SÉJOUR D ÉTÉ FAMILIAL À ROSH HANIKRA
DU DIM. 13
AU DIM. 20 AOÛT Séjour en demi-pension Sport et détente
Piscine, hôtel face à la mer, situé dans un parc.
Spa et salle de sport Aquagym
Gym et danse avec Béatrice Nakache
Tornado, tractoron* Animations enfants
Soirées musiques et détente
édito
Par Sarah Ben AbramowiczL’Unité Inébranlable : La Clé de l’Avenir du Peuple Juif en Israël et dans le Monde
Depuis des millénaires, le peuple juif a traversé de nombreuses épreuves et a fait l’expérience de la dislocation à travers le temps. De l’exil de l’ancien Israël à la dispersion dans les différentes régions du monde, les Juifs ont connu des périodes de division et de séparation. Pourtant, l’idée d’unité a toujours été ancrée au cœur de leur identité et de leur survie en tant que peuple. La dislocation historique du peuple juif a créé une diaspora dispersée à travers le monde. Malgré les distances géographiques et les différences culturelles, les Juifs ont conservé un lien spirituel et émotionnel fort avec leur terre ancestrale, Eretz Israël. Cet attachement profond à leur terre a été un facteur essentiel de leur unité malgré la dispersion. Cependant, même au sein de la Terre Sainte, le peuple juif a parfois fait face à des divisions internes. L’histoire d’Israël est parsemée de périodes de conflits et de divergences d’opinions sur divers sujets, y compris les réformes juridiques. Lorsque de telles divisions surviennent, elles ont le potentiel de fragiliser l’unité et de nuire à la cohésion nationale.
La réforme judiciaire actuelle en Israël en est un exemple. Alors que le système juridique cherche à s’adapter et à évoluer pour répondre aux besoins changeants de la société, cela suscite des débats animés au sein de la population. Les divergences d’opinions sur les réformes proposées ont créé des clivages au sein de la société israélienne, menaçant ainsi l’unité du peuple.
L’unité est une valeur fondamentale du peuple juif. Dans la Torah, nous trouvons des enseignements sur l’importance de l’unité et de l’amour entre les membres du peuple. Le verset «Hinei mah tov u’mah nayim, shevet achim gam yachad» (« Voici, oh ! qu’il est bon et qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble ! ») souligne l’importance de l’harmonie et de la solidarité parmi les frères et sœurs d’Israël. Lorsque l’unité est préservée, le peuple juif a pu surmonter des défis historiques majeurs. Cependant, lorsque la discorde prévaut, elle affaiblit la capacité du peuple à faire face aux épreuves et peut entraver le progrès collectif. Les répercussions d’une division interne peuvent être profondes et avoir des conséquences durables sur la société.
La dislocation du peuple juif à travers l’histoire nous rappelle l’importance de préserver notre unité et de trouver des moyens de surmonter les différences pour le bien commun. L’unité ne signifie pas nécessairement l’uniformité des opinions, mais plutôt la reconnaissance et le respect des diverses perspectives qui enrichissent notre nation.
Ensemble, en célébrant notre héritage commun et en embrassant notre diversité, nous pouvons continuer à être une source d’inspiration pour le monde entier. Notre capacité à nous unir malgré les différences est notre plus grande force, et elle nous permettra de surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin. Que ce soit en Israël ou dans la diaspora, soyons conscients de la puissance de l’unité et de l’union pour le peuple juif. En restant solidaires et en travaillant main dans la main, nous construirons un avenir d’espoir, de paix et de prospérité pour les générations à venir.
Ensemble, nous continuerons à écrire l’histoire du peuple juif, un récit de résilience, de courage et d’unité qui brille comme un phare d’espoir dans un monde en quête de valeurs communes et de paix. Que notre unité continue à être notre force, et que notre union soit le socle sur lequel nous bâtirons un avenir plus radieux pour le peuple juif et pour l’humanité tout entière.
E Sarah Ben ºsarah.bensimon3@gmail.comDirectrice de la publication
Sarah Ben
Sarah.bensimon3@gmail.com
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SIVAN RAHAV-MEIR
Sivan Esther Rahav-Meir est une journaliste, reporter, publiciste et présentatrice de télévision et de radio israélienne. Âgée de 42 ans, elle a acquis au fil des années une popularité assez impressionnante. Sivan est née dans une famille laïque à Ramat Hasharon. Dès l’âge de huit ans, elle a commencé à écrire des articles pour des journaux pour enfants, faisant preuve déjà d’une précocité et d’un talent étonnants. Elle a été qualifiée de surdouée. La jeune Sivan a eu l’occasion de développer ses dons en participant à des émissions télévisées. Au cours de l’une d’entre elles, elle a même interviewé le Premier ministre de l’époque, Yitshak Rabin, et le ministre des Affaires étrangères Shimon Pérès. C’est au cours de ses études universitaires que Sivan Rahav a commencé à découvrir les sources de la tradition juive. Devenue très pratiquante, elle a épousé en 2003 le journaliste Yedidia Meir, issu d’une famille juive orthodoxe. Yedidia a 47 ans. Il est un célèbre publiciste, satiriste, animateur de radio israélien et sur la chaine TV 14. En 2017, Sivan Rahav-Meir a été choisie par le magazine Globes comme la personnalité médiatique féminine la plus populaire en Israël, et par le magazine Libéral comme l’une des 50 personnalités les plus influentes en Israël.
Sarah Ben Abramowicz : Vous postez des contenus qui touchent des milliers de personnes chaque jour, vous avez 151 000 abonnés sur Instagram… Comment êtes-vous arrivée à une telle visibilité, à la fois large et variée ?
Sivan Rahav-Meir : Avec l’aide de D.ieu, mon influence sur les réseaux a commencé à cause de ma frustration avec la communication et la télévision. Je proposais des sujets et l’éditeur ne les acceptait pas, alors j’ai découvert que je pouvais être mon propre éditeur, et écrire sur des sujets qui m’intéressent, et j’ai vu que le public était aussi intéressé par cela. Il y a une blague qui dit que les nouvelles à 9 heures commencent par les mots « Bonsoir » et ensuite nous prouvons que ce n’est pas vrai. On dit bonsoir et ensuite tout est mauvais. Je voulais remplir mon fil d’actualité avec du bon contenu et inspirer, et grâce à D.ieu j’ai un quart de million de followers, cela atteint des millions de personnes par mois.
L’influenceuse numéro 1 !© Shaï Franco
S.B.A : Quel est votre objectif principal ?
S.R.M. : Construire et non de détruire ! Nous ressentons beaucoup de destruction autour de nous et mon objectif est la construction. Ma nouvelle force est sur les groupes WhatsApp (d’ailleurs il y a un groupe WhatsApp en français relié par votre Matinale, merci) « Le billet quotidien de Sivan Rahav Meir ». Il y a des groupes WhatsApp qui atteignent tous ceux qui veulent entendre autre chose et arrivent aussi aux Juifs du monde entier.
S.B.A : Vous participez régulièrement à des programmes de télévision, vous écrivez des livres, organisez des conférences... Qu’est-ce que cela signifie d’être l’une des femmes les plus influentes ?
S.R.M. : Tout d’abord, merci beaucoup pour les compliments. En fait, j’essaie d’abord d’être une épouse, une mère et une fille pour mes parents. En fin de compte, c’est la mission principale, mais aussi de savoir sortir de la famille et faire des choses intéressantes à l’extérieur. La grande augmentation de mon activité s’est déroulée ces dernières années. Avant cela, j’étais une journaliste spécialisée en droit, je m’asseyais en studio et je faisais des interviews. Maintenant, les actions sont plus variées : livres, cours de Torah, radio, journaux, conférences en Israël et à l’étranger. C’est un très grand privilège d’agir à un niveau aussi large, de toucher les gens et de raconter des histoires, c’est la chose la plus importante. Ces dernières années, il y a une soif d’en savoir plus sur la Torah et de belles histoires, il y a des gens qui nient l’Holocauste, nient le coronavirus, nient la réalité, nient le bien. Ils ne voient pas la réalité telle qu’elle est.
S.B.A : Durant cette période socialement difficile, quels sont les messages les plus importants que vous souhaitez transmettre ? Si je vous tends un micro sur la scène de l’une des manifestations contre la réforme, que diriez-vous à ce large public ?
S.R.M. : Tout d’abord, je ne parle à aucune manifestation. J’aurais conseillé aux gens d’essayer de vraiment se connaître dans la vie, de se parler face à face, pas à travers un microphone ou dans une manifestation. Justement, à l’occasion de Tisha B’Av, je voudrais rappeler qu’il y a d’autres raisons à la destruction de Jérusalem : nous parlons beaucoup de haine gratuite et c’est réel. Mais Jérusalem a également été détruite parce que les enfants n’ont pas reçu une bonne éducation, parce que nous n’avons pas su gérer nos désaccords internes, et aussi à cause du manque de respect du Chabbat, autant de raisons qui doivent faire appel à nous de nos jours. Par rapport au problème de la haine gratuite, j’ai remarqué qu’on est très fort pour voir la haine des autres mais pas assez la nôtre. Nous devrions nous remettre à nous-mêmes en question à ce sujet-là et moins chercher le problème chez notre prochain.
S.B.A : Vous avez dit une fois que le secret en tant que mère qui travaille est justement de ne pas jongler entre les deux mais de se concentrer sur chaque domaine quand on y est. Alors quel est votre secret pour organiser son temps et gérer autant d’activités à l’extérieur et à l’intérieur en même temps ?
