TROUVER EN ISRAEL JANVIER

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l'histoire DU

(moi)s

Un jour où je m’étais rendue à la banque, se tenait dans la file d’attente une femme qui semblait particulièrement affligée. Quand son tour se présenta, elle éclata en sanglots. Si je comprenais bien, elle devait déposer le chèque que son frère venait de lui laisser avant de mourir. C’était son héritage. Il avait voulu lui transmettre une petite partie de ses économies avant sa mort. Il était très pénible pour elle de déposer ce dernier cadeau qu’il lui avait laissé. Elle aurait tellement souhaité le garder chez elle! Quand elle ressortit de la banque, et tandis qu’elle tentait d’effacer les larmes qui lui coulaient sur le visage, il me vint une idée. « Excusez-moi, madame, lui dis-je en m’adressant à elle. Je n’avais nullement l’intention d’être indiscrète, mais je pense qu’il y aurait pour vous un moyen de vous souvenir de votre frère d’une manière plus concrète. Que diriez-vous d’offrir des livres à la synagogue

à sa mémoire? » « Il n’en est pas question, me rétorqua-t-elle irritée. Nous sommes rescapés de la Shoah. Nous avons assez enduré. Je ne donnerai pas même un shekel pour ça. C’est de l’argent jeté. » « J’ai compris, lui répondis-je. Je suggère alors que nous nous rendions à l’orphelinat le plus proche. Mais laissez tomber. Je ne voudrais pas vous peser. C’est tout simplement que ce que vous avez raconté à la banque m’a bouleversée. » Alors que je retournais à la banque, elle m’appela : « Madame, revenez! » Dès cet instant, tout devint clair. Nous nous sommes mises d’accord pour tenir chaque mois, à l’orphelinat de Katamon à Jérusalem, un repas pour l’élévation de l’âme du défunt. Pour elle, cela voulait dire qu’elle pourrait rendre heureux des gens privés de leurs parents. Pour ma part, j’ai annoncé au directeur qu’il s’agissait de contribuer à l’élévation de l’âme du défunt. Qu’elle est grande, la force de l’amour, du don et de l’écoute! Elle peut provoquer de véritables révolutions. Peu importe qui nous sommes ou d’où nous venons. Tu aimeras ton prochain comme toimême.

Directrice de la publication Sarah Ben Sarah.bensimon3@gmail.com Rédacteur en Chef Dan Abramowicz Jonathan Doukhan 077 203 82 27 Directeur stratégique et commercial Ariel Abendanan 058 761 2086 Création & Design Yaël Graphic Designer 058 630 5530 Traducteur Yéochoua Sultan 054 26 28 237 Impression Flamingo 054 375 81 77 Diffusion Presse Magazine Itzhak Zenouda 054 207 5913 Site :

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Partenariat :

Pour l’élévation de l’âme de Gaston Yossef fils de Léa. Sarah Ben

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Idan Raichel « L’Europe est ma seconde maison ! » PAR VANESSA

ATTALI

Il a chanté dans le monde entier, de New York en passant par Sydney, Londres, Hong Kong, Singapour, Paris, l’Inde, l’Ethiopie, le Japon, l’Afrique du Sud… ses albums ont été plusieurs fois disque de platine, ses clips font de millions de vues sur Youtube, il a réussi à rassembler autour de lui 150 chanteurs et musiciens du monde entier… Il s’agit de la célèbre icône de la scène World mondiale et l’un des artistes les plus populaires et les plus appréciés en Israël : Idan Raichel ! Très occupé par la sortie de son nouvel album « And if you will come to me » le 31 janvier et la préparation de sa tournée internationale, à commencer par Tel-Aviv du 30 janvier au 2 février au Heichal Menora, il a tout de même accepté de rencontrer notre journaliste et de tout lui raconter. Interview exclusive !


Bonjour Idan, comment ça va ? Hi ! Bonjour ! Je suis très heureux d’être là avec vous et tous les lecteurs du magazine Trouver en Israël ! Quinze ans après votre premier tube qui vous a propulsé au rang de star, votre nouvel album « And if you will come to me » sort le 31 janvier sur les plateformes numériques. A quoi va-t-il ressembler ? Ce nouvel album tire son inspiration à la fois de la maison et de l’étranger. Il est le fruit de diverses collaborations avec des musiciens du Japon, de Bulgarie, d’Éthiopie, de Cuba, de l’Inde, du Niger et bien entendu d’Israël. Pour citer quelques noms : le magicien de la guitare africaine Bombino, Danay Suarez, candidat cubain au GRAMMY et les stars israéliennes Berry Sakharof et Zehava Ben. Il y aura aussi un nouveau morceau issu du « Idan Raichel Project » et le titre phare de l’album sera « Ve’Eem Tavo’ee Elay » en hébreu que vous connaissez déjà. Ce nouvel opus reflète t’il la prochaine étape d’une carrière artistique plus personnelle que vous avez entamée il y a près de trois ans ? En effet. Il reflète également une redécouverte de mes inspirations originales. Nous voulons toujours évoluer et chercher de nouvelles choses mais parfois, il faut voyager très loin

juste pour revenir à ses débuts. En fin de compte, peu importe où je vais, je reviens toujours sur les thèmes éternels qui ont longtemps été au cœur de mon travail tels que le désir, l’amour, la maison… Je les aborde simplement sous un angle différent. Mais je vous laisse découvrir... La promotion de cet album commencera par quatre dates à Tel-Aviv et se poursuivra aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Autriche, en Espagne, en Italie, en Suisse, en Suède et ailleurs. Justement, qu’est-ce qui nous attend au Heichal Menora de Tel Aviv où vous vous produisez avec « The Idan Raichel Project » du 30 janvier au 2 février ?

« The Idan Raichel Project » est un groupe vraiment unique. Après n’avoir pas joué ensemble pendant trois ans, nous avons un répertoire de nos toutes premières chansons jusqu’aux derniers singles sortis ces derniers mois. Ce spectacle sera une sorte de voyage musical à travers nos albums sortis ces quinze dernières années. Racontez-nous comment est né « The Idan Raichel Project »… Tout a commencé il y a quinze ans par une expérience. On voulait voir ce qui pouvait bien se passer si on rassemble 150 musiciens et chanteurs, juste pour jouer ensemble, peu importe l’âge (de 16 à 85 ans), la nationalité… Certains d’entre eux ne sont pas israéliens, d’autres sont nouveaux immigrants ou installés en Israël depuis plusieurs générations… Certains sont juifs, chrétiens, arabes… Imaginez ce qui pourrait bien se passer si on bâtissait une langue musicale unique et on jouerait tous ensemble ?! Et bien, c’est ça le « Idan Raichel Project » !

