogd, heeft hij steeds zelf zijn plan getrokken. Hij is een self made man. Een voorbeeld van strijdlust en vastberadenheid ondanks zijn grote zichtproblemen.
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Geef een seintje indien je iemand zoekt om op je huisdier te passen
Als kind ben ik met huisdieren opgegroeid, en dat mis ik soms wel
David is afkomstig van Leuven en woont sinds april 2014 in de Pacific. Daarvoor heeft hij altijd samen met andere studenten of jonge werkenden een appartement gedeeld, onder meer in Antwerpen, Londen, Straatsburg, Schaarbeek en Sint-Lambrechts-Woluwe. David houdt van reizen, andere talen en culturen. Sinds hij in Colombia is geweest, studeert hij Spaans en zou hij dit graag verder willen oefenen. De diversiteit tussen de bewoners, de vriendelijkheid en spontane praatjes met medebewoners in de lift, de levendige buurt met vele winkels, de lekkere frietjes van Palma en het mooie uitzicht vanuit de Pacific maken dat hij hier graag woont. David is als kind opgegroeid met dieren in huis: katten, honden, konijn, kippen... en dat mist hij soms wel een beetje. In Londen had hij af en toe ge-‘catsit’. “Moest een medebewoner plots nood hebben aan iemand om eventjes op zijn/haar kat of hond te passen, wil ik hier graag bij helpen indien ik kan”. Je kunt hiervoor een mailtje sturen naar david_luyckx123@hotmail.com.
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Berthina Berthina habite depuis 2011 dans le Pacific. Depuis la terrasse de son appartement elle sait voir le toit de la maison où elle habitait avant. Une vue fantastique ! Elle aime bien le quartier. C’est un environnement cosmopolitique à cause du Parlement Européen qui n’est pas loin, avec de beaux parcs et de fantastiques transports publics : métro, tram, bus, train. Le tout facile à atteindre à pied. Ainsi que de nombreux supermarchés, trois banques, la poste, les restaurants et surtout… la friture sur la Place St-Josse, une des meilleures de Bruxelles. Elle veut rester ici. Elle va acheter l’appartement qu’elle loue maintenant. Elle a déjà un accord avec le propriétaire. Berthina vient de terminer ses études d’infirmière et travaille maintenant dans l’hôpital Saint-Elisabeth. Vous pouvez la rencontrer dans les services d’oncologie, pneumologie et stomatologie. Il est toutefois plus sain de la rencontrer dans l’ascenseur ou dans les couloirs du Pacific. Elle y a débuté comme intérimaire en octobre et depuis novembre elle y a un travail fixe. Elle est très fière de son travail d’infirmière Durant ses études elle a eu beaucoup de malchance. Mais elle a persévéré, et elle a réussi. Sa devise est donc : « Ne pas rester traîner en cas de malchance, continuer vers son objectif ! Et tenir le coup ! » Elle a beaucoup de rêves et de plans. Ainsi elle approfondit ses connaissances dans la médecine alternative. Provisoirement par des études personnelles. Mais son premier objectif est de suivre des cours. Sa bibliothèque est remplie à moitié par des livres sur l’aromathérapie, phytothérapie, la thérapie de Bach- et des floraisons, la réflexologie … L’autre moitié de cette bibliothèque est occupée par des livres de cuisine, surtout sur la pâtisserie. Berthina adore cuisiner et ce qu’elle prépare est délicieux .. Dans la bibliothèque il y a encore de la place pour des livres sur le tricot et le crochet. Elle rêve de faire son propre maillot de bain au crochet. Elle se voit déjà elle-même couchée sur une plage au Mexique, les pieds dans l’eau, faisant des rêves magnifiques sous le soleil.
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JEAN-CLAUDE Habite en semaine au Pacific, et le week-end en Wallonie
Fan de musique hard-rock et métal
Aime les élections de miss
Participe à des concours internationaux de Scrabble
Sait courir très vite
Aime de boire un cocktail
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vu de mon balcon
10 MILES VERVIERS ma course favorite
amateur de concours de Miss notamment Miss Bruxelles ici avec Tatiana Silva
je courais le 5000 m en 15’30 et le 10000 m en 32-33’...
passionné de scrabble duplicate classé international je participe chaque année aux grands tournois en france et aux championnats du monde de scrabble francophone
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ici à Marrakech et Biarritz
fan d’Iron Maiden et de “heavy metal” ici au graspop avec un ami flamand
j’adore les bières belges et les bons restaurants
j’adore les évenements bruxellois ici à Bruxelles Plages
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Marie has 5 kids: Leonel, Gabrielle, Stephan, Grace and Ange.
Marie fait partie de KONGASSA DON BURST. Avec ses frères et soeurs, Romeo, Jocelyne et mama Coco ils réalisent des sketch vidéos. Originaires du Cameroun, ces courts feuilletons vidéos durent 10 à 15 minutes et évoquent des commérages : Kongassa Don Burst veut dire cela en pidgin, des séries où l’on parle des gens.
In Africa, Kameroen, she gave dance lessons to adults and kids.
Lydia fait aussi partie de la bande et est en visite, elle vient de Paris. C’est elle la fondatrice du projet. C’est une autre soeur de Marie. Il ne faut pas oublier Lydienne non plus. Bref toute une troupe dévouée à la passion de la vidéo et du jeu d’acteur.