S.R.M. : Mon conseil est d’écouter comment les autres fonctionnent. On doit apprendre de chacun. Personnellement, je suis celle qui pose toujours les questions et ainsi j’apprends de chacun. Par exemple, Rivka Kravitz, qui est une bonne amie, maman de douze enfants et qui a travaillé des années en tant que directrice du bureau du président d’Israël, me conseillait de commencer la journée justement avec une tâche difficile et importante, la tâche que vous préférez souvent repousser. Je ne suis pas experte en ce sujet et je n’arrive pas à tout faire du tout moi-même, mais oui, le mieux est de commencer avec ce qui est important dès le matin. J’aurais aussi à rajouter d’insérer un moment quotidien d’étude de la Torah, ça donne une grande bénédiction à toute la journée. Et surtout, moins utiliser les réseaux sociaux qui nous volent un temps considérable.
« Mon conseil est d’écouter comment les autres fonctionnent. On doit apprendre de chacun »
S.B.A : En tant que femme, mère, croyante, juive… où la division dans le peuple d’Israël vous rencontre-t-elle au quotidien et comment y faites-vous face ?
S.R.M. : Je vous surprendrais en vous disant que personnellement, je ne rencontre pas cette séparation dont on parle dans le peuple, grâce à D.ieu. Au contraire, je parle avec beaucoup de gens différents et je peux vous dire qu’il y a beaucoup d’unité dans la vie de tous les jours, en Israël et à l’étranger. J’ai rencontré dernièrement un groupe de juifs qui sont arrivés de New York en Israël pour la première fois à 40 ou 50 ans, ils m’ont dit qu’ils n’avaient jamais eu un si beau sourire et n’ont jamais été aussi lumineux. Je vois l’amour des uns envers les autres chaque jour.
S.B.A : Vous êtes également très populaire parmi les francophones en Israël et en France, pourquoi cet attachement ?
S.R.M. : Je suis très liée à la communauté francophone. Je ne leur serai jamais assez reconnaissante de m’avoir accueillie chez eux, un merveilleux soir de Seder en France dans une communauté très diverse et pleine de jeunesse vivante et chaleureuse. J’étais alors une jeune fille ashkénaze non religieuse venant avec un groupe de
jeunes d’Israël pour, soi-disant, leur apprendre les bases de Pessah. J’en suis ressortie tellement plus renforcée par leur tolérance et leur bienveillance. C’est d’ailleurs là-bas que j’ai arrêté de manger du Hamets à Pessah, j’ai tout simplement jeté ma boite de biscuits et décidé de ne plus y toucher ! C’est donc à cette communauté que j’ai une telle reconnaissance et un tel attachement en France ou ici.
S.B.A : Comment transformer cet été en une bonne expérience ?
S.R.M. : Si j’ai un seul bon conseil à donner : sans hésiter, mettre de côté notre téléphone et vivre au maximum « en ligne », en live, en face à face avec nos enfants et nos proches. Ce serait un véritable succès pour nous tous !
« Si j’ai un seul bon conseil à donner : sans hésiter, mettre de côté notre téléphone et vivre au maximum « en ligne », en live, en face à face avec nos enfants et nos proches »© Paul zerah
VALÉRIE PEREZ
Valérie Perez, une personnalité polyvalente des médias, brille à la fois en tant que productrice de l’émission Histoire et Découvertes sur i24 News et en tant qu’auteure. Son engagement dans le domaine de la télévision et de l’écriture témoigne de sa passion pour partager des récits captivants et inspirants.
En tant que productrice de l’émission Histoires et Découvertes, Valérie Perez explore avec curiosité les événements passés et les découvertes fascinantes. Son expertise et sa volonté de présenter des faits historiques de manière accessible et captivante font d’elle une source d’informations précieuse pour les téléspectateurs.
FAMILLE
Ma famille m’offre un sentiment de sécurité, de stabilité et de continuité, indispensable pour mon épanouissement. Mes parents m’ont enseigné les valeurs morales, les normes sociales et les compétences nécessaires pour naviguer dans ce monde. C’est cet héritage culturel qui m’a guidé sur le chemin de ma croissance personnelle. L’amour inconditionnel et le soutien de mes proches m’ont donné la confiance nécessaire pour affronter les difficultés et les épreuves qui ont jalonné mon parcours.
Ma famille a toujours été un refuge, un lieu où je me ressource et où je trouve du réconfort, un soutien émotionnel et de l’aide pratique. En somme, la famille est le pilier de mon existence.
ISRAËL
Depuis les temps bibliques, les juifs ont tissé un lien intime avec Israël. Les traditions, les coutumes et les valeurs ancestrales sont transmises de génération en génération, créant une connexion indéfectible entre
le peuple et sa terre. L’amour d’Israël ne se limite pas à ses frontières, il s’étend également à sa région. La région du Moyen-Orient est marquée par une histoire complexe et des conflits, mais elle est aussi le berceau de civilisations anciennes et de cultures riches. Israël est un pays où les juifs, les chrétiens, les musulmans et d’autres groupes ethniques et religieux cohabitent, ce qui en fait une source de fierté et de force pour le pays. Mon amour pour Israël est également ancré dans la beauté naturelle que je découvre lors de mes tournages pour Histoires et Découvertes, des paysages époustouflants allant du désert du Néguev aux montagnes de Galilée, des plages de la Méditerranée aux rives de la mer Morte. La diversité des écosystèmes et la richesse de la faune et de la flore en font un véritable paradis pour moi, qui suis une amoureuse de la nature !
FRANCE
Lorsque je pense à la France, je ne peux m’empêcher de penser à l’art, à la littérature et à la musique. J’ai grandi avec Victor Hugo, Marcel Proust et Albert Camus. La France est également le berceau de mouvements artistiques emblématiques tels que l’impressionnisme, le surréalisme et l’art nouveau. Les chefs-d’œuvre de Monet, Renoir, Dali et bien d’autres ont façonné mon propre regard sur le monde. Mais mon amour de la culture française ne se limite pas aux arts et à la littérature. La France est également célèbre pour sa gastronomie exquise, sa mode élégante et
son architecture majestueuse. Je suis très fière d’être née dans le pays qui a donné au monde tant de merveilles, ma compréhension de la beauté, de l’élégance et de l’expression créative vient sans aucun doute de ma culture française.
TÉLÉVISION
Exercer le métier de journaliste est bien plus qu’une simple profession, c’est une véritable passion. Chaque jour, je me lève avec la volonté de raconter des histoires, de mettre en lumière la vérité et d’informer le monde. Ma curiosité et ma soif de connaissance sont insatiables. Dès mon enfance, je rêvais d’être journaliste, animée par le désir de donner une voix aux sans-voix, de dénoncer les injustices et de partager des récits puissants. Les qualités essentielles pour moi sont la rigueur, l’impartialité et l’intégrité. Le chemin n’est pas facile, car c’est un métier exigeant qui demande de la persévérance, de l’objectivité et beaucoup de courage. Je vois mon métier comme une véritable mission pour rendre le monde meilleur.
FRANK MELLOULFrank Melloul est un homme visionnaire et courageux. Il a créé i24 News de toutes pièces. Je me souviens encore de notre première rencontre, alors que je venais tout juste de m’installer en Israël et que j’étais remplie de doutes et d’incertitudes. Ce jour-là, je me suis retrouvée face à cet homme charismatique et passionné, qui était en train de monter une chaîne à partir de rien. Sa confiance en moi était palpable, il a eu cette capacité incroyable à voir mon potentiel et il m’a encouragée à exploiter mon talent. Il m’a parlé de son parcours, des défis qu’il avait dû affronter pour se construire dans l’univers impitoyable de la politique. Il m’a fait comprendre que chaque obstacle était une opportunité d’apprentissage et de croissance, et que je ne devais pas laisser mes doutes m’empêcher d’avancer. Lors de cette première rencontre, il a su trouver les mots justes pour apaiser mes craintes et me donner confiance. Je me rappelle comme si c’était hier de cette phrase collector : « L’antenne c’est comme le vélo, quand on sait en faire, ça ne s’oublie pas ! ». Il m’a rapidement donné des responsabilités, me confiant la gestion d’émissions phares de la chaîne telles que Midi ensemble, Société, les infos, le morning et Histoires et Découvertes poussée à sortir de ma zone de confort, à prendre des décisions et des initiatives. Frank Melloul contenté de créer un média, il est soucieux de faire une différence positive dans la société. Il veut que i24 News soit un vecteur de changement, un lieu où
les voix de tous soient entendues, où les questions difficiles sont posées et où la vérité est recherchée sans compromis.
ECRITURE
A chaque fois que je prends un stylo ou que je pose mes doigts sur le clavier, je suis transporté dans un monde où les possibilités sont infinies. L’écriture me permet d’explorer des horizons inconnus, de créer des personnages vibrants et de raconter des histoires captivantes. C’est un moyen de partager mes idées, mes convictions et mes expériences d’une manière qui résonne avec les autres.
Quand j’écris, je me sens en harmonie avec moimême. Les mots deviennent mes alliés, mes outils pour donner vie à mes pensées et à mes émotions. Je peux exprimer ma joie, ma tristesse, ma colère ou ma passion avec une liberté totale. L’écriture pour moi, c’est une aventure, un voyage sans fin. C’est un art qui demande de la patience et de la discipline. L’écriture est une révélation qui a transformé ma vie. C’est une passion qui me guide, m’inspire et me pousse à aller au-delà de mes limites. Grâce à l’écriture, je peux donner vie à mes rêves, laisser une empreinte et partager ma vérité avec le monde.
Aujourd’hui, l’écriture est devenue mon refuge, ma manière d’exprimer mes pensées, mes émotions et mes rêves les plus profonds.