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Je pense que les français peuvent réellement se sentir les bienvenus ici en Israël, étant donné que c’est une réelle nation multiculturelle. Des gens d’Ethiopie, du Maroc, du Yémen, de la Russie, d’Amérique de Nord… sont venus s’installer ici et actuellement, avec notre musique, nous représentons en quelque sorte la bande sonore de notre pays bien aimé ! Comment êtes-vous parvenu à rassembler tout ce monde ? Je pense que la magie se produit lorsque tu veux bien garder tes oreilles et ton cœur ouverts. Il y a juste une seule règle ou challenge à relever, c’est de bien vouloir accepter la culture de ses voisins. Est-ce que vous vous considérez un peu comme un ambassadeur de la paix ou de l’espoir ? Je ne sais pas si je suis un ambassadeur de la paix. Ce qui est sûr, c’est que je ne suis pas un ambassadeur officiel de notre pays. Mais je pense que depuis ces dernières années, les membres du « Idan Raichel Project » représentent en quelque sorte une sorte d’ambassadeurs culturels de notre pays. A partir du moment où notre musique plait à d’autres pays alors les gens considèrent ce que nous faisons comme de la musique israélienne. Et en raison de cela, nous portons sur nos épaules la lourde responsabilité de représenter notre pays. Je crois que nous représentons les multiples facettes, les beaux côtés de notre pays. Nous devons aussi faire face au défi du BDS et à toutes les organisations qui boycottent l’art israélien ; notre mission principale est d’ouvrir un dialogue avec les personnes qui ne veulent pas nous écouter, qui nous boycottent et 6

veulent faire annuler nos concerts. En réalité, c’est cela l’essence même de la paix car tu fais la paix non pas avec ceux qui t’aiment mais avec tes ennemis, les extrémistes qui te détestent. Notre challenge est aussi de réussir à voir les personnes au-delà de nos frontières comme nos voisins avant tout. Et j’espère que, par l’art, notre mission aidera aussi à construire un pont entre toutes ces nations. Comment vous est venue l’idée de mélanger tous ces différents sons, instruments, langues, musiciens et chanteurs à travers le « Idan Raichel Project » ? Je pense que c’est la chose la plus naturelle que j’ai eu à faire. Israël est une nation multiculturelle. C’est comme à Paris dans les années 80-90, il y a eu une révolution de chanteurs maliens, sénégalais... Paris a toujours représenté un mélange de musique classique, opéra, jazz, de musique africaine et musique du monde...

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Vous-même, vous avez plusieurs origines, n’est-ce pas ? Oui, je suis d’origine russe, polonaise et allemande. Et je vis dans un quartier où nous avons des amis originaires d’un peu partout. Votre ouverture d’esprit aux différentes cultures provient-elle aussi de l’éducation que vous avez reçue de vos parents ? Je pense que ma mentalité vient tout simplement du fait d’être israélien. Nous avons l’habitude de cette mixité ici mais parfois, on a juste besoin qu’on nous rappelle que nous sommes issus de toutes ces cultures ! Et ce sera aussi notre challenge lorsque nos frontières seront ouvertes et que nous visiterons nos amis de Damas, de Jordanie, de Ramallah, d’Alexandrie et de partout ! Vous êtes aussi à l’origine du « Idan Raichel Live Festival ». Expliquez-nous ce concept. Le « Live festival » est un projet commun sur lequel on travaille depuis dix-huit mois dans le but


de créer toute une expérience culinaire avec le public qui vient nous rejoindre. Il y a toujours une soirée d’ouverture avec un chef cuisinier israélien, mais aussi des galeries d’art, des DJ, des concerts avec des groupes supers cools et bien entendu, nous jouons aussi… c’est vraiment une expérience très excitante ! Pouvez-vous nous parler du jour où vous avez joué de l’accordéon pour la première fois ? J’ai joué de l’accordéon quand j’avais neuf ans. C’est un très vieil instrument… A cette époque, on disait que cet instrument n’était pas très cool mais j’y ai pris goût... J’ai beaucoup joué du tango argentin chez des amis et bien entendu dans tous les clubs d’Israël ! Aujourd’hui, je suis très honoré de jouer de cet instrument magique ! Idan, qu’avez-vous fait de vos

dreadlocks ? Oh, j’ai tout rasé ! J’avais besoin de le faire, tout d’abord parce qu’elles tombaient et aussi parce que ma femme m’a demandé de le faire ! Ahaha ! Ça, c’est une bonne raison ! Vous avez joué à Paris en mars 2017. Envisagez-vous d’autres concerts en France ? Bien sûr, il est prévu deux concerts les 6 et 7 mars au New Morning. Je suis très heureux de revenir jouer dans cette salle qui est notre endroit préféré à Paris. L’Europe est pour moi comme une seconde maison et j’éprouve toujours un sentiment très spécial à être là-bas. Aussi, je tiens à dire que nous sommes ouverts à toute autre invitation que nous pourrions recevoir ! Nous aimons la France !

C’est tout ? Oui, c’est tout [rires] ! Merci beaucoup Idan pour cet entretien. Nous sommes très impatients de venir vous voir du 30 janvier au 2 février au Heichal Menora de Tel-Aviv ! Merci à vous ! Et… A bientôt la France ! Infos et réservations sur : https://www.zappa-club.co.il/ zappatag/idan-raichel-project

Que savez-vous dire en français ? Euh… « Oui » !

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Homei – la première plateforme de prêts sociaux en Israël, épaulée par une hypothèque et des sûretés immobilières, qui assure aux investisseurs l’entière sécurité, dès le premier shekel ! Homei – la génération montante des prêts sociaux Homei a été fondée pour vous, investisseurs intéressés par l’obtention d’un taux d’intérêt attractif pour leur argent, ainsi que pour les particuliers et détenteurs d’affaires, qui ont besoin d’un prêt rapide à des conditions équitables et plus pratiques que les prêts mis à leur disposition par les banques, les sociétés de crédit et les organismes de financement non bancaires. Homei, qui fonctionne sur le modèle «Peer to Peer Lending» (prêts entre particuliers), qui atteint actuellement une croissance rapide dans le monde entier, ne s’est pas contentée de reproduire le succès, mais a propulsé ce modèle d’un pas de géant en avant : les investisseurs, par le biais de Homei, profitent, pour la première fois en Israël, d’une plateforme de prêts sociaux à vocation d’hypothèques, où chaque prêt est attribué sous le régime de l’hypothèque et accompagné de sûretés immobilières dès le premier shekel : il 8

évite les risques caractéristiques des investissements sur le marché des capitaux, ou dans la branche de l’immobilier.