She is part off ‘Kongosa don burst’: they film comedy sketches in her living room and post them on Facebook.
Ange Divine, la plus petite, regarde tout cela avec ses grands yeux et deviendra sans doute aussi une des actrices de ces aventures africaines à Bruxelles.
She lives since 4 years in Belgium, of wich just 1 year in the Pacific.
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www.facebook.com
kongosa donburst
two /
“ Life is full of ups and downs ! We do not have the solutions to your problems... but we just believe that Laughter is Medicine ! ” – 118 –
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CARLOS CAMPO MIRANDA Carlos c’est la star du Pacific. Il a joué dans le film « C’est arrivé près de chez vous ». Après ses aventures cinématographiques il a par contre connu des moments très difficiles. Actuellement il est toujours en train de se sortir de cette mauvaise passe. Sans abri, les infirmières de rue lui ont trouvé un logement dans un studio du Pacific. Toujours joyeux, le sourire aux lèvres et la chanson dans la tête il est un des personnages qui compose le Pacific. Venu de Colombie il y a bien longtemps il a vécu toutes les aventures de la vie et a même écrit un livre. Vous pouvez aussi suivre ses aventures sur YouTube. Tapez : Carlos Campo Miranda.
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C’EST ARRIVÉ PRÈS DE CHEZ VOUS un film de Rémy Belvaux avec Benoît Poelvoorde et CARLOS CAMPO MIRANDA
YouTube/Vimeo: link naar film Carlos & Vincen
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MONSIEUR BERNARD. Dans le parking, il y a une voiture pas comme les autres. Elle est toute blanche, comme si elle était peinte. Ce n’est en fait pas une peinture mais un produit d’entretien qui la protège et la recouvre. Elle est comme une oeuvre d’art. Monsieur Bernard ne l’utilise pas trop. La voiture est souvent dans le garage. Des soucis de santé font qu’il ne peut pas trop se déplacer. Il vient de Meurthe et Moselle prêt de Nancy. Ce sont ses parents qui avaient un appartement au Pacific mais lui n’a qu’un emplacement de parking.
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Pacific – Tower of reoccurring modernity an essay by Sandor Török - Continued from page 97
The Pacific Tower – Le Project Sometimes also known as Rèsidence Pacific. With its almost 90 meters height and 24+1 floors it´s the highest apartment building in Saint-Josse-Ten-Noode, in one of the smallest but most densely populated quarters of Brussels. Housing around 1200 people. A town in a town. The district and the lieu themselves have a history on their own. The grape on the coat of arms of the community stands as a reminder on earlier times, referring to the vineyard in the area, constituting the estates of Philippe Le Bon among others. Later on the district will be further known for two characteristic lifestyles; ones who drink the wine on their private residence and the ones working the grapes. Even a geographic elevation stood between parts with master houses, well-off parts of society and the lower areas with worker housings. Since the beginnings those workers often came from outside the local settlement, or abroad. That could explain the second symbol, the satchel bag in the town´s heraldic imagery. Naturally there were many changes over the centuries, but in the 1950´s and 60´s the pressure was never higher to rethink and reshape the place. Overpopulation was only one of the driving forces, creating new centres for international business, politics and commerce the other. At that time, putting the expression carrefour de l`Europe onto events, localities in Brussels have just started, St-Josse was already the most densely populated and one of the communes counting the most nationalities and languages. Now the European Institutions are literally just around the corner, but they are only partially reinforcing these numbers. Businessmen, workers, civil/EU servants, families, students, artists live here all together, reaching a population of 27000, (24000 inhabitants/km2) and an estimated number of 100000 people only coming and going in the quartier during the day. The works on the site and the building, which would also stand for the commencement of this St-Josse of the future, now present, begun in 1967. The apartment complex including underground parkings, shops and administrations on the ground floor was ready to be unveiled in 1969. Big attention, expectations, advertisement, and reasonable buyer’s interests were present from the first moment on. But a successful inauguration of a building doesn´t mean that it will immediately find its place or rather role to play in the local scenery. It didn´t solve any overpopulation issues at first, but it allowed crucial place for expansion. The real effect and development of this process lays in time.
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When we look up on the Pacific Tower from the Place St-Josse it indeed could appear as a relatively thin tower, missing all the rest which lies behind it –being ultimately a rectangle rather than a tower. A smaller, but still important thing to miss is the entrance. It is a modernist feature to attribute a secondary importance to the main door. Simply because it can´t get a well-proportioned size related to the size of the building without being unusably gigantic and heavy. To hide it between two parts of building-duos, to place it away from the façade, into passages, seems to serve a functional rather than representational purpose. The face of the building and the vantage point to look at it are in our case problematic enough on their own. It is in fact difficult to get a distant, unobstructed full view on the building due to the density of the neighbouring architecture. And ultimately it does look pretty much the same from every angle due to the all-round continuous balconies with glazed balustrades and concrete railings. The front glass-door from the rue Willems is hard to spot at first. It assimilates with the rest of the glass-walls and shop doors. On the other side, the corridor opens between the supermarket and the building with the first public entrance. The portiere’s cabin next to another glass security door, at the centre of the building, lies a bit further to the inside from the passageway but still has been mistaken by some occasionally for the post office. That lies 10 meters ahead. The real technical core of the building is practically around the 4 elevator shafts, but also along, and within the walls of the inner passages on each floor. These alimenting lines for water, electricity are installed into narrow service shafts, meter cabinets and run practically outside the apartments. The walls in these inner corridors, and in front of the elevators, are finished with simple brickwork. Evoking an impression of outdoor building surfaces, just like being among houses in a narrow alley. Just like in a small, dense slice of town, one door after the other on both sides. The outside world ends therefor maybe only by stepping over the threshold of the apartments. Inside, usually one gets a quick access to the bathroom, than every other piece follows, still concentrated inwards. Proceeding to the outer edge of the apartment floorplan the living and night areas are filling the space up to the windows before reaching the balcony walkway. The furthest edge is the balustrade with glass and a concrete railing. The apartments are located behind them far enough to be more or less protected from the direct impact of the elements. At this height this is a smart consideration. Also that´s why there are no real windows to open anywhere anytime, they could channel through strong draughts of wind across the whole building. The lower, wider section of the building with its 2-3 storeys shows the similar structure to the tower above. It reaches out in two rooftops on the building’s full length on rue Willems. Also the supermarket and the roof of the carpark belong to the original layout.