DESTINS DE FEMME
En rédigeant « Destins de femmes », j’ai été témoin de l’universalité des expériences féminines à travers le monde. Le livre a reçu le Prix Edgar Faure en reconnaissance de cette exploration profonde et éclairante de la condition féminine contemporaine. Il offre un regard intime sur les défis auxquels les femmes sont confrontées, ainsi que sur leur capacité
à surmonter les obstacles et à s’épanouir.
L’amour, le mariage, le harcèlement, le viol et d’autres problématiques similaires sont des préoccupations partagées par les femmes du monde entier. En élevant leurs voix, nous pouvons contribuer à créer un monde plus juste et équitable pour toutes les femmes, où leurs histoires et leurs aspirations sont entendues, comprises et respectées.
Depuis sa publication, ce livre a touché un large public et a suscité des débats passionnants autour des thématiques abordées.
Au-delà du monde littéraire, les récits de ces femmes ont également inspiré des initiatives et des mouvements en faveur de l’égalité des sexes et de la justice sociale. « Destins de femmes » a connu un destin propre, allant au-delà des pages du livre. Il a ouvert la voie à une prise de conscience plus large et à des discussions profondes sur les problématiques auxquelles les femmes sont confrontées dans notre société.
RADIO
À partir de septembre, chaque week-end, « Destins de femmes » trouvera sa voix à travers les ondes de Sud Radio. Judith Beller, une animatrice passionnée et engagée, prendra les rênes de cette émission captivante. Son objectif sera d’interviewer deux femmes exceptionnelles venues de mondes totalement différents, leur donnant ainsi une plateforme pour raconter leur histoire de vie.
L’émission sera un espace d’écoute et de partage, offrant aux invitées l’opportunité de s’exprimer librement sur leur parcours, leurs expériences et leurs défis personnels. Chaque femme apportera sa propre perspective, son bagage culturel unique et sa vision du monde, créant ainsi une richesse et une diversité narratives.
Une multitude de thèmes seront abordés. L’objectif de ces interviews sera d’établir des ponts au-delà des frontières géographiques et culturelles. Chaque histoire racontée servira d’inspiration et de témoignage de la force et de la persévérance des femmes face aux défis de la vie.
PROCHAINE ETAPE
Une nouvelle aventure se profile pour « Destins de femmes » ! Le 16 octobre 2023 au théâtre du RondPoint des Champs-Élysées, l’univers captivant de ce livre prendra vie sur scène. Produite en collaboration avec Bpw France, une ONG internationale engagée dans la promotion des droits des femmes, cette
représentation est le fruit d’un rêve devenu réalité. Le Rond-Point des Champs-Élysées est un théâtre qui occupe une place spéciale dans mon cœur, car c’est là que j’ai interprété les monologues du Vagin, une expérience qui a sans doute marqué le début de ma réflexion sur les droits des femmes. Préparez-vous à de nombreuses surprises, car je vous révélerai tout au fur et à mesure.
UN JUS, AVEC QUI ?
Je n’ai jamais rencontré Simone Veil de son vivant. J’aurais adoré discuter avec elle, et je suis sûre que les échanges que nous aurions pu avoir auraient été inestimables. Ce qui me fascine particulièrement chez Simone Veil, c’est son humanité profonde. Elle était sensible aux souffrances des autres, aux injustices du monde et à la condition humaine dans toute sa complexité. J’aurais aimé écouter ses expériences personnelles, les leçons qu’elle en a tirées et comment elle a pu garder espoir et compassion dans des moments difficiles. Sa résilience face à l’adversité et sa capacité à trouver de la beauté et du sens même dans les moments les plus sombres sont des traits qui la rendent encore plus remarquable et dignes d’admiration.
« Destin de femmes » de Valérie Perez-Ennouchi disponible sur www.amazon.fr
Réforme de la clause de raisonnabilité un enjeu vital pour Israël
PAR JONATHAN SERERODepuis plusieurs semaines, l’opinion publique israélienne se déchire autour du projet de loi de « de réduction de la clause de raisonnabilité » initié par le ministre de la Justice, Yariv Levin. Manifestations. Affrontements avec la police. Insultes. Invectives numériques. Bataille politique. Conflit de voisinage. Les opposants au texte de loi crient à la fin de la démocratie. Quand ses soutiens espèrent en finir avec l’ingérence du pouvoir judiciaire dans les décisions prises par les responsables politiques. Pourtant, selon un sondage publié début juillet par la chaine israélienne « Kan » 2/3 des israéliens déclarent ne pas comprendre cette notion juridique de « clause de raisonnabilité ». Explications.
« Fin de la démocratie israélienne », « L’état religieux ». « Dictature », « Coup d’état politique », « Frères d’armes ». A entendre les slogans des opposants à la réforme judicaire et à la réduction de la clause de raisonnabilité, les heures de l’Etat d’Israël seraient comptées. Le pays serait menacé d’une fin prochaine par cette coalition composée de dangereux extrémistes sionistes de droite, d’illuminés orthodoxes ou de « babouins originaires d’Afrique du Nord ». Tous, selon les opposants à la réforme, auraient pour objectif d’imposer les lois de la Torah à l’ensemble du Peuple et d’introniser Benyamin Netanyahou au poste de prochain Roi d’Israël.
Dans son discours prononcé le jeudi 20 juillet, le Premier ministre Netanyahou a tenu à rassurer l’opinion sur les motivations qui ont poussées le gouvernement à faire voter cette loi de réduction de « la clause de raisonnabilité ». « Dans chaque démocratie, il existe des oppositions et des confrontations. Beaucoup d’entre nous pensent que ces dernières décennies l’équilibre des pouvoirs entre les différents autorités (judicaires, législatives et exécutives) a été piétiné. Notre objectif est de retrouver cet équilibre entre les pouvoirs afin que les responsables politiques puissent honorer le choix démocratique opéré par le peuple dans les urnes ».
QU’EST CE QUE LA CLAUSE DE RAISONNABILITÉ ?
Pour comprendre les déclarations du Premier Ministre ou les revendications des manifestants, il est primordial en premier lieu de définir le terme
juridique de « clause de raisonnabilité ». ou plus précisément « la règle du bon sens ». Cette notion de droit héritée du mandat britannique permet au tribunal de critiquer ou voire même d’annuler une décision prise par le pouvoir législatif et exécutif au motif de son caractère déraisonnable. Exemple, en 1947, en Grande-Bretagne un désaccord oppose une société d’exploitation de cinémas aux responsables de la ville de Wednesbury située dans le centre du pays. Les deux parties se déchirent sur les jours d’ouvertures des salles obscures mais aussi la limite d’âge des spectateurs. Les autorités de la ville souhaitaient pouvoir ouvrir les cinémas le dimanche. La société d’exploitation dénonçait de son côté un abus de pouvoir des responsables locaux car selon la loi en Grande-Bretagne et ce depuis 1909, les cinémas sont ouverts du lundi au samedi mais pas le dimanche. L’exploitant du cinéma dépose plainte contre la ville et au terme des débats le tribunal qualifie les décisions prises par les autorités comme déraisonnable et dénuée de fondement logique.
3 rd Temple
״POUR SION JE NE ME TAIRAI POINT ET POUR JÉRUSALEM JE N’AURAI POINT DE REPOS״
Israël Is Forever - Moreshet Jacques Kupfer & 3e Temple vous invitent à la:
MARCHE DE TISHA BEAV
Autour des Murailles de notre Capitale éternelle, indivisible et Souveraine
Mercredi 26 juillet / 9 Av
Au Gan Haatsmaout, rue Agron, à Jérusalem
20:45 | lecture de ״Meguilat Ekha״ Les Lamentations)
21:45 | Marche des Drapeaux
nouvelle Porte, Porte de Damas, Porte des Fleurs, Portes des Lions (pause avec prises de parole), Porte des immondices, Kotel.
En présence de Personnalités publiques.
Sous la surveillance de la police
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Scannez le code-barres et signez la pétition.
Après l’indépendance de l’Etat d’Israël en 1948, cette notion de droit britannique s’est insérée au droit israélien. Jusqu’en 1980, l’appareil judiciaire s’est retenu d’interférer dans les décisions prises par les différents gouvernements au regard du respect de la séparation des pouvoirs et du choix fait par le peuple dans les urnes.
LA « RÉVOLUTION JUDICIAIRE » INITIÉE
PAR AHARON BARAK
Or, en 1980 éclate l’affaire des « pages jaunes » qui opposent les responsables du répertoire nationale des numéros de téléphones à la société de radiodiffusion sur le renouvellement de leur collaboration. Lors des débats, le président de la Haute-Cour Aharon Barak se sert de cette clause de raisonnabilité comme bras armé de sa révolution judiciaire. Il décide que toutes décisions gouvernementales ou toutes résolutions prises par les pouvoirs locaux même si elles paraissent logiques ou raisonnables peuvent désormais être soumises à la critique judiciaire et même désapprouvées par la Haute-Cour au regard du manque de considération des élus des équilibres et des intérêts en jeu. Ainsi, l’ex-président de la Cour suprême ouvre la voix aux appels déposés contre les nominations gouvernementales, décisions ou textes de lois votés par la Knesset, le Parlement israélien. En 1993, la Haute-Cour ordonne ainsi au Premier Ministre de l’époque, Itzhak Rabin de démettre de ses fonctions de ministre de l’Intérieur Aryé Dery au regard de ses condamnations pour corruption. En 2007, la Haute Cour déclare comme « déraisonnable » la décision du gouvernement de ne protéger que partiellement les classes des établissements scolaires des localités israéliennes situées dans le pourtour de la Bande de Gaza. En 2018, les juges de la Cour suprême ordonne à l’ex-ministre de la Défense, Avigdor Lieberman de laisser entrer des Palestiniens désireux de participer aux festivités de la Journée alternative d’Indépendance organisée par des associations de militants de gauche pour la paix. A cela s’ajoute les innombrables plaintes déposées par le comité pour la probité de l’Etat devenu le bouclier de défense des élites et de la gauche israélienne.