Homei – investir à tête reposée Investissement contre sûretés immobilières Comparée aux prêts sociaux connus, l’hypothèque sociale de Homei est un investissement soutenu par des garanties, où chaque emprunteur dépose une sûreté sous la forme d’un bien immobilier se trouvant en sa possession, comme protection contre le défaut de remboursement. Signature et examen des demandes de prêts Tout emprunteur privé ou détenteur d’une affaire qui s’adresse à Homei en vue d’obtenir un prêt, est examiné avec soin par la commission de crédit et obtient un degré de crédit sur la base de ses antécédents financiers et de la situation de ses comptes. Seuls les emprunteurs propriétaires d’un bien immobilier,

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auront droit à un prêt en échange du nantissement et de l’assujettissement de leur bien en hypothèque de premier niveau ou de second niveau. Fiduciaire des biens hypothéqués Les biens hypothéqués servant de garantie aux investisseurs financiers, sont inscrits au cadastre et auprès des autorités diverses par un avocat « fiduciaire de la garantie ». Vous pourrez de la sorte être certains que tous les biens immobiliers hypothéqués, serviront de réseau de sécurité pour les prêts non remboursés. Fonds de sûreté La garantie que Homei exige de l’emprunteur, est supérieure au montant du prêt. En outre, Homei perçoit de chaque emprunteur 0.5% du montant du prêt, cette somme étant transférée sur un fonds de sûreté qui fournit une protection supplémentaire aux fonds des investisseurs en cas de retards des échéances du remboursement du prêt.


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Répartition mesurée des risques

Consultation professionnelle et supervision

La totalité de l’argent des investisseurs est répartie entre un nombre important d’emprunteurs (minimum garanti: 4 emprunteurs), de manière à garantir la minimisation de l’exposition aux risques.

L’officier de conformité de Homei est la société Asdara, Suivi et Consultation financiers SA, sous la direction et l’égide de Monsieur Yoav Tsabar, anciennement directeur de la branche de la supervision et de l’application pour les prestataires de prêts non bancaires, auprès de l’autorité du marché des capitaux, et de l’autorité fiscale.

Accord de l’autorité du marché des capitaux – ministère des Finances La société Homei détient un permis de l’autorité du marché des capitaux, l’autorisant à mener des activités dans le domaine des prêts sociaux, son action étant supervisée par le préposé au marché des capitaux et au ministère des Finances. En effet, exactement comme pour les banques!

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Validation [Héter Yska]

d’affaire

Homei dispose d’une validation d’affaire de premier plan avec l’approbation des plus grands rabbins, signée au tribunal rabbinique des affaires d’intérêt « Berit

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Pin’has », et entérinée par ce dernier avec le cachet du tribunal. La riche expérience de la direction La direction de Homei possède une riche expérience à son actif dans le domaine de la levée de prêts et d’hypothèques. Le signataire de la société, monsieur Acher Lougassi, est spécialiste des hypothèques et du prêt bancaire. Il a travaillé dans le passé en tant que directeur du département de la souscription à la banque Discount. En outre, Homei est suivie par le cabinet d’experts comptables et de supervision des comptes Léon, Orliski et Compagnie et par un cabinet d’avocat de pointe en Israël.


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La

fiscalité en Israël

ou comment se portent les dessous de vos sous. PAR

« Il y a tellement de choses plus importantes dans la vie que l’argent, mais il faut tellement d’argent pour les acquérir. » disait Groucho Marx. Cet aphorisme révèle à quel point l’argent, cette monnaie d’échange et de transaction, que l’on dépense ou que l’on « basdelaine », est important dans toute société. Il justifie parfois que l’on se parjure, que l’on se corrompe, mais il peut être aussi le support d’une solidarité nécessaire. Thésaurisation, fructification, consommation ou Tsedaka, nous sommes sommés de choisir.

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YAACOV BEN DENOUN

E

n Israël, depuis 2015, année où Israël a accepté l’échange d’informations des données financières avec les pays de l’OCDE, l’origine des fonds et ressources est soumise à des vérifications précises, le but étant de lutter contre l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent, la corruption et les fraudes. Pour ces raisons, des mesures ont été décidées, qui entreront bientôt en application (il ne s’agit que d’un résumé. Pour tout autre renseignement complémentaire, vous devrez consulter un expert-comptable ou un fiscaliste).

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- L’acquisition d’une habitation : A compter du 1er janvier 2019, ceux qui désireront acquérir un logement, devront déclarer auprès de l’administration fiscale, la source de leur apport personnel permettant de financer l’acquisition : en espèces, par carte bancaire, par virement d’un compte étranger, par crédit…, et devront fournir tous les justificatifs utiles. • Il est en outre établi que le règlement en espèce ne peut excéder les 10% de la transaction immobilière, et il sera plafonné à 11.000₪. • Les résidents étrangers


étaient déjà soumis à ces déclarations qui désormais seront étendues à l’ensemble des contribuables israéliens, et concerneront aussi les primo-accédants et les propriétaires de plusieurs biens. Cette déclaration pourra être faite en ligne dans les 6 mois qui seront comptés à partir du jour de la signature. Des amendes seront prévues en cas de non-paiement, et dans ce cas, l’administration ne fournira pas de bordereau d’inscription au cadastre, indispensable pour l’obtention d’un titre de propriété authentique.

- En cas de travaux : De même en cas de travaux engagés, obligation sera faite de fournir les justificatifs attestant les dépenses engagées, et l’origine des fonds utilisés. Les paiements en espèces restent possibles, sans déclaration, à hauteur de 11.000₪ maximum. - La régularisation : Les services fiscaux proposent aux contribuables de régulariser leurs situations, et de déclarer tous leurs revenus dissimulés, en utilisant plusieurs procédures : • Gilouï Mératson, ‫גילוי מרצון‬ ou Masloul raguil, ‫מסלול‬ ‫רגיל‬, l’aveu spontané normatif. Le contribuable s’engage à déclarer tous ses revenus, la totalité de ses biens et possessions. Cette démarche permet de remettre tous les compteurs à zéro, en fournissant une régularisation fiscale définitive, et en octroyant l’immunité en cas de non-déclaration frauduleuse. • Masloul Anonimi, ‫מסלול‬ ‫אנונימי‬ la régularisation anonyme, par le biais d’un intermédiaire, en général un spécialiste de la fiscalité, qui va représenter le contribuable dont le nom ne sera

pas dévoilé. Il s’agit de la formule la plus populaire, puisque 60% des contribuables l’ont choisie. Le Masloul Mekoutsar, ‫ מסלול מקוצר‬permet de raccourcir les procédures, et de réduire les effets dévastateurs de la bureaucratie à l’israélienne, ensemble kafkaïen, capable de broyer celui qui ne peut l’affronter frontalement. Il est réservé aux contribuables dont les patrimoines ne dépassent pas les 2 millions de shekels, et dont la totalité des revenus imposables, n’excède pas 500.000₪. La formule anonyme expire le 31 décembre 2018, les autres le 31 décembre 2019.