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The building plays an important role in terms of urbanistic presence in the life of St-Josse. It houses many of its habitants under one address, - actually two addresses. There are people who have been living here since the first day, and also many who have spent decades living in one or even more apartments within the building. There are tenants who only have spent a year here, there are some who plan to stay even less longer – there is lot of movement in Brussels in general. Soon it will be 50 years since the Pacific Tower has opened its doors for many of us. That counts as two generations. Today the building and its neighbourhood seems to be on full capacity, serving the commuters, serving the ones who manage the household, or enjoying free time. (Whether it´s vacuuming multiple times a day or watching television and/or small animals sometimes awkwardly coping with the conditions in a flat) It does serve as a practical, functional habitat in the end as once intended though. For the ones who would like to get to their early morning traffic connection, who might want to go to work on foot close by, the ones who like an underground garage space for their treasured vehicle just below the apartment block, the ones who have a tight budget and looking for a bargain, the ones who like the height or the simple and clear –although spartan – design. Only with time was the building able to fulfil its purpose. To be an easy accessible habitat in the middle of the capital of Europe, to ease the urbanistic pressure, to bundle modern services and to create a place for life and encounter in our more than modern age. There are friendships, events and then stories to tell. Neighbours visit each other in pantoffels, a lot who care about keeping our surroundings clean and greeting each other with a good bonjour in the elevator. The many well looked after, original or tastefully renovated flats and studios, - if the building being well maintained as well - should be increasing in value thanks to predictable vintage interest and a growing demand for urban practicality. But of course with numbers like in case of more hundred family-dwellings, one quite often hears a quarrel, a laugh with a half loud film, or a full apartment renovation. But at the end of the day the big machinery slowly ceases to clonk, to rattle, the people above us make their hasty steps towards their beds… see you all tomorrow !
Sources: Walter Ammann-Baustilkunde, Derek Thomas-Archi.&Urban.Dev., JencksCurrent Architecture, Schneider-Design, Wikipedia, Irismonument.be, www.emporis.com, dh.be, lalibre.be/St-Josse Panorama, http://sjtn.brussels/, Sven Sterken-Brussels Biennale of Modern Architecture, LaFamilistere-docu.-Catherine Adda, LeCorbusier 50 Storiesdocu.-Bogi & Michelis, Le Siecle de LeCorbusier-docu.-Arte/Rtbf, BBC-Genius of Design/ Bauhaus-docu.
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June Tree - Natasha Wescoat
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Yann-Aël Le Borgne
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Je suis arrivé en Belgique il y a une dizaine d’années, pour faire de la recherche en informatique à l’université de Bruxelles, et habite depuis maintenant environ trois ans au Pacific. Un sujet qui m’intéresse particulièrement est celui des liens entre art et informatique. Un exemple est ce qui s’appelle le “transfert de style”, dont le but est de transformer une image avec le “style” d’une autre.
Ici une photo du Pacific de Nicole, transformée avec le style de Mondriaan et Picasso.
Quelques exemples sont donnés ici, où des photos sont transformées avec le style de différentes peintures, ou de matières telles que vitraux ou mosaïques. Yann-Aël Le Borgne
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Sabine aime voyager. Plutôt aimait voyager car pour le moment c’est plus difficile pour elle de partir. Elle se souvient surtout des volcans d’Hawaii où elle surplombait les nuages. Des cratères géants. Elle parle de l’Indonésie et de Java, de Jakarta. De Borobodur. Des ours et des élans de l’Alaska, de la pêche au flétan. Le Canada l’a beaucoup marquée aussi La Nahanni River et la descente en raft ! Une grande exploratrice donc !
SABINE MANISE – 146 –
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LAPLAND IN NORTHERN FINLAND
Summer Winter
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I have recently ended up living in Brussels after living over the years in Fiji Islands, Turkey, South Africa and Britain and travelling extensively in many countries. I am originally from Finland, specifically from Lapland in Northern Finland, from a town called Kemi, and that is where my roots firmly remain and where I always return to. As one might suspect, the nature affects how people live up there. During the summer people enjoy of white nights without any darkness. It gets them out and about into the night, and it is not atypical to see people pruning their gardens late in the evening, cycling in the village too see their friends or barbecuing outside in their gardens into the night.