LIMITER LE CHAMP D’ACTION DE LA COUR SUPRÊME
C’est donc pour mettre fin à cette ingérence du judicaire dans le politique que le ministre de la Justice, Yariv Levin, souhaite désormais limiter le champ d’action de la Cour suprême. La loi de réforme de la clause de raisonnabilité est censée empêcher la Haute Cour israélienne de discuter du caractère raisonnable des décisions prises par le Premier Ministre, des ministres ou de n’importe quels élus. « Israël réintègre la liste des pays démocratiques, assure
le ministre de la Justice, Yariv Levin ». « Nous nous alignons désormais sur les standards en vigueur dans tous les pays démocratiques. Non cette loi ne place pas le gouvernement au-dessus des lois. Chaque élu sera toujours tenu de respecter la loi en toute vertu et sans conflits d’intérêts. L’appareil judiciaire continuera à émettre des critiques et à donner son avis sur les décisions prises par le gouvernement mais il faut souligner dans le même temps que le gouvernement a des devoirs à remplir et des comptes à rendre à ses électeurs et qu’il se doit de tenir ses promesses électorales ».
L’opposition emmenée par Yaïr Lapid et Benny Gantz, les responsables des partis du Yech Atid et d’Union Nationale, dénoncent une volonté de la coalition de réduire à néant les pouvoirs de la Cour suprême. Ils craignent de voir Betsalel Smotrich, ministre des Finances, concrétiser son rêve d’imposer les lois de la Torah à l’Etat d’Israël ou de permettre à Aryé Dery de récupérer son portefeuille de ministre et de revenir s’asseoir autour de la table du gouvernement. « Ceux qui craignent le vote de cette loi sont les mêmes qui ambitionnent de faire tomber le gouvernement. Un gouvernement qui a été élu démocratiquement. Leurs ambitions véritables n’ont aucun lien avec la réforme judiciaire. Je tiens à rassurer tout le monde, Israël ne deviendra pas un état religieux. Israël restera un état démocratique, libre et pluriel. Nous continuerons à protéger les droits particuliers de chacun des citoyens de ce pays. Il n’y a aucun citoyen qui bénéficierait de plus de droit qu’un autre. Aucun groupe n’est au-dessus des lois. Je suis toujours ouvert au dialogue avec l’opposition » rappelle le Premier Ministre Netanyahou.
Un dialogue et des négociations qui devraient ou non se poursuivre après le vote de la loi.
« Ceux qui craignent le vote de cette loi sont les mêmes qui ambitionnent de faire tomber le gouvernement »
« Pourquoi moi ? »
PROPOS RECUEILLIS PAR AVRAHAM AZOULAYAvraham Azoulay : Aujourd’hui nous sommes le 16 juillet 2023, qu’évoque cette date pour vous ?
Meira Barer : Le 16 juillet 1942, j’avais 9 mois et c’est à cette date qu’à eu lieu la rafle du Vel d’Hiv, qui a consisté en une opération très bien menée, et méditée très longtemps à l’avance par le gouvernement de Vichy. Leur objectif était de rafler tous les Juifs de Paris et la région parisienne. Précisons que déjà, en 1941, la préfecture avait publié une ordonnance qui sommait les Juifs de se présenter dans les commissariats de police, pour déclarer leur nom, leur nationalité, leur adresse, l’étage auquel ils habitaient, le nombre de personnes par appartement, si bien que le 16 juillet lorsque la police française est venue les arrêter, elle possédait déjà toutes ces informations.
A.A. : En quoi, alors qu’on avait à peine un an, la Rafle du Vel d’Hiv peut-elle bouleverser une vie ?
M.B. : En fait je n’ai évidemment pas de souvenirs personnels, et tout ce que j’ai appris à ce sujet et sur mon sort, je l’ai appris bien plus tard par ma sœur aînée, elle-même ayant été informée par notre mère.
A.A. : Où étaient votre sœur et votre frère à ce moment-là ?
M.B. : Ils étaient cachés à la campagne chez des paysans. En ce qui nous concerne, nous étions ma mère et moi seules à la maison ce jour-là. En effet une rumeur courait qu’ils allaient venir chercher chez eux des Juifs étrangers, et particulièrement d’Europe Centrale, comme nous. Mon père était persuadé, à tort, qu’ils n’embarqueraient que les hommes. Croyant cela, il a quitté l’appartement, nous laissant ma mère et moi seules. Ensuite, nous avons été emmenées soit directement au Vel d’Hiv dans des bus avec d’autres personnes, soit au commissariat.
A.A. : Est-ce que cet événement a eu un impact dans votre relation avec votre mère ?
M.B. : Ce n’est pas tant le fait que nous ayons été embarquées toutes les deux, mais plutôt de ce qui s’est passé au Vel d’Hiv même. C’est dans ce lieu qu’étaient organisées des courses à vélo d’une durée de six jours, une fois par an. Il y avait donc des pistes, et des gradins. C’était donc
l’endroit idéal pour y entasser des êtres humains. On parle de 13000 personnes, hommes femmes, enfants, vieillards.
Les conditions d’hygiène étaient déplorables. Des toilettes bouchées donc inutilisables, des personnes malades, un bruit infernal, des cris de peur, des hurlements de bébés… certaines personnes désespérées se jetaient du haut des gradins. Je raconte tout cela dans mon livre…
A.A. : Qu’est-ce qui vous a motivé à écrire un livre sur ce sujet ?
M.B. : J’ai décidé d’écrire ce livre il y a un certain nombre d’années. J’ai fait mon Aliyah à l’âge de 55 ans après avoir vécu des événements importants en Israël pendant la guerre du Golfe, aux côtés de Sarel dans une base militaire. À ce moment-là, j’ai été profondément touchée et j’ai réalisé que ma place était en Israël. J’ai donc fait l’Aliyah en 1996. Quinze ans plus tard, j’ai décidé d’écrire ce livre pour laisser un témoignage de ce que j’ai vécu à mes petits-enfants.
A.A. : Comment expliquez-vous l’impact de ce livre ?
M.B. : Mon livre est sorti en France en juillet 2019, au moment de la commémoration de la Rafle du Vel d’Hiv. J’ai donné quelques interviews, mais la parution de mon livre a été rapidement suivie par la grande période du Corona, et toute la promotion s’est immobilisée. Ce qui est à mon avis tout à fait regrettable.
Depuis, je suis invitée à un certain nombre de conférences ou de présentations, notamment dernièrement à l’académie nationale des officiers de Police à Beit Shemesh, car mon livre a été traduit en hébreu.
A.A. : D’où vient ce regain d’intérêt ?
M.B. : Il se trouve qu’il reste très peu de rescapés, et maintenant en France et en Israël, on s’intéresse beaucoup aux enfants cachés pendant l’occupation. L’occasion m’est donc donnée régulièrement de raconter lors des réunions « zikaron’ basalon », qui ont lieu dans des appartements le jour de Yom HaZikaron. Je m’adresse à un public de francophones mais aussi en hébreu et en anglais à un public d’Israéliens.
Ce qui explique pourquoi j’ai décidé de publier mon livre en afin que les jeunes Israéliens sachent ce qui s’est passé à cette période en France.
A.A. : Que veut dire le titre : « Comme un tison sauvé du feu » ?
M.B. : J’ai mis dix ans à écrire ce livre, et je l’ai commencé après un cours auquel j’ai assisté, donné par le rav Disnovisz, en lien avec l’incendie du Carmel. Faisant référence au Tanah, et précisément au prophète Zacharie, il a prononcé ces mots, qui ont été une clé pour commencer à rédiger mes mémoires.
A.A. : On a toujours une appréhension en abordant un livre ou un film sur la Shoah, qu’il ait un impact négatif sur nous, qu’il soulève des émotions trop fortes. Qu’en est-il de votre livre ?
M.B. : C’est le contraire justement. Car j’ai toujours été une révoltée, et c’est ce qui nous a sauvé la vie, ma mère et moi. Si je n’avais pas « braillé » à ce point-là au
commissariat, le gendarme ne serait pas intervenu, et ne nous aurait pas permis de sortir. La loi disait que les femmes enceintes et les mères d’enfants de moins de deux ans ne devaient pas être raflées. Ce gendarme, dans son humanité, était aussi couvert par la loi. Il a alors proposé à mon père de partir avec nous. Malheureusement celui-ci voulait veiller sur mes grands-parents, a refusé et à été finalement Par la suite, et pour cette raison - je l’ai compris beaucoup plus tardma mère m’a ensuite totalement
A.A. : Vous avez été contactée par un grand influenceur du Maroc. Pour quelle raison ?
C’est un projet qui a été initié l’année dernière par le ministère des Affaires étrangères israélien, auprès d’influenceurs du monde entier, pour aborder, à l’intention de leurs followers, le projet « Your story is my story ». Ce projet consistait à rencontrer une personne ayant vécu la Shoah. Ce jeune homme nommé Ahmin Léna, est un Marocain étudiant à Paris en sciences politiques. J’ai donc été le porte-parole de ce projet en Israël. Il a donc rapporté mon histoire, photos à l’appui, en français, en anglais et en arabe, sur différents sites d’information. En tant que sympathisant du monde juif, il a été attaqué de façon virulente en France, et plutôt par des Français que par des Arabes.
A.A. : Qu’est-ce qui vous motive à poursuivre ces démarches, rencontres, récits et témoignages ?
M.B. : Ce qui m’a poussé à écrire me pousse aujourd’hui à parler. Mon objectif en partageant mon histoire est de transmettre, de ne pas oublier, et de sensibiliser les gens à cette période sombre de l’histoire.
