libri.terre.it
Laëtitia Devernay
Bestiario meccanico
Macchine fantastiche, animali straordinari Dirigibile o balena? Coccodrillo o piroga? Pipistrello o deltaplano? Nel nuovo albo di Laëtitia Devernay, mezzi di trasporto e animali si mescolano e si confondono in un catalogo fantasioso, dalle illustrazioni spettacolari. Un gioco poetico e onirico che invita a scoprire le somiglianze fra mondi lontani e a guardare la realtà con curiosità e meraviglia. »» Dall’autrice di Concerto per alberi, che ha vinto il prestigioso CJ Picture Book Award, ha ricevuto la menzione al Bologna Ragazzi Award e la medaglia d’oro della Society of Illustrators di New York. »» “Il Bestiario meccanico colpisce per la sua inventiva e per la sua creatività.” - leFigaro.fr Laëtitia Devernay Autore Collana Bambini 48 Pagine Interno a colori Formato 28,0 x 25,5 cm In uscita marzo 2015 16,00 euro Prezzo 9788861893306 Isbn
Laëtitia Devernay è nata nel 1982 a Parigi. Diplomata alla École supérieure des arts décoratifs di Strasburgo e all’École nationale supérieure des arts appliqués Olivier de Serres, è una pluripremiata autrice di libri per bambini.
nella stessa collana
Concerto per alberi 9788861892798 sullo scaffale con
Zoo Bruno Munari (Corraini) Zoo logico Joëlle Jolivet (Rizzoli) Bestiario accidentale Guido Scarabottolo (Vànvere)
dirigibile
n.m.
In grado di raggiungere dimensioni enormi, è piÚ leggero dell’aria. Alimentato da una grande elica composta da due pinne orizzontali, questo gigante del cielo viaggia con grazia e in primavera si mette a cantare. Cacciato dal suo ambiente e minacciato di estinzione, il dirigibile suscita oggi un nuovo interesse.
CAMION DEI POMPIERI Notevole per la sua canna antincendio, più comunemente chiamata proboscide, si sposta rumorosamente da zone calde ad altre ancora più calde. Affronta rischi considerevoli, per questo oggi è in via d’estinzione.
n.m.
RISCIĂ’
n.m.
Si muove trainando la sua conchiglia, di solito piena di turisti. Originario del Giappone e diffusosi nel XIX secolo in tutta l’Asia, oggi si incontra nei siti turistici dove, sfoggiando i suoi colori cangianti, partecipa al folklore locale.
MANTA GIGANTE n. f.
Pourvue d’un corps plat et de nageoires en forme d’aile, elle habite les fonds marins. Elle se confond avec la couleur du sable, ce qui lui permet de s’y dissimuler. Prédatrice, la raie chasse à l’affût et possède un véritable arsenal de défense.
BALENA n. f. Ce mammifère gigantesque effectue avec grâce des mouvements acrobatiques. Grande voyageuse, elle migre successivement des eaux froides aux eaux tropicales. Elle produit des sons longs et complexes ; ce chant semble jouer un rôle social important. Pourchassée à l’extrême, pour sa viande et son huile, elle est menacée de disparaître.
LIBELLULA n. f. C’est un insecte des mares qui exécute des prouesses de voltige qu’aucun autre insecte n’est capable de reproduire. Ses ailes antérieures et postérieures sont indépendantes ce qui lui permet de voler avec beaucoup d’agilité, sur place comme en arrière, et de changer rapidement de direction.
PIPISTRELLO n. f.
Ce mammifère volant, en général nocturne, est caractérisé par l’énorme allongement de quatre de ses doigts, liés par une membrane de peau qui fonctionne comme une aile. La chauve-souris assure la régulation des populations d’insectes et la pollinisation de plantes. Hélas, sa population décline.
Pourvu de deux pinces de tailles distinctes, il est dénommé ainsi en raison de la plus grande, aussi large que sa carapace, dont la forme évoque un violon. Il brandit cette énorme pince pour affirmer la possession de son territoire et émettre des sons en la frappant sur sa carapace. Il fouille la vase et se réfugie dans son trou à marée haute.
Formée d’une ombrelle hémisphérique d’aspect gélatineux, dont le bord porte des filaments urticants, elle effectue des mouvements très lents, entraînée par le courant marin. Depuis plusieurs années, des pullulations de méduses peuvent poser problème pour la baignade.
Animal le plus grand en hauteur, elle se distingue par l’allongement impressionnant de ses pattes et de son cou qui lui permet notamment de brouter la cime des arbres. Son anatomie unique lui donne une allure et une élégance extraordinaires.
