Portfolio 2016

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PORTFOLIO

ARCHITECTE_DIPLOMÉ_D’ÉTAT

PORTFOLIO

THOMAS_GUILHEN



ÂŤ Any sufficiently advanced technology is indistinguishable from magic Âť Arthur C. Clarkethird law



Thomas Guilhen

Mail : thomas.guilhen@gmail.com Tel : 07.83.98.89.60

Master 2 d’architecture

12.2016-05.2017_Stage @LDA (6 mois)

Langues :

05.2017_Exposition d’U+2588 @L’Ososphère dans le cadre du parcours artistique

Anglais : Courant Français : Maternelle Allemand : Basique

02.2017_Concours ArchHive, Beebreeders, Shortlisted 10.2016_Exposition d’U+2588 au Shadok dans le cadre du festival White Line 09.2016_Soutenance de PFE / Master d’Architecture à l’ENSAS _ Mention Bien 05.2016_Soutenance de Mémoire « Vers une Architecture [du] Numérique » _ Mention Très Bien 03.2016_Workshop @ Tongji University, Shanghai / ENSAS 01.2016_1ère place avec Clémentine Concours d’idée Fischerstub, Heineken.

Dufaut

09.2015_Équipe de test @ Ka-Ra / Développement du logiciel TwinMotion 09.2014-07.2015_Mobilité étudiante au CAUP (College of Architecture and Urban Planning) de l’université de Tongji à Shanghai 06.2014_Licence en Architecture à l’ENSAS 02.2014_Workshop avec UN1ON 08.2013_Stage de première pratique / Agence Equinoxe 08.2012_Stage ouvrier en maçonnerie / Entreprise Waechter 09.2011_Début des études en architecture à l’ENSAS 09.2010-06.2011_Faculté de sciences physique de Strasbourg 06.2010_Bac S SVT, Mention Très Bien, Lycée Adrien Zeller (67) Autres : 2010-2013 (à intervalles réguliers, 2semaines à 3mois) : Équipier en restauration rapide / Mcdonald’s 2014 (8semaines) : Magasinier / INA (industrie automobile)

Logiciels maitrisés : Suite Adobe : (Photoshop, Illustrator, Indesign) Sketchup Autocad Artlantis TwinMotion HeavyM (projection/ mapping) Grande aisance avec l’outil informatique, je suis capable d’apprendre de nouveaux logiciels rapidement.



EQUIPEMENT PUBLIC La voie élevée Minhocão à São Paulo Studio Dominique Coulon ENSAS_2015_Master 2

Le projet enjambe l’autoroute élevée communément appelée «Minhocão» qui traverse le centre ville de São Paulo. Cette infrastructure a la particularité de devenir piétonne le soir et pendant les week-end alors qu’elle est quotidiennement empruntée comme raccourci vers le centre par des milliers de voitures. Cela confère à ce lieux une dynamique fascinante qui a pu être constatée lors d’un déplacement de deux semaines au Brésil dans le cadre de l’atelier. Faisant écho à l’arte povera du SESC Pompéia de Lina Bo Bardi et à la monumentalité des édifices d’A. Reidy et de P. Mendes da Rocha, le projet sert de plateforme publique et accueille différents programmes sociaux. Son toit reçoit des équipements sportifs tandis que le niveau connecté à l’autoroute est un vaste espace public ombragé.



PAVILLONS MODULAIRES FLOTTANTS Une Watertown à Suzhou Tongji University - CAUP_2014_Master 1

Une ensemble de pavillons modulaires est envisagé pour re-dynamiser une watertown menacée de démolition. Le style de vie associé à cette typologie traditionnelle et courante autour de Shanghai est menacé par de nombreux promoteurs désireux de capitaliser sur le succès touristique de ces villes. Puisque l’argent n’est investi que dans de vastes opérations, ces zones souffrent d’un manque important de services essentiels. En réinterprétant l’usage traditionnel de pavillons flottants pour l’opera, l’infrastructure sociale de ces villes devient mobile. Les services de santé et d’éducation, les centres sociaux et artistiques et les salons de thé gagnent en portée et en interactions au lieu de devenir des complexes centralisés.