- Les modalités de vérification : L’administration fiscale n’est pas avare en termes de contrôles, de poursuites, d’enquêtes, de recoupements, afin de faire la preuve des manquements à la justice fiscale. Inquisitrice, araignée étendant sa toile, elle utilise tout l’arsenal juridique et technologique pour parvenir à ses fins : • Le formulaire 5329 est un lanceur d’alerte qui permet aux contribuables de savoir qu’ils sont dans le viseur de l’administration, qui pour-

ra ainsi contrôler certaines données financières avant de diligenter une enquête approfondie. Vérification des biens immobiliers au cadastre Vérification du nombre de voyages effectués, de leur fréquence, de leur proximité avec certaines transactions ou dépôts. Vérification du niveau de vie : voitures de luxe, bijoux, vêtements… Vérification à partir de dénonciations (nous devrions être vaccinés contre ces pratiques, mais en Israël la dénonciation est favorisée et rémunérée) • Les publications dans les réseaux sociaux, les photographies, certaines déclarations, peuvent être utilisées par l’administration fiscale en recherche de trains de vie dissimulés. En définitive, il est demandé au contribuable de faire profil bas, de souscrire à toutes les demandes fiscales, et d’être scrupuleux au-delà du raisonnable, sous peine d’encourir les foudres budgétaires, de ployer sous le poids des amendes punitives, de succomber à des charges exponentielles. En un mot comme en cent, pour vivre heureux restons fauchés !

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Découverte du mois

Mali

ou l’hébreu à portée de main De l’énergie en vrac, de la bonne humeur en pagaille, un rire espiègle, et une sacrée personnalité qui ose et entreprend. Une double passion : les langues et l’enseignement. En quelques mots, voici Mali.

Q

uatre lettres en français, trois en hébreu, pour un prénom qui a décidé de se faire connaître en créant des cours d’hébreu atypiques. Elle accueille chez elle des élèves, pas plus de quatre, qui auront tous leur chambre, et qui vivront avec elle deux semaines intenses faites de cours tous les matins, de chants, de cuisine, et de voyages l’après-midi et certains jours de la semaine. Le tout bien en entendu en hébreu. Mali, qui est une pédagogue hors pair, et pour qui enseigner est une véritable joie, offre à ses étudiants qui deviennent vite des amis, trois niveaux d’enseignement : débutant, intermédiaire, et avancé afin que les groupes

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soient homogènes. Plus de problème avec le hifil, le hitpael, ou autre poual qui vous révèleront tous leurs secrets. Vous jonglerez avec les shorashim tout en vous amusant. Mali a une idée par minute. Au moins. Comme elle le dit elle-même : « mes idées me viennent de l’intérieur. C’est comme un souffle qui monte et qui me pousse. » Elle veut que ses cours soient profitables et agréables, et elle a cette faculté de mettre chaque instant à profit pour ses élèves. Lors du voyage qu’elle prévoit à Haïfa, par exemple, elle envisage de donner cours dans le train pendant le trajet. Chaque second est précieuse. La cuisine, elle adore ça, et elle en fera un autre moment d’apprentissage. Elle prévoit aussi des cours sur le Tanach car David est lié à la région où elle habite. C’est ici que, avant de devenir roi, il est venu se réfugier pour fuir Saül qui n’avait pas d’intention aimable à son égard. Le village où elle vit porte le nom du frère de David, Shim’a. Donc aucune raison de se priver de plonger dans ce texte fondateur et universel. Mali a mis en ligne son projet sur le site Trouver

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en Israël, l’annuaire des francophones en Israël. Tout y est. Cette expérience est innovante car l’étudiant est dans un bain linguistique constant, mais dans un groupe restreint qui respecte son niveau. Il est ainsi en contact permanent avec l’enseignante qui répond à toutes les questions que l’on peut se poser quand on se lance dans une telle aventure que celle de l’apprentissage de l’hébreu ou que l’on décide d’approfondir ses propres connaissances. L’enseignement est aussi fait de patience. C’est ce que disent ceux et celles qui ont déjà étudié avec Mali dans un programme antérieur. Aucune question que l’on ne puisse lui poser autant de fois qu’on le veut. Il y aura toujours une réponse. Et il y a aussi quelque chose de généreux à ouvrir sa maison pour partager, car il s’agit bien de cela, tout ce que l’hébreu et Israël ont de richesses. Mais il y a une autre richesse, celle de rencontrer d’autres personnes qui viennent d’horizons divers avec un point commun, l’amour de l’hébreu. Et pourquoi ne pas venir en famille ou avec des amis ? Tout est ouvert. Il y aurait encore beaucoup à dire sur cette personnalité bouillonnante et inventive, mais cela vous le découvrirez vous-même.


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MOMO

CHALLENGE nouveau jeu dangereux ados le

des

PAR

Jeux de défi : Comme les jeux du foulard ou de la tomate, le Momo Challenge menace aujourd’hui nos enfants israeliens. Qui se cache derrière cette nouvelle forme d’harcèlement, comment réagir sans être dans la psychose ? Qui est derrière ce phénomène ?

Le personnage de Momo avec un visage d’une femme aux traits cadavériques, livides, a été inventé par l’artiste japonais Midori Hayashi. Momo, c’est une créature absolument hideuse qui s’inspire d’une sculpture réalisée par cet artiste. Et pour rentrer en contact avec elle, il suffit d’ajou16

OLIVIA ABECASSIS LAFRY

ter son numéro sur WhatsApp et d’attendre qu’elle vienne vous parler. Le Momo Challenge est-il si réel que ça ? Y aurait-il donc un initiateur malfaisant, caché derrière son écran, qui appâte ainsi des ados du monde entier ? Quel est le principe de ce challenge ? « Salut, je suis Momo ». Voilà le premier message que l’on est censé recevoir pour entrer dans ce « challenge » du moment. Ce monstre sans paupières vous donne plusieurs informa-

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tions qui vous concerne (âge, date de naissance, adresse, numéro de téléphone, nom et prénom bien souvent) Il n’est pas difficile aujourd’hui d’obtenir ces renseignements. Momo vous demande ensuite de ne jamais répondre deux