A.A. : Si vous pouviez formuler un vœu aujourd’hui, lequel serait-il ?
M.B. : J’aurais aimé savoir pourquoi D’ieu m’a infligé une telle expérience, et s’il m’a donné les épaules suffisamment larges pour y survivre et résister, savoir quelle est véritablement ma mission ?
Redoutables
PAR MICHAEL WOLFTandem TV se réjouit chaque jour de proposer à ses téléspectateurs de la culture à travers ses différentes émissions. Mais la chaîne est également très heureuse de s’associer à des projets qui importent la culture française au pays où coulent le lait et le miel !
« Redoutables »... Une pièce de théâtre d’Isabelle Alexis mise en scène par Jean-Luc Moreau.... débarque en Israël !
« Redoutables » comme le jeu des 3 comédiennes aussi drôles et talentueuses dans la vie que sur scène, Juliette Meyniac, Ariane Séguillon et Sylvie Audcoeur, que vous n’avez pas pu manquer ces dernières années au théâtre, au cinéma, ou à la télévision.
« Redoutables » une comédie sociale aussi acide qu’hilarante.
Le pitch ? Celui de trois comédiennes qui apprennent le soir de leur dernière représentation la trahison de leur metteur en scène : le film qui doit se monter, adapté de leur pièce, se fera sans elles ! Ce film qui leur promettait enfin la gloire ! Dans la grande loge, c’est l’incompréhension totale. Bien sûr, elles s’adorent, mais... chacune veut sauver sa peau...
« Redoutables » : Une pièce remplie de vérités, dynamique et pleine de rebondissements, qui arrive le 6 septembre en Israël à Raanana.
Venez vous amuser, rire et vibrer lors de cette soirée produite par En Scène de Sabrina Brami. Grâce à Tandem TV et Trouver en Israël, bénéficiez du code promo TANDEMTV de 10% jusqu’au 20/08 (prix des places 130-180NIS) en réservant au 052-8063513
Michael WOLF Directeur de TANDEM TVLes lunettes de réalité
augmentée un nouveau défi technologique pour Israël
La technologie permet d’envisager, à brève échéance, des innovations qui n’étaient pas envisageables jusqu’alors. Le développement du tout numérique, de la connectivité, ont permis de réaliser des progrès prodigieux durant les dix dernières années, et les tablettes numériques, les montres connectées, les téléphones androïdes et d’autres produits à haute valeur ajoutée, sont venus équiper à la fois les particuliers, les entreprises, et sont devenus prépondérants dans les secteurs industriels, bancaires, du high-tech, de l’armement, de l’aéronautique, ou de l’automobile.
Le prochain rendez-vous technologique est déjà programmé, annonçant une nouvelle ère numérique, et il concernera ce que l’on appelle : « les lunettes de réalité augmentée. AR ».
LA RÉALITÉ AUGMENTÉE, un concept apparu au début des années 2010, permet de réunir toutes les techniques permettant d’enrichir notre environnement immédiat, par des informations supplémentaires, contextuelles. Elle réalise la superposition du monde virtuel sur le monde réel,
afin de lui donner une nouvelle dimension, et assure le passage d’un champ numérique (via une tablette par exemple), au champ de vision immédiat. Cette réalité augmentée pourra être utilisée aussi bien pour le tourisme, que pour les jeux en ligne, et la navigation par exemple.
« Ces lunettes de haute-technologie permettent une vision naturelle, sur verres transparents, enrichie d’informations numériques. Une fois portées, elles transmettent dans le champ visuel de l’utilisateur des informations comme du texte, des images, des vidéos et des animations ».
De nombreuses sociétés se sont déjà positionnées sur ce secteur de marché, avec des réussites plus ou moins grandes.
Mais l’entreprise Lumus, dont le siège se trouve dans la ville de Ness Ziona, qui produit des optiques pour les lunettes de réalité augmentée (AR), et a été fondée il y a 23 ans, va ouvrir une page de son activité des plus enthousiasmantes. Ainsi, d’ici 2025,
au moins deux des plus grandes entreprises technologiques du monde devraient insérer les lentilles Lumus dans leurs lunettes de réalité augmentée. L’entreprise va pouvoir employer une technologie nommée « guide d’onde diffractif », utilisant de minuscules miroirs intégrés à l’intérieur de l’objectif, afin de permettre un affichage plus lumineux, des couleurs plus précises, l’intégration d’un projecteur plus petit, et d’accorder à la batterie utilisée, une durée de vie plus longue (la Lentille Lumus Z-Lens réduit la géométrie et le poids des moteurs optiques Lumus de plus de 50%).
Les grandes entreprises technologiques développent depuis des années des lunettes de réalité augmentée, qui permettent d’intégrer des éléments numériques 3D dans l’environnement physique des utilisateurs, mais pour
l’instant sans résultats probants. Ce fut le cas de Google, avec Google Glass, Microsoft avec ses lunettes HoloLens, Magic Lip, et récemment Apple avec ses lunettes Vision Pro.
La lunette HoloLens 2 par exemple, comme celle d’Apple, coûte 3 500 $, et est donc onéreuse, et celles qui sont produites utilisent des appareillages lourds, encombrants, avec une autonomie de batterie courte.
Le développement de l’intelligence artificielle , de la puissance de calcul, du suivi des mouvements, de la reconnaissance vocale et des réseaux sans fil, ont permis à la société Lumus de se positionner favorablement, et comme l’a indiqué son PDG, Ari Grubman, « toutes ces choses convergent pour que cela se produise maintenant, et la plus grande preuve est représentée par les milliards de dollars que les entreprises investissent dans le domaine ».
Si Apple arrive à développer ses produits, c’est en raison de l’utilisation de la Réalité Virtuelle (VR), alors que Lumus utilise déjà une technologie de guide d’ondes, appliquée à des lunettes de type Ray-Ban, qui utiliseront un processeur interne, plus léger, et plus durable, et arriveront sur le marché en 2025 ou 2026.
Les lunettes de réalité augmentée (AR) nous permettront d’effectuer toutes les actions que nous avons l’habitude d’effectuer avec le téléphone, et bien plus encore : lire des messages sur WhatsApp, visualiser des consignes de navigation…
Cette technologie permettra de réduire la taille des lunettes, leur encombrement, leur poids, et d’augmenter le temps d’utilisation.
Ces lunettes de réalité augmentée sont un pari énorme pour les entreprises, et toute innovation suppose des risques, en particulier financiers, mais elle devrait conforter Israël dans son avancée technologique.
Israël face à la reconfiguration de la géopolitique mondiale
Il y a à peine trente ans, on nous annonçait la fin de l’histoire, et le triomphe définitif du nouvel ordre mondial unipolaire façonné par les élites de Washington.
La Torah nous apprend que la vanité des empire n’est que sable. Débridées et sans opposition, les élites atlantistes ont joué aux apprentis sorciers en déclenchant guerres, révolutions de couleur et conflits sous faux drapeaux, sans même s’apercevoir que la Chine, armée d’une patience millénaire, achevait de préparer son retour sur la scène du monde. Aujourd’hui il est trop tard pour la Pax americana. L’intervention militaire en Ukraine par la Russie, loin de marquer le dernier baroud d’honneur d’un pays que les experts de plateaux décrivent comme en phase terminale d’effondrement, marque au contraire un signal que nous devons entendre. D’une part, la Russie se sent désormais suffisamment assurées de ses alliances internationales pour s’opposer militairement à l’avancée de l’Otan, d’autre part cela lui à permit de renverser le problème. Avant l’intervention, la militarisation de l’Ukraine était une menace qui pesait sur elle, après l’intervention, c’est aux pays occidentaux de déverser des quantités astronomiques d’argent dans un gouffre sans fond pour maintenir le régime de Kiev qu’ils ont installé, la Russie se contentant, elle, de tenir les postions qui l’intéressent et d’user son adversaire en limitant au maximum ses pertes. L’ancien premier ministre français, Dominique de Villepin, achève le raisonnement en déclarant, début juillet : « La Russie a avec elle une grande partie des peuples du monde ». La montée rapide des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) change en profondeur les rapports de force internationaux comme jamais depuis un siècle. Ces mêmes BRICS, loin d’exclure la Russie, ont, au contraire, éconduit la France qui à définitivement perdue sa réputation de puissance d’équilibre du fait de son suivisme atlantique zélé. Les pays d’Afrique ont également perçu cela et chassent sans ménagement la présence française, pourtant forte de plus de 150 ans, et se tournent vers le nouvel axe sino-russe. Au sein du bloc atlantique même, les
partis populistes progressent inexorablement, portés par des peuples rejetant de plus en plus massivement le modele de société globalisé et multiculturel qu’entendent imposer ces mêmes élites. Le monde change, et il change vite.
ET ISRAËL FACE À CELA ?
Notre pays, bien que modeste par la taille, a une mission immense, celle d’être la lumières des Nations. Pour ce faire, nous devons être conscients de la réalité du jeu et du poids des événements. Israël doit alors assumer son destin. La diversification des alliances et des partenariats doit devenir une priorité pour ceux qui ont la charge de ce pays. Tout comme nous ne pouvons pas rompre avec les Etats-Unis car ils sont, factuellement, incontournables pour nos intérêts, nous ne pouvons pas, pour les mêmes raisons, être hésitants à établir des partenariats encore plus solides, notamment avec les BRICS en général, et la Russie en particulier. Israël doit devenir une puissance d’équilibre au Proche-orient et dans le monde. La reconnaissance israélienne de la souveraineté marocaine sur le Sahara annonce une relation forte avec ce pays qui regarde vers l’avenir, et qui mérite d’être mis en avant et soutenu face à l’Algérie, pays lui en faillite et à qui il ne reste que la haine de l’Europe et d’Israël. Il est également nécessaire de tendre la main aux pays d’Afrique en quête de nouveaux partenariats techniques et stratégiques. Le temps du tête à tête, de plus en plus stérile, avec les élites américaines du parti démocrate est passé. Ces dernières voient d’ailleurs de plus en plus les Etats-Unis, non comme un allié d’Israël, mais comme une puissance mandataire, s’autorisant à régenter notre politique intérieure. Donald Trump était et demeure notre seul véritable ami, et la seule chance pour le peuple américain de reprendre son destin en main. Sa victoire en 2024 n’en est que plus nécéssaire.
