C’est l’époque de ‘Hanouka, époque où les Guedolé Israël tiennent à remercier la communauté française pour son soutien au Vaad Harabanim. Nos Sages adressent un « merci » chaleureux et vibrant à la communauté, et l’invite à leur rendre visite… -
Allo ? Je pourrais s’il vous plaît parler avec M. R. ?
-
C’est moi !
-
Je vous appelle de la part du Vaad Harabanim pour vous annoncer que vous avez été tiré au sort pour représenter la communauté française lors d’un voyage en Erets …
2
-
Comment ?
-
Oui, vous avez participé au tirage au sort « Sur
les ailes de l’aigle » et vous avez gagné deux billets d’avion afin de rencontrer les Guedolé Israël ! -
Ça alors ! Merci ! C’est génial !
M. R. n’en revenait pas… Ce jeune homme de Strasbourg allait être littéralement propulsé vers les Grands Sages de la génération afin de recevoir leur marque de confiance et leurs bénédictions pour toute la communauté française ! Il allait gravir une à une les marches menant aux portes de nos prestigieux décisionnaires. Cela fait maintenant quatre ans que le Vaad Harabanim a imaginé et lancé le concept du tirage au sort « Sur les ailes de l’aigle » et le minhag s’est instauré pour la plus grande joie du public. Le principe est simple : parmi les participants à la campagne du Vaad Harabanim, l’un d'entre vous est choisi par le sort afin de rencontrer les plus grands Rabbanim de
notre peuple et de recevoir leurs bra’hoth au nom de toute la communauté française.
La voie royale Depuis plusieurs années, alors que l’œuvre du Vaad Harabanim s’intensifie, permettant à davantage de familles dans la précarité de vivre une vie normale, les Grands de notre génération mènent une action concertée et constatent avec émotion et reconnaissance que la communauté française tient un rôle important dans la réussite de leurs projets. Mus par ce sentiment de reconnaissance, les Sages
ont
tenu
à
exprimer
leurs
sentiments aux Juifs français.
• Les horaires sont à titre indicatif. Vous pourrez choisir les dates de votre voyage
Ceux-ci, actifs et vivants, vibrant dès qu’il s’agit de venir en aide à leurs frères dans la douleur, font le maximum pour répondre positivement aux appels lancés. Petites ou grandes sommes, le cœur y est et c’est ce qui compte le plus. Grâce à des milliers de dons, réunis dans un même trésor de ‘hessed redistribué avec discrétion et sensibilité, l’Association peut continuer sa mission aux quatre coins du globe. Ce qu’auraient souhaité les Sages, s’ils en avaient eu la
Participez à notre action et gagnez peut-être un voyage chez les Grands de notre génération. Cette année, le tirage aura lieu le Mardi 26 Tevet 5773 (8 Janvier 2013) par le Rav Azriel Auerbach, directeur du Vaad Harabanim, en présence d’un notaire.
possibilité, c’est d’inviter chacun des donateurs. Mais ne pouvant 3
Le jeune homme, à son arrivée en Erets, en compagnie de l’un des membres de sa famille, a été accueilli par les représentants du Vaad Harabanim. Puis il a été accompagné à Bné Brak où le merveilleux parcours a commencé.
réaliser techniquement ce désir, ils ont décidé de nommer des ambassadeurs lors d’un tirage au sort. Ceux-ci peuvent témoigner de la sollicitude et de l’empathie de leurs hôtes et utiliser la voie royale qui mène chez les plus grands hommes de ce monde.
Il a d’abord rencontré Rav Aharon Leib Steinman, qui l’a reçu très chaleureusement et a lui a prodigué de nombreuses bénédictions.
Un parcours merveilleux Toute personne connaissant les activités des
Il s’est ensuite rendu chez le Rav Guershon Edelstein, Roch Yechiva de Poniovitch qui a tenu à souligner l’importance de l’action du Vaad Harabanim et de la participation du public français. Il s’est ensuite dirigé vers la maison de l’un des plus grands décisionnaire de notre temps, Rav Nissim Karelitz. Celui-ci, malgré son grand âge, a écouté attentivement son hôte et a réitéré son soutien à l’Association en vertu de l’importance que requiert la tsedaka au sein du peuple juif, en particulier à notre époque.