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fois de la même façon à une question et d’exécuter l’ensemble de ses « caprices ». Le principe consiste donc à se mettre en danger, à découvrir ses limites ou encore s’intégrer ou se différencier. Le Momo Challenge est donc une forme de cyberharcelement qui se propage à travers les médias sociaux et le téléphone cellulaire. Au départ, Momo se présente comme un ami, ce sont des jeux « marrants et ludiques », et au fur et à mesure, le défi devient violent et dangereux. Et si l’enfant n’accepte pas de rentrer dans le jeu, il est menacé. Bien que l’on ne sache pas exactement ce que recherchent ces personnes tres mal intentionnées, il est probable que ce soit des hackers, répartis un peu partout dans le monde. Ce pseudo jeu qui serait calqué sur le scénario de la série « Black Mirror » aurait fait plusieurs victimes à travers le monde. Ce qui est certain, c’est qu’ils prennent du plaisir à voir les enfants réagir, comme le souligne Stella, psychothérapeute enfants et adultes à Netanya. Ce jeu est devenu connu en juillet dernier après le suicide d’un enfant de 12 ans en Argentine. Il pourrait y avoir eu aussi des victimes en Colombie mais sans certitude. Le «jeu» pris au sérieux, les autorités ont pris les choses en main et ont lancé une campagne de prévention. Au Mexique, l’Etat de Tabasco a déjà lancé un tweet pour alerter sur le phénomène. Au Canada, c’est la ministre de la Santé qui a alerté sur les dangers et en France, Gabriel Attal, le nouveau secrétaire d’Etat à l’Education, a prévenu à la ren18

trée des risques liés au défi. Un mois plus tard, un adolescent de 14 ans est retrouvé pendu dans sa chambre. Sur son smartphone, les enquêteurs ont confirmé une abondance de renseignements en référence à Momo. Momo en Israël En Israël, le jeu est arrivé cet été sur les réseaux sociaux. Et le drame est arrivé. Un garçon de 12 ans est décédé, en cherchant à sauter d’un bâtiment à un autre. C’était le défi donné par Momo via des messages et whatsapp. Il semble que 90% des enfants vivant en Israël, connaissent le phénomène. Il est difficile de mesurer les conséquences, mais selon notre thérapeute, les comportements changent, le risque d’angoisse est présent. Stella reçoit de nombreux parents qui ressentent une vraie animosité dans les écoles israeliennes. De nombreux enfants sont influençables, et ont un vrai mal être. La difficulté pour les parents consiste à en repérer les signes, d’autant plus qu’ils sont souvent les dernières personnes avec lesquels les enfants souhaitent en parler. Dans de plus en plus écoles israeliennes, des vidéos circulent comme message de prévention. De nombreux établissements tentent d’avertir les enfants du danger de ce phénomène. Conseils de notre thérapeute 1. Installer une vraie complicité entre le parent (ou un adulte) et l’enfant 2. Ne pas hésiter à aller vers lui avant que ce ne soit trop tard

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3. Vérifier le téléphone de vos enfants régulièrement 4. Ne pas interdire internet mais installer un contrôle parental Le Momo Challenge sévit dans le monde entier. Et comme à chaque défi violent et dangereux que nous avons connu dans le passé, et qui perdure toujours, soyons vigilants. On ne le dira jamais assez, prudence. Stella est psychothérapeute et sophrologue pour enfants et adultes à Netanya. Elle consulte en cabinet et à distance pour aider les personnes qui ont besoin d’un soutien psychologique. Manque de confiance en soi, phobies, angoisses, stress, gestion des émotions, conflits familiaux, traumatismes liés à l’enfance, chocs émotionnels...elle propose également des services de coaching parental pour les mamans de bébés et enfants qui ont des troubles du sommeil (thérapie du sommeil) ainsi que les enfants qui ont des troubles du comportement de l’alimentation. Stella elle est également auteur et conteuse d’histoires thérapeutiques du soir pour les enfants à partir de 3 ans. Vous pouvez retrouver son actu sur Facebook www. facebook.com/stellacoachtherapeute


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Hyperactivité de l’enfant Quels signes doivent vous alerter ? PAR

I

l crie tout le temps, n’écoute pas, ses profs téléphonent presque tous les jours parce qu’il a frappé quelqu’un, s’est sauvé de la classe, a été insolent, s’est agité, a jeté des objets… Ses frères et sœurs se plaignent sans arrêt qu’il les embête. Chaque matin, c’est toute une histoire, et avant qu’il ne s’habille, quelle pagaille ! Vous arrivez au boulot en tirant la langue, pour ne pas dire désespérés… et les nuits ? Les pensées vous harcèlent : qu’allons-nous en faire ? En tirera-t-on quelque chose ? Jusqu’à quand la maison sera toute retournée ? Jusqu’à quand toute la famille subira sa mainmise ? Quelle sorte de parents sommesnous pour ne pas parvenir à être autoritaires avec lui ? Puis un nou-

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TSIPORA CHITRIT, ASSISTANTE SOCIALE

veau matin se lève, avec les mêmes défis trop connus.

Si vous vous reconnaissez dans ce qui précède, cet article est pour vous. Je suis heureuse de vous annoncer que vous avez franchi la première étape lorsque vous avez compris et diagnostiqué qu’un problème devait être solutionné. L’étape suivante consiste à diagnostiquer avec précision le problème afin d’y adapter la solution précise qu’il vous faut. Dans les lignes suivantes, il y a un test simple et de base (qui ne remplace pas un diagnostic professionnel).

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Les symptômes de l’hyperactivité-impulsivité sont : 1. Etre souvent assis pas tranquille, agitant souvent les mains ou les pieds. 2. Se lever souvent de sa chaise en classe ou sur son lieu de travail quand on s’attend à ce que la personne reste assise. 3. Sautiller ou grimper fréquemment dans des situations inappropriées (chez les personnes plus mûres, la chose peut se manifester par une sensation d’agitation uniquement). 4. Etre souvent incapable de jouer ou de participer à une activité sereinement (faire beaucoup de bruit). 5. Se comporter souvent comme «propulsé par un moteur». 6. Parler souvent sans s’arrêter. 7. Répondre fréquemment avant la fin de la question. 8. Eprouver fréquemment des difficultés à attendre son tour. 9. Couper souvent la parole ou perturber les gens (par exemple, en s’immisçant brutalement dans une discussion ou un jeu).


En outre, les conditions suivantes doivent être réunies : Une partie des symptômes de l’hyperactivité-impulsivité sont apparus avant l’âge de douze ans. Les symptômes apparaissent en partie dans deux cadres au moins (comme la maison, l’école, avec les amis ou les proches / à la maison). Un témoignage net établit que les symptômes perturbent ou portent atteinte au bon fonctionnement de la société, à l’école ou à la maison. Les symptômes ne sont pas explicables par un autre trouble mental (comme troubles de l’état d’humeur, angoisses, troubles personnels). C’est tout à fait mon enfant ! Que faut-il faire ? Des troubles de l’attention et de la concentration, ainsi que l’hyperactivité des enfants entraînent des difficultés importantes pour des activités comme la lecture et l’écoute. S’abstenir de traitement peut entraîner de graves difficultés des fonctions, ce qui peut provoquer à la longue des troubles du développement, voire l’apparition de troubles psychiatriques, comme la dépression, par exemple, et d’autres troubles à l’âge adulte.