Many people spend their summers in their summer cottages, which there are over 500,000 in a country of 5,000,000 people. Cottages are often small and simple, and always have a small sauna from where it is easy to dip into a cool lake or river for a swim. I also love spending time in my parent’s cottage, which my father calls a “labour camp”: the list of things that can be done there is never ending. In the early mornings at 3 or 4 o’clock it is the best time to observe the nature around you. The plethora of animals from squirrels, rabbits, hedgehogs to a variety of birds come out and one can watch them through the window, in the light of the summer night. One time, coming home at an ungodly hour around the same time as the newspaper man did his round, I even saw a mouse in the garden, right next to the house, towering almost as high as the house itself.
During the winter both animals and the people seem to retreat to their homes. The streets are quiet and the winter months are peaceful everywhere, to the point of being depressive to someone who is new to it. Clearing the driveway in the morning out of snow is of best exercise to anyone, as much as it can be a hassle, in order to be able to get your car out to get to work in the morning.
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Nevertheless, the snow does brighten up the days during the long winter months, when the day light is in short supply. To combat the darkness and innate need to withdraw from the surroundings, Finnish people have a habit of picking up hobbies: local municipalities offer courses from everything from languages to knitting and boat building at a very affordable prices that people actively participate in in order to keep themselves active during the dark winter evenings. And as the Finnish working hours tend to finish already around 4pm, there is plenty of time in the evenings to dedicate to something of interest. In my home town of Kemi you could also visit probably the largest snow castle in the world. It usually has a restaurant, a chapel, a hotel, ice exhibition and more – a local feat of building of ice and snow. My niece was christened in it a little while back.
When I was young, the idea of a dark and warm summer night was the most exotic idea I could think of, and it was something I wanted to experience. Now, after living in many places where one takes those for granted, the thing I miss the most in Lapland are the bright summer nights. The ones where everything goes still, the mist rises from the ground, and the sun is in the sky with its lame light of the night. Or the dark winter evenings, when one burns logs in the fireplace, has a sauna, and settles around the kitchen table for a late evening snack with family. In its all simpleness the life in Lapland is something I treasure – although the pull of the rest of the world has been too much to resist. And that pull has now taken me to Brussels, where I hope to learn of the small pleasures and way of life people around me treasure.
Ulla Grönlund
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Européenne, Musicienne, Féministe et Verte 4 mots qui veulent tout et rien dire. 4 mots qui définissent la personne que je suis, la personne que je souhaite être. Européenne, car c’est ainsi que je combine mes multiples pays d’adoptions. Je crois profondément à cette Europe, aussi imparfaite soit-elle, mais qui m’a tant donnée. Musicienne, nourrie à la trompette, au jazz et au symphonique. Comme dirait Beaudelaire “De la musique avant toute chose”. Féministe, parce que “c’est un humaniste” et qu’il reste tant à faire, que ce soit au sein de nos vies, de nos emplois ou de nos couples, en Belgique et ailleurs.
Léa Charlet
Verte, car on ne peut faire autrement aujourd’hui, notre planète s’essouffle. Du haut du 11ème étage, j’observe le toit triangulaire du Delhaize et j’ose rêver un instant à un potager partagé, à un jardin qui mettrait un peu de verdure dans nos horizons. Ces identités qui s’entremêlent, en moi, dans cet immeuble, sont l’une des raisons qui me font me sentir chez moi au Pacific, édifice panaché.
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POUR QUE LE MONDE RETROUVE SA GRANDEUR, IL SUFFIT DE REGARDER AVEC DES YEUX D’ENFANTS
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Patricia Porreweck
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Patricia Porreweck habite depuis 15 ans au Pacific. On ne peut comparer son appartement avec aucun autre, c’est une vrai maison de poupées. Patricia écume les marchés aux puces à la recherche de poupées uniques. Son appartement en est rempli. Ce sont toutes des poupées fabriquées par des anciennes marques qui étaient populaires dans le passé : Unika (une marque Belge), Tortue, Wildebras, … Elle possède quelques poupées très spéciales. Une poupée qui sait parler, une poupée à qui on peut donner la bouteille, une poupée qui berce un bébé dans ses bras, une poupée qui sait marcher. La poupée qui sait marcher c’est une très ancienne ‘Unica Verhoye Courtrai’ dite Princesse Universelle. Même si elles sont spéciales, elle ne veut pas dépenser trop d’argent à ses poupées. Elle n’achète pas de pièces de collectionneurs, mais uniquement des poupées de deuxième et troisième main. Des poupées avec lesquelles des enfants ont joué. Des poupées qui ont été soignées avec amour et touchées par des mains d’enfants. C’est cela qui détermine la valeur d’une poupée, si bien décrit dans le livre ‘Le petit prince ‘ : « La valeur des choses est le temps qu’on a passé avec elles ».
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A côté des poupées se trouvent aussi d’autres trouvailles de la brocante : antiquités, jouets, lampes en cristal, un vieux coffre. Dans le coffre se trouvent des disques de Johnny Halliday. Tous les disques qu’il a sortis dans sa carrière. Patricia est une vrai fan. Fan de Johnny et de poupées. Le chat trouve tout cela très bien. Il ronronne avec bonheur dans la chaleur de l’appartement à poupées.