CENTRE CULTUREL ET MUSICAL Bâle, Suisse ENSAS_2014_Licence 3

Le projet est composé de plusieurs entités : une médiathèque, deux scènes de concert, un hall recevant des expositions et une MJC équipée de studios d’enregistrement et de salles de danse. Le programme requiert également l’hébergement d’artistes en résidence. L’idée principale est d’exprimer chacune de ces entités en accord avec ses principes, de façon à les rendre facilement reconnaissables autant de l’intérieur que de l’extérieur tout en promouvant un maximum d’interactions entre elles. La bibliothèque devient une grande dalle suspendue dans la hauteur du hall, mettant en avant son ouverture. Les salles de concert et tous leurs équipements techniques sont contenus dans un grand pavé de béton qui sert de base autour de laquelle viennent graviter les autres éléments du programme. Les salles de danse et les studios sont placés dans des boites/container assurant l’isolation phonique et une atmosphère contrôlée. L’intégralité du projet adopte un langage industriel de façon à promouvoir l’interaction avec un bâtiment robuste.



EXTENSION DU RESTAURANT FISCHERSTUB Strasbourg, France Compétition étudiante_2016 1ère place avec Clémentine Dufaut

Le projet demande un réaménagement majeur d’un restaurant iconique de la région de Strasbourg. Son emplacement le long de la massive brasserie historique Fischer est visible depuis l’un des accès principal de la ville et marque également l’entrée de la ville de Schiltigheim. L’une des pierre angulaire du redéveloppement du site industriel de la brasserie, le restaurant est le dernier programme actif du complexe et reste très fréquenté par de nombreux habitués. L’un des défis principal est de préserver l’âme du restaurant centenaire (1905) tout en permettant sa croissance en vue du rayonnement urbain dont il disposera quand il se trouvera au cœur de ce nouveau quartier. Le brief inclue de doubler la surface d’accueil existante par l’addition d’un important espace couvert sur la façade principale du bâtiment. Les circulations et accès principaux sont également à repenser pour permettre une circulation plus efficace du public et du service. L’extension réimagine la silhouette de l’ancienne brasserie en utilisant une structure en bois renfermant un volume vitré laissant amplement entrer le soleil contrastant avec l’espace plus renfermé de la structure originelle. Des plantations de houblons assurent l’ombrage nécessaire en été.



UN QUARTIER DE 500.000 M² Workshop avec UN1ON ENSAS_2014_Licence 3

Le masterplan d’une nouvelle ville est représenté par un tapis de silicone texturé présentant des réservations. Ces rectangles vont recevoir les différents districts inventés chacun par un groupe de trois élèves durant un workshop intensif d’une semaine. La base de chaque district est une grille de blocs urbains réguliers formant une bande de 1000x2000 mètres. L’objectif du projet est de créer des espaces publics le long de cette grille rigide. Une station de métro est également présente dans chaque bande et doit jouer un rôle important dans l’articulation des espaces publics. Faisant hommage à de nombreux projets archi-urbain, chaque réponse fait écho a un mouvement particulier. Le projet présenté ici s’inspire du métabolisme et décide d’outrepasser la grille et de promouvoir à sa place un paysage artificiel contrôlé. Dans celui-ci prennent place d’énormes piliers servant d’accès au nuage de logements et de services publics. Le nœud de transport siège au sommet d’une colline et est contenu dans une monumentale sphère d’aluminium GIF : https://goo.gl/g2Th8C



Administrate Plan

PHENOMENOLOGICAL T Y P O L O G Y avec Ercument Gorgul Shanghai, CHINA

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18/6/15

Lessons

18:00 To 20:00

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Tongji University - CAUP_2016_Master 1