En outre, les troubles de la concentration et l’hyperactivité augmentent les risques de situations de danger vital : dépendances diverses et accidents en tous genres. Ça vous effraie ? Ce n’était pas mon objectif ! Marquez une pause et respirez profondément avant de lire la suite. Je m’apprête à vous révéler quelque chose que vous devez bien vous mettre dans la tête. Il y a une autre possibilité, je vous le promets et m’en porte garante. Tout d’abord, sachez que vous n’êtes pas seuls. Je connais beaucoup, et peutêtre même trop, de parents dont les enfants répondent aux critères précités, que j’ai suivis pendant les années de l’exer-

cice de mes fonctions. Plus encore, je suis personnellement la mère d’un enfant exigeant beaucoup d’attention. Mais je laisserai cette histoire pour la prochaine fois… suivez-moi et je vous raconterai comment j’ai relevé le défi avec mon fils, comment je l’ai fait passer d’une situation très problématique sur le plan des fonctions et de l’autorité exercée sur lui, à un état de sérénité, de calme et de silence. Et pas

nécessairement à l’aide de médicaments.

Je vous invite à utiliser le test ci-dessus et de comprendre un peu mieux de quoi souffre votre enfant. Vous êtes invités à me faire parvenir vos questions par courriel, vos observations et tout ce que vous jugerez utile. Je m’efforcerai de vous répondre à l’aide de mon expérience personnelle et professionnelle. Je vous souhaite une grande réussite et de ne pas oublier de respirer profondément ! Tsipora Chitrit – francophone Assistante sociale pour le suivi des parents aux enfants difficiles 0543097400 tzipish83@gmail.com

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SPY

U

Le N°1 DES LOGICIELS DE SURVEILLANCE

ne minute. Voilà le temps qu’il aura fallu pour installer un logiciel espion dans cet iPhone. Il ne reste aucune trace visible. Et désormais, ce téléphone sera sous surveillance permanente. SMS reçus et envoyés, communications vocales, géolocalisation… Il sera possible de tout connaître à distance et en direct. Pourquoi utiliser nos solutions de Surveillance ? Nous avons toujours été passionnés par la sécurité informatique. Nous avons nous aussi eu recours à des logiciels espions et des services de localisation mobile. Il était pour nous normal de vous partager nos connaissances ainsi que notre savoir dans le monde de l’espionnage informatique. Nous allons tenter comme nous l’avons déjà dit, de vous donner toutes les solutions ainsi que les méthodes pour que vous puissiez très facilement espionner la per-

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Logiciel espion invisible pour les téléphones portables

sonne que vous souhaitez. Restez invisible Le mode invisible du logiciel espion lui permet de rester absolument invisible pour l’utilisateur, même si vos enfants sont au courant du fonctionnement de leur portable. Le Logiciel reçoit l’information précise et surveille les SMS tout en restant parfaitement invisible par l’utilisateur du téléphone sur Android. Textos (SMS) et appels Le Logiciel espion permet d’enregistrer tout appel entrant et sortant. Grâce au logiciel, vous pourrez espionner tous les SMS et MMS sortants et entrants. En outre, vous pourrez espionner toutes les images jointes dans les MMS et les visionner depuis votre compte. Surveillance de Facebook, WhatsApp et Viber Le Logiciel espion c’est votre chance de lire tous les mes-

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sages envoyés par WhatsApp et d’espionner le compte Facebook. Vous pourriez surveiller et télécharger tous les fichiers (photo, vidéo et audio) dont on s’est échangé dans les conversations sur Facebook. Surveillance géolocalisée Le Logiciel Espion vous permettra géolocaliser l’utilisateur et de visualiser sa position depuis votre compte. SPY utilise les signaux Wi-Fi, les antennes de communication cellulaire et les coordonnées GPS afin géolocaliser le portable contrôlé. Nos logiciels de surveillance s’adaptent à tous vos appareils. Quelques soient vos besoins de surveillance, nos produits, leaders sur le marchés, apportent une solution immédiate à vos problèmes.

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La dépendance Les avatars juifs des réseaux sociaux

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PAR

acebook est une ruche, une usine, un entrepôt qui fonctionne selon des règles erratiques, fluctuantes, une entreprise qui s’autorégule et fixe ses objectifs. Les utilisateurs-consommateurs ont des « profils » très différents, des intentions souvent indéfinies, et des fréquences d’apparition qui leur sont propres. Facebook est une auberge espagnole et on ne peut y trouver que ce que chacun apporte. L’être humain, souvent fort peu disert est d’emblée un taiseux. Il dissimule ses sentiments, parle peu, et ne se libère de sa parole contenue que lors de rendez-vous fixés à l’avance, et tarifés lourdement, auprès de spécialistes des noirceurs de l’âme, des secrets et des nœuds tissés durant l’enfance. En un mot, il se confie peu. Le regard de l’autre, même s’il est bienveillant, est dérangeant. Il ne permet pas au verbe de s’échapper de son enclos, comme le ferait un parfum vaporeux d’une fiole esthétique. Dès lors se constituent dans le cœur de chacun de nos proches, de petites poches de drame, de mini traumatismes, relayés par des pensées acides, des comportements indélicats et des silences confus. Adepte de Freud, Jung, Ferenczi,

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YAACOV BEN DENOUN

Lacan et consorts, Mark Zuckerberg est venu prêcher la bonne parole. Cet éternel étudiant qui ignore (comme Steve Jobs) les codes de la bienséance financière et se promène à longueur d’année en T-shirt, Jean et baskets, comme tout teenager du XXIème siècle, est venu en sauveur, en messie. Mais si ! Il est apparu comme le Coco Channel de la communication, le Le Corbusier de la toile, un concepteur capable de désentraver les postures, de libérer les hommes et les femmes de leurs carcans, de proposer un support incontournable devenu Dazibao, l’organe officiel de la dissidence, de la liberté d’expression et du partage des idées. Il a permis aux juifs de faire réparation (tikoun) de leurs pulsions, leurs envies, leurs désirs de polémique, de devenir des chevaliers blancs, des rois David en puissance, des prophètes aux petits pieds, en bref de de prendre part aux seules nécessités de l’être hébreu biblique: argumenter, convaincre, séduire. Qui pourrait résister à cet appel du large, à cette mise en espace de notre monde, de ses travers, de ses beautés ? Qui pourrait rester à l’écart de cette page libre, sans « encre à l’amer », sans stylo, sans