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"Et soudain tu sais qu'il est temps de commencer quelque chose de nouveau et de faire confiance a la magie du commencement" Maitre Eckhart
Laura Deghilage
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Laura est française. Sa vie en France était très isolée. Elle y a connu des moments difficiles et douloureux. Son déménagement à Bruxelles , ensemble avec son ami, est un nouveau départ. Ici elle apprend à nouveau à profiter de la vie. Ce sont surtout les aimables ‘bonjours’ et sourires des voisins qui lui font du bien.
Laura Deghilage
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Le Pacific est leur premier appartement ensemble. Leur ‘pax’ est comme un mariage de contes de fées et le Pacific est leur château merveilleux.
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MARIO & SANDRA enjoying their
LAST SUPPER
‘Transfert de style’
at the Pacific
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MARIO
in the Pacific
Mario vient d’Italie, de Pulia. Il a fait un stage à la Commission Européenne. Sandra vient d’Espagne. Elle a aussi fait un stage à la Commission Européenne. Ils sont tous les deux des avocats spécialisés dans l’environnement et se sont connus durant leur stage. Ils ne se connaissent que depuis peu de temps. Mario a à nouveau déménagé. Il est retourné en Italie pour obtenir son doctorat. Sandra reste à Bruxelles, elle a trouvé du travail, mais les tickets d’avion son prêts. Ils se retrouvent très souvent.
L’appartement dans le Pacific est leur ‘love house’. Mario y a habité durant 5 mois. Sandra y venait souvent lui rendre visite. Elle aime le Pacific, mais elle trouve que les couloirs sont sinistres. Ils lui font penser au film d’horreur ‘The Shining’. La première fois quelle est venu ici, elle a eu le sentiment que quelqu’un voulait l’assassiner, jusqu’au moment où la porte de l’appartement s’est ouverte … quelle luminosité, quelle vue !
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& SANDRA
Mario trouve que le Pacific est un endroit sûr. C’est un bâtiment qui fonctionne bien, avec tout ce qui est nécessaire dans le quartier. Tel que l’italienne Caroline, chez qui il fait repasser ses chemises et réparer ses vêtements. Il trouve que le bâtiment n’est pas très beau de l’extérieur, mais de l’intérieur la vue est terrible, une vue superbe sur l’église de la Place St-Josse . Mario partage l’appartement avec deux amis. Il les a connus durant ses études au ‘College of Europe’ à Bruges. On peut y suivre un master d’une année : ‘law, economics, science, international relationships’. Tous les étudiants sont de jeunes européens. Beaucoup se rendent après leur master à Bruxelles pour suivre un stage à la Commission Européenne. Ils vivent à Bruxelles dans une bulle européenne. Une bulle très dynamique. Il y a constamment de nouvelle personnes qui arrivent, car la plupart ne reste pas. Ils y sont pour la courte durée de leur stage et ensuite arrivent ceux de la nouvelle levée. Et ceux-ci ont fait les mêmes études, font les mêmes stages, vivent dans les mêmes appartements, sortent et vont manger et boire aux mêmes endroits ... Mais Sandra reste et Mario vient lui rendre visite. Aussi pour jouer de temps en temps dans son groupe de musique. Il y joue de la guitare et chante des chansons italiennes. Son groupe de musique est constitué de 5 italiens et d’une fille française. Tous viennent de la bulle européenne .
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“Uiteindelijk komt alles goed en als het niet goed is, dan is dat het einde nog niet.”
“Behind every succesfull woman is herself”
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Reine Elisabeth Nkiambote Zoals zoveel jongeren was Reine na haar studies op zoek naar een appartement in Brussel. Via de Facebookpagina’s “Desperate People looking for a room in BXL!!” - “Wonen in Brussel” “Samenhuizen/ Co-housing Brussel(s)” reageerde ze op een post. Ze ging kijken naar de kamer en diezelfde avond werd ze een van de bewoners van de Pacific. Reine studeerde journalistiek. Ze werkt als freelance journaliste voornamelijk bij BRUZZ. Ze is televisiejournaliste. Ook over dit boek, ‘Pacific, het project’ maakt ze een reportage. Ze interviewt haar medebewoners en stelt hun allerlei vragen. Maar een vraag als: ‘Wat is je hobby?’ vindt ze vervelend. Hobby’s, wie heeft daar nog tijd voor? Ja, ze sport. Maar sporten is geen hobby. Sporten is noodzakelijk, zoals eten en drinken, of ademhalen. Hobby’s doe je alleen maar omdat je er zin in hebt, omdat het je blij maakt. Zoals tijd doorbrengen met familie en vrienden. Mooie dingen gaan bezoeken. Op restaurant gaan, op café... En zelfreflectie. Zelfreflectie door te schrijven. Reine heeft meestal haar notitieboekje op zak. Ze schrijft er alles in op: haar gedachten, dromen, wat haar is overkomen, wat ze rondom haar ziet gebeuren, ... Dat doet ze wanneer ze onderweg is, in de trein, tram of metro. Dan heeft ze tijd en niks anders om handen. Speciaal tijd nemen om te schrijven doet ze (nog) niet. Ah, nee. Want dan is het werk en geen hobby meer. Ooit komt dat er misschien van. Dan schrijft ze haar memoires. Als ze er ooit werk van maakt om in al die gedachten, dromen en observaties een verhaallijn te schrijven.
