Une initiative de Randstad.
WORKFORCE 360
14 juin 2016
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« IL FAUT ÊTRE CONVAINCU D’AVOIR QUELQUE CHOSE À OFFRIR » Toon Decloedt, Fedipro © Christophe Ketels
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© Christophe Ketels
« LES FREELANCES PRENNENT EN CHARGE UN QUART DES PROJETS » Isabelle Callebaut, Randstad Professionals
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LES RISQUES DU MÉTIER Tine Tytgat, juriste chez Randstad
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© Christophe Ketels
TOUT LE MONDE FREE-LANCE ?
De plus en plus de Belges sont leur propre patron, mais il n’est pas question de « boom » pour autant
Le nombre de free-lances et leur poids sur le marché du travail n’ont cessé d’augmenter ces dernières années, sans pour autant que le statut connaisse la croissance explosive qu’on lui a parfois prêtée par facilité. Car le statut « liberté-bonheur » suscite aussi des questions et des doutes. Vais-je trouver du travail ? Combien vais-je gagner ? Où vais-je trouver mon projet suivant ? De plus, travailler comme free-lance n’est pas toujours un choix. De nombreux quadragénaires et quinquagénaires n’ont tout simplement pas d’autre option. Trop chers pour le payroll, ils sont contraints de se mettre à leur compte. Simultanément, la transition ouvre les yeux à un grand nombre d’entre eux. Les free-lances découvrent une motivation dont ils ne présageaient pas l’existence quand ils étaient salariés. Dans ce numéro de Workforce 360, nous abordons les différents aspects du statut de free-lance : des risques du métier à ses avantages incontestables.
CONNECT Echo Connect offre aux entreprises, organisations et organismes publics l’accès au réseau de L’Echo, pour partager leur vision, leurs idées et leurs solutions avec la communauté de L’Echo. Randstad est responsable du contenu.
« Une junior peutelle se confronter à des experts qui ont vingt ans d’expérience ? » Evelien Van Vaerenbergh, freelance en HR
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En Belgique, une personne active sur huit (13,2 %) travaille comme indépendant. La notion englobe le propriétaire de sa sandwicherie, le dentiste et le boulanger du coin tout autant que le copywriter ou le consultant free-lance. Tous les indépendants ne sont donc pas des « free-lances », cette catégorie se limitant généralement à ceux qui proposent des services dans un contexte business-to-business.
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