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consommables, avec pour tout impératif celui de rester libre, disponible, amical ou rageur ? Facebook a suscité des vocations, initié des itinéraires, en mettant le pilpoul au goût du jour, en faisant entrer la boutargue dans le patrimoine universel de l’UNESCO. Les « peintres du dimanche », laborieux et fiers, qui auparavant auraient réservé leurs œuvres à leurs amis, leur parentèle, leur réseau citadin d’urbanités polies, peuvent à leur tour exposer, sans gêne, sans préventions, gratifiant leurs nouveaux « amis » de leur art balbutiant, de tableaux imparfaits, d’esquisses débordantes de couleurs, de vitalité, d’inconsistance parfois. Mais ces derniers sont proposés d’un cœur léger aux avis laudateurs, élogieux à l’excès, rédigés par des esthètes dont la dernière acquisition est la reproduction d’un tableau de Chagall, de Kandinsky ou de Garouste pour les plus érudits, ou à défaut un paysage reposant et non agressif, voire le Kotel sous la neige. Les plumes sont sorties de leurs étuis, et voici que soudain, des écrivains en herbe, qui jusqu’alors n’utilisaient leur savoir-faire que pour la rédaction de la liste des courses, ou pour adresser quelques mots de


remerciements adossés à une carte de remerciement à leur nom, se sont transmutés, par la magie de l’alchimie Zuckerberg en journalistes, poètes, et auteurs véritables. Tous les égos ne sont pas égaux et toutes les contributions ne passeront pas à la postérité, et ceux qui peu de temps avant plaçaient un marque-page au sein des livres qu’ils lisaient, et mouillaient le bout de leurs index pour tourner les folios, ont pris en otage cet espace de liberté pour y creuser le lit d’une culture attiédie aux contours indistincts. Les Zola, les Jaurès, les Hugo, les Gershon Sholem, les Shmuel Agnon et autres Amoz oz de la prose commune, ont envahi les vastitudes de cette page web, exerçant à l’envi leur droit de se plaindre, d’évoquer, de palabrer, de critiquer, d’encenser, de pourfendre, et de trouver un champ libre disposé à accueillir leurs indispensables critiques, les bonnes comme les mauvaises. Ne boudons cependant pas notre plaisir. Nous pouvons lire de jolis « posts », savamment rédigés, argumentés. Ne soyons pas obséquieux à l’extrême et faisons mine de ne pas voir s’incruster les fautes d’orthographe, de syntaxe, de concordance des temps, souvent même sous la signature de professionnels de la chose, mais nous devons raison garder. Il est vrai que celui qui a très soif et veut se désaltérer, n’est pas très regardant et oublie quelques peu de policer sa conduite en renversant sur son col des torrents de breuvage. Faisons usage de notre bon œil, celui qui nous grandit et nous permet d’avaliser toutes les déviances littéraires, toutes les

énormités grammaticales et les raisonnements inconséquents. Les internautes n’avancent pas masqués. Ils affichent leurs idées, leurs idéaux, les hautes idées qu’ils ont de leurs idéaux, leurs opinions, leurs vues, et s’habillent de leurs drapeaux, se parent de leurs plus beaux atours philosophiques et se drapent dans des conventions convenables ou de soyeuses idéologies. Cet art discursif fait la belle part aux polémiques, aux grondements épouvantés, aux pruderies de bon aloi, et les affrontements, à fleuret moucheté, n’ont pas d’emprise en définitive. Tout est virtuel. « Même pas mal ! » Certains prosateurs sont prolixes, d’autres économisent leur temps, leurs compétences, leurs désirs, et ne communiquent que par multi syllabes, par expressions et invites. Les uns viennent en coup de vent, et écrivent sur le pouce quelques mots de plomb, ou des vœux. D’autres ont déplié leur chaise et se sont installés. Ils sont là pour durer, pour répondre sans discontinuer, pérorer en toute indiscrétion sur les murs de machin ou de machine, s’invitant à la table préparée devant eux. D’autres encore vont et viennent. On les sent occupés, actifs, fébriles, de petites mains ouvrières, des gagneuses. Entre deux sessions, entre deux appels téléphoniques, ils interviennent, s’interposent, puis repartent. Ce sont des intermittents de la toile, des vacataires qui n’occupent aucune fonction précise. Brisons là nos emportements, la page Facebook est foisonnante, luxuriante, et est incrémentée en permanence. Ne vous avisez surtout pas de prendre votre respiration, d’aller aux toilettes, de croquer un bis-

cuit, il vous faudrait de longues minutes pour recoller au peloton. Cette souffrance est réelle. Il suffirait de peu de choses, d’une courte absence, d’un endormissement coupable, pour que le destin en marche échappe à notre vigilance. Comment rester contemporain d’une information encore informelle qui commence à prendre forme ? Comment passer à côté de l’histoire avec un grand H ? Cela impose de la concentration, de la permanence, et il n’est pas question de relâchement. Alors la rigueur s’impose, l’attention aussi. J’aime un article, je « like ». Je veux donner mon sentiment, je « commente ». Je veux diffuser l’information, « je partage ». Et je n’hésite pas à insérer mes photos, mes vidéos. Je crée des groupes, m’inscris à des pages; je pratique la litote ou l’ellipse, suis adepte du consensus ou de la surenchère, j’affirme mon existence, je m’inscris dans le temps. Tels sont les passe-temps des habitants du web, de Facebook, en dehors de toute limite et de toute appréhension. Cette sociologie induite n’est pas sans conséquences, et nous enjoint de poser les questions qui s’imposent à tous : pourquoi avonsnous autant de mal à établir des liens entre nous, de simples liens de parole, de connivence ? De quoi avons-nous peur, de nous, des autres, des regards croisés ? Pourquoi nous tenons-nous à distance les uns des autres ? Je vous invite à intervenir sur votre page perso, et à ne pas me citer. Malgré mes remarques et ma liberté de ton, malgré mes effets de manche et mes moqueries, je ne publierai jamais cet avis sur Facebook, j’aurais trop peur de me faires étriller (lol) !

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Les secrets de la « réparation » de Tou Bichevat Une réflexion sur la signification profonde du Nouvel An des arbres

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PAR LE

ous allons célébrer dans quelques jours la fête de Tou Bichevat que l’on appelle aussi le « Roch Hachana laIlanot » - le Nouvel An des arbres. De quoi s’agit-il ? À l’origine dans la Michna, la question était posée de savoir à partir de quelle date du calendrier hébraïque les arbres puisent leur sève pour engendrer les fruits de l’année suivante. En effet, comme la Torah nous demande de prélever le « maasser » (dixième) sur les récoltes « chana, chana » (année par année), nous devions donc savoir à quelle date nous changeons d’année au plan agricole et viticole. En fait, nos Sages ont fait le choix du critère de cette sève qui monte du sol pour permettre à l’arbre – et donc aux fruits – de se développer. Deux réponses ont été données sur la date-clé marquant le début de ce phénomène de la « nouvelle sève » : Bet Chamaï a opté pour le 1er Chevat, et Bet Hillel pour le 15 Chevat. Or, c’est cette dernière date qui a été retenue. Mais au fil des siècles et des années, et en particulier au XVIè siècle à l’époque où résidaient à Safed les plus grands sages d’Israël – comme rabbi Yossef Caro (auteur du Choul’han Aroukh), le Ari Zal, ou bien encore le rav ‘Haïm Vital – cette célébration a pris une nouvelle dimension. À savoir : comme le fruit de l’arbre est mentionné dès le début de la Torah comme ayant provoqué la chute d’Adam Ha-Richone qui a goûté au « fruit interdit », toute la vie de l’être humain va consister en une