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Benoit
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Maria vient de Roumanie, Galati était sa ville. Elle travaille au Parlement Européen Elle n’habite plus au Pacific. Elle a quitté Bruxelles pour Paris.
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Pierre Matterne
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Sur la photo on voit Lee avec son fils Lee-Rafael et son amie Diane. Lee était Anglais. Il est originaire du South-West-England. Maintenant il va devenir Belge. Il a demandé la nationalité Belge par crainte des conséquences du Brexit. Après avoir vécu depuis 18 ans en Belgique, il ne veut pas prendre de risques, surtout pour ne pas perdre son permis de travail. Il n’a plus l’intention de retourner en Angleterre. Il reste en Belgique, à Bruxelles. Cela lui plaît ici .
Lee Lee-Rafael Diane
Il aime aussi le Pacific. Il y habite avec son fils depuis 4 ans et ils y ont déjà déménagé à deux reprises. Ils ont habité un an au septième étage et trois ans au vingtième étage. Maintenant ils habitent au vingt-deuxième étage. La vue devient de plus en plus belle.
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La passion de Lee est son fils et la musique électronique. Il a travaillé 22 ans comme DJ, jusqu’à trois ans après la naissance de son fils. Depuis lors il s’occupe à temps plein de son fils, comme parent unique. Et il travaille comme office manager et comptable pour le Parlement Européen, pour le Parti Socialiste Européen, et pour des compagnies comme Sony, Sisco et autres grandes multinationales. Il aime bien de faire cela, mais dès que son fils sera grand assez, il va se lancer à nouveau dans la vie nocturne comme DJ . Il travaille comme volontaire dans une école de langues, en bas, dans la galerie du Pacific. Il y donne cours deux fois par semaine à un beau mélange de personnes : Brésiliens, Français, Africains, Turcs, Arabe , Espagnols, … La plupart des adultes ont déjà quelques notions d’anglais, et chacun entre en contact avec cette langue d’une façon ou d’une autre. Dans son cours il n’y a donc jamais de vrais débutants. Le fils Lee-Rafael, est aussi appelé Bobby par son père. Bobby est bilingue : anglais et français. Il aime Star Wars, le vélo, la natation, et les Simpsons. Pour le Pacific il aimerait ‘a lift with a view’. Il aime la vue et est curieux de voir à quoi ressemblera la vue au dernier étage. L’amie Diane est Française. Elle est psychologue pour enfants. Elle aime Lee, Bobby et dessiner.
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Pierre Druez - historien “Ici, au Pacific, par contre, je me sens parfaitement à l’aise.”
Combien de nationalités ici au Pacific ? Paradoxalement il semble que le seul continent non représenté soit celui qui essaime ses îles en plein Pacifique, l’Océanie ! Les habitants du Pacific avec qui j’échange parfois quelques mots viennent d’Amérique, d’Afrique, d’Asie et d’autres coins d’Europe. Mais je rencontre une petite partie seulement des gens qui vivent ici.
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C’est peut-être un défaut mais c’est dû aussi au fait que je suis souvent absent : je vis bien davantage à l’extérieur que chez moi ici au Pacific. Par ailleurs, ce que j’aime dans les grands immeubles des grandes villes comme le Pacific, c’est justement l’anonymat ! J’ai vécu en effet ma jeunesse dans une petite ville cancanière. J’y trouvais navrant les questions indiscrètes, les remarques ironiques, voire carrément méchantes, les regards souvent plus inquisiteurs que bienveillants ! Les intrusions y sont moins marquées que dans les villages mais la solidarité traditionnelle des villageois y fait aussi totalement défaut. Au sein de votre milieu social, tout le monde vous y connait, est au courant de vos études, de votre profession, des sports et activités que vous pratiquez, de vos succès et échecs, de votre vie de couple et de famille, chacun se demande où vous avez été en vacances, sait que vous avez été vu en état d’ébriété à tel moment à tel endroit, et se trouve même souvent informé - ou désinformé - de vos démêlés sentimentaux ! A la longue, c’est fatigant et, sans être le moins du monde paranoïaque, on a parfois l’impression de n’y avoir plus de vie privée. Ici, au Pacific, par contre, je me sens parfaitement à l’aise. Et pas seulement pour le confort et la tranquillité assurés par une équipe d’entretien, des concierges et gardes dévoués et efficaces. Le Pacific est idéalement situé dans un quartier multiculturel, à proximité du coeur historique de Bruxelles, du centre politique de l’Europe, des parcs : j’adore me promener ou m’asseoir au square Marie-Louise et je surveille depuis quelques années les couvées d’un couple d’ouettes d’Egypte - désolé pour leur intimité !!! Les heureux parents canards ont de cinq à huit canetons, une ou deux fois par an - rien cette année, snif ! un ou deux canetons disparaissant en général dans les premiers jours... re-snif... victimes d’un prédateur quelconque et ce, malgré la vigilance des parents, connus pour leur agressivité et leur très très sale caractère !!! Pour ceux qui auraient un intérêt intellectuel pour le sujet, mon travail principal consiste à évaluer les distorsions entre les représentations mentales de la réalité sociale-historique contemporaine et la réalité factuelle de référence. Travail multidisciplinaire sans fin et toujours remis en question malgré de grandes tendances constantes résultant des effets cumulatifs des différences de conditions de production de matière première informative (surtout les images ou leur absence) selon les systèmes politico-informatifs recouvrant ou ayant recouvert l’espace-temps considéré. A ce propos, il me vient à l’esprit en écrivant qu’il pourrait être intéressant d’élaborer une cartographie de la représentation du monde sise en la tête des habitants du Pacific !