La succession et l’héritage insolvable
Quel est le sort d’une dette après le décès d’une personne ?
Qui doit rembourser cette dette et vers qui les créanciers peuvent ils se tourner ?
Généralement les créanciers se tourneront vers les héritiers afin de couvrir les sommes du grâce aux actifs de l’héritage. Mais que faire lorsque le montant des dettes et supérieur a la valeur des biens laisser ?
Il existe 3 cas de figure lors d’un héritage avec des dettes
LA VALEUR DES BIENS EST LARGEMENT SUPÉRIEURE À LA VALEUR DES DETTES.
Dans ce cas, les héritiers accepteront l’héritage et devront régler le montant de dettes avant de se partager l’héritage.
LA VALEUR DES BIENS EST PLUS OU MOINS ÉGALE AU MONTANT DES DETTES.
Dans ce cas les héritiers devront se poser la question s’ils doivent accepter ou non l’héritage. Une étude approfondie des actifs et passifs pourront aider à prendre une décision adéquate. Parfois si les dettes s’avèrent être supérieures aux biens il se peut tout de même qu’il sera mieux d’accepter l’héritage et de né-
gocier avec les créanciers avant la demande de partage.
Les négociations pourront diminuer considérablement le montant des dettes et pourra rendre la décision des héritiers beaucoup plus simple.
LE DÉFUNT A LAISSÉ UNIQUEMENT DES DETTES ET AUCUN BIEN.
Dans ce cas, vous ne serez pas obligé de faire une action pour vous dégager de l’héritage qu’on appelle « insolvable » car tant que vous ne l’avez pas accepté, vous n’êtes pas considéré comme héritier et donc non redevable auprès des créanciers. Tout de même afin d’éviter les dérangements qui peuvent surgir de temps à autre de la part des créanciers vous pourrez toujours déposer une demande auprès du greffier afin de vous dégager définitivement de l’héritage.
La gestion d’un héritage n’est pas une chose facile parfois il suffit de faire de l’ordre dans les affaires du défunt pour découvrir un aspect bien plus diffèrent de ce que ça en avait l’air.
Notre cabinet gère tout l’aspect juridique des dettes face à vos créanciers ou ceux dont vous héritez.
Le cabinet Zaghdoun Avocats est spécialisé dans le surendettement et l’effacement de dettes.
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Les vacances arrivent et les dépenses avec...
es mois de juillet - août sont synonymes de vacances, d’été, de kif, de repos mais aussi des dépenses…
Afin d’occuper nos amours, nous payons cher, très cher : les kaytanot, les baby sitters, les cours privés, les aller-retours chez les copains, les attractions. Même une « simple journée » au kanyon près de la maison ou une petite virée a la plage coûtent cher. Une boisson par ci, une glace par là… Lorsque notre enfant pleure et nous dit « maman j’ai faim !!!! », nous ne pouvons pas lui refuser un petit hamburger, frites et ensuite un tour de manège… Bref, vous l’avez compris : les grandes vacances représentent un défi important pour l’économie familiale. Un article paru dans Channel 2 News a révélé que les dépenses moyennes d’une famille israélienne au cours des mois de juillet-août augmentent d’environ 30% par rapport aux autres mois de l’année (sans compter les vacances de Tichri et Pessah).
VOICI QUELQUES CONSEILS PRATIQUES QUI VOUS AIDERONT À MIEUX PRÉPARER VOTRE ÉTÉ ET GÉRER SES DÉPENSES :
Vérifiez les besoins réels avec vos enfants pour les vacances d’été et les classer par ordre d’importance, sous forme de liste. De cette façon, il est possible de transmettre un message significatif et clair sur les possibilités et les limites, et d’aider l’enfant à voir que certains de ses besoins seront satisfaits car importants et d’autres non (superflus ou moins importants).
Définissez le montant du budget destiné à financer les vacances d’été en parcourant chaque élément de la liste et vérifiez les options de financement : Combien êtes-vous en mesure de financer ? Quel est le montant fixé pour telle activité ? De quel budget cette dépense sera financée ?
Encouragez le jeune enfant à respecter le budget fixé au préalable, et incitez l’adolescent à participer aux revenus ou à financer ses propres activités en trouvant un petit boulot pour l’été…Vous serez étonnés de leur engouement et de leur maturité.
Donnez-leur de l’argent de poche - à chaque enfant, selon ses besoins et son âge. Cette somme d’argent lui sera remise à des jours réguliers (par exemple, tous les dimanche) et sera soumise à sa gestion indépendante, dans le but de financer des objectifs prédéfinis. Par exemple : à partir d’aujourd’hui, votre argent de poche paiera votre budget mobile (appels téléphoniques) et vos sorties avec vos amis. Il est surprenant de voir combien l’enfant économisera soudain sur les appels et gèrera ses dépenses lors d’une sortie au cinéma ente amis.
Achetez des attractions à l’avance et recherchez des réductions - À cet égard, il est presque toujours possible de trouver des remises et des promotions intéressantes pour ceux qui s’y prennent à l’avance. Sur Internet, vous pouvez facilement trouver des coupons attractifs et de même si vous êtes membre de divers clubs de clients. Souvenez-vous également, que de nombreux divertissements sont totalement gratuits comme un pique-nique dans un parc, ou un beau tyoul dans la nature… Ces activités peuvent certainement rendre heureux n’importe quel enfant - et les parents aussi par la même occasion !
Alors bonnes vacances à tous !
Delphine Avital Psychopédagogue (mora metakenet), Conférencière et Courtière en prêts immobiliers
Tel : 054-4705357
L’escalator !
PAR AVRAHAM AZOULAY« L’espoir a toujours, même aux heures les plus sombres de l’humanité, sauvé celle-ci » - Gael Crutzen.
Je me sens découragé ces derniers temps comme chacun d’entre-vous.
Oui il faut l’avouer, la reforme judiciaire ou judicieuse, nous a pris la tête. Elle nous a kidnappés, tétanisés, corps et âmes. On veut la fuir, l’oublier, or la voilà déjà qui nous poursuit dans tous nos systèmes de communication possibles et inimaginables. Elle a réussi à nous diviser, pire que les supporters du Betar Yeroushalayim et ceux de Maccabi TLV. Qui aurait crû que sur des fondements comme l’armée, notre fierté nationale, on en viendrait à faire la guerre… entre-nous ? Alors oui j’ai baissé les bras et levé les yeux aux ciel pour que la solution arrive enfin, de Lui. Qu’Il nous envoie un seau d’eau glacé à chacun, et qu’il nous dise Stop. Ad Kan ! Vous avez abusé de Ma patience, vous avez oublié d’utiliser ce que Je vous ai offert en tant que peuple élu : le discernement et l’intelligence. Où sont toutes vos belles paroles d’union sacrée ?
C’EST ALORS QUE JE LES AI VUS !
Ils étaient des centaines, dans ces escalators du train, des juifs israéliens partant manifester à Tel Aviv dans l’un, vers Jérusalem, dans l’autre. Tels les anges de l’échelle de Yaakov, ils montaient et
descendaient, mais surtout… ils se tendaient la main, se frôlaient les doigts, pour exprimer, comme si on l’avait oublié : eh, c’est moi, ton frère, qui vit ici, sur notre terre d’Israël. Et mon moral est remonté ! Ni pour ni contre, j’espère seulement une chose, que cette guerre des tranchées va cesser, et qu’on va s’occuper de ce qui nous préoccupe au quotidien : le bien-être de nos enfants, notre sécurité, l’injustice, l’hystérie des prix…
Allez, souriez et profitez de ces vacances en débranchant le bouton « infos et réseaux ». La vie va vous paraître ennuyeuse au début, et si paisible ensuite…
QUESTION ANONYME
PAR MYRIAM BENSIMHONJ’ai été mariée douze ans avec un homme qui ne travaillait pas, j’ai énormément souffert.
J’ai donné, beaucoup donné de mes forces, j’ai deux enfants malgré tout, mais je n’ai pas réussi apparemment puisque mon mari d’aujourd’hui me dit sans cesse que je suis une mauvaise mère, que je ne sais pas m’occuper de mes enfants. Est-ce que c’est normal que mon nouveau mari s’énerve tout le temps ? Que je ne sais pas tout ? Que je ne fais pas comme il veut ? Que je ne devine pas ? J’ai été mariée avec une personne qui m’a tout pris. Mon mari, je l’ai épousé parce qu’une force inexplicable m’a attiré vers lui. Je ne peux pas vivre sans lui, ce n’est pas envisageable, mais je souffre trop et je ne sais pas quoi faire comment réagir… Ce sont des disputes sans arrêt, je ne peux pas vivre comme ça. J’ai peur de finir comme mon premier mariage.
RÉPONSE :
Chère maman, Je sens à votre message combien votre douleur est grande, et dure depuis de nombreuses années. Votre message exprime énormément de sentiments contradictoires. Mais il montre à quel point vous voulez bien faire. Il m’a l’air clair que vous aimez votre mari, et vous êtes en manque de son affection. Ses réactions ne vous conviennent pas, mais lui, vous l’aimez… Mais c’est juste une grande détresse que l’on ressent quand on attend, espère, veut de l’amour et de l’estime de l’autre et qu’a la place, on ne trouve que colère et reproches.