Guedolim savent qu’elles sont nombreuses et que pour nos dirigeants spirituels chaque minute est comptée. Les charges qu’ils assument pour le public sont lourdes et les efforts pour les accomplir intenses. C’est la raison pour laquelle, même s’ils savent se rendre disponibles, c’est au prix d’une course contre la montre qui les oblige parfois à faire attendre leurs très nombreux visiteurs. Mais dans le cas des représentants de la communauté française, les portes se sont ouvertes en grand et M. R. a pu bénéficier d’un véritable « raccourci du
Après avoir quitté le Rav, les « ambassadeurs » se sont dirigés vers la demeure de l’Admour de
chemin ».
Pour participe r au tirage au sort veuillez rem plir le bon ci dessous et le renvoyer au Vaad Haraban im
Nom : _________
_____________
Prenom : ______
_____________
Adresse : ______
____________ _____________
_______________ Tel :___________
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Vichnitz. Celui-ci devait se rendre à Jérusalem et,
difficulté. Pour clore ce merveilleux périple chez
malgré son départ imminent, a pris le temps de
les grands tsadikim de notre temps, c’est le Rav
le recevoir. Ce fut un moment de grande émotion
Azriel Auerbach, Président du Vaad Harabanim
durant lequel l’Admour bénit ses interlocuteurs et
qui exposa à ses invités de marque les projets de
toute la communauté française.
l’Association ainsi que ses récentes réalisations.
Pour finir la soirée, le petit groupe se dirigea vers la
C’est, émus et rassérénés, plein de force et de
maison de l’un des grands dirigeants du judaïsme,
courage, que les ambassadeurs ont terminé
notre maître Rav Haïm Kanievsky. Le Rav accueillit
leur tournée de kedoucha. Le cœur touché
ses invités dans sa pièce d’étude où d’habitude,
par l’attention et l’amour inconditionnel de nos
seuls les invités de marque peuvent pénétrer.
dirigeants pour notre peuple et les bagages emplis
Comme chacun sait, chaque mot et chaque minute
de bénédictions pour le judaïsme français, ils sont
du Gadol est compté et c’est ainsi qu’il écouta ses
repartis, porteurs d’espoir d’un temps nouveau et
hôtes en leur prêtant attention et en répondant à
salvateur.
chacune de leurs questions.
Cette année encore, l’un d’entre vous aura
Deux jours plus tard, les représentants de la
le mérite d’être choisi lors du tirage « Les
communauté française poursuivirent leur visite à
ailes de l’aigle » qui aura lieu mardi 26 teveth
Jérusalem et furent accueillis par le Rav Chmouel
- 8 janvier 2013 dans les bureaux du Vaad
Auerbach. Le grand Rav fut aussi chaleureux que
Harabanim par le Rav Azriel Auerbach. Et
ses illustres prédécesseurs et encouragea le public
chacun priera pour être le digne représentant
français, par l’intermédiaire de ses ambassadeurs,
d’une noble communauté comme celle de
à poursuivre ses efforts en faveur des familles en
France.
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6
« Bané, ‘hayé ou mezoné » Un an déjà. Dans une lettre datant de ‘Hanouka 5772, Rav Yossef Chalom Elyachiv zatsal – quelques semaines avant son hospitalisation – bénissait chaque participant à la campagne du Vaad Harabanim afin qu’il puisse recevoir le mérite de la réussite de ses enfants, d’une vie pleine et heureuse et d’une bonne parnassa (« Bané, ‘hayé ou mezoné »). Ces mots résonnent aujourd’hui d’un son particulier, à la lecture des lettres parvenues au bureau du Vaad Harabanim et qui racontent les délivrances personnelles de familles qui ont bénéficié de l’aide de la tsedaka et celles de personnes qui ont su tendre la main. Nous avons tenu à ouvrir les dossiers du Vaad et à livrer au public certaines de ces lettres émouvantes et troublantes, afin de montrer la force de la Providence divine. Tous les jours, ces lettres ravivent la flamme des bénévoles de l’Association qui se sentent investis d’une véritable mission. Nous tenions à vous en faire part, afin que vous puissiez partager notre émotion.
« Bané » les enfants Les enfants sont notre bien le plus précieux et nous sommes prêts à tout pour eux… Voici un exemple de l’investissement permanent de l’Association envers la jeunesse, gage de notre avenir. « Eloul 5772 Mon petit Méïr n’avait plus la force d’aller à l’école. Je le comprenais si bien. Mon cœur se serra et sembla exploser dans ma poitrine lorsque je l’accompagnai à la porte. Je lui donnai un petit sac de friandises pour égayer son départ et l’apaiser en ce premier jour de classe où il se rendrait à l’école sans la présence de son papa. Je me mis à la fenêtre avec
Les trois chapitres suivants forment l’histoire haute en couleurs, bien qu’écrite en noir et blanc, de la bénédiction du Rav. 7
appréhension pour le regarder : il traînait les pieds. Mon fils, qui était tellement heureux autrefois, avait perdu son entrain. Après qu’il fut monté dans le bus du ramassage scolaire, je m’assis, pris mon Tehilim et me mis à pleurer. Pour mon fils, pour ma famille. Mon mari n’était plus là et je suppliais Hachem que nous puissions continuer notre chemin sans nous décourager. J’attendis tout l’après-midi, inquiète. Comment allait se passer cette journée cruciale ? Quand mon fils revint à la maison et que je perçus les coups énergiques qu’il donnait à la porte avant d’entrer, je compris que quelque chose avait changé. Méïr ouvrit la porte avec un large sourire au visage : contre toute attente, sa journée s’était bien passée. « Maman ! maman ! s’exclama t-il, enthousiaste. Un monsieur est venu étudier avec moi à la fin des cours. Il était tellement gentil, tellement attentionné… Il a su m’écouter ! Nous avons parlé de papa. Je sais qu’il me comprend ! Merci maman de lui avoir demandé d’étudier avec moi. J’ai pu faire mes devoirs avec lui ! » Je regardai Méïr en tentant de retenir les larmes que je sentais poindre sous mes paupières. Dans mon for intérieur, je remerciais le Vaad Harabanim qui avait mis en place cette aide providentielle financée par des dons généreux. Le jeune homme, contacté par l’Association, allait s’occuper de mon 8
fils de tout son cœur. Conscient de l’épreuve que Méïr traversait, il serait digne de notre confiance... »
Deux jours plus tard, une lettre arrive au Vaad Harabanim. Ce n’est sans doute pas un hasard que ces deux témoignages soient parvenus au même moment sur le bureau du Vaad. Ils décrivent le lien invisible qui unit la personne dans le besoin et le donateur. « Monsieur, Je tiens à vous raconter un vrai miracle qui a eu lieu grâce à votre Association. Jeudi soir, Yoav, mon fils de quatorze ans, qui est en pleine crise d’adolescence, est rentré du collège. J’étais assise dans la cuisine et il m’a posé une question que j’ai mal comprise. Irritée, j’ai répondu d’une façon non appropriée. S’est ensuivi un vrai dialogue de sourds. Mon fils a alors commencé à crier. Mon mari est alors arrivé et l’a puni, lui interdisant de s’adresser à moi de cette manière. Le matin, Yoav a refusé d’ouvrir la porte de sa chambre. Il y est resté enfermé toute la matinée en affirmant ne plus vouloir se rendre à l’école. C’était vendredi matin et j’ai tenté de l’approcher mais je me suis heurtée à un mur. Il ne voulait ni sortir de sa chambre ni se préparer pour chabbath et finalement le lendemain, toute
la journée, il a fait la tête, même durant les repas. Après chabbath, je ne pouvais plus supporter cette situation. Je me suis souvenu de la lettre du Rav Elyachiv que j’avais lue dans un prospectus du Vaad Harabanim et dans laquelle il parle de la satisfaction que l’on aura de ses enfants. J’ai alors fait un don afin que la situation puisse s’améliorer. Après deux heures, mon mari prit par la main mon fils et entama avec lui une conversation qui dura quatre heures. Yoav explosa en sanglots et nous expliqua tous ses
« ‘Hayé » la vie La tsedaka peut sauver des vies. Voici deux histoires entrecroisées que nous voulions partager avec vous… Depuis quelques mois, l’existence d’Avi est devenue un vrai tourbillon. Il passe d’un hôpital à un autre afin de trouver désespérément un médicament pour soigner la maladie de son fils. Le soir, il rend visite à ses connaissances et contacte les gma’him afin de leur emprunter les fonds nécessaires pour mener à bien son combat contre la maladie. Sa tête est pleine de soucis concer nant l’état de santé de son fils mais aussi concernant l’argent qu’il faut trouver pour acheter les médicaments vitaux. Le matin, Avi doit se dépêcher d’aller à l’hôpital. Le soir, ce sont des appels téléphoniques sans fin, des rendez-vous pour obtenir des fonds.
soucis. Cette discussion nous permit de mieux comprendre ses problèmes et nous fit entrevoir sa vie avec ses yeux à lui, adolescent de quatorze ans. Depuis deux semaines, nous avons pu établir un lien puissant et authentique avec notre fils et je suis certaine que c’est la force du don à la Tsedaka qui a été décisif dans cette transformation radicale. »
Après des journées épuisantes, Avi observe son chéquier et ses feuilles de comptes. Comment trouvera-t-il l’argent pour payer tous les frais non remboursés par la sécurité sociale et nourrir ses enfants ? Celui qui n’a jamais éprouvé un tel stress ne peut se représenter le tunnel noir dans lequel Avi cherche une petite lueur d’espoir. Et puis, tout d’un coup, il 9
au point d’être hospitalisé afin de stabiliser sa santé mentale. Il était traité avec des médicaments et durant des années, il a fallu le soutenir afin qu’il puisse retrouver une vie normale. Petit à petit, avec des efforts inouïs, il reprit des forces. entend frapper à la porte. Qui peut venir lui rendre visite à dix heures du soir ? Il se lève, angoissé, et ouvre la porte. C’est un envoyé du Vaad Harabanim qui lui tend une enveloppe avec un grand sourire. Il disparaît aussitôt, comme il était apparu. Avi ouvre l’enveloppe et, en voyant ce qu’elle contient, sent qu’il n’est plus seul. Tout un peuple est là pour l’aider, pour le soutenir. Cette somme va lui permettre de rembourser une partie de ses dettes et de continuer à se battre. Il se sent plus fort et lorsqu’il entend son fils pleurer, il le serre contre lui, et sent que son épaule a été affermie par le peuple d’Israël.
La lettre suivante est comme un écho puissant au combat mené par Avi. Lorsqu’un Juif se soucie d’un autre Juif, Hachem agit avec lui avec l’attribut appelé « Mida kenegued mida », mesure pour mesure, qui souligne l’attention aimante dont Hachem entoure Ses enfants qui se sont souciés de leurs prochains. « Mon frère Aharon David était tout à fait équilibré et avait une bonne situation. Du jour au lendemain, il a commencé une grave dépression nerveuse 10
Il y a un an, on a noté un certain progrès et il a pu sortir de l’hôpital psychiatrique. Après avoir retrouvé avec émotion toute sa famille, il s’est mis à pleurer. Aharon David comprenait parfaitement sa situation. Qu’allait-il se passer ? Comment sa famille allait-elle continuer à vivre dans une telle tension ? Ses enfants avaient grandi. Qu’allaientils devenir ? Durant les discussions qu’il eut avec sa femme, celle-ci lui proposa d’adresser un don au Vaad Harabanim. « La tsedaka a toujours fait ses preuves et nous sauvera, lui dit-elle. Tu recouvriras la santé. » Trois mois plus tard, l’impensable se produisit : Aharon David était rétabli. Merci à votre Association pour ce véritable miracle. »
« Mezoné » la parnassa Souvent, la parnassa est une source de soucis et demande une bénédiction particulière. C’est ce qui motive l’action du Vaad Harabanim au jour le jour.
« Ce jour-là, mon fils me demanda 5 chékels pour prendre le bus. Il était à côté de la porte et commençait à s’impatienter. Je cherchai dans mes poches tout en sachant que je n’y trouverais rien. Dans mon sac, le porte-monnaie était vide. Dans les tiroirs, aucune pièce ne brillait. Je demandai alors à mon fils de courir demander la somme à la voisine. C’est ce qu’il fit et il put attraper son bus. Il revint à l’heure du déjeuner. Je le reçus avec un grand sourire qui tentait de cacher mon désarroi. Je lui dis que j’allais lui préparer à manger et me détournai rapidement : il n’avait pas besoin de me voir pleurer. Je lui préparai alors un thé auquel je mêlais mes larmes. La situation financière est très difficile ces derniers temps. Mon mari a perdu son travail et à 53 ans, il a du mal à retrouver un poste. Nous devons nourrir cinq enfants sans pratiquement aucun moyen. Le fameux jour où vous avez frappé à la porte, vos envoyés nous ont donné une enveloppe. C’est un jour qui restera gravé dans nos mémoires. Nous avons pu manger normalement, rembourser quelques dettes et prendre des forces pour continuer. »
Voici mon histoire. Je suis comptable et j’ai cherché du travail pendant des mois. J’ai envoyé mon CV à de nombreuses entreprises, sans résultat. La semaine dernière, après avoir lu l’un de vos prospectus, j’ai décidé d’adresser un don à votre Association. Ce n’est pas une somme très importante mais je l’ai donnée de tout mon cœur, pour aider les personnes qui en ont encore plus besoin que moi. Et grâce à de nombreuses prières et à ma résolution d’aider mon prochain dès que je le pourrais en donnant mon maasser, Hachem m’a envoyé la délivrance et j’ai enfin reçu une réponse positive. Je commence à travailler demain et j’ai tenu à vous adresser mon don avant. » Merci au Vaad Harabanim de nous offrir tant de miracles, et de faire apparaître de façon si claire le « mida kenegued mida » d’Hakadoch Barou’h Hou…
Et voici la lettre que nous avons reçue de Moché, témoignage vivant de la force de la tsedaka qui peut régler, en en clin d’œil, une situation sinistrée. « Je m’appelle Moché et je tiens à vous remercier chaleureusement. 11
Comme des étoiles dans le ciel, les actes de ‘hessed de notre peuple illuminent les vies de centaines de familles. Chacune brille d’un éclat particulier. Que ce soit les bourses de soutien ou les fonds spéciaux, les paniers alimentaires ou le suivi au jour le jour, chaque action du Vaad Harabanim – rendue possible par vos dons – représente des mondes scintillants au firmament de la bonté. Avant la fête des lumières, voici un rappel des étoiles qui brillent grâce à vous. médicales permettent la santé pour 5 217 aides tous 6 854 bourses pour personnes en difficulté ont sauvé de la détresse nombre d’oubliés du système
alimentaires ont réjoui les familles 15451 paniers qui se situent en-deçà du seuil de pauvreté 2 570 subventions pour des cours particuliers protègent les enfants de l’échec scolaire
pour les veuves et les orphelins : une 4 273 aides immense mitsva enfin accessible à tous 1 652 soins dentaires ont été un soulagement
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immense pour les familles pauvres
opérations urgentes ou délicates sauvent des vies
Ces lumières dans la nuit ont resplendi grâce à vous et à votre confiance dans notre Association. Bonne fête de Hanouka. Et encore une fois merci pour les milliers de flammes qui brillent au sein du peuple juif par le mérite de vos actions en faveur des personnes dans la détresse.
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5 217 6 854 15 451 2 570 4 273 1 652 945
Rallumer la flamme
Chaque année, les Guedolé Hador participent à un allumage en faveur des nécessiteux d’Erets en s’associant à l’œuvre du Vaad Harabanim. Ils adressent un don à l’Association après avoir entonné la bénédiction et prient pour tous les donateurs. Ils rallument ainsi la flamme de la solidarité.
Notre Maitre le Gaon Rav Haim Kaniewsky Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
Notre Maitre Rabbi David Abouhatseira Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
Notre Maitre le Gaon Rav Aaron Leib Steinman Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
Notre Maitre le Gaon Rav Nissim Karelits Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
Notre Maitre le Gaon Rav Chmouel Auerbach Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
Notre Maitre le Admour de Tchernobil Chlita, lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka
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Les armes de la victoire Les Cohanim ont tenu une place de choix durant les événements de Hanouka et la lutte contre la culture grecque. Pour perpétuer la tradition de prière propre aux grands prêtres de notre peuple et qui leur permit de triompher, le Vaad Harabanim organise une tefila spéciale le 8e jour de la fête des lumières. Un rendez-vous essentiel à ne pas manquer. Quelles sont les armes dont disposaient nos ancêtres et qui leur permirent de triompher de la première puissance mondiale de l’époque ? Ce n’est ni grâce aux chars rapides ni grâce aux sabres affutés que les Cohanim offrirent la victoire au peuple juif durant les révoltes contre la puissance grecque qui tentait d’imposer des décrets assimilationnistes. Ce sont leurs prières, d’une puissance rarement égalée qui anéantirent les projets des ennemis du peuple juif. Animés d’une foi brûlante, les Cohanim, avec à leur tête les Macabées, combattirent pour la liberté et la foi. D.ieu, voyant la sincérité de leur démarche, les soutint durant de difficiles années de combats 14
et entendit leurs supplications. Ils l’emportèrent, contre toute attente. Depuis, les Cohanim disposent d’une arme capable de déchirer l’écran opaque qui empêche l’accès aux cieux.
Garder la flamme Cette arme est toujours actuelle. Lors de la fête des lumières, elle est à la disposition des descendants des Cohanim. Ils savent qu’au moment propice du dernier allumage, la flamme gardée par eux de génération en génération est encore brûlante. C’est pourquoi le 8e jour de Hanouka, le Vaad Harabanim organise, cette année encore et constatant le succès remporté par cette initiative, la fameuse prière des Cohanim au Kotel Hamaaravi devant le Kodech Hakodachim. Rav David Cohen, Roch Yechiva de ‘Hevron et Rav Lévy Rabinovith HaCohen parmi d’autres Cohanim attestés se réuniront afin de faire bénéficier le public de leur force particulière. Ils perpétuent ainsi la tradition du miracle et permettront de réaliser tous les souhaits sincèrement prononcés. Joignez vous à eux, pour ces instants d’une rare intensité où l’homme est capable de retrouver la proximité divine.
L'Admour de Pinsk Karlin Chlita
Le Gaon Rav Levi Rabinovitch Chlita, auteur du Maadanei Hashulchan
Le Gaon Rav David Cohen Chlita, Roch Yechivat 'Hevron
Les Rabbanim Ben-Tzion et Haim Hakohen Kook Chlita
Le Gaon Rav Yossef 'Haim Kopshits Chlita, Roch Yechivat Porat Yossef
Les Rabbanim du minyan des Cohanim, spécialement réunis pour le Vaad Harabanim, réciteront avec ferveur chaque nom et chaque demande. Ils seront, le temps de cette prière extraordinaire, les délégués du peuple juif, se tenant devant l’arche sainte comme des chalia’h tsibour. Cette année, la prière des Cohanim aura lieu le dimanche 3 Tevet 5773 (16/12/2012)
Le Gaon Rav Sim'ha Hakohen Kook Chlita
Le Gaon Rav Menahem Mendel Pekchar Chlita
Le Gaon Rav Chamai Hakohen Gross, Chlita
Le Gaon Rav 'Haim Yehouda Cohen Chlita
Le Gaon Rav Elimeleh Hakohen Rotman Chlita, Machgiah' de la Yechivat Hevron
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Pour que les Grands de la Génération prient pour vous
lors de l'allumage des bougies de 'Hanouka Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre _______________________________ Prénom en hébreu ____________________________________ Prénom de la mère ___________________________________ Bonne santé Parnassa Enfants Mariage Réussite avec les enfants Succès Autre _______________________________
Appel gratuit:
1-800-22-36-36 5 possibilités pour transmettre vos dons au Vaad haRabanim :
1
2
Appelez ce numéro pour un don par carte de crédit : 1-800-22-36-36 en Israël: 00.
972.2.501.91.00
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Envoyez votre chèque à :
Vaad haRabanim 2 Rehov Yoel Jerusalem
Envoyez votre don à l'un des Rabanim de votre région (demandez la liste au numéro 1-800-22-36-36).
Sur notre site : www.vaadharabanim.org Site sécurisé Un reçu sera envoyé pour tout don.
4
Envoyez votre don dans l'enveloppe jointe.
Veuillez libeller vos chèques à l'ordre de Vaad haRabanim