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Attention, il ne s’agirait pas de faire une enquête d’opinion mais seulement de dégager les grands aspects de la vision du monde global et de l’Histoire de nos voisins issus des quatre coins de la planète. Ce serait amusant et instructif de révéler les différences et surtout les points communs vu la grande diversité de la population du Pacific ! A creuser, tiens ! Un grand message d’optimisme pour terminer : tout, dans le monde réel, évolue tendanciellement et en moyenne, bien mieux que les infos des médias nous en donnent l’impression. Le monde des médias n’est pas le monde réel mais en donne une représentation moyenne déformée qui ne peut que créer de la sinistrose finalement non justifiée. Ce phénomène ne résulte pas d’une volonté ou d’une manipulation quelconque, mais résulte d’une logique sans sujet liée au fonctionnement immuable du système médiatique lui-même ! Je conseille d’ailleurs aux lecteurs qui ont un coup de blues de faire une cure sans news, sans journaux télévisés ni chaînes d’infos continues, sans infos venant de la télévision et surtout d’internet où on trouve tout et n’importe quoi et où n’importe quelle bêtise se propage sans contrôle de sérieux ! Plutôt que de s’abreuver des accidents, des drames, des injustices, des crimes, et des guerres plus ou moins proches ou lointaines (il y en aura toujours), je leur suggère, quand ils en ont le loisir, de se promener, de découvrir les détails des maisons de notre quartier, particulièrement les merveilleuses demeures art nouveau de l’avenue Parmelston et du square Ambiorix, la beauté des arbres, des plantes et des statues des parcs, de sourire aux passants. Sourions surtout à ceux qui ont l’air de “tirer la gueule” car souvent ce sont en effet les gens qui ne sourient pas qui ont le plus besoin d’un sourire. Sourions, rien que le fait de sourire nous fait du bien, et malgré les difficultés et problèmes inhérents à toute vie, nous avons toutes les meilleures raisons de sourire au monde, à la vie et au futur ! Nous avons en effet toutes les raisons d’être optimistes à l’inverse de l’impression dominante que nous donnent les infos et les images médiatiques ! Globalement, tendanciellement, depuis des millénaires, des siècles, et de façon encore bien plus accélérée depuis quelques dizaines d’années, tout va bien mieux qu’avant, et il en sera de plus en plus ainsi ! Et même si, pour la première fois depuis l’apparition de l’homme, la tendance s’inversait dans le futur, ce qui est hautement improbable, privilégions le monde réel qui nous entoure par rapport aux mondes virtuels ! Nous ne pourrons que nous en sentir beaucoup mieux !
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“A vida não tem que ser de obrigações. A vida tem de ser de emoções. Descontrolada, descabida, desenfreada, desnegada, des tudo, todas as coisas que sentmos. Relações. Relações de amor, odio, vingança, dor e clamor. Sentimentos. Emoções.” – 200 –
ALVARO GOMES
PORTUGUÊS
Terceira - Açores Firenze - Itália Belgique - Bruxelles
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Where do I go Where is the way Everyday a different feel Wherever I go All laughter Only a methaphor For what is left. For after.
“ Throughout my travels and life experiences, photography has offered me countless opportunities to explore the unknown, capture positive and encouraging stories and question prejudices. ”
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BRIEUC DEBONTRIDDER www.brieucdebontridder.com
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Brieuc est photographe. Il voyage beaucoup au Congo où il travaille dans la gestion d’impact social du secteur minier. Il associe donc travail et plaisir de l’image. La rue est un de ses terrains de chasse favori pour des images sublimes.
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« Malgré le démon
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des analogies »
Monsieur Luc est parti cette année. Il voulait laissé une phrase pour le livre.
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Zvonko et sa femme Edita viennent de Bosnie. Suite aux conflits dans les Balkans. Ils se sont enfouis. Ils sont depuis 1993 en Belgique. Avec leurs fils Mario et Sandro ils habitent le Pacific. Ils travaillent pour Golden Palace, un centre de jeu de hasard … un casino … au pied de la tour. En 1998 Zvonko a commencé comme employé puis il est devenu gérant. Le casino a vécu des moments difficiles mais maintenant tout est en ordre. Il y a beaucoup de contrôles à différents points de vue. La protection du joueur et la prévention des risques constituent pour Golden Palace les premières des priorités. Jouer en confiance et en toute sécurité est sa plus grande préocupation. Les mineurs, les personnes très vulnérables ou les interdits de jeu ne sont pas autorisés à entrer dans la salle. Il ne vend pas d’alcool et ils n’incitent personne à jouer plus. Leurs machines ne sont pas conçues pour faire perdre les joueurs. Zvonko nous dit qu’il y a beaucoup d’idées reçues sur le casino. Même venir boire un verre amicalement c’est difficile. Le public croit que c’est la maffia ici.