Effectivement, il n’a pas l’air de savoir, vous exprimez ses réels sentiments et en le voyant vous attaquer de la sorte, vous avez envie de lui rendre la pareille malgré
votre grand besoin d’amour et de reconnaissance de sa part et votre désir d’une relation authentique et bienveillante. Et le cercle vicieux est enclenché. Le voyant agressif, vous l’êtes aussi et la distance se crée entre vous, mais une distance chargée d’émotions négatives.
Ce qui vous donne l’envie de vous séparer de lui, mais en réalité, ce n’est pas de lui dont vous voulez vous séparer, mais bien de l’émotion négative que vous ressentez. Le mieux c’est déjà de rompre ce cercle d’agressivité et de colère en exprimant chacun vos réels besoins.
Il est préférable de prendre le temps de prendre du recul et de se poser les bonnes questions. Est ce vraiment ma volonté ou ma colère qui s’exprime ?
Vous parlez dans votre message de votre premier mariage. Pour ne pas tomber dans le même schéma, il est important de ne plus réagir de la même façon... Dans votre premier mariage, vous avez tout donné. Dites-vous et malheureusement ça n’a pas aidé, très frustrant... Terrible déception...
Le but n’est pas de tout donner, mais de donner selon le besoin et ainsi apprendre à se préserver et à garder de l’énergie pour soi parce que VOUS êtes importante ! VOUS devez pour vous-même apprendre à vous aimer, vous respecter pour que l’homme qui est à vos côtés en fasse tout autant. N’attendez pas de l’autre qu’il commence à vous aimer pour vous aimer vous-même. Le sens est inverse...
Bien sûr, ce n’est pas si simple parce qu’on ne nous l’a pas toujours appris. Mais la bonne nouvelle, c’est que ça s’apprend et ce sera le plus beau cadeau que vous pourrez vous faire à vous-même.
N’hésitez pas à me contacter, je me ferai un plaisir de vous aider.
Beatsalaha Raba de tout cœur.
Myriam Bensimhon, psychothérapeute et thérapeute de couple 052-693-6929
Myriampsycho@gmail.com
CHIFFRES ÉCONOMIQUES
Publication des derniers
chiffres économiques d’Israël
Une bonne évolution confirmée
Le Bureau central des statistiques israélien (CBS) vient de publier les chiffres de l’économie, qui permettent de faire un état des lieux de la situation, d’établir des comparaisons, et d’anticiper de nouvelles réformes. Cette publication permet de visualiser l’évolution de plusieurs paramètres, entre le quatrième trimestre 2022, et le premier trimestre 2023.
AUGMENTATION DU PIB (Produit Intérieur Brut), indicateur économique permettant de mesurer la production de richesses d’un pays
Quatrième trimestre 2022
Quatrième trimestre 2022
par habitant
+1,8% par habitant pour entreprises pour entreprises
diamants) concernant des entreprises en démarrage, alors que la consommation privée (affectée par la baisse des importations de voitures particulières, après la forte hausse du quatrième trimestre) a diminué » selon le CBS.
Investissements en immobilisations
(hors navires et avions)
Importations de biens et services
Exportations de biens et des services
(hors diamants et start-up)
D’une manière générale les résultats de l’économie israélienne sont plutôt rassurants, malgré les mouvements de protestation dans plusieurs secteurs de la société, en relation avec la réforme judiciaire.
Seul le secteur des importations est déficitaire, en raison en particulier du taux d’inflation, qui malgré tout se réduit plus rapidement que prévu. Le taux directeur de la banque centrale est resté inchangé ce mois-ci.
CHIFFRES ÉCONOMIQUES
Le choix d’un designer d’intérieur a une grande influence sur l’apparence finale de la propriété décorée, ainsi que sur le client lui-même et sur la qualité de sa vie. C’est une interview fascinante avec l’architecte et designer d’intérieur Sandra Gerendash, qui possède un cabinet d’architecture et de design d’intérieur avec une expérience de 12 ans. Le design d’intérieur se situe entre l’art et la fonctionnalité. D’un côté, il s’agit d’un domaine artistique où il n’y a pas de bon ou de juste ; chacun peut choisir de se concentrer sur certains éléments de design en fonction de ses préférences et de ses opinions. D’un autre côté, le design d’intérieur vise finalement à tirer le meilleur parti de l’espace que nous voulons concevoir, à le rendre capable de changer notre vie et à avoir des outils très développés pour cela.
QUAND DEVRAIT-ON FAIRE APPEL À UN DESIGNER D’INTÉRIEUR ?
« Cela dépend beaucoup du type de projet », selon Sandra. Mais il est certainement recommandé de le faire le plus tôt possible. Par exemple, lors de la rénovation d’une maison privée, il y a des cas où l’on commence à travailler sans designer d’intérieur pour économiser sur les coûts. Cependant, cela peut entraîner des pertes financières importantes à l’avenir et en fin de compte, ils pourraient regretter les décisions de conception prises en l’absence de connaissances et d’expérience appropriées. Dans un autre cas, lors de l’achat d’un appartement dans un immeuble d’habitation, il est connu que l’entrepreneur ne connaît pas les goûts de ses clients et souvent pas même les siens. Par conséquent, il construit les appartements dans le bâtiment selon un certain cahier des charges qui sera à peu près identique pour tous les locataires. C’est en fait la
norme. Dans un tel cas, il est préférable de se faire aider par un designer d’intérieur dès la phase de négociation avec l’entrepreneur pour l’achat de l’appartement, afin de combler de manière optimale l’écart entre les normes de l’entrepreneur et les besoins et préférences spécifiques du client. L’idéal serait de consulter un designer d’intérieur dès la phase de discussion du contrat d’achat de l’appartement, étape où certains paragraphes spécifiques peuvent être inclus dans le contrat qui économiseront de l’argent et des ressources à l’avenir.
COMMENT LA PANDÉMIE DE CORONAVIRUS A-TELLE IMPACTÉ NOS VIES À LONG TERME ?
La pandémie de coronavirus a eu un impact significatif sur nos vies à long terme. Elle a notamment mis en évidence l’importance du stockage. Pendant cette
période, les gens ont acheté de nombreux produits pour leur maison, mais ils se sont vite rendu compte qu’ils manquaient de place pour les ranger. Cela a entraîné une tendance à maximiser les options de stockage dans les espaces de vie, ce qui est appelé «compactage». En outre, la pandémie a contribué à une augmentation de la demande pour les designers d’intérieur. Les gens ont compris l’importance d’adapter leur maison à leurs besoins, en maintenant une atmosphère domestique tout en ayant la possibilité de mener des activités à domicile telles que le travail ou l’apprentissage à distance, les achats en ligne, les activités sportives, les loisirs, etc. Les espaces de la maison doivent être polyvalents pour pouvoir être utilisés pour différentes activités.
QUELS SONT LES CHANGEMENTS RÉCENTS DANS LE DOMAINE DU DESIGN D’INTÉRIEUR ?
Selon Sandra, de nombreux changements ont eu lieu ces dernières années, notamment dans le choix des matériaux. Il existe maintenant une multitude de matériaux, ce qui peut parfois perdre les clients. L’expertise d’un designer d’intérieur est donc essentielle pour choisir les matériaux de finition et les combinaisons appropriées. En outre, il y a une réflexion accrue sur la durabilité des matériaux. Aujourd’hui, la tendance est de remplacer quelque chose de grand dans la maison tous les 5 à 10 ans. Les meubles domestiques sont également fabriqués avec une approche plus légère. Le confort à la maison est maximal et il y a une grande variété de systèmes sophistiqués pour répondre aux besoins des résidents. En somme, le design doit intégrer l’esthétique, la fonctionnalité et l’ingénierie humaine pour répondre aux besoins de chaque client.
EN QUOI METTEZ-VOUS L’ACCENT
DANS VOTRE TRAVAIL ?
Sandra met l’accent sur un design
raffiné qui intègre de manière optimale l’esthétique, la fonctionnalité et l’ingénierie humaine. Chaque projet est unique, et elle doit se réinventer pour chaque client. Elle accorde une grande importance à l’expérience du client tout au long du processus, à partir de la première rencontre. À la fin du processus, ses clients doivent ressentir que le design et la planification ont été adaptés précisément à leurs besoins et à leurs goûts, et que leur maison est unique et ne ressemble pas à une autre.
La carte de visite de l’Eternel
PAR ELIE KLINGOn est très loin, non seulement de la société égyptienne, mais également de la société grécoromaine laquelle était divisée en deux :
La première des dix paroles énoncées dans notre paracha qu’en français on s’entête à traduire, je ne sais pourquoi, les dix commandements, ressemble davantage à une présentation de l’orateur qu’à un véritable commandement (ce qui explique sans doute que le texte hébraïque préfère la dénomination des dix paroles à celle des dix commandements).
« Je suis l’Eternel ton D.ieu qui t’a fait sortir d’Egypte, du foyer d’esclaves »
Même si certains, comme Maïmonide, pensent trouver derrière ce verset la Mitsva de croire en D.ieu, il faut bien reconnaître que la formulation n’est pas celle caractéristique des Mitsvot. Pas de verbes à l’impératif comme dans « Ne tue pas » ou « Respecte ton père et ta mère » qui suivront bientôt.
« Je suis l’Eternel ton D.ieu qui t’a fait sortir d’Egypte, du foyer d’esclaves » ressemble davantage à une « carte de visite » de l’Eternel. Et nos commentateurs de s’étonner pourquoi, parmi tous les titres dont D.ieu aurait pu se prévaloir, au premier rang desquels celui du « Créateur du ciel et de la terre », a-t-il choisi celui du libérateur d’Israël ?