#Landscape

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June w.23

Degree Master PhD Workshop Other

13:00

Lectures

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Event

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Pending

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Promote

Ce séminaire enseigné par Ercument Gorgul réfléchit aux rôles nouveaux que peut avoir l’architecture et l’applique au sens large aux interactions que nous entretenons avec notre environnement. L’interactivité est ici essentielle. De ce fait, les intérieurs urbains, les environnements augmentés et connectés de même que les réseaux seront au centre des préoccupations de ce semestre. Le projet lui même a pour site le campus principal de l’université de Tongji à Shanghai. Plus que centenaire, celui-ci regroupe des douzaines de départements dans un espace clos clairement délimité par des bordures physiques (bâtiments, grilles, clôtures) dont l’accès est contrôlé par des portes. Cette auto-ségrégation physique est maintenue à toutes les échelles. Chaque département possède son propre bâtiment ou complexe clairement séparé des autres. L’organisation spatiale même rend les interactions inter/multi ou non disciplinaires difficiles ou impossibles. Dans chacun de ces bâtiments, les espaces d’études restent des salles de classe classiques sans interactions. Cette situation contraste fortement avec la façon dont la société et la jeunesse travaillent en Chine. Totalement connectée, la société chinoise organise ses activités sociales par l’intermédiaire de WeChat, une application forte de plus de 650 millions d’utilisateurs en 2015. Cette app permet déjà d’interagir avec le monde «réel» par l’intermédiaire de nombreux modules, du shopping à l’administratif et jusqu’aux services de santé. L’idée ici est de mettre à profit les interactions entre le réel et le virtuel et de les appliquer au campus lui même pour libérer ses usages. Une série de systèmes connectés, d’un simple calendrier en ligne, à l’emprunt et à la consultation en ligne de livres, un service gratuit de partage de vélo, la création d’événements, des cours et conférences retransmises en direct et des espaces sociaux connectés, alimentent tous le profil social de l’utilisateur du campus. En retour, le système suggère des activités pouvant intéresser tel ou tel étudiant ou enseignant sur le campus permettant ainsi une transmission plus efficace des informations notamment interdisciplinaires. Le système est complété par un réseau de salles modulaires connectées.

Planning- CAUP

Planning - CAUP

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"Any sufficiently advanced technology is indistinguishable from magic."

Arthur C. Clarke


Vers une Architecture [du] Numérique Mémoire

ENSAS_2015-16_Master 2_(17/20) issuu.com : https://goo.gl/n23XPM

Vers une

Architecture [du]

Numérique

Thomas Guilhen

Dir. Alexandra Pignol ENSA Strasbourg 2015-2016


Chaque édifice va venir recouvrir un bâtiment existant vetuste et/ ou à préserver qui sera détruit une fois le moulage réalisé. Comme le fait déjà le numérique sur nos appareils, ses manifestations dans la ville vont être fortement influencées par leur localisation. Ces interventions conservent autant l’anodin que l’exceptionnel.


█ (pavé plein, u+2588)

Projet de Fin d’Etude (PFE) ENSAS_2016_Master 2

█ (pavé plein, u+2588) est une matérialisation de l’internet et du monde numérique. Prolongeant une réflexion amorcée en mémoire, l’espace digital va ici venir s’incarner dans l’espace urbain de Shanghai. Une intervention manifeste proposera un regard critique sur cette évolution technologique sans précédent. Ni pessimiste, ni optimiste, le projet illustre plutôt une certaine prise de conscience sur la relation de l’Homme à son environnement à travers le prisme du cyber-espace.

U+2588 Manifestation Sensible de l’Internet et du Numérique

█ (pavé plein, u+2588) Illustrant est une la volonté de rationalisation de sa réalité par l’être humain, le réseau numérique mondial est souvent perçu comme un moyen de résoudre les multiples tentatives de mesures et matérialisation de l'internet etpermettant du monde d’organisation de son environnement et notamment des villes. numérique. Prolongeant une Face auxréflexion “jungles urbaines”, c’est souvent le numérique, par sa capacité à tout mesurer et tout quantifier qui permettrait de “faire sens” des multiples flux et dynamiques amorcée en mémoire, l'espace digital va d’un monde de plus en plus complexe. C’est justement cette complexité, contre laquelle nous luttons autant que nous la générons, de qui a peu à peu fait de l’internet un monde ici venir s'incarner dans l'espace urbain extrêmement complexe. Ce n’est pas un hasard si les monopoles exercés sur le net sont ceux dédiés à l’orientation. D’abord Yahoo, puis Shanghai. maintenant Google et Facebook sont avant tout des services qui permettent de faire sens de l’énorme quantité d’informations en les localisant, en indiquant leur direction, en créant des “liens” entre les