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GRAND RABBIN YOSSEF ‘HAÏM SITRUK ZAL

réparation (tikoun) de l’agencement initial du monde tel que Dieu l’avait prévu. Et ce processus fondamental de « restauration » passe, selon les kabbalistes, par la consommation de différents fruits avec leurs bénédictions correspondantes, en prenant évidemment soin de vérifier que chaque fruit est consommable (sans vers, non lié à l’année de la chemita et seulement une fois le maasser prélevé, etc.) Ces importantes précautions étant prises, manger le fruit devient alors une véritable mitsva qui en fait prend deux dimensions : outre celle du tikoun, le Talmud de Jérusalem (Pérek « Assara Yo’hassin ») dit que l’homme devra rendre compte devant l’Éternel de ce qu’il avait le droit de manger, mais ne l’a pas fait… En effet, autant certaines nourritures nous sont interdites, autant il en est d’autres qui ne le sont pas et il nous incombe de les rechercher et de les consommer, afin de pouvoir rendre hommage au Créateur pour la beauté et la diversité de Sa Création. Parmi les plus beaux spectacles de la vie, ne compte-ton pas ainsi celui des plantureux étalages jalonnant les marchés aux fruits et aux légumes fraîchement disposés, si riches

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en couleurs autant que parfumées, et invitant l’homme à les consommer ?! La consommation humaine est bel et bien une manière de servir Hachem, comme le mentionne le Séfer Péri Ets Hadar qui rappelle que le nom de « Élokim » est mentionné 32 fois dans le récit de la Création du monde… tout comme l’homme a 32 ans ! Un chiffre d’ailleurs symbolique en hébreu, car il correspond à la valeur numérique du mot « lev » (cœur), siège de l’intention. En mangeant avec l’intention requise, l’homme fait donc « descendre » le Nom de Dieu dans ce monde : il diffuse de la spiritualité et permet au monde végétal de s’élever comme cela a été voulu par le Créateur www.aish.fr


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CULTURE

JERUSALEM / TEL AVIV / NETANYA / ASHDOD PAR

Jerusalem

Dudu Aharon sera en concert à Jerusalem le 17 Janvier Dudu a sorti son premier album intitulé « First Love » en 2007 écoulé à 60000 exemplaires. Il s’est rapidement imposé comme l’un des principaux chanteurs en Israël avec ses nombreux titres dont « Tagidu La » Retrouvez-le à Jerusalem pour un show exceptionnel ! Information / Réservation : tickets.bimot.co.il/ Trois Nouvelles Expositions à La Maison des Artistes de Jerusalem du 22 Décembre au 9 Mars 2018 L’exposition « Carry that Weight » considère l’image comme quelque chose qui passe de main en main, comme une marchandise ou une monnaie. Permettant de traverser des mondes, des cultures et des périodes… Les œuvres de Nelly Agassi s’identifient à la femme élan28

YAEL SITBON

cée, qu’elle reproduit dans des sculptures à grande échelle ainsi que dans des dessins à petite échelle. Cette exposition tente de faire la lumière, pour la première fois, sur ses œuvres en deux dimensions. La première exposition solo de Dvora Cohen est consacrée à la peinture, à la sculpture et à la © Dvora Cohen vidéo. Ses peintures représentent des décors domestiques : une pièce, des meubles, de la verdure, etc… Information / Réservation : http://www.art.org.il

Toda al kol ma shebarata, Toda al ma sheli natata….. Toda Haim Moshe ! Il a aidé la musique Mizrahi à atteindre une grande popularité en Israël et à l’étranger ! Haim Moshe sera à Jerusalem pour une performance excitante et émouvante qui ré-

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chauffera votre cœur et votre âme le 24 Janvier ! Information / Réservation : tickets.bimot.co.il/

Tel Aviv

© Dudi Hason

Shiri Maimon est auteur-interprète, danseuse et comédienne. Avec une longue liste de succès musicaux, Shiri s’est établie comme une interprète unique qui domine la scène avec des performances étonnantes. Elle sera pour notre plus grand plaisir en concert le 12 Janvier 2019 à Tel Aviv Information / Réservation : zappa-club.co.il Jeremy Piven est comédien et acteur, il a joué dans de nombreuses pièces de théâtre, mais également à la télévision et au cinéma. Il se lance maintenant dans le stand-up et il très drôle ! Il sera le 13 Janvier 2019 à Tel Aviv. Information / Réservation : www.2207.co.il


ciennes et nouvelles chansons de son répertoire. Elle sera accompagnée par ses musiciens. Information / Réservation : www.netanya-culture.co.il Le Grand Prix Judo 2019 arrive à Tel Aviv ! Cette année, Israël accueillera la prestigieuse compétition avec la participation des meilleurs concurrents du 24 au 26 Janvier 2019 Information / Réservation : www.leaan.co.il

© Elad Sarig

Exposition « Hiroshi Sugimoto » avec guide francophone au Musée d’art de Tel Aviv jusqu’au 5 Juin 2019. Sugimoto est l’un des plus importants photographes japonais contemporains. L’exposition présente 34 photographies, fruits de certaines séries majeures de l’artiste: « Theaters », « Dioramas », « Portraits », « Landscapes » et « Architecture.» Information / Réservation : Muriel@tamuseum.com

Netanya

Shalva Berti sera en concert le 17 Janvier à Netanya Shalva chante et raconte sa vie en musique avec des an-

Ashdod

© Ronen Akerman

La Veuve joyeuse à Netanya le 27 Janvier est une opérette autrichienne en trois actes de Franz Lehár. Cette opérette sera composée de chanteurs et danseurs de Budapest, qui seront accompagnés par l’orchestre symphonique de Haïfa et par la soprano internationale Edith Vörös. Information / Réservation : www.netanya-culture.co.il

Rotem Cohen invite son public le 10 Janvier à Ashdod pour une performance qui oscille entre les rythmes latins, la salsa, la bossa et des ballades romantiques… Un moment d’alchimie qui conjugue plaisir, émotions et sonorités d’exception ! Information / Réservation : www.mishkan-ashdod.co.il

Parachutisme en chute libre à Paradive (sur la plage Habonim, à 30 mn au nord Netanya) Paradive est un centre de parachutisme dans l’un des plus beaux sites du monde. Préparez-vous à entendre le bruissement du vent autour de vous pendant votre descente à 193 km à l’heure et pendant près d’une minute. Une fois que le parachute s’ouvre, vous pourrez contempler un paysage extraordinaire et inoubliable de la mer, de la campagne et du littoral. Information / Réservation au 04-639 10 68/9

L’association Adir organise un Grand Concert avec la présence Exceptionnelle de Marc Amouyal : musique latino, Ben Brams : musique israelienne et Jordan Uzan : musique française, le 15 Janvier à 20H30 – Salle Monard à Ashdod. Information / Réservation : Armand 0523016361 ou Mercedes : 0526634754 ou Rachel : 0584567689

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