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Ces boites sont des cadeaux du hasard. Elles ont en elles, la patience de la pluie, la force du soleil et le souvenir de milliers de pneus et de pieds. Elles ont seulement besoin d’un regard sans préjugé pour se transformer en trésor... Anne Bertrand
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INDEX
Mme Colson
Alvaro Gomes
© foto: Vincen Beeckman © tekst: Mme Colson (p.38-39)
p.200-203
© foto: Alvaro Gomez © lay-out: Laura Baixinho & Alvaro
p.38-41
David Luyckx
Anne Bertrand
p.222-233
© foto: Anne Bertrand (p. 223-232) - Vincen (p.222 + p.233)
Arguello & co
p.32-37
© foto: Vincen Beeckman - David (poezenfoto’s) © illustratie: Danja Cauwbergs © tekst: David
Deborah Libande
p.14-15
© foto: Vincen Beeckman
© foto: Arguello (p.34) - Vincen Beeckman p.35-36)
Barry & Hawa
p.106-107
p.84-87
Francois, Florian & Alexis
p.10-13
© foto: Francois & Florian (p.10) - Vincen Beeckman
© foto: Vincen Beeckman
Bas & Madelinde
p.42-43
Hilde Adriaansens
p.74-77
© foto: Hilde (p.74-75) - Vincen Beeckman (p.76-77)
© foto en tekst: Bas en Madelinde
Benoit
p.180-181
Jean-Claude
p.112-115
© foto: Jean-Claude © illustratie: Danja Cauwbergs
© foto: Vincen Beeckman
Benoit, Selena, Tamara & Tessa
p.64-71
Joelle Hastir Bernard
p.126-127
© foto: Joelle (p.78-81+83) - Vincen Beeckman (p.82) © tekst: Joelle
p.110-111
Kapoor & co
© foto: Vincen Beeckman
Berthina © foto: Berthina
Brieuc Debontridder
p.204-207
Laura Dehilage © foto & illustratie: Danja Cauwbergs
Carlos Campo Miranda
Léa Charlet
p.123-125 © foto: Danja Cauwbergs (p.123) - Vincen Beeckman (p.124) - screenshots van de film ‘C’est arrivé près de chez vous’ (p.125)
p.26-29
© foto: Kapoor (p.26) - Vincen Beeckman (p.27-29)
© foto: Brieuc Debontridder
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p.78-83
p.168-171
p.156-157
© illustratie: Danja Cauwbergs © tekst: Léa Charlet
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Lee, Lee-Rafael & Diane
p.190-193
Pierre Druez
p.194-199
© foto: Danja Cauwbergs © tekst: Pierre Druez
© foto: Vincen Beeckman © illustratie: Diane
Mr Luc
p.212-213
Pierre Matterne
p.187-189
© Pierre Materne
Maria
p.182-183
Reine
© foto: Vincen Beeckman
p.176-179
© foto & collage: Danja Cauwbergs
Maria-Pia Waelkens & Serge Bertrand
p.98-101
Sabine Manise
© foto: Danja Cauwbergs
p.144-145
© foto: Vincen Beeckman
Marie
p.116-121
© foto: Vincen Beeckman - Marie Facebook (p.119)
Sandor Torok
Mario & Sandra
© tekst: Sandor Torok © foto: Vincen Beeckman (p.59) - Sandor Torok (p.137)
p.173-175
© foto: Danja Cauwbergs (p.174-175) - Mario & Sandra (p.173) © transfer de style: Yann-Ael (p.173)
p.58-62 + 94-97 + 134-137
Sandrine & Rebecca
p.72-73
© foto: Vincen Beeckman
Marco Ranieri & Pavlina Canova
p. 52-55
Ulla Grönlund
© foto: Vincen Beeckman © tekst: Marco & Pavlina
p.148-153
© foto: Ulla Grönlund © tekst: Ulla Grönlund
Maximillien Widl
p.102-105
Urbano Tocci
© foto: Vincen Beeckman
p.48-51
© foto/illustratie/collage: Danja Cauwbergs
Mohamed
p.6-9
Victor
© foto: Vincen Beeckman
p.173-175
© foto: Vincen Beeckman (p.48-50) - Victor (p.51)
Nicole
p.16-25
Yann-Ael Leborgne
© foto: Vincen Beeckman (p.24-25) - Nicole (p.17-23)
p.140-43
© foto: Vincen Beeckman (p.141) - Nicole (p.142)
Patricia Porreweck
p.160-167
Zvonko
© foto: Danja Cauwbergs
p.216-219
© foto: Vincen Beeckman
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CREDITS © foto: Vincen Beeckman (p.1 + 4-5 + 30-31 + 88-89 + 108-109 + 128-133 + 139 + 154+155 + 184-185 + 208-209 + 212-215 + 220-221 + 234-235) © foto: Nicole (p.56-57 + 144-145) © tekst: Danja Cauwbergs & Vincen Beeckman (tenzij anders vermeld) © lay-out & cover illustratie: Danja Cauwbergs
Medewerkers: Danja Cauwbergs, Vincen Beeckman, team van GC Ten Noey
Met dank aan: Simon Vandewalle, Linda Vandenberghe, Annelies Heyvaert, Brendan Culley, Thierno Diouf, Francis et Viviane Beeckman, Sander Tas, Prem Kapoor, Daniel Borgers, alle bewoners van de Pacific, de bewakers.
Een project van GC Ten Noey in het kader van het duurzaam wijkcontract ‘As-Leuven’ Sint-Joost-ten-Node Un projet de centre Ten Noey dans le cadre du contrat de quartier “As Louvain” Saint-Josse-Ten-Noode
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