différents lieux de l’internet. Une série de monolithes répartis Face au manque de lisibilité d’un phénomène de plus en plus abstrait, on constate, qu’après avoir aidé à faire sens de la réalité, les mondes algorithmiquement dans la ville viennent numériques tentent de retrouver sens en infiltrant l’espace urbain, notamment àlourde travers l’omniprésence de la géolocalisation. La ville d'abord matérialiser l'infrastructure serait donc peut-être le meilleur moyen d’organiser le numérique et vice-versa, à la façon des cartes à l’échelle 1:1 de Lewis Carrol ou de Jorge nécessaire au fonctionnementLuisdu réseau Borgès, qui viennent se superposer directement à leur objet. Car l’objet du virtuel, c’est bel et bien la réalité, la représentation du réel. numérique. Venant contredire l'assomption Face à cette incompréhension de l’internet en totale rupture vis-à-vis de son importance grandissante dans nos sociétés et notre perception du générale d'un Internet nébuleux, voyageant monde, le projet cherche à incarner de façon sensible l’emprise de nos vies numériques sur nos vies quotidiennes. dans l'air à travers antennes et satellites, Répartis sur une grille algorithmique, un ensemble de structures monolithiques viennent installer dans la ville un réseau, véritable il devient ici possible de ressentir cette infrastructure numérique, faite de serveurs, de connections optiques et de tours de refroidissement. Ce réseau renferme l’ensemble des emprise physique grandissante à travers des données des citoyens de Shanghai auxquelles eux seuls peuvent accéder en se rendant, en quasi pèlerinage dans l’un de ces espaces, dont la localisation, sans cesse changeante, n’est connue que de data center hissés au rang de monument. l’utilisateur concerné. La sphère publique et l’espace public ont entamé une séparation

profonde dès l’apparition L'intervention n'est cependant pasdes premiers média de masse. Ce projet propose de réunir ces deux entités en un lieu symbolique, de médiation entre le matériel et l’immatériel, le visible et l’invisible. muséale, elle vient plutôt s'incarner à En jouant sur les codes d’espaces ancestraux, du forum occidental aux asiatiques, ces lieux permettent de manifester des travers un langage spirituel,temples traduisant phénomènes rendus complexes par leur virtualité. autant la présence physique nécessaire, que l'immatérialité possible. Les monolithes existent sur des modes binaires et négatifs, jeux de pleins et de vides et d'inversions généralisées. Espaces publics intérieurs, bâtiments moulés à la façade intérieure dessinée et à l'extérieur lisse. Lieu de connection dans lequel on rentre pour sortir de la ville, c'est aussi celui qui est paradoxalement le moins connecté, la masse de béton utilisée interdisant tout signal en son sein.

Thomas Guilhen Dir. : Anne Jaureguiberry 2016 Architecture, Ville et Territoire

Rapport de présentation intermédiaire faisant le lien entre le mémoire et le projet disponible sur issuu : http://goo.gl/534EyR L’installation des monolithes dans la ville est à la fois homogène mais aussi fortement localisée. Elle fait écho à la densité locale en lien direct avec les besoins infrastructuraux du réseau numérique. En partageant un langage commun, les monolithes bien qu’indépendants font clairement partie d’un tout. La fragmentation de l’infrastructure la rend également plus difficile à surveiller.



Le premier des trois monolithes présentés prend place dans un Lilong. Cette typologie, classique à Shanghai et datant des années 20-30, est ici composée de maisons mitoyennes appelées «Shikumen» combinant un style chinois et occidental. Très menacés aujourd’hui, il ne sont reconnus qu’au titre de patrimoine immatériel. Le moulage permet ici de conserver la trace physique de ce patrimoine tout en permettant la continuité du développement de la ville. En liaison avec l’espace public de la ville se trouve le vide généré par l’habitat recouvert tandis qu’une sphère de projection placée directement au dessus de ce volume rend de nouvelles interactions et expérimentations avec le numérique possibles. Une couronne octogonale, entre columbarium et cloître vient recevoir les serveurs.