(ou vampire des abysses) n. m. Solitaire et vivant dans les abysses, il se déplace principalement grâce à ses nageoires. Son habitat pauvre en oxygène et en nourriture l’oblige à ne pas dépenser trop d’énergie ; sa survie en dépend. Il reste un mystère pour les biologistes marins.
bruco n. f. Connues pour s’envelopper dans un cocon et se transformer en papillon, les chenilles jouent un rôle profitable pour l’écosystème. Elles rongent notamment les feuilles des végétaux, permettant au soleil d’atteindre le sol plus facilement. BRUCO DELLA FALENA n. m. Il se transforme en papillon de nuit de couleur brune. Il est connu pour causer d’importants dégâts dans les cultures légumières en s’enfouissant dans les sols.
Oiseau domestique à la crête rouge vif et la queue garnie de grandes plumes brillantes relevées en faucille, il se déplace fièrement, le buste en avant, au milieu des poules de la basse-cour. Le coq produit un premier cri sonore à l’aube qui a longtemps servi à donner l’heure.
SCORFANO n. f.
Possédant une nageoire dorsale dotée de rayons épineux et venimeux, ce poisson est pourvu d’une tête volumineuse, épineuse elle aussi. Il se déplace peu et se cache dans les fonds rocheux.
CALAMARO VAMPIRO n. f. GIRAFFA n. f.
(ou poisson-hérisson) n. m. Poisson ayant la capacité de gonfler, il est couvert de piquants très venimeux. Lorsqu’il se sent en danger, il se dilate pour effrayer son agresseur, prenant une forme sphérique et hérissant ainsi ses épines qui deviennent une arme supplémentaire.
GALLO n. m.
GRANCHIO VIOLONISTa n. m.
MEDUSA n. f.
PESCE PALLA
ELEFANTE n. m.
Il est le plus gros animal terrestre actuel, mais loin derrière la baleine. Sa principale caractéristique est sa trompe lui servant à porter l’eau et la nourriture à sa bouche, tirer ou transporter des objets et pousser son cri appelé barrissement. Menacés d’extinction, les éléphants sont désormais considérés comme une espèce protégée.
LUMACA n. m.
FORMICHIERE n. m. Mammifère qui se nourrit principalement de fourmis, jusqu’à 30 000 par jour, il est pourvu d’un museau fin et très long qu’il enfonce dans l’ouverture des fourmilières, et d’une grande langue gluante. Ce qui fait de lui le spécialiste de la récolte et de la consommation de fourmis. Sa recherche de nourriture occupe tout son temps.
Petit mollusque possédant une coquille en colimaçon et deux "cornes", il sécrète un mucus. Cette "bave" lui permet de glisser plus facilement, même verticalement. Cependant sa vitesse moyenne est de six millimètres par seconde.
PESCE VOLANTE BISONTE (d’Amérique) n. m.
Cet animal trapu et musculeux vit en liberté, regroupé en troupeau, il migre régulièrement. La rencontre avec un bison peut s’avérer extrêmement dangereuse pour l’homme.
(dit poisson volant) n. m. Ses nageoires très développées, ressemblant à de véritables ailes, lui permettent de sauter hors de l’eau et de planer quelques instants, afin d’échapper à ses prédateurs.
COCCODRILLO n. m. C’est un reptile des fleuves et des lacs, essentiellement, dont les pattes sont trop faibles pour le porter hors de l’eau. Lorsqu’il pêche seul, le crocodile nage lentement, recourbant la queue pour créer un arc avec son corps. Sa peau est très recherchée par l’homme ; cette chasse a considérablement réduit sa population.
CAPODOGLIO n. m.
Mammifère marin au corps fuselé qui détient le record de profondeur de plongée, il peut rester immergé durant 90 minutes. Les mâles se livrent à de violents combats pour établir leur dominance avant la saison de reproduction et passent la majeure partie de leur temps à chasser.
PAGURO n. m. Crustacé dépourvu de carapace, présentant une grande variété de couleurs et de tailles, il occupe une coquille abandonnée pour se protéger. Il aime le plus souvent la vie en communauté, les colonies pouvant atteindre des centaines de membres. FOrmica n. f.
Cet insecte social se regroupe en très grand nombre pour former des colonies organisées au sein de fourmilières. La communication entre fourmis se fait au moyen de phéromones. Leur utilisation permet de définir et de repérer des pistes olfactives destinées à les guider.