Il semble qu’il y ait à cela deux raisons essentielles. LA PREMIÈRE c’est la place prépondérante que ce titre donne à l’abolition de l’esclavage. Je suis Celui qui t’a fait sortir, pas seulement de la terre d’Egypte, ce qui aurait pu être interprété comme soulignant uniquement un D.ieu libérateur national du peuple hébreu, mais de la maison de l’esclavage, ce qui sousentend qu’en sortant d’Egypte le peuple a l’obligation morale, religieuse et bientôt juridique, de sortir également de la société esclavagiste qu’il a connu au pays des pharaons.
Comme le souligne encore la quatrième parole, celle où il sera question du chabbat, dans sa version du livre de Devarim, que nous lisons cette semaine : « Respecte le jour du chabbat… afin que ton serviteur et ta servante se reposent tout comme toi. Et tu te souviendras que tu étais toi-même esclave en Egypte mais que D.ieu t’en a sorti d’une main forte et d’un bras étendu ».
Sous-entendu : … et s’il t’en a sorti, ce n’est pas pour que tu rebâtisses une société esclavagiste chez toi, en Erets Israël !
Chez toi, en Erets Israël, une fois par semaine, tout le monde s’arrêtera de travailler. Et les six autres jours, tout le monde travaillera!
- Les esclaves qui travaillaient tout le temps;
- Les citoyens qui étaient des hommes libres et qui, n’ayant pas à supporter la charge du labeur, pouvaient s’adonner aux tâches plus nobles, telles la conception de la cité, l’art, la philosophie ou la science.
Une société où tout le monde travaillerait six jours et où tout le monde s’arrêterait de travailler le septième était inimaginable pour un esprit gréco-romain.
LA DEUXIÈME RAISON pour laquelle D.ieu préféra se présenter en tant que libérateur du peuple d’Egypte plutôt qu’en tant que Créateur de l’Univers, c’est que les hébreux étaient témoins du premier et pas du second. Il était fondamental (au sens propre du terme) que les dix paroles reposent sur une réalité historique vécue et non sur un postulat théologique difficilement démontrable. Comme le dira Moïse à plusieurs reprises dans son dernier discours que constitue le livre de Devarim : « Vous avez entendu… », « Vos yeux ont vu ». Si la foi d’Israël a su se maintenir si longtemps et traverser d’innombrables dangers, c’est parce qu’à l’origine elle repose sur un évènement historique dont nos ancêtres furent à la fois les témoins et les acteurs.
« Je suis l’Eternel ton D.ieu qui t’a fait sortir d’Egypte ».
Arrêtez-moi si je dis des bêtises…
YÉDIDIM
des amis à
votre service
Vous venez de crever sur la route, vous n’avez aucune compétence pour changer la roue, que faire ? Vous êtes coincés dans un ascenseur, la société prestataire ne répond pas, que faire ? Vous avez perdu les clés de votre véhicule, de votre domicile, vous n’avez personne pour vous aider, pour solutionner votre problème, que faire ? Des problèmes apparaissent, que vous ne pouvez gérer, qui vous dépassent, que faire encore ?
Vous pouvez alors utiliser plusieurs solutions. La première, simple, est de vous mettre à prier, en utilisant tous les mots dont vous disposez, quitte à les inventer. La deuxième, est de prendre votre mal en patience, et d’espérer qu’une personne compatissante saura répondre à votre attente, pour peu qu’elle puisse croiser votre route. La solution alternative est de tout laisser en plan, de prendre un bus, un taxi ou un tramway, et de fuir la zone d’incertitudes.
Mais le plus satisfaisant sera de composer sur votre smartphone, qui est la prolongation de votre bras et de votre cerveau, le numéro 1230, de contac-
« Les gens sont toujours étonnés d’apprendre que le service n’implique pas de coût financier, et sont agréablement surpris quand on ne demande qu’un sourire »© Photos yedidim-il.org
ter la hotline, et de faire appel à des bénévoles, qui œuvrent pour une société d’entraide nommé « Yédidim », les amis.
SELON LA PLAQUETTE DE CETTE ORGANISATION : « L’organisme dispense gratuitement des premiers soins non médicaux, sur la route et à domicile, dans divers domaines, notamment : conduite du véhicule, aide au changement de roue, ouverture d’un véhicule verrouillé, etc. L’association, qui fonctionne entièrement bénévolement, apporte son aide 24 heures sur 24, tous les jours de la semaine, à l’exception des Chabbats et des jours fériés. L’organisation des Amis ouvre ses portes aux citoyens qui souhaitent se joindre et aider dans les domaines où elle est active ». Limpide.
Les jeunes israéliens d’aujourd’hui, s’investissent fréquemment dans le domaine du bénévolat. Nombre d’entre eux sont très actifs toute l’année, mais en particulier pendant les mois d’été, pendant lesquels ils préfèrent investir une bonne partie de leur temps pour le bien des autres, afin de rendre le monde meilleur.
Ils participent à des séminaires, des réunions d’information de Yédidim et se jettent très vite dans le bain, pour venir en aide à ceux qui en ont besoin. Qu’ils aient 18, 19 ans, ou plus, ils sont bénévoles depuis quelques années au sein de l’association qui aide au démarrage des véhicules, apporte son assistance en cas de crevaison, fait le plein d’eau, d’huile, de carburant, sur les autoroutes, assure le sauvetage des véhicules sur le terrain, et d’autres tâches, avec un peu de technique, beaucoup d’entrain, et des outils appropriés, et ceci à toute heure, sur toutes les routes, dans tout le pays (une application est disponible).
L’ENTREPRISE PAZ, qui gère bon nombre de stations d’essences sur le territoire israélien, a fait don aux volontaires de l’organisation de 180 kits de sauvetage pour la route, 2 500 kits pour sauver les enfants d’un véhicule verrouillé, et 100 kits pour l’unité en jeep. D’autant, comme l’a dit Eliav, l’un des bénévoles, que : « Les gens sont toujours étonnés d’apprendre que le service n’implique pas de coût financier, et sont agréablement surpris quand on ne demande qu’un sourire ».
Cette capacité à offrir un service, à faire preuve de bienveillance, d’empathie, est enrichissante à plus d’un titre. Elle donne un sentiment d’utilité et de la noblesse a celui ou à celle qui n’hésitent pas à donner de leur temps pour apaiser celui des autres.
Les jeunes de Yédidim n’hésitent pas à recruter parmi leurs amis et connaissances, pour étoffer plus encore ce réseau de connaissances, tant est vital cet élan qui les porte, et qui confirme la phrase de Saint-Exupéry : « Quand tu te donnes, tu reçois plus que tu ne donnes. Car tu n’étais rien et tu deviens ».
Trouvez les 10 différences
sudoku
Deux moustiques sont en train de discuter :
- Tu sais, explique le premier, en vrai, les hommes nous aiment bien.
- Ah, je pensais plutôt le contraire, dit l’autre.
- Si, si, je te jure. Hier soir, il y en a un qui a passé toute la nuit à m’applaudir !
Un professeur demande à ses élèves :
- Si je dis ‘je suis belle’, quel temps est-ce ?
Un élève lève la main et répond :
- C’est du passé, Madame !
Sarah se plaint à son amie
Miriam :
- Les vacances, c’est sympa, mais je déteste faire mes bagages !
Miriam répond avec humour :
- Oh, je comprends. C’est toujours difficile de décider quelle robe porter pour passer toute la journée à la plage !
blagues
Mon grand-père savait que le Titanic allait couler... Il les avait avertis plusieurs fois... Il n’arrêtait pas de leur crier que cela allait arriver mais tout le monde le regardait comme s’il était un imbécile...
C’est alors qu’il s’est fait sortir du cinéma !
Ruth dit à sa grandmère Sarah :
- Grand-mère, sais-tu comment arrêter de penser à la nourriture tout le temps ?
Sarah sourit et répond :
- Bien sûr, ma chérie. La première chose à faire est de fermer la cuisine !
Qu’est-ce qui commence par E, se termine par E et ne contient qu’une seule lettre ? Enveloppe
Pendant les vacances, un touriste demande au serveur du restaurant :
- Quelle est la spécialité locale ? »
Le serveur répond avec un sourire :
-Les plaintes des touristes, monsieur ! » ��
Camembert rôti au miel et noix by Michèle
On met le camembert dans un plat, tout autour les tranches de pain, les oignons, les tomates cerises, on sale avec la fleur de sel.
On arrose les tranches de pain tout autour avec l’huile d’olive.
On taille le camembert sur le dessus et on mets les noix et le miel.
On peut ajouter du basilic sur les tomates c’est encore meilleur.
On met au four 15 mn à 200 degrés, le camembert doit être fondu a l’intérieur...
Tarte aux fraises by Sephora
Mélanger le tout et ajouter au fur et à mesure de la farine jusqu’à l’obtention d’une pâte ferme et souple (environ 2 à 3 verres de farine.. mais important de ne pas tout mettre d’un coup)
Diluer la maïzena avec un peu de lait de soja froid, prélevé sur les 25 cl.
Ensuite mettre tous les ingrédients sauf la vanille, le rhum et la margarine.
Mettre à chauffer sur le feu jusqu'à épaississement sans cesser de remuer...
Ajouter la vanille et le rhum et hors du feu la margarine !
Étaler la pâte dans le moule , la piquer et la faire cuire à blanc à 180 pdt 20 mn environ ou jusqu’a ce qu’elle soit dorée.
Une fois refroidie étaler votre crème pâtissière et ajouter vos fraises.