Ces structures servent à installer le numérique dans le quotidien et le paysage des citoyens de la ville. Ce sont des outils qui permettent de lutter contre les monopoles et censures de l’internet. En rendant le numérique visible dans sa matérialité ici quasi-martiale, il cesse d’être une entité immatérielle hors de porté de l’utilisateur lambda. La pagode recouverte dans ce second exemple permet d’exprimer l’autre facette du projet : l’expression de la forte abstraction et la capacité du numérique à générer de l’illusion. Devenue négative, la forme d’abord facilement identifiable de la pagode devient abstraite et ne peut être appréciée que consciemment, par la mise en relation de ses fragments. Complétement intérieurs (hormis le dernier étage), la lumière de ces espaces est entièrement artificielle, simulée par un ensemble de projecteurs. Il devient possible de modifier la perception de l’espace et de créer de l’illusion. Cette illusion a un fort pouvoir de fascination mais reste décelable. L’usage d’un bâtiment spirituel fait ici écho au possible simili pèlerinage qu’il devient possible d’effectuer, en quête d’une plus grande compréhension du numérique, de ses risques et de ses potentiels.



Dans cette dernière situation, le bâtiment recouvert est un bloc d’habitation typique des grands ensembles chinois. Les 8 étages du bâtiment originel dégagent un volume important qu’il est possible de gravir par l’intermédiaire d’escaliers monumentaux de part et d’autre du bâtiment symétrique. Une sphère, ou l’absence d’une sphère vient interrompre le rythme du moulage en son épicentre. La géométrie forte des monolithes est une référence à la fois à la culture chinoise et sa cosmologie mais aussi aux lois mathématiques régissant nos vies numériques. Ces deux aspects, spirituels et scientifiques viennent donc faire corps dans le projet et il devient possible d’interagir directement et indirectement de façon sensible avec eux. Sans fonction première, sur le même mode que nos appareils numériques, certains de ces monuments ne seront jamais visités tandis que d’autres deviendront des symboles. Ils ménagent un vide moteur, un espace de possibles par leur existence physique mais aussi virtuelle. Ils comportent la plupart du temps une terrasse accessible après l’ascension et capable d’accueillir toutes sortes de rassemblements.



█ (pavé plein, u+2588)

Projet de Fin d’Etude (PFE) Maquettes





Expostion au Festival White Line VidĂŠo : https://goo.gl/w4bfy3



█ (pavé plein, u+2588)

Exposition au festival l’Ososphère 2017 Maquette de l’intervention in-Situ



STAGE LONG LDA Initialement stage de master de deux mois, le stage a finalement duré six mois à l’agence Lionel Debs Architectures. Pendant cette période j’ai pu me former et apprendre à prendre en charge différentes phases d’un projet, de l’étude de faisabilité au pro. J’ai notamment participé au concours pour une maison de l’enfance à Marmoutier pour lequel j’ai réalisé les axonométries d’insertion et fonctionnelle ainsi que le modèle 3D ayant servi de base au perspectiviste.



CASTLE RESSORT COMPETITION

avec Maxime Duquet et Clémentine Dufaut Le brief propose la réalisation d’un hôtel autour et/ou au sein des ruines du château de Roccamandolfi. Fascinés par la puissance du site, nous avons décidé d’une intervention humble mais puissante par sa simplicité. Plutôt que de poser avec légèreté ou force une intervention «autre», nous décidons d’ajouter une collection d’artefact monolithique au langage épuré. Ceux-ci représentent selon nous l’essence de l’hospitalité. Une table pour se regrouper, un banc pour se reposer, une série de marqueurs (poteaux, bornes, panneaux, portique), un réservoir d’eau, des fontaines et des douches permettent en complément de cabines minimalistes d’être accueilli exceptionnellement dans le site. Le projet se veut en recul de la nature environnante splendide, il se contente de prolonger l’histoire du site par l’addition d’une strate minérale supplémentaire qui deviendra à son tour une ruine.


█ (pavé plein, u+2588) - Projet de Fin d’Etude (